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Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 31 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Une présidentielle sans le candidat du principal parti d'opposition, ce n'est plus la démocratie », disait avant-hier sur RFI le porte-parole du parti Les Démocrates au Bénin. « Le parti Les Démocrates s'est exclu lui-même de la présidentielle d'avril prochain », lui répond en substance le porte-parole du gouvernement béninois, ce matin sur RFI. En ligne de Cotonou, Wilfried Léandre Houngbedji répond aux questions de Christophe Boisbouvier.
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Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Chirinne Ardakani, avocate spécialisée dans la défense des droits humains, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le sud, le centre et le nord-ouest d'Haïti ont été durement frappés par l'ouragan Melissa, passé en catégorie 5 après avoir débuté comme tempête tropicale. Dans cet extrait sonore, le chef de bureau des affaires humanitaires de l'ONU dans le pays, Modibo Traoré, précise qu'au 30 octobre, le bilan s'élève à 24 morts, 17 blessés et 18 disparus, la majorité des victimes ayant péri à Petit-Goâve et à Léogâne, où une rivière en crue a emporté plusieurs habitants, dont de nombreux enfants.Environ 15.000 personnes ont trouvé refuge dans une centaine d'abris temporaires, principalement des écoles, alors que les pluies persistent et que plusieurs zones restent inhabitables. Les pertes agricoles et d'élevage sont considérables, avec des centaines d'hectares inondés et du bétail décimé.Sur le terrain, les agences des Nations Unies et leurs partenaires humanitaires mènent une réponse multisectorielle couvrant l'eau, l'hygiène, l'alimentation, les abris, la protection et la communication d'urgence. M.Traoré affirme que grâce au mécanisme d'action anticipatoire et du Fonds CERF, la mobilisation rapide des acteurs et les efforts de sensibilisation ont permis d'atténuer l'ampleur de la catastrophe, même si la situation demeure préoccupante. (Extrait sonore : Modibo Traoré, chef de bureau d'OCHA en Haïti ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
Les mises à l'écart des opposants, menaces potentielles pour les hommes ou les partis au pouvoir, sont devenues monnaie courante sur le continent… Qu'elles soient le fait du prince ou qu'elles engagent le vernis de la légalité, ces mises à l'écart interrogent sur la bonne santé de la démocratie en Afrique. Dernier exemple en date, le Bénin : « Renaud Agbodjo, comme un feu de paille ! », s'exclame le site béninois Afrique sur 7. « À peine apparu, l'opposant s'efface sans traces de la scène politique. Ce retrait illustre la désillusion que révèle la confrontation avec la rigidité d'un système politique bien ficelé ». En effet, tout est allé très vite : il y a 15 jours, Renaud Agbodjo, avocat de 43 ans, est désigné par son parti comme candidat à l'élection présidentielle d'avril prochain ; mercredi dernier, la Commission électorale invalide sa candidature, faute d'un nombre de parrainages suffisant ; son parti, Les Démocrates, saisit alors la Cour constitutionnelle ; lundi, celle-ci se déclare incompétente et valide la liste provisoire des candidats ; et hier mercredi, l'opposant annonce qu'il jette l'éponge, qu'il arrête la course à la présidence. Divisions « Bis repetita pour Les Démocrates, constate Jeune Afrique. Comme en 2021, la principale formation d'opposition au Bénin ne sera pas sur la ligne de départ pour la présidentielle d'avril 2026. Cette décision douche définitivement les espoirs présidentiels des Démocrates, parti dirigé depuis 2023 par l'ancien chef de l'État, Thomas Boni Yayi. Elle a également rencontré fin au feuilleton politico-judiciaire entamé le 14 octobre, avec la désignation de Renaud Agbodjo ». Un feuilleton qui met en lumière les divisions au sein des Démocrates. En effet, précise Jeune Afrique, « le fait que le choix se soit porté sur Renaud Agbodjo, l'avocat personnel de l'ex-président, à l'issue d'une primaire, au détriment d'Éric Houndété qui faisait figure de favori, avait très vite été contesté par Michel Sodjinou, député de la ville