Country in Eastern Europe and Northern Asia
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Terres rares, ressources fossiles, sèves attractives ou métaux précieux, certaines matières valent de l'or et transforment les territoires où on les trouve. Comment ces substances sont devenues si précieuses à nos yeux et comment ont-elles transformé l'histoire des territoires où elles gisaient ? Une histoire humaine tout autant qu'industrielle. L'or se trouve en Afrique du Sud, au Ghana, au Pérou, en Indonésie, mais également au Canada, en Russie, aux États-Unis et en Chine. On en rencontre même dans les Alpes suisses. Utilisé depuis l'Antiquité, et probablement bien avant, ce métal précieux a toujours fasciné par son éclat et sa rareté. Parmi les grandes ruées vers l'or, celle de Californie occupe une place singulière. Ce que l'on sait moins, c'est que l'or californien fut découvert par un aventurier d'origine suisse, John Sutter - ou Sütter avant son américanisation. Plus méconnu encore demeure le rôle de son compatriote Jean-Jacques Vioget. Pourquoi l'histoire a-t-elle retenu le nom du premier plutôt que celui du second ? Avec Claudine Chalmers, historienne.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur
durée : 01:32:32 - Les Nuits de France Culture - par : Mathilde Wagman - Par Denis Richet - Avec Victor-Lucien Tapié (historien et universitaire moderniste), Youssef Ishagpour (essayiste) et Marc Ferro (enseignant-chercheur et historien, directeur d'études de l'École des hautes études en sciences sociales, spécialiste de la Russie et de l'histoire du cinéma) - réalisation : Virginie Mourthé
Sur les photos officielles, il arbore fièrement son uniforme rutilant et ses 7 étoiles qui indiquent son rang de maréchal, à l'instar de son défunt père. Et le maréchal-président tchadien a encore assis son pouvoir vendredi. En effet, pointe Jeune Afrique, « le vote sur la révision constitutionnelle était initialement prévu lundi prochain 13 octobre. Avec dix jours d'avance, c'est donc vendredi que la majorité écrasante des parlementaires a approuvé le texte présenté par le Mouvement patriotique du salut, le parti de Mahamat Idriss Déby Itno, lui conférant un mandat présidentiel de sept ans renouvelable sans limites. Ce texte lève aussi l'incompatibilité des fonctions de chef de l'État avec des activités au sein d'un parti politique et restaure l'immunité des ministres. » Commentaire de Jeune Afrique : « l'histoire ne se répète pas, mais elle peut parfois sérieusement bégayer. (…) Il y a vingt ans, Idriss Déby Itno, père et prédécesseur de l'actuel chef de l'État, avait, lui aussi, fait “sauter“ le verrou de la limitation des mandats, en faisant modifier la Constitution de 1996, pourtant adoptée après une période de concertation nationale. » Vers un pouvoir quasi-absolu En effet, concrètement, analyse Afrik.com, « instituée par les députés, relayée dans les médias, validée par les sénateurs, et promulguée par le Président, cette réforme scelle le nouveau socle d'un pouvoir quasi-absolu. Cette mutation institutionnelle ne saurait se limiter à un simple jeu de chaises législatives, pointe le site panafricain. Elle dessine un scénario politique à long terme, dans lequel l'alternance démocratique devient improbable. (…) Ça n'est pas seulement une révision constitutionnelle : c'est l'officialisation d'un tournant vers la présidentialisation à vie, s'exclame encore Afrik.com. En adoptant formellement une durée de mandat allongée et une absence de limite, le régime Déby verrouille les conditions de perpétuation de sa domination. Le fils succède au père, non pas par un héritage dynastique légal, mais par un enchaînement institutionnel soigneusement orchestré. » Alors, relève encore le site panafricain, « face à cette mutation, la communauté internationale, les organisations de défense des droits humains, les acteurs politiques africains auront à observer, critiquer, voire exercer des pressions pour rappeler que la légitimité ne se décrète pas, elle se conquiert. Le temps dira si le Tchad, sous Mahamat Déby, rompt avec l'ère Déby père, ou bien en érige une version encore plus rigide. » Sur la vague du souverainisme… « Cette évolution politique intervient dans un contexte international qui favorise les régimes peu portés à la démocratie, note pour sa part Ledjely en Guinée. Les rivalités géostratégiques entre la Russie et les pays occidentaux offrent aux dirigeants du continent de nouvelles marges de manœuvre. La confédération de l'AES (Mali, Burkina Faso, Niger) incarne ce vent de souverainisme dont une des manifestations, est aussi le départ des soldats français de plusieurs pays, dont le Tchad. Dans ce nouveau rapport de force, Mahamat Idriss Déby sait qu'il dispose d'une plus grande liberté pour remodeler les institutions à sa guise, sans craindre de réelles représailles extérieures. Ainsi, conclut Ledjely, loin d'incarner un renouveau politique, Mahamat Idriss Déby semble perpétuer un cycle qui confisque l'alternance et bloque l'émergence d'une gouvernance réellement démocratique. Une dynamique qui semble relever d'une tendance plutôt lourde sur le continent africain. » Réinventer la démocratie sur le continent Enfin, en parallèle, à lire cet éditorial du Monde sur l'émergence des régimes forts en Afrique : « prétendre (comme le font certains militaires au pouvoir) que “l'Afrique n'est pas faite pour la démocratie“ est une ineptie, affirme le journal. Il suffit de rencontrer des Africains, illettrés ou éduqués, se pressant dans des bureaux de vote, pour comprendre le sens évident qu'ils donnent à ce droit fondamental : choisir et renvoyer ses dirigeants sur une base égalitaire. (…) Prétendre, par ailleurs, poursuit Le Monde, que seul un régime fort peut assurer le développement contredit la réalité : aucun autocrate africain ne peut se vanter d'une telle performance. » Et le journal de conclure : « combat par définition inachevé, la démocratie est à réinventer, dans les différents États africains comme dans les pays riches. Avec, sans doute, un point commun : au centre de la réflexion devrait figurer le lien entre démocratie et bien-être des populations. »
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 5 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LE PROJET DE BUDGET DE LECORNUUne première version du projet de loi de finances pour 2026 a été transmise jeudi pour avis au Haut conseil des finances publiques. La transmission de ce projet de loi marque le coup d'envoi du processus de discussion du budget. Le Haut conseil, un organisme indépendant placé auprès de la Cour des comptes, disposera ensuite de sept jours pour rendre son avis, destiné à être rendu public lors de la présentation formelle du budget par le gouvernement. Le texte devrait être déposé à l'Assemblée nationale au plus tard le 13 octobre, de façon que le Parlement dispose des 70 jours prévus par la Constitution pour en débattre.Le même jour, à la veille des rencontres organisées à Matignon avec le Parti socialiste et le Rassemblement national, l'entourage de Sébastien Lecornu a laissé fuiter quatre pistes de soutien au pouvoir d'achat en précisant toutefois que « rien n'est arbitré ». Il s'agirait de favoriser davantage les heures supplémentaires par une défiscalisation et un allègement des charges sociales ;d'alléger l'impôt sur le revenu des couples modestes : en améliorant le mécanisme de « décote », afin de l'aligner sur l'avantage accordé aux célibataires touchant des montants équivalents. De défiscaliser à nouveau les «primes Macron » les primes des salariés gagnant moins de trois fois le SMIC en 2026. D'encourager les dons familiaux en direction des jeunes générations.Selon le journal Les Échos, le projet de budget inclurait une « année blanche » comprenant le gel du barème de l'impôt sur le revenu et de toutes les pensions de retraite, ainsi que le relèvement du taux du « prélèvement forfaitaire unique » sur les revenus du capital. L'augmentation de la flat tax jusqu'à 36%, rapporterait 1,5 milliard d'euros. Le texte devrait comporter une mesure anti-optimisation centrée sur les holdings, certains contribuables très aisés y stockant de l'argent afin d'échapper à l'impôt. Des mesures seraient également en préparation pour lutter contre l'optimisation des Pactes Dutreil, cet outil fiscal