Le site e-ostadelahi.fr est consacré à la pensée d’Ostad Elahi, et plus largement, aux questions spirituelles et éthiques abordées de manière rationnelle, dans un esprit d’ouverture et de tolérance. Ce podcast diffuse les entretiens et les conférences du site : les conférences présentent sous une fo…
La conscience peut-elle continuer à vivre, à sentir, à percevoir, chez une personne déclarée en état de mort cérébrale ? Médecin anesthésiste réanimateur, Jean-Jacques Charbonier en est convaincu depuis qu’un incident dont il a été témoin au cours d’un stage au SAMU lui a révélé le phénomène des expériences de mort imminente. Les cas qu’il a recueillis et présentés dans ses livres se comptent par centaines. Dans cette séquence vidéo, ce médecin pas comme les autres évoque les raisons qui nous retiennent d’envisager rationnellement le fait que la conscience ne soit pas une simple sécrétion du cerveau ; il décrit l’impact de ses recherches sur ses convictions intimes touchant la mort et l’au-delà, sur sa relation à la vie et aux autres, sur la signification de la spiritualité. Du Dr. Jean-Jacques Charbonier, on pourra lire : Les Preuves scientifiques d’une Vie après la vie (2008), La Médecine face à l’au-delà (2010), et plus récemment, Les 7 bonnes raisons de croire à l’au-delà (2012). http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/un-medecin-pas-comme-les-autres-1ere-partie/
En matière de spiritualité, l’approche purement théorique des principes, coupée de la pratique, n’est pas seulement inefficace, elle constitue aussi un obstacle bien réel au progrès spirituel : celui de la suffisance ou du « supérioritisme » spirituel. Le professeur Bahram Elahi en expose les raisons dans cet extrait d’une conférence prononcée en Sorbonne en novembre 2011. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/la-spiritualite-in-vivo/
Sa conception de la sagesse, Ostad Elahi en a livré les lignes de force à travers une prière intitulée « La quintessence des religions ». C’est cet angle qu’a choisi Leili Anvar pour apporter un éclairage concret et personnel sur quelques-uns des points les plus subtils d’une pensée qui, élaborée sur le terreau de la tradition mystique, en inverse pourtant l’orientation dominante en redonnant toute sa place au travail de la raison dans le processus du perfectionnement spirituel. La question du mal, la signification de l’éthique et de l’humanité véritables, l’importance de la foi : tels sont quelques uns des thèmes abordés au cours de cette exégèse. Leili Anvar est maître de conférences en littérature persane à l’institut national des langues et civilisations orientales et spécialiste de poésie mystique. Sa conférence a été prononcée le 10 septembre 2011 à l’occasion d’une journée organisée par la Fondation Ostad Elahi autour de la question : « Quelle sagesse pour notre temps ? ». http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/la-quintessence-des-religions/
Qu’est-ce que « croire » ? À quoi peut ressembler un rapport vécu et intime au divin, au-delà des représentations dogmatiques associées au « Très-Haut » et à l’idée même de croyance ? Jérémie Bélingard, danseur étoile de l’Opéra de Paris, évoque une présence enveloppante, une énergie traversante qui l’aide à exister et à se sentir vivant : une manière d’échapper à sa propre banalité. Cette énergie, certains l’appellent « Dieu », d’autres « Nature ». Elle a quelque chose à voir avec le souffle, la danse, la musique ; elle participe à une relation concrète où l’individu se sent porté en même temps qu’il s’oublie. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/dieu-un-remede-a-la-banalite/
Ostad Elahi définissait son enseignement comme une nouvelle médecine de l’âme : une médecine adaptée à la nature réelle de l’homme, conforme à la causalité qui règle sa vie spirituelle comme sa vie matérielle. La spiritualité qu’il pratiquait était la spiritualité naturelle ; il concevait le perfectionnement spirituel à l’image d’un cycle d’études. Dans une conférence prononcée en Sorbonne en mars 2011 et dont nous donnons ici quelques extraits, Bahram Elahi revient sur ces différents aspects de la pensée de son père. Il les reformule de façon simple et directe en dégageant, à chaque fois, les questions fondamentales qu’ils recouvrent, et ce qui les justifie d’un point de vue rationnel. Suffit-il d’avoir la foi et de prendre connaissance des principes fondamentaux de la spiritualité pour assurer son avenir spirituel ? C’est la question qu’aborde Bahram Elahi dans l’extrait qui suit. Elle lui donne l’occasion de revenir sur la signification générale de notre existence terrestre, mais aussi sur le lien indéfectible qui existe entre le progrès spirituel et l’effort individuel. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/conference-de-b-elahi-extrait-n%C2%B04-quelques-principes-fondamentaux/
