POPULARITY
Du 26 novembre au 1er décembre, la ville de Montreuil, à l'est de Paris, accueille la 41ème édition du Salon du livre et de la presse jeunesse, axée cette année sur la thématique de "l'Art de l'autre." Parmi les milliers d'auteurs et d'autrices présents : la romancière afroféministe Laura Nsafou. Dans son travail, l'autrice d'origine martiniquaise et congolaise s'est donné une mission : représenter ceux qui ne le sont que rarement. RFI : Bonjour Laura Nsafou. Vous êtes autrice de livres et albums pour enfants, afroféministe également. Si vous deviez résumer votre travail en quelques mots, qu'est-ce que vous diriez ? Laura Nsafou : (rire) C'est dur ! Mais c'est un travail littéraire qui tente de proposer une vraie diversité en termes de représentation des communautés noires, et qui essaie de montrer une pluralité d'histoires aussi, en rappelant que les personnages noirs peuvent exister dans le rêve aussi, pas que dans certains stéréotypes, et faire rêver. Puisque vous employez le mot de "stéréotype," pour vous, ce n'est pas le stéréotype en tant que tel le problème, c'est bien cela ? Oui, en fait, c'est surtout qu'aujourd'hui, la présence des personnages noirs oscille toujours entre l'invisibilisation pure et simple ou la stéréotypisation. Or, l'existence des stéréotypes et des cases ne définit pas les existences des communautés noires. Ce qu'il faut aujourd'hui, c'est veiller à ce qu'il y ait une richesse d'histoires. Et aussi examiner la façon dont notre imaginaire collectif s'est figé autour de la représentation des personnages noirs. Par l'illustration par exemple, on peut représenter une diversité de carnations, de types de cheveux, ou même d'origines au sein de la diaspora. C'est un peu tous ces écueils-là que j'essaie de décortiquer. Cela fait une dizaine d'années que vous écrivez des livres. Comment en êtes-vous venue à traiter, dès le début de votre carrière d'ailleurs, ces problématiques ? Avant d'être autrice, je suis aussi une lectrice. Une jeune femme noire, d'origine martiniquaise par ma mère et congolaise par mon père, qui a grandi en France et qui ne s'est pas vue en littérature jeunesse. L'exemple que je donne souvent, c'est cette enseignante, quand j'avais huit ans, qui a demandé à ma classe d'aller dans la bibliothèque de l'école et de choisir un livre avec un personnage principal qui nous ressemble. Et moi, je n'en avais pas. Je suis repartie avec un exemplaire de Tom-Tom et Nana, parce qu'il y avait Rémi, le meilleur ami noir personnage secondaire. (rire) Donc, il y avait une expérience propre au fait de ne pas se voir. Et un enfant, quand il voit ça, il se dit « qu'est-ce qui ne va pas avec moi ? » Et donc, l'acte d'écrire est venu avec cette envie de voir des princesses noires, de voir des fées noires, des choses comme ça que je ne voyais pas. Comme un million de papillons noirs, mon premier album, c'était vraiment la volonté de créer un album que je n'avais pas eu. Le fait d'écrire ces ouvrages, c'est donc aussi une sorte de soin pour vous ? Complètement ! Effectivement, il y avait cet enjeu de parler de thèmes assez durs, que ce soit le harcèlement scolaire, les discriminations, ou dans le cas du Chemin de Jada [album paru en 2020, ndlr], la question du colorisme. Donc, ce sont des thématiques dures, mais mon envie venait toujours de les raconter avec de la poésie et avec une fin heureuse, lumineuse, joyeuse. C'est vraiment ça que je trouve aussi intéressant avec le format de l'album jeunesse, parce qu'on ne s'adresse pas seulement aux enfants, on crée un espace de discussion entre adultes et enfants. Mais le fait est qu'en France, dès lors qu'on propose une histoire avec des personnages minorisés, il y a tout de suite cette présomption de non-universalité. On parle beaucoup de littérature universelle, mais on oublie que l'universel se travaille et l'universel se crée ensemble. Et sur cette notion d'universalisme, justement, la question ne se pose jamais quand ce sont des livres qui mettent en scène des enfants blancs. C'est un peu l'exemple que je donne : je ne pense pas que pour le Petit Nicolas [série de nouvelles pour enfants datant des années 1950-1960 et toujours très populaire en France, ndlr], on a présumé que c'était forcément un livre communautariste. On part simplement du principe que ça parle à tout le monde.Sauf que ce principe-là, il marche pour toutes les histoires. En fait, juste, on existe.
