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durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Mettez-vous un instant dans la tête de Vladimir Poutine : quelle satisfaction de voir la France, co-leader, avec le Royaume Uni, de la « coalition des volontaires » formée en soutien à l'Ukraine, s'enfoncer dans la crise politique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Un corps de jeune migrant a été retrouvé sur une plage près de Boulogne, révélant l'ampleur des traversées dangereuses vers le Royaume-Uni.Traduction: A young migrant's body was found on a beach near Boulogne, highlighting the scale of perilous crossings toward the UK. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'attaque au couteau à Southport a lieu le 29 juillet 2024 dans la ville de Southport, au Royaume-Uni. Ayant pour cible une école de danse et de yoga qui organisait une activité sur le thème de Taylor Swift, cette attaque fait 3 morts et 10 blessés. Le tueur, Axel Rudakubana, âgé de 17 ans, est arrêté sur les lieux. Il n'avait pas de motivation politique, religieuse, idéologique ou raciale. L'évènement suscite une forte émotion dans le pays et déclenche d'importantes manifestations qui dégénèrent en violentes émeutes impliquant des mouvances d'extrême droite.Lundi 29 juillet 2024. Le soleil illumine la ville balnéaire de Southport, sur la côte Ouest de l'Angleterre. En cette matinée de vacances d'été, le centre-ville grouille de touristes et de locaux qui s'apprêtent à prendre leur pause déjeuner aux terrasses des restaurants ou sur les pelouses verdoyantes du parc Victoria. A environ un kilomètre de là, dans le quartier de Meols Cop, la journée suit également son cours. Dans cette petite banlieue ouvrière, les maisons en briques rouges se mêlent aux petits commerces. Une vie de quartier tranquille, il fait bon vivre et tout le monde se connaît.
durée : 00:03:04 - Le monde à l'endroit - Impopulaire, le Premier ministre britannique a défendu ce mardi son bilan et ses objectifs devant les militants de son parti. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le XIXème siècle représente le siècle du charbon, particulièrement pour le Royaume-Uni. Mais les énergies fossiles s'épuisent. On célèbre et on utilise massivement le charbon jusqu'à en faire un emblème de la nation triomphante mais avec une inquiétude qui pointe : jusqu'à quand cela va-t-il durer ? On plonge dans les affres d'une angoisse historique avec Charles-François Mathis, Professeur d'histoire contemporaine à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre de l'IHMC (Institut d'Histoire Moderne et Contemporaine) et auteur de La civilisation du charbon (Editions Vendémiaire, 2021).
Depuis quelques semaines, les rues anglaises se parent de drapeaux : l'Union Jack, le drapeau britannique ou encore la croix rouge de Saint-Georges sur fond blanc, drapeau de l'Angleterre. Certains rond-points ont également été repeints aux couleurs nationales. Cette campagne « Raise the Colours » (Levez les drapeaux, en français), encouragée par le leader d'extrême droite Nigel Farage, intervient alors que les hôtels accueillant des demandeurs d'asile sont visés par des manifestations nationalistes. Notre correspondante s'est rendue dans l'un des quartiers ciblés par l'opération. De notre correspondante en Angleterre, À deux pas du quartier d'affaires de Canary Wharf, visé par des manifestations anti-migrants depuis deux mois. Les lampadaires sont bardés de drapeaux anglais, croix rouge sur fond blanc, financés par des groupes liés à l'extrême droite sur les réseaux sociaux. Les cordes claquent au vent. « Une tentative d'intimidation » Tom, qui ramène sa fille de l'école, aimerait les voir disparaître : « Je ne peux pas dire que j'aime ça. Je le vois comme une tentative d'intimidation, c'est une manière de dire à une partie des gens qui vivent par ici : vous n'êtes pas chez vous. Quand les Anglaises ont gagné l'Euro il y a deux mois, il n'y avait pas de drapeaux, donc je ne pense pas que ce soit une histoire de fierté nationale. » Des drapeaux qui disent « vous êtes chez nous ». C'est exactement l'interprétation de Michael, qui a participé aux manifestations dans le quartier : « Les gens qui viennent ici doivent respecter le Royaume-Uni, ses lois, ses valeurs. Le gouvernement n'arrive pas à freiner tous ces immigrants qui arrivent. Mais quand vous êtes une minorité, que vous venez vivre ici, légalement ou non, vous n'êtes pas chez vous ! » Ici, la mairie a fait retirer plusieurs étendards. Mais dans les rues, certains expatriés, comme ce jeune Portugais, n'y voient pas de menace : « C'est le signe que les gens aiment leur pays, en sont fiers. Cela ne me dérange pas. » Les drapeaux, fierté nationale ou signe d'une radicalisation de la société ? Le Premier ministre Keir Starmer lui-même a dû trancher sur la BBC : « Chez nous, nous avons une croix de saint Georges. J'encourage les drapeaux, c'est un symbole de patriotisme, mais ils ne doivent pas être dévalués et utilisés pour diviser. Je ne veux pas de ça, je suis fier de notre drapeau. » À lire aussiRoyaume-Uni: le militant d'extrême droite Tommy Robinson réunit plus de 100 000 personnes à Londres Pas de condamnation, bien au contraire. John Denham, chercheur en politique à l'université de Southampton, souligne que contrairement à d'autres, le Royaume-Uni ne réserve pas ses drapeaux aux nationalistes : « Nous ne sommes pas une nation qui agite ses drapeaux. C'est historique : nous étions le plus grand Empire du monde. Les drapeaux, c'était pour [les colonies], les Américains par exemple. Nous n'en avions pas besoin. Par conséquent, aujourd'hui, chacun donne le sens qu'il veut au drapeau. » En clair, pour ce professeur proche du Parti travailliste : la campagne « Raise the Colours » a fait long feu : « Je pense que les groupes d'extrême droite espéraient susciter des réactions de la part de la gauche, qu'elle demanderait le retrait des drapeaux. Ce qui aurait permis à ces groupes de se présenter comme les seuls patriotes. Ça n'a pas fonctionné. » Certains poseurs de drapeaux encourent aujourd'hui des poursuites pour dégâts criminels, après avoir tagué la croix de saint Georges sur des ronds-points et aux abords de mosquées. À lire aussiIrlande: importé du Royaume-Uni, le mouvement «hisser les couleurs» interpelle
Royaume-Uni : mobilisation historique de l'extrême droite dans les rues de Londres Robert Redford, icône du cinéma et artiste engagé La Cour des comptes, très critique à l'égard de la gratuité du transport public Sébastien Lecornu met fin aux « avantages à vie » des anciens membres du gouvernement Brigitte Macron fournira des « preuves scientifiques » à la justice américaine pour démontrer qu'elle est bien née femme
Emmanuel Macron est attendu ce soir à la tribune de l'ONU pour un discours qui fera date au cours duquel le Président français doit annoncer la reconnaissance par son pays de l'Etat de Palestine. Dans le sillage du Royaume-Uni, du Canada et de l'Australie hier dimanche. Au total ce sont plus de 145 Etats membres de l'ONU qui ont franchi le pas. Comment ces initiatives peuvent-elles se traduire ? Quel est l'état des opinions ? Quels sont les freins qui perdurent ? Pour en débattre Insaf REZAGUI, docteure en droit international de l'Université Paris cité, membre du collectif Yaani, elle a coordonné le dernier numéro de la revue Recherches internationales sur le droit international et la Palestine David Rigoulet-Roze, rédacteur en chef de la revue Orients stratégiques, spécialiste du Moyen-Orient, chercheur à l'Institut français d'analyse stratégiques(IFAS) Yves Bertoncini, enseignant au Corps des Mines et à l'ESCP business school, consultant en Affaires européennes
Ces derniers jours ont été marqués par des reconnaissances en cascade d'un État palestinien. La France, le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie, le Portugal notamment ont franchi le cap, comme 150 autres pays. Point d'orgue de cette séquence : le discours du président français Emmanuel Macron à la tribune de l'ONU. Pendant ce temps-là, Israël poursuit une guerre sanglante à Gaza ainsi que la colonisation en Cisjordanie. La reconnaissance d'un État de Palestine est-elle d'abord un rejet de la politique israélienne ? Quelles conséquences ? Les opinions sont-elles en adéquation avec les dirigeants ? Qu'est-ce qui pourrait infléchir Israël ? Pour en débattre - Sylvaine Bulle, sociologue, chercheuse à l'École des Hautes Études en Sciences sociales, autrice du livre à paraitre Israël après le 7 octobre une société fragmentée, éditions Presses universitaires de France - Rina Bassist, correspondante de la radio israélienne à Paris et rédactrice au journal Al-Monitor - Alain Dieckhoff, sociologue, directeur recherche au Centre de recherches Internationales de Sciences Po, auteur de l'ouvrage Israël-Palestine : une guerre sans fin ? éditions Armand Colin.
