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Véritable bouclier protecteur, le champ magnétique terrestre empêche la partie dangereuse du rayonnement solaire d’atteindre la surface de notre planète. Sans lui, il n’y aurait pas de vie. La constellation des satellites Swarm étudie ce formidable bouclier. Invités : Mioara Mandea (CNES) et Gauthier Hulot
Véritable bouclier protecteur, le champ magnétique terrestre empêche la partie dangereuse du rayonnement solaire d'atteindre la surface de notre planète. Sans lui, il n'y aurait pas de vie. La constellation des satellites Swarm étudie ce formidable bouclier. Invités => Mioara Mandea (CNES) et Gauthier Hulot
Cartographier en 3D plus d’un milliard d’objets de notre galaxie avec une précision inégalée : tel est l’ambitieux objectif de la sonde Gaia, lancée en décembre 2013 par l’Agence Spatiale Européenne. À la clé, se trouve la compréhension des mécanismes de formation des galaxies. Avec Philippe Laudet (CNES) et François Mignard (CNRS)
Cartographier en 3D plus d'un milliard d'objets de notre galaxie avec une précision inégalée => tel est l'ambitieux objectif de la sonde Gaia, lancée en décembre 2013 par l'Agence Spatiale Européenne. À la clé, se trouve la compréhension des mécanismes de formation des galaxies. Avec Philippe Laudet (CNES) et François Mignard (CNRS)
Grâce aux instruments scientifiques embarqués sur les satellites, notre compréhension des lois de l’univers progresse à grand pas. Ainsi, la mission Microscope étudie le principe d’équivalence et la mission LISA la nature des ondes gravitationnelles. Invités : Isabelle Petitbon (CNES) et Antoine Petiteau.
Grâce aux instruments scientifiques embarqués sur les satellites, notre compréhension des lois de l'univers progresse à grand pas. Ainsi, la mission Microscope étudie le principe d'équivalence et la mission LISA la nature des ondes gravitationnelles. Invités => Isabelle Petitbon (CNES) et Antoine Petiteau.
Depuis l’année 1995, date de la découverte de la première exoplanète, des milliers d'exoplanètes ont été découvertes avec un large éventail de masses, de tailles et d'orbites, sans qu’un motif apparent relie ces caractéristiques à la nature de l'étoile parente. Cette incroyable diversité de planètes constitue un défi pour notre compréhension de l’univers. Invités : Jean-Louis Monin (CNES).
Depuis l'année 1995, date de la découverte de la première exoplanète, des milliers d'exoplanètes ont été découvertes avec un large éventail de masses, de tailles et d'orbites, sans qu'un motif apparent relie ces caractéristiques à la nature de l'étoile parente. Cette incroyable diversité de planètes constitue un défi pour notre compréhension de l'univers. Invités => Jean-Louis Monin (CNES).
Dans les années 60, conquérir la lune fut le désir des deux grandes puissances de l’époque. Après une période d’oubli, elle redevient aujourd’hui un objectif pour de nombreuses puissances spatiales et une étape essentielle pour la colonisation de l’espace. Avec Jacques Arnould et Michel Viso (CNES)
Dans les années 60, conquérir la lune fut le désir des deux grandes puissances de l'époque. Après une période d'oubli, elle redevient aujourd'hui un objectif pour de nombreuses puissances spatiales et une étape essentielle pour la colonisation de l'espace. Avec Jacques Arnould et Michel Viso (CNES)
Dans les années 60, conquérir la lune fut le désir des deux grandes puissances de l'époque. Après une période d'oubli, elle redevient aujourd'hui un objectif pour de nombreuses puissances spatiales et une étape essentielle pour la colonisation de l'espace. Avec Jacques Arnould et Michel Viso (CNES)
Chez les celtes, Taranis est le dieu du ciel, de la foudre et du tonnerre. Un nom prédestiné pour un satellite qui va étudier les gigantesques « flashs lumineux » de 30 à 90 km de haut qui explosent au-dessus des gros nuages d'orages tels ceux de la ceinture intertropicale. Taranis apportera ainsi des données uniques pour comprendre les mécanismes à l’origine des transferts d’énergie s'effectuant à la suite d'éclairs entre l’atmosphère, l’ionosphère et la magnétosphère, ainsi que leurs possibles impacts sur l’environnement de la Terre. Les intervenants : Christophe Bastien-Thiry et Jean-Louis Pinçon.
