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Philippe Pico, 46 ans, marié, trois enfants. est parti de chez lui juste avant la Noël 96, pour refaire sa vie. En fait, il n'avait jamais quitté le domicile conjugal. Un peu plus de dix ans plus tard, presque par hasard, les policiers vont prendre connaissance de l'abominable scénario de sa mort. Et remonter vers un trio insoupçonnable et machiavélique. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:29:38 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère
Le député libéral Andrew Hastie a déclaré qu'il était prêt à démissionner ou à être limogé si le Parti libéral n'abandonnait pas son objectif de zéro émission nette de gaz à effet de serre d'ici 2050.
Rencontrez Vadim Asadov, candidat du Parti libertarien aux élections législatives partielles dans la 2ᵉ circonscription de Paris.Ensemble, nous avons vulgarisé les ambitions du mouvement libertarien et expliqué la place qu'occupent Bitcoin et les cryptomonnaies dans leur vision politique.Rediffusion de l'émission du 9 septembre 2025.
Balaton-parti ingatlanmaffia hat tagját tartóztatták le a rendőrök Kirk megölése: Ruszin-Szendi üzent Orbánnak Az Orbán Viktor jelentette fenyegetés miatt katonai kiképzést vezetne be a Fico-kormány minisztere Tanulságos ábra – itt megnézheti, hogy az európai országokban mekkora a személyi jövedelmadó teteje! Az Európai Bíróság megsemmisítette a Paks2 atomerőmű támogatását jóváhagyó uniós határozatot „Az Európai Unió zsarol minket” – jelentette ki Gulyás Gergely Zelenszkij 20 milliárd dollárral lőtt mellé - nagyon rápirított az IMF, totális présben Ukrajna Ráuszították a propagandasajtót a Tisza Párt új alelnökére Magyarország is felkerült a Honda térképére! Ide is eljutottunk: kevesebb idő alatt jutunk lakáshoz Londonban, mint Budapesten Viszlát, Bécs! Felszámolja bázisát az osztrák fővárosban a Wizz Air A Barcelona megnyerte a klubvilágbajnokságot Kerkez Milos osztályzatain csámcsognak Angliában: "Ő volt a legrosszabb a pályán" Néhány napra visszatér a nyár, aztán érkezik az újabb hidegfront A további adásainkat keresd a podcast.hirstart.hu oldalunkon.
Balaton-parti ingatlanmaffia hat tagját tartóztatták le a rendőrök Kirk megölése: Ruszin-Szendi üzent Orbánnak Az Orbán Viktor jelentette fenyegetés miatt katonai kiképzést vezetne be a Fico-kormány minisztere Tanulságos ábra – itt megnézheti, hogy az európai országokban mekkora a személyi jövedelmadó teteje! Az Európai Bíróság megsemmisítette a Paks2 atomerőmű támogatását jóváhagyó uniós határozatot „Az Európai Unió zsarol minket” – jelentette ki Gulyás Gergely Zelenszkij 20 milliárd dollárral lőtt mellé - nagyon rápirított az IMF, totális présben Ukrajna Ráuszították a propagandasajtót a Tisza Párt új alelnökére Magyarország is felkerült a Honda térképére! Ide is eljutottunk: kevesebb idő alatt jutunk lakáshoz Londonban, mint Budapesten Viszlát, Bécs! Felszámolja bázisát az osztrák fővárosban a Wizz Air A Barcelona megnyerte a klubvilágbajnokságot Kerkez Milos osztályzatain csámcsognak Angliában: "Ő volt a legrosszabb a pályán" Néhány napra visszatér a nyár, aztán érkezik az újabb hidegfront A további adásainkat keresd a podcast.hirstart.hu oldalunkon.
durée : 00:22:57 - 8h30 franceinfo - Le premier secrétaire du Parti socialiste et député de Seine-et-Marne était l'invité du "8h30 franceinfo", mercredi 10 septembre 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Juillet 2024. J.D. Vance, futur vice-président de Donald Trump, s'en prend aux "femmes à chats sans enfant" qui dirigeraient selon lui le Parti démocrate. Cette sortie misogyne s'appuie sur un stéréotype qu'on croyait dépassé : la "crazy cat lady".Mais d'où vient cette image de la femme célibataire, d'un certain âge, entourée de chats et soupçonnée d'être dérangée ? Comment ce cliché a-t-il évolué au fil du temps ? Et pourquoi dérange-t-il encore autant aujourd'hui ?Dans cet épisode, on retrace l'histoire de ce stéréotype, du Moyen Âge où les femmes avec des chats étaient accusées de sorcellerie, jusqu'aux pseudo-études sur le "syndrome de la dame aux chats folle". On comprend aussi comment Internet et les réseaux sociaux ont transformé l'insulte en badge d'honneur, et pourquoi la "cat lady" moderne incarne une forme de résistance au patriarcat.Car derrière ce stéréotype se cache une réalité : la stigmatisation des femmes qui choisissent des modèles de vie non-conformes, sans mari ni enfants.Chroniques du sexisme ordinaire, c'est le podcast qui débusque le sexisme dans les moindres recoins avec pédagogie, humour et zéro culpabilité. Parce que les mots sont importants : nommer c'est dévoiler, et dévoiler c'est déjà agir.Crédits :Ecriture, voix, production : Marine-Pétroline, Olympe et Simone Réalisation et montage : Alice Krief, Les Belles FréquencesMots-clés : sexisme, féminisme, stéréotypes, crazy cat lady, patriarcat, misogynie, célibat, autonomie des femmes, déconstruction, genre Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:09:15 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - "Je crois à la lucidité, je vois un pays divisé, pense qu'il est temps de cohabiter", déclare Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, sur France Inter, au lendemain de la chute du gouvernement de François Bayrou. - invités : Olivier Faure - Olivier Faure : Député de Seine-et-Marne, Premier secrétaire du Parti socialiste Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:09:15 