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Ce dimanche 16 novembre 2025 se déroule le premier tour de l'élection présidentielle au Chili. Damien Larrouqué, maître de conférences en science politique et membre du Centre de recherche multidisciplinaire de l'université de Cergy, est l'Invité international de la mi-journée. RFI : Avant d'aborder les points précis de cette élection, pouvez-vous nous présenter un cadre général de ce scrutin, avec les forces en présence et les enjeux ? Damien Larrouqué : Tout à fait. Il y a huit candidats en lice, mais quatre qui vont véritablement compter. En premier lieu, la favorite pour le premier tour, qui est Jeannette Jara, qui est issue du Parti communiste, qui a été ministre du gouvernement de Gabriel Boric et qui incarne donc cette coalition de centre-gauche Unité pour le Chili. Vous avez ensuite, à droite, Evelyn Matthei, qui est la candidate de la droite conservatrice – dont le père était l'un des cadres du régime militaire – et maire d'une commune importante de la région de Santiago. Et vous avez ensuite deux candidats à l'extrême droite. José Antonio Kast, qui est un partisan d'une ligne à la fois ultra-libérale sur le plan économique et ultra-conservatrice sur le plan des mœurs – frère lui aussi, par ailleurs, d'un des cadres du régime militaire – qui était membre des fameux économistes « Chicago Boys » et dont c'est la troisième présidentielle, vraisemblablement, au second tour. Et vous avez ensuite le dernier en lice, Johannes Kaiser, qui est, lui aussi, un candidat de la droite ultralibéral, partisan d'un libertarianisme à la Miller et un peu le trublion qu'on n'attendait pas de dernière minute. Mais qui a eu une ascension assez exceptionnelle au cours des quelques dernières semaines et qui risque aussi d'avoir un impact sur cette élection. L'extrême droite pourrait revenir au pouvoir pour la première fois depuis la fin de la dictature de Pinochet. Qu'est-ce qui explique cette progression et son attrait auprès d'une grande partie de la population ? Les thèmes de campagne qui ont été mobilisés, in fine. On y reviendra peut-être, mais les questions d'insécurité, de l'immigration. Il faut savoir que le Chili a connu une immigration massive, notamment de migrants vénézuéliens, à la suite de la faillite de l'État du Venezuela. Cela entretient un certain nombre de frustrations vis-à-vis d'eux, parce qu'on accuse les Vénézuéliens de non seulement récupérer des emplois et de concurrencer les Chiliens sur le marché du travail, mais aussi, bien sûr, d'entretenir une forme de criminalité. Alors certes, cela a augmenté, il ne faut pas le nier, mais cela reste quand même monté en épingle par des médias dans un pays qui est historiquement assez tranquille sur ces questions. Pour aussi répondre à votre question, ce sont les contrecoups de cette grande révolte sociale qui a eu lieu en 2019 et 2020, juste avant le Covid. Une révolte dont l'objectif était de mettre à terre le système néolibéral qui est, au Chili, un modèle international. Parce qu'il faut savoir que sous Pinochet, c'est avec un mandat législatif d'avance sur Reagan et Thatcher que Chili a mis en place les premières mesures de néo-libéralisation échevelée. Le pays n'en est toujours pas sorti. Il y a eu une révolte sociale en 2019 et 2020, puis un processus constituant. Aujourd'hui, le jeu électoral se fait sur ces différents rebondissements de ces dernières années. Criminalité, immigration, deux thèmes importants au cours de la campagne. Il y a aussi la question fiscale qui semble primordiale au Chili, où le taux d'imposition est très faible. Les candidats se saisissent-ils de cette question ? Effectivement, c'est un enjeu qui est fondamental, mais totalement absent de la campagne alors qu'il est déterminant. Le problème du Chili, ce n'est pas son niveau de criminalité. Ou même le niveau d'immigration, qui n'a rien à voir, par exemple, si on le compare, avec la Colombie, voisine du Venezuela, qui, elle, a absorbé massivement cette immigration économique et politique vénézuélienne. On n'est pas du tout sur ces ordres de grandeur. En revanche, le Chili est malade de ses inégalités sociales. C'est l'un des pays où les inégalités sociales et socio-économiques sont les plus grandes au monde. C'est un pays où l'élite économique ne paye pas d'impôts, il faut le dire clairement. Un impôt qui est résiduel. La charge fiscale par rapport à la production, au PIB, à la richesse nationale est de l'ordre de 22 ou 23 %. Avec cela, vous financez les activités régaliennes et peu ce qui pourrait être l'éducation publique, le système de santé, etc. C'est un système fiscal qui est largement régressif, c'est-à-dire que le budget de l'État est supporté par les classes populaires, en particulier sur la TVA. Toutes les mesures qui auraient dû être conduites depuis le retour à la démocratie ne l'ont jamais été. Si bien que c'est un pays qui reste structurellement inégalitaire et économiquement fragile. À lire aussiLes Chiliens élisent un successeur à Gabriel Boric, gauche et extrême droite en tête des sondages
Dans la première partie nous avons vu les différentes options disponibles lorsque nous sommes en ligne avec une autre personne. Aujourd'hui, nous regarderons plus précisément la traduction lorsque nous sommes en ligne.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 14 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la dernière ligne droite au Chili avant le premier tour de l'élection présidentielle, dimanche prochain. La campagne est très polarisée : d'un côté, la candidate de gauche Yanette Hara, et de l'autre, l'extrême droite. Des camps que tout oppose, nous raconte notre correspondante Naïla Derroisné. Ce dimanche, 16 novembre 2025, plus de 15 millions de Chiliens seront appelés aux urnes pour choisir entre les 8 candidats présidentiels qui se présentent. Jeannette Jara, la candidate communiste du bloc de la gauche est, pour le moment, la favorite. Mais selon les sondages, elle ne remporterait pas assez de voix pour gagner dès le premier tour. Face à elle, trois candidats de la droite et de l'ultra-droite, dont José Antonio Kast, fondateur du parti Républicain bien positionné lui aussi, pour passer au second tour. Ces derniers mois, la campagne a fortement été marquée par les questions de sécurité, de narcotrafic et de délinquance. Tous les candidats en ont fait leur priorité car ce sont les principales préoccupations des Chiliens, nous précise notre correspondante Naïla Derroisné dans un reportage à Santiago. L'affaire Epstein secoue les républicains et une partie du camp MAGA En voulant étouffer la controverse autour des «Epstein files», les républicains ont finalement ravivé l'affaire, estime le New York Times. Face aux démocrates qui tentaient d'imposer un vote pour publier les documents, les dirigeants du Parti républicain ont lancé en septembre une manœuvre destinée à éviter une mise en difficulté politique : confier à la commission de contrôle de la Chambre, déjà dirigée par les conservateurs, la poursuite d'une enquête sur le dossier Epstein. L'objectif, poursuit le journal, était de montrer un effort de transparence tout en protégeant Donald Trump. Mais cette stratégie s'est retournée contre eux. Coincés entre les appels croissants à la transparence et leur volonté de protéger Trump, les républicains peinent désormais à reprendre le contrôle du dossier. Mais ce n'est pas le seul dossier qui pose un problème à Donald Trump Oui, selon le Washington Post, le président américain fait face à une fronde inhabituelle au sein de sa base MAGA, après avoir affirmé que les États-Unis manquaient de travailleurs «talentueux» et avaient besoin de faire venir davantage d'étrangers qualifiés. Une déclaration qui a été jugée contraire à la devise «l'Amérique d'abord». Ces tensions révèlent les limites de l'autorité de Trump sur son propre mouvement, même si tous s'accordent à dire que la base ne se détournera pas durablement de lui. Les critiques, de plus en plus ouvertes, montrent un populisme désormais autonome, parfois prêt à «guider» Trump plutôt qu'à le suivre. En tout cas, d'après le Washington Post, plusieurs stratèges républicains s'inquiètent que l'enthousiasme pro-Trump s'érode à l'approche des élections de mi-mandat de 2026. Des footballeurs en grève Des footballeurs colombiens se sont couchés sur la pelouse pour protester contre leurs conditions de travail. D'après le journal La Nacion, les joueurs demandent un accord visant notamment à augmenter le pourcentage qui leur revient lors des transferts, à améliorer la couverture santé et à leur accorder une part des revenus liés aux droits de diffusion télévisuelle. Le malaise touche le football colombien depuis un certain moment. Il y a quelques jours, un club a menacé de faire grève pour demander le paiement d'un mois de salaire qui leur est dû. Selon le site Infobae, la saison 2025 du football colombien se termine dans un contexte de graves difficultés financières pour de nombreux clubs. En Colombie, le Bullerengue est devenu patrimoine immatériel de la nation Ce genre musical et cette danse traditionnelle de la côte caribéenne de Colombie sont nés au cœur des communautés afro-colombiennes à l'époque de l'esclavage. Ils constituaient un outil de résistance contre les colons, un art pour exprimer la liberté et l'identité de ces peuples. Avec une nouvelle loi, le gouvernement vient de franchir un pas historique pour la préservation de la culture afro-colombienne. Notre correspondante à Medellín, Najet Benraba, nous en dit plus, après avoir assisté à plusieurs concerts de Bullerengue. Journal de la 1re Le Conseil départemental de la Guadeloupe veut en faire avec le conflit qui est en cours au centre hospitalier universitaire.
« Si quelqu'un peut montrer à une nation trahie par Donald Trump comment le vaincre, c'est bien la ville qui l'a vu naître », a soutenu Zohran Mamdani, tout juste élu maire de New York, mardi 4 novembre. Il y a encore six mois, la victoire de cet inconnu du grand public, socialiste revendiqué et musulman paraissait impensable. Pourtant, il est devenu, à 34 ans, le plus jeune édile de New York depuis un siècle.Le même jour, les démocrates ont remporté deux postes de gouverneur – en Virginie et dans le New Jersey – ainsi qu'un référendum crucial en Californie sur le redécoupage électoral. De quoi redonner de l'air à la gauche américaine, plongée dans le marasme depuis la réélection de Donald Trump, en novembre 2024.Faut-il y voir un simple sursaut ou le réveil du camp démocrate, à un an des élections de mi-mandat ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Nicolas Chapuis, correspondant du Monde à New York, nous raconte l'ascension fulgurante de Zohran Mamdani, ce qu'elle révèle de l'état du Parti démocrate, et des défis qui l'attendent au cours des mois à venir.Un épisode de Garance Muñoz. Réalisation : Quentin Tenaud. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extraits du discours de victoire de Zohran Mamdani, le 4 novembre 2025 ; d'une manifestation à Washington, aux Etats-Unis, le 6 novembre 2025.Cet épisode a été diffusé le 14 novembre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À l'occasion de la COP30, la caravane fluviale Iaraçu remonte le fleuve Amazone de Manaus à Belém avec, à son bord, des spécialistes des forêts tropicales. Une formidable aventure scientifique pour échanger entre experts et avec les communautés locales sur les meilleurs stratégies pour préserver l'Amazonie, les forêts du Bassin du Congo et d'Asie du Sud-Est. Après huit jours de navigation sur les eaux tumultueuses de l'Amazone, la caravane fluviale Iaraçu est arrivée à Belém en Amazonie brésilienne. Parti de Manaus, le 28 novembre, ce bateau bleu et blanc à trois étages a embarqué à son bord une vingtaine de scientifiques, venus partager leurs savoirs entre eux et avec les communautés locales au rythme des escales. Nous avons eu la chance de vivre cette aventure organisée par l'IRD, l'Ambassade de France au Brésil et le Centre franco-brésilien de la biodiversité en Amazonie. Chaque matin, en ouvrant la porte de notre cabine, le spectacle était magique. La forêt amazonienne défilait sur les rives ponctuées de maisons colorées sur pilotis. L'Amazonie impressionne par son immensité : 4 millions de km² répartis sur neuf pays, soit l'équivalent de la superficie de l'Europe. Elle émerveille aussi par sa biodiversité exceptionnelle, avec près de 120 000 espèces animales et plus de 40 000 espèces végétales recensées. Mais les forêts du Bassin du Congo et de Papouasie-Nouvelle-Guinée possèdent, elles aussi, une extraordinaire diversité de vie, tout aussi précieuse et spectaculaire. Les stratégies à défendre à la COP 30 pour protéger l'ensemble de ces forêts tropicales étaient au cœur de nombreuses discussions à bord. Embarquez avec nous, nous vous emmenons partager ces échanges qui nous concernent tous. → Le journal de bord Iaraçu. Avec : Laurent Durieux, géographe coordinateur IRD de l'initiative One Forest vision Raphaël Tshimanga Muamba, professeur d'hydrologie à l'Université de Kinshasa co-président de l'initiative Science pour le bassin du Congo Nicolas Barbier, directeur de recherche à l'IRD en écologie tropicale Géraldine Derroire, écologue, spécialiste des forêts tropicales au Cirad Claudio Almeida, coordinateur du programme de monitoring de l'Amazonie et d'autres écosystèmes brésiliens à l'INPE Jean-Michel Martinez, directeur de recherche en hydrologie et télédétection à l'IRD. Musiques diffusées pendant l'émission - BVDC II String Band - Blue Mountain - Greenpeace Brasil - Canção pra Amazônia - Music of the Ituri Forest - Lukembi and Voice - Nilson Chaves - Tres violeiros - Orquestra Brasileira de Música Jamaicana - Ondde é que eu vou parar - Umbanda musicians at Cabocla Yacira - Lembrai, O Lembrai - Combo Cordeiro - Palácio dos Bares.
