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Depuis mardi 30 septembre, ChatGPT est aussi devenu un assistant de courses dont tous les grands distributeurs ont une peur bleue. Exemple avec une paire de chaussures de running à moins de 100 dollars.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Épisode 1367 : C'est Adam Mosseri, le patron d'Instagram, qui a pris la parole en vidéo le 24 septembre 2025. Il y dévoile une interface accessible à tous les utilisateurs. Pour fêter ce cap, la plateforme dévoile une nouvelle fonctionnalité baptisée Your Algorithm. Un outil qui pourrait bien redéfinir la manière dont les contenus sont recommandés sur le réseau.Un bouton pour reprendre la main sur l'algorithme.C'est Adam Mosseri, le patron d'Instagram, qui a pris la parole en vidéo le 24 septembre 2025. Il y dévoile une interface accessible à tous les utilisateurs. Objectif : permettre à chacun de personnaliser ses préférences de recommandation.Le principe : afficher la liste des sujets que l'algorithme a identifiés comme étant vos centres d'intérêts, et vous donner la possibilité de les modifier manuellement. Ajouter des thématiques. En supprimer d'autres. Corriger ce que l'algorithme a mal interprété.Un lancement stratégique sur Reels.La fonctionnalité est d'abord déployée sur Instagram Reels, avant d'être étendue à Explorer puis au feed principal. Ce choix n'est pas anodin. Reels est le format où l'algorithme joue un rôle central dans la distribution.L'interface est simple. Deux listes :• Ce que vous aimez• Ce que vous ne voulez plus voirRegardé une vidéo de chat par erreur ? Votre feed s'est rempli de félins ? Vous pourrez désormais supprimer cette catégorie d'un clic.Instagram s'aligne avec la demande utilisateur.Cela fait longtemps que les utilisateurs réclament plus de contrôle sur leur fil. Beaucoup souhaitent retrouver davantage de contenu issu des comptes qu'ils suivent réellement. Instagram répond ici à une frustration récurrente.3 piliers stratégiques pour Instagram : DMs, Reels, Reco.Mosseri l'a dit clairement : la croissance d'Instagram est portée par trois éléments : les messages privés, les Reels, les recommandations algorithmiques. L'app s'oriente donc entièrement autour de ces usages. Exemple concret : le bouton d'upload remplacé par un raccourci vers les DMs.Une nouvelle donne pour les créateurs.Ce changement bouleverse la stratégie des créateurs de contenu. Plus question de compter uniquement sur l'algorithme. Avec des utilisateurs qui filtrent eux-mêmes ce qu'ils souhaitent voir, il va falloir proposer du contenu plus engageant, plus ciblé, plus authentique.—Plus de transparence, plus de pouvoir aux utilisateurs.Meta accélère sur la transparence algorithmique. Une nécessité imposée par le Digital Services Act européen. Depuis 2023, l'entreprise multiplie les initiatives pour rendre ses algorithmes lisibles. La fonction "Your Algorithm" s'ajoute à celle de réinitialisation des recommandations, disponible depuis fin 2024.——Ce contrôle utilisateur pose plusieurs questions :• Est-ce que les préférences manuelles vont vraiment primer sur les autres signaux de l'algorithme ?. . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Elle doit quitter le pays pour se libérer de son ex-conjoint harcelant. Une femme victime d'un féminicide à Saint-Jérôme. Opération policière majeure à Montréal et à Québec. Faits divers avec Maxime Deland, journaliste à l’agence QMI. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'intelligence artificielle s'impose aujourd'hui comme une rupture technologique majeure. Des voitures autonomes aux assistants numériques, elle transforme nos sociétés. Mais elle révolutionne aussi la guerre. Car l'usage de l'IA aux fins de défense progresse à une cadence qui s'accélère, de l'analyse de données en masse à l'IA «embarquée» dans les systèmes d'armes, de la détection et l'identification de cibles à la gestion des ressources humaines en passant par les drones ou la cyberdéfense. Sur les champs de bataille, les conflits en Ukraine et à Gaza témoignent d'une intensification des usages. Intégrée dans les arsenaux, l'IA bouleverse la manière de concevoir, de planifier et de conduire les opérations militaires. Elle est au cœur d'une nouvelle course aux armements, qu'on qualifie parfois d'«hyperguerre», où la vitesse, l'autonomie et la dimension cognitive prennent une place centrale. Dans ce domaine, le civil et le militaire connaissent un rapprochement sans précédent, particulièrement aux USA. Les acteurs les plus puissants de l'IA sont des entreprises privées civiles et les développements de ces dernières années rebattent les cartes de l'industrie de défense. Exemple parmi d'autres, Google qui s'était engagé en 2018 à ce que ses technologies d'IA ne soient pas utilisées à des fins militaires ou de surveillance a supprimé, début 2025, cette promesse de sa charte publique. Quels enjeux stratégiques, politiques et éthiques ? Quels acteurs dominent ce champ ? Quelles régulations internationales sont possibles ? Et jusqu'où cette révolution peut-elle aller ? Invités : Laure de Roucy-Rochegonde, chercheuse à l'IFRI où elle dirige le Centre Géopolitique des Technologies, et chercheuse associée au CERI de Sciences Po. «La guerre à l'ère de l'Intelligence Artificielle», aux Presses Universitaires de France Jean-Michel Valantin, spécialiste en études stratégiques et chercheur en géopolitique. «Hyperguerre comme l'IA révolutionne la guerre», éditions Nouveau Monde.
Damien est sorti de son trou! Shamelessplug Hackfest Swag Join Hackfest/La French Connection Discord Join Hackfest us on Masodon Conférence GoSEC 2025 - Montréal - 10-11 sept 2025 - Colloque cybersécurité et protection des données personnelles - Saint-Hyacinthe - 2 octobre 2025 Hackfest - Québec - 16-17-18 Octobre 2025 POLAR - Québec - 16 Octobre 2025 Montréal Connecte 2025 - Montréal - 28-31 octobre 2025 - Cyberchess les 29-30 octobre - Latvia Nouvelles Câble sous-marin coupé Microsoft s'excuse pour la “latence” de son flux Azure. C'est rappeler que les fonds sous-marins ne cachent pas que des monstres et autres Kraken. Arnaque cinglée : faux avis de « maniaque » et piège financier De fausses affiches annonçant un « maniaque » mènent via QR code à une arnaque financière sur Telegram. Une fraude mêlant peur publique et cybercriminalité. Touriste en Grèce : quand des cafards IA deviennent une arme de chantage numérique Un touriste en Grèce a utilisé l'intelligence artificielle pour générer de faux cafards et obtenir une réduction d'hôtel. Une fraude qui révèle le potentiel inquiétant de l'IA dans la cybercriminalité. Astronaute fictif, vraie arnaque au Japon Un faux astronaute a escroqué une grand-mère japonaise de 6 200 € en prétextant un besoin d'oxygène spatial. En France, ce sont les “chanteurs” à la mode qui sont utilisés dans des escroqueries. Exemple avec Julien Doré Thaïlande : arrestation d'escrocs au SMS, sous-traitants d'un réseau chinois Arrestation à Bangkok : deux Thaïlandais utilisaient un SMS blaster pour diffuser de faux messages bancaires, sous la direction d'un réseau chinois. Un hacker andalou faussait ses notes grâce à un piratage Un étudiant arrêté à Séville pour piratage de notes sur Séneca. L'affaire révèle la vulnérabilité des systèmes éducatifs aux cyberattaques. Cyberattaque contre Rosneft en Allemagne : un procès sous haute tension Procès à Berlin d'un hacker accusé d'avoir saboté Rosneft Deutschland. Révèle la vulnérabilité énergétique allemande face au cyberconflit. Fermeture de Nsw2u et de sites pirates de jeux vidéo Le FBI et le FIOD ont démantelé Nsw2u et d'autres sites pirates de jeux Switch et PS4. Illustre l'enjeu cyber et économique du secteur vidéoludique. Démantèlement de Streameast, le géant du piratage sportif Démantèlement de Streameast en Égypte : la plus grande plateforme de streaming sportif illégal. Accusée de blanchiment de 6 millions d'euros, elle est neutralisée. Un seul fournisseur, toute une nation en otage Miljödata, fournisseur RH suédois, piraté. 200 communes paralysées. Une leçon choc sur les risques d'un numérique centralisé sans résilience. 62IX et HKVD, l'ombre numérique derrière les failles des infrastructures critiques (RUSSE) 62IX GROUP et HKVD : intrusion réelle ou campagne d'influence ? Décryptage des récits techniques, commerciaux et idéologiques autour des infrastructures critiques. Cyberattaque au Muséum d'histoire naturelle : activités perturbées et exposition annulée Cyberattaque au Muséum d'histoire naturelle de Paris. Recherche paralysée, exposition annulée, enquête en cours. Inquiétude croissante face aux menaces numériques. Le phishing fatal : comment « Sombreofficiel » a failli faire vaciller GRDF Un simple clic a suffi à « Sombreofficiel », mineur au moment des faits. Accès aux données de centaines de clients de GRDF. Revente via Telegram et jugement au tribunal pour enfants de Paris. Arnaque au trading crypto : l'affaire Marginswap, Lucas BTC et Tianna Escroquerie crypto Marginswap orchestrée par Lucas BTC et Tianna. Promesses de gains, blocage des retraits, extorsion, nettoyage de preuves. Témoignages, analyse du modus operandi et pistes pour les victimes et autorités cyber. Crew Patrick Mathieu Damien Bancal Crédits Montage audio par Hackfest Communication Music par Nibana – Earth From Above - Legacy (feat. Suduaya) Locaux virtuels par Streamyard