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - "Je crois à la lucidité, je vois un pays divisé, pense qu'il est temps de cohabiter", déclare Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, sur France Inter, au lendemain de la chute du gouvernement de François Bayrou. - invités : Olivier Faure - Olivier Faure : Député de Seine-et-Marne, Premier secrétaire du Parti socialiste Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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À l'occasion de sa revue de presse mardi, Paul Arcand commente la débandade de la Coalition Avenir Québec dans les sondages et les décisions du premier ministre François Legault à la veille de son remaniement ministériel. Selon un nouveau sondage Pallas Data/L'Actualité/Qc125, la CAQ obtient non seulement le pire score de son histoire dans les intentions de vote (11%), mais se fait même dépasser par le Parti conservateur d'Éric Duhaime (15%). Ce sondage, réalisé le 6 septembre auprès de 1 187 répondants, est dévoilé alors que François Legault s'apprête à brasser les cartes du gouvernement. Selon La Presse, François Bonnardel serait écarté du conseil des ministres. «François Bonnardel, qui est un soldat, qui est un fidèle, qui est le dernier rescapé de l'ADQ, il a dit à Monsieur Legault qu'il a l'intention d'être candidat et qu'il ira jusqu'à la bataille finale s'il le faut, dit Paul Arcand. Et là, vous allez voir le spin. On va vous dire et essayer de vous faire croire que ce n'est pas relié à son témoignage devant la commission Gallant sur le scandale SAAQclic.» Et que se passera-t-il avec Geneviève Guilbault? Autres sujets abordés Israël annonce la poursuite de son offensive militaire à Gaza; Les derniers témoignages à la Commission Gallant; Le dessin de Donald Trump à son ami Jeffrey Epstein: un vrai ou un faux? Ozempic: de nombreux effets secondaires signalés à Santé Canada. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:06:39 - L'invité d'ici Matin - François Bayrou désavoué par l'Assemblée : 194 voix pour la confiance, 364 contre, le Premier ministre va quitter con poste. Il remettra ce mardi midi sa démission au président de la République qui devra lui trouver un successeur, dans "les tous prochains jours" selon l'Elysée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
CHP'den yapılan çağrıyla vatandaşlar parti merkezi binası önünde toplandı. Valilik toplanma ve eylem yasağı getirdi. Polis binaya giriş çıkışları engellemek üzere, barikat kurdu. CHP İl Başkanlığı önünde bulunan gazeteci Evrim Kepenek, son durumu SBS Türkçe'ye anlattı.
François Bayrou sera-t-il encore premier ministre lundi 8 septembre au soir ? Rien n'est moins sûr, tant le vote de confiance qu'il a demandé et qui engage la responsabilité de son gouvernement est sous le feu des critiques.En recourant à l'article 49 alinéa 1 de la Constitution, le chef du gouvernement lie le sort de son gouvernement au plan d'économies de 44 milliards d'euros qu'il a présenté aux Français le 15 juillet. Si le premier ministre demande aux députés de se prononcer sur l'urgence d'agir face à la dette publique et non sur les mesures proposées, les oppositions, qui se sentent peu considérées par Matignon, devraient tout de même ne pas voter la confiance, comme l'ont annoncé le Rassemblement national et le Parti socialiste.Pourquoi François Bayrou a-t-il opté pour cette stratégie si risquée pour son avenir politique et pour la stabilité du pays, de nouveau menacé de se retrouver sans gouvernement, un an après la dissolution ? Nathalie Segaunes, qui couvre l'exécutif au service politique du Monde, nous explique les raisons du coup de poker du premier ministre.Un épisode de Cyrielle Bedu, réalisé par Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait d'une vidéo de François Bayrou sur sa chaîne YouTube, publiée le 5 août 2025 ; extrait de la conférence de rentrée de François Bayrou, le 25 août 2025.Cet épisode a été publié le 8 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:23:39 - 8h30 franceinfo - Le coordinateur national de La France insoumise et député des Bouches-du-Rhône était l'invité du "8h30 franceinfo", lundi 8 septembre 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour, entre 9h et 10h, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce lundi, il revient sur la vidéo choc des journalistes Thomas Legrand et Patrick Cohen avec des membres du Parti socialiste dans laquelle ils déclarent "faire ce qu'il faut pour Dati". Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur la vidéo choc des journalistes Thomas Legrand et Patrick Cohen avec des membres du Parti socialiste dans laquelle ils déclarent "faire ce qu'il faut pour Dati". Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Périco Legasse, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 7 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LA VALSE DES PANTINS : COMPORTEMENT DU PERSONNEL POLITIQUE À LA VEILLE DU 8 SEPTEMBREAprès sa présentation mi-juillet, le Premier ministre a de nouveau défendu, le 25 août, son plan de rigueur de 44 milliards d'euros pour le budget 2026, et annoncé qu'il « engagera(it) la responsabilité de son gouvernement[…] pour une clarification » lundi 8 septembre, avec un vote de confiance à l'Assemblée nationale convoquée en session extraordinaire. La France insoumise, le Parti communiste, les Ecologistes, le Rassemblement national et les Ciottistes ont annoncé leur volonté de faire tomber l'actuel gouvernement. Le Parti socialiste ne compte pas non plus voter la confiance. Depuis 1958, ce sont 41 Premiers ministres qui ont sollicité la confiance de l'Assemblée nationale, et qui ont obtenu à chaque fois la majorité absolue des suffrages exprimés.Si François Bayrou veut croire possible ce vote de confiance, le décompte des forces hostiles ne va guère dans son sens : en additionnant les voix du Rassemblement national (RN) et de ses alliés (138), de la gauche (192) et du groupe Libertés, indépendants et outre-mer (LIOT, 23), il existe une majorité de suffrages largement suffisante pour faire chuter le gouvernement. Un tel échec poussera-t-il Emmanuel Macron à demander, lui aussi, une « clarification », en opérant un retour aux urnes avec une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale, quatorze mois après la précédente ? C'est ce que réclame le Rassemblement national, tandis que LFI se prononce pour la destitution du président lequel appelle les siens à se mettre d'accord avec les socialistes et n'apparaît donc pas prêt ni à dissoudre ni à se démettre. On voit d'ailleurs que les candidats à la succession de François Bayrou ne manquent pas. L'échec de son Premier ministre placera Emmanuel Macron en première ligne, désormais dépourvu de paratonnerre. Les appels à sa démission pourraient se multiplier, en particulier lors du mouvement de blocage du 10 septembre.François Bayrou, qui veut éviter l'instabilité, risque-t-il de l'aggraver ? Cette hypothèse est partagée par 63 % des Français, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro. Selon le baromètre de la confiance politique 2025 du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) publié en février dernier, 74 % des Français ne font pas confiance à la politique (+ 4 points par rapport à 2024).COMMENT LA CHINE TIRE PARTI DE L'INSTABILITÉ MONDIALE ET DES DIVISIONS OCCIDENTALESLe 25ème sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) a réuni à l'invitation du président chinois plus de 20 chefs d'État et de gouvernement. Parmi eux : le Russe Vladimir Poutine, l'Indien Narendra Modi (pour sa première visite en Chine en sept ans), le Turc Recep Tayyip Erdogan, leprésident iranien, les Premiers ministres du Pakistan, de la Malaisie, du Cambodge et du Vietnam, ainsi que les dirigeants de toute l'Asie centrale. Soit les représentants de la moitié de la population terrestre et un quart de la richesse mondiale. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est aussi rendu à Pékin. Dans son discours d'ouverture, Xi a appelé les États membres à s'opposer à la mentalité de guerre froide, à l'hégémonisme, à la confrontation entre blocs et aux manœuvres d'intimidation, sans citer pour autant les États-Unis. Il a une nouvelle fois poussé en avant son « autre » modèle, censé refléter les nouveaux équilibres internationaux. Xi Jinping entend faire de la Chine un pôle de stabilité dans un contexte mondial instable, alors que les Occidentaux sont divisés. Les promesses militaires mal tenues faites à l'Ukraine par l'Union européenne ont révélé ses faiblesses, quand certains pays de l'axe de la contestation, comme la Corée du Nord, ont joint le geste à la parole en envoyant des armes ou des troupes combattre aux côtés des Russes. Les divisions entre les États-Unis de Trump et les pays européens, dont les valeurs et les visions de la politique s'éloignent, fournissent un nouveau levier à la Chine et à ses amis.Pour le trio Inde-Chine-Russie, les enjeux sont aussi économiques. En raison de la guerre commerciale menée par Trump et des sanctions occidentales visant la Russie, les trois pays ambitionnent de s'affranchir de l'Occident en approfondissant leurs échanges. L'Inde le fait déjà en continuant d'importer massivement du pétrole russe qu'elle paie en roupies et non en dollars. Donald Trump a imposé 50 % de droits de douane sur les produits indiens.La Chine s'affiche comme une puissance stable et raisonnable, garante d'un nouvel ordre mondial plus favorable aux émergents que celui construit par les Occidentaux il y a 80 ans, après la Seconde Guerre mondiale. Son « coup » diplomatique s'est prolongé le 3 septembre à Pékin avec une grande parade militaire à laquelle a assisté le chef suprême nord-coréen, Kim Jong-un. Parmi ceux que la Chine veut présenter au monde comme ses alliés stratégiques en faveur d'un ordre du monde alternatif sous son égide, se trouvaient également deux États de l'Union européenne et deux États de l'Otan : la Slovaquie, et la Hongrie. Deux pays qui blâment l'Occident pour le déclenchement et la poursuite de la guerre en Ukraine, critiquent les sanctions européennes contre la Russie et réclament la normalisation des relations avec Moscou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:21 - Journal de 18h - A la veille du vote de confiance sollicité par François Bayrou à l'Assemblée, chacun prépare l'après. Alors que le chef de file du Parti socialiste Olivier Faure se dit partant pour Matignon, Bruno Retailleau refuse d'office la participation du PS.
durée : 00:10:21 - Journal de 18h - A la veille du vote de confiance sollicité par François Bayrou à l'Assemblée, chacun prépare l'après. Alors que le chef de file du Parti socialiste Olivier Faure se dit partant pour Matignon, Bruno Retailleau refuse d'office la participation du PS.
