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durée : 00:15:29 - L'invité du 13/14 - Changement majeur depuis ce matin…les fauteuils roulants, sont désormais inscrits sur la liste des produits et prestations remboursables (LPP) par la sécurité sociale Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, on sort de notre zone de confort pour parler d'une force constante à laquelle on est tous et toutes confrontés à certains moments de notre vie. Bon ou mauvais, prévu ou inattendu, choisi ou subi, il fait partie de notre existence et nous ne pouvons pas l'éviter : le […] The post Horiz'ondes 2025, émission 3 : le changement first appeared on Radio Vostok.
Invités :Jules Torres, journaliste politique au JDD.Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Apprendre à lancer un business avec l'IA : https://tally.so/r/Y552oW
Vous sentez que quelque chose a changé, sans vraiment savoir dire quoi. Moins d'envie, moins de fluidité, moins de sens…Comme si votre business n'était plus tout à fait à votre image. C'est un signal. Pas un problème. Le signal que vous êtes en transition, que votre énergie évolue, que votre vision s'affine.Dans cet épisode, je vous partage comment j'ai identifié mes propres désalignements, ce que j'ai dû lâcher, ce que j'ai choisi d'assumer, et la manière dont je suis en train de réaligner mon entreprise avec la personne que je deviens.On parle de ces moments de bascule, de la peur de laisser partir ce qui ne nous ressemble plus, et de la puissance du réalignement quand on écoute vraiment ses envies, son énergie, sa vibration.L'objectif n'est pas de tout recommencer.L'objectif est d'ajuster, de libérer de l'espace, de reconstruire sur du vrai.À la fin de cet épisode, vous saurez reconnaître les signes d'une transition, poser les bonnes questions, et commencer à réaligner votre business, avec plus de clarté, de douceur et d'ambition.Pour nous retrouver :Eléonore MachuSite web : https://authenticommunication.frProfil LinkedinProfil Instagram Camille AndrieuProfil InstagramSite webHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans la gang ➜ Ce film légendaire de Noël pourrait avoir enfin une suite! Comment sauver sur le black friday avec Palardy Économie Changement majeur dans les alertes météo! On en jase dans Focus sur l'actualité avec Fanny Lachance Paquette! Bonne écoute!
“Dans quelques années, tout le monde achètera sur Chat GPT”.Cette phrase, c'est celle de Cécile Lejeune, Présidente de Kantar.Et au vu de toutes les études qu'elles mènent, on peut vraiment imaginer ce futur dans nos habitudes de consommation.Mais alors comment les marques font-elles pour s'adapter ? Quelles sont les données qui permettent d'annoncer ce bouleversement ?À la tête de Kantar France, notre invitée accompagne au quotidien les plus grandes marques pour qu'elles restent visibles et désirables dans ce nouveau paysage. Elle raconte comment l'IA bouscule le métier des études, comment on mesure désormais la place d'une marque dans les réponses de ChatGPT, et comment on concilie data, créativité et compréhension fine des consommateurs sans céder à la solution “tout IA”.L'épisode est aussi le récit d'un parcours fait de détours et de claques. Une enfance portée par une mère universitaire brillante, un rapport longtemps détendu aux études, un premier job confortable mais sans relief, une phrase paternelle qui blesse et réveille, puis le grand saut dans la pub et les agences créatives, jusqu'à un poste de CEO… avant une fusion et un coup de fil qui lui annonce qu'elle ne sera pas choisie.Plutôt que de s'effondrer, elle en fait un point de bascule : coaching, remise à plat, prise de conscience que sa valeur tient autant à ses soft skills qu'à son métier. C'est cette réinvention qui la conduira chez Kantar, au cœur des enjeux IA, data et marque. Un épisode pour celles et ceux qui doivent piloter une stratégie dans un monde d'algorithmes, mais aussi apprendre à se relever quand une décision remet tout en cause.Un podcast conçu par FeuilleBlanche, producteur de médias, podcasts et récits stratégiques pour les marques.À vos écouteurs
Le Gondwana est le pays du changement perpétuel.
