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« L'inquiétude grandit, soupire Le Pays au Burkina, depuis que le président Umaro Sissoco Embalo, en fin de mandat, ruse avec le peuple pour garder le pouvoir. On se rappelle, en effet, qu'il avait dissous le parlement dominé par l'opposition en décembre 2023. Par la suite, il avait fixé au 24 novembre 2024, les législatives anticipées, avant de les reporter “sine die“. Et alors que son mandat présidentiel a pris fin jeudi dernier, l'ancien général de 52 ans a annoncé unilatéralement et sans concertation, que les scrutins présidentiel et législatif ne pourraient pas avoir lieu avant le 30 novembre prochain ».« Aujourd'hui en fin de mandat, donc, constate Le Pays, Umaro Sissoco Embalo use de stratagèmes pour conserver le pouvoir. De toute évidence, les arguments qu'il a avancés pour justifier le report à savoir “des obstacles techniques et financiers“, ont été battus en brèche par l'opposition qui n'entend pas s'en laisser conter. Umaro Sissoco Embalo rate ainsi une occasion d'entrer dans l'histoire de son pays par la grande porte ».La mission de la Cédéao priée de partir…Qui plus est, signe de sa détermination, voire de son obstination à rester au pouvoir, le président bissau-guinéen a expulsé ce week-end une mission de la Cédéao dans son pays qui travaillait sur un projet de feuille de route pour la tenue d'élections législatives et présidentielles cette année. « Dans son délire d'un troisième mandat anticonstitutionnel, Umaro Sissoco Embalo chasse une délégation de la Cédéao », s'exclame le site Afrik Soir. « Au lieu de jouer la carte du dialogue, il a opté pour la confrontation. (…) Ce bras-de-fer institutionnel inquiète non seulement la classe politique locale mais aussi la communauté internationale. L'expulsion de la mission de la Cédéao pourrait aggraver l'isolement diplomatique du régime d'Embalo, pointe encore Afrik Soir, déjà accusé d'autoritarisme et de dérive anti-démocratique. Face à cette situation, la Cédéao a annoncé qu'elle soumettrait un rapport détaillé de cette mission avortée à son président, Omar Alieu Touray. Reste à savoir quelles mesures seront prises contre Embalo, dont l'attitude met en péril la stabilité de la Guinée-Bissau et de la sous-région ».Vers une dictature ?Walf Quotidien, au Sénégal voisin, hausse le ton. « Umaro Sissoco Embalo, un pas de plus vers une dictature », titre le quotidien dakarois. Walf qui donne la parole au journaliste bissau-guinéen Candido Camara : « la Guinée-Bissau devrait être dirigée par un gouvernement de transition, affirme-t-il, dans la mesure où l'Assemblée nationale a été dissoute et que le président Embalo est en train de perpétrer un coup d'État institutionnel en refusant d'organiser l'élection présidentielle ».Pour Doudou Sidibé, enseignant-chercheur à l'université Gustave Eiffel à Paris, toujours dans les colonnes de Walf Quotidien, « il est clair que c'est un recul démocratique car cette situation pouvait être anticipée. Des solutions auraient pu être apportées, estime-t-il, avant que le mandat n'arrive à terme. Il me semble que le président Embalo ait voulu profiter d'un flou juridique pour s'accrocher au pouvoir », décrypte encore l'enseignant-chercheur. Avant de s'interroger : « que lui serviraient quelques mois de plus sur un mandat de cinq ans ? Qu'est-ce qu'il n'a pas fait et qu'il projette de faire en prolongeant son mandat de quelques mois ? »Répression…La société civile n'est pas en reste, relève encore Walf Quotidien, qui donne la parole également à Bubacar Turé, le président de la Ligue guinéenne des droits de l'homme. Pour lui, « la situation des droits humains ne fait que se détériorer dans le pays. Les actions du régime autoritaire de Umaro Sissoco Embalo se caractérisent par des arrestations arbitraires, des persécutions et des intimidations à l'encontre de journalistes et de voix dissidentes. Rien qu'en 2024, poursuit-il, le président Embalo a arrêté et torturé plus de 100 personnes, pour avoir décidé de défier ses mesures illégales visant à restreindre les libertés fondamentales garanties constitutionnellement à tous les citoyens“ ».Enfin, Aujourd'hui à Ouagadougou s'interroge : « les protagonistes de ce pays pourront-ils taire leurs divergences et leurs égos pour penser à l'avenir de la Nation ? Que se passera-t-il d'ici novembre prochain, date prévue pour les élections ? Que va faire le président Embalo pour préserver la paix ? »
Tous les matins à 7h50, Matthieu Belliard prend le temps d'expliquer simplement un phénomène d'actualité complexe. Un rendez-vous pédagogique indispensable pour trouver les réponses aux questions soulevées par l'actualité du jour.