Ostad Elahi définissait son enseignement comme une nouvelle médecine de l’âme : une médecine adaptée à la nature réelle de l’homme, conforme à la causalité qui règle sa vie spirituelle comme sa vie matérielle. La spiritualité qu’il pratiquait était la spiritualité naturelle ; il concevait le perfectionnement spirituel à l’image d’un cycle d’études. Dans une conférence prononcée en Sorbonne en mars 2011 et dont nous donnons ici quelques extraits, Bahram Elahi revient sur ces différents aspects de la pensée de son père. Il les reformule de façon simple et directe en dégageant, à chaque fois, les questions fondamentales qu’ils recouvrent, et ce qui les justifie d’un point de vue rationnel. Pour commencer, qui sommes-nous ? Quel est réellement ce moi auquel nous nous identifions ? Et qu’est-ce qui nous empêche, concrètement, de nous connecter à lui ? C’est le thème de l’âme et de la lutte contre le soi impérieux. Ensuite, pourquoi sommes-nous ici, quelle est la signification de la vie terrestre ? C’est le thème du développement spirituel comme processus cognitif, perfectionnement de la « raison saine ». Au fil de la discussion se dessine une définition originale de la spiritualité. Se précise également la place qu’y tient la connexion au divin, ou encore la foi et les émotions. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/conference-de-b-elahi%e2%80%93extrait-n%c2%b03-la-raison-saine/
Ostad Elahi définissait son enseignement comme une nouvelle médecine de l’âme : une médecine adaptée à la nature réelle de l’homme, conforme à la causalité qui règle sa vie spirituelle comme sa vie matérielle. La spiritualité qu’il pratiquait était la spiritualité naturelle ; il concevait le perfectionnement spirituel à l’image d’un cycle d’études. Dans une conférence prononcée en Sorbonne en mars 2011 et dont nous donnons ici quelques extraits, Bahram Elahi revient sur ces différents aspects de la pensée de son père. Il les reformule de façon simple et directe en dégageant, à chaque fois, les questions fondamentales qu’ils recouvrent, et ce qui les justifie d’un point de vue rationnel. Pour commencer, qui sommes-nous ? Quel est réellement ce moi auquel nous nous identifions ? Et qu’est-ce qui nous empêche, concrètement, de nous connecter à lui ? C’est le thème de l’âme et de la lutte contre le soi impérieux. Ensuite, pourquoi sommes-nous ici, quelle est la signification de la vie terrestre ? C’est le thème du développement spirituel comme processus cognitif, perfectionnement de la « raison saine ». Au fil de la discussion se dessine une définition originale de la spiritualité. Se précise également la place qu’y tient la connexion au divin, ou encore la foi et les émotions. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/conference-de-b-elahi-extrait-n%c2%b02-le-but-de-notre-existence/
L’acteur Michael Lonsdale n’a jamais fait mystère de son engagement chrétien : sa carrière internationale est ponctuée d’interventions, de spectacles et de livres abordant ouvertement la question de la foi et de la spiritualité. Dans cet entretien inédit, e-ostadelahi a souhaité l’interroger sur la dimension quotidienne et concrète de cet engagement. Après avoir rappelé les circonstances dans lesquelles s’est éveillée et consolidée sa foi, Michael Lonsdale explique de quelle manière la prière intérieure — une prière que chacun peut pratiquer à tout moment —, non seulement « oxygène » l’âme, mais transforme progressivement le regard porté sur les autres. L’expression « amour du prochain » acquiert ainsi une signification tangible. Se rendre sensible à la présence de Dieu en chacun, c’est considérer tout être humain comme un « trésor caché », porteur de quelque chose « qui est vrai, qui est pur, désireux de bien faire… ». C’est parvenir à contrôler les élans de la colère ou du mépris, c’est atteindre une forme d’apaisement intérieur, tout en développant la tolérance et le respect véritables. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/michael-lonsdale-dieu-est-en-chacun/#more-5482