conçu pour réduire la fiscalité des transmissions et donations des entreprises afin de préserver l'outil productif. Quant à la surtaxe d'impôt sur les sociétés, elle serait reconduite d'un an, mais son taux serait divisé par deux par rapport à celui appliqué en 2025. Son rendement attendrait ainsi de l'ordre de 4 milliards d'euros.Vendredi, le Premier ministre s'est engagé à ne pas utiliser l'article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter son budget. L'idée n'est pas nouvelle : entre 1997 et 2002, le premier ministre Lionel Jospin, à la tête d'une « majorité plurielle », avait renoncé à son usage. Si les débats budgétaires s'enlisaient à l'Assemblée, faute de majorité, la méthode Lecornu pourrait dès lors aboutir à l'élaboration d'une loi spéciale ou par le passage du budget par voie d'ordonnances, une première sous la Ve République.SÉCURITÉ EUROPÉENNE FACE AUX MENACES RUSSES APRÈS COPENHAGUEL'Europe est soumise, ces derniers jours, à une série de défis : la Russie teste la capacité de plusieurs pays du nord de l'Europe à faire face à des envois de drones sur leurs aéroports. Elle viole régulièrement l'espace aérien de certains membres de l'Otan afin de mesurer leurs capacités de défense antiaérienne. Oslo, Copenhague, Munich ont été victimes des mêmes survols de drones non identifiés, contraignant les autorités danoises, norvégiennes et allemandes à fermer provisoirement leur espace aérien au-dessus de certains aéroports. Contrairement aux Ukrainiens, les Européens n'ont guère d'expérience dans le domaine de la lutte contre les drones.Dans ce contexte, lundi, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, a dévoilé, une première cartographie de la « préparation 2030 », date à laquelle l'Europe doit être prête à se défendre par elle-même en cas d'agression russe. Les analyses des services de renseignement européens convergent : dans les trois à cinq prochaines années, la Russie pourrait être en mesure d'attaquer un pays de l'Union européenne ou de l'Otan si une paix en Ukraine lui permettait de se réarmer, et si l'Europe ne pouvait pas compter sur le soutien américain. Les États membres ont identifié neuf domaines capacitaires prioritaires dans lesquels l'Europe doit combler ses lacunes d'ici à 2030 : défense aérienne et antimissile, systèmes d'artillerie, missiles et munitions, cyber et guerre électronique, drones et anti-drones, combat terrestre, capacités maritimes, mobilité militaire et « capacités stratégiques habilitantes ».En vue de renforcer la défense du continent face à la menace russe, les dirigeants des 27 pays de l'Union européenne se sont retrouvés mercredi à Copenhague. Les discussions ont porté principalement sur trois axes : le développement capacitaire conjoint, les « projets phares » - comme le mur de drones ou la surveillance du flanc oriental - et la montée en puissance de l'industrie de défense européenne. Afin d'accélérer la montée en puissance militaire du continent, l'Union européenne a adopté en juin dernier le Security Action For Europe (SAFE), un instrument financier de prêts de 150 milliards d'euros. Environ 100 milliards sont alloués au flanc oriental de l'Europe : 43,7 milliards pour la Pologne, 16,7 milliards pour la Roumanie, 16,2 milliards pour la Hongrie. Cette concentration géographique reflète une réalité diverse. Chaque pays défend actuellement sa portion de frontière d'une manière légèrement différente, à l'aide de systèmes qui vont du plus sophistiqué au moins élaboré. Cette réunion sans conclusion écrite a permis de décanter des sujets qui seront finalisés les 23 et 24 octobre prochains lors du Conseil européen à Bruxelles. Objectif : combler les lacunes et favoriser des acquisitions conjointes pour lutter contre « la fragmentation de nos efforts à travers des initiatives nationales non coordonnées ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une flotte fantôme russe, des drones qui s'aventurent en Pologne et en Roumanie voire qui perturbent le trafic aérien au Danemark, des ingérences dans les processus électoraux, et enfin une violation de l'espace aérien estonien par des avions de chasse russes.Depuis début septembre, les événements s'enchaînent et font les gros titres, même si dans certains cas, l'implication de la Russie reste à établir. Certains l'appellent la guerre hybride. D'autres parlent de provocations très inquiétantes.Le sujet a dans tous les cas bien occupé cette semaine les dirigeants des 27 pays de l'Union européenne réunis au Danemark, mercredi. Pour cet épisode spécial de la Semaine Sur le Fil, nous vous proposons de prendre un peu de recul en écoutant un entretien avec un spécialiste : le général français Jean-Paul Paloméros, ancien chef d'état-major de l'armée de l'air et ancien commandeur de l'OTAN pour la Transformation. Dans cette interview il nous livre son analyse sur ces événements, sur les nouveaux défis posés par les drones, et prône la mise en place de zones tampon d'exclusion aérienne, comme aux temps de la guerre froide. Réalisation : Michaëla Cancela-KiefferSons tirés des archives video de l'AFPTV.Doublage : Maxime MametMusique : Nicolas Nicolas Vair. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:32 - Le Reportage de la rédaction - Depuis cette rentrée, le pouvoir russe intensifie sa répression sur la sphère numérique. Nouvelles lois répressives, nouvelle messagerie nationale Max, surveillance des migrants via une application. Le Kremlin tente d'imposer un Internet souverain et ultra-contrôlé.
En première partie, nous voici en Ukraine aujourd'hui. C'est la guerre ouverte, violente, guerre de conquête à coups de chars, de drones, de missiles depuis plus de 3 ans et demi. Donetsk perdue, Kramatorsk est devenue de fait la capitale du Donbass ukrainien, elle voit le front se rapprocher. À vol d'oiseau, il est à une quinzaine de kilomètres et la ville elle-même est régulièrement bombardée. Face aux grignotages incessants du territoire par les forces russes, cette question est de plus en plus prégnante pour les Ukrainiens. Partir ou rester ? La Russie contrôle plus de 70% de la région de Donetsk et la quasi-totalité de celle de Louhansk, elle veut aller plus loin, de gré ou de force. Une perspective redoutée, mais espérée également par certains... En seconde partie d'émission, la réunification allemande, 35 ans après, que reste-t-il de la RDA, l'Allemagne de l'Est, un reportage de Nathalie Versieux. Est de l'Ukraine, lâcher du terrain ou combattre jusqu'au bout ? Plus de trois ans et demi après la percée des chars russes et 11 ans après le début du conflit, Kramatorsk, devenue de fait la capitale du Donbass ukrainien, voit le front se rapprocher. Les premiers combats sont à une quinzaine de km à vol d'oiseau et la ville elle-même est régulièrement bombardée. Partir ou rester ? La question se fait de plus en plus pressante pour de nombreux habitants de la partie du Donbass sous contrôle ukrainien. À mesure que le front se rapproche, et avec lui, les destructions, des centaines de personnes sont obligées de prendre la route de l'exil. La Russie contrôle plus de 70% de la région de Donetsk et la quasi-totalité de celle de Louhansk. Elle cherche à s'emparer de la totalité de ce territoire par la force ou la négociation. Une perspective terriblement redoutée mais espérée aussi par certains, alors que les conditions de vie se dégradent chaque jour un peu plus. Un Grand reportage d'Anastasia Becchio et Julien Boileau qui s'entretiennent avec Jacques Allix. Réunification allemande: 35 ans plus tard, que reste-t-il de la RDA? 3 octobre 1990. L'Allemagne divisée depuis 1949 est désormais réunifiée, un peu moins d'un an après l'ouverture du Mur de Berlin en novembre 1989. Fin de 40 ans de partition du pays. 35 ans plus tard, que reste-t-il de l'ex-RDA ? À Berlin, des quantités de traces ont disparu, notamment de nombreux symboles politiques du régime. En province, le passé est-allemand est souvent plus visible. Aujourd'hui, une nouvelle génération semble redécouvrir la valeur architecturale et artistique de la RDA. Mais le débat reste vivace. L'ouest de l'Allemagne ne cède rien de son rejet du communisme. Et l'est du pays dénonce une forme de colonialisation par ses colocataires de l'Ouest. Un Grand reportage de Nathalie Versieux qui s'entretient avec Jacques Allix.
