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Artenschutz, Biodiversität und Wasserkreisläufe: Die tropischen Wälder sind global bedeutend. Sie speichern besonders viel Kohlenstoff, wie die Biologin Katrin Böhning-Gaese erläutert. Nun sollen sie auch als Finanzanlage geschützt werden. Neumeier, Claudia www.deutschlandfunk.de, Forschung aktuell
Le cinquième pays le plus vaste de la planète abrite plus de 10% des espèces vivantes sur Terre. Du capybara à l'hévéa, petit tour d'horizon des plantes et des animaux les plus emblématiques du Brésil. Il s'appelle le Curupira, et c'est la mascotte officielle de la COP30, le sommet mondial sur le climat qui s'ouvre officiellement ce lundi 10 novembre à Belém, aux portes de l'Amazonie. Mais le Curupira n'est ni une plante, ni un animal ; c'est un personnage légendaire et folklorique, aux cheveux roux, qui hante la forêt amazonienne et la protège, en chassant les braconniers et les bûcherons. Le Brésil abrite 10% de toutes les espèces vivantes sur Terre, grâce à son climat tropical et l'immensité de ses forêts où on pourrait croiser le jaguar, le plus gros félin du continent. Il n'a aucun prédateur, à part l'Homme, évidemment. En 15 ans, la population des jaguars a chuté de 80%, en particulier à cause de la déforestation. Gros rongeur et araignée géante Tant qu'il y aura des arbres, il y aura des paresseux, qui passent une grande partie de leur temps à dormir et le reste à manger. Il leur faut avaler beaucoup de feuilles, parce que celles-ci ne sont pas très caloriques. Elles ne sont pas très faciles à digérer non plus ; les paresseux ont parfois besoin de plusieurs semaines pour y parvenir. Chez ces animaux, même le système digestif est paresseux. Parmi les animaux mignons du Brésil, il y a aussi le capybara, devenu star des réseaux sociaux. C'est le plus gros rongeur au monde. C'est aussi au Brésil qu'on trouve la plus grande araignée : la mygale goliath, 30 centimètres d'envergure. Elle est aussi grosse qu'un gros rat, a des griffes à ses huit pattes, et on l'entend même marcher ! Record de plantes Le Brésil abrite aussi plus de 50 000 espèces de plantes. Aucun pays n'en a autant. Et le tiers est endémique et ne pousse qu'au Brésil. C'est le cas d'un arbre, le pernambouc, emblème national, en voie d'extinction, surexploité depuis la colonisation parce qu'on en tire de la teinture rouge. On en fait aussi des archets pour jouer du violon. Depuis des années, des musiciens pétitionnent pour que le pernambouc échappe à l'interdiction totale de son commerce. L'hévéa, lui, produit du latex, un liquide blanc, toxique, pour dissuader les herbivores et tuer les pathogènes. L'hévéa, endémique en Amazonie, a ensuite été planté partout en Afrique et en Asie, dans les colonies françaises ou britanniques, pour en tirer du caoutchouc et fabriquer des pneus. Sur toutes routes de la planète, il y a donc un peu d'hévéa, mais ce n'est pas très naturel. La question de la semaine
Alors que plus de la moitié du PIB mondial dépend directement des services rendus par la nature, la biodiversité s'impose comme un enjeu économique majeur. Pourtant, la science économique, centrée depuis plus d'un siècle sur les échanges entre humains, peine encore à intégrer le vivant dans ses modèles. À l'occasion des Journées de l'économie à Lyon, retour sur un débat qui secoue la discipline. La biodiversité s'invite dans les débats économiques et politiques. Et pour cause: plus de 50% de la richesse mondiale repose sur les écosystèmes – sols, forêts, océans, pollinisateurs – qui soutiennent la production, l'eau, l'alimentation et la santé. Autrement dit, chaque acteur économique dépend directement de la nature. Mais cette dépendance, paradoxalement, reste invisible dans la plupart des modèles économiques. Depuis plus d'un siècle, la science économique analyse les échanges entre humains — travail, capital, consommation, prix — sans prendre en compte les interactions entre les sociétés et le reste du vivant. Résultat : nos modèles savent piloter des flux monétaires, pas des écosystèmes. Et pendant que la biodiversité s'effondre à un rythme inédit, les économistes reconnaissent qu'ils doivent rattraper un retard théorique et méthodologique considérable. La forêt française, un laboratoire économique Pour comprendre comment la nature échappe encore aux comptes nationaux, prenons l'exemple de la forêt française, au cœur d'un récent rapport du Conseil d'analyse économique (CAE). Selon les indicateurs classiques, la filière forêt-bois représente 3,9 milliards d'euros de valeur ajoutée par an. Mais si l'on y ajoute les services rendus gratuitement par les forêts — régulation de l'eau, séquestration du carbone, bien-être et loisirs — la valeur totale grimpe à 11 milliards d'euros, presque trois fois plus. Et la valeur patrimoniale du carbone stocké dans les forêts françaises atteindrait près de 380 milliards d'euros. Ces chiffres illustrent un décalage majeur : ce qui compte écologiquement ne compte pas économiquement. À lire aussiLa biodiversité décline en Europe sous la pression «d'une production non durable» Pourtant, la biodiversité influence désormais directement les politiques agricoles, forestières et industrielles. Les entreprises, elles aussi, prennent conscience qu'elles dépendent du vivant. Mais pour une prise en compte cohérente, les politiques publiques doivent être coordonnées : agricole, énergétique, foncière, toutes agissent sur la biodiversité. Un projet de reforestation, par exemple, peut être bénéfique pour le climat, tout en nuisant à la biodiversité si les espèces plantées sont trop homogènes. De la ressource à l'acteur : vers une économie du vivant Le véritable changement consiste à considérer la nature non plus comme une ressource, mais comme un acteur économique à part entière. Cela implique de revoir les grandes théories économiques et la formation des économistes : l'économie s'est construite sur l'idée que le marché organise les échanges, mais la nature ne passe pas par le marché. Il faut donc inventer d'autres institutions, d'autres règles et une autre gouvernance du vivant. C'est tout le sens de la proposition du Conseil d'analyse économique: mettre en place une comptabilité élargie du capital naturel, capable de refléter la véritable richesse écologique des nations. Autrement dit, il ne s'agit plus seulement de sauver la nature par l'économie, mais bien de sauver l'économie par la nature.
durée : 00:05:29 - L'invité de "ici Maine" - Alors que la COP 30 sur le climat va débuter au Brésil, le président de la Ligue pour la protection des oiseaux donne une conférence ce jeudi au Mans. De la bactérie jusqu'au gypaete barbu, "ils font le tissu de ce vivant dont nous dépendons", plaide le militant de l'environnement sur ICI Maine. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ali Hackalife spricht mit Marie Holler über Pflanzenkohle. Ein sehr unterschätzter und wichtiger Baustein für gesündere Böden, CO_2 Senken, Nachhaltigkeit und Biodiversität.