Le Gondwana est le pays du changement perpétuel.
durée : 00:38:38 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Le dépassement des limites planétaires amène à une raréfaction des ressources naturelles nécessaires pour vivre, et une réduction des zones habitables sur la planète. Mais l'éclatement des conflits n'est pas lié de façon systémique aux problèmes environnementaux. - invités : Dominique Bourg, Marine de Guglielmo Weber - Dominique Bourg : Philosophe, Marine de Guglielmo Weber : Chercheuse environnement, énergie et matières premières stratégiques au sein du département Armement et économie de défense (AED) à l'Institut de recherche stratégique de l'École militaire (IRSEM) - réalisé par : Jérôme BOULET Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:53 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) est en débat chez les parlementaires jusque début décembre. Et l'un des volets majeurs de ce budget est bien entendu la santé. La France y consacre 12 % de son PIB, les dépenses hospitalières représentant le poste principal.
La question n'est pas de savoir si le président sortant Umaro Sissoco Embalo va être réélu à l'issue de la présidentielle d'hier, mais s'il va être réélu dès le premier tour… En effet, pointe Le Monde Afrique, « Umaro Sissoco Embalo, 53 ans, est donné favori. S'il est réélu, il deviendrait alors le premier chef de l'Etat de Guinée-Bissau à effectuer deux mandats successifs depuis l'instauration du multipartisme, en 1994. Il a comme principal adversaire l'opposant Fernando Dias, qui a reçu le soutien du puissant PAIGC, l'ancien parti unique et principal parti d'opposition. Son chef, Domingos Simoes Pereira, n'a pu se présenter. Sa candidature a été rejetée par la Cour suprême, qui a jugé que son dossier avait été déposé trop tardivement. » Prolongations ? Alors, « l'outsider Fernando Dias peut-il compliquer la réélection d'Umaro Sissoco Embalo ? », s'interroge Jeune Afrique. « Présenté par ses adversaires comme “sans expérience notable“, Fernando Dias s'est pourtant imposé comme un redoutable outsider dans la dernière ligne droite de la présidentielle », note le site panafricain. L'opposant a en effet reçu le soutien du PAIGC. Mais reste à savoir s'il bénéficiera vraiment du report des voix de ce parti. Pour WakatSéra au Burkina Faso, les jeux ne sont pas forcément faits… « Si pour certains Umaro Sissoco Embalo a déjà… emballé la compétition, pour d'autres, le match est loin d'être fini et pourrait connaître des prolongations. Certes, le président sortant est donné favori, surtout en l'absence de challenger issu de l'historique et mythique PAIGC. Toutefois, le candidat indépendant, Fernando Dias, peu connu, jouit du soutien indéfectible et massif de la formation politique qui a porté l'indépendance (…). Toute chose qui continue de faire croire que la partie sera serrée entre Embalo et son adversaire. » Un boulevard ! Non, rétorque L'Observateur Paalga, toujours à Ouagadougou, « Umaro Sissoco Embalo s'est tracé un boulevard pour rebeloter. » « Un scrutin sans enjeu ni suspense », renchérit Le Pays. « Le président sortant a réussi le tour de force de remodeler le terrain électoral à son avantage, et de faire écarter les opposants les plus sérieux, avant même que la partie ne commence. (…) Ce scrutin présidentiel ressemble davantage à une chorégraphie scrupuleusement orchestrée par le pouvoir pour permettre au sortant de devenir le premier chef d'État à effectuer deux mandats successifs, depuis l'instauration du multipartisme en 1994 dans ce pays politiquement fragile et chroniquement instable. » À quand la stabilité et le développement ? En effet, rappelle Afrik.com, « depuis son indépendance en 1973, la Guinée-Bissau a connu quatre coups d'État réussis et plus d'une douzaine de tentatives, totalisant plus de deux décennies de régime militaire. (…) Et dans le pays, l'un des plus pauvres au monde où près de 40% de la population vit sous le seuil de pauvreté, la demande de changement est pressante. La Guinée-Bissau est classée 174e sur 193 au dernier indice de développement humain établi par le Programme des Nations-Unies pour le développement. L'espérance de vie n'est que 64 ans. Et nombre d'électeurs, note encore Afrik.com, expriment le souhait de voir enfin émerger stabilité et développement, à travers des investissements dans les infrastructures et les services publics. » Enfin, Ledjely en Guinée résume ainsi la situation : « dans ce contexte contrasté entre volonté populaire de stabilité et soupçons persistants sur l'équité du scrutin, la Guinée-Bissau joue une nouvelle fois une part essentielle de son avenir politique. Le véritable test sera moins dans le résultat que dans la manière dont celui-ci sera accueilli. Si le pays parvient à traverser cette séquence électorale sans heurts, il aura franchi une étape importante sur la voie de la consolidation démocratique. »
