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Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'éviction du vice-président sud-soudanais, une demande de Donald Trump pour gracier Benyamin Netanyahu et les pourparlers de paix pour la guerre au Soudan. Sénégal : Diomaye/Sonko au bord de la rupture ? Dernière crise en date entre le président de la République et son Premier ministre, la personnalité chargée de diriger la coalition présidentielle. Perçu comme un désaveu pour Ousmane Sonko, Bassirou Diomaye Faye a limogé Aïda Mbodj pour la remplacer par Aminita Touré. Pourquoi le chef de l'Etat a-t-il décidé de ce changement, maintenant ? Ousmane Sonko peut-il réellement contester l'autorité du président ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. Soudan du Sud : pourquoi le président a-t-il évincé son « prince héritier » ? Nommé vice-président il y a seulement 9 mois, Benjamin Bol Mel a été limogé de ses fonctions alors qu'il était pressenti pour succéder un jour au président Salva Kiir. Comment expliquer cette décision ? Cette situation ne risque-t-elle pas de créer des tensions au sein du parti au pouvoir ? Avec Florence Miettaux, correspondante de RFI à Juba. Israël : Trump s'immisce dans les dossiers judiciaires de Netanyahu Dans une lettre adressée à son homologue israélien, Donald Trump demande d'accorder une grâce à Benjamin Netanyahu, poursuivi dans plusieurs affaires pour corruption, fraude et abus de confiance. Pourquoi le président américain s'intéresse-t-il aux déboires judiciaires du Premier ministre ? Quelle sera la réponse d'Isaac Herzog ? Avec Lyna Ouandjeli, chercheuse à l'Institut européen d'études sur le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord (Eismena). Soudan : des négociations avec Abu Dhabi sont-elles possibles ? Le gouvernement soudanais refuse de participer aux réunions du Quartet censées parvenir à la paix. En cause, la présence des Émirats arabes unis accusés de soutenir les paramilitaires des Forces de soutien rapide. Dans ce contexte, qu'est-il envisagé pour obtenir un cessez-le-feu ? Comment les paramilitaires des FSR se positionnent-ils sur ces pourparlers ? Avec Marc Lavergne, directeur de recherche émérite au CNRS, spécialiste de la Corne de l'Afrique et du Moyen-Orient.
The Israeli military says it has fired at two UN peacekeepers in southern Lebanon, citing misclassification due to poor weather conditions. The UN Interim Force in Lebanon has called the incident a serious violation of UN Security Council Resolution 1701.
A 10h, ce lundi 17 novembre 2025, les GG : Jean-Loup Bonnamy, prof de philo, Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, et Charles Consigny, avocat, débattent de : "Un humoriste compare les forces de l'ordre à Daesh".
durée : 00:12:34 - Journal de 7 h - En Ukraine, Pokrovsk, la grande ville du Donbass, est sur le point d'être complètement encerclée par les forces russes. Reportage au plus près de la ville sur une route essentielle pour la défense de la région et le repli de l'armée ukrainienne.
durée : 00:12:34 - Journal de 7 h - En Ukraine, Pokrovsk, la grande ville du Donbass, est sur le point d'être complètement encerclée par les forces russes. Reportage au plus près de la ville sur une route essentielle pour la défense de la région et le repli de l'armée ukrainienne.
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Invité : -Jean-Christophe Couvy, secrétaire national du syndicat FO Un1té Débatteurs du jour : -Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro -Georges Fenech, ancien magistrat Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : -Jean-Christophe Couvy, secrétaire national du syndicat FO Un1té Débatteurs du jour : -Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro -Georges Fenech, ancien magistrat Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In our new episode, I'll be talking about results of the month so far, Meta forcing AI enhancements, and lastly, all your burning questions!
The IPCA's blistering report has torn open a years-long saga of misconduct and misplaced loyalty. In Focus on Politics, RNZ acting political editor Craig McCulloch lays out how the scandal unfolded.Go to this episode on rnz.co.nz for more details
Life, Culture and Current Events from a Biblical Perspective with Neil Johnson.Your support sends the gospel to every corner of Australia through broadcast, online and print media: https://vision.org.au/donateSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Au Soudan, El-Facher, est tombé après un an et demi de siège. C'était la dernière grande ville du Darfour échappant encore au contrôle des Forces de soutien rapide (FSR) du général Hemedti, qui y ont commis des massacres atroces. Une spirale de la violence dont il est pour le moment difficile d'imaginer l'issue, avec des accusations de génocide et de nettoyages ethniques qui s'accumulent, au point que l'ONU qualifie la situation de "pire crise humanitaire contemporaine".
Seamus, Phil, Ian, & Brett are joined by Noah Wall to discuss reports Trump held an emergency meeting over the House planning on voting to release the Epstein files, MAGA outraged after Trump says America needs H-1B Visa workers, Trump denying the economic woes in America, and a socialist winning the mayoral race in Seattle. Noah Wall is the President and Founder of the State Leadership Initiative (SLI), a conservative organization dedicated to advancing policies in red states that counter progressive ideologies such as ESG and DEI. Hosts: Seamus @FreedomToons | http://twistedplots.com/ Phil @PhilThatRemains (X) Brett @PopCultureCrisis (everywhere) Ian @IanCrossland (everywhere) Serge @SergeDotCom (everywhere) Guest: Noah Wall @NoahWWall (X)
This week, a former Ukrainian lawmaker and a Ukrainian military official join the podcast to discuss North Korea's support of Russian forces, and why this poses a threat to South Korea's security. Dr. Hanna Hopko, co-founder of the International Center of Ukrainian Victory, and Ukrainian National Guard Lt. Volodymyr Vernygora examine the evolving DPRK-Russia military partnership, which they say should be raising alarms throughout the international community, as well as Seoul's response. The two experts also stress that South Korean President Lee Jae-myung and Ukrainian President Volodymyr Zelenskyy should boost bilateral engagements to counter these developments, while warning that North Korea's troops are obtaining something money can't always buy: battlefield experience. Hopko is a former member of Ukraine's parliament and the co-founder of the International Center of Ukrainian Victory, a nongovernmental organization seeking to mobilize international support for Kyiv's fight against Ukraine. Vernygora is a lieutenant and international cooperation officer in the 1st Corps Azov of the National Guard of Ukraine, with two decades of experience in international relations, academia, and strategic communications. About the podcast: The North Korea News Podcast is a weekly podcast hosted by Jacco Zwetsloot exclusively for NK News, covering all things DPRK — from news to extended interviews with leading experts and analysts in the field, along with insights from our very own journalists.