Chez les celtes, Taranis est le dieu du ciel, de la foudre et du tonnerre. Un nom prédestiné pour un satellite qui va étudier les gigantesques « flashs lumineux » de 30 à 90 km de haut qui explosent au-dessus des gros nuages d'orages tels ceux de la ceinture intertropicale. Taranis apportera ainsi des données uniques pour comprendre les mécanismes à l'origine des transferts d'énergie s'effectuant à la suite d'éclairs entre l'atmosphère, l'ionosphère et la magnétosphère, ainsi que leurs possibles impacts sur l'environnement de la Terre. Les intervenants => Christophe Bastien-Thiry et Jean-Louis Pinçon.
Chez les celtes, Taranis est le dieu du ciel, de la foudre et du tonnerre. Un nom prédestiné pour un satellite qui va étudier les gigantesques « flashs lumineux » de 30 à 90 km de haut qui explosent au-dessus des gros nuages d'orages tels ceux de la ceinture intertropicale. Taranis apportera ainsi des données uniques pour comprendre les mécanismes à l'origine des transferts d'énergie s'effectuant à la suite d'éclairs entre l'atmosphère, l'ionosphère et la magnétosphère, ainsi que leurs possibles impacts sur l'environnement de la Terre. Les intervenants => Christophe Bastien-Thiry et Jean-Louis Pinçon.
Les astéroïdes sont des petits corps extrêmement nombreux dans le Système solaire (800.000). 70.000 d’entre eux se trouvent dans la ceinture principale entre Mars et Jupiter. Leur composition est très diverse : de la roche, du carbone, des métaux et de l’eau. Deux missions spatiales vont étudier cette années ces corps fossiles du système solaire : Hayabusa2 qui après 4 ans de voyage, à l’été 2018 a atteint l’astéroïde Ryugu. Elle doit y déposer le petit atterrisseur franco–allemand Mascot qui analysera le sol in situ. La sonde va se poser le temps d’une seconde sur l’astéroïde pour faire des prélèvements et les rapporter ensuite sur Terre. La mission américaine OSIRIS-Rex qui va étudier l’astéroïde géocroiseur Bénou pour nous en apprendre plus sur sa composition et sa trajectoire. Les intervenant(e)s : Francis Rocard et Antonella Barucci.
Les astéroïdes sont des petits corps extrêmement nombreux dans le Système solaire (800.000). 70.000 d'entre eux se trouvent dans la ceinture principale entre Mars et Jupiter. Leur composition est très diverse => de la roche, du carbone, des métaux et de l'eau. Deux missions spatiales vont étudier cette années ces corps fossiles du système solaire => Hayabusa2 qui après 4 ans de voyage, à l'été 2018 a atteint l'astéroïde Ryugu. Elle doit y déposer le petit atterrisseur franco–allemand Mascot qui analysera le sol in situ. La sonde va se poser le temps d'une seconde sur l'astéroïde pour faire des prélèvements et les rapporter ensuite sur Terre. La mission américaine OSIRIS-Rex qui va étudier l'astéroïde géocroiseur Bénou pour nous en apprendre plus sur sa composition et sa trajectoire. Les intervenant(e)s => Francis Rocard et Antonella Barucci.
Les astéroïdes sont des petits corps extrêmement nombreux dans le Système solaire (800.000). 70.000 d'entre eux se trouvent dans la ceinture principale entre Mars et Jupiter. Leur composition est très diverse => de la roche, du carbone, des métaux et de l'eau. Deux missions spatiales vont étudier cette années ces corps fossiles du système solaire => Hayabusa2 qui après 4 ans de voyage, à l'été 2018 a atteint l'astéroïde Ryugu. Elle doit y déposer le petit atterrisseur franco–allemand Mascot qui analysera le sol in situ. La sonde va se poser le temps d'une seconde sur l'astéroïde pour faire des prélèvements et les rapporter ensuite sur Terre. La mission américaine OSIRIS-Rex qui va étudier l'astéroïde géocroiseur Bénou pour nous en apprendre plus sur sa composition et sa trajectoire. Les intervenant(e)s => Francis Rocard et Antonella Barucci.