C dans l'air du 3 octobre 2025 - Poutine contre la « militarisation de l'Europe »« J'observe la militarisation de l'Europe et promets une réponse aux menaces ». Cette déclaration hier de Vladimir Poutine intervient au moment où les pays européens multiplient les investissements militaires. Les Vingt-Sept cherchent à se protéger après les intrusions de drones attribuées à la Russie. Hier encore, un survol de drones dans le ciel allemand a conduit à la suspension de l'aéroport de Munich durant la nuit.Le ton pris hier par Poutine se voulait belliqueux. Le président russe accuse l'Europe de mener « une escalade permanente » du conflit russo-ukrainien. Il s'en est notamment pris à la France après l'interception d'un pétrolier russe au large de Saint-Nazaire, « c'est de la piraterie », a-t-il déclaré. Le ton était plus clément à l'égard des États-Unis, même s'il a estimé que l'envoi de missiles longue portée américains Tomahawk à Kiev serait une « nouvelle escalade » entre Moscou et Washington.Pendant ce temps, côté américain, Donald Trump continue de se rêver en faiseur de paix, et d'obtenir le Prix Nobel. C dans l'air a rencontré John Bolton, son ancien conseiller, à présent son son opposant. Il critique la politique étrangère de Trump, et estime que celui-ci se fait mener en bateau par Poutine. Il pointe aussi la dérive dictotariale du milliardaire. Trump, lui, a fait comprendre jeudi dernier qu'il fallait embrasser son idéologie ou prendre la porte. Lors d'un rassemblement réunissant les haut gradés de l'armée américaine, le locataire de la Maison balnche a souligné que les Etats-Unis sont sujets à « une invasion de l'intérieur » qu'il s'agit de stopper. Dans son viseur : les immigrés sans papiers, la presse ou encore ses opposants. De son côté, Pete Hegseth, le chef du Pentagone, a assuré que le choix des militaires déployés pour combattre répondrait désormais "au plus haut standard masculin".Alors, faut-il prendre au sérieux les menaces de Poutine ? Quelle est l'analyse de John Bolton sur la politique de Trump ? Qui sont ces « ennemis de l'intérieur » pointés du doigt par le président américain ?LES EXPERTS :- Anthony Bellanger - Éditorialiste à Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- Marie Jégo - Journaliste au Monde, ancienne correspondante en Russie- Nicole Bacharan - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France- Michel Goya - Colonel, expert en stratégie militaire
durée : 00:37:05 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - De Moscou à Bruxelles, la mer Baltique apparaît de façon croissante comme un espace stratégique. Longtemps géré par des discussions entre ses États riverains, cet espace est aujourd'hui le théâtre des tensions entre la Russie et l'Europe. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Philippe Perchoc Chef de l'antenne IRSEM Europe à Bruxelles et chercheur spécialisé sur la sécurité baltique et les questions européennes; Céline Bayou Chargée de cours à l'INALCO, chercheure associée au CREE (Centre de recherches Europes-Eurasie) de l'INALCO et rédactrice en chef de la revue en ligne Regard sur l'Est.
durée : 00:57:52 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque vendredi, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Vladimir Vassak qui rentre de Serbie, puis table-ronde sur la mer Baltique où se déroule une confrontation entre l'Europe et la Russie. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Vladimir Vasak Journaliste pour Arte Reportage; Céline Bayou Chargée de cours à l'INALCO, chercheure associée au CREE (Centre de recherches Europes-Eurasie) de l'INALCO et rédactrice en chef de la revue en ligne Regard sur l'Est.; Philippe Perchoc Chef de l'antenne IRSEM Europe à Bruxelles et chercheur spécialisé sur la sécurité baltique et les questions européennes
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la paralysie budgétaire aux États-Unis, la présence d'un pétrolier russe au large des côtes françaises et la création d'une nouvelle force antigang pour Haïti. Joseph Kabila condamné à la peine capitale, quelles sont les preuves ? L'ancien président de la RDC a été condamné à la peine de mort notamment pour «crimes de guerre», «trahison» et «organisation d'un mouvement insurrectionnel» pour ses liens présumés avec le mouvement politico-militaire AFC/M23. Sur quelles preuves la Haute cour militaire s'est-elle basée ? Comment expliquer un tel verdict alors que les parties civiles demandaient la réclusion à perpétuité ? Avec Paulina Zidi, correspondante permanente de RFI à Kinshasa. États-Unis : le pays paralysé par un nouveau «shutdown» Faute d'accord entre les Républicains et les Démocrates sur le vote du budget fédéral, les États-Unis sont entrés en situation de «shutdown» depuis mercredi (1er octobre 2025). Qu'est-ce que cela signifie ? Quelles en sont les conséquences ? Pourquoi la première puissance mondiale se retrouve, une nouvelle fois, sans budget fédéral ? Avec Stéphane Geneste, journaliste au service économie de RFI, présente la chronique «Aujourd'hui l'économie». France : que faisait le navire fantôme russe au large de Saint-Nazaire ? Suspecté d'avoir servi de plateforme de lancement aux drones qui ont survolé le Danemark, un pétrolier de la flotte fantôme russe a été intercepté au large de Saint-Nazaire, dans le sud de la Bretagne. Comment expliquer la présence de ce navire si près des côtes françaises ? Quels éléments permettent de penser qu'il est impliqué dans les récents survols de drones au Danemark ? Avec Cyrille Bret, géopoliticien, maître de conférences à Sciences Po Paris, chercheur associé spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale à l'Institut Jacques Delors. Haïti : la nouvelle force antigang sera-t-elle plus offensive ? La mission multinationale d'appui à la sécurité en Haïti, menée par le Kenya, va céder la place à une nouvelle force chargée de lutter contre les gangs. Approuvée par le Conseil de sécurité de l'ONU, cette nouvelle mission sera-t-elle si différente de l'ancienne ? De quels moyens disposera-t-elle ? Avec Jean-Marie Theodat, directeur du département de Géographie à l'Université Panthéon-Sorbonne.
