POPULARITY
Categories
Pourquoi est-il si difficile de raconter son histoire, quand on est asiatique en France ?Dans cet épisode solo, je vous parle à cœur ouvert de ce qui m'a bloquée pendant des mois. Ce n'est pas un manque d'idées. Ni du à mon perfectionnisme (un peu, mais pas que). Il y avait autre chose. Qui vous touche peut-être aussi. J'ai eu un déclic. Et j'ai voulu vous partager mes batailles intérieures, les mécanismes qui nous empêchent, souvent, de prendre la parole, et les réponses que j'ai trouvées récemment.Dans cet épisode, je vous parle de :ce qui m'a empêchée de publier des épisodes sur ce podcastdu mythe de la minorité modèle et de ses effets sur nos parcoursde l'exigence de perfection héritée de notre éducation et de notre culturede la légitimité à raconter nos histoires dites "ordinaires"de la violence de l'invisibilisation des récits asiatiquesde ce que signifie "reprendre la parole" dans un contexte de sous-représentationet de comment j'ai décidé de relancer Asiattitudes avec moins de blocagesC'est un bout de journal intime qui j'espère, résonnera chez certain•es d'entre vous. C'est ma manière de me rappeler, et de nous rappeler à tous•tes, par la même occasion, que nos histoires méritent d'exister. Même quand elles ne sont pas spectaculaires. Parce que ces histoires nous appartiennent. Elles ne seront racontées par personne d'autre que nous. Et qu'elles sont le seul moyen de transformer les représentations.Bonne écoute !Mélanie***Références citées dans l'épisode :Podcast : Comment écrire de nouveaux récits - Renverser la table, avec Alice ZeniterComprendre l'histoire des immigrations est et sud-est asiatiques - Asiattitudes, avec Simeng WangSuivre Asiattitudes :✨ Abonnez-vous au podcast sur votre application d'écoute ✨ Partagez les épisodes qui vous ont interrogé, qui ont résonné en vous✨ Suivez Asiattitudes sur les réseaux : Instagram, Linkedin✨ Abonnez-vous à la newsletter AsiattitudesCrédits :Ecriture, animation, réalisation : Mélanie Hong.Générique : Hongli Wang.Graphisme : Mélanie Hong.Email : asiattitudes (at) gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mercredi 1er octobre, François Sorel a reçu Hugo Weber, vice-président de Mirakl, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud, ainsi que Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur les nouvelles enceintes et les écrans connectés d'Amazon, le lancement de Sora, le TikTok IA lancé par OpenAI, et la possibilité de réaliser des achats directement dans ChatGPT, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Ce mercredi 1er octobre, François Sorel a reçu Hugo Weber, vice-président de Mirakl, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur un nouveau visa en Chine pour attirer les cerveaux étrangers de la tech, le lancement de la filiale d'Ubisoft aux côtés de Tencent, et Daniel Ek qui quitte son rôle de PDG chez Spotify, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Mercredi 1er octobre, François Sorel a reçu Hugo Weber, vice-Président de Mirakl, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 1er octobre, François Sorel a reçu Hugo Weber, vice-président de Mirakl, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud, Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, Léa Benaim, journaliste BFM Business, Kesso Diallo, journaliste Tech&Co, Paul Chaîne, directeur du service numérique du Château de Versailles, Isabelle Hilali, fondatrice et CEO de Datacraft, Tristan Marandin, cofondateur de DivinData et ingénieur IA, et Paul Decroux, data scientist à la Société Générale, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Depuis 2023, Meta s'est lancé dans une drôle d'aventure : peupler Instagram, Messenger et WhatsApp de chatbots personnalisés. Au départ, ils prenaient les traits de célébrités, comme un gadget marketing. Puis l'entreprise a ouvert son outil AI Studio, permettant à chacun de créer ses propres personnages. Mais pour les marchés internationaux, ce sont des freelances chevronnés qui s'en chargent.Meta les recrute en hindi, espagnol, indonésien ou portugais, avec un profil exigeant : au moins six ans d'expérience en narration et en conception de personnages. Leur mission ? Donner vie à ces bots. Ils choisissent un vocabulaire adapté, conçoivent une personnalité cohérente et ajustent chaque interaction au contexte culturel local. Les dialogues ne doivent pas seulement être fluides : ils doivent sonner vrai pour l'utilisateur, qu'il soit en Amérique latine, en Inde ou en Asie du Sud-Est. Cette attention au détail n'a rien d'anodin. Car Meta garde en mémoire des dérapages passés. Selon Reuters, certains bots avaient pu fournir de fausses informations médicales, tenir des propos racistes, voire entretenir des conversations sexuelles avec des mineurs. Désormais, les freelances surveillent et corrigent les dialogues en continu, traquant les informations personnelles et ajustant les réponses pour rester dans des limites claires.Dans tous les cas, Meta cherche à maintenir l'équilibre : offrir des personnages attractifs, mais éviter les dérapages. La rémunération suit la complexité de la tâche. Meta propose jusqu'à 55 dollars de l'heure à ses freelances. Une somme élevée, mais qui reflète la minutie du travail : écrire des dialogues naturels dans plusieurs langues, bâtir des personnalités crédibles et vérifier en permanence que les conversations restent pertinentes. Derrière l'image ludique de ces chatbots, on découvre une réalité bien plus sérieuse : Meta veut transformer ces personnages virtuels en un canal de communication incontournable, calibré au mot près, et surveillé de près. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Hlavní host Jiří Krejčík (Katedra asijských studií Metropolitní univerzita Praha), moderuje: Aleš Karmazin, redakce a zprávy: Michaela Buchníčková a Radka Jančová
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Jeremstar, influenceur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Entre le démantèlement de l'USAID au début du second mandat de Donald Trump et les coupes dans les budgets européens, l'aide internationale à la santé est au plus bas depuis 15 ans. Quelles sont les conséquences pour les pays qui en ont le plus besoin ? Quels sont les risques à moyen terme ? Peut-on trouver des solutions de remplacement ? Avec : - Serge Breysse, médecin diplômé en Santé publique et enseignant à Sciences Po Paris, il possède une vaste expérience dans le domaine de la solidarité internationale, avec 25 ans dans des organisations de solidarité internationale en Afrique et en Asie, et des fonctions dans plusieurs sièges de ces organisations. Engagé dans diverses activités associatives et membre du Conseil d'administration d'Action Contre la Faim, Serge Breysse est aujourd'hui directeur général de SOLTHIS et membre du Conseil national pour le Développement et la Solidarité Internationale. À lire aussiAide internationale : l'impact des coupes budgétaires de l'administration américaine
Lundi 15 septembre, le groupe Alphabet qui détient Google, a dépassé les 3 000 milliards de valorisations en Bourse. Une performance mondiale due notamment à ses succès dans le transport autonome. Voitures, taxis sans chauffeurs circulent déjà dans les grandes villes du monde. Mais si le marché prospère en Asie et en Amérique du Nord, l'Europe reste à la marge. Pourtant, des idées arrivent pour s'adapter aux Européens. Deux gros points sur le globe : les USA et l'Asie, notamment la Chine, championne du marché avec son géant technologique, Baidu. Ce groupe a fait des villes du centre de la Chine les laboratoires du véhicule autonome. Des camions sans chauffeurs opèrent également dans tous les grands ports : Shanghaï, Shenzhen… Aux États-Unis, Google avec sa marque de taxis Waymo sans pédales ni chauffeurs réalise le plus de trajets, environ 250 000 par semaine, majoritairement en Californie. Les concurrents arrivent ! L'entreprise Tesla du milliardaire Elon Musk promet, dès la fin de l'année, d'agrandir sa flotte de robotaxis, tout comme le transporteur Uber. L'Europe mise sur le transport collectif autonome Et l'Europe alors ? Pour le chercheur Félix Carreyre, membre du Vedecom, institut spécialisé, les conducteurs européens n'auront jamais la culture du véhicule privé autonome. L'avenir de l'autonomie est au collectif, des villes moyennes comme la Rochelle testent des navettes de moins de vingt passagers : En Europe, nous n'avons pas le même rapport aux voitures autonomes qu'aux États-Unis ou en Asie. Si les Européens ne sont pas encore passés à l'autonomie des voitures personnelles, ils sont plus ouverts à des transports en commun autonomes. C'est déjà le cas dans certaines villes qui testent des navettes sur des trajets bien précis à 8 ou 12 places. En Europe, le véhicule autonome a sa place pour des lignes dans les petites villes, voire dans les villages. Partout où les bus ne seraient pas rentables, par manque d'usagers pas assez nombreux pour des trajets réguliers et quotidiens. À lire aussiRobotaxis: une réalité aux États-Unis et en Chine, bientôt en Europe? Qu'ils soient individuels ou collectifs, ces véhicules utilisent de l'autonomie embarquée (capteurs, caméras…) donc énormément de données énergivores. Pour que cette grande quantité d'énergie aide à lutter contre le réchauffement de l'atmosphère, il faut miser sur le renouvelable (énergie solaire, éolienne…) Le Maroc, porte-drapeau de l'Afrique En Afrique, l'énergie solaire et ses promesses de batteries écologiques peuvent faire espérer un avenir pour des véhicules autonomes collectifs qui feraient chuter les niveaux de pollution. Il s'agirait de navettes ou de bus pour des trajets collectifs. Le Kenya, l'Afrique du Sud ont commencé les projets. Mais sur le continent, c'est surtout le Maroc qui y croit. Le royaume annonce son ambition d'être le pays pionnier du transport autonome en Afrique. À lire aussiPionnier du TGV en Afrique, le Maroc veut participer à l'extension de la grande vitesse sur le continent
Evropa, Asie i Afrika, tam jsou ohroženi zejména supi a orli. Hlavní podíl na jejich chovu a návratu do přírody má světově uznávaný ornitolog liberecké zoo Jan Hanel.