Dans 48 heures, le tout premier magasin physique de l'enseigne Shein, mastodonte chinois de la vente en ligne, ouvrira sur le sol français, logé dans l'une des enseignes les plus prestigieuses de la capitale, le BHV… Il y a 3 semaines, c'est un autre géant du low-cost chinois, TEMU, qui annonçait la signature d'un accord avec La Poste pour la livraison de ses millions de petits colis qui inondent chaque année le marché français… Shein, Temu, deux enseignes aux prix défiants toute concurrence mais accusées par leurs détracteurs de détruire la planète, d'exploiter des travailleurs et de pratiquer une concurrence déloyale… Nous allons en débattre avec nos invités :▶︎ Magali BERDAH Entrepreneuse, agente artistique et présentatrice de « “On vit pas dans la même France !” sur Sud Radio ▶︎ Féris BARKAT Activiste, co-fondateur de Banlieues Climat, enseignant à La Sorbonne ▶︎ Jean-Laurent CASSELY Essayiste, fondateur de Maison Cassely, auteur de "La France sous nos yeux", avec Jérôme Fourquet aux éditions du Seuil (07.10.21), auteur d'une note sur La France des bars-tabacs (janvier 2025) ▶︎ Agnès PANNIER-RUNACHER Députée Renaissance du Pas-de-Calais, ancienne ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche de France ▶︎ Frédéric DENHEZ Journaliste, écrivain
Ce dimanche, Côté Jardin vous propose une immersion dans le monde du vivant, entre passion et transmission. Nous découvrirons un producteur de fleurs vivaces bio, les coulisses d'une exposition de petits animaux et une réflexion sur les arbres en ville. Comme chaque semaine, Côté Jardin se met au service des jardiniers et jardinières amatrices pour répondre à leurs questions et leur fournir des conseils professionnels, fiables et inspirants pour cultiver leur coin de nature. Posez vos questions aux professionnelles, aux jardiniers et jardinières de 6h à 9h au 058 134 0 134.
Heute gibt's einen Deepdive in eine der spannendsten Weinregionen Deutschlands: die Mosel. Gemeinsam mit Ansgar Schmitz geht's auf eine Reise entlang des Flusses – von Saar und Ruwer bis zur Terrassenmosel. Dabei erfährst Du, was die Region so besonders macht: vom legendären Schieferboden über die spektakulären Steillagen bis hin zu den Rebsorten, die diese Region prägen. Außerdem gibt's Tipps für die schönsten Wein- und Wanderwege – vom bekannten Moselsteig über den Calmont-Klettersteig bis zu neuen Biodiversitäts-Pfaden wie dem Zippammer-Weg und dem Insekten-Art-Weg. Weine der Woche 2022 Riesling Hochgewächs feinherb Ein klassischer Mosel-Riesling mit feinem Duft nach grünem Apfel, Zitrus und weißen Blüten. Am Gaumen saftig und frisch, mit harmonischem Spiel aus zarter Süße und lebendiger Säure. Die Schiefermineralität sorgt für Klarheit und Spannung – ein unkomplizierter, aber charaktervoller Wein, der perfekt zu asiatischen Gerichten, leichten Fischspeisen oder einfach zum Feierabend passt. 2023 Dr. Loosen Weißburgunder Trocken Ein eleganter Weißburgunder mit feinem Duft nach Birne, Pfirsich und einem Hauch Passionsfrucht. Am Gaumen treffen saftige Frucht und eine kühle, mineralische Frische auf dezente Holznoten – typisch für die Schieferböden der Mosel. Harmonisch, rund und dabei wunderbar trinkanimierend – ein Burgunder, der zeigt, wie vielseitig die Mosel neben dem Riesling sein kann. 2024 Riesling Kabinett edelsüß „Alte Reben“ Der „Ohligsberg“ ist eine der Spitzenlagen an der Mosel – sonnendurchflutet, vom Schiefer geprägt und bekannt für filigrane, verspielte Kabinettweine. Dieser Riesling duftet nach Orange, Birne, Aprikose und einem Hauch Mango. Durch die spontane Vergärung gewinnt er an Tiefe und Komplexität, während die feine Fruchtsüße perfekt mit der lebendigen Säure harmoniert. Ein leichter, hochpräziser Wein, der die Kunst der Mosel-Kabinette meisterhaft zeigt. Lous Weinlexikon: B wie Biodiversität Biodiversität bedeutet Vielfalt – von Pflanzen, Tieren und Mikroorganismen im Weinberg. Begrünungen, Trockenmauern und Blühstreifen schaffen Lebensräume für Insekten und Vögel, fördern die natürliche Balance und machen Weinberge widerstandsfähiger. So trägt Biodiversität nicht nur zum Erhalt der Natur bei, sondern auch zu gesünderen Reben und nachhaltigerem Weinbau. Genau das Richtige für Deine Weinprobe und zum Üben von Verkostungen: Das Cheers! Aromarad https://www.edeka.de/services/edeka-medien/cheers-podcast/index.jsp Lust auf den perfekten Weinmoment? Mit den Cheers! Weinplaylisten findest Du tolle Musik zu jeder Flasche Wein https://open.spotify.com/user/31umv65e2qkqtw3xamou2qwcoska Möchtest Du uns eine Frage stellen, etwas loswerden oder ein Thema vorschlagen? Dann schreib uns gerne an cheers@edeka.de. Wir freuen uns, von Dir zu hören – Cheers! Weitere Infos zu unserem Podcast findest Du unter edeka.de/cheers. Besuche uns auch gerne auf Instagram https://www.instagram.com/cheers_weinpodcast/. Altershinweis: Dieser Podcast beschäftigt sich mit Wein und hat einen Bezug zu Alkohol. Der Inhalt ist ausschließlich an Personen ab 16 Jahren gerichtet.
Simone erklärt uns in dieser Folge, was der Zweckverband Allgäuer Moorallianz eigentlich ist. Sie gibt Einblicke in ihre Arbeit: Naturschutz, Biodiversität, Klima- und Hochwasserschutz, regionale Wertschätzung und Umweltbildung. Hierbei liegt ihr der Schutz der Allgäuer Moore mit deren Flora und Fauna besonders am Herzen. https://www.moorallianz.de/ueber-uns Noch mehr Allgäu Inspiration? Zur Website www.allgaeu.de Instagram www.instagram.com/allgaeu.de Der Allgäu Newsletter newsletter.allgaeu.de Du hast Feedback oder Anregungen zum Podcast? Ideen für weitere Podcast Gäste? Schreib uns gerne eine Email an podcast@allgaeu.de
Biodiversität spielt eine entscheidende Rolle für das Klima. Der Schwund ökologischer Vielfalt ist heute nicht nur sichtbar, sondern auch hör- und erlebbar: Mit dem Rückgang zahlreicher Arten verändert sich unsere akustische Umwelt. Hinzu kommen menschengemachte Geräuschkulissen und die zunehmende Zersiedelung, die Lebensräume von Pflanzen und Tieren zerschneiden und voneinander trennen. Eine Klangreise in unsere Landschaft eröffnet neue Räume – und Handlungsfelder für die Politik.