de Porto-Novo. Ce dernier avait alors refusé de parrainer le candidat officiel ». Et comme pour être qualifié, il fallait 28 parrainages d'élus et que Les Démocrates en comptent exactement 28, cette défection leur a été fatale… Un « plan de déstabilisation et de débauchage » ? L'ancien président Thomas Boni Yayi, à la tête des Démocrates, a donc bien tenté de convaincre le président Talon de faire participer son parti aux élections générales de l'année prochaine, incluant les législatives, les communales et la présidentielle. Peine perdue… C'est ce que souligne La Nouvelle Tribune à Cotonou. « Boni Yayi a déclaré percevoir (chez son interlocuteur) une tendance à la concentration du pouvoir, pointe le journal. Il a évoqué l'existence d'un "plan de déstabilisation et de débauchage" visant certains responsables du parti Les Démocrates, par le biais de pressions et, à l'en croire, de promesses d'avantages matériels ». Conséquence, pointe Le Monde Afrique, en l'absence du principal parti d'opposition, « une voie royale s'ouvre donc pour la majorité au pouvoir, représentée par le ministre des Finances, Romuald Wadagni. Patrice Talon, président depuis 2016, arrivant au terme de son deuxième mandat, le maximum autorisé par la Constitution ». Un jeu de verrouillage électoral « Pour un pays, le Bénin qui, depuis la Conférence nationale de 1990, s'enorgueillit d'un pluralisme politique exemplaire, la situation s'interroge profondément, soupire Afrik.com. Comment parler de démocratie lorsque le jeu électoral semble verrouillé au point d'exclure des forces politiques d'envergure ? (…) Le Bénin d'aujourd'hui donne le sentiment d'un pluralisme sous tutelle, déplore encore le site panafricain. Les voix dissidentes, souvent muselées, peinent à trouver un espace d'expression libre. Les manifestations sont encadrées, les dirigeants politiques critiques font face aux poursuites judiciaires, et les médias indépendants doivent composer avec un environnement de plus en plus hostile. Tout cela contribue à instaurer un climat de peur et de résignation, incompatible avec la vitalité démocratique qui avait jadis fait la fierté du pays ». Certes, pointe encore Afrik.com, « les défenseurs du pouvoir en place invoquent souvent l'argument de la légalité : "les règles sont les mêmes pour tous". Mais la démocratie ne se réduit pas à une stricte conformité juridique, affirme le site. Elle repose avant tout sur l'esprit du jeu démocratique, sur la compétition équitable, sur la possibilité pour chaque sensibilité politique de se faire entendre et de se mesurer aux urnes ».
L'écrivain aborde les différentes propositions des députés visant à modifier la loi fiscale. Selon lui, ces élus font preuve d'une grande ignorance. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Accord franco-algérien, budget 2026, recul de l'extrême-droite au Pays-Bas, guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis… Thierry Breton, ancien commissaire européen au Marché intérieur, est notre invité.Tous les soirs du lundi au vendredi à partir de 18h57 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Les mises à l'écart des opposants, menaces potentielles pour les hommes ou les partis au pouvoir, sont devenues monnaie courante sur le continent… Qu'elles soient le fait du prince ou qu'elles engagent le vernis de la légalité, ces mises à l'écart interrogent sur la bonne santé de la démocratie en Afrique. Dernier exemple en date, le Bénin : « Renaud Agbodjo, comme un feu de paille ! », s'exclame le site béninois Afrique sur 7. « À peine apparu, l'opposant s'efface sans traces de la scène politique. Ce retrait illustre la désillusion que révèle la confrontation avec la rigidité d'un système politique bien ficelé ». En effet, tout est allé très vite : il y a 15 jours, Renaud Agbodjo, avocat de 43 ans, est désigné par son parti comme candidat à l'élection présidentielle d'avril prochain ; mercredi dernier, la Commission électorale invalide sa candidature, faute d'un nombre de parrainages suffisant ; son parti, Les Démocrates, saisit alors la Cour constitutionnelle ; lundi, celle-ci se déclare incompétente et valide la liste provisoire des candidats ; et hier mercredi, l'opposant