Vous préparez un voyage à Singapour ou vous rêvez de découvrir cette ville unique ? Dans cet épisode, je partage mes émotions quelques heures avant de quitter le Canada pour un long périple, puis je vous emmène en immersion dans les rues de Singapour. À travers une visite guidée, je vous livre anecdotes, découvertes et conseils pratiques pour visiter Singapour et profiter pleinement de cette destination incontournable en Asie. Un épisode immersif idéal pour toutes celles et ceux qui veulent découvrir Singapour autrement et préparer leur séjour.#VoyageSingapour #VisiterSingapour #DécouvrirSingapour #SingapourCity #VoyageAsie #DestinationSingapour #TravelSingapore #SingaporeTrip #GuideSingapour #BaladeSingapour"Liens utiles :Les conseils pratiques de Caroline pour visiter Singapour : https://smartlink.ausha.co/fill-expats/singapour-experiences-uniquesSi tu es nouvelles par ici et que tu souhaites en savoir plus sur mes aventures de voyage solo, tu peux aller découvrir le précédent épisode par ici : https://smartlink.ausha.co/fill-expats/retour-au-canadaÀ tester absolument : Toast Box et Kaya toast
Si le taux de bancarisation progresse sur le continent africain, près de 60% de la population n'a pas de compte bancaire. Une situation qui freine notamment l'entreprenariat. Sans accès au financement, difficile de lancer son activité ou de la développer. Face à ce constat, le microcrédit s'est imposé comme une réponse concrète aux défis de l'inclusion financière. L'accès à des petits prêts permet aux bénéficiaires d'obtenir des ressources, mais aussi de gagner en indépendance, en confiance et en pouvoir de décision vis-à-vis de leur famille et de la communauté. S'il existe des solutions de microcrédit social, sans contrepartie, les taux élevés, pratiqués parfois par les organismes de microfinance, sont aussi pointés du doigt. Quelles sont les limites de la microfinance ? Permet-elle de passer à l'échelle pour les entrepreneurs et entrepreneuses et de s'insérer dans le système bancaire traditionnel ? Quelles sont les innovations qui pourraient permettre d'élargir son spectre ? Avec : • Marie Ateba-Forget, responsable du pôle microfinance sociale d'Entrepreneurs du Monde, association qui accompagne l'insertion sociale et économique de personnes en situation de grande précarité en Afrique, en Asie, en Haïti et en France. Un reportage de Raphaëlle Constant à Conakry en Guinée : Depuis 2016, l'institution de microfinance sociale Wakili incubée par l'ONG Entrepreneurs du monde, a développé un programme de terrain pour accompagner les personnes vulnérables dans le développement de leurs activités économiques. C'est aujourd'hui la seule institution à proposer de la microfinance sociale dans le pays aux personnes exclues du système bancaire classique. Depuis sa création, Wakili a accompagné plus de 19 000 micro-entrepreneurs dans toute la Guinée, dont 78% de femmes. Notre reporter a rencontré Alex Kadjomou, chargé de développement de Wakili Guinée et Mabinty Thiam, 38 ans et 5 enfants, bénéficiaire du programme dans le quartier de Cobayah. En fin d'émission, la chronique IA débat, de Thibault Matha, un nouveau rendez-vous bimensuel chez 8 milliards de voisins. Alors que l'intelligence artificielle devient omniprésente dans notre quotidien et que son utilisation se démocratise, Thibault Matha interrogera les outils, et analysera la pertinence de leurs réponses. Aujourd'hui, comment les IA conversationnelles hiérarchisent l'actualité ? Programmation musicale : ► Mamadona – Mohombie ► Boomer – Gael Faye.
On pourrait croire que le malheur frappe surtout les adolescents en crise ou les personnes âgées confrontées à la solitude. Pourtant, la science a une réponse surprenante. Une vaste étude publiée dans la revue PLOS One s'est penchée sur cette question en compilant des données colossales : plus de 10 millions d'Américains, 40 000 ménages britanniques et près de 2 millions de personnes issues de 44 pays différents. Un échantillon gigantesque, qui permet d'identifier une tendance universelle.Le résultat ? Le sentiment de mal-être n'atteint pas son sommet à l'adolescence, ni à la fin de la vie… mais vers l'âge de 47 ans.Les chercheurs parlent d'une véritable « courbe en U » du bonheur. Concrètement, la satisfaction de vie est relativement élevée chez les jeunes adultes, elle décline progressivement à mesure que l'on approche de la quarantaine, atteint un point bas autour de 47 ans, puis remonte dans la seconde partie de la vie. Autrement dit, beaucoup de personnes rapportent être plus heureuses à 60 ans qu'à 40.Pourquoi ce creux à la quarantaine ? Plusieurs explications sont avancées. C'est souvent l'âge des responsabilités maximales : charges familiales, pression professionnelle, dettes, fatigue accumulée. C'est aussi le moment où l'on mesure l'écart entre ses rêves de jeunesse et la réalité. Les chercheurs évoquent une sorte de « crise du milieu de vie », pas toujours visible mais largement ressentie.Après ce cap, les choses s'améliorent. Avec l'âge, les attentes deviennent plus réalistes, les pressions diminuent souvent, et beaucoup de personnes développent une meilleure gestion émotionnelle. C'est ce qui expliquerait la remontée du bien-être observée statistiquement après 50 ans.Il est intéressant de noter que cette courbe en U se retrouve dans presque toutes les cultures étudiées : qu'on vive aux États-Unis, en Europe, en Asie ou en Amérique latine, la tendance est la même. Cela suggère un mécanisme profondément ancré dans la trajectoire humaine, au-delà des différences sociales ou culturelles.Évidemment, il s'agit d'une moyenne : certaines personnes traversent leur quarantaine très heureuses, d'autres peuvent souffrir à d'autres âges. Mais sur le plan statistique, le pic de malheur se situe bien autour de la cinquantaine.Conclusion : si vous avez entre 45 et 50 ans et que vous vous sentez un peu moins heureux, sachez que vous n'êtes pas seul… et que la science promet des jours meilleurs : le bonheur remonte après ce cap. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si le taux de bancarisation progresse sur le continent africain, près de 60% de la population n'a pas de compte bancaire. Une situation qui freine notamment l'entreprenariat. Sans accès au financement, difficile de lancer son activité ou de la développer. Face à ce constat, le microcrédit s'est imposé comme une réponse concrète aux défis de l'inclusion financière. L'accès à des petits prêts permet aux bénéficiaires d'obtenir des ressources, mais aussi de gagner en indépendance, en confiance et en pouvoir de décision vis-à-vis de leur famille et de la communauté. S'il existe des solutions de microcrédit social, sans contrepartie, les taux élevés, pratiqués parfois par les organismes de microfinance, sont aussi pointés du doigt. Quelles sont les limites de la microfinance ? Permet-elle de passer à l'échelle pour les entrepreneurs et entrepreneuses et de s'insérer dans le système bancaire traditionnel ? Quelles sont les innovations qui pourraient permettre d'élargir son spectre ? Avec : • Marie Ateba-Forget, responsable du pôle microfinance sociale d'Entrepreneurs du Monde, association qui accompagne l'insertion sociale et économique de personnes en situation de grande précarité en Afrique, en Asie, en Haïti et en France. Un reportage de Raphaëlle Constant à Conakry en Guinée : Depuis 2016, l'institution de microfinance sociale Wakili incubée par l'ONG Entrepreneurs du monde, a développé un programme de terrain pour accompagner les personnes vulnérables dans le développement de leurs activités économiques. C'est aujourd'hui la seule institution à proposer de la microfinance sociale dans le pays aux personnes exclues du système bancaire classique. Depuis sa création, Wakili a accompagné plus de 19 000 micro-entrepreneurs dans toute la Guinée, dont 78% de femmes. Notre reporter a rencontré Alex Kadjomou, chargé de développement de Wakili Guinée et Mabinty Thiam, 38 ans et 5 enfants, bénéficiaire du programme dans le quartier de Cobayah. En fin d'émission, la chronique IA débat, de Thibault Matha, un nouveau rendez-vous bimensuel chez 8 milliards de voisins. Alors que l'intelligence artificielle devient omniprésente dans notre quotidien et que son utilisation se démocratise, Thibault Matha interrogera les outils, et analysera la pertinence de leurs réponses. Aujourd'hui, comment les IA conversationnelles hiérarchisent l'actualité ? Programmation musicale : ► Mamadona – Mohombie ► Boomer – Gael Faye.