Ostad Elahi définissait son enseignement comme une nouvelle médecine de l’âme : une médecine adaptée à la nature réelle de l’homme, conforme à la causalité qui règle sa vie spirituelle comme sa vie matérielle. La spiritualité qu’il pratiquait était la spiritualité naturelle ; il concevait le perfectionnement spirituel à l’image d’un cycle d’études. Dans une conférence prononcée en Sorbonne en mars 2011 et dont nous donnons ici quelques extraits, Bahram Elahi revient sur ces différents aspects de la pensée de son père. Il les reformule de façon simple et directe en dégageant, à chaque fois, les questions fondamentales qu’ils recouvrent, et ce qui les justifie d’un point de vue rationnel. Pour commencer, qui sommes-nous ? Quel est réellement ce moi auquel nous nous identifions ? Et qu’est-ce qui nous empêche, concrètement, de nous connecter à lui ? C’est le thème de l’âme et de la lutte contre le soi impérieux. Ensuite, pourquoi sommes-nous ici, quelle est la signification de la vie terrestre ? C’est le thème du développement spirituel comme processus cognitif, perfectionnement de la « raison saine ». Au fil de la discussion se dessine une définition originale de la spiritualité. Se précise également la place qu’y tient la connexion au divin, ou encore la foi et les émotions. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/conference-de-b-elahi-extrait-n%c2%b01-lame-et-le-moi-conscient/#more-5118
Ce qui lui est arrivé ce jour là dans une réunion de prière où il s’était rendu à contre-cœur, Thierry Bizot, producteur de télévision, l’a raconté en détail dans Catholique anonyme. Son épouse, Anne Giafferi, en a récemment proposé une adaptation cinématographique avec Qui a envie d’être aimé ? Au-delà du récit de conversion et des images convenues de la « rencontre avec Jésus », Thierry Bizot revient ici d’une manière personnelle sur les sentiments qui ont accompagné cette transformation intérieure aussi discrète que radicale, et sur les effets qu’elle continue d’avoir pour lui au quotidien. C’est une réorientation globale du regard sur la vie, sur les relations à soi-même et aux autres, que décrit Thierry Bizot. En évoquant l’importance de la connexion de cœur avec un Dieu personnel, la difficulté de la prière, le caractère singulier du sentiment de gratitude, les moments de lucidité et de compréhension qui jettent une lumière spéciale sur les événements de l’existence, il nous fait pénétrer de manière concrète dans la perspective d’un chrétien qui se décrit lui-même comme « un débutant de la foi », et dont l’expérience a une portée universelle, dépassant tout dogme particulier. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/%e2%80%9cune-verite-est-tombee-sur-moi%e2%80%9d/
Conférence du mois d’octobre 2010, à Paris, consacrée à deux notions-clés de la pensée d’Ostad Elahi : la connaissance de soi et le perfectionnement spirituel. La connaissance de soi est une connaissance active, concrète, in vivo, des puissances qui composent notre être ; une connaissance qui s’aiguise et s’affine à travers la pratique de l’éthique véritable, fondée sur des principes divins justes. Bahram Elahi montre de quelle manière tout le reste en découle : le niveau de développement atteint par le « métacerveau », mais aussi le degré de compréhension et de liberté dont chacun peut bénéficier ici-bas comme dans l’au-delà. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/bahram-elahi-connaissance-de-soi-et-perfection/#more-4868
Présentation des preuves ontologique, physico-téléologique et cosmologique de l’existence de Dieu. Voir l'article : Les preuves de l'existence de Dieu : quels effets ? : http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/preuves-de-l-existence-de-dieu-les-effets/
Le podcast précédent avait abordé la thématique du soi impérieux dans la tradition mystique classique, marquée par ce que Leili Anvar appelle une « stratégie d’évitement ». Une stratégie qui se traduit concrètement par des pratiques telles que des ascèses ou mortifications (évitement de la tentation endogène) et/ou un mode de vie contemplatif en retrait du monde (évitement de la tentation exogène). Nous trouvons ici la suite de cette analyse, sous la forme d’un commentaire de l’histoire dite « des deux frères », qui illustre la spécificité de la démarche spirituelle d’Ostad Elahi : sans se départir de l’objectif de perfection spirituelle et d’élévation morale des mystiques anciens, Ostad Elahi propose une méthode, appelée « spiritualité naturelle », qui requiert de vivre en société, d’y fortifier le corps en satisfaisant ses besoins légitimes, tout en renforçant l’âme afin qu’elle soit en mesure de maîtriser le soi impérieux. Là où les anciens répondaient par l’évitement à ce qu’ils concevaient comme la contradiction corps-âme, Ostad Elahi propose d’exploiter la tension corps-âme comme un moteur du perfectionnement. Ce changement constitue une forme de révolution spirituelle, dont il faut mesurer la portée. Une révolution personnelle, assurément, comme le montre la biographie d’Ostad Elahi, marquée par le basculement de sa jeunesse passée en ascèses et en retrait du monde, à une vie de magistrat engagé aux côtés de ses contemporains ; avec, dans les deux cas, le même niveau d’exigence morale et la même intensité de vie intérieure. Mais une révolution qui, replacée dans le contexte des traditions spirituelles auxquelles Ostad Elahi est affilié, constitue plus qu’une histoire singulière; car de cette expérience inédite, Ostad Elahi retire une forme de spiritualité qu’il qualifie de « nouvelle médecine de l’âme », et qui concerne tous les hommes. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/la-spiritualite-naturelle-l-art-de-vaincre-son-soi-imperieux/