« L'inquiétude grandit, soupire Le Pays au Burkina, depuis que le président Umaro Sissoco Embalo, en fin de mandat, ruse avec le peuple pour garder le pouvoir. On se rappelle, en effet, qu'il avait dissous le parlement dominé par l'opposition en décembre 2023. Par la suite, il avait fixé au 24 novembre 2024, les législatives anticipées, avant de les reporter “sine die“. Et alors que son mandat présidentiel a pris fin jeudi dernier, l'ancien général de 52 ans a annoncé unilatéralement et sans concertation, que les scrutins présidentiel et législatif ne pourraient pas avoir lieu avant le 30 novembre prochain ».« Aujourd'hui en fin de mandat, donc, constate Le Pays, Umaro Sissoco Embalo use de stratagèmes pour conserver le pouvoir. De toute évidence, les arguments qu'il a avancés pour justifier le report à savoir “des obstacles techniques et financiers“, ont été battus en brèche par l'opposition qui n'entend pas s'en laisser conter. Umaro Sissoco Embalo rate ainsi une occasion d'entrer dans l'histoire de son pays par la grande porte ».La mission de la Cédéao priée de partir…Qui plus est, signe de sa détermination, voire de son obstination à rester au pouvoir, le président bissau-guinéen a expulsé ce week-end une mission de la Cédéao dans son pays qui travaillait sur un projet de feuille de route pour la tenue d'élections législatives et présidentielles cette année. « Dans son délire d'un troisième mandat anticonstitutionnel, Umaro Sissoco Embalo chasse une délégation de la Cédéao », s'exclame le site Afrik Soir. « Au lieu de jouer la carte du dialogue, il a opté pour la confrontation. (…) Ce bras-de-fer institutionnel inquiète non seulement la classe politique locale mais aussi la communauté internationale. L'expulsion de la mission de la Cédéao pourrait aggraver l'isolement diplomatique du régime d'Embalo, pointe encore Afrik Soir, déjà accusé d'autoritarisme et de dérive anti-démocratique. Face à cette situation, la Cédéao a annoncé qu'elle soumettrait un rapport détaillé de cette mission avortée à son président, Omar Alieu Touray. Reste à savoir quelles mesures seront prises contre Embalo, dont l'attitude met en péril la stabilité de la Guinée-Bissau et de la sous-région ».Vers une dictature ?Walf Quotidien, au Sénégal voisin, hausse le ton. « Umaro Sissoco Embalo, un pas de plus vers une dictature », titre le quotidien dakarois. Walf qui donne la parole au journaliste bissau-guinéen Candido Camara : « la Guinée-Bissau devrait être dirigée par un gouvernement de transition, affirme-t-il, dans la mesure où l'Assemblée nationale a été dissoute et que le président Embalo est en train de perpétrer un coup d'État institutionnel en refusant d'organiser l'élection présidentielle ».Pour Doudou Sidibé, enseignant-chercheur à l'université Gustave Eiffel à Paris, toujours dans les colonnes de Walf Quotidien, « il est clair que c'est un recul démocratique car cette situation pouvait être anticipée. Des solutions auraient pu être apportées, estime-t-il, avant que le mandat n'arrive à terme. Il me semble que le président Embalo ait voulu profiter d'un flou juridique pour s'accrocher au pouvoir », décrypte encore l'enseignant-chercheur. Avant de s'interroger : « que lui serviraient quelques mois de plus sur un mandat de cinq ans ? Qu'est-ce qu'il n'a pas fait et qu'il projette de faire en prolongeant son mandat de quelques mois ? »Répression…La société civile n'est pas en reste, relève encore Walf Quotidien, qui donne la parole également à Bubacar Turé, le président de la Ligue guinéenne des droits de l'homme. Pour lui, « la situation des droits humains ne fait que se détériorer dans le pays. Les actions du régime autoritaire de Umaro Sissoco Embalo se caractérisent par des arrestations arbitraires, des persécutions et des intimidations à l'encontre de journalistes et de voix dissidentes. Rien qu'en 2024, poursuit-il, le président Embalo a arrêté et torturé plus de 100 personnes, pour avoir décidé de défier ses mesures illégales visant à restreindre les libertés fondamentales garanties constitutionnellement à tous les citoyens“ ».Enfin, Aujourd'hui à Ouagadougou s'interroge : « les protagonistes de ce pays pourront-ils taire leurs divergences et leurs égos pour penser à l'avenir de la Nation ? Que se passera-t-il d'ici novembre prochain, date prévue pour les élections ? Que va faire le président Embalo pour préserver la paix ? »
Samia raconte à Justine l'histoire d'une femme qui, après avoir suivi son copain autour du monde, subit sa crise de la quarantaine.Où retrouver Justine :sur sa chaîne YouTubesur Instagramsur la chaîne YouTube Camille et Justinedans le podcast On s'tient au jusAbonnez-vous à la newsletter du Love Gang : tous les mois, un podcast de récap culturel (livres, films, articles...) et un texte sur l'amour ! C'est 5 euros et un super moyen de me soutenir.Envoyez vos histoires d'amour sur cette page, suivez @lelovegang sur Instagram et rejoignez le serveur sur Discord pour débriefer les histoires
Le Premier ministre François Bayrou a beau assurer qu'il ne souhaite pas « l'escalade », la menace d'une révision des accords migratoires lancée hier (26 février 2025), -5 jours après l'attentat de Mulhouse, résonne comme un coup de semonce dans le ciel algérien --sur fond de relations déjà très tendues entre les 2 pays, après la reconnaissance l'été dernier de la « marocanité » du Sahara occidental par le président Macron, et l'arrestation de l'écrivain Boualem Sansal en novembre à Alger. Les refus répétés de l'Algérie de reprendre ses ressortissants expulsés de France sont « inacceptables », a martelé François Bayou qui donne donc 6 semaines à Alger pour démontrer sa volonté de mieux coopérer en matière migratoire, à défaut de quoi le Premier ministre menace –tout simplement de remettre en cause les accords de 1968.Comment l'Algérie va-t-elle répondre à cet ultimatum, la relation entre les 2 pays peut-elle se dégrader jusqu'à la rupture totale, entre escalade et surenchère, le divorce franco-algérien est-il certain ?Avec nos invités : - Khadidja Mohsen-Finan, politologue, enseignante-chercheuse à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste du Maghreb et du monde arabe- Hasni Abidi, politologue, directeur du CERMAM, spécialiste du monde arabe.
