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Das Baskenland ist anders - anders als das übrige Spanien. Mit einer besonderen Kultur, mit einer eigenen Sprache und mit sehr stolzen und selbstbewussten Menschen. Die man übrigens sehr häufig schon an ihrer Kopfbedeckung erkennt, dem Basque-Beret - der Baskenmütze. Getragen wird sie überwiegend von etwas älteren Männern, die genetisch bedingt recht früh ihre Haare verlieren und so gut wie nie einen Regenschirm bei sich haben. Und es regnet nicht selten im Baskenland, was der Region zumindest immergrüne Berge, Hügel und Täler garantiert. Es gibt zerklüftete Küsten und zahlreiche Flussmündungen, die bis an den Atlantik reichen. Das Baskenland ist deutlich rauer als das Spanien am Mittelmeer. Es gibt aber auch einiges zu entdecken und zu erleben im Baskenland. Zum Beispiel im Geopark in Zumaia. Direkt an der Steilküste erkennt man deutlich die Gesteinsschichten, die sich seit Millionen von Jahren aufeinander geschoben haben, ein beeindruckendes geologisches Erbe. Und bei einer kleinen Bootstour erfährt man dann sogar noch, wie an dieser Küste nachgewiesen wurde, dass das Massensterben der Dinosaurier, vor circa 66 Millionen Jahren, durch einen Meteoriteneinschlag in Mexiko ausgelöst wurde. Oder aber man besucht den Omako Basoa im Biosphärenreservat Urdaibai. Dort gibt es „Kunst im Wald“, rund 800 Bäume bilden ein Gesamtkunstwerk. Zu sehen sind abstrakte Figuren, skurrile Tiere oder farbenfrohe Muster, die je nach Standort und Perspektive die Gedanken und Fantasien der Betrachter freien Lauf lassen. Und dann gibt es als besondere kulturelle Errungenschaft die sogenannten Social Clubs - die Männer-Kochclubs. Egal ob in Bilbao, in San Sebastian oder in irgendeinem anderen Ort an der Küste. In Bars und Tavernen feiern Freunde und Familien, die Männer am Kochtopf, die Frauen lassen sich bedienen. Touristen sind bei diesen Events allerdings eher selten zu sehen. Kulinarisch kommt man aber trotzdem im Baskenland mit kunstvoll gestalteten Pintxos - die im übrigen Spanien Tapas heißen - und Weinen aus der Region voll auf seine Kosten. Reportagen von Carsten Vick
Voyage à la découverte de la Réserve de Biosphère du Mono, un espace protégé de 346 000 hectares de forêts, de zones marécageuses, de milieux marins ou lacustres situé entre le Togo et le Bénin. Deuxième étape : dans l'aire communautaire de la Bouche du Roy et son fascinant delta. Havre de paix des oiseaux et des tortues marines, l'aire de conservation communautaire de la Bouche du Roy est un paradis naturel de 10 000 hectares, fait d'îlots et de mangroves. Bien connue des Béninois comme des voyageurs étrangers, la Bouche du Roy est l'embouchure du fleuve Mono, là où il se jette dans l'océan Atlantique. Classée en réserve et reconnue par l'Unesco en 2017, cette aire est donc un site protégé mais aussi habité. 25 000 personnes y vivent au quotidien, dans une vingtaine de villages de pêcheurs, tantôt posés sur la lagune, tantôt insulaires que l'on rejoint en pirogue par des chenaux d'eau. Sur place, l'ONG béninoise Eco Bénin accompagnée par le Comité français de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) développe en concertation avec les populations locales des projets de gestion et de protection des ressources naturelles menacées. Ils misent sur l'écodéveloppement, l'écotourisme, mais aussi le culte vodoun pour sacraliser certains espaces de nature. Voyage à la découverte d'un sanctuaire de biodiversité et des initiatives visant à le protéger.Un reportage au Bénin en deux épisodes de Raphaëlle Constant initialement diffusé en juin 2024.- Le site d'Eco Bénin- L'histoire de l'ACCB de la Bouche du Roy et ses particularités- La page LinkedIn du Comité Français de l'UICN- Le site du Programme de Petites Initiatives.
Voyage à la découverte de la Réserve de Biosphère du Mono, un espace protégé de 346 000 hectares de forêts, de zones marécageuses, de milieux marins ou lacustres situé entre le Togo et le Bénin. Deuxième étape : dans l'aire communautaire de la Bouche du Roy et son fascinant delta. Havre de paix des oiseaux et des tortues marines, l'aire de conservation communautaire de la Bouche du Roy est un paradis naturel de 10 000 hectares, fait d'îlots et de mangroves. Bien connue des Béninois comme des voyageurs étrangers, la Bouche du Roy est l'embouchure du fleuve Mono, là où il se jette dans l'océan Atlantique. Classée en réserve et reconnue par l'Unesco en 2017, cette aire est donc un site protégé mais aussi habité. 25 000 personnes y vivent au quotidien, dans une vingtaine de villages de pêcheurs, tantôt posés sur la lagune, tantôt insulaires que l'on rejoint en pirogue par des chenaux d'eau. Sur place, l'ONG béninoise Eco Bénin accompagnée par le Comité français de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) développe en concertation avec les populations locales des projets de gestion et de protection des ressources naturelles menacées. Ils misent sur l'écodéveloppement, l'écotourisme, mais aussi le culte vodoun pour sacraliser certains espaces de nature. Voyage à la découverte d'un sanctuaire de biodiversité et des initiatives visant à le protéger.Un reportage au Bénin en deux épisodes de Raphaëlle Constant initialement diffusé en juin 2024.- Le site d'Eco Bénin- L'histoire de l'ACCB de la Bouche du Roy et ses particularités- La page LinkedIn du Comité Français de l'UICN- Le site du Programme de Petites Initiatives.
Voyage à la découverte de la Réserve de Biosphère du Mono, un espace protégé de 346 000 hectares de forêts, de zones marécageuses, de milieux marins ou lacustres situé entre le Togo et le Bénin. Première étape : autour du Lac Ahémé, deuxième plus grand lac du Bénin. (Rediffusion) À seulement deux heures du tumulte de la capitale économique Cotonou, ce lac et ses alentours offrent une vraie parenthèse de nature, hors du temps, parmi des villages de pêcheurs bordés de mangroves et de forêts sacrées. Mais le territoire est fragile et pour le protéger, les populations locales misent déjà sur le culte vodoun ou l'agroécologie, puis à terme sur l'écodéveloppement et l'écotourisme, en collaboration avec l'ONG Éco Bénin et le Comité français de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Voyage dans un espace en transition, entre eau douce et eau salée, entre sacré et profane, à la rencontre de communautés qui cherchent à repenser l'équilibre homme-nature.Un reportage au Bénin en deux épisodes de Raphaëlle Constant.- Le site d'Éco Bénin- La page d'Éco Bénin consacrée au Lac Ahémé- La page LinkedIn du Comité Français de l'UICN- Le site du Programme de Petites Initiatives.
Voyage à la découverte de la Réserve de Biosphère du Mono, un espace protégé de 346 000 hectares de forêts, de zones marécageuses, de milieux marins ou lacustres situé entre le Togo et le Bénin. Première étape : autour du Lac Ahémé, deuxième plus grand lac du Bénin. (Rediffusion) À seulement deux heures du tumulte de la capitale économique Cotonou, ce lac et ses alentours offrent une vraie parenthèse de nature, hors du temps, parmi des villages de pêcheurs bordés de mangroves et de forêts sacrées. Mais le territoire est fragile et pour le protéger, les populations locales misent déjà sur le culte vodoun ou l'agroécologie, puis à terme sur l'écodéveloppement et l'écotourisme, en collaboration avec l'ONG Éco Bénin et le Comité français de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Voyage dans un espace en transition, entre eau douce et eau salée, entre sacré et profane, à la rencontre de communautés qui cherchent à repenser l'équilibre homme-nature.Un reportage au Bénin en deux épisodes de Raphaëlle Constant.- Le site d'Éco Bénin- La page d'Éco Bénin consacrée au Lac Ahémé- La page LinkedIn du Comité Français de l'UICN- Le site du Programme de Petites Initiatives.
