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Depuis les débuts de l'agriculture et de l'élevage, il y a 11.000 ans, depuis ce passage des chasseurs-cueilleurs aux agro-pasteurs, l'humain a cessé de vivre AVEC ou dans le Vivant, la Nature, mais CONTRE.Conscient des ravages perpétrés contre la biodiversité, de la 6e extinction de masse, inédite par sa vitesse et son accélération, certains Homo sapiens essaient de cultiver autrement, durablement. C'est la permaculture et l'agroforesterie par exemple. Dans ces façons de nous nourrir et de cultiver respectueuses du Vivant, les pesticides et la chimie destructrice, y compris pour nous, sont remplacés par des AUXILIAIRES de culture. Des êtres vivants qui nous aident à réguler les ravageurs de cultures.AVEC plutôt que CONTRE. ENTRAIDE plutôt que COMPÉTITION.Certains de ces auxiliaires, comme la célèbre Coccinelle, sont des prédateurs et des régulateurs d'autres êtres vivants. D'autres sont des pollinisateurs. Et pas seulement les Papillons et les Abeilles, mais beaucoup d'autres, comme des Mouches, des Syrphes voire des Oiseaux ou des Chauves-souris nectarivores. Enfin, certains, comme les Vers de terre, aèrent les sols et contribuent à les maintenir vivants et productifs.Notre invité est Hugues Mouret, un des fondateurs et dirigeants de l'association Arthropologia, une copine de notre propre asso Baleine sous Gravillon. _______
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Depuis les débuts de l'agriculture et de l'élevage, il y a 11.000 ans, depuis ce passage des chasseurs-cueilleurs aux agro-pasteurs, l'humain a cessé de vivre AVEC ou dans le Vivant, la Nature, mais CONTRE.Pour protéger ses cultures et ses troupeaux, il a commencé à pourchasser et détruire tous les êtres vivants qu'il a considéré comme des pique-assiettes. Exemple notoire : le Loup, qui avait été domestiqué longtemps avant (en devenant le Chien), est devenu un ennemi, parce qu'il s'en prenait au bétail. Je raconte cette histoire dans la première série de Mécaniques du Vivant sur France Culture.Conscient des ravages perpétrés contre la biodiversité, de la 6e extinction de masse, inédite par sa vitesse et son accélération, certains homo sapiens essaient de cultiver autrement, durablement. C'est la permaculture et l'agroforesterie par exemple. Dans ces façons de nous nourrir et de cultiver respectueuses du Vivant, les pesticides et la chimie destructrice, y compris pour nous, sont remplacés par des AUXILIAIRES de culture. Des êtres vivants qui nous aident à réguler les ravageurs de cultures.AVEC plutôt que CONTRE.ENTRAIDE plutôt que COMPÉTITION.Les auxiliaires de culture sont des bactéries, champignons, plantes, ou des animaux, comme des oiseaux, des insectes, qui protègent nos cultures d'autres organismes … dont ils sont des prédateurs naturels. Ces auxiliaires de culture sont parfois élevés et disséminés ou encouragés à venir par l'humain pour débarrasser les plantes des indésirables. Certains de ces auxiliaires, comme la célèbre Coccinelle, sont des prédateurs et des régulateurs d'autres êtres vivants. D'autres sont des pollinisateurs. Et pas seulement les Papillons et les Abeilles, mais beaucoup d'autres, comme des Mouches, des Syrphes voire des Oiseaux ou des Chauves-souris nectarivores. Enfin, certains, comme les Vers de terre, aèrent les sols et contribuent à les maintenir vivants et productifs._______Notre invité est Hugues Mouret, un des fondateurs et dirigeants de l'association Arthropologia, une copine de notre propre asso Baleine sous Gravillon._______
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1984, c'est non seulement une grande année musicalement parlant mais aussi le titre d'un album de Van Halen qui est alors l'incarnation du groupe de heavy metal. Oui, Van Halen, c'est un son … Un son à part dans la musique rock des années 70 qu'ils imposent grâce à un hit mondial, une reprise étonnante des années 60. Et c'est vrai qu'en 1984, beaucoup de ces messieurs mais aussi demoiselles croient que ce fameux Van Halen est logiquement le chanteur mais en fait il n'en est rien, Van Halen, c'est le nom de famille d'Eddie, le guitariste, et Alex, le batteur. Tous autant que nous sommes ignorons qu'ils ne sont pas Américains mais sont nés pas loin de chez nous , à Amsterdam, en Hollande. Ce n'est que 7 ans plus tard qu'ils émigrent avec leurs parents vers les Etats-Unis et s'établissent dans la ville de Pasadena. C'est là que plus tard, les frères Alex et Edward, devenu Eddie, forment leur premier groupe qu'ils baptisent Mammoth. Pourquoi ? Vous avez deviné.Entretemps, Papa Jan Van Halen, excellent clarinettiste et saxophoniste, a mis ses deux rejetons au cours de piano classique. Mais bon, au début des années septante, tous les jeunes gars ont plus envie de jouer le répertoire de Led Zeppelin et des Stones que celui de Chopin et Schubert. Eddie se met donc à la batterie et Alex à la guitare. Vous vous rendez compte à côté de quoi on a failli passer ? Pour ne prendre qu'un exemple parmi d'autres, le solo de guitare de Beat it n'aurait jamais été aussi génial. Car c'est en constatant qu'Alex est bien meilleur que lui à la batterie, que Eddie abandonne les tambours au profit des cordes de guitare. Son jeu devient rapidement révolutionnaire ; les guitaristes rock ayant une formation de pianiste classique sont en effet très rares. Et après avoir maîtrisé son instrument, Eddie comprend qu'il peut comme sur un piano jouer des notes différentes avec chaque main sur sa guitare. Personne n'y avait jamais pensé avant lui et pourtant le résultat est hallucinant et inédit. Conscient de sa trouvaille, Eddie va réussir à la cacher aux éventuels imitateurs et concurrents en jouant durant plusieurs années en tournant le dos au public. C'est l'arrivée de David Lee Roth au chant qui va changer la donne. En effet, quand celui qui n'est que le loueur de matériel, prend le micro et fait son show, le groupe devient tout simplement explosif. Fini Mammoth, bonjour Van Halen ! Mais Van Halen est surtout un groupe d'albums, entendez par là qu'à chaque disque qui sort, les nouveaux fans achètent tous les précédents. Ainsi leur premier album se vend-il aux Etats-Unis à 10 millions d'exemplaires. Van Halen, c'est une machine colossale au son tout aussi énorme qui lorsqu'il propose en 1984, déjà son sixième album, va découvrir les joies d'être N°1 au hit parade des singles. Cela fait en effet quelques années qu'Eddie Van Halen a découvert les synthés dont il s'est servi jusque-là pour encore alourdir le son du groupe. Est-ce le passage par le studio de Michael Jackson et la joie d'entendre son solo cinq fois par jour à la radio mais ici, pour la première fois, il se sert des claviers pour le rendre plus aérien, plus mélodique. Le résultat est étonnant, Jump figure aujourd'hui, avec Beat it, au panthéon des plus grandes chansons des années 80.
Cliquez sur Play pour écouter le dernier Podcast de l'émission « En Amour »! Dans cet épisode, je réponds à deux questions des auditeurs sur le couple conscient et la spiritualité dans le couple. Bonne écoute!