En Tunisie, les entrepreneurs ont encore du mal à se remettre de la pandémie du Covid. Beaucoup subissent les effets de l'inflation, à 7 %, et de la « permacrise » économique. 200 000 PME étaient en difficulté financière en 2023, selon l'Association tunisienne des petites et moyennes entreprises, et certaines ont une durée de vie qui ne dure pas plus d'un an et demi. Dans son restaurant de street food El Koocha, dans le quartier de Menzah 5, à Tunis, Emna Megdiche a l'air soucieux. Malgré le succès de son commerce, elle doit s'adapter chaque jour à la hausse des prix des denrées alimentaires. « Malheureusement, les deux dernières années ont été particulièrement difficiles parce que l'on fait face à une inflation à deux chiffres sur certaines matières, explique-t-elle. La dernière en date qui nous a mis vraiment en difficulté, c'est l'approvisionnement en volaille et l'inflation des prix de la volaille depuis l'été dernier. Ce qu'on avait avant, c'était un prix bas de la volaille qui permettait de compenser le coût global de la nourriture ».À lire aussiAvant l'élection, l'économie tunisienne au bord du gouffreHausse des matières premières et pénurie de main-d'œuvreLe prix moyen de la volaille a augmenté de près de 19 % entre 2023 et 2024 en Tunisie. Emna a dû réduire ses marges et fait aussi face aux autres conséquences de la crise économique : « La première, c'est la hausse des matières premières, la deuxième, c'est la main-d'œuvre qualifiée qui est en train de partir dans des pays comme l'Arabie saoudite, le Qatar, le Maroc, qui se prépare pour la Coupe du monde, la France, l'Europe, c'est une grosse difficulté. Et la troisième, c'est la baisse de pouvoir d'achat ». Si Emna parvient à se maintenir à flot, d'autres ont dû prendre des mesures drastiques.Catherine Fournier, franco-tunisienne, dirige une petite entreprise dans le secteur des ressources humaines. Elle a subi une baisse d'activité, car beaucoup d'entreprises ont coupé les budgets en matière d'externalisation du recrutement. « Mon choix, par exemple, ça a été de passer en coworking space au lieu de garder un local en propre, pour diminuer les charges, témoigne l'entrepreneuse, ça a été le premier réflexe. Et puis après, j'ai continué à faire de la croissance en niveau commercial et j'ai créé peut-être plus de dynamique de partenariats. »Trésoreries à secComme Emna, malgré un réseau professionnel développé, Catherine se sent à l'écart des systèmes de soutiens financiers. « Je ne dis pas qu'il faut nous passer certaines choses, on doit payer des impôts comme tout le monde, mais peut-être que si on était un peu mieux traité et qu'on avait des systèmes un peu plus souples, ça nous aiderait à créer de la trésorerie, défend la cheffe d'entreprise. Parce que finalement, les TPE, on est souvent des sociétés de services et la trésorerie, c'est le cœur du problème. »Beaucoup ne peuvent plus répondre aux exigences en termes de garantie de la part du système bancaire, et donc n'arrivent plus à trouver de financements.À lire aussiDévelopper les PME en Afrique: le défi de l'investissement
Vous vous sentez en décalage ? Différent ? Comme si ce monde n'était pas fait pour vous ?Si vous avez toujours eu du mal à rentrer dans les cases, à suivre les règles imposées par la société et à trouver votre propre voie, cette vidéo est pour vous.Je vous partage mon parcours d'outsider, comment j'ai appris à transformer ma différence en force et à créer un modèle qui me correspond, sans me suradapter.
Bonjour, bonsoir,Dans cet épisode, j'ai eu le plaisir de me promener en bord de mer, à Mandelieu-la-Napoule, avec Frédéric Loisel, expert en cybersécurité et fondateur de CriseBox.com.Ancien matelot, Frédéric a fait de la gestion des crises numériques son terrain d'expertise.Ce qui le distingue ? Sa bienveillance autant que son exigence. Frédéric sait challenger avec justesse tout en accompagnant avec clarté et engagement.De la marine à la cybersécurité, il nous partage les parallèles entre ces deux univers exigeants et les clés pour garder le cap en période de crise.Un échange riche, qui allie leadership, préparation et gestion du stress.Bonne écoute---
Pourquoi certains leaders attirent naturellement les bonnes opportunités pendant que d'autres rament ? Ce n'est pas une question de chance. Ce n'est pas une question d'intelligence. C'est une question de stratégie. Et si tu n'as pas la bonne, tu risques de passer à côté de ton vrai potentiel. Dans cet épisode, on plonge dans l'univers du leadership et du networking avec André Dan, expert reconnu, formateur de plus de 10 000 professionnels et créateur du programme High Performance Leadership. Il partage des pépites concrètes pour t'aider à bâtir un réseau puissant, influencer avec impact et devenir un leader inarrêtable.
durée : 00:07:32 - Info médias - Le mensuel, qui fête ses 70 ans, affiche une stabilité de ses ventes, avec une volonté affichée de démocratiser tous les arts, de la peinture à la photographie en passant par le design ou le patrimoine.
Afin de boucler la boucle suite à la dernière chronique historique portant sur Cuba, je vous emmène en 1962, au plus fort de la Guerre froide, où les États-Unis et l'URSS ont passé très près d'un conflit nucléaire. Bonne écoute! Merci à nos partenaires! Constructions Rivard - https://www.constructionsrivard.com/ Miel Abitémis - https://www.mielabitemis.com/ Animalerie Croc Bête - https://crocbete.com/ Devenez membre Patreon en vous rendant au / sltdh et profitez de dizaines d'heures de contenu exclusif! Procurez-vous votre marchandise aux couleurs de SLTDH en vous rendant au https://www.teepublic.com/user/sltdh?... Rejoignez-nous sur Twitch : / sltdh Abonnez-vous à notre chaîne YouTube: / @sltdhpod Une présentation des Éditions Dernier Mot: https://editionsderniermot.com/
durée : 00:02:07 - Le brief éco - Outre les animaux, le Salon de l'Agriculture est l'occasion de découvrir une des activités de tradition en France : la fabrication de machines agricoles.