Dès demain, les pneus hiver seront obligatoires dans certaines régions, notamment dans une partie du Grand-Est. A partir de demain et jusqu'au 31 mars, les véhicules doivent être équipés de quatre pneus hiver ou quatre saisons. Il est aussi possible de détenir des dispositifs antidérapants permettant d'équiper au moins deux roues motrices. Dans le Grand-Est, cette obligation concerne la Moselle, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin et les Vosges. La loi prévoit une amende de 135 euros ainsi que l'immobilisation du véhicule en cas de non-respect. Un réseau de pickpockets dans les trains en Alsace. Les policiers du Bas-Rhin ont identifié un réseau de jeunes filles pickpockets, originaires de Bosnie, qui sévissent dans plusieurs trains de la région. Plusieurs victimes se sont déjà fait dépouiller, la police appelle donc à la plus grande vigilance. En gare de Strasbourg, Sélestat mais aussi Colmar, elles seraient dans les TGV comme les TER. En Alsace toujours, le Grand Hamster est en danger. Selon le dernier recensement de l'Office Français de la Biodiversité, sa population a chuté de moitié en un an : 557 terriers recensés en 2025, contre plus de 1 100 l'an dernier. Les experts évoquent des causes climatiques, mais les associations pointent surtout le manque de diversité agricole. La culture intensive du maïs rend la survie du petit rongeur presque impossible. Autrefois présent dans 300 communes, le Grand Hamster n'occupe plus qu'une vingtaine de territoires. Malgré des lâchers annuels de 300 à 500 individus, la plupart ne survivent pas plus d'un an. Une situation alarmante pour cette espèce emblématique d'Alsace, protégée depuis 1993.La gendarmerie incite à porter plainte en cas de vol ou de dégradation dans les cimetières. A l'approche de la Toussaint, la période est propice aux vols dans les cimetières et les voitures. Les gendarmes appellent à bien fermer leur véhicule, à stationner dans un emplacement éclairé et à ne rien laisser de visible ou de précieux à bord. A Colmar, le petit train vert distribue des places gratuites. Après l'accident qui a entraîné la blessure d'un enfant le dimanche 31 août au centre-ville, la société qui gère le petit train touristique vert peine à redorer son image. Elle a alors décidé d'offrir aux familles colmariennes un tour gratuit, demain, avec des départs à 16h30, 17h et 17h30. L'entreprise explique que les billets gratuits seront distribués, sur présentation du justificatif de domicile.Un chat retrouve sa famille cinq ans plus tard. Après plusieurs années d'errance, un chat âgé de 9 ans a été retrouvé puis identifié grâce à sa puce mise en place par la SPA de Haguenau. La famille d'accueil n'a pas souhaité s'exprimer mais, selon un agent animalier de la SPA, l'annonce de l'identification les a sidérés. Ils avaient adopté leur chat “Doudou” en 2016 et l'avaient perdu de vue en 2020.A Strasbourg, une jeune femme porte plainte contre X. Alors qu'elle se rendait à son travail le 16 octobre dernier, une femme de 27 ans s'est fait percuter par un automobiliste sur un passage piéton, route du Polygone. Elle aurait été projetée en l'air et est retombée sur le bas du dos, résultat : fracture ouverte de la cheville, 4 jours d'hospitalisation et une quinzaine de points de suture. Le chauffeur s'est arrêté, lui a présenté ses excuses mais n'a pas donné son identité. Elle explique avoir porté plainte pour connaître le point de vue de l'automobiliste et comprendre ce qui s'est passé. Et on termine ce journal par un mot de sport. En football, le Racing Club de Strasbourg se déplace à Rennes ce dimanche à 15h. Après leur victoire ce mercredi soir face à Auxerre 3 à 0, les Strasbourgeois occupent actuellement la 4ème place du classement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la biodiversité sans jamais oser le demander, c'est ce que nous vous proposons avec l'écologue Franck Courchamp qui vient de réaliser sa leçon inaugurale au Collège de France. (Rediffusion du 03/04/25) Mais pourquoi s'intéresser à la biodiversité ? Ce ne sont que des plantes et des animaux ? Et bien pas uniquement, il y a des organismes vivants extraordinaires que nous ne voyons pas mais surtout la biodiversité est essentielle aux processus qui soutiennent toute la vie sur Terre, y compris celle des humains. Nous faisons partie de cette grande toile du vivant. Par exemple, nous abritons dans et sur notre corps des champignons, des bactéries et des virus qui sont directement reliés à ceux qui nous entourent. Donc si les organismes qui vivent autour de nous sont malades, il y a des risques que nous le soyons aussi... Avec l'écologue Franck Courchamp, directeur de recherche 1re classe au CNRS, à l'Institut national d'écologie et environnement. Il dirige à l'Université Paris-Saclay, une équipe de recherche sur la dynamique de la biodiversité et les impacts des activités humaines sur les écosystèmes et les espèces. Il est professeur au Collège de France sur la Chaire Biodiversité et écosystèmes. Musiques diffusées Hélène Piris - Moi j'aime bien la biodiversité Ben L'Oncle Soul - IM GØØD.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la biodiversité sans jamais oser le demander, c'est ce que nous vous proposons avec l'écologue Franck Courchamp qui vient de réaliser sa leçon inaugurale au Collège de France. (Rediffusion du 03/04/25) Mais pourquoi s'intéresser à la biodiversité ? Ce ne sont que des plantes et des animaux ? Et bien pas uniquement, il y a des organismes vivants extraordinaires que nous ne voyons pas mais surtout la biodiversité est essentielle aux processus qui soutiennent toute la vie sur Terre, y compris celle des humains. Nous faisons partie de cette grande toile du vivant. Par exemple, nous abritons dans et sur notre corps des champignons, des bactéries et des virus qui sont directement reliés à ceux qui nous entourent. Donc si les organismes qui vivent autour de nous sont malades, il y a des risques que nous le soyons aussi... Avec l'écologue Franck Courchamp, directeur de recherche 1re classe au CNRS, à l'Institut national d'écologie et environnement. Il dirige à l'Université Paris-Saclay, une équipe de recherche sur la dynamique de la biodiversité et les impacts des activités humaines sur les écosystèmes et les espèces. Il est professeur au Collège de France sur la Chaire Biodiversité et écosystèmes. Musiques diffusées Hélène Piris - Moi j'aime bien la biodiversité Ben L'Oncle Soul - IM GØØD.
mRNA - vielversprechende Therapie gegen Krebs?; Carbonbeton als Retter im Altbau?; Senioren am Steuer; Wie viel Pommes sind okay?; Kakerlaken - unerwünscht, aber spannend; Streuobstwiesen als Biodiversitäts-Booster; Küssen bei Erkältung?; Moderation: Marija Bakker. Von WDR 5.
On en trouve partout, pour des moules à gâteaux, spatules, cuillères, plaques de cuisson… de toutes les couleurs, le silicone est aussi super pratique pour sa caractéristique anti-adhésive. Ecologique ? Toxique ? Le silicone est-il vraiment plus sain que les matériaux anti-adhésif utilisés dans nos poêles et casseroles ? Est-ce une bonne alternative ?
