Podcasts about Chinois

Conical strainer (cooking utensil)

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Chinois

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L'heure du crime
L'ENQUÊTE - Madame Zhang et Monsieur Lu : qui sont les dépeceurs du bois de Vincennes ?

L'heure du crime

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 14:20


Madame Zhang Hui et Monsieur Lu Te, un couple de Chinois installés à Paris. 31 ans tous les deux quand ils sont entrés dans la chronique criminelle. Dans leur sillage, un morbide jeu de piste, des morceaux de corps disséminés sous des arbres et dans des poubelles. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'heure du crime
L'INTÉGRALE - Madame Zhang et Monsieur Lu : les dépeceurs du bois de Vincennes

L'heure du crime

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 42:56


Madame Zhang Hui et Monsieur Lu Te, un couple de Chinois installés à Paris. 31 ans tous les deux quand ils sont entrés dans la chronique criminelle. Dans leur sillage, un morbide jeu de piste, des morceaux de corps disséminés sous des arbres et dans des poubelles. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

À la une
La GRC se méfie de ses drones chinois

À la une

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 22:59


La Gendarmerie royale du Canada limite l'usage de ses 973 drones chinois (soit 80 % de sa flotte) aux opérations non délicates, invoquant des « risques élevés pour la sécurité ». Le remplacement de ces appareils jugés à risque par la GRC coûterait plus de 30 millions $.

RTL Stories
L'Heure Du Crime - L'INTÉGRALE - Madame Zhang et Monsieur Lu : les dépeceurs du bois de Vincennes

RTL Stories

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 42:56


Madame Zhang Hui et Monsieur Lu Te, un couple de Chinois installés à Paris. 31 ans tous les deux quand ils sont entrés dans la chronique criminelle. Dans leur sillage, un morbide jeu de piste, des morceaux de corps disséminés sous des arbres et dans des poubelles. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Aujourd'hui l'économie
Le géant chinois JD.com accélère sa conquête de l'Europe via Fnac-Darty

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 3:22


Alors que le « Black Friday » bat son plein ce vendredi 28 novembre, un acteur de cet événement fait la Une de l'actualité économique. Le groupe chinois JD.com s'apprête à entrer dans le capital du groupe Fnac-Darty, via le rachat de l'actionnaire allemand Ceconomy. Une opération qui suscite l'attention de l'État et interroge sur les ambitions chinoises en Europe. C'est un gros coup pour JD.com et il est malin. Pour imposer sa présence sur le sol européen, la stratégie a été affinée. Il n'achète pas directement des actions Fnac-Darty mais s'apprête à reprendre Ceconomy, distributeur allemand et détenteur de 22% du capital du groupe français. Avec cette opération, JD.com deviendrait mécaniquement le deuxième actionnaire de Fnac-Darty, juste derrière le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky. Une arrivée qui ne passe pas inaperçue. Elle intervient alors que la France cherche déjà à endiguer la montée en puissance de plates-formes chinoises comme Shein, Temu ou AliExpress. Voir débarquer un géant du e-commerce chinois dans le capital d'un groupe culturel français déstabilise donc autant qu'elle interroge. Un actif culturel qui inquiète l'État français Le ministre de l'Économie l'a rappelé : Fnac-Darty n'est pas une enseigne comme les autres. C'est un acteur culturel majeur, ancré dans la vie quotidienne des Français, présent à la fois en ligne et dans un dense réseau de magasins. Livres, CD, produits techniques, électroménager, services. Difficile de trouver un foyer français qui n'ait jamais acheté dans l'une de ces enseignes. Pour autant, Fnac-Darty ne fait pas partie des secteurs officiellement protégés par le contrôle strict des investissements étrangers. Mais l'État a néanmoins décidé de suivre ce dossier de très près. Un accord a ainsi été conclu. JD.com devra rester un actionnaire « dormant », c'est-à-dire sans rôle dans la gestion du groupe. Également, le géant chinois s'engage à ne pas dépasser les 22% de participation, limitant ainsi toute tentative de prise de contrôle. Derrière ces conditions, une même crainte : que Fnac-Darty ne finisse, à terme, sous pavillon chinois. Une opération stratégique pour JD.com face à un marché chinois saturé Si cette actualité éveille autant d'intérêt, c'est aussi parce que JD.com cherche à s'imposer en Europe. Troisième acteur du e-commerce chinois, doté d'une excellente réputation en matière de fiabilité et de logistique, le groupe fait face à une concurrence féroce avec Alibaba ou Temu. Les marges se réduisent, le marché arrive à saturation et l'international devient une nécessité. Ces dernières années, JD.com a d'ailleurs tenté plusieurs percées en Europe, sans succès, comme le projet de rachat de la chaîne britannique Argos ou encore une tentative d'entrée au capital de Currys, autre distributeur d'électronique au Royaume-Uni. L'opération Ceconomy-Fnac-Darty constitue donc un premier pas concret, loin d'être anecdotique. Avec son expertise colossale en matière de logistique intégrée et de contrôle de la chaîne d'approvisionnement, JD.com pourrait pousser Fnac-Darty à adapter sa stratégie, notamment face à Amazon, omniprésent en Europe. Mais cette entrée au capital illustre aussi quelque chose de plus large. D'abord, la montée en puissance technologique de la Chine, la bataille logistique mondiale entre géants américains et asiatiques, la fragilité des distributeurs européens et le rôle croissant des États dans la protection de leurs entreprises.

KTOTV / L'Esprit des Lettres
L'Esprit des Lettres de novembre 2025 : Emmanuelle Delagrange, B. de Saint Germain, P. JB Edart

KTOTV / L'Esprit des Lettres

Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 90:24


Comment le diable fait-il pour nous perdre ? Comment les plus humbles font-ils pour lui échapper ? Jean-Marie Guénois interroge ses 3 invités pour comprendre un peu. Le père Jean-Baptiste Edart, doyen de la faculté de théologie de l'Université catholique de l'Ouest, spécialiste de démonologie, vient de publier « Le diable dans ses oeuvres - Comprendre l'action invisible du mal et s'en libérer » (Artège). S'appuyant sur saint Thomas d'Aquin et la psychologie cognitive contemporaine, son étude montre comment le Démon exploite les émotions et les vulnérabilités mentales, et comment son emprise empêche d'accéder à la vérité et à la conversion. Bénédicte de Saint Germain a écrit « Le club des saints minuscules, Ces gens simples qui portent l'Église », aux éditions du Cerf. Elle présente des invisibles : Christian le hippie devenu laveur d'âmes, Philothée la sacristine, Élisabeth l'infatigable bénévole, Charlotte la maman solo qui dit des chapelets, Étienne le paysan maître d'espérance... Parfois cabossés par la vie mais agrippés au manteau du Christ, ils sont là, endurants. Leur lumière chasse les ténèbres. Emmanuelle Delagrange, au Cerf, évoque une autre figure, dans « Jean de Miribel, L'aventurier de l'empire céleste ». Prêtre-ouvrier dans la France de l'après-guerre, il écouta l'appel de l'ailleurs et devint Chinois parmi les Chinois, pont entre l'Orient et l'Occident. Son idéal antidémoniaque : trouver en chacun les graines de bonté, qui étaient pour lui la marque de l'Esprit Saint. Une émission en coproduction KTO - La Procure - Le Jour du Seigneur.

Dutrizac de 6 à 9
«Les gens sont en SACRAMOUILLE!»: un Chinois a congelé sa femme… et s'en est trouvé une autre!

Dutrizac de 6 à 9

Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 12:06


L’internet chinois est déchiré par une histoire de cryogénisation! Une enquête majeure en Nouvelle-Zélande sur la disparition d’une famille durant des années. Air India ont enfin retrouvé l’un de leurs avions disparu! La mousse, une plante indestructible? As-tu vu ça? avec Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Estelle Midi
La tradition insolite du jour - Pour Élise Goldfarb : "À Noël, on mange chinois ! Pas pour la religion, mais c'est devenu une tradition : dans les années 80-90, les seuls restos ouverts le soir de Noël étaient asiatiques" - 27/11

Estelle Midi

Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 1:49


Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.

Le décryptage de David Barroux
Après 3 ans d'absence, le Salon Nautique est de retour à Paris : une bonne nouvelle

Le décryptage de David Barroux

Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 2:28


Les Italiens sont plus forts que nous sur les yachts de luxe, les Coréens et les Chinois sont les rois des gros navires mais la France, c'est le pays des paquebots de croisière mais aussi des voiliers dont nous sommes les championsMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Franck Ferrand raconte...
BONUS : Le père Jacquinot, bienfaiteur de Shanghai : ce prêtre français a protégé 300 000 civils chinois

Franck Ferrand raconte...