« Il était une fois un chasseur de serpent qui partit dans la montagne dans le but d’attraper le serpent le plus gros qu’il pouvait… ». C’est par le biais d’un court récit de Rûmi, poète mystique persan du XVIIIe siècle, que Leili Anvar, traductrice et spécialiste de la littérature mystique, introduit ici la notion de soi impérieux. Le soi impérieux est un concept central dans la philosophie d’Ostad Elahi. Il est cette production de la psyché humaine à l’origine de pulsions qui s’élèvent systématiquement et insidieusement contre toute pensée éthique juste et contre laquelle il nous faut lutter inlassablement pour assurer notre perfectionnement spirituel. En analysant cette anecdote, en mettant en lumière sa portée morale et spirituelle, Leili Anvar nous rappelle la puissance de ce « dragon rugissant comme un lion » qui, alors même qu’on le croyait assoupi, peut ne faire de notre âme qu’une bouchée… Mais au-delà d’une simple description des manifestations du soi impérieux, son propos vise surtout à souligner la manière dont les spiritualités du passé envisageaient sa maîtrise : une stratégie d’évitement, qui consistait à s’éloigner de toute sollicitation par un retrait total de la société. Elle annonce ainsi l’une des caractéristiques de la spiritualité d’Ostad Elahi, qui, à l’anesthésie du soi impérieux, préfère le combat au corps à corps. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/le-chasseur-de-dragon-allegorie-du-soi-imperieux/
Pour beaucoup de ceux qui l’ont découvert à travers ses livres ou son enseignement, Marcel Conche incarne la figure contemporaine d’une sagesse humaine, délivrée des illusions mais ouverte au mystère des choses. André Comte-Sponville, parmi d’autres, a reconnu sa dette à son égard. Longtemps professeur de philosophie à la Sorbonne, Marcel Conche poursuit aujourd’hui son œuvre depuis son lieu de retraite. Une œuvre importante (près d’une trentaine de livres régulièrement réédités) qui n’hésite pas à aborder de front les « grandes questions » de l’existence (le destin et la mort, la vérité et le bonheur, le sens ou le non-sens de la vie, le fondement de la morale) ; une œuvre qui traverse toute l’histoire de la philosophie occidentale depuis son origine grecque, en passant par les figures matérialistes et sceptiques de Lucrèce, Pyrrhon, Montaigne ou Nietzsche, et en s’autorisant quelques incursions du côté des sagesses orientales (Lao Tseu). Sur le chapitre de la foi et du divin, Marcel Conche défend une position qu’il refuse d’assimiler à l’athéisme, bien qu’elle mette en suspens la question de l’existence d’un Dieu transcendant pour orienter la pensée vers une Nature universelle et créatrice. C’est sur cette question que s’ouvre l’entretien qu’il a bien voulu consacrer à e-ostadelahi.fr, avant de nous conduire vers le problème de la foi et de la religion, de la recherche d’une vérité sans « révélation », enfin de la morale qui, selon lui, a une portée universelle parce qu’elle constitue pour l’homme le véritable lieu de l’ouverture à la vérité. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/entretiens/
Michael Newton a publié en 2008 les Souvenirs de l’Au-delà, plus de douze ans après la publication de son premier ouvrage, Un autre corps pour mon âme. Ce thérapeute américain, de formation universitaire et sans conviction religieuse particulière, s’est intéressé presque accidentellement aux questions de la survie de l’âme, de l’au-delà et des vies antérieures, du fait des récits troublants, sous hypnose, des patients qui l’avaient sollicité pour trouver la guérison à des traumas ou des maux persistants. Il a par la suite consacré une quarantaine d’années de recherche à ces sujets. Cette vidéo se présente sous la forme d’un long entretien, repris ici par le site e-ostadelahi.fr. À travers les différentes questions abordées, Michael Newton livre sa vision, fruit des récits de ses patients sous hypnose, des mondes spirituels, des voyages de l’esprit, du sens de notre incarnation sur Terre, des groupes d’âmes, de ce qui se passe après la mort… Singulièrement, Michael Newton s’intéresse moins à la régression dans des vies antérieures qu’aux épisodes intermédiaires entre deux vies, dans ce qu’il appelle la « zone entre les vies », dont il découvre l’existence en interrogeant une patiente. Le trait le plus frappant de ces expériences, selon Michael Newton, c’est leur cohérence, leur constance. On y retrouve certaines des idées évoquées par Ostad Elahi concernant l’intermonde – en particulier, l’idée maîtresse que ce lieu de transit est avant tout une opportunité d’éducation et de préparation pour l’âme, afin qu’elle tire le meilleur profit de sa prochaine vie sur Terre. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/entretiens/