annonce qu'il jette l'éponge, qu'il arrête la course à la présidence. Divisions « Bis repetita pour Les Démocrates, constate Jeune Afrique. Comme en 2021, la principale formation d'opposition au Bénin ne sera pas sur la ligne de départ pour la présidentielle d'avril 2026. Cette décision douche définitivement les espoirs présidentiels des Démocrates, parti dirigé depuis 2023 par l'ancien chef de l'État, Thomas Boni Yayi. Elle a également rencontré fin au feuilleton politico-judiciaire entamé le 14 octobre, avec la désignation de Renaud Agbodjo ». Un feuilleton qui met en lumière les divisions au sein des Démocrates. En effet, précise Jeune Afrique, « le fait que le choix se soit porté sur Renaud Agbodjo, l'avocat personnel de l'ex-président, à l'issue d'une primaire, au détriment d'Éric Houndété qui faisait figure de favori, avait très vite été contesté par Michel Sodjinou, député de la ville de Porto-Novo. Ce dernier avait alors refusé de parrainer le candidat officiel ». Et comme pour être qualifié, il fallait 28 parrainages d'élus et que Les Démocrates en comptent exactement 28, cette défection leur a été fatale… Un « plan de déstabilisation et de débauchage » ? L'ancien président Thomas Boni Yayi, à la tête des Démocrates, a donc bien tenté de convaincre le président Talon de faire participer son parti aux élections générales de l'année prochaine, incluant les législatives, les communales et la présidentielle. Peine perdue… C'est ce que souligne La Nouvelle Tribune à Cotonou. « Boni Yayi a déclaré percevoir (chez son interlocuteur) une tendance à la concentration du pouvoir, pointe le journal. Il a évoqué l'existence d'un "plan de déstabilisation et de débauchage" visant certains responsables du parti Les Démocrates, par le biais de pressions et, à l'en croire, de promesses d'avantages matériels ». Conséquence, pointe Le Monde Afrique, en l'absence du principal parti d'opposition, « une voie royale s'ouvre donc pour la majorité au pouvoir, représentée par le ministre des Finances, Romuald Wadagni. Patrice Talon, président depuis 2016, arrivant au terme de son deuxième mandat, le maximum autorisé par la Constitution ». Un jeu de verrouillage électoral « Pour un pays, le Bénin qui, depuis la Conférence nationale de 1990, s'enorgueillit d'un pluralisme politique exemplaire, la situation s'interroge profondément, soupire Afrik.com. Comment parler de démocratie lorsque le jeu électoral semble verrouillé au point d'exclure des forces politiques d'envergure ? (…) Le Bénin d'aujourd'hui donne le sentiment d'un pluralisme sous tutelle, déplore encore le site panafricain. Les voix dissidentes, souvent muselées, peinent à trouver un espace d'expression libre. Les manifestations sont encadrées, les dirigeants politiques critiques font face aux poursuites judiciaires, et les médias indépendants doivent composer avec un environnement de plus en plus hostile. Tout cela contribue à instaurer un climat de peur et de résignation, incompatible avec la vitalité démocratique qui avait jadis fait la fierté du pays ». Certes, pointe encore Afrik.com, « les défenseurs du pouvoir en place invoquent souvent l'argument de la légalité : "les règles sont les mêmes pour tous". Mais la démocratie ne se réduit pas à une stricte conformité juridique, affirme le site. Elle repose avant tout sur l'esprit du jeu démocratique, sur la compétition équitable, sur la possibilité pour chaque sensibilité politique de se faire entendre et de se mesurer aux urnes ».
Semaine #9 au Fantasy Podcasque, propulsé par la grande famille de Trop Fort Pour La Ligue!Au programme aujourd'hui, les nouvelles, les 2 minutes du Fantasy des Podcasteurs, les principaux affrontements de la semaine et on met la table tant pour les joueurs avec les horaires à cibler qu'à éviter en vue des séries fantasy qui arrivent à grands pas!Notre abonnement Patreon vous donne :Les analyses IDP avec les must starts hebdomadaires de Phil;Les top waivers chaque semaine;Les must starts de Poup;Pour seulement 3 $ par mois, profitez de l'accès complet à toutes ces ressources exclusives et maximisez vos chances de succès toute la saison!
Vous allez tout connaître sur les déguisements d'Halloween !