Ces derniers jours ont été marqués par des reconnaissances en cascade d'un État palestinien. La France, le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie, le Portugal notamment ont franchi le cap, comme 150 autres pays. Point d'orgue de cette séquence : le discours du président français Emmanuel Macron à la tribune de l'ONU. Pendant ce temps-là, Israël poursuit une guerre sanglante à Gaza ainsi que la colonisation en Cisjordanie. La reconnaissance d'un État de Palestine est-elle d'abord un rejet de la politique israélienne ? Quelles conséquences ? Les opinions sont-elles en adéquation avec les dirigeants ? Qu'est-ce qui pourrait infléchir Israël ? Pour en débattre - Sylvaine Bulle, sociologue, chercheuse à l'École des Hautes Études en Sciences sociales, autrice du livre à paraitre Israël après le 7 octobre une société fragmentée, éditions Presses universitaires de France - Rina Bassist, correspondante de la radio israélienne à Paris et rédactrice au journal Al-Monitor - Alain Dieckhoff, sociologue, directeur recherche au Centre de recherches Internationales de Sciences Po, auteur de l'ouvrage Israël-Palestine : une guerre sans fin ? éditions Armand Colin.
À peine désigné, le Premier ministre français Sébastien Lecornu l'a dit : il envisage un retour du service militaire, sur la base du volontariat. À ce stade, il ne s'agit que d'un projet flou : rien d'autre n'a été précisé. Il n'empêche, c'est une idée partagée par plusieurs pays européens : la Pologne, la Belgique, le Royaume-Uni ... et même l'Allemagne, qui a pourtant mis fin à la conscription, il y a à peine 15 ans. Le cas minoritaire de la Grèce Dans le pays, la question d'un retour de la conscription ne se pose pas : le service militaire n'a jamais cessé d'être obligatoire. À partir de 19 ans, les jeunes hommes ont le devoir de l'accomplir, généralement pour une durée d'un an. Une quasi-exception en Europe, qui s'explique par les relations tumultueuses avec le voisin turc. Alors, par conviction ou par obligation, les jeunes conscrits grecs se prêtent à l'exercice. Reportage, Joël Bronner. Dans les vallées calcinées d'Espagne, la colère de la population 380.000 hectares, réduits à l'état de poussière en quelques semaines. En Espagne, et particulièrement en Galice, les incendies de cet été ont dévasté des milliers de kilomètres carrés de terrain et de forêts. Et il aura fallu plusieurs semaines aux pompiers pour parvenir à canaliser les flammes. Les températures caniculaires ont vite été désignées comme coupables : l'été 2025 a été le plus chaud jamais enregistré dans le pays. Mais pour la population de ces zones rurales, il faut surtout blâmer les autorités, et le manque d'entretien des forêts. Elise Gazengel. La chronique musicale de Vincent Théval Achilles, du groupe nord-irlandais The Divine Comedy.
Emmanuel Macron est attendu ce soir à la tribune de l'ONU pour un discours qui fera date au cours duquel le Président français doit annoncer la reconnaissance par son pays de l'Etat de Palestine. Dans le sillage du Royaume-Uni, du Canada et de l'Australie hier dimanche. Au total ce sont plus de 145 Etats membres de l'ONU qui ont franchi le pas. Comment ces initiatives peuvent-elles se traduire ? Quel est l'état des opinions ? Quels sont les freins qui perdurent ? Pour en débattre Insaf REZAGUI, docteure en droit international de l'Université Paris cité, membre du collectif Yaani, elle a coordonné le dernier numéro de la revue Recherches internationales sur le droit international et la Palestine David Rigoulet-Roze, rédacteur en chef de la revue Orients stratégiques, spécialiste du Moyen-Orient, chercheur à l'Institut français d'analyse stratégiques(IFAS) Yves Bertoncini, enseignant au Corps des Mines et à l'ESCP business school, consultant en Affaires européennes
À peine désigné, le Premier ministre français Sébastien Lecornu l'a dit : il envisage un retour du service militaire, sur la base du volontariat. À ce stade, il ne s'agit que d'un projet flou : rien d'autre n'a été précisé. Il n'empêche, c'est une idée partagée par plusieurs pays européens : la Pologne, la Belgique, le Royaume-Uni ... et même l'Allemagne, qui a pourtant mis fin à la conscription, il y a à peine 15 ans. Le cas minoritaire de la Grèce Dans le pays, la question d'un retour de la conscription ne se pose pas : le service militaire n'a jamais cessé d'être obligatoire. À partir de 19 ans, les jeunes hommes ont le devoir de l'accomplir, généralement pour une durée d'un an. Une quasi-exception en Europe, qui s'explique par les relations tumultueuses avec le voisin turc. Alors, par conviction ou par obligation, les jeunes conscrits grecs se prêtent à l'exercice. Reportage, Joël Bronner. Dans les vallées calcinées d'Espagne, la colère de la population 380.000 hectares, réduits à l'état de poussière en quelques semaines. En Espagne, et particulièrement en Galice, les incendies de cet été ont dévasté des milliers de kilomètres carrés de terrain et de forêts. Et il aura fallu plusieurs semaines aux pompiers pour parvenir à canaliser les flammes. Les températures caniculaires ont vite été désignées comme coupables : l'été 2025 a été le plus chaud jamais enregistré dans le pays. Mais pour la population de ces zones rurales, il faut surtout blâmer les autorités, et le manque d'entretien des forêts. Elise Gazengel. La chronique musicale de Vincent Théval Achilles, du groupe nord-irlandais The Divine Comedy.
durée : 00:11:08 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Le 1er Septembre 1939, le Reich a lâché ses panzers sur la Pologne. Côté français, le même jour, le Président du Conseil, Edouard Daladier, a ordonné la mobilisation générale et le 3, se conformant à ses engagements, la France conjointement au Royaume-Uni, a déclaré la guerre à l'Allemagne... - invités : Fabrice Grenard - Fabrice Grenard : Historien, directeur scientifique de la Fondation de la Résistance - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:31 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La France, la Belgique, le Royaume-Uni, le Canada notamment viennent de reconnaître l'Etat de Palestine, avec l'espoir d'en finir avec la guerre à Gaza. Mais l'enclave palestinienne est toujours en proie à la faim, aux bombardements et de plus en plus livrée aux milices. A quel prix ?
Après la visite d'Etat fastueuse de Donald Trump au Royaume-Uni, l'heure est au décryptage. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invité Nicolas Madelaine font le bilan de ce voyage qui, sous l'apparat, fut l'occasion d'importantes tractations.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en septembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Nicolas Madelaine (correspondant des « Echos » à Londres). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Yui Mok/Pool via REUTERS. Sons : ArtIss22 « Freaky Trap », APT, France 24, Euronews, NBC News, CNN, Arte. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(00:00:42) Que change la reconnaissance de la Palestine? (00:07:03) Les médecins étrangers, derniers témoins à Gaza (00:12:33) La tapisserie de Bayeux, fil tendu entre la France et le Royaume-Uni
Deux aéroports, celui d'Oslo et Copenhague, fermés plusieurs heures hier soir en raison de drones suspects. La semaine dernière, des avions de chasse russes dans le ciel estonien, sans compter la vingtaine de drones russes qui ont survolé la Pologne, il y a dix jours... Ces violations aériennes répétées alimentent la tension en Europe et au sein de l'Otan qui a appelé à la désescalade. Dans l'est de la Pologne, la petite ville de Chelm, située à 25 kilomètres de la frontière ukrainienne, se remet à peine de la frayeur. Et aujourd'hui, les habitants dénoncent surtout le manque d'informations et de préparation face à ce type de menace. C'est le reportage d'Adrien Sarlat. Les mines antipersonnel C'est l'une des conséquences de l'invasion russe en Ukraine. Depuis le début de l'année, six pays européens se sont retirés de la Convention sur l'interdiction des mines antipersonnel. La Pologne, les trois pays baltes, la Finlande et l'Ukraine invoquent l'autodéfense face à la Russie qui n'a jamais signé cette convention. C'est dans ce contexte qu'un ancien fabricant de mines antipersonnel, sort son autobiographie... Celle d'un parcours de la rédemption... de la fabrication d'armes jusqu'au militantisme contre le réarmement. Son titre «J'étais un homme de la guerre». Cécile Debarge, l'une de nos correspondantes en Italie est allée rencontrer son auteur. L'extrême droite roumaine s'immisce dans les élections moldaves Petit pays, situé entre l'Ukraine et la Roumanie, soumis à une intense propagande russe, la Moldavie se prépare à des élections législatives ce week-end qui seront scrutées de très près. La présidente pro-européenne Maia Sandu, et son parti PAS risquent de ne pas obtenir la majorité. Elle fait face à une vaste campagne d'influence anti-occidentale sur les réseaux sociaux... Mais derrière cette campagne, on ne trouve pas que la Russie, de l'autre côté de la frontière l'extrême droite roumaine est également très active pour discréditer le pouvoir en place. C'est le reportage de notre correspondante à Bucarest, Marine Leduc. Un leader écologiste atypique Et on terminera cette émission avec un portrait, celui du nouveau patron des Verts au Royaume-Uni... un petit parti qui n'a que 4 députés à Westminster. Mais en prenant pour leader Zach Polanski, la formation écologiste espère bien engranger de nouveaux soutiens grâce à un profil très atypique, voire très marketing. Son portrait signé Marie Billon.