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Le CHH franchit une nouvelle étape dans sa transition énergétique en annonçant son raccordement au réseau de chaleur urbain de la ville. Avec 2280 professionnels de santé et une intense activité, le centre hospitalier est un consommateur énergétique important du territoire. Conscient de son impact environnemental, l'établissement mène depuis plusieurs années déjà une politique de réduction de son empreinte carbone. En décembre dernier, l'hôpital a par exemple installé une centrale photovoltaïque sur son parking principal. Une installation de 4000 panneaux bifaciaux qui permet à l'établissement de produire 25% de sa consommation électrique annuelle.Lien vers l'article complet : Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:05 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Dans son long-métrage "La Chambre de Mariana" le réalisateur Emmanuel Finkiel se plonge pour la troisième fois dans la période de la Shoah. Nous assistons à la guerre à travers les yeux d'un enfant juif caché dans un bordel ukrainien en 1943, adaptation d'un roman de l'écrivain Aharon Appelfeld. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Emmanuel Finkiel Réalisateur français de cinéma
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À demain avec Adrien ! À découvrir :
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⏰ Pour profiter des 50% offerts sur le pack BLOGUEUR VOYAGE PRO™, passe bien par ce lien : https://academie.lesentrepreneursnomades.fr/pack-blogueur-pro-2?coupon=50-OFF-BLOGUEUR-PROL'offre expire ce dimanche 30 mars à 23h59.
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« Rien n'est irrémédiable. Je ne dis pas qu'il y a des solutions magiques, mais il y a toujours la possibilité d'avancer. »Pourquoi est-il essentiel de redonner du sens aux apprentissages ? C'est la question centrale que nous abordons avec Guillaume Bousquet, expert passionné par l'éducation et fondateur de PédagoVie.Guillaume a exercé comme professeur de français pendant dix ans avant de réorienter sa carrière suite à une épreuve de vie marquante : la perte de sa femme. Conscient des défis auxquels font face les enfants, les enseignants, et les parents (il est lui-même père de 5 enfants), il fonde PédagoVie. Par cette initiative, il propose des outils concrets pour aider les enfants à surmonter les obstacles scolaires, en recentrant l'apprentissage sur le sens et l'engagement émotionnel. Guillaume est également spécialiste de la discipline positive, qu'il intègre dans son approche pédagogique pour améliorer les interactions adultes-enfants.Dans cet épisode, nous explorons les thèmes de la motivation, du mouvement, de l'intelligence et des fonctions cognitives. Guillaume partage avec nous des stratégies pour relier les apprentissages scolaires à la vie réelle. Avec des exemples pratiques et un focus sur l'interaction et le mouvement, vous découvrirez comment aider les enfants à retrouver confiance en eux et à se réapproprier le plaisir d'apprendre.Les sujets abordés :Guillaume Bousquet et PédagoVie (01:47-03:19)L'impact des épreuves de vie (03:19-04:29)Les manques dans la formation des enseignants (04:29-06:37)Les défis des parents face aux difficultés scolaires (06:37-07:32)La pédagogie de la parole (07:32-08:37)Redonner le goût de l'école aux enfants (08:37-12:09)Stimuler le mouvement (17:39-19:49)Développer les fonctions cognitives (20:00-23:50)Changer de regard sur l'intelligence (23:50-29:05)Les bénéfices de la discipline positive (29:34-36:27)Ressources :- Site Pédagovie- Instagram @pédagovieCet épisode nous invite à repenser l'expérience d'apprentissage des enfants grâce à des outils concrets.
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Memento #328. Actor, director, pilot de cotxes, empresari, activista pol
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Note: to read this posting on a calm presence see a conscient rethink a conscient rethinkWhat needs to be said? Who needs to say it? Who wants to hear it? How does it help? February 16th, 2025, on the unceded lands of the Algonquin-Anishinaabe people.I started publishing the conscient podcast and balado conscient in May of 2020. My goal was to ‘explore art and the ecological crisis as a learning and unlearning journey'. At that time I believed that ‘the arts and culture could play a critical role in raising awareness about sustainability issues and moving people towards action.'Maybe. Maybe not. At any rate, some 300 episodes later, I felt that this first leg of my conscient journey is complete and that I owe deep gratitude to my collaborators and to you, for listening. It's now time to rethink conscient. Some of you might recall in my listen and co-create posting on a calm presence and this quote from the Intercultural Communication Handbook : Sensing, attending and being patient requires slowing down, pausing, and taking time to listen, look, feel and learn. Seeking to activate and use all our senses to relate as part of the world. This involves learning through relationships, through actions and through careful attention, not just through asking questions and talking a lot. Being patient and humble enables recognition of the myriad of messages that humans and non-human beings are always sending out.These wise words encouraged me to slow me down and inspired me to take a pause from the production of conscient during the winter of 2025 and I tried to follow this good advice.Others are also advocating for a slow down and a rethink. For example Kai writes in Dense Discovery – Issue 326 / When enough outrage is enough :We have enough information. We know where we stand. The challenge now isn't to understand more, but to act on what we already know, redirecting our energy from pointless online reaction to tangible local action. As I've said here before, we don't need more clever dunks. We need more people showing up – in our communities, in our work, in the unglamorous spaces where real change takes root.What did I do?I listened to everyday life. I stopped judging.I meditated on presence.I conversed with colleagues in the 10 week Surviving the Future : The Deeper Dive 2025 course.I shared some of my experiences in prepare, bend, sustain. I read and listened to Shaun Chamberlin's Dark Optimism, Nate Hagens' The Great Simplification and Kamea Chayne's Green Dreamer. I also shovelled snow, learned to play tennis and played shinny. Lots of shinny. I also pondered listener feedback from previous seasons of conscient. Here are a few : your guests are inspiring and the conversations are nourishing : it fills a gapwhy don't you present more diversity of voices, in particular from young people and the global south your conversations often go on too long. We're more likely to listen if you edit them downyou narrate too slowly : I. sometimes. fall. asleep. listening. to. you. drone. on.your podcast is not enough fun : why don't you try to be more uplifting and positiveintegrating soundscape compositions actually works well: it makes your podcast unique and compellingWhy not give us more practical tools to engage with the issues not just philosophical musings and doomist projectionstry to be a bit more humblebreathe more quietly and smoothlyWith this feedback in mind, I came up with a set of questions to guide my work future forward: What needs to be said?Who needs to say it?Who wants to hear it?How does it help?In other words, what is the point of all this chatter? I thought back to why I listen to podcasts in the first place and what keeps me listening? I listen to podcasts because they help me:break me out of isolationaccept collapsefeel solidarity and connectionunlearngenerate spiritual and physical energyempathise through tone of voicenurture presence through hesitationlaugh and cryslow down and listenkeep going in spite of the oddsconscient podcast studio production spaceSo, with all of this in mind, I've decided to go ahead and produce a 6th season of conscient.You'll be able to hear three episode types:1. fifteens15 minute ‘composed' conversations with leading artists and cultural workers exploring the theme of ‘arts and culture in times of crisis, collapse, renewal' with a focus on actions. A fifteen is a coffee break of insight. 2. roundtablesLong duration, informal banter with friends and colleagues about their passions, fears and dreams, inspired by the innovative ways of the 1980's era CBC Radio's overnight talk show Brave New Waves. Participants are invited to tell a good story and to expect to be interrupted and maybe teased once in a while. A roundtable is an engaging kitchen party. 3. a calm presenceThese bonus episodes are me narrating each a calm presence Substack posting including additional commentary and soundscape compositions. It's intended for those who, like me, prefer listening over reading. I will launch season 6 at spring equinox on Thursday, March 20, 2025 at 5.01am (EDT).accesssubscribe to conscient podcast or balado conscient (free) on your favorite podcast player : Apple Podcasts, Spotify, Amazon Music, Podchaser, Tune in, YouTubesubscribe to a calm presence (free) on Substackfollow and comment on conscient social media : Facebook, Instagram, LinkedIn, Threads and BlueSky visit conscient.ca to search and listen to any individual Episodes or read episode notes and transcriptsAs always, if you like something you hear or read, please share. Feel free to reach me with questions and comments at claude@conscient.ca *END NOTES FOR ALL EPISODESHey conscient listeners, I've been producing the conscient podcast as a learning and unlearning journey since May 2020 on un-ceded Anishinaabe Algonquin territory (Ottawa). It's my way to give back and be present.In parallel with the production of the conscient podcast and it's francophone counterpart, balado conscient, I publish a Substack newsletter called ‘a calm presence' which are 'short, practical essays for those in need of a calm presence'. To subscribe (free of charge) see https://acalmpresence.substack.com. You'll also find a podcast version of each a calm presence posting on Substack or one your favorite podcast player.Also, please note that a complete transcript of most conscient podcast and balado conscient episodes from season 1 to 5 is available on the web version of this site: https://conscient-podcast.simplecast.com/episodes.Your feedback is always welcome at claude@conscient.ca and/or on conscient podcast or my social media: Facebook, X, Instagram or Linkedin. I am grateful and accountable to the earth and the human labour that provided me with the privilege of producing this podcast, including the toxic materials and extractive processes behind the computers, recorders, transportation systems and infrastructure that made this production possible. Claude SchryerLatest update on February 16, 2025.
