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Pour cette neuvième saison de Basilic, Jeane vous propose d'écrire ensemble un nouveau chapitre. Huit ans après avoir appuyé sur “enregistrer” pour la première fois, elle partage avec vous ses doutes, son besoin de ralentir et son envie de réinventer la manière de raconter l'écologie. Cette saison marque une transition : celle d'un média en mouvement, qui continue de faire entendre des voix engagées tout en explorant d'autres horizons. Cette année, Jeane vous mettra en lumière de nouveaux récits, des histoires qu'on entend peu et que l'on considère bien souvent comme des utopies. Basilic s'enrichit désormais d'une newsletter sur Kessel, complémentaire au podcast. Un lundi sur deux, Jeane y présente entre cinq et huit projets engagés, portés par des associations, des artistes ou des entrepreneurs du changement. Elle y tisse des liens, met en lumière celles et ceux qui inventent un univers positif et donne à chacun la possibilité de partager ses initiatives grâce à un formulaire participatif.Avec cette neuvième saison, Basilic devient un véritable écosystème de récits : un espace où l'on s'autorise à rêver, à débattre et à construire ensemble une société plus juste et plus durable.
À demain avec Vincent !À découvrir :
durée : 00:25:52 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - Olivier Faure, député de Seine-et-Marne, Premier secrétaire du Parti socialiste, est l'invité du Grand Entretien, au lendemain de l'annonce des premiers noms du gouvernement Lecornu, déjà critiqué de toutes parts pour sa trop grande ressemblance avec le gouvernement censuré précédent. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 5 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LE PROJET DE BUDGET DE LECORNUUne première version du projet de loi de finances pour 2026 a été transmise jeudi pour avis au Haut conseil des finances publiques. La transmission de ce projet de loi marque le coup d'envoi du processus de discussion du budget. Le Haut conseil, un organisme indépendant placé auprès de la Cour des comptes, disposera ensuite de sept jours pour rendre son avis, destiné à être rendu public lors de la présentation formelle du budget par le gouvernement. Le texte devrait être déposé à l'Assemblée nationale au plus tard le 13 octobre, de façon que le Parlement dispose des 70 jours prévus par la Constitution pour en débattre.Le même jour, à la veille des rencontres organisées à Matignon avec le Parti socialiste et le Rassemblement national, l'entourage de Sébastien Lecornu a laissé fuiter quatre pistes de soutien au pouvoir d'achat en précisant toutefois que « rien n'est arbitré ». Il s'agirait de favoriser davantage les heures supplémentaires par une défiscalisation et un allègement des charges sociales ;d'alléger l'impôt sur le revenu des couples modestes : en améliorant le mécanisme de « décote », afin de l'aligner sur l'avantage accordé aux célibataires touchant des montants équivalents. De défiscaliser à nouveau les «primes Macron » les primes des salariés gagnant moins de trois fois le SMIC en 2026. D'encourager les dons familiaux en direction des jeunes générations.Selon le journal Les Échos, le projet de budget inclurait une « année blanche » comprenant le gel du barème de l'impôt sur le revenu et de toutes les pensions de retraite, ainsi que le relèvement du taux du « prélèvement forfaitaire unique » sur les revenus du capital. L'augmentation de la flat tax jusqu'à 36%, rapporterait 1,5 milliard d'euros. Le texte devrait comporter une mesure anti-optimisation centrée sur les holdings, certains contribuables très aisés y stockant de l'argent afin d'échapper à l'impôt. Des mesures seraient également en préparation pour lutter contre l'optimisation des Pactes Dutreil, cet outil fiscal conçu pour réduire la fiscalité des transmissions et donations des entreprises afin de préserver l'outil productif. Quant à la surtaxe d'impôt sur les sociétés, elle serait reconduite d'un an, mais son taux serait divisé par deux par rapport à celui appliqué en 2025. Son rendement attendrait ainsi de l'ordre de 4 milliards d'euros.Vendredi, le Premier ministre s'est engagé à ne pas utiliser l'article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter son budget. L'idée n'est pas nouvelle : entre 1997 et 2002, le premier ministre Lionel Jospin, à la tête d'une « majorité plurielle », avait renoncé à son usage. Si les débats budgétaires s'enlisaient à l'Assemblée, faute de majorité, la méthode Lecornu pourrait dès lors aboutir à l'élaboration d'une loi spéciale ou par le passage du budget par voie d'ordonnances, une première sous la Ve République.SÉCURITÉ EUROPÉENNE FACE AUX MENACES RUSSES APRÈS COPENHAGUEL'Europe est soumise, ces derniers jours, à une série de défis : la Russie teste la capacité de plusieurs pays du nord de l'Europe à faire face à des envois de drones sur leurs aéroports. Elle viole régulièrement l'espace aérien de certains membres de l'Otan afin de mesurer leurs capacités de défense antiaérienne. Oslo, Copenhague, Munich ont été victimes des mêmes survols de drones non identifiés, contraignant les autorités danoises, norvégiennes et allemandes à fermer provisoirement leur espace aérien au-dessus de certains aéroports. Contrairement aux Ukrainiens, les Européens n'ont guère d'expérience dans le domaine de la lutte contre les drones.Dans ce contexte, lundi, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, a dévoilé, une première cartographie de la « préparation 2030 », date à laquelle l'Europe doit être prête à se défendre par elle-même en cas d'agression russe. Les analyses des services de renseignement européens convergent : dans les trois à cinq prochaines années, la Russie pourrait être en mesure d'attaquer un pays de l'Union européenne ou de l'Otan si une paix en Ukraine lui permettait de se réarmer, et si l'Europe ne pouvait pas compter sur le soutien américain. Les États membres ont identifié neuf domaines capacitaires prioritaires dans lesquels l'Europe doit combler ses lacunes d'ici à 2030 : défense aérienne et antimissile, systèmes d'artillerie, missiles et munitions, cyber et guerre électronique, drones et anti-drones, combat terrestre, capacités maritimes, mobilité militaire et « capacités stratégiques habilitantes ».En vue de renforcer la défense du continent face à la menace russe, les dirigeants des 27 pays de l'Union européenne se sont retrouvés mercredi à Copenhague. Les discussions ont porté principalement sur trois axes : le développement capacitaire conjoint, les « projets phares » - comme le mur de drones ou la surveillance du flanc oriental - et la montée en puissance de l'industrie de défense européenne. Afin d'accélérer la montée en puissance militaire du continent, l'Union européenne a adopté en juin dernier le Security Action For Europe (SAFE), un instrument financier de prêts de 150 milliards d'euros. Environ 100 milliards sont alloués au flanc oriental de l'Europe : 43,7 milliards pour la Pologne, 16,7 milliards pour la Roumanie, 16,2 milliards pour la Hongrie. Cette concentration géographique reflète une réalité diverse. Chaque pays défend actuellement sa portion de frontière d'une manière légèrement différente, à l'aide de systèmes qui vont du plus sophistiqué au moins élaboré. Cette réunion sans conclusion écrite a permis de décanter des sujets qui seront finalisés les 23 et 24 octobre prochains lors du Conseil européen à Bruxelles. Objectif : combler les lacunes et favoriser des acquisitions conjointes pour lutter contre « la fragmentation de nos efforts à travers des initiatives nationales non coordonnées ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 2 octobre 2025 - L'Europe au défi de la flotte fantôme russeLe pétrolier "Pushpa" a dû mettre son périple en pause. Parti de Russie le 18 septembre à destination de l'Inde, le navire de 244 mètres de long a été arraisonné lundi au large de Saint-Nazaire par des militaires français qui le soupçonnent d'appartenir à la flotte de navires fantômes russes. Hier, le parquet de Brest a annoncé l'ouverture d'une enquête pour "défaut de justification de la nationalité du navire" et "refus d'obtempérer" et le placement en garde à vue de deux membres de l'équipage. "Il y a eu des fautes très importantes qui ont été commises par cet équipage qui justifient que la procédure soit judiciarisée aujourd'hui", a déclaré Emmanuel Macron, en marge d'un sommet international à Copenhague. Les dirigeants européens y sont notamment réunis pour imaginer de nouvelles ripostes contre la Russie qui viole régulièrement leurs espaces aériens, comme la Pologne, la Roumanie ou l'Estonie. Le président français a cependant appelé à rester prudent sur les informations de la presse danoise, selon laquelle le Pushpa aurait pu servir de plateforme de lancement à des drones ayant perturbé le trafic aérien du pays fin septembre. Une chose est sûre, le navire, qui a changé à treize reprises de pavillons en trois ans selon Le Monde, a déjà été immobilisé à plusieurs reprises pour des activités "illégales". Et il n'est pas un cas isolé. Depuis 2023, plusieurs navires en provenance de Russie ont été impliqués dans des ruptures de câbles électriques ou l'endommagement de gazoducs.Pendant que les dirigeants européens se réunissent pour élaborer de nouvelles stratégies contre la Russie, l'armée de l'Otan se prépare au scénario du pire. Mi-mai, 3 000 militaires et de nombreux véhicules terrestres et aériens issus de neuf pays européens ont simulé un débarquement sur les côtes française dans le cadre d'exercices militaires baptisés Polaris 25. Selon le contre-amiral français Jean-Michel Martinet, il s'agit "de préparer la Marine nationale à être immédiatement engagée dans du combat de haute intensité avec tout ce que cela suppose dans le contexte actuel". Une équipe de C dans l'air a pu y participer.Si les responsables militaires ne nomment pas directement le responsable de leurs craintes, c'est bien la Russie qui est visée. Pour financer sa guerre en Ukraine, Vladimir Poutine a annoncé fin septembre une hausse de la TVA de 20 à 22% à partir de 2026, soit le niveau le plus élevé depuis le début de l'invasion russe. Selon les économistes, le Kremlin peine à assumer le coût du conflit. Alourdi par les dépenses militaires et les sanctions visant ses exportations de pétrole, le déficit russe atteint désormais 43 milliards d'euros, soit trois fois plus qu'en 2024. Les frappes ukrainiennes sur les raffineries russes n'ont rien arrangé à la situation tandis que les pays du G7 ont annoncé hier vouloir "accentuer la pression sur les exportations pétrolières de la Russie". Signe que l'économie russe ralentit, le gouvernement a annoncé abaisser ses prévisions de croissance pour 2026 de 2 à 1,3%.Que sait-on du pétrolier arraisonné au large des côtes françaises et suspecté d'appartenir à la flotte fantôme russe ? Comment les forces de l'Otan se préparent à l'hypothèse d'une guerre de haute intensité ? Les sanctions internationales contre l'économie russe peuvent-elles faire basculer le cours de la guerre en Ukraine ?LES EXPERTS :- Alain BAUER - Professeur de criminologie au CNAM responsable du Pôle Sécurité Défense Renseignement- Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale à l'Université catholique de Lille- Marie JEGO - Journaliste - Le Monde, ancienne correspondante à Moscou- Alexandra SAVIANA - Journaliste - L'Express, auteur de Les scénarios noirs de l'armée française