durée : 00:02:47 - Les Oyas, des pots esthétiques et ingénieux qui économisent l'eau - par : Nathalie Mazet - Les Oyas sont des pots d'irrigation en céramique microporeuse révolutionnant l'arrosage. Utilisées depuis plus de 2000 ans en Asie notamment, elles offrent une solution économe en eau tout en limitant l'évaporation et les maladies des plantes. Le bonus : elles sont très esthétiques ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Instant Simple - Histoires de voyage et de développement personnel
Sur les réseaux, tout le monde vous partage leurs grands voyages mais très peu parle du retour. Le retour au quotidien, à ses habitudes auxquelles nous avons échappées pendant plusieurs mois et qui nous reviennent en face à face le jour de notre retour.Voilà deux mois que je suis rentrée de ce grand voyage de 6 mois en Asie et dans cet épisode j'aborde avec vous le retour. Comment ça s'est passé ? Comment ça se passe encore ? Je vous dévoile quelques conseils et mes pensées autour de ce sujet bien souvent occulté.C'est avec la voix qui tremble, les yeux qui pétillent et qui retiennent quelques larmes que je vous dévoile cet épisode, qui a été, je dois bien le dire, très thérapeutique !Si toi aussi tu reviens d'un grand voyage n'hésite pas à venir en parler en commentaires !Je vous mets aussi le lien de Poster Voyage si vous voulez allez voir ce qu'ils font : @postervoyage sur insta !________
Arme du Diable ou des assassins pour les uns, symbole de liberté pour les autres, l'arbalète a révolutionné l'art de la guerre. Conçue probablement en Asie au 5e siècle avant notre ère, l'arbalète s'installe en Suisse et pour longtemps, au 11e siècle. Des fédérations pratiquent aujourd'hui encore l'art ancestral du tir à l'arbalète sur cible ou sur des perroquets en bois. Symbole de l'unité helvétique par excellence grâce au personnage de Guillaume Tell, l'arbalète se fait label de promotion des produits suisses après la crise économique mondiale de 1929. Avec Daniel Jaquet, historien médiéviste et Anne Pastori Zumbach, historienne de l'art Entretiens : Pierre Jenny pour Histoire Vivante
L'Assemblée générale des Nations unies (qui célèbre ses 80 ans cette année) s'ouvre cette semaine à New York. Il y a un an, lors de ce rendez-vous, Joe Biden, alors président des États-Unis, s'engageait en faveur de deux sièges permanents pour l'Afrique au Conseil de sécurité de l'ONU. Un an plus tard, cet espoir s'est-il envolé ? Directeur régional de l'Institut d'études de sécurité pour l'Afrique de l'Est, Paul-Simon Handy répond aux questions de Florence Morice. RFI : La France va pousser à New York cette semaine pour une réforme du Conseil de sécurité. Est-ce que l'Afrique a une chance de décrocher enfin un ou plusieurs sièges de membres permanents de ce Conseil ? Paul-Simon Handy : Je ne pense pas que ça se décide cette année. Il y a un consensus grandissant parmi les cinq membres permanents du Conseil de sécurité sur le fait que le Conseil, tel qu'il est, ne peut plus résoudre les problèmes mondiaux et qu'il faille l'élargir, mais surtout aussi qu'il faille que l'Afrique soit représentée. Mais une fois qu'on a exprimé cela, on n'a pas résolu le problème qui est que si tout le monde s'accorde sur l'élargissement, personne n'est d'accord sur les modalités pour y arriver. Comment expliquez-vous que, sur le principe au moins, chacun s'accorde désormais sur cette nécessité d'un élargissement du Conseil de sécurité au continent africain ? Pour l'Afrique, ce qui a été important, c'était la réalisation aussi du fait que l'Afrique est probablement la dernière frontière, comme on dit, le nouvel espace du développement. La croissance mondiale, ne fois qu'elle va s'estomper en Asie, elle va se passer en Afrique. Et je pense que pour tous ceux qui veulent faire des affaires en Afrique, il faudrait pouvoir donner quelque chose en échange à l'Afrique. Je pense donc que c'est politiquement que l'Afrique a grandi en importance. Et ceci se reflète maintenant dans le fait qu'on envisage de plus en plus qu'elle ait un siège au Conseil. Ce qui coince notamment, c'est la question du droit de veto. Les membres actuels ne veulent pas le partager avec de nouveaux entrants. Est-ce qu'il y a eu des avancées ou des évolutions à ce sujet cette année ? Il y a très peu de mouvement sur la question de veto. Il y a beaucoup d'options qui sont sur la table. L'une des options, c'est qu'on élargisse le veto à tout le monde, y compris les nouveaux, ou alors qu'on l'abolisse pour tout le monde. Mais si on fait perdre ce droit à ses détenteurs aujourd'hui, il faudrait leur donner quelque chose en échange. Et c'est justement sur cet aspect que les discussions ne sont pas encore achevées. Un autre problème, c'est que, en cas d'élargissement, il n'y a pas de consensus entre les pays africains sur la manière de choisir les deux pays qui occuperaient ces deux sièges permanents, où on est-on sur ce sujet ? A cette question, les pays africains généralement ont une parade. Ils disent « mettons nous d'accord sur le principe et nous vous présenterons les deux représentants de l'Afrique », ce qui permet de gagner du temps à vrai dire. On sait très bien qu'il sera difficile de trouver deux représentants parce que les prétendants sont nombreux et les critères pour la représentation sont assez précis. Il n'y a pas beaucoup de pays africains industrialisés qui auraient les moyens, une fois membre du Conseil de sécurité, de contribuer financièrement, matériellement aux décisions, à la mise en œuvre des décisions prises par le Conseil de sécurité. Mais donc où en est-on sur le mode de désignation, toujours d'un côté l'Union africaine qui a créé le C10, un groupe de pays chargés de négocier, mais de l'autre côté, des pays tels que l'Égypte et l'Afrique du Sud qui négocient de leur côté ? Le C10 est au moins l'instance officielle. Il est le lieu où les propositions officielles sont discutées. Mais il y a, à côté du C10, énormément de forums informels. Je pense que l'Afrique du Sud et l'Égypte mènent une campagne active, discrète - parce que, d'un autre côté, ils ne veulent pas non plus apparaître comme faisant cavalier seul - discrète, mais très efficace. Ils ont élargi leurs négociations parce qu'ils sentent qu'il y a une vraie opportunité ces temps-ci. Mais ils ont des concurrents, des pays comme le Nigeria et certains autres pays du Maghreb, qui ont tout à fait le potentiel pour représenter l'Afrique et même un pays de plus en plus comme l'Éthiopie, qui, de plus en plus, veut avoir voix au chapitre de la géopolitique africaine et mondiale. Ce ne sera pas facile pour les candidats individuels. Il sera beaucoup question de Gaza à New York. Qu'en sera-t-il du Soudan ? Selon les Nations Unies, c'est la plus grande crise humanitaire au monde avec un risque de génocide jugé « très élevé ». Est-ce que c'est à l'agenda ? Le Soudan est une vraie urgence, mais une urgence qui malheureusement se mêle à d'autres urgences internationales qui la relèguent un peu au dernier plan. Mais c'est un vrai danger. Le monde regarde ailleurs et risque après de devoir investir encore beaucoup d'argent pour payer les conséquences de la négligence actuelle.