De possibles cas de grippe aviaire dans le Bas-Rhin. Les cadavres de deux oies cendrées ont été découverts mardi dernier à Avolsheim. Ces derniers sont fortement suspectés d'être infectés par le virus. Des analyses sont en cours. Dans ce contexte, il est fortement recommandé de ne pas s'approcher ou de nourrir des oiseaux sauvages. En cas de découverte de cadavres d'oiseaux sauvages, morts sans cause évidente, un signalement doit être effectué auprès de l'Office français de la Biodiversité. La semaine dernière, le niveau de risque lié à la maladie était déjà passé de modéré à élevé sur le territoire national. Une mesure qui entraîne notamment le confinement de volailles.Déplacement ministériel aujourd'hui dans le Haut-Rhin. Sébastien Martin, ministre délégué chargé de l'Industrie, va faire son premier déplacement dans le Sud du département, à Chalampé et Sausheim, où il se rendra respectivement sur la plateforme Alsachimie / Butachimie et à la Maison du Territoire. Des échanges sur le modèle industriel européen seront notamment au programme de cette journée.Gare aux cambriolages. Avec le passage à l'heure d'hiver qui a eu lieu ce week-end, les services de police et de gendarmerie appellent à la vigilance. Avec le retour des journées plus courtes, la période se montre propice à la hausse des cambriolages, notamment en fin d'après-midi et en début de soirée. Une vague de vols a déjà été signalée en fin de semaine dernière au sein de plusieurs villages de la Vallée de la Bruche. Cinq vols ou tentatives auraient été relevés.Drame ce week-end à Mulhouse. Une femme de 33 ans a été mortellement poignardée ce samedi, devant le bar où elle travaillait. Elle aurait été touchée à quatre reprises. La piste du féminicide est privilégiée. Son ex-conjoint, avec qui elle aurait vécu trois ans et dont elle s'est récemment séparée, est toujours recherché.Le meilleur pâtissier de l'année 2025 est à Illhaeusern. Pascal Hainigue, chef pâtissier de l'Auberge de l'Ill, a reçu ce titre le 22 septembre dernier à Paris. Une fierté pour le chef, son équipe et l'établissement. Il revient sur cette reconnaissance. Retrouvez le reportage en cuisine, où Pascal Hainigue réalise ses pâtisseries phares, sur nos réseaux sociaux et l'interview complète sur notre site internet,azur-fm.com.Et sur la route, quelques perturbations sont attendues à Sainte-Marie-aux-Mines. Dès aujourd'hui, un chantier débute sur l'ensemble de la rue Wilson. La pose d'une nouvelle couche de roulement est prévue. De quoi permettre à l'artère principale de la commune de faire peau neuve. Les travaux devraient durer pendant deux semaines. Un test d'aménagement provisoire, avec un stationnement en alternance est prévu à l'issue de ces derniers, sur le tronçon entre la Goutte des Pommes et la place Prensureux. Un deuxième passage piéton devrait aussi voir le jour.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Die EU diskutiert kurz vor der COP30 über den Klimaschutz, in Panama berät man über den Schutz von Ökosystemen und Biodiversität und in Chemnitz werden Klimapioniere ausgezeichnet. Das alles in dieser Folge KLIMANEWS am 27. Oktober 2025.Weiterlesen:taz: EU-Gipfel: Industrie wichtiger als KlimaTABLE BRIEFINGS: EU-Klimapolitik: COP-Mandat beschlossen und ETS-2-Anpassung auf dem Wegn-tv: Banaszak rügt "Führungsversagen": Entsetzte Grüne gehen Merz nach EU-Gipfel hart anTagesspiegel Background: EU-Gipfel: Europäischer Rat macht Weg frei für 2040-KlimazielNaturschutzjugend auf Instagram CIGAR: From science to action: Advancing the Global Biodiversity Framework at SBSTTA-27EFE: Arranca en Panamá la reunión de la ONU sobre los avance de la biodiversidad de cara a las COPDBU: Deutschen UmweltpreisSüddeutsche Zeitung: Auszeichnung - Steinmeier beim Umweltpreis: Klima nicht vernachlässigenWir freuen uns über Feedback und Kommentare zu den Themen der Folge direkt auf Spotify, auf Instagram, Twitter oder in unserem Podcast-Telegram-Kanal. Allgemeine Anregungen oder Fragen? Schreib uns! redaktion@klimanews-podcast.de. Die täglich wichtigsten Klima-Nachrichten-Artikel findest du außerdem in unserem Hauptkanal auf Telegram. Empfehle diesen Podcast weiter! Mehr Infos findest du hier.Hier ist der Link zum Spendentool Betterplace. Danke für Deine Unterstützung!Redaktion: Jonathan Auer, Bela Merkes (Redaktion vom Dienst) Moderation, Produktion & Schnitt: Jonathan Auer
durée : 00:39:07 - CO2 mon amour - par : Denis Cheissoux - Dans le Ried alsacien, découverte d'une petite commune qui pense la nature en ville, avec pour guide son maire, Patrick Barbier. - réalisé par : Xavier PESTUGGIA Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:06 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour en l'Isère : une crèche itinérante, le Bébébus, et une association qui inventorie les points d'eau dans le parc naturel régional de Chartreuse pour les rendre accessibles aux amphibiens et aux reptiles, notamment. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Jedes Jahr gehen Alpflächen in der Grösse des Walensees verloren. Die moderne Hochleistungskühe kommen in steilen und entlegenen Flächen nicht mehr zurecht und fressen selektiv nur die besten Gräser. Im Engadin testen Forschende Kuhrassen, die das Sterben der Alpenwiesen stoppen sollen. Die Schweiz verliert jedes Jahr Alpflächen in der Grösse des Walensees. Ein massgeblicher Grund dafür ist, dass hochgezüchtete Rinderrassen auf den Alpweiden nicht mehr zurechtkommen. Moderne Hochleistungskühe können steile oder entlegene Flächen nicht ausreichend nutzen und fressen selektiv nur die nährreichsten Gräser und Pflanzen. Die Folge: Immer mehr Weideland und Biodiversität gehen verloren. Agrarökologin Caren Pauler und ihr Team wollen diesen Trend brechen. Am Albulapass, auf der einzigen Forschungsalp der Welt, suchen und testen sie Rinderrassen, welche die fortschreitende Vergandung der Schweizer Bergwiesen stoppen sollen.
Cartographier les fonds marins grâce à des petits drones afin de mieux comprendre la biodiversité de ces espaces et de surveiller la sécurité des infrastructures qui s'y trouvent : c'est l'idée de la start-up Cosma. ----------------------------------------------------------------------- SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsable SMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Jedes Jahr gehen Alpflächen in der Grösse des Walensees verloren. Die moderne Hochleistungskühe kommen in steilen und entlegenen Flächen nicht mehr zurecht und fressen selektiv nur die besten Gräser. Im Engadin testen Forschende Kuhrassen, die das Sterben der Alpenwiesen stoppen sollen. Die Schweiz verliert jedes Jahr Alpflächen in der Grösse des Walensees. Ein massgeblicher Grund dafür ist, dass hochgezüchtete Rinderrassen auf den Alpweiden nicht mehr zurechtkommen. Moderne Hochleistungskühe können steile oder entlegene Flächen nicht ausreichend nutzen und fressen selektiv nur die nährreichsten Gräser und Pflanzen. Die Folge: Immer mehr Weideland und Biodiversität gehen verloren. Agrarökologin Caren Pauler und ihr Team wollen diesen Trend brechen. Am Albulapass, auf der einzigen Forschungsalp der Welt, suchen und testen sie Rinderrassen, welche die fortschreitende Vergandung der Schweizer Bergwiesen stoppen sollen.