Le nouveau show animé par Marion Bartoli prend place chaque dimanche à 19h ! Aux côtés de Jean-Christophe Drouet, elle vient tirer le bilan de toute l'actualité sportive du week-end, sur un ton franc et direct !
durée : 00:20:02 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Tribune de Paris - Presse filmée : la crise des actualités françaises (1ère diffusion : 04/02/1948 Chaîne Nationale) - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:12:25 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Le ton monte encore entre Paris et Alger. Hier, le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau a déclaré que l'Algérie ne “respectait pas le droit”, suite au refus, fin janvier, d'admettre sur son sol l'un de ses ressortissants condamné en France à quitter le territoire. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Khadija Mohsen-Finan Politologue, spécialiste du Maghreb et des questions méditerranéennes, membre du comité de rédaction d'Orient XXI
durée : 00:02:06 - Le brief éco - L'équipementier allemand Continental va supprimer 3 000 postes supplémentaires d'ici 2026, portant à plus de 10 000 le total des suppressions d'emplois. La majorité de ces suppressions concerne la recherche et développement, dans un contexte de baisse des ventes et de pression de la concurrence chinoise.
durée : 00:04:14 - 100% Sainté
durée : 00:36:24 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Alors que l'attractivité du football aux yeux des Français semblait peu contestable, la hausse du piratage des plateformes de diffusion des matchs interroge la popularité du sport.
Pour la neuvième année de la grande enquête des Echos Week-end avec Statista sur les plus belles trajectoires de croissance entre 2020 et 2023, c'est une entreprise du secteur de la construction qui arrive en tête de classement. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités décryptent la réussite de Kleidi dans l'immobilier d'entreprises durable dont l'empreinte est compensée par des plantations d'arbres aux côté des bâtiments.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryLa Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en février 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Ali Kaboré et Simon Tabourier (cofondateurs de Kleidi) et Laura Berny (rédactrice en chef aux « Echos Week-end »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Shutterstock. Sons : « Astérix et les Vikings » (2006), FK_Prod « Antiquity Rome 1 » (2013), TapNation, TF1, « L'enquête corse » (2004), « La Traversée de Paris » (1956), Arte. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:15 - Le grand format - Avec l'immigration, l'économie est l'autre grand thème de la campagne des élections législatives en Allemagne. Le secteur automobile, fleuron de l'industrie allemande, est touché de plein fouet par la crise. Reportage dans "la ville de l'automobile", Lüdenscheid, 70.000 habitants près de Cologne.
Le Journal en français facile du jeudi 13 février 2025, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BPTV.A
durée : 00:08:20 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Alors que le principal syndicat des travailleurs du jeu-vidéo appelle à une grève nationale ce jeudi, comment expliquer les annonces de licenciements successifs dans le secteur ? Quelles sont les revendications des salariés, et quelles sont les singularités du dialogue social dans cette industrie ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Alexis Blanchet Maître de conférences au département cinéma et audiovisuel de l'Université Sorbonne Nouvelle
durée : 00:05:59 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - La France a enregistré un nombre record de créations d'entreprises : plus d'1,1 million en 2024. Un chiffre en hausse de 5,7 % par rapport à l'an précédent. Près des deux-tiers sont en fait créées par des micro-entrepreneurs.
Et si la réduction des surfaces était l'une des réponses à la crise que connait l'immobilier, notamment neuf ces dernières années ? Les professionnels de la construction s'adaptent à la baisse de pouvoir d'achat immobilier... Ecoutez RTL Evènement avec Pierre Herbulot du 12 février 2025.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La crise de 1929, souvent appelée la Grande Dépression, a commencé avec le krach boursier de New York en octobre 1929. Le 29 octobre, connu sous le nom de "jeudi noir", a vu la vente massive de 16,5 millions de titres, marquant le début de la dépression économique mondiale. Cette crise a eu un impact dévastateur sur les banques et les entreprises, entraînant une récession économique qui a atteint son apogée en 1932 et ne s'est véritablement terminée qu'avec l'entrée en guerre des États-Unis en 1941. La crise a été exacerbée par une crise financière et monétaire en Europe à partir de mai 1931, qui a détruit le système monétaire international établi dans les années 1920.Cette crise a eu des impacts sociaux significatifs, mais également géopolitiques, dont les conséquences amèneront le monde dans une Seconde Guerre totale.L'émission Bonus, réservée aux abonnés Premium, revient à la fois sur la bibliographie, et également quelques coups de projecteurs, notamment sur les chiffres des emprunts des pays européens auprès des USA.
Le reportage international est consacré aujourd'hui au football et à la ville de Manchester qui accueille ce mardi l'un des matches les plus attendus de ce début d'année. L'une de ses équipes phares, City, affronte le Real Madrid en « barrage aller » de la Ligue des champions. Une affiche de prestige pour un club qui traverse une crise à laquelle il n'était plus habitué depuis longtemps...