Le stade Olembé, le plus grand du pays, infrastructure phare bâtie pour la CAN qui s'est jouée en 2022, est l'un des dossiers qui aura marqué le dernier mandat du président Paul Biya. Si le stade de 60 000 places a été livré pour la CAN, retards et contentieux avec les entreprises ont émaillé sa construction. À terme, c'est un complexe comprenant une piscine olympique, des terrains pour le tennis, le basket, le volley ou encore un parcours de VTT, qui doit sortir de terre. Ce projet, initialement évalué à 163 milliards de francs CFA (environ 250 millions d'euros), n'a pas encore vu sa phase 1 être achevée. Il reste à finaliser le grand hôtel et le centre commercial, dont seul le gros œuvre a été achevé. François Félix Ewane est l'administrateur de l'Office national des infrastructures et équipements sportifs du Cameroun (Onies). C'est l'organisme en charge et qui a été créé en août 2022, après la CAN. « Fort de la pression de la CAN, les entreprises ont voulu faire du chantage, profiter de ce qu'il y avait une urgence pour siphonner les ressources et essayer de sortir des enveloppes prévues. Tout cela a créé une période de turbulence qui a amené l'État à recentrer ses travaux sur ce qui était une nécessité pour faire la CAN », détaille François Félix Ewane. « Parce qu'il y avait des demandes déraisonnables en paiements complémentaires, nous avons été obligés de résilier les contrats », précise-t-il. Le chantier a d'abord été confié à l'entreprise italienne Piccini Group, puis à la Canadienne Magil. Toutes les deux ont initié des procédures de contentieux à l'encontre des autorités camerounaises. Une gestion du projet par les autorités qui fait l'objet de nombreuses critiques. « Il est tout à fait emblématique de ce qui se passe au Cameroun dès qu'il y a de très grands chantiers », estime Stéphane Akoa. Le chercheur à la fondation Paul Ango Ela poursuit : « Cela renvoie à l'ensemble des projets, à la somme des intentions au Cameroun qui n'ont jamais abouti à un objet réalisé dans les temps et dans la forme souhaitée. Et puis par ailleurs, il y a toutes ces sommes dépensées, soit parce qu'à chaque phase de travaux, l'État a dû accepter des avenants au contrat qui ont augmenté le coût initial des travaux. Et puis, dans ces différents contentieux, le devoir de payer encore plus. » À lire aussiCameroun: un groupe canadien exige 16 milliards de FCFA pour le chantier à l'arrêt du complexe sportif d'Olembé « Nous ne sommes plus dans une logique d'urgence » Des surcoûts liés aux contentieux qui pourraient atteindre plusieurs centaines de milliards de francs CFA selon la presse camerounaise. L'Onies, lui, s'en tient aux sommes décaissées pour le projet – soit environ 60 % de l'enveloppe initiale, affirme-t-il. Les travaux sont actuellement à l'arrêt et tout est fait pour une reprise dans les meilleures conditions assure François Félix Ewane : « Nous avons un consultant qui est en train de faire un état des lieux et qui va se boucler sur un audit technique de ce qui reste à faire et cet audit va tirer les leçons des contrats antérieurs et va définir le scope des nouveaux travaux. » Pour l'administrateur, la CAN étant passée, « nous ne sommes plus dans une logique d'urgence. Maintenant, nous nous organisons posément à faire les choses de façon rationnelle et structurée. » Autre défi pour l'Onies : « faire tourner la boutique ». Malgré un planning d'évènements déjà bien rempli, assure l'administrateur, la rentabilité économique ne peut cependant être le seul critère pris en compte. La satisfaction des publics accueillis est également selon lui primordiale. À lire aussiOpération «mains propres» au Cameroun: vers une reprise de l'opération Epervier ?
Aujourd'hui dans le podcast, on reçoit en entrevue Faf, un humoriste de la relève spécialisé dans l'humour noir, un registre d'humour de plus en plus rare aujourd'hui. Avec lui, on discute de son parcours, de ses inspirations humoristiques et de la question de la liberté d'expression, le tout ponctué de plusieurs blagues de son cru.DANS LA PARTIE PATREON, on commence en revenant sur la Pilule Bleue devenue virale mettant en vedette le député péquiste Joël Arsenault, suivie d'un reportage de Radio-Canada sur le départ de l'ancienne ministre caquiste Maité Blanchet-Vézina. Ensuite, Joey nous fait découvrir une vidéo humoristique sous le thème des Pokémon publiée par le Homeland Security. On termine avec Ian qui explique pourquoi les gens préfèrent avoir des politiciens médiocres, et Joey qui nous parle de sa campagne municipale.0:00 Intro0:18 Faf l'humoriste1:46 Des limites à l'humour trash ?3:07 Humoriste de la relève ?8:02 Ces inspirations humoristiques10:57 La liberté d'expression18:25 Exemple d'humour trash20:55 On se fait trop faire la morale25:10 Tentatives de cancellation32:24 Les spectacles à venir35:09 D'autres humoristes qui ont aidé36:50 Shows à venir
Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Rédaction et production : Estelle Lafont Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Création du visuel : Sidonie Mangin Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi les éoliennes produisent-elles plus d'électricité quand il fait froid ? La réponse tient à la fois à la physique de l'air et au fonctionnement même des turbines.La densité de l'air : un facteur cléL'électricité produite par une éolienne dépend principalement de la vitesse du vent et de la densité de l'air. La formule de base est la suivante :Puissance = ½ × ρ × S × v³ × Cpoù ρ est la densité de l'air, S la surface balayée par les pales, v la vitesse du vent et Cp le rendement aérodynamique.Or, la densité de l'air varie avec la température. À 0 °C, l'air est environ 10 % plus dense qu'à 30 °C. Concrètement, 1 m³ d'air pèse environ 1,29 kg à 0 °C contre 1,16 kg à 30 °C. Cette différence, qui peut sembler faible, a un effet direct sur la puissance récupérée : plus l'air est lourd, plus il contient d'énergie cinétique pour une même vitesse de vent.Exemple chiffréPrenons une éolienne terrestre de 2 MW, avec un vent de 12 m/s. À 30 °C, elle produira environ 1,7 MW. À 0 °C, dans les mêmes conditions de vent, elle peut monter à 1,9 MW. Le gain est donc de plus de 10 % simplement dû au froid.Les régimes de vent en hiverÀ cela s'ajoute un autre facteur : en hiver, dans beaucoup de régions tempérées, les vents sont plus soutenus et plus réguliers. En Europe par exemple, les parcs éoliens atteignent souvent des facteurs de charge (le rapport entre production réelle et production théorique maximale) de 35 à 40 % en hiver, contre seulement 20 à 25 % en été. Cela signifie que non seulement chaque tour de pale produit davantage d'énergie, mais qu'en plus, les éoliennes tournent plus longtemps à des vitesses optimales.Attention aux extrêmesIl existe toutefois une limite. Les éoliennes sont conçues pour fonctionner entre environ -20 °C et +40 °C. En dessous, la glace peut se former sur les pales, modifiant leur aérodynamique et diminuant la production. C'est pourquoi certaines machines sont équipées de systèmes de dégivrage.En résuméLes éoliennes produisent plus d'électricité par temps froid, d'abord parce que l'air est plus dense et contient donc plus d'énergie, ensuite parce que les régimes de vent hivernaux sont plus favorables. C'est ce double effet qui explique que, dans des pays comme la France, l'Allemagne ou le Danemark, les records de production éolienne se situent presque toujours en hiver. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Peut-on rebâtir la France comme on a reconstruit une cathédrale? - L'édito de Yaël Goosz - Le vendredi et le samedi c'est Yaël Goosz qui décrypte sur le plateau de “C à Vous” un point précis de l'actualité pour le replacer dans son contexte, l'analyser et le mettre en perspective, en écartant opinions et approximations.
Bienvenue dans « Ouvrir un restaurant », le format bonus du podcast CHEFS.Chaque vendredi, aux côtés d'Adrien Pitard, opening planner et fondateur de la société Entrée, nous partageons les clés pour réussir votre ouverture de restaurant.Dans ce troisième épisode, nous abordons le sujet technique qui bloque le plus de projets : la puissance électrique et le gaz. Trop souvent, les restaurateurs signent un bail sans vérifier ce point… et découvrent ensuite des coûts et des délais énormes.Adrien explique :Comment contrôler la puissance disponible (contrats EDF / Engie).Les écarts entre puissance actuelle et besoins réels selon le matériel.Les coûts cachés d'un raccordement ou d'une augmentation de puissance.Les délais à anticiper pour éviter de retarder l'ouverture.Les erreurs fréquentes à éviter absolument.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Acheter sa résidence principale, c'est forcément mieux que louer ?
Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
On la paie souvent sans vraiment y prêter attention : la taxe d'enlèvement des ordures ménagères. Prélevée en même temps que la taxe foncière, elle finance la collecte et le traitement des déchets. En théorie, elle permet aux communes de couvrir les frais d'un service public essentiel. En pratique, elle se révèle de plus en plus coûteuse pour les contribuables, et parfois… bien plus lucrative que prévu pour certaines collectivités.Une hausse continue et des disparités criantesSelon l'UFC-Que Choisir, cette taxe a grimpé en moyenne de 20 % en cinq ans. Un rythme qui pèse lourd sur le portefeuille des propriétaires. Surtout que son montant varie fortement d'un territoire à l'autre. À Brest, par exemple, un habitant s'acquitte d'environ 68 euros par an, quand à Paris la facture s'élève à 240 euros en moyenne. Pour les associations de consommateurs, ces différences restent difficiles à justifier.Quand les collectivités font de la trésorerieUne enquête de l'Agence de la transition écologique, reprise par Le Monde, met en lumière une dérive : plus d'une collectivité sur deux prélève davantage qu'elle ne dépense réellement pour la gestion des déchets. Or, la loi est claire : cette taxe doit uniquement couvrir le service rendu, et en aucun cas devenir une source de bénéfices.Exemple frappant : la métropole de Dijon. En 2022, elle a perçu 110,32 euros par habitant, alors que le coût réel du traitement n'était que de 69,17 euros. Face aux critiques, les responsables invoquent la nécessité d'anticiper des investissements lourds, notamment pour moderniser les infrastructures de tri et de valorisation des déchets.La justice donne raison aux contribuablesLes tribunaux, eux, rappellent régulièrement les règles. À Saint-Amand-les-Eaux, dans le Nord, les habitants ont gagné un procès contre leur agglomération. Motif : un trop-perçu en 2021. Résultat concret, des chèques de 115 euros ont été envoyés aux contribuables lésés. Une victoire qui a fait jurisprudence et incité d'autres habitants à contester leurs avis de taxe.Une taxe nécessaire, mais à encadrerL'UFC-Que Choisir nuance toutefois son propos : la taxe d'ordures ménagères a sa légitimité. Entre 2020 et 2024, le coût réel de la collecte et du traitement a bondi de 22 %, notamment à cause de l'inflation, du prix de l'énergie et des exigences croissantes en matière de recyclage. Le problème n'est donc pas son existence, mais sa gestion opaque et parfois abusive.En clair, si personne ne remet en cause l'utilité de financer le ramassage des poubelles, de plus en plus de voix s'élèvent pour que la facture soit juste, transparente et proportionnée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand fait le point sur l'assassinat du militant de droite et proche de Donald Trump, Charlie Kirk, qui a eu lieu mercredi après-midi. L'influenceur conservateur, âgé de 31 ans, a été tué par balle lors d'une conférence sur un campus universitaire dans l’Utah, pendant sa tournée Prove Me Wrong. Au moment d'écrire ces lignes, le tireur était toujours au large. «Charlie Kirk était une figure montante chez les conservateurs américains, un fidèle de Donald Trump qui avait des milliers et des millers de partisans. Des gens qui suivaient ses discours, qui buvaient ses paroles. Un mélange de pasteur, de preacher évangéliste et de star des réseaux sociaux.» «Il avait reçu plusieurs menaces. Beaucoup d'étudiants de l'université avaient signé une pétition pour que cet événement soit annulé. Il avait son équipe de sécurité autour de lui. Il y avait aussi des policiers de l'université [...] C'était un personnage important, un jeune homme qui était en pleine ascension [...] C'est un autre exemple de violence politique aux États-Unis. »Autres sujets abordés Remaniement ministériel: de nouveaux ministres et un virage à droite à un an des prochaines élections; Les noms des nouvelles stations de métro: pourquoi toujours se compliquer la vie?; Comment gagner jusqu’à 100 dollars assez facilement... Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Aux États-Unis, la législation fédérale — le National Labor Relations Act — autorise les entreprises à recruter des travailleurs pour remplacer durablement les salariés en grève, tant qu'elles ne licencient pas ces derniers. Les grévistes peuvent reprendre leur poste à la fin du conflit, mais l'employeur est libre de les remplacer temporairement ou définitivement.En revanche, en France, le droit de grève est profondément protégé : il est ancré dans la Constitution et représente un acquis social fondamental. Le Code du travail y impose des interdictions claires :Il est strictement interdit de recourir à un contrat à durée déterminée (CDD) pour remplacer un salarié en grève.De même, l'usage de travailleurs intérimaires dans ce but est formellement prohibé.Ces interdictions s'appliquent même si l'intérimaire est déjà présent dans l'entreprise avant le début du conflit.Recourir à de telles pratiques est considéré comme une atteinte au droit de grève et peut entraîner des sanctions, voire la requalification du contrat en CDI, avec des dommages-intérêts à la clé.Toutefois, la législation française laisse certaines portes ouvertes pour maintenir l'activité dans le respect de la loi :Une entreprise peut réorganiser le travail à l'intérieur en mobilisant ses salariés non-grévistes ou en redistribuant les tâches.Il est possible de faire appel à la sous-traitance, à condition que les prestataires utilisent leur propre personnel permanent et ne recrutent pas dans le but explicite de remplacer les grévistes.Le recours à des salariés non-grévistes déjà en CDI, qui prennent en charge d'autres missions, est également envisageable, dès lors que ce n'est pas un moyen déguisé de nuire à la grève.Exemple concret : la SNCFUn cas concrêt en France est celui de la SNCF, qui a fait appel à des cadres formés — les « Volontaires d'accompagnement occasionnel (VAO) » — pour assurer certaines fonctions (comme celle d'ASCT) en période de fortes mobilisations. Ce dispositif, utilisé notamment lors du pont du 8 mai, a permis d'atténuer les effets de la grève sans contrevenir à la loi, puisqu'il s'appuie sur des ressources internes volontaires déjà formées .En résumé, si les États-Unis autorisent le recrutement de remplaçants pour briser une grève, la France, à l'inverse, interdit formellement le recours à des CDD ou intérimaires dans ce cadre. Seules les solutions internes (mobilisation de CDI ou réorganisation) ou externes encadrées (sous-traitance sans embauche pour grévistes) sont permises, souvent validées au cas par cas par la jurisprudence. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vanessa, en cette rentrée scolaire, rentrée littéraire, vous nous emmenez faire un tour du côté de la Touraine pousser les portes de Maisons d'écrivains. De grands écrivains classiques ! Ca va vous rappeler des souvenirs d'école…très lointains ! On commence avec Balzac et son château de Saché, son refuge : il y a séjourné une dizaine de fois, pour fuir Paris -ses soucis financiers. Un de ses lieux d'inspiration : Il y a rédigé en partie "Le Père Goriot", les Illusions perdues. Et puis cette vallée de l'Indre-très bucolique-on la retrouve dans Le lys dans la vallée. Et moi ce que j'aime dans ce château -musée- C'est la modernité de sa programmation.: comme l'expo actuelle "Vautrin contre Balzac, le roman à l'épreuve de l'affaire criminelle". Vous vous lancez dans Un parcours enquête guidé par Vautrin et comprenez comment Balzac construisait son enquête romanesque pour déchiffrer et interroger la société. Exemple décrypter entre autres l'univers des voleurs et leur argot toujours présent : on va le buter, mon dabe(Maitre)… Un autre écrivain dans un autre spot tourangeau ? Ah je vous emmène chez Rabelais. en pleine campagne chinonaise dans sa maison d'enfance, La Devinière. Qu'on retrouve dans son œuvre. C'est le château de Gargantua et de Pantagruel. Une belle maison des champs avec un pigeonnier, transformée en musée. On y découvre des éditions rares, des caricatures, des expressions populaires qu'il a inventées : sauter du coq à l'âne, être gros jean comme devant... il existe aussi un sentier d'interprétation autour des Guerres Picrocholines vous êtes au coeur des paysages du roman. Un conseil poussez jusqu'à Léméré au Château du Rivau. Que vous retrouvez aussi dans le roman de Gargantua, Et aujourd'hui c'est un endroit magique, sorti d'un livre de contes, avec des jardins fantasques s…et un potager de Curcubitacés : le « Potager de Gargantua » ! Et on peut dormir au Rivau ! Fiche pratique : - Maison de Balzac Château de Saché : https://www.musee-balzac.fr/ - Maison de Rabelais La Devinière : https://www.musee-rabelais.fr/ Hébergements Proches de la Maison de Rabelais : - Relais Saint Maurice à Chinon : https://www.aurelaissaintmaurice.com/ - Hôtel Rive Sud : https://www.hotelrivesud.com/ - Hôtel du château du Rivau : https://www.chateaudurivau.com/fr/dormir-au-chateau.php Hébergements Proches de la Maison de Balzac : - Auberge Pom' Poire à Azay-le-Rideau : https://aubergepompoire.fr/accueil/ · Le Grand monarque à Azay-le-Rideau : https://legrandmonarque.com/ - Hôtel de Biencourt à Azay le Rideau : https://hoteldebiencourt.fr/homepage/hotel/charme/azay-le-rideau/ Office tourisme de Touraine www.tourainevaldeloire.com Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ne pas travailler ta marque, c'est loin d'être neutre. Et pour beaucoup d'entreprises, c'est une catastrophe de ne pas avoir un branding réfléchi, surtout après un certain niveau de développement. Dans cet épsiode, on te donne les vrais chiffres derrière le coût de l'absence de branding.(00:00) Intro + jingle(00:25) Exemples d'entreprises qui ont multiplié leurs résultats suit à un rebranding(02:21) Le manque à gagner si tu ne bosses pas ton branding(04:48) Exemple concret : combien perd une boîte sans branding(07:28) Pas de branding : autres effets négatifs(09:09) 2 moments clés pour bosser son branding(11:40) Conseils en branding pour les marques qui se lancent(12:58) Indicateurs que ton branding fonctionneBienvenue sur LA DIFF, le podcast qui démystifie le branding et la communication pour les entrepreneurs les plus audacieux. On est Morgane Tubiana, Mathilda Perrot et Wesley Joachim. Notre mission, c'est d'accompagner les entrepreneurs qui veulent créer une image de marque puissante pour atteindre leurs objectifs. Bref, si tu veux plier le game avec ta boîte, tu es au bon endroit.Si tu kiffes LA DIFF, abonne-toi pour recevoir les prochains épisodes et laisse-nous un avis sur Spotify ou Apple Podcasts. Merci
Retrouvez les partis pris de Louis Sarkozy le Lundi et le Mercredi dans votre chronique "Voix de droite" sur RMC.
Vrei să înveți cum să faci marketing sănătos? Abonează-te la newsletterul săptămânal: https://katai.ro/Cum îți dai seama că ești pregătit să îți francizezi afacerea? Ce rol are marketingul în tot acest proces și ce capcane ar trebui evitate? În acest interviu, povestesc cu Raluca despre provocările și oportunitățile francizării, dar și despre succesul unor branduri românești care au ales acest drum.Subiecte discutate:0:00 – A ales ea franciza sau franciza a ales-o pe ea? 3:12 – Poate fi un creator de conținut francizat? 5:35 – Switch-ul de la Raluca executantă la Raluca imaginea Franchwise 10:59 – De ce antreprenorii se identifică atât de mult cu business-ul lor? 14:14 – Cum îți dai seama că ești pregătit să-ți francizezi business-ul 20:02 – Exemple de strategii proaste de francizare 23:14 – Rolul marketingului în procesul de francizare 27:19 – Semnele că un brand e pregătit pentru francizare 30:16 – Un brand românesc francizat cu succes Cumpără bilet la conferința de marketing - GrowthCon care va avea loc pe 30-31 octombrie 2025 în Cluj-Napoca.
Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
L'été touche à sa fin en France et certaines villes assaillies durant deux mois par les touristes retrouvent leur calme habituel. Un peu trop peut-être. En cause : le nombre de résidences secondaires qui restent vides une grande partie de l'année. Certaines villes cherchent à limiter ce phénomène. La loi Echaniz-Le Meur, votée l'an dernier pour « réguler les locations saisonnières », leur permet d'interdire la construction de nouvelles maisons de vacances sous certaines conditions. Exemple en Bretagne, dans l'ouest de la France, à Saint-Malo et à Cancale, où la mairie vient de voter cette interdiction. Le petit train traverse la foule sur les pavés de Saint-Malo, vers la plage. Dans la vieille ville, face à la Manche, 30 % des logements ont été proposés sur des sites comme Airbnb. Des lieux vides en dehors des vacances. « Sur le front de mer, voir tous les volets fermés pendant de longs mois, c'est toujours un petit peu désolant », regrette Olivier, retraité. Au fil des ans, il a vu la demande de maisons de vacances faire grimper les prix d'achat des appartements : « Il faut être quasiment retraité pour avoir les moyens de venir se loger à Saint-Malo et on sera pas forcément dans la première partie de la ville. » Un prix trop cher pour les jeunes actifs. Certains, pour acheter, s'éloignent de la ville ou la quittent. Une situation à laquelle les élus locaux ne veulent pas se résigner. Le maire de Saint-Malo Gilles Lurton compte faire voter, en novembre, l'interdiction de construire des résidences secondaires dans plusieurs zones de sa commune. En tout, il veut faire sortir de terre 3 000 nouvelles habitations, et en réserver les deux tiers à des personnes qui veulent y vivre à l'année. « En résidence secondaire, nous sommes passés d'un taux de 21 % en 2021 à un taux de 26 % en 2025. Et ça, c'est une croissance qu'il faut qu'on arrive à endiguer. J'ai un chef d'entreprise qui veut rapatrier 200 salariés à Saint-Malo. Aujourd'hui, il est totalement incapable de les loger. Donc, il va falloir qu'on trouve les solutions », explique le maire. À lire aussiAirbnb face aux grandes villes, vers la fin des locations touristiques incontrôlées? Pour lui, l'aide de l'État est vitale, avant que la situation ne s'aggrave : « Ce n'est pas Saint-Malo, c'est le pays tout entier qui est concerné. Les politiques de logement, à mon avis, ont été abandonnées par l'État, pour des raisons de moyens, et vraiment, on va sur une crise à mon avis qui est beaucoup plus importante que celle qu'on connaît actuellement. » C'est le cas de Cancale, à 15 kilomètres, où la crise du logement impacte les commerçants. Mimia Peard tient depuis 35 ans le restaurant « À Contre Courant ». « Le premier appartement qui se libère, c'est 20, 30 personnes qui sont devant la porte pour attendre pour visiter l'appartement. Donc forcément, le propriétaire, il peut augmenter les tarifs. Pour pouvoir trouver du personnel compétent, il nous faut du logement, parce qu'ils ne peuvent pas faire un essai en prenant un appartement pour trois mois. » Ici, la part des résidences secondaires est de 41 %. Le maire vient de faire voter l'interdiction d'en construire de nouvelles. Une solution efficace, mais tardive et incomplète, selon le journaliste Benjamin Keltz. Après deux ans d'enquête, il a écrit à ce sujet le livre Bretagne secondaire. « Maintenant, il faut permettre aussi une mixité dans le profil des habitants à l'année. La plupart des nouveaux habitants aujourd'hui sur les littoraux, cela reste des retraités. Une des problématiques, c'est qu'ils vieillissent, donc on va avoir une bombe sociale possiblement en puissance : c'est que si on a des gens qui viennent vieillir sur les littoraux, mais qu'on n'a pas les petites mains pour pouvoir les accompagner dans leur vieillissement, ça va créer des tensions qui vont être énormes à l'avenir », analyse Benjamin Keltz. Il propose donc d'autres leviers d'actions, comme le viager public : une mairie rachète progressivement un logement. Une fois le vendeur décédé, la mairie peut ensuite revendre le bien, en exigeant qu'il devienne une résidence principale. À lire aussiEspagne: importantes manifestations contre la hausse des loyers et le manque de logements
Dans un contexte international marqué par une augmentation des dépenses de défense, le réarmement de l'Otan, dans la prochaine décennie, pourrait générer en France, un marché annuel de 45 milliards d'euros et entrainer la création de plus de 500 000 emplois. Mais la capacité industrielle tricolore est aujourd'hui sous-dimensionnée pour répondre à l'accroissement de la demande. Un immense défi capacitaire doit être relevé si Paris veut conserver la deuxième place mondiale en matière d'exportations d'armes. [Rediffusion] La France est-elle prête à répondre aux enjeux du réarmement ? La question donne des sueurs froides aux acteurs de la Base industrielle et technologique (BITD) de défense tricolore dont les outils de production sont déjà occupés à plus de 90%. La Caisse des dépôts, bras armé de l'État pour les questions économiques et industrielles, met en exergue - dans un rapport publié fin juin - les faiblesses d'un tissu industriel, qui n'est pas calibré pour faire face à un saut d'échelle. Or c'est maintenant que tout se joue, pointe Romain Lucazeaux du SCET, le cabinet de conseil de la Caisse des dépôts, auteur du rapport : « La problématique de la BITD française est de passer d'un modèle artisanal, adapté aux besoins de la France qui est une petite-grande puissance, à une BITD capable de servir les besoins de nos partenaires de l'Otan, notamment les marchés allemands et polonais. Il y a une opportunité à ne pas rater et cela demande une montée en puissance, une prise de risques, mais aussi la capacité à s'internationaliser et donc la capacité à mener des stratégies commerciales et cela coûte de l'argent cela implique des compétences que les acteurs français n'ont pas forcément, notamment les PME (petites et moyennes entreprises) et certaines ETI (entreprises de taille intermédiaire) ». L'industrie doit parvenir à s'ancrer dans les territoires L'Otan a officialisé les 5% de PIB pour la défense. Les financements arrivent, note la Caisse des dépôts et la clé du succès, insiste Romain Lucazeaux, repose sur l'attractivité des territoires. « Les acteurs de la défense sont à l'orée d'une transformation massive de leur processus interne, de leurs gestes métiers, de leur manière d'organiser leur production. Il va falloir passer de la petite série à un monde industriel. Les écosystèmes industriels français sont confrontés à un certain nombre de difficultés. Il y a une géographie de la défense qui hérite du 19e siècle et donc les entreprises sont situées plutôt à l'ouest et au sud, c'est-à-dire loin de la frontière allemande. Sauf que nos capacités manufacturières ne sont pas forcément là. La question est de savoir si nous aurons assez d'ingénieurs, de techniciens supérieurs, est-ce qu'on a les bons programmes de recherche et développement collaboratifs dans lesquels plusieurs entreprises s'associent avec une université, un centre de formation pour construire des solutions avancer ensemble, chasser en meute... Tout cela demande que la mayonnaise prenne dans un territoire donné. Ce ne sont pas des solutions nationales, mais bien territoriales. Le risque est que l'on ait les financements, la meilleure technologie, une armée d'emploi qui valorise la production, mais que l'on ne trouve pas les employés et les projets qui permettent à ces écosystèmes d'être performants ». Des centaines de milliers d'emplois sont en jeu Rester le deuxième exportateur mondial, c'est le défi français, un objectif atteignable à la condition de se concentrer dans certains secteurs clés comme les équipements de pointe, souligne Romain Lucazeaux : « Vous avez deux niveaux d'exportation, vous avez des choses qui relèvent de la plateforme. Exemple : je vends des Rafale, et vous avez des équipements. Les équipements, c'est beaucoup moins visible, moins spectaculaire, mais la question de notre capacité à fournir des équipements, c'est-à-dire ce que l'on retrouve dans les plateformes, les chars et les avions, c'est quand même de la valeur ajoutée forte qui est créée. Notre sujet, c'est bien d'arriver à exporter et dans ces secteurs très porteurs, il existe des retombées en matière de création de richesse et d'emplois qui peuvent être massives ». La BITD répartie au sein de plus de 4 000 entreprises pourrait ainsi dans les dix prochaines années créer de 500 000 à 800 000 emplois, qu'ils soient directs, indirects ou induits.