Play Episode Listen Later Nov 26, 2025 0:56


En 1937, alors que l'armée impériale japonaise fond sur Shanghai, un prête jésuite français, le père Jacquinot, organise une zone de refuge qui va protéger 300 000 civils chinois.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Franck Ferrand raconte...
Le père Jacquinot, bienfaiteur de Shanghai : ce prêtre français a protégé 300 000 civils chinois

Franck Ferrand raconte...

Play Episode Listen Later Nov 26, 2025 20:21


En 1937, alors que l'armée impériale japonaise fond sur Shanghai, un prête jésuite français, le père Jacquinot, organise une zone de refuge qui va protéger 300 000 civils chinois. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Focus
Shein sera-t-il suspendu en France ? La pression contre le géant chinois s'accentue

Focus

Play Episode Listen Later Nov 26, 2025 10:37


La pression s'accentue contre Shein. Après le scandale des poupées pédopornographiques mis en vente par la plateforme, le gouvernement français cherche à faire suspendre le géant du e-commerce. C'est tout l'objet du procès qui devait commencer ce mercredi 26 novembre. Dans cet épisode du Choix info RTL, nous vous racontons ce bras de fer entre le symbole de la fast-fashion et les autorités.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Afrique Économie
Libye: les deux entités gouvernementales en quête d'investisseurs à Paris

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Nov 26, 2025 2:28


La Libye est toujours divisée entre un Gouvernement d'unité nationale (GUN), installé à Tripoli, et un Gouvernement de stabilité nationale (GSL), basé à Benghazi. Pour accélérer la reconstruction libyenne, chacune des entités a créé une zone économique spéciale sur la côte méditerranéenne : celle de Misrata à l'ouest et celle de Syrte à l'est. Les représentants de ces zones franches se sont retrouvés dans la même enceinte à Paris, invités par la France à faire la promotion de la Libye auprès des entreprises françaises. C'est une première. L'événement Ambition Africa, à Paris, est sponsorisé par la « Misurata Free Zone » (zone franche de Misrata), une émanation du Gouvernement d'unité nationale (GUN) de Tripoli, en Libye. Le directeur général de cette zone franche de l'ouest libyen, Ayman Hmeida Al-Derwish, en fait la promotion auprès des investisseurs français : « Il s'agit d'une zone de 750 hectares comprenant un port et la zone d'investissement, précise-t-il. C'est l'un des plus grands ports libyens. Il reçoit près de 65% des marchandises entrant en Libye. Récemment, la zone franche de Misrata s'est tournée vers les services pétrochimiques, dans le port. » Les investisseurs y bénéficient d'une exonération totale des droits de douane et des taxes pendant la durée de leur investissement, ainsi que de la pleine propriété de l'entreprise au sein de la zone franche. L'ouest mise sur le port de Misrata, l'est sur l'aéroport de Syrte L'autorité rivale, le Gouvernement de stabilité nationale (GSL) de l'est libyen, n'est pas en reste. Le directeur de son Agence nationale de développement, Mahmud Elforjan, fait la promotion, lui, de la zone franche autour du nouvel aéroport de Syrte : « L'aéroport de Syrte est un aéroport vital au centre de la Libye, plaide-t-il. Il accueille plus de trois millions de voyageurs par an et il est situé à un point stratégique reliant l'est et l'ouest de la Libye et reliant la mer Méditerranée au cœur de l'Afrique. Les entreprises françaises sont invitées à investir et à travailler avec nous dans les domaines de la reconstruction, des infrastructures, de l'agriculture, de la logistique et du commerce, dans le cadre des nombreux projets que nous lancerons prochainement. » « Les entreprises françaises ne sont pas visibles en Libye » Pour l'heure, les investisseurs français sont largement doublés par leurs concurrents en Libye. « Tous nos concurrents y sont : les Italiens, les Allemands, les Espagnols, les Américains, les Turcs, les Égyptiens, les Chinois, etc. Les entreprises françaises ne sont pas présentes ou pas visibles en Libye, déplore Philippe Garcia, le directeur Afrique du Nord de Business France, l'agence publique chargée d'accompagner les entreprises françaises à l'étranger. Partant de ce constat, notre rôle, depuis 2023 – et on l'accentue cette année et en 2026 –, c'est de voir à quel point toutes les opportunités qu'on nous présente, à l'est comme à l'ouest, sont sérieuses, et elles le sont. Quels sont les délais de réalisation ? Quels sont les financements mis à disposition ​​​​​​​? Notre boulot, c'est aussi de dérisquer l'activité des entreprises françaises. » La division de la Libye en deux entités politiques n'est pas ou plus un problème ni pour l'ambassadeur de France, ni pour Business France, qui a signé un protocole d'accord avec les deux zones franches libyennes. L'agence française organisera également, au premier semestre 2026, un tour de France pour les importateurs libyens de biens de consommation, afin de leur faire découvrir les produits français. À lire aussiLibye: Misrata, après la guerre, les affaires

Info éco
Fnac Darty : Bercy veut un contrat de confiance de la part du chinois JD.com

Info éco

Play Episode Listen Later Nov 25, 2025 5:10


Le géant chinois du e-commerce JD.com s'apprête à devenir le deuxième actionnaire de Fnac Darty via le rachat de l'Allemand Ceconomy. Une opération indirecte qui a poussé Bercy à déclencher la procédure de contrôle des investissements étrangers. Le dossier vient d'être déposé. Entre souveraineté culturelle en France et realpolitik en Allemagne, il révèle deux visions européennes très différentes.

Journal de l'Afrique
Sommet Europe - Afrique en Angola : commerce et minerais au menu

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Nov 24, 2025 13:47


Dirigeants africains et européens sont réunis lundi en Angola pour approfondir leurs relations commerciales, discuter migrations et minerais stratégiques, à l'heure où le continent africain s'affirme comme un nouvel espace de compétition entre Américains, Chinois et Russes.

Europe 1 - Hondelatte Raconte
Keiko et Lute, les dépeceurs chinois - Le récit (2/2)

Europe 1 - Hondelatte Raconte

Play Episode Listen Later Nov 23, 2025 14:56


Le 24 mai 2012 à Paris, une nounou chinoise, Keiko, découvre dans son berceau un nourrisson décédé de ce qu'on appelle "une mort subite". Mais pourquoi…Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Europe 1 - Hondelatte Raconte
Keiko et Lute, les dépeceurs chinois - Le récit (1/2)

Europe 1 - Hondelatte Raconte

Play Episode Listen Later Nov 23, 2025 14:56


Le 24 mai 2012 à Paris, une nounou chinoise, Keiko, découvre dans son berceau un nourrisson décédé de ce qu'on appelle "une mort subite". Mais pourquoi…Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

XY Mag
L'Etat français est-il toujours souverain ?