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a promis de riposter à la décision de la France et d'autres pays, notamment le Royaume-Uni et le Canada, de reconnaître un Etat palestinien. « Aucun Etat palestinien ne verra le jour à l'ouest du Jourdain. Nous avons doublé les implantations juives en Judée-Samarie [nom donné par Israël à la Cisjordanie] et nous continuerons sur cette voie », a-t-il déclaré dans une vidéo publiée dimanche 21 septembre.La population de colons israéliens y croît en effet sans discontinuer depuis cinquante ans, un phénomène qui s'est accentué depuis les attaques du Hamas du 7 octobre 2023. L'objectif du gouvernement israélien est clair : entraver la continuité territoriale entre les centres urbains palestiniens, et donc empêcher, de fait, la création d'un Etat palestinien.Comment les Israéliens procèdent-ils pour annexer, morceau par morceau, la Cisjordanie ? Comment les Palestiniens y vivent-ils aujourd'hui ? Et de quelle manière la guerre à Gaza a-t-elle dégradé leurs conditions d'existence ? Raphaëlle Rérolle, grande reporter au Monde, de retour de reportage en Cisjordanie, répond à ces questions dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde ».Un épisode de Garance Muñoz, réalisé par Amandine Robillard et Thomas Zeng. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extrait d'une prise de parole du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, le 21 septembre 2025 ; de l'émission C dans l'air, diffusée sur France 5 le 22 août 2025 ; d'un reportage diffusé au journal télévisé de France 2, le 26 octobre 2023 (archive INA) ; d'une prise de parole d'Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, le 10 septembre 2025.Cet épisode a été publié le 23 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Deux aéroports, celui d'Oslo et Copenhague, fermés plusieurs heures hier soir en raison de drones suspects. La semaine dernière, des avions de chasse russes dans le ciel estonien, sans compter la vingtaine de drones russes qui ont survolé la Pologne, il y a dix jours... Ces violations aériennes répétées alimentent la tension en Europe et au sein de l'Otan qui a appelé à la désescalade. Dans l'est de la Pologne, la petite ville de Chelm, située à 25 kilomètres de la frontière ukrainienne, se remet à peine de la frayeur. Et aujourd'hui, les habitants dénoncent surtout le manque d'informations et de préparation face à ce type de menace. C'est le reportage d'Adrien Sarlat. Les mines antipersonnel C'est l'une des conséquences de l'invasion russe en Ukraine. Depuis le début de l'année, six pays européens se sont retirés de la Convention sur l'interdiction des mines antipersonnel. La Pologne, les trois pays baltes, la Finlande et l'Ukraine invoquent l'autodéfense face à la Russie qui n'a jamais signé cette convention. C'est dans ce contexte qu'un ancien fabricant de mines antipersonnel, sort son autobiographie... Celle d'un parcours de la rédemption... de la fabrication d'armes jusqu'au militantisme contre le réarmement. Son titre «J'étais un homme de la guerre». Cécile Debarge, l'une de nos correspondantes en Italie est allée rencontrer son auteur. L'extrême droite roumaine s'immisce dans les élections moldaves Petit pays, situé entre l'Ukraine et la Roumanie, soumis à une intense propagande russe, la Moldavie se prépare à des élections législatives ce week-end qui seront scrutées de très près. La présidente pro-européenne Maia Sandu, et son parti PAS risquent de ne pas obtenir la majorité. Elle fait face à une vaste campagne d'influence anti-occidentale sur les réseaux sociaux... Mais derrière cette campagne, on ne trouve pas que la Russie, de l'autre côté de la frontière l'extrême droite roumaine est également très active pour discréditer le pouvoir en place. C'est le reportage de notre correspondante à Bucarest, Marine Leduc. Un leader écologiste atypique Et on terminera cette émission avec un portrait, celui du nouveau patron des Verts au Royaume-Uni... un petit parti qui n'a que 4 députés à Westminster. Mais en prenant pour leader Zach Polanski, la formation écologiste espère bien engranger de nouveaux soutiens grâce à un profil très atypique, voire très marketing. Son portrait signé Marie Billon.
L'émission 28 minutes du 23/09/2025 Le cécifoot comme lumière : la renaissance d'Hakim ArezkiLe 7 septembre 2024, Hakim Arezki marque, de son pied droit, le premier tir au but de l'équipe de France de cécifoot en finale des Jeux Paralympiques, à Paris, au pied de la Tour Eiffel. Ce même pied qui a failli être amputé 23 ans plus tôt. En 2001, le jeune Hakim participe à une manifestation pacifique en Kabylie pour la défense de la langue et de l'identité berbère. Il reçoit deux balles dans le corps : une dans le tendon d'Achille, une autre sous le crâne. La deuxième le rendra aveugle en sectionnant neuf nerfs optiques. Son père, qui vit en région parisienne, le retrouve en Algérie et parvient à l'évacuer en cachette pour le faire hospitaliser en France. Dans sa biographie “Renaître dans la nuit” (XO éditions), il revient sur sa traversée du désert qui dura deux ans, d'hôpital en hôpital, d'opérations en opérations, l'acceptation de son nouveau handicap puis, enfin, sa reconstruction progressive. Reconnaissance de l'État de Palestine : chemin vers la paix ou voie sans issue ? “Le temps est venu de faire la paix”, a déclaré Emmanuel Macron dans l'enceinte des Nations unies le 22 septembre. Un discours d'un peu plus de 20 minutes durant lequel il a reconnu l'État palestinien. Quelques applaudissements ont accompagné cette annonce prononcée devant deux chaises ostensiblement vides : celles des représentants d'Israël et des États-Unis. La veille, le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie et le Portugal ont également reconnu officiellement cet État. Aujourd'hui, ils sont 158 pays sur les 193 membres de l'ONU à l'avoir fait. “Ils reconnaîtront un État palestinien sur le papier et nous construirons ici l'État juif israélien sur le terrain. Le papier sera jeté à la poubelle de l'histoire et l'État d'Israël prospérera et fleurira”, avait déjà prévenu le ministre israélien de la Défense, Israël Katz. La probabilité d'une annexion totale de la Cisjordanie par Israël est toujours d'actualité. Les États-Unis sont le seul pays du Conseil de sécurité de l'ONU a ne pas reconnaître l'État palestinien. Donald Trump s'exprime aujourd'hui aux Nations unies pour s'en prendre aux pays qui ont choisi de reconnaître la Palestine. Il doit, dans le même temps, rencontrer les dirigeants des pays arabes pour évoquer son propre plan, celui d'une Riviera à Gaza. On en débat avec Dominique Eddé, romancière et essayiste libanaise, David Khalfa, co-directeur de l'Observatoire du Moyen-Orient de la Fondation Jean-Jaurès et Arancha González, ancienne ministre espagnole des Affaires étrangères dans le gouvernement de Pedro Sanchez (2020-2021).Enfin, Xavier Mauduit revient sur les travaux de la nouvelle salle de bal de la Maison Blanche qui viennent de débuter, rappelant l'époque du “Gilded Age”. Marie Bonnisseau nous présente un nouveau produit d'hygiène : le déodorant pour tout le corps, créé par un gynécologue américain qui voyait ses patients s'inquiéter de l'odeur de leurs parties intimes. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 23 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 23/09/2025 Reconnaissance de l'État de Palestine : chemin vers la paix ou voie sans issue ? “Le temps est venu de faire la paix”, a déclaré Emmanuel Macron dans l'enceinte des Nations unies le 22 septembre. Un discours d'un peu plus de 20 minutes durant lequel il a reconnu l'État palestinien. Quelques applaudissements ont accompagné cette annonce prononcée devant deux chaises ostensiblement vides : celles des représentants d'Israël et des États-Unis. La veille, le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie et le Portugal ont également reconnu officiellement cet État. Aujourd'hui, ils sont 158 pays sur les 193 membres de l'ONU à l'avoir fait. “Ils reconnaîtront un État palestinien sur le papier et nous construirons ici l'État juif israélien sur le terrain. Le papier sera jeté à la poubelle de l'histoire et l'État d'Israël prospérera et fleurira”, avait déjà prévenu le ministre israélien de la Défense, Israël Katz. La probabilité d'une annexion totale de la Cisjordanie par Israël est toujours d'actualité. Les États-Unis sont le seul pays du Conseil de sécurité de l'ONU a ne pas reconnaître l'État palestinien. Donald Trump s'exprime aujourd'hui aux Nations unies pour s'en prendre aux pays qui ont choisi de reconnaître la Palestine. Il doit, dans le même temps, rencontrer les dirigeants des pays arabes pour évoquer son propre plan, celui d'une Riviera à Gaza. On en débat avec Dominique Eddé, romancière et essayiste libanaise, David Khalfa, co-directeur de l'Observatoire du Moyen-Orient de la Fondation Jean-Jaurès et Arancha González, ancienne ministre des Affaires étrangères en Espagne (2020-2021).28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 23 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