Our governments have long enjoyed a so-called 'special relationship' but now white supremacists in the UK and US are forging deeper and deeper ties.ITV News has uncovered a network of far-right groups, spanning both sides of the atlantic.So just how are they working together and what do they want? Global Security Editor Rohit Rohit Kachroo tells Geraint Vincent what you need to know.Watch Rohit's film 'How did a neo-Nazi end up working inside Buckingham Palace?' here: https://youtu.be/82AvzbfCy4w
Today, Thursday, all eyes are on a crucial vote in the European Parliament regarding corporate sustainability and due diligence rules. The Parliament's biggest political group, the European People's Party, or EPP, is poised to do something it has long claimed it would never do, vote alongside the far right.How could this move reshape not only the EU's environmental policy but also the entire political balance in Brussels?Join us on our journey through the events that shape the European continent and the European Union.Production: By Europod, in co production with Sphera Network.Follow us on:LinkedInInstagram Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Trois semaines après les massacres, les témoignages de civils ayant fui la ville se multiplient et dépeignent l'ampleur des atrocités commises. Le 26 octobre, les Forces de soutien rapide (FSR), milice menée par le général Mohamed Hamdan Daglo, dit « Hemetti », ont repris la ville d'El-Fasher aux mains de l'armée régulière du Soudan, dirigée par le général Al-Bourhane.Dès le lendemain, des vidéos ont circulé sur les réseaux sociaux, puis dans les médias du monde entier montrant les soldats des FSR s'en prenant aux civils. Ceux qui sont parvenus à fuir parlent d'exécutions sommaires, de viols et de torture.Les deux généraux s'opposent depuis avril 2023 pour le contrôle du pays et de ses ressources. Les civils sont les premières victimes du conflit qui s'enlise depuis plus de deux ans au Soudan. Plus de 160 000 personnes ont été tuées, dix millions ont été déplacées, tandis que les maladies et la famine se développent, selon l'Organisation des Nations unies, qui parle de la « pire crise humanitaire au monde ».Quelles sont les origines de cette guerre ? Pourquoi les puissances régionales et occidentales ont-elles une part de responsabilité dans ce conflit ? Reste-t-il un espoir de résolution ? Eléments de réponse dans cet épisode de « L'Heure du Monde » avec Eliott Brachet, correspondant au Caire qui couvre le Soudan pour Le Monde.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia. Réalisation : Thomas Zeng. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : extrait du discours d'Antonio Guterres à Doha le 4 novembre 2025.Cet épisode a été diffusé le 13 novembre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On this weeks episode, the Minnesota Twins add new coaches, the Minnesota Vikings are once again the middle of the road team... How bad will the Golden Gophers get beat on Friday against the Ducks? Bruce has some very funny News Of The Weird, Missed Connections and more! Thanks to 7th Ave Pizza, Sotastick, Erbs and Gerbs of Bemidji, Home Choice of Bemidji, Knob and Kettle, Paul Bunyan Communications and Angie's Acres.Become a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/beer-belly-sports--5080810/support.
Dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis, les legs de l'État islamique demeurent en Syrie. L'organisation y avait installé, dès 2014, la capitale de son califat autoproclamé. Baghouz, aux confins avec l'Irak, tout au sud, en avait été son dernier réduit. Le village est tombé en mars 2019 après plus de deux mois d'assauts et de siège de la coalition internationale et de leurs alliés, les Forces démocratiques syriennes, signant la fin de l'organisation terroriste. Depuis, la ville peine à se relever. La majorité des infrastructures sont détruites. Nombre des habitants sont encore déplacés dans les camps du Nord-Est. Et la menace des cellules dormantes de l'État islamique plane sur la région. Reportage de notre correspondante en Syrie. De notre correspondante en Syrie, C'est sur les hauteurs d'une colline, à la frontière avec l'Irak, que les jihadistes de l'organisation État islamique ont été enterrés. Tout autour, un paysage aride, lunaire. Et à perte de vue, des centaines de monticules de terre. Baghouz, c'est le dernier bastion de l'État islamique. La ville est tombée le 23 mars 2019, après plus de deux mois de siège et de bombardement de la coalition internationale. « Lorsque nous sommes revenus pour la première fois à Baghouz, nous avons tout simplement trouvé des cadavres », explique Farhan Al Dawod. Il a réussi à en être évacué avant l'assaut final. Mais lorsqu'il est revenu quelques mois plus tard, il est devenu, malgré lui, fossoyeur du village. « Nous trouvions des cadavres dans les maisons, sur les terres agricoles, dans les fosses communes, sans savoir vraiment s'il s'agissait de civils ou de membres de l'État islamique. Il y avait des personnes décapitées, leurs têtes gisaient encore à leurs pieds. Il y avait des corps brûlés, d'autres recouverts de poussière. Nous en avons enterré plus de 5 000 », raconte-t-il. Baghouz a vu débarquer les jihadistes de l'organisation État islamique fin 2014, avec la promesse de combattre le clan Assad. « Au tout début, ils nous promettaient de vivre confortablement, de conduire des voitures, ils nous disaient que nous allions devenir des hommes d'affaires. Puis au bout d'un certain temps, ils ont commencé à réprimer le peuple, à décapiter quiconque s'opposait à eux, que ce soit un rebelle de l'armée syrienne libre, ou bien un simple habitant qui refusait de coopérer », explique Dib Kalel Daoud, membre du comité local de la ville. La coalition internationale, épaulée par les Kurdes des Forces démocratiques syriennes, mène l'assaut depuis le nord, repousse un à un les combattants de l'organisation terroriste vers le sud. Tous se retrouvent bientôt coincés à Baghouz. « Vous, en tant que coalition internationale, vous êtes venus pour libérer la région. Mais vous l'avez détruite à la place. Vous avez tout détruit, sous prétexte de la présence de l'État islamique. Entre 1 400 et 1 700 maisons ont été totalement rasées », affirme Mana Rajab Safr, cheikh de la ville. À lire aussiL'étau se resserre autour du groupe Etat Islamique dans l'est de la Syrie Depuis, les habitants qui ont survécu sont de retour, ils reconstruisent coûte que coûte leur maison. Comme cet homme qui vient de dépenser 10 000 dollars. « Je n'imaginais pas que je reviendrais à Baghouz. Mais pour être sincère, j'aurais préféré rester déplacé et ne pas voir ces scènes d'horreur à mon retour. Regardez, tous ces cheveux gris que ça m'a fait pousser ! », s'exclame-t-il. La plupart des habitants ont été déplacés dans le camp d'Al-Hol, plus au nord. Avec l'ensemble des familles de jihadistes de l'État islamique. Cette femme est institutrice. Elle s'occupe de l'éducation des enfants au retour du camp. « C'est très dur pour eux, précise-t-elle. Il y avait bien des écoles dans le camp d'Al Hol, notamment financées par l'Unicef. Mais nous, habitants de Baghouz, refusions que nos enfants aillent étudier à côté de ceux de l'État islamique. » Alors que la menace des cellules dormantes de l'organisation terroriste demeure, les habitants craignent ici d'être à nouveau pris en étau dans des combats qui ne sont pas les leurs. Dans la région, les opérations de la coalition internationale sont fréquentes. La nuit, il n'est pas rare d'entendre le vrombissement de leurs hélicoptères. À lire aussiEn Syrie, sur les traces de l'État islamique