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Karina vous dévoile les meilleurs enfants sur les réseaux sociaux cette semaine.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lundi soir, la Cour constitutionnelle de Cotonou a définitivement écarté la candidature de Renaud Agbodjo, l'avocat désigné par le parti d'opposition Les Démocrates pour se présenter à la présidentielle du 12 avril 2026. Que pense ce parti de cette décision de justice ? Y voit-il une manœuvre du pouvoir béninois ? Guy Dossou Mitokpè est le porte-parole du parti Les Démocrates. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Comment réagissez-vous à l'exclusion de votre candidat Me Renaud Agbodjo ? Guy Dossou Mitokpè : Bon, comme la plupart de mes compatriotes, je reçois cette information avec beaucoup de tristesse parce que, pour nous, le principal parti d'opposition aujourd'hui, c'est le parti Les Démocrates. Et donc pour la plupart des Béninois, on allait assister à une très belle fête électorale. Et donc pour nous, ce n'était pas croyable que la Cour constitutionnelle ne puisse pas nous donner raison en disant le droit. À l'origine du rejet de votre candidat, il y a le fait qu'il devait présenter 28 parrainages d'élus et que l'un de ces 28 a fait défection. Pourquoi n'avez-vous pas présenté un plus grand nombre de parrainages, 35 ou 40 par exemple, pour être certain de faire face à toutes défections et d'avoir au final vos 28 parrainages ? En fait, la loi électorale impose que les parrains soient parmi les députés en activité ou les maires en activité. Et donc, lorsque nous, on rentrait dans le Parlement, on avait 28 députés, on n'a pas été présents à l'élection des maires, donc on avait 28 députés. Mais lorsqu'on rentrait au Parlement, la loi électorale imposait d'avoir seulement 16 parrains. Et c'est au cours de notre présence au sein du Parlement, que le régime actuel a changé la loi électorale en positionnant le nombre de parrains exactement sur le nombre de parrains que nous avons, c'est-à-dire 28. Et donc c'était à dessein, parce qu'ils savaient que, à l'approche des élections, ils feraient tout pour nous déstabiliser en faisant probablement tout pour qu'un député fasse défection. Alors, justement, le député qui a fait défection, il s'appelle Michel Sodjinou. Il prétend qu'il s'est rétracté parce qu'il n'était pas d'accord avec le choix de Me Renaud Agbodjo au sein de votre parti. Qu'est-ce que vous en pensez ? Non, c'est un alibi parce que Monsieur Sodjinou a fait preuve d'ambition démesurée. Ce qu'il a avancé, ce sont des arguments qui ne tiennent pas. Et donc, s'il a fait défection, nous, nous continuons de croire qu'il est probablement en lien avec nos adversaires. Donc, vous pensez qu'il a été instrumentalisé par le pouvoir ? Je n'ai pas de preuve, mais tout laisse à croire qu'il a été instrumentalisé par nos adversaires. Parce que, en respectant les normes démocratiques en interne, cela ne peut pas expliquer le fait que quelqu'un puisse trahir tout un peuple. Oui, pour vous, le député Michel Sodjinou a trahi ? Il a trahi et c'est clair, il n'y a pas d'hésitation à ce niveau. Au total, le rejet de votre candidat, c'est la faute à pas de chance ou c'est une manœuvre du pouvoir ? C'est d'abord de la responsabilité d'un homme qui a été trop ambitieux. Monsieur Sodjinou Michel, je ne peux pas dire sans preuve que c'est la responsabilité du pouvoir. Je peux simplement dire que, voilà, nos adversaires ont tout intérêt à ce que Monsieur Michel Sodjinou puisse se comporter comme il l'a fait. « Ce qui se passe, ce n'est pas la démocratie », dit l'un des conseillers juridiques de votre parti, Me Victorien Fadé… Oui, naturellement que ce n'est pas la démocratie. C'est triste parce que vous savez, la démocratie, c'est qu'on puisse donner la chance aux électeurs de choisir celui ou celle qui leur convient. Mais ici, le choix du peuple, malheureusement, est très restreint, parce que le parti qui est aujourd'hui le parti le plus populaire dans notre pays, malheureusement, ne pourra pas présenter de candidat à la prochaine élection présidentielle. Et c'est très dommage. Vendredi dernier, il y a eu un long entretien au palais présidentiel à Cotonou entre le chef de l'État, Patrice Talon, et le président de votre parti, l'ancien chef de l'État Boni Yayi. Est-ce que vous espérez encore une solution politique ? Pour ce qui concerne l'élection présidentielle, il est dit dans notre loi fondamentale que les décisions de la Cour constitutionnelle sont sans recours. Donc, me rabattant sur cette décision, je peux dire que les chances pour que le parti Les Démocrates puisse