XY Mag

Play Episode Listen Later Nov 22, 2025 12:21


L’Etat français est-il toujours souverain, c’est la question que l’on peut se poser pour plusieurs raisons. Souveraineté numérique de la France L’intégration de la France dans l’ensemble européen impose de renoncer à des compétences régaliennes. Le niveau de dette rend la politique française dépendante de ses créanciers. Mais le destin numérique de la France est-il bien protégé. Un rapport récent de la cour des comptes nous éclaire sur ce sujet. L’Etat français est-il toujours souverain On imagine que l’État protège jalousement ses données les plus sensibles, les enfermant dans des forteresses numériques impénétrables. La souveraineté numérique est devenue un mot d’ordre politique, une promesse de contrôle et d’indépendance face aux géants technologiques étrangers. Ceux que l’on nomme les GAFAM. Le paradoxe standard du marché ou souveraineté Il faut garder en tête que les standard du marché sont américains et ensuite Chinois. L’Europe arrive ensuite en ordre dispersé. Sur le plan analytique, il existe une tension concernant la politique numérique française : d’un côté, l’ambition affichée de souveraineté ; de l’autre, le besoin des administrations de disposer d’outils performants, modernes et à un coût maîtrisé. J’ajoute aussi que les agents de l’Etat veulent utiliser des outils qu’ils connaissent car ils ont été formés dessus avec ou en disposent chez eux. Bien souvent, c’est le second impératif qui l’emporte. Le cas le plus notable est celui du nouveau système d’information de ressources humaines du ministère de l’Éducation nationale, Virtuo, pour lequel le ministère a choisi une solution cloud opérée par une entreprise américaine. Ce choix a été fait en passant outre les recommandations initiales de la doctrine “Cloud au centre”, car aucune offre souveraine ne répondait aux exigences de performance et de coût. Le ministère estime a posteriori que sa décision est conforme à la version finale de la loi SREN, qui a restreint le champ d’application de l’obligation de souveraineté en exigeant non seulement que les données soient sensibles, mais aussi que leur violation présente un risque direct pour l’ordre public. Quand la loi se met elle même une balle dans le pied et fait de la vertu un vice. Circulaire Cloud au centre Revenons sur ce texte important, la circulaire cloud au centre. La doctrine « Cloud au centre » est une orientation édictée par le Premier ministre pour que les administrations privilégient les infrastructures cloud (informatique en nuage) pour leurs nouveaux projets numériques. Le cloud est appelé à devenir l'environnement par défaut de tout nouveau projet informatique de l’État. Cette doctrine est la déclinaison opérationnelle de la Stratégie nationale pour le cloud lancée en mai 2021, qui vise à encourager l’utilisation du cloud tout en assurant l’autonomie de l’État, la maîtrise de ses données et le respect des règles européennes en matière de protection des données à caractère personnel. Version de juillet 2021 : La première version de la circulaire, diffusée en juillet 2021, stipulait que toute application manipulant des données d'une sensibilité particulière, notamment les données personnelles des citoyens français, devait être hébergée sur une infrastructure souveraine. Voir mon article sur ce sujet ici Version de mai 2023 : La doctrine a été mise à jour en mai 2023 (circulaire n° 6404/SG). Cette version a restreint l'obligation de recourir à une offre souveraine, ne l’exigeant que lorsque deux critères sont cumulativement observés : Les données doivent relever de secrets protégés par la loi. Leur violation doit être susceptible « d'engendrer une atteinte à l'ordre public, à la sécurité publique, à la santé et à la vie des personnes, ou à la protection de la propriété intellectuelle ». Voilà comment faire entrer le loup dans la bergerie. Loi SREN : Ces critères cumulatifs ont été élevés au niveau législatif par l’Article 31 de la loi du 21 mai 2024 visant à sécuriser et à réguler l'espace numérique (dite loi SREN). La restriction du champ d’application de cette obligation visait notamment à consolider la doctrine sur le plan juridique en limitant les risques de recours par des opérateurs étrangers au regard des règles du marché intérieur européen et du principe de non-discrimination de l'OMC. Le Cloud de confiance et SecNumCloud Le concept de « cloud de confiance » remplace la notion initiale de « cloud souverain ». Il repose sur deux solutions jugées équivalentes en termes de sécurité pour les données sensibles : Les clouds internes de l'État (dits du 1er cercle), comme Nubo (opéré par la DGFiP) et Pi (opéré par le ministère de l'Intérieur). Les offres commerciales qualifiées SecNumCloud. La qualification SecNumCloud est un référentiel d'exigences techniques, opérationnelles et juridiques élaboré par l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi). Il garantit le plus haut niveau de sécurité pour les services de l'État et les opérateurs d'importance vitale (OIV). Un apport essentiel de ce référentiel est l’accent mis sur la souveraineté. Il garantit une immunité aux lois non européennes à portée extraterritoriale, telles que le Cloud Act ou le Foreign Intelligence Surveillance Act (Fisa) américain. Cela impose notamment que le siège social du prestataire soit situé dans l'Union européenne et qu’une entité non européenne ne détienne pas, à elle seule, plus de 24 % du capital et des droits de vote du prestataire. Les limites de la mise en œuvre Cloud au centre Malgré l’ambition politique affichée, la mise en œuvre de la doctrine « Cloud au centre » rencontre des difficultés. Bien que la commande publique en services cloud soit passée de 1 M€ en 2020 à 52 M€ en 2024, atteignant 120 M€ au total sur cette période, cela reste très modeste par rapport aux dépenses informatiques annuelles de l'État, de l'ordre de 3 Md€. De plus, le recours aux solutions qualifiées SecNumCloud induit un surcoût par rapport aux offres cloud non qualifiées, estimé entre +25 % et +40 %. Ce point est à challenger car, pour avoir fait le travail de passer tout une entreprise SECNUMCLOUD, cela à pu être fait à ISO cout en partant d’un système déjà Cloud. C’est sur que si on part de On premise, on a ce surcout. Mais on ne compare pas la même solution. Cloud au centre L'échec des clouds internes Face à la domination des géants américains, l’État a tenté de construire ses propres solutions Cloud souverain. Deux clouds interministériels ont ainsi vu le jour : Nubo, porté par le ministère des Finances, et Pi, porté par celui de l’Intérieur. L’ambition était de fournir une alternative sûre et maîtrisée pour les données les plus sensibles. La réalité est cependant bien loin des ambitions affichées. Les chiffres sont sans appel : “la part d'interministériel pour les clouds Pi et Nubo plafonne à 5 %”. En clair, ces solutions sont très peu utilisées en dehors des ministères qui les ont créées. La raison principale ? Un sous-investissement chronique. Le rapport note que Nubo a coûté 55 millions d’euros en neuf ans, une somme modeste au regard des dépenses numériques annuelles de l’État qui s’élèvent à environ 3 milliards d’euros. En conséquence, la gamme de services offerts reste limitée et la tarification est jugée inadaptée. Cet échec à attirer les utilisateurs empêche Nubo et Pi d’atteindre la “taille critique” nécessaire pour justifier de nouveaux investissements, créant ainsi un cercle vicieux de sous-performance et de sous-utilisation qui les rend non compétitifs. Peut être aussi la stratégie n’est pas bonne de vouloir créer son propose cloud plutôt qu’externaliser cela à un hyperscaler souverain qui pourra mutualiser les couts. La souveraineté SECNUMCLOUD un coût : jusqu’à 40 % plus cher Qu’est-ce qu’une solution numérique “vraiment” souveraine ? En France, le plus haut standard est défini par la qualification SecNumCloud, délivrée par l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI). Ce label garantit non seulement un très haut niveau de sécurité technique, mais aussi une immunité juridique contre les lois extraterritoriales, comme le fameux Cloud Act américain. Cette loi qui permet aux autorités américaines de contraindre les fournisseurs de services américains à livrer des données, où qu’elles soient stockées dans le monde. Services secnumcloud Cette garantie a un prix. Le rapport de la Cour des comptes met un chiffre précis sur ce coût, une donnée rarement rendue publique : le surcoût d’une infrastructure qualifiée SecNumCloud par rapport à une offre cloud traditionnelle est estimé “entre +25 et +40 %”. De nouveau, je pense que ce montant est un maximum et que en faisant appels à un hyperscaler et en optimisant, on peut le faire à iso cout. Marché public cloud Vos logiciels de bureautiques sont un enjeu stratégique majeur D’un point de vue politique, le débat sur la souveraineté devient le plus tangible lorsqu’il touche aux outils quotidiens des agents publics. Exemple très concret des suites bureautiques pour illustrer ce défi. La dépendance historique de l’administration française à la suite Microsoft Office est devenue un problème stratégique lorsque l’entreprise a commencé à pousser agressivement son offre cloud, Microsoft 365. Face à ce mouvement, la Direction interministérielle du numérique (DINUM) a demandé aux ministères de ne pas y souscrire, afin de protéger la souveraineté des communications électroniques. La réponse de l’État a été pour le moins fragmentée. D’un côté, le ministère de l’Éducation nationale, le plus grand employeur de France, a entrepris de remplacer la suite Office par une solution basée sur un logiciel libre (Collabora Online). De l’autre, la DINUM, l’autorité numérique de l’État, développe sa propre alternative (“La Suite”) en coopération avec l’Allemagne et les Pays-Bas. Cette divergence entre le plus grand ministère et l’autorité interministérielle illustre un manque de stratégie unifiée, même sur un sujet aussi fondamental que l’outil de travail quotidien de ses agents. La France, une voix isolée dans la bataille pour la souveraineté en Europe Le combat pour la souveraineté numérique ne se joue pas seulement à l’échelle nationale. C’est au niveau européen que se dessinent les règles du jeu, et sur ce terrain, la France peine à imposer sa vision exigeante. Le cas du projet de certification européen des services cloud (EUCS) est emblématique. La France a plaidé pour y inclure un niveau de sécurité maximal, inspiré de son propre label SecNumCloud, afin de garantir une immunité totale face aux lois extraterritoriales. La conclusion de la Cour des comptes est sans équivoque : “La démarche de la France est restée jusqu'à présent isolée au sein de l'UE.” Cet isolement n’est pas purement idéologique ; il est alimenté par de dures réalités économiques. Comme le note le rapport, la position de l’Allemagne s’est considérablement assouplie après l’annonce par Amazon Web Services d’un investissement de 7,8 milliards d’euros dans un cloud “souverain” sur son territoire, démontrant comment la puissance d’investissement des géants américains de la tech peut directement influencer la politique européenne. La quête de souveraineté numérique de la France n’est pas une stratégie assez coordonnée. Comme souvent c’est une série de compromis tactiques où la performance prime sur le principe, où les solutions internes échouent à se déployer à l’échelle, et où l’ambition européenne est contrecarrée par la réalité économique. Le parfait exercice des missions de service public peut être garanti sans nécessairement aligner les spécifications des systèmes d'information sur le plus haut niveau technologique dès lors qu'un degré trop élevé de performance à court terme peut constituer un double écueil : par la mise en cause de la souveraineté sur les données et par une dépendance de l'administration vis-à-vis de la politique commerciale d'un éditeur dominant.The post L'Etat français est-il toujours souverain ? first appeared on XY Magazine.