Au Tchad, le président Mahamat Idriss Déby s'ouvre la voie d'une présidence sans aucune limitation du nombre de mandats. En effet, le 13 octobre, l'Assemblée et le Sénat doivent se réunir en congrès à Ndjamena, en vue d'adopter une révision de la Constitution dans ce sens. Réaction aujourd'hui de Robert Gam, le secrétaire général du PSF, le Parti socialiste sans frontières. L'opposant tchadien – qui séjourne actuellement en France – témoigne d'abord sur ses huit mois de prison à Ndjamena, de septembre 2024 à juin 2025, sans la moindre procédure judiciaire. Il est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : Vous êtes un revenant. Après votre arrestation en septembre 2024 à Ndjamena, vous avez disparu pendant huit mois. Et une nuit du mois de juin dernier, un véhicule vous a déposé devant votre domicile de la capitale tchadienne. Qu'est-ce qui vous est arrivé ? Robert Gam : Oui, comme vous le dites, « revenant », prenons-le comme tel. J'ai été enlevé le 20 septembre 2024 alors que je rentrais d'une réunion politique. J'ai été enlevé et déposé au siège de l'ANS pendant huit mois et quinze jours. L'Agence nationale de sécurité…. Très bien. J'ai été déposé là-bas. J'ai mis huit mois et quinze jours sans qu'on ne m'ait signifié pourquoi j'ai été arrêté. Et pendant les huit mois, j'ai été malade. J'ai demandé qu'on me soigne. On a également refusé. Et curieusement, le 3 juin à 17h30, une ambulance est venue me chercher et là, on m'a emmené au bureau de l'ANS où il y a eu des questions qui m'ont été posées. Et après ces questions, à 1 h du matin, ils ont décidé donc de me déposer chez moi. C'est-à-dire que du 20 septembre au 2 juin, vous êtes resté détenu sans que personne ne vous interroge sur quoi que ce soit ? Non, non, non, rien du tout. Aucun interrogatoire ? Non. Rien. Est-ce que vous avez été maltraité ? Oui, on était très maltraité. Vous savez que la première intention de l'ANS, quand ils m'ont arrêté, c'était d'abord de m'exécuter, parce que j'ai mis plus de 30 minutes à genoux. J'étais entre un commando cagoulé que vous ne pouvez pas voir, et dans la cellule, vous savez qu'il n'y a pas de fenêtre. C'est une cellule construite en béton coulé. Le haut, le bas, c'était coulé. Et là, c'était le calvaire puisqu'il faisait extrêmement chaud. On n'avait pas de moustiquaire, on n'avait pas d'électricité et le repas qu'on nous donnait était de mauvaise qualité. Et l'eau qu'on nous donnait, ce n'était pas une eau potable. Vous êtes donc le secrétaire général du PSF, le Parti socialiste sans frontières, dont le président Yaya Dillo a été tué à Ndjamena le 28 février 2024, suite officiellement à des affrontements avec les forces de sécurité tchadienne. Et aujourd'hui, vous demandez une enquête indépendante. Pourquoi ? Nous pensons que le président Yaya Dillo a été exécuté parce qu'il n'y avait pas eu d'affrontement. Il ne peut y avoir un affrontement que quand deux parties se combattent. Et dans ce cas de figure, le président Yaya n'était pas armé et nous étions en train d'organiser un congrès pour présenter la candidature de notre président. Et subitement, un plan a été orchestré par le système en place qui voulait coûte que coûte éliminer la personne de Yaya Dillo Djerou Betchi. Mais qu'est-ce qui prouve que Yaya Dillo a été exécuté comme vous le dites ? Oui, c'est une exécution barbare et lâche parce qu'il a été exécuté d'une balle dans la tempe. À lire aussiMort de l'opposant Yaya Dillo au Tchad: «S'il s'était rendu, on n'en serait pas arrivé à cette extrémité» Alors, en février dernier, au micro de RFI, le porte-parole du gouvernement, le ministre Gassim Cherif Mahamat, a déclaré « Je comprends que les familles puissent s'impatienter, mais la justice fera son travail. Une commission d'enquête va se mettre en place » … Aujourd'hui, la justice tchadienne est instrumentalisée. Il n'y a pas de justice au Tchad. Vous allez attendre pendant longtemps. Les événements du 20 octobre 2022, il n'y a jamais eu un rapport d'enquête sur ces événements. Déjà, une plainte a été déposée par nos avocats ici en France, et nous attendons que justice soit faite. Mais comment pouvez-vous saisir la justice française à propos d'un homme politique tchadien ? Oui, nous pensons que les personnalités ayant participé à l'exécution de Yaya Dillo, parmi ces personnalités, il y a des personnes de double nationalité, franco-tchadienne. À qui pensez-vous ? Ce n'est pas le moment de vous le dire ici et nous pensons que le moment venu, nous allons dévoiler tout ça. Le 13 octobre prochain, l'Assemblée nationale et le Sénat tchadien doivent se réunir en congrès pour modifier la Constitution et établir un mandat présidentiel de sept ans, renouvelable sans aucune limitation. Quelle est votre réaction ? Nous avons rejeté en bloc ce projet parce que nous avons constaté que la motivation du gouvernement était tout simplement d'aller vers une dynastie. Et ces députés sont là pour faire la volonté d'une dynastie. Ils accompagnent tout simplement le pouvoir en place et ça ne nous surprend pas. Et là, nous déplorons cette attitude. Et que comptez-vous faire ? Les Tchadiens commencent à prendre conscience. Ils sont mobilisés. Nous allons nous battre par tous les moyens pour que le Tchad puisse vivre cette ère véritablement démocratique. À lire aussiMort de l'opposant Yaya Dillo au Tchad: retour sur le parcours d'un cousin trop gênant
Discours inaugural de François Legault : trop peu trop tard? | Dépister le cancer du poumon plus tôt grâce à l’intelligence artificielle | Éric Duhaime a un message pour la CAQ | Plusieurs crimes résolus au Québec dans les derniers jours | Les médicaments contre le rhume et la grippe ont-ils un lien avec les accidents de voiture? Dans cet épisode intégral du 1er octobre, en entrevue : Roseline Olory, fondatrice et PDG de BrainInnov. Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec. Julien Morissette, co-animateur du podcast Synthèses. Daniel Riverin, coroner. Gregory Charles, musicien, chanteur et animateur. Une production QUB Octobre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Qui dit mois d'Octobre dit Octobre Rose ! Philippe et Sandy vous disent tout ce qu''il faut savoir sur la campagne contre le cancer du sein de cette année !
Qui dit mois d'Octobre dit Octobre Rose ! Philippe et Sandy vous disent tout ce qu''il faut savoir sur la campagne contre le cancer du sein de cette année !
Le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, réagit à la rentrée parlementaire à Québec, au discours de Legault et au virage à droite de la CAQ. Entrevue avec Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Il a obtenu de Sébastien Lecornu toutes les garanties qu'il voulait : pas de taxe Zucman, pas d'ISF, pas de suspension de la réforme des retraites. Il a même exigé du chef du gouvernement une feuille de route… écrite ! Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Z samej Polski 2050 dochodzą sygnały, że sposób, w jaki marszałek Sejmu komunikuje odejście z polityki, jest mało poważny - mówi dziennikarz portalu money.pl.
durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le parti proeuropéen de la présidente Maia Sandu est en tête du dépouillement des élections législatives en Moldavie, devant le camp prorusse. Ces élections constituaient un test dans la confrontation plus large entre Vladimir Poutine et les soutiens de l'Ukraine, aux confins de l'Union européenne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le parti proeuropéen de la présidente Maia Sandu est en tête du dépouillement des élections législatives en Moldavie, devant le camp prorusse. Ces élections constituaient un test dans la confrontation plus large entre Vladimir Poutine et les soutiens de l'Ukraine, aux confins de l'Union européenne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:12:32 - Journal de 7 h - Ce résultat déjoue les ingérences russes et la désinformation massive, le tout au moment où l'Europe s'inquiète de plus en plus de la présence de drones au-dessus de son ciel, ce week-end encore. Des drones que la plupart des dirigeants européens suspectent de provenir de Russie.
El antropólogo Manuel Delgado dijo en Hoy por Hoy que "todas las películas son de guerra, incluso las de amor". Tal afirmación , tan contundente, llevó a Pepe Rubio y Sergio Castro a plantear el mito "En la vida todo es conflicto". Y para confirmarlo invitaron al filósofo Eduardo Infante , autor de "Filosofía en la calle" y "Ética en la calle" ¿Y qué nos dijo? Partió de Heráclito para decir "que no se entiende la vida sin tensión", siguió con la idea hegeliana de que sin oposición no hay avance y que los conflictos nos hacen más libres. Sartre, nos comenta Infante, nos llevó el conflicto al amor para decir que el que menos ama en una pareja es el que somete al que más ama. Y fue Simone de Beauvoir la que le rebatió para decir que para superar el conflicto amoroso se necesita el reconocimiento mutuo ¿Y como se sale del conflicto? Gestionándolo y dialogando. Dicho todo esto, entre los oyentes y el filósofo Eduardo Infante confirmaron el mito de que "En la vida todo es conflicto".
durée : 00:12:32 - Journal de 7 h - Ce résultat déjoue les ingérences russes et la désinformation massive, le tout au moment où l'Europe s'inquiète de plus en plus de la présence de drones au-dessus de son ciel, ce week-end encore. Des drones que la plupart des dirigeants européens suspectent de provenir de Russie.