Bei einem Wohnhausbrand in Schlüchtern können sich die Bewohner retten, aber zwei Katzen kommen in den Flammen um, in der Rhön starten die Biosphärenwochen, und in Fulda kann man eine etwas andere Osterkrippe bestaunen.
Einfach mal raus! Der Podcast für Kurzreisen und Ausflüge in die Metropolregion Hamburg
In der Metropolregion Hamburg gibt es besondere Naturjuwele, die von der UNESCO als Weltnaturerbe oder als Biosphärenreservat unter Schutz gestellt worden sind. Stellvertretend für alle Landschaften stellen wir euch das UNESCO Biosphärenreservat Niedersächsische Elbtalauen und das UNESCO Weltnaturerbe Wattenmeer genauer vor. Andreas Wurm trifft auch heute wieder spannende Menschen, die mit viel Herzblut und Leidenschaft genau in diesen Bereichen euch Wissen vermitteln. Hier findet ihr alle Kontaktdaten der genannten Angebote und Ausflugsziele: Biosphärenreservat Niedersächsische Elbtalauen: https://www.elbtalaue.niedersachsen.de Veranstaltungs-Angebote von Meike Karl http://www.schneckenspur.de Wattenmeer Besucherzentrum in Cuxhaven: https://www.nationalpark-wattenmeer.de/besuchen/infozentren/unesco-weltnaturerbe-wattenmeer-besucherzentrum-cuxhaven/ Wattführungen in Büsum: https://www.buesum.de/buesum-erleben/fuehrungen/wattfuehrungen bzw. https://www.watterleben.de Einen Überblick über Führungen und Veranstaltungen rund um das Wattenmeer in der gesamten Metropolregion findet ihr hier: https://www.nationalpark-wattenmeer.de/besuchen/nationalpark-wattenmeer-veranstaltungen/ Folgt ihr schon unseren Social Media Kanälen? Hier findet ihr noch mehr Anregungen und Ideen für Kurzreisen und Ausflüge in der Metropolregion Hamburg: https://www.instagram.com/metropolregion_hamburg/ https://www.facebook.com/metropolregion.hamburg.erleben Folge direkt herunterladen
In dieser Episode von Exzellent erklärt – Spitzenforschung für alle tauchen wir tief hinab in die unerforschte Welt der Tiefsee. Larissa Vassilian spricht mit den Wissenschaftlern Dr. Florence Schubotz und Dr. Michael Seidel über das Leben in der tiefen Biosphäre, den globalen Kohlenstoffkreislauf und die faszinierenden schwarzen Raucher – heiße Quellen am Meeresboden, die extremen Lebensraum für spezialisierte Organismen bieten. Dabei geht es um die Anpassungsfähigkeit von Mikroorganismen, die Rolle der Ozeane im Klimawandel und die Auswirkungen menschlicher Einflüsse wie Mikroplastik und Tiefseebergbau. Eine Reise zu den letzten unerforschten Regionen unseres Planeten!
Concevoir un mode de vie qui ne produit pas de déchets, qui divise par 10 la consommation d'eau et qui n'émet pas plus de deux tonnes de CO2 par an. C'est ce que Corentin et Caroline expérimentent en ce moment dans un appartement en banlieue parisienne. Nous vous emmenons à la découverte de ce laboratoire « low tech » qui invente le futur. Nous sommes 8 milliards, et même si nous n'avons pas tous le même niveau de responsabilité dans la dégradation de l'état de notre planète, nous devons tous apprendre à vivre en limitant le plus possible notre impact. Oui, mais comment me direz-vous ? Eh bien, grâce aux « low tech ». Ce sont des technologies et des savoir-faire innovants que nous pouvons fabriquer nous-mêmes pour produire notre énergie, notre nourriture ou recycler nos déchets. Corentin de Chatelperron et Caroline Pultz nous démontrent en ce moment avec leur Biosphère Expérience que la vie « low tech », non seulement c'est possible, mais en plus c'est sympa ! Nous vous emmenons dans leur appartement-laboratoire où ils vivent depuis la mi-juillet en banlieue parisienne...Cette émission est une rediffusion du 13 septembre 2024.
Concevoir un mode de vie qui ne produit pas de déchets, qui divise par 10 la consommation d'eau et qui n'émet pas plus de deux tonnes de CO2 par an. C'est ce que Corentin et Caroline expérimentent en ce moment dans un appartement en banlieue parisienne. Nous vous emmenons à la découverte de ce laboratoire « low tech » qui invente le futur. Nous sommes 8 milliards, et même si nous n'avons pas tous le même niveau de responsabilité dans la dégradation de l'état de notre planète, nous devons tous apprendre à vivre en limitant le plus possible notre impact. Oui, mais comment me direz-vous ? Eh bien, grâce aux « low tech ». Ce sont des technologies et des savoir-faire innovants que nous pouvons fabriquer nous-mêmes pour produire notre énergie, notre nourriture ou recycler nos déchets. Corentin de Chatelperron et Caroline Pultz nous démontrent en ce moment avec leur Biosphère Expérience que la vie « low tech », non seulement c'est possible, mais en plus c'est sympa ! Nous vous emmenons dans leur appartement-laboratoire où ils vivent depuis la mi-juillet en banlieue parisienne...Cette émission est une rediffusion du 13 septembre 2024.
