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Avant la COP30, le point sur les effets du réchauffement sur la santé mondiale Les brèves du jour Comment Tahiti protège ses côtes des tortues de Floride En direct de Dakar, Lucy: des ateliers contre le harcèlement avant les JOJ 2026
Le jeûne s'est imposé cette dernière décennie parmi les régimes les plus en vogue. Il ne s'agit donc plus d'une mode passagère mais d'une stratégie qui séduit. Les peoples ne jurent que par lui, les influenceurs affirment qu'il leur permet de rester minces et les conseils pullulent sur les réseaux sociaux. On y trouve des astuces pratiques, des guides complets dont certains sont proposés par des médecins.Qu'en est-il vraiment ? Présenté comme une quasi-panacée pour prendre soin de soi et maîtriser son poids, le jeûne est-il la cure de santé et la fontaine de jouvence qu'on nous promet ? Quels sont ses bénéfices ? Y a-t-il des risques ? Qu'en dit la science ? Je suis Aline Perraudin, directrice de la rédaction de Santé magazine, et pour répondre à toutes ces questions, je m'entretiens avec le Pr David Jacobi, professeur de nutrition, praticien hospitalier au CHU de Nantes et chercheur à l'Institut du thorax. CRÉDITSHypercondriaque est un podcast de Santé magazine animé par Aline Perraudin Rédaction et réalisation : Nathalie Courret, Nicolas Jean et Aline PerraudinExtraits : Télé Matin – 4/08/20 ; France Culture – 05/02/25 ; BeurFM – 01/10/24 : FR2 – 24/08/19 : TF1 – 27/12/15Musique : François ClosIdentité graphique : Upian Communication : Suzanne Méthé, Marianne Meyniel Mise en ligne : 30 octobre 2025Enregistrements : 16 et 22 octobre 2025 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vaccins COVID : entre doutes, effets et vérités scientifiques by TOPFM MAURITIUS
Et si Alzheimer n'était plus une fatalité ? C'est la question bouleversante soulevée par une étude récente publiée dans la revue Nature, qui ouvre une brèche d'espoir pour des millions de familles confrontées à cette maladie neurodégénérative. Longtemps considérée comme irréversible, la destruction progressive des neurones observée dans Alzheimer pourrait, au moins en partie, être réparée.Les chercheurs, issus d'un consortium international, ont identifié un mécanisme inédit qui permettrait au cerveau de récupérer certaines fonctions altérées. Ils ont observé, chez des modèles animaux, qu'en réactivant un petit groupe de gènes liés à la plasticité neuronale — cette capacité du cerveau à créer de nouvelles connexions — il était possible de restaurer la communication entre neurones endommagés. En d'autres termes, certaines zones cérébrales atteintes par la maladie pourraient retrouver une activité fonctionnelle.Plus précisément, les scientifiques se sont concentrés sur la microglie, ces cellules “gardiennes” du cerveau chargées d'éliminer les déchets et de réparer les tissus. Dans la maladie d'Alzheimer, elles deviennent hyperactives et s'attaquent parfois aux synapses saines. En modulant leur activité par une combinaison de molécules expérimentales, les chercheurs ont réussi à calmer cette inflammation chronique et à relancer un processus de réparation naturelle. Résultat : les animaux traités ont montré une amélioration notable de leur mémoire et de leurs capacités d'apprentissage.Ces résultats, encore préliminaires, ne constituent pas un remède immédiat, mais ils changent profondément notre regard sur Alzheimer. L'idée même qu'un cerveau adulte — et malade — puisse retrouver une part de sa plasticité ouvre une voie thérapeutique totalement nouvelle. Là où la science cherchait jusqu'ici à freiner la dégénérescence, elle envisage désormais de la réparer.Cette approche révolutionnaire, qui combine biologie cellulaire, génétique et intelligence artificielle pour cartographier les circuits neuronaux endommagés, marque une rupture d'échelle dans la recherche. Les prochaines étapes consisteront à tester cette stratégie sur l'humain, en s'assurant de son innocuité et de sa durabilité.Mais déjà, un message se dessine : le cerveau, même vieillissant, n'a pas dit son dernier mot. Loin d'être un organe figé condamné à l'usure, il conserve une surprenante capacité de renaissance. Et si cette promesse se confirme, Alzheimer pourrait bien, un jour, ne plus être une fatalité mais une maladie dont on se relève. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1) Stéphane Mallat et la poésie des maths Stéphane Mallat, lauréat de la médaille d'or du CNRS, révolutionne les mathématiques appliquées avec son algorithme, à lʹorigine du format JPEG. Ses travaux sur les ondelettes et l'IA dévoilent la poésie des maths, essentielles pour comprendre le monde. 2) L'influence de la ménopause sur le cerveau La ménopause, ainsi que la période qui la précède, influence le cerveau, causant parfois un "brouillard mental" et des troubles de l'humeur. Lors d'une rencontre à Lausanne, des femmes ont partagé leurs expériences, soulignant un manque de données scientifiques. 3) Félicette, la seule et unique chatte spationaute Cʹest une petite chatte noire et blanche qui a été sélectionnée par le programme spatial Français, pour monter à bord dʹune fusée en 1963. Voilà Felicette en route pour lʹespace afin que les chercheurs et chercheuses puissent constater comment un cerveau se conduit en apesanteur!