Lecture par l'auteur accompagné par Laurent Bardainne & Harold Chlewicki (vidéo) Entretien mené par Clémentine Goldszal À Missery, dans le Morvan, Thomas dédaigne les récoltes et l'élevage de vaches de ses parents, préférant passer tout son temps devant un ordinateur. Codeur surdoué, il est engagé par une start-up franco-américaine à Paris. Là-bas, dans le plus grand secret, il participe à la création du Programme, dont le but est de donner vie aux héros de pixels. Conscient qu'il est en train de mettre fin à la séparation ancestrale entre réalité et fiction, Thomas doute. Accomplir son rêve de conquête de la Silicon Valley vaut-il les risques qu'il fait encourir à l'équilibre du monde ? Arnaud Sagnard raconte une époque envahie par la dématérialisation, mais aussi par le fossé qui sépare les générations. À lire – Arnaud Sagnard, La Vallée, Seuil, 2025
Après six ans de relation avec celui qu'elle pensait être l'homme de sa vie, elle se sépare et perd tous ses repères. Deux mois plus tard, une rencontre inattendue lui redonne de l'élan et l'aide à avancer.Aujourd'hui, notre invitée vient nous parler de cette histoire courte mais intense, qui l'a tant marquée mais qu'il lui a également permis de remettre beaucoup de choses en question et de grandir.Pour écouter mon deuxième podcast : c'est juste ici Si l'épisode te plaît, n'hésite pas à le partager autour de toi. Tu peux aussi laisser 5 étoiles sur Spotify/Apple Podcast, ça m'aiderait énormément ! Viens me rejoindre sur instagram, on est super sympa là-bas : @acoeursouerts
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DE L'EVEIL AU RÉVEILEclairage et soutienACCOMPAGNEMENT personnalisé : https://jammesflumelles.com/rdv/CONTACT mypowerismypresence@gmailBLOG https://jammesflumelles.com/PODCASTS JAMMES FLUMELLES- APPLE PODCAST- SPOTIFY- DEEZER L'individualisation désigne le processus par lequel les individus ont peu à peu acquis une capacité à se définir par eux-mêmes et NON EN FONCTION DE LEUR APPARTENANCE A TELLE OU TELLE ENTITÉ COLLECTIVE.L'individuation, un processus par lequel une personne prend conscience de son indivi-dualité.
Le biopic "Better Man", consacré à Robbie Williams, est sorti mercredi dans les salles françaises. Ce film a déjà conquis la critique britannique, qui salue son originalité et son audace. L'une des particularités les plus surprenantes est la représentation de Robbie Williams par un singe en images de synthèse, tandis que les autres personnages sont incarnés par des acteurs humains. Invité sur le plateau du "Graham Norton Show", Robbie Williams a expliqué cette décision singulière. Conscient de la saturation du genre biopic, il souhaitait offrir une perspective unique. Le réalisateur Michael Gracey lui a alors proposé cette idée audacieuse : "Tout le monde dans le film sera humain à part toi, tu seras un singe en effets spéciaux". Robbie Williams a immédiatement adhéré, voyant là une occasion de se démarquer et... • La suite sur https://www.radiomelodie.com/podcasts/12820-better-man-le-biopic-sur-robbie-williams-est-sorti-en-salle.html
Passionné de la relation à soi, de la relation aux autres et de la relation au Monde et à la Nature, Loïc Gerno est facilitateur en relations donc, mais aussi de cercles d'hommes et d'ecstatiques dances !Dans cet épisode, nous discutons de l'homme conscient, de l'homme en chemin, qui est invité à laisser aller ses émotions, et tout ce que l'homme ne s'autorise pas à faire à cause de ses conditionnements sociaux et familiaux.Loïc nous parle de la médecine du cercle d'hommes, qui permet de mettre de la conscience, de la présence, réajuster, partager, s'alléger, déposer des choses et retrouver cette notion de fraternité bien souvent oubliée dans notre société moderne.Loïc partage également son parcours et les thématiques qu'il aborde dans son podcast, « D'homme à homme », où il invite à réfléchir à la manière dont les hommes peuvent se reconnecter à eux-mêmes et à leur essence profonde.Je suis heureuse de partager cet épisode inspirant qui nous donne l'espoir d'un monde où l'homme et la femme se rencontreront sur le chemin de l'ouverture à l'autre, sans les bagages actuels qui pèsent sur nos relations.
Mathieu Demarson est un alchimiste. Un magicien. Ou plutôt, un humain qui a ouvert les vannes de l'invisible et transmet ce qui est à la portée de ceux qui osent tendre l'oreille Dans cette 1ère partie, Mathieu Demarson et moi-même démarrons en douceur. Âmes sensibles et cartésiennes s'abstenir, merci de bien vouloir rester assis durant la durée du voyage.
S'élever en même temps que son enfant – Le podcast qui mêle parentalité bienveillante et développement personnel Aujourd'hui, on aborde un sujet délicat… Le Père Noël ! Si tu as des petites oreilles autour de toi, pense aux écouteurs ou reporte l'écoute
durée : 00:20:37 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - L'écrivain Richard Wright se raconte en 1960 au cours d'une série d'entretiens. Dans ce quatrième temps, il aborde sa double identité, lui l'écrivain afro-américain naturalisé français depuis 1947. - réalisation : Massimo Bellini - invités : Richard Wright Écrivain afro-américain
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui nous sommes le samedi 31 août.Au début de ce dernier WE d'août, je recueille tout ce que j'ai pu vivre de beau durant ce mois. Je remercie le Seigneur pour tout ce qui a grandi en moi, tout ce que j'ai pu découvrir de vivant et beau. Conscient de tout cela, je me tourne vers Dieu et trace sur moi un signe de croix, signe de gratitude et... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Psaume 102 de Bruno Dalo interprété par Bruno Dalo - Psaume 102 © Voir la chaine YouTube de Bruno Dalo ; Easy Day de Kevin MacLeod interprété par Kevin MacLeod - YouTube Audio Library © Creative Commons Youtube Audio Library.