Ep.207 - L'Espace pour la vie est un service municipal de Montréal qui regroupe cinq institutions muséales en sciences de la nature : le Biodôme, la Biosphère, l'Insectarium, le Jardin botanique et le Planétarium. Ces institutions ont pour mission de sensibiliser le public à la biodiversité et à l'environnement, tout en menant des recherches et en mettant en œuvre des programmes éducatifs.Julie Jodoin, directrice de l'Espace pour la vie, explore avec nous l'importance de développer une relation positive avec la nature et de prendre des mesures urgentes face aux crises environnementales. Elle met de l'avant le rôle essentiel de la recherche et de l'innovation dans la conservation, ainsi que l'utilisation responsable de l'intelligence artificielle. Elle nous parle aussi de l'importance de l'expérience client comme moyen d'assurer l'engagement de la communauté face aux enjeux environnementaux.À retenirLa sensibilisation à la biodiversité est essentielle face aux crises environnementales.Les musées doivent développer une relation positive avec la nature.La recherche est une mission fondamentale des musées.Les chercheurs travaillent sur des solutions aux enjeux environnementaux.L'intelligence artificielle est utilisée de manière responsable.Les sciences citoyennes engagent le public dans la recherche.L'innovation est au cœur des pratiques de conservation. La connexion à la nature est essentielle pour la santé.Les initiatives communautaires ciblent les quartiers défavorisés.La biodiversité est menacée et nécessite une action urgente. Les musées peuvent jouer un rôle clé dans la sensibilisation.Il est crucial de diversifier les publics des musées.La nature offre des solutions aux enjeux environnementaux.Un rapport humble avec la nature est nécessaire. Autres épisodes qui pourraient vous intéresserÉpisode 157: Innovation et participation citoyenne aux projets publics avec Agathe TaurelÉpisode 106: Combattre la pollution marine par l'innovation avec Claire TouvierÉpisode 37: Innovation et environnement avec Claire Touvier de Poralu MarineChapitres(00:00) Bienvenue à l'épisode 207(01:40) Introduction(02:39) Présentation de L'Espace pour la vie(07:24) Un rôle important envers la sensibilisation à l'environnement(12:24) La recherche(21:35) La transition socioécologique par l'expérience client(29:04) Futur et messages clés(33:07) ConclusionAccédez aux notes ici: https://www.intelliaconsulting.com/podcastSuivez-nous: Développez votre impact stratégique - Abonnez-vous à notre lettre hebdomadaire Visitez notre page LinkedIn Visitez notre page YouTube
Nous sommes dans le sud-ouest du Sénégal, dans le Siné Saloum car c'est là que le programme des Petites initiatives a décidé de fêter ses 20 ans en réunissant cette semaine ici à Tambakouta ses partenaires pour un forum d'échanges : 80 personnalités sont venues de plus de 20 pays du continent africain. Ces femmes et ces hommes se battent au quotidien pour protéger les richesses naturelles de leurs territoires avec et pour les communautés qui en dépendent. Ils innovent en permanence pour augmenter leurs impacts et ils vont partager avec nous leurs stratégies : c'est une véritable boîte à outils de la conservation que nous vous proposons dans cette émission !Émission depuis le Sénégal/Sine Saloum enregistrée à l'occasion de la 2è édition du Forum d'échanges PPI (programme de petites initiatives) qui se tient du 2 au 7 février 2025 dans la Réserve de Biosphère du Delta du Saloum au Sénégal.Avec :- Nicolas Rossin, responsable des projets biodiversité au FFEM (Le fonds français pour l'environnement mondial) qui cofinance le Programme des Petites Initiatives- André Koffi, membre fondateur de l'ONG ACB Cote d'Ivoire (action pour la conservation de la biodiversité à l'extrême sud-est de la Côte d'Ivoire) dans la région de Tiapoum- Ermann Mopo Kayi du Cameroun chargé de programme à l'ONG AAFEBEN Appui à l'autopromotion des femmes de la Boumba et ngoko à l'est du pays- Cédric Tuyisengue, superviseur des activités dans le sud du Burundi de l'ONG 3 C Conservation et communautés de changement- Nina Giotto, directrice de Help Congo dans le parc national de Conkouati Douli sur la côte atlantique à la frontière avec le Gabon- Souhaiel Laarif président de l'ONG Association Tunisienne des Randonneurs de AKOUDA en Tunisie.
Nous sommes dans le sud-ouest du Sénégal, dans le Siné Saloum car c'est là que le programme des Petites initiatives a décidé de fêter ses 20 ans en réunissant cette semaine ici à Tambakouta ses partenaires pour un forum d'échanges : 80 personnalités sont venues de plus de 20 pays du continent africain. Ces femmes et ces hommes se battent au quotidien pour protéger les richesses naturelles de leurs territoires avec et pour les communautés qui en dépendent. Ils innovent en permanence pour augmenter leurs impacts et ils vont partager avec nous leurs stratégies : c'est une véritable boîte à outils de la conservation que nous vous proposons dans cette émission !Émission depuis le Sénégal/Sine Saloum enregistrée à l'occasion de la 2è édition du Forum d'échanges PPI (programme de petites initiatives) qui se tient du 2 au 7 février 2025 dans la Réserve de Biosphère du Delta du Saloum au Sénégal.Avec :- Nicolas Rossin, responsable des projets biodiversité au FFEM (Le fonds français pour l'environnement mondial) qui cofinance le Programme des Petites Initiatives- André Koffi, membre fondateur de l'ONG ACB Cote d'Ivoire (action pour la conservation de la biodiversité à l'extrême sud-est de la Côte d'Ivoire) dans la région de Tiapoum- Ermann Mopo Kayi du Cameroun chargé de programme à l'ONG AAFEBEN Appui à l'autopromotion des femmes de la Boumba et ngoko à l'est du pays- Cédric Tuyisengue, superviseur des activités dans le sud du Burundi de l'ONG 3 C Conservation et communautés de changement- Nina Giotto, directrice de Help Congo dans le parc national de Conkouati Douli sur la côte atlantique à la frontière avec le Gabon- Souhaiel Laarif président de l'ONG Association Tunisienne des Randonneurs de AKOUDA en Tunisie.
Staffel 8, Folge 18 - Krissy ist wieder da (wer erinnert sich noch an sie?) und hat auf einmal eine neue Gang an Nachwuchsjäger*innen am Start, angeführt von einem gewissen Victor. Sam und Dean sind jedenfalls direkt etwas misstrauisch und wir natürlich auch. Es geht um das Biosphärengebiet Schwäbische Alb, Betäubungspfeile für Vampire und blaue Lieferwägen. Töff ist erkältet, Thomas denkt sich Geschichten für Groschenromane aus und Dean ist genervt von den Launen der Teenager. Unser Discord-Server: https://discord.gg/4Defzq8ETh Unsere Spotify-Playlist: https://open.spotify.com/playlist/7sklx9OZGBGCJeYBLyReBP?si=e76fK0VcTCutDZsgL6Q5gg Unser Instagram Account: https://www.instagram.com/winchestersurprise.podcast
Was haben Waldbrände mit Lawinen gemeinsam? Wie spüren Drohnen illegale Lagerfeuer auf? Wie schützt man die Einwohner:innen eines Tals vor dem nächsten Hochwasser? Wie können sich Forstbetriebe, Bäuerinnen und Bauern, Gemeinden generell besser auf Klimarisiken vorbereiten? Um diese Fragen zu beantworten, reisen wir diesmal in den Wienerwald, einen Biosphärenpark vor den Toren der Millionenstadt Wien. Dass sich die Klimakrise auch dort massiv auswirkt, zeigte ein Jahrhunderthochwasser im Herbst 2024. Doch auch Wasserknappheit, Trockenperioden und Waldbrände - oft ausgelöst durch Unachtsamkeit - treten hier und in anderen Biosphärenparks im Alpenraum immer häufiger auf. Durch Bildung und Vernetzung leisten Biosphärenparks schon jetzt einen wichtigen Beitrag im Umgang mit Klimarisiken. Im Projekt MultiBios, an dem sich auch die CIPRA beteiligt, tauschen Biosphärenparks Erfahrungen aus und Wissenschaftler:innen befragen Landnutzer:innen. Mehr zum Projekt: www.cipra.org/multibios Music (cc) Blue Dot Sessions - Lumber Down
Napoleon nannte die Donau die „Königin der Flüsse Europas“. Auf dem Weg ans Schwarze Meer folgen wir der Königin durch Serbien, Rumänien, Bulgarien, bis die Donau in einem großen Delta zwischen Moldawien, Rumänien und der Ukraine ins Schwarze Meer mündet. Wir fahren im 2. Teil auf einem Kreuzfahrtschiff, auf Fähren und auf Schiffen der Grenzpolizei, die das Kriegsgebiet am Schwarzen Meer überwachen. Wir treffen auf dem zweitlängsten Fluss Europas Nachfahren von Ulmer Donauschwaben, russische Flüchtlinge, eine kirgisische Kellnerin, bulgarische Schüler, rumänische Nonnen, moldauische Reisende, einen deutschen Hafenchef in der Republik Moldau, ukrainische LKW-Fahrer und Grenzschützer im umkämpften Kriegsgebiet am Schwarzen Meer. Die Donau fließt auf ihrem 2800 Kilometer langen Weg durch völlig unterschiedliche Landschaften: zerklüftete Schluchten, flache Ebenen, grüne Wälder und im Donaudelta durch ein Biosphärenreservat mit Reihern, Kranichen, Kormoranen und majestätischen dahingleitenden Pelikanen. An den Ufern der Donau wurde Geschichte geschrieben, von denen die vielen Ruinen, Burgen, Kirchen und Wehrklöster Zeugnis ablegen. Die „Türkenkriege“ und der 2. Weltkrieg haben ihre Spuren hinterlassen, ebenso die Kämpfe im ehemaligen Jugoslawien und jetzt in der Ukraine. Ein spannender Blick in einen uralten Kulturraum und in eine Art fließendes Geschichtsbuch. Rita Knobel-Ulrich hat die Reise auf dem königlichen Fluss unternommen, auf dem internationalsten Fluss der Welt, der durch zehn Länder fließt, durch vier Hauptstädte, und sie findet: es war ein Knüller.