Du 26 novembre au 1er décembre, la ville de Montreuil, à l'est de Paris, accueille la 41ème édition du Salon du livre et de la presse jeunesse, axée cette année sur la thématique de "l'Art de l'autre." Parmi les milliers d'auteurs et d'autrices présents : la romancière afroféministe Laura Nsafou. Dans son travail, l'autrice d'origine martiniquaise et congolaise s'est donné une mission : représenter ceux qui ne le sont que rarement. RFI : Bonjour Laura Nsafou. Vous êtes autrice de livres et albums pour enfants, afroféministe également. Si vous deviez résumer votre travail en quelques mots, qu'est-ce que vous diriez ? Laura Nsafou : (rire) C'est dur ! Mais c'est un travail littéraire qui tente de proposer une vraie diversité en termes de représentation des communautés noires, et qui essaie de montrer une pluralité d'histoires aussi, en rappelant que les personnages noirs peuvent exister dans le rêve aussi, pas que dans certains stéréotypes, et faire rêver. Puisque vous employez le mot de "stéréotype," pour vous, ce n'est pas le stéréotype en tant que tel le problème, c'est bien cela ? Oui, en fait, c'est surtout qu'aujourd'hui, la présence des personnages noirs oscille toujours entre l'invisibilisation pure et simple ou la stéréotypisation. Or, l'existence des stéréotypes et des cases ne définit pas les existences des communautés noires. Ce qu'il faut aujourd'hui, c'est veiller à ce qu'il y ait une richesse d'histoires. Et aussi examiner la façon dont notre imaginaire collectif s'est figé autour de la représentation des personnages noirs. Par l'illustration par exemple, on peut représenter une diversité de carnations, de types de cheveux, ou même d'origines au sein de la diaspora. C'est un peu tous ces écueils-là que j'essaie de décortiquer. Cela fait une dizaine d'années que vous écrivez des livres. Comment en êtes-vous venue à traiter, dès le début de votre carrière d'ailleurs, ces problématiques ? Avant d'être autrice, je suis aussi une lectrice. Une jeune femme noire, d'origine martiniquaise par ma mère et congolaise par mon père, qui a grandi en France et qui ne s'est pas vue en littérature jeunesse. L'exemple que je donne souvent, c'est cette enseignante, quand j'avais huit ans, qui a demandé à ma classe d'aller dans la bibliothèque de l'école et de choisir un livre avec un personnage principal qui nous ressemble. Et moi, je n'en avais pas. Je suis repartie avec un exemplaire de Tom-Tom et Nana, parce qu'il y avait Rémi, le meilleur ami noir personnage secondaire. (rire) Donc, il y avait une expérience propre au fait de ne pas se voir. Et un enfant, quand il voit ça, il se dit « qu'est-ce qui ne va pas avec moi ? » Et donc, l'acte d'écrire est venu avec cette envie de voir des princesses noires, de voir des fées noires, des choses comme ça que je ne voyais pas. Comme un million de papillons noirs, mon premier album, c'était vraiment la volonté de créer un album que je n'avais pas eu. Le fait d'écrire ces ouvrages, c'est donc aussi une sorte de soin pour vous ? Complètement ! Effectivement, il y avait cet enjeu de parler de thèmes assez durs, que ce soit le harcèlement scolaire, les discriminations, ou dans le cas du Chemin de Jada [album paru en 2020, ndlr], la question du colorisme. Donc, ce sont des thématiques dures, mais mon envie venait toujours de les raconter avec de la poésie et avec une fin heureuse, lumineuse, joyeuse. C'est vraiment ça que je trouve aussi intéressant avec le format de l'album jeunesse, parce qu'on ne s'adresse pas seulement aux enfants, on crée un espace de discussion entre adultes et enfants. Mais le fait est qu'en France, dès lors qu'on propose une histoire avec des personnages minorisés, il y a tout de suite cette présomption de non-universalité. On parle beaucoup de littérature universelle, mais on oublie que l'universel se travaille et l'universel se crée ensemble. Et sur cette notion d'universalisme, justement, la question ne se pose jamais quand ce sont des livres qui mettent en scène des enfants blancs. C'est un peu l'exemple que je donne : je ne pense pas que pour le Petit Nicolas [série de nouvelles pour enfants datant des années 1950-1960 et toujours très populaire en France, ndlr], on a présumé que c'était forcément un livre communautariste. On part simplement du principe que ça parle à tout le monde.Sauf que ce principe-là, il marche pour toutes les histoires. En fait, juste, on existe.