Nyheterna Radio 06:00
A six mois des élections municipales prévues les 15 et 22 mars 2026, la campagne électorale colmarienne prend forme avec cinq candidats déjà officiellement déclarés.Avocat colmarien depuis une vingtaine d'années, Christophe Roussel porte les couleurs du Parti socialiste après avoir été suppléant d'Aïcha Fritsch aux dernières élections législatives. "J'ai été désigné par la fédération du parti socialiste, comme étant la personne qui peut représenter la gauche socialiste, le socialisme démocratique à Colmar", explique ce dernier. Ses priorités incluent l'accélération de la rénovation des logements sociaux, qu'il considère comme un "challenge qui mérite d'être poursuivi". Il souhaite développer massivement la participation citoyenne aux décisions municipales, notamment par la mise en place d'un budget participatif. Il veut également développer des actions de sensibilisation dans les écoles, bibliothèques et centres de loisirs sur les violences intrafamiliales et le harcèlement scolaire. Il projette en plus des actions municipales de lutte contre les discriminations. Au sujet de la sécurité, il propose de créer des liens entre la police municipale et "des personnes qui seraient en quelque sorte le relais dans les cités", s'inspirant des briagdes de tranquilité citoyenne dans certaines autres villes. Concernant l'écologie, il propose d'associer davantage les citoyens aux projets d'espaces verts par des "jardins et chantiers participatifs". Sa candidature a pour objectif un "rassemblement républicain démocratique ayant comme but principal la justice, à la fois par rapport aux populations, l'intégration, la dignité des personnes et la justice entre tous les habitants colmariens". Lien vers l'article complet : Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 27 septembre 2025 avec Elsa Faucillon, députée communiste de la 1ʳᵉ circonscription des Hauts-de-Seine.La condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison ferme dans l'affaire libyenne, assortie d'une exécution provisoire, a provoqué un séisme politique. Cette décision relance le débat sur l'indépendance de la justice et les accusations d'acharnement, alors que le Parti communiste français a dénoncé dans un communiqué « des pressions inacceptables sur la justice ».Sur le front économique, la gauche espérait des gestes d'ouverture de la part du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu. Mais, dans son entretien au Parisien, il a écarté un retour de l'ISF comme l'instauration de la taxe Zucman ainsi que l'abrogation de la réforme des retraites.Une orientation qui creuse les lignes de fracture, alors que de nouvelles mobilisations sociales sont déjà annoncées le 2 octobre à l'appel de l'intersyndicale. Dans ce contexte, Jean-Luc Mélenchon a appelé hier soir la gauche parlementaire à « rallier la censure insoumise ».Elsa Faucillon reviendra sur cette actualité mouvementée et éclaircira les positions de son parti, tant dans le cadre de l'union des gauches qu'il souhaite promouvoir que dans un climat politique marqué par les tensions et les incertitudes à l'approche de l'ouverture des travaux parlementaires et dans la perspective proche des municipales.
Un diggeur passionné des Caraïbes talonné par un poète anglo-trinidadien qui slame la mémoire des afro-descendants. (Rediffusion) Emile Omar est notre 1er invité pour présenter le 3e volume de la série Disques Debs International Mizik Maladi (Strut Record 2025). Une compilation concoctée par Emile Omar et Hugo Mendez. Strut présente avec enthousiasme le troisième volume tant attendu de la série Disques Debs International, explorant plus en profondeur les archives de l'un des plus grands labels franco-caribéens, Disques Debs, basé en Guadeloupe. Fondé par le visionnaire Henri Debs à la fin des années 1950, le label et son studio ont fonctionné pendant plus de 50 ans, produisant plus de 300 singles 7” et 200 albums, faisant de Disques Debs un pilier de l'histoire musicale caribéenne. Au début des années 1980, Henri Debs s'était déjà imposé comme un producteur prolifique, avec un catalogue de sorties inégalé en Guadeloupe et en Martinique. Parti d'un simple magnétophone deux pistes installé à l'arrière d'une boutique de vêtements, Disques Debs s'est transformé en une véritable institution, avec un studio ultramoderne en plein cœur de Pointe-à-Pitre, des magasins de disques et d'instruments de musique en Guadeloupe, en Martinique et à Paris, une discothèque au Gosier, ainsi que des accords de distribution internationale en Europe, aux États-Unis et en Amérique du Sud. Disques Debs a joué un rôle essentiel dans l'évolution de la musique caribéenne moderne, créant un pont entre les genres traditionnels comme la biguine et le gwoka et les styles contemporains comme le cadence, le compas et le zouk. Ce dernier est devenu un phénomène mondial dans les années 1980 grâce à des groupes emblématiques comme Kassav' et Zouk Machine. Durant cette période, le label a soutenu une nouvelle génération d'artistes tout en continuant à collaborer avec des figures légendaires des décennies précédentes. Le volume 3 de cette série, compilé par Emile Omar et Hugo Mendez, met en lumière l'une des périodes les plus dynamiques et influentes du label, alors qu'il étendait son rayonnement international dans les années 1980. À travers deux vinyles, cette sortie propose une sélection soigneusement choisie de morceaux issus de l'univers Disques Debs, mettant en avant à la fois de jeunes talents et des artistes confirmés qui ont marqué cette époque. Cette collection célèbre non seulement l'héritage inégalé d'Henri Debs, mais offre également un instantané de l'âge d'or de la musique caribéenne, confirmant Disques Debs comme une véritable institution culturelle. ► Titres joués - Christian Yéyé – Misyé Zanndo - Horizon – Neg Mawon - Alex Rosa – L'Appel des champions - Max et Henri – Sé Pou Demen ► Album Mizik Maladi, l'âge d'or des Disques Debs International (Strut Record 2025) Bandcamp Volume 1 Bandcamp Volume 2 Cadence Revolution Bandcamp Volume 3 Mizik Maladi À écouter aussiSpéciale Disques Debs international avec Émile Omar Notre 2nd invité est Anthony Joseph pour la sortie de l'album Rowing up River to Get Our Names Back. L'origine africaine des OVNI, George Clinton en personne, n'aurait pas désavoué ce concept afro-futuriste dont Anthony Joseph avait fait le sujet de The African Origins Of Ufo's, sa nouvelle écrite il y a bientôt vingt ans. Durant ce laps de temps, les albums du chanteur-poète de Trinidad se sont succédé, mais l'idée ne s'est pas évaporée. Après un travail de réflexion et de recherches artistiques avec le musicien-producteur Dave Okumu, il est même devenu l'axe de rotation de son nouvel album. Base des premiers titres élaborés en duo, la nouvelle est ensuite devenue la rampe de lancement de Rowing Up River To Get Our Names Back Vol 1 & 2. D'une aventure si dense qu'il a fallu la scinder en deux parties. Après avoir solidement assuré la connexion musicale de toute la diaspora caribéenne sur ses précédents albums, Anthony Joseph s'engage dans une fresque musicale aussi ambitieuse que fascinante : l'exploration de toutes ces strates qui constituent la longue et tumultueuse histoire de la musique noire. Ces couches créatives qui se sont superposées et additionnées, la nouvelle se nourrissant de la précédente pour, sans le savoir, préparer l'arrivée de la suivante. Cet immense puzzle où, reliées par une forte conscience politique, les différentes pièces ont noirci les portées de leurs notes les plus intenses. Sculpté dans la cire des œuvres si impérissables qu'elles ont rendu stériles toutes les tentatives d'altération des décennies qui se sont accumulées. Forme, fond, portée révolutionnaire, tout est resté intact. Y compris l'esprit de tous ces musiciens qui ne se sont exprimés que par la voix de leur instrument, la puissance de leur groove, la radicalité de leur démarche artistique. Funk, P-Funk, soul, dub, free-jazz, jazz, afrobeat, blues, confrontant leurs deux visions musicales pour n'en former plus qu'une, c'est en binôme éclairé par les phares de leur créativité qu'Anthony Joseph et Dave Okumu ont façonné un afro-futurisme à l'esthétique mouvante et sans limites d'expansion. Stabilisée par cette volonté de raviver toutes les racines, l'exploration se conjugue à celle qui mène aux patronymes perdus. Ceux qui, entre le voyage depuis l'Afrique vers l'Amérique, se sont évaporés dans les flots de l'Atlantique et le claquement des fouets. Ceux dont ont été dépossédés les déracinés de force qui ont dû endosser celui du maître. Les peaux des batteries, le bois des baguettes et celui des percussions, le nylon de cordes, les métaux des saxophones et les trompettes, tout ce qui constitue l'arche organique dans laquelle ont embarqué les héros de la musique noire, révèle au moment du décollage un tableau de bord à l'électronique sophistiquée. Renforcer, voire supplanter certaines fonctions peut s'avérer utile tant la destination est lointaine. Elle est à des années-lumière d'ici. La rejoindre impose de connecter le présent avec le passé pour pouvoir l'emmener dans le futur. Dans l'afro futur. Là où, après avoir remonté la rivière, tous auront récupéré leurs noms et se seront réappropriés un pan de leur histoire. ► Titres joués extraits de l'album - Satellite - Tony - Black History - Churches of Sound ► Album Rowing up River to Get Our Names Back (Heavenly Sweetness 2025) Site – Bandcamp – YouTube.