durée : 00:11:08 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Le 1er Septembre 1939, le Reich a lâché ses panzers sur la Pologne. Côté français, le même jour, le Président du Conseil, Edouard Daladier, a ordonné la mobilisation générale et le 3, se conformant à ses engagements, la France conjointement au Royaume-Uni, a déclaré la guerre à l'Allemagne... - invités : Fabrice Grenard - Fabrice Grenard : Historien, directeur scientifique de la Fondation de la Résistance - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 22 septembre 2025 - Etat palestinien: Macron dit oui... Trump dit nonQuelques mots du président de la République ce soir à la tribune des Nations unies, à New York, suffiront pour que la reconnaissance d'un État palestinien par la France soit effective. Ce lundi 22 septembre, Paris et Riyad vont coprésider le sommet en faveur de la mise en œuvre de la solution à deux États à l'Assemblée générale de l'ONU, où la France va officiellement reconnaître l'État de Palestine, en pleine guerre entre Israël et le Hamas.Il s'agit d'une promesse vieille de quarante ans, réitérée par tous les présidents depuis François Mitterrand. Mais c'est finalement Emmanuel Macron qui devrait franchir le pas à 21 heures (heure de Paris), au terme d'un processus accéléré ces derniers mois, embarquant avec lui plusieurs autres pays, dont le Royaume-Uni et le Canada.Cette reconnaissance a une portée très symbolique, mais les effets concrets, comme l'ouverture d'une ambassade, n'auront lieu qu'après la libération des otages à Gaza, et uniquement à cette condition, a indiqué Emmanuel Macron lors d'une interview sur la chaîne américaine CBS. Dans cet entretien, le chef de l'État a expliqué que les Palestiniens « veulent une nation, ils veulent un État, et nous ne devons pas les pousser vers le Hamas. Si nous ne leur offrons pas de perspective politique et une telle reconnaissance (...), ils seront coincés avec le Hamas comme unique solution. (…) Si nous voulons isoler le Hamas, le processus de reconnaissance et le plan de paix qui l'accompagne sont une précondition », a-t-il ajouté.Moteur de ce nouvel élan, Paris a déjà réussi à faire approuver, par une très large majorité (142 voix pour, 10 contre et 12 abstentions), la « déclaration de New York ». Il s'agit d'un texte préalable à la reconnaissance de la Palestine, élaboré par la France et l'Arabie saoudite, pour une solution à deux États excluant sans équivoque le Hamas de l'équation, et appelant à la libération des otages.Le président palestinien Mahmoud Abbas, qui doit s'exprimer au sommet par vidéo, car privé de visa par les États-Unis, a salué les nouvelles reconnaissances comme « un pas important et nécessaire vers la concrétisation d'une paix juste et durable ».Benyamin Netanyahou, de son côté, a réaffirmé dimanche 21 septembre qu'il n'y aura pas d'État palestinien, dans une vidéo adressée aux dirigeants occidentaux ayant reconnu cet État. Le Premier ministre israélien a par ailleurs affirmé qu'Israël allait étendre encore la colonisation en Cisjordanie occupée. Les États-Unis, principal allié d'Israël, se sont clairement opposés à ce processus de reconnaissance, ne jugeant pas l'Autorité palestinienne comme un partenaire crédible pour la paix. « Nous continuons à privilégier une diplomatie sérieuse plutôt que des mouvements pour la galerie. Nos priorités sont claires : la libération des otages, la sécurité d'Israël, ainsi que la paix et la prospérité pour toute la région, qui ne peuvent être garanties qu'en l'absence du Hamas », aurait déclaré un porte-parole du département d'État, sous couvert d'anonymat.Dans ce contexte, le discours de Donald Trump à la tribune de l'ONU ce mardi est très attendu.LES EXPERTS :- ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - PATRICIA ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales - JAMES ANDRÉ - Grand reporter - France 24
durée : 00:05:24 - La BO du monde - Face au drame de Gaza, les artistes britanniques multiplient les initiatives. Concert caritatif à Wembley, mouvement de boycott d'Israël... De Massive Attack à Radiohead, les plus grands noms de la musique outre-Manche se retrouvent au cœur d'un débat politique brûlant. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
De la prudence, des interrogations et même du scepticisme… Dans la presse africaine ce matin, la reconnaissance de la Palestine par le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie et le Portugal, beaucoup de questions subsistent : « Cette reconnaissance va-t-elle faire bouger les lignes ? Rien n'est moins sûr », commente notamment au Burkina Faso, le journal Le Pays dans ses colonnes édito. L'un des points soulevés est la place de Washington sur l'échiquier géopolitique : « Tant que le pays de l'Oncle Sam continuera de mettre Israël sous son parapluie, il ne faut pas rêver d'une solution à deux États dans cette partie du monde. (…) Du reste, on est fondé à croire que l'action des dix pays occidentaux, vise à se donner bonne conscience. En tout cas, elle est loin d'être sincère car, nombre parmi ces pays, à commencer par la France, soutenaient ouvertement Israël dans sa folie meurtrière dans la bande de Gaza. Si ce n'est pas de l'hypocrisie, cela y ressemble fort », peut-on lire. Et si la grande majorité des pays africains a reconnu l'État palestinien dès 88, après la déclaration d'indépendance de la Palestine par l'OLP de Yasser Arafat, aujourd'hui « Ils ont beau crier leur ras-le-bol, leur voix reste inaudible. Le seul pays dont l'action a secoué l'Israël, c'est l'Afrique du Sud qui avait saisi la Cour internationale de justice. Mais la suite, on la connaît. Le pays de Cyril Ramaphosa a été sanctionné plus tard par le président américain... » Dans le journal du Niger, la reconnaissance de la Palestine par le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie et le Portugal est un événement diplomatique majeur. Le média souligne « une décision prise sous le poids des victimes et de la pression internationale », après deux ans de guerre à Gaza et rappelle que des organisations comme Amnesty International ont accusé Israël de crimes de guerre, ce qui accentue l'urgence d'une action diplomatique. Le soutien historique de l'Afrique à la Palestine La presse met aussi en avant le lien particulier entre l'Afrique et la Palestine, tout comme son soutien historique. Une mise en relief nécessaire : avec 52 pays sur 54 ayant officiellement reconnu l'État palestinien (les exceptions sont le Cameroun et l'Érythrée) « L'Afrique est le principal soutien diplomatique du peuple palestinien sur la scène internationale », déclare le média Sénégalais Sénéplus. « Cette cohésion remarquable ne relève pas du hasard. Elle puise ses racines dans l'histoire commune des luttes anticoloniales et anti-impérialistes qui ont marqué le XXe siècle. Les peuples africains, ayant vécu l'expérience de la domination coloniale, reconnaissent dans le combat palestinien un écho de leurs propres luttes pour l'indépendance et la dignité », peut-on lire. Alors que l'Afrique du Sud a saisi dès le mois de Décembre 2023 la CIJ - l'organe judiciaire des Nations unies. Le média Sénéplus y analyse aussi une « continuité historique, la détermination du continent à porter la voix palestinienne dans les instances internationales ». La Guinée après le référendum constitutionnel Oui, avec cette question « Le vote et après » ? C'est même le titre d'un Edito dans le média guinéen ledjely... D'après ce dernier « On s'achemine vers le retour à l'ordre constitutionnel. Car même si l'on n'a encore aucun résultat, l'approbation de la nouvelle Constitution ne fait l'ombre d'aucun doute ». Le journal guinéen rappelle aussi un contexte de suspension des principaux partis politiques du pays « le "Oui" est assuré de l'emporter » déclare-t-il. « D'autant que les partisans de cette tendance sont les seuls à avoir battu campagne au cours des trois dernières semaines. Ainsi donc, (…) on scrutera tout particulièrement le taux de participation. Celui-ci se révélant pertinent en raison de l'appel au boycott lancé par Cellou Dalein Diallo, Alpha Condé et Sidya Touré, à la veille du scrutin ». « Mais plus que ces réformes, ce qui intrigue, c'est que la nouvelle Constitution n'aborde pas la question de la candidature des militaires. Et comme on le sait, ce qui n'est pas interdit par la loi, est autorisé », commente l'observateur Paalga. Le média du Burkina Faso - pays dirigé par des militaires - précise que « selon les spécialistes de la scène politique guinéenne... la candidature du général Mahamadi Doumbouya ne fait plus de mystère ».