C'est la première émission de la saison! Éric Duhaime propose de nommer la taxe carbone… une chèvre. Le député Alex Boissonneault spécule sur les chances du Parti québécois de remporter les élections. Et Louis T commente le scandale SAAQclic.
Cette semaine dans tech 45' on accueille Jonathan Cherki, CEO et fondateur de Contentsquare. Parti d'un projet étudiant à l'ESSEC, il a construit l'une des plus belles licornes françaises, spécialisée dans l'analyse de l'expérience et du comportement des utilisateurs. Levant plus d'1 milliard de dollars, il va séduire 1300 marques et 1,3M de sites web, sa présence est mondiale de Paris à Tokyo en passant par NYC où il s'est installé très tôt. Le mantra de "Jon" ? « Quand on veut, on peut ». Ce top entrepreneur est resté aux commandes et a su géré l'hyper-croissance, les rachats stratégiques et une série F record (2022). Il s'installe dans le fauteuil de tech 45' pour parler vision, UX, IA, French Tech et ambition long terme. Sans blabla ni montage, les success stories comme on les aime
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot : Joëlle Dago Serry, Yves Camdeborde et Mourad Boudjellal.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce vendredi 5 septembre, il s'intéresse chances du Parti socialiste d'arriver à Matignon.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 4 septembre 2025 - Faut-il plus taxer les riches ?En cette rentrée, la question revient en force dans le débat politique. Et cette fois, c'est le Parti socialiste qui remet le sujet sur la table en proposant d'inclure la taxe Zucman au budget 2026, sur lequel le gouvernement promet de faire des compromis, alors qu'il se trouve sur la sellette à l'approche d'un vote de confiance prévu le 8 septembre.Mais de quoi parle-t-on ? Qu'est-ce que la taxe Zucman, au cœur du contre-budget du PS ? Adoptée à l'Assemblée nationale en février dernier (par 116 voix contre 39), puis rejetée au Sénat en juin, cette mesure, inspirée des travaux de l'économiste Gabriel Zucman (qui lui a donné son nom), propose un impôt plancher sur la fortune (IPF) équivalent à 2 % du patrimoine net des ultra-riches dépassant 100 millions d'euros — soit 0,01 % des contribuables, environ 1 800 foyers français. Avec à la clé : entre 15 et 25 milliards de recettes supplémentaires.Soutenue par la gauche, contestée par la droite et l'extrême droite, la mise en œuvre de cette taxe soulève de nombreux débats depuis des semaines.Cet été, sept prix Nobel d'économie ont apporté leur soutien à la mesure : Daron Acemoglu (2024), George Akerlof (2001), Abhijit Banerjee (2019), Esther Duflo (2019), Simon Johnson (2024), Paul Krugman (2008) et Joseph Stiglitz (2001), réunis dans une tribune du Monde parue en juillet. D'autres, en revanche, comme le président du Medef, Patrick Martin, évoquent la menace de l'exil fiscal.Parallèlement, alors qu'une vague historique de transmissions se profile, les propositions de réforme de l'impôt sur les successions se multiplient. Dans un entretien accordé aux Échos, la présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet (Renaissance), évoque la nécessité de ne pas « exclure d'emblée toute hausse d'impôts » et de « se pencher sur la taxation des "super-héritages" ». L'élue des Yvelines explique : « 0,1 % des héritiers reçoivent des montants supérieurs à 13 millions d'euros et ne paient en moyenne que 10 % de droits de succession. »Aujourd'hui, près de la moitié des ménages français ne touche pas d'héritage. Parmi ceux qui en bénéficient, 87 % ne paient aucun droit de succession (chaque parent peut donner jusqu'à 100 000 euros par enfant sans qu'il y ait de droits de donation à payer). Au-dessus, le taux moyen d'imposition effectif sur les successions en France est d'environ 5 %.Autre sujet dans le débat : le train de vie des élus. En réponse à de nombreux messages de Français, le Premier ministre a promis de passer au crible et de supprimer d'éventuels avantages indus dont bénéficieraient les responsables politiques. Il a confié une mission à l'ex-député socialiste René Dosière pour les identifier.LES EXPERTS :- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de Le vacataire - RAPHAËLLE BACQUÉ - Grand reporter - Le Monde , auteure de Successions - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service France – Nouvel Obs