Quand on a vu le salon Sueurs froides s 'organiser , on a pas résisté.D'autant que beaucoup d'invité-es nous fascinaient alors c'est en fan girl et boys que nous avons fondu avec nos micros sur Marc Falvohttps://www.babelio.com/auteur/Marc-Falvo/343288créateur et créacture des éditions Faute de Frappehttps://www.editionsfautedefrappe.fr/ ainsi que sur son compère auteur David Didelot(là j'ai cru perdre mon chris ,ivre de bonheur)https://www.babelio.com/auteur/David-Didelot/413386 et un grand merci à Pulse éditions qui ,en tant que coorganisateurs, nous ont donné accès à la salle de pause .crédit vignette : Sixtiz
Le Sénégal dispose de gisements d'or, de phosphates, de zircon, de matériaux de construction, mais le secteur a longtemps été dominé par les compagnies étrangères. Aujourd'hui, le secteur minier sénégalais veut miser sur les compétences locales. Avec 32% des exportations du pays et une demande d'emplois croissante, il s'impose comme un levier de développement économique à condition de retenir les talents formés sur place. Avec notre correspondante à Dakar, Au Salon des Mines à Dakar, les allées ne désemplissent pas. Les jeunes diplômés affluent, CV en main, pour tenter leur chance auprès des sociétés minières présentes. « Connaissez-vous les mines ? Avez-vous de l'expérience dans le domaine minier ? », questionne un potentiel recruteur. Neuf cents candidatures reçues pour à peine une centaine de postes. Mais les besoins sont en constante augmentation confirme Binta Gueye Fall, secrétaire générale de l'amicale des diplômés de l'École supérieure des mines et de la géologie : « Il y a de plus en plus de sociétés parce qu'on sait que le Sénégal est devenu un pays minier, donc on a un très fort potentiel. On voit que côté exploration, il y a énormément de sociétés. Côté exploitation, il y en a des sociétés qui vont, d'une année à l'autre, passer à l'exploitation des gisements. » Les candidats, souvent encore étudiants, rêvent d'un avenir dans un secteur jugé prometteur, comme Abdou Karim Seck, 23 ans, élève ingénieur en électromécanique à l'École polytechnique de Dakar. « Dans la promotion, je pense que tout le monde cherche dans ce secteur. C'est notre secteur de rêve, car il est en pleine extension et aussi, c'est un secteur qui paye bien », témoigne-t-il. « Il faut savoir que trouver du travail au Sénégal, ce n'est pas facile. Beaucoup d'entreprises privilégient les contrats de stage, souligne Ousseynou Ndoye, étudiant ingénieur en génie des procédés. Mais je pense que j'aurai l'opportunité de trouver un travail ici, au Sénégal, mais la possibilité d'aller à l'extérieur pour pouvoir chercher du travail, je ne l'écarte pas. » « Nous allons proposer des situations compétitives » Alors pour retenir ces jeunes spécialistes au Sénégal, les sociétés savent qu'elles doivent, elles aussi, s'adapter. Moustapha Niang est responsable RH de la société sénégalaise minière Boya, qui s'apprête à exploiter deux sites dans le sud du pays : « Le marché est ouvert, mais quand même, nous allons proposer des situations compétitives, donc des situations de vie en entreprise compétitives par rapport à l'étranger pour les maintenir ici, avec peut-être l'aide de l'État et des pouvoirs publics. » La Mauritanie voisine suit la même voie : elle mise désormais sur la formation locale et veut remplacer progressivement les postes d'encadrement par des nationaux. Ibrahima Bâ Madine, directeur de la promotion et de la géologie minière au ministère des Mines mauritanien. « Il y a certaines qualifications dont ne disposent pas les Mauritaniens. Donc faire en sorte que les Mauritaniens secondent les expatriés pour pouvoir à long terme assurer les postes qu'ils occupent. Cela va permettre, entre autres, donc le passage de transfert de compétences, mais aussi augmenter un peu l'assiette d'emplois », explique-t-il. Avec plus de 235 milliards de francs CFA de revenus en 2022, le secteur minier sénégalais pèse désormais 4,5 % du PIB.