Nouvelle saison, nouvelle série !Ondes Politiques lance une série spéciale consacrée à la campagne des élections municipales à Paris, qui se tiendront les 15 et 22 mars 2026. À cette occasion, nous vous proposons une série d'entretiens exclusifs avec les principaux candidats à la Mairie de Paris.Pour ce premier épisode, Ondes Politiques reçoit Ian Brossat, sénateur, conseiller de Paris et ancien adjoint à la Maire de Paris en charge du logement, candidat du Parti communiste français dans la capitale.Dans cet entretien, enregistré le 10 novembre 2025, nous revenons avec lui sur les raisons de sa candidature, le bilan qu'il tire des deux mandats d'Anne Hidalgo, son projet pour Paris et les enjeux politiques de cette élection. Nous avons également choisi d'aborder quatre grandes thématiques au cœur du débat parisien : le logement, la mobilité, l'attractivité de Paris et la participation citoyenne.Si vous souhaitez mieux comprendre les dynamiques de cette élection déterminante, cet épisode est fait pour vous !Merci d'avoir choisi Radio Germaine et à bientôt pour un nouvel épisode. Prenez soin de vous !Un épisode présenté par Léo Laphin et Louis Larmet
Cette semaine au balado Les chiffres, nous décortiquons le plus récent sondage québécois de la maison Léger : intentions de vote, appui à la souveraineté et forte insatisfaction envers le gouvernement de François Legault.À l'échelle nationale, le Parti québécois demeure en tête, mais a perdu des plumes depuis l'été. Nouvelle tendance ou simple régression vers la moyenne ? Du côté de la souveraineté, moins d'un tiers des Québécois voteraient Oui dans un hypothétique référendum, malgré l'importante couverture entourant le 30e anniversaire du référendum de 1995. Ces chiffres pourraient-ils forcer le PQ à revoir sa stratégie en vue de 2026 ?Les données de Léger révèlent aussi un net désir de changement : une large majorité d'électeurs sont insatisfaits du gouvernement Legault, et le premier ministre lui-même pourrait être devenu un boulet pour sa formation.Pour devenir membre du balado, visitez www.leschiffres.ca Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Lorsque les États-Unis se sont réveillés de la plus longue paralysie gouvernementale de leur histoire, Jeffrey Epstein était toujours là », ironise El Pais. « Pendant les 43 jours où le robinet de l'argent public est resté partiellement fermé, le souvenir des terribles crimes du millionnaire pédophile – qui, depuis sa mort en 2019, hante Donald Trump – est passé au second plan face à d'autres questions urgentes ». Mais voilà, de nouveaux rebondissements sont intervenus, cette semaine, avec la publication, par les démocrates de la commission de surveillance de la Chambre des représentants, de mails dans lesquels Jeffrey Epstein affirme que Donald Trump « était au courant pour les filles » et qu'il avait passé « des heures » avec l'une des victimes du financier. Le président dénonce des « supercheries ». Mais l'affaire ne s'arrête pas là puisque, comme l'explique El Pais, une pétition parlementaire va contraindre le Congrès à voter et à exiger de la Maison-Blanche la publication des dossiers Epstein par le ministère de la Justice. Malgré les pressions exercées sur certains, « quatre républicains se sont joints à leurs rivaux, précise le quotidien espagnol, pour rassembler les 218 signatures nécessaires pour exiger la publication de ce dossier ». Vote attendu du Congrès sur la publication de dossiers Un démocrate de Californie estime, selon The Guardian, « qu'entre 40 et 50 républicains pourraient voter en faveur de la publication des documents, s'alliant ainsi aux démocrates qui voteront pour ». « Le texte, poursuit The Guardian, devrait ensuite être examiné par le Sénat, où son adoption est peu probable. » Et dans tous les cas, conclue le quotidien britannique, « Donald Trump pourrait opposer son veto à la version finale du projet de loi, même s'il était adopté par les deux chambres ». « Cependant, note The Guardian, la simple perspective d'un vote favorable de la Chambre des représentants, contrôlée par les républicains, pourrait engendrer de sérieux problèmes politiques pour Trump, car elle pourrait alimenter les protestations de sa base politique en faveur de la levée du secret sur ces documents et saper leur soutien envers lui. » « Epstein est le seul sujet qui divise constamment Trump et sa base électorale » : c'est d'ailleurs ce que titre le Washington Post. « Les partisans du slogan "Make America Great Again" n'ont eu aucun mal à fermer les yeux sur le mépris de Donald Trump pour les normes et les principes éthiques, souligne le Washington Post, mais la gestion par son administration des informations relatives aux crimes odieux du délinquant sexuel condamné Jeffrey Epstein est différente. » « C'est tout ce que la Maison Blanche redoutait : que l'affaire Epstein lui revienne en pleine figure », confirme le journal français L'Opinion, qui rappelle qu'en juillet, cette affaire avait déjà failli faire imploser le mouvement MAGA. La