Ils sont fous ces Bretons France Bleu Breizh Izel
A Lorient, ce praticien percussioniste propose de se détendre avec un bain de gongs chinois

Ils sont fous ces Bretons France Bleu Breizh Izel

Play Episode Listen Later Nov 20, 2025 4:52


durée : 00:04:52 - A Lorient, ce praticien percussioniste propose de se détendre avec un bain de gongs chinois Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Invité Afrique
Environnement en Guinée: «On a beaucoup de lois mais peu de décrets d'application», dit Kabiné Komara

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Nov 19, 2025 9:56


En Guinée, la nouvelle mine de fer de Simandou, dans le sud-est du pays, va-t-elle provoquer le même désastre écologique que les mines de bauxite, dans le nord-ouest ? C'est la grande inquiétude de nombreuses ONG et des riverains du chemin de fer de 650 kilomètres, qui doit relier le site de Simandou à la côte atlantique. Kabiné Komara a été le Premier ministre de la Guinée de 2008 à 2010. Aujourd'hui (aux éditions du Cherche Midi), il publie Notre biodiversité en danger – Guinée : Plaidoyer pour des actions salvatrices. Il vient aussi d'être élu lauréat 2026 du Trophée Miriam-Makeba pour son combat contre le réchauffement climatique. En ligne de Conakry, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Pourquoi dites-vous que le patrimoine naturel de la Guinée est gravement menacé ? Kabiné Komara : Écoutez, j'ai vu au fil du temps combien de fois l'importante diversité guinéenne déclinait à une vitesse extrêmement inquiétante. Et c'est en cela que j'ai cru nécessaire, vraiment, de lancer ce cri d'alarme. Alors, vous rappelez comment les carrières de bauxite en Basse Guinée ont défiguré le paysage, et du coup, beaucoup de Guinéens sont très inquiets à l'idée que la même chose arrive avec l'exploitation du fer de la région de Simandou… Oui. Sachez que la Guinée détient pratiquement 40 % des réserves mondiales de bauxite, et notre exploitation de la bauxite se fait à ciel ouvert. À ciel ouvert, ça veut dire que vous devez décaper tout le sol, racler la couche arable, ensuite faire exploser les carrières pour que les minerais soient poudreux et que ça puisse être chargé sur des camions et envoyés au concassage. À lire aussiGuinée: les premiers chargements de minerai de fer de la mine de Simandou expédiés vers la Chine Alors ça veut dire qu'au fur et à mesure que l'exploitation augmente, vous déboisez, vous laissez la nature avec des trous béants qui sont susceptibles d'entraîner de la poussière, qui sont susceptibles d'entraîner des maladies, qui sont susceptibles de tarir les cours d'eau et empêcher la population d'avoir accès à des zones agricoles. Et c'est devenu un sérieux problème. Le gouvernement lui-même vient de prendre un décret pour annuler beaucoup de permis miniers, dont les pratiques n'étaient pas du tout vertueuses, et c'est déjà une bonne chose que la prise de conscience soit à ce niveau-là. Alors, vous posiez la question sur Simandou. Alors, justement, les mauvaises pratiques dans l'extraction de la bauxite ont attiré l'attention de toute la Guinée pour que le projet Simandou soit développé de manière vertueuse. Je ne crois pas que, dans l'histoire minière de la Guinée, il y ait un projet dont les aspects environnementaux ont été étudiés avec autant de minutie, autant de rigueur. Et sachez que le projet Simandou, c'est 650 kilomètres de chemin de fer qui traverse les quatre régions de la Guinée et qui comprend des mines en Guinée forestière et un port sur la côte. Donc, il y a un grand impact, il y a un grand risque d'attaque de la biodiversité. C'est en cela qu'il y a eu beaucoup, beaucoup de sensibilisation là-dessus et une grande rigueur pour que tous ces documents soient adoptés. Le reste maintenant, c'est de l'application. Je suis heureux de dire qu'il y a un comité qui a été mis en place récemment pour suivre à la lettre l'application de ce qui a été pris comme engagement environnemental. À lire et à écouteraussiLe minerai de fer de Simandou rebat les cartes sur le marché mondial Alors, c'est vrai qu'il y a ces études d'impact environnemental et social qui ont été mises en place par les autorités guinéennes, par le géant minier anglo-saxon Rio Tinto et par le groupe chinois Winning Consortium Simandou. Mais l'ONG Action Mines Guinée déplore, sur le tracé de ces 650 kilomètres de chemin de fer, de nombreuses pertes de terres agricoles et de nombreux cas de pollution des cours d'eau… Il faut savoir que l'exploitation minière, c'est un arbitrage entre deux choses. Comment faire en sorte que les richesses du sous-sol soient exploitées pour devenir un facteur de développement ? Et en même temps, comment compenser les pertes que cette exploitation va nécessairement impliquer sur le tracé ? Alors, sur ce chemin de fer, je dois vous dire que toutes les communautés ont été consultées. Il y a eu partout des comités de vigilance sur le tracé du chemin de fer, sur son exploitation et son impact sur la faune et la flore. Et puis il y a le site lui-même de Simandou, au sud-est de votre pays, la Guinée. Nécessairement, il va y avoir, comme vous le dites dans votre livre, d'immenses espaces rougis par les débris de fer, non ? Oui. Tout investissement minier responsable comprend un certain nombre d'étapes. Mais surtout, surtout, à la fin de l'exploitation, le retour des sites à l'état naturel, à l'état initial. Déjà, ils ont commencé à mettre en place une banque de semences pour que toutes les espèces végétales sur la zone soient recensées, afin que, par la suite, elles puissent être démultipliées. Et le plus intéressant, c'est que Rio Tinto et les Chinois sont convenus qu'ils appliquent les mêmes normes environnementales. Ça, c'est un grand, grand acquis pour la Guinée parce que, jusque-là, les gens étaient inquiets que la partie chinoise soit beaucoup plus légère en termes d'application des exigences environnementales. Le fait que les deux compagnies soient tombées d'accord pour que ce soit Rio Tinto, qui est beaucoup plus exigeante en terme environnemental, qui supervise l'application de toutes les normes environnementales, c'est un grand succès pour la Guinée. Mais tout de même, ce qui étonne beaucoup d'observateurs, c'est que la convention minière qui a été signée entre le pouvoir guinéen d'un côté, Rio Tinto et les Chinois de WCS de l'autre, cette convention ne soit pas publique ? Bien ça va l'être, parce que ce que je sais, même si je ne suis pas parmi les décideurs, c'est qu'il y a un système en accordéon. Au fur et à mesure que les choses vont continuer, y compris les négociations pour la transformation du minerai de fer sur place, eh bien ça va comprendre de nouvelles dispositions qui vont obliger donc à mettre dans le domaine public ce qui a été déjà convenu. À lire aussiGuinée: les autorités inaugurent le méga-projet minier de Simandou

La Story
COP 30 : comment la Chine veut dépolluer le fleuve Yangtsé

La Story

Play Episode Listen Later Nov 18, 2025 21:28


La Chine s'attaque à la pollution du Yangtsé, l'un des fleuves les plus pollués au monde. Avec des mesures ambitieuses, Pékin veut restaurer ce cours d'eau vital pour des millions de Chinois. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et Raphaël Balenieri évoquent les enjeux autour de ce fleuve.« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en novembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Raphaël Balenieri (correspondant des Echos en Chine). Réalisation : Willy Ganne. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : AP/Sipa. Sons : AFP, France 2, BF1TV, Extrait « Les bronzés ».Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryAnnonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Monsieur Jardinier - La 1ere
1-2-3, choux chinois!