durée : 00:02:13 - Le brief éco - Le salon aéronautique de Dubaï s'ouvre sur un avantage pour Boeing, qui enchaîne les commandes malgré une série de déboires techniques et financiers. Airbus reste toutefois en lice, avec de possibles achats massifs à venir. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:01:31 - Bernadette et Jean Claude - Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Immersion au salon du Made in France après la polémique du géant chinois Shein.Tous les vendredi et samedi vers 19h20 sur France 5, Paul Larrouturou vous raconte une des histoires qui a fait l'actualité dans sa “Story”.
Pour sa 3ᵉ édition, le Salon des Sports et Parasports rassemble du 18 au 20 novembre 2025 tous les acteurs du sport, des collectivités et des associations autour du thème « le sport pour tous, sur tous les terrains ». Stéphanie Gay Torrente et Olivier Riffard présentent les nouveautés de cette édition, avec en particulier "Le Refuge", un espace dédié aux sports de montagne, et expliquent comment le salon accompagne la transition des pratiques sportives et l'héritage des Jeux Olympiques d'hiver 2030 dans nos massifs.
Pour sa 3ᵉ édition, le Salon des Sports et Parasports rassemble du 18 au 20 novembre 2025 tous les acteurs du sport, des collectivités et des associations autour du thème « le sport pour tous, sur tous les terrains ». Stéphanie Gay Torrente et Olivier Riffard présentent les nouveautés de cette édition, avec en particulier "Le Refuge", un espace dédié aux sports de montagne, et expliquent comment le salon accompagne la transition des pratiques sportives et l'héritage des Jeux Olympiques d'hiver 2030 dans nos massifs.
Pour sa 3ᵉ édition, le Salon des Sports et Parasports rassemble du 18 au 20 novembre 2025 tous les acteurs du sport, des collectivités et des associations autour du thème « le sport pour tous, sur tous les terrains ». Stéphanie Gay Torrente et Olivier Riffard présentent les nouveautés de cette édition, avec en particulier "Le Refuge", un espace dédié aux sports de montagne, et expliquent comment le salon accompagne la transition des pratiques sportives et l'héritage des Jeux Olympiques d'hiver 2030 dans nos massifs.
Pour sa 3ᵉ édition, le Salon des Sports et Parasports rassemble du 18 au 20 novembre 2025 tous les acteurs du sport, des collectivités et des associations autour du thème « le sport pour tous, sur tous les terrains ». Stéphanie Gay Torrente et Olivier Riffard présentent les nouveautés de cette édition, avec en particulier "Le Refuge", un espace dédié aux sports de montagne, et expliquent comment le salon accompagne la transition des pratiques sportives et l'héritage des Jeux Olympiques d'hiver 2030 dans nos massifs.