Un diggeur passionné des Caraïbes talonné par un poète anglo-trinidadien qui slame la mémoire des afro-descendants. (Rediffusion) Emile Omar est notre 1er invité pour présenter le 3e volume de la série Disques Debs International Mizik Maladi (Strut Record 2025). Une compilation concoctée par Emile Omar et Hugo Mendez. Strut présente avec enthousiasme le troisième volume tant attendu de la série Disques Debs International, explorant plus en profondeur les archives de l'un des plus grands labels franco-caribéens, Disques Debs, basé en Guadeloupe. Fondé par le visionnaire Henri Debs à la fin des années 1950, le label et son studio ont fonctionné pendant plus de 50 ans, produisant plus de 300 singles 7” et 200 albums, faisant de Disques Debs un pilier de l'histoire musicale caribéenne. Au début des années 1980, Henri Debs s'était déjà imposé comme un producteur prolifique, avec un catalogue de sorties inégalé en Guadeloupe et en Martinique. Parti d'un simple magnétophone deux pistes installé à l'arrière d'une boutique de vêtements, Disques Debs s'est transformé en une véritable institution, avec un studio ultramoderne en plein cœur de Pointe-à-Pitre, des magasins de disques et d'instruments de musique en Guadeloupe, en Martinique et à Paris, une discothèque au Gosier, ainsi que des accords de distribution internationale en Europe, aux États-Unis et en Amérique du Sud. Disques Debs a joué un rôle essentiel dans l'évolution de la musique caribéenne moderne, créant un pont entre les genres traditionnels comme la biguine et le gwoka et les styles contemporains comme le cadence, le compas et le zouk. Ce dernier est devenu un phénomène mondial dans les années 1980 grâce à des groupes emblématiques comme Kassav' et Zouk Machine. Durant cette période, le label a soutenu une nouvelle génération d'artistes tout en continuant à collaborer avec des figures légendaires des décennies précédentes. Le volume 3 de cette série, compilé par Emile Omar et Hugo Mendez, met en lumière l'une des périodes les plus dynamiques et influentes du label, alors qu'il étendait son rayonnement international dans les années 1980. À travers deux vinyles, cette sortie propose une sélection soigneusement choisie de morceaux issus de l'univers Disques Debs, mettant en avant à la fois de jeunes talents et des artistes confirmés qui ont marqué cette époque. Cette collection célèbre non seulement l'héritage inégalé d'Henri Debs, mais offre également un instantané de l'âge d'or de la musique caribéenne, confirmant Disques Debs comme une véritable institution culturelle. ► Titres joués - Christian Yéyé – Misyé Zanndo - Horizon – Neg Mawon - Alex Rosa – L'Appel des champions - Max et Henri – Sé Pou Demen ► Album Mizik Maladi, l'âge d'or des Disques Debs International (Strut Record 2025) Bandcamp Volume 1 Bandcamp Volume 2 Cadence Revolution Bandcamp Volume 3 Mizik Maladi À écouter aussiSpéciale Disques Debs international avec Émile Omar Notre 2nd invité est Anthony Joseph pour la sortie de l'album Rowing up River to Get Our Names Back. L'origine africaine des OVNI, George Clinton en personne, n'aurait pas désavoué ce concept afro-futuriste dont Anthony Joseph avait fait le sujet de The African Origins Of Ufo's, sa nouvelle écrite il y a bientôt vingt ans. Durant ce laps de temps, les albums du chanteur-poète de Trinidad se sont succédé, mais l'idée ne s'est pas évaporée. Après un travail de réflexion et de recherches artistiques avec le musicien-producteur Dave Okumu, il est même devenu l'axe de rotation de son nouvel album. Base des premiers titres élaborés en duo, la nouvelle est ensuite devenue la rampe de lancement de Rowing Up River To Get Our Names Back Vol 1 & 2. D'une aventure si dense qu'il a fallu la scinder en deux parties. Après avoir solidement assuré la connexion musicale de toute la diaspora caribéenne sur ses précédents albums, Anthony Joseph s'engage dans une fresque musicale aussi ambitieuse que fascinante : l'exploration de toutes ces strates qui constituent la longue et tumultueuse histoire de la musique noire. Ces couches créatives qui se sont superposées et additionnées, la nouvelle se nourrissant de la précédente pour, sans le savoir, préparer l'arrivée de la suivante. Cet immense puzzle où, reliées par une forte conscience politique, les différentes pièces ont noirci les portées de leurs notes les plus intenses. Sculpté dans la cire des œuvres si impérissables qu'elles ont rendu stériles toutes les tentatives d'altération des décennies qui se sont accumulées. Forme, fond, portée révolutionnaire, tout est resté intact. Y compris l'esprit de tous ces musiciens qui ne se sont exprimés que par la voix de leur instrument, la puissance de leur groove, la radicalité de leur démarche artistique. Funk, P-Funk, soul, dub, free-jazz, jazz, afrobeat, blues, confrontant leurs deux visions musicales pour n'en former plus qu'une, c'est en binôme éclairé par les phares de leur créativité qu'Anthony Joseph et Dave Okumu ont façonné un afro-futurisme à l'esthétique mouvante et sans limites d'expansion. Stabilisée par cette volonté de raviver toutes les racines, l'exploration se conjugue à celle qui mène aux patronymes perdus. Ceux qui, entre le voyage depuis l'Afrique vers l'Amérique, se sont évaporés dans les flots de l'Atlantique et le claquement des fouets. Ceux dont ont été dépossédés les déracinés de force qui ont dû endosser celui du maître. Les peaux des batteries, le bois des baguettes et celui des percussions, le nylon de cordes, les métaux des saxophones et les trompettes, tout ce qui constitue l'arche organique dans laquelle ont embarqué les héros de la musique noire, révèle au moment du décollage un tableau de bord à l'électronique sophistiquée. Renforcer, voire supplanter certaines fonctions peut s'avérer utile tant la destination est lointaine. Elle est à des années-lumière d'ici. La rejoindre impose de connecter le présent avec le passé pour pouvoir l'emmener dans le futur. Dans l'afro futur. Là où, après avoir remonté la rivière, tous auront récupéré leurs noms et se seront réappropriés un pan de leur histoire. ► Titres joués extraits de l'album - Satellite - Tony - Black History - Churches of Sound ► Album Rowing up River to Get Our Names Back (Heavenly Sweetness 2025) Site – Bandcamp – YouTube.
C dans l'air du 27 septembre 2025 - Retraites, Sarkozy, impôts : Lecornu se livreIl s'exprime enfin. Nommé Premier ministre le 9 septembre dernier, Sébastien Lecornu s'était fait quasi mutique pendant dix-huit jours. Il a rompu le silence hier dans un entretien accordé au journal Le Parisien-Aujourd'hui en France. Le locataire de Matignon a donné les premières orientations de la politique qu'il compte mener et a annoncé que son gouvernement serait nommé « avant le début des travaux parlementaires », prévus ce mercredi 1er octobre. Il a affirmé que les ministres qui veulent rentrer au gouvernement devront « endosser » le budget et « partager les grandes orientations du socle commun ».Le chef du gouvernement semble ainsi exclure le « débauchage » de personnalités issues du Parti socialiste. Car si Sébastien Lecornu a annoncé repartir « d'une feuille blanche » pour construire le budget, il s'est tout de même d'emblée prononcé contre la suspension de la réforme des retraites, et a dit ne pas croire que la taxe Zucman soit « la bonne réponse ». De quoi provoquer la colère de la gauche. « Manifestement, il a décidé de ne pas rester Premier ministre très longtemps », a ironisé le sénateur communiste Ian Brossat, qui a jugé les annonces de Sébastien Lecornu « honteuses ». Le Premier ministre « prend ce soir le risque de plonger notre pays dans le chaos politique et institutionnel », a réagi le Parti socialiste dans un communiqué. « Lecornu fait du Macron. Ni plus ni moins. Au moins c'est franc. Il est temps pour la gauche de l'hémicycle de rallier la censure insoumise », a pour sa part réagi hier soir sur le réseau social X le chef de file de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon.Le RN n'est pas en reste. “Aujourd'hui, on est avec un Premier ministre qui fonce droit dans le mur”, a ainsi affirmé ce matin Thomas Ménagé, le porte-parole de son groupe à l'Assemblée. Comme LFI et le PS, le RN agite la menace d'une motion de censure. Après la condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison, le chef du gouvernement a par ailleurs tenu à exprimer son « amitié pour l'homme et sa famille ». Il était membre de la famille politique de l'ancien président avant de rejoindre Emmanuel Macron en 2017.Alors que le locataire de Matignon continue de consulter pour former son équipe, la colère sociale gronde et les agriculteurs espèrent peser sur les choix du prochain gouvernement. Il étaient à la manœuvre hier, à l'initiative de la FNSEA, syndicat majoritaire, et des Jeunes Agriculteurs. Une grande journée d'action était organisée à travers le pays. Ces syndicats n'avaient pas voulu participer au mouvement "Bloquons tout" du 10 septembre pour éviter toute récupération politique. Ils y ont préféré une mobilisation sur leurs propres revendications. Ces rassemblements avaient d'abord pour but de s'opposer à l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et les pays latino-américains du Mercosur, approuvé, début septembre par la commission européenne.À l'Assemblée, face à la forte instabilité gouvernementale et à la perception négative de leur travail dans l'opinion, certains parlementaires, dépités, pensent à quitter leur mandat. C'est le cas d'Harold Huwart, député LIOT de la 3e circonscription d'Eure-et-Loir. Il raconte la crise vécue par de nombreux parlementaires, confrontés à l'incapacité d'obtenir des compromis, aux espoirs de changements déçus et épris d'un profond sentiment d'impuissance.Sébastien Lecornu peut-il éviter la censure ? Les agriculteurs peuvent-ils peser sur le gouvernement en cours de formation ? Quel rôle peuvent encore jouer les parlementaires dans cette situation de blocage politique ?LES EXPERTS :- Marcelo WESFREID - Rédacteur en chef adjoint du service politique - Le Parisien-Aujourd'hui en France- Agathe LAMBRET - Présentatrice du 8h30 - France Info- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point- Jean GARRIGUES - Historien, ^résident la commission internationale d'histoire des assemblées