durée : 00:03:06 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Après avoir subi des intrusions de drones non-identifiés, le Danemark accueille deux jours de Sommets européens, centrés sur la menace russe. La première ministre danoise dénonce la « guerre hybride » menée par la Russie : « ce n'est que le début », dit-elle. Mais attention à la sur-réaction. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 2 octobre 2025 - L'Europe au défi de la flotte fantôme russeLe pétrolier "Pushpa" a dû mettre son périple en pause. Parti de Russie le 18 septembre à destination de l'Inde, le navire de 244 mètres de long a été arraisonné lundi au large de Saint-Nazaire par des militaires français qui le soupçonnent d'appartenir à la flotte de navires fantômes russes. Hier, le parquet de Brest a annoncé l'ouverture d'une enquête pour "défaut de justification de la nationalité du navire" et "refus d'obtempérer" et le placement en garde à vue de deux membres de l'équipage. "Il y a eu des fautes très importantes qui ont été commises par cet équipage qui justifient que la procédure soit judiciarisée aujourd'hui", a déclaré Emmanuel Macron, en marge d'un sommet international à Copenhague. Les dirigeants européens y sont notamment réunis pour imaginer de nouvelles ripostes contre la Russie qui viole régulièrement leurs espaces aériens, comme la Pologne, la Roumanie ou l'Estonie. Le président français a cependant appelé à rester prudent sur les informations de la presse danoise, selon laquelle le Pushpa aurait pu servir de plateforme de lancement à des drones ayant perturbé le trafic aérien du pays fin septembre. Une chose est sûre, le navire, qui a changé à treize reprises de pavillons en trois ans selon Le Monde, a déjà été immobilisé à plusieurs reprises pour des activités "illégales". Et il n'est pas un cas isolé. Depuis 2023, plusieurs navires en provenance de Russie ont été impliqués dans des ruptures de câbles électriques ou l'endommagement de gazoducs.Pendant que les dirigeants européens se réunissent pour élaborer de nouvelles stratégies contre la Russie, l'armée de l'Otan se prépare au scénario du pire. Mi-mai, 3 000 militaires et de nombreux véhicules terrestres et aériens issus de neuf pays européens ont simulé un débarquement sur les côtes française dans le cadre d'exercices militaires baptisés Polaris 25. Selon le contre-amiral français Jean-Michel Martinet, il s'agit "de préparer la Marine nationale à être immédiatement engagée dans du combat de haute intensité avec tout ce que cela suppose dans le contexte actuel". Une équipe de C dans l'air a pu y participer.Si les responsables militaires ne nomment pas directement le responsable de leurs craintes, c'est bien la Russie qui est visée. Pour financer sa guerre en Ukraine, Vladimir Poutine a annoncé fin septembre une hausse de la TVA de 20 à 22% à partir de 2026, soit le niveau le plus élevé depuis le début de l'invasion russe. Selon les économistes, le Kremlin peine à assumer le coût du conflit. Alourdi par les dépenses militaires et les sanctions visant ses exportations de pétrole, le déficit russe atteint désormais 43 milliards d'euros, soit trois fois plus qu'en 2024. Les frappes ukrainiennes sur les raffineries russes n'ont rien arrangé à la situation tandis que les pays du G7 ont annoncé hier vouloir "accentuer la pression sur les exportations pétrolières de la Russie". Signe que l'économie russe ralentit, le gouvernement a annoncé abaisser ses prévisions de croissance pour 2026 de 2 à 1,3%.Que sait-on du pétrolier arraisonné au large des côtes françaises et suspecté d'appartenir à la flotte fantôme russe ? Comment les forces de l'Otan se préparent à l'hypothèse d'une guerre de haute intensité ? Les sanctions internationales contre l'économie russe peuvent-elles faire basculer le cours de la guerre en Ukraine ?LES EXPERTS :- Alain BAUER - Professeur de criminologie au CNAM responsable du Pôle Sécurité Défense Renseignement- Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale à l'Université catholique de Lille- Marie JEGO - Journaliste - Le Monde, ancienne correspondante à Moscou- Alexandra SAVIANA - Journaliste - L'Express, auteur de Les scénarios noirs de l'armée française
durée : 00:03:06 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Après avoir subi des intrusions de drones non-identifiés, le Danemark accueille deux jours de Sommets européens, centrés sur la menace russe. La première ministre danoise dénonce la « guerre hybride » menée par la Russie : « ce n'est que le début », dit-elle. Mais attention à la sur-réaction. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 03:59:16 - La Grande matinale - par : Nicolas Demorand, Sonia Devillers, Benjamin Duhamel, Anne-Laure Sugier - Ce matin sur France Inter, à 7h50, l'ambassadeur de France en Russie de 2020 à 2024 Pierre Lévy. À 8h20, Philip Roth et l'Amérique Et à 9h20, Jérôme Clément Wilz, réalisateur, pour son film documentaire “ceci est mon corps” diffusé le 6 octobre sur Arte. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:09:03 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - Pierre Lévy, ambassadeur de France en Russie de 2020 à 2024 et auteur de “Au cœur de la Russie en guerre” (Tallandier), est notre invité, alors que le régime de Vladimir Poutine teste de plus en plus les limites de la défense commune européenne. - invités : Pierre Lévy - Pierre Levy : ancien ambassadeur de France à Moscou (2020-2024) Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Poutine a déclaré dans un message télévisé que Moscou a le droit de frapper les cibles militaires des pays ayant fourni des armes à l'Ukraine pour attaquer la Russie. Trdauction:Putin has said in a televised message that Moscow has the right to strike the military targets of countries who have supplied weapons to Ukraine to hit Russia. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:15:46 - Journal de 8 h - Un sommet européen dominé par les questions de défense se déroule ce mercredi à Copenhague (Danemark), avec au menu cette idée d'un mur anti-drones, alors que tous les regards sont tournés vers la Russie après des accusations d'incursion.
En Russie, le début de semaine a été marqué par la présentation du budget 2026 devant le Parlement. Un budget largement tourné vers l'effort de guerre : un tiers des dépenses sera consacré à la défense. La période est délicate en Russie où le ministre de l'Économie a récemment reconnu que son pays était «au bord de la récession». Après 30 mois de guerre et 19 paquets de sanctions européennes, quelle est la résilience de l'économie russe ? Quelles conséquences la situation actuelle peut-elle avoir sur l'avenir du conflit en Ukraine ? Avec : - Julien Vercueil, économiste, professeur des Universités en Économie et vice-président de l'Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO), spécialiste de la Russie, des économies post-soviétiques et analyste des BRICS. Auteur du livre économie politique de la Russie 1918-2018 - Claude Blanchemaison, ancien ambassadeur de France en Russie, ancien directeur des départements d'Europe et d'Asie au Quai d'Orsay. Auteur du livre Fragments d'un parcours aventureux, aux éditions Temporis.
durée : 00:20:22 - Journal de 18h - La menace russe est au cœur du sommet européen de Copenhague aujourd'hui et demain dans la capitale danoise. Les dirigeants de l'UE veulent muscler leur riposte à la "guerre hybride" menée par la Russie. Moscou est soupçonné d'être derrière les vols de drones anonymes dans le ciel européen.
durée : 00:15:46 - Journal de 8 h - Un sommet européen dominé par les questions de défense se déroule ce mercredi à Copenhague (Danemark), avec au menu cette idée d'un mur anti-drones, alors que tous les regards sont tournés vers la Russie après des accusations d'incursion.
Poutine a déclaré dans un message télévisé que Moscou a le droit de frapper les cibles militaires des pays ayant fourni des armes à l'Ukraine pour attaquer la Russie. Trdauction:Putin has said in a televised message that Moscow has the right to strike the military targets of countries who have supplied weapons to Ukraine to hit Russia. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Ce mercredi 1er octobre, le sommet européen de Copenhague, qui réunit actuellement les dirigeants des pays occidentaux dans le cadre d'une démarche commune de défense et de riposte face à la Russie et d'élargissement de l'Union européenne, a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:19:57 - Journal de 12h30 - La Première ministre danoise a plaidé ce matin pour une "réponse très forte" de l'Europe face à la "guerre hybride" menée par la Russie, au coup d'envoi d'un sommet de chefs d'Etat et de gouvernement à Copenhague.
durée : 00:15:46 - Journal de 8 h - Un sommet européen dominé par les questions de défense se déroule ce mercredi à Copenhague (Danemark), avec au menu cette idée d'un mur anti-drones, alors que tous les regards sont tournés vers la Russie après des accusations d'incursion.
durée : 00:19:57 - Journal de 12h30 - La Première ministre danoise a plaidé ce matin pour une "réponse très forte" de l'Europe face à la "guerre hybride" menée par la Russie, au coup d'envoi d'un sommet de chefs d'Etat et de gouvernement à Copenhague.