Cadre en ressources humaines dans la fonction publique, Valérie Coutret se définit comme "facilitatrice du changement" et son équipe prône une approche résolument participative qu'elle résume avec une phrase : "Prendre le pouvoir pour le partager", reprenant le principe des listes citoyennes soutenues par Action Commune et Fréquence Commune. La liste du collectif rassemble des profils variés : retraités ayant une expérience dans l'industrie, chefs d'entreprise, jeunes de moins de 30 ans, cadres du secteur social... De nouveaux collistiers sont toujours les bienvenus, particulièrement les femmes. "Un certain nombre de femmes s'inquiètent de leurs compétences, les mêmes qui se débrouillent dans la vie tous les jours et qui prennent dix décisions à la minute", regrette la candidate, qui les invite à "passer au-dessus de ça". Lien vers l'article complet : https://www.azur-fm.com/news/municipales-2026-a-ribeauville-pour-la-premiere-fois-depuis-24-ans-deux-listes-s-affrontent-2580 Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La question n'est pas de savoir si le président sortant Umaro Sissoco Embalo va être réélu à l'issue de la présidentielle d'hier, mais s'il va être réélu dès le premier tour… En effet, pointe Le Monde Afrique, « Umaro Sissoco Embalo, 53 ans, est donné favori. S'il est réélu, il deviendrait alors le premier chef de l'Etat de Guinée-Bissau à effectuer deux mandats successifs depuis l'instauration du multipartisme, en 1994. Il a comme principal adversaire l'opposant Fernando Dias, qui a reçu le soutien du puissant PAIGC, l'ancien parti unique et principal parti d'opposition. Son chef, Domingos Simoes Pereira, n'a pu se présenter. Sa candidature a été rejetée par la Cour suprême, qui a jugé que son dossier avait été déposé trop tardivement. » Prolongations ? Alors, « l'outsider Fernando Dias peut-il compliquer la réélection d'Umaro Sissoco Embalo ? », s'interroge Jeune Afrique. « Présenté par ses adversaires comme “sans expérience notable“, Fernando Dias s'est pourtant imposé comme un redoutable outsider dans la dernière ligne droite de la présidentielle », note le site panafricain. L'opposant a en effet reçu le soutien du PAIGC. Mais reste à savoir s'il bénéficiera vraiment du report des voix de ce parti. Pour WakatSéra au Burkina Faso, les jeux ne sont pas forcément faits… « Si pour certains Umaro Sissoco Embalo a déjà… emballé la compétition, pour d'autres, le match est loin d'être fini et pourrait connaître des prolongations. Certes, le président sortant est donné favori, surtout en l'absence de challenger issu de l'historique et mythique PAIGC. Toutefois, le candidat indépendant, Fernando Dias, peu connu, jouit du soutien indéfectible et massif de la formation politique qui a porté l'indépendance (…). Toute chose qui continue de faire croire que la partie sera serrée entre Embalo et son adversaire. » Un boulevard ! Non, rétorque L'Observateur Paalga, toujours à Ouagadougou, « Umaro Sissoco Embalo s'est tracé un boulevard pour rebeloter. » « Un scrutin sans enjeu ni suspense », renchérit Le Pays. « Le président sortant a réussi le tour de force de remodeler le terrain électoral à son avantage, et de faire écarter les opposants les plus sérieux, avant même que la partie ne commence. (…) Ce scrutin présidentiel ressemble davantage à une chorégraphie scrupuleusement orchestrée par le pouvoir pour permettre au sortant de devenir le premier chef d'État à effectuer deux mandats successifs, depuis l'instauration du multipartisme en 1994 dans ce pays politiquement fragile et chroniquement instable. » À quand la stabilité et le développement ? En effet, rappelle Afrik.com, « depuis