durée : 00:02:25 - Visite au Salon de la Chaise d'Hagetmau Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:59 - Paroles de patrons sur la crise politique - Alors que l'organigramme du gouvernement a été remodelé pour la deuxième fois en une semaine, les responsables d'entreprises qui travaillent en Occitanie se plaignent de l'instabilité politique. ICI Occitanie les a rencontrés au salon SIANE au MEET, près de Toulouse. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:34 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - En Pologne, comme dans la plupart des pays que nous avons traversés pour cette enquête, les zones frontalières sont soumises à des régimes d'exception. Cette culture du secret qui entoure les frontières, nous avons pu en faire l'expérience à Madrid, lors du World Border Security Congress. - réalisation : Annie Brault
Le salon Pollutec ouvrira ses portes à Lyon du 7 au 10 octobre. Depuis 45 ans, il propose les solutions les plus innovantes pour accélérer la transition écologique. 100 pays seront représentés et 51.000 participants sont attendus pour assister à près de 350 conférences. Quelles sont les nouveautés de cette année ? Allain Bougrain-Dubourg a rencontré Hélène Bouillon-Duparc, chargée de l'innovation à Pollutec. Ecoutez On refait la planète avec Allain Bougrain-Dubourg du 05 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gérard Carreyrou, journaliste - Gauthier Le Bret, journaliste. - Christophe Bordet, journaliste. - Caroline Ithurbide, journaliste. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du jeudi 21 août 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BwTl.A
Le Salon du Bourget 2025 a été marqué par une forte présence de la tech, de la défense et de l'aéronautique. Patrice Duboé, directeur de l'innovation pour l'Europe du Sud chez Capgemini, revient sur la montée en puissance de la souveraineté numérique, l'innovations dans l'espace avec le projet européen Iris², et la décarbonation de l'aviation avec les premières expérimentations d'avions hybrides ou électriques.En partenariat avec CapgeminiAu programme :Le rôle stratégique du cyberespace et de la cybersécurité dans la défense ;Le projet Iris², réponse européenne à Starlink, pour un Internet souverain par satellite ;L'exemple de Galileo comme modèle de rattrapage technologique européen ;Les défis de l'électrification de l'aviation et les espoirs liés à l'hydrogène ;Les enjeux de la souveraineté logicielle et de la gouvernance des réseaux de communication ;Les tensions sur la chaîne logistique dans l'industrie aéronautique ;Deux rapports inédits publiés par Capgemini sur l'innovation dans l'aérospatial et l'usage de l'IA dans le secteur.-----------
(00:00:42) Gaza en direct raconté par ses habitants sur les réseaux sociaux (00:07:26) La révolution médiatique racontée par celui qui l'observe le mieux - interview de Nic Newman (00:17:18) Au Salon du Bourget, la guerre est à la fois présente, lointaine et propre
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'interdiction de certains stands déjà installés au salon du Bourget, actuellement masqués.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'interdiction de certains stands déjà installés au salon du Bourget, actuellement masqués.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL inside avec Thomas Beker du 16 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode spécial de La France Bouge, direction Vivatech, le grand salon de l'innovation, pour découvrir les startups qui transforment la santé.Nous rencontrons Pierre Guillocheau (Crédit Agricole Santé et Territoire), qui défend des solutions de proximité pour l'accès aux soins.Focus aussi sur Okomera, qui développe des jumeaux numériques de tumeurs pour accélérer la recherche contre le cancer, et sur Reflect, une alerte intelligente pour les personnes sourdes.Un condensé d'innovations au service des patients et des territoires.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les start-up africaines sont de plus en plus nombreuses à VivaTech, le salon des nouvelles technologies à Paris. Venant du Sénégal, du Nigeria, de Côte d'Ivoire, elles témoignent de la difficulté à trouver des financements. Comment être certain que ses enfants sont bien arrivés à l'école ? L'idée de Magatte Sylla est simple. Au sein de sa start-up Quitus, il a créé un dispositif de pointage biométrique. « Quand l'enfant se présente au niveau de l'établissement, il pose son doigt sur le dispositif et le parent reçoit un SMS instantanément », explique-t-il. Il le teste d'ailleurs dans plusieurs établissements dakarois. Quitus cherche un million de dollars Ce pitch, Magatte