[REDIFFUSION] Cette semaine, découvrez l'histoire de l'un des plus grands champions de MMA au monde, Francis Ngannou. Parti de rien, il décide à 26 ans de quitter le Cameroun pour suivre son rêve de devenir champion de boxe en Europe. Une aventure transpirant la résilience, la ténacité et la détermination. De sa jeunesse au plus haut sommet du monde des arts martiaux mixtes, découvrez son fabuleux destin. Le combat d'une vie En janvier 2022, Francis Ngannou gagne définitivement sa place au panthéon des Arts Martiaux Mixtes, lorsqu'il est sacré champion du monde pour la deuxième fois. Mais à ce même moment, sa relation avec Dana White, le patron de l'UFC, devient exécrable. White ne supporte pas les revendications du champion quand vient l'heure de renouveler son contrat. Outre une augmentation, il souhaite inscrire une clause exceptionnelle dans son contrat, lui permettant de jouer au moins un véritable match de boxe traditionnelle, sans arts martiaux mixtes, dans une autre ligue que l'UFC. Il se donnerait ainsi une chance de réaliser son rêve de devenir un authentique boxeur. Dana White refuse catégoriquement, mais le champion du monde en titre signe au PFL, le concurrent principal de l'UFC. Et il ne tarde pas à dévoiler l'identité du boxeur qu'il souhaite affronter… Tyson Fury ! L'actuel champion du monde des poids lourds... Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Le disque de Phaistos, un mystérieux message jamais déchiffré [INEDIT] Le signal “Wow!”, un étrange message venue de l'espace [INEDIT] Le manuscrit de Voynich, le livre le plus mystérieux de l'histoire [INEDIT] Tamam Shud, l'un des meurtres les plus mystérieux de l'histoire Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prévaux Production : Bababam (montage Mathew Roques) Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Depuis quelques semaines, les rues anglaises se parent de drapeaux : l'Union Jack, le drapeau britannique ou encore la croix rouge de Saint-Georges sur fond blanc, drapeau de l'Angleterre. Certains rond-points ont également été repeints aux couleurs nationales. Cette campagne « Raise the Colours » (Levez les drapeaux, en français), encouragée par le leader d'extrême droite Nigel Farage, intervient alors que les hôtels accueillant des demandeurs d'asile sont visés par des manifestations nationalistes. Notre correspondante s'est rendue dans l'un des quartiers ciblés par l'opération. De notre correspondante en Angleterre, À deux pas du quartier d'affaires de Canary Wharf, visé par des manifestations anti-migrants depuis deux mois. Les lampadaires sont bardés de drapeaux anglais, croix rouge sur fond blanc, financés par des groupes liés à l'extrême droite sur les réseaux sociaux. Les cordes claquent au vent. « Une tentative d'intimidation » Tom, qui ramène sa fille de l'école, aimerait les voir disparaître : « Je ne peux pas dire que j'aime ça. Je le vois comme une tentative d'intimidation, c'est une manière de dire à une partie des gens qui vivent par ici : vous n'êtes pas chez vous. Quand les Anglaises ont gagné l'Euro il y a deux mois, il n'y avait pas de drapeaux, donc je ne pense pas que ce soit une histoire de fierté nationale. » Des drapeaux qui disent « vous êtes chez nous ». C'est exactement l'interprétation de Michael, qui a participé aux manifestations dans le quartier : « Les gens qui viennent ici doivent respecter le Royaume-Uni, ses lois, ses valeurs. Le gouvernement n'arrive pas à freiner tous ces immigrants qui arrivent. Mais quand vous êtes une minorité, que vous venez vivre ici, légalement ou non, vous n'êtes pas chez vous ! » Ici, la mairie a fait retirer plusieurs étendards. Mais dans les rues, certains expatriés, comme ce jeune Portugais, n'y voient pas de menace : « C'est le signe que les gens aiment leur pays, en sont fiers. Cela ne me dérange pas. » Les drapeaux, fierté nationale ou signe d'une radicalisation de la société ? Le Premier ministre Keir Starmer lui-même a dû trancher sur la BBC : « Chez nous, nous avons une croix de saint Georges. J'encourage les drapeaux, c'est un symbole de patriotisme, mais ils ne doivent pas être dévalués et utilisés pour diviser. Je ne veux pas de ça, je suis fier de notre drapeau. » À lire aussiRoyaume-Uni: le militant d'extrême droite Tommy Robinson réunit plus de 100 000 personnes à Londres Pas de condamnation, bien au contraire. John Denham, chercheur en politique à l'université de Southampton, souligne que contrairement à d'autres, le Royaume-Uni ne réserve pas ses drapeaux aux nationalistes : « Nous ne sommes pas une nation qui agite ses drapeaux. C'est historique : nous étions le plus grand Empire du monde. Les drapeaux, c'était pour [les colonies], les Américains par exemple. Nous n'en avions pas besoin. Par conséquent, aujourd'hui, chacun donne le sens qu'il veut au drapeau. » En clair, pour ce professeur proche du Parti travailliste : la campagne « Raise the Colours » a fait long feu : « Je pense que les groupes d'extrême droite espéraient susciter des réactions de la part de la gauche, qu'elle demanderait le retrait des drapeaux. Ce qui aurait permis à ces groupes de se présenter comme les seuls patriotes. Ça n'a pas fonctionné. » Certains poseurs de drapeaux encourent aujourd'hui des poursuites pour dégâts criminels, après avoir tagué la croix de saint Georges sur des ronds-points et aux abords de mosquées. À lire aussiIrlande: importé du Royaume-Uni, le mouvement «hisser les couleurs» interpelle
En France, le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, parfois présenté comme la dernière carte ou encore le dernier fusible du président Emmanuel Macron dont il est proche, continue les consultations pour déterminer sa feuille de route avant de nommer un gouvernement.La marge de manoeuvre est très étroite avec des lignes rouges très claires et contradictoires de l'alliance de partis de droite et du centre, le "socle commun" qui pourrait le soutenir, et du Parti socialiste, dont il a besoin pour éviter une motion de censure. Un véritable exercice de funambule.Si c'est l'impasse, plusieurs scénarios sont possibles, y compris celui de législatives anticipées où l'extrême droite espère encore gagner du terrain. Pour en parler, Michaëla Cancela-Kieffer a invité deux collègues du service politique de l'AFP, Jérémy Marot, chef adjoint du service, et Cécile Azzaro qui couvre le PS et les écologistes.Réalisation : Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon et Michaëla Cancela-KiefferLa Semaine Sur le Fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
[REDIFFUSION] Cette semaine, découvrez l'histoire de l'un des plus grands champions de MMA au monde, Francis Ngannou. Parti de rien, il décide à 26 ans de quitter le Cameroun pour suivre son rêve de devenir champion de boxe en Europe. Une aventure transpirant la résilience, la ténacité et la détermination. De sa jeunesse au plus haut sommet du monde des arts martiaux mixtes, découvrez son fabuleux destin. En route vers le sommet Le 20 janvier 2018, après avoir aligné une série titanesque de six victoires consécutives depuis ses débuts Francis Ngannou subit sa première défaite au sein de l'UFC... Et pas n'importe laquelle : il perd le combat pour le titre suprême de champion du monde poids lourds, au profit de l'Américain Stipe Miocić. Francis n'a pourtant pas démérité, loin de là : il a tenu l'intégralité des cinq rounds contre le champion du monde en titre, sans être mis K.O., mais il a néanmoins subi de bout en bout, incapable de perturber la stratégie adverse, chutant souvent, et se relevant chaque fois avec un peu plus de difficulté. Mais le verdict des juges est sans appel. Francis doit céder la victoire. Il avait tellement pris l'habitude de gagner qu'il en avait oublié le goût de la défaite. Mais il ne doit pas se laisser abattre. Bille en tête, Francis repart à l'entraînement… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Le disque de Phaistos, un mystérieux message jamais déchiffré [INEDIT] Le signal “Wow!”, un étrange message venue de l'espace [INEDIT] Le manuscrit de Voynich, le livre le plus mystérieux de l'histoire [INEDIT] Tamam Shud, l'un des meurtres les plus mystérieux de l'histoire Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prévaux Production : Bababam (montage Mathew Roques) Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
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[REDIFFUSION] Cette semaine, découvrez l'histoire de l'un des plus grands champions de MMA au monde, Francis Ngannou. Parti de rien, il décide à 26 ans de quitter le Cameroun pour suivre son rêve de devenir champion de boxe en Europe. Une aventure transpirant la résilience, la ténacité et la détermination. De sa jeunesse au plus haut sommet du monde des arts martiaux mixtes, découvrez son fabuleux destin. Une carrière prometteuse À Paris, au début du mois d'octobre 2013, Francis Ngannou commence à peine à sortir de la précarité. Migrant d'origine camerounaise, il a vécu plusieurs semaines à même les rues de la capitale, dormant dans un parking près de la Gare de Lyon avec très, très peu de ressources. À la suite d'une succession de rencontres miraculeuses, Francis découvre la MMA Factory, et croise la route d'un homme qui va changer sa vie : Fernand Lopez… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Le disque de Phaistos, un mystérieux message jamais déchiffré [INEDIT] Le signal “Wow!”, un étrange message venue de l'espace [INEDIT] Le manuscrit de Voynich, le livre le plus mystérieux de l'histoire [INEDIT] Tamam Shud, l'un des meurtres les plus mystérieux de l'histoire Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prévaux Production : Bababam (montage Mathew Roques) Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
C dans l'air l'invitée du 24 septembre 2025 avec Virginie Calmels, cheffe d'entreprise et présidente du réseau d'entrepreneurs Croissance Plus.Le Medef prépare un « énorme meeting » du patronat « dans quelques jours », face à ce qu'il qualifie de « théories dangereuses », faisant notamment allusion à la proposition de taxe Zucman sur les hauts patrimoines. « On voudrait signifier que les entreprises ne sont que des actionnaires assoiffés de dividendes et indifférents à l'intérêt général », a relevé Patrick Martin lors de l'évènement BIG organisé par la banque publique d'investissement Bpifrance. Le thème de la taxation des plus riches est au cœur des débats entre le Premier ministre Sébastien Lecornu et le Parti socialiste, qui peut lui éviter une censure sur ce texte. Dans son interview au Parisien le 13 septembre dernier, Patrick Martin jugeait la taxe Zucman comme « un frein terrible à l'investissement et à la prise de risque pour les entreprises ». De son côté, le PDG de LVMH, Bernard Arnault, a déclaré samedi dans le Sunday Times que la taxe Zucman relevait "d'une volonté clairement formulée de mettre à terre l'économie française".Virginie Calmels, cheffe d'entreprise, et présidente du réseau d'entrepreneurs Croissance Plus est notre invitée. Elle nous donnera son avis sur la volonté de mobilisation des patrons, et sur la taxation des plus riches. Elle nous donnera aussi son sentiment sur le climat politique actuel, alors que Sébastien Lecornu, nommé depuis quinze jours, n'a toujours pas constitué son gouvernement, et qu'une nouvelle journée de mobilisation a été annoncée pour le 2 octobre prochain.