son indépendance en 1973, la Guinée-Bissau a connu quatre coups d'État réussis et plus d'une douzaine de tentatives, totalisant plus de deux décennies de régime militaire. (…) Et dans le pays, l'un des plus pauvres au monde où près de 40% de la population vit sous le seuil de pauvreté, la demande de changement est pressante. La Guinée-Bissau est classée 174e sur 193 au dernier indice de développement humain établi par le Programme des Nations-Unies pour le développement. L'espérance de vie n'est que 64 ans. Et nombre d'électeurs, note encore Afrik.com, expriment le souhait de voir enfin émerger stabilité et développement, à travers des investissements dans les infrastructures et les services publics. » Enfin, Ledjely en Guinée résume ainsi la situation : « dans ce contexte contrasté entre volonté populaire de stabilité et soupçons persistants sur l'équité du scrutin, la Guinée-Bissau joue une nouvelle fois une part essentielle de son avenir politique. Le véritable test sera moins dans le résultat que dans la manière dont celui-ci sera accueilli. Si le pays parvient à traverser cette séquence électorale sans heurts, il aura franchi une étape importante sur la voie de la consolidation démocratique. »
Le sommet du G20 s'est tenu pour la première fois de son histoire sur le continent africain. Une occasion historique pour redéfinir les relations entre l'Afrique et les grandes puissances économiques mondiales face aux changements politiques et économiques. Pour décrypter le poids de l'Afrique dans le concert des nations, Daouda Sembene PDG d'Africatalyst, membre du panel d'experts africains pour le G20 était avec nous.
durée : 00:04:31 - Le Reportage de la rédaction - Alors que la COP30 se poursuit, coup de projecteur sur la Sicile, entre désertification et inondations. Les deux tiers du territoire sont en stress hydrique, le nombre d'incendies a doublé entre 2023 et 2024, mais, en hiver, les épisodes de très fortes pluies font des ravages.
durée : 00:04:31 - Le Reportage de la rédaction - Alors que la COP30 se poursuit, coup de projecteur sur la Sicile, entre désertification et inondations. Les deux tiers du territoire sont en stress hydrique, le nombre d'incendies a doublé entre 2023 et 2024, mais, en hiver, les épisodes de très fortes pluies font des ravages.
L'Australie avait présenté sa candidature pour accueillir la conférence internationale sur le climat, en 2026, en partenariat avec les pays insulaires du Pacifique. Mais, au lieu d'Adélaïde, elle se tiendra finalement à Antalya, en Turquie, suite à un compromis trouvé par le ministre australien du Changement climatique, Chris Bowen, lors de la réunion de cette année au Brésil.
Piloter une stratégie RH, c'est accepter de naviguer dans une tension permanente : entre court terme et long terme, performance et humain, transformation et stabilité.C'est précisément ce qu'explore Aurélie Débauge, DRH du groupe Sanef, dans cet épisode de L'Entreprise de demain.Elle parle avec une grande sincérité de son métier, de sa posture, et de ce qui l'anime : faire grandir les équipes, soutenir les managers, accompagner la transformation, tout en gardant le cap du collectif.“Notre rôle, c'est de créer les conditions pour que chacun puisse faire son travail du mieux possible, même dans la complexité.”Chez Sanef, la stratégie RH se construit dans l'équilibre : entre ambition et réalisme, entre exigence et bienveillance, entre transformation et ancrage.Aurélie décrit cette responsabilité particulière des DRH : être à la fois stratèges, partenaires des dirigeants, et gardiens de l'humain.“Ce n'est pas seulement une question de process ou d'indicateurs. C'est une question de sens, de cohérence et de posture.”Au fil de la conversation, elle revient sur :– la manière d'aligner les politiques RH sur la vision d'entreprise,– les compétences managériales à développer pour accompagner la transformation,– l'importance de la confiance et du dialogue dans un contexte en mutation,– et la capacité à se remettre en question, individuellement et collectivement.Cet épisode met en lumière ce qu'est réellement le rôle d'un Top DRH aujourd'hui : un métier de lien, d'équilibre et d'impact.Une stratégie RH n'est jamais figée ; elle évolue avec les personnes, les enjeux et le monde autour.