Monsieur Jardinier - La 1ere

Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 7:02


Notre aventurière de la cuisine végétale, Sylvie Ramel, nous fait découvrir les nouveautés des étals de maraichers. Cette semaine: deux choux asiatiques aussi savoureux que faciles à préparer: le Pak Choy et le Tatsoi. Suivez ses conseils pour apprivoiser ces brassicacées originales et apporter une touche d'exotisme à vos assiettes.

Accents du monde
Commémorations du 13-Novembre, 10 ans après les attentats de Paris

Accents du monde

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 19:30


Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est la commémoration des attentats islamistes à Paris qui avaient fait 132 victimes au Stade de France, sur les terrasses de café parisiennes et dans la salle de concert du Bataclan. Le président de la République a rappelé que «la douleur demeure» et que «la France se souvient». Emmanuel Macron a rappelé que la violence avait frappé des victimes de 23 nationalités différentes. Avec Paola Ariza de la rédaction en espagnol : les enjeux des élections au Chili de ce dimanche 16 novembre 2025  Bing Kou Charlier pour la rédaction en chinois : découvrir, aux Pays-Bas, la librairie Fei Di devenue un espace culturel pour les Chinois d'Europe Marcia Bechara de la rédaction brésilienne : un moment fort de la COP30 à Belém : la «barqueata», une mobilisation inédite des communautés indigènes de l'Amazonie.

Accents du monde
Commémorations du 13-Novembre, 10 ans après les attentats de Paris

Accents du monde

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 19:30


Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est la commémoration des attentats islamistes à Paris qui avaient fait 132 victimes au Stade de France, sur les terrasses de café parisiennes et dans la salle de concert du Bataclan. Le président de la République a rappelé que «la douleur demeure» et que «la France se souvient». Emmanuel Macron a rappelé que la violence avait frappé des victimes de 23 nationalités différentes. Avec Paola Ariza de la rédaction en espagnol : les enjeux des élections au Chili de ce dimanche 16 novembre 2025  Bing Kou Charlier pour la rédaction en chinois : découvrir, aux Pays-Bas, la librairie Fei Di devenue un espace culturel pour les Chinois d'Europe Marcia Bechara de la rédaction brésilienne : un moment fort de la COP30 à Belém : la «barqueata», une mobilisation inédite des communautés indigènes de l'Amazonie.

Le Brief
Boucle du Hainaut: l'industrie en danger | Les petits colis chinois taxés | Call of Duty "Black Ops 7" sort aujourd'hui

Le Brief

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 12:51


L’économie wallonne joue gros avec la Boucle du Hainaut, ces kilomètres de câbles censés acheminer l’électricité produite en mer du Nord vers le cœur industriel de la région. Une nouvelle étude décrit un scénario inquiétant si le projet venait à être abandonné. Si vous commandez souvent sur Shein ou encore Temu, préparez-vous à payer plus cher. Les petits colis chinois importés dans l'Union européenne étaient exemptés de droits de douane jusqu'à présent, ce n'est désormais plus le cas. Le nouveau Call of Duty "Black Ops 7" débarque aujourd’hui. C’est un épisode très attendu par les gamers, et surtout, un jeu crucial pour la stratégie d'Activision, et donc pour Microsoft, qui a racheté le studio il y a peu. > Finance Avenue 2025, le salon de l'argent pour toutes vos questions financières. > Inscrivez-vous au Rallye Boursier de L'Echo! Présentation: Ondine Werres Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.

Lenglet-Co
LES SECRETS DE LA CONSO - Noël : seulement 4% des jouets en rayons sont "made in France"

Lenglet-Co

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 3:29


L'essentiel des jouets qui seront sous le sapin à Noël viendront d'Asie. Le Monopoly ? Chinois. La Bonne Paye ? Chinois aussi. Les poupées Disney Stitch ? Chinoises encore. Puissance 4 ? Indien. Super Mario ? Du Vietnam... Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 10 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Aujourd'hui l'économie
COP30: le paradoxe chinois, entre superpuissance verte et dépendance au charbon

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 3:31


La Chine, premier émetteur mondial de gaz à effet de serre, installe à un rythme record des capacités renouvelables. Mais elle continue de miser massivement sur le charbon. Un double visage qui s'impose au cœur des débats de la COP30 à Belém, au Brésil. Alors que s'ouvre ce lundi la COP30 à Belém, au Brésil, la Chine s'impose une nouvelle fois comme un acteur incontournable de la lutte contre le changement climatique. Le pays est responsable de près de 12 milliards de tonnes de CO₂ par an, soit près d'un tiers du total planétaire. Mais, paradoxalement, il est aussi le premier investisseur mondial dans les énergies renouvelables, et de très loin. Pour comprendre ce double visage, il faut mesurer l'ampleur du tournant énergétique chinois. Le pays vit une véritable révolution industrielle verte. Dans le photovoltaïque, par exemple, Pékin a installé autant de panneaux solaires en cinq mois que ce que possèdent les États-Unis au total. Et 8 panneaux sur 10 vendus sur la planète sortent aujourd'hui d'usines chinoises. Même dynamique dans l'éolien, où la Chine représente 60% de la production mondiale, tout comme pour les batteries de voitures électriques. Autrement dit, Pékin domine désormais la chaîne industrielle de la transition énergétique mondiale. Mais cette stratégie dépasse de loin la simple ambition écologique. Elle répond d'abord à une logique économique et géopolitique. En devenant le fournisseur mondial de technologies propres, la Chine gagne un levier d'influence majeur tout en stimulant sa propre croissance. Le secteur vert représente désormais 10% du PIB chinois: un véritable moteur de développement pour un pays en quête de nouveaux relais de croissance. Un géant du solaire… qui continue à brûler du charbon Ce tableau impressionnant cache néanmoins une autre réalité. Car la Chine continue de miser sur le charbon, pilier historique de son système énergétique. En 2024, 93 % des nouvelles centrales à charbon construites dans le monde l'ont été sur son territoire : neuf sur dix. Un choix paradoxal, mais que Pékin justifie par trois arguments économiques et pratiques. D'abord, la sécurité énergétique. En effet, ces centrales assurent une production d'électricité « pilotable », indépendante du vent ou du soleil. Ensuite, la demande : la consommation d'électricité augmente d'environ 5% par an, portée par la croissance industrielle et urbaine. Enfin, la géographie. Les immenses champs solaires et éoliens se trouvent à l'ouest du pays, tandis que les mégapoles et les usines se concentrent sur la côte est, à plus de 2000 kilomètres. Transporter cette électricité coûte cher, construire des centrales locales au charbon reste plus rentable. Ainsi, le charbon demeure le garde-fou énergétique d'un système encore en transition. La Chine préfère « construire avant de démanteler » : maintenir les capacités existantes tant que les renouvelables ne sont pas pleinement opérationnelles. À lire aussiÉnergie verte et dépendance au charbon: le paradoxe chinois? La transition verte, un projet économique global Derrière cette apparente contradiction, la transition énergétique chinoise s'affirme avant tout comme un projet économique stratégique. Avec la crise de l'immobilier et le ralentissement des exportations, Pékin cherche de nouveaux moteurs de croissance. Et le secteur des énergies propres s'impose comme la nouvelle frontière industrielle. Selon les derniers chiffres du Global Energy Monitor, la Chine tire aujourd'hui plus de revenus de l'exportation de technologies vertes que les États-Unis n'en tirent de leurs exportations d'hydrocarbures. Une performance rendue possible par une surproduction massive, qui permet à la Chine de vendre à des prix bien inférieurs à ceux des producteurs occidentaux. Résultat : le monde dépend désormais du pays pour sa transition écologique. C'est à la fois une opportunité — les coûts mondiaux de l'énergie propre chutent grâce à la production chinoise — et une vulnérabilité stratégique, car cette dépendance énergétique se double d'une dépendance technologique. À la veille de la COP30, Pékin se présente donc à la fois comme sauveur du climat et superpuissance opportuniste. Elle « décarbone à plein régime, mais continue de carboner tout autant »: une formule qui résume parfaitement le paradoxe chinois, entre ambition écologique et pragmatisme économique. À lire aussiClimat: la transition énergétique de la Chine est désormais irréversible, révèle une étude

Ça peut vous arriver
SECRETS DE LA CONSO - Noël : seulement 4% des jouets en rayons sont "made in France"

Ça peut vous arriver

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 3:30


L'essentiel des jouets qui seront sous le sapin à Noël viendront d'Asie. Le Monopoly ? Chinois. La Bonne Paye ? Chinois aussi. Les poupées Disney Stitch ? Chinoises encore. Puissance 4 ? Indien. Super Mario ? Du Vietnam... Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La Story
L'Entretien, Islande