Mettre la technologie spatiale au service des équipes de secours lors des grandes catastrophes, tel est l'objectif de la Charte internationale "Espace et catastrophes majeures". Initiée par le CNES et l’ESA en 1999, cette charte regroupe aujourd'hui 16 agences spatiales. Afin d’apporter au plus vite une aide aux populations sinistrées et aux équipes de secouristes engagées sur les zones touchées, les membres de la Charte assurent une veille permanente : après avoir vérifié la pertinence et l’honnêteté de la demande, l’objectif est de programmer des prises de vue spécifiques et de faire parvenir au plus vite des images aux personnes et aux services qui en ont le besoin. Les intervenantes : Claire Tinel et Déborah Korber
Le sismomètre du CNES SEIS a pour mission d’écouter « battre le cœur de Mars ». Il est intégré sur l’atterrisseur de la Nasa InSight qui va étudier pour la première fois l’intérieur de la planète rouge. C'est un sismomètre capable de mesurer de micro séismes sur l’ensemble de la superficie de Mars. Pour arriver à cette précision il a fallu relever de nombreux défis technologiques. Les intervenants : Francis Rocard et Philippe Lognonné.
Le sismomètre du CNES SEIS a pour mission d'écouter « battre le cœur de Mars ». Il est intégré sur l'atterrisseur de la Nasa InSight qui va étudier pour la première fois l'intérieur de la planète rouge. C'est un sismomètre capable de mesurer de micro séismes sur l'ensemble de la superficie de Mars. Pour arriver à cette précision il a fallu relever de nombreux défis technologiques. Les intervenants => Francis Rocard et Philippe Lognonné.
Le sismomètre du CNES SEIS a pour mission d'écouter « battre le cœur de Mars ». Il est intégré sur l'atterrisseur de la Nasa InSight qui va étudier pour la première fois l'intérieur de la planète rouge. C'est un sismomètre capable de mesurer de micro séismes sur l'ensemble de la superficie de Mars. Pour arriver à cette précision il a fallu relever de nombreux défis technologiques. Les intervenants => Francis Rocard et Philippe Lognonné.
Imaginer et penser la vie quotidienne dans des futures bases humaines spatiales, c’est répondre à des questions extrêmement concrètes : Comment produire de la nourriture localement ? comment imaginer des habitats dans des environnements à faible gravité ? quels seraient les divertissements ? comment se soigner in situ ? pourra-t-on élever des enfants dans une station spatiale ? Pour répondre à ces questions, le CNES a créé un groupe de prospective avec des architectes, des agriculteurs, des médecins et d’autres experts de la société civile. Le fruit de leurs travaux rendra peut-être possible la colonisation de l’espace à long terme. Les intervenants : Olivier Walter et François Spiero.
Imaginer et penser la vie quotidienne dans des futures bases humaines spatiales, c'est répondre à des questions extrêmement concrètes => Comment produire de la nourriture localement ? comment imaginer des habitats dans des environnements à faible gravité ? quels seraient les divertissements ? comment se soigner in situ ? pourra-t-on élever des enfants dans une station spatiale ? Pour répondre à ces questions, le CNES a créé un groupe de prospective avec des architectes, des agriculteurs, des médecins et d'autres experts de la société civile. Le fruit de leurs travaux rendra peut-être possible la colonisation de l'espace à long terme. Les intervenants => Olivier Walter et François Spiero.
Imaginer et penser la vie quotidienne dans des futures bases humaines spatiales, c'est répondre à des questions extrêmement concrètes => Comment produire de la nourriture localement ? comment imaginer des habitats dans des environnements à faible gravité ? quels seraient les divertissements ? comment se soigner in situ ? pourra-t-on élever des enfants dans une station spatiale ? Pour répondre à ces questions, le CNES a créé un groupe de prospective avec des architectes, des agriculteurs, des médecins et d'autres experts de la société civile. Le fruit de leurs travaux rendra peut-être possible la colonisation de l'espace à long terme. Les intervenants => Olivier Walter et François Spiero.
