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durée : 02:29:48 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:25:51 - 8h30 franceinfo - Xavier Bertrand, président Les Républicains de la région Hauts-de-France, ne demandera pas aux députés de sa majorité d'accorder leur confiance. Les élus LR hésitent sur la stratégie à adopter pour le 8 septembre, jour du vote à l'Assemblée nationale. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:10:50 - Journal de 18h - Avant de recevoir les partis politiques cette semaine, le Premier ministre François Bayrou accorde une interview ce dimanche soir. Une dernière tentative pour convaincre les députés à l'approche du vote de confiance prévu la semaine prochaine à l'Assemblée nationale.
durée : 00:10:50 - Journal de 18h - Avant de recevoir les partis politiques cette semaine, le Premier ministre François Bayrou accorde une interview ce dimanche soir. Une dernière tentative pour convaincre les députés à l'approche du vote de confiance prévu la semaine prochaine à l'Assemblée nationale.
durée : 00:46:00 - Interception - par : Aurélien Colly, Antoine Giniaux, Sophie Parmentier - Les uns sont harcelés en classe, d'autres ont des troubles de l'apprentissage ou des phobies scolaires, et un jour, ils décrochent du système scolaire jusqu'à se retrouver parfois en rupture de la société. Des structures et des enseignants passionnés arrivent à les raccrocher. - invités : Cécile BIDAULT - Cécile Bidault : Journaliste à Radio France - réalisé par : Gaetan Kolly Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Jim Pasquet, cofondateur Le Pavé Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Étudiants en surnombre, professeurs mal formés, prix des formations trop élevés par rapport à la quantité des cours… les fonds d'investissement sont-ils au service du profit ou de la qualité de l'enseignement supérieur ? Claire Marchal, journaliste, publie Le Cube : Révélations sur les dérives de l'enseignement supérieur privé, fruit de deux ans d'investigations. Dans le collimateur, le groupe Galileo Global Éducation, l'un des leaders mondiaux de l'enseignement privé, qui regroupe 210 000 étudiants dans 18 pays. Le groupe est très actif dans de nombreux pays d'Europe comme la Norvège, l'Allemagne, l'Italie, Chypre, ainsi qu'en Asie et en Afrique. Sur le continent africain, la croissance démographique et la crise des universités publiques ouvrent un boulevard au secteur privé. Celui-ci répond à la forte demande d'une jeunesse en mal d'emplois. Comment réguler et garantir la qualité de ces écoles pour défendre la formation des étudiants et la valeur de leurs diplômes ? Avec Claire Marchal, journaliste et réalisatrice de documentaire, autrice de Le cube - Révélations sur les dérives de l'enseignement supérieur privé (Éditions Flammarion). Le Monde des enfants par Charlie Dupiot. C'est le moment du « Monde des enfants » ! Charlie Dupiot tend son micro à des enfants pour qu'ils nous livrent leurs regards sur le monde... Et aujourd'hui, elle nous emmène à Kinshasa (RDC). Ces enfants de 8 à 12 ans nous parlent des punitions. En fin d'émission Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'Anissa à Abidjan en Côte d'Ivoire. Cette émission est une rediffusion du 3 avril 2025 Programmation musicale : ► Zazikafa feat. Aguero Banks – Bad habit ► Victony – Sunday School.
Étudiants en surnombre, professeurs mal formés, prix des formations trop élevés par rapport à la quantité des cours… les fonds d'investissement sont-ils au service du profit ou de la qualité de l'enseignement supérieur ? Claire Marchal, journaliste, publie Le Cube : Révélations sur les dérives de l'enseignement supérieur privé, fruit de deux ans d'investigations. Dans le collimateur, le groupe Galileo Global Éducation, l'un des leaders mondiaux de l'enseignement privé, qui regroupe 210 000 étudiants dans 18 pays. Le groupe est très actif dans de nombreux pays d'Europe comme la Norvège, l'Allemagne, l'Italie, Chypre, ainsi qu'en Asie et en Afrique. Sur le continent africain, la croissance démographique et la crise des universités publiques ouvrent un boulevard au secteur privé. Celui-ci répond à la forte demande d'une jeunesse en mal d'emplois. Comment réguler et garantir la qualité de ces écoles pour défendre la formation des étudiants et la valeur de leurs diplômes ? Avec Claire Marchal, journaliste et réalisatrice de documentaire, autrice de Le cube - Révélations sur les dérives de l'enseignement supérieur privé (Éditions Flammarion). Le Monde des enfants par Charlie Dupiot. C'est le moment du « Monde des enfants » ! Charlie Dupiot tend son micro à des enfants pour qu'ils nous livrent leurs regards sur le monde... Et aujourd'hui, elle nous emmène à Kinshasa (RDC). Ces enfants de 8 à 12 ans nous parlent des punitions. En fin d'émission Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'Anissa à Abidjan en Côte d'Ivoire. Cette émission est une rediffusion du 3 avril 2025 Programmation musicale : ► Zazikafa feat. Aguero Banks – Bad habit ► Victony – Sunday School.