BirdLife-Ornithologe Remo Probst spricht über das Stillgewässer-Projekt, das ihn zwei Jahre lang begleitet hat. Warum Teiche und Tümpel so wichtig für unsere Vogelwelt sind, welche Arten dort leben und wie es um diese wertvollen Lebensräume in Österreich steht – erfahren Sie in dieser Podcastfolge. ℹ️ Diese Podcastfolge ist im Rahmen des Projekts "Stillgewässer in Österreich" entstanden, das durch den Biodiversitätsfonds des Bundesministeriums für Klimaschutz, Umwelt, Energie, Mobilität, Innovation und Technologie gefördert wird. Moderation: Lisa Lugerbauer, BirdLife Österreich Mehr Infos: https://www.birdlife.at/vogelschutz/naturschutzaktivitaeten/stillgewaesser/
Der Zürcher Stadtrat hat die Verlängerung des Cannabis-Verkaufs bis 2028 beantragt. Über 2300 Personen beziehen seit 2023 über das Projekt "Züri-Can" legal Cannabis. Der Stadtrat spricht von "Pionierarbeit". Weitere Themen: · Uber-Fahrer protestieren in Zürich - sie haben genug vom Preiskampf. · Das Zürcher Kantonsparlament will nicht mehr Vorgaben für die Biodiversität. · Wie die Operette "Die lustige Witwe" mit Graziella Contratto im Altersheim ankommt.
Bei Olivia Röllin trifft ein Winzer und Unternehmer auf eine Neurobiologin, die sich mit Stressbewältigung auskennt. Andrea Davaz (61) ist Winzer, Unternehmer und Familienmensch – verwurzelt in der Bündner Herrschaft. Aufgewachsen auf einem kleinen Bauernhof in Fläsch, übernahm er früh Verantwortung und lernte, was Anpacken heisst. Nach seiner Ausbildung zum Önologen baute er gemeinsam mit seinem Bruder das Familienweingut aus, gründete die Weinhandlung von Salis und rettete später die Traditionsmarke Rimuss vor dem Aus. Heute führt er mit seinen Kindern die Davaz-Gruppe, die auf Nachhaltigkeit und Biodiversität setzt. Auch nach Rückschlägen ist ihm sein christlicher Glaube geblieben – als Kraftquelle und Kompass. Ariane Orosz (44) wuchs in Oberengstringen auf – als Tochter ungarischer Eltern, die nach ihrer Flucht in der Schweiz ein neues Leben aufbauten. Zuhause sprach man Ungarisch, im Kindergarten verstand sie die anderen Kinder zunächst kaum. Als schüchternes Kind beschäftigte sie sich viel mit sich selbst. Heute versucht sie zu verstehen, das im Inneren von Menschen vor sich geht. Sie studierte Neurobiologie und arbeitete mehrere Jahre am Sanatorium Kilchberg, wo sie Gruppen zu Stressbewältigung leitete. Heute forscht und lehrt sie an der ZHAW und begleitet Menschen als Coach auf ihrem Weg zu mehr innerer Ruhe und Klarheit. __________________________________________ Moderation: Olivia Röllin __________________________________________ Das ist «Persönlich»: Jede Woche reden Menschen über ihr Leben, sprechen über ihre Wünsche, Interessen, Ansichten und Meinungen. «Persönlich» ist kein heisser Stuhl und auch keine Informationssendung, sondern ein Gespräch zur Person und über ihr Leben. Die Gäste werden eingeladen, da sie aufgrund ihrer Lebenserfahrungen etwas zu sagen haben, das über den Tag hinaus Gültigkeit hat.
Aujourd'hui, Basilic met en lumière un épisode de Soif de Sens avec Claire Vallée, cheffe autodidacte qui a décroché la première étoile Michelin pour une cuisine 100 % végétale avec ONA – et l'étoile verte qui récompense une approche responsable. Au micro de Pierre Chevelle, Claire raconte un parcours singulier : de l'archéologie aux fourneaux, un détour par l'Asie, l'apprentissage des fermentations, la sobriété énergétique en cuisine et l'art de fédérer un quartier quand les banques tournent le dos. On parle leadership au féminin dans un milieu encore très masculin, mais surtout nouveaux récits culinaires où le végétal devient source d'exploration et de plaisir.Ce dialogue déborde d'écologie concrète (circuits courts, énergie renouvelable, zéro déchet), de bien-être (émotions en cuisine, madeleine de Proust version végétale), et d'utopie très réelle : proposer une gastronomie durable et positive sans renoncer à la gourmandise. Des tables éphémères à six couverts jusqu'à son ancrage près de Nantes, Claire invente des expériences totales : scénographie, boissons fermentées maison, épices d'exception et transmission. Sa cuisine prouve qu'un plat peut émouvoir, relier des inconnus à la même table et déplacer nos imaginaires alimentaires.Pourquoi cette curation ? Parce qu'ici cuisine ouvre un horizon positif et accessible : moins d'empreinte, plus de saveurs, des producteurs mis à l'honneur et une cheffe qui partage ses doutes, ses ratés et ses victoires – bref, du journalisme de solutions version gastronomique.Pour découvrir le travail de Pierre, ça se passe par ici : https://soifdesens.fr/Et pour soutenir Basilic il vous suffit de vous abonner au podcast, laisser un commentaire sur Spotify ou lire la newsletter sur Kessel !
Cuisiner sans se polluer peut s'avérer être un vrai parcours du combattant. Inox, fonte, fer, aluminium, céramique, etc. Les propositions sur le marché sont nombreuses et parfois obscures pour le consommateur. Comment naviguer au milieu de cette offre pléthorique de poêles et de casseroles et faire le bon choix ?
Fleurs minuscules dans les fissures, herbes folles au coin des trottoirs, il y a de grande chance pour que vous la croisiez quotidiennement sans y prêter attention. Et pourtant la biodiversité urbaine joue un rôle discret mais vital dans l'équilibre de nos villes. Comment réapprendre à la voir, à s'en émerveiller, mais aussi à la protéger ? Entretien avec Nathalie Machon, professeur d'écologie urbaine au Muséum national d'histoire naturelle et responsable scientifique du programme de sciences participatives "Sauvages de ma rue".Nouvelle saison de la série "Pour que nature vive", le podcast du Muséum pour comprendre la nature et notre planète.« Pour que Nature vive » est un podcast produit par le Muséum national d'Histoire naturelle et Création Collective.Interviews : Flora Trouilloud - Réalisation : Jonathan Geoffroy - Enregistrements : Adrien Beccaria et Manon Boisard au studio l'Arrière BoutiqueProduction : Eric Le Ray Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cyclones, montée des eaux, érosion côtière… Dans l'océan Indien, les petits États insulaires sont en première ligne face au dérèglement climatique. À La Réunion, territoire français, comme à l'île Maurice, la pression humaine se rajoute à ces phénomènes, pour mettre à mal les écosystèmes marins. C'est dans les lagons que les effets sont les plus visibles : blanchiment des coraux, disparition de la mangrove, perte de la biodiversité. Essentiels à la survie de nombreuses espèces, les lagons font de surcroît barrière aux assauts du climat. Chaque conférence internationale pointe cette menace, alors que sur le terrain la mobilisation s'organise pour sauver les récifs coralliens. « Océan Indien : lagons en danger », un Grand reportage signé Anne Verdaguer, réalisé avec Expertise France.