procureure générale, Pam Bondi, avait affirmé qu'il n'y avait pas de raison de dévoiler le contenu de l'enquête, après avoir promis de le faire quelques mois plus tôt. La fameuse liste des clients haut placés de l'ancien financier, qui auraient participé à ses crimes, « n'existe pas », avait-elle affirmé. « Plusieurs soutiens trumpistes s'étaient alors sentis trompés par leur chef, poursuit L'Opinion, apprenant par le biais des médias de nouveaux détails sur son amitié avec Jeffrey Epstein. » Le président américain traverse « une mauvaise passe » « En quelques jours seulement, note El Pais, le parti de Trump a subi une défaite cuisante aux urnes, la Cour suprême a exprimé des doutes quant à la constitutionnalité de ses tarifs douaniers, et une guerre intestine a éclaté au sein du mouvement MAGA concernant le niveau d'extrémisme (antisémite) acceptable en son sein, suite à une interview controversée entre Tucker Carlson et le négationniste Nick Fuentes. » Le Washington Post évoque aussi des critiques après une interview de Donald Trump, en début de semaine, faisant comprendre que les États-Unis avaient besoin de travailleurs étrangers parce qu'ils ne disposent pas d'assez de « personnes talentueuses ». Des dissensions qui « ont mis en lumière, analyse le Washington Post, les limites de l'autorité de Trump sur le programme de "l'Amérique d'abord" qu'il a défendu durant sa campagne, et qui ont suscité des inquiétudes au sein du Parti républicain quant à l'enthousiasme des électeurs à l'approche des élections de mi-mandat de 2026. » « En privé, tempère Politico, les conseillers de la Maison-Blanche réfutent l'idée que la situation actuelle soit particulièrement défavorable ou qu'ils aient essuyé une série de revers ». Mais la Maison-Blanche est, titre le média américain, « sur la défensive ». À lire aussiÉtats-Unis: la Maison Blanche accuse les démocrates de fabriquer «un faux récit» sur Trump et Epstein
Vår lyssnare Niklas undrar vilken politisk tillhörighet de tenderar ha som ”doppar fingrarna i den otillåtna syltburken”? Maggie Strömberg har pratat med statsvetare. Henrik Torehammar ställer den filosofiska frågan: vad är en skandal? Tillsammans minns de bostadsfiffel, läckta lösenordet "sigge" och en 23 sekunder lång tyyyyyystnad. Glöm inte att du får den bästa lyssningsupplevelsen i SvD-appen.
À l'occasion de la COP30, la caravane fluviale Iaraçu remonte le fleuve Amazone de Manaus à Belém avec, à son bord, des spécialistes des forêts tropicales. Une formidable aventure scientifique pour échanger entre experts et avec les communautés locales sur les meilleurs stratégies pour préserver l'Amazonie, les forêts du Bassin du Congo et d'Asie du Sud-Est. Après huit jours de navigation sur les eaux tumultueuses de l'Amazone, la caravane fluviale Iaraçu est arrivée à Belém en Amazonie brésilienne. Parti de Manaus, le 28 novembre, ce bateau bleu et blanc à trois étages a embarqué à son bord une vingtaine de scientifiques, venus partager leurs savoirs entre eux et avec les communautés locales au rythme des escales. Nous avons eu la chance de vivre cette aventure organisée par l'IRD, l'Ambassade de France au Brésil et le Centre franco-brésilien de la biodiversité en Amazonie. Chaque matin, en ouvrant la porte de notre cabine, le spectacle était magique. La forêt amazonienne défilait sur les rives ponctuées de maisons colorées sur pilotis. L'Amazonie impressionne par son immensité : 4 millions de km² répartis sur neuf pays, soit l'équivalent de la superficie de l'Europe. Elle émerveille aussi par sa biodiversité exceptionnelle, avec près de 120 000 espèces animales et plus de 40 000 espèces végétales recensées. Mais les forêts du Bassin du Congo et de Papouasie-Nouvelle-Guinée possèdent, elles aussi, une extraordinaire diversité de vie, tout aussi précieuse et spectaculaire. Les stratégies à défendre à la COP 30 pour protéger l'ensemble de ces forêts tropicales étaient au cœur de nombreuses discussions à bord. Embarquez avec nous, nous vous emmenons partager ces échanges qui nous concernent tous. → Le journal de bord Iaraçu. Avec : Laurent Durieux, géographe coordinateur IRD de l'initiative One Forest vision Raphaël Tshimanga Muamba, professeur d'hydrologie à l'Université de Kinshasa co-président de l'initiative Science pour le bassin du Congo Nicolas Barbier, directeur de recherche à l'IRD en écologie tropicale Géraldine Derroire, écologue, spécialiste des forêts tropicales au Cirad Claudio Almeida, coordinateur du programme de monitoring de l'Amazonie et d'autres écosystèmes brésiliens à l'INPE Jean-Michel Martinez, directeur de recherche en hydrologie et télédétection à l'IRD. Musiques diffusées pendant l'émission - BVDC II String Band - Blue Mountain - Greenpeace Brasil - Canção pra Amazônia - Music of the Ituri Forest - Lukembi and Voice - Nilson Chaves - Tres violeiros - Orquestra Brasileira de Música Jamaicana - Ondde é que eu vou parar - Umbanda musicians at Cabocla Yacira - Lembrai, O Lembrai - Combo Cordeiro - Palácio dos Bares.