Aux origines de Belin Dans cet épisode 1 aux origines de Belin, le crooner breton revient sur le « tissage sauvage des fils de son destin », son enfance atlantique dans une baie au parfum de varech parcourue à BMX, sa lignée de pêcheurs, ses disques de Thiéfaine ou son jeu de guitare qui, à 15 ans, déchaînait les passions dans les rades de Quiberon avec un groupe nommé Les Démons. Le sel de son « hypernuit ».Mais comment l'écriture est-elle venue aux yeux et à la bouche de ce transfuge de classe alors que l'appartement familial ne comptait pour tout livre qu'une série d'encyclopédies ? Qu'a-t-il de commun avec le héros du roman « Martin Eden » de Jack London ? Comment ce titulaire d'un BEP-CAP électricien est-il passé d'un quotidien de musicien de studio – pour Bénabar ou Régine – à sa place convoitée de fils fantasmé de Bashung et de Brigitte Fontaine, chouchou de la critique, auquel il ne manque aujourd'hui qu'un succès populaire ? Pour le savoir, prenons le temps, Bertrand.L'auteur du mois : Bertrand BelinNé en 1970 à Auray, Bertrand Belin est musicien, écrivain et acteur, toujours à la recherche « du mot juste, du beau geste ». Depuis vingt ans, du premier album remarqué qui porte son nom (2005) à « Tambour Vision » (2022), sans oublier « Hypernuit » (grand prix de l'académie Charles-Cros en 2010), ce drôle d'oiseau du Morbihan, au timbre grave et envoûtant, « survole nos villes et nos campagnes » avec, sous son aile, de mystérieuses ritournelles. « Que dit-on en chantant que l'on ne saurait dire en parlant simplement ? Pourquoi chanter une chose ? », se demandait-il en 2012 dans son premier livre, un court essai intitulé « Sorties de route ». Bertrand Belin est également l'auteur d'une poignée de brefs romans intrigants aux éditions POL. Il vit à Paris et publiera en octobre 2025 son huitième album solo, « Watt », annoncé comme « tendre, grave et gracieux, avec des divertissements ». Enregistrement avril 2025 Entretien, découpage Richard Gaitet Prise de son Mathilde Guermonprez Montage Mathilde Guermonprez, Étienne Bottini Réalisation, mixage Charlie Marcelet Musiques originales Samuel Hirsch Vibraphone Cyprien Noble Illustration Sylvain Cabot Remerciements Loyse Dodinot-Plunian, Loo Hui Phang, Mina Souchon
Ecoutez RTL Soir avec Anne-Sophie Lapix du 26 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une banque en ligne, c''est une banque qui te fait croire que tout est plus facile.
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Note aux auditrices et auditeurs : cet épisode a été diffusé une première fois le 28 juillet.Sur le Fil continue son tour de France des bonnes idées suggérées par nos auditeurs….direction le Lot-et-Garonne, dans le sud-ouest à la découverte d'une association qui lutte contre les déserts médicaux : Médecins Solidaires. C'est un sujet qui préoccupe tout le monde : en 2024, 87% du territoire était classé en désert médical, selon le ministère de la Santé. Un désert médical existe quand le temps d'attente pour voir un médecin est trop long, ou l'éloignement géographique des soins trop important ou encore quand trouver un médecin traitant est impossible.En 2024, 11% des Français n'en ont pas trouvé.Pour répondre à ce problème, l'association Médecins Solidaires implante depuis trois ans des cabinets médicaux dans des zones où l'accès aux soins est particulièrement difficile. Le fonctionnement de ces cabinets repose sur la notion de temps partagé : tous les lundi, un médecin vient prendre le relai du précédent….et cela 50 semaines par an.Une expérience est menée depuis le mois de février dans le village du Mas-d'Agenais Je me suis rendue sur place, à environ une heure de route de Bordeaux, entre vergers et Garonne, à la rencontre de patients soulagés et contents de voir un médecin.Réalisation : Emmanuelle BaillonMusique : Michael LiotSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme.Ce podcast fait l'objet d'une clause de opt-outSous réserve des dispositions de l'article L.122-5-3.II. du Code de la propriété intellectuelle, tout accès à ou utilisation (tels que, à titre non exhaustif, la reproduction, l'agrégation et l'archivage) du contenu de ce podcast et de sa description, pour toute activité systématique ou automatisée liée à la récupération, la fouille, l'extraction, l'agrégation, l'analyse, l'exploration ou la collecte de textes et/ou de données, par l'intermédiaire de tout "robot", "bot", "spider", "scraper", ou de tout autre dispositif, programme, technique, outil, procédé ou méthode, réalisé dans le but de créer, développer, entraîner, tester, évaluer, modifier et/ou permettre l'exécution de logiciels, algorithmes et modèles d'apprentissage automatique/d'intelligence artificielle ou à une quelconque autre fin, sans l'autorisation préalable écrite de l'AFP, est strictement interdit. La présente disposition des CG vaut opposition expresse de l'AFP au sens des articles L. 122-5-3.III. et R. 122-28 du Code de la propriété intellectuelle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce vendredi 22 août, l'adoption d'une nouvelle carte électorale aux États-Unis plus favorable aux Républicains a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Sandra Gandoin, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