durée : 00:03:39 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Mort de six candidats du parti AFD peu avant les municipales de Rhénanie, le 14 septembre. Bien que la police a établi qu'il s'agissait de morts naturelles, rien n'arrête la complosphère. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:39 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Mort de six candidats du parti AFD peu avant les municipales de Rhénanie, le 14 septembre. Bien que la police a établi qu'il s'agissait de morts naturelles, rien n'arrête la complosphère. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Si les Français sont en colère contre les gouvernants en place, ils n'ont pas aussi grand-chose à attendre des oppositions. Ruth Elkrief rappelle que le projet du Parti socialiste serait de constituer un gouvernement PS-PC-Vert sans aucune participation du bloc central. Elle se demande s'il y a une majorité qui soutiendrait cette composition gouvernementale. Pour elle, la condition à laquelle il pourrait y avoir un soutien à un gouvernement socialiste serait que le bloc central accepte un pacte de non-censure. Du côté LR, elle n'y voit pas également plus clair. Ruth Elkrief continue alors de dire qu'il n'y a pas d'adultes dans la salle. On a appris ce jeudi matin que trois projets de décret prévoient d'augmenter les frais de santé, de doubler les franchises médicales. Catherine André rappelle qu'il y avait, ces dernières heures, beaucoup d'indignation autour de ce projet gouvernemental. Pour elle, dans la forme, la méthode est plus que critiquable en s'abstenant des débats parlementaires pour un sujet hautement sensible. Mais dans le fond, vu que notre système de santé est à bout de souffle, elle soutient que ces projets sont nécessaires. Abnousse Shalmani s'est intéressée à la mort mystérieuse de l'AFD, le parti d'extrême droite allemand. Elle rappelle que l'Alternative für Deutschland a été frappée par une série de sept décès parmi ses candidats et ses suppléants pour les élections municipales du 14 septembre prochain. L'AFD est devenue le deuxième parti d'Allemagne après les scrutins fédéraux de février 2025. Abnousse Shalmani pense qu'on ne combat pas cette formation politique en la censurant, mais en apportant des argumentations politiques solides. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs À cinq jours de la chute annoncée du gouvernement, la pression monte pour que soient convoquées des élections anticipées. Une option balayée – pour l'instant – par Emmanuel Macron, persuadé qu'une troisième tentative de coalition peut emporter l'adhésion du Parti socialiste. Un article de Pauline Graulle et Ilyes Ramdani, publié le 3 septembre 2025 sur Mediapart, lu par Jeremy Zylberberg. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 3 septembre 2025 - Macron: et maintenant, cap à gauche ?À six jours du vote de confiance au Parlement, qui semble perdu d'avance pour François Bayrou – les oppositions promettant toujours sa chute –, un dernier Conseil des ministres s'est probablement tenu ce mercredi midi, alors que la suite se prépare au sein des formations politiques et à l'Élysée.Comme l'a révélé Le Figaro, le chef de l'État a reçu mardi, pour déjeuner, les chefs des quatre principaux partis du bloc central : Gabriel Attal pour Renaissance, François Bayrou pour le MoDem, Édouard Philippe pour Horizons et Bruno Retailleau pour Les Républicains (LR), afin d'évoquer l'après-8 septembre. Objectif : s'assurer de la mobilisation des troupes lors du vote de lundi prochain et les enjoindre à travailler avec le Parti socialiste (PS).Et en coulisses, plusieurs noms circulent : Éric Lombard, Sébastien Lecornu, Gérald Darmanin, Catherine Vautrin, Bernard Cazeneuve…Si les rumeurs sur le nom de son éventuel successeur courent déjà, François Bayrou continue ce mercredi ses consultations avec les partis politiques et sa tournée des médias, dans l'espoir de retourner la situation en sa faveur. Se disant « réaliste » mais refusant d'être « défaitiste », il a de nouveau appelé les députés à le maintenir à Matignon, mettant en garde contre « l'instabilité » : « Si vous êtes représentant du peuple, comme c'est la vocation d'un député (…) alors vous devez vous demander où est l'intérêt national. Est-ce que, oui ou non, cette situation dans le monde (…) est grave et urgente ? Ma réponse : elle est grave et urgente », a-t-il assuré.Sur les marchés, les experts évoquent une nervosité croissante des investisseurs face à la dette française, depuis que le chef du gouvernement a annoncé qu'il demanderait un vote de confiance sur le budget. Hier, le taux des obligations assimilables du Trésor (OAT) à 30 ans a ainsi bondi de sept points de base, atteignant 4,5 %. Il s'agit de son plus haut niveau depuis 2009, sous les effets de la grande crise financière.Alors, qui à Matignon ? Croissance, déficit, taux… quelles conséquences en cas de chute du gouvernement Bayrou ? Et quel budget pour réduire la dette ?Nos journalistes ont rencontré Jean-Louis Borloo. L'ancien ministre, président-fondateur de l'UDI et ancien maire de Valenciennes, plaide pour un grand plan de réorganisation de l'État, avec, à la clé selon lui, 150 milliards d'euros d'économies.LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique et conseiller de la rédaction de Franc-Tireur - Dominique SEUX - Éditorialiste aux Echos et à France Inter- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction du magazine Challenges - Soazig QUEMENER - rédactrice en chef à la Tribune Dimanche