La Story

Play Episode Listen Later Nov 8, 2025 18:07


A partir de ce samedi et pour quelques épisodes, laStory, le podcast des Echos, héberge le nouveau podcast d'actualité du journal. Dans un premier temps, il sera question de géopolitique. Bonne écoute. Membre de l'OTAN sans avoir d'armée, membre de l'espace économique européen sans être membre de l'Union, cheval de Troie des Chinois, l'Islande intéresse désormais les Russes si on en croit les derniers survols de drones. Dans le nouveau podcast l'entretien des Echos, Christophe Jakubyszyn discute avec Benaouda Abdedaim de l'avenir de ce pays, sans doute à l'heure de la fin de l'ambiguïté. Abonnez vous sur les plateformes de podcast pour ne manquer aucun épisode. « L'entretien » est un podcast des « Echos » présenté par Christophe Jakubyszyn. Cet épisode a été enregistré en novembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Benaouda Abdedaim (éditorialiste international des Echos). Réalisation : Willy Ganne. Musique : Viacheslav Starostin. Identité graphique : Fabien Laborde/Les Echos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

L'opinion de Nicolas Beytout
Shein : «L'affaire des poupées de la honte évoque la submersion de l'Europe par des produits chinois» estime Alexandre Devecchio

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Nov 8, 2025 3:32


Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette
Shein : «L'affaire des poupées de la honte évoque la submersion de l'Europe par des produits chinois» estime Alexandre Devecchio

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette

Play Episode Listen Later Nov 8, 2025 3:32


Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Lenglet-Co
Industrie navale : "Nous sommes à la merci des Chinois" estime François Lenglet

Lenglet-Co

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 2:59


La filière maritime et navale a profité, le 5 novembre, des Assises de la mer pour tirer la sonnette d'alarme sur la provenance de nos navires. Bien que l'Europe possède de nombreuses compagnies de transport maritime, elle s'incline devant la Chine. Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 06 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
Industrie navale : "Nous sommes à la merci des Chinois" estime François Lenglet

RTL Matin

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 2:59


La filière maritime et navale a profité, le 5 novembre, des Assises de la mer pour tirer la sonnette d'alarme sur la provenance de nos navires. Bien que l'Europe possède de nombreuses compagnies de transport maritime, elle s'incline devant la Chine. Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 06 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La Revue de Presse
Carmen Lau, activiste hong-kongaise activement traquée par le régime chinois

La Revue de Presse

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 6:19


Réfugiée en Angleterre, elle a quitté son pays natal pour ne pas être arrêtée. Elle ne semble pourtant pas sortie d'affaire, Pékin ayant juré de capturer tous ses opposants même à l'étranger. Une déclaration qui n'a rien d'une promesse en l'air. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Shein: qui peut arrêter le géant chinois? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 65:06


C dans l'air du 5 novembre 2025 : En dépit du tollé et du scandale suscités par la vente de poupées sexuelles à caractère pédopornographique sur son site, le géant de l'e-commerce asiatique Shein a ouvert ce mercredi sa première boutique physique et permanente au BHV, à Paris. Une première mondiale pour la marque de fast-fashion, qui revendique 25 millions de clients en France.Plusieurs dizaines de personnes avaient fait la queue dans la matinée devant l'entrée principale du grand magasin, par « curiosité » ou parce que « c'est moins cher ». « Shein, non merci », pouvaient lire les passants de l'autre côté de la rue, en haut de l'Hôtel de Ville, sous la fenêtre de l'élu écologiste – et candidat à la mairie de Paris – David Belliard.Cette ouverture, « à la veille du salon du Made in France, en ce mois du Made in France, est une provocation », avait affirmé lundi le PDG du groupe Système U sur le plateau de C dans l'air. C'est « une erreur stratégique » et « un danger », a déploré ce mercredi le ministre de la Ville, Vincent Jeanbrun, sur TF1. Son collègue chargé de l'Industrie, Sébastien Martin, a, lui, dénoncé sur Public Sénat chez Shein « une stratégie (…) d'agressivité qui est aussi une politique d'attaque de nos valeurs », tout en pointant du doigt, en creux, le BHV.Face à la tempête, Frédéric Merlin assume son choix : « J'aimerais relever l'hypocrisie générale : on parle d'une marque achetée par 25 millions de Français. » L'homme d'affaires a également avancé un argument choc pour défendre sa stratégie commerciale : « Quand j'ouvre un Primark dans un centre commercial, avec des prix équivalents à ceux de Shein et des produits fabriqués dans les mêmes usines, ce qui fonctionne autour, c'est le premium. »En début d'après-midi, le gouvernement a annoncé « une procédure de suspension » de la plateforme, à la suite du scandale des poupées à caractère pédopornographique. L'exécutif a précisé qu'« un premier point d'étape devra être fait par les ministres dans les 48 prochaines heures ».L'arrivée de la plateforme, fondée en 2012 en Chine et désormais basée à Singapour, cristallise aussi les tensions autour de la régulation du commerce en ligne et de la mode jetable ultra-éphémère. Élus, associations et acteurs du secteur textile français ont fustigé son implantation dans l'Hexagone. En cause : la mauvaise qualité, la dangerosité et parfois même l'illégalité de certains produits vendus sur la plateforme.Des députés ont annoncé le dépôt prochain d'une proposition de résolution transpartisane européenne, actuellement en cours de rédaction, afin de demander à Bruxelles et au gouvernement français de se montrer plus sévères à l'égard de Shein, devenu le symbole de l'impuissance publique face à la déferlante des produits « made in China » en Europe.Aux États-Unis, Donald Trump a signé mardi un texte, diffusé par la Maison-Blanche, qui abaisse de 20 % à 10 % une surtaxe douanière imposée sur de nombreux produits chinois, en représailles à l'action jugée insuffisante de Pékin contre le trafic de fentanyl et d'autres opioïdes vers les États-Unis. Cette baisse était prévue dans un accord récemment scellé à Busan, en Corée du Sud, entre le président américain et son homologue chinois Xi Jinping. Le président des États-Unis, qui avait menacé d'annuler son sommet d'aujourd'hui avec le numéro un chinois – leur première rencontre depuis 2019 – et d'imposer 100 % de droits de douane, a été contraint de reculer, Pékin ayant déployé sa carte maîtresse : le contrôle des terres rares.LES EXPERTS :- NICOLAS BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès et chroniqueur à L'Express - SYLVIE MATELLY - Économiste, directrice de l'Institut Jacques Delors et auteure de Géopolitique de l'économie - VALÉRIE NIQUET - Spécialiste de la Chine - Fondation pour la Recherche Stratégique- LUCIE ROBEQUAIN - Directrice de la rédaction - La Tribune et La Tribune Dimanche

C dans l'air
Shein: qui peut arrêter le géant chinois? - Vos questions sms -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 5:10


C dans l'air du 5 novembre 2025 : LES EXPERTS :- NICOLAS BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès et chroniqueur à L'Express - SYLVIE MATELLY - Économiste, directrice de l'Institut Jacques Delors et auteure de Géopolitique de l'économie - VALÉRIE NIQUET - Spécialiste de la Chine - Fondation pour la Recherche Stratégique- LUCIE ROBEQUAIN - Directrice de la rédaction - La Tribune et La Tribune Dimanche

Histoires du monde
L'éclat de rire du président chinois

Histoires du monde

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 2:38


durée : 00:02:38 - Regarde le monde - Ainsi donc, il arrive à Xi Jinping de faire des blagues… C'était le 1er novembre 2025, devant les caméras, en Corée du Sud. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les Grandes Gueules
Le rejet du jour - Joëlle Dago-Serry : "Je crois qu'il y a un petit relent raciste, c'est parce que c'est chinois. Quand Zara a débarqué, les Camaïeu, les Promod, ils ont fait plouf. Personne n'a rien dit." - 05/11

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 2:21


Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

InterNational
L'éclat de rire du président chinois

InterNational

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 2:38


durée : 00:02:38 - Regarde le monde - Ainsi donc, il arrive à Xi Jinping de faire des blagues… C'était le 1er novembre 2025, devant les caméras, en Corée du Sud. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Invité Afrique
Khadija Mohsen-Finan: au Sahara occidental «il faut un schéma de décentralisation pour que l'autonomie s'instaure»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 8:46