présenter un duo de candidats à l'élection présidentielle sont quasiment nulles. Mais la bonne nouvelle, c'est que nous avons deux autres élections. Nous avons les élections communales et les élections législatives. Et à ce niveau, au niveau du parti Les Démocrates, nous avons pris toutes les dispositions afin que le peuple puisse consacrer son énergie à donner la majorité des maires et la majorité des députés au principal parti d'opposition. En 2021, beaucoup de candidats de l'opposition n'ont pas pu se présenter. Votre candidate de l'époque, Reckya Madougou, est même allée en prison. Elle y est toujours. Est-ce que vous craignez une nouvelle élection sans opposition ? Oui. L'ancienne ministre Reckya Madougou est en prison avec le professeur Joël Aïvo et bien d'autres compatriotes sont en prison ou en exil. Et je continuerai de dire que c'est l'une des raisons pour lesquelles nous sommes davantage tristes, parce que si la démocratie revenait à sa juste valeur, comprenez que nos prisonniers seraient libérés, les exilés feraient le retour. C'est la raison fondamentale de notre combat aujourd'hui. Une élection présidentielle sans les candidats du principal parti d'opposition, ce n'est plus la démocratie. À lire aussiBénin: la Cour constitutionnelle écarte la candidature des Démocrates à la présidentielle de 2026
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il s'intéresse à la directive européenne sur les découverts qui va impacter un Français sur quatre. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deux défaites de suite pour l'Olympique de Marseille face au Sporting et à Lens… et des questions commencent à se poser
Invité : Philippe Crevel, économiste, directeur général du Cercle de l'épargne et auteur de l'ouvrage "Épargner mieux pour vivre mieux" aux éditions Solar Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:37:50 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Les héritages sont aujourd'hui facteur d'inégalités, en particulier de patrimoine. Autrefois il fallait travailler pour constituer un patrimoine, désormais il faut hériter. Mais leur taxation reste un sujet explosif pour les responsables politiques, tant il touche à l'intime et à l'émotionnel. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les dimanches à minuit, Daniel Riolo propose une heure de show en direct avec Moundir Zoughari pour les passionnés de poker. Conseils d'un joueur professionnel, actualité, tournois... Votre rendez-vous poker, sur RMC !
Auditeurs : - Jules Torres, journaliste politique - Caroline Ithurbide, animatrice - Christophe Bordet, rédacteur-en-chef - Gérard Carreyrou, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Auditeurs : - Jules Torres, journaliste politique - Caroline Ithurbide, animatrice - Christophe Bordet, rédacteur-en-chef - Gérard Carreyrou, journaliste Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:21:33 - Bienvenue chez vous, en cuisine - Julie Fleury-Ledun a réalisé son rêve : créer des macarons et des brioches feuilletées 100% artisanaux à Mauves en Ardèche. Rencontre avec une passionnée qui met la qualité et le savoir-faire local au cœur de ses créations. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les métiers des ressources humaines ne se limitent pas à la gestion administrative. Ils reposent sur des compétences humaines et comportementales essentielles, appelées soft skills. Dans un domaine où l'humain est au centre de chaque mission, ces qualités font la différence pour écouter, recruter, accompagner et fidéliser les collaborateurs.Mais comment les étudiants peuvent-ils développer et valoriser ces compétences dès leurs études ?✅ DANS CET ÉPISODE, NOUS ABORDONS :Les soft skills clés en RH : communication, empathie, écoute active, gestion des conflits et adaptabilité — des compétences indispensables pour instaurer la confiance et accompagner le changement.Comment les développer pendant les études : à travers les travaux de groupe, les stages, l'alternance, les associations étudiantes ou encore le bénévolat.Les meilleures façons de les valoriser auprès des recruteurs : savoir donner des exemples concrets et montrer son évolution personnelle et professionnelle.Pourquoi elles sont essentielles dans les métiers RH : parce qu'au-delà du diplôme, ce sont les qualités humaines qui permettent de créer un environnement de travail sain, motivant et éthique.ℹ️ SUIVEZ L'ACTUALITÉ DE L'ORIENTATIONInscrivez-vous à la newsletter Les Clés de l'orientation : https://azimut-orientation.com/abonnez-vous-a-la-newsletter/(vous recevrez en cadeau un guide téléchargeable)ℹ️ SUIVEZ L'ACTUALITÉ DE L'ORIENTATIONInscrivez-vous à la newsletter Les Clés de l'orientation : https://azimut-orientation.com/abonnez-vous-a-la-newsletter/ (vous recevrez en cadeau un guide téléchargeable)