Développer des habitudes quotidiennes de prière
Le terme "tiers monde" est depuis longtemps entré dans le langage courant. Il a été inventé, en 1952, par le démographe Alfred Sauvy, qui employa cette expression dans un article du magazine "L'observateur".Ce terme s'applique en principe aux pays pauvres. Il s'oppose au "premier monde" et au "second monde", des termes moins usités. Dans le "premier monde", on trouve les pays les plus développés, dont les habitants jouissent de larges libertés et d'un niveau de vie élevé.Le "second monde", quant à lui, regroupe les pays de l'ancien bloc soviétique.On voit que le terme "tiers monde" demeure assez ambigu. En effet, tous les pays de ce vaste ensemble ne connaissent pas le même niveau de développement, tant s'en faut. Il faudrait donc parler de "tiers-mondes", au pluriel.Les écarts entre ces pays se sont d'ailleurs accrus, avec l'apparition des "pays émergents" ou des "nouveaux pays industriels" (NPI), dont la croissance économique a parfois dépassé celle de certains pays capitalistes.Par ailleurs, Les nations du tiers-monde sont vus comme des pays "sous-développés", qu'on a appelés ensuite "en développement", ce qui est moins péjoratif et met l'accès sur les progrès plus que sur les retards.Mais, en même temps, ils sont souvent perçus comme des pays situés dans l'hémisphère Sud. Aussi parle-t-on souvent de l'opposition entre le "Sud" ou les "Suds", moins avancés, et un "Nord" riche et développé.Or, cette vision est, elle aussi, trop schématique. En effet, certains pays du "Sud", comme l'Australie ou la Nouvelle-Zélande, sont tout aussi développés que les pays du "Nord".Enfin, la formule a également un sens politique. En effet, le "tiers monde" rassemble une grande partie des pays décolonisés à l'issue de la Seconde Guerre mondiale et qui se sont regroupés, après la conférence de Bandung, en 1955, dans le mouvement des non alignés.Conscient de l'insuffisance de l'expression qu'il a pourtant inventée, Alfred Sauvy la désavouera, à la fin des années 1980. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:50:37 - Grand Canal - par : Eva Bester - Maître de la science-fiction, l'auteur Alain Damasio est parti dans la Silicon Valley se confronter à un réel qu'il n'anticipait pas. Dans “Vallée du silicium” (Seuil) il chronique son immersion et raconte sa pensée sur ce que la technologie fait de nous. Bienvenue dans l'antre du technocapitalisme.
On vote aujourd'hui en Afrique du Sud. Près de 28 millions d'électeurs sont appelés aux urnes pour des élections législatives très indécises… Au pouvoir depuis trente ans, l'ANC pourrait bien payer ses erreurs de gestion.Dans une tribune publiée par le quotidien sud-africain Cape Times, l'analyste politique, chercheur et militant des droits de l'homme Nyembezi estime que le temps du changement est venu. « Nous sommes maintenant dans ce qui pourrait être la scène finale de la période de domination de l'ANC, affirme-t-il. Le président Ramaphosa a réussi à stabiliser le navire, mais sans rien faire pour rendre le parti plus attrayant aux yeux des électeurs. (…) La plupart des gouvernements s'essoufflent après une si longue période au pouvoir. S'il y a quelque chose qui propulse les arrangements de coalition, c'est ce sentiment politique irrésistible : il est temps de changer. »Hier et avant-hier, déjà, plus de 1 million 600 000 électeurs ne pouvant se déplacer le jour J - invalides, personnes âgées, détenus, policiers ou journalistes - ont pu voter de manière anticipée. Et la commission électorale a relevé quelques irrégularités. C'est que pointe The Star : « attaques, intimidations et vols de matériel électoral : deux personnes ont été arrêtées pour avoir falsifié des urnes. (…) Des incidents toutefois isolés. »La Commission électorale précise que tout est prêt pour le vote de ce mercredi, pointe encore The Star : le matériel électoral est installé, la météo est clémente et la compagnie d'électricité Eskom a donné l'assurance qu'il n'y aurait aucun délestage… Les coupures d'électricité sont en effet régulières dans le pays…Un vote « électrique » !Justement, « l'électricité, grande électrice du jour ! », ironise le quotidien Aujourd'hui à Ouagadougou. « Le courant est l'un des enjeux de cette élection. La Nation arc-en-ciel est fréquemment plongée dans le noir, l'ANC promet de résoudre le problème. Pourquoi maintenant ? clament ses adversaires. »« Depuis quelques semaines, constate Le Point Afrique, l'Afrique du Sud profite d'un répit et ne subit presque plus de délestages électriques. Le gouvernement l'assure, cette amélioration n'est pas liée à l'agenda électoral. Mais les Sud-Africains restent sceptiques et suspicieux. Ils sont bien trop habitués depuis 30 ans aux promesses de campagne qui s'évanouissent une fois la date du scrutin passée. »En tout cas, il n'y a pas que les coupures de courant à mettre au passif de l'ANC. « Les Sud-Africains, constate Le Pays, au Burkina, sont confrontés à une économie en difficulté, à un taux de chômage galopant qui a atteint le chiffre vertigineux de 59 %, à la corruption des dirigeants du parti, à une hausse des crimes violents et à une pauvreté généralisée. »Vers une alliance avec l'opposition ?Alors l'ANC va-t-elle perdre ce scrutin ? Le Monde Afrique nous livre quelques repères : « Tous les sondages sont formels : l'Afrique du Sud s'apprête à vivre une élection historique. De plus en plus contesté, l'ANC pourrait perdre sa majorité à l'Assemblée nationale pour la première fois depuis la fin de l'apartheid. Une voie ouverte pour son principal adversaire ? Pas si simple, répond le journal. Car si l'Alliance démocratique passe pour un modèle de gestion locale de nature à rassurer des électeurs exaspérés par la déliquescence des services publics et le chômage massif, le principal parti d'opposition peine encore à convaincre une majorité d'électeurs de la communauté noire, qui représente 81 % de la population. »L'écrivain sud-africain Sihle Khumalo, interrogé par Le Monde Afrique explique : « En Afrique du Sud, les questions raciales sont encore centrales, ça fait partie de notre lutte. Et que ce soit un mythe ou une réalité, certaines personnes noires perçoivent encore l'Alliance démocratique comme un parti de Blancs, alors aller aux élections avec un leader blanc, ça n'aide pas. »Côté sondage, poursuit le journal, « l'Alliance démocratique recueille entre 20 % et 25 % des intentions de vote. Bien loin de la majorité parlementaire qui lui permettrait d'élire seule le président. Conscient du chemin à parcourir, le parti a créé une coalition avec une dizaine d'autres formations quelques mois avant les élections. (…) L'ANC, elle, est crédité de 40 % à 45 % des intentions de vote ; ses chances d'emporter une majorité de voix paraissent toujours bien maigres. » Alors, s'interroge Le Monde Afrique, « à défaut de victoire, l'Alliance démocratique serait-elle prête à faire une alliance de gouvernement avec l'ANC ? »