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C'est une ligne de fracture qui divise aussi l'Ukraine. L'Église orthodoxe est désormais plus que jamais déchirée dans le pays. En 2018, Kiev a voulu créer sa propre Église orthodoxe d'Ukraine, pour rompre avec l'Église orthodoxe russe et son patriarche Kirill trop proche de Poutine. Depuis, 2 000 paroisses ont rompu leurs liens avec Moscou. Mais ce n'est pas suffisant, une loi vient aujourd'hui permettre la poursuite en justice des congrégations qui se livreraient à de l'ingérence russe sur le territoire. Reportage dans la région de Kiev d'Emmanuelle Chaze. Et la fracture de l'Église ukrainienne a eu des répercussions mondiales. D'autant plus que le patriarcat de Constantinople, le plus important de tous, a reconnu le schisme. Une initiative assez inédite que les autres églises serbes, bulgares ou roumaines n'ont pas suivie en refusant de prendre position pour ou contre Moscou. La politique et les liens d'argent avec le pouvoir sont clairement les maux qui viennent aujourd'hui affaiblir l'Église orthodoxe. Et c'est l'un des thèmes du dernier livre de Jean-Arnault Dérens, Géopolitique de l'orthodoxie, comment expliquer que la deuxième confession du monde, avec 300 millions de fidèles, se tienne si proche des lieux de pouvoir. ► Géopolitique de l'orthodoxie, de Byzance à la guerre en Ukraine est paru aux éditions Tallandier. À écouter aussi«Géopolitique de l'orthodoxie, de Byzance à la guerre en Ukraine» de Jean-Arnault Dérens En Turquie, le blues des étudiants en droit C'est un nouveau coup judiciaire porté contre le principal parti d'opposition turc, le CHP. Après l'arrestation de sa figure de proue, le maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu en mars dernier, un tribunal vient d'invalider toute la nouvelle direction du Parti républicain du peuple. Alors que le pouvoir du président Erdogan étend chaque jour son emprise sur l'institution judiciaire, comment les jeunes étudiants en droit peuvent-ils envisager leur futur comme juge ou procureur dans un tel système ? C'est le reportage à Ankara d'Anne Andlauer. La chronique musique de Vincent Théval Better Way to Live de Kneecap
C'est une ligne de fracture qui divise aussi l'Ukraine. L'Église orthodoxe est désormais plus que jamais déchirée dans le pays. En 2018, Kiev a voulu créer sa propre Église orthodoxe d'Ukraine, pour rompre avec l'Église orthodoxe russe et son patriarche Kirill trop proche de Poutine. Depuis, 2 000 paroisses ont rompu leurs liens avec Moscou. Mais ce n'est pas suffisant, une loi vient aujourd'hui permettre la poursuite en justice des congrégations qui se livreraient à de l'ingérence russe sur le territoire. Reportage dans la région de Kiev d'Emmanuelle Chaze. Et la fracture de l'Église ukrainienne a eu des répercussions mondiales. D'autant plus que le patriarcat de Constantinople, le plus important de tous, a reconnu le schisme. Une initiative assez inédite que les autres églises serbes, bulgares ou roumaines n'ont pas suivie en refusant de prendre position pour ou contre Moscou. La politique et les liens d'argent avec le pouvoir sont clairement les maux qui viennent aujourd'hui affaiblir l'Église orthodoxe. Et c'est l'un des thèmes du dernier livre de Jean-Arnault Dérens, Géopolitique de l'orthodoxie, comment expliquer que la deuxième confession du monde, avec 300 millions de fidèles, se tienne si proche des lieux de pouvoir. ► Géopolitique de l'orthodoxie, de Byzance à la guerre en Ukraine est paru aux éditions Tallandier. À écouter aussi«Géopolitique de l'orthodoxie, de Byzance à la guerre en Ukraine» de Jean-Arnault Dérens En Turquie, le blues des étudiants en droit C'est un nouveau coup judiciaire porté contre le principal parti d'opposition turc, le CHP. Après l'arrestation de sa figure de proue, le maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu en mars dernier, un tribunal vient d'invalider toute la nouvelle direction du Parti républicain du peuple. Alors que le pouvoir du président Erdogan étend chaque jour son emprise sur l'institution judiciaire, comment les jeunes étudiants en droit peuvent-ils envisager leur futur comme juge ou procureur dans un tel système ? C'est le reportage à Ankara d'Anne Andlauer. La chronique musique de Vincent Théval Better Way to Live de Kneecap
Türkiye'de ana muhalefet partisi CHP'ye baskı devam ediyor. CHP'nin İstanbul il yönetimi mahkeme kararı ile görevden alındı. Görevinden uzaklaştırılan Özgür Çelik'in yerine, aralarında Gürsel Tekin'in de bulunduğu heyet getirildi. Siyasi gözlemciler, bu kararla 15 Eylül'de görülecek CHP'nin 38. Olağan Kurultayı'nın iptali istemiyle açılan davada CHP'ye kayyum atanma ihtimalinin yükseldiği görüşünde. Mart ayında CHP'nin cumhurbaşkanı adayı Ekrem İmamoğlu hapse atılmış, onlarca CHP'li belediye başkanı ve yönetici tutuklanmıştı. İktidar CHP'yi neden köşeye sıkıştırıyor? Türkiye tek partili bir rejime doğru mu gidiyor? İstanbul Barosu'ndan avukat Ahmet Ergin ile konuştuk. Mikrofonda Gökçe Göksu ve Eren M. Gencer var. Von Gökçe Göksu und Eren Mahir Gençer.
Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
È stato un accenno rapidissimo. L'accusa di dumping fiscale che il primo ministro francese François Bayrou ha lanciato all Italia nel corso dell intervista rilasciata a quattro reti televisive domenica, avevano lo scopo di criticare le proposte del Parti socialiste, e non le politiche italiane. Proprio per questo motivo è innegabile la gaffe o meglio la scortesia diplomatica verso il nostro Paese. L'accusa non riguarda, innanzitutto, le imprese italiane; riguarda piuttosto le persone fisiche e le politiche, introdotte dal governo Renzi e poi corrette dal governo Meloni, per favorire l immigrazione dei più ricchi. Il Parti socialiste ha infatti proposto per risanare il bilancio pibblico francese una contromanovra che prevede un forte aumento delle imposte: 32 miliardi, secondo i calcoli di Bayrou. La misura che ha raccolto maggiore attenzione è la tassa Zucman , dal nome dell economista francese Gabriel Zucman, oggi all Università di Berkeley in California. La proposta punta a introdurre un imposta annuale del 2% sui patrimoni superiori ai 100 milioni, che potrebbe raccogliere circa 15 miliardi. Ne parliamo con Fabrizio Pagani, Partner Vitale&Co e docente a SciencesPo di Parigi. Da febbraio 2014 a giugno 2018 ha ricoperto la carica di Capo della segreteria tecnica del MEF.Cina India il disgelo grazie ai dazi di TrumpDopo sette anni di quasi guerra sull Himalaya i giganti asiatici si ritrovano. Xi Jinping tende la mano a Narendra Modi e prova a mandare fuori tempo Donald Trump. Il summit della Sco (Organizzazione per la Cooperazione di Shanghai) si è aperto ieri con uno dei piatti forti: l'incontro tra Cina e India, i due grandi rivali asiatici uniti dall'insofferenza per i dazi degli Stati Uniti. In una Tianjin blindata e scintillante per l'evento con cui la Cina reclama la leadership del cosiddetto Sud globale, il primo bilaterale Xi-Modi in terra cinese dopo sette anni può segnare un punto di svolta per le ambizioni di Sco, Brics e la galassia anti G7. «Possiamo essere partner e non rivali», dicono i due leader, confermando la ripresa del commercio transfrontaliero dopo cinque anni. Pechino avrebbe anche garantito la ripresa del flusso delle sue ambitissime terre rare, cruciali per elettronica e difesa. Tutto affinché Nuova Delhi sottolinei la sua autonomia strategica, che alle orecchie cinesi significa prendere le distanze dagli Usa. Approfondiamo il tema con Alessandro Plateroti, direttore Newsmondo.it.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Un élu du Parti animaliste appelle les Parisiens à se réconcilier avec les rats Un Français sur deux juge que faire des fautes d'orthographe est inacceptable L'apéro, patrimoine national pour 82% des Français
Ce lundi 1er septembre, le contre-budget du Parti socialiste et les propositions du Front économique ont été abordés par Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, Céline Antonin, économiste à l'OFCE, Léonidas Kalogeropoulos, PDG et fondateur de Médiation & Arguments et d'Entrepreneurs pour la République, et Philippe Mutricy, directeur des études de Bpifrance, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:04:10 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Pour succéder à François Bayrou, les socialistes sont "volontaires". Ils proposent un contre-budget et une nouvelle méthode. Qui les soutiendra ?
Dans cette édition :Un employé de boulangerie de Grenoble a été grièvement blessé au couteau par trois individus qui tentaient de lui voler du pain, illustrant les problèmes de sécurité et de violence dans certaines villes.Une rave party illégale dans les Corbières a dégénéré avec la mort d'un adolescent de 16 ans, révélant les tensions sociales et le mécontentement de la population après les récents incendies.La rentrée scolaire a été marquée par l'interdiction du téléphone portable dans les collèges, une mesure controversée mais saluée par de nombreux parents soucieux de lutter contre l'addiction aux écrans.Les négociations entre le Premier ministre François Bayrou et les partis politiques, notamment le Parti communiste et le Rassemblement national, sont tendues et laissent présager un vote de confiance difficile à l'Assemblée nationale.Un incident de brouillage GPS lors de l'atterrissage de l'avion d'Ursula von der Leyen en Bulgarie soulève des soupçons d'ingérence russe, dans un contexte de tensions géopolitiques en Europe de l'Est.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, l'interview de François Hollande à quelques jours du vote de confiance, le retour du Parti socialiste et la rentrée scolaire. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre entame une semaine chargée avec des consultations et des négociations, notamment avec le Parti communiste et le Rassemblement national.La présidente de la Banque Centrale Européenne, Christine Lagarde, écarte l'intervention du FMI en France mais reconnaît l'impact des crises institutionnelles sur la confiance des marchés.Près de 12 millions d'élèves font leur rentrée scolaire, sauf dans le Var et les Bouches-du-Rhône en raison de la vigilance orange aux orages, et 1 000 foyers sont toujours privés d'électricité dans le Vaucluse.Une nouvelle règle d'interdiction des smartphones est mise en place dans les collèges.Un adolescent de 16 ans est décédé après avoir reçu un coup de couteau dans la banlieue de Lyon.Des détenus de la prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil dans le Pas-de-Calais pourraient se joindre à un appel à la grève de la faim pour dénoncer les conditions inhumaines.Des actes de vandalisme antisémites ont été commis à Lyon, avec la profanation de stèles et de monuments.