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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C'est le titre affiché à la Une de la Nouvelle Tribune, qui précise que la Cour constitutionnelle avait été saisie « par le député Abdel Kamel Ouassagari et plusieurs autres élus du parti Les Démocrates, contre l'ordonnance du tribunal de première instance de Cotonou, ayant annulé le parrainage de Michel Sodjinou. ». Les Démocrates, principal parti d'opposition, se voit ainsi privé, dans l'état actuel des choses, de participation à l'élection présidentielle, qui aura lieu l'année prochaine. « La Cour constitutionnelle, précise le journal béninois la Nation, a considéré que le litige en cause, ne relevait pas de la Constitution, mais du droit commun. » Ce qui, nous explique la Nouvelle Tribune, constitue « un précédent : désormais, tous les différends internes liés aux parrainages ne relèvent pas nécessairement du contentieux électoral ». C'est jeudi, également, « que la Céna, la commission électorale, a publié la liste provisoire des candidats », relate de son côté Banouto. « Sur les cinq duos de candidats ayant déposé leur dossier de candidature, explique le site d'information béninois, seuls deux duos sont provisoirement validés. » Soit celui de la majorité présidentielle et celui du parti d'opposition FCBE. L'attente au Cameroun Le Cameroun attend toujours les résultats de l'élection présidentielle du 12 octobre, qui devraient être connus lundi prochain. Et la tension est palpable sur le terrain. Le Journal du Cameroun explique ainsi que les habitants de la population de l'Adamaoua, « ont pris le relais des manifestations qui secouent les deux autres régions septentrionales du pays depuis quelques jours ». « À moto comme à pied, précise le Journal du Cameroun, des groupes de personnes se déplacent en scandant le nom d'Issa Tchiroma Bakari », soit le candidat de l'opposition qui s'était déclaré vainqueur, prenant tout le monde de court. « Certains parents ont retenu les enfants à la maison, tandis que d'autres ont encouragé les leurs à aller à l'école, relate encore le Journal du Cameroun. Les responsables d'établissements scolaires n'avaient pas suspendu les cours, en raison du fait que rien ne présageait des tensions ». Issa Tchiroma serait lui-même inquiet, selon Actu Cameroun : « Je reçois des informations qu'un assaut musclé se prépare contre moi, a-t-il déclaré. Tout ça pour Tchiroma ? Allez-vous lancer un assaut contre tout le peuple camerounais ? », a-t-il demandé sur les réseaux sociaux. Disparition inquiétante Enfin, Afrik.com s'interroge sur un probable nouveau naufrage en Méditerranée. « La disparition en mer de 44 migrants partis de Dakhla : l'inquiétude grandit face au silence des autorités, annonce Afrik.com. Quarante-quatre personnes, dont des femmes et des enfants, sont portées disparues depuis près d'un mois, ils avaient quitté la côte sud du Maroc, dans l'espoir de rejoindre les îles Canaries », ajoute le site d'information panafricain. « Les familles, désespérées, interpellent les autorités marocaines et espagnoles. Elles appellent à lancer une opération de recherche urgente ». Dans la pirogue, se trouvaient 27 marocains, dont trois femmes et deux enfants. Il y avait également « 17 ressortissants d'Afrique subsaharienne ». Plusieurs associations de défense des migrants sollicitent « l'intervention du Conseil National des Droits de l'homme, du Croissant Rouge marocain et de la Croix-Rouge internationale. » Et Afrik.com d'ajouter : « Selon l'Organisation Internationale pour les Migrations (OMI), la route des Canaries est un couloir mortel vers l'Europe », plus de 2 000 personnes ont disparu sur cette route depuis 2020.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Bruno Fuchs, député Les Démocrates Du Haut-Rhin - Jules Torres, journaliste politique au JDD - Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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C'est le titre affiché à la Une de la Nouvelle Tribune, qui précise que la Cour constitutionnelle avait été saisie « par le député Abdel Kamel Ouassagari et plusieurs autres élus du parti Les Démocrates, contre l'ordonnance du tribunal de première instance de Cotonou, ayant annulé le parrainage de Michel Sodjinou. ». Les Démocrates, principal parti d'opposition, se voit ainsi privé, dans l'état actuel des choses, de participation à l'élection présidentielle, qui aura lieu l'année prochaine. « La Cour