Michael Newton a publié en 2008 les Souvenirs de l’Au-delà, plus de douze ans après la publication de son premier ouvrage, Un autre corps pour mon âme. Ce thérapeute américain, de formation universitaire et sans conviction religieuse particulière, s’est intéressé presque accidentellement aux questions de la survie de l’âme, de l’au-delà et des vies antérieures, du fait des récits troublants, sous hypnose, des patients qui l’avaient sollicité pour trouver la guérison à des traumas ou des maux persistants. Il a par la suite consacré une quarantaine d’années de recherche à ces sujets. Cette vidéo se présente sous la forme d’un long entretien, repris ici par le site e-ostadelahi.fr. À travers les différentes questions abordées, Michael Newton livre sa vision, fruit des récits de ses patients sous hypnose, des mondes spirituels, des voyages de l’esprit, du sens de notre incarnation sur Terre, des groupes d’âmes, de ce qui se passe après la mort… Singulièrement, Michael Newton s’intéresse moins à la régression dans des vies antérieures qu’aux épisodes intermédiaires entre deux vies, dans ce qu’il appelle la « zone entre les vies », dont il découvre l’existence en interrogeant une patiente. Le trait le plus frappant de ces expériences, selon Michael Newton, c’est leur cohérence, leur constance. On y retrouve certaines des idées évoquées par Ostad Elahi concernant l’intermonde – en particulier, l’idée maîtresse que ce lieu de transit est avant tout une opportunité d’éducation et de préparation pour l’âme, afin qu’elle tire le meilleur profit de sa prochaine vie sur Terre. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/entretiens/
Michael Newton a publié en 2008 les Souvenirs de l’Au-delà, plus de douze ans après la publication de son premier ouvrage, Un autre corps pour mon âme. Ce thérapeute américain, de formation universitaire et sans conviction religieuse particulière, s’est intéressé presque accidentellement aux questions de la survie de l’âme, de l’au-delà et des vies antérieures, du fait des récits troublants, sous hypnose, des patients qui l’avaient sollicité pour trouver la guérison à des traumas ou des maux persistants. Il a par la suite consacré une quarantaine d’années de recherche à ces sujets. Cette vidéo se présente sous la forme d’un long entretien, repris ici par le site e-ostadelahi.fr. À travers les différentes questions abordées, Michael Newton livre sa vision, fruit des récits de ses patients sous hypnose, des mondes spirituels, des voyages de l’esprit, du sens de notre incarnation sur Terre, des groupes d’âmes, de ce qui se passe après la mort… Singulièrement, Michael Newton s’intéresse moins à la régression dans des vies antérieures qu’aux épisodes intermédiaires entre deux vies, dans ce qu’il appelle la « zone entre les vies », dont il découvre l’existence en interrogeant une patiente. Le trait le plus frappant de ces expériences, selon Michael Newton, c’est leur cohérence, leur constance. On y retrouve certaines des idées évoquées par Ostad Elahi concernant l’intermonde – en particulier, l’idée maîtresse que ce lieu de transit est avant tout une opportunité d’éducation et de préparation pour l’âme, afin qu’elle tire le meilleur profit de sa prochaine vie sur Terre. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/entretiens/
Michael Newton a publié en 2008 les Souvenirs de l’Au-delà, plus de douze ans après la publication de son premier ouvrage, Un autre corps pour mon âme. Ce thérapeute américain, de formation universitaire et sans conviction religieuse particulière, s’est intéressé presque accidentellement aux questions de la survie de l’âme, de l’au-delà et des vies antérieures, du fait des récits troublants, sous hypnose, des patients qui l’avaient sollicité pour trouver la guérison à des traumas ou des maux persistants. Il a par la suite consacré une quarantaine d’années de recherche à ces sujets. Cette vidéo se présente sous la forme d’un long entretien, repris ici par le site e-ostadelahi.fr. À travers les différentes questions abordées, Michael Newton livre sa vision, fruit des récits de ses patients sous hypnose, des mondes spirituels, des voyages de l’esprit, du sens de notre incarnation sur Terre, des groupes d’âmes, de ce qui se passe après la mort… Singulièrement, Michael Newton s’intéresse moins à la régression dans des vies antérieures qu’aux épisodes intermédiaires entre deux vies, dans ce qu’il appelle la « zone entre les vies », dont il découvre l’existence en interrogeant une patiente. Le trait le plus frappant de ces expériences, selon Michael Newton, c’est leur cohérence, leur constance. On y retrouve certaines des idées évoquées par Ostad Elahi concernant l’intermonde – en particulier, l’idée maîtresse que ce lieu de transit est avant tout une opportunité d’éducation et de préparation pour l’âme, afin qu’elle tire le meilleur profit de sa prochaine vie sur Terre. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/entretiens/