[REDIFFUSION] Cette semaine, découvrez l'histoire de l'un des plus grands champions de MMA au monde, Francis Ngannou. Parti de rien, il décide à 26 ans de quitter le Cameroun pour suivre son rêve de devenir champion de boxe en Europe. Une aventure transpirant la résilience, la ténacité et la détermination. De sa jeunesse au plus haut sommet du monde des arts martiaux mixtes, découvrez son fabuleux destin. Le miraculé En 2012, alors qu'il vit à Douala, la capitale économique du Cameroun, Francis Ngannou doit prendre une décision radicale. Âgé de 26 ans, il ne se sent pas un centimètre plus proche de ses rêves de boxe qu'il ne l'était à l'âge de 14 ans devant sa télévision. Peut-être s'en est-il même encore éloigné. Tous les grands sportifs débutent leur carrière entre 15 et 20 ans. La sienne n'a pas commencé tandis qu'il se rapproche de la trentaine - et il n'aura bientôt plus de quoi payer l'abonnement de la salle de boxe de son quartier : l'impasse est complète. À ce stade, nombreux sont ceux qui auraient jeté l'éponge, et admis qu'ils avaient rêvé trop grand… Francis Ngannou, lui, décide au contraire qu'il est l'heure de jouer le tout pour le tout… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Le disque de Phaistos, un mystérieux message jamais déchiffré [INEDIT] Le signal “Wow!”, un étrange message venue de l'espace [INEDIT] Le manuscrit de Voynich, le livre le plus mystérieux de l'histoire [INEDIT] Tamam Shud, l'un des meurtres les plus mystérieux de l'histoire Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prévaux Production : Bababam (montage Mathew Roques) Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
« Le Oui pulvérise le Non à 89,38 % contre 10,62 % » : c'est le grand titre du site d'information Ledjely à Conakry. Un résultat encore « provisoire, précise le site, qui sera transmis à la Cour suprême, l'institution compétente pour en assurer l'examen, traiter d'éventuels contentieux, valider les résultats et proclamer les résultats définitifs ». « Les résultats montrent un taux de participation de 86,42 %, pointe pour sa part le site Guinée 360. Un chiffre qui témoigne d'une adhésion considérable des Guinéens, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays, au projet de nouvelle Constitution. Désormais, (donc) tous les regards sont tournés vers la Cour suprême ». Ce taux de participation « divise les acteurs politiques », relève de son côté Media Guinée. Pour le Congrès Africain pour la Démocratie et le Renouveau, il y a eu « une très grande mobilisation : le taux de participation annoncé reflète la réalité ». Non, rétorque l'opposition. Pour le Parti pour le progrès et le changement, « le peuple de Guinée n'a pas répondu à l'appel de la junte au pouvoir pour participer à cette élection. Il y a eu un taux d'abstention très élevé. (…) En Guinée, quand le pouvoir organise un scrutin, rien ne peut l'effrayer. Ce que le pouvoir veut, c'est ce qui va être dicté et c'est ce qui va être fait ». Chape de plomb En fait, tout était joué d'avance, constate Le Monde Afrique : « la campagne pour le Oui au référendum a été ostentatoire à travers le pays et largement incarnée par Mamadi Doumbouya, à grand renfort d'affiches à son effigie, rassemblements et fanfares. Celle du Non a été, elle, quasi inaudible ». Il faut dire, poursuit le journal, « qu'une chape de plomb s'est abattue en Guinée sur les voix dissidentes depuis l'arrivée des militaires au pouvoir. Plusieurs partis politiques et médias ont été suspendus, les manifestations – interdites depuis 2022 – sont réprimées, et de nombreux dirigeants de l'opposition ont été arrêtés, condamnés ou poussés à l'exil. Les disparitions forcées et enlèvements se sont multipliés ». En effet, renchérit WakatSéra au Burkina Faso, « le boycott prôné par les opposants de l'UFDG et du RPG, l'ancien parti chassé du pouvoir par le coup d'État du 5 septembre 2021, n'a pas été massivement suivi. Rien de plus normal, la campagne qui a précédé le scrutin étant allée dans un sens unique, celui des partisans du Oui. Il n'y avait de place pour aucune voix dissonante, que ce soit dans la rue où par le biais des médias qui n'avaient la possibilité que de relayer les échos des partisans du Oui. Et le gendarme de la Haute autorité de la communication veillait au grain. Qui plus est, poursuit WakatSéra, l'épée de Damoclès de la suspension plane en permanence sur les organes de presse qui ont encore la chance d'exister et qui oseraient aller contre la volonté du censeur. » Ce qui explique la prudence des médias guinéens qui se contentent de donner les résultats du référendum et de relayer les communiqués officiels. Un boulevard pour Doumbouya En tout cas, relève Afrik.com, « ce référendum constitutionnel, longtemps attendu, ouvre une séquence électorale cruciale. Les autorités ont déjà annoncé l'organisation d'élections présidentielle et législatives avant la fin de l'année, afin de rétablir l'ordre constitutionnel et de répondre aux pressions de la communauté internationale. Pour une partie de la population, précise le site panafricain, l'adoption d'une nouvelle Constitution marque l'espoir d'un retour à la stabilité et au pouvoir civil. Pour d'autres, ce vote ouvre surtout la voie à une candidature du chef de la junte, Mamadi Doumbouya, désormais juridiquement en position de briguer la magistrature suprême ». Ce qui fait dire à L'Observateur Paalga que « l'adoption de cette nouvelle Constitution vaut déjà plébiscite pour le général Doumbouya ». En effet, insiste Aujourd'hui, toujours à Ouagadougou, cette « nouvelle loi fondamentale lui permet de quitter sa tenue bariolée de camouflage pour se couler dans le boubou du président élu ». Désormais, « l'ex-légionnaire a tous les leviers pour basculer dans l'État de droit avec lui comme président élu. Et peut-être que le peuple guinéen lui saura gré de passer de la baïonnette à l'urne ». Et Aujourd'hui de s'interroger : « quelle Guinée sous Doumbouya II en gestation ? Quel avenir pour les partis politiques ? Le général-président va-t-il acter le changement générationnel en Guinée ? »
Bienvenue dans les Fabuleux Destin, le podcast pour découvrir des histoires vraies et étonnantes, racontées par Andréa Brusque. Cette semaine, découvrez une toute nouvelle saison inédite. Dès mercredi, plongez dans l'incroyable histoire de l'un des plus grands champions de MMA au monde, Francis Ngannou. Parti de rien, il décide à 26 ans de quitter le Cameroun pour suivre son rêve de devenir champion de boxe en Europe. Une aventure transpirant la résilience, la ténacité et la détermination. De sa jeunesse au plus haut sommet du monde des arts martiaux mixtes, découvrez son fabuleux destin. Et tout au long de la semaine comme toujours, (ré)écoutez nos meilleurs fabuleux destins et nos meilleurs épisodes de A la folie pas du tout, le podcast qui raconte le mieux l'amour, sur toutes les plateformes audio ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Rejoins les anciens joueurs de la LNH Éric Bélanger, Steve Bégin et André Roy dans cet épisode de La Poche Bleue Blanc Rouge, alors qu'ils reviennent sur le premier match de la pré-saison du Canadien!Abonne-toi pour ne rien manquer des prochains épisodes!--Pour collaborations ou toutes questions : info@lapochebleue.comReste connecté avec nous sur les réseaux sociaux : Facebook: https://www.facebook.com/lapochebleueblancrouge Instagram: https://www.instagram.com/pochebleueblancrouge Twitter: https://twitter.com/lapochebbr Youtube : https://www.youtube.com/@LaPocheBleue Nos podcasts sont disponibles sur toutes les plateformes : https://linktr.ee/lapochebleuePour tes nouvelles sportives: https://lapochebleue.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Özgür Özel, 22. Olağanüstü Kurultay'da CHP'li delegelerden önce güvensizlik oyu istedi, ardından 835 oyun tamamını alarak üçüncü kez genel başkan seçildi. Bu hamleyle, 24 Ekim'deki mutlak butlan davasının konusuz kalması hedefleniyor. Parti bu şekilde yargının kıskacından kurtulabilir mi? Serap Doğan, dünkü CHP kurultayındaki gelişmeleri derledi. BirGün gazetesi Ankara Temsilcisi Nurcan Gökdemir, COSMO Türkçe'ye CHP'nin üzerindeki "mutlak butlan" tehlikesinin kalkıp kalkmadığını değerlendirdi. Mikrofonda Aydın Işık var. Von Aydın Işık und Serap Doğan.