Aujourd'hui, Elina Dumont, Antoine Diers et Stéphane Manigold débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C dans l'air du 17 avril 2024 - Carlos Tavares : le patron qui valait 36 millions ? 36,5 millions d'euros pour l'année 2023, soit pas moins de 100 000 euros par jour. Ce mardi, le conseil d'administration de Stellantis a validé à 70 % des voix la rémunération en forte hausse du directeur général Carlos Tavares. Une somme colossale jugée totalement indécente par une part importante de la classe politique, notamment à gauche mais que l'intéressé assume. "C'est une dimension contractuelle entre l'entreprise et moi. Comme pour un joueur de foot et un pilote de Formule 1, il y a un contrat", a-t-il justifié auprès de BFM Business. Le chef d'entreprise, habitué des polémiques au sujet de son salaire, s'est d'ailleurs laissé aller à une petite provocation en lançant : "si vous estimez que ce n'est pas acceptable, faites une loi". En 2022 déjà, la rémunération de Carlos Tavares avait relancé le débat sur le salaire des dirigeants du CAC 40. Conscient des risques d'explosion sociale, Emmanuel Macron avait jugé à l'époque "choquants et excessifs" les 19 millions attribués pour l'année 2021 au dirigeant du groupe automobile né de la fusion de PSA Peugeot-Citroën et FCA Fiat-Chrysler. Le chef de l'Etat s'était alors prononcé pour la mise en place d'un plafond contre les rémunérations abusives pour les patrons européens, au niveau de l'Union européenne. Le projet est jusqu'à présent resté lettre morte. Cette fois, c'est l'insoumis Matthias Tavel qui a annoncé le dépôt d'une proposition de loi "pour fixer un salaire maximum dans les entreprises, en limitant à 20 les écarts entre la plus grande rémunération et le plus petit salaire". Idem pour les socialistes qui entendre défendre un texte déposé en 2020 allant également dans ce sens. Pour le président du groupe rose à l'Assemblée Boris Vallaud, le moment est venu pour le législateur de s'emparer de la question de la répartition des richesses. Et ce alors que l'inflation impacte encore fortement le revenu des ménages et que le gouvernement va demander de nouveaux efforts aux Français pour palier au spectaculaire dérapage des comptes en 2023. Lors du Conseil des ministres ce mercredi, l'exécutif a dévoilé la nouvelle feuille de route gouvernementale pour faire revenir le déficit public sous les 3 % du PIB d'ici à 2027. Mais celle-ci est jugée manquer de "crédibilité" et de "cohérence" par le Haut Conseil des finances publiques qui appelle à renoncer aux baisses d'impôts promises pour l'an prochain. La question de la taxation des plus riches est également évoquée dans la classe politique. Dans une tribune publiée dans les colonnes du Monde, un collectif d'économistes plaide, de son côté, pour la désindexation des pensions de retraite et la suppression de l'abattement de 10 % sur leur imposition. LES EXPERTS : - Dominique SEUX - Directeur délégué de la rédaction des Echos - Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction du magazine Challenges - Aurore GORIUS - journaliste indépendante, spécialiste du lobbying et de l'influence - Emmanuel DUTEIL- Directeur de la rédaction de l'Usine nouvelle
2050, c'est la date que s'est fixée l'Union européenne pour parvenir à la neutralité carbone. Mais avant la réalisation de l'étape suprême du Pacte vert en 2050, l'Union européenne impose aux 27, de réduire dès 2030 leurs émissions de gaz à effet de serre, de 55% par rapport au niveau de 1990. Pour atteindre cet objectif, la Slovaquie comme tous les pays européens, est engagée dans un processus de décarbonation de son industrie. De notre envoyée spéciale en Slovaquie,Quand on parle de décarboner l'industrie, on cible notamment le secteur sidérurgique traditionnel qui se révèle très polluant. C'est le cas en Slovaquie, où cette activité représente un cinquième de la totalité des émissions de gaz à effet de serre du pays, avec un gros émetteur, l'usine U.S. Steel de Košice.Quand on atterrit à l'aéroport de Košice, impossible de ne pas apercevoir par le hublot les cheminées élancées et les hauts fourneaux de l'usine U.S. Steel. L'histoire récente de la deuxième ville la plus importante de Slovaquie est intrinsèquement liée à l'activité sidérurgique. Il suffit de donner notre destination au chauffeur de taxi pour que celui-ci se perde dans ses souvenirs. Son père y a travaillé, a vécu le rachat par U.S. Steel, les restructurations, les licenciements. À l'arrivée de U.S. Steel, une poussière noire d'acier recouvrait les véhicules dans les années 90, nous raconte-t-il. Le ton se fait malicieux, quand il nous précise que la pollution ne restait pas sur la ville, mais gagnait la Hongrie voisine en raison des vents du Nord ! Dans les années 2000, la poussière a disparu. L'une des exigences posées au sidérurgiste américain, lors de l'achat de l'usine était de mettre l'entreprise aux nouvelles normes européennes.C'est en l'an 2000 que U.S. Steel, qui fut longtemps le fleuron de la sidérurgie américaine, rachète le complexe slovaque après deux années en joint-venture. L'usine métallurgique n'a alors que 41 ans, car contrairement à d'autres villes industrielles, l'activité sidérurgique à Košice ne remonte pas à la révolution industrielle. C'est en 1959 que le régime communiste décide d'installer dans cette région plutôt rurale, une entreprise métallurgique qui prend le nom de Východoslovenské Železiarne (VSŽ, Métallurgies de l'Est slovaque en français).L'arrivée de cette activité bouleverse la ville, qui passe de 60 000 habitants en 1960 à 240 000 aujourd'hui.Une guérite avec une barrière marque l'entrée de l'usine. Nous la franchissons après avoir donné le nom de Juraj Varga, à l'interphone. C'est le responsable du principal syndicat de l'usine, Kovo qui regroupe 62% des salariés. Il nous a précisé la veille que pour des raisons de sécurité, c'est lui qui viendrait nous chercher. S'il a rapidement répondu à notre demande d'interview, la direction de U.S Steel, a pour sa part décliné toute rencontre.« Notre usine souffre de sous-investissements »Nous sommes mi-janvier 2024, le thermomètre est en dessous de zéro, nous rentrons rapidement dans le bâtiment central de U.S. Steel. Nous avons pris rendez-vous avec Juraj Varga en décembre pour parler avec lui de la décarbonation de l'usine, mais entre temps, une annonce qui a sidéré beaucoup de monde notamment aux États-Unis est intervenue : à la surprise générale, le 18 décembre 2023, le Japonais Nippon Steel, 4e groupe mondial, a fait une offre d'achat de U.S. Steel, l'entreprise américaine, basée à Pittsburgh en Pennsylvanie, le berceau de la sidérurgie américaine. Je l'interroge donc d'abord sur le sentiment des salariés de Košice face à ce changement de propriétaire. « C'est une bonne nouvelle – nous confie-t-il - car notre usine souffre de sous-investissements. Depuis plusieurs années, il n'y a pas eu d'investissements pour moderniser nos processus de production. Pour parler clairement, nous avons une usine du siècle dernier ».Qu'en est-il de la décarbonation de l'usine ? C'est un sujet qui préoccupe le gouvernement slovaque depuis plusieurs années. En 2019, le ministre des Finances de l'époque, Igor Matovic, avait fait le déplacement à Pittsburgh pour porter le message suivant : « La décarbonation est le seul moyen d'assurer un avenir à la filiale de Košice ». En 2021, le même ministre avait obtenu l'engagement de U.S. Steel de remplacer deux hauts-fourneaux traditionnels alimentés au coke par des fours à arc électrique, le 3e haut-fourneau n'était pas remplacé, mais modernisé. Les engagements se sont-ils concrétisés ? La réponse de Juraj Varga fuse : « Rien n'a été réalisé, même s'il y a eu annonce et médiatisation concernant la décarbonation ! Les employés sont déçus. Avec l'arrivée du nouveau propriétaire, on espère un développement positif pour l'usine ». Le responsable syndical nous précise que cela fait trois ans que les équipes planchent sur le processus de décarbonation, mais que tout est resté à l'état de plan. « D'un point de vue administratif et technique, on peut dire que l'usine est prête mais l'élément déclencheur, c'est l'argent », analyse-t-il. Le montant de la transition verte pour l'usine de Košice est en effet vertigineux, il s'élève à au moins, un milliard deux cents millions d'euros. Conscient de l'investissement que cela représente pour le groupe industriel américain, le gouvernement slovaque a œuvré auprès de Bruxelles pour obtenir des aides. 