Cette série de podcasts vidéo propose une introduction à l'économie circulaire. Ces vidéos ont constitué le coeur du dispositif pédagogique du MOOC Economie circulaire et innovation, qui a connu sa première session entre septembre et octobre 2014 sur la plate-forme France Université Numér…
Elsa Causse revient sur les représentations sociales liées aux déchets ménagers, qui peuvent permettre de mieux comprendre les résistances observées lors de la mise en place de campagnes de prévention des déchets.
Elsa Causse met en évidence les apports de la psychologie sociale afin de mieux comprendre comment faciliter l'adoption de comportements de consommation plus respectueux de l'environnement.
Sandrine Gombert-Courvoisier revient sur les démarches impliquant des ménages qui, volontairement, suivent leurs propres flux de matières et d'énergie et cherchent à réduire leur empreinte écologique.
MOOC UVED Economie circulaire. Dans ce cours, Dominique Bourg revient sur la problématique de l'épuisement des énergies fossiles. Il y expose notamment le modèle du pic pétrolier et la notion de retour sur investissement énergétique.
Béatrice Bellini propose une définition de l'économie de fonctionnalité, et situe ce modèle dans une perspective historique.
Laure Rondeau présente les orientations stratégiques et opérationnelles de la mission zéro de l'entreprise Interface, dont l'objectif est de ne plus avoir aucun impact négatif sur l'environnemnet d'ici 2020.
Laure Rondeau évoque les perspectives de mise en ?uvre d'une économie de fonctionnalité pour l'entreprise Interface.
Eric Fromant revient sur les crises économiques et financières que nous traversons et met en évidence toutes les limites des stratégies d'obsolescence programmée. Il montre qu'au contraire l'économie de fonctionnalité - au travers de ses caractéristiques - est un modèle fécond pour résoudre les problématiques actuelles.
Béatrice Bellini présente les travaux de recherche de Dominique Millet et d'Olivier Pialot, de l'école SITEC, sur le développement de produits "intelligents". Cela implique différentes dimensions comme la proactivité ou encore l'évolutivité des produits.
Béatrice Bellini met en évidence la nécessité d'une collaboration entre tous les acteurs de la chaîne de valeur pour la mise en place d'une économie de fonctionnalité. Les approches d'analyse des coûts sur l'ensemble du cycle de vie des produits doivent être privilégiées. Dans ce contexte, l'acheteur occupe une position essentielle dans la perspective d'achats responsables.
Eric Fromant présente les intérêts de l'économie de fonctionnalité dans une perspective de responsabilité sociétale des entreprises. Il revient notamment sur les bénéfices économiques de ce modèle pour les entreprises et pour les clients.
Valoriser les externalités positives de l'économie de fonctionnalité: l'Institut de la monétarisation
Béatrice Bellini présente l'intérêt de la méthode NOVUS pour aider les entreprises à s'engager sur la voie de l'économie de fonctionnalité.
Eric Fromant présente trois exemples emblématiques de mise en ?uvre du modèle d'économie de fonctionnalité dans une entreprise : Michelin, Xerox, Dow Chemicals.
Frédérique Vincent apporte des éléments de cadrage de l'écologie industrielle (fondements conceptuels, objectifs) et revient sur l'émergence de ce concept dans le cadre plus global d'une meilleure prise en compte de l'environnement par les systèmes industriels.
Frédérique Vincent présente un exemple de mise en ?uvre d'écosystème industriel. Il s'agit de la symbiose de Kalundborg, située au Danemark.
Daniel Lemarchand présente le processus cimentier et montre les différentes étapes susceptibles de s'inscrire dans un modèle d'écologie indsutrielle.
Daniel Lemarchand montre les différents champs d'application de la stratégie d'écologie indsutrielle au sein du groupe Lafarge. Il met notamment en évidence la diversité des déchets qui sont utilisés.
Daniel Lemarchand expose la mise en ?uvre de la stratégie d'écologie industrielle du groupe Lafarge au niveau des cimenteries.
Cyril Adoue définit les symbioses industrielles et montre quels peuvent être les objectifs de ce type de rapprochements: synergies, mutualisation. Il illustre cela par des exemples.
Cyril Adoue met en évidence le rôle de l'information et du contexte collaboratif dans la mise en ?uvre de synergies entre industries. Il souligne également le rôle de la confiance et de l'animation dans la réussite de ce type de projets.
Rémi Beulque revient sur plusieurs problématiques qui affleurent lors de la mise en place de symbioses industrielles : adaptation qualitative des flux, quantité de flux, acheminement, réglementation.
Rémi Beulque met en relation le concept d'écologie industrielle avec d'autres concepts comme l'économie circulaire, l'éco-conception, l'économie de fonctionnalité. Il souligne l'intérêt d'avancer dans toutes ces directions pour parvenir à un développement plus durable.
François Grosse propose un cadrage de l'économie circulaire en s'appuyant sur les flux de matières qui entrent, se stockent, et sortent du système industriel. Il pose la problématique de la relation entre recyclage et mise en place d'un système plus circulaire.
François Grosse revient sur les grandes tendances de nos sociétés en matière de consommation de matières non renouvelables. Il souligne la nécessité de prendre en compte la croissance économique et matérielle de ces mêmes sociétés lorsqu'on fait des projections sur la durabilité des ressources exploitées.