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 19 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LECORNU ET LA QUADRATURE DU CERCLEArrivé à Matignon le 10 septembre, le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu a promis une inflexion sur la forme et sur le fond. Cinquième premier ministre de ce quinquennat, dépourvu de majorité absolue à l'Assemblée nationale, il va devoir affronter sans tarder les mêmes murs budgétaires et parlementaires que ses prédécesseurs. Il se trouve confronté à la délicate équation de trouver un compromis avec la gauche sans déplaire à la droite. La composition de la nouvelle équipe gouvernementale ne sera pas connue avant plusieurs semaines, puisque le chef de l'Etat a enjoint son Premier ministre de mener des discussions préalables avec les différentes formations politiques avant de bâtir son gouvernement.L'idée du Premier ministre de chercher un accord, sur le budget, mais également « sur deux ou trois textes forts », convient aux dirigeants de la droite. Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau a fait, en gage de bonne volonté, deux concessions : renoncer à l'« année blanche » – le gel des dépenses publiques – et à l'aide sociale unique, mais il ne transigera pas sur le « durcissement sur l'immigration » ou « l'assistanat ». Au-delà du « socle commun », Sébastien Lecornu devra obtenir au minimum une non-censure du Parti socialiste pour faire adopter le budget 2026. Le parti socialiste a défendu le 15 septembre à Matignon une position comprenant la suspension de la réforme des retraites, l'instauration de la taxe Zucman sur les grandes fortunes et la baisse du quantum d'économies à réaliser d'ici à 2029. À l'Élysée, on assure n'avoir fixé aucune ligne rouge au Normand. Pour ne fâcher personne, il a d'ores et déjà été acté qu'il ne procèdera à aucun débauchage au sein du Parti socialiste pour composer son gouvernement. À l'occasion de son interview le 13 septembre dans la presse régionale, pour amadouer les socialistes, Sébastien Lecornu s'est dit « prêt » à l'abandon de la suppression des deux jours fériés, à augmenter la fiscalité des plus riches, mais sans toucher à leur « patrimoine professionnel ». Quant à un aménagement de la réforme des retraites, il reste évasif, mais rejette un retour du « conclave ». Il ne renie pas la totalité de la copie budgétaire de M. Bayrou sur laquelle il devrait, en partie, se fonder. Mais il lui faudra peut-être aussi faire un geste sur le pouvoir d'achat et un autre sur les retraites, sans perdre le soutien des Républicains ou braquer le patronat, ni oublier la réduction du déficit ...Les Français n'accordent que 16% d'opinion favorables à Sébastien Lecornu, contre 40% d'opinions défavorables, selon le baromètre mensuel Ipsos/BVA publié par « La Tribune Dimanche » mais surtout ils le connaissent peu (argument avancé par 44% des personnes interrogées pour ne pas se prononcer). Le Premier ministre connaîtra bientôt sa première épreuve du feu parlementaire, puisque La France Insoumise a d'ores et déjà annoncé le dépôt d'une motion de censure « dès le premier jour » de la session ordinaire, le 1er octobre.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retour sur l'actualite sportive de ces derniers jours
C dans l'air du 17 septembre 2025 - Neuf jours après sa nomination à Matignon, Sébastien Lecornu poursuit ce mercredi ses consultations. Il a notamment reçu ce matin les représentants du Parti socialiste, à la veille d'une journée de mobilisation qui s'annonce massive. Pour la première fois depuis 2023, les organisations syndicales ont appelé à manifester dans tous les secteurs contre les mesures d'austérité du budget présenté cet été, et que le nouveau Premier ministre n'a pas encore écartées.Plus de 250 manifestations ont déjà été déclarées en France pour ce jeudi 18 septembre. Des perturbations importantes sont annoncées dans les transports, à l'école, dans les services publics, dans le secteur de la santé — avec la fermeture de très nombreuses pharmacies —, mais aussi dans le secteur de l'énergie. Des grèves et des barrages filtrants sont prévus, touchant les sites de stockage de gaz, les terminaux méthaniers, ainsi que les centrales nucléaires et hydrauliques.Au cœur des mots d'ordre — tout comme lors de la journée « Bloquons tout » du 10 septembre —, des revendications très concrètes autour des salaires, du pouvoir d'achat, de la justice sociale et fiscale, avec notamment la mise en œuvre de la taxe Zucman, une mesure qui s'est imposée dans le débat politique sur le budget 2026.Portée par la gauche et notamment les socialistes, cette mesure, qui prévoit la création d'une taxe de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d'euros, enflamme les discussions politiques depuis la rentrée, et semble désormais soutenue par une majorité de Français. Ainsi, selon un sondage Ifop pour Le Parisien, commandé par le PS, 86 % des sondés y sont aujourd'hui favorables, dont 92 % des sympathisants Renaissance et 89 % des sympathisants LR.Le Premier ministre a cependant déjà fermé la porte à cette taxe, tout en reconnaissant qu'il se posait « des questions de justice fiscale ».Un sentiment d'injustice et de ras-le-bol fiscal qui est de plus en plus exprimé dans les cortèges et sur les réseaux sociaux par des Français, souvent issus des classes moyennes. Nos journalistes sont allés à leur rencontre pour leur donner la parole.Ils ont également interviewé Jean-Claude Trichet, l'ancien président de la Banque centrale européenne et ancien gouverneur de la Banque de France. Au micro de C dans l'air, il alerte sur la situation gravissime de nos finances publiques et la nécessité d'agir, vite.LES EXPERTS :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- GAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges - BRIGITTE BOUCHER - Journaliste politique - Franceinfo TV- JEAN-LAURENT CASSELY - Journaliste et essayiste, co-auteur de La France sous nos yeux
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans cette édition :Des milliers de migrants en provenance d'Érythrée, de Somalie et de Syrie affluent dans les bus publics de la région de Dunkerque pour tenter la traversée de la Manche vers l'Angleterre, saturant les transports et perturbant la scolarité des élèves.Le Premier ministre Sébastien Lecornu reçoit les principales formations politiques d'opposition, dont le Parti socialiste, pour tenter de trouver un accord sur la politique migratoire et la réforme des retraites.Une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites s'annonce massive sur tout le territoire, avec des perturbations attendues dans les transports.Le maire de Barcelone refuse d'accueillir l'équipe cycliste israélienne Premier Tech lors du prochain Tour de France, suscitant une nouvelle polémique autour d'Israël alors qu'Emmanuel Macron doit reconnaître l'État de Palestine.Malgré une cascade de blessures, le Paris Saint-Germain affronte ce soir Bergame en Ligue des champions, sans son attaquant star Ousmane Dembélé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Philippe Pico, 46 ans, marié, trois enfants. est parti de chez lui juste avant la Noël 96, pour refaire sa vie. En fait, il n'avait jamais quitté le domicile conjugal. Un peu plus de dix ans plus tard, presque par hasard, les policiers vont prendre connaissance de l'abominable scénario de sa mort. Et remonter vers un trio insoupçonnable et machiavélique. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:29:38 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère
Le député libéral Andrew Hastie a déclaré qu'il était prêt à démissionner ou à être limogé si le Parti libéral n'abandonnait pas son objectif de zéro émission nette de gaz à effet de serre d'ici 2050.
Dans cette édition :Une pétition pour un référendum sur l'immigration a recueilli plus d'un million de signatures en 10 jours, ce qui surprend Philippe de Villiers qui appelle la classe politique à écouter le peuple.Le patron du Parti socialiste, Olivier Faure, propose de faire flotter le drapeau palestinien sur les façades des mairies le 22 septembre, ce qui provoque l'indignation de la droite et d'une partie de la majorité présidentielle.Le gouvernement envisage d'augmenter la contribution patronale en cas de rupture conventionnelle afin de limiter les coûts pour l'assurance chômage, une mesure critiquée par les entreprises qui y voient un frein à l'embauche.L'Olympique de Marseille affronte le Real Madrid en Ligue des Champions, un défi de taille pour les Marseillais qui n'ont jamais réussi à battre le club madrilène.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:47 - Journal de 7 h - A Ankara, la capitale, des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue à l'appel du principal parti d'opposition, le CHP, qui risque d'être démantelé à l'issue d'un procès qui s'ouvre ce lundi. Ses sympathisants dénoncent l'œuvre d'Erdogan, qui réprime toute forme d'opposition.