Être seul pour recharger sa batterie sociale, ça peut faire du bien, surtout que nous n'avons pas tous le même rapport aux contacts sociaux. Mais à trop forte dose, la solitude aurait un impact négatif sur notre cerveau. Ce qui entraîne souvent une baisse de la motivation et de l'humeur. Quand la solitude devient chronique, quelles en sont les conséquences ? Comment expliquer la solitude ? Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Fanny Sauveplane. À écouter ensuite : Pourquoi la solitude touche-t-elle de plus en plus les ados ? Que se passe-t-il dans le cerveau quand on ment ? Si notre cerveau était un ordinateur, quelle serait sa puissance ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Alors que la France reste sans Premier ministre depuis plusieurs jours, l'incertitude politique s'installe. Derrière les jeux de pouvoir, les conséquences économiques sont déjà visibles : croissance en berne, entreprises prudentes, ménages inquiets. La France n'a plus de Premier ministre depuis lundi matin. Le dernier gouvernement n'aura tenu que treize heures, un record de brièveté qui illustre le degré d'instabilité politique dans lequel le pays est plongé. Et cette situation, loin de rester cantonnée aux cercles du pouvoir, a des effets bien réels sur l'économie. Selon plusieurs économistes, notamment ceux de BNP Paribas, la crise politique aurait déjà coûté près de 0,3 point de croissance à la France en 2025. Cela peut sembler marginal, mais cela représente plus de 8 milliards d'euros de richesse nationale en moins. En clair, une économie qui aurait pu croître de 1% cette année devra se contenter de 0,7 %. La raison de ce ralentissement est simple : la peur de l'avenir. Les ménages épargnent davantage, les entreprises reportent leurs investissements. Autrement dit, tout le monde garde son argent dans l'attente d'un signal politique plus clair. Ce climat d'incertitude agit comme un frein collectif qui ralentit la machine économique. Des ménages inquiets et des entreprises prudentes Les Français, déjà éprouvés par l'inflation et la perte de pouvoir d'achat, redoutent désormais une hausse des impôts ou une baisse des aides publiques. Ils épargnent davantage. Avant la crise du Covid, le taux d'épargne moyen tournait autour de 15 % du revenu disponible. En 2025, il frôle les 19 %, l'un des plus élevés d'Europe. Ce réflexe de précaution a des effets directs sur la croissance. Quand les ménages dépensent moins, la consommation ralentit. Or, la consommation représente la moitié du PIB français. Quand ce moteur s'essouffle, c'est toute l'économie qui cale. Le même phénomène touche les entreprises. Moins de commandes, plus d'incertitudes, et une fiscalité jugée instable. Les dirigeants d'entreprise préfèrent attendre des jours meilleurs avant de se lancer. Depuis la dissolution de l'Assemblée nationale en juin 2024, les investissements ont chuté de 1,5 %. Les entrepreneurs redoutent qu'un futur gouvernement — quel qu'il soit — change encore de cap. On leur avait promis que la surtaxe exceptionnelle sur les sociétés serait temporaire ; elle pourrait finalement être prolongée. Résultat, un climat d'expectative et de méfiance, où chaque décision politique suspendue devient un frein économique concret. À lire aussiDéficit et dette publique: la France face à l'impasse budgétaire après la chute de François Bayrou Une économie ralentie, mais encore solide Malgré ce climat tendu, tout n'est pas noir. L'économie française montre une certaine résistance. Les investisseurs étrangers continuent de miser sur la France. La balance courante – la différence entre ce que le pays vend et ce qu'il achète – reste globalement équilibrée. Et, selon le baromètre EY 2025, la France demeure le pays le plus attractif d'Europe pour les investissements étrangers. Certains secteurs connaissent même un rebond : l'aéronautique retrouve des carnets de commandes solides, la production agricole s'améliore après un printemps favorable, et la production industrielle dans son ensemble regagne du terrain depuis l'après-Covid. Le taux d'emploi, lui, atteint 69,6 %, un record. Autrement dit, l'économie française ralentit, mais ne s'effondre pas. Pour repartir, les acteurs économiques attendent un budget voté et des orientations claires. Mais c'est là que le bât blesse : sans gouvernement stable, impossible de trancher sur la fiscalité, les aides ou les investissements publics. Un cercle vicieux s'installe. L'incertitude politique freine l'économie, et une économie affaiblie nourrit la défiance politique. La conclusion s'impose d'elle-même : pour que la France retrouve sa croissance, il faudra d'abord qu'elle retrouve un gouvernement.
-10% sur votre 1ère commande Nutripure avec le code BIOMECANIQUE : https://nutripure.frDr Michel de Lorgeril est médecin cardiologue et chercheur indépendant, ancien du CNRS. Spécialiste reconnu du régime méditerranéen et de la prévention cardiovasculaire, il s'est fait connaître par ses positions critiques sur les statines, les vaccins et certaines pratiques médicales conventionnelles. Son dernier livre "La vérité sur le vin: Poison ou élixir de longue vie ?" est désormais disponible partout.https://amzn.to/3IKncSghttps://michel.delorgeril.infoCHAPITRES :0:00 Introduction3:38 Le French Paradox et ses explications7:56 Le rôle des polyphénols et de l'éthanol10:51 Évolution des connaissances sur l'éthanol11:56 Protection du myocarde et préconditionnement16:39 Les effets de l'éthanol sur la santé20:18 Dose et toxicité de l'éthanol39:55 Impact de l'éthanol sur les organes43:01 Effets hormétiques et renforcer le corps46:11 Consommation modérée : recommandations et limites50:29 Signes d'une consommation excessive54:01 Consommation sociale et risques cachés1:02:24 Savoir reconnaître les signes d'un AVC1:03:13 Choix de vin et conseils de consommation1:11:37 Projection sur la consommation future d'alcool1:14:52 Problématiques du binge drinking et impactsBIOMÉCANIQUE :InstagramYoutubeSpotifyApple PodcastsDiscordWebsiteLa Lettre Biomécanique™ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Donnez-moi votre feedback par SMS (mobile uniquement)!Dans cet épisode, nous explorons les effets d'un mauvais leadership sur les individus et les organisations. Les recherches scientifiques sont claires : supervision abusive et comportements destructeurs entraînent stress, burnout, absentéisme et baisse de performance. Les méta-analyses de Tepper, Schyns et d'autres démontrent que le leadership toxique détruit la confiance et freine l'innovation. Pourtant, certains contextes ou cultures nuancent ces effets, et il est essentiel de ne pas réduire le problème au seul individu. Nous proposons cinq questions pratiques pour identifier les signaux faibles, distinguer responsabilités personnelles et systémiques, et renforcer les garde-fous organisationnels. Un épisode pour comprendre pourquoi un mauvais leader coûte toujours plus cher qu'il ne rapporte. Accès gratuit à toutes nos ressources: www.coapta.ch/campusAccès aux archives du podcast: www.coapta.ch/podcast© COAPTA SàrlTous les épisodes disponibles sur www.coapta.ch/podcast ou sur votre plateforme préférée (Spotify, Apple Podcasts, Google Podcasts); cherchez "Leadershift" ou "Vincent Musolino" Faites partie de notre communauté sur le Discord officiel COAPTA!