L'émission 28 minutes du 22/09/2025 Après les coups de semonce, l'heure de la désescalade entre Donald Trump et Xi Jinping ? En février dernier, Donald Trump amorçait la guerre commerciale mondiale dont il avait tant rêvé. Trois mois plus tard, les tarifs douaniers explosent avec comme principale cible la Chine : plus 145 % de taxes douanières imposées sur les produits chinois importés aux États-Unis. Xi Jinping répond à son tour avec 125 % de taxes sur les biens américains importés en Chine. La guerre commerciale n'avait jamais été aussi intense entre les deux plus grandes puissances mondiales. Mais, cet été, les deux pays sont parvenus à une trêve commerciale avec une baisse considérable des tarifs douaniers. Vendredi, les deux chefs d'États ont même échangé au téléphone sur plusieurs sujets comme le dossier TikTok. Un accord aurait été trouvé sur la vente de la branche américaine de la plateforme. Un compromis bien loin de la loi votée sous Joe Biden pour interdire TikTok aux États-Unis. Alors assiste-t-on à une vraie désescalade entre les deux puissances ?On en débat avec Pierre Grosser, historien, spécialiste des relations internationales, Elvire Fabry, chercheuse senior en Géopolitique du commerce à l'Institut Jacques Delors et Marc Julienne, directeur du centre Asie de l'Ifri, spécialiste de la Chine.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 22 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Depuis le 7 août, des droits de douane américains de 15% s'appliquent sur les exportations européennes. Les filières du vin, de l'aéronautique ou encore du luxe comptent parmi les plus touchées. Mais ces nouvelles taxes ont aussi de lourdes répercussions sur l'industrie française des instruments de musique, qui exporte massivement outre-Atlantique. Le marché américain capte la moitié des instruments produits dans le monde. Dans l'imposant atelier de Buffet Crampon, situé à Mantes-la-Ville, à l'ouest de Paris, 15 000 clarinettes sont produites chaque année. Une majorité est exportée de l'autre côté de l'Atlantique, « environ 30% de notre production », estime Jérôme Perrod, président de cette entreprise bicentenaire. Mais depuis l'entrée en vigueur des taxes américaines, le 7 août dernier, la mélodie a changé, explique ce chef d'entreprise : « On perçoit déjà la baisse du marché liée à des augmentations de prix. Les magasins font preuve d'une grande prudence et ne veulent pas renouveler leurs stocks, car ils ont la crainte que les musiciens achètent moins d'instruments. » De fait, le marché des instruments de musique à vent se contracte aux États-Unis, en raison d'une augmentation des prix dans le pays, consécutive à l'instauration des droits de douane par l'administration de Donald Trump. La hausse observée varie de 10 à 15%, selon Jérôme Perrod. À la tête des harpes Camac, entreprise pionnière dans la construction de harpes en France, Jakez François dresse un constat similaire. Le marché américain représente un quart de ses exportations. « Ces droits de douane ont fait bondir nos prix immédiatement. Ils s'ajoutent à la faiblesse du dollar par rapport à l'euro. En combinant les deux, on enregistre une hausse de nos prix de l'ordre de 22% aux États-Unis. » Le 15 septembre dernier, l'entreprise subit une déconvenue annoncée. « Nous avions un container qui était sur le point de partir avec une quinzaine de harpes. Notre distributeur principal a annulé une grosse moitié de la commande. On se retrouve concrètement dans la situation qu'on craignait », soupire Jakez François. Un coup dur alors que le principal concurrent mondial des harpes Camac se trouve justement aux États-Unis : « Cela rend notre position bien plus difficile vis-à-vis de ce concurrent. » En revanche, Buffet Crampon est presque en situation de monopole sur le marché des instruments de musique à vent. Alors son président, Jérôme Perrod, avoue ne pas comprendre la pertinence de ces droits de douane : « Nous n'avons aucun concurrent aux États-Unis, donc personne ne va tirer bénéfice de ces taxes américaines. » Des conséquences sur la qualité des productions Les droits de douane conclus entre l'Union européenne et l'administration Trump ressemblent bel et bien à un accord perdant-perdant. D'autant plus compromettant que la pratique des instruments de musique à vent est historiquement très ancrée outre-Atlantique. « Il y a une très forte émulation aux États-Unis dans la pratique instrumentale, en particulier en orchestre, dès l'école. La moitié des enfants entre 9 et 12 ans choisissent de pratiquer un instrument à vent, ce qui génère forcément des vocations », rappelle Jérôme Perrod. Mais à terme, cette tradition pourrait souffrir des conséquences de ces droits de douane, explique Coraline Baroux-Desvignes, déléguée générale de la Chambre syndicale de la facture instrumentale, qui représente une soixantaine d'entreprises du secteur : « Il y a des musiciens qui risquent de retarder l'achat d'instruments de musique en attendant que la situation soit plus propice, ce qui peut avoir un impact sur la qualité des productions musicales. » Sans compter que la hausse des prix affecte également les instruments d'études, moins chers. « Cela pourrait décourager les musiciens en herbe de se lancer dans la pratique régulière d'un instrument », ajoute Coraline Baroux-Desvignes, qui dit craindre des conséquences sur « plusieurs générations de musiciens ». Préserver le savoir-faire des artisans L'eldorado américain devenant de plus en plus inaccessible, les entreprises françaises de la facture instrumentale songent à réorienter leurs exportations vers d'autres marchés. Du côté des harpes Camac, Jakez François dit travailler sur le sujet afin d'atteindre ou renforcer sa présence dans certaines destinations en Asie, notamment en Chine, à Hong Kong ou Singapour. Une réflexion similaire a été menée à Buffet Crampon. « Mais ces nouveaux débouchés ne permettront sans doute pas de compenser la baisse des volumes exportés aux États-Unis », estime Jérôme Perrod. Le marché américain capte en effet la moitié des instruments de musique produits dans le monde. Si Jakez François estime que son entreprise peut résister pour le moment, Jérôme Perrod, lui, a été contraint de placer certains de ses salariés au chômage partiel afin de réduire son activité : « Ça nous fait mal au cœur de voir les ateliers vides certains vendredis », se lamente-t-il. Mais c'est la moins pire des solutions pour conserver le savoir-faire de ses artisans, selon le chef d'entreprise : « Il nous faudrait plusieurs années pour reformer des salariés et retrouver les niveaux de qualité que l'on a aujourd'hui. Le chômage partiel nous permet de conserver les effectifs et, le jour où l'activité redémarre, de les faire revenir comme avant. » S'il ne croit guère à une levée des droits de douane, Jérôme Perrod dit toujours espérer une exemption des taxes américaines sur les instruments à vent. Par ailleurs, la Cour suprême des États-Unis doit se prononcer début novembre sur la légalité des droits de douane imposés par Donald Trump aux partenaires commerciaux des États-Unis.
Plongée au cœur d'une conversation sans filtre avec Stéphane Bohbot, entrepreneur récidiviste passé des sonneries monophoniques de DigiPlug (revendue 30 M€) à Innov 8, leader français de la distribution de produits connectés (DJI, Roborock, EZVIZ, XGIMI, Nuki…). Il partage le fil conducteur de sa carrière: anticiper les usages plus que la techno, et bâtir “la maison du futur” — plus simple, plus accessible, mais encore fragmentée faute d'une app universelle malgré l'émergence de Matter. On y parle retail, marges, logistique, expertise en magasin, et de la montée en puissance de marques asiatiques désormais maîtresses du R&D, du marketing et du go-to-market.Bohbot dévoile aussi ses engagements “impact”: MOVIT, une marque d'accessoires relocalisés (coques made in France, chargeur 30W fabriqué à Annecy en matière 100% biosourcée Arkema à base d'huile de ricin), et Innovate Power, qui démocratise le solaire résidentiel en s'appuyant sur Huawei (onduleurs et batteries). En filigrane: les leçons d'un distributeur devenu fabricant, ses investissements (Devialet), ses vues sur le hardware “hard”, la coopération Europe–industrie, et l'avenir d'une maison connectée… alimentée par des énergies renouvelables.