Etudier les caractéristiques du vent et les vagues à la surface des océans, telle sera la mission du satellite CFOSAT. Il va permettre de réaliser des prévisions en météorologie marine plus précises, avec la possibilité d’anticiper des évènements extrêmes comme les fortes tempêtes et les cyclones. CFOSAT permettra également aux climatologues d'en savoir plus sur les échanges entre l'océan et l'atmosphère, qui jouent un rôle crucial dans le climat. Les intervenant(e)s : Danièle Hauser et Patrick Castillan.
Etudier les caractéristiques du vent et les vagues à la surface des océans, telle sera la mission du satellite CFOSAT. Il va permettre de réaliser des prévisions en météorologie marine plus précises, avec la possibilité d'anticiper des évènements extrêmes comme les fortes tempêtes et les cyclones. CFOSAT permettra également aux climatologues d'en savoir plus sur les échanges entre l'océan et l'atmosphère, qui jouent un rôle crucial dans le climat. Les intervenant(e)s => Danièle Hauser et Patrick Castillan.
L’Espace reste un milieu hostile, où les distances à parcourir et les temps de trajet sont immenses à l’échelle d’une vie d’Homme. Entre esprit pionnier, développement de la nouvelle économie de l’Espace dans l’Espace, enjeux de développement durable, vision territorialisée de l’Espace et vision de bien universel, se pose en filigrane les questions de savoir : quelle conquête de l’Espace voulons-nous ? Jusqu’où l’Homme est-il prêt à aller pour conquérir l’Espace ? Les intervenantes : Isabelle Sourbes-Verger et Murielle Lafaye.
L'Espace reste un milieu hostile, où les distances à parcourir et les temps de trajet sont immenses à l'échelle d'une vie d'Homme. Entre esprit pionnier, développement de la nouvelle économie de l'Espace dans l'Espace, enjeux de développement durable, vision territorialisée de l'Espace et vision de bien universel, se pose en filigrane les questions de savoir => quelle conquête de l'Espace voulons-nous ? Jusqu'où l'Homme est-il prêt à aller pour conquérir l'Espace ? Les intervenantes => Isabelle Sourbes-Verger et Murielle Lafaye.
Lancée en Octobre 2018, la mission européo-japonaise BepiColombo a pour objectif l’étude détaillée de Mercure. Après 7 ans de voyage la sonde va larguer deux orbiteurs : MPO qui va étudier la surface et la structure de la planète et MMO qui va analyser la magnétosphère et son interaction avec le vent solaire. Cette mission va nous permettre de mieux connaitre la planète la plus proche du soleil dont la température à l’équateur est de 430°C, alors qu’à ses pôles elle peut descendre à -180°. Les intervenants : Francis Rocard et Yves Langevin.
Lancée en Octobre 2018, la mission européo-japonaise BepiColombo a pour objectif l'étude détaillée de Mercure. Après 7 ans de voyage la sonde va larguer deux orbiteurs => MPO qui va étudier la surface et la structure de la planète et MMO qui va analyser la magnétosphère et son interaction avec le vent solaire. Cette mission va nous permettre de mieux connaitre la planète la plus proche du soleil dont la température à l'équateur est de 430°C, alors qu'à ses pôles elle peut descendre à -180°. Les intervenants => Francis Rocard et Yves Langevin.
Le 9 avril 1968, la première fusée s’élançait depuis Kourou en Guyane française. Aujourd’hui le centre spatial guyanais est devenu le port spatial de l’Europe. Ariane 5, Vega et Soyouz nous assurent l’accès autonome à l’espace. Le CSG est un lieu de contrastes, à côté des activités de hautes prouesses technologiques et parc naturel pour la faune sauvage de 690 km2. Intervenants : Bernard Azema et Pierre Guilhem.