durée : 00:03:15 - Vacances des agriculteurs dans l'Yonne : des services pour leur permettre de faire une pause - Comme tout le monde ils ont droit à des vacances : mais quand on est agriculteur, le sentiment de devoir abandonner son exploitation fait passer l'envie à certains de prendre des congés. Pour y remédier, un service de remplacement existe dans l'Yonne. Exemple à Charny-Orée-de-Puisaye. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans ce 129 ème épisode, je vous partage mon "summer mix IA" des outils d'IA testés cet été pour s'amuser, créer, expérimenter…Entre deepfakes amusants, remix musicaux, photos augmentées et jeux pour les enfants, vous allez voir : l'IA peut aussi rimer avec fun. D-ID ou HeyGen – Pour créer une vidéo deepfake drôle ou bluffante Idéal pour surprendre vos amis, faire un post LinkedIn créatif ou créer une intro de formation qui ne passe pas inaperçue.Avec D-ID ou HeyGen, vous pouvez :Faire parler un avatar qui vous ressemble (ou pas !)Traduire votre message dans 20 langues avec synchronisation labialeCréer une fausse “interview de vous par vous-même” Exemple d'usage fun : “Bonjour, je suis Élodie du futur, et voici ce que j'aurais aimé savoir avant l'été…”Un outil à tester si vous aimez surprendre ou créer du contenu original avec une touche humoristique.Suno – L'appli pour générer vos propres musiques en 2 clics Idéal pour créer une playlist de vacances 100% personnalisée, ou mettre en musique vos contenus (vidéo, podcast, stories…)Avec Suno AI, vous tapez un prompt du type : “Summer chill pop avec des vibes électroniques et des paroles sur l'IA qui prend des vacances.”Résultat : une chanson de 2 minutes avec des paroles, une mélodie et même une voix chantée !J'ai testé le tube de l'été avec un extrait à découvrir dans cet épisode : Ocean over Peaks : C'est improbable, mais addictif.Remini / PhotoRoom / Playground AI – Pour transformer vos photos de vacances Idéal pour ajouter une touche artistique à vos souvenirs ou créer des visuels stylés sans y passer des heures.Quelques usages :Remini pour améliorer une photo floue ou agrandir un détail sans perte de qualitéPhotoRoom pour détourer et changer l'arrière-plan (vous en train de “travailler” sur une plage des Maldives ?)Playground AI pour styliser vos photos façon “carte postale IA” (dessin, cartoon, aquarelle…)Parfait pour créer des souvenirs créatifs ou alimenter vos réseaux sans effort.Scribble Diffusion – Dessine un gribouillis, il en fait une œuvre ! Idéal pour jouer avec les enfants, créer des logos rigolos, ou s'amuser à dessiner sans talent.Scribble Diffusion, c'est un outil magique :Vous dessinez un croquis ultra-simple (ex : un bonhomme, une maison, une glace…)L'IA le transforme en image réaliste ou stylisée, selon votre prompt.Testé avec des enfants, ça déclenche des fous rires et de belles idées créatives.ChatGPT en mode jeu : “invente-moi une histoire, un jeu ou un quiz d'été” Idéal pour occuper petits et grands, faire un quiz apéro, ou écrire un mini-roman de l'été en famille.Quelques idées de prompts fun à tester :“Invente une chasse au trésor sur la plage pour des enfants de 6 à 10 ans.”“Fais-moi un quiz rigolo sur les inventions IA absurdes.”“Écris-moi une mini-histoire dont je choisis les rebondissements.”Vous pouvez même créer des jeux de rôle ou des devinettes à thème (plage, montagne, barbecue…).Conclusion : Et si l'IA, c'était aussi du jeu ? On parle souvent d'IA pour travailler mieux, aller plus vite, optimiser.Mais l'IA, c'est aussi une porte ouverte sur l'imaginaire, la créativité, le fun.Et cet été, c'est le moment idéal pour tester ça sans pression.Alors, amusez-vous avec D-ID, Suno, Scribble Diffusion, ChatGPT…Et surtout, laissez place à l'expérimentation — c'est là que naissent souvent vos meilleures idées Et vous ? Quel outil IA fun vous avez testé cet été ?Partagez-le-moi sur LinkedIn, je le glisserai peut-être dans un prochain épisode Soutenez le podcast :✅ Abonnez-vous à DigitalFeeling sur LinkedIn
Cette semaine dans Le Cheat Code
Si ChatGPT, Gemini ou encore Grok progressent aussi vite, c'est en grande partie grâce à un ingrédient-clé : les données massives disponibles sur Internet. Et désormais, on sait un peu mieux d'où elles proviennent. Une infographie publiée par Statista a analysé les réponses fournies par ChatGPT, Perplexity, AI Overviews et le mode IA de Google pour déterminer quelles sources ces intelligences artificielles exploitent le plus.En tête du classement, surprise : Reddit apparaît dans 40 % des réponses, loin devant Wikipedia (26,3 %), YouTube (23,5 %) et même Google (23,3 %). Autrement dit, le savoir collectif et les discussions informelles des internautes sont au cœur de l'entraînement des IA. Des plateformes comme Yelp, Tripadvisor ou Facebook fournissent aussi des données précieuses… et gratuites. C'est là que le débat s'ouvre : combien de temps encore ces trésors de contenu généré par les utilisateurs resteront-ils exploitables librement ? Déjà, les ayants droit peinent à faire respecter leur propriété intellectuelle. Et pour le contenu du domaine public, la récolte continue, sans que ses auteurs touchent quoi que ce soit.Exemple parlant : depuis juin, Meta utilise vos données personnelles pour entraîner son IA, Meta AI, sauf si vous vous y êtes formellement opposé. Tout ce que vous publiez ou commentez sur Facebook, Instagram, WhatsApp ou Messenger entre dans ses bases d'apprentissage. Pour l'instant, Meta AI est optimisée pour le public américain, mais la firme veut adapter son outil aux usages et à la culture européenne. En clair, vos interactions en ligne pourraient bientôt façonner un modèle pensé pour mieux répondre… à vous. Derrière la magie des réponses fluides et “intelligentes” des IA, il y a donc un constat simple : elles se construisent sur nos traces numériques, offertes souvent sans que nous en mesurions vraiment la valeur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après avoir couru un semi-marathon ou disputé un match de foot, les robots passent à l'étape supérieure. La semaine prochaine, Shanghai va accueillir la toute première édition des World Humanoid Robot Games. Un événement inédit qui rassemblera plus de 500 robots issus de 127 entreprises, venus se mesurer dans une série d'épreuves sportives et artistiques. Au programme : football, basketball, tennis de table, combat libre… mais aussi danse en groupe et démonstrations techniques simulant des situations réelles. L'objectif ? Évaluer la mobilité, la réactivité et la coordination de ces machines, tout en offrant un spectacle digne des compétitions humaines.La télévision publique chinoise a déjà donné un aperçu : des robots dribblant un ballon, esquivant des coups sur un ring ou exécutant des gestes précis inspirés de sportifs professionnels. Les compétitions se dérouleront dans plusieurs enceintes de la ville, spécialement aménagées pour accueillir les épreuves et des zones d'exposition. Les participants viennent de tous horizons : start-up, géants de la tech, universités et laboratoires de recherche. Mais derrière le show, il y a un enjeu économique majeur. L'industrie chinoise des humanoïdes est en pleine accélération, portée par des investisseurs de poids comme Tencent ou Alibaba. Certaines entreprises se préparent déjà à entrer en bourse, profitant d'un atout clé : une production locale intégrée, capable de fournir à la fois les composants mécaniques et électroniques. Résultat : des coûts plus bas et des prix agressifs.Exemple marquant : Unitree a récemment lancé un humanoïde à environ 6 000 dollars. Un tarif qui ouvre le marché à des secteurs jusque-là exclus de ce type de technologie. L'objectif des fabricants est clair : rendre ces robots polyvalents, capables de passer de tâches simples à des missions plus complexes. Les Jeux de Shanghai serviront ainsi de vitrine mondiale, montrant non seulement la prouesse technologique, mais aussi le potentiel commercial de ces machines… qui n'ont pas fini de nous courir après. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invités : - Général Jacques Morel, général de Gendarmerie, ancien patron section recherches Versailles - Arno Klarsfeld, avocat et écrivian - Wandrille de Guerpel, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ils sont treize et leurs photos sont à la Une de Cameroon Tribune. Treize candidats à la présidentielle d'octobre prochain, dont, le sortant, Paul Biya, 92 ans, qui brigue un 8e mandat… Et un absent de marque, donc : Maurice Kamto, le principal opposant, dont la candidature a été rejetée par Elecam, le Conseil électoral camerounais. « L'annonce a aussitôt fait l'effet d'un coup de tonnerre dans les médias camerounais, relève Le Point Afrique, même si beaucoup redoutaient ce scénario. Le Jour, quotidien de Douala, parle d'un “verrouillage politique assumé“, tandis que Mutations dénonce un “processus électoral biaisé dès l'entame“. Mutations qui s'interroge : “comment parler d'élections libres et crédibles quand le principal challenger est évincé sans motif officiel ?“ » Le Journal du Cameroun nous explique la raison de ce rejet : « son parti d'origine le MRC n'ayant pas d'élus, il lui était difficile d'investir Maurice Kamto comme candidat indépendant au regard de l'article 121 du code électoral qui impose 300 signatures. Pour contourner l'obstacle, l'opposant a démissionné du MRC pour adhérer au Manidem. Ce parti dirigé par Anicet Ekane l'a investi candidat à la présidentielle ». Mais une personnalité issue du même parti, Dieudonné Yebga, est venue troubler le jeu, en se présentant candidat également. Et comme un parti ne peut présenter qu'un seul candidat, le Conseil électoral a invalidé les deux candidatures. Incompréhension et indignation au sein de l'opposition… Incompréhension car, souligne Le Journal du Cameroun, « d'autres partis politiques ont investi deux candidats. Et l'un des deux a été accepté. Exemple, au RDPC, parti présidentiel, le président Paul Biya a été accepté contre Léon Theiller Onana, rejeté. Et, autre exemple, au parti UNIVERS, Akere Muna a été accepté tandis que Chantale Adélaïde Membouet a été rejetée ». Et pour sa part, Anicet Ekane, le président du Manidem s'indigne… Dans une interview exclusive à Jeune Afrique, il affirme détenir des preuves accablantes et annonce déposer un recours devant le Conseil constitutionnel. « Maurice Kamto et le Manidem sont victimes d'une opération mafieuse, déclare-t-il. Nous avons constaté des manipulations grossières. (…) Nous avons des preuves qui démontrent clairement une orchestration politique, avec la complicité du pouvoir ». Une candidature unique de l'opposition ? En tout cas, souligne Afrik.com, « ce rejet de Kamto bouleverse le paysage politique camerounais. Le leader du MRC était perçu comme le principal challenger capable d'inquiéter le régime de Paul Biya. Son éviction affaiblit mécaniquement l'opposition et fragilise toute tentative de front commun. Pourtant, certains acteurs appellent à une coalition. Paul Mahel, conseiller et porte-parole d'Akéré Muna, estime que Kamto, même hors course, peut encore jouer un rôle déterminant en soutenant une candidature unique de l'opposition : “il peut encore peser sur l'issue du scrutin s'il apporte son soutien à une dynamique d'unité“. Mais cette hypothèse reste fragile, relève Afrik.com, tant l'opposition camerounaise peine, depuis des années, à s'unir durablement. Si quelques figures comme Akéré Muna ou Cabral Libii plaident pour une candidature de rassemblement, les ambitions personnelles et les querelles de leadership rendent ce scénario incertain. Maurice Kamto, quant à lui, n'a pas encore publiquement indiqué s'il soutiendrait un autre candidat en cas de rejet définitif ». En effet, insiste Le Pays à Ouagadougou, « n'ayant plus rien à perdre, Maurice Kamto pourrait sonner le rassemblement de tous les candidats de l'opposition (…). Mais, est-il seulement capable de ce supplément d'âme ? Pas si sûr, surtout quand on sait qu'en politique et au Cameroun surtout, chacun préfère être tête de rat que queue d'éléphant ? » Indéboulonnable… Et on revient au Point Afrique qui note qu' « au milieu de ce tohu-bohu, Paul Biya reste fidèle à son image : distant, impassible, insaisissable. (…) À 92 ans, celui qui dirige le Cameroun depuis plus de quatre décennies pourrait battre un nouveau record mondial de longévité au pouvoir. Invisible depuis plusieurs mois, son état de santé continue d'alimenter les spéculations. Dans les rangs du régime, nul besoin de programme ni de bilan. Seule la “stabilité“ est érigée en argument. Cameroon Tribune, le quotidien officiel, martèle qu'“un Cameroun en paix vaut mieux qu'une alternance risquée“. La rumeur d'un passage de témoin à son fils Franck Biya, jamais confirmée mais jamais démentie, alimente les soupçons de succession dynastique ». Enfin, Le Point Afrique note encore ce commentaire de La Voix du Centre, hebdomadaire de Bafoussam : « on nous offre un culte monarchique à défaut d'un débat démocratique ».