[00:00:00]: Introduction et parcours d'entrepreneur récidiviste[00:01:24]: Fil conducteur: le mobile comme cœur de carrière[00:01:53]: Naissance de DigiPlug et idée des sonneries[00:03:20]: Logiciel intégré en 1998, premiers déploiements[00:03:27]: Revente à des Japonais pour 30 M€ en 2002[00:04:50]: Personnalisation du téléphone, prémices des apps[00:05:39]: Conseils: suivre les mouvements sociétaux[00:06:42]: Démarrage avec 12 000 € et business angel[00:08:42]: Levées de fonds et AXA PE, Sénéquier[00:09:25]: Vision “Maison du futur” et domotique[00:11:02]: Caméras Ezviz sans abonnement, smartphone télécommande[00:11:54]: Vidéoprojecteurs XGIMI et robots Roborock[00:13:50]: Intégration difficile, rêve d'une app unique[00:14:00]: Matter, applications dédiées, serrure Nuki facile[00:15:12]: Accès temporaires Airbnb et automatisations[00:16:06]: Innovate: distributeur n°1 produits connectés[00:16:44]: Nuki, DJI, Parrot: choix de positionnement[00:18:00]: Distribution, logistique, Amazon et retail[00:20:47]: Spécificités logistiques et complexité locale[00:21:57]: Couverture réseaux, 12 ans de construction[00:22:20]: Clés du succès: ultra-spécialisation et expertise[00:24:25]: Retail chahuté, retour au conseil[00:25:55]: Valeur du service et arbitrages prix[00:26:31]: Échecs hardware et difficultés européennes[00:28:21]: Asie: R&D, marketing, lancements fulgurants[00:29:59]: Dyson vs Roborock; passion son et marques[00:31:55]: Innovate 2012: du smartphone aux périphériques[00:34:30]: Marges: Apple vs retail, besoins réels[00:37:40]: Négociations, services, délais et équilibres[00:38:23]: Gestion par marque, relation avec DJI[00:41:13]: Test de Plaud, enregistreur vocal IA[00:42:09]: Micros d'écouteurs: limites et progrès[00:43:33]: Shokz: conduction osseuse vs open fit[00:45:21]: Tests produits: rôle des médias spécialisés[00:46:09]: Pourquoi les marques gardent un distributeur[00:47:25]: Muvit: accessoires éco-responsables made in France[00:49:49]: Chargeur 30W relocalisé, bioplastique Arkema[00:51:35]: Ne pas concurrencer ses marques partenaires[00:52:14]: Bons chargeurs/câbles: normes, USB‑C, conseils[00:55:26]: Innovate Power: solaire, Huawei, stockage[00:57:17]: Pas de B2C; modèles dropship et social[00:58:50]: Verticales e‑commerce et importance du service[01:01:05]: ModeLabs: téléphones de luxe, IPO, cession[01:02:42]: Agilité et acceptation du changement[01:04:46]: Luxe et techno: obsolescence et défis[01:05:58]: Vision, actionnariat BNP et Crédit Mutuel[01:08:05]: Domotique: chimère d'intégration, low‑tech utile[01:09:56]: Concevoir du hardware ici ou en Asie[01:12:39]: Temps, cas Luni/Netatmo, Tikino, géopolitique[01:15:42]: Coopérer en Europe, IA et priorités[01:18:37]: Business angel, investissement dans OVNI[01:20:11]: Devialet: amour de la marque, perspectives[01:22:10]: Distribution, vélos évités, succès Crosscall[01:25:06]: OVNI, geek talk, drones et FPV[01:28:19]: Voyages en Chine, R&D Huawei, tournage[01:31:30]: Recrutements, Muvit en retail, conclusionHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
V této inspirativní epizodě podcastu Srdeční záležitosti si povídáme s výjimečnou ženou Michaelou „Mikou“ Neumann. Společně otevíráme témata svobody, jemnosti, práce s tělem a mysli skrze přístup Trager, ale i spirituálních rituálů v Mexiku, kde Mika dnes žije. Dozvíš se: Co je metoda Trager a jak ovlivňuje tělo i mysl. Jak Mika pracuje s klientkami online i na dálku. Jak vypadá její život v Mexiku. Proč je jemnost revoluční přístup i pro ženy podnikatelky. Co je sluneční tanec a jak může změnit tvé vnímání těla a reality. Mika říká: "Od nepaměti mě zajímá lidství a porozumění světu. Fascinuje mě koncept osvícení, který se stal mou životní cestou. Na svých osobních i pracovních cestách napříč kontinenty - od Asie až po Ameriku - zkoumám žitou spiritualitu odlišných kultur (Advaita, Kašmírský tantrismus, Budhismus, šamanismus skrze Sun Dance atd.). Je mi blízká pozitivní psychologie, zejména její důraz na hledání a budování vnitřních zdrojů pro spokojený život. Miluji volný tanec (5 rytmů, Butoh, Amerta, Tandava ...). Vystudovala jsem psychologii, psychoterapii a Trager Approach – Body/Mind Integration (propojení těla a mysli). K tomu jsem během více než 30 let nasbírala zkušenosti z celé řady seberozvojových směrů. To vše se promítá do mého individuálního přístupu ke klientům. Působím jako Mentorka Vědomé Transformace, převážně v online prostředí. Osobně dávám sezení zaměřená na práci s tělem a myslí skrze Trager Approach. Nabízím programy, které vedou k hlubšímu kontaktu se sebou samým – cestou jednoduchosti, jemnosti, lehkosti, respektu a bytí v přítomném okamžiku. Miluji i individuální provázení či retreaty, nejen v Česku, ale i v Mexiku, kde teď žiji. Jsem mámou dvou dospělých dcer a babičkou úžasného vnuka." Už letí k vašim uším!
Après une série consacrée au(x) mythe(s) de la Licorne, Baleine sous Gravillon a invité Léah Thomas-Bion pour une nouvelle aventure au sein du bestiaire fantastique. Léah est sémiologue (spécialiste des signes et des symboles), et elle nous a cette fois décrypté les légendes qui entourent l'une des créatures les plus flamboyantes de l'Imaginaire : le Dragon.Cet épisode explore en profondeur l'ambivalence du dragon. En effet, si celui-ci est bienveillant et même protecteur en Asie de l'Est depuis des millénaires, celui-ci est souvent perçu en Europe comme un monstre qui saccage et massacre tout sur son passage, que ce soit dans les récits médiévaux ou bien les romans de J.R.R. Tolkien, célèbre auteur du Hobbit (1937) et du Seigneur des Anneaux (1954-1955). Dans l'œuvre de l'Étatsunien G.R.R. Martin, les dragons ont une place prépondérante et difficilement qualifiable en des termes binaires. Élevés et protégés par la maison royale Targaryen, qui les considère presque comme étant de la même espèce qu'eux (Daenerys Targaryen n'est-elle pas nommée la "Mère des Dragons" ?), ils sont à la fois une arme de destruction massive (la devise de la famille n'est autre que "Feu et sang"...) et de fidèles voire affectueux compagnons. Pour en savoir plus sur les gros monstres marins, voilà le 1er épisode de la série Tout un Art ! _______
durée : 00:58:20 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Depuis la Partition des Indes en 1947, le Cachemire, majoritairement musulman, constitue un sujet de discorde entre l'Inde et le Pakistan. Les deux États revendiquent cette région et s'y affrontent militairement. Des deux côtés de la frontière, les civils apparaissent comme les premières victimes. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Charlotte Thomas Politiste, chercheuse indépendante, associée au programme Asie de l'IRIS; Gilles Boquérat Chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique; Anne Castaing Chargée de recherches au CNRS et membre du Centre d'Études sud-asiatiques et himalayennes (CESAH)
Evropská komise částečně vyhověla automobilkám a rychleji zhodnotí svůj plán zakázat od roku 2035 prodej nových aut se spalovacími motory. „V Norsku je dnes 98 procent prodaných aut elektromobilů,“ poukazuje v pořadu Pro a proti předseda Asociace elektromobilového průmyslu Jaromír Marušinec. „Tam bylo tolik podpory pro elektrické vozy, že to nikdo jiný nevěděl,“ namítá bývalý ředitel Evropské asociace výrobců automobilů Ivan Hodáč.
(00:00:37) La génération Z mène la révolte en Asie (00:06:30) "Salaud de Fidesz!": la jeunesse hongroise contre Orban (00:11:12) L'archéologue de Gaza face à la guerre et l'oubli
Evropská komise částečně vyhověla automobilkám a rychleji zhodnotí svůj plán zakázat od roku 2035 prodej nových aut se spalovacími motory. „V Norsku je dnes 98 procent prodaných aut elektromobilů,“ poukazuje v pořadu Pro a proti předseda Asociace elektromobilového průmyslu Jaromír Marušinec. „Tam bylo tolik podpory pro elektrické vozy, že to nikdo jiný nevěděl,“ namítá bývalý ředitel Evropské asociace výrobců automobilů Ivan Hodáč.Všechny díly podcastu Pro a proti můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.
Vous les avez sans doute déjà remarquées : ces colonnes cylindriques tournant devant les salons de barbier, ornées de spirales bleu, blanc et rouge. On les croise encore aux États-Unis, en Europe ou en Asie. Mais pourquoi ces couleurs ? Et surtout, que viennent faire le bleu, le blanc et le rouge sur une enseigne de coiffeur ?Une origine médiévaleL'histoire commence bien avant le simple rasage de barbe. Au Moyen Âge, les barbiers n'étaient pas seulement des coiffeurs : ils pratiquaient aussi de petits actes médicaux. On les appelait parfois les “barbiers-chirurgiens”. Ils saignaient les patients pour “purger” le corps, selon la théorie des humeurs, posaient des ventouses, arrachaient des dents ou recousaient des plaies. Bref, c'étaient de véritables praticiens polyvalents.Le symbole des couleursLes couleurs de l'enseigne rappellent directement ces pratiques. Le rouge représente le sang. Le blanc, les bandages utilisés pour comprimer et arrêter l'hémorragie. Quant au bleu, il symboliserait les veines, c'est-à-dire la circulation sanguine que l'on cherchait à contrôler avec les saignées.À l'origine, les barbiers accrochaient réellement des bandages ensanglantés à l'extérieur, enroulés autour d'un bâton, pour signaler leur activité. Avec le temps, cette image s'est stylisée en spirale colorée.Un objet codifiéDans certains pays, comme en Angleterre dès le XIVᵉ siècle, l'activité des barbiers-chirurgiens a été réglementée. Ils avaient même une enseigne officielle : un poteau surmonté d'un bassin, rappelant celui où l'on recueillait le sang. Le cylindre rayé, que l'on connaît aujourd'hui, est l'héritier direct de cette tradition.Pourquoi ces couleurs sont restéesMême après la séparation des métiers — les chirurgiens devenant des praticiens à part entière, et les barbiers se concentrant sur la coiffure et le rasage —, les enseignes ont gardé ce code visuel. Aux États-Unis, le bleu, blanc et rouge a parfois été interprété comme un clin d'œil patriotique aux couleurs du drapeau. Mais l'origine véritable reste médicale. En Europe, certaines enseignes n'affichent d'ailleurs que le rouge et le blanc.ConclusionL'enseigne de barbier est donc bien plus qu'un simple logo coloré. C'est un vestige d'un temps où se faire couper la barbe pouvait aller de pair avec… une petite saignée. Chaque spirale rouge, blanche et bleue raconte cette histoire insolite : celle des barbiers qui étaient aussi, autrefois, un peu médecins. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mercredi 10 septembre, François Sorel a reçu Frédéric Krebs, directeur de développement chez Palico, ex-Partner Newfund, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Mercredi 10 septembre, François Sorel a reçu Frédéric Krebs, directeur de développement chez Palico, ex-Partner Newfund, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur les points clés de la Keynote Apple, le lancement du supercalculateur Jupiter par l'Europe, et la réaction de Trump face à la sanction de Google, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