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La crise de 1929, souvent appelée la Grande Dépression, a commencé avec le krach boursier de New York en octobre 1929. Le 29 octobre, connu sous le nom de "jeudi noir", a vu la vente massive de 16,5 millions de titres, marquant le début de la dépression économique mondiale. Cette crise a eu un impact dévastateur sur les banques et les entreprises, entraînant une récession économique qui a atteint son apogée en 1932 et ne s'est véritablement terminée qu'avec l'entrée en guerre des États-Unis en 1941. La crise a été exacerbée par une crise financière et monétaire en Europe à partir de mai 1931, qui a détruit le système monétaire international établi dans les années 1920.Cette crise a eu des impacts sociaux significatifs, mais également géopolitiques, dont les conséquences amèneront le monde dans une Seconde Guerre totale.L'émission Bonus, réservée aux abonnés Premium, revient à la fois sur la bibliographie, et également quelques coups de projecteurs, notamment sur les chiffres des emprunts des pays européens auprès des USA.
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Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La crise de 1929, souvent appelée la Grande Dépression, a commencé avec le krach boursier de New York en octobre 1929. Le 29 octobre, connu sous le nom de "jeudi noir", a vu la vente massive de 16,5 millions de titres, marquant le début de la dépression économique mondiale. Cette crise a eu un impact dévastateur sur les banques et les entreprises, entraînant une récession économique qui a atteint son apogée en 1932 et ne s'est véritablement terminée qu'avec l'entrée en guerre des États-Unis en 1941. La crise a été exacerbée par une crise financière et monétaire en Europe à partir de mai 1931, qui a détruit le système monétaire international établi dans les années 1920.Cette crise a eu des impacts sociaux significatifs, mais également géopolitiques, dont les conséquences amèneront le monde dans une Seconde Guerre totale.L'émission Bonus, réservée aux abonnés Premium, revient à la fois sur la bibliographie, et également quelques coups de projecteurs, notamment sur les chiffres des emprunts des pays européens auprès des USA.
Chaque jour, entre 9h et 9h30, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce mardi, il revient sur la motion de censure à laquelle François Bayrou devrait échapper car le PS et le RN ne devraient pas la voter. Il s'intéresse ensuite à la crise diplomatique qui s'intensifie entre la France et l'Algérie. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
(00:00:41) La crise migratoire met le droit du sol sous pression (00:08:16) La drôle de "normalité" revenue après les combats à Goma, en RDC (00:12:10) Pourquoi la France et l'Algérie sont-elles sur le point de rompre leurs relations?
Après deux années de récession, l'Allemagne peine à se relever des conséquences énergétiques de la guerre en Ukraine et du ralentissement économique de la Chine, son principal partenaire à l'international. À l'occasion des élections du 23 février qui voient s'opposer des programmes antagonistes, zoom sur la première économie de la zone euro qui risque de pâtir, dans son ensemble, de cette crise aux accents sociaux et politiques. NOTRE INVITÉE :- Céline Antonin, économiste senior à l'OFCE (Observatoire français des conjonctures économiques), auteure «Crypto-Actifs : Une menace pour l'ordre monétaire et financier» (Economica).Dans la seconde partie de l'émission, suivez de larges extraits de notre entretien avec Papa Amadou Sarr, directeur exécutif Mobilisation, partenariats et communication de l'Agence Française de Développement (AFD). À l'occasion du 5ème sommet Finance au Commun, du 26 au 28 février 2025, au Cap (Afrique du Sud) qui réunit banques et agences spécialisées, nous analysons avec l'ancien ministre sénégalais les enjeux du financement du développement dans une période de fortes contraintes budgétaires.À ne pas manquerNotre podcast «Le succès des repats» réalisé par Charlie Dupiot.
Après deux années de récession, l'Allemagne peine à se relever des conséquences énergétiques de la guerre en Ukraine et du ralentissement économique de la Chine, son principal partenaire à l'international. À l'occasion des élections du 23 février qui voient s'opposer des programmes antagonistes, zoom sur la première économie de la zone euro qui risque de pâtir, dans son ensemble, de cette crise aux accents sociaux et politiques. NOTRE INVITÉE :- Céline Antonin, économiste senior à l'OFCE (Observatoire français des conjonctures économiques), auteure «Crypto-Actifs : Une menace pour l'ordre monétaire et financier» (Economica).Dans la seconde partie de l'émission, suivez de larges extraits de notre entretien avec Papa Amadou Sarr, directeur exécutif Mobilisation, partenariats et communication de l'Agence Française de Développement (AFD). À l'occasion du 5ème sommet Finance au Commun, du 26 au 28 février 2025, au Cap (Afrique du Sud) qui réunit banques et agences spécialisées, nous analysons avec l'ancien ministre sénégalais les enjeux du financement du développement dans une période de fortes contraintes budgétaires.À ne pas manquerNotre podcast «Le succès des repats» réalisé par Charlie Dupiot.
La pauvreté augmente et avec elle la malnutrition infantile. L'opposition réclame des repas gratuits dans les écoles publiques. En Turquie, depuis 2019, la spirale dévaluation-inflation fait des ravages.L'inflation atteignait plus de 44% sur un an fin 2024, moins que l'année précédente, se félicitent les autorités. Mais, les économistes indépendants du Groupe de recherche sur l'inflation estiment que la hausse des prix à la consommation avait atteint en décembre 2024, 83,4%. Pour aider les familles qui s'appauvrissent, l'opposition turque réclame que l'État fournisse un repas gratuit par jour à tous les écoliers. Une demande qui cache un problème douloureux : la malnutrition des enfants turcs se serait aggravée et étendue sous l'effet de la crise. Reportage à Ankara, Anne Andlauer. À la Une de The Conversation Les relais de Donald Trump au sein de l'UE ; la radicalisation du FPÖ autrichien ; les scrutins européens sous pression russe : Nous en parlons avec Gregory Rayko, responsable des pages internationales.Retrouvez ici mardi 4 février 2025 le webinaire de la revue en ligne The Conversation sur la politique étrangère de Donald Trump. La fête oui, l'alcool non : en Irlande, les jeunes réinventent leur vie socialeIl existe d'autres façons de briser la glace que de se réchauffer à l'alcool… de plus en plus de jeunes Dublinois en sont convaincus. Depuis la pandémie de Covid, la très influente culture du pub a moins de succès sur la nouvelle génération, qui privilégie la santé et le bien-être. Reportage, Clémence Pénard. La chronique musique de Vincent Théval : Delirium de C Duncan (Écosse).