durée : 00:01:57 - Bientôt chez vous - Si tous les conducteurs ne sont pas éligibles à ce dispositif, les écoles, très populaires, rivalisent d'astuces et de noms accrocheurs pour attirer les participants. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:08 - Le Masque et la Plume - Dans cette seconde adaptation d'une œuvre de Nicolas Mathieu au cinéma, on suit Hélène (Mélanie Thierry) et son amour avec Christophe (Bastien Bouillon) ébranlé par leurs différences de classe. Le Masque regrette que les émotions soient autant étouffées par un excès d'effets de caméras artificiels. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Baleine sous Gravillon - Nomen (l'origine des noms du Vivant)
Et si l'on vous disait que les poissons n'existaient pas ? Y croiriez-vous ? Probablement pas. Pourtant, cette drôle de déclaration s'avère vraie en sciences naturelles, puisque les poissons... ne sont PAS un groupe biologique. En fait, au delà du truc "carré avec les yeux dans les coins" que l'on vous servait à la cantine, le terme "poisson" désigne 36000 espèces rangées dans 5 "tiroirs" du Vivant différents : D'abord les Téléostéens : grosso-modo les animaux à écailles et à arêtes.Ensuite les Chondrichtyens : ce sont les "poissons cartilagineux", dont les requins ou les raies.Puis, les lamproies, des suceuses de sang sans mâchoires !Après, les myxines : des vertébrés...sans colonne vertébrale. Elles sont surtout connues pour leur capacité à repousser les prédateurs en émettant une quantité astronomique de mucus...Enfin, les Sarcoptérygiens sont les poissons "à nageoires charnues". Parmi eux, le célèbre Cœlacanthe.Si ces groupes sont aussi éloignés les uns des autres (les Sarcoptérygiens sont bien plus proches des humains que des requins !), pourquoi les mettre tous dans le même filet ? Tout simplement parce qu'il a fallu attendre le développement de la génétique au XXème siècle pour comprendre que ces animaux ne sont pas directement apparentés. Auparavant, le Vivant était classé selon son apparence : ainsi les "poissons" = tous ces vertébrés qui nagent, et qui ont des branchies et des nageoires. C'est pour cela qu'un Poisson-clown comme un Grand requin blanc peuvent être considérés comme des "poissons". Et encore, c'est déjà précis : pendant fort longtemps, "poisson" désignait tout animal aquatique, des baleines aux crevettes ! Cette définition hyper large se retrouve d'ailleurs dans la tradition du Carême comme chez le "poissonnier", à suivre dans notre prochain épisode...NOTA BENE : petite précision/correction à propos de "fish". Lorsque l'on dit "du poisson" en français, l'anglais va dire "fish", qui est dans ce cas indénombrable, car en référence à la nourriture. Mais quand on parle de l'animal, "fish" est dénombrable. Il existe alors deux formes pluriel : la plus fréquente est "fish" (comme dans le vers d'Eminem de la chanson Without me : "but no matter how many fish in the sea" = "mais peu importe le nombre de poissonS dans la mer"). Le second, "fishes", est quasi-exclusivement utilisé dans un contexte scientifique, lorsque l'on veut parler de poissons d'espèces différentes et que l'on veut insister sur cette différence. ___
L'été vous semble déjà loin ? Pas question de se laisser démoraliser, ni déborder par les mauvaises habitudes qui reviendraient trop vite. Cet automne, nous vous invitons à maintenir les bons effets des vacances, pour un bien-être à cultiver toute l'année. Au sommaire :- Les activités qui nous dynamisent- Rester déconnectés- Cap sur le sommeil- Quelles bonnes résolutions pour la rentrée ?- L'actualité à petites doses- Journaler pour positiver- Au travail, on collabore autrement...Le SAV des managers, de Fabienne Broucaret et Aurélie Durand, Editions Vuibert, septembre 2025Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:59 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Nicolas Demorand nous recommande l'article du New York Times sur les premières conséquences des coupes budgétaires drastiques imposées par l'administration Trump et le Congrès à l'audiovisuel public américain. États-Unis Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce mercredi 17 septembre, Antoine Larigaudrie a reçu Bastien Baron, fondateur de Justae - Conseil en gestion de fortune, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
La question ets bien celle-ci: faut-il chausser ses baskets pour courir, ou marcher d'un pas vif suffit-il pour rester en bonne condition physique ? Les deux activités présentent des avantages réels, mais plusieurs études permettent de comparer leurs effets.Dépense énergétique et intensitéLa première différence tient à l'intensité. Courir mobilise davantage le système cardiovasculaire, augmente plus rapidement la fréquence cardiaque et brûle environ deux fois plus de calories par minute que la marche rapide. Pour perdre du poids ou améliorer son endurance, la course semble donc plus efficace à durée égale. Une étude publiée dans Medicine & Science in Sports & Exercise a montré qu'une heure de course entraînait une dépense énergétique presque deux fois supérieure à une heure de marche soutenue.Santé cardiovasculaireMais si l'on compare à effort équivalent en termes de calories dépensées, la marche rapide rivalise largement. En 2013, une vaste étude menée par l'Université de Berkeley a suivi plus de 33 000 marcheurs et 21 000 coureurs pendant six ans. Résultat : les bénéfices sur l'hypertension, le diabète, l'hypercholestérolémie et le risque cardiovasculaire global étaient comparables, voire parfois supérieurs, chez les marcheurs. En clair, marcher vite, mais longtemps et régulièrement, protège presque autant le cœur que courir.Risques et contraintesLa course a toutefois un inconvénient : elle est plus traumatisante pour les articulations et augmente le risque de blessures, notamment tendinites ou douleurs aux genoux. La marche rapide, elle, est beaucoup mieux tolérée, accessible à presque tous les âges, et peut être pratiquée quotidiennement sans risque particulier. Cela explique pourquoi elle est souvent recommandée aux personnes en surpoids, sédentaires ou souffrant de pathologies chroniques.Effets sur la longévitéUne autre étude publiée dans Progress in Cardiovascular Diseases en 2019 a montré que les coureurs réguliers vivaient en moyenne trois ans de plus que les non-coureurs. Mais la marche rapide, pratiquée à raison de 30 minutes par jour, est également associée à une réduction significative du risque de mortalité, toutes causes confondues.En résuméLa course est idéale pour améliorer rapidement sa condition physique, brûler des calories et renforcer son endurance. La marche rapide, plus douce, procure presque les mêmes bénéfices cardiovasculaires, avec beaucoup moins de risques de blessures. Le choix dépend donc de votre profil : si vous êtes en bonne santé, aimez l'effort intense et cherchez un gain rapide, courez. Si vous préférez une activité durable, sans douleur ni contraintes, marchez vite. Dans les deux cas, la régularité compte plus que l'intensité : 30 minutes par jour suffisent déjà à transformer votre santé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:25 - Bientôt chez vous - À Kyoto, des chercheurs ont peut-être trouvé une alternative aux opioïdes, comme la morphine ou le Fentanyl. Baptisé Adriana, ce traitement semble soulager de fortes douleurs sans provoquer d'effets secondaires, ni risques d'addiction. Les premiers essais cliniques sont prometteurs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:09 - Bientôt chez vous - Une combinaison mise au point par le MIT (Massachusetts Institute of Technology) permet à n'importe qui de se glisser – quasiment au sens propre – dans le corps d'une personne âgée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
"il faut créer un langage commun" Le D.E.V. de la semaine est Geoffrey Bérard, Principal engineer chez Les Furets. Au cours de cette discussion, l'importance de comprendre les problèmes avant le développement de fonctionnalités est mise en avant. Geoffrey réitère les défis liés aux estimations de temps dans le processus de développement logiciel. Il souligne également comment l'automatisation garantit une qualité constante, libérant ainsi les équipes pour se concentrer sur la création de valeur. Enfin, nous discutons de diverses stratégies pour favoriser la collaboration tout en maintenant les standards de qualité, donnant des pistes pour l'optimisation de l'usine logicielle.Chapitrages00:01:01 : Introduction à l'Usine Logicielle00:01:06 : De Mario Kart à Formule 100:03:45 : Prédictibilité et Prise de Décision00:09:21 : Estimation et Organisation00:11:47 : Effets de Bord et Environnement de Travail00:18:03 : Gestion des Incidents et Fluidité00:24:11 : Fast Track et Méthodologies Agiles00:33:52 : Standardisation et Créativité00:41:51 : Artisanat vs. Automatisation00:50:39 : Conclusion et Recommandations Liens évoqués pendant l'émission Chaine YT Fouloscopie 🎙️ Soutenez le podcast If This Then Dev ! 🎙️ Chaque contribution aide à maintenir et améliorer nos épisodes. Cliquez ici pour nous soutenir sur Tipeee 🙏Archives | Site | Boutique | TikTok | Discord | Twitter | LinkedIn | Instagram | Youtube | Twitch | Job Board |Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La chicorée, une plante sauvage, est un excellent probiotique. Il en va de même des boissons fermentées comme le Kéfir ou le Kombucha •
Cet épisode s'inscrit dans la troisième saison du balado « Droit et (dés)ordre migratoire : perspectives critiques », qui explore les dimensions juridiques, culturelles et politiques des mobilités contemporaines. Au cours de cette discussion avec Bastien Charaudeau, nous avons discuté des enjeux à l'intersection des questions migratoires et de la méthodologie juridique. Notamment à partir des effets que produisent certains régimes ou catégories juridiques sur la réalité, particulièrement en ce qui concerne la frontière. Nous avons aussi abordé l'intérêt d'une expérience tirée de cas concrets, et de ce qu'implique le recours à des approches critiques dans sa recherche, à partir de son terrain à la frontière France-Italie. L'épisode invite à le chercheur à prendre en compte l'apport décisif du terrain sur certaines questions. Sans nier la nécessité de prendre en compte le droit tel qu'il existe, son croisement avec le droit dans ses contextes d'application, bouscule certaines de nos certitudes.