« Le président Tshisekedi ne peut pas aller signer la paix à Washington sans qu'on puisse constater que les troupes rwandaises se sont retirées de notre territoire », déclare sur RFI, ce mercredi matin, le ministre congolais de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya. Est-ce à dire que la poignée de main, prévue d'ici à la fin du mois à Washington, entre le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagamé est sérieusement compromise ? De passage à Paris, Patrick Muyaya, qui est aussi porte-parole du gouvernement de la RDC, répond aux questions de Patient Ligodi et Christophe Boisbouvier. RFI : Jusqu'à la semaine dernière, vous faisiez du retrait des troupes rwandaises du Congo le préalable à toute signature d'accords. Mais vendredi dernier, à Washington, vous avez finalement signé un accord de coopération économique avec le Rwanda pour le développement futur de la sous région. Pourquoi avez-vous changé d'avis ? Patrick Muyaya : Nous avons paraphé parce qu'il y a eu un progrès. Il y a eu, dans ce qui avait été signé, une section qui a été rajoutée. Dans cette section, il est clairement dit que le cadre d'intégration économique régionale pourra effectivement être mis en œuvre après la satisfaction de l'exécution du Conops. Le Conops, c'est le volet militaire de l'accord du 27 juin qui stipule, d'une part, que nous allons traiter la question des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et que le Rwanda va à son tour retirer ce que l'on appelle ses « mesures de défense », en réalité, la présence de ses troupes et de son matériel militaire. Dans ce qui s'est discuté, il y a des engagements qui ont été réitérés de part et d'autre, notamment en ce qui concerne le volet militaire, pour que cela facilite la signature par les deux chefs d'État. Vous avez signé parce que le principe, notamment, d'un retrait des troupes rwandaises vous semble acquis ? Nous avons signé, dans le cadre de cette section, que l'on a rajouté, parce qu'il faut que l'on s'assure que, dans cette dimension, le Rwanda fasse sa part. Dans le Conops, le volet militaire, n'oubliez pas qu'il est prévu de traiter d'une part la question des FDLR, ce que nous traitons, avec la phase de la sensibilisation – nous en ferons le point pour décider s'il y a des opérations qui doivent se faire. Mais, d'autre part, le Rwanda s'était engagé à retirer ses mesures de défense. Nous faisons notre part et eux doivent faire la leur. Comme vous le dites, la mise en œuvre de cet accord de coopération économique est conditionnée aussi à la neutralisation des rebelles hutu rwandais FDLR sur votre territoire. Mais concrètement, monsieur le ministre, avez-vous cartographié le déploiement des FDLR ? Avez-vous commencé à les désarmer ? Je crois qu'il y a un travail d'état-major qui a été fait en termes de cartographie. Il y en a certains qui sont sur la partie du territoire que nous contrôlons, et l'autre partie sur le territoire qui est sous contrôle des forces d'occupation. Dans les parties que nous contrôlons, au moment où je vous parle, il y a des experts militaires qui sont sur place pour procéder à la phase de sensibilisation qui est, elle aussi, prévue dans le cadre du Conops, qui est annexé à l'accord du 27 juin. Dans cet ordre, nous faisons cette première partie. S'il y a des résistances, dans le cadre de ce qui est prévu, nous passerons à la phase suivante pour nous assurer que nous nous sommes acquittés de notre part dans le cadre de l'exécution du Conops. Du côté des négociations avec les rebelles de l'AFC/M23, vous avez signé avec eux, il y a un mois, un accord créant un mécanisme de surveillance du cessez-le-feu. Où en est ce mécanisme ? Fonctionne-t-il ? Il doit fonctionner normalement en fonction des structures qui ont été mises en place. Je crois que la première réunion devrait être convoquée incessamment pour voir comment cela peut se mettre en place. Ce n'est pas simplement la question du mécanisme du cessez-le-feu, mais aussi cette question de prisonniers. Vous parlez d'échange de prisonniers. Vous négociez à ce sujet avec le M23 depuis plusieurs mois à Doha, mais cela n'avance pas. Beaucoup disent que c'est vous qui bloquez, car vous refuseriez la libération d'un certain nombre de prisonniers politiques. Je n'irai pas à dire que nous bloquons ou que nous n'avançons pas. Le fait, déjà, que nous ayons parlé préalablement des mécanismes qui ont été signés, notamment sur le cessez-le-feu ou la libération de prisonniers, c'est la preuve que nous avançons sur les mécanismes de prisonniers. Il y a une tâche qui a été confiée au Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui est en train de travailler avec les deux parties. Le moment venu, il y aura des évolutions et les choses pourront être dites. La condamnation à mort, le mois dernier, de l'ancien président Joseph Kabila par un tribunal militaire de Kinshasa ne complique-t-elle pas ces négociations ? Je ne suis pas sûr que cela complique les négociations. Il faut dissocier le président Kabila. C'est un ancien président. Je pense qu'il existe une loi qui le concerne, lui, personnellement – parce qu'on n'a pas deux anciens présidents. Au regard de cette loi et au regard de ses agissements, notamment son séjour et ses contacts réguliers – je ne dirai pas davantage –, il faut considérer qu'il n'a pas joué le rôle qu'il devrait jouer dans ce cadre et que les conséquences au plan judiciaire ont été tirées. Cette semaine, toujours à Doha, au Qatar, on attend la signature d'un accord-cadre entre l'AFC/M23 et votre gouvernement. Où en est-on ? Je pense que les discussions ont plutôt bien évolué. Il y a un besoin humanitaire urgent et pressant. Je pense que nous trouvons un compromis qui sera complémentaire à celui trouvé à Washington et qui nous permet d'aller maintenant dans la mise en œuvre effective qui sera l'étape la plus déterminante qui permette le retour de la paix effective. La Conférence humanitaire de Paris, le 30 octobre dernier, a-t-elle donné les résultats que vous espériez, ou vous a-t-elle déçu ? On ne dira pas qu'on est déçu parce qu'il y a eu une grosse mobilisation sur un sujet qui nous tient particulièrement à cœur, le sujet humanitaire. Il y a des besoins qui ont été chiffrés à peu près à 2,2 milliards et Paris s'est prononcé pour à peu près 1,6 milliard. Ce n'est pas tout ce dont nous avons besoin, mais c'est déjà quelque chose d'essentiel. Nous restons attentifs sur ce sujet aussi. La réouverture de l'aéroport de Goma pour des causes humanitaires, y croyez-vous ? Nous allons y arriver parce que nous avions convenu de cette urgence avec les humanitaires sur place. La question a fait l'objet des discussions à Paris. Ici, il faut rappeler d'abord que, si ceux qui occupent illicitement la ville de Goma et de Bukavu étaient en mesure d'ouvrir l'aéroport, ils l'auraient ouvert. C'est une question de souveraineté. Et nous, nous avons lancé un NOTAM (« Messages aux navigants », ndlr) – pour parler un langage de spécialiste –, pour dire que ces aéroports ne pouvaient pas servir. Pour des besoins strictement humanitaires, il y aura une dérogation qui pourra être faite pour des vols de type précis qui pourront être systématiquement contrôlés et être dans la mesure de fournir l'appui qu'il faut à nos populations sur place. D'ici combien de temps ? Je ne saurai pas vous donner des délais, au moment où nous parlons. Mais je sais qu'il y a des personnes qui y travaillent, que ce soit à Kinshasa ou à Paris, et qui doivent être en mesure rapidement de rendre concret ce projet. Vous êtes sur le point de signer un accord-cadre avec les rebelles AFC/M23, mais en même temps, ce mouvement est en train de recruter des dizaines, voire des centaines de magistrats pour son administration. Comment réagissez-vous ? Il est évident, le ministre de la Justice l'a déjà dit, que tout acte posé dans ces contextes sera déclaré nul et de nul effet. Vous convenez avec moi qu'ils ne sont pas en compétence de faire un quelconque recrutement parce qu'il existe un travail du Conseil supérieur de la magistrature et des critères bien établis. Nous n'accordons que peu d'attention à ce genre d'actions qui n'ont en réalité aucun avenir. Voilà plus de quatre mois que les ministres des Affaires étrangères de vos deux pays, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, ont signé un premier accord de paix à Washington. C'était le 27 juin. Mais à quand un accord de paix définitif signé par vos deux présidents, Félix Tshisekedi et Paul Kagame, en présence de Donald Trump à Washington ? Mais je crois que c'est prévu et les conditions doivent être réunies. Mais il y a pour nous un facteur principal, c'est le retrait de ce qu'on appelle, en langage diplomatique, les « mesures de défense du Rwanda », mais qui sont, en réalité, son armée et tous les matériels qui sont déployés sur notre territoire. Dès que les conditions