Merci de soutenir notre travail père-fille 100% indépendant et bénévole en nous offrant le café et en suivant sur instagram le podcast : @ici.venise.Au sommaire de cet épisode Ilona et son papa font un lien inattendu entre la fête traditionnelle de la Salute, plusieurs fois centenaire, et l'élection régionale en Veneto qui se télescopent en cette fin novembre 2025. D'un côté l'invariant de la fête de la Madonna della Salute, de l'autre le changement avec la fin de l'ère de Luca Zaia, un président de région souvent surnommé le Doge…Un peu de nostalgie pour un autre invariant celui-ci en voie de disparition : l'acqua alta, les eaux de marée haute effacées de la vie vénitienne par l'utilisation toujours plus intense des digues mobiles du Mose. Est-ce sauver Venise que de la réduire au régime sec ? Heureusement, il y a Mimmo le dauphin, vedette de l'automne dans une ville dont la toponymie évoque les longs rapports avec ses congénères. Un épisode qui se conclut pourtant sur l'évocation d'un drôle de concombre masqué qui fait une irruption plus inattendue…
L'Australie avait présenté sa candidature pour accueillir la conférence internationale sur le climat, en 2026, en partenariat avec les pays insulaires du Pacifique. Mais, au lieu d'Adélaïde, elle se tiendra finalement à Antalya, en Turquie, suite à un compromis trouvé par le ministre australien du Changement climatique, Chris Bowen, lors de la réunion de cette année au Brésil.
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Ep.238 - Découvrez sept réflexions clés pour transformer l'impact de votre stratégie d'affaires. Cet épisode explore la nature de la stratégie, la distinguant de la simple planification, et met en lumière l'importance cruciale de la cocréation. Il souligne également comment l'avantage concurrentiel, l'intégration de l'innovation et l'équilibre constant entre les enjeux stratégiques et opérationnels sont fondamentaux pour le succès et la croissance durable de votre organisation.À retenirLa stratégie est une démarche délibérée visant une ambition.La confusion entre stratégie et planification est courante.Le SWOT est un outil d'entrée, mais pas suffisant.La cocréation est essentielle pour une stratégie efficace.La stratégie ne doit pas être réduite à un exercice budgétaire.L'avantage concurrentiel est central à la réflexion stratégique.L'innovation doit être intégrée à la stratégie.Il est crucial de garder un équilibre entre stratégie et opérationnel.La gestion de la stratégie nécessite rigueur et transparence.La stratégie doit être évaluée régulièrement au sein de l'organisation.Accédez aux notes ici: https://www.intelliaconsulting.com/podcast Activez les bases de votre pensée stratégique (gratuit): Le Sprint de l'Action Stratégique Allez plus loin: Chaque semaine, recevez conseils et perspectives afin de développez votre impact stratégique - Abonnez-vous à notre lettre hebdomadaire
durée : 00:14:50 - 100% ASNL, la quotidienne - L'ASNL est à l'arrêt, incapable de trouver le chemin des filets et affichant une fragilité défensive criante. Le système actuel, basé sur 3 centraux et 2 pistons, ne produit plus ses effets. La question d'une révolution tactique se pose : l'effectif a-t-il les qualités nécessaires pour y parvenir ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cette semaine, les Ficelles reçoivent Marie-Clarisse Berger, et ensemble elles discutent de la dévalorisation de son partenaire, de l'art de la persuasion et du rôle de figurante.Soutenez-nous sur Patreon!Écoutez-nous sur YouTubeLes recommandations culturelles de la semaine : Celle de Marie-Clarisse : L'essai White Tears/Brown Scars, de Ruby Hamad. Celle d'Emna : Aller voir le premier match de la saison de la Victoire à domicile le 25 novembre prochain à la Place Bell à Laval, ainsi que le podcast Changement de ligne, sur le hockey féminin, disponible sur OhDio. Celle d'Amélie : Le nouvel album de Lilly Allen, West End Girl.