L'Afrique du Sud n'a toujours pas obtenu d'accord avec Washington, et ses exportateurs subissent les 30% de droits de douane américains. Pour limiter l'impact, le gouvernement mise sur la diversification des marchés et propose d'assouplir les règles de concurrence afin de permettre aux entreprises de collaborer à l'export. Les 30 % de droits de douane américains poussent l'Afrique du Sud à diversifier ses exportations. Le département du commerce a mis en place un bureau d'assistance pour aider les entreprises à regarder vers de nouveaux marchés, en Asie ou au Moyen-Orient, explique Willem Van Der Spuy, directeur général des exportations. « Il y a un dicton qui dit : "Ne laissez jamais une bonne crise se perdre". Le gouvernement sud-africain travaille déjà depuis un certain temps à la diversification. Notre préoccupation aujourd'hui, c'est de l'accélérer. Cela veut dire se pencher sur des solutions qui, jusque-là, étaient en arrière-plan. Prendre des décisions que nous aurions peut-être dû prendre plus tôt… » À la conquête de nouveaux marchés Parmi ces décisions, le département du Commerce propose une exemption sur les exportations – un amendement qui permettrait aux entreprises sud-africaines de collaborer sans enfreindre les lois sur la concurrence. « Nous avons des règles très strictes en matière de coopération entre entreprises, détaille Willem Van Der Spuy. Nous avons donc décidé que, pour aider réellement les entreprises à pénétrer les marchés internationaux – en particulier si elles doivent pénétrer de nouveaux marchés, il serait plus facile de les laisser collaborer. Pour partager les informations, réfléchir à des infrastructures communes pour les exportations, expédier certains produits ensemble. Cela nous permettra d'être plus compétitifs. De réaliser des économies d'échelle aussi, parce qu'il pourrait y avoir une commande importante qui ne pourrait être honorée par une seule entreprise, mais plutôt par deux ou trois. » À lire aussiDroits de douane américains : les pays et les producteurs d'Afrique craignent les conséquences Pour comprendre l'impact de cette exemption, direction la fédération des entreprises de la sidérurgie. Un secteur qui emploie des centaines de milliers de personnes, moteur de l'économie sud-africaine, particulièrement touché par ces nouvelles taxes. « Sur les 1 300 entreprises que l'on représente, la moitié a répondu à notre enquête. Voici le résultat : 50 % de ces entreprises sont affectées par les droits de douanes, directement ou indirectement », explique Tafadzwa Chibanguza est le président de la fédération SEIFSA. Alléger les règles pour renforcer la compétitivité Ce projet d'exemption est une bonne initiative, selon elle, même si « ça aurait déjà dû être la norme – notre façon de faire du commerce. Le problème de l'Afrique du Sud, c'est que nous sommes toujours guidés par des événements, on réagit à des urgences. Et on voit que notre droit de la concurrence a tendance à trop privilégier la législation, plutôt que de s'intéresser vraiment à notre compétitivité. Je sais que la frontière est très floue. Parce que pour créer de la concurrence dans l'économie, oui, il faut sûrement empêcher les monopoles, avec des lois. Mais l'accent devrait être mis sur notre compétitivité réelle plus que sur une législation stricte. Donc oui, il faut laisser les concurrents collaborer ! » Mais le processus législatif risque d'être long. En attendant, le gouvernement travaille à un paquet d'aides économiques pour les petites entreprises. Et espère toujours conclure un accord avec Washington.
Nous sommes en 1552, située dans le Sussex de l'Ouest, en Angleterre. Cette année-là, le roi Édouard VI fonde l'école du Christ's Hospital. Un établissement public qui décide de faire porter une tenue commune aux orphelins et aux enfants défavorisés dont l'institution à la charge. Cette initiative vise, en réalité, à émanciper les enfants, par la scolarisation, en leur offrant des conditions égalitaires, y compris un uniforme simple, composé d'un long manteau, d'un short bleu, de chaussettes jaunes et d'un foulard blanc. Loin des codes vestimentaires élitistes des toges académiques, cet habit symbolise l'humilité et le respect du savoir, marquant l'inscription des enfants dans l'instruction au-delà de leur condition sociale. L'uniforme comme instrument de justice et de progrès est une idée qui sera défendue, deux siècles plus tard, par les gauches radicales. Son histoire est faite de flux et de reflux. Tombé en disgrâce après les guerres mondiales en Europe, il s'est généralisé ailleurs dans le monde, en Afrique, en Asie, en Amérique latine. Dans nos régions, son usage est, depuis quelques années, à nouveau, au centre des débats. Ses défenseurs y voient une réponse au désir d'ordre et de repères institutionnels face à l'affaiblissement des institutions et à la montée des affirmations identitaires. Ses pourfendeurs le perçoivent comme un vestige archaïque. Alors pour tenter de comprendre les uns et les autres, revenons aux origines de l'uniforme scolaire et à l'évolution de son usage. Avec nous : Jean-Claude Kaufmann, spécialiste de la vie quotidienne et pionnier de la microsociologie. « L'uniforme scolaire – Archaïsme ou modernité ? » ; Armand Colin. Sujets traités : L'uniforme, école, Édouard VI , institutions , évolution Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je te partage mon bilan après 2 mois à Chiang Mai, capitale des nomades digitaux en Asie.
Depuis plus de cinquante ans, l'Unesco a décrété ce 8 septembre journée internationale de l'alphabétisation. Lire, écrire, l'accès à l'éducation sont des droits humains fondamentaux et fait même partie des dix-sept objectifs de développement durable établis par les États membres des Nations unies et rassemblés dans l'Agenda 2030. Alors que des efforts sont déployés depuis près d'un demi-siècle, près d'un dixième de la population mondiale est analphabète. En effet, 739 millions de jeunes et d'adultes dans le monde ne possèdent toujours pas les compétences de base en lecture et en écriture en 2024" (source : Journée internationale de l'alphabétisation | UNESCO) dont les deux-tiers sont des femmes. Victimes des normes sociales discriminatoires, elles sont les premières mises à l'écart. Les régions les plus touchées se situent en Afrique subsaharienne et en Asie du Centre et du Sud. Les pays où la dynamique démographique est forte, sont particulièrement touchés. Pourtant, lire et écrire permet l'autonomisation de la population «Quand on sait lire et écrire, il y a plus d'hygiène publique, plus d'autonomie, on connait plus ses droits». Invité : Omar Diop, spécialiste de l'éducation, représentant UNESCO en Côte d'Ivoire (chef du bureau). Et la chronique Ailleurs nous emmène au Canada qui n'est pas épargné par l'analphabétisme ! Et où la Fondation pour l'alphabétisation offre chaque année des bourses à des apprenant.e.s ayant repris leurs études et ayant réussi une démarche d'alphabétisation ou de formation de base. Et c'est Slimane Saidj, chef des services à la Fondation qui nous raconte ces projets. Plus d'infos sur les bourses ici : Pour en savoir plus sur la Fondation Quelques chiffres. Programmation musicale : L'artiste Charlotte Cardin avec le titre Tant pis pour elle.
Depuis plus de cinquante ans, l'Unesco a décrété ce 8 septembre journée internationale de l'alphabétisation. Lire, écrire, l'accès à l'éducation sont des droits humains fondamentaux et fait même partie des dix-sept objectifs de développement durable établis par les États membres des Nations unies et rassemblés dans l'Agenda 2030. Alors que des efforts sont déployés depuis près d'un demi-siècle, près d'un dixième de la population mondiale est analphabète. En effet, 739 millions de jeunes et d'adultes dans le monde ne possèdent toujours pas les compétences de base en lecture et en écriture en 2024" (source : Journée internationale de l'alphabétisation | UNESCO) dont les deux-tiers sont des femmes. Victimes des normes sociales discriminatoires, elles sont les premières mises à l'écart. Les régions les plus touchées se situent en Afrique subsaharienne et en Asie du Centre et du Sud. Les pays où la dynamique démographique est forte, sont particulièrement touchés. Pourtant, lire et écrire permet l'autonomisation de la population «Quand on sait lire et écrire, il y a plus d'hygiène publique, plus d'autonomie, on connait plus ses droits». Invité : Omar Diop, spécialiste de l'éducation, représentant UNESCO en Côte d'Ivoire (chef du bureau). Et la chronique Ailleurs nous emmène au Canada qui n'est pas épargné par l'analphabétisme ! Et où la Fondation pour l'alphabétisation offre chaque année des bourses à des apprenant.e.s ayant repris leurs études et ayant réussi une démarche d'alphabétisation ou de formation de base. Et c'est Slimane Saidj, chef des services à la Fondation qui nous raconte ces projets. Plus d'infos sur les bourses ici : Pour en savoir plus sur la Fondation Quelques chiffres. Programmation musicale : L'artiste Charlotte Cardin avec le titre Tant pis pour elle.