Le pays peine à mobiliser trois ans après l'invasion russe, alors écrit Marianne le Parlement a autorisé il y a un an le recrutement dans les prisons. Et depuis, c'est parmi 37 000 détenus que l'armée peut aller chercher de nouvelles recrues. C'est le cas dans une prison de la région de Kiev. Les soldats recruteurs s'y rendent pour rencontrer une dizaine de prisonniers volontaires au milieu des murs rose pastel d'une bibliothèque aux rayonnages qui débordent de livres. « Je vais être clair, chez nous, il y a des règles strictes qu'il ne faut pas enfreindre sinon la sanction est sévère : pas d'alcool, pas de drogue, pas de désertion », peut-on lire dans les colonnes de Marianne. Et le recruteur de poursuivre « vous vous ferez bombarder fort, ce qu'on vous propose, c'est une excellente formation et du sérieux ». Parmi les prétendants ce jour-là, Sasha, 35 ans, qui a tué une femme qui tenait des propos pro-russes en 2024. Mais il n'a pas purgé le tiers de sa peine de neuf ans et ne pourra donc pas intégrer l'armée. 100 000 morts en trois ans, un conflit qui n'en finit pas de durer. En un an, 8 500 prisonniers ont été recrutés de la sorte. Combien rentreront chez eux en vie ? Difficile à dire, mais les surveillants de prison font de la résistance, poursuit Marianne, pas fan du dispositif, car s'il y a moins de prisonniers il y aura moins de postes de matons et donc plus de chances qu'ils soient, eux aussi, envoyés sur le front… Le Nouvel Obs s'intéresse aussi à un ancien prisonnier des geôles ukrainiennes entré dans l'armée. Mais son parcours est nettement plus atypique, pour ne pas dire chaotique, parce qu'il a été soldat russe avant. Pour V, il préfère l'anonymat, tout commence en 2023 détaille le Nouvel Obs, il se fait arrêter pour fraude fiscale, et est emprisonné. Et c'est là qu'en premier lieu l'armée russe s'intéresse à lui. « Soit tu vas te battre et tu touches la prime d'engagement, un million de roubles, 11 000 euros et 200 000 roubles par mois, 2200 euros. Soit, tu rempiles pour huit ans de prison ». Le choix est vite fait et le jeune homme se retrouve en camp d'entraînement avant de rejoindre le « hachoir à viande ». C'est le terrible surnom donné aux lignes d'assaut, un taux de survie très faible, les soldats envoyés en première ligne servent de chair à canon. Il se souvient que sur le front de nombreux corps de soldats russes morts pourrissent, jamais ramassés par les autorités qui évitent ainsi de devoir dédommager les familles des morts au combat. V. finit par s'échapper, poursuit le Nouvel Obs. Il se rend aux Ukrainiens, devient prisonnier de guerre, étonné du relatif bon traitement que lui réservent les soldats de Zelensky, il finit par s'engager à leur coté. « Mon rêve, c'est de faire venir ma mère et mon frère en Ukraine, conclut-il, je ne veux plus rien avoir à faire avec la Russie ». Les coulisses du G7 Au-delà des photos soigneusement préparées et des prises de paroles millimétrées, l'écrivain Emmanuel Carrère a suivi Emmanuel Macron dans les coulisses de ce sommet des plus puissants des puissants. À la mi-juin, au Canada, « l'exercice d'un tel sommet, c'est de se faire entendre sans donner l'impression qu'on fait la nique à Trump » rapporte Carrère dans le Nouvel Obs. Son récit, c'est celui des coulisses, des tractations silencieuses, des protocoles qui pèsent, des volontés de ne froisser personne. Costumes sombres et cravates pour les hommes, tailleurs stricts pour les femmes. Ils sont 1 500 dans les délégations à arpenter les salons d'un hôtel façon Shining flanqué au beau milieu de nulle part dans les plaines du Canada. Et le romancier de poursuivre « au bout d'une heure et demi, on est donc comme prévu arrivé à rien ». Dans Le Point, on s'intéresse au phénomène Meloni Qui s'affiche tout sourire en Une avec un petit village de Ligurie en fond, carte postale et géopolitique un combo toujours gagnant. Et on y lit qu'en mille jours la cheffe du gouvernement a su « imposer son pragmatisme ». Arrivée au pouvoir en septembre 2022, son gouvernement est rentré dans le top 5 de ceux avec le plus de longévité. Alors comment caractériser le style Meloni ? Le Point parle donc d'un « pragmatisme » revendiqué, d'une chef de gouvernement qui a su « imposer son équilibre politique de haute lutte », dans un pays habitué au chaos. Et même dans les rangs de la droite européenne, on salue son sérieux : elle devient « une partenaire sérieuse, crédible et raisonnable », là où on l'attendait isolée. Le Point rappelle que ses adversaires se font rares. À mi-mandat, aucun contre-projet ne perce, aucune figure n'émerge. Et quand elle parle, elle imprime. Exemple : au Conseil européen de février 2023, elle revendique l'introduction de « sept à huit propositions italiennes » sur l'immigration, et parle d'une « grande victoire pour l'Italie ». Une sortie qui avait laissé « un peu souffler » les diplomates français. Trois ans après son arrivée au pouvoir, Giorgia Meloni est toujours là, plus centrale que jamais. Elle agace, mais elle avance. Et, comme l'écrit Le Point, elle pourrait bien, d'ici 2027, doubler la mise.
Merci à mon partenaire d'amour - Notion ❤️ - de sponsoriser cet épisode.Il y a quelques années, mon organisation, c'était : des post-its, des notes éparpillées, et des projets que je perdais de vue.Franchement, c'était un cauchemar. Et puis j'ai découvert Notion, mon partenaire depuis 3 ans, et là, tout a changé. Dis-moi si ça te parle :T'as des idées partout mais rien de centralisé.Tes deadlines te glissent entre les doigts.Et ton agenda ressemble plus à un champ de bataille qu'à un outil."Je vivais ça aussi, mais maintenant, j'ai tout dans Notion." Notion, c'est comme ton bureau numérique :→ Pour tes projets : tu crées des tableaux ou des kanbans pour suivre chaque étape.→ Pour tes idées : une page dédiée où tu peux ajouter des notes, des liens, ou même des vidéos.→ Pour ton planning : un agenda intégré qui s'adapte à ton style de travail. Exemple perso :J'ai une page pour mon podcast, avec les épisodes, les invités, et les deadlines.Tout est clair, et je ne perds plus une minute. Le résultat ?J'ai doublé ma productivité et retrouvé une organisation qui me correspond à 100 %. Et en plus, avec Notion, on t'offre 6 mois gratuits si tu es nouveau client (toutes les conditions s'appliquent).