L'essentiel des nouvelles le 19 novembre 2025 --- Ouvrez un compte d'investissement en ligne avec transactions gratuites et remis en argent sur vos premiers dépôts: https://ibref.ca/Qtrade-promo ---Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com Pour s'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref (notamment pour recevoir chaque jour InfoBref Matin, la version écrite de ce bulletin audio): https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur les options de publicité-commandite dans ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Youssef Agouzoul, Product Marketing Manager chez Metroscope, explique comment la réussite d'un projet digital industriel repose sur un équilibre entre technologie et humain. À travers ses retours d'expérience dans le secteur de l'énergie, il montre que l'innovation n'a d'impact que si elle s'appuie sur l'implication des équipes terrain, la compréhension des processus existants et un diagnostic organisationnel précis, pour ancrer durablement le changement et en tirer toute la valeur.Hosted by Ausha. See ausha.co/privacy-policy for more information.
durée : 00:04:17 - Le Reportage de la rédaction - Alors que la COP30 se poursuit, coup de projecteur sur la Sicile, entre désertification et inondations. Les deux tiers du territoire sont en stress hydrique, le nombre d'incendies a doublé entre 2023 et 2024, mais, en hiver, les épisodes de très fortes pluies font des ravages.
durée : 00:04:17 - Le Reportage de la rédaction - Alors que la COP30 se poursuit, coup de projecteur sur la Sicile, entre désertification et inondations. Les deux tiers du territoire sont en stress hydrique, le nombre d'incendies a doublé entre 2023 et 2024, mais, en hiver, les épisodes de très fortes pluies font des ravages.
Politique : Avec le départ de Paul Bérenger, la crise au sein de l'Alliance du Changement menace la stabilité gouvernementale by TOPFM MAURITIUS
"Changement de dimension", "bascule criminelle"... Marseille est sous le choc ce vendredi 14 novembre après le meurtre d'un deuxième frère d'Amine Kessaci, militant écologiste de 22 ans engagé dans la lutte contre le narcobanditisme. Le parquet n'exclut pas l'hypothèse d'un assassinat d'avertissement. Dans cet épisode du Choix info RTL, nous revenons sur ce meurtre, qui constitue un "point de bascule effrayant" pour le ministre de la Justice Gérald Darmanin.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:29:32 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère
Les garageurs, qui font du garagisme, s'il vous plaît, utilisez les bons mots, car Martin ne comprend pas la différence entre changement de pneus, et permutage de pneus
Si vous souhaitez nous soutenir sur Patreon et avoir accès à l'épisode bonus, c'est par ici : https://www.patreon.com/c/ploufetpseudoDernière étape, aussi bien pour notre rétrospective Max Payne que pour son (anti) héros éponyme. Changement de coupe, changement de cadre, changement de développeur. On peut dire que rien n'est simple pour Max Payne 3. Mais est-ce que c'est bien quand même ?La version vidéo est dispo sur notre chaîne youtube https://www.youtube.com/@PloufetPseudoLa chaîne Youtube de Pseudo: https://www.youtube.com/@PsEuDoLeSs1La chaîne youtube de Plouf: https://www.youtube.com/@MonsieurPloufOn est sur Twitter https://x.com/PloufetPseudoAinsi que sur Bluesky https://bsky.app/profile/ploufetpseudo.bsky.social
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec La rédaction de RTL du 26 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Ophélie Roque, professeure et journaliste. - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chaque jour, retrouvez les journaux de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Soyez honnête, est-ce que parler de finance dans le couple vous est venu naturellement ?Parce que moi pas du tout.Quel enfer d'aborder ces sujets. Et puis un jour j'ai compris, ce n'est pas un enfer, c'est primordial. C'est essentiel, surtout en tant que femme.Oui, nous vivons dans une société capitaliste qui est imparfaite, mais en attendant, l'argent reste un aspect central de notre vie. Dans cet épisode, je vous propose d'aller encore plus loin et de vous poser une question essentielle : combien coûte vraiment l'amour dans un couple ?Lucile Quillet, journaliste et autrice du livre Le Prix à payer, montre comment l'amour, les enfants et le quotidien ont un prix… que les femmes paient trop souvent seules.On parle ensemble d'argent, de carrière freinée, de charge mentale qui écrase, et de ce monde du travail encore taillé sur mesure pour les hommes.Ce que vous allez entendre va peut-être vous bousculer dans votre propre vision de votre couple et de votre organisation familiale. Mais c'est fait pour ça les podcasts !Un épisode pour comprendre, mais surtout pour ouvrir les yeux sur ce que chacun·e d'entre nous met dans la balance.LIENS UTILES :Le prix à payer - Ce que le couple hétéro coûte aux femmes, Lucile QuilletSite Oseille & CompagnieÉpisode 193 – L'entreprenariat des mères, comment se prémunir face aux dangers ? Estelle By, avocate
(00:00:36) Changement d'heure: pourquoi on n'arrive toujours pas à trancher? (00:05:50) Même le basket est un jeu politique aux Etats-Unis (00:13:49) Après les manifestations en Indonésie, que reste-t-il de la colère?