seront réunies, et il me semble que nous sommes sur la voie, le président de la République pourra faire le déplacement de Washington pour poser la signature sur cet accord de paix. Donc, pas de déplacement de Félix Tshisekedi à Washington avant un début de retrait des forces rwandaises de votre territoire ? Je crois que nous l'avons fait savoir, notamment à la médiation américaine. Vous avez vu qu'il y a eu une évolution. Je vous ai dit tout à l'heure, lorsque nous parlions de la signature du cadre d'intégration économique régionale, que cette préoccupation a été bien notée. Nous avons réagi à travers un communiqué et nous considérons que c'est un pas important qui nous permettra de faire le mouvement de Washington. Nous considérons que nous sommes sur une dynamique positive qui nous permettra, dans les jours qui viennent, de parvenir à la signature de cet accord par les présidents de la République. Signature qui pourrait avoir lieu d'ici à la fin de ce mois de novembre ? Cela dépendra aussi des agendas, mais il y a des contacts étroits pour que les mots du président Trump puissent correspondre à la réalité sur le terrain. Votre gouvernement, disons l'armée congolaise, a lancé cette campagne pour demander aux FDLR de pouvoir déposer les armes en vue d'une éventuelle reddition. A combien évaluez-vous le nombre de ces combattants FDLR en RDC? Je ne saurais peut-être pas me hasarder sur des chiffres, qui relèvent plutôt des états-majors. Mais je ne pense pas qu'ils soient en nombre considérable et qu'ils puissent véritablement causer des problèmes de sécurité au Rwanda. Mais quand vous parlez d'un nombre qui ne serait pas considérable, vous l'évaluez à combien environ ? 500 personnes ? Certains experts nous parlent de 1 000, 1500, mais c'est du domaine du renseignement militaire. Il faut laisser le travail se faire et peut être que le moment venu, nous pourrons revenir avec des chiffres plus précis dès que nous les aurons. Sur RFI, les porte-paroles des FDLR disent qu'à ce jour, les FDLR ne peuvent pas désarmer. Ils ne peuvent donc suivre la campagne qui est menée par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), déposer les armes et donc faire cette reddition. Nous savons que nous avons des engagements. Nous savons qu'il y a des choses qui doivent être faites à notre niveau. Nous, on a commencé cette phase de sensibilisation. Évidemment, il y a des prochaines phases en fonction de l'évaluation qui sera faite. Il y a un travail qui doit être aussi fait au Rwanda parce que ce sont des Rwandais, et le Rwanda devrait être disposé à les recevoir. Pour le reste, il ne m'appartient pas de commenter les décisions de ce genre dès lors que nous avons un plan préalablement établi et sur lequel nous tenons, dans le cadre des différents accords que nous avons signés. En parlant de ce processus de Washington et de Doha, il a été convenu d'un mécanisme de suivi du cessez-le-feu. Mais sur le terrain, rien n'est fait. Encore hier, il y avait des combats sur le terrain. Il y a toujours une distance entre le moment où nous signons et le moment où les choses se mettent en place. Nous connaissons la détermination des occupants. Mais il ne faut pas oublier que nous avons une médiation qui suit ce qui se passe sur le terrain. Il ne faut pas oublier que les médiateurs disposent d'autres leviers qui peuvent servir de pression pour nous assurer que nous atteignons les objectifs que nous poursuivons. On peut dire que rien n'a été fait. Ne vendez-vous pas du vent à la population congolaise, avec tout ce qui se passe à Doha et à Washington ? Attention, nous ne vendons pas du vent parce qu'il y a des progrès. Il y a des combats sur le terrain. Mais j'y arrive. Nous sommes dans un processus diplomatique. Lorsque nous avons choisi la résolution 2773 et tout ce qu'il y a comme déploiements diplomatiques ici, il y a un travail qui doit se faire au préalable, c'est le travail diplomatique. Mais après, il y a un travail plus important, le travail de terrain. Cela veut dire qu'il y a les préalables. Lorsqu'on dit qu'on mettra en place un mécanisme de cessez-le-feu, il faut être sûr qu'on arrive à mobiliser toutes les parties prenantes, les mettre en place et qu'elles aient les moyens de déploiement. Cela ne se fait pas sur un claquement de doigt, et les médiateurs le savent. Donc on ne saura peut être pas vous dire dans l'immédiat : « On signe aujourd'hui, demain sur terrain, et ceci. » C'est pour cela qu'il y a un besoin de responsabilité pour le Rwanda, conformément à l'accord du 27 juin, de faire sa part et de s'assurer, de par le lien parental qui les lie au M23, de voir comment le M23 va aussi s'acquitter de sa part. Ce n'est qu'à ce prix que nous pourrons atteindre les objectifs fixés au plan diplomatique. Nous avons des médiateurs qataris, américains et de l'Union africaine qui suivent étroitement les processus. Dans ce cadre là, chaque fois qu'il y a des actes qui sont posés, qui ne devraient pas l'être et qui sont rapportés, ce sera le moment venu au médiateur de voir qui bloque quoi et tirer les conséquences qu'il faut. Cette rencontre à venir à Washington entre les deux chefs d'État pourrait-elle avoir lieu avant le début du retrait des troupes rwandaises du Congo ? Nous savons que le retrait des troupes rwandaises est la condition principale pour que nous puissions avancer. Parce que le président de la République ne peut pas se rendre à Washington sans que nous ne puissions être en mesure, avec les Américains avec lesquels nous travaillons, de constater qu'il y a eu retrait de ce qu'on a appelé, en langage diplomatique, des « mesures des défense », mais en réalité des troupes rwandaises et de tout ce qui les accompagne. Donc il n'y aura pas cette poignée de main avant un geste militaire de votre voisin rwandais ? En tout cas, il y a un accord qui a été signé, qui prévoit des choses. Nous, nous faisons notre part. Le Rwanda doit faire la sienne pour nous permettre d'avancer. Pour obtenir ce retrait des troupes rwandaises, on voit bien que vous comptez beaucoup sur la pression des Américains. Mais maintenant que le Rwanda accepte d'accueillir des migrants en provenance des États-Unis, ne craignez-vous pas que Washington n'ait plus aucun moyen de pression sur Kigali ? Je crois que le président Donald Trump, de manière constante, se présente comme celui qui aide à atteindre les objectifs de paix. Il l'a fait dans plusieurs pays. Pour ce qui concerne la République démocratique du Congo, il est bien au courant. Vous suivez notamment les déploiements de son envoyé spécial, Massad Boulos. Aujourd'hui, il faut considérer que nous avons fait des pas. N'oubliez pas que le président de la République, en 2019, dès son arrivée, avait fait le choix courageux de la paix, avec les voisins, notamment le Rwanda. N'oubliez pas qu'il y a une volonté américaine et qatari d'investir massivement dans la région pour en débloquer tout le potentiel. J'ai assisté à Washington en octobre dernier à une réunion, à l'initiative du Département du Trésor américain, avec tous les bailleurs qui sont intéressés par l'investissement dans cette partie de la région. Je crois qu'il y a davantage de pression sur le Rwanda pour aller vers la conclusion de l'accord, pour permettre à tous ces bailleurs de commencer à aller vers l'essentiel. L'essentiel ici, c'est nos populations. Je rappelle que le président de la République a toujours dit et répété que nous n'avions pas de problème avec le peuple rwandais. Vous voyez qu'il y a des objectifs nobles qui nous attendent. Des objectifs qui permettront à la fois aux Américains d'être sûrs de pouvoir bénéficier de ressources critiques. Nous avons tous besoin de parvenir à cet objectif de paix. Et nous avons tous besoin, dans ce cadre, que le Rwanda fasse sa part autant que nous faisons la nôtre. À lire aussiRDC: «Nous résisterons jusqu'à ce que Kigali accepte un dialogue», affirment les FDLR