600 millions d'euros de fonds européens sont prêts à être investis, « mais il faut que l'employeur investisse la même somme et si le total s'élevait à un milliard deux cents millions d'euros, au départ, avec la flambée inflationniste et la crise énergétique c'est sans doute, maintenant, peut-être un milliard 400 millions. Nippon Steel devra dire quand et si elle est prête à investir dans ce projet », conclut Juraj Varga qui n'avait pas encore, à la mi-janvier, eu de contact avec les syndicats japonais du secteur sidérurgique.« Ce genre d'entreprise aime avoir l'air très écologique, mais en fin de compte, ce n'est très souvent que de la com »Nous rejoignons le centre-ville de Košice, avec sa large artère centrale bordée de magasins, de restaurants et de cafés. Nous avons rendez-vous avec Zuzanna Kupcova à quelques encablures de là, dans une ancienne usine de tabac transformée en café branché. La jeune femme est la coordinatrice de Klima t'a potrebuje, une toute jeune organisation écologique locale qui a vu le jour en 2021. « Quand vous allez sur le site internet de U.S. Steel, cette entreprise se présente comme très verte et très engagée dans le développement durable. Ce genre d'entreprise aime avoir l'air très écologique, mais en fin de compte, ce n'est très souvent que de la com, de l'écoblanchiment », regrette-t-elle. Zuzanna Kupcova reconnait que l'investissement financier demandé se révèle conséquent, mais elle rappelle aussi que « U.S. Steel a le taux d'émissions de CO2, le plus élevé de Slovaquie. L'entreprise est proche de la ville et a donc un impact environnemental considérable. Ce que nous voulons c'est une véritable décarbonation et pas une politique de petits pas ». U.S. Steel, l'usine la plus importante dans la région de KošiceU.S. Steel a donc débarqué en Slovaquie en 1998, dix ans après la sortie du pays de plus de 40 ans de régime communiste (1948-1989) et six ans après la dislocation de la Tchécoslovaquie.« U.S. Steel est l'usine la plus importante pour notre région de Košice. En fait, il fut un temps où toute l'économie de la Slovaquie orientale reposait sur cette entreprise », rappelle Radislav Trnka, le président de la région de Košice. Il nous reçoit dans son vaste bureau. Hauteur sous plafond, moulures, le bâtiment qui abrite les bureaux de la présidence régionale appartient au patrimoine historique de Košice, qui fut au cours de son histoire mouvementée, dominée par les souverains hongrois. Radislav Trnka a 35 ans. En 2017, lors de sa première élection, il est devenu le plus jeune président de région de l'histoire de la Slovaquie. En quelques chiffres, on comprend l‘importance de l'usine U.S. Steel pour la région de Košice : « Actuellement, U.S. Steel emploie quelque 8 000 personnes. À cela, s'ajoutent quelque 20 000 personnes dans les entreprises de sous-traitance. C'est la plus grande usine de la Slovaquie orientale et donc un employeur important ». Pour compléter cette réalité sociale, il faut citer le chiffre d'affaires annuel de U.S. Steel Košice : environ trois milliards d'euros. Rapporté au PIB de la Slovaquie, qui est de 130 milliards d'euros, le gouverneur de la région de Košice insiste « cela représente presque deux pour cent du PIB slovaque. Vous comprenez son importance à l'échelle régionale ! ». Certes, au fil du temps, la région a développé un autre pilier économique, celui des technologies de l'information, une usine automobile Volvo s'est aussi installée, mais l'industrie sidérurgique reste essentielle pour l'économie locale. Des entreprises qui apportent une vitalité économique dans une région qui enregistre un taux de chômage inférieur à 6,5%, mais qui sont aussi source de pollution. Radislav Trnka nous explique que les entreprises de la région de Košice « produisent jusqu'à 30 % des émissions de gaz à effet de serre générées dans toute la Slovaquie ». Le gouverneur reconnait que Košice « est l'une des régions les plus polluées de Slovaquie et l'un des responsables de cette réalité peu flatteuse, c'est U.S. Steel. C'est donc le revers de la médaille de notre dynamisme économique. Statistiquement, dans notre région, l'incidence du cancer est beaucoup plus élevée en raison de la pollution de l'air ». Si la décarbonation de l'usine U.S. Steel se réalise, la Slovaquie remplira ses objectifs 2030 fixés par l'Union européenneKošice est située à l'extrémité orientale de la Slovaquie, à l'extrême opposé de la capitale. Il faut donc 5 heures de train pour rejoindre Bratislava. Le gouvernement est très impliqué depuis plusieurs années dans la décarbonation de l'usine de U.S. Steel Košice, mais également de façon plus générale de l'économie slovaque. C'est l'Institut pour la politique environnementale, rattaché au ministère de l'Écologie slovaque, qui documente tout ce processus. Kristina Mojsezova est responsable du département en charge tout particulièrement de fournir pour le gouvernement et les entreprises, une modélisation de la décarbonation, ainsi que les scénarii possibles, tout en, insiste-t-elle « toujours mettre en parallèle, la décarbonation et les conséquences économiques et sociales ». Cette préoccupation est d'autant plus présente que l'industrie sidérurgique joue en un rôle très important dans l'économie slovaque. Kristina Mojsezova précise que « près de la moitié de notre économie est plus ou moins liée à ce type d'industrie et le secteur sidérurgique est responsable de près de la moitié des émissions de gaz à effet de serre en Slovaquie ». Nous en venons à l'impact de l'usine de U.S. Steel Košice. Kristina Mojsezova nous décrypte les diagrammes qu'elle nous présente : « sur cette moitié, plus d'un cinquième des émissions slovaques provient de notre production d'acier, autour principalement de l'usine de Košice ». Mais au niveau national, l'usine est le 3e ou 4e plus important employeur sur le marché slovaque, « donc, tant en termes d'emplois qu'en termes d'efforts de décarbonation, nous devons vraiment garder ces chiffres à l'esprit lorsque nous réfléchissons aux priorités dans notre effort de décarbonation de ce secteur ». Si U.S. Steel représente 20% des émissions de gaz à effet de serre produites en Slovaquie, on ne peut que s'interroger sur l'impact qu'aurait une décarbonation de cette seule usine. « Une baisse de 14% des émissions au niveau national », explique Kristina Mojsezova qui précise « la Slovaquie sera alors en mesure d'atteindre ses objectifs 2030 fixés par l'Union européenne de réduction de 55% des émissions par rapport à 1990 ». Mais malgré les efforts du gouvernement slovaque, malgré les annonces de U.S. Steel, la décarbonation n'est pas engagée « notre gouvernement tente actuellement de comprendre