[Première diffusion le 24 septembre 2024] Il fut victime d'un canular radiophonique pendant près de 6 ans. En 1995, Gérard de Suresnes, de son vrai nom Gérard Cousin, fait sensation sur les ondes de Fun Radio. Un soir, comme des milliers d'auditeurs, ce SDF de 34 ans tente sa chance et appelle le standard pour lire des poèmes d'amour qu'il a écrit. Il est en tongs depuis une cabine téléphonique et vient de Suresnes (Hauts-de-Seine).Max, l'animateur star de l'époque sur Fun Radio, flaire le bon client, l'invite régulièrement à l'antenne dans les jours qui suivent et en 1997, il lui propose même de devenir l'animateur d'un programme hebdomadaire baptisé « Les Débats de Gérard », programmé après minuit. Gérard devient alors malgré lui le personnage principal d'un « diner de con » géant, celui du souffre-douleur moqué par ses collègues et les auditeurs de Fun Radio.Thibault Raisse, ancien journaliste au Parisien, a publié en septembre 2024 « Le Con de minuit » aux éditions Denöel, un livre dans lequel il retrace le parcours de Gérard Cousin, décédé en 2005 à l'âge de 43 ans. Il raconte son histoire pour Code source au micro de Jules Lavie. Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Raphaël Pueyo et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Youtube. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Gondwana est un pays qui est constamment en état de guerre. En très très démocratique République, il n'y a plus de service militaire, mais les Gondwanais sont tous des soldats sur le terrain, tout le temps en état de guerre, tout le temps en combat. Rediffusion du 30 janvier 2025
Il y a cinq ans en Alsace, la centrale nucléaire de Fessenheim s'arrêtait définitivement de tourner. On parlait alors de la fin d'une époque… Jusqu'à ce que la guerre en Ukraine et la prise de conscience de l'urgence écologique rebattent les cartes. Entre la souveraineté énergétique, les ressources limitées et les enjeux d'influence, les défis autour du nucléaire sont de taille. Dans ce quatrième et dernier épisode, on s'intéresse à une innovation qui pourrait tout changer : la fusion nucléaire. Des explications de Sébastien Julian, chef du service climat de L'Express.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte Baris Ecriture et montage : Solène AlifatRéalisation : Jules Krot Crédits : INA, Europe 1, France 24 Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Gondwana est un pays qui est constamment en état de guerre. En très très démocratique République, il n'y a plus de service militaire, mais les Gondwanais sont tous des soldats sur le terrain, tout le temps en état de guerre, tout le temps en combat. Rediffusion du 30 janvier 2025
Podcast Horreur Dans cet épisode de Dans l'Ombre des Légendes, Chandleyr vous plonge dans une spirale de honte, de souffrance et de voyeurisme. Une fiction ultra réaliste inspirée des dérives actuelles du web.Un jeune homme de 19 ans est humilié et battu en direct sur TikTok. Les spectateurs commentent. Rient. Et personne ne stoppe le live.Ce n'est qu'au lendemain que l'hôpital confirme son décès. Mais il est déjà trop tard.“Il est en train de mourir… et tu filmes encore ?” est un cauchemar contemporain sur notre responsabilité collective face à la violence numérique.Une œuvre noire, déshumanisée, presque documentaire… Où l'horreur n'est plus dans l'acte, mais dans sa diffusion virale.
Il y a cinq ans en Alsace, la centrale nucléaire de Fessenheim s'arrêtait définitivement de tourner. On parlait alors de la fin d'une époque… Jusqu'à ce que la guerre en Ukraine et la prise de conscience de l'urgence climatique rebattent les cartes. Entre souveraineté énergétique, ressources limitées en uranium et enjeux d'influence, les défis autour du nucléaire sont de taille. Dans ce troisième épisode, on se demande si la relance annoncée par Emmanuel Macron ira jusqu'au bout. Des explications de Sébastien Julian, du service Climat de L'Express.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte Baris Ecriture et montage : Solène AlifatRéalisation : Jules Krot Crédits : BFMTV, INA, Europe 1, France 24, La Voix du Nord, TF1 Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, Antoine Diers et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall.