Michael Newton a publié en 2008 les Souvenirs de l’Au-delà, plus de douze ans après la publication de son premier ouvrage, Un autre corps pour mon âme. Ce thérapeute américain, de formation universitaire et sans conviction religieuse particulière, s’est intéressé presque accidentellement aux questions de la survie de l’âme, de l’au-delà et des vies antérieures, du fait des récits troublants, sous hypnose, des patients qui l’avaient sollicité pour trouver la guérison à des traumas ou des maux persistants. Il a par la suite consacré une quarantaine d’années de recherche à ces sujets. Cette vidéo se présente sous la forme d’un long entretien, repris ici par le site e-ostadelahi.fr. À travers les différentes questions abordées, Michael Newton livre sa vision, fruit des récits de ses patients sous hypnose, des mondes spirituels, des voyages de l’esprit, du sens de notre incarnation sur Terre, des groupes d’âmes, de ce qui se passe après la mort… Singulièrement, Michael Newton s’intéresse moins à la régression dans des vies antérieures qu’aux épisodes intermédiaires entre deux vies, dans ce qu’il appelle la « zone entre les vies », dont il découvre l’existence en interrogeant une patiente. Le trait le plus frappant de ces expériences, selon Michael Newton, c’est leur cohérence, leur constance. On y retrouve certaines des idées évoquées par Ostad Elahi concernant l’intermonde – en particulier, l’idée maîtresse que ce lieu de transit est avant tout une opportunité d’éducation et de préparation pour l’âme, afin qu’elle tire le meilleur profit de sa prochaine vie sur Terre. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/entretiens/
Nous avons vu, dans une conférence précédente, la place centrale de l’éthique dans le perfectionnement. Selon Ostad Elahi, pas de perfectionnement spirituel sans travail sur nos caractères moraux. Au-delà de ce positionnement, il convient maintenant d’interroger le contenu pratique de l’éthique, autrement dit les conditions pour une « pratique éthique ». Ce qui se fera, notamment, en examinant la réciproque de la proposition précédente : pas d’éthique soutenable sans un horizon de perfection spirituelle, plus précisément sans un apport d’énergie divine. Pour mener à bien cette investigation, cette conférence reprend l’analogie de l’alimentation, développée par Bahram Elahi dans son ouvrage Médecine de l’âme. Cette analogie permet de dégager les différentes étapes de la pratique éthique, comme un processus que chacun peut expérimenter par lui-même. Une telle pratique, pour aboutir à une croissance normale de l’âme, doit respecter des conditions que cette conférence esquisse. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/conferences/
Entretien avec Frédéric Lenoir, directeur du magazine Le Monde des Religions, historien des religions. Évoquant son dernier ouvrage (Socrate, Jésus, Bouddha : trois maîtres de vie), Frédéric Lenoir donne à voir, dans cet entretien accordé à e-ostadelahi.fr, ce qui fait son idéal spirituel et comment il s’efforce de le mettre en actes à travers le questionnement philosophique, la maîtrise de ses émotions et sa liaison de cœur avec Jésus. Pour lui, la spiritualité est avant tout une quête personnelle qui émancipe et libère, ce qui la distingue de la religion, inscrite dans le collectif, la communion et l’échange, mais susceptible de dogmatisme et d’infantilisation. Par ailleurs, la spiritualité porte l’exigence de la recherche du vrai et de l’universalité : « chaque être humain est égal en dignité, capable d’atteindre un but spirituel élevé ». C’est dans cette ambition d’une spiritualité qui à la fois émancipe et responsabilise que se situe la modernité du message de ces trois « maîtres de vie » que sont, pour Frédéric Lenoir, Socrate, Jésus et Bouddha. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/entretiens/