durée : 00:04:23 - Le Reportage de la rédaction - Depuis cette rentrée, le pouvoir russe intensifie sa répression sur la sphère numérique. Nouvelles lois répressives, nouvelle messagerie nationale Max, surveillance des migrants via une application. Le Kremlin tente d'imposer un Internet souverain et ultra-contrôlé.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les drones suspects en Allemagne, MSF forcé de quitter Gaza-ville et le rétablissement des sanctions occidentales contre l'Iran. Stérilisation forcée : le Danemark reconnaît ses torts aux femmes groenlandaises Plus d'un demi-siècle après la mise en place de programmes de contraception et de stérilisation forcée visant des milliers de jeunes femmes groenlandaises, la Première ministre danoise a présenté des excuses officielles au nom de son pays. Pourquoi le Danemark avait-il imposé la contraception et la stérilisation aux femmes groenlandaises ? Quelles suites les victimes attendent-elles après ces excuses officielles ? Avec Ottilia Ferey, correspondante de RFI à Stockholm. Allemagne : Berlin riposte face à la menace des drones Alors que plusieurs drones non identifiés ont survolé l'espace aérien de pays européens, l'Allemagne a annoncé autoriser à abattre les drones suspects. Pourquoi les autorités allemandes étaient jusque-là réticentes à prendre une telle décision ? Berlin suspecte Moscou, mais y a-t-il des preuves ? Avec Pascal Thibaut, correspondant de RFI à Berlin. Gaza : MSF contraint de quitter la ville L'ONG Médecins sans frontières a annoncé devoir quitter Gaza-ville à cause de la nouvelle offensive israélienne. Quelles sont les conséquences immédiates de cette décision pour les patients qui étaient suivis par l'ONG ? Les opérations continuent cependant dans d'autres secteurs du territoire palestinien. Comment les équipes de MSF parviennent à continuer de travailler malgré l'intensité des combats ? Avec Jacob Granger, coordinateur d'urgence de Médecins sans frontières à Gaza. Iran : rétablissement des sanctions européennes Les Nations unies ont rétabli les sanctions, «faute de gages suffisants» sur son programme nucléaire. Comment Téhéran peut-il poursuivre le développement de son programme nucléaire malgré les sanctions ? Les Européens restent ouverts à des négociations, mais sous quelles conditions ? Avec Kevan Gafaïti, enseignant à Sciences Po Paris.
Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, est sur le point de décréter «l'état de commotion extérieure», c'est-à-dire l'état d'urgence. Le décret entrera en vigueur si le pays «est agressé militairement par l'empire américain», a-t-il expliqué ce lundi, à la télévision publique. Les États-Unis ont déployé des navires de guerre dans les Caraïbes et ont bombardé plusieurs bateaux qui transportaient de la drogue, selon eux. Si l'état d'urgence est instauré, Nicolas Maduro aurait des pouvoirs spéciaux, ce qui suscite des inquiétudes au Venezuela. El Nacional se fait l'écho des craintes de juristes et de membres de l'opposition pour qui ce décret «pourrait servir à restreindre les libertés publiques, augmenter la censure des médias et justifier un rôle plus important de l'armée dans la vie politique et sociale.» L'état d'urgence d'une durée de 90 jours renouvelables, permet de concentrer le pouvoir entre les mains de l'exécutif et «de limiter les contre-pouvoirs institutionnels au nom de la protection de la nation», explique le journal. Au-delà des conséquences concrètes dans la vie des Vénézuéliens, ce décret aura des implications géopolitiques, analyse El Nacional. Il pourrait «augmenter les tensions avec Washington et aboutir à de nouvelles sanctions» tandis qu'il «renforcerait l'alliance entre Caracas et (...) la Russie, la Chine et l'Iran.» Les États-Unis veulent faire tomber Nicolas Maduro C'est qu'affirme le New York Times qui cite des responsables américains. Une «stratégie plus agressive», une «vaste campagne qui intensifierait la pression militaire pour tenter de le forcer à partir» est en préparation, affirment ces sources anonymes. «L'armée américaine a planifié des opérations militaires potentielles ciblant des suspects de trafic de drogue au Venezuela même, comme prochaine phase, bien que la Maison Blanche n'ait pas encore approuvé une telle mesure», détaille le New York Times. Le journal fait également état de discussions entre l'administration Trump et «deux figures majeures de l'opposition» qui préparent l'après-Maduro. Aux manettes de cette offensive, il y a Marco Rubio, soutenu notamment par le directeur de la CIA. Marco Rubio, fils d'immigrés cubains, «estime que le départ de Nicolas Maduro affaiblirait le gouvernement communiste de Cuba, l'un des proches alliés du Venezuela». L'ancien sénateur de Floride lorgne aussi sur les électeurs d'origine cubaine et vénézuélienne dans cet État. Un mort dans des manifestations en Équateur En Équateur aussi, l'état d'urgence a été décrété dans 8 provinces alors que les manifestations contre la hausse du prix du diesel se poursuivent. Des manifestations qui se déroulent dans la violence. Un artisan de 46 ans, père de deux enfants, est mort dimanche (28 septembre 2025). Il a été tué par balles par l'armée à Cotacachi, à 100 km au nord de Quito, selon l'Alliance pour les droits de l'homme en Équateur. Les négociations avec le gouvernement sont au point mort. Chacun campe sur ses positions, relève La Hora. «Comment peut-on dialoguer après un assassinat ?», interroge le leader de la Confédération des nationalités indigènes d'Équateur qui voit dans le mort de cet homme de 46 ans un «crime d'État» et menace de mener un mouvement aussi dur qu'en 2019 et 2022. À l'époque, les gouvernements avaient dû faire marche arrière. Pas question, répète Daniel Noboa. «Je préfère mourir plutôt que de céder», a affirmé le président équatorien, souligne le journal. Hier, alors que le véhicule dans lequel il se rendait à Imbabura a été bloqué par des manifestants, il a redit qu'il ne lâcherait pas. Comment sortir de la crise ? Pour La Hora, la seule solution, c'est l'intervention d'une tierce partie neutre. Dans les colonnes du journal, l'avocate Mildred Molineros, spécialiste de la gestion des conflits, estime que cela pourrait être un organisme international ou l'Église catholique. Et que cette tierce personne doit offrir ses services et ne pas attendre d'être sollicitée par le gouvernement ou les représentants des populations indigènes. À partir du moment où il y a déjà eu un mort, il y a urgence, insiste l'avocate. Un avis partagé par Ruth Hidalgo, responsable de l'ONG Corporation et Participation citoyenne qui explique à La Hora que le risque désormais, c'est «une escalade dans le conflit avec une radicalisation des [manifestants], un ralentissement de l'économie, une pénurie d'aliments et l'augmentation progressive du recours à la force» de la part des policiers et des militaires. Haïti : un nouvelle force anti-gangs ? Le Conseil de sécurité de l'ONU doit se prononcer ce mardi soir (30 septembre 2025) sur la transformation de la mission multinationale de soutien à la police haïtienne en une force anti-gangs plus robuste pour tenter de brider la violence qui ravage le pays. En Haïti, cela suscite du scepticisme dans certains secteurs de la population, explique Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. «Certains pensent qu'il faut surtout renforcer les forces de l'ordre en leur donnant davantage d'effectifs et d'équipements. C'est la seule manière que le résultat soit durable», détaille le journaliste. Des inondations dans la moitié du pays «Depuis jeudi, de fortes pluies provoquent des inondations dans 30 communes d'Haïti», raconte Gotson Pierre. «Plus de la moitié du pays est touchée». À certains endroits, la situation est catastrophique. Une personne est morte. Les habitants appellent au secours le gouvernement, mais «l'acheminement de l'aide va être compliqué car de nombreuses routes sont coupées par les gangs», explique le directeur d'Alterpresse. Rencontre avec Atxu Marimã, membre du peuple Hi-Merimã Atxu Marima appartient au peuple amérindien Hi-Marimã et lui qui enfant, vivait isolé dans la forêt amazonienne, raconte son histoire dans un livre : comment il a dû s'adapter à la civilisation et comment depuis, il lutte pour la protection des peuples autochtones du Brésil qui continuent de vivre volontairement loin de tout et de tous, sans aucun contact avec le monde extérieur. Achim Lippold l'a rencontré lors de son passage à Paris. Le journal de la 1ère L'avenir de la compagnie aérienne de Saint Martin, Air Antilles, en suspens. Sa licence d'exploitation s'arrête ce lundi et il lui manque 10 millions d'euros.