Il y a cinq ans en Alsace, la centrale nucléaire de Fessenheim s'arrêtait définitivement de tourner. On parlait alors de la fin d'une époque… Jusqu'à ce que la guerre en Ukraine et la prise de conscience de l'urgence climatique rebattent les cartes. Entre souveraineté énergétique, ressources limitées et enjeux d'influence, les défis autour du nucléaire sont de taille. Dans ce deuxième épisode, on revient sur l'arrêt du projet Astrid qui visait à rendre le nucléaire durable. Un récit de Sébastien Julian, rédacteur en chef adjoint du service climat de L'Express.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte Baris Ecriture et montage : Solène AlifatRéalisation : Jules Krot Crédits : INA, Europe 1, France 2, France 24, TV5 monde Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il y a cinq ans en Alsace, la centrale nucléaire de Fessenheim s'arrêtait définitivement de tourner. On parlait alors de la fin d'une époque… Jusqu'à ce que la guerre en Ukraine et la prise de conscience de l'urgence écologique rebattent les cartes. Entre la souveraineté énergétique, les ressources limitées et les enjeux d'influence, les défis autour du nucléaire sont de taille. Dans ce premier épisode, Anne Rosencher, directrice déléguée de la direction, et Sébastien Julian, rédacteur en chef adjoint du service climat de L'Express, nous racontent l'histoire d'un sabotage politique. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte Baris Ecriture : Solène AlifatMontage et réalisation : Jules Krot Crédits : BFM TV, Europe 1, France 24, France 3, INA, Le Monde, TF1 Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La nouvelle séquence des Grandes Gueules du Sport ! Mises dans les cordes pendant toute l'émission, les GG prennent la main : ce sont eux qui choisissent leur débat !
Dans ce nouvel épisode de notre série d'été consacrée aux « délices du continent », nous partons pour Casablanca, à la découverte d'un sandwich populaire. Ce dernier convoque, pour des générations de Marocains, l'enfance, la plage, les vacances d'été… Vendu autour d'un euro, il est emblématique de la culture toujours très vivante de la street food à la marocaine. La suite vous est contée par Matthias Raynal. Il s'appelle le « thon o'lahrour », littéralement « le thon et le piment ». Ce sont les deux ingrédients phares de ce sandwich marocain. Mais il y en a d'autres… Sur son comptoir mobile, Imad, 36 ans, prépare des thon o'lahrour depuis treize ans : « Le plus important, c'est le pain ! Le croquant, le croustillant, c'est ça le secret ! ». Il poursuit : « Premièrement, le thon ne va jamais te rendre malade. Deuxièmement, c'est léger, c'est bien quand il fait chaud. Troisièmement, c'est le sandwich de toutes les générations, il convient à la fois aux petits et aux grands. » Voilà la recette du succès, qui ne s'est jamais démentie au fil des années. Kenzi vient de sortir du bureau. Elle prend sa pause déjeuner avec des copines : « Mmmmm, c'est très très bon, c'est mon enfance… Ce sandwich, tu le trouves à la plage, au stade, dans la rue, à côté des écoles… » Hicham, 43 ans, en est déjà à son deuxième thon o'lahrour ce midi : « On oubliera jamais ce sandwich, il fait partie de l'histoire. Le jour de l'Aïd, quand tout est fermé, il y a toujours un gars dans le quartier qui profite de ce moment pour se mettre à vendre des sandwichs, car le jour de la fête, les gosses reçoivent un peu d'argent de poche, quelques dirhams qui sont aussitôt dépensés ». À lire aussi« Cuisines d'Afrique du Nord » : recettes et récits intimes d'une identité retrouvée Parasol et sable fin, voilà le décor que préfère encore le thon o'lahrour. Imad reprend : « Il n'y a pas un Marocain qui est parti à la plage et qui n'a pas mangé ce sandwich. C'est un pan de la culture balnéaire au Maroc. » Ce monument de la street food marocaine a évolué à travers le temps : « Par exemple, il n'y avait pas de pommes de terre avant. Certains en ajoutent désormais, ils mettent aussi de la charcuterie halal, des sauces, du fromage… Son avantage, c'est qu'on n'a jamais marre d'en manger. Tous les jours, du lundi au vendredi, j'en mange deux au déjeuner. » Et si vous voulez goûter à ce fameux sandwich fait avec passion par Imad, sachez que son stand se trouve en centre-ville, sur la place Zellaqa. À lire aussiLes délices du continent en Côte d'Ivoire: l'alloco [9/10]