constitutionnelle, précise le journal béninois la Nation, a considéré que le litige en cause, ne relevait pas de la Constitution, mais du droit commun. » Ce qui, nous explique la Nouvelle Tribune, constitue « un précédent : désormais, tous les différends internes liés aux parrainages ne relèvent pas nécessairement du contentieux électoral ». C'est jeudi, également, « que la Céna, la commission électorale, a publié la liste provisoire des candidats », relate de son côté Banouto. « Sur les cinq duos de candidats ayant déposé leur dossier de candidature, explique le site d'information béninois, seuls deux duos sont provisoirement validés. » Soit celui de la majorité présidentielle et celui du parti d'opposition FCBE. L'attente au Cameroun Le Cameroun attend toujours les résultats de l'élection présidentielle du 12 octobre, qui devraient être connus lundi prochain. Et la tension est palpable sur le terrain. Le Journal du Cameroun explique ainsi que les habitants de la population de l'Adamaoua, « ont pris le relais des manifestations qui secouent les deux autres régions septentrionales du pays depuis quelques jours ». « À moto comme à pied, précise le Journal du Cameroun, des groupes de personnes se déplacent en scandant le nom d'Issa Tchiroma Bakari », soit le candidat de l'opposition qui s'était déclaré vainqueur, prenant tout le monde de court. « Certains parents ont retenu les enfants à la maison, tandis que d'autres ont encouragé les leurs à aller à l'école, relate encore le Journal du Cameroun. Les responsables d'établissements scolaires n'avaient pas suspendu les cours, en raison du fait que rien ne présageait des tensions ». Issa Tchiroma serait lui-même inquiet, selon Actu Cameroun : « Je reçois des informations qu'un assaut musclé se prépare contre moi, a-t-il déclaré. Tout ça pour Tchiroma ? Allez-vous lancer un assaut contre tout le peuple camerounais ? », a-t-il demandé sur les réseaux sociaux. Disparition inquiétante Enfin, Afrik.com s'interroge sur un probable nouveau naufrage en Méditerranée. « La disparition en mer de 44 migrants partis de Dakhla : l'inquiétude grandit face au silence des autorités, annonce Afrik.com. Quarante-quatre personnes, dont des femmes et des enfants, sont portées disparues depuis près d'un mois, ils avaient quitté la côte sud du Maroc, dans l'espoir de rejoindre les îles Canaries », ajoute le site d'information panafricain. « Les familles, désespérées, interpellent les autorités marocaines et espagnoles. Elles appellent à lancer une opération de recherche urgente ». Dans la pirogue, se trouvaient 27 marocains, dont trois femmes et deux enfants. Il y avait également « 17 ressortissants d'Afrique subsaharienne ». Plusieurs associations de défense des migrants sollicitent « l'intervention du Conseil National des Droits de l'homme, du Croissant Rouge marocain et de la Croix-Rouge internationale. » Et Afrik.com d'ajouter : « Selon l'Organisation Internationale pour les Migrations (OMI), la route des Canaries est un couloir mortel vers l'Europe », plus de 2 000 personnes ont disparu sur cette route depuis 2020.
La Loi du 11 octobre 2010, qui interdit de dissimuler son visage dans les espaces publics, prévoit quelques exceptions comme les événements festifs, dont Halloween fait partie.Mais attention ...
On ne parle que de ça depuis quelques jours : le musée du Louvre a été braqué et le montant du vol est estimé à 88 millions d'euros !
Aujourd'hui, on parle de notre rapport à l'intelligence artificielle en tant qu'étudiants, et de son impact sur notre futur !…
On ne parle que de ça depuis quelques jours : le musée du Louvre a été braqué et le montant du vol est estimé à 88 millions d'euros !
On ne parle que de ça depuis quelques jours : le musée du Louvre a été braqué et le montant du vol est estimé à 88 millions d'euros !
Ecoutez RTL Midi avec Vincent Derosier du 24 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
5 pays africains : l'Angola, le Cap-Vert, la Guinée-Bissau, le Mozambique et São Tomé et Principe, commémorent cette année les 50 ans de leur indépendance. Les guerres coloniales se sont arrêtées avec la chute du régime autoritaire de Salazar en 74, et la révolution démocratique du 25 avril. Les guerres civiles et les soubresauts politiques des anciennes colonies poussent toujours hommes et femmes vers l'ancien pays colonisateur. (Rediffusion) Certains sont arrivés dans les années 70, d'autres bien plus tard, et d'autres encore sont nés au Portugal. Ils y vivent entre indépendance, intégration, nostalgie et conviction. «Portugal : les déracinés des indépendances africaines», un Grand reportage de Marie-Line Darcy.