Ce jeudi 13 novembre, les tensions internes au sein du Parti travailliste britannique pour contester le leadership de Keir Starmer, ont été abordées par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Dans cette édition :L'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, détenu pendant près d'un an en Algérie, a été gracié et transféré en Allemagne pour y être soigné d'un cancer de la prostate, après des efforts diplomatiques de la France et de l'Allemagne.La France commémore les 10 ans des attentats du 13 novembre 2015 à Paris, avec des cérémonies et hommages aux victimes, aux forces de l'ordre et aux secouristes intervenus ce soir-là.L'équipe de France de football affronte l'Ukraine au Parc des Princes, avec une forte émotion liée aux attentats de 2015, dans un match décisif pour la qualification à la prochaine Coupe du Monde.Le débat sur la réforme des retraites à l'Assemblée nationale a abouti à une suspension du projet, fruit d'une alliance entre le Parti socialiste et le Rassemblement national.Le budget de la sécurité sociale a été transmis au Sénat sans vote à l'Assemblée nationale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :L'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, détenu pendant près d'un an en Algérie, a été gracié et transféré en Allemagne pour y être soigné d'un cancer de la prostate, après des efforts diplomatiques de la France et de l'Allemagne.La France commémore les 10 ans des attentats du 13 novembre 2015 à Paris, avec des cérémonies et hommages aux victimes, aux forces de l'ordre et aux secouristes intervenus ce soir-là.L'équipe de France de football affronte l'Ukraine au Parc des Princes, avec une forte émotion liée aux attentats de 2015, dans un match décisif pour la qualification à la prochaine Coupe du Monde.Le débat sur la réforme des retraites à l'Assemblée nationale a abouti à une suspension du projet, fruit d'une alliance entre le Parti socialiste et le Rassemblement national.Le budget de la sécurité sociale a été transmis au Sénat sans vote à l'Assemblée nationale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 12 novembre 2025 : Réforme des retraites: la suspension passe...à quel prix?C'est le grand jour pour la réforme des retraites. Sa suspension a été débattue ce mercredi à l'Assemblée nationale, lors de la réouverture des discussions sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Mesure clé, elle conditionne la non-censure du gouvernement Lecornu par les socialistes, qui proposent de financer cette suspension par une hausse de la CSG sur les revenus du capital. Les échanges s'annonçaient houleux à gauche, et certains s'attendaient à un scrutin bien plus serré que prévu.Les députés du Rassemblement national ont approuvé la suspension. Leurs représentants avaient déjà voté en ce sens lors du débat en commission des affaires sociales, où la mesure a été adoptée par 22 voix contre 12. Le groupe socialiste a également voter pour, tout comme le groupe Libertés, indépendants, outre-mer et territoires (Liot), considéré comme l'électron libre du Parlement. « Liot était l'auteur de la motion de censure contre la réforme Borne en 2023 », a rappelé Harold Huwart, député d'Eure-et-Loir. Une motion rejetée à l'époque à neuf voix près.Les députés de La France insoumise, eux, ont voté contre l'article 45 bis. Selon eux, la suspension de la réforme ne vaut pas abrogation. Les écologistes et les communistes, longtemps indécis entre un vote contre et l'abstention, se sont réunis en fin de matinée et en début d'après-midi pour trancher.Les Républicains, qui avaient soutenu la réforme d'Élisabeth Borne et prévu dans leur programme présidentiel un recul de l'âge légal de départ à la retraite, ont voté contre la suspension.Même position du côté d'Horizons, malgré la présence de plusieurs ministres du parti au sein du gouvernement Lecornu.Le MoDem de François Bayrou a annoncé qu'il s'orientait « majoritairement vers l'abstention », tout comme les députés Renaissance.Le chef de file des députés Renaissance, Gabriel Attal, a d'ailleurs appelé ses troupes à s'abstenir, afin de ne pas compromettre le compromis avec le Parti socialiste.Dans le même temps, il plaide pour une « révolution » d'ici 2027, proposant de verser 1 000 euros à chaque enfant dès sa naissance pour anticiper sa retraite — une mesure dont le coût est estimé à 660 millions d'euros par an.« Très concrètement, on veut développer la capitalisation en France. Cela passe par un développement des plans d'épargne retraite, par un fléchage de l'intéressement et de la participation des entreprises vers ces plans, et par cette nouvelle mesure », a expliqué l'ancien Premier ministre. Il nous a accordé une longue interview diffusée dans le #danslair du jour.Pendant ce temps, outre-Atlantique, Donald Trump a de nouveau provoqué la polémique. Lors d'un échange houleux avec une journaliste de Fox News, lundi 10 novembre, l'ancien président américain a critiqué la France, estimant qu'elle « ne vaut pas mieux » que la Chine.« On a eu beaucoup de problèmes avec les Français. Nos technologies ont été taxées de manière très injuste. Ils ont mis 25 % de taxes sur les produits américains », a-t-il insisté, en référence au doublement de la taxe Gafam voté en octobre dernier par les députés de l'Assemblée nationale.Nos experts : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Lucie ROBEQUAIN - Directrice de la rédaction - La Tribune et La Tribune Dimanche- Pauline DE SAINT-REMY - Directrice adjointe de la rédaction de Politico- Christophe JAKUBYSZYN - Directeur des rédactions des Echos
durée : 00:12:48 - Journal de 7 h - L'Assemblée nationale se prononce ce mercredi 12 novembre sur la suspension de la réforme des retraites. Une promesse du gouvernement Lecornu pour rallier le soutien du Parti socialiste, qui n'est pas toutefois certaine d'être respectée, tant les dissensions au sein de l'Assemblée sont profondes.
Dans cette édition :L'écrivain franco-algérien Boualem Sansal est libéré de prison en Algérie après un an d'emprisonnement, grâce à l'intervention du président allemand Steinmeier auprès du président algérien.Le comité de soutien à Boualem Sansal se réunit à l'École supérieure de journalisme de Paris pour célébrer sa libération, avec des témoignages de sa fille et des membres du comité.L'Assemblée nationale adopte la suspension de la réforme des retraites jusqu'en 2027, avec le soutien du Parti socialiste et du Rassemblement national, malgré les critiques du camp présidentiel.Un jeune de 16 ans meurt dans un accident à Tourcoing après avoir refusé un contrôle de police, illustrant le phénomène récurrent des refus d'obtempérer dans la région.Les marchés financiers poursuivent leur hausse, avec le CAC 40 qui se rapproche de ses sommets historiques.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
durée : 00:12:48 - Journal de 7 h - L'Assemblée nationale se prononce ce mercredi 12 novembre sur la suspension de la réforme des retraites. Une promesse du gouvernement Lecornu pour rallier le soutien du Parti socialiste, qui n'est pas toutefois certaine d'être respectée, tant les dissensions au sein de l'Assemblée sont profondes.