Dans cet épisode, Lisa Kamen et Christophe discutent de la Grèce et de l'héritage d'Archimède. Ils explorent ses contributions scientifiques, notamment la poussée d'Archimède, et évoquent ses inventions comme la catapulte et la vis d'Archimède. L'épisode se termine par une anecdote sur la mort légendaire d'Archimède.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque mercredi, Thomas Schnell revient sur l'un des articles qui fait la Une du JD News. Aujourd'hui, il reçoit Alexandre Mendel pour parler des déboires de l'immigration en Europe. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Neuvième épisode de notre série d'été sur les délices du continent… Avez-vous déjà goûté à l'alloco ? Ce snack est composé de banane plantain coupée en dés ou en rondelles et frite dans l'huile de palme, jaune ou rouge. En zone rurale, l'alloco se mange sur le pouce, tel quel ou avec de l'œuf, pour une somme modique. Mais en zone urbaine, à Abidjan en particulier, les « allocodromes » sont devenus des lieux de restauration assise, prisés des classes aisées. Reportage dans l'un des plus anciens, l'allocodrome de Cocody, une institution de l'alloco, avec notre correspondante Marine Jeannin. De notre correspondante à Abidjan, À l'extérieur, les chaises en plastique n'ont pas changé depuis les années soixante, et dans le marché couvert, où on prépare les fritures et les grillades, les mêmes recettes se transmettent entre les vendeuses de génération en génération. Démonstration avec Ruth, l'une de ces cuisinières : « On épluche la banane, on met dans l'assiette. On prend le couteau, on découpe la banane. Doucement, petit petit, voilà… Et quand tu as fini de découper petit petit, tu allumes la bouteille de gaz… ». On reconnaît un bon alloco à sa couleur, qui témoigne d'une cuisson maîtrisée. Et si la banane est choisie à maturité, il aura à la fois le goût sucré recherché et une bonne texture en bouche. L'alloco est particulièrement prisé des « jeunes chocos », le surnom donné aux jeunes des classes aisées, qui viennent à l'allocodrome après les cours, pour le goûter, explique Tantie Franceline, qui tient l'une de ces échoppes : « La majorité, c'est les étudiants qui viennent avec leurs copines… Ils viennent manger alloco à partir de 16h, souvent… Ce sont les chocos qui viennent manger [alloco]. C'est un peu ça ! ». À lire aussiUn goûter ivoirien, ça vous dit ? Parmi les clients, Emmanuelle Grâce Yao N'Guessan, étudiante en finances-comptabilité, venue partager un goûter avec son ami. Et qui cherche à retrouver dans l'alloco le goût de son enfance : « Hum ! On partait à la maison, et j'ai pensé que j'avais une folle envie de manger alloco. Donc, on est venus. Ah ! Alloco, c'est la vie hein. Et ça faisait longtemps que je n'avais pas mangé de l'alloco. Ma maman vendait alloco même, quand j'étais petite. Moi, j'aime tellement alloco ! C'est très bon, très, très bon. En tout cas, c'est doux. La banane plantain, c'est délicieux ». À l'origine, l'alloco était pourtant une recette de récupération, explique le manager de l'allocodrome de Cocody, Manheni Kouleon, inventée pour valoriser les fruits trop mûrs : « Nos mères, nos grand-mères ont créé ce mets à la base pour ne pas perdre le produit… À partir de ça est né l'alloco. Chaque 16h, le petit goûter, la petite grignote. Alloco 100 francs, alloco 50 francs…Ça, c'était à l'époque. Et aujourd'hui, on voit des allocodromes partout. Avec plusieurs grillades de poulet, de poisson : alloco-poulet braisé, alloco-poulet frit, alloco-poisson frit… L'alloco passe avec tout ce qui est grillade, c'est ce qui est intéressant dans ce mets-là ! ». La banane plantain frite n'est pas propre à la Côte d'Ivoire. Plusieurs pays d'Afrique de l'Ouest et du Centre en consomment aussi, et en revendiquent la paternité. Mais bien sûr, à Abidjan, on jure que l'alloco ivoirien est le meilleur du continent ! À lire aussiLes délices du continent au Sénégal: beignets et fatayas, les reines de la street food [8/10]
Au Sénégal, c'est LA douceur la plus populaire et que l'on trouve partout, dans la rue, à la plage ou à la maison, il y a toujours quelque part des beignets. La pâte est un simple mélange d'œufs, de farine, de lait et de sucre, mais tout est dans le dosage et l'amour qu'on y met. Reportage à Dakar dans une petite boutique (Maramy) du centre-ville qui en produit des centaines chaque jour… Le téléphone ne cesse de sonner dans la petite boutique de Mame Bousso. Devant la vitrine où s'exposent des beignets alléchants, des boîtes avec ruban s'entassent, prêtes à accueillir les beignets des grandes occasions. Ndeye Fatou, vendeuse en chef : « Ça, ce sont des doubles boli qu'on doit livrer ! Ce sont des beignets ! Les beignets, c'est ce qui marche le mieux... (rires), les clients viennent tous les jours pour acheter, machallah ! ». Ces jours-ci les commandes s'enchaînent. Baptême, fin de ramadan ou magal de Touba, les beignets accompagnent toutes les grandes fêtes au Sénégal, mais aussi le petit déj, comme pour ce monsieur venu acheter un assortiment pour sa famille : « Les beignets sont trop bons ici, c'est pour ça que je viens ici à chaque fois… Tout est bon ! ». Dans la vitrine, des beignets en forme de cœur, d'autres saupoudrés de coco, de forme torsadé ou le plus cher, le beignet keumeukh... Et l'ingrédient secret qui explique le succès. Ndeye Fatou : « Notre beignet, on ne mixe pas avec de l'eau, du beurre, du lait et de l'huile, on mélange ». Sans oublier les œufs, la levure, la farine de blé et le sucre, plus ou moins dosés suivant la sorte de beignet et les préférences de chacun. Et pour le pâtissier de cette boutique, le meilleur c'est : « Pour moi, c'est le keumeukh (rires) c'est le meilleur, mais il faut déguster ! ». Du haut de ses 12 ans, Ndeikhane Gueye, habituée de la boutique, car elle vit au-dessus, a un autre avis : « Quand je mange les beignets, c'est quand je suis désespéré, ce sont les donuts mes préférés ». En cas par excellence, petit déjeuner ou goûter… au Sénégal, chacun a donc son beignet préféré, même le Premier ministre qui a donné un shoot de popularité au beignet Dougoup, à la farine de mil. Alors bon appétit et à vous les beignets ! À lire aussiLes délices du continent au Cameroun: la sauce jaune du taro que l'on aime manger le dimanche
Depuis peu, le taro sauce jaune, un plat traditionnel de l'ouest Cameroun, occupe une place de choix dans l'alimentation des jeunes des grandes villes camerounaises. Ils se retrouvent désormais les dimanches dans des lieux de réjouissance, autour du concept « Dimanche Taro ». Des nouvelles habitudes autour de ce plat autrefois consommé dans un cadre familial ou au cours de cérémonies, comme nous le raconte notre correspondant à Daoula. À lire aussiLes délices du continent: en Guinée, le konkoé, plat typique du pays à base de poisson [6/10]
Suite de notre série sur les spécialités culinaires africaines. Aujourd'hui, on se rend à Conakry, où notre correspondant nous fait découvrir le konkoé, le nom local du mâchoiron, un poisson pêché au large des côtes guinéennes. Il est séché puis préparé et servi avec du riz. Un plat typique de la région Basse-Guinée qui fait le bonheur de tous les Guinéens. De notre correspondant à Conakry, En face de la direction générale des douanes de Conakry, dehors sous un chapiteau orange, Aïssata prépare le konkoé chaque jour. Les marmites alignées devant elle, certaines pour la sauce rouge, et le poisson, d'autres pour le riz, elle fait face à l'afflux de clients : « Pour préparer, il faut laver le konkoé, chauffer l'huile rouge dans la marmite, mettre le konkoé dedans, puis mettre les condiments : oignon, tomate, piment et puis bien préparer. Si c'est bien préparé, c'est délicieux ! C'est comme ça que je fais. C'est le plat préféré en Guinée parce qu'il y a beaucoup de vitamines. Si mon restaurant était mieux situé, j'aurais encore beaucoup plus de clients. » La plupart des clients prennent des plats à emporter, mais quelques-uns sont installés sur les tables sous un chapiteau. Parmi eux, Bérété. Le konkoé est de loin son plat préféré : « C'est très doux, raison pour laquelle quand je me couche, parfois dans mes rêves, je vois du konkoé que je suis en train de manger. Quand je me réveille, je vais automatiquement acheter konkoé. Et quand j'en mange, je me sens à l'aise, je me vois très gros et puis robuste, ajoute Bérété en riant. Il y a deux choses que j'aime sur cette terre : le Real Madrid et le konkoé. » Tous les Guinéens adorent cette spécialité de la Basse-Guinée, tout le monde aime ce poisson fraîchement pêché, insiste Koumassi, un autre client : « En Basse-Côte, c'est très consommé. Parce que ça te donne envie de manger des produits de la mer. Et surtout, quand il est bien préparé comme on le prépare chez les Soussous. On se moque entre nous, Peuls et Malinkés, en disant " Tu ne vas plus retourner en Haute-Guinée, tu as mangé le konkoé " ou " Tu ne vas pas retourner au Fouta, tu as mangé le konkoé ". Le konkoé, c'est une sauce de la Basse côte, mais actuellement tous les Guinéens consomment. » Même si le konkoé est un peu plus cher que les autres plats, comme la viande, le restaurant d'Aïssata ne désemplit jamais. À lire aussiLes délices du continent: le ti'hilo, un plat familial qui gagne en popularité en Éthiopie [5/10]
Invités : - Anael Payrou, directeur du Cellier des Demoiselles à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse - Jacques Morel, général de Gendarmerie et ancien patron Section Recherche Versailles - Eliott Mamane, chroniqueur politique - Arno Klarsfeld, avocat et écrivain - Roger Rua, médecin généraliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Anael Payrou, directeur du Cellier des Demoiselles à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse - Jacques Morel, général de Gendarmerie et ancien patron Section Recherche Versailles - Eliott Mamane, chroniqueur politique - Arno Klarsfeld, avocat et écrivain - Roger Rua, médecin généraliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les dépenses des touristes internationaux aux États-Unis devraient baisser cette année, notamment à cause de la politique de Donald Trump. New York réagit avec une campagne publicitaire pour inverser la tendance.