pourquoi, bien que le gouvernement ait alloué des fonds considérables à cette usine pour qu'elle lance sa décarbonation, aucuns travaux n'ont débuté ». U.S. Steel s'est vu octroyer 600 millions d'euros par l'Union européenne pour remplacer deux des trois hauts-fourneaux par des fours à arc électrique : 300 millions proviennent du fonds du plan de relance et de résilience, les 300 autres millions du fonds de modernisation. « Notre gros problème – confie Kristina Mojsezova - c'est que si le fonds de modernisation court jusqu'en 2030, en revanche, le plan de relance et de résilience doit être réalisé d'ici la première moitié de 2026. Si les projets ne sont pas réalisés dans le délai, il n'y aura pas de financement et la Slovaquie ne pourra pas remplir ses engagements pour 2030. Donc, bien sûr, c'est une entreprise privée qui a le pouvoir de décision, mais notre gouvernement cherche à savoir, quelles options s'offrent à lui ». L'autre question qui se pose est de savoir si, malgré la date de 2026, Bruxelles pourrait envisager un nouveau délai et permettre aux 300 millions d'euros du fonds de relance et de résilience de rester disponibles.L'offre d'achat de U.S. Steel par Nippon Steel a créé la sidération aux États-Unis, le soulagement à Košice.Fin 2023, une inconnue de taille s'est soudainement glissée dans les négociations entre le gouvernement et U.S. Steel. Le 18 décembre 2023, la nouvelle a fait la Une des médias américains, slovaques et japonais. Nippon Steel, le 4ème groupe sidérurgique mondial a annoncé mettre sur la table près de 15 milliards de dollars pour racheter son concurrent. Jamais une telle somme n'avait été évoquée par des repreneurs éventuels. Mais cette offre de rachat a tout autant suscité la sidération aux États-Unis, qui voit son fleuron sidérurgique passer sous pavillon étranger, que le soulagement en Slovaquie, car la filiale de Košice fait bien partie de la proposition de rachat. Si, pendant des années, le regard du gouvernement slovaque s'est tourné vers l'Ouest, vers Pittsburgh, virage à 180 degrés, c'est désormais vers Tokyo que les yeux du ministre des Finances est braqué. Il va falloir reprendre les discussions en vue d'une décarbonation et sonder le potentiel nouvel acquéreur. Potentiel nouveau propriétaire… car le rachat destiné à remettre à flot l'emblématique entreprise sidérurgique américaine, fondée en 1901, heurte le patriotisme économique américain, d'autant que le pays est en pleine campagne électorale. Le siège historique de U.S. Steel est situé en Pennsylvanie, l'État de naissance de Joe Biden et un des États-clé pour la prochaine élection présidentielle. Le président sortant sait qu'il doit absolument capter le vote des travailleurs syndiqués du secteur sidérurgique. À la mi-mars 2024, Joe Biden a déclaré qu'il était « vital que l'entreprise reste détenue et exploitée au niveau national », alors que Donald Trump promet d'ores et déjà de bloquer le rachat s'il est élu. La décarbonation et l'enjeu de la compétitivité de l'industrie slovaqueQue pense le patronat slovaque de cette décarbonation de l'industrie nationale ? Nous poussons la porte du syndicat patronal, RUZ. Son siège est situé en dehors du centre-ville de Bratislava, dans un immeuble neuf, entouré de centres commerciaux et d'autoroutes. RUZ, regroupe 1 500 entreprises issues de tous les secteurs de l'économie, de l'industrie lourde et métallurgique, aux services, banques et compagnies d'assurance. C'est Martin Hošták, le secrétaire général de RUZ, qui nous reçoit. Il nous a prévenus lors de la prise de rendez-vous qu'il n'abordera pas la question de U.S. Steel car c'est un membre de son syndicat. Nous lui demandons quel regard porte son syndicat sur la décarbonation du secteur sidérurgique : « Bien sûr, ce sera un grand changement technologique pour le secteur industriel, mais c'est coûteux, très coûteux et rien n'est gratuit dans ce monde, n'est-ce pas ? C'est la raison de notre... Je ne dirais pas hésitation, mais inquiétude, car c'est la question de notre compétitivité qui se pose. À savoir si nous resterons compétitifs après avoir investi autant de moyens financiers dans la décarbonation vis-à-vis des entreprises dans le monde qui ne sont pas soumises à des obligations aussi strictes en matière de décarbonation. Nous sommes tout à fait conscients de la nécessité d'une transition verte. Nous avons besoin du Green Deal. Mais la question est de savoir s'il ne faut pas reconsidérer les étapes et le calendrier de ces objectifs qui sont peut-être trop ambitieux. Ils pourraient avoir comme conséquences de détériorer ou de détruire nos économies. Or, nous ne pouvons pas devenir un musée industriel, l'Europe ne peut pas se passer d'industries ». Ce discours est-il entendu à Bruxelles ? Martin Hošták nous confie constater « un léger changement de rhétorique chez certains élus européens, voire des membres de la Commission. Par ailleurs, nous nous attendons a priori à ce que le Parlement européen ne soit pas aussi vert qu'il l'est aujourd'hui, à l'issue des élections de juin ». La décarbonation est-elle un sujet de préoccupation partagé par d'autres syndicats d'employeurs ? La réponse du secrétaire national de RUZ fuse : « Bien sûr ! Nous sommes, par exemple, membre de l'initiative C, un groupe informel d'organisations d'employeurs de République Tchèque, de Slovaquie, d'Autriche, de Hongrie, de Slovénie, de Croatie et maintenant de Roumanie. Nous nous réunissons tous les six mois. Si je devais faire des statistiques, je dirais qu'à chaque rencontre, l'un des principaux points abordés concerne la décarbonation. De temps en temps, nous publions des communiqués de presse communs, car en tant qu'industriels d'Europe centrale, nous partageons le même point de vue ». La ville de Košice peut-elle s'imaginer un avenir sans activité sidérurgique ?Si le patronat s'interroge sur le rythme imposé par Bruxelles concernant la transition verte, d'autres à Košice voudraient profiter de ce tournant, pour faire acte d'ambition et révolutionner le tissu industriel de la région de Košice. C'est la position d'Andrej Šteiner. C'est le directeur de l'Institut du climat et du développement de Košice. Voici ce qu'il répond quand on lui demande si le remplacement des fourneaux traditionnels par des fours à arc électrique est la solution : « C'est le point de vue de U.S Steel et du gouvernement slovaque. Nous avons eu de nombreuses discussions entre experts à ce sujet. L'Institut que je représente et les experts qui pensent comme moi, estiment, pour leur part, que conserver U.S. Steel, dans notre environnement local, n'est pas une solution à long terme. Certes, c'est toujours un important pourvoyeur d'emplois, mais il faudrait une réflexion plus ambitieuse, au point de réfléchir à un avenir pour la région sans U.S. Steel. On pourrait miser sur l'industrie des technologies et de l'information moins polluantes et qui pourrait offrir autant d'emplois que U.S. Steel, à la différence qu'il s'agirait d'emplois qualifiés. La valeur ajoutée serait plus élevée que celle de U.S. Steel ». Nippon Steel et la vallée de l'hydrogèneNippon Steel a donc annoncé en décembre 2023 une offre de rachat de U.S. Steel ainsi que de sa filiale slovaque. Les prochains mois sont consacrés à la concrétisation de cette fusion. Pour Radislav Trnka, le président de la région de Košice, qui connait l'usine, a eu accès aux