De plus en plus de gens prennent la parole publiquement pour parler des problèmes de santé qu’ils ont eu à la suite de leur utilisation d’Ozempic. Que dit la science sur les dangers d’Ozempic? Entrevue avec Daniel Doyon, ancien utilisateur d’Ozempic. Dr Rémi Rabasa-Lhoret, chercheur à l’Institut de recherches clinique de Montréal (IRCM) et président du conseil professionnel de Diabète Québec Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
François Bonnardel sacrifié: les policiers sont désemparés | Effets secondaires, perte de vue : est-il sécuritaire de prendre Ozempic? | Crise politique en France | Début de la session parlementaire à Ottawa : Yves-François Blanchet ira à Washington | La Cage à Londres : quels défis pour la chaîne de restauration ? Dans cet épisode intégral du 9 septembre, en entrevue : Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois. Daniel Doyon, ancien utilisateur d’Ozempic. Dr Rémi Rabasa-Lhoret, chercheur à l’Institut de recherches clinique de Montréal (IRCM) et président du conseil professionnel de Diabète Québec. Mylène St-Sauveur, comédienne. Claude Pinard, candidat d’Ensemble Montréal dans le district St-Jacques. Jean Bédard, président de la Cage. Une production QUB Septembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Renaud Manuguerra-Gagné donne des détails sur les séquelles à long terme que crée un état de famine; Éric Troncy parle des douleurs chroniques chez les chats ayant subi un dégriffage; et Alexandre Touchette fait le point sur les enjeux de la recharge en eau.
Ce lundi 25 août, la signature d'un accord entre Bruxelles et Washington qui ramène les droits de douane sur les exportations de l'UE vers les États-Unis à 15% et la volonté de la Fed de baisser les taux face à l'inflation, ont été abordées par Emmanuel Combe, professeur à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à la Skema Business School, Dorothée Rouzet, cheffe économiste de la direction générale du Trésor, et Ludovic Desautez, directeur délégué de La Tribune, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Jean-François, expert en effets spéciaux, a transformé sa passion d'enfant en une carrière exceptionnelle, travaillant sur des films cultes comme les "Gremlins" , "Chapeau Melon et bottes de cuir" ou encore Dune.! Sans diplôme, il s'est imposé dans l'industrie cinématographique, en France et aux États-Unis, où il continue de surprendre avec des illusions toujours plus innovantes. Après plus de 50 ans de carrière, sa passion reste intacte et il continue encore de créer l'impossible!Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-10% sur votre 1ère commande Nutripure avec le code BIOMECANIQUE : https://nutripure.fr Florence Dufournet est médecin psychiatre, spécialisée en psychiatrie métabolique. Elle accompagne depuis plus de 15 ans des patients souffrant de troubles comme la dépression, l'anxiété, le burn-out ou le TDAH, en croisant approches cliniques, neurosciences et biologie fonctionnelle.https://docteurs-dufournet.comhttps://www.linkedin.com/in/florencedufournet/https://www.youtube.com/@lesdocteursdufournethttps://www.instagram.com/florencedufournet/CHAPITRES :0:00 Introduction2:58 Le rôle des informations dans la santé mentale3:11 Évolution des maladies mentales dans le monde moderne7:18 Les nouveaux troubles mentaux émergents11:43 Les maladies mentales fréquentes aujourd'hui13:04 Refus scolaire anxieux chez les enfants17:21 Les défis de la pédopsychiatrie moderne23:54 Problèmes de prise en charge des enfants30:28 La schizophrénie et ses implications33:05 Les troubles opposants et leur gestion37:51 La subjectivité en psychiatrie40:17 Comprendre le TDAH et son impact46:01 Médicaments et traitement du TDAH49:52 Parallèles entre dépression et hyperactivité1:10:07 La sensibilité et l'hyperactivité1:28:36 L'urgence de traiter l'hyperactivité1:43:17 Origines des maladies psychiatriques1:44:37 Effets du cortisol pendant la grossesse1:46:08 Sucre : Problème ou pas ?1:50:23 Impact du sucre sur le métabolisme1:51:04 Sucre et santé mentale2:00:22 Lien entre cortisol et maladies psychiatriques2:12:53 Régime cétogène et troubles psychiatriques2:20:19 Effets du sucre sur les carences2:22:07 Résistance à l'insuline et neurones2:28:16 Éducation et santé mentale futureBIOMÉCANIQUE :InstagramYoutubeSpotifyApple PodcastsDiscordWebsiteLa Lettre Biomécanique™ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Israël a annoncé qu'il ouvrirait la voie aux livraisons d'aide humanitaire à Gaza, mais les experts humanitaires et médicaux estiment que cela pourrait ne pas suffire à résoudre le problème de la famine de masse et des conséquences à long terme de la malnutrition.