Cette conférence présente la vision d’Ostad Elahi sur l’éthique, comme dispositif pratique que nous pouvons utiliser, au quotidien, afin de nous perfectionner spirituellement. En continuité avec ce que d’autres penseurs ont pu dire de l’éthique – Aristote et le concept de vertu, par exemple – Ostad Elahi opère cependant un triple dépassement : - En lui donnant comme finalité la perfection spirituelle de l’être humain, il libère l’éthique du statut de simple conditionnement social au service du mieux vivre ensemble. - En lui donnant un contenu pratique, d’ordre cognitif ou comportemental, il confère à l’éthique une épaisseur expérimentale, qui permet de dépasser le niveau du discours moral normatif. - En plaçant au cœur de la pratique éthique l’attention au divin, il réintroduit , dans le moindre geste du quotidien, l’élan spirituel des mystiques du passé. Cette première conférence positionne l’éthique dans sa fonction spirituelle d’outil au service du perfectionnement. La prochaine conférence détaillera les conditions de la pratique éthique selon Ostad Elahi. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/conferences/
Dans Bonté divine, un pièce écrite par Frédéric Lenoir et Louis-Michel Colla, les spectateurs du théâtre de la Gaîté-Montparnasse ont pu voir Roland Giraud incarner un prêtre en proie au doute, donnant la réplique à un rabbin, un imam et un bonze au cours d’une intense discussion à huis-clos. Le sujet de cette comédie qui conjugue l’humour à la profondeur n’est évidemment pas étranger au rapport personnel qu’entretient l’acteur au message religieux, et à la manière dont il s’efforce de le mettre en œuvre pour son compte dans sa propre vie, jusque dans les épreuves et les doutes. Car « il n’existe pas de croyants ou d’incroyants purs et durs », explique Roland Giraud. Dans l’entretien qu’il a accordé à e-ostadelahi, il revient sur son parcours spirituel et quelques-unes des dimensions pratiques de son idéal de vie : la force des valeurs de foi et de confiance, l’expérience de l’altruisme, la fonction de la prière. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/entretiens/
Que savons-nous de la mort ? Le plus simple est peut-être de s’adresser à ceux qui l’ont frôlée. Depuis l’ouvrage classique de Raymond Moody (La Vie après la vie, 1975), de multiples enquêtes ont été menées par des scientifiques sur la question des « NDE » (Near Death Experiences), ou « expériences de mort imminente ». Ce qui rend ces travaux particulièrement délicats, c’est bien entendu le statut du témoignage des principaux intéressés : ceux qui ont paradoxalement vécu leur propre mort. Comment décrire en effet ce qui dépasse les mots ? Quels symboles peut-on mobiliser pour rendre compte de l’expérience transformatrice des NDE ? En quel sens, d’ailleurs, ces expériences sont-elles transformatrices ? Quelle portée spirituelle faut-il leur accorder ? Ce document vidéo présente deux éclairages différents sur ces questions. L’analyse de Patrice Van Eersel, journaliste et écrivain, rédacteur en chef du magazine Nouvelles clés et auteur d’une célèbre enquête intitulée La Source Noire : Révélations aux portes de la mort (Grasset, 1986), est suivie par le témoignage en première personne d’Olivier Estiez. Ce dernier a survécu à une maladie grave qui a failli l’emporter pour de bon. Il rapporte ici l’expérience unique qu’il a vécue, suspendu entre la vie et la mort, mais surtout il explique ce qu’il en a retiré concrètement : modification profonde de son rapport à la « croyance », réorientation éthique (plutôt que religieuse) de toute l’existence, changement qualitatif de la relation à soi et aux autres. Car la valeur spirituelle des NDE tient sans doute moins au vécu paranormal de certains individus au seuil de la mort, qu’au sens nouveau qu’elles confèrent à la vie de ceux qui en font l’expérience. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/entretiens/
Qu’est-ce qui en moi dit « je » ? Quelle est la nature de ma conscience ? De quoi est faite mon « âme » ? Comment suis-je « construit » psychiquement ? On peut poser la question de multiples façons, remplacer un terme par un autre… On en revient toujours à cette énigme : qu’est-ce ce qui produit en moi cette sensation d’exister, mais régit aussi mes comportements, mes pensées, mes émotions ? Quelle est cette « chose », qui me permet de penser, de décider, de ressentir, qui dit « moi », contient toutes mes expériences, et me donne ce sentiment intime d’être moi-même ? La conférence Le modèle du soi examine plusieurs approches autour de ces questions, celle des neurosciences, celle de Freud et tout particulièrement le modèle du « soi » selon Bahram Elahi. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/conferences/