L'appétit immobilier de la famille Trump se tourne désormais vers les Balkans et l'Albanie. La fille aînée du président, Ivanka et son mari Jared Kushner ont le projet d'investir plus d'un milliard d'euros pour transformer l'île militarisée de Sazan en lieu branché pour les ultrariches. Dans ce pays où l'industrie touristique connait une croissance exponentielle, les autorités déroulent le tapis rouge. Mais c'est sans compter les écologistes et la population locale qui voient d'un mauvais œil cette mainmise sur leur territoire, sans concertation. Reportage dans la région de Vlora, dans le sud du pays signé Louis Seiller. L'Histoire de la réunification allemande, vue par les jeunes L'Allemagne fêtera, en cette fin de semaine, les 35 ans de la réunification du pays. Un moment historique qui signe la fin de la guerre froide, et pour le pays une division douloureuse de quatre décennies entre d'une part la République Fédérale à l'Ouest et la RDA, socialiste à l'Est. Beaucoup d'Allemands ont encore le souvenir du mur qui coupait en deux Berlin. Mais, malgré l'enseignement de l'histoire, cette mémoire tend à s'estomper auprès des jeunes, qui véhiculent aussi un certain nombre de clichés. C'est le reportage à Berlin de Delphine Nerbollier. Des espions russes à l'université L'Histoire, avec un grand H c'est bien sûr aussi le lieu de l'influence politique. Dans les anciennes républiques soviétiques, qu'il s'agisse de l'Estonie ou de l'Ukraine on ne s'y trompe pas, la main de Moscou et des services de renseignement cherchent encore à peser sur la recherche. À tel point que nombre d'universitaires répliquent en dénonçant un comportement post-colonial. Les explications de notre correspondante à Kiev Emmanuelle Chaze. L'Histoire ukrainienne à travers un roman De la grande famine en Ukraine sous Staline, de la Seconde Guerre mondiale, du pacte entre la Russie et l'Allemagne, du massacre des juifs en Ukraine à Babi Yar, des déportations en Sibérie, on parle de tout cela dans le roman de Yaroslav Trofimov «Ce pays qui n'aimait pas l'amour», publié aux éditions Istya et Compagnie. L'auteur, correspondant diplomatique du Wall Street Journal, y raconte l'histoire tumultueuse de sa grand-mère aux prises avec les grands bouleversements de son pays au XXème siècle.
La Révolution d'Octobre de 1917, est un événement déterminant du 20e siècle. Quelle en est l'histoire ? Aujourd'hui, on s'attaque aux évènements entourant février 1917. Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Script: Vladimir Bliznetsov https://www.facebook.com/vip.petrarka et @Kekpeck @polukotnedokot - Instagram Révision: Carl Pépin https://carlpepin.com/ 00:00:00 - Introduction 00:00:36 - Contexte historique 00:01:07 - Les deux révolutions de 1917 00:01:56 - Le rôle de Nicolas II 00:02:42 - L'impact de la Première Guerre mondiale 00:03:14 - L'Empire russe avant la révolution 00:04:05 - Nicolas II et l'impératrice Alexandra Fedorovna 00:06:54 - L'année 1915 : un tournant 00:07:15 - La Douma d'État et la politique 00:11:51 - L'influence de Grégory Rasputin 00:12:40 - La prise de décisions politiques 00:15:06 - Soupçons d'espionnage et rumeurs d'adultère 00:16:11 - L'instabilité du gouvernement et l'étrangeté de Protopopov 00:17:57 - L'influence croissante de Raspoutine et l'isolement du couple impérial 00:18:15 - Le complot pour assassiner Raspoutine 00:18:46 - La mort de Raspoutine et ses conséquences 00:20:00 - La crise alimentaire et l'agitation sociale 00:22:10 - L'indifférence de Nicolas II et l'émeute de Petrograd 00:26:42 - La formation du double pouvoir 00:28:12 - L'effondrement du gouvernement impérial 00:28:51 - L'insurrection de Petrograd et l'aveuglement de Nicolas II 00:30:13 - Le blocage de Nicolas II à Pskov 00:31:02 - La formation du gouvernement provisoire 00:32:19 - L'influence du soviet des ouvriers de Pétrograde 00:35:16 - L'abdication de Nicolas II 00:36:22 - L'abdication de Michael 00:38:16 - L'arrestation de Nicolas II et sa famille 00:38:45 - Les nouvelles réformes du gouvernement provisoire 00:39:30 - L'arrivée de Vladimir Lénine 00:39:43 - Conclusion Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. S ources et pour aller plus loin: Eric Hobsbawm, L'Âge des extrêmes, Complexe, 2003. Mikhail Zygar, The Empire Must Die: Russia's Revolutionary Collapse, 1900-1917, 2017. https://www.nlobooks.ru/books/chto_takoe_rossiya/27237/ Anna Geifman, Revolutionary Terrorism in Russia 1894-1917, Princeton University Press, 2020. René Girault et Marc Ferro, De la Russie à l'U.R.S.S : l'histoire de la Russie de 1850 à nos jours, Nathan, 1989. Marc Ferro, La Révolution de 1917, Albin Michel, 1997. Jean-Jacques Marie, La Guerre civile russe. 1917-1922. Tallandier, 2016. Nicolas Werth, 1917: la Russie en révolution, Paris, Gallimard, 1997. Alexandre Sumpf, 1917, la Russie et les Russes en révolutions, Perrin, 2017. Boterbloem, K. (2020) Russia as Empire: Past and Present. London: Reaktion Books. Malia, M. (1995). Soviet Tragedy: A History of Socialism in Russia 1917-1991. New York: Free Press. Suny, R. G. (Ed.). (2006). The Cambridge History of Russia: Volume 3, The Twentieth Century. Cambridge: Cambridge University Press. Sheila Fitzpatrick, The Russian Revolution, Oxford University Press, 1982. Daniels, R. V. (1972). The Russian Revolution. Englewood Cliffs: Prentice-Hall. Kowalski, R. I. (1997). The Russian Revolution, 1917–1921 London: Routledge. Malone, R. (2004). Analysing the Russian Revolution. Cambridge: Cambridge University Press. Rabinowich, A. (2017). The Bolsheviks Come to Power: The Revolution of 1917 in Petrograd. Chicago: Haymarket Books. Laura Engelstein, Russia in Flames: War, Revolution, Civil War, 1914–1921, Oxford University Press, 2017. Rex A. Wade, The Russian Revolution, 1917, Cambridge University Press, 2000. Steve Smith, Russia in Revolution: An Empire in Crisis, 1890 to 1928, Oxford University Press, 2016. Orlando Figes, A People's Tragedy: The Russian Revolution 1891–1924, London, Jonathan Cape, 1996. Catherine Merridale, Lenin on the Train, Metropolitan Books, 2016. https://en.wikipedia.org/wiki/Russian_Revolution https://en.wikipedia.org/wiki/Bibliography_of_the_Russian_Revolution_and_Civil_War https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_russe Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #russie #russia #romanov #tsar #raspoutin
L'appétit immobilier de la famille Trump se tourne désormais vers les Balkans et l'Albanie. La fille aînée du président, Ivanka et son mari Jared Kushner ont le projet d'investir plus d'un milliard d'euros pour transformer l'île militarisée de Sazan en lieu branché pour les ultrariches. Dans ce pays où l'industrie touristique connait une croissance exponentielle, les autorités déroulent le tapis rouge. Mais c'est sans compter les écologistes et la population locale qui voient d'un mauvais œil cette mainmise sur leur territoire, sans concertation. Reportage dans la région de Vlora, dans le sud du pays signé Louis Seiller. L'Histoire de la réunification allemande, vue par les jeunes L'Allemagne fêtera, en cette fin de semaine, les 35 ans de la réunification du pays. Un moment historique qui signe la fin de la guerre froide, et pour le pays une division douloureuse de quatre décennies entre d'une part la République Fédérale à l'Ouest et la RDA, socialiste à l'Est. Beaucoup d'Allemands ont encore le souvenir du mur qui coupait en deux Berlin. Mais, malgré l'enseignement de l'histoire, cette mémoire tend à s'estomper auprès des jeunes, qui véhiculent aussi un certain nombre de clichés. C'est le reportage à Berlin de Delphine Nerbollier. Des espions russes à l'université L'Histoire, avec un grand H c'est bien sûr aussi le lieu de l'influence politique. Dans les anciennes républiques soviétiques, qu'il s'agisse de l'Estonie ou de l'Ukraine on ne s'y trompe pas, la main de Moscou et des services de renseignement cherchent encore à peser sur la recherche. À tel point que nombre d'universitaires répliquent en dénonçant un comportement post-colonial. Les explications de notre correspondante à Kiev Emmanuelle Chaze. L'Histoire ukrainienne à travers un roman De la grande famine en Ukraine sous Staline, de la Seconde Guerre mondiale, du pacte entre la Russie et l'Allemagne, du massacre des juifs en Ukraine à Babi Yar, des déportations en Sibérie, on parle de tout cela dans le roman de Yaroslav Trofimov «Ce pays qui n'aimait pas l'amour», publié aux éditions Istya et Compagnie. L'auteur, correspondant diplomatique du Wall Street Journal, y raconte l'histoire tumultueuse de sa grand-mère aux prises avec les grands bouleversements de son pays au XXème siècle.