Invités : - Louis de Raguenel, journaliste politique - Grégory Joron, secrétaire Général UNITE - Olivier Benkemoun, journaliste CNEWS - Patrick Martin-Genier, spécialiste des relations internationales - Bernard Cohen-Hadad, président du cercle de réflexion Etienne Marcel Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est les vacances !! Et pour fêter ça, on a décidé de faire nos valises et partir en road trip entre potos pour explorer les réseaux sociaux dans les autres pays du globe ! T'es chaud de nous suivre ? Aller viens, on commence avec l'Inde."Décollage d'avion à Charles de Gaulle"Bienvenue en Inde, le véritable labo XXL des réseaux sociaux !Dans cet épisode spécial Road Trip du Super Daily, on vous embarque dans un pays où les chiffres donnent le vertige :Plus d'un demi-milliard d'utilisateurs des réseaux900 millions d'internautes attendus en 2025Une croissance à fond les ballons : +6,5 % en un anIci, tout se passe sur mobile : 85 % des internautes indiens surfent exclusivement sur smartphone. Et avec des forfaits 5G à 2 euros par mois (merci Jio), pas étonnant que la vidéo courte explose.YouTube règne en maître avec 491 millions d'utilisateurs actifs par mois.Les Indiens y passent en moyenne 29 heures par mois. Et depuis que TikTok a été banni en 2020, YouTube Shorts est devenu le roi incontesté du scroll.Mais ce n'est pas tout : en Inde, chaque langue a sa star.Avec ses 20 langues officielles, le contenu est ultra localisé et multilingue. Exemple : la chaîne Tugu One en langue Telugu dépasse les 11,5 millions d'abonnés et cartonne avec 9 milliards de vues annuelles.On vous parle aussi de ShareChat, un réseau social 100 % indien, pensé pour les zones rurales et les langues régionales.350 millions d'utilisateurs mensuels80 % de vidéo70 % d'utilisateurs de moins de 35 ansUn vrai "Facebook rural", version India StyleEt vous pensiez que l'influence, c'était une affaire de grandes villes ?Détrompez-vous : bienvenue dans la ruralité digitalisée.Zoom sur Village Cooking Channel : une chaîne YouTube menée par un grand-père traiteur et ses petits-fils, qui régalent 28,7 millions d'abonnés avec de la cuisine traditionnelle filmée au cœur des villages.Bonus : on vous raconte l'histoire incroyable du “curry de paon”, qui a mis l'Inde en ébullition après qu'un youtubeur a cuisiné l'oiseau national protégé. Ambiance scandale, indignation nationale et débats enflammés sur les réseaux.Et évidemment, impossible de parler d'Inde sans évoquer Bollywood.Instagram y est devenu le terrain de jeu préféré des stars :Priyanka Chopra : 92 millions de followers50 à 70 % des budgets marketing de films passent désormais sur les réseauxLes musiques de films cartonnent sur Reels, et la diaspora indienne (18 millions de personnes dans le monde) est ultra engagéeEn Inde, les plateformes testent le futur avant tout le monde :Instagram Reels y a été lancé avant la France, et aujourd'hui, l'intelligence artificielle, les filtres en réalité augmentée ou encore les formats immersifs y sont déjà bien installés.Bref, l'Inde, c'est :Une créativité débordanteUne population jeune et ultra connectéeDes formats à consommer à toute vitesseEt une vibe unique qui inspire le monde entierAttachez vos ceintures, on vous emmène au pays des scrolls infinis et des idées folles.L'Inde, c'est plus qu'un marché : c'est un monde à part.À écouter dans Le Super Daily – Épisode spécial Inde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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"J'ai un truc qui plait à certaines personnes et que d'autres détestent : c'est que je suis très intense." (Vidéo ici)Je reçois Theo Avoyne - fondateur de Candix : une nouvelle startup IA qui met en relation les meilleurs talents Tech avec les meilleures startups.Theo n'a jamais été en CDI.Il a démarré en freelance où il a développé une expertise en automatisation et en productivité - avant de créer divers projets.Exemple : une app qui permet de générer une attestation de déplacement en plein Covid (les beaux souvenirs).Il ne l'a pas monétisée - il explique pourquoi.Mais avec Candix, c'est autre chose : il vient chambouler les codes du recrutement, et génére seul plusieurs centaines de K€ en quelques mois.Dans cet épisode, on discute des problématiques majeures du recrutement, de la puissance de l'IA dans l'optimisation des mises en relation, et la composante humaine derrière chaque CV.Il me aussi partage son expérience de solo founder : la rigueur, la passion et l'intensité qui guident son quotidien malgré son rôle de papa.
Dans le supplément de ce samedi, en première partie, l'océan. Vient de s'achever à Nice, en France, la 3è conférence des Nations unies sur l'océan alors que le changement climatique rend plus difficiles les nombreux défis à relever dans cet espace qui représente tout de même 70% de la planète. À l'ordre du jour, entre autres, les menaces sur la pêche nourricière. Exemple, en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs de nos reporters sont partis recueillir des témoignages de pêcheurs sur les rivages ouest-africains. En deuxième partie, nous traitons de l'immigration venue d'Afrique à destination de l'Europe. La Tunisie est un point de passage privilégié avant la très risquée traversée de la Méditerranée, et les autorités tunisiennes sont engagées dans un processus d'endiguement de cette migration Sud-Nord. Communautés de pêcheurs ouest-africaines, menace sur la ressource Toute cette semaine, la ville de Nice dans le sud de la France accueille la troisième conférence des Nations unies sur l'océan. L'océan, qui occupe 70% de notre planète, est sous pression du changement climatique et malmené par l'activité humaine. Au point, parfois, de ne plus offrir aux populations des littoraux les ressources nécessaires. C'est le cas en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs reporters de RFI sont allés à leur rencontre en Guinée, en Sierra Leone, au Ghana et au Sénégal. Un Grand reportage de Laurent Correau. Avec Lizza Fabbian, Léa-Lisa Westerhoff, Juliette Dubois, Kpénahi Traoré, Tangi Bihan, Victor Cariou. Entretien avec Jacques Allix. Tunisie : une lutte contre l'immigration, au bénéfice de l'Europe La Tunisie refuse d'être un pays d'accueil et de transit pour les migrants subsahariens. Une politique martelée par les autorités depuis 2023, dans la foulée des propos polémiques du président Kaïs Saïed sur le risque d'un changement démographique de la Tunisie à cause de l'immigration. Depuis, les contrôles des migrants en situation irrégulière se sont accentués. Leur vie est devenue quasi-impossible. La gestion de ce flux migratoire venu du Sud fait polémique en Tunisie, mais reçoit le soutien implicite des puissances européennes, soucieuses d'endiguer les nombreuses arrivées à leurs frontières. Un Grand reportage de Lilia Blaise qui s'entretient avec Jacques Allix.
Épisode 1330 : Influenceurs, créateurs de contenu, UGC, contenus incarnés , c'est quoi la diff ? Il y a confusion. Tout se mélange. Ce matin on va essayer d'y voir plus clair.Une marque incarnée, c'est quoi ?C'est une marque qui prend la parole comme une personne.Une marque qui ne parle pas au consommateur, mais à l'individu.Une marque qui s'adresse à nous d'humain à humain.Pas besoin de tutoyer. Pas besoin d'en faire trop.Il s'agit simplement d'instaurer une relation sincère. De faire passer une intention. Une émotion.Dans un monde où tout le monde crie pour exister, l'incarnation permet d'établir un lien. Un vrai.—Faire incarner le contenu par des employésC'est la forme la plus naturelle. La plus authentique aussi.On parle ici d'employee advocacy. Et ça fonctionne très bien.—Faire un casting et produire du contenu incarnéC'est ce qu'on fait parfois nous chez Supernatifs.On choisit un ou une porte-parole. Une personne que l'on a cassé spécialement pour le rôle.On lui écrit des textes, on le coache, on le filme.C'est un format très efficace pour la vidéo.Ça peut être du facecam, du micro-trottoir, du storytime…—Faire appel à des micro créateurs ou créatrices de contenu UGCAutre solution : s'appuyer sur ceux qui ont un ton, et une expertise dans l'incarnation, la production vidéo ou le montage.Les créateurs peuvent incarner un message de marque à leur façon. Ils ont leur propre voix, leur propre style. Et souvent, une bonne dose de créativité.Exemple avec Decathlon qui fait appel à de nombreux petit créateurs de contenu pour soutenir sa production de contenu TikTok. —Faire de l'influence marketing avec des vrais créateurs de contenuOn parle ici d'une forme classique de marketing d'influence.L'influenceur incarne le message. Mais il le fait dans un cadre très défini.C'est efficace pour toucher massivement une cible précise.Mais c'est parfois perçu comme trop commercial. Trop calibré.La clé ? L'alignement. Il faut que le ton, les valeurs, l'univers collent à la marque.C'est par exemple ce que l'on met en oeuvre pour Botanic en organisant un partenariat durable avec la créatrice de contenu Ophélietamerenature. —Sourcer du vrai User Generated Content et laisser parler ses clientsDernière option : ne pas produire soi-même. Mais mettre en avant les contenus produits par sa communauté.C'est l'utilisateur qui parle. Et la marque qui relaie.Exemple : GoPro et ses contenus spectaculaires 100% UGC.C'est puissant. Car c'est perçu comme désintéressé. Authentique.Mais ça suppose une vraie stratégie de curation. https://www.instagram.com/p/DJpAkfCCqZM/Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, l'océan. Entre le sommet de demain (lundi 9 juin 2025) à Nice et les travaux préparatoires de ces derniers jours, la tâche est importante, l'océan recouvre 70% de la planète, il est victime du changement climatique et de toutes les pollutions. La haute mer demeure encore vierge de réelle réglementation et cet espace est pourtant un gros atout pour la planète Terre. Entre autres, bien des populations vivent de la pêche. Exemple : le Groenland autonome du Danemark et lié à l'Union européenne, le secteur de la pêche est essentiel pour la population... En seconde partie, une rébellion nationaliste et musulmane, une guérilla oubliée à l'ordre du jour aujourd'hui, nous serons dans le sud profond de la Thaïlande. La pêche, quel avenir pour la mer nourricière du Groenland?Grand reportage vous emmène aujourd'hui au Groenland... Le territoire est autonome du Danemark et lié à l'Union européenne par un statut spécial, mais géographiquement il fait partie de l'Amérique du Nord. Et il intéresse le président américain… « Nous l'aurons d'une manière ou d'une autre », a même déclaré Donald Trump, n'excluant pas la force.Ses minerais, sa position stratégique, ce carrefour des routes de l'Arctique font rêver la Maison Blanche.Mais loin des projecteurs et des tensions géopolitiques de premier plan, la grande richesse du Groenland, en réalité, c'est la pêche.Dans le contexte de la conférence internationale sur les océans qui se tient en France, nous plongeons dans un secteur qui fait vivre la majeure partie de cette gigantesque île du grand Nord.Un Grand Reportage de Justine Fontaine, avec la collaboration de Patrick Abrahamsen. Entretien avec Jacques Allix. Grand Sud thaïlandais: l'insurrection oubliéeC'est une guérilla dont on parle peu. Dans la longue pointe sud de la Thaïlande, à la frontière de la Malaisie, loin des caméras, les provinces thaïlandaises de Yala, Pattani et Narathiwat sont en proie à un conflit entre l'État central de Bangkok et un groupe armé séparatiste musulman. Bilan : plus de 7 700 morts depuis 2004. Le massacre, cette année-là, de manifestants musulmans d'origine malaise, toujours impuni, a laissé des traces. Elle continue de hanter toute la région. En témoigne la résurgence des violences meurtrières depuis le début de cette année.Un Grand reportage de notre correspondant à Bangkok, Valentin Cebron qui s'entretient avec Jacques Allix.