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L'ancien président brésilien Jair Bolsonaro a été condamné ce jeudi (11 septembre 2025) à 27 ans de prison. Le politique d'extrême droite a été reconnu coupable de tentative de coup d'État, comme 7 autres accusés. Une décision historique dans l'histoire de la République brésilienne. Les précisions de notre correspondante Sarah Cozzolino. En Une du quotidien O Globo, Jair Bolsonaro semble déjà être derrière les barreaux. Sur son site, le quotidien de Rio de Janeiro revient sur cette décision historique : «Le Brésil rend des comptes à l'Histoire, en faisant ce que le pays n'avait pas réussi à faire après la dictature militaire de 1964.» Pour la Folha de Sao Paulo, la condamnation de Jair Bolsonaro est juste, mais la peine est exagérée, au regard surtout de l'état de santé de l'ancien président. Pour le journal, il n'y a pas à se réjouir de la décision d'hier, «car lorsqu'un régime doit recourir à des peines drastiques comme l'emprisonnement d'un dirigeant, c'est que tous les mécanismes de prévention ont failli». Un discours dans la presse des États-Unis, où, pour le New York Times, le Brésil vient de réussir là où les États-Unis ont échoué. Le quotidien souligne le contraste entre la décision prise contre «le putschiste Bolsonaro», et la situation américaine, où le président Donald Trump, qui avait également tenté d'annuler une élection, n'a pas été envoyé en prison, mais rappelé à la Maison Blanche. Un photographe dans la prison géante salvadorienne Le photographe américano-salvadorien Juan Carlos s'est rendu à 5 reprises dans le Cecot, la prison de haute sécurité très controversée voulue par le président Bukele. Le photographe y a aussi passé une nuit. Des cellules où la lumière ne s'éteint jamais, les lits sans matelas, la sortie de 45 minutes dans le couloir de la prison pour faire du sport ou écouter la Bible. Marine de La Moissonnière l'a rencontré au festival Visa pour l'image. À écouter aussiÀ la Une: plongée dans les prisons de l'horreur au Salvador La Sainte-Lucienne Julien Alfred aux championnats du monde d'athlétisme à Tokyo Elle avait créé la sensation l'an dernier (2024) en surclassant tout le monde en finale olympique du 100 mètres. Elle avait écrasé la concurrence en 10 secondes et 72 centièmes pour remporter ce titre devant les Jamaïcaines et les Américaines, à la surprise générale. Elle vient de Sainte-Lucie, un tout petit pays dans les Caraïbes, situé entre la Martinique et la Barbade, une île de moins de 200 000 habitants, qui s'est révélée aux yeux du monde, grâce aux performances de la sprinteuse désormais âgée de 24 ans. Les précisions de notre journaliste à Tokyo, Cédric de Oliveira. À lire aussiAthlétisme: Julien Alfred de retour sur 100 m, Duplantis vise haut à Oslo Aux États-Unis, la téléconsultation pour contourner l'interdiction d'avorter Trois ans après la suppression du droit fédéral à l'IVG, le nombre d'interruptions de grossesse n'a pas diminué, au contraire, il est même au plus haut depuis 10 ans. Et non seulement il y a beaucoup d'avortements, mais il y en a aussi dans les États qui l'ont interdit, grâce à ce que l'on appelle le téléavortement. Les précisions dans l'enquête d'Aurore Lartigue sur le site de RFI. À lire aussiComment la télémédecine a révolutionné l'accès à l'avortement aux États-Unis Les images de l'assassinat de Charlie Kirk partout sur les réseaux Alors que de nombreux journaux reviennent sur les possibles conséquences de cet événement sur la banalisation de la violence politique, le bimensuel WIRED, un magazine spécialisé dans les nouvelles technologies, revient sur la responsabilité des plateformes en ligne dans la propagation d'images violentes à grande échelle. En l'occurrence, la vidéo de l'assassinat de Charlie Kirk, qu'on retrouve très facilement, filmée sous tous les angles, sur n'importe quel réseau social. Il suffit de ne pas avoir désactivé la lecture automatique pour voir, sans le vouloir, l'instant où la balle touche le militant. Pour le magazine, Charlie Kirk a été abattu dans «un monde post-modération de contenu», dans lequel les principales plateformes manquent à leurs obligations. Il rappelle que depuis deux ans, les réseaux sociaux X, TikTok, Facebook et Instagram réduisent considérablement leurs efforts de modération de contenu. Et passent de modérateurs humains, «une ligne de défense essentielle pour protéger les utilisateurs contre les contenus préjudiciables» selon Wired, à une modération par intelligence artificielle. La vidéo peut alors passer entre les mailles du filet. À ce jour, elle a été vue des millions et des millions de fois. une violence banalisée, accessible et lourde de conséquences. Wired cite des internautes qui, en réponse à la vidéo, tweetent : «Félicitations, vous m'avez radicalisé.» Les plateformes, elles, se gardent de répondre aux questions sur leur responsabilité. À lire aussiAssassinat de Charlie Kirk: le gouverneur de l'Utah dévoile l'identité du suspect arrêté Au Canada, le recul de Mark Carney sur l'environnement Le Premier ministre canadien Mark Carney a dévoilé jeudi (11 septembre 2025) cinq grands projets d'intérêt national qu'il veut réaliser rapidement, dans le cadre de sa controversée loi visant à bâtir le Canada. L'objectif est clair : réduire la forte dépendance du Canada au marché américain. Pendant la campagne, le mantra du candidat libéral, c'était «Build, baby, build». Il le met désormais en action avec deux projets d'exploitation minière, l'agrandissement d'une usine de gaz naturel liquéfié, la construction de réacteurs nucléaires. Pour le quotidien québécois Le Devoir, les projets de Mark Carney mettent de côté la protection de l'environnement et confirment «le décevant manque d'audace climatique du Premier ministre issu du monde économique». D'ailleurs, pour le Globe and Mail, Mark Carney dirige la politique économique comme un conservateur. Selon le journal de Toronto, bon nombre des mesures prises par Mark Carney reflètent l'esprit des propositions du Parti conservateur de Pierre Poilievre, notamment sur la remise en question de certaines réglementations environnementales. Ce qui fait dire au Devoir que, sous Mark Carney, l'ambition environnementale libérale équivaut à un rétropédalage climatique. La 1ère La «réorientation» d'une partie des fonds européens destinés à la banane vers une aide à la diversification agricole en Martinique continue à faire parler d'elle aux Antilles. À écouter aussiLa banane française en difficulté
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 7 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LA VALSE DES PANTINS : COMPORTEMENT DU PERSONNEL POLITIQUE À LA VEILLE DU 8 SEPTEMBREAprès sa présentation mi-juillet, le Premier ministre a de nouveau défendu, le 25 août, son plan de rigueur de 44 milliards d'euros pour le budget 2026, et annoncé qu'il « engagera(it) la responsabilité de son gouvernement[…] pour une clarification » lundi 8 septembre, avec un vote de confiance à l'Assemblée nationale convoquée en session extraordinaire. La France insoumise, le Parti communiste, les Ecologistes, le Rassemblement national et les Ciottistes ont annoncé leur volonté de faire tomber l'actuel gouvernement. Le Parti socialiste ne compte pas non plus voter la confiance. Depuis 1958, ce sont 41 Premiers ministres qui ont sollicité la confiance de l'Assemblée nationale, et qui ont obtenu à chaque fois la majorité absolue des suffrages exprimés.Si François Bayrou veut croire possible ce vote de confiance, le décompte des forces hostiles ne va guère dans son sens : en additionnant les voix du Rassemblement national (RN) et de ses alliés (138), de la gauche (192) et du groupe Libertés, indépendants et outre-mer (LIOT, 23), il existe une majorité de suffrages largement suffisante pour faire chuter le gouvernement. Un tel échec poussera-t-il Emmanuel Macron à demander, lui aussi, une « clarification », en opérant un retour aux urnes avec une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale, quatorze mois après la précédente ? C'est ce que réclame le Rassemblement national, tandis que LFI se prononce pour la destitution du président lequel appelle les siens à se mettre d'accord avec les socialistes et n'apparaît donc pas prêt ni à dissoudre ni à se démettre. On voit d'ailleurs que les candidats à la succession de François Bayrou ne manquent pas. L'échec de son Premier ministre placera Emmanuel Macron en première ligne, désormais dépourvu de paratonnerre. Les appels à sa démission pourraient se multiplier, en particulier lors du mouvement de blocage du 10 septembre.François Bayrou, qui veut éviter l'instabilité, risque-t-il de l'aggraver ? Cette hypothèse est partagée par 63 % des Français, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro. Selon le baromètre de la confiance politique 2025 du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) publié en février dernier, 74 % des Français ne font pas confiance à la politique (+ 4 points par rapport à 2024).COMMENT LA CHINE TIRE PARTI DE L'INSTABILITÉ MONDIALE ET DES DIVISIONS OCCIDENTALESLe 25ème sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) a réuni à l'invitation du président chinois plus de 20 chefs d'État et de gouvernement. Parmi eux : le Russe Vladimir Poutine, l'Indien Narendra Modi (pour sa première visite en Chine en sept ans), le Turc Recep Tayyip Erdogan, leprésident iranien, les Premiers ministres du Pakistan, de la Malaisie, du Cambodge et du Vietnam, ainsi que les dirigeants de toute l'Asie centrale. Soit les représentants de la moitié de la population terrestre et un quart de la richesse mondiale. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est aussi rendu à Pékin. Dans son discours d'ouverture, Xi a appelé les États membres à s'opposer à la mentalité de guerre froide, à l'hégémonisme, à la confrontation entre blocs et aux manœuvres d'intimidation, sans citer pour autant les États-Unis. Il a une nouvelle fois poussé en avant son « autre » modèle, censé refléter les nouveaux équilibres internationaux. Xi Jinping entend faire de la Chine un pôle de stabilité dans un contexte mondial instable, alors que les Occidentaux sont divisés. Les promesses militaires mal tenues faites à l'Ukraine par l'Union européenne ont révélé ses faiblesses, quand certains pays de l'axe de la contestation, comme la Corée du Nord, ont joint le geste à la parole en envoyant des armes ou des troupes combattre aux côtés des Russes. Les divisions entre les États-Unis de Trump et les pays européens, dont les valeurs et les visions de la politique s'éloignent, fournissent un nouveau levier à la Chine et à ses amis.Pour le trio Inde-Chine-Russie, les enjeux sont aussi économiques. En raison de la guerre commerciale menée par Trump et des sanctions occidentales visant la Russie, les trois pays ambitionnent de s'affranchir de l'Occident en approfondissant leurs échanges. L'Inde le fait déjà en continuant d'importer massivement du pétrole russe qu'elle paie en roupies et non en dollars. Donald Trump a imposé 50 % de droits de douane sur les produits indiens.La Chine s'affiche comme une puissance stable et raisonnable, garante d'un nouvel ordre mondial plus favorable aux émergents que celui construit par les Occidentaux il y a 80 ans, après la Seconde Guerre mondiale. Son « coup » diplomatique s'est prolongé le 3 septembre à Pékin avec une grande parade militaire à laquelle a assisté le chef suprême nord-coréen, Kim Jong-un. Parmi ceux que la Chine veut présenter au monde comme ses alliés stratégiques en faveur d'un ordre du monde alternatif sous son égide, se trouvaient également deux États de l'Union européenne et deux États de l'Otan : la Slovaquie, et la Hongrie. Deux pays qui blâment l'Occident pour le déclenchement et la poursuite de la guerre en Ukraine, critiquent les sanctions européennes contre la Russie et réclament la normalisation des relations avec Moscou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la première émission de la saison! Éric Duhaime propose de nommer la taxe carbone… une chèvre. Le député Alex Boissonneault spécule sur les chances du Parti québécois de remporter les élections. Et Louis T commente le scandale SAAQclic.