François Grosse analyse l'impact du recyclage sur la consommation de matières premières dans le cadre d'une économie en croissance. Il montre qu'un fort taux de recyclage, indispensable, ne pourra permettre de retarder l'épuisement des ressources que si le taux de croissance des consommations reste inférieur à 1% par an.
François Grosse analyse le lien entre épuisement des ressources non renouvelables, recyclage, et accumulation de matières non renouvelables dans l'économie. Il montre que pour que le recyclage ait un effet sur la réduction des prélèvements de matières premières, il est nécessaire que les sociétés n'accumulent qu'un minimum de ces matières, moins de 20%.
François Grosse récapitule les trois conditions qu'il est nécessaire de réunir pour retarder le plus possible l'épuisement des ressources naturelles non renouvelables : un fort taux de recyclage, une faible accumulation de matières dans l'économie, une croissance des consommations limitée.
François Grosse revient sur les trois conditions qui doivent être réunies afin de réduire de manière significative les prélèvements de ressources non renouvelables. Il les confronte pour exemple au Royaume-Uni et, sur cette base, discute des implications, en mettant en évidence la nécessité d'un découplage entre bien-être et croissance matérielle.
Sandrine Gombert-Courvoisier définit la consommation des ménages et apporte des éléments de cadrage relatifs à la consommation responsable des ménages. Les questions d'impacts écologiques, de qualité de vie et d'articulation avec les autres acteurs sociétaux sont notamment évoquées.
Sandrine Gombert-Courvoisier apporte des éléments de définition concernant les déchets ménagers. Elle revient sur les grandes tendances en matière d'émission, que ce soit sur un plan quantitatif ou qualitatif.
MOOC UVED Economie cirdulaire. Les déchets ménagers, et vous? - Sandrine Gombert-Courvoisier
Sandrine Gombert-Courvoisier définit ce qu'est la prévention des déchets, à l'aide notamment des 4 R : réduire, réemployer, réutiliser, recycler.
Dans ce cours, Dominique Bourg revient sur la problématique de l'épuisement des métaux, y compris des terres rares, dans un contexte de fort accroissement de la demande mondiale. Il y expose en complément la question du lien entre métaux et énergie.
Dans ce cours, Dominique Bourg revient sur la problématique de l'épuisement de la ressource en eau douce, notamment au niveau régional.
Dans ce cours, Dominique Bourg revient sur la problématique de l'épuisement des ressources biotiques, sur la base de l'exemple très emblématique des ressources halieutiques.
Dans ce cours, Dominique Bourg présente les 4 grands types de services écosystémiques.
Dans ce cours, Dominique Bourg présente les 9 grandes perturbations environnementales en s'appuyant sur les travaux de Johan Rockström.
Dans ce cours, Dominique Bourg revient sur les risques induits par les grandes perturbations environnementales sur nos capacités actuelles et futures de production alimentaire.
Sabine Barles introduit la notion de métabolisme territorial, en délimitant bien l'emploi de ces deux termes. Elle énonce les grands intérêts de ce type d'approches.
Sabine Barles décrit le métabolisme de la France en 2010, et notamment les flux entrant, les flux sortant ainsi que les additions au stock.
Sabine Barles décrit le métabolisme de 2 régions: Paris et la Loire Atlantique. Elle analyse pour chacune d'entre elles les flux entrant, les flux sortant ainsi que les additions au stock. Sur cette base, elle montre les différences qui existent entre les métabolismes de territoires "urbains" et "ruraux".
Sur la base d'une analyse sectorielle des consommations intérieures de matières des régions "Ile de France" et "Loire Atlantique", Sabine Barles présente les secteurs qui devraient être ciblés en priorité dans l'optique d'une dématérialisation.
Sabine Barles revient sur l'origine et l'ampleur des perturbations d'origine anthropique du cycle de l'azote. Elle expose les conséquences de cette ouverture du cycle biogéochimique de l'azote tant d'un point de vue écologique que sanitaire.
Sabine Barles présente le bilan d'azote de l'agglomération parisienne en mettant bien en évidence les flux entrant et sortant. Elle propose également une perspective historique de ce bilan d'azote, au cours des 2 derniers siècles.
Sabine Barles présente l'aire d'approvisionnement en azote alimentaire de Paris, en mettant en évidence les régions de France et du monde d'où provient majoritairement cet azote. Elle propose en complément une analyse de l'empreinte environnementale d'un parisien en matière d'azote alimentaire.
Sabine Barles clarifie le lien qui existe entre l'analyse du métabolisme des territoires et l'écologie territoriale. Elle souligne l'importance de prendre en considération, à côté de cette approche "matière", une analyse des processus physiques et sociaux sous-jacents.
Jean-Claude Lévy apporte quelques repères historiques et scientifiques sur l'économie circulaire.
Jean-Claude Lévy présente les expérimentations chinoises en matière d'économie circulaire dans un contexte qu'il qualifie de "centralisation décentralisante". Puis il souligne l'importance de la coopération décentralisée pour la mise en place d'initiatives locales pour une économie plus circulaire.
Jean-Claude Lévy présente les différentes échelles de mise en ?uvre de l'économie circulaire, en insistant sur l'importance de l'échelle locale. Il revient sur les problématiques associées, et notamment celle de l'enchevêtrement des territoires administratifs et écologiques.
Jean-Claude Lévy pose la problématique de l'organisation territoriale dans une perspective d'économie circulaire. Il revient sur les questions de comptabilité associée à ces territoires mais aussi de cohérence entre échelles décisionnelles et écologiques.