Les services de renseignement occidentaux et sud-coréens ont commencé à signaler en octobre que la Corée du Nord prévoyait d'envoyer entre 10 000 et 12 000 soldats en Russie pour soutenir sa guerre contre l'Ukraine. Traduction:Western and South Korean intelligence services started to report in October that North Korea was planning to send between 10,000 and 12,000 troops to Russia to support its war against Ukraine. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Le dimanche 28 septembre, une attaque massive de drones et de missiles russes a fait au moins 4 morts à Kiev, dont une fillette de 12 ans. En parallèle de cette offensive, depuis début septembre, des drones, ou des chasseurs russes, violent l'espace aérien européen en survolant différents pays comme le Danemark, la Norvège, la Roumanie, ou encore la Pologne.Comment expliquer ces survols ? Pourquoi parle-t-on autant des drones dans le cadre de la guerre entre la Russie et l'Ukraine ?Réponse dans Code Source aujourd'hui avec Robin Korda, journaliste au service international du Parisien, et Charles de Saint Sauveur, qui dirige ce service.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clara Grouzis, Clara Garnier-Amouroux et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France 24, TF1 et ONU Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plus de trois ans et demi après la percée des chars russes et 11 ans après le début du conflit, Kramatorsk, devenue de fait la capitale du Donbass ukrainien, voit le front se rapprocher. Les premiers combats sont à une quinzaine de km à vol d'oiseau et la ville elle-même est régulièrement bombardée. Partir ou rester ? La question se fait de plus en plus pressante pour de nombreux habitants de la partie du Donbass sous contrôle ukrainien. À mesure que le front se rapproche, et avec lui, les destructions, des centaines de personnes sont obligées de prendre la route de l'exil. La Russie contrôle plus de 70% de la région de Donetsk et la quasi-totalité de celle de Louhansk. Elle cherche à s'emparer de la totalité de ce territoire par la force ou la négociation. Une perspective terriblement redoutée mais espérée aussi par certains, alors que les conditions de vie se dégradent chaque jour un peu plus. «Est de l'Ukraine, lâcher du terrain ou combattre jusqu'au bout ?», un Grand reportage d'Anastasia Becchio et Julien Boileau.
Les services de renseignement occidentaux et sud-coréens ont commencé à signaler en octobre que la Corée du Nord prévoyait d'envoyer entre 10 000 et 12 000 soldats en Russie pour soutenir sa guerre contre l'Ukraine. Traduction:Western and South Korean intelligence services started to report in October that North Korea was planning to send between 10,000 and 12,000 troops to Russia to support its war against Ukraine. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:12:32 - Journal de 7 h - Ce résultat déjoue les ingérences russes et la désinformation massive, le tout au moment où l'Europe s'inquiète de plus en plus de la présence de drones au-dessus de son ciel, ce week-end encore. Des drones que la plupart des dirigeants européens suspectent de provenir de Russie.
Dans cette édition :Le président Emmanuel Macron a publié un message sur X pour dénoncer les attaques et menaces de mort contre les magistrats suite à la condamnation de Nicolas Sarkozy à 5 ans de prison pour association de malfaiteurs.Des dealers marseillais ont été expulsés de leurs logements sociaux dans le cadre de la loi contre le narcotrafic promulguée en juin, permettant au préfet de prononcer l'expulsion de toute personne impliquée dans le trafic de stupéfiants.Le procès en appel de la catastrophe du vol Rio-Paris de 2009 s'ouvre, alors que le constructeur Air France avait été relaxé en première instance.Le Danemark interdit le survol de drones civils sur son territoire à quelques heures d'accueillir un sommet européen, soupçonnant une guerre hybride orchestrée par la Russie.Alors que les maladies cardiovasculaires tuent près de 73 000 femmes chaque année en France, il est important de savoir reconnaître les symptômes spécifiques chez les femmes et d'adopter une hygiène de vie saine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre Sébastien Lecornu s'apprête à former son gouvernement dans les jours à venir, après trois semaines de tractations en coulisses, mais peine à convaincre la gauche et les syndicats qui lui reprochent un manque de gestes concrets.Une nouvelle journée de mobilisation sociale est prévue ce jeudi, malgré le rejet par le Premier ministre de la suppression de la réforme des retraites, ce qui risque d'agacer une partie de la population et d'impacter les services publics et les commerces.Le président Emmanuel Macron revient aux affaires nationales après une semaine de séquences internationales, et prend la défense des magistrats menacés suite à la condamnation de l'ancien président Nicolas Sarkozy.Des incursions de drones au Danemark, pays qui soutient massivement l'Ukraine, soulèvent des inquiétudes quant à une éventuelle déstabilisation par la Russie.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la Russie aurait déjà perdu la guerre contre l'Ukraine, la présidente du tribunal dans l'affaire de Nicolas Sarkozy aurait du se déporter et une émission russe à partir d'images de synthèse pour ridiculiser les chefs d'État. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après des semaines de tension, en raison de la pression de l'ingérence russe dans la campagne pour les législatives, la Moldavie a finalement porté son choix sur le parti pro européen. Le PAS le parti de la présidente Maïa Sandu a remporté la majorité absolue, loin devant le bloc patriotique, pro Moscou qui n'a comptabilisé que 24% des voix. Le petit pays, ancienne République soviétique, mais désormais candidat l'Union européenne, a clairement affirmé son choix politique. En dépit des difficultés. Car le grande frère a toujours beaucoup pesé notamment sur son approvisionnement énergétique qui a été un des principaux sujets de campagne. Depuis janvier 2025, le pays ne dépend plus du gaz russe pour son électricité. L'alternative européenne coûte plus cher... d'où le choix de se tourner vers les énergies vertes qui devraient représenter 30% de la consommation d'électricité en 2030. C'est le reportage à Chisinau de Maria Gerth Niculescu. La chronique de The Conversation Le soft power russe, et sa capacité à influencer le monde également via la culture populaire et la chanson, l'émergence d'un nouveau nationalisme anglais et plus seulement britannique... deux articles qui sont à retrouver cette semaine sur le site de The Conversation France. Un site qui publie les meilleures analyses d'universitaires et avec lequel nous sommes partenaires. Les explications de Gregory Rayko, le chef du service international. Le nouveau cri de ralliement de la jeunesse anti-Orban Les élections en Hongrie auront lieu dans plus de six mois ....Et déjà, apparaissent quelques failles dans le système Viktor Orban, qui est à la tête du gouvernement depuis 15 ans sans interruption. Corruption de son entourage politique et familial, stagnation économique et inflation, non respect de l'État de droit. Les motifs de critique ne manquent pas et contribuent à l'envolée dans les sondages de son principal opposant, Peter Magyar. Mais la contestation prend aussi d'autres tournures. Les jeunes généralement peu mobilisés, commencent à hausser la voix. Dans les concerts, un slogan fait son apparition, Salaud de Fidesz du nom du parti du Premier ministre Viktor Orban. Un cri de ralliement normalement scandé lors des manifestations d'opposition, mais qui fédère désormais au-delà. Reportage à Budapest signé Florence Labruyère. À lire aussiHongrie: «De l'air!», des milliers de manifestants exigent la fin des campagnes de propagande d'Orban Les secrets d'une super centenaire L'Espagne est, depuis des années, dans le top trois des pays européens avec la plus longue espérance de vie. Mais c'est une femme ancienne doyenne de l'humanité qui va peut-être nous livrer les clés d'une vieillesse en bonne santé. La Catalane Maria Branyas est décédée à l'âge de 117 ans. Et des scientifiques ont pu, avec son accord, étudier de près son extrême longévité... Les secrets de cette super centenaire à la loupe de la science... on écoute notre correspondante, à Barcelone, Elise Gazengel. À écouter aussiVieillissement: comment aider un parent âgé à préserver sa santé?