Vor Jahren wollte die bayerische Staatsregierung im Spessart einen Nationalpark schaffen. Er scheiterte am Widerstand der Bevölkerung. Jetzt wird über ein Biosphärenreservat Spessart abgestimmt. In solch einer von der UNESCO initiierten Modellregion steht Nachhaltigkeit im Vordergrund, wie z.B. begrünte Fabrikhallen, nur 3 % der Fläche wären reine Schutzzone. Kommunalpolitiker von CSU, SPD und Grünen wären dafür. Doch es protestieren Bürger, die angestammte Holzrechte besitzen. Barbara Ecke und Katrin Küx machen in ihrer Reportage deutlich, wie schwierig es ist, die breite Bevölkerung für ein Projekt mitzunehmen.
Le Parc Naturel Régional du Mont-Ventoux et l'ODG de l'AOC Ventoux se sont engagés dans le projet RES-MAB, reconnaissant l'urgence d'adapter le territoire aux effets du changement climatique. Le Mont-Ventoux, désigné Réserve de Biosphère par l'UNESCO, présente une sensibilité particulière aux impacts du réchauffement planétaire. L'agriculture, et notamment la viticulture, constitue un pilier économique et écologique essentiel pour la région. Ecoutez ci-dessous l'interview de Marie PONS-RAMELLS chargée de mission "agriculture et climat" et référente projet RES-MAP.
In dieser Radioreise radelt und läuft Alexander Tauscher durch das grüne Potsdam. Freuen Sie sich auf besondere Oasen in der Landeshauptstadt von Brandenburg. Die Parks und Gärten erleben wir gewissermaßen als Insel großer Gedanken. Dabei stehen nicht die bekannten Anlagen wie Sanssouci oder Cecilienhof nicht im Fokus, sie sind aber immer wieder Kulisse während unserer Expedition. Wir konzentrieren und in dieser Sendung auf die Gartenbaukünstler und Forscher, die in Potsdam lebten und arbeiteen, wir bieten kleine und große Geschichten aus den vergangenen Jahrhunderten. Der Fernseh- und Theaterschauspieler Sebastian Stielke bildet den Rahmen dieser Radtour, die am Luisenplatz mit dem Brandenburger Tor beginnt. Von hier aus passieren wir den Park Sanssoucie und das Neue Palais sowie das Orangerieschloss. Unsere erste größere Station ist der Botanische Garten der Universität Potsdam. Dessen wissenschaftlicher Mitarbeiter Daniel Lauterbach führt uns in das Gewächs- und Tropenhaus mit Farnen und Kakteen aus fernen Ländern. Später zeigt er uns den Paradiesgarten, der den Namen wahrlich verdient hat. Von hier aus führt uns der Weg in einen kleinen besonderen Garten. Denn am Rande der Bornimer Flur befindet sich der Karl Foerster Garten und das Karl Foerster Haus. Über das Leben dieses Gartenbaukünstlers und Staudenzüchters spricht Felix Merk als Kurator der Deutschen Stiftung Denkmalschutz. Für viele Potsdam-Touristen noch recht unbekannt ist der Telegraphenberg. Dabei zieht er Wissenschaftler aus aller Welt an. Ingrid Bathe führt uns über die höchste Erhebung der Stadt und spricht über große Forscher und wissenschaftliche Einrichtungen an diesem Ort. Wir besuchen den Einsteinturm und bekommen mit Lars Freyer vom Förderverein eine private Führung im historischen Teleskop „Großer Refraktor“. Schließlich tauchen wir in die tropische Klimazone von Potsdam ein. Sie ist ganzjährig in der Biosphäre zu erleben. Carolin Brüstel begleitet uns durch die Flora und Fauna. Und die Schmetterlings-Mutter Ines Rieke lässt uns am Liebesleben der kleinen, bunten Insekten teilhaben. Viele Erkenntnisse bietet diese Sendung, die immer Wissen schafft, ganz ohne Wissenschaft.
Bienvenue sur la Radio Circulab (ex Activer l'Economie Circulaire) Avez-vous déjà imaginé vivre dans un monde où la technologie est à la fois simple, durable, accessible à tous et ... désirable ? C'est l'ambition que Justine partage aujourd'hui avec Corentin de Chatelperron, explorateur de modes de vie alternatifs et fervent défenseur des low tech. Dans cet épisode, nous plongeons dans une expérience unique : vivre en 2040 avec des technologies low tech, et découvrir comment elles pourraient transformer notre quotidien et notre environnement urbain.Corentin de Chatelperron n'est pas un inconnu dans le domaine de l'innovation durable. Ingénieur de formation, il a passé plusieurs années au Bangladesh où il a travaillé sur des projets de construction navale, découvrant ainsi le potentiel des low tech. Fondateur du Low Tech Lab, il s'est donné pour mission de documenter et de partager des innovations, simples et durables, à travers le monde. Son parcours est marqué par des aventures et des expérimentations, comme son périple sur un radeau dans le golfe du Bengale pour tester la viabilité de ces technologies.Le dernier projet de Corentin et de son équipe : vivre pendant quatre mois dans un appartement à Boulogne-Billancourt, transformé en un habitat du futur grâce aux low tech. L'objectif est de tester un mode de vie respectueux de l'environnement, en réduisant drastiquement la consommation d'eau et d'énergie, tout en créant un écosystème vivant au cœur de la ville. Biosphère Expérience met en lumière l'importance de repenser nos besoins fondamentaux et de développer des solutions innovantes et accessibles pour un avenir plus durable et désirable. Corentin nous invite à envisager un futur où la collaboration humaine et l'ingéniosité collective sont au centre de notre quotidien.Et vous, quelle low tech allez-vous tester et adopter cette année ?Pour aller plus loin : Baladez-vous sur notre site internet (tout neuf) ; Téléchargez nos outils sur la Circulab Academy ; Inscrivez-vous à notre newsletter ; Envoyez-nous vos retours ou suggestions sur Linkedin : Justine Laurent et Brieuc Saffré.