durée : 00:04:34 - Le Zoom de France Inter - Comment mieux protéger la biodiversité en mer ? La France a accueilli en juin dernier le sommet de l'ONU sur l'océan à Nice, et se targue d'avoir mis en place plus de 500 aires marines protégées, soit 1 tiers de ses eaux territoriales. Un statut qui ne protège pourtant pas de la pêche intensive. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Considérée par l'OMS comme « l'un des plus grands risques environnementaux pour la santé », la pollution de l'air (extérieur et intérieur) serait responsable de 6,7 millions de décès prématurés par an. La majorité de ces décès surviennent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire. Comment prendre conscience qu'on vit dans un environnement pollué, qu'on parle de pollution atmosphérique ou domestique ? Y a-t-il des gestes à adopter pour éviter ou limiter certaines pratiques individuelles qui peuvent être nocives pour la santé ? Pr Bruno Crestani, chef de service de pneumologie à l'hôpital Bichat APHP, à Paris. Président de la Fondation du Souffle Retrouvez l'émission en entier ici : Impact de la pollution de l'air sur la santé
Auditrices : - Monique Jorland présente son livre intitulé Je ne suis pas comme les autres. - Victoria souffre de procrastination ; elle est à la recherche d'une thérapie - Michelle souffre des effets secondaires d'un antibiotique. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'était il y a tout juste 80 ans. Le 27 janvier 1945, le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, situé en Pologne, était libéré par l'armée russe. La Shoah fera 6 millions de morts, dont un million dans ce camp, épicentre de la solution finale : l'extermination programmée, à l'échelle industrielle, des Juifs d'Europe par l'Allemagne Nazie. (Rediffusion) 80 ans après, le camp est devenu un musée et un mémorial visité chaque année par de nombreux étudiants, qui ont un rapport parfois distant avec l'histoire de la Shoah. Reportage avec de jeunes lycéens français originaires de Toulouse. De notre envoyé spécial à Auschwitz, C'est un marathon express en Pologne. Un aller-retour dans la journée et une visite de quelques heures pour se plonger dans un pan entier de l'histoire, concrétiser des mots, des récits et des images, étudiés en classe. Ces lycéens étudient au lycée Pierre-Paul Riquet de Saint-Orens-de-Gameville, dans l'agglomération de Toulouse. Parmi eux, Malack, 17 ans. La lycéenne doit bien l'admettre, elle ne connaissait pas l'histoire de la Shoah. « C'est grâce au professeur que j'en ai entendu parler. On m'a parlé des Juifs, de leur extermination, mais ce n'était jamais détaillé, ce n'était pas approfondi comme aujourd'hui », déroule-t-elle. La trentaine d'élèves s'est levée très tôt et a embarqué dans un avion depuis Toulouse, jusqu'à Cracovie, la seconde ville de Pologne, située à 70 kilomètres d'Auschwitz-Birkenau. Avant d'entamer la visite, l'ambiance est plutôt détendue, ponctuée de quelques batailles de boules de neige à la descente du car. Plusieurs élèves, dont Yann, avouent regarder avec un certain éloignement l'histoire de la Shoah. « C'est dans les livres d'histoire, plante le jeune homme. On en entend parler, on voit quelques photos, mais venir ici c'est une vraie opportunité de découvrir l'histoire de l'Europe et de la Seconde Guerre mondiale. » Le mot « guerre » lui évoque davantage celle en Ukraine, à 200 kilomètres à vol d'oiseau. Loann dresse une analyse similaire : « La guerre au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine : Je me sens beaucoup plus proche de ces guerres aujourd'hui car on a des images, des vidéos, des reportages, sur ces guerres, et elles sont plus médiatisées qu'avant. Auparavant, on n'avait pas du tout conscience de ce qui se passait dans ces camps. » Bâtiments en ruines En ce mois de janvier 2025, 20 centimètres de neige recouvrent ce qu'il reste de Birkenau, le deuxième des trois camps d'Auschwitz, où débute la visite. Une grande partie des constructions en pierre sont détruites et Loann apparaît quelque peu déboussolé : « Le fait que les bâtiments soient en ruines, on a du mal à imaginer leur fonctionnement. Mais venir ici, ça permet de mettre en forme tout ce que l'on voit en cours. On comprend vraiment l'importance de ce camp dans la Seconde Guerre mondiale », insiste le lycéen. Une première visite permet de matérialiser les faits au-delà des mots de la guide qui accompagne les élèves : la visite d'un baraquement. En silence, les élèves arpentent la construction où s'entassaient et dormaient sur des planches en bois, les prisonniers du camp. « C'est à la fois triste et extrême, c'est angoissant, il y a une atmosphère pesante », commentent Anaïs et Mélanie. Malack, qui n'avait que très peu entendu parler de la Shoah, se plonge peu à peu dans le récit. « Je peux imaginer ces gens-là en train de vivre ces atrocités. J'arrive un peu à ressentir ce qu'ils ont dû ressentir à l'époque. » Le système concentrationnaire de Birkenau se concrétise aussi sous les yeux de Nina, 17 ans. « Déshumanisation », « humiliation » : peu à peu, la jeune lycéenne met des mots sur l'horreur et rapproche l'événement de sa propre histoire : « C'est vrai que ça me paraît un peu loin parce que ça date d'une époque où je n'étais pas née. D'un autre côté, c'est un combat qui me touche aussi car tout ce qui est racisme, antisémitisme, ce sont des choses que je peux encore vivre aujourd'hui. Je suis encore confrontée aux racistes. Et même si cette histoire est loin, ce sont des combats qui sont toujours actuels. » Des noms et des visages, la Shoah à hauteur d'hommes et de femmes La Shoah se raconte aussi à hauteur d'hommes et de femmes. C'est le parti pris d'Auschwitz I, aujourd'hui musée et mémorial, que s'apprêtent à visiter les élèves. Et c'est aussi le choix réalisé par Mary Albagnac, l'enseignante d'histoire. Toute l'année, ces lycéens étudient les récits de déportés originaires de Toulouse et de ses environs et vont tenter de retrouver leurs traces dans les archives du musée. « En passant par la petite histoire, ça leur permet de mieux comprendre, on pense, la grande histoire, et aussi de connaître davantage le patrimoine et l'histoire locale, explique Mary Albagnac. On se rend compte qu'ils habitent pas très loin du camp d'internement sur lequel on a travaillé, mais qu'ils ne savaient pas du tout qu'il existait et qu'il s'était passé de tels événements sur leur territoire qu'ils pratiquent tous les jours. Ce projet permet de s'identifier plus facilement à ces personnes, à ces enfants, à leur destin, leur parcours, qui nous amènent à Auschwitz. » Des prénoms, des noms, des dates de naissance : plus de quatre millions de victimes connues de la Shoah sont répertoriées dans le livre des noms, dans lequel se plongent désormais les élèves. Romane part en quête du nom d'un déporté originaire des environs de Toulouse, un certain «Rosenwasser». La lycéenne interpelle sa professeure, « Je crois que je l'ai trouvé ». La professeure coupe court : « Il serait mort le 15 août 1942. Et bien non, ça ne marche pas, puisqu'il est censé être déporté le 26 août 1942. » Un peu plus loin, Loann et Roman se sont quelque peu écartés de la consigne initiale. « On cherche une personne que l'on a en commun et que l'on connaît, développe Loann. On essaye de voir s'il y a peut-être un de ses descendants qui est ici et s'il y a son nom de famille dans le livre. » Mais la quête se révèle fastidieuse, constate Roman. « Je cherche un nom de famille précis et je trouve quand même dix personnes qui ont ce nom de famille. C'est impressionnant, ça