AI and GLP-1s.As a healthcare reporter, we often get asked: ‘What are the top industry trends that brand and agency leaders are most focused on?' And that's our response: AI and GLP-1s.Luckily for you, this week's episode provides a taste of both.Our feature interview this week is an in-person conversation between managing editor Jack O'Brien and Curtis Sparrer, principal and co-founder of Bospar PR.Curtis flew in from San Francisco to preview the MM+M tracks at Haymarket Media's second annual AI Deciphered conference on Thursday. (Please note, last minute tickets are still available!)For Trends, pharma editor Lecia Bushak and editor-at-large Steve Madden get you up to speed on the week that was in GLP-1-land: from Pfizer muscling out Novo Nordisk for obesity drug developer Metsera, to the White House's drug pricing deal with Novo and Eli Lilly.Music: “Deep Reflection” by DP and Triple Scoop Music. Step into the future of health media at the MM+M Media Summit on October 30th, 2025 live in NYC! Join top voices in pharma marketing for a full day of forward-thinking discussions on AI, streaming, retail media, and more. Explore the latest in omnichannel strategy, personalization, media trust, and data privacy—all under one roof. Don't wait—use promo code PODCAST for $100 off your individual ticket. Click here to register! AI Deciphered is back—live in New York City this November 13th.Join leaders from brands, agencies, and platforms for a future-focused conversation on how AI is transforming media, marketing, and the retail experience. Ready to future-proof your strategy? Secure your spot now at aidecipheredsummit.com. Use code POD at check out for $100 your ticket! Check us out at: mmm-online.com Follow us: YouTube: @MMM-onlineTikTok: @MMMnewsInstagram: @MMMnewsonlineTwitter/X: @MMMnewsLinkedIn: MM+M To read more of the most timely, balanced and original reporting in medical marketing, subscribe here.Music: “Deep Reflection” by DP and Triple Scoop Music. Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
Studio Ulster, a world-class virtual production company in Northern Ireland, has collaborated with Dell Technologies to elevate its virtual production capabilities. By leveraging Dell's AI infrastructure solutions, Studio Ulster is set to redefine the future of on-screen innovation. Why does it matter? Studio Ulster's £72 million virtual production facility in Belfast positions Northern Ireland as a global leader in virtual production. Developed by Ulster University in partnership with Belfast Harbour Commission and supported by Northern Ireland Screen, the facility is home to some of the world's most advanced virtual production technologies, pushing the boundaries of cinematic storytelling through using LED panels to create real-time, in-camera digital environments. The facility also houses CoSTAR Screen Lab, an integrated R&D lab driving advancements in screen and performance technology. Advancing Creativity Through AI Innovation Dell PowerEdge R760 servers provide the computing power required to handle the complex and resource-intensive workloads of virtual production. This technology supports multiple production stages, accelerates workflows and raises the bar for visual quality, enabling teams to bring their cinematic visions to life with confidence and ease. Leveraging Dell's extensive GPU technology ecosystem, the Dell team identified and deployed the optimal graphics cards to meet the environment's demanding rendering requirements, while ensuring seamless compatibility with the Unreal Engine matrix. Dell PowerScale's advanced AI capabilities are transforming how Studio Ulster delivers cutting-edge virtual production solutions. With trillions of data points generated every day, teams can now train machine learning models directly within their workflow - empowering artists to create and customise virtual sets quickly and efficiently from existing libraries. This saves production teams time and resources by eliminating the need to build sets from scratch. Dell PowerScale extends this high-performance foundation with next-generation data management, supporting intensive motion capture and 3D/4D scanning workflows. Its robust, scalable architecture ensures that massive data volumes move securely and quickly. Driving Sustainability and Global Impact Virtual production is transforming entertainment mediums everywhere, from blockbuster films to hit television shows to AAA gaming titles. It's not only faster and more cost-effective than traditional methods but also more sustainable. Ulster University's research shows that virtual production can reduce carbon emissions by up to 50% compared to conventional filming. The studio further amplifies its sustainability efforts by operating on 100% renewable energy and maintaining a BREEAM Excellent certification. Dell and Ulster University share a long-standing research partnership, spanning health, life sciences, and digital media. This collaboration has fueled innovation through PhD research funding and joint projects in media and entertainment. Professor Declan Keeney, CEO of Studio Ulster, said: "As we expand our virtual production capabilities, having the right infrastructure to manage intensive computational workloads is essential. Dell's expertise in compute and storage makes it the ideal partner to support our needs today and in the future. From managing terabytes of daily data to unlocking AI's potential, Dell's solutions are integral to how we're using technology to develop cutting-edge solutions within the entertainment industry." Mark Hopkins, General Manager, Ireland and Northern Ireland, Dell Technologies, said: "With AI transformation accelerating, Dell is empowering businesses across the island of Ireland to seamlessly adopt AI, drive faster insights, improve efficiency, and accelerate business outcomes. Together, with Studio Ulster, we're pioneering advancements in creative production, filmmaking, and immersive experiences for global audiences." More about Irish Tec...
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tanya - A t'on besoin des forces du mal (N°86 - Rav Aaron Bitton) by Rav David Touitou
In this episode of The PDB Afternoon Bulletin: American troops are back in the jungle. For the first time in decades, U.S. forces are training in Panama's dense terrain—reviving an old Cold War battleground known as “Green Hell,” and signaling a new chapter in Washington's focus on Latin America. He was once an al-Qaeda terrorist. Now, he's walking the halls of the White House. Syria's President Ahmad al-Sharaa meets with Donald Trump in a historic first. To listen to the show ad-free, become a premium member of The President's Daily Brief by visiting https://PDBPremium.com. Please remember to subscribe if you enjoyed this episode of The President's Daily Brief. YouTube: youtube.com/@presidentsdailybrief Goldbelly: Impress your friends and family. go to https://GOLDBELLY.com and get 20% off your first order with promo code PDB. BUBS Naturals: Live Better Longer with BUBS Naturals. For A limited time get 20% Off your entire order with code PDB at https://Bubsnaturals.com Birch Gold: Text PDB to 989898 and get your free info kit on gold Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
As economic volatility, cost pressure and technological acceleration reshape the finance landscape, CFOs are facing a pivotal identity shift. The instinct to protect the enterprise through tighter controls may no longer serve the moment. So what does it take to lead with resilience and unlock growth? In this episode of ThinkCast, Gartner experts Clement Christensen and Mallory Bulman revisit their Opening Keynote from the Gartner Finance Symposium/Xpo. They introduce the "Catalyst CFO" — a new leadership identity designed for disruption — and explore the eight forces reshaping finance, from AI-enabled decision-making to discontinuous regulatory change. Tune in to discover: Why the "guardian" CFO mindset may be holding your organization back The eight forces transforming finance and how to respond How AI agents are changing the nature of financial decision-making Why identity is the most underutilized leadership tool What Catalyst CFOs do differently to drive agility, innovation, and growth Dig deeper: Download the Gartner CFO Report Join us at a Gartner Finance Conference near you Become a client to try out AskGartner for more trusted insights
Chief of Advocacy and Communications at UNICEF, Lely Djuhari highlights the damage caused by the recent typhoons in the Philippines, as Typhoon Fung-wong heads towards Taiwan.