«Potzmusig» wagt sich in den musikalischen «Wilden Westen» von Luzern, mitten ins Biospährenreservat Entlebuch. In dieser einzigartigen Region musizieren und singen SÖ-Trio Vollgas, Luzerner Ländler Band, Jodlerklub Finsterwald, Striichmusig Kalöi und das Jodelduett Franziska Widner & Willy Felder. Das Entlebuch ist in vielerlei Hinsicht einzigartig. Kaum eine andere Region der Schweiz besitzt so viele Naturschätze wie der «Wilde Westen» von Luzern, weshalb das Entlebuch 2001 von der Unesco als Biosphärenreservat ausgezeichnet wurde. Aber nicht nur die Flora und Fauna haben sich hier in besonderer Weise entwickelt, auch musikalisch gibt es einiges zu entdecken. Im traditionsreichen Landgasthof «Drei Könige» lernt Nicolas Senn die bekannte Entlebucher Gastfreundschaft kennen und präsentiert abwechslungsreiche Volksmusik mit Formationen aus der Region und der weiteren musikalischen Nachbarschaft. Es spielen das urchige Schwyzerörgeli-Trio Vollgas, die Luzerner Ländler Band mit Akkordeonistin Claudia Muff und die Original Appenzeller Striichmusig Kalöi bestehend aus fünf Schwestern. Für einheimischen Jodelgesang sorgen der Jodlerklub Finsterwald und das Jodelduett Franziska Widner und Willy Felder. Auch die Blasmusik kommt nicht zu kurz: «Potzmusig» berichtet vom Event Alphorn 555, wo am 31. August 2024 auf der Nidwaldner Kleewenalp ein spektakulärer Weltrekordversuch stattgefunden hat. Und in Gossau SG spielen die Gallus Musikanten den «Traum einer Marketenderin», während die 20 Bläserinnen und Bläser selber eher von der Platzreife im Minigolf träumen.
Theoretisch ist die Sache ganz einfach: Man nimmt alles mit, was man zum Leben braucht, und hält es so munter aus eingesperrt in einem Gewächshaus. Das System erhält sich von selbst. Praktisch tut es das jedoch nicht. Das vielbeworbene Experiment Biosphäre 2 scheitert krachend.
On se voit le 6 octobre ? Rdv au Greener Festival pour un enregistrement avec du public à Lyon !Prends ton billet ! Rdv sur bit.ly/3zlJAgc___Pourrais-tu vivre bien avec très peu... dans le désert ? (car c'est un peu notre futur : plus de chaleur, moins d'eau et de terres cultivables)Voici le nouveau défi de Corentin de Chatelperron et Caroline Pultz : devenir autonome dans le désert (en eau, nourriture et énergie) grâce aux low-techs !Regarder le docu Arte sur l'expérience "Biosphère du Désert". SOMMAIRE01:49 Pourquoi ?03:22 L'arrivée au Mexique06:36 L'eau08:38 Le fitness utile12:01 La nourriture22:00 Comment vivre de manière géniale sur cette planète ?32:04 Bilan____ ____ Vous voulez sponsoriser le podcast ? C'est par ici !
Biosphärenreservate sind von der UNESCO initiierte Modellregionen, die sich der nachhaltigen Entwicklung verschrieben haben. Soll auch der Spessart in die Riege der deutschen Biosphärenregionen aufgenommen werden? Diese Frage wird aktuell kontrovers diskutiert wird.
Interview 2: Dr. Steffen Scharrer, 1. Vorsitzender beim Bund Natuschutz Kreisgruppe Miltenberg: Die Schaffung der Biosphärenregion Spessart sorgt für eine politische Debatte, insbesondere bayerischer Wirschaftsminister Hubert Aiwanger spricht sich gegen […]
Interview 1: Dr. Bernd Kempf, 1. Vorsitzender der Bürgerbewegung Freunde des Spessarts: Eine Einführung in den ökologischen Wert der besonderen Biosphärenregion im Spessart. Es wird erklärt, wie eine Biosphärenregion aufgebaut […]
Erleichterungen für die Landwirtschaft: Bundestag verabschiedet Agrarpaket (Von Dagmar Pepping) / Vogelgrippe bei Rindern: Welche Gefahr besteht in Bayern? (Von Jeanne Turczynski) / Neues Düngegesetz: Was Bauern künftig leisten sollen (Von Jutta Schilcher) / Verbotene Pestizide: Was in Kenia alles auf dem Acker landet (Von Thilko Gläßgen) / Biosphärenreservat Spessart: Wirtschaftsminister Aiwanger stellt sich quer (Von Katrin Küx) / Nutzpflanzen im Hitzestress: Welche Gerste taugt fürs Bier? (Von Jeanne Turczynski) / Anpassen an Extremwetter: Wie sich Gemeinden auf Starkregen und Hitze einstellen (Von Jan Zimmermann) / Biotop statt Einheitsgrün: Auch Gewerbegebiete können zum Artenschutz beitragen (Von Ursula Klement)
Sprengung Kühlturm Ensdorf - Gesprächsstoff: Collage Voxpops vor der Frankreichwahl - 18. Biosphärenfest, diesmal in Kleinblittersdorf
Sie ist der Gemüse vertilgende Schädling, der Albtraum aller Gärtner. Kinder sind fasziniert von ihrer Schönheit und Ausdauer, Erwachsene schätzen sie höchstens noch auf dem Teller. An der Schnecke scheiden sich die Geister, dabei können wir so viel von ihr lernen: ob in der Krebs- und Demenzforschung, als Ideengeberin für Architektur und Design oder als Wappentier der Slow-Life-Bewegung. Schnecken sind unterschätzte Kunstwerke der Evolution. Zeit für eine Ehrenrettung. Gregor Papsch diskutiert mit Dr. Florian Werner – Literaturwissenschaftler und Autor; Rita Goller – Schneckenzüchterin und Biosphären-Botschafterin; Prof. Dr. Michael Schrödl – Zoologe, Weichtiersektion der Zoologischen Staatssammlung München
Voyage à la découverte de la Réserve de Biosphère du Mono, un espace protégé de 346 000 hectares de forêts, de zones marécageuses, de milieux marins ou lacustres situé entre le Togo et le Bénin. Deuxième étape : dans l'aire communautaire de la Bouche du Roy et son fascinant delta. Havre de paix des oiseaux et des tortues marines, l'aire de conservation communautaire de la Bouche du Roy est un paradis naturel de 10 000 hectares, fait d'îlots et de mangroves. Bien connue des Béninois comme des voyageurs étrangers, la Bouche du Roy est l'embouchure du fleuve Mono, là où il se jette dans l'océan Atlantique. Classée en réserve et reconnue par l'Unesco en 2017, cette aire est donc un site protégé mais aussi habité. 25 000 personnes y vivent au quotidien, dans une vingtaine de villages de pêcheurs, tantôt posés sur la lagune, tantôt insulaires que l'on rejoint en pirogue par des chenaux d'eau. Sur place, l'ONG béninoise Eco Bénin accompagnée par le Comité français de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) développe en concertation avec les populations locales des projets de gestion et de protection des ressources naturelles menacées. Ils misent sur l'écodéveloppement, l'écotourisme, mais aussi le culte vodoun pour sacraliser certains espaces de nature. Voyage à la découverte d'un sanctuaire de biodiversité et des initiatives visant à le protéger.Un reportage au Bénin en deux épisodes de Raphaëlle Constant.- Le site d'Eco Bénin- L'histoire de l'ACCB de la Bouche du Roy et ses particularités- La page LinkedIn du Comité Français de l'UICN- Le site du Programme de Petites Initiatives.