Vincent Hervouët analyse en détail le sommet régional qui se tient à Tianjin, en Chine. Il décrit le cérémonial empesé de la rencontre entre les dirigeants asiatiques et eurasiatiques, qui représentent ensemble la moitié de l'humanité. Il revient sur la présence surprise du Premier ministre indien Narendra Modi, ainsi que sur le rôle central de la Chine et de la Russie dans cette nouvelle architecture géopolitique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Étudiants en surnombre, professeurs mal formés, prix des formations trop élevés par rapport à la quantité des cours… les fonds d'investissement sont-ils au service du profit ou de la qualité de l'enseignement supérieur ? Claire Marchal, journaliste, publie Le Cube : Révélations sur les dérives de l'enseignement supérieur privé, fruit de deux ans d'investigations. Dans le collimateur, le groupe Galileo Global Éducation, l'un des leaders mondiaux de l'enseignement privé, qui regroupe 210 000 étudiants dans 18 pays. Le groupe est très actif dans de nombreux pays d'Europe comme la Norvège, l'Allemagne, l'Italie, Chypre, ainsi qu'en Asie et en Afrique. Sur le continent africain, la croissance démographique et la crise des universités publiques ouvrent un boulevard au secteur privé. Celui-ci répond à la forte demande d'une jeunesse en mal d'emplois. Comment réguler et garantir la qualité de ces écoles pour défendre la formation des étudiants et la valeur de leurs diplômes ? Avec Claire Marchal, journaliste et réalisatrice de documentaire, autrice de Le cube - Révélations sur les dérives de l'enseignement supérieur privé (Éditions Flammarion). Le Monde des enfants par Charlie Dupiot. C'est le moment du « Monde des enfants » ! Charlie Dupiot tend son micro à des enfants pour qu'ils nous livrent leurs regards sur le monde... Et aujourd'hui, elle nous emmène à Kinshasa (RDC). Ces enfants de 8 à 12 ans nous parlent des punitions. En fin d'émission Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'Anissa à Abidjan en Côte d'Ivoire. Cette émission est une rediffusion du 3 avril 2025 Programmation musicale : ► Zazikafa feat. Aguero Banks – Bad habit ► Victony – Sunday School.
Étudiants en surnombre, professeurs mal formés, prix des formations trop élevés par rapport à la quantité des cours… les fonds d'investissement sont-ils au service du profit ou de la qualité de l'enseignement supérieur ? Claire Marchal, journaliste, publie Le Cube : Révélations sur les dérives de l'enseignement supérieur privé, fruit de deux ans d'investigations. Dans le collimateur, le groupe Galileo Global Éducation, l'un des leaders mondiaux de l'enseignement privé, qui regroupe 210 000 étudiants dans 18 pays. Le groupe est très actif dans de nombreux pays d'Europe comme la Norvège, l'Allemagne, l'Italie, Chypre, ainsi qu'en Asie et en Afrique. Sur le continent africain, la croissance démographique et la crise des universités publiques ouvrent un boulevard au secteur privé. Celui-ci répond à la forte demande d'une jeunesse en mal d'emplois. Comment réguler et garantir la qualité de ces écoles pour défendre la formation des étudiants et la valeur de leurs diplômes ? Avec Claire Marchal, journaliste et réalisatrice de documentaire, autrice de Le cube - Révélations sur les dérives de l'enseignement supérieur privé (Éditions Flammarion). Le Monde des enfants par Charlie Dupiot. C'est le moment du « Monde des enfants » ! Charlie Dupiot tend son micro à des enfants pour qu'ils nous livrent leurs regards sur le monde... Et aujourd'hui, elle nous emmène à Kinshasa (RDC). Ces enfants de 8 à 12 ans nous parlent des punitions. En fin d'émission Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'Anissa à Abidjan en Côte d'Ivoire. Cette émission est une rediffusion du 3 avril 2025 Programmation musicale : ► Zazikafa feat. Aguero Banks – Bad habit ► Victony – Sunday School.
Ce mardi 26 août, François Sorel a reçu Stéphane Zibi, consultant spécialiste en transformation numérique et en IA, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud, Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, et Sylvain Trinel, journaliste Tech&Co. Ils se sont penchés sur la plainte d'Elon Musk contre Apple et OpenAI pour pratique anticoncurrentielle sur le marché de l'intelligence artificielle, ainsi que des défis de Fidji Simo, la nouvelle patronne des applications d'OpenAI, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Ce mardi 26 août, François Sorel a reçu Anthony Morel, journaliste BFM Business ; Stéphane Zibi, consultant spécialiste en transformation numérique et en IA ; Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur Meta freine ses embauches dans l'IA, les folles rumeurs rachat de l'été, Apple qui cherche à rattraper son retard dans l'IA, et l'offre colossale de Perplexity pour Chrome, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 26 août, François Sorel a reçu Anthony Morel, journaliste BFM Business ; Stéphane Zibi, consultant spécialiste en transformation numérique et en IA ; Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur la mégafusée Starship de SpaceX qui enchaîne les échecs et le géant de la photo Kodak qui est au bord du gouffre, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Mardi 26 août, François Sorel a reçu Anthony Morel, journaliste BFM Business, Stéphane Zibi, consultant spécialiste en transformation numérique et en IA, Sylvain Trinel, journaliste Tech&Co, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Un hélicoptère sur un toit, une file de personnes qui attendent de monter. À Saïgon, en avril 1975, cette image raconte la fin d'une guerre de vingt ans. La chute du Vietnam du Sud pour les uns, la libération pour les autres. Mais ce cliché dit aussi l'abandon, la panique contenue, et les lendemains d'un conflit qui marque durablement les corps et les mémoires. Avec Laurence Monnais, historienne, professeure à l'Université de Lausanne et à l'Institut des Humanités en Médecine du CHUV, spécialiste de l'histoire de la médecine en Asie du Sud-Est. Note : L'image célèbre de l'évacuation par hélicoptère sur le toit d'un immeuble à Saïgon, prise par le photographe Hubert van Es en avril 1975, est soumise à des droits d'auteur. Elle ne peut être reproduite ici, mais peut être consultée sur le site de J. Paul Getty Museum : https://www.getty.edu/art/collection/object/1096F7?utm_source
Fluent Fiction - French: Finding Inspiration: A Montmartre Café Reunion Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.com/fr/episode/2025-08-25-22-34-02-fr Story Transcript:Fr: Les rayons du soleil illuminaient le petit café à Montmartre.En: The sun's rays illuminated the little café in Montmartre.Fr: Ce matin-là, Élodie, une écrivaine à la recherche d'inspiration, s'assit à une table près de la fenêtre.En: That morning, Élodie, a writer in search of inspiration, sat at a table near the window.Fr: Elle observait les passants, espérant que quelque chose éveillerait sa créativité.En: She watched the passersby, hoping that something would awaken her creativity.Fr: Le café embaumait le croissant chaud et le café fraîchement moulu.En: The café smelled of warm croissants and freshly ground coffee.Fr: Les rires et bavardages des clients créaient une ambiance chaleureuse.En: The laughter and chatter of the customers created a warm atmosphere.Fr: Élodie se sentait perdue.En: Élodie felt lost.Fr: Elle avait l'impression d'être coincée, incapable de trouver une idée pour son prochain texte.En: She had the impression of being stuck, unable to find an idea for her next piece.Fr: Perdue dans ses pensées, elle ne remarqua pas immédiatement l'arrivée de Mathieu.En: Lost in her thoughts, she didn't immediately notice the arrival of Mathieu.Fr: Celui-ci, un musicien tout juste rentré de voyage, à travers le monde, eut un sourire nostalgique en voyant Élodie.En: He, a musician just returned from traveling around the world, had a nostalgic smile upon seeing Élodie.Fr: « Élodie !En: "Élodie!"Fr: » appela-t-il, avec enthousiasme.En: he called enthusiastically.Fr: Étonnée, elle leva les yeux.En: Surprised, she looked up.Fr: « Mathieu ?En: "Mathieu?"Fr: » répondit-elle, surprise mais contente de voir un visage familier.En: she replied, surprised but glad to see a familiar face.Fr: Ils s'embrassèrent chaleureusement.En: They embraced warmly.Fr: Très vite, leurs échanges furent interrompus par l'entrée de Julien, un élève des Beaux-Arts passionné par les projets spontanés.En: Very quickly, their exchanges were interrupted by the entrance of Julien, a student from the Beaux-Arts passionate about spontaneous projects.Fr: Avec son éternelle bonne humeur, il s'installa à leur table.En: With his eternal good humor, he settled at their table.Fr: « Quelle bonne surprise !En: "What a nice surprise!"Fr: » dit Julien.En: said Julien.Fr: « Qu'est-ce qui vous amène ici ?En: "What brings you here?"Fr: » « Je cherche l'inspiration, » avoua Élodie, un peu gênée.En: "I'm looking for inspiration," admitted Élodie, a bit embarrassed.Fr: « Mais rien ne vient.En: "But nothing comes."Fr: » Mathieu, voyant l'agitation d'Élodie, proposa : « Et si on parlait de nos aventures ?En: Noticing Élodie's agitation, Mathieu suggested, "What if we talked about our adventures?Fr: Cela pourrait t'aider peut-être.En: That might help you."Fr: » Ils partagèrent alors leurs histoires.En: They then shared their stories.Fr: Mathieu raconta ses voyages en Asie, les musiques qu'il avait découvertes.En: Mathieu recounted his travels