Aujourd'hui nous partons en Amazonie brésilienne, pour parler du cacao de la forêt, qui pousse à l'état sauvage. Si l'État de Bahia, sur la côte du Nord-Est brésilien, est plus connu pour sa culture de cacao, le fruit d'Amazonie ne cesse de se développer… À deux semaines de la COP30, cap sur le Brésil. Nous vous emmenons en Amazonie dans l'État du Para où se développe la culture du cacao sauvage. Mais avant cela, nous vous disons tout sur une formidable aventure scientifique : la caravane fluviale Iaraçu qui va naviguer de Manaus, à Belem, pour aller à la rencontre des populations qui vivent sur les bords du fleuve. Elles subissent les conséquences du changement climatique. L'objectif est de porter leurs paroles jusqu'à la COP30. Du 28 octobre au 18 novembre 2025, la caravane fluviale Iaraçu naviguera de Manaus à Belém, au cœur de l'Amazonie, pour porter jusqu'à la COP30 les voix des populations locales et des sciences de la durabilité. Cette initiative innovante, participative et interdisciplinaire est portée par l'IRD, l'Ambassade de France au Brésil, le CFBBA, l'UFAM, l'UFPA, le CNPq, la CAPES et le MCTI, dans une coopération fondée sur la science, la solidarité et le respect des écosystèmes. Avec Christophe Lavaysse, conseiller scientifique Changement climatique, sur les sciences du climat à la COP et Abdelfettah Sifeddine, géologue et représentant de l'IRD au Brésil.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Fatima Aït Bounoua, professeur de français, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
En Côte d'Ivoire, 8,7 millions d'électeurs seront appelés à voter le 25 octobre pour le premier tour de l'élection présidentielle. Il y a cinq candidats en lice, dont le président sortant Alassane Ouattara. RFI donne la parole à chaque candidat. Ce matin, Jean-Louis Billon, cadre du PDCI, en froid avec son parti, se présente avec une autre casquette. Sa candidature est portée par le Code, une coalition de partis politiques. Mais sur le terrain, réussira-t-il à convaincre ses camarades du PDCI, à voter pour lui ? Et va-t-il toucher plus de monde, au-delà du PDCI ? RFI : Comment peut-on gagner une élection présidentielle sans le soutien d'un grand parti politique comme le PDCI ? Jean-Louis Billon : Les partis politiques, aussi grands soient-ils, perdent aussi des élections présidentielles. Aujourd'hui, j'ai une coalition importante de plus d'une vingtaine de partis politiques à laquelle est venu s'adjoindre plusieurs militants du PDCI-RDA. Donc, c'est avec tout ce monde que nous avons organisé la campagne et que nous mobilisons sur l'ensemble du territoire national. Et aujourd'hui, on arrive à tenir des meetings avec une mobilisation bien plus importante que le parti au pouvoir. Est-ce que vous avez maintenu les discussions avec la direction du PDCI ? Je suis un militant du PDCI. Donc, nous nous parlons régulièrement. Il n'y a peut-être pas de mot d'ordre officiel, mais sur le terrain, les militants du PDCI m'accompagnent. Pour moi, je suis en train de mener une campagne raisonnable et nous restons confiants quant à l'issue de cette élection. Vous n'avez pas un soutien officiel du PDCI. Est-ce que vous espérez encore un mot d'ordre avant la fin de la campagne ? Le PDCI, ce n'est pas la majorité en Côte d'Ivoire. La très grande majorité des Ivoiriens est complètement apolitique. Nous avons plus de 6 millions d'électeurs