rapports annuels, le constat est simple : cela fait longtemps que U.S. Steel n'a pas investi dans l'innovation. « Nous le déplorons car l'usine est devenue de moins en moins compétitive au fil des années. Quant à l'enjeu environnemental, c'était encore moins une priorité pour eux ». Quels espoirs place-t-il dans le potentiel futur propriétaire ? « En tant que président de région, je dirais donc que le rachat de l'ensemble de la multinationale par les Japonais est la meilleure chose qui pouvait nous arriver ». Pour le président de région, dont la préoccupation reste celle de rendre l'usine, « totalement verte et propre et plus compétitive » tout en maintenant « le plus d'emplois possible, pour que la longue tradition sidérurgique dans cette région se poursuive », l'arrivée de Nippon Steel offre des opportunités. Pour alimenter les futurs fours à arc électrique, la piste d'une alimentation avec de l'hydrogène est étudiée, alors que la région de Košice réfléchit au lancement d'une vallée de l'hydrogène. « La région de Košice est probablement la plus impliquée de toutes les régions slovaques dans le développement de l'hydrogène vert. Nous avons été la première région à disposer de notre propre stratégie régionale en matière d'hydrogène, modèle dont s'est inspiré le gouvernement national ». Radislav Trnka regrette que « U.S. Steel ne s'est jamais impliqué dans ce processus » et entend aborder le sujet avec Nippon Steel. « Les Japonais sont très avancés dans les technologies de l'hydrogène. Donc, je pense que nous trouverons un terrain d'entente ».Si la fusion en négociation entre Nippon Steel et U.S. Steel heurte le patriotisme américain, à Košice, la page du sidérurgiste américain semble donc déjà tournée. Juraj Varga appelle de ses vœux « une décarbonation réussie à Košice », qui permettrait à l'usine de Košice de relever « non seulement un défi, mais de servir aussi d'exemple. C'est ce que nous espérons tous ». DIAPORAMA
Berlin veut mettre fin au modèle des imams envoyés de l'étranger, notamment de Turquie. Le gouvernement allemand soutient depuis bientôt trois ans la formation d'imams « made in Germany » comme on les appelle dans le pays, des religieux ayant suivi un cursus de deux années en allemand et se réclamant des valeurs du pays. La formation se déroule à Osnabrück. De notre correspondante à Berlin,Un petit bâtiment moderne dans le centre d'Osanabrück. Des rayonnages couverts de livres, des tables, un grand écran. C'est là que se retrouvent deux week-ends par mois les élèves de l'Islamkolleg. En deux ans, ils deviendront imams. Murat Caglayan est chargé du module éducation civique à l'IKD, le collège islamique d'Allemagne : « Les musulmans d'Allemagne sont à majorité des gens qui sont pour la troisième génération. Ça veut dire que la plupart sont nés ici. Le problème, c'est qu'on n'a pas encore résolu la question d'avoir des imams qui sont nés ici et ont été socialisés ici. Nous devons encore relever ce défi. »La bibliothèque est l'une des fiertés de l'école. Sept modules sont enseignés à Osnabrück. Pédagogie, récit du Coran, aumônerie ou pratique du culte. Les cours se font en allemand. La première promotion, diplômée l'automne dernier, comptait 26 personnes. Ender Cetin, 47 ans, a fait partie de cette première promotion. Aujourd'hui, il travaille comme aumônier dans la prison pour jeunes de Berlin. Il se rend également dans les classes de la capitale en binôme avec un rabbin, à l'invitation des enseignants. « C'est parfois comme un appel au secours. Les enseignants sont souvent dépassés par la question Israël-Palestine. Aujourd'hui, on a parlé du foulard islamique. Parfois, il y a une dynamique dans la classe. Des filles disent à une autre “tu dois porter le foulard, tu es musulmane”. Dans ces cas-là, c'est important pour les enseignants d'avoir à leur côté un imam qui dit “non, laisse là, elle doit décider elle-même”. »La rémunération des imamsLa formation en Allemagne, un modèle idéal ? Les problèmes sont encore nombreux. Notamment la question de la rémunération des religieux. Murat Caglayan : « À l'heure actuelle, pour les imams envoyés de Turquie par Ditib, ils ont tous été formés en Turquie et sont payés par l'État turc. Pour les autres, il y a des imams qui ne sont chargés que de la prière du vendredi et touchent donc très peu d'argent. »Conscient de ces limites, le gouvernement allemand travaille de concert avec les représentants des communautés musulmanes à la mise en place d'un modèle de rémunération pour les imams formés en Allemagne. Les religieux pourraient un jour recevoir leur salaire de fondations cofinancées par l'État allemand.À lire aussiL'Allemagne lance sa formation d'imams «made in Germany»
Dans l'épisode 117 de Shine, j'accueille une invitée exceptionnelle : Anne Ghesquière.Si vous êtes passionnée de développement personnel, vous la connaissez sans doute déjà. Créatrice du podcast Métamorphose (classé parmi les trois podcasts les plus écoutés en France), Anne cumule 45 millions d'écoutes début 2023.Elle a fondé le magazine FémininBio et est l'autrice de plus de 10 livres engagés autour de la conscience, du bien-être et de l'alimentation saine.Anne a notamment publié le conte La Fée Qui Ouvrait les Cœurs et Va, Vis et deviens conscient de toi, son dernier livre aux Editions Eyrolles.Personnellement, je connais Anne depuis près de 15 ans car elle est la directrice de collection de tous mes livres publiés chez Eyrolles. C'est grâce à elle que j'ai pu écrire mon premier livre J'arrête de râler .Anne vit en Suisse depuis 6 ans, est maman de trois adolescentes, marathonienne, triathlète et enseignante de Wutao, un art corporel d'éveil à soi.Dans cet épisode, nous plongeons dans l'univers d'Anne de la conscience de soi et explorons les thèmes fascinants de son dernier livre. Nous abordons notamment :L'inspiration derrière le livre Va, Vis et deviens conscient de toi-mêmeLe concept des 12 chemins lumineux pour partir à la rencontre de notre vie intérieure et vivre notre métamorphose vers plus d'émerveillement, d'amour et de liberté.Pourquoi il est important de comprendre nos blessuresComment choisir la bonne personne pour nous accompagner lorsque l'on souhaite explorer les thérapies alternatives ou non conventionnelles.Le rôle du corps dans l'élévation de la conscience et l'exploration de la fasciathérapie, la psychologie biodynamique ou le Wutao pour sortir de notre mode "pilote automatique".Le syndrome de l'imposteur dans le processus d'écriture de livre et les meilleurs conseils d'Anne pour celles et ceux qui rêvent d'écrire leur propre livre.Si cet épisode vous a plu, découvrez aussi :ÉPISODE 11 | Danser sa vie | Conversation avec Régine PetitÉPISODE 33 | L'onde orgasmique du Wutao | Conversation avec Immanou Risselard et Pol CharoyÉPISODE 108 | Élévation de la conscience et connaissance de soi | Conversation avec Anne GhesquièreÉPISODE 114 | Pourquoi et comment auto-éditer son livre | Conversation avec Ida El Hicheri, Magali Lemaître et Lydia Plassais===================Comment soutenir ce podcast ?Le meilleur moyen de le faire est de vous abonner au podcast Shine! sur Apple Podcast, et d'y laisser votre avis en lui donnant 5 étoiles ! *Et bien sûr, n'hésitez pas à faire connaître Shine en le partageant à toutes les personnes qui vous sont chères et qui aspirent elles aussi à prendre le pouvoir sur leur vie et rayonner.