Voyage à la découverte de la Réserve de Biosphère du Mono, un espace protégé de 346 000 hectares de forêts, de zones marécageuses, de milieux marins ou lacustres situé entre le Togo et le Bénin. Deuxième étape : dans l'aire communautaire de la Bouche du Roy et son fascinant delta. Havre de paix des oiseaux et des tortues marines, l'aire de conservation communautaire de la Bouche du Roy est un paradis naturel de 10 000 hectares, fait d'îlots et de mangroves. Bien connue des Béninois comme des voyageurs étrangers, la Bouche du Roy est l'embouchure du fleuve Mono, là où il se jette dans l'océan Atlantique. Classée en réserve et reconnue par l'Unesco en 2017, cette aire est donc un site protégé mais aussi habité. 25 000 personnes y vivent au quotidien, dans une vingtaine de villages de pêcheurs, tantôt posés sur la lagune, tantôt insulaires que l'on rejoint en pirogue par des chenaux d'eau. Sur place, l'ONG béninoise Eco Bénin accompagnée par le Comité français de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) développe en concertation avec les populations locales des projets de gestion et de protection des ressources naturelles menacées. Ils misent sur l'écodéveloppement, l'écotourisme, mais aussi le culte vodoun pour sacraliser certains espaces de nature. Voyage à la découverte d'un sanctuaire de biodiversité et des initiatives visant à le protéger.Un reportage au Bénin en deux épisodes de Raphaëlle Constant.- Le site d'Eco Bénin- L'histoire de l'ACCB de la Bouche du Roy et ses particularités- La page LinkedIn du Comité Français de l'UICN- Le site du Programme de Petites Initiatives.
Voyage à la découverte de la Réserve de Biosphère du Mono, un espace protégé de 346 000 hectares de forêts, de zones marécageuses, de milieux marins ou lacustres situé entre le Togo et le Bénin. Première étape : autour du Lac Ahémé, deuxième plus grand lac du Bénin. À seulement deux heures du tumulte de la capitale économique Cotonou, ce lac et ses alentours offrent une vraie parenthèse de nature, hors du temps, parmi des villages de pêcheurs bordés de mangroves et de forêts sacrées. Mais le territoire est fragile et pour le protéger, les populations locales misent déjà sur le culte vodoun ou l'agroécologie, puis à terme sur l'écodéveloppement et l'écotourisme, en collaboration avec l'ONG Éco Bénin et le Comité français de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Voyage dans un espace en transition, entre eau douce et eau salée, entre sacré et profane, à la rencontre de communautés qui cherchent à repenser l'équilibre homme-nature.Un reportage au Bénin en deux épisodes de Raphaëlle Constant.- Le site d'Éco Bénin- La page d'Éco Bénin consacrée au Lac Ahémé- La page LinkedIn du Comité Français de l'UICN- Le site du Programme de Petites Initiatives.
Voyage à la découverte de la Réserve de Biosphère du Mono, un espace protégé de 346 000 hectares de forêts, de zones marécageuses, de milieux marins ou lacustres situé entre le Togo et le Bénin. Première étape : autour du Lac Ahémé, deuxième plus grand lac du Bénin. À seulement deux heures du tumulte de la capitale économique Cotonou, ce lac et ses alentours offrent une vraie parenthèse de nature, hors du temps, parmi des villages de pêcheurs bordés de mangroves et de forêts sacrées. Mais le territoire est fragile et pour le protéger, les populations locales misent déjà sur le culte vodoun ou l'agroécologie, puis à terme sur l'écodéveloppement et l'écotourisme, en collaboration avec l'ONG Éco Bénin et le Comité français de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Voyage dans un espace en transition, entre eau douce et eau salée, entre sacré et profane, à la rencontre de communautés qui cherchent à repenser l'équilibre homme-nature.Un reportage au Bénin en deux épisodes de Raphaëlle Constant.- Le site d'Éco Bénin- La page d'Éco Bénin consacrée au Lac Ahémé- La page LinkedIn du Comité Français de l'UICN- Le site du Programme de Petites Initiatives.
Religion und Leben auf den Punkt gebracht. Mit Denkanstößen zur Alltagslust und zum Alltagsfrust. Von Ela Kornek.
Ab nächstem Schuljahr besuchen 12 ukrainischen Kinder aus der Kollektivunterkunft Giswil die Regelschule im Ort. Der Kanton schliesst die Integrationsschule, in der die Kinder bis anhin unter sich blieben. Da der Krieg andaure, sei es an der Zeit für Integration, heisst es von Seiten der Behörden. Weiter in der Sendung: * Nach weniger als einem Jahr im Amt tritt Anna Baumann als Direktorin der Biosphäre Entlebuch zurück. Sie nennt persönliche Gründe als Auslöser für diesen Schritt. * In einer Petition verlangt die JUSO Kanton Schwyz vom Regierungsrat einen Massnahmenplan gegen Rechts-Extremismus und Rassismus. Auslöser dafür waren Äusserungen im Zusammenhang mit dem geplanten Bundesasylzentrum Buosingen. * Die Universität Luzern und das Luzerner Kantonsspital haben zusammen ein neues Zentrum für klinische Forschung gegründet. Ziel ist, die Forschung enger mit der Praxis zu verknüpfen.
Ganz im Nordwesten Brandenburgs liegt die Prignitz mit ihrer Elbtalaue. Auenlandschaften sind in Deutschland selten. An einem so großen Fluss wie der Elbe sind sie eine echte Besonderheit und stehen deshalb als Biosphärenreservat unter dem Schutz der UNESCO. Von Astrid Kretschmer
Ganz im Nordwesten Brandenburgs liegt die Prignitz mit ihrer Elbtalaue. Auenlandschaften sind in Deutschland selten. An einem so großen Fluss wie der Elbe sind sie eine echte Besonderheit und stehen deshalb als Biosphärenreservat unter dem Schutz der UNESCO. Von Astrid Kretschmer
In Oberbayern wollen Aktivisten den Fluss Loisach zur Rechtsperson machen - stellvertretend für alle Flüsse, Ökosysteme, Biosphären. Damit könnte die Loisach für ihre Existenz in Freiheit und Würde klagen. Die Aktivisten sind Teil einer weltweiten Bewegung, die das anthropozentrische Rechtssystem global aufmischen will, damit die Natur nicht länger 'den Kürzeren zieht‘. Geseko von Lüpke über den Versuch, einen ökologischen Rechtsstaat zu schaffen.
Das Fürstentum Asturien ist klein, hat aber einiges zu bieten! Im Norden die manchmal raue Atlantikküste, im Süden – nur rund 20 Kilometer entfernt – die Picos de Europa. Eine beindruckend, schroffe Gebirgsformation, bis zu 2600 Meter hoch. Mit rund 10.000 Quadratkilometern ist die autonome Region im Nordwesten Spaniens zwar nur etwa halb so groß wie Hessen, dafür aber bestens zu erkunden. Ob auf den gut präparierten Wanderrouten, den ausgebauten Radwegen, oder auf den malerischen Gebirgsseen mit dem Kanu- oder Paddelboot. Und wer es doch gerne etwas ruhiger mag, die Strände an der „Costa Verde“ sind oft kaum besucht, denn noch ist Asturien als Reiseziel ein echter Geheimtipp. Rund 80% der Gäste kamen im vergangenen Jahr aus Spanien, deutsche Urlauber sind noch eher die Ausnahme. Rund ein Drittel der Gesamtfläche Asturiens steht unter Naturschutz, sieben Gebiete wurden zu Biosphärenreservaten erklärt. Dort leben unter anderem rund 300 Kantabrische Braunbären, Iberische Wölfe, aber auch Geier und Steinadler. Asturien ist ein Naturparadies! Und auch kulinarisch hat die autonome Region einiges im Angebot. Neben Meeresfrüchten aus dem Atlantik sollten unbedingt die landestypischen Eintöpfe probiert werden. Besonders beliebt die Fabada, ein weißer Bohneneintopf mit Schweinefleisch, Chorizo, Zwiebeln und Knoblauch. Ein asturisches Nationalgericht. Und dazu gibt es fast immer den einheimischen, spanischen Apfelwein, den Sidra, meist aus luftiger Höhe plätschernd ins Glas geschenkt.