La pauvreté augmente et avec elle la malnutrition infantile. L'opposition réclame des repas gratuits dans les écoles publiques. En Turquie, depuis 2019, la spirale dévaluation-inflation fait des ravages.L'inflation atteignait plus de 44% sur un an fin 2024, moins que l'année précédente, se félicitent les autorités. Mais, les économistes indépendants du Groupe de recherche sur l'inflation estiment que la hausse des prix à la consommation avait atteint en décembre 2024, 83,4%. Pour aider les familles qui s'appauvrissent, l'opposition turque réclame que l'État fournisse un repas gratuit par jour à tous les écoliers. Une demande qui cache un problème douloureux : la malnutrition des enfants turcs se serait aggravée et étendue sous l'effet de la crise. Reportage à Ankara, Anne Andlauer. À la Une de The Conversation Les relais de Donald Trump au sein de l'UE ; la radicalisation du FPÖ autrichien ; les scrutins européens sous pression russe : Nous en parlons avec Gregory Rayko, responsable des pages internationales.Retrouvez ici mardi 4 février 2025 le webinaire de la revue en ligne The Conversation sur la politique étrangère de Donald Trump. La fête oui, l'alcool non : en Irlande, les jeunes réinventent leur vie socialeIl existe d'autres façons de briser la glace que de se réchauffer à l'alcool… de plus en plus de jeunes Dublinois en sont convaincus. Depuis la pandémie de Covid, la très influente culture du pub a moins de succès sur la nouvelle génération, qui privilégie la santé et le bien-être. Reportage, Clémence Pénard. La chronique musique de Vincent Théval : Delirium de C Duncan (Écosse).
durée : 00:38:34 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Pour s'adapter à un monde de plus en plus consommateur en électricité, la France doit produire massivement de l'électricité décarbonée. Mais quel sera le prix de cette révolution ? La France a-t-elle une stratégie claire en matière de politique énergétique ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Emmanuelle Wargon Présidente de la Commission de régulation de l'énergie (CRE)
C dans l'air du 23 janvier 2025 - Paris/ Alger : les "influenceurs"... et la criseEn pleines tensions entre la France et l'Algérie, le ministre de l'Intérieur continue d'occuper le terrain. Monté en première ligne depuis plusieurs semaines sur le dossier, Bruno Retailleau a ainsi annoncé mercredi sur X l'arrestation d'un nouvel influenceur algérien qui "appelait à commettre des actes violents sur le territoire français sur TikTok". Dans la foulée, Beauvau a précisé que cette nouvelle interpellation a eu lieu dans le XIIIe arrondissement de Paris, avant de se faire recadrer par le parquet de Paris. "À ce stade, rien n'est retenu contre la personne concernée, qui doit en outre suivre des soins. Elle n'est à cette heure pas en garde à vue", a expliqué le ministère public qui pris soin de rappeler à Bruno Retailleau que "seule l'autorité judiciaire est légitime à communiquer sur une affaire judiciaire en cours, et qu'une personne qui n'est pas jugée est présumée innocente", dénonçant une "fuite prématurée".Dans son message, Bruno Retailleau avait appelé à "ne rien laisser passer". Une formule qu'il avait déjà employée le 16 janvier dernier, après l'annonce de l'arrestation d'un autre influenceur algérien : Mahdi B. Ce dernier avait été interpellé trois jours plus tôt, après un signalement à la plateforme Pharos. Le ministre disait là aussi que Mahdi B "vantait, en langue arabe, de vouloir commettre des actions violentes sur le sol français". Depuis, l'influenceur a été condamné à huit mois de prison et écroué. Au total, dans un contexte de fortes tensions entre Paris et Alger, notamment autour des dossiers du Sahara occidental et de l'incarcération de l'écrivain Boualem Sansal, au moins sept influenceurs algériens font désormais l'objet de signalements pour des appels à la haine sur TikTok. Parmi eux, le parcours de "Doualemn" - Boualem N. de son vrai nom - a été particulièrement médiatisé. Interpellé le 5 janvier à Montpellier, après que le maire de la ville et le préfet de l'Hérault ont signalé à la justice la publication sur TikTok d'une de ses vidéos, dans laquelle il appelait à la violence contre un manifestant algérien anti-régime, cet agent d'entretien de 59, père de deux enfants, avait été expulsé le 9 janvier en Algérie, où il a été refusé. De retour en France le soir même, placé en centre de rétention administrative (CRA), il doit être jugé le 24 février pour "provocation publique à commettre un crime". Bruno Retailleau avait affirmé qu'en le renvoyant vers Paris, l'Algérie avait cherché à "humilier la France". De son côté, l'Algérie avait rejeté les accusations françaises "d'escalade" et "d'humiliation", en invoquant une "campagne de désinformation" contre Alger. Depuis le ministre de l'Intérieur a multiplié les déclarations dans les médias. Cette semaine il a accordé un long entretien à L'Express dans lequel il plaide pour dépassionner la relation, tout en défendant aussitôt "puisque la manière douce n'a pas suffi", la remise en cause de l'accord franco-algérien de 68, relatif aux conditions d'entrée en France des ressortissants algériens, qu'il estime "datés et déséquilibrés", la fin des facilités de voyage pour les dignitaires et de l'accord pour les soins en France. Dans le même entretien, Bruno Retailleau est revenu sur la question coloniale, estimant que "nous devons retrouver un regard équilibré sur cette période". "La colonisation, c'est bien sûr des pages sombres qu'il faut dénoncer, et nous l'avons fait. Il y a eu aussi, je le dis, des apports et des liens qui se sont