Flüsse, die Rechte haben? Wälder, die denken? Berge, die fühlen? Immer öfter wird gefordert, dass die Natur als lebendiges Gegenüber anerkannt wird – und Rechte erhält. Auch Robert Macfarlane, die wichtigste Stimme des britischen «Nature-Writing», kämpft dafür und erklärt, welche Folgen es hätte. Schmelzende Gletscher, abnehmende Biodiversität, Aussterben der Arten – es ist an der Zeit, neu über Natur nachzudenken. Der mehrfach ausgezeichnete britische Bestsellerautor Robert Macfarlane macht das in seinen Büchern. Im neuesten Wurf begibt er sich auf Reisen. Von Ecuador über Südindien bis nach Québec begegnete er Flüssen, die er nicht mehr als Landschaftsobjekte, sondern als lebendige Wesen erlebte. In seinem neuen Buch nennt er sie sogar Co-Autoren. Und er fragt sich: Wie gerecht ist ein Rechtssystem, das sich nur am Menschen orientiert? Was, wenn hinter der ökologischen Krise in Tat und Wahrheit ein Weltbild steht, das den Menschen als Herrscher über die Natur, als Nutzer und Eigentümer versteht? Und was wäre zu tun, um dieses Denken zu überwinden? Was würde es wirklich bedeuten, wenn wir Flüsse, Berge und Wälder als Mit-Wesen verstünden, als Subjekte statt Objekte? Olivia Röllin spricht mit Robert MacFarlane über den Trost der Flüsse, die Grenzen menschlicher Herrschaft und die Vision eines neuen Gesellschaftsvertrags zwischen Mensch und Natur.
Flüsse, die Rechte haben? Wälder, die denken? Berge, die fühlen? Immer öfter wird gefordert, dass die Natur als lebendiges Gegenüber anerkannt wird – und Rechte erhält. Auch Robert Macfarlane, die wichtigste Stimme des britischen «Nature-Writing», kämpft dafür und erklärt, welche Folgen es hätte. Schmelzende Gletscher, abnehmende Biodiversität, Aussterben der Arten – es ist an der Zeit, neu über Natur nachzudenken. Der mehrfach ausgezeichnete britische Bestsellerautor Robert Macfarlane macht das in seinen Büchern. Im neuesten Wurf begibt er sich auf Reisen. Von Ecuador über Südindien bis nach Québec begegnete er Flüssen, die er nicht mehr als Landschaftsobjekte, sondern als lebendige Wesen erlebte. In seinem neuen Buch nennt er sie sogar Co-Autoren. Und er fragt sich: Wie gerecht ist ein Rechtssystem, das sich nur am Menschen orientiert? Was, wenn hinter der ökologischen Krise in Tat und Wahrheit ein Weltbild steht, das den Menschen als Herrscher über die Natur, als Nutzer und Eigentümer versteht? Und was wäre zu tun, um dieses Denken zu überwinden? Was würde es wirklich bedeuten, wenn wir Flüsse, Berge und Wälder als Mit-Wesen verstünden, als Subjekte statt Objekte? Olivia Röllin spricht mit Robert MacFarlane über den Trost der Flüsse, die Grenzen menschlicher Herrschaft und die Vision eines neuen Gesellschaftsvertrags zwischen Mensch und Natur.
Künstliche Intelligenz kann Texte schreiben, Bilder generieren und selbstständig lernen – aber kann sie auch Wälder retten, Tierstimmen übersetzen oder Pflanzen gießen? Dieser Frage widmen sich die Biologin Frauke Fischer und die Wirtschaftswissenschaftlerin Hilke Oberhansberg in ihrem neuen Buch „Kann KI die Natur retten?“ – einem Buch für alle, die Natur lieben, Technik spannend finden und wissen wollen, wohin die Reise geht. Und – klar – genau darüber sprechen wir auch in dieser Folge!Frauke Fischer dürften die meisten von euch aus dem von Weltwach produzierten „Tierisch!“-Podcast kennen, den sie gemeinsam mit Lydia Möcklinghoff moderiert (die ebenfalls mit in dieser Folge dabei ist!). Außerdem war Frauke in den Weltwach Folgen 307 und 325 zu Gast und hat darin ihr umfangreiches Wissen zum Thema Tierwelt und Biodiversität geteilt. Denn Frauke ist nicht nur eine tolle Podcast-Moderatorin, sondern auch mehrfache Buchautorin, Unternehmerin und Biodiversitätsberaterin! Nun nimmt sie uns also mit dorthin, wo sich Hightech und Natur treffen. Können wir bald mit Delfinen sprechen? Warum ist ein Babyhirn schlauer als jeder Supercomputer? Und welche KI schützt Nashörner vor Wilderern? Fragen über Fragen, die nach einer Antwort verlangen! Redaktion & Postproduktion: Erik Lorenz----------------------------------(Werbung) Unser Podcast-Tipp für euch: „WirTier“, der neue Mensch-Tier-Podcast des Bayerischen Rundfunks: Würdet ihr euer ganzes Leben verändern nach einer Begegnung mit einem Tier? Für den Podcast „WirTier“ haben die Hosts Victoria Marciniak und Julius Bretzel Menschen getroffen, die genau das gemacht haben. Was sie in diesem Moment auf Augenhöhe mit einem Tier begriffen haben und wie das unser Zusammenleben auf diesem Planeten verändern kann, erzählen sie in „WirTier“, dem neuen Mensch-Tier-Podcast des Bayerischen Rundfunks. Und hier geht's zu unserem Podcast-Tipp „WirTier“: https://1.ard.de/wir-tier----------------------------------Dieser Podcast wird auch durch unsere Hörerschaft ermöglicht. Wenn du gern zuhörst, kannst du dazu beitragen, dass unsere Show auch weiterhin besteht und regelmäßig erscheint. Zum Dank erhältst du Zugriff auf unseren werbefreien Feed und auf unsere Bonusfolgen. Diese Möglichkeiten zur Unterstützung bestehen:Weltwach Supporters Club bei Steady. Du kannst ihn auch direkt über Spotify ansteuern. Alternativ kannst du bei Apple Podcasts UnterstützerIn werden.----------------------------------WERBEPARTNERhttps://linktr.ee/weltwach Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Allons au Brésil à la rencontre des producteurs de la baie d'Açaï, un petit fruit de palmier qui symbolise la socio-bioéconomie de l'Amazonie. Une stratégie pour exploiter les produits de la forêt sans l'abîmer. Aujourd'hui, nous allons vous démontrer que c'est possible de concilier développement économique, préservation de la biodiversité et justice sociale. Nous vous emmenons en Amazonie brésilienne à la rencontre des producteurs d'açaï de la communauté de Mupi, située dans la région de Cametá. Cameta, c'est à environ sept heures de Belém, la capitale du Pará. Pour y accéder, il faut emprunter deux bateaux, deux bus et un taxi… un voyage que notre correspondante Sarah Cozzolino a bravé et qui rappelle à quel point ces territoires isolés sont au cœur des enjeux mondiaux. 28 millions d'habitants !!! L'açaï est une petite baie violette presque noir, c'est un aliment-phare pour les habitants de l'Amazonie, mais ce petit fruit s'exporte de plus en plus. Non seulement parce que c'est un puissant anti-oxydant mais aussi parce qu'il pousse naturellement et que son exploitation n'abîme pas la forêt... Avec l'éclairage de Nathalie Cialdella, agronome au CIRAD, le Centre International de Recherche Agronomique pour le Développement. Musique diffusée pendant l'émission Dona Onete - Quando eu te Conheci.