Le 9 avril 1968, la première fusée s'élançait depuis Kourou en Guyane française. Aujourd'hui le centre spatial guyanais est devenu le port spatial de l'Europe. Ariane 5, Vega et Soyouz nous assurent l'accès autonome à l'espace. Le CSG est un lieu de contrastes, à côté des activités de hautes prouesses technologiques et parc naturel pour la faune sauvage de 690 km2. Intervenants => Bernard Azema et Pierre Guilhem.
L’Espace évolue très vite : nouvelles constellations de satellites, nouvelles utilisations de l’espace (tourisme, space mining ..), retour de l’homme sur la Lune, et bientôt présence sur Mars. Les lanceurs devront s’adapter pour répondre à ces nouveaux besoins. Ils devront être plus performants, plus « multifonctions », et moins chers. Nous aborderons ici les nouveaux lanceurs tels que nous les prévoyons à l’horizon 2030, et tels que nous pouvons les imaginer dans un avenir plus lointain, comme 2050. Nous nous pencherons plus particulièrement sur les innovations coté matériaux, structures, et procédés de fabrication, qui contribuerons à améliorer les performances des lanceurs et à permettre de nouvelles architectures plus ambitieuses. Les intervenant(e)s : Fréderic Masson et Marie Jacquesson, CNES.
L'Espace évolue très vite => nouvelles constellations de satellites, nouvelles utilisations de l'espace (tourisme, space mining ..), retour de l'homme sur la Lune, et bientôt présence sur Mars. Les lanceurs devront s'adapter pour répondre à ces nouveaux besoins. Ils devront être plus performants, plus « multifonctions », et moins chers. Nous aborderons ici les nouveaux lanceurs tels que nous les prévoyons à l'horizon 2030, et tels que nous pouvons les imaginer dans un avenir plus lointain, comme 2050. Nous nous pencherons plus particulièrement sur les innovations coté matériaux, structures, et procédés de fabrication, qui contribuerons à améliorer les performances des lanceurs et à permettre de nouvelles architectures plus ambitieuses. Les intervenant(e)s => Fréderic Masson et Marie Jacquesson, CNES.
Depuis plus de 35 ans, Ariane est une formidable success story, à la fois emblématique d’un grand projet Européen réussi, et d’une audace technologique qui a placé la « start-up » Arianespace (fondée en 1980) à l’avant-garde de la compétition mondiale. Comment prolonger cette aventure alors que l’activité spatiale – petits satellites, constellations, exploration… – est en pleine mutation ? Que de nouveaux venus, avec SpaceX, Blue Origin ou Virgin Galactic, qui promettent un changement de génération ? Retrouver le « fil d’Ariane » dans ce futur chamboulé ? C’est le thème de cette soirée : réinventer Ariane ! L'intervenant : Jérôme Vila, CNES.
Depuis plus de 35 ans, Ariane est une formidable success story, à la fois emblématique d'un grand projet Européen réussi, et d'une audace technologique qui a placé la « start-up » Arianespace (fondée en 1980) à l'avant-garde de la compétition mondiale. Comment prolonger cette aventure alors que l'activité spatiale – petits satellites, constellations, exploration… – est en pleine mutation ? Que de nouveaux venus, avec SpaceX, Blue Origin ou Virgin Galactic, qui promettent un changement de génération ? Retrouver le « fil d'Ariane » dans ce futur chamboulé ? C'est le thème de cette soirée => réinventer Ariane ! L'intervenant => Jérôme Vila, CNES.
Copernicus permet de rassembler l'ensemble des données obtenues à partir de satellites environnementaux et d'instruments de mesure sur site, afin de produire une vue globale et complète de l'état de notre planète. Copernicus surveille les phénomènes océaniques, atmosphériques et l’évolution des terres émergées, c’est un acteur majeur pour suivre l’évolution de notre climat. L'intervenante : Véronique Mariette, CNES.
Copernicus permet de rassembler l'ensemble des données obtenues à partir de satellites environnementaux et d'instruments de mesure sur site, afin de produire une vue globale et complète de l'état de notre planète. Copernicus surveille les phénomènes océaniques, atmosphériques et l'évolution des terres émergées, c'est un acteur majeur pour suivre l'évolution de notre climat. L'intervenante => Véronique Mariette, CNES.