Sylla le répète toute la journée au salon VivaTech, en France, auprès d'autres startupeurs et auprès de potentiels investisseurs qui font ce qu'on appelle le « due diligence » : une analyse poussée du projet avant de signer le chèque. « Aujourd'hui, on ne peut pas avoir un contact avec un investisseur et avoir les financements tout de suite, ça prend beaucoup de temps. C'est l'ordre normal des choses, mais ce qui est sûr, c'est que l'on toquera un jour à la bonne porte qui nous permettra de lever ce million de dollars qu'on est en train de rechercher », assure-t-il. Mais les grosses levées de fonds se font plus rare. Les investissements ont baissé mondialement dans l'écosystème tech et l'Afrique a bien du mal à les attirer. Trop peu de licornes africaines Yaya Koné en est à sa seconde start-up en Côte d'Ivoire. Il témoigne de la difficulté à trouver des financements pour les jeunes pousses du continent. « Les investisseurs recherchent des retours sur investissement par trois ou par quatre et qui arriveraient après quatre à cinq ans de développement. Ça, c'est le "classique" mais ça ne marche pas en Afrique. Il nous manque un cadre réglementaire, il y a encore plein de choses à faire. Il y a quand même quelques licornes au Nigeria, en Égypte, au Kenya, mais c'est une goutte d'eau par rapport à ce qu'il se fait au niveau mondial. Pour que cela soit massif, il faut travailleur sur l'approche de l'investissement de nos start-up », estime-t-il. Des investisseurs frileux au risque. Certains États africains profitent des trois jours de VivaTech pour mettre en avant leurs startups et donner confiance aux financeurs, très nombreux à Paris pour cet évènement tech.
Nous ne sommes qu'au mois de juin, mais figurez-vous qu'au printemps, certains préparent déjà Noël. A Lyon se déroule pendant 4 jours le Salon "Jouerama". Armelle Lévy s'y est rendu pour RTL. C'est là où 32 grandes marques font découvrir leurs nouveautés de Noël aux vendeurs des magasins King Jouet, 1;500 jouets qui figureront sur les catalogues et qu'ils présenteront eux-mêmes en fin d'année, dans leurs magasins, aux petits lutins du Père Noël.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Dominique Strauss-Kahn ne se rendra pas au Salon de l'Agriculture car selon lui, c'est un lieu plein de pièges et de traquenards... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ça vous dit de voir Tomy, Bolduc … et même Céline Kallmann ?Rdv au Grand Palais dimanche 13 avril 2025 à partir de 10h. Le Grand Palais se situe 7 avenue Winston Churchill, 75008 Paris. Le Festival du Livre de Paris est accessible aux personnes à mobilité réduite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De nombreux cas de rougeole ont été détecté en Normandie, en Occitane, en Auvergne et en ile de France chez des personnes présentes au salon de l'agriculture
De nombreux cas de rougeole ont été détecté en Normandie, en Occitane, en Auvergne et en ile de France chez des personnes présentes au salon de l'agriculture
Les robots humanoïdes, conçus pour assister dans les tâches ménagères, font l'objet d'une attention croissante dans la presse. Bien que des entreprises comme Tesla, BMW, Meta et Apple explorent leur développement, leur arrivée dans nos foyers semble encore lointaine, bien que probable dans les 5 à 10 prochaines années. Si l'idée d'un robot humanoïde excitant et fonctionnel est séduisante, elle soulève des questions complexes de sécurité et de faisabilité, surtout dans des environnements domestiques imprévisibles. Ces robots pourraient, dans un futur proche, se retrouver à accomplir des tâches comme porter un plateau, mais pas encore gérer les tâches ménagères quotidiennes. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Le climat international interroge, inquiète et peut aussi engendrer une réflexion sur son avenir. Direction le Salon de l'alternance, porte de Versailles à Paris. Parmi les nombreux stands de formation, celui de la Marine nationale. Certains étudiants n'hésitent à pas à s'y arrêter pour poser quelques questions. Morad Djabari a notamment rencontré Louise, étudiante de 20 ans, qui assure qu'elle n'est pas influencée par le contexte actuel. Et elle n'est pas la seule... Ecoutez RTL inside avec Morad Djabari du 07 mars 2025.
durée : 00:24:29 - Le Blanc des Pyrénées prépare son Salon de l'agriculture à Tarbes - Ce week-end, le Salon de l'Agriculture de Tarbes met à l'honneur les produits du terroir bigourdan, avec notamment la marque de produits laitiers Blanc des Pyrénées.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 03 mars 2025.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 03 mars 2025.