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Suite de notre série qui vous emmène à la découverte des délices du continent, ces plats qui font saliver rien qu'à l'évocation de leur nom. Pour le cinquième épisode, nous allons ce matin en Éthiopie. Au menu : le ti'hilo. Originaire de la région du Tigré, ce plat familial n'est pas le plus connu du pays, mais il est de plus en plus populaire. On peut désormais le trouver dans l'intégralité de l'Éthiopie, y compris dans la capitale, Addis-Abeba. De notre correspondante à Addis-Abeba, Au cœur du quartier de Haya Huwlet, le restaurant Kiros détonne. Sur les tables, pas de traditionnel shiro, cette purée de pois cassés dégustée au quotidien par les Éthiopiens. Ici, le ti'hilo est à l'honneur. « On a décidé de faire du ti'hilo car il y a encore peu d'établissements qui proposent ce plat ici », explique Melka, charlotte blanche sur la tête, qui officie en cuisine. Le restaurant fait le bonheur de Bisrat, un client occasionnel est né à Mekelle, mais habite à Addis-Abeba depuis quelques années. « Le ti'hilo est un plat traditionnel, particulièrement dans la région d'Adigrat, dans le Tigré. Mais aujourd'hui, on peut trouver le ti'hilo ici, dans quelques bons restaurants d'Addis. Ce sont devenus des endroits très reconnus », estime-t-il. Les mains plongées dans la farine d'orge qui sert de base aux petites boulettes beiges, l'un des éléments principaux du plat, Melka détaille la recette : « Une fois qu'on a pétri la pâte, on fait le selsi, un mélange d'oignons, de tomates, d'huile et de poivrons. À côté, on prépare le sejo, une purée de pois cassés. Ça, c'est le ti'hilo qu'on fait pendant le jeûne, sans viande. » En salle, le ti'hilo est servi avec une petite touche cérémoniale : une serveuse se charge de confectionner les boulettes et les dépose ensuite sur un grand plateau en métal recouvert d'injira, galette éthiopienne présente à chaque repas. Les clients piquent ensuite les boulettes avec un bâtonnet en bois, avant de les tremper dans le selsi. Une tradition qui réveille à chaque fois, chez Bisrat, un peu de nostalgie. « Manger du ti'hilo, surtout quand je suis à Addis, me rappelle ma région, le Tigré, sa culture et plein d'autres choses. Quand je commence à goûter le ti'hilo, cela me ramène là-bas, chez moi », confie-t-il. En dehors des périodes de jeûne végétarien, très suivi par les chrétiens orthodoxes en Éthiopie, le ti'hilo se déguste aussi avec de la viande de bœuf. À écouter aussiÉthiopie, aux limites de la terre nourricière
Suite de notre série qui vous emmène à la découverte des délices du continent, ces plats qui font saliver rien qu'à l'évocation de leur nom. Pour ce quatrième épisode, nous allons ce matin en Tunisie, pour savourer le mleoui. Cette crêpe de semoule, aux origines berbères, est devenue une institution dans la street food (cuisine de rue). Peu coûteux et rassasiant, le sandwich s'achète dans des gargotes de quartier et se décline en différentes versions, selon les garnitures que l'on met à l'intérieur. Pour certains amateurs, trouver le meilleur mleoui à Tunis est une activité très sérieuse. De notre correspondante à Tunis, Yasser Hana, restaurateur palestinien vivant en Tunisie, est un fan de street food. Sur les réseaux sociaux, il en a fait sa marque de fabrique en tant que créateur de contenus, et le mleoui est son sandwich préféré. « Un mleoui, avec deux fromages, un peu de harissa et de thon », commande-t-il avec précision chez Mleoui Mahbouba, une gargotte tenue par deux sœurs depuis trente ans. « Un truc simple sans chichis, deux fromages triangle, un peu de harissa, des oignons et du thon. Pas d'omelette, pas d'olives, pas de mayonnaise pour ne pas gâcher le goût de la pâte, pour savourer le goût de chaque ingrédient seul, pour avoir dans la bouche une expérience homogène », explique-t-il. Car ce qui fait la force du mleoui, c'est sa simplicité : une crêpe épaisse à base de semoule, comme l'explique Mahbouba, qui travaille la pâte juste avant de la cuire. « La pâte, on la fait le jour même. Un peu de sel, de la semoule fine et un peu d'huile et le tour est joué. Je la remue comme ça, on la laisse reposer quelques minutes, et ensuite, on cuit le mleoui et on ajoute la garniture. C'est très frais et instantané. » Le prix, qui ne dépasse pas un euro, et toutes ses différentes garnitures en font l'un des sandwichs préférés des Tunisiens. Un sandwich qui évoque une certaine nostalgie, selon Yasser : « Le consommateur basique, il est très fidèle à son mleoui de quartier ou au mleoui dans la ruelle où il a grandi. » À quelques encablures, un jeune de 30 ans, Fahd, a ouvert sa propre boutique où il vend des mleouis déclinés dans une recette qui s'inspire de la version marocaine, le msemen, où l'on ajoute un peu de beurre et de farine. « À chaque fois, on ajoute un ingrédient et finalement, on a trouvé la bonne recette et la bonne combinaison de ces ingrédients-là », estime-t-il. « Les Tunisiens disent souvent qu'ils n'aiment que la nourriture de leur mère, mais c'est vrai que pour ces produits de street food, on préfère aller dans la rue. Surtout le mleoui. Je pense qu'il n'y a pas un Tunisien qui ne mange pas le mleoui une seule où deux fois par semaine », explique-t-il. Il propose aussi une version de la pâte au pesto ou épicée. Des variantes qui fonctionnent puisqu'il a gagné le Torchi Food Award 2024, une compétition qui récompense le meilleur de la street food tunisienne. À lire aussiTunisie: la richesse du patrimoine culinaire encore méconnue