Der Holzapfel ist selten geworden – doch seine Rückkehr bringt Vielfalt in Garten und Landschaft. Der Holzapfel – auch Wildapfel genannt – hat kleine, gelbe Früchte. Sie schmecken roh zwar sauer, entfalten aber beim Kochen ein feines Aroma. Der Wildapfel eignet sich als Baum oder Strauch für halbschattige Standorte und ist ein wertvoller Beitrag zur Biodiversität: Wildbienen, Nachtfalter und Vögel finden Nahrung und Lebensraum. SRF 1-Gartenfachfrau Silvia Meister erklärt, wie man selbst Holzapfelpflanzen aus Samen ziehen kann und wie sich die Früchte zu Gelee oder Tee verarbeiten lassen.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Tous les 2 mois, LE CLUB se rassemble pour vous parler déco, design, tendances, conseils pratiques et même transition écologique.Chaque journaliste son thème et sa chronique :DANS CET EXTRAIT Violaine Belle-Croix, rédactrice en chef de Marie Claire Enfants et citoyenne engagée grâce à WITE MEDIA, nous explique l'importance des barrières de biodiversité (un terme un peu compliqué lu comme ça mais en fait tout simple à comprendre rassurez-vous) et les outils à mettre en placeDans l'épisode complet, vous pourrez aussi écouter Marie Farman, journaliste spécialisée en design qui collabore avec de nombreux magazines, nous parle d'une grande marque américaine qui débarque à Paris... (#suspens) et de tous les event du moment qui montrent à quel point la capitale est toujours un must en matière de design et projets décoEnfin, Billie Blanket, journaliste déco, autrice et désormais décoratrice d'intérieur, consacre sa chronique aux tendances déco repérées pour cet hiver : matières, style, couleurs, vous saurez tout ! Un mix&match comme on les aime pour une discussion dans la joie et la bonne humeur !Merci bcp Studio Gaïa pour son accueil le jour de l'enregistrement.Et merci à Tikamoon, fidèle partenaire de cette émission. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Peter hat die Zoologin und Wissenschaftsjournalistin Lydia Möcklinghoff sowie Tropenforscherin und Biodiversitäts-Expertin Dr. Frauke Fischer vom Podcast „Tierisch!“ zu Gast. Sie sprechen unter anderem über einzigartige Naturerlebnisse, Wildtiere in Afrika und darüber, wie sehr der Mensch Evolution und Verhalten von Tierpopulationen beeinflusst.+++Alle Rabattcodes und Infos zu unseren Werbepartnern findet ihr hier: https://linktr.ee/peterundderwald +++Podcast "Tierisch!" mit Frauke Fischer und Lydia Möcklinghoff: https://weltwach.de/tierisch/+++Habt ihr Fragen oder Anmerkungen zu den Themen? Schreibt uns gerne eine E-Mail an podcast@wohllebens-waldakademie.de+++Wenn ihr mehr über den Wald und seine Wunder erfahren wollt, findet ihr in Wohllebens Waldakademie spannende Veranstaltungen & Fortbildungen: www.wohllebens-waldakademie.de +++Unsere allgemeinen Datenschutzrichtlinien finden Sie unter https://datenschutz.ad-alliance.de/podcast.html+++ Wir verarbeiten im Zusammenhang mit dem Angebot unserer Podcasts Daten. Wenn Sie der automatischen Übermittlung der Daten widersprechen wollen, klicken Sie hier: https://datenschutz.ad-alliance.de/podcast.htmlUnsere allgemeinen Datenschutzrichtlinien finden Sie unter https://art19.com/privacy. Die Datenschutzrichtlinien für Kalifornien sind unter https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info abrufbar.
Im Oktober reifen die herb-süssen Früchte des Schwarzdorns. SRF 1-Gartenfachfrau Silvia Meister zeigt, wo man sie findet, wie man sie erkennt – und was man daraus Feines zaubern kann. Der Schwarzdorn, auch Schlehdorn genannt, ist ein heimischer Wildstrauch, dessen blauschwarze Früchte jetzt im Herbst reif sind. Roh schmecken sie herb, doch nach dem Einfrieren oder Kochen entfalten sie ein intensives, süsses Aroma. Im Ratgeber erklärt Silvia Meister, wo der Schwarzdorn wächst, wie man ihn sicher erkennt und warum er ein wertvoller Strauch für die Biodiversität ist. Dazu gibt's ein feines Rezept für Schlehen-Chutney – perfekt zu Alpchäs.
Les PFAS, autrement appelés polluants éternels, sont des substances chimiques qu'on retrouve dans les cosmétiques waterproof, les vêtements techniques… et les ustensiles de cuisine.Leur particularité ? Une liaison carbone-fluor ultra stable, ce qui les rend très résistants… et quasiment indestructibles. Résultat : ils s'accumulent partout ! Comment sommes-nous arrivés à devoir nous méfier de nos ustensiles de cuisine, de ce que nous mangeons et nous buvons ?
Notre hommage à Jane Goodall, décédée à l'âge de 91 ans. Défenseuse infatigable de la nature, la chercheuse britannique continuait à parcourir le monde pour sensibiliser le public à la menace que représente le réchauffement climatique. L'équipe d'Actuelles l'avait rencontrée en 2023.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Bienvenue dans LE CLUB, l'émission comme à la radio avec différentes chroniques... déco, design et même transition écologique !Dans cet épisode, Marie Farman, journaliste spécialisée en design qui collabore avec de nombreux magazines, nous parle d'une grande marque américaine qui débarque à Paris... (#suspens) et de tous les event du moment qui montrent à quel point la capitale est toujours un must en matière de design et projets décoViolaine Belle-Croix, rédactrice en chef de Marie Claire Enfants et citoyenne engagée grâce à WITE MEDIA, nous explique l'importance des barrières de biodiversité (un terme un peu compliqué lu comme ça mais en fait tout simple à comprendre rassurez-vous) et les outils à mettre en placeEnfin, Billie Blanket, journaliste déco, autrice et désormais décoratrice d'intérieur, consacre sa chronique aux tendances déco repérées pour cet hiver : matières, style, couleurs, vous saurez tout ! Un mix&match comme on les aime pour une discussion dans la joie et la bonne humeur !Merci bcp Studio Gaïa pour son accueil le jour de l'enregistrement.Et merci à Tikamoon, fidèle partenaire de cette émission. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Les baleines sont de plus en plus nombreuses dans la baie de New York. Leur retour a commencé il y a une dizaine d'années, mais il surprend encore les scientifiques. Ce sont surtout des baleines à bosse qui dévient de leur route estivale, vers le Grand Nord. En 2011, elles étaient cinq, aujourd'hui près de 500 ont été identifiés. Elles font le bonheur des touristes et des habitants de la région, qui peuvent partir en mer les observer. Les naturalistes de l'association Gotham Whale, qui étudient, répertorient et protègent les baleines et les dauphins de la baie, sont tous les jours à bord de l'American Princess, au départ de Brooklyn. De notre correspondante aux États-Unis, Après une heure de navigation, la joie éclate : une baleine plonge et fait claquer ses nageoires tachetées de blanc à quelques mètres de l'American Princess. C'est la deuxième excursion pour Reysonia Owens qui vit à 200 km de New-York. L'assistante dentaire confirme, le phénomène est encore peu connu : « J'en parle à tout le monde ! Quand je demande à mes patients : "devinez où je suis allée observer les baleines", ils répondent : "Alaska ? Maine ?". Et quand je leur dis : "eh non, Brooklyn, New York", ils