Dix pays, dont la France, le Royaume-Uni, le Canada et l'Australie, ont annoncé reconnaître l'État palestinien. Emmanuel Macron s'exprimera ce soir à la tribune de l'Assemblée générale des Nations unies, à New York. Israël réagit vivement et envisage de fermer le consulat français à Jérusalem. Washington, opposé à cette reconnaissance, tente d'en limiter la portée diplomatique.
Aux côtés de la France, le Royaume-Uni et le Portugal ont décidé hier (21 septembre 2025) de sauter le pas, alors que s'ouvre aujourd'hui la 80ème session de l'Assemblée Générale des Nations unies. Le sujet ne fait pas l'unanimité en Europe... où l'on compte des pionniers comme la Suède qui, dès 2014, a reconnu la Palestine, sans oublier les pays de l'ancien bloc soviétique... L'Espagne se présente aujourd'hui comme un des fers de lance de la cause palestinienne. Dès 2024, Madrid a pris position. Portée par une opinion publique très engagée qui a même fait dérailler, cette année, la dernière étape de la course cycliste de la Vuelta pour porter son message. Avec le soutien du Premier ministre. Diane Cambon a rencontré des militants très offensifs lors des fêtes d'Oviedo au nord-ouest de l'Espagne. Au Royaume-Uni une démarche historique Et après des années d'hésitation, le Royaume-Uni a finalement annoncé hier (21 septembre 2025) la reconnaissance de la Palestine. Une décision à la portée historique quand on sait que Londres est à l'origine de la déclaration Balfour de 1917 en faveur de la création d'Israël. À Londres, Marie Billon. Le Kosovo, un État à majorité musulmane, proche d'Israël Petit État au sud de la Serbie qui n'est reconnu que par 110 États dans le monde, il sait qu'il doit sa survie aux États-Unis... d'où son alignement pro-israélien. D'autant que son ennemi, la Serbie, est historiquement proche de la Palestine. Mais cet engagement est de moins en moins accepté par la population. Les explications de notre correspondant à Pristina, Louis Seiller. La communauté turque d'Alsace au musée Donner une place dans un musée d'histoire régional, à l'histoire des populations issues de l'immigration, c'est la nouvelle direction que s'est donnée le musée alsacien de Strasbourg en pleine rénovation. Il s'est lancé dans une vaste collecte d'objets du quotidien de la communauté turque. Très présente dans l'Est de la France... Reportage signé Wyloën Munhoz-Boillot.
Aux côtés de la France, le Royaume-Uni et le Portugal ont décidé hier (21 septembre 2025) de sauter le pas, alors que s'ouvre aujourd'hui la 80ème session de l'Assemblée Générale des Nations unies. Le sujet ne fait pas l'unanimité en Europe... où l'on compte des pionniers comme la Suède qui, dès 2014, a reconnu la Palestine, sans oublier les pays de l'ancien bloc soviétique... L'Espagne se présente aujourd'hui comme un des fers de lance de la cause palestinienne. Dès 2024, Madrid a pris position. Portée par une opinion publique très engagée qui a même fait dérailler, cette année, la dernière étape de la course cycliste de la Vuelta pour porter son message. Avec le soutien du Premier ministre. Diane Cambon a rencontré des militants très offensifs lors des fêtes d'Oviedo au nord-ouest de l'Espagne. Au Royaume-Uni une démarche historique Et après des années d'hésitation, le Royaume-Uni a finalement annoncé hier (21 septembre 2025) la reconnaissance de la Palestine. Une décision à la portée historique quand on sait que Londres est à l'origine de la déclaration Balfour de 1917 en faveur de la création d'Israël. À Londres, Marie Billon. Le Kosovo, un État à majorité musulmane, proche d'Israël Petit État au sud de la Serbie qui n'est reconnu que par 110 États dans le monde, il sait qu'il doit sa survie aux États-Unis... d'où son alignement pro-israélien. D'autant que son ennemi, la Serbie, est historiquement proche de la Palestine. Mais cet engagement est de moins en moins accepté par la population. Les explications de notre correspondant à Pristina, Louis Seiller. La communauté turque d'Alsace au musée Donner une place dans un musée d'histoire régional, à l'histoire des populations issues de l'immigration, c'est la nouvelle direction que s'est donnée le musée alsacien de Strasbourg en pleine rénovation. Il s'est lancé dans une vaste collecte d'objets du quotidien de la communauté turque. Très présente dans l'Est de la France... Reportage signé Wyloën Munhoz-Boillot.
Benyamin Netanyahu poursuit son jusqu'au-boutisme au Proche-Orient. L'armée israélienne a lancé une offensive terrestre majeure à Gaza-ville visant à expugner le Hamas d'un de ses derniers grands bastions dans la bande de Gaza. Une offensive largement condamnée à l'étranger. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres déplore une situation «moralement, politiquement et légalement intolérable». L'ONU qui, justement, se prépare à un vote crucial à New York sur la reconnaissance officielle de la Palestine, perçue comme un levier de la dernière chance pour relancer une solution diplomatique à deux États, mise à rude épreuve depuis des décennies. Au sein de l'Union Européenne, l'Espagne, l'Irlande et la Slovénie ont reconnu la Palestine en 2024. D'autres pays ont annoncé qu'ils le feraient cette semaine à l'ONU. Parmi eux, des alliés indéfectibles des États-Unis comme le Canada et l'Australie ou des États disposant du droit de véto au Conseil de Sécurité comme la France et le Royaume-Uni. Invité : Adel Bakawan, sociologue. Directeur du European Institute for Studies on the Middle East and North Africa. «La décompositions du Moyen-Orient. Trois ruptures qui fait basculer l'histoire», éd. Tallandier.
durée : 00:14:55 - Journal de 12h30 - Le Royaume-Uni et le Portugal doivent reconnaître officiellement dimanche l'Etat de Palestine, malgré de fortes pressions des Etats-Unis et d'Israël, avant l'arrivée des chefs d'Etats pour la grand-messe de l'Assemblée générale de l'ONU.
durée : 00:14:55 - Journal de 12h30 - Le Royaume-Uni et le Portugal doivent reconnaître officiellement dimanche l'Etat de Palestine, malgré de fortes pressions des Etats-Unis et d'Israël, avant l'arrivée des chefs d'Etats pour la grand-messe de l'Assemblée générale de l'ONU.