C dans l'air l'invitée du 4 août avec Plana Radenovic, journaliste police-justice à RTL, auteure de "Depuis l'enfer gris, Lettres de Redoine Faïd" (éditions Michalon).Émission présentée par Salhia Brakhlia.À Vendin-le-Vieil, dans les Hauts-de-France, 69 détenus ont déjà été transférés dans la prison de haute sécurité. Ils seront 100 d'ici au 15 août. Parmi eux, les profils les plus dangereux du pays :terroristes, narcotrafiquants, figures du grand banditisme. On y retrouve Mohamed Amra, Salah Abdeslam, Redoine Faïd, ainsi que plusieurs chefs de la "DZ Mafia", un réseau de trafic de drogue très actif à Marseille, impliqué dans des règlements de comptes. Les transferts s'effectuent sous très haute sécurité, parfois par hélicoptère, depuis l'attaque du péage d'Incarville en mai 2024, qui a coûté la vie à deux agents pénitentiaires.Le personnel a été spécifiquement formé. À Vendin-le-Vieil, 250 agents encadrent les 100 détenus, soit un dispositif de surveillance sans équivalent en France. Brouilleurs de téléphonie mobile, filets anti-hélicoptère, hygiaphones, surveillance renforcée dans les cours : tout est pensé pour éviter toute communication avec l'extérieur et prévenir les tentatives d'évasion. Ces détenus conservent leurs droits fondamentaux : accès aux soins, possibilité de recours judiciaires. Comme Redoine Faïd, certains dénoncent un régime carcéral très strict : isolement prolongé, déficit de lumière naturelle, menottage systématique. Ce dernier a saisi la justice pour contester ces mesures, qui a d'ailleurs ordonné un assouplissement de son cadre d'incarcération, dénonçant des mesures " contraires à la dignité de la personne humaine".L'objectif de cette prison de haute sécurité est de mieux répondre à la montée du narcotrafic, devenu omniprésent sur le territoire. L'OFAST (Office anti-stupéfiants) alerte dans son dernier rapport : la France ne connaît plus aucune "zone blanche" face à l'offre de drogue. Dans le même temps, la surpopulation carcérale bat des records : au 1er juillet 2025, on comptait 84 951 détenus pour seulement 62 509 places. Le système pénitentiaire français est-il à bout de souffle ? Quelles sont les conditions réelles de détention dans ces établissements ultra-sécurisés ? Et qui sont ces détenus classés "ultra-sensibles" ?Plana Radenovic, journaliste police-justice à RTL, nous expliquera qui sont les détenus incarcérés à la prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil et fera le point sur leurs conditions de détention.
La suite de notre série sur les délices du continent, ces plats qui font saliver rien qu'à l'évocation de leur nom. Au fil des années, les restaurants de grillades se sont multipliés dans la capitale centrafricaine, Bangui. Viandes de bœuf, chèvre, poisson, mouton, porc ou encore cabri... Ces viandes sont grillées partout dans la capitale et les odeurs alléchantes embaument les bords des avenues. Les Banguissois et la consommation de viande grillée, c'est une longue histoire d'amour. À lire aussiSérie «Dis-moi à quoi tu joues»: le Ngbaba en Centrafrique, «un jeu pour développer une forme de solidarité»
durée : 00:04:31 - Le Reportage de la rédaction - La Turquie, grand pays de football mais où le foot apparaît de plus en plus souvent à la rubrique faits divers. Violence, corruption, arbitres achetés, patron de clubs sur la sellette… la situation ne cesse de se dégrader. Le foot turc serait-il le reflet des maux de la société ?
L'historien de la médecine, Martin Robert, fait la petite histoire de l'étude des cadavres en médecine au Québec; la journaliste Louise Toutée fait le tour de la question de l'amnésie infantile, et indique que l'on pourrait avoir des souvenirs après les douze premiers mois, selon certains études; et la sociologue Linda Gardelle parle de sa vie dans les déserts, en lien avec ses travaux chez les peuples mongols du désert de Gobi, et les Touaregs dans le désert du Sahara, au Mali.
Toute sa vie, Guillaume le Gentil aura voulu assister aux transits de Vénus. Le hasard – ou la providence – ne va pas lui faciliter les choses. Découvrez l'histoire de cet astronome du 18ème siècle. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.