créés" a-t-il affirmé. Jugeant inadmissible la façon "de plus en plus agressive" dont l'Algérie traite notre pays, le ministre de l'Intérieur a révélé "n'avoir aucun interlocuteur institutionnel" en Algérie et n'avoir pas consulté les autorités algériennes avant de placer dans l'avion l'influenceur Doualem.Une interview qui a soulevé des interrogations et des critiques de la part des "ex" de la diplomatie française. Gérard Araud, ancien ambassadeur de la France aux Etats-Unis et en Israël, a tancé des "postures de matamore" étriquées : "Qu'il se taise ! Je sais qu'il satisfait ainsi une partie de son électorat mais qu'il pense à l'intérêt national. Ce n'est pas ainsi qu'on fait de la politique étrangère". L'ancien Premier ministre et ancien ministre des Affaires étrangères Dominique de Villepin a critiqué de son côté la "surenchère" du ministre de l'Intérieur sur l'Algérie et l'a invité à ne pas céder à "la tentation du règlement de comptes" car "ce n'est jamais dans l'escalade qu'on règle les crises". "Il y a un malentendu depuis le départ du ministre de l'Intérieur qui veut régler des questions qui ne se règlent que par la diplomatie" a-t-il tranché."Chacun est libre d'exprimer ses opinions ou de formuler des propositions. Mais c'est bien au Quai d'Orsay et sous l'autorité du président de la République que se forge la politique étrangère de la France", a de son côté affirmé lundi sur RMC-BFMTV le ministre des Affaires étrangères. Jean-Noël Barrot s'est également dit prêt à se rendre à Alger, estimant que "ni la France ni l'Algérie n'avaient intérêt à ce que s'installe une tension durable" entre elles. Le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a également appelé mardi sur France Inter à "refonder la relation" actuellement très tendue entre l'Algérie et la France, en regrettant "les dérives actuelles du gouvernement algérien". Il a par ailleurs exprimé "la compassion, l'empathie et le soutien" de la France envers l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, incarcéré depuis la mi-novembre en Algérie pour atteinte à la sûreté de l'Etat. Ce jeudi le Parlement européen a adopté une résolution exigeant la libération immédiate de l'auteur franco-algérien âgé de 75 ans. Alors quelle relation avec l'Algérie ? Pourquoi cette montée des tensions entre Paris et Alger ? Que sait-on de l'arrestation de Boualem Sansal et de ses conditions de détention ?Les experts :- HASNI ABIDI - Politologue - Directeur du CERMAM, Centre d'Études et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen- ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - France Info TV , spécialiste des questions internationales- AUDREY GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- RACHEL BINHAS - Journaliste au service société - Marianne PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 23 janvier 2025 - Paris/ Alger : les "influenceurs"... et la criseSi vous manquez de temps pour écouter l'émission en entier, nous vous donnons la possibilité d'accéder directement aux questions posées par les téléspectateurs qui sont un bon résumé de l'émission du jour.Les experts :- HASNI ABIDI - Politologue - Directeur du CERMAM, Centre d'Études et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen- ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - France Info TV , spécialiste des questions internationales- AUDREY GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- RACHEL BINHAS - Journaliste au service société - Marianne
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Après six semaines d'audience au tribunal correctionnel de Marseille, le procès de l'effondrement des immeubles de la rue d'Aubagne s'est terminé le 19 décembre 2024 et le jugement a été mis en délibéré au 7 juillet 2025.Il y a six ans, le 5 novembre 2018, deux immeubles s'effondraient en plein cœur de Marseille, mettant en lumière la dégradation de l'habitat dans la cité phocéenne. Peu avant le drame, le rapport Nicol, commandé par le gouvernement, établissait que quelque 100 000 Marseillais vivaient dans un logement indigne, soit plus d'un habitant sur dix.Quelles sont les causes du problème ? La situation s'est-elle arrangée à la suite de cet électrochoc qui avait énormément mobilisé les Marseillais ?Dans ce podcast, Gilles Rof, correspondant du Monde à Marseille, revient sur ce drame et fait le point sur la crise du mal-logement dans la deuxième ville de France.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia. Réalisation : Thomas Zeng. Musiques : Amandine Robillard et Epidemic sound. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.Cet épisode a été publié le 16 janvier 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Il est surnommé par les migrants «la Bestia», la bête. Tellement il est difficile et dangereux de monter à son bord. La Bestia, c'est un train de marchandises qui parcourt 2 500 kilomètres presque du nord au sud du Mexique. Les migrants l'empruntent pour traverser le pays et atteindre la fameuse frontière avec les États-Unis. À quelques jours de l'investiture de Donald Trump, pour un second mandat à la Maison Blanche, ses véhémentes promesses d'une réduction drastique de l'immigration et d'une expulsion massive des immigrés clandestins aiguise la crise migratoire de l'autre coté de la frontière. Et bien sûr du côté des migrants, c'est : incertitude et angoisse. À tel point que beaucoup sont prêts à prendre tous les risques pour poursuivre coûte que coûte le rêve américain : même à sauter dans ce terrible train.«Trump, le retour : au Mexique sur les rails de la crise migratoire», un Grand reportage de Gwendolina Duval.