C dans l'air l'invitée du 18 septembre 2025 avec Dominique de Villepin, ancien Premier ministreEmmanuel Macron a prévu d'annoncer la reconnaissance officielle de l'État de Palestine par la France devant l'Assemblée générale des Nations Unies, lundi 22 septembre. Le chef de l'Etat mise sur cet événement diplomatique de grande envergure pour donner un nouvel élan au processus de paix au Proche-Orient.Si la décision française ne dépend d'aucune instance internationale, ni d'un mécanisme législatif particulier, comme d'un vote du Parlement, elle procède néanmoins d'un effort diplomatique plus large, conjointement mené avec l'Arabie saoudite. Un texte a été rédigé, désormais connu comme la « Déclaration de New York », et constitue une feuille de route vers un retour de la paix dans la région. Ce document prévoit « un règlement juste, pacifique et durable du conflit israélo-palestinien, fondé sur la mise en œuvre effective de la solution à deux États ». La « Déclaration de New York » exclut également le Hamas des démarches diplomatiques et politiques, insistant sur la nécessité de désarmer le mouvement islamiste qui contrôle la bande de Gaza depuis 2006, et qui a perpétré les attaques terroristes du 7 octobre 2023 contre Israël. À ce jour, 148 pays membres sur 193 reconnaissent l'Etat palestinien. Avec la France et le Royaume-Uni, ce sont désormais quatre des cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies – l'organe exécutif de l'ONU -, qui valideront cette reconnaissance, la Chine et la Russie l'ayant fait dès la fin des années 1980.Dominique de Villepin, ancien Premier ministre et ancien ministre français de l'Intérieur et des Affaires étrangères, est notre invité. Il nous donnera son analyse sur le choix de la France de reconnaître un Etat palestinien lundi prochain. Il répondra aussi à nos questions sur l'actualité sociale en France, alors que des manifestations et grèves sont en cours partout en France aujourd'hui.
Dans cette édition :Les agresseurs de policiers doivent être sévèrement punis, selon le secrétaire général du ministère de l'Intérieur, alors que des policiers se mobilisent pour dénoncer la remise en liberté de suspects.La France deviendra lundi le premier pays du G7 à reconnaître un État palestinien, une décision qui vise à isoler le Hamas selon le président Macron.Les syndicats lancent un ultimatum au Premier ministre Sébastien Lecornu pour obtenir des réponses à leurs revendications, après une mobilisation de près de 500 000 personnes contre les mesures budgétaires.Un nouveau migrant a été expulsé du Royaume-Uni vers la France dans le cadre de l'accord migratoire conclu cet été entre les deux pays.Emmanuel Macron inaugure les deux tours de Notre-Dame de Paris, qui seront accessibles au public dès demain.Le mercure va grimper jusqu'à 35 degrés dans le sud-ouest, avant le retour de la pluie dimanche qui fera chuter les températures.Thierry Léger donne ses pronostics pour le quinté de ce soir à Vincennes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La suspension de l'émission de l'humoriste Jimmy Kimmel sur la chaîne ABC et les menaces que Donald Trump fait peser sur la liberté d'expression ont enflammé les Late Night Shows américains. Les humoristes se sont montrés solidaires de leur collègue, dénonçant une censure politique. « Ce soir, nous sommes tous Jimmy Kimmel », a lancé Stephen Colbert, l'animateur du Late Show. Lui aussi a été visé par la colère présidentielle : en juillet 2025, il a appris que son émission s'arrêterait l'an prochain. Libéré de toute contrainte, il n'a pas hésité à qualifier la suspension de Kimmel de « censure flagrante », ajoutant : « Avec un autocrate, on ne peut pas céder le moindre centimètre. Si ABC pense que cela va satisfaire le régime, ils sont terriblement naïfs. » Jon Stewart a choisi l'ironie pour critiquer une dérive autoritaire. Son Daily Show s'est ouvert par une voix off annonçant « le tout nouveau Daily Show approuvé par le gouvernement », présenté par le très « patriotique et obéissant » Jon Stewart. Il y avait aussi Jimmy Fallon, qui, de son côté a joué la carte de l'autocensure parodique. « Beaucoup craignent qu'on ne puisse plus dire ce qu'on pense… Moi, je vais parler de la visite de Donald Trump au Royaume-Uni, comme d'habitude », a-t-il expliqué dans son Tonight Show. Mais à chaque pique adressée au président, une voix off a effacé ses mots… pour les remplacer par des compliments. Autre figure incontournable, David Letterman, ancien animateur vedette de CBS et NBC, a dénoncé une dérive inquiétante. « On ne peut pas virer quelqu'un simplement par peur, ou pour faire allégeance à une administration autoritaire, criminelle, installée à la Maison Blanche. Ça ne marche pas comme ça », a-t-il déclaré dans une interview au magazine The Atlantic. Enfin, Seth Meyers a préféré l'humour absurde, affirmant que toute critique négative qu'on pourrait lui attribuer sur Donald Trump ne pouvait être que le produit de l'intelligence artificielle. Les Bolsonaristes courtisent les évangéliques en vue de l'élection présidentielle de 2026 à Brésil Au Brésil, une semaine après la condamnation de Jair Bolsonaro à 27 ans de prison pour tentative de coup d'État, les évangéliques restent son principal bastion de soutien. Selon un sondage Atlas, 65% d'entre eux jugent sa peine injuste. À Rio, le pasteur Silas Malafaia, surnommé le « Raspoutine de Bolsonaro », dénonce une « persécution politique et religieuse » orchestrée par la Cour suprême. Malgré l'ouverture d'une enquête contre lui et la confiscation de son passeport, il continue d'attaquer la justice dans ses cultes et sur les réseaux sociaux, où il compte plus de dix millions d'abonnés. Mais cette mobilisation ne reflète pas l'ensemble du monde évangélique, rappelle la chercheuse Magali Cunha. Si certains fidèles dénoncent une « censure » et comparent la situation actuelle à la dictature, beaucoup expriment leur lassitude face à la politisation croissante de leurs églises. Alors que Jair Bolsonaro est désormais inéligible, la bataille pour séduire l'électorat évangélique est lancée au sein de l'extrême droite, mais elle pourrait se heurter à un désenchantement grandissant. C'est un reportage de notre correspondante Sarah Cozzolino. La gastronomie haïtienne à l'honneur à Paris La semaine dernière, se tenait à Paris, sur les quais de Seine, un festival de cuisine parrainée par la cheffe Hélène Darroze. La 7ème édition du village international de la gastronomie réunit les cuisines traditionnelles de plus de 60 pays. Pour cette édition 2025, c'est le Cambodge qui était mis à l'honneur, mais la communauté haïtienne était présente pour défendre les couleurs de la culture et de la gastronomie du pays. Lila Olkinuora s'est rendue sur place. Journal de la 1ère Signature officielle du bouclier qualité-prix en Guadeloupe.
Donald Trump est en visite d'État au Royaume-Uni, accueilli avec faste par le roi Charles III au château de Windsor. Un dîner officiel est prévu ce mercredi soir, suivi d'un entretien demain avec le Premier ministre Keir Starmer à Chequers, alors qu'il fait face au scandale du limogeage de l'ambassadeur britannique aux États-Unis. En marge de cette visite, des manifestations ont lieu à Londres à l'appel du collectif Stop Trump.