Pour nos forces armées, le libre accès et l’utilisation de l’espace sont des conditions de notre autonomie stratégique. Ils rendent possible le maintien et le développement de capacités technologiques dont dépendent la qualité de notre outil de défense et, en particulier, la crédibilité de notre dissuasion nucléaire. Les intervenants : Général De Roquefeuil, Conseiller militaire du Président du CNES , Général Breton, CIE
Pour nos forces armées, le libre accès et l'utilisation de l'espace sont des conditions de notre autonomie stratégique. Ils rendent possible le maintien et le développement de capacités technologiques dont dépendent la qualité de notre outil de défense et, en particulier, la crédibilité de notre dissuasion nucléaire. Les intervenants => Général De Roquefeuil, Conseiller militaire du Président du CNES , Général Breton, CIE
Au 17e siècle, Galilée élabore le principe selon lequel deux corps de masses différentes touchent le sol exactement au même moment, il en déduit que dans le vide, tous les corps tombent avec la même vitesse, quelle que soit leur masse ou leur composition. C’est ce qu’on appelle l’universalité de la chute libre ou encore principe d’équivalence. Einstein a fait de ce principe l’un des piliers de la relativité générale. Véritable laboratoire scientifique spatial, le satellite Microscope mesure le principe d’équivalence avec une précision impossible à obtenir sur terre. vise à gagner 2 ordres de grandeur sur le niveau de vérification actuel du principe d’équivalence. les Intervenant(e)s : Isabelle Petitbon, CNES ; Joël Berger, ONERA
Au 17e siècle, Galilée élabore le principe selon lequel deux corps de masses différentes touchent le sol exactement au même moment, il en déduit que dans le vide, tous les corps tombent avec la même vitesse, quelle que soit leur masse ou leur composition. C'est ce qu'on appelle l'universalité de la chute libre ou encore principe d'équivalence. Einstein a fait de ce principe l'un des piliers de la relativité générale. Véritable laboratoire scientifique spatial, le satellite Microscope mesure le principe d'équivalence avec une précision impossible à obtenir sur terre. vise à gagner 2 ordres de grandeur sur le niveau de vérification actuel du principe d'équivalence. les Intervenant(e)s => Isabelle Petitbon, CNES ; Joël Berger, ONERA
Les services initiaux de Galileo ont démarré fin 2016 avec les 15 premiers satellites opérationnels, le système sera totalement opérationnel en 2020. Galileo aura alors des applications dans une grande variété de domaines : transports maritimes, aériens et terrestres, agriculture, travaux publics, opérations de secours ou de sauvetage. Les intervenants : David Comby, CNES.
Les services initiaux de Galileo ont démarré fin 2016 avec les 15 premiers satellites opérationnels, le système sera totalement opérationnel en 2020. Galileo aura alors des applications dans une grande variété de domaines => transports maritimes, aériens et terrestres, agriculture, travaux publics, opérations de secours ou de sauvetage. Les intervenants => David Comby, CNES.