Day 1,356Today, after weekend strikes on energy facilities in both countries left blackouts in Russia and Ukraine, we report how Moscow now seems to be deliberately targeting Ukrainian nuclear plants well away from the front line, how Britain is sending military personnel to defend Belgian skies, and later we have an interview with Dr Jack Watling, Senior Research Fellow for Land Warfare at the Royal United Services Institute, in which he describes Ukraine's adaptation of battlefield tactics.ContributorsDominic Nicholls (Associate Editor of Defence). @DomNicholls on X.Francis Dearnley (Executive Editor for Audio). @FrancisDearnley on X.With thanks to Dr Jack Watling, Senior Research Fellow for Land Warfare at the Royal United Services Institute. @Jack_Watling on X.SIGN UP TO THE ‘UKRAINE: THE LATEST' WEEKLY NEWSLETTER:http://telegraph.co.uk/ukrainenewsletter Each week, Dom Nicholls and Francis Dearnley answer your questions, provide recommended reading, and give exclusive analysis and behind-the-scenes insights – plus maps of the frontlines and diagrams of weapons to complement our daily reporting. It's free for everyone, including non-subscribers.CONTENT REFERENCED:Dr Jack Watling's New RUSI Report - 'Emergent Approaches to Combined Arms Manoeuvre in Ukraine':https://www.rusi.org/explore-our-research/publications/insights-papers/emergent-approaches-combined-arms-manoeuvre-ukrainePokrovsk: Where Putin Shattered His Teethhttps://cepa.org/article/pokrovsk-where-putin-shattered-his-teeth/?utm_source=substack&utm_medium=emailLISTEN TO THIS PODCAST IN NEW LANGUAGES:The Telegraph has launched translated versions of Ukraine: The Latest in Ukrainian and Russian, making its reporting accessible to audiences on both sides of the battle lines and across the wider region, including Central Asia and the Caucasus. Just search Україна: Останні Новини (Ukr) and Украина: Последние Новости (Ru) on your on your preferred podcast app to find them. Listen here: https://linktr.ee/ukrainethelatestSubscribe: telegraph.co.uk/ukrainethelatestEmail: ukrainepod@telegraph.co.uk Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
The Marine Corps must redefine how it deters enemy forces.
Palace Intrigue delivers the most disturbing royal collapse yet as Andrew Mountbatten-Windsor spends his final Royal Lodge days "padding around and ranting and muttering" to himself while Sarah Ferguson takes refuge in a secret bar called "The Doghouse" behind the mansion, confiding fears about being "targeted" due to Epstein links. Insiders reveal the separated couple sleep "at different ends of the thirty-room home" and only meet at mealtimes for "intense conversations" about their uncertain futures.Fergie has become "massively on edge," warning staff about "dark forces potentially targeting him" and leaning on loyal employees to "stay late to keep her company" as she drowns her fears in The Doghouse. Meanwhile, Church of England vicar drops bombshell questioning if Queen Elizabeth was "ignorant" of Andrew's alleged misconduct or had a "blind spot" toward her "favourite child," demanding equal scrutiny of the late monarch's inaction. Sources reveal Andrew's "arrogance finally broken" by title stripping as Beatrice and Eugenie remain "extremely worried" about their mother's paranoia. Plus, the corgis Sandy and Muick will split time between households as the only "innocent parties in this sordid mess."Hear our new show "Crown and Controversy: Prince Andrew" here.Check out "Palace Intrigue Presents: King WIlliam" here.
Link to episode page This week's Department of Know is hosted by Rich Stroffolino with guests Jacob Coombs, CISO, Tandem Diabetes Care, and Ross Young, Co-host, CISO Tradecraft Thanks to our show sponsor, Vanta What's your 2 AM security worry? Is it "Do I have the right controls in place?" Or "Are my vendors secure?" ….or the really scary one: "how do I get out from under these old tools and manual processes? Enter Vanta. Vanta automates manual work, so you can stop sweating over spreadsheets, chasing audit evidence, and filling out endless questionnaires. Their trust management platform continuously monitors your systems, centralizes your data, and simplifies your security at scale. Vanta also fits right into your workflows, using AI to streamline evidence collection, flag risks, and keep your program audit-ready—ALL…THE…TIME. With Vanta, you get everything you need to move faster, scale confidently—and get back to sleep. Get started at vanta.com/headlines All links and the video of this episode can be found on CISO Series.com
Your daily news in under three minutes. At Al Jazeera Podcasts, we want to hear from you, our listeners. So, please head to https://www.aljazeera.com/survey and tell us your thoughts about this show and other Al Jazeera podcasts. It only takes a few minutes! Connect with us: @AJEPodcasts on X, Instagram, Facebook, and YouTube
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 7 novembre 2025.Avec cette semaine :Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.COMMENT LE TERRORISME A TRANSFORMÉ LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE DEPUIS DIX ANS ? Voilà bientôt dix ans qu'un commando terroriste a semé la terreur dans les rues de Paris, le 13 novembre 2015, assassinant 130 personnes et en blessant plusieurs centaines d'autres. Trois rescapés se sont depuis donné la mort, succombant à leurs blessures psychiques. Ces attentats ont profondément impacté la société française. Les médias jouent un rôle central lors de tels événements. Difficile d'informer avec précision dans un climat de peur et d'incertitude après un attentat. Le 9 janvier 2015 notamment, des chaînes d'information en continu ont divulgué la présence d'otages cachés dans la chambre froide de l'Hypercacher de Vincennes, mettant leur vie en danger. Les médias servent de caisse de résonance aux terroristes, qui, pour la plupart sont avides de spectacle. Face à la sidération après les attentats contre Charlie Hebdo et l'Hypercacher, la société française s'est immédiatement massivement mobilisée comme en témoigne la grande manifestation du 11 janvier 2015. La vie quotidienne a été transformée, bouleversée par les dispositifs de surveillance, de prévention et de lutte antiterroriste. Le terrorisme provoque également des effets perturbateurs comme la montée de sentiments xénophobes, antimusulmans ou antisémites et leurs réponses politiques. Il a induit des progrès considérables de la recherche, en particulier, depuis 2015, sur la question des traumatismes. Il impacte les procédures judiciaires. En France, depuis 2019, le nombre de procès criminels pour terrorisme a été multiplié par sept : la raison principale en est non seulement la création d'un parquet national antiterroriste, mais aussi la volonté de donner réparation à toutes les victimes et leur offrir la possibilité de s'exprimer dans le lieu symbolique d'une cour de justice.Procureur de la République de Paris en charge de la lutte contre le terrorisme entre 2011 et 2018, François Molins a vécu les événements les plus dramatiques qui se sont succédé pendant cette période, des attentats de Mohamed Merah en 2012, au 13 novembre 2015, en passant par le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo. Insistant sur le fait qu'il a fallu trouver une juste mesure entre le durcissement de la réponse et