On l'a appris mardi soir, le Maroc décrète que le 31 octobre sera une nouvelle fête nationale. En effet, vendredi 31 octobre dernier, à New York, le Conseil de sécurité de l'ONU a voté une résolution qui prend position pour le plan d'autonomie du Sahara occidental présenté par le Maroc. Pourquoi l'Algérie n'a-t-elle pas pris part au vote ? Quelles sont les options politiques et militaires qui restent pour le Front Polisario ? La politologue Khadija Mohsen-Finan, spécialiste du Maghreb et membre du comité de rédaction de la revue Orient XXI, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Khadija Mohsen-Finan, qu'est-ce qui change avec le vote de vendredi dernier au Conseil de sécurité ? En réalité, ça change beaucoup de choses, parce que c'est ce qu'attendaient les Marocains, c'est-à-dire la reconnaissance par la communauté internationale de ce que Hassan II appelait leur titre de propriété sur le Sahara. Et au moment où plusieurs États, comme les États-Unis, comme la France, comme la Grande-Bretagne, s'apprêtent à investir dans ce territoire, il fallait absolument dépasser, si vous voulez, le fait qu'on était dans un schéma colonial, puisque ce territoire était à décoloniser. Donc, il fallait sortir de ce schéma de colonisateurs et colonisés. Et c'est ce qui a été fait par le vote de vendredi dernier au Conseil de sécurité des Nations unies. Alors, on savait à l'avance que les Américains, les Anglais et les Français allaient voter pour ce plan d'autonomie proposé par le Maroc, mais on ne savait pas ce qu'allaient faire les Russes et les Chinois. Et c'est peut-être ça la nouveauté, non ? Alors les Russes et les Chinois, disons que le ministre marocain des Affaires étrangères Nasser Bourita s'est rendu à Moscou et les Marocains ont eu l'assurance que les Russes pouvaient tout à fait ne pas leur tenir rigueur de la situation. Et très probablement, la dernière mouture du texte de la résolution a été faite pour que les Russes et les Chinois puissent justement s'abstenir et ne pas voter contre, en y ajoutant le terme de « autodétermination ». Ça, c'est très précieux pour les Russes, c'est très précieux pour les Chinois. Mais j'ajouterai que, depuis quelques années, les Russes entretiennent de très bonnes relations avec le Maroc. On n'est plus du tout dans le schéma de la guerre froide. Et c'est donc la première fois que Moscou et Pékin ne disent pas non à un texte qui « estime qu'une véritable autonomie sous souveraineté marocaine pourrait représenter la solution la plus réalisable » au Sahara occidental ? Absolument. Alors maintenant, on peut s'attendre justement à ce que Russes et Chinois soient attentifs au type d'autonomie qui va être mise en place par le Maroc dans cette région. À lire aussiSahara occidental: le Conseil de sécurité de l'ONU apporte son soutien au plan marocain Pourquoi l'Algérie, qui est membre cette année du Conseil de sécurité, a refusé de prendre part au vote de vendredi ? Alors ça reste quand même très surprenant. Très probablement parce que l'Algérie veut revenir sur la scène régionale et internationale, qu'elle compte beaucoup sur un partenariat économique et stratégique avec Washington, avec les États-Unis et que finalement, elle a peut-être accepté d'être dans ce que certains pourraient appeler la realpolitik. Mais c'est malgré tout une manière de tourner le dos au Front Polisario, à l'autodétermination qu'elle a portée quand même depuis 50 ans. Peut-on parler d'un début de lâchage du Polisario par l'Algérie ? Très probablement parce que, si vous voulez, s'il y a une sortie honorable par ce texte de résolution, personne ne sait ce que vont devenir aujourd'hui les Sahraouis de Tindouf, ce que va devenir la cause sahraouie. Personne n'en parle et je ne pense pas du tout qu'ils vont continuer à être parrainés à être protégés par Alger. Et c'est bien leur inquiétude d'ailleurs. Et dans les dernières déclarations du Front Polisario, on peut entrevoir malgré tout un désespoir. Le ministre des Affaires étrangères du Front Polisario affirme que son mouvement n'acceptera le plan marocain que si la population sahraouie le valide par référendum. Oui, c'est ce qu'il avait dit. Mais si vous voulez, on ne peut pas donner de traduction réelle à ses propos, puisque le Front Polisario seul ne peut pas affronter le Maroc. Et de toutes les manières, il devait attendre l'autorisation d'Alger pour agir sur le plan militaire. Aujourd'hui, vous dites que la balle est dans le camp du Maroc qui doit préciser, qui doit détailler son plan d'autonomie, c'est ça qu'il doit faire ? Peut-être des concessions politiques aussi ? C'est ce que lui impose l'application d'une autonomie réelle. Aujourd'hui, l'autonomie réelle, si on voulait l'appliquer au Maroc, le schéma politique marocain ne le permettrait pas. Il faut qu'il y ait un schéma de décentralisation et de démocratisation de ce pays pour que l'autonomie puisse s'instaurer. Mais ce sont beaucoup de questions. On ne sait pas ce qui va se passer au niveau national marocain et au niveau régional, pour qu'il y ait véritablement une autonomie et que les Sahraouis puissent trouver leur place. À lire aussiLes Marocains fêtent dans les rues la résolution de l'ONU sur le Sahara occidental

Journal en français facile
Séisme en Afghanistan: plus de 20 morts / Soudan: les civils partent / Une blague du président chinois...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 10:00


Le Journal en français facile du lundi 3 octobre 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/C9Xh.A

Le surf de l'info
JoyBuy, un nouveau géant chinois du commerce en ligne débarque en France

Le surf de l'info

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 1:55


Du lundi au vendredi, à 6h38, Tom Lefèvre déniche l'information qui va faire parler : une histoire incroyable, un phénomène étonnant ou bien une tendance incontournable. Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Charles Ducrocq du 31 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les histoires de 28 Minutes
Pierre Arditi, 60 ans de carrière / Vers une autoroute arctique ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 46:18


L'émission 28 minutes du 29/10/2025 Pierre Arditi, 60 ans de carrière et des souvenirs à la pelle Le comédien Pierre Arditi revient sur les planches avec une nouvelle pièce, “Je me souviendrai de presque tout”, au Théâtre Montparnasse, à Paris, jusqu'au 21 décembre. Il y joue le rôle d'un comédien célèbre qui demande, au soir de sa vie, à son fils — écrivain raté qu'il n'a pas vu depuis des années — de l'aider à écrire sa biographie. Cette pièce a été écrite pour lui par Alexis Macquart et correspond sur plusieurs points à sa propre trajectoire : appétit de notoriété, peur d'être oublié par le public, et la difficulté à assumer son rôle de père. La fonte des glaces va-t-elle bouleverser le commerce maritime mondial ? Mi-octobre, un navire chinois a rallié l'Europe depuis la Chine en 20 jours seulement alors qu'il en faut habituellement 40. Au lieu de passer par le canal de Suez, la voie habituelle, le porte-conteneurs a emprunté une autre route : la mythique route du Nord-Est, via l'Arctique, aujourd'hui  rendue praticable à cause des conséquences du réchauffement climatique. C'est la première fois qu'une telle cargaison réussit cet exploit. Le porte-conteneurs inaugure par là même le premier trajet commercial régulier de l'”Arctic Express”, également baptisé Route de la Soie polaire par les Chinois. Si cette nouvelle route maritime permet un gain de temps considérable, les conséquences néfastes sur l'environnement sont multiples. Mais, pour la Chine, l'enjeu est double : commercial et géopolitique puisqu'elle souhaite prendre position dans la région. La Russie, de son côté, pourrait aussi profiter de l'ouverture de ces voies maritimes puisqu'elle possède plus de la moitié des côtes arctiques. Enfin, Xavier Mauduit s'intéresse à la nouvelle offre de télé gratuite proposée par Free. Il nous raconte quand les Français ont découvert la toute première image de télévision. Théophile Cossa nous explique comment fonctionne le cours de l'or alors que celui-ci explose. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 29 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Les histoires de 28 Minutes
[Débat] Vers une autoroute arctique ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 23:19


L'émission 28 minutes du 29/10/2025 La fonte des glaces va-t-elle bouleverser le commerce maritime mondial ? Mi-octobre, un navire chinois a rallié l'Europe depuis la Chine en 20 jours seulement alors qu'il en faut habituellement 40. Au lieu de passer par le canal de Suez, la voie habituelle, le porte-conteneurs a emprunté une autre route : la mythique route du Nord-Est, via l'Arctique, aujourd'hui  rendue praticable à cause des conséquences du réchauffement climatique. C'est la première fois qu'une telle cargaison réussit cet exploit. Le porte-conteneurs inaugure par là même le premier trajet commercial régulier de l'”Arctic Express”, également baptisé Route de la Soie polaire par les Chinois. Si cette nouvelle route maritime permet un gain de temps considérable, les conséquences néfastes sur l'environnement sont multiples. Mais, pour la Chine, l'enjeu est double : commercial et géopolitique puisqu'elle souhaite prendre position dans la région. La Russie, de son côté, pourrait aussi profiter de l'ouverture de ces voies maritimes puisqu'elle possède plus de la moitié des côtes arctiques. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 29 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

24H Pujadas - Les partis pris
Les Partis Pris : "Brigitte Macron : ce que révèle le procès", "Terres rares : le maître chanteur chinois" et "Milei : nous nous sommes tant trompés !"