Dans cette édition :L'écrivain franco-algérien Boualem Sansal est libéré de prison en Algérie après un an d'emprisonnement, grâce à l'intervention du président allemand Steinmeier auprès du président algérien.Le comité de soutien à Boualem Sansal se réunit à l'École supérieure de journalisme de Paris pour célébrer sa libération, avec des témoignages de sa fille et des membres du comité.L'Assemblée nationale adopte la suspension de la réforme des retraites jusqu'en 2027, avec le soutien du Parti socialiste et du Rassemblement national, malgré les critiques du camp présidentiel.Un jeune de 16 ans meurt dans un accident à Tourcoing après avoir refusé un contrôle de police, illustrant le phénomène récurrent des refus d'obtempérer dans la région.Les marchés financiers poursuivent leur hausse, avec le CAC 40 qui se rapproche de ses sommets historiques.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui mercredi, relate Le Monde, « l'Assemblée nationale se penchera sur la suspension de la réforme des retraites, proposée par le gouvernement de Sébastien Lecornu dans le cadre de la discussion sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Avant même l'ouverture des débats, les socialistes se félicitent d'avoir obtenu le scalp de ce “totem macroniste“ en échange d'une non-censure du gouvernement. Les députés du camp présidentiel devraient ainsi s'abstenir, ouvrant la voie à une validation de la décision gouvernementale dans l'Hémicycle. » Sourires et soupirs « Ce n'est pas tous les jours que la gauche peut revendiquer une victoire à l'Assemblée nationale, s'exclame Libération. L'adoption de cette “suspension“ de la réforme Borne n'arracherait pas seulement des sourires aux socialistes. Sur le banc des ministres, de discrets soupirs de soulagement pourraient se faire entendre. Car cette promesse n'est autre que l'offrande de départ de Sébastien Lecornu aux socialistes pour réchapper à une motion de censure et poursuivre les discussions budgétaires pour 2026. Voilà pourquoi le gouvernement a pris grand soin de remonter ce tout dernier article du projet de loi de financement de la Sécurité sociale dans l'ordre de discussion, alors qu'il ne reste plus beaucoup de temps aux députés pour boucler l'examen du texte avant son renvoi au Sénat, ce mercredi à minuit. » Absurdité économique ? Le Figaro fulmine : « au terme d'un marchandage honteux, les députés s'apprêtent à voter la suspension de la réforme des retraites. Ils le feront avec l'assentiment du gouvernement et du bloc central, terrifiés à l'idée d'une censure ou d'une dissolution. (…) Dans l'absurdité économique, on fait difficilement mieux, dénonce le quotidien de droite. Tout a été dit sur la situation catastrophique de notre système, qui court à la faillite. La France vieillit, les actifs sont toujours moins nombreux à financer des retraités toujours plus nombreux… Suspendre une réforme déjà considérée comme insuffisante est en soi une aberration. Accroître par la même occasion le déficit que l'on avait pour mission de réduire est une trahison. » Macron résigné Quant à Emmanuel Macron, qui voulait faire de cette réforme des retraites un totem de son quinquennat, il est « dans la résignation, croit savoir Le Parisien. À contrecœur, le président a dû céder », pointe le journal. C'était « la condition sine qua non afin de s'assurer la bienveillance du Parti socialiste et donc une précaire stabilité politique. » Et « si, sur le court terme, cette suspension reste douloureuse pour l'hôte de l'Élysée, elle pourrait surtout, en 2027, ruiner l'image de son second quinquennat. Sans les retraites, Emmanuel Macron n'aura aucune grande réforme à mettre en avant, au moment de l'inventaire. » Fossé à gauche Enfin, pour La Croix, « aucun parti ne sortira indemne de cet épisode budgétaire. Le RN fait étalage de ses incohérences, en cherchant à faire coexister deux lignes, l'une pro-entreprise prompte à dénoncer les hausses d'impôts, et l'autre plus sociale qui y est favorable. Le bloc central, lui, creuse encore ses divisions, alimentées par les appétits présidentiels de ses principales têtes d'affiche. Mais c'est à gauche que la recomposition politique est la plus avancée, affirme le quotidien catholique. Comme va encore le montrer ce mercredi leur vote opposé sur la suspension de la réforme des retraites, le fossé ne cesse de s'élargir entre le PS et les Insoumis. Fût-ce avec l'arrière-pensée d'éviter une dissolution, les premiers ont fait le choix exigeant de la main tendue. Ils se sont engagés sur le chemin difficile du compromis, au risque de déboussoler leurs électeurs. Le contraste n'en est que plus grand avec leur ancien partenaire, La France insoumise donc, relève encore La Croix, qui reste figé dans son refus de tout compromis et sa volonté de précipiter les élections. La résurgence de désaccords stratégiques qu'avaient difficilement fait oublier leurs dernières alliances électorales. » À lire aussiFrance: le vote sur la réforme des retraites arrive à l'Assemblée
Le gouvernement va déposer un amendement visant à élargir la suspension de la réforme des retraites aux carrières longues. Une demande formulée par le Parti socialiste, les Écologistes et les communistes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il presidente brasiliano Lula ha dato ufficialmente inizio alla trentesima Conferenza delle Parti sul Clima (Cop), tra basse aspettative e un paese alle prese con la violenza delle gang. Grazie a Jacopo Bencini, presidente di Italian Climate Network e policy advisor, capiamo qual'è la strategia del Brasile Per la prima volta dalla fine della Seconda guerra mondiale, un leader siriano è stato accolto alla Casa Bianca: dal nome di battaglia Al-Jolani alla camicia bianca di Ahmed al-Sharaa, ora perfino la Siria farà parte della Coalizione globale per sconfiggere lo Stati islamico. Diverse persone dall'Italia - e non solo – sono andate in Bosnia durante l'assedio di Sarajevo dal ‘92 al ‘96 a sparare, come dei cecchini, ai civili all'interno della città. Le indagini a Milano si concentrano su almeno 5 persone, vicine agli ambienti di estrema destra.