Dans cette édition :Le maire de Barcelone refuse d'accueillir l'équipe cycliste israélienne Israël Premier Tech pour le départ du Tour de France, suscitant des tensions avec les organisateurs.Des étudiants juifs de la Sorbonne sont victimes d'actes antisémites, avec leur exclusion d'un groupe de discussion et la diffusion d'un sondage choquant sur les Juifs.Le gouvernement français fait face à l'opposition de 78% des Français sur la reconnaissance d'un État palestinien, alors que l'offensive israélienne se poursuit à Gaza.Le président américain Donald Trump effectue une visite d'État au Royaume-Uni, dans un contexte de sécurité renforcée après un meurtre.La France se prépare à une journée de mobilisation sociale massive jeudi, avec la crainte de débordements de la part de groupes radicaux.Le Premier ministre envisage des hausses d'impôts ciblées sur les plus hauts revenus pour consolider son socle politique.Malgré leur défaite face au Real Madrid en Ligue des Champions, les joueurs de l'Olympique de Marseille ont livré une belle prestation.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :L'accord migratoire franco-britannique entre en application avec l'arrivée du premier migrant renvoyé par le Royaume-Uni, la France proposant une aide au retour volontaire aux migrants.Les villes de Gravelines et Grande-Synthe font face à un afflux de migrants, saturant les transports en commun et perturbant la scolarité des élèves.La pétition de Philippe de Villiers pour un référendum sur l'immigration recueille près d'un million et demi de signatures.Israël annonce l'ouverture d'une nouvelle route de passage temporaire pour l'évacuation des habitants de la ville de Gaza, la France condamnant cette "campagne destructrice".Le laboratoire pharmaceutique britannique GSK va investir 30 milliards de dollars sur 5 ans aux États-Unis suite à un contrat avec Donald Trump.La France s'apprête à vivre une journée de grève massive jeudi avec des perturbations dans les transports et l'éducation, avec la crainte de la présence de black blocs violents.Le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu prépare son budget, les Républicains étant prêts à accepter des hausses d'impôts ciblées sur les plus riches.Le PSG affronte Bergame en Ligue des champions, privé de plusieurs joueurs blessés dont Ousmane Dembélé, favori pour le prochain Ballon d'Or.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Israël affirme avoir frappé plus de 150 cibles depuis le lancement de son opération terrestre à Gaza, dans le cadre d'une offensive militaire majeure pour anéantir les terroristes du Hamas.En France, entre 800 000 et 1 million de manifestants sont attendus dans la rue demain pour dénoncer les mesures budgétaires annoncées cet été, avec la présence de groupuscules d'ultra-gauche qui viendraient casser, selon le ministre de l'Intérieur.Le laboratoire pharmaceutique britannique GSK va investir 30 milliards de dollars sur 5 ans aux États-Unis, dans le cadre d'un premier gros contrat annoncé lors de la visite d'État de Donald Trump au Royaume-Uni.Le maire de Barcelone refuse la présence de l'équipe israélienne Premier Tech au départ du Tour de France l'été prochain, qui sera donné depuis la ville catalane, après que cette équipe a été visée à plusieurs reprises par des manifestants pro-palestiniens lors de la Vuelta.Le coût des cotisations d'assurance va de nouveau augmenter l'année prochaine pour faire face à la hausse des aléas climatiques et des émeutes, selon le patron de la Maïf.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Les syndicats appellent à une journée de mobilisation massive contre la réforme des retraites, avec des risques de débordements de la part de groupuscules d'ultra-gauche.Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, estime qu'une élection présidentielle est nécessaire pour redonner de l'espoir au pays.Donald Trump effectue une visite d'État au Royaume-Uni, marquée par des événements militaires et la signature d'un important contrat.L'armée israélienne annonce l'ouverture d'un nouvel axe pour faciliter la fuite des Gazaouis, alors qu'Emmanuel Macron envisage de reconnaître un État palestinien à l'ONU.Le principal suspect dans la disparition de la petite Maddy est libéré faute de preuves suffisantes, inquiétant le procureur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Tour de France 2026 menacé par les tensions entre Barcelone et l'équipe israélienne Israel Premier Tech, après les manifestations pro-palestiniennes lors du Tour d'Espagne.L'offensive de l'armée israélienne à Gaza pour éradiquer le Hamas, avec l'ouverture de corridors pour permettre l'évacuation des civils.Des actes d'antisémitisme signalés à la Sorbonne, avec l'exclusion d'étudiants juifs d'un groupe de discussion.La mobilisation sociale attendue le jeudi 28 septembre, avec de nombreux cortèges et perturbations prévues dans les transports et services publics.Un nouvel accord migratoire entre le Royaume-Uni et la France, qui pourrait s'avérer défavorable à la France.Hommage à l'acteur Robert Redford, décédé à l'âge de 89 ans.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Angleterre, une nouvelle drogue synthétique dans les vapoteuses inquiète. La vente des cigarettes électroniques est par ailleurs interdite aux mineurs, mais ils réussissent à s'en procurer sur les réseaux sociaux, sauf que les liquides ont parfois en plus un produit dangereux et addictif.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
[SPONSORISÉ] Cette affaire d'espionnage aurait pu mettre en péril la victoire des Alliés durant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, il a fallu attendre 2005 pour que l'on en mesure réellement l'impact. Cette année-là, au Royaume-Uni, le bureau des Affaires étrangères et du Commonwealth décide de déclassifier certains documents secrets…. Près de 60 ans en arrière, en 1943, à Ankara, en Turquie, Elyesa Bazna a profité de son statut de valet personnel de l'ambassadeur britannique pour faire sortir de l'ambassade des photographies de documents classés Top Secret. S'il fait profiter de ses trouvailles aux Allemands, ce n'est pas par fanatisme nazi.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le soutien des États-Unis à Israël, la montée du populisme au Royaume-Uni, sur les tensions dues au barrage de la Renaissance et sur l'assassinat de Charlie Kirk aux États-Unis. Les États-Unis : un soutien sans faille d'Israël au risque de froisser son allié Moins d'une semaine après l'attaque israélienne au Qatar, le secrétaire d'État américain Marco Rubio s'est rendu à Jérusalem pour réaffirmer le soutien des États-Unis à Israël. Pour quelles raisons Washington soutient autant l'État hébreu malgré le risque de tensions avec son allié qatari ? Avec Frédérique Misslin, envoyée spéciale permanente à Jérusalem Royaume-Uni : qui est Tommy Robinson, le visage de l'extrême droite ? À l'appel de Tommy Robinson, entre 110 000 et 150 000 personnes ont participé samedi à une manifestation organisée à Londres par l'extrême droite. Qui est Tommy Robinson ? Comment arrive-t-il à mobiliser autant les foules ? Cette montée du populisme peut-il pousser le Premier ministre britannique à modifier sa politique ? Avec Daniel Vallot, journaliste au service international de RFI Barrage de la Renaissance : pourquoi l'eau du Nil est source de tensions Inauguré en grande pompe par les autorités éthiopiennes, le barrage de la Renaissance suscite de vives inquiétudes en Égypte. Considérant cet ouvrage comme « une menace existentielle » pour le pays, Le Caire a écrit au Conseil de sécurité de l'ONU. Quels sont les arguments de l'Égypte ? L'Éthiopie pourrait-elle réellement priver l'Égypte d'eau ? Avec Stefanie Schüler, journaliste au service environnement de RFI Assassinat de Charlie Kirk : pourquoi la gauche américaine est-elle attaquée ? L'influenceur américain Charlie Kirk a été assassiné lors d'une conférence dans une université dans l'Utah. Il était une des voix les plus importantes de la jeunesse conservatrice américaine. Pourquoi Donald Trump et le camp MAGA accusent-ils la gauche d'être responsable de cet assassinat ? Avec Manon Lefebvre, maîtresse de conférences en Civilisation des États-Unis à l'Université Polytechnique des Hauts-de-France.
Ce jour x mois, François Sorel a reçu Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, Enguérand Renault, consultant chez Image 7 et ancien journaliste au Figaro, Cyril de Sousa Cardoso, président du groupe Polaria, cofondateur de Goria et cofondateur de la chaire Managia, et Alain Goudey, directeur général adjoint de Neoma Business School. Ils se sont penchés sur la réalisation d'un documentaire à 100 % par une IA, le dépassement du cap des 3 000 milliards de dollars en capitalisation boursière par Alphabet, l'investissement massive de Google au Royaume-Uni, ainsi que la fuite par erreur des nouvelles lunettes connectées de Meta à la veille de leur présentation, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Deuxième visite d'État pour Donald Trump au Royaume-Uni. Le président américain qui arrive ce soir, aura le droit au faste de l'apparat royal, mais aussi aux manifestations de protestation. Les sujets de discussion ne manquent pas de l'accord commercial à l'Ukraine en passant par le nucléaire, sans oublier la question de la liberté d'expression. Et la polémique est vive ! Doit-on parler d'ingérence lorsque le milliardaire Elon Musk soutient les manifestations d'extrême droite à Londres ? De son côté, l'administration américaine dénonce une liberté d'expression qui serait bafouée dans la plus vieille des démocraties... À Londres, le reportage de Marie Billon. Les entreprises européennes incitées par Washington à renoncer aux politiques inclusives On le voit, les questions sur les migrants, l'avortement, le genre mobilisent particulièrement le gouvernement Trump... Tout comme les questions de diversité... C'est par le biais des accords commerciaux que Washington espère faire pression sur les entreprises européennes. La France, l'Espagne et l'Italie ont été sommées de mettre sous le tapis toutes leurs politiques d'inclusion. Mais en Italie, où la chef du gouvernement Giorgia Meloni partage pourtant cette dénonciation du wokisme, l'appel a été peu suivi d'effet, Olivier Bonnel... Le gouvernement veut freiner le paiement en cash en Allemagne Le gouvernement allemand veut s'attaquer à une institution en Allemagne, le paiement en liquide qui concerne encore 53% des transactions, bien plus que dans le reste de l'Europe. Mais avant que la possibilité de paiement par carte ne devienne obligatoire en 2029, les freins psychologiques, mais aussi technologiques sont nombreux. À Berlin, le reportage de Salomé Hénon-Cohin. La chronique d'ENTR sur la reconnaissance des travailleuses du sexe en Belgique Décriminalisation de la prostitution, puis reconnaissance officielle des travailleurs et travailleuses du sexe, l'année dernière (2024) avec l'instauration de contrats de travail et d'assurance maladie en bonne et due forme. La Belgique est pionnière en Europe. C'est l'objet de notre chronique avec la rédaction d'Entr, un média d'information pour les jeunes Européens avec Jade Briend-Guy. ⇒ Sur Entr : « Travail du S3XE, comment la Belgique en est arrivée là ? ».