montre vraiment la diversité des personnes qui ont été touchées par le génocide. » Effets personnels Aux images d'archives se superposent désormais, plus seulement des noms, mais des visages et de nombreux effets personnels. La Shoah s'incarne à travers des lunettes, des cheveux, des milliers de paires de chaussures, rassemblées derrière une immense plaque de verre. « Là, on est sans voix, on est bouche bée face à cet amas d'objets, de prothèses. On se rend compte réellement du massacre que ça a été et du nombre de personnes qui ont été tuées. Je suis choqué de l'espace que ça prend et du nombre d'objets et de chaussures qu'il y a », explique Loann. À Auschwitz, ce sont un million de personnes qui ont été amenées en train, afin d'y être triées, gazées et incinérées. Pour les élèves qui le souhaitent, la visite s'achève par un passage devant un four crématoire. « Tout le monde rentre ? », interroge par précaution Mary Albagnac, l'enseignante. Tous les élèves pénètrent et découvrent le summum de l'horreur. « Cela fait peur, réagit immédiatement Yann. Parce que les bâtiments sont en assez bon état et en entrant dedans on s'imagine ce qu'il s'est passé auparavant. » Transmettre la mémoire Face aux preuves parfois crues et brutales de la Shoah, aucun élève ne reste insensible. Reste à savoir ce qu'ils feront de l'exigence de mémoire et de l'importance de la transmettre. Une mission plus difficile à mener aujourd'hui qu'il y a quelques années, à en croire l'enseignante d'histoire, Mary Albagnac : « Les derniers témoins disparaissent ou sont de plus en plus fragiles, donc on a du mal à les faire venir sur les événements. Et l'autre souci que j'identifie, c'est que la jeune génération a accès à tout, dans l'instantané, à tout moment et a parfois du mal à faire le tri. Avec ce projet, on veut les faire travailler sur les sources historiques, leur montrer comment on fait de l'histoire, comment avoir un regard critique. Et la professeure de poursuivre : «On sait que ça ne marchera pas avec tous, mais on se donne les moyens d'y arriver avec ce type de projet. » La mémoire de la Shoah demeure encore une mémoire incarnée, grâce au récit qu'en font encore les rescapés. Mais la force de ce récit est condamnée à s'amenuiser avec la disparition des derniers survivants, estime Alexandre Doulut, guide accompagnateur du mémorial de la Shoah : « Pour avoir vu dans les yeux des jeunes leurs réactions face à quelqu'un qui a été la victime d'Auschwitz, qui raconte quel a été son quotidien, je peux vous assurer que nous, si on passe derrière en tant qu'historien avec nos connaissances brutes, ça a une portée cent fois plus minime, c'est évident. » Cela signifie-t-il pour autant que l'on puisse un jour complètement oublier cette histoire ? « Oui, personne ne peut dire quel sera l'état de la mémoire, dans dix ans, dans vingt ans, c'est très versatile la mémoire, reprend Alexandre Doulut. Mais moi je suis plutôt optimiste. » Transmettre, un poids ou un défi ? Nina, 17 ans, doit bien le reconnaître, avant cette année, « elle n'aurait vraiment pas pensé parler de la Shoah. Cela me touchait, mais je n'étais pas sensibilisée au fait de devoir retranscrire. » À la question de savoir si la lycéenne se sent capable ou non de transmettre cette mémoire, elle hésite d'abord, puis se lance : « Moi, je ne m'en sens pas vraiment capable. Je raconterai à mon entourage proche, car eux, ils me connaîtront personnellement et c'est dans l'intimité que l'on raconte ces choses, puisque ce sont des traumatismes. » Nina ne se sent pas d'en parler car elle a peur, « peur de mal raconter, d'oublier des détails, d'offenser les petits enfants des familles ». Mais l'idée que l'on puisse totalement oublier cette histoire « l'effraie ». À ses côtés, Juliette lui oppose d'autres arguments. « C'est à nous de porter cela. Ce n'est pas un poids, c'est quelque chose que l'on va devoir faire et c'est à nous d'assumer ce rôle. Il ne faut pas se priver d'en parler, ça ne doit pas être tabou, on ne doit pas ne pas en parler parce que ça a été très grave. Il faut justement en parler. Ce n'est pas un défi qui doit faire peur. » Ginette Kolinka, passeuse de mémoire Quelques jours plus tard, au mémorial de la Shoah à Paris, des rires se font entendre dans l'auditorium. Sur scène, Ginette Kolinka houspille la modératrice de la conférence : « Posez-moi une question, mais une vraie ! Sinon je mélange tout, le départ et le retour ! » La mémoire fait parfois défaut, mais à presque 100 ans, Ginette Kolinka n'a rien perdu de sa répartie et de la force de son récit. « Hitler voulait nous humilier et il a su trouver tout ce qu'il y avait pour le faire », rappelle-t-elle. Infatigable passeuse de mémoire, c'est encore à la jeune génération qui l'écoute dans l'auditorium qu'elle s'adresse ce soir-là, avant d'entamer un dialogue plus direct entre deux dédicaces et de répondre à quelques questions de journalistes : « Aux jeunes, je le dis et le redis : qu'ils parlent au plus grand nombre de personnes possibles en leur spécifiant que ce n'est pas une fiction. Ce qui a été écrit, ça a été vécu, on en est les survivants », insiste la rescapée. Puis, Ginette Kolinka s'adresse à une jeune fille qui lui présente son ouvrage à dédicacer : « Toi, tu es une petite fille et j'espère que quand ça sera le moment de parler de ça dans ta classe, tu diras "moi j'ai vu quelqu'un qui l'a vécu, j'ai vu deux dames, tu peux dire âgées, ça ne fait rien, et qui l'ont vécu ! " »Reste une dernière interrogation : a-t-elle confiance dans la jeune génération pour porter cette mémoire ? La réponse fuse : « Qu'est-ce que ça veut dire confiance ou pas confiance ? Je ne suis pas obsédée par ce qu'il va se passer après. Moi, je vis le présent. Quand je vais dans les écoles, je m'aperçois qu'il y a beaucoup d'enfants qui m'écoutent, des plus jeunes et des moins jeunes. On vit le présent. Ils ont écouté. Cette petite fille a écouté. Peut-être que demain elle va le raconter à sa maîtresse. Et bien moi, ça, ça me suffit. »
On a tendance à le diaboliser pourtant le stress est un mécanisme d'adaptation indispensable à notre survie. C'est une réaction physiologique face à une situation ou un évènement. On en parle en permanence parce que nos modes de vie sont de plus en plus stressants. L'accélération du rythme de travail, la prolifération des écrans et surtout la crise sanitaire jouent énormément sur l'explosion du phénomène. Selon l'Institut de veille sanitaire, 24% des Français se disent stressés, ça représente un français sur quatre. Mais pourquoi est-on stressés ? Comment agit le stress sur notre corps ? Peut-on apprendre à gérer son stress ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Santé". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Olivia Villamy. À écouter aussi : Dans quel ordre faut-il manger ses aliments ? Comment la junk food agit-elle sur notre santé mentale ? Comment limiter l'impact du sucre sur notre santé ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Santé". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion : 17 février 2022 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