Le 8 novembre 1939 à Munich, Georg Elser, un simple ouvrier farouchement opposé au nazisme, installe un engin explosif dans la brasserie où Adolf Hitler célèbre chaque année l'anniversaire de son putsch manqué de 1923. Parti avec 13 minutes d'avance, le Führer échappe in extremis à l'explosion qui fait plusieurs victimes. Arrêté alors qu'il tente de gagner la Suisse, Georg Elser entre dans l'Histoire comme celui qui aurait pu changer le destin du monde. Revivez ce rendez-vous manqué avec l'Histoire. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Calvès. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Annick Leclerc a lancé une pétition pour permettre l’abolition des taxes sur les vêtements d’occasion pour enfants. Entrevue avec Annick Leclerc, propriétaire de la boutique Bebemeghan à Sherbrooke. Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
00:00 Un marché des Gueux devant la gare Montparnasse mardi 11 novembre
Pierre Poilievre, chef du Parti conservateur du Canada, débarque dans les studios de Ian & Frank pour une entrevue très attendue par nos auditeurs ! Il commente le budget tout juste déposé à Ottawa, qui creusera le déficit de 78 milliards de dollars sans aucune volonté de retour à l'équilibre budgétaire dans un avenir rapproché. On aborde également la situation avec les États-Unis, la défense nationale, la crise du logement ainsi que les enjeux énergétiques et l'habitation au Canada.0:00 Introduction0:34 Le budget 2025 : d'énormes dépenses !4:30 La dette profite aux riches !7:28 La TPS ne couvre même plus les intérêts sur la dette10:36 Un budget « conservateur » selon le Bloc ?13:27 L'unité canadienne et les États-Unis18:25 Les contre-tarifs ?24:20 Le retour des souverainistes ? (Alb. et Qc)26:50 L'immigration et les tensions communautaires30:10 L'idéologie woke et les terres non cédées32:26 Redorer l'armée canadienne35:54 La grève à Postes Canada37:51 Réduire la bureaucratie42:10 Defund CBC43:30 Bâtir « Maison Canada » ?49:40 Un TGV et la perte de contrôle des grands projets
Le 8 novembre 1939 à Munich, Georg Elser, un simple ouvrier farouchement opposé au nazisme, installe un engin explosif dans la brasserie où Adolf Hitler célèbre chaque année l'anniversaire de son putsch manqué de 1923. Parti avec 13 minutes d'avance, le Führer échappe in extremis à l'explosion qui fait plusieurs victimes. Arrêté alors qu'il tente de gagner la Suisse, Georg Elser entre dans l'Histoire comme celui qui aurait pu changer le destin du monde. Revivez ce rendez-vous manqué avec l'Histoire. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Calvès. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Patrick Sébastien, chanteur, imitateur et animateur à la personnalité singulière, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est la COP 30 c'est-à-dire le sommet des chefs d'État et de gouvernement à Belém (Brésil). Le secrétaire général des Nations unies, António Guterres y participe, bien sûr, et a dénoncé une «faillite morale» des dirigeants mondiaux, reconnaissant l'échec collectif à limiter le réchauffement à 1,5 °C... l'objectif central de l'Accord de Paris. Il a rappelé que l'humanité dispose désormais des outils nécessaires pour agir, grâce à la progression rapide des énergies renouvelables. Avec LE Thu Hang de la rédaction vietnamienne : le Vietnam veut rendre plus visible et imposer au monde le rôle du secrétaire général du Parti communiste vietnamien en tant que (le vrai) chef d'État Ligia Anjos pour la rédaction en brésilien : le 11 novembre 1975 à Luanda, un homme, poète et médecin, montait sur une tribune improvisée. Il s'appelle Agostinho Neto. Ksenia Jornoklé de la rédaction ukrainienne : Kiev a officiellement autorisé l'exportation contrôlée de certains types d'armement.
Des centaines de sites internet composant un vaste réseau de dissémination d'articles de propagande pro-russe et chinoise est mis à jour dans l'étude Baybridge que publient l'IRSEM et Tadaweb. Les chercheurs qui ont documenté cette opération d'influence, à la fois complexe et sophistiquée, décrivent toutefois un écosystème de qualité médiocre, avec de nombreuses incohérences du point de vue informationnel. La cartographie de ce réseau s'avère riche d'enseignements. Le rapport Baybridge dévoile un ambitieux projet d'influence visant à disséminer des récits de propagande pro-russe et chinoise, à travers des centaines de faux sites internet provenant d'un écosystème chinois composé de plusieurs agences de marketing digital, dont deux principales Haixun et Haimai, situées à Shenzhen et Shanghaï. Ou comment une opération hypersophistiquée échoue à trouver sa cible. Un loupé riche d'enseignements, que nous dévoilent Paul Charon de l'IRSEM et Côme Allard de Tadaweb, grâce à l'exploitation de données en sources ouvertes. L'enquête permet de révéler les divers strates du réseau, les agences et les sites sources qui permettent de stocker des milliers d'articles, avant qu'ils ne se propagent à travers des sites internet permettant de masquer la provenance des contenus. Les recherches en sources ouvertes révèlent également l'identité des responsables de ces entreprises, les liens avec des organes de propagande du PCC, le Parti communiste chinois, à l'échelon local. L'analyse de ces données relativise enfin la portée de ce projet ambitieux, de facture médiocre, qui ne semble pas rattaché aux plus hautes sphères du pouvoir. Paul Charon explique néanmoins l'intérêt de cette cartographie, à titre préventif. Il s'agit de mieux connaître les modes opératoires de la désinformation afin d'être en mesure d'évaluer la menace et d'adapter la riposte. La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Guerre en Ukraine : comment la propagande pro-russe exploite les générateurs de vidéos par IA pour désinformer. La chronique de Charlotte Durand de l'AFP factuel : Images décontextualisées sur les manifestations en Tanzanie.
Aux Etats-Unis, plusieurs succès électoraux pour le Parti démocrate. Zohran Mamdani s'est imposé dans la course à la mairie de New York tandis que les démocrates Abigail Spanberger et Mikie Sherrill ont été élues gouverneures, respectivement dans les États de Virginie et du New Jersey.