Dans cette édition :Le ministre de l'Enseignement supérieur promet la tolérance zéro après des actes antisémites à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, où des étudiants juifs ont été exclus d'un groupe de discussion.La journée de grève du 5 octobre s'annonce perturbée, avec 90% des TGV et 3 TER sur 5 qui circuleront, mais une situation beaucoup plus compliquée en Île-de-France avec un trafic limité dans le métro parisien.L'accord migratoire "One In One Out" entre la France et le Royaume-Uni entre en vigueur cette semaine, prévoyant un échange de migrants entre les deux pays.Le Rassemblement National ne s'oppose pas à l'idée d'une taxation des plus riches pour convaincre les oppositions de ne pas censurer le budget.Le Paris Saint-Germain débute sa campagne en Ligue des Champions, tandis que l'Olympique de Marseille affronte le Real Madrid, un défi colossal pour le club français.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 15 septembre 2025 - C'est un nouveau test pour la sécurité européenne. Après la Pologne, c'est au tour de la Roumanie de dénoncer une violation de son espace aérien par un drone russe. Samedi dernier, un aéronef russe a survolé l'est du pays pendant près de 50 minutes, provoquant la convocation immédiate de l'ambassadeur russe à Bucarest. La Roumanie devient ainsi le deuxième pays de l'OTAN à signaler la présence d'un drone russe, quelques jours seulement après l'incursion d'une vingtaine d'engins en Pologne.Cette série d'incidents semble clairement destinée à défier l'alliance atlantique, qui, vendredi 12 septembre, a annoncé le lancement de l'opération « Sentinelle orientale ». L'objectif ? Protéger l'espace aérien européen proche de la Russie. Plusieurs pays ont rapidement décidé de renforcer leurs moyens militaires : Paris envoie trois Rafale en Pologne, accompagnés d'une trentaine de personnels. L'Allemagne et le Royaume-Uni mobilisent leurs chasseurs Typhoon. Pour la défense sol-air, les Pays-Bas accélèrent la livraison de deux batteries de missiles Patriot.Mais cette montée en puissance coûte cher et semble mal adaptée pour contrer la menace spécifique des drones russes, souvent « low cost » et difficiles à détecter. Le débat est donc vif en Europe sur la réponse militaire à mettre en œuvre pour dissuader Moscou. D'autant que Vladimir Poutine a décidé de montrer les muscles.Depuis vendredi, la Russie et la Biélorussie ont lancé Zapad 2025, un exercice militaire conjoint d'envergure, mêlant armée de l'air, de terre et de la mer. Ces démonstrations de force inquiètent particulièrement les pays voisins de la Biélorussie, notamment la Pologne, la Lituanie et la Lettonie. Ces derniers ont renforcé leurs dispositifs de sécurité et restreint le trafic aérien dans certaines zones. Varsovie est même allée jusqu'à fermer sa frontière avec la Biélorussie pendant les manœuvres.Ces exercices, organisés tous les quatre ans, prennent cette année une importance particulière. C'est la première édition depuis le début du conflit en Ukraine. En 2021, Zapad avait déjà mobilisé environ 200 000 soldats russes, quelques mois avant l'invasion. Cette fois, la Russie a lancé un missile hypersonique Zircon et prévoit de tester des missiles Orechnik, capables d'atteindre Paris en 20 minutes.L'exercice, qui se déroule en Biélorussie mais aussi sur le territoire russe, dans les mers Baltique et de Barents, est donc particulièrement scruté. LES EXPERTS :- Général Jean-Paul PALOMÉROS - ancien chef d'état-major, et ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN- Régis GENTÉ - Journaliste-spécialiste des questions internationales, auteur de "Notre homme à Washington, Trump dans la main des Russes"- Daphné BENOIT - Cheffe du pôle international - AFP- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste – Ouest-France
C dans l'air du 11 septembre 2025 - Drones russes en Pologne : l'OTAN fait feuDans la nuit du 9 au 10 septembre, dix-neuf drones ont pénétré l'espace aérien polonais, un fait inédit pour un pays membre de l'Alliance atlantique. Des avions de chasse polonais et néerlandais ont été mobilisés et ont traqué les engins jusqu'au petit matin. Un avion-ravitailleur de l'OTAN, un avion-radar italien, ainsi qu'une batterie antiaérienne Patriot allemande ont également été déployés.Au moins trois de ces drones — des Shahed de conception iranienne, désormais produits en Russie — ont été abattus. Cette nuit a pris les allures d'un exercice grandeur nature de défense aérienne de l'OTAN… sauf que ce n'en était pas un. L'un des drones a été retrouvé à seulement 35 kilomètres de la frontière ukrainienne, un autre s'est écrasé à 130 kilomètres de Varsovie, et plusieurs ont percuté des habitations civiles.En Pologne, la population est sous le choc. Le Premier ministre, Donald Tusk, a dénoncé une « provocation » et mis en garde contre le risque d'un « conflit ouvert » avec la Russie. Il a aussitôt appelé à l'activation de l'article 4 du traité de l'Atlantique Nord, qui prévoit des consultations entre alliés en cas de menace pour l'un d'entre eux. Il a également demandé la convocation du Conseil de sécurité des Nations unies ce jeudi, afin de « porter l'attention du monde entier sur cette attaque sans précédent de drones russes ».De son côté, Moscou a nié toute intention hostile, affirmant ne pas avoir visé la Pologne. Le ministère russe de la Défense a dénoncé des « mythes » propagés par Varsovie pour justifier une escalade du conflit en Ukraine. Pourtant, 19 drones, ce n'est pas une erreur isolée. D'où l'hypothèse d'un test délibéré, destiné à jauger les capacités de réaction de l'Otan, des pays européens et des États-Unis.La réponse européenne a été immédiate. Outre la mobilisation de moyens aériens par plusieurs États membres, les représentants des cinq principales puissances européennes — Allemagne, France, Italie, Pologne et Royaume-Uni — se sont réunis mercredi à Londres pour condamner un acte « sans précédent ».Le Conseil de l'Atlantique Nord a modifié, jeudi, le format de sa réunion hebdomadaire, la tenant dans le cadre de l'article 4, comme le réclamait la Pologne. Le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, s'est félicité de la rapidité de la réponse alliée face à cette « intrusion dangereuse, intentionnelle ou non », et a adressé un avertissement clair à Moscou : « Nous défendrons chaque centimètre du territoire de l'Otan. »Mais à Kiev, le président Volodymyr Zelensky a regretté le « manque d'action » des dirigeants occidentaux. Il a estimé que la Russie n'avait pas reçu de réponse ferme, qui aurait dû, selon lui, se traduire par des mesures concrètes.Quant à Donald Trump, il a réagi via son réseau Truth Social, dans un message énigmatique, au ton presque désinvolte : « Qu'est-ce qui se passe avec la Russie qui viole l'espace aérien polonais avec des drones ? C'est parti ! », a écrit le président américain.Alors, que s'est-il passé dans le ciel polonais ? Que révèle cette incursion de drones en Pologne ? Vladimir Poutine est-il en train de tester les limites de l'Otan ? Et quelle est la situation en Ukraine ?LES EXPERTS :- Marion Van Renterghem - Grand reporter, chroniqueuse à L'Express, et spécialiste des questions européennes- Gallagher Fenwick - Journaliste, spécialiste des Etats-Unis et des relations internationales- Alain Pirot - Journaliste, documentariste, spécialiste des questions de défense- Isabelle Lasserre - Correspondante diplomatique au Figaro