Rien ne va plus entre Paris et Alger… « Sujettes à de récurrentes perturbations, les relations franco-algérienne ont rarement connu un niveau de dégradation que celui observé ces derniers jours, constate Le Matin d'Algérie, en raison de l'accumulation de tensions qui se sont exacerbées depuis la fin de l'année dernière. Les déclarations polémiques au vitriol échangées entre les présidents des deux pays autour de l'incarcération de l'écrivain Boualem Sansal sont les signes d'une montée en cadence dans l'escalade verbale d'un degré jamais égalé. Le refus de l'Algérie d'accueillir sur son sol Boualem Naman, “l'influenceur“ algérien de 59 ans expulsé de France jeudi dernier, vient de donner une tournure imprévisible aux relations bilatérales entre l'Algérie et l'ex-puissance coloniale. (…) Visiblement, relève encore Le Matin d'Algérie, le conflit a atteint un point de non-retour. Reste à savoir quelle suite connaîtra cette affaire dans un proche avenir. Les deux capitales s'en tiendront-elles aux mots ou iront-elles jusqu'à la rupture des relations diplomatiques ? »Vers une guerre des visas ?Dernier épisode de ce bras-de-fer franco-algérien : « dans un contexte où les intérêts diplomatiques, économiques et migratoires se chevauchent, Paris semble vouloir utiliser l'attribution des visas comme levier de pression sur Alger », pointe le site ObservAlgérie. En effet précise le site, « la France envisagerait de revoir à la baisse le nombre de visas accordés aux Algériens, tout en conditionnant son aide au développement à des engagements clairs de la part d'Alger. (…) En Algérie, ces déclarations ont été perçues comme une tentative de chantage, constate le site algérien. Le ministère des Affaires étrangères a dénoncé une campagne de “désinformation“ et de “manipulation“. Les médias et l'opinion publique algériens n'ont pas manqué de réagir. Beaucoup dénoncent une politique néocoloniale de la part de Paris, visant à maintenir une forme de dépendance ou d'influence sur l'Algérie. L'Algérie qui, souligne ObservAlgérie, forte de son rôle stratégique en Afrique du Nord et de sa position dans le marché gazier, semble de moins en moins disposée à se plier aux exigences de Paris, encore moins au chantage aux visas. Elle revendique une relation d'égal à égal, loin des pressions et des politiques paternalistes ».La France accusée…El Watan, proche du pouvoir algérien, s'en prend directement au président français : « Emanuel Macron, qui se noie dans la gouvernance, croit “sauver sa peau“ en surfant sur la vague extrémiste qui déferle sur son pays. Il n'a pas hésité à employer des mots immatures qui déshonorent la stature d'un vrai Président. Dans cette cavale française, il se trouve qu'un Boualem en cache un autre, poursuit El Watan. Après Sansal, l'écrivain fraîchement naturalisé, vient le tour de l'influenceur Naman Boualem propulsé par les mêmes milieux haineux pour maintenir la pression négative sur notre pays ».Le Quotidien d'Oran renchérit : « la France est dans une mauvaise passe, et ses responsables, à défaut de trouver des solutions aux problèmes qui se posent avec acuité tant sur le plan politique qu'économique, tentent de focaliser l'attention de l'opinion sur le bouc émissaire, l'émigré, particulièrement, algérien, ainsi que sur ces pays africains qu'on ne trouve plus assez dociles pour accepter le néocolonialisme ».La question du Sahara occidental : effet déclencheur…À l'origine de la crise, relève pour sa part Le Monde Afrique, il y a le dossier du Sahara occidental… À savoir, la reconnaissance l'été dernier de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. « Si le changement de pied français sur ce dossier a permis la réconciliation avec le Maroc, il a en revanche précipité le divorce avec Alger. La rupture a été d'autant plus violente que le président Tebboune, qui avait noué une relation de confiance avec Emmanuel Macron, s'est de facto senti trahi ».Résultat, poursuit Le Monde Afrique, « du Sahara occidental à l'affaire Boualem Sansal, sur fond de crispation répressive en Algérie et de diffusion d'un discours hostile à l'Algérie dans les médias français proches de l'extrême droite, la crise semble s'emballer inexorablement. Alger a “retiré“ son ambassadeur à Paris fin juillet 2024 tandis que l'ambassadeur français en poste à Alger, Stéphane Romatet, est privé sur place de tout contact politique. La coopération sécuritaire est à l'arrêt. Les échanges autour de la réconciliation mémorielle sont “suspendus“ (…). Quant aux relations économiques, elles sont de plus en plus fragilisées par des mesures de rétorsion prises par Alger ».Et Le Monde Afrique de conclure : « l'éclaircie d'après-orage n'est assurément pas pour demain ».
durée : 00:54:00 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, la crise des missiles de Cuba en 1962, période de tension extrême dans la guerre froide...qui faillit devenir chaude puisque le monde frôla la guerre nucléaire - invités : Touze Vincent - Touze Vincent : Historien - réalisé par : Frédéric Milano
durée : 00:59:04 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - En reprenant les codes du genre pulp, florissant aux États-Unis après la crise de 1929, Makis Malafekas narre dans "Un autre été grec" la suite des aventures de Mikhalis Krokos, son personnage d'écrivain-enquêteur, dans un pays mis sens dessus dessous par les crises successives. - réalisation : Margot Page - invités : Makis Malafékas Écrivain; Hécate Vergopoulos Maîtresse de conférences au CELSA - Sorbonne Université et chercheuse au GRIPIC