Le 25 février 2013, Dominique Strauss-Kahn annonçait qu'il n'irait pas au Salon de l'Agriculture pour éviter toute tentation. Tous les jours, retrouvez en podcast une archive des meilleures imitations de Laurent Gerra, avec cette semaine une série spéciale Salon de l'Agriculture.
Qui dit "Salon de l'Agriculture" dit "Président de la République". De Valéry Giscard d'Estaing à Nicolas Sarkozy, les visites présidentielles ont bien changé. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.
Tandis que le salon de l'Agriculture bat son plein depuis ce vendredi 21 février 2025, les politiques y défilent les uns et unes après les autres. Mais depuis quand et pourquoi les politiques s'invitent de cette manière au salon de l'Agriculture ? Cette saison dans "RTL Matin", Florian Gazan répond aux questions pas si bêtes qui nous passent par la tête.
durée : 00:54:51 - franceinfo: Les informés - Tous les soirs, les informés débattent de l'actualité, ce mercredi autour de Thomas Séchier et Aurélie Herbemont.
durée : 00:04:17 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - La filière des algues sera mise en valeur demain mardi, le 25, au salon de l'agriculture où sera annoncée la feuille de route nationale de développement de la filière algale par la ministre de l'Écologie Agnès Pannier-Runacher et une journée dédiée aux algues...
durée : 00:45:22 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce samedi autour de Renaud Blanc.
durée : 00:07:33 - Au Salon de l'agriculture, Macron tente de rassurer sur les accords commerciaux internationaux.
Elle a 70 ans et continue de faire rêver des générations entières d'automobilistes. La DS de Citroën est la star des stars du Salon Rétromobile. La DS s'est d'abord imposée dans nos villes entre 1955 et 1975 et incarne désormais la créativité et un certain art de vivre à la Française.
Elle a 70 ans et continue de faire rêver des générations entières d'automobilistes. La DS de Citroën est la star des stars du Salon Rétromobile. La DS s'est d'abord imposée dans nos villes entre 1955 et 1975 et incarne désormais la créativité et un certain art de vivre à la Française.
Isabelle Blanchot, d'Enchanted Tools, présente la nouvelle version du robot Mikokaï. Mesurant 1m30 et pesant 25 kg, ce robot humanoïde est conçu pour être accueillant et humoristique et susciter des interactions positives, notamment dans les hôpitaux. Il est destiné aux soutien aux patients et aux voyageurs dans des lieux variés, ainsi qu'à des tâches logistiques dans des maisons de retraite. Isabelle Blanchot évoque les défis de la robotique et aussi l'impact positif de l'intelligence artificielle pour les interactions. Elle souligne l'importance émotionnelle de ce robot, partageant des témoignages d'utilisateurs reconnaissants. La nouvelle version inclue un anneau pour stabiliser le robot et éviter qu'il ne tombe, même lorsqu'il est poussé. Mirokaï s'est taillé un succès certain à Las Vegas, il notamment a été mis en avant dans la communication du salon et dans celle du géant Nvidia (interview intégrale).-----------♥️ Soutenez Monde Numérique : https://donorbox.org/monde-numerique
Rendez vous Samedi à partir de 14h au Salon du Livre de Boulogne Billancourt*** Encore une histoire est un podcast interprété par Céline Kallmann, réalisation et musiques Alexandre Ferreira, production Benjamin Muller.Générique : Vlad Gluschenko - Time.Retrouvez Encore une histoire sur Instagram, Facebook et Twitter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les salons de toutes sortes fleurissent à un rythme décadent. En voici un qui n'a pas laissé indifférent le duo d'humoriste, Chevallier et Laspalès. Tous les jours, retrouvez en podcast une archive des meilleures imitations de Laurent Gerra.