Coup de théâtre au sein du principal parti d'opposition béninois. Alors que les Démocrates avaient juste le nombre de parrainages pour participer à la présidentielle, un de ses députés a retiré sa signature. Le parti risque donc d'être exclu du processus électoral. Que vous inspire cette crise interne ? Quelles peuvent être les conséquences ?
Les cambrioleurs ont dérobé 8 joyaux historiques situés dans la galerie Apollon. Un casse spectaculaire qui met en lumière des failles d'effectifs chez les agents du Louvre et des conditions de travail problématiques, spécialement dans cette galerie. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:15 - Orthodoxie - par : Alexis Chryssostalis - Une émission consacrée au concile de Nicée I, premier concile œcuménique de l'Eglise, dont nous célébrons les 1700 ans cette année, puisqu'il a eu lieu en 325 dans la ville de Nicée (actuelle Iznik en Turquie). Avec Xavier Morales, professeur associé à l'Université Catholique pontificale du Chili. - réalisation : François Caunac
durée : 00:03:08 - Le brief politique - De longues semaines d'examen du budget pour 2026 attendent les députés à partir de lundi. Avec, cette année, cette nouvelle donne : le Premier ministre Sébastien Lecornu s'est engagé à ne pas utiliser l'article 49.3 de la Constitution. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Deux mois après les incendies dans les Corbières et quelques semaines après les vendanges, retour dans la région pour faire le bilan sur ce qui fait sa richesse : le vin. Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Camélia est mariée depuis 18 ans et se trouve dans une situation incertaine après que son mari, muté il y a 4 ans, ait exprimé le souhait de divorcer sans finaliser les démarches. Elle éprouve toujours des sentiments forts pour lui, mais il souffle le chaud et le froid, laissant Camélia dans l'attente et la confusion. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion du Forum des Nations Unies sur les droits de l'homme, la démocratie et l'État de droit, ONU Info Genève a rencontré Elisa Morgera, Rapporteure spéciale des Nations Unies sur la promotion et la protection des droits de l'homme dans le contexte du changement climatique.Cette cinquième session du Forum, qui se tient au Palais des Nations à Genève, est consacrée au thème « Démocratie et changement climatique : trouver des solutions ».Dans cet entretien, Elisa Morgera revient sur les liens entre gouvernance démocratique et action climatique, sur la montée des menaces contre les défenseurs de l'environnement, et sur la nécessité de repenser la gouvernance mondiale du climat à la lumière des droits humains. Entretien réalisé par Alexandre Carette
durée : 00:04:31 - Le Grand reportage de France Inter - Les 34 ministres du gouvernement Lecornu II ont été dévoilés dimanche soir. Mais l'exécutif pourrait tenir que quelques jours. Plusieurs partis ont déjà annoncé leur intention de le renverser, dont le Rassemblement national, qui pousse pour une dissolution de l'Assemblée nationale. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Mes chers camarades, bien le bonjour ! Aujourd'hui, il y a plein de disciplines qui s'entrecroisent, et c'est passionnant ! Rien que pour l'histoire, il peut y avoir l'archéologie, l'histoire de l'art, l'anthropologie… et la géopolitique ! Par exemple, l'année dernière, on avait fait un super entretien en compagnie de Didier Chaudet sur l'Afghanistan, entre histoire et géopolitique. Eh bien j'ai eu le plaisir de remettre ça avec lui pour cette fois partir à la découverte de l'Iran ! Cet entretien, vous pourrez l'écouter dans quelques jours sur le podcast, mais pas tout de suite ! Parce que pour le moment, j'ai envie de me concentrer sur un point plus précis avec Didier : le début des conquêtes islamiques, qui ont très vite touché l'Empire sassanide… Bonne écoute !
Pour débuter l'émission de ce jeudi 9 octobre 2025, les GG : Mourad Boudjellal, éditeur de BD, Charles Consigny, avocat, Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, débattent du sujet du jour : "Dissolution, les députés ont-ils la trouille ?