Die Spuren menschlicher Verwüstung haben sich bis in die geologischen Schichten eingetragen und zur Bildung des Begriffs «Anthropozän» geführt. Manuel und Stephan diskutieren über die Frage, inwiefern das Christentum an der Misere unserer Zeit beteiligt ist – und was es zur Problemlösung beitragen könnte… Die moderne Lebensweise des Menschen hat eine ökologische Krise heraufbeschworen, welche die Atmosphäre und Biosphäre unseres Planeten in Mitleidenschaft zieht und unsere eigenen Lebensgrundlagen zu zerstören droht. Das «Anthropozän» ist eine wenig schmeichelhafte Bezeichnung für unser vom Menschen tiefgreifend und nachhaltig gezeichneten Zeitalter. Gegen diese Terminologie erheben allerdings nicht nur zahlreiche Stratigrafen (Experten für Schichtenkunde) Einspruch, sondern etwa auch die Wissenschaftshistorikern Donna Haraway: Sie will lieber von einem «Chtuluzän» sprechen – einem Zeitalter, das den Menschen vielschichtig mit der nichtmenschlichen Schöpfung verflechtet. Heilung und Wiederherstellung geht nicht einseitig vom Menschen aus, sondern von einem Verständnis für die zahlreichen Abhängigkeiten und die eigene Einbindung in ein komplexes Ökosystem. Manuel ist von Haraways Thesen sehr angetan, und er diskutiert mit Stephan des weiteren über die Frage, ob und wie die biblische Apolalyptik und die Rede vom Gericht Gottes hilfreich sein kann, um Menschen wachzurütteln und zu aktivieren. Schliesslich kommt auch der Zusammenhang von Diesseitsbewältigung und Jenseitshoffnung zur Sprache – konkret die Verbindung der Auferstehung Jesu als Einbruch einer neuen Welt in diese alte Schöpfung und der Motivation, nicht nur auf eine himmlische Ewigkeit zu warten, sondern in der Gegenwart schon für (Umwelt-)Gerechtigkeit zu kämpfen… Eine angeregte, eigenwillige und wendungsreiche Folge – viel Spass!
Ein neues ökologisches Bewusstsein greift um sich. Gerade angesichts der ökologischen Krise sehnen sich Menschen nach einer neuen Verbundenheit mit der «Natur». Manuel und Stephan reden in dieser Folge über Aspekte einer zeitgemässen Schöpfungstheologie und –spiritualität. Die vom Menschen verursachten Veränderungen der Atmosphäre und Biosphäre beschäftigt längst nicht mehr nur Klimaforscherinnen und Naturwissenschaftler. Ein neues ökologisches Bewusstsein bricht sich Bahn, das einhergeht mit einem auch spirituellen Bedürfnis, mit der Schöpfung im Einklang zu leben und einen neuen Zugang zur «Mit-Welt» zu finden. Diese Entwicklungen sind von angeregten Diskursen begleitet, an denen sich auch Kirche und Theologie beteiligt. Manche beklagen die Eingenommenheit der Kirchen von ökologischen und soziopolitischen Fragen, die ihrer Einschätzung nach auf Kosten der Verkündigung des Evangeliums geht – andere wiederum kritisieren die Jenseits-Orientierung frommer Kreise auf Kosten des diesseitigen Engagements. Oder gibt es einen inneren Zusammenhang zwischen der Hoffnung auf eine neue Welt und der Verantwortungsübernahme in dieser alten Welt? Erliegen aktuelle ökotheologische Ansätze und Verlautbarungen einer «Schöpfungsromantik», welche die Bedrohung ausblendet, welche von der nichtmenschlichen Schöpfung für den Menschen immer schon ausgeht? Und kommen wir nur weiter, wenn der Mensch seine Zentralstellung und seinen Speziezismus aufgibt – oder ist es gerade jetzt besonders wichtig, dass wir als «Krone der Schöpfung» unsere Verantwortung ernst nehmen und zur Besserung der Verhältnisse beitragen? Es gibt viel zu diskutieren für Manuel und Stephan…
Koch Stefan Wiesner, ist bekannt als «der Hexer vom Entlebuch».Corinna Braun ist Touristikerin und hat als Kosmopolitin immer Anpassungsfähigkeit bewiesen. Stefan Wiesner, (61) Naturkoch Stefan Wiesner ist einer der aussergewöhnlichsten Köche, die es gibt. Er kocht mit Naturmaterialien, die man andernorts so nicht einsetzt: Torf, Holz, Heu oder Asche. Wiesner gilt als Pionier der Naturküche. Viele seiner Zutaten holt er aus der Natur. Durch einen Dokumentarfilm wurde er als «Hexer aus dem Entlebuch» bekannt. Mit seiner Frau, mit der er zwei erwachsene Kinder hat, führte er 34 Jahre lang den Gasthof seiner Eltern in Escholzmatt LU. Einen Neuanfang gab es nun mit über sechzig Jahren: Der Naturkoch hat auf 1053 Meter Fuss gefasst, im abgelegenen Bramboden gibt er verschiedenste Kurse mit Weitsicht auf die Biosphäre Entlebuch. Gekocht wird im «Wiesner Mysterion» jeweils am Mittag, dafür mit der Energie der Solaranlagen. Corinna Braun, (59) Touristikerin Corinna Braun ist Kosmopolitin. Sie ist in Luzern geboren und in vier Ländern aufgewachsen. Anpassungsfähigkeit hat sie immer wieder bewiesen, auch in den verschiedensten Jobs. Besonders gerne liess sie sich in Projekte engagieren, die vorher noch nicht bestanden haben. Etwas Neues anpacken mit «Haut und Haare», das liegt ihr. Die Touristikerin hat längstens in Vitznau Fuss gefasst. Dort realisierte sie diesen Frühling ein Herzensprojekt: «Das Haus der 7 Sinne», wo auch ihre Familiengeschichte eine wesentliche Rolle spielt. Corinna Braun lebt seit 35 Jahren mit ihrem Partner zusammen. In ihrer Freizeit tanzt sie leidenschaftlich gerne und liebt es im oder am Wasser zu sein. Die Gesprächssendung «Persönlich» von Radio SRF1 kommt am Sonntag, 17. September aus dem KKL Luzern.
Diese Woche mit Verena Kern und Sandra Kirchner. Für Freitag ruft Fridays for Future zum weltweiten Klimastreik auf. In Deutschland sind an 250 Orten Proteste geplant. Die Bewegung fordert den Ausstieg aus fossilen Brennstoffen, die Verschärfung des Klimaschutzgesetzes und die Einführung des versprochenen Klimageldes. Das UN-Klimasekretariat hat den Entwurf der "globalen Bestandsaufnahme" vorgelegt. Das Paris-Abkommen von 2015 verpflichtet die Staaten dazu, regelmäßig Bilanz zu ziehen, ob ihre Anstrengungen ausreichen, die Erderwärmung auf 1,5 Grad zu begrenzen. Das Ergebnis ist keine Überraschung: Die Welt ist weit davon entfernt, das Ziel zu erreichen. Menschliches Handeln und Wirtschaften verbraucht zu viele Ressourcen und verschmutzt die Umwelt. Sechs von neun Belastungsgrenzen der Erde sind bereits überschritten. Dabei geht es um Klima, Funktion der Biosphäre, Süßwassernutzung, Entwaldung, Nährstoffkreisläufe und das Einbringen neuartiger Stoffe wie Plastik. Die Stabilität der Erde und unser Überleben sind gefährdet, schreiben Wissenschaftler:innen des Potsdam-Instituts für Klimafolgenforschung in einer Studie. -- Das klima update° wird jede Woche von Spender*innen unterstützt. Wenn auch du dazu beitragen willst, geht das HIER https://www.verein-klimawissen.de/spenden. Wir danken hier und jetzt - aber auch noch mal namentlich im Podcast (natürlich nur, wenn ihr zustimmt).