le respect des libertés et droits fondamentaux, François Molins considère que « dans l'ensemble, la France y est parvenue » : L'état d'urgence décrété au lendemain du 13 Novembre a duré un peu moins de deux ans, jusqu'au 1er novembre 2017. Il a rassuré les gens et permis une amplification de la lutte - assignations à résidence, perquisitions, interdictions de séjour, fermeture de mosquées radicalisées -, toujours sous le contrôle de la justice administrative et du Parlement. Mais le risque de dérive est réel, met en garde François Mollins. En octobre 2025, cinq actes terroristes d'inspiration djihadiste ont été réalisés ou projetés, dans quatre pays européens, rappelle l'ancien procureur antiterroriste Jean-François Ricard. Ces faits, insiste-t-il, doivent nous alerter sur la persistance d'une menace qui prend des formes nouvelles.LA GUERRE AU SOUDAN Au Soudan, le 26 octobre la ville d'El-Facher, capitale de la province du Darfour du Nord est tombée aux mains des Forces de soutien rapide (FSR) qui assiégeaient la ville depuis plus de dix-huit mois. C'était le dernier bastion, au Darfour, des Forces armées soudanaises (FAS). La guerre au Soudan a commencé en avril 2023 lorsque les tensions autour du projet d'intégration des FSR à l'armée régulière ont éclaté en un conflit qui a fait des dizaines de milliers de morts et déplacé de 12 à 13 millions de personnes. Deux acteurs qui s'étaient partagé le pouvoir après la chute du dictateur Omar el-Béchir, renversé en 2019 s'affrontent : l'armée soudanaise, héritière de l'ancien régime, avec à sa tête le général Abdel Fattah al-Burhane ; et les FSR, une unité paramilitaire dissidente dirigée par le général Mohamed Hamdan Dagalo, dit Hemetti. En début d'année, l'armée soudanaise et ses supplétifs miliciens ont reconquis la capitale, Khartoum, ainsi que la région agricole de la Jézira, le long du Nil. Depuis, ils contrôlent toute la moitié orientale du Soudan. A l'ouest, en revanche, les RSF dominent. Le noyau dur des hommes de Hemetti est composé d'anciens combattants arabes jenjawids employés, à l'époque d'El-Béchir, pour effectuer les sales besognes du régime et écraser les mouvements rebelles du Darfour. Ils sont eux-mêmes originaires de cette région, grande comme la France métropolitaine.Situé à la lisière de la partie subsaharienne de l'Afrique et du Moyen-Orient, le Soudan concentre une multitude de richesses et d'avantages géostratégiques suscitant toutes sortes de convoitises et d'ingérences : d'immenses terres arables, les eaux du Nil, des mines d'or, du pétrole, l'accès à la mer Rouge face à l'Arabie saoudite, des frontières avec huit pays africains. Soutenues par une partie des Émirats arabes unis, les FSR contrôlent les mines d'or du Darfour, les circuits de contrebande vers la Libye et la Centrafrique, et finance une armée privée plus riche que l'État soudanais, tandis que les FAS ont bénéficié de l'appui de l'Égypte, de l'Arabie saoudite, de l'Iran et de la Turquie, selon des observateurs. Tous nient toute implication.Les réactions internationales demeurent d'une discrétion gênée. Lundi, toutefois, le bureau du procureur de la Cour pénale internationale a averti que les atrocités commises par les FRS à El-Fasher « pourraient constituer des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité ». Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme mentionne des « massacres massifs de civils et de combattants désarmés ». La région, déjà extrêmement affaiblie depuis les massacres de Geneina en 2023, s'enfonce dans un nouveau cycle de violences entre communautés, où vengeance et désordre remplacent toute stratégie politique. Le pays s'est disloqué en zones d'influence : le Darfour aux mains des FSR, le Nord et l'Est sous commandement militaire, le Sud livré au chaos. L'État soudanais, déjà amputé du Soudan du Sud en 2011, se délite à nouveau.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Co-hosts Paul Mancano and Jonas Shaffer break down the Ravens' 27-19 win over the Vikings, including Minnesota's penalties (1:59). Then they dive into the importance of the Ravens' three forced turnovers (5:20). Next they break down an up-and-down game from the offense (8:52), a solid game from the special teams (14:50) and an impressive showing from the defense (17:40). Finally, they take a look at the playoff picture (28:46).
Ahmad Fouad Alkhatib discusses the high probability of renewed conflict in Gaza, arguing that the ceasefire is fragile due to Hamas's malign intentions. He estimates Hamas's combat-effective forces are significantly lower than reported (3,000 to 5,000, versus 15,000 to 30,000), noting Hamas pays fighters $20 to $25 a day. He also challenges polls showing widespread Gazan support for Hamas, arguing such results are manipulated and defy logic given the catastrophe following October 7. Disarmament is crucial for any future political process. 1917
Ahmad Fouad Alkhatib discusses the high probability of renewed conflict in Gaza, arguing that the ceasefire is fragile due to Hamas's malign intentions. He estimates Hamas's combat-effective forces are significantly lower than reported (3,000 to 5,000, versus 15,000 to 30,000), noting Hamas pays fighters $20 to $25 a day. He also challenges polls showing widespread Gazan support for Hamas, arguing such results are manipulated and defy logic given the catastrophe following October 7. Disarmament is crucial for any future political process. 1898
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Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne et des soldats nord-coréens capturés en Ukraine qui demandent l'asile à la Corée du Sud. Soudan: comment le Tchad se prépare à accueillir des milliers de réfugiés? Après la prise de la ville d'El-Fasher par les Forces de soutien rapide (FSR), le Tchad craint un nouvel afflux massif de réfugiés venant du Darfour. Les autorités et les organisations humanitaires estiment qu'au moins 120 000 personnes fuyant les combats pourraient franchir la frontière. Avec déjà près d'1,5 million de réfugiés soudanais, le pays peut-il accueillir cette nouvelle vague ? Comment leur arrivée sera-t-elle organisée ? Avec Nadia Ben Mahfoudh, correspondante de RFI à N'Djamena. Union européenne: l'Ukraine peut-elle encore rejoindre les 27? Le président Volodymyr Zelensky a demandé au Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, de ne pas bloquer l'adhésion de son pays à l'Union européenne. Pourquoi la Hongrie pose-t-elle son veto ? Quelles sont les chances que l'Ukraine puisse rejoindre l'UE ? Une adhésion permettrait-elle de changer le cours de la guerre ? Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI. Guerre en Ukraine: que vont devenir les soldats nord-coréens capturés? Alors que les militaires nord-coréens combattant au front auraient reçu l'ordre de se suicider pour éviter d'être capturés, deux d'entre eux, arrêtés par l'armée ukrainienne, demandent l'asile politique à la Corée du Sud. En dépit des relations déjà tendues avec Pyongyang, quelle sera la réponse de Séoul ? Avec Théo Clément, chercheur indépendant, spécialiste du développement économique de la Corée du Nord. Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Aujourd'hui, elle revient sur un post X de la célèbre rappeuse américaine Nicki Minaj qui a suscité de nombreuses réactions de la part des internautes nigérians.