Le 15 septembre dernier, soit 20 ans après son lancement, la sonde Cassini a plongé dans l’atmosphère de Saturne. Pendant 13 ans. Elle a fourni une moisson de données sur la planète : son hexagone au pôle nord, un vortex stable à six tourbillons. Mais aussi sur ses satellites : lacs de méthane liquide, dunes et océans sous la glace de Titan, découverte des geysers d'Encelade. Les intervenants : Francis Rocard, CNES ; Jean-Pierre Le Breton
Le 15 septembre dernier, soit 20 ans après son lancement, la sonde Cassini a plongé dans l'atmosphère de Saturne. Pendant 13 ans. Elle a fourni une moisson de données sur la planète => son hexagone au pôle nord, un vortex stable à six tourbillons. Mais aussi sur ses satellites => lacs de méthane liquide, dunes et océans sous la glace de Titan, découverte des geysers d'Encelade. Les intervenants => Francis Rocard, CNES ; Jean-Pierre Le Breton
Plus de 4000 exoplanètes identifiées ; des grosses, des moyennes et même des petites. Une poignée d’entre elles, comparables à la Terre, sont à la bonne distance du Soleil pour avoir une température de surface clémente compatible avec la présence éventuelle d’eau liquide. Sont-elles habitables ? Pourraient-elles être habitées ? Les intervenants : Michel Viso, CNES ; Doctorants
Plus de 4000 exoplanètes identifiées ; des grosses, des moyennes et même des petites. Une poignée d'entre elles, comparables à la Terre, sont à la bonne distance du Soleil pour avoir une température de surface clémente compatible avec la présence éventuelle d'eau liquide. Sont-elles habitables ? Pourraient-elles être habitées ? Les intervenants => Michel Viso, CNES ; Doctorants
L’apport du spatial pour mesurer les conséquences du réchauffement climatique est désormais bien identifié. En matière de suivi des animaux, l’étude des grands migrateurs ou des populations animales vivant dans des territoires extrêmes n’est en effet possible que depuis l’espace. Le système satellitaire Argos fournit des données transmises à la communauté scientifique internationale depuis les années 80 et suit ainsi plus de 8000 animaux. Ours, tortues luth, éléphants de mer, manchots, oiseaux de toutes sortes… révèlent ainsi leurs itinéraires et leurs modes de vie. Ces animaux servent aussi de bio indicateurs, l’évolution de leurs conditions de vie nous informant sur les changements climatiques. La technologie des balises évolue continuellement. Avec les progrès de la miniaturisation, la plus petite balise Argos solaire sera bientôt plus légère qu’une pièce d’un centime d’euro, soit 2,3g. ! Les intervenant(e)s : Eric Luvisutto, CNES ; Aline Duplaa, CLS.
L'apport du spatial pour mesurer les conséquences du réchauffement climatique est désormais bien identifié. En matière de suivi des animaux, l'étude des grands migrateurs ou des populations animales vivant dans des territoires extrêmes n'est en effet possible que depuis l'espace. Le système satellitaire Argos fournit des données transmises à la communauté scientifique internationale depuis les années 80 et suit ainsi plus de 8000 animaux. Ours, tortues luth, éléphants de mer, manchots, oiseaux de toutes sortes… révèlent ainsi leurs itinéraires et leurs modes de vie. Ces animaux servent aussi de bio indicateurs, l'évolution de leurs conditions de vie nous informant sur les changements climatiques. La technologie des balises évolue continuellement. Avec les progrès de la miniaturisation, la plus petite balise Argos solaire sera bientôt plus légère qu'une pièce d'un centime d'euro, soit 2,3g. ! Les intervenant(e)s => Eric Luvisutto, CNES ; Aline Duplaa, CLS.
Une forme de vie a-t-elle existé sur Mars? Pour tenter de le découvrir, deux missions de l’Agence spatiale européenne (ESA) sont lancées en 2016 et 2020. La mission ExoMars 2016 insérera en orbite martienne un satellite qui étudiera l'atmosphère de Mars ainsi que son évolution et servira de relais de télécommunications vers la Terre pour les missions ultérieures en opération à sa surface. Il est accompagné du module Européen "Schiaparelli" qui atterrira à la surface de Mars. Le satellite baptisé Trace Gas Orbiter (TGO) pourra détecter et mesurer les gaz présents à l'état de traces dans l'atmosphère martienne. La mission ExoMars 2020 déposera une plateforme russe et un véhicule européen sur Mars. La plateforme d’atterrissage équipée d’instruments russes et européens prendra des mesures de son environnement pendant une année martienne (687 jours terrestres). Le véhicule emporte une foreuse et un laboratoire d’analyse qui pourra identifier les molécules carbonées ou autres qui pourraient attester de l’émergence, dans le passé, d’une forme de vie sur Mars. Le CNES et des laboratoires français sont en charge de plusieurs instruments. Le CNES collabore aussi à l’étude de la rentrée atmosphérique de l'atterrisseur en 2016. Les intervenant(e)s : Michel Viso, CNES ; François Forget, CNRS/LMD ; Valérie Ciarletti, Latmos.