La canicule modifie la consommation : il y a des produits dont les ventes explosent, comme les boissons et les ventilateurs. Mais au-delà, la consommation est-elle vraiment l'amie des supermarchés ? Pas sûr... Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 01 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La canicule modifie la consommation : il y a des produits dont les ventes explosent, comme les boissons et les ventilateurs. Mais au-delà, la canicule est-elle vraiment l'amie des supermarchés ? Pas sûr... Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le flex office, ou bureau flexible, est une organisation du travail dans laquelle les salariés n'ont plus de poste de travail attitré. Concrètement, au lieu d'avoir un bureau fixe, chacun s'installe chaque jour dans l'espace de travail disponible selon ses besoins : open space, salle de réunion, espace calme, zone de coworking, etc. En 2024, 26 % des salariés sont en flex office.Voici les grandes caractéristiques du flex office :1. Suppression du bureau personnelLes salariés n'ont plus de bureau dédié. Ils rangent leurs affaires dans des casiers personnels ou les transportent au quotidien.2. Espaces partagés et modulablesLes bureaux sont organisés par zones d'usage (collaboration, concentration, réunions informelles…), souvent avec des outils numériques pour réserver un poste à l'avance.3. Objectif : optimisation de l'espaceLe flex office permet aux entreprises de réduire leurs coûts immobiliers, en adaptant les surfaces aux besoins réels. En moyenne, un poste de travail n'est occupé que 60 % du temps (télétravail, réunions, déplacements…), ce qui rend possible cette mutualisation.4. Encourager la mobilité et la collaborationEn changeant régulièrement de place, les salariés croisent plus de collègues, ce qui favorise les échanges transversaux et casse les silos hiérarchiques.5. Effets contrastés sur le bien-êtreLe flex office séduit certaines entreprises, mais il suscite aussi des critiques :Perte de repères ou de sentiment d'appartenance,Manque d'intimité ou de confort,Stress logistique (chercher un poste, gérer ses affaires personnelles…).Ces points ont été confirmés par plusieurs études, notamment une étude de 2021 menée par l'Université de Leeds (Royaume-Uni), qui souligne une baisse du sentiment d'appartenance et une augmentation du stress perçu chez les employés en flex office. En France, une enquête menée en 2022 par OpinionWay pour CD&B indique que 61 % des salariés en flex office regrettent de ne plus avoir de poste fixe, et 48 % disent que cela nuit à leur concentration.En résumé, le flex office est une forme d'organisation spatiale du travail pensée pour plus de souplesse, mais qui exige aussi autonomie, discipline et outils numériques adaptés. Il est souvent associé au télétravail et aux nouvelles méthodes de travail agiles, mais son impact dépend fortement de son mode de mise en œuvre et de l'accompagnement des équipes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Selon l'Observatoire Français des Drogues et des Tendances addictives, 6,7% des 18-75 ans utilisent la cigarette électronique ou e-cigarette. Reconnue aujourd'hui comme moins dangereuse que la cigarette classique, elle fait pourtant encore débat quant à son utilité dans le sevrage tabagique. En dehors du risque de dépendance liée à la nicotine, on peut se demander quels sont les effets du vapotage dans notre corps. On ne connaît pas encore les effets du vapotage sur le corps, à long terme. Comme l'indique Corinne Depagne, pneumologue à Lyon, dans un article de slate.fr, une personne qui délaisse la cigarette classique au profit de la cigarette électronique, peut éventuellement tousser au début, car la vapeur est irritante pour les voies respiratoires. Que contiennent les liquides des réservoirs des cigarettes électroniques ? Est-ce anodin de vapoter ? Que peut-on faire pour minimiser les risques ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Santé". Un podcast écrit et réalisé par Emilie Drugeon A écouter aussi : Vaut-il mieux consommer du riz ou des pâtes ? Comment bien choisir sa charcuterie ? Pourquoi le temps passe-t-il plus vite avec l'âge ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion : 19 juillet 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:22:03 - Journal de 12h30 - L'attaque israélienne la nuit dernière contre l'Iran va-t-elle faire basculer le Proche-Orient dans une nouvelle ère stratégique ? Se dirige-t-on vers une guerre ouverte entre les deux ennemis historiques ? - invités : Jean-Loup Samaan
Face à la pression des déficits, le gouvernement envisage l'option radicale d'une « année blanche » en 2026. L'idée consiste à geler partiellement ou totalement les dépenses publiques, sans suivre l'évolution de l'inflation. Sur le papier, c'est simple : les dépenses de l'année précédente sont reconduites, mais leur pouvoir d'achat réel diminue.Concrètement, cela toucherait trois grands axes :Les prestations sociales (retraites, allocations familiales, aides au logement...) : elles ne seraient pas revalorisées en fonction de l'inflation, ce qui représenterait une économie de plusieurs milliards d'euros – soit environ 3 milliards sur les retraites et 1,5 milliard pour les autres prestations.Les dotations de l'État aux collectivités locales, mais aussi les budgets des ministères : si tout est gelé, la masse totale reste la même, mais les prix ayant augmenté, les collectivités et ministères disposeraient d'un pouvoir de dépense réduit.Les recettes fiscales : en gelant les barèmes de l'impôt, de la CSG ou de la TVA contrairement à l'inflation, le gouvernement récupérerait mécaniquement plus d'argent. Par exemple, la stagnation du barème de l'impôt sur le revenu pourrait rapporter près de 2,8 milliards d'euros.Sur le plan strictement budgétaire, le calcul est simple : quelques dizaines de milliards d'économies potentielles, ce qui permettrait de s'approcher d'un déficit de 4,6 % du PIB en 2026, contre 5,1 % attendus. D'autres études évoquent jusqu'à 15–25 milliards d'économies.Pour autant, ce dispositif suscite de nombreuses réserves :Impact social : geler les prestations revient à les dévaluer, ce qui pèse davantage sur les ménages modestes. La moindre revalorisation a un impact réel pour les retraités ou allocataires.Effets récessifs : en réduisant le pouvoir d'achat, surtout dans les classes moyennes et populaires, le gouvernement risquerait de freiner la consommation et donc la croissance.Injustice fiscale : l'"année blanche fiscale" fait basculer des contribuables vers une tranche supérieure, sans augmentation de valeur réelle de revenu — une forme de hausse d'impôt déguisée.Critiques institutionnelles : le président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, y voit un palliatif ponctuel qu'il préférerait substituer à des réformes structurelles et durables.Autre limite : le gel budgétaire ne s'appliquera probablement pas uniformément. Certains secteurs prioritaires (ex : Défense, Recherche) ont déjà des budgets programmés pluriannuellement, difficiles à figer.En résumé : l'année blanche, c'est l'option rapide et radicale, utile pour gagner du temps et alléger le déficit à court terme. Mais elle demeure symboliquement lourde : elle compresse le pouvoir d'achat, amplifie les inégalités, ralentit l'activité et retarde des réformes nécessaires. Le gouvernement doit annoncer un plan d'ensemble cohérent avec ces enjeux avant la mi-juillet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On peut croire que certaines substances, comme l'alcool ou le cannabis qui n'est pas licite, vont aider à mieux dormir alors qu'elles modifient profondément notre sommeil et perturbent nos nuits. Explications. Ecoutez Ça va Beaucoup Mieux avec Aline Perraudin du 05 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:59 - Journal de 8 h - Fin ce samedi 31 mai de la consultation citoyenne sur TikTok. Elle a été lancée par la commission d'enquête parlementaire sur les effets psychologiques de la plateforme chinoise sur les mineurs.