Dans le supplément de ce samedi, en première partie, l'océan. Le premier grand sommet international sous l'égide de l'ONU lui est consacré. Ce sera la semaine prochaine à Nice, en France. Et déjà, cette semaine, scientifiques et société civile se sont penchés sur cette immensité de bleu dont la souffrance a plus d'un impact sur l'ensemble de la population mondiale. 2 semaines d'intenses travaux pour parler de changement climatique, de pêche, de pollution, d'exploitation des grands fonds entre autres... Grand reportage sur ce thème nous transportera la semaine prochaine en Afrique et en Océanie. Aujourd'hui direction la France, peut-on contrer la montée du niveau des mers, non pas à grands renforts de digues mais grâce à des solutions beaucoup plus naturelles. Réponse, plutôt oui, en métropole et aux Antilles... En deuxième partie, direction la Turquie qui est devenue une terre d'asile pour certains Français à la recherche d'éthique islamique, nous les retrouvons à Alanya. Face à la montée des eaux, la nature peut nous rendre serviceD'ici la fin du siècle, les scientifiques estiment que le niveau des mers pourrait augmenter d'1 mètre à cause du réchauffement climatique.11% de la population et 14% du PIB mondial pourraient ainsi prendre l'eau. Des centaines de km de digues et de barrières ont été construites.Mais pour faire barrage, d'autres territoires optent plutôt pour des solutions plus naturelles. Exemple en France.Un Grand reportage de Jeanne Richard qui s'entretient avec Jacques Allix.Alanya, le refuge turc des musulmans qui ont choisi de quitter la FranceGrand reportage nous emmène aujourd'hui en Turquie, à la rencontre de ces Français de confession musulmane qui ont choisi de quitter la France. Ils se sont installés à Alanya, station balnéaire du sud du pays, connue pour ses plages de sable banc et son eau cristalline. Et plus précisément dans des résidences francophones dites résidences islamiques. Cette initiative est unique en Turquie.Les résidences ont été conçues de manière à respecter l'éthique islamique, avec une piscine réservée aux femmes, un spa et une salle de sport séparés en fonction du sexe, ou encore un accès direct à la mosquée d'à côté.Sur le papier, tout cela promet de pouvoir vivre sa foi loin des controverses liées à l'islam.Mais sur place, ces Français font face à quelques difficultés…Un Grand reportage de Manon Chapelain qui s'entretient avec Jacques Allix.
Au Sénégal, c'était une première, les architectes de tout le continent s'étaient donné rendez-vous à Dakar pour le premier symposium des architectes africains. Pendant trois jours, du 22 au 24 mai, une centaine d'architectes ont buché sur le thème « Repenser les villes africaines pour une perspective durable ». À la clef, une déclaration commune, une série de recommandations aux États du continent pour améliorer la qualité des villes. De notre correspondante à Dakar, Spéculations foncières, croissance galopante des villes et avec quelles solutions architecturales y faire face ? Une centaine d'architectes se sont succédé de table ronde en table ronde. Une rencontre inédite, comme le rappelle Angela Mingas, architecte, venue d'Angola : « C'est la première fois, c'est wow, ça fait plus de 10 ans qu'on ne s'est pas vu et c'est la première fois en Afrique, c'est très important. » Pour elle, c'est une rencontre cruciale : « Parce que les villes ont les mêmes problèmes à travers le continent, nous avons tous cette dualité d'un centre-ville hérité de la colonisation et d'une périphérie, même si nous sommes différents, nous partageons les mêmes défis, c'est donc une opportunité inédite pour échanger des connaissances. »Et pour Baba Seck Bali, un entrepreneur dans l'immobilier venu spécialement du Mali, il y a urgence à trouver des solutions communes : « Vous imaginez comment on va vivre à Dakar dans 20 ans, ça va être très compliqué. Trop de monde, trop d'embouteillages, trop de CO2. Le gros problème, c'est la spéculation. Malheureusement, les spéculateurs sont toujours en avance sur les planificateurs, ce qui fait que nos villes s'agrandissent dans un désordre total. »À lire aussiL'Afrique est le continent avec la «tendance d'urbanisation la plus rapide au monde»Face à ce désordre et pour rattraper les erreurs de l'urbanisation anarchique les architectes ont produit un mémorandum commun, une déclaration de Dakar qui veut - entre autres – corriger la ségrégation spatiale, héritée de la colonisation, réaffirmer l'importance d'utiliser les solutions et connaissances architecturales du continent adapté au continent, mais aussi encourager les États à adopter des normes de constructions plus durables.Exemple avec les briques de typha, du nom de cette plante qui pousse partout au Sénégal. Une brique bien moins polluante que le ciment. Encore faut-il en connaître l'existence comme l'explique Ernest Dione. Il codirige le bureau d'étude bio Build Africa « C'est une innovation qui demande une reconnaissance technique qui permette un recours plus systématique à ce type de brique durable comme pour la terre crue. »Pour cela, il faut aussi augmenter les capacités de production des entreprises qui la fabrique. D'énormes chantiers qui ne réussiront que si les États africains s'emparent de ces recommandations formulées par les architectes africains.
À la veille de la Conférence des Nations unies sur l'Océan qui s'ouvre à Nice, les projecteurs sont braqués sur l'économie bleue. Cette « blue economy », en pleine croissance, promet un avenir prospère pour les littoraux, tout en soulevant des questions cruciales sur sa durabilité. L'économie bleue regroupe l'ensemble des activités liées à la mer et aux océans, qu'elles soient traditionnelles – comme la pêche, le transport maritime ou le tourisme côtier – ou innovantes, comme les énergies marines renouvelables, les biotechnologies ou encore les câbles sous-marins. D'après la Banque mondiale, il s'agit de l'utilisation durable des ressources océaniques pour stimuler la croissance économique, améliorer les conditions de vie et préserver les écosystèmes marins.Rien qu'en Europe, cette économie représentait près de 236 milliards d'euros de valeur ajoutée brute en 2023, générant 5 millions d'emplois directs. Des secteurs comme l'éolien offshore explosent avec une croissance de +42 % en un an.Attrait des investisseurs mondiauxAvec un potentiel colossal, les fonds se mobilisent. Entre 2018 et 2023, 13 milliards d'euros ont été investis dans l'économie bleue en Europe. De nouveaux réseaux d'accompagnement, des fonds spécialisés et des institutions comme en France la Banque publique d'investissement ou la Caisse des Dépôts soutiennent activement le développement de cette filière stratégique.Des projets concrets émergent, à l'image des voiliers cargos, qui allient innovation technologique et faible impact environnemental. Mais pour atteindre les objectifs de l'ONU liés aux océans d'ici à 2030, il faudrait mobiliser 750 milliards d'euros supplémentaires.Entre promesses et dérives : les limites d'un modèle à construireSi l'économie bleue se veut durable, certaines pratiques soulèvent des critiques. Des ONG dénoncent un phénomène de « blue washing », où des projets peu vertueux se parent d'un vernis écologique. Exemple marquant : au Sénégal, 90 % de la pêche locale a été décimée suite à l'attribution de licences à des flottes étrangères. En Inde, le projet Sagarmala, visant à construire un port tous les 20 kilomètres, menace gravement les communautés de pêcheurs et les écosystèmes côtiers.La privatisation des littoraux ou l'exclusion des populations locales interrogent sur la gouvernance de cette nouvelle ruée vers la mer. Car « la mer nourrit ceux qui la respectent. »
L'océan est menacé. La semaine prochaine, se tiendra à Nice, le sommet de l'ONU, consacré aux mers et aux océans. Dès aujourd'hui, se retrouvent sur cette côte méditerranéenne française : société civile et experts. Durant cette quinzaine, nous vous proposons 4 Grands reportages sur ce qui fait le bleu de notre planète. La mer y monte, de plus en plus vite, et partout. D'ici la fin du siècle, les scientifiques estiment que le niveau des mers pourrait augmenter d'1 mètre à cause du réchauffement climatique. 11% de la population et 14% du PIB mondial pourraient ainsi prendre l'eau. Des centaines de km de digues et de barrières ont été construites.Mais pour faire barrage, d'autres territoires optent plutôt pour des solutions plus naturelles. Exemple en France.«Face à la montée des eaux, la nature peut nous rendre service», un Grand reportage de Jeanne Richard.
En tant que grand patron du syndicat de Martinville, Martin a décidé de coller des grèves de rattrapage à ceux qui ne participent pas aux divers mouvements en cours. Exemple : un magasin de bricolage.
En tant que grand patron du syndicat de Martinville, Martin a décidé de coller des grèves de rattrapage à ceux qui ne participent pas aux divers mouvements en cours. Exemple : un magasin de bricolage.
durée : 00:03:27 - Géopolitique - par : Pierre Haski - « J'ai envie de crier », s'exclame Jody Williams, prix Nobel 1997 pour son action en faveur de l'interdiction des mines antipersonnel, à l'annonce par cinq pays européens de leur retrait du Traité d'Ottawa qui bannit ces armes. Ces pays font face à la menace de la Russie qui n'a pas signé le Traité.