The Trump administration has ordered a reduction in flights at 40 major airports across the country. Reuters reports on how the flight cuts could begin as soon as Friday unless Congress reaches a deal on the government shutdown. The paramilitary RSF has taken control of the city of El Fasher in Sudan. BBC analyst Alex de Waal explains why it marks a turning point in the country’s civil war. Food delivery has overtaken restaurant dining in a big way. The Atlantic’s Ellen Cushing joins to discuss how restaurants altered their businesses to cater to at-home diners. Plus, Supreme Court justices expressed doubts over Trump’s tariffs, a judge criticized the Justice Department’s “highly unusual” handling of the Comey case, and the scramble to secure the last remaining pennies. Today’s episode was hosted by Shumita Basu.
PREVIEW. Inside Gaza: Estimates of Hamas's Remaining Combat Forces and Fighter Pay. Ahmad Fouad Alkhatib of the Atlantic Council discusses the situation inside the half of Gaza where Hamas maintains control using the power of the gun. Based on contacts on the ground, he is highly skeptical of estimates claiming 15,000 to 30,000 Hamas troops. His personal estimate, shared by military intelligence contacts, places the number of combat-effective militants at no more than 3,000 to 5,000. Hamas allegedly offers its fighters $20 to $25 a day. RAMALLAH
Board-certified surgeon Dr. Cedrek McFadden breaks down simple steps to ensure you're handling prescriptions safely. Also, the story behind a special bookstore bringing people together through a shared love of books and food. Plus, Nicholas Braun and Kara Young stop by to discuss joining forces for the revival of the play ‘Gruesome Playground Injuries.' And, a look at award-winning kitchen tools and culinary items to take your cooking to the next level. Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
On Tuesday, President Trump unleashed an angry tirade in which he threatened to stop doling out food stamp payments until Democrats capitulate in the government shutdown. He seethed over “crooked Joe Biden” and made up stuff about food stamp fraud. Coming after a judge ordered payments to continue, Trump's threat seemed to suggest he's now directly defying the courts. But then White House press secretary Karoline Leavitt quickly clarified that Trump will obey the law, after all. Given that Trump intended his threat as a dominance display over Democrats, Leavitt undercut him, because she had no choice. We think this shows Trump's team knows they cannot be seen as breaking the law to deny food to the hungry. We talked to David Dayen, executive editor of The American Prospect, who has a good piece arguing that Trump has lost the shutdown. He demystifies the food stamp battle, explains why Trump's terrible standing on the economy has made him vulnerable in the standoff, and discusses how this all shows that Democrats need to get in the fight and engage. Looking for More from the DSR Network? Click Here: https://linktr.ee/deepstateradio Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
The government shutdown in the United States is set to become the longest in the country's history as Democrats and Republicans fail to agree on a new budget, leaving more than 40 million Americans who rely on food stamps facing great uncertainty. The White House says it will use emergency funds to provide reduced food aid. Also: the Israeli military's former top lawyer is arrested over the leak of a video allegedly showing Palestinian detainee abuse; dozens of people are killed after an earthquake in northern Afghanistan; the BBC visits India's Bihar state ahead of elections; what's causing an Antarctic glacier to rapidly retreat; Starbucks sells part of its operations in China; fast fashion giant Shein bans sex dolls on its online platform; the latest from Prince William's trip to Brazil; a conversation with Salman Rushdie; and Indonesians rail against "ugly" glass elevator on Bali cliff.The Global News Podcast brings you the breaking news you need to hear, as it happens. Listen for the latest headlines and current affairs from around the world. Politics, economics, climate, business, technology, health – we cover it all with expert analysis and insight. Get the news that matters, delivered twice a day on weekdays and daily at weekends, plus special bonus episodes reacting to urgent breaking stories. Follow or subscribe now and never miss a moment. Get in touch: globalpodcast@bbc.co.uk
Let's talk about Trump, ground forces, and motives....
May 1871: Bloody Week and Morisot's Transformation Into a Professional Artist. Sebastian Smee discusses how the Commune began to fall when French government forces returned to retake the city, resulting in Bloody Week in May 1871. The civil conflict was atrociously violent, with the Communards retreating street by street and systematically burning important Parisian buildings. The atmosphere was toxic, resulting in summary executions on a massive scale. Berthe Morisot and her family witnessed the smoke and were stunned by the devastation upon returning. The traumatic events had a profound effect on Morisot, intensifying her resolve to carve out a career as a professional painter—a radical decision for a woman of her background. In subsequent years, Morisot emerged from Manet's shadow, becoming more radical and innovative in her subject matter. 1870
Brad Onishi is joined by Dr. Laura Field, author of Furious Minds: The Making of the MAGA New Right, for a fascinating look into the intellectual roots of the MAGA movement and its rising political stars, including JD Vance. Together they trace the philosophical and theological threads that tie together the Claremont Institute, National Conservatives, and Postliberal Catholics—three camps shaping the hard right's challenge to American liberalism. From Patrick Deneen's critique of modernity to Adrian Vermeule's “common good constitutionalism,” the discussion unpacks how these thinkers frame a moral and political alternative to liberal democracy, and how their ideas inform Vance's worldview and public persona. The conversation also explores what's at stake when intellectuals try to fuse religion, nationalism, and governance into a single moral vision for America. Brad and Laura discuss the deep cultural anxiety driving this movement, the narratives of victimhood that sustain it, and the potential consequences of replacing pluralism with authoritarian moral certainty. They close with reflections on how to counter these ideas with honest, accessible scholarship and renewed democratic imagination. Get Dr. Laura Field's book Furious Minds: The Making of the MAGA New Right HERE Subscribe for $5.99 a month to get bonus content most Mondays, bonus episodes every month, ad-free listening, access to the entire 850-episode archive, Discord access, and more: https://axismundi.supercast.com/ Linktree: https://linktr.ee/StraightWhiteJC Order Brad's book: https://bookshop.org/a/95982/9781506482163 Subscribe to Teología Sin Vergüenza Subscribe to American Exceptionalism Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
News Items: Therapeutic Nanoparticles, What Killed Napoleon's Forces, Making Better Photosynthesis, Second Generation Black Holes, More on 3I-Atlas; Who's That Noisy; Your Questions and E-mails: Human Instinct; Name That Logical Fallacy; Science or Fiction
Cutting Off the CCP: Deterrence Through Nuclear Proliferation and Total Economic Isolation. Jim Fanell and Brad Thayer discuss critical, urgent actions required to counter the PRC's strategic forces threat. Given the severe strategic mismatch, Fanell argues that warfighting proliferation must be considered, suggesting nuclear capabilities and proliferation in Seoul, Tokyo, and even Taiwan to change the calculus in Beijing and Washington. Thayer emphasizes that the current downturn in the PRC's economy presents an opportunity to accelerate Xi Jinping's fall, recommending a political warfare strategy focused on evicting Xi Jinping and the CCP from power. Fanell clarifies they are not recommending armed conflict, but rather a strategy of power politics and isolating the PRC, treating the CCP as an evil, pariah regime by denying them access to US money, stripping them of Most Favored Nation status, and removing them from the World Trade Organization. The most important recommendation is the necessity for US leadership to admit failure as the critical first step to repairing damage to US authority and its allies.