n'en reviennent pas ! » Les baleines de l'Atlantique nord passent l'hiver dans les eaux tropicales et l'été dans les eaux froides. Mais comme sur toute la planète, leurs migrations sont en train de changer, explique le jeune naturaliste Chris St Lawrence, de l'association Gotham Whale : « Avant, ces baleines allaient directement dans le Maine sans passer par New York. Mais à présent, certaines s'arrêtent pour se nourrir. Surtout des jeunes. Parfois, elles ne vont pas plus loin et passent tout l'été avec nous ici, où elles se nourrissent du poisson, appât local, une sorte de petit hareng. » Le changement du climat est l'un des facteurs en jeu, selon le naturaliste : « Le golfe du Maine se réchauffe relativement plus vite que le reste de l'océan. Et ça influence la répartition des proies préférée des baleines. » À lire aussiÉtats-Unis: les baleines à bosse de retour dans la baie de New York Mais sans eaux propres, pas de poissons. La loi sur la protection de l'eau de 1972 a donc joué un rôle essentiel à New York, explique le photographe animalier Jason Denesevitch : « Avec une eau plus propre, on a davantage de poissons appâts, qui attirent à leur tour les grands animaux comme les baleines. Depuis vingt ans, les pêcheurs voient revenir des espèces plus variées, comme les ombrines et les sars, qui avaient disparu tellement l'eau était polluée. Aujourd'hui, en juin et juillet, on voit même des esturgeons ! » Gotham Whale a identifié 463 baleines à bosse dans la baie de New York, dont certaines sont devenues familières des naturalistes. Mais des espèces plus rares font parfois leur apparition. « L'an dernier, on a repéré un regroupement de plus de cinquante baleines noires dans le canyon de l'Hudson, à environ 160 km de New York. Et on a pu alerter les autorités compétentes pour assurer leur protection », raconte Chris St Lawrence. À bord de l'American Princess, les naturalistes sensibilisent le grand public : sur treize espèces de baleines, six sont menacées. Or ces mammifères régulent l'ensemble de l'écosystème marin, et piègent de grandes quantités de CO2. Baptisées ingénieurs des océans, les baleines sont essentielles à la santé de la planète. À lire aussiLa chasse à la baleine, histoire d'une surexploitation mondiale
Après une série consacrée au(x) mythe(s) de la Licorne, Baleine sous Gravillon a invité Léah Thomas-Bion pour une nouvelle aventure au sein du bestiaire fantastique. Léah est sémiologue (spécialiste des signes et des symboles), et elle nous a cette fois décrypté les légendes qui entourent l'une des créatures les plus flamboyantes de l'Imaginaire : le Dragon.Pour en savoir plus sur les gros monstres marins, voilà le 1er épisode de la série Tout un Art ! _______
Après une série consacrée au(x) mythe(s) de la Licorne, Baleine sous Gravillon a invité Léah Thomas-Bion pour une nouvelle aventure au sein du bestiaire fantastique. Léah est sémiologue (spécialiste des signes et des symboles), et elle nous a cette fois décrypté les légendes qui entourent l'une des créatures les plus flamboyantes de l'Imaginaire : le Dragon.Pour en savoir plus sur les gros monstres marins, voilà le 1er épisode de la série Tout un Art !_______
Après une série consacrée au(x) mythe(s) de la Licorne, Baleine sous Gravillon a invité Léah Thomas-Bion pour une nouvelle aventure au sein du bestiaire fantastique. Léah est sémiologue (spécialiste des signes et des symboles), et elle nous a cette fois décrypté les légendes qui entourent l'une des créatures les plus flamboyantes de l'Imaginaire : le Dragon.Pour en savoir plus sur les gros monstres marins, voilà le 1er épisode de la série Tout un Art !_______
Hésite pas à nous donner de tes nouvelles, toi aussi !_______
Environment Minister Murray Watt has announced an accelerated timeframe to improve Australia's 'broken' biodiversity and conservation laws. Labor is promising stronger environmental protections and faster project approvals - but it's not the first time. - Il ministro dell'Ambiente Murray Watt ha annunciato un acceleramento dei tempi per migliorare le leggi australiane sulla biodiversità e la conservazione, attualmente “inadeguate”. Il partito laburista promette una maggiore protezione dell'ambiente e un'approvazione più rapida dei progetti, ma non è la prima volta.
Environment Minister Murray Watt has announced an accelerated timeframe to improve Australia's 'broken' biodiversity and conservation laws. Labor is promising stronger environmental protections and faster project approvals - but it's not the first time. - Il ministro dell'Ambiente Murray Watt ha annunciato un acceleramento dei tempi per migliorare le leggi australiane sulla biodiversità e la conservazione, attualmente “inadeguate”. Il partito laburista promette una maggiore protezione dell'ambiente e un'approvazione più rapida dei progetti, ma non è la prima volta.
durée : 00:38:13 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Depuis 1986, le concept de biodiversité décrit l'ensemble des espèces et écosystèmes qui composent le vivant ainsi que leurs interactions. Indispensable à toute forme de vie sur Terre, son effondrement est sans appel. Quelles perspectives pour sauver la biodiversité de la crise ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Note aux auditrices et auditeurs : cet épisode a été diffusé pour la première fois le 11 juin 2025En Irlande, les oiseaux disparaissent. Ce constat est le même sur tout le continent européen, où le nombre d'oiseaux a baissé d'un quart en quarante ans, selon une étude dirigée par le Centre national pour la recherche scientifique (CNRS) en France. Dans ce pays, un ornithologue et audio-naturaliste a décidé de documenter cette disparition. Sean Ronayne veut ouvrir les yeux, ou plutôt les oreilles de ses compatriotes, sur ce phénomène engendré par l'activité humaine. Le trentenaire enregistre les chants de toutes les espèces d'oiseaux de son île pour les sensibiliser et sa démarche l'a rendu célèbre.Réalisation : Maxime MametInvité : Peter Murphy, correspondant de l'AFP à DublinEnregistrements réalisés par Sean Ronayne et extraits sonores tirés de la conférence Sean Ronayne, Now What (Youtube The Conference / Media Evolution)Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:59:44 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Au programme des Matins du samedi : une mesure historique, l'Etat français vient d'être condamné par la cour d'appel administrative de Paris pour préjudice écologique ; La "coalition des volontaires" est-elle un espoir pour l'Ukraine ? ; Alexandra Saemmer enquête sur ses origines Sudètes. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Dorian Guinard maître de conférence en droit public à Sciences Po Grenoble, porte-parole de l'association "Biodiversité sous nos pieds"; David Cadier Chercheur « Sécurité Européenne » à l'IRSEM et enseignant au collège d'Europe et à Sciences po Paris.; Tetyana Ogarkova Journaliste et politiste, responsable du département international à l'Ukraine Crisis Media Center; Alexandra Saemmer Professeure des Universités en sciences de l'information et de la communication à Paris 8