qui ne sont pas affiliés à des partis politiques. C'est à moi de convaincre les Ivoiriens de me donner cinq ans pour diriger la Côte d'Ivoire. Et il sera plus difficile pour le président Alassane Ouattara de convaincre les Ivoiriens de lui accorder cinq années de plus. C'est pour ça que je suis confiant, parce que les Ivoiriens veulent le changement. Et les Ivoiriens veulent une nouvelle génération d'acteurs politiques. Et je représente cette nouvelle génération. Au vu des derniers taux de participation, on a plutôt lieu de se demander, si les électeurs iront voter ce samedi ? Alors c'est très simple. S'ils ne sortent pas voter, là oui, l'électorat captif du RHDP se mobilisant, ne pas voter en réalité, c'est choisir Alassane Ouattara. Par contre, s'il y a une forte mobilisation demain, elle sera plus à mon avantage parce que l'électorat du RHDP ne grandit plus. Avez-vous les ressources humaines suffisantes pour déployer des représentants dans tous les bureaux de vote le 25 octobre ? Nous nous sommes organisés pour être présents dans tous les bureaux de vote. Pourquoi est-ce que c'est un enjeu pour vous ? Parce que c'est une ambition de longue date et je veux participer au renouveau de la Côte d'Ivoire. Jean-Louis Billon, votre programme est principalement axé sur l'économie. Que comptez-vous faire de différent par rapport à l'administration sortante qui, elle, brandit sur le terrain un bilan positif ? La croissance économique ivoirienne est essentiellement le résultat de l'investissement public. Ça, c'est la gestion RHDP. C'est le programme du président Ouattara. Le programme que je présente axe la croissance sur le secteur privé, la création d'emplois, l'investissement privé avec plus de réduction de pauvreté. L'investissement public a joué son rôle, mais il a atteint ses limites. À Dabou, vous avez mis l'accent sur les questions de paix et de sécurité. Quelles mesures comptez-vous prendre pour assurer la sécurité dans le pays ? La stabilité du pays sera maintenue. Mais pour aller au-delà, il faut que nous engagions un véritable processus de réconciliation nationale. Parce que malheureusement, la crise ivoirienne passée a laissé des séquelles. Il y a encore des Ivoiriens qui se sentent, vrai ou faux, menacés et qui restent en dehors de la Côte d'Ivoire. Tout le monde doit rentrer. Vous pensez à Guillaume Soro ? Je pense à Guillaume Soro et d'autres, bien sûr. Personne ne doit se sentir exclu du processus de développement que je veux mettre en place. Donc, je m'arrangerai dans mes premières décisions pour que tout le monde rentre et que nous engagions un vrai processus de réconciliation, que nous partions sur une nouvelle base. Comment vous ferez par rapport aux menaces extérieures ? Je pense notamment à la lutte contre le terrorisme. La lutte contre le terrorisme est aujourd'hui une situation qui concerne l'ensemble des pays de la sous-région. Bien sûr, nous avons, nous même, notre système sécuritaire, mais il nous faut beaucoup plus de coopération avec les autres, pour éradiquer ce phénomène. À lire aussiPrésidentielle en Côte d'Ivoire: les candidats s'activent dans la dernière ligne droite
Changement d'ambiance : direction Long Island, un bijou préservé loin du tourisme de masse.Entre un échange de maison au nord, des mangroves remplies de vie et le spectaculaire Dean's Blue Hole, la famille découvre un autre visage des Bahamas.