Entretien mené par Nathalie Crom Kolkhoze est le roman vrai d'une famille qui couvre plus d'un siècle d'histoire, russe et française, jusqu'à la guerre en Ukraine, traversant la révolution bolchévique, l'exil en Europe des Russes blancs, deux guerres mondiales, l'effondrement du bloc soviétique, la Russie impériale de Poutine et ses guerres, tout en pénétrant dans une saga familiale à la fois follement romanesque et tragique. Ce grand récit familial et historique, qui mêle souvenirs poignants, rebondissements, secrets de famille, anecdotes inattendues et géopolitique, est aussi un texte intime sur la vie et la mort des siens, et sur l'amour filial. À lire – Emmanuel Carrère, Kolkhoze, P.O.L., 2025
durée : 00:10:01 - Journal de 9h - Poursuivre sur la voie de l'adhésion à l'Union européenne ou se rapprocher de la Russie ? En élisant leurs députés aujourd'hui les moldaves décident de leur avenir.
durée : 00:14:59 - Journal de 12h30 - Alors que la diplomatie est dans un temps mort, la Russie a de nouveau frappé l'Ukraine cette nuit, avec cette fois plus de 600 drones bombardiers et 40 missiles. La capitale ukrainienne et ses infrastructures en ont particulièrement souffert.
Dans cette édition :Nicolas Sarkozy contre-attaque après sa condamnation à 5 ans de prison, dénonçant une violation de l'état de droit et une volonté d'humiliation.Les tensions entre la Russie et les pays de l'OTAN s'intensifient avec de multiples incursions de drones et d'avions de combat russes dans l'espace aérien européen.La cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Nantes renaît de ses cendres 5 ans après un incendie criminel, avec la réouverture au public prévue aujourd'hui.La hausse des cas de Covid se poursuit en France, avec l'apparition d'un nouveau variant surnommé "Frankenstein" qui s'avère particulièrement contagieux.Un homme de 20 ans d'origine afghane a été placé en détention provisoire après le viol et la mort d'une octogénaire à Niort.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En première partie, nous discutons avec Lila Olkinuora pour ce reportage à la frontière entre Finlande et Russie, Itäraja en français : la frontière de l'Est. Elle est fermée depuis presque 2 ans, en toile de fond, bien sûr, la guerre en Ukraine. En novembre 2023, en l'espace de quelques jours, plus de 1 300 demandeurs d'asile ont tenté de quitter la Russie au moment où la Finlande adhérait à l'OTAN. Pour les Finlandais, Moscou utilisait ainsi l'immigration massive comme arme de rétorsion à cette adhésion. Des points de passage sont alors immédiatement verrouillés. En seconde partie d'émission, nous serons en ligne avec Siam Spencer à Marseille pour parler trafic de drogue. Un véritable système très efficace et particulièrement meurtrier. Frontière entre Finlande et Russie: l'ombre de la guerre en Ukraine Itäraja en français: la frontière de l'Est. Nous voici sur cette ligne qui sépare la Finlande et la Russie. Itäraja est fermée depuis novembre 2023. Quand, en l'espace de quelques jours, plus de 1 300 demandeurs d'asile ont tenté de quitter la Russie. L'administration finlandaise, débordée, estime alors que Moscou orchestre délibérément cette pression migratoire en représailles à l'adhésion de la Finlande à l'Otan. La riposte est immédiate : les 1 340 kilomètres de frontière - la plus longue entre la Russie et l'Union européenne - sont verrouillés. Un Grand reportage de Lila Olkinuora qui s'entretient avec Jacques Allix. Drogue à Marseille, anatomie d'un système urbain Nous sommes en France aujourd'hui dans Grand reportage. À Marseille et la région PACA, Provence Alpes Côte d'Azur. Depuis plus de cinquante ans, Marseille est considérée comme la «capitale» française de la drogue. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, des parrains, corses ou italiens, y ont développé le narcotrafic en créant la célèbre «French connection». Avec des liens puissants avec les États-Unis pour le marché de l'héroïne. De nos jours encore, la cité phocéenne est gangrénée par le narcotrafic qui fait beaucoup parler. Comment s'organise ce trafic, quelles en sont les causes et les conséquences ? RFI est allé à la rencontre de : consommateurs, trafiquants, policiers, riverains de points de deal. Un Grand reportage de Siam Spencer qui s'entretient avec Jacques Allix.
La Moldavie s'apprête à vivre une élection législative décisive ce 28 septembre 2025, dont les enjeux dépassent largement le cadre national. La Moldavie, ce sont 2,6 millions d'habitants. Un pays enclavé entre la Roumanie et l'Ukraine. Une ex-république soviétique très majoritairement roumanophone qui ne bénéficie pas de la protection de l'OTAN, et est candidate à l'entrée au sein de l'Union européenne. Le Parti Action et Solidarité (PAS) de la présidente Maia Sandu affronte le Bloc électoral Patriotique (BEP) principale force pro-russe du pays. La campagne a révélé une fragmentation partisane et une montée de la défiance envers les élites. Le pays est en proie à des difficultés économiques et souffre d'une crise énergétique liée à la guerre en Ukraine et d'une vulnérabilité structurelle accentuée par l'émigration. L'enjeu du scrutin dépasse largement les contours de la nation candidate à l'UE, convoitée par le Kremlin et solidaire de l'Ukraine en guerre avec laquelle elle partage 940 km de frontière. L'élection est suivie de très près par la Russie qui a intensifié, ces dernières semaines, ses ingérences via des financements occultes, de la désinformation et des pressions notamment en Transnistrie et en Gagaouzie. Le scrutin représente un test crucial pour la démocratie et l'avenir européen de la Moldavie, véritable laboratoire des rapports UE-Russie dans l'espace post-soviétique. Entre les aspirations européennes de certains, les liens historiques et politiques avec Moscou, et les défis économiques et sociaux quotidiens, ces élections pourraient bien redessiner l'équilibre politique dans la région. Invités : Céline Bayou, chargée de cours à l'INALCO. Chercheure associée au Centre de Recherches Europes-Eurasie de l'Inalco et rédactrice en chef de «Regards sur l'Est» Florent Parmentier, secrétaire général du CEVIPOF de Sciences Po, chercheur associé à HEC. «La Moldavie face à son destin. Les enjeux d'une élection législative décisive», étude IFRI.
durée : 00:03:33 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le président américain a changé de ton vis-à-vis de la Russie après sa rencontre avec Volodymyr Zelensky, se disant même prêt à abattre les avions russes qui pénètrent dans l'espace aérien de l'OTAN. Vrai virage ou message à destination de Poutine ? Même les Ukrainiens sont surpris, et méfiants. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La Banque de Russie abaisse son taux directeur à 17 % pour calmer l'inflation, encore au-dessus de 8 %.Traduction:The Bank of Russia cuts its key rate to 17% in a bid to tame inflation above 8%. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.