In dieser Folge geht es in ein weiteres Naturparadies des Wendlands: ins Biosphärenreservat Niedersächsische Elbtalaue. Vom Frachtschiffverkehr weitgehend ausgenommen, bietet die Elbe hier ein traumhaftes Paddelgebiet, in dem sich einst ausgestorbene Biber wohlfühlen und über dem Seeadler und Kraniche kreisen. Im Schatten der ehemaligen deutsch-deutschen Grenze konnte sich hier eine Flusslandschaft erhalten, die im Herzen Europas einzigartig ist – und die Erik in dieser Folge erkundet. An seiner Seite: Kanuguide Sigurd, dessen Lebensgeschichte fast so interessant ist wie die dieser Region. Biberberater Uwe, der sein Leben hier als Geschenk empfindet und sich mit Erik auf die Fährte der Elb-Biber begibt, die in Deutschland ab 1819 als ausgestorben galten und die hiesigen Auenwälder inzwischen zurückerobert haben. Und Wolfsberater Kenny Kenner, der mit Erik dem „Mythos Wolf“ auf den Grund geht und einige der gesellschaftlichen Konflikte beleuchtet, die aus seiner Rückkehr nach Deutschland resultieren.Diese Folge entstand mit Unterstützung des Reiselands Niedersachsen. Vielen Dank für den Support unserer Show! Für Informationen, besucht gern www.reiseland-niedersachsen.de.Unterstütze unsere Show mit einer Mitgliedschaft im Supporters Club und erhalte Zugriff auf werbefreie und – je nach Paket – exklusive Bonusfolgen. Alle Informationen findest du hier: https://weltwach.de/supporters-club/ Spotify-Nutzer können direkt in Spotify nach “Weltwach Plus” suchen. STAY IN TOUCH:Instagram: https://www.instagram.com/weltwach/LinkedIn: https://www.linkedin.com/company/weltwach/Facebook: https://www.facebook.com/Weltwach/YouTube: https://www.youtube.com/c/WELTWACHNewsletter: https://weltwach.de/newsletter/ Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Etwa 75 Kilometer südöstlich von Berlin fließt die Spree durch ein Niederungsgebiet, in dem sich der Flusslauf vielfach verzweigt, wodurch eine Moor- und Auenlandschaft entstanden ist, die heute ein Biosphärenreservat ist: der Spreewald. Mitten darin liegt die sorbische Stadt Lübbenau, die sich schon vor hundert Jahren kulinarisch durch die Sauren Gurken auszeichnete und an den Wochenenden zahlreiche Touristen aus Berlin und dem Ausland aufnahm, die sich auf Kähnen über die Wasserstraßen staken ließen. Unter diese mischte sich Bruno Manuel, um in der Berliner Volkszeitung vom 18. April 1923 darüber zu schreiben. Seine Kontrastierung zwischen Berlin und Lübbenau, aber auch zwischen Weinbauern und Gurkenbauern bringt uns Frank Riede näher.
Zusteigen bitte, die Türen schließen. Der Zug fährt ab für den zweiten (und leider auch letzten) Teil von unserer großen "Fahrtziel Natur" Reihe. Seit 20 Jahren bringt „Fahrtziel Natur“ Reisende mit der Bahn ins Grüne. Die Kooperation von BUND, NABU, VCD und der DB engagiert sich dafür, dass Biosphärenreservate, Natur- und Nationalparks autofrei und nachhaltig bereist werden können. Heute schauen wir mal genauer drauf, wie ihr vor Ort mit Gäste- oder Kurkarten noch den ein oder anderen Euro sparen könnt. Zudem verraten wir weitere Ziele, die nicht nur im Herbst sehenswert sind.Disclaimer: Dieser Podcast entstand in Zusammenarbeit mit Fahrtziel Natur. Ein Projekt von BUND, NABU, VCD und der DB. Unsere eigenen Eindrücke und unsere Meinung sind davon unbeeinflusst.▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ Mehr Informationen zu Fahrtziel Natur
Hurra, der Herbst ist da. Perfekte Gelegenheit, noch mal raus ins Grüne zu düsen. Fleißige Welttournee Hörende wissen, um unsere große Liebe für das Reisen auf der Schiene. Also warum dann nicht mal beides verbinden? Seit 20 Jahren bringt „Fahrtziel Natur“ Reisende mit der Bahn ins Grüne. Die Kooperation von BUND, NABU, VCD und der DB engagiert sich dafür, dass Biosphärenreservate, Natur- und Nationalparks autofrei und nachhaltig bereist werden können. Perfekt für uns mal zu schauen, wo die besten Orte liegen, was man erleben und vor allem wie man sparen kann. Wenn ihr in die alten Folgen vom Reisepodcast reinhört, findet ihr auch da vereinzelt Tipps in den Regionen.Disclaimer: Dieser Podcast entstand in Zusammenarbeit mit Fahrtziel Natur. Ein Projekt von BUND, NABU, VCD und der DB. Unsere eigenen Eindrücke und unsere Meinung sind davon unbeeinflusst. ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ Mehr Informationen zu Fahrtziel Natur
In der Dokumentationsreihe von SRF, RTS und RSI entdeckt das Moderations-Trio Bigna Silberschmidt (SRF), Alain Orange (RTS) und Christian Bernasconi (RSI) fünf Naturparks von nationaler Bedeutung. Sie treffen auf Forscherinnen und Einheimische, mit denen sie die Natur und die Kultur erkunden. In der vierten Folge besucht das Moderations-Trio das Unesco Biosphärenreservat Entlebuch. Diese mystische Welt im «wilden Westen» von Luzern ist bekannt für ihre ausgedehnten Moore, imposante Karstlandschaften und das Brienzer Rothorn. Im Mittelpunkt des Besuchs von Bigna Silberschmidt stehen die Moorlandschaften, welche etwa die Hälfte der Fläche des Entlebuchs ausmachen. Sie erfährt vom Parkdirektor wie die Unterschutzstellung der Moore 1987 nach einer ersten Ratlosigkeit in der Bevölkerung letztendlich zur Gründung des Parks geführt hat. Christian Bernasconi erfährt, dass die Moore nicht nur Lebensraum zahlreicher Pflanzen und Tierarten und riesige Speicher von CO2 sind, sondern auch Schutz bieten vor Überschwemmungen. Sie halten die oft heftigen Niederschläge in der Region wie ein Schwamm zurück und geben sie dann langsam an die Bäche und Flüsse ab. Wie die Moore selbst für die Landwirtschaft von Nutzen sind, zeigt eine findige Bauernfamilie. Sie hat auf Mini-Kühe der Rasse Irish Dexter umgestellt, die mit dem nährstoffarmen Futter gut zurechtkommen und die empfindlichen Böden schonen. Neben dem Moorschutz ist das Biosphärenreservat unter den Vorreitern im Bereich der erneuerbaren Energien. Nicht nur Sonne und Wind werden hier genutzt. Alain Orange besucht einen der letzten kommerziell tätigen Holzkohlehersteller der Schweiz und lernt das traditionelle Handwerk der Köhlerei kennen. Das Holz, ein nachwachsender und damit CO2-neutraler Rohstoff, stammt aus den Mischwäldern der Region und die Kohle kann anstelle von Gas oder Erdöl zum Heizen genutzt werden.