Depuis une quarantaine d’années, le père Gilbert exerce un sacerdoce inhabituel aux côtés de ceux que la société rejette : pauvres, exclus, « perdus » en tous genres. Son action militante en tant qu’éducateur l’inscrit dans la tradition du christianisme social et des prêtres-ouvriers. À partir de la fin des années 1970, plusieurs livres énergiques et des actions relayées par les médias l’ont fait connaître du grand public comme le « prêtre des loubards ». À Paris, mais aussi à Faucon, la bergerie provençale où il accueille des jeunes dits « irrécupérables », il lutte contre l’injustice et défend une certaine idée de la foi. Son combat le rapproche de figures comme celles de Sœur Emmanuelle ou de l’Abbé Pierre. Dans cet entretien d’une dizaine de minutes réalisé pour e-ostadelahi.fr, il aborde sans détour et avec le franc-parler qu’on lui connait, quelques aspects d’un engagement qu’il décrit comme un « témoignage de vie ». Il y est question de la souffrance – celle des jeunes notamment -, de la possibilité d’un rapport concret et pratique à ce qu’on appelle « Dieu », du problème des religions actuelles, de la dignité et du respect, de la rencontre de l’autre. La bibliographie de Guy Gilbert compte une quinzaine d’ouvrages, parmi lesquels : Un Prêtre chez les loubards (1978), Et si je me confessais (2008). http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/entretiens/
Entretien avec Abdennour Bidar, professeur de philosophie en classes préparatoires, écrivain. Que faire lorsque Dieu ne parle plus, si personne n’a le droit de parler à sa place ? Comment continuer à nourrir néanmoins le projet de donner un sens spirituel à l’existence humaine, dans un rapport à la fois constructif et critique au religieux ? Auteur d’Un Islam pour notre temps (Seuil, 2004) et de Self-Islam (Seuil, 2006), Abdennour Bidar livre ici de manière profonde et directe son sentiment sur la possibilité de vivre la « crise du sacré » de manière positive, par delà les divisions héritées entre Orient et Occident, religion instituée et spiritualité personnelle. On y retrouve certains des thèmes développés dans son tout dernier livre : Un Islam sans soumission (Albin Michel, 2008) http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/entretiens/
Droits et devoirs : voilà deux notions qui paraissent en dehors de la modernité, au moins pour la seconde. Pour ce qui est des droits, on pense immédiatement aux droits de l’homme, et plus récemment à toute une série de droits dits « opposables » et qui font débat. Des devoirs on ne dit rien, ou presque rien, le mot répugne par son caractère contraignant, contrariant notre goût pour la liberté ; et on préfère l’évoquer indirectement à travers des notions comme la déontologie, la citoyenneté, l’éco-responsabilité ou la responsabilité juridique, etc. La conférence Les devoirs de l’homme aborde les notions de droits et de devoirs sous l’angle existentiel, comme un retour aux sources même du droit. Par création, toute être, humain ou autre, dispose du droit de retourner à son origine, la source divine, selon un cheminement qu’Ostad Elahi appelle le perfectionnement. Mais pour obtenir ce droit, l’être humain doit accomplir un certain nombre de devoirs… http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/conferences/
Entretien avec Jean During, orientaliste et musicologue, directeur de recherches au CNRS. Ce spécialiste des traditions d’Asie intérieure, auteur d’une dizaine d’ouvrages, décrit dans ce document les traits singuliers de la musique d’Ostad Elahi, en la mettant en relation avec son enseignement spirituel. Les questions abordées sont les suivantes : Pourquoi Ostad Elahi est-il reconnu comme le « maître » du tanbur ? En quoi a-t-il réinventé sa tradition musicale ? Quelle était la place de la musique pour Ostad Elahi ? Sa musique peut-elle être qualifiée de « méditative » ? L’enseignement spirituel d’Ostad Elahi est-il aussi singulier que sa musique ? Les vues présentées dans ce court entretien ont été plus largement développées par Jean During dans L’Âme des sons : l’art unique d’Ostad Elahi, Éditions Le Relié, 2001. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/entretiens/
L’idée que l’on peut se transformer pour devenir meilleur est probablement la définition première de la spiritualité. Elle porte en germe l’intuition d’un bonheur supérieur qui coïnciderait avec un état de perfection morale, de sagesse, d’humanité parfaite. Cette conférence présente en résumé comment Ostad Elahi explicite cette intuition autour des notions de perfection et de perfectionnement. La perfection comme finalité de tous les êtres, créés pour retourner à leur Origine. Le perfectionnement comme trajectoire, soumise à des lois et des contraintes précises. Trajectoire qui, pour l’homme, est le résultat de ses efforts volontaires pour s’éduquer et développer en soi les vertus divines. http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/category/conferences/