in Asia, the music he had discovered.Fr: Julien expliqua ses derniers projets artistiques, tous spontanés et remplis de couleurs.En: Julien explained his latest artistic projects, all spontaneous and full of colors.Fr: Les yeux d'Élodie s'illuminèrent peu à peu, capturant des fragments d'idées à chaque récit.En: The eyes of Élodie gradually lit up, capturing fragments of ideas with each story.Fr: La conversation devint passionnante.En: The conversation became exciting.Fr: Élodie, d'abord silencieuse, commença à poser des questions, à rire, à rêver.En: Élodie, initially silent, began to ask questions, to laugh, to dream.Fr: Un torrent d'idées l'assaillit soudain.En: A torrent of ideas suddenly assailed her.Fr: Elle vit une nouvelle direction pour son travail.En: She saw a new direction for her work.Fr: L'aventure, la musique et l'art, tout se mélangeait en elle pour créer un feu d'artifice d'inspiration.En: Adventure, music, and art, all mixed within her to create a firework of inspiration.Fr: « J'ai trouvé !En: "I found it!"Fr: » s'exclama-t-elle tout à coup, interrompant Mathieu en plein récit.En: she suddenly exclaimed, interrupting Mathieu mid-story.Fr: « Je sais ce que je vais écrire maintenant.En: "I know what I'm going to write now.Fr: Merci à vous deux !En: Thank you both!"Fr: » Mathieu et Julien échangèrent un regard complice, satisfaits de voir leur amie sourire avec espoir.En: Mathieu and Julien exchanged a knowing look, pleased to see their friend smiling with hope.Fr: Élodie quitta le café ce jour-là, le cœur léger, le carnet plein de notes et l'esprit en ébullition.En: Élodie left the café that day, her heart light, her notebook full of notes, and her mind buzzing.Fr: Elle avait retrouvé sa confiance en elle et son désir de réaliser son rêve d'écriture.En: She had regained her confidence and her desire to pursue her writing dream.Fr: La rencontre fortuite avec Mathieu et Julien lui avait offert plus qu'un simple après-midi de discussions ; elle leur était reconnaissante d'avoir ravivé en elle la flamme de la créativité.En: The chance encounter with Mathieu and Julien had offered her more than just an afternoon of discussions; she was grateful to them for reigniting the flame of creativity within her.Fr: Elle était prête à s'ouvrir au monde et à y puiser des histoires nouvelles.En: She was ready to open up to the world and draw new stories from it.Fr: Sous le ciel bleu de Montmartre, Élodie marchait, convaincue qu'elle n'oublierait jamais ce jour d'été où tout avait changé.En: Under the blue Montmartre sky, Élodie walked, convinced that she would never forget that summer day when everything changed. Vocabulary Words:the ray: le rayonthe writer: l'écrivainethe passerby: le passantto awaken: éveillerthe croissant: le croissantthe chatter: le bavardagewarm: chaudthe atmosphere: l'ambianceto be stuck: être coincéthe piece: le textelost: perduthe musician: le musiciennostalgic: nostalgiqueto embrace: s'embrasserthe student: l'élèvespontaneous: spontanégood humor: la bonne humeurto settle: s'installerto admit: avoueragitation: l'agitationto propose: proposerto recount: raconterto capture: capturerfragment: le fragmentto assail: assaillirdirection: la directionfirework: le feu d'artificeto exclaim: s'exclamerto exchange: échangerthe look: le regard
Nous sommes en 1227. Peut-être le 18 août. Victime d'une chute de cheval lors d'une partie de chasse, celui qui a régné sur le plus grand empire de l'histoire s'éteint en Chine. Son corps est ramené en Mongolie. On dit que sur le chemin du retour, son escorte tue tous les témoins du cortège afin que le lieu de sa dernière demeure reste secret. Pour les Mongols, il est le père de la nation, une figure légendaire, mais pour nombre de régions d'Asie, ravagées par ses guerres, il est un conquérant sanguinaire et impitoyable. Jusqu'aux frontières de l'Europe, Il se faisait appeler le « Souverain universel », Gengis Khan. José Frèches, romancier, spécialiste de la Chine, ancien conservateur du musée Guimet, à Paris. « Gengis Khan » T1 « Lhomme qui aimait le vent », T2 « Le conquérant » aux XO éditions Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:22:33 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Depuis un demi-siècle, la mer d'Aral s'assèche en raison principalement du détournement de ses deux affluents. Cédric Gras a remonté ces fleuves de l'Amou-Daria et du Syr-Daria et a recueilli sur son chemin le témoignage d'habitants de la région. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Cédric Gras Ecrivain
Durant l'été, je vous propose une sélection des meilleurs épisodes de Vlan sur la dernière saison. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des épisodes qui ont énormément plu. Christian Grataloup est géographe, il se décrit comme un géohistorien mais pour moi c'est sans doute le meilleur raconteur d'histoire ever. Le 1er épisode que nous avions fait ensemble il y a des années (le 113) avait eu un énorme succès et je peux vous assurer que vous allez ADORER celui là aussi. Vous allez apprendre qui a découvert l'Amérique (et évidemment ce n'est pas Christophe Colomb).Dans cet épisode, nous allons explorer les méandres de l'histoire humaine à travers les yeux de Christian qui nous amènera de l'unité économique et religieuse de la chrétienté latine à l'impérialisme de l'Empire chinois, éclairant les différences fondamentales de ces civilisations et leur influence sur le monde tel que nous le connaissons.Christian nous révélera comment l'Europe a marqué de son empreinte le reste de la planète, en insistant sur des vérités souvent oubliées, comme le rôle du pillage dans les conquêtes des conquistadors en Amérique, plutôt qu'une prétendue supériorité technique. Il nous parlera également des Vikings en tant que commerçants et de la vision commerciale chinoise, tout en abordant des sujets aussi variés que la physiologie humaine, l'évolution de nos sociétés et le rôle vital de la communication et des langues.Accompagnez-nous dans ce voyage passionnant qui remettra en question bon nombre de nos préconceptions sur l'histoire de l'humanité, et préparez-vous à être stupéfait par la profondeur des connaissances de Christian C'est une discussion que vous ne voudrez certainement pas manquer ! Les questions que l'on aborde : 1. Quelles comparaisons pouvez-vous faire entre la diversité politique européenne et l'unité politique de la Chine à différentes époques historiques, et quelles en sont les conséquences sur l'histoire mondiale?2. Comment l'histoire scientifique et industrielle de l'Europe a-t-elle contribué à son expansion à travers le monde, contrairement à d'autres régions?3. En quoi la conquête de l'Amérique met-elle en question l'idée de la supériorité technique des Européens et quelle était la véritable nature de leur échange avec les peuples autochtones?4. Comment les adaptations physiologiques humaines, comme la gestion de la grossesse et la prématuration des bébés, ont-elles contribué au succès de notre espèce malgré les difficultés?5. De quelle manière les langues et la communication ont-elles joué un rôle essentiel dans la survie et l'évolution de l'humanité?6. En évoquant la théorie de l'invention de la langue humaine par absorption de champignons, quelles sont les réflexions de Christian sur les origines de notre capacité à communiquer?7. Selon les discussions de l'épisode, quelle est l'importance de l'année 1537 dans notre reconnaissance de l'unité et de la diversité humaine?8. Comment l'histoire et la diffusion de l'humanité à travers toutes les terres émergées contrastent-elles avec les autres espèces et quelle influence cela a-t-il eu sur notre développement?9. Quel est le rôle des dynamiques géographiques et physiologiques dans l'évolution humaine, selon l'analyse de Christian sur les différents environnements et leurs influences?10. Comment la cartographie et les représentations du monde ont-elles influencé notre compréhension de la taille et de l'importance des différents continents et pays?Timelaps : 00:00 Marsupiaux, évolution humaine, histoires anciennes.06:56 Capacité de course, tête grosse et feu.14:51 Polynésiens découverts en Amérique du Sud, légendes.20:58 Relations amérindiennes-européennes, première mixité et conquête.27:59 Progressive intégration dans le monde byzantin, servage.30:20 Présence ancienne des grands glaciers en Europe.36:42 Impasse biologique due à la station debout.43:33 Diffusion humaine diversifie langage et innovations nécessaires.50:04 L'histoire de l'Europe et sa conquête.53:02 Impact des maladies européennes sur les populations autochtones.57:46 Conflits européens et chinois, conquêtes en Asie.01:05:23 Exploration européenne du Mali, développement technique monde ancien.01:07:17 Supériorité européenne au 19e siècle technique et démographique.01:12:21 Pays d'Europe occidentale, commerce, conquête, Indes.01:20:20 Histoire géographique mondiale et dimension horizontale.01:26:44 Arbres anciens, traces archéologiques, climat changeant.01:29:56 Refus de souverainisme, préconisation du métissage culturel. Suggestion d'autres épisodes à écouter : Vlan #113 Revenir au temps long pour comprendre le monde avec Christian Grataloup (https://audmns.com/eSlZGOZ) #292 Les enjeux de la géopolitique climatique avec David Djaiz (https://audmns.com/BoZGVQa) #274 L'eau va t'elle devenir une denrée rare en France avec Magali Reghezza (https://audmns.com/TpVPDYg)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.