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky rencontrera des dirigeants européens à Paris pour discuter des garanties de sécurité pour l'Ukraine.Le président russe Vladimir Poutine a rencontré le président turc Erdogan pour évoquer la guerre en Ukraine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre entame une semaine chargée avec des consultations et des négociations, notamment avec le Parti communiste et le Rassemblement national.La présidente de la Banque Centrale Européenne, Christine Lagarde, écarte l'intervention du FMI en France mais reconnaît l'impact des crises institutionnelles sur la confiance des marchés.Près de 12 millions d'élèves font leur rentrée scolaire, sauf dans le Var et les Bouches-du-Rhône en raison de la vigilance orange aux orages, et 1 000 foyers sont toujours privés d'électricité dans le Vaucluse.Une nouvelle règle d'interdiction des smartphones est mise en place dans les collèges.Un adolescent de 16 ans est décédé après avoir reçu un coup de couteau dans la banlieue de Lyon.Des détenus de la prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil dans le Pas-de-Calais pourraient se joindre à un appel à la grève de la faim pour dénoncer les conditions inhumaines.Des actes de vandalisme antisémites ont été commis à Lyon, avec la profanation de stèles et de monuments.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky rencontrera des dirigeants européens à Paris pour discuter des garanties de sécurité pour l'Ukraine.Le président russe Vladimir Poutine a rencontré le président turc Erdogan pour évoquer la guerre en Ukraine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Un employé de boulangerie de Grenoble a été grièvement blessé au couteau par trois individus qui tentaient de lui voler du pain, illustrant les problèmes de sécurité et de violence dans certaines villes.Une rave party illégale dans les Corbières a dégénéré avec la mort d'un adolescent de 16 ans, révélant les tensions sociales et le mécontentement de la population après les récents incendies.La rentrée scolaire a été marquée par l'interdiction du téléphone portable dans les collèges, une mesure controversée mais saluée par de nombreux parents soucieux de lutter contre l'addiction aux écrans.Les négociations entre le Premier ministre François Bayrou et les partis politiques, notamment le Parti communiste et le Rassemblement national, sont tendues et laissent présager un vote de confiance difficile à l'Assemblée nationale.Un incident de brouillage GPS lors de l'atterrissage de l'avion d'Ursula von der Leyen en Bulgarie soulève des soupçons d'ingérence russe, dans un contexte de tensions géopolitiques en Europe de l'Est.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Emma Rafowicz, députée européenne S&D et porte parole du Parti socialiste - Jules Torres, journaliste politique au JDD - Véronique Jacquier, journaliste politique Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'était l'enterrement de mon frère.Ken ne reviendrait pas.Maman et Papa ont essayé d'expliquer pourquoi, mais je n'ai pas compris.Ils ont dit qu'il était mort. Ça, j'avais compris.Mais pas le pourquoi.Ils pleuraient plus fort que moi.Alors, j'ai arrêté de poser des questions.Les gens n'arrêtaient pas de dire :« Il est parti trop tôt. »Parti ?Source : https://www.reddit.com/r/shortscarystories/comments/1mz8853/the_cardiac/Pour m'envoyer vos histoires danslenoirpdcst@gmail.comPour participer à cette émission horrifique, écrivez à Dans Le Noir sur les réseaux sociaux, j'accepte tout le monde !Mon Instagram HorrifiquePATREONLE seul podcast qui fait peur !Armez-vous de votre casque ou de vos écouteurs !Podcast Horreur, Podcast Surnaturel, Podcast Paranormal & Podcast Creepypasta mais surtout un podcast qui fait peur !Bonne semaine horrifique à tous ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
En Inde, la coalition d'opposition affirme que les dernières élections ont été truquées. Le Parti du Congrès dit avoir identifié de nombreuses anomalies sur les listes électorales, avec de faux électeurs ajoutés pour faire pencher les scrutins en faveur du parti nationaliste hindou du Premier ministre Narendra Modi. L'opposition mène depuis dix jours une grande marche à travers l'État du Bihar pour mettre en garde les électeurs. Sous la moiteur de la mousson, des milliers de paysans en turban et de femmes en sari sont venus écouter Rahul Gandhi, le leader de l'opposition. Il harangue la foule au lancement d'une marche de 14 jours à travers le Bihar, qui compte 130 millions d'habitants : « Mes amis, dans toute l'Inde, les élections vous sont volées. Les listes électorales sont trafiquées : des électeurs fantômes y sont inscrits, d'autres en sont exclus. Le peuple du Bihar ne se laissera pas faire ! » Dans cet État, un des plus pauvres de l'Inde, les électeurs sont appelés aux urnes en octobre. Or, ici aussi, l'opposition redoute des fraudes, alors que le pouvoir central a décidé de mettre à jour les listes électorales du Bihar. Rupam Yadav, professeure dans la capitale Patna, est venue saluer le cortège de l'opposition : « Des travailleurs pauvres, des migrants qui vivent ailleurs mais votent ici, sont radiés des listes électorales en priorité. Pourquoi ? Parce que le pouvoir sait que les plus démunis ne peuvent faire valoir leurs droits et soutiennent en majorité l'opposition. » Ceux qui s'estiment injustement radiés ont jusqu'au 1er septembre pour se signaler. C'est trop peu, juge l'opposition, alors que 30% des habitants du Bihar sont analphabètes. Sur le chemin de la marche, certains nous font part de leur fatalisme, comme ce vendeur de 84 ans : « Oui, les élections sont manipulées par le pouvoir. Mais beaucoup de partis, une fois élus, se sont livrés à des fraudes. » À lire aussiInde: le Parti du Congrès présente des «preuves» du trucage des élections D'autres, comme cet agriculteur, sont préoccupés par la situation économique : « Le problème du Bihar, c'est le chômage. À cause de cela, nos jeunes quittent la région. La priorité est d'ouvrir des usines ! » Le défi est pour l'opposition de convaincre une population parfois résignée face aux fraudes politiques. Achala Singh, ex-candidate du Parti du Congrès au Bihar, se dit optimiste : « C'est justement pour convaincre les électeurs défavorisés que Rahul Gandhi a choisi de marcher dans le Bihar. Et les foules qui viennent voir ses discours montrent qu'ils se sentent concernés par son message de défense de la démocratie. » La Commission électorale, de son côté, assure que les élections en Inde sont équitables et transparentes. Son incapacité à fournir des réponses précises aux accusations de l'opposition nourrit cependant le succès de la marche, qui prendra fin le 1er septembre. À lire aussiInde: enquête ouverte pour blanchiment d'argent contre Sonia et Rahul Gandhi