24H Pujadas - Les partis pris

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 22:14


C'est un procès très particulier, celui des fake news autour de Brigitte Macron, de son soi-disant changement de sexe. Pour la première fois, à la barre, sont apparus dix prévenus. Pour Ruth Elkrief, c'est un procès qui parle de notre époque, l'époque de l'excès, du complotisme, d'invraisemblables rumeurs amplifiées par les réseaux sociaux à travers le monde entier. Bras de fer sur les terres rares. On peut dire que ce qui devait arriver est en train d'arriver. La Chine, avec son monopole, exerce un chantage, bien sûr sur les États-Unis, mais aussi sur les Européens. Selon François Lenglet, on est en retard et il va falloir qu'on mette les bouchées doubles. Nous nous sommes trompés au sujet du "libertarien" Milei. Très mal vu en Europe, on lui promettait une défaite cuisante aux élections intermédiaires en Argentine. Pourtant, il remporte une victoire triomphante. D'après Abnousse Shalmani, Javier Milei n'a jamais menti. Résultat, l'économie argentine a rebondi. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage International
Les voitures chinoises, grandes gagnantes des sanctions contre Moscou

Reportage International

Play Episode Listen Later Oct 9, 2025 2:50


En Russie, c'est l'une des conséquences des sanctions prises au lendemain de l'invasion de l'Ukraine : les ventes de véhicules chinois ont explosé. Elles ont été multipliées par sept depuis 2022 ! Et malgré un marché de l'automobile morose, une nouvelle domination est en train de s'installer. Depuis le début de l'année, plus d'une voiture neuve sur deux vendues en Russie est de marque chinoise. Sur un parking d'un centre commercial, Mikhail recharge à une borne électrique sa berline, une Hongqi achetée il y a trois ans. « C'est sûr que conduire une voiture allemande, c'est bien plus agréable, mais ça va, en termes de confort, de stabilité et de tenue de route, cette voiture fait bien l'affaire. Après, c'est vrai qu'en hiver la batterie se décharge très vite. Ça, c'est un problème. Mais en été ou à ce moment de l'année, tout est parfait », dit-il.  Pour se rendre compte du phénomène, il suffit de se connecter sur l'application de VTC, Yandex. Aux côtés des marques coréennes ou japonaises, de plus en plus de courses sont proposées à bord de véhicules chinois. Taalay est originaire du Kirghizistan et s'il a opté pour une voiture de la marque Geely, c'est avant tout pour son prix. Pour un véhicule chinois moyenne gamme, il faut compter en Russie 2 millions de roubles en moyenne, soit à peu près 20 000 euros. « Aujourd'hui, sur le marché, les voitures chinoises sont bien plus accessibles… Donc moi, c'est le rapport qualité/prix qui m'a décidé. Et puis avec les sanctions, ça ne sert plus à rien d'avoir une voiture européenne, parce que c'est très dur de trouver des pièces détachées. Au moins, avec les voitures chinoises, vous n'avez aucun problème ! », explique-t-il. Un marché conquis après le départ des marques européennes Malgré un contexte économique difficile pour l'automobile en Russie, les constructeurs chinois continuent à gagner des parts de marché. Depuis le début de l'année, 500 000 véhicules chinois ont été vendus en Russie, ce qui représente plus de la moitié des ventes de voitures neuves. Nicolaï Nazaikinskii est journaliste, expert en automobile. « L'une des principales raisons, c'est l'introduction des sanctions occidentales. Quand les Européens ont quitté la Russie, ils ont aussi abandonné leurs concessions. Et les Chinois n'ont eu qu'à les remplacer... Ils ont juste repris leurs concessions et mis leurs logos à la place », indique-t-il. Pour écouler leurs voitures en Russie, les marques chinoises peuvent compter sur des taxes moins élevées qu'en Europe et aux États-Unis, des délais de livraisons plus courts. Mais ils assemblent aussi désormais plus de voitures sur le sol russe. « Nous avons plusieurs usines de voitures chinoises en Russie. La marque Haval avait ici deux usines avant les sanctions, mais vous avez désormais Chery qui assemble ses voitures, et d'autres marques prévoient de faire pareil. En fait, tout est devenu beaucoup plus simple pour ces marques, parce que les infrastructures sont déjà là. Il leur suffit de venir assembler leurs voitures là où les Européens le faisaient auparavant. » Mais cet afflux de voitures chinoises n'est pas sans inquiéter le Kremlin. En janvier, Moscou a décidé de relever les « frais de recyclage », c'est-à-dire des droits de douane pour limiter l'entrée des véhicules étrangers et ainsi protéger les constructeurs russes.

Cultures monde
Animaux totems : Le panda, un trésor national chinois

Cultures monde

Play Episode Listen Later Oct 6, 2025 58:24


durée : 00:58:24 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Devenus emblème de la Chine, adorés pour leur mignonnerie, les pandas font l'objet de tractations diplomatiques importantes entre la Chine et ses partenaires. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Zhao Alexandre Huang Maître de conférences en information et communication à l'université Gustave-Eiffel; Emmanuel Véron Géographe, spécialiste de la Chine contemporaine, chercheur associé à l'INALCO et au centre HEC de géopolitique ; Diane Delaurens Contributrice de la revue Esprit et autrice

Les Grandes Gueules
Thomas, dépanneur auto, au 3216 : "J'ai regardé un filtre d'aspirateur : en France 40 €, sur un site chinois, 13 € les 3. Ça marche très bien" - 02/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 2:37


Aujourd'hui, Élina Dumont, Charles Consigny et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Grand reportage
«Le supplément du dimanche» du 28 septembre 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Sep 28, 2025 48:30


RFI vous a proposé ces dernières semaines une série de reportages et analyses sur les trafics de drogue à travers le monde. Cette semaine, nous sommes au coeur du système de production, une sorte d'agriculture intensive de la plante de coca qui va devenir cocaïne après maintes manipulations chimiques. Nous sommes en Colombie, premier producteur mondial de cocaïne et en Equateur devenu la première porte de sortie de la drogue d'Amérique du Sud, un reportage d'Eric Samson. En seconde partie d'émission, direction Pékin où nous serons en ligne avec notre correspondante permanente Clea Broadhurst après son reportage sur la natalité. En Chine, il est loin le temps de la règle d'or de l'enfant unique mais ce n'est pas évident de remotiver les Chinois sur la voie de la famille plus ou moins nombreuse. Coca, basuco et cocaïne: une frontière sous influence  La cocaïne est devenue une drogue du quotidien si l'on peut dire. Il y a quelques décennies, elle était chère, et plutôt réservée à certains milieux privilégiés. Son usage s'est considérablement popularisé, notamment en Europe. Plus forte, moins chère, très abondante grâce à la mondialisation du commerce et très bien distribuée. Qui dit cocaïne dit Colombie. Premier producteur mondial. Cet homme que nous venons d'entendre est Colombien. Il préfère ne pas donner son vrai nom. Installé dans le sud du pays, à quelques mètres de la frontière équatorienne, il cultive depuis des années de la coca qu'il transforme ensuite en pâte base de cocaïne dans un petit laboratoire de fortune. Notre correspondant en Équateur s'est arrangé pour passer la frontière, aller sur place sur le sol colombien, recueillir les témoignages de ces petites mains de la poudre blanche en fabrication, qui inonde la planète. Un Grand reportage d'Eric Samson qui s'entretient avec Jacques Allix.   Naissances en Chine : quand l'intime défie la politique  Le vent tourne en Chine en termes de natalité. L'enfant unique fut longtemps une obligation. Aujourd'hui, l'inverse est presque de mise : l'État s'inquiète de voir les naissances chuter. En 2024, le pays n'a enregistré que 9 millions et demi de bébés, très peu à l'échelle du pays. Un des niveaux les plus bas depuis la fondation de la République populaire. Les autorités multiplient les incitations. Mais les jeunes, eux, y regardent à deux fois. Grandir, aimer et transmettre. Ils s'interrogent.   Un Grand reportage de Clea Broadhurst (et Chi Xiangyuan) qui s'entretient avec Jacques Allix.