durée : 00:14:59 - Journal de 8 h - Fin ce samedi 31 mai de la consultation citoyenne sur TikTok. Elle a été lancée par la commission d'enquête parlementaire sur les effets psychologiques de la plateforme chinoise sur les mineurs.
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Après avoir interviewé des centaines d'expertes et d'experts depuis la création de ce podcast, j'ai bien compris une chose, la parentalité n'est pas seulement une affaire de choix individuels, mais le reflet d'une culture, d'un système, et de politiques publiques plus ou moins bien pensées.Dans cet épisode, j'ai eu la chance de m'entretenir avec Romain Delès, sociologue, qui explore les transformations de la parentalité à travers une comparaison saisissante entre la France et la Suède.Romain partage avec nous des résultats de recherche qui bousculent les idées reçues : en France, 40 % des parents déclarent que leurs enfants empiètent sur leur liberté, contre seulement 5 % en Suède. Nous sommes donc les champions européen du pessimisme parental.Romain Delès s'est interrogé sur les raisons de cet écart. Et il explore plusieurs pistes passionnantes. Pourquoi la France reste-t-elle à la traîne en matière de congé parental, d'égalité dans le couple, ou de soutien aux familles ? Comment des politiques publiques ambitieuses — comme celles mises en place dès les années 70 en Suède — peuvent-elles transformer en profondeur les rapports de genre, mais aussi l'imaginaire collectif autour des rôles parentaux ?On a parlé de charge mentale, de révolution de genre incomplète, de discours culturels sur l'enfant, et de ce que la France aurait à apprendre de ses voisins nordiques pour bâtir une parentalité plus juste, plus équilibrée, et moins écrasante.Un épisode éclairant, fondé sur des données solides, mais accessible et inspirant — pour toutes celles et ceux qui veulent penser la parentalité autrement.
La Terre tourne pourtant très vite : à l'équateur, elle effectue un tour complet sur elle-même en 24 heures, soit une vitesse d'environ 1 670 km/h. Pourtant, nous ne ressentons ni ce mouvement, ni une quelconque sensation de déplacement. Cette absence de perception s'explique par plusieurs lois fondamentales de la physique et par la façon dont notre corps est conçu pour ressentir les mouvements.Un mouvement constant et régulierL'une des principales raisons est que la Terre tourne à vitesse constante. Il n'y a pas d'accélération perceptible, et c'est justement cela qui fait toute la différence. Selon la première loi de Newton, aussi appelée principe d'inertie, un objet en mouvement continue son mouvement à vitesse constante tant qu'aucune force extérieure ne vient le perturber. C'est pourquoi, à l'intérieur d'un avion en croisière, on peut marcher normalement : tout bouge à la même vitesse, nous y compris.Nous tournons donc avec la Terre, à la même vitesse qu'elle. L'atmosphère aussi tourne à la même vitesse. Il n'y a donc aucun frottement de l'air, aucun déplacement brutal, rien qui signale à nos organes sensoriels un mouvement particulier. La rotation est silencieuse, régulière, imperceptible.Un corps humain peu sensible aux mouvements lentsNotre corps est équipé d'un système vestibulaire, situé dans l'oreille interne, qui permet de détecter les mouvements, les accélérations et les changements d'orientation. Mais ce système ne réagit qu'aux accélérations. Il est incapable de détecter un mouvement uniforme et circulaire à grande échelle comme celui de la Terre. Ainsi, tant qu'il n'y a pas de variation de vitesse ou de direction, notre cerveau ne reçoit aucune alerte.La taille colossale de la TerreAutre point essentiel : la courbure de la Terre est immense. Même si nous tournons à grande vitesse, la trajectoire est très large et le rayon de courbure gigantesque. Cela rend la force centrifuge très faible — de l'ordre de quelques millièmes de g, bien trop peu pour être ressentie directement. À l'équateur, cette force réduit à peine notre poids apparent d'environ 0,3 %. Insuffisant pour créer un vertige.Une rotation prouvée, mais invisible au quotidienBien que nous ne la ressentions pas, la rotation de la Terre est détectable scientifiquement : par exemple avec le pendule de Foucault, ou à travers l'effet Coriolis qui influe sur les courants océaniques et la trajectoire des vents.En somme, nous ne ressentons pas la rotation de la Terre parce que tout tourne avec nous, à vitesse constante, sans heurt. Notre corps ne perçoit que les changements brutaux… pas les grandes mécaniques douces du cosmos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:16 - Le Reportage de la rédaction - Alors que débute la 78e édition du Festival de Cannes avec 22 films en compétition cette année, certaines productions ont fait appel à Cinébébé, atelier d'effets spéciaux basé à Saint-Denis, qui conçoit de faux bébés pour le cinéma.
durée : 00:04:38 - Le Reportage de la rédaction - Alors que débute la 78e édition du Festival de Cannes avec 22 films en compétition cette année, certaines productions ont fait appel à Cinébébé, atelier d'effets spéciaux basé à Saint-Denis, qui conçoit de faux bébés pour le cinéma.
durée : 00:07:40 - franceinfo junior - Alors que l'Anses alerte sur ce sujet, l'émission franceinfo junior revient sur les effets des pesticides sur la santé, notamment des bébés et des femmes enceintes.