durée : 00:03:12 - Le monde à l'endroit - La victoire de Zohran Mamdani aux municipales de New York suscite un grand intérêt médiatique en France et l'engouement de la gauche hexagonale. Mais si elle constitue un revers majeur pour Donald Trump, elle ne solde pas la question de la ligne politique du Parti démocrate. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depuis qu'il a été réélu, il y a un an tout juste, Donald Trump imprime sa marque sur les États-Unis : guerre commerciale, offensive contre les migrants, mais aussi chasse aux employés fédéraux. Près de 300 000 postes ont été supprimés depuis le début de l'année dans la Fonction publique au nom de «l'efficacité gouvernementale». Des fonctionnaires qui subissent, en plus, le «shutdown» depuis plus d'un mois. Certains travaillent sans être payés ; d'autres ont été placés au chômage forcé, sans toucher de salaire. Des banques alimentaires organisent désormais des distributions d'aide alimentaire spécialement réservées aux fonctionnaires. Reportage de Vincent Souriau à Memphis, dans le Tennessee. Anne Cantener poursuit la discussion sur ce sujet avec son invité Corentin Cellin, professeur agrégé d'Histoire et chroniqueur sur le site d'information Les jours. Il analyse la «purge idéologique» que vivent les États-Unis. «Les fonctionnaires qui sont chassés sont ceux qui ont pris position contre l'administration Trump», raconte Corentin Cellin. Particulièrement visés : le ministère de la Justice et le FBI. Cette mise au pas était annoncée et prévue par le Projet 2025 de la Fondation Heritage. Mais l'expert des États-Unis se dit surpris par la vitesse avec laquelle Donald Trump met son plan en application. Au Mexique, l'émotion après l'assassinat du maire de Uruapan Les députés ont observé une minute de silence en mémoire de Carlos Manzo tué samedi (1er novembre 2025) lors de la célébration de la Toussaint dans sa ville, et alors qu'il bénéficiait pourtant d'une protection policière, rapporte El Sol de Mexico. Sur leurs sièges ou leurs bureaux, les parlementaires du PRI, le Parti révolutionnaire institutionnel, ont déposé un chapeau blanc tâché de rouge. Ce même chapeau qui était le signe distinctif de Carlos Manzo, explique le quotidien. Un maire qui a tenté de lutter contre les groupes criminels. Il a enregistré quelques victoires. Il a porté des coups sérieux aux cartels qui opèrent dans le Michoacan, rapporte El Sol de Mexico. Et cela lui a coûté la vie. Carlos Manzo était courageux, téméraire même, mais il était seul, estime David Saucedo, expert en Sécurité publique et délinquance organisé, interviewé par El Sol de Mexico. Uruapan a 400.000 habitants mais seulement 350 policiers. Et son maire n'avait le soutien ni du gouvernement provincial ni du gouvernement fédéral, analyse ce spécialiste. Au cours des quatre dernières années, six maires du Michoacan ont été assassinés, cinq autres victimes d'attentats. La présidente Claudia Sheinbaum a annoncé un plan pour le Michoacan hier, lors de sa conférence de presse quotidienne. Cela fait une vingtaine d'années que «des gouvernements de bords politiques différents promettent de rétablir la paix au Michoacan, et ils ont toujours échoué», relève Milenio. En 2006, Felipe Calderon avait envoyé l'armée dans cet État. Résultat : une escalade de violences. En Haïti, les autorités alertent une nouvelle fois sur la recrudescence du choléra Oui, recrudescence notamment à Pétionville, nous apprend Le Nouvelliste. «Des opérations d'assainissement, de fumigation et de dératisation sont en cours dans la région métropolitaine (de Port-au-Prince), particulièrement dans les quartiers où les inondations et les accumulations d'ordures augmentent le risque de contamination», peut-on lire dans le journal. Le gouvernement est, en effet, inquiet pour les zones qui ont été dévastées par Melissa, surtout le sud et l'ouest d'Haïti. «Les fortes pluies et inondations provoquées par le passage de l'ouragan (...) risquent d'aggraver la situation sanitaire, en favorisant la contamination de l'eau et la transmission du choléra», écrit Alterpresse. Le ministère de la Santé redoute également une hausse de cas de diarrhée, de typhoïde et de paludisme, précise Le Nouvelliste. Les campagnes de communication visant à rappeler les règles d'hygiène se sont intensifiées. Mais la priorité reste, bien sûr, l'accès à l'eau potable dans les zones sinistrées. Le journal de la 1ère En Martinique, le procès des déboulonneurs de statues a commencé ce lundi 3 novembre 2025.
La buvette est un lieu important de l'Assemblée nationale. Et on se demande si c'est un lieu de travail parce que certains estiment qu'il s'agit d'une forme de bureau. Mais au bureau, l'alcool est interdit. C'est en tout cas ce que recommande un rapport parlementaire au nom de l'exemplarité. Le député Génération.s du Loiret, Emmanuel Duplessy, est à l'origine de cette proposition. "Ce n'est pas anecdotique, c'est très politique", affirme David Revault d'Allonnes. Pour lui, même si certains députés se sont illustrés ces dernières années par leur état d'ébriété, il n'est pas question de dépeindre l'hémicycle comme un lieu de beuverie. Le gouvernement a saisi la justice pour demander le blocage de la plateforme Shein dans l'Hexagone, accusée de violer la réglementation en proposant des produits interdits. Pascal Perri, lui, estime que le mariage entre Shein et BHV profite à l'enseigne chinoise. En outre, il ne croit pas non plus à la logique commerciale du BHV en parlant d'innovation. Zohran Mamdani, 34 ans, musulman chiite, figure de la gauche américaine du Parti démocrate, a remporté mardi 4 novembre la mairie de New York. Abnousse Shalmani est choquée par le fait qu'il instrumentalise sa foi. Pour elle, il est le parfait populiste de gauche, le pendant de gauche de l'actuel président des États-Unis. Elle pense aussi que le nouveau maire de New York fragmente l'électorat en groupe identitaire. Pour elle, Zohran Mamdani n'est pas un anti-Trump, mais le double inversé du locataire de la Maison Blanche. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas, remplacée ce mercredi soir par Élizabeth Martichoux, apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au sommaire de Radio foot internationale, ce mardi 4 novembre 2025 à 16h10 TU & 21h10 TU : Quatrième journée de Ligue des Champions : c'est parti ! Trois affiches pour vibrer, trois styles, trois ambiances. PSG / BAYERN MUNICH. LIVERPOOL / REAL MADRID. BODØ/GLIMT / MONACO. PSG / BAYERN MUNICH Choc au Parc ! Deux équipes invaincues en C1 — Kompany prévient : «Il faudra un match parfait pour battre Paris». Duel tactique, gestion des stars et des absences : qui prendra l'ascendant dans ce sommet européen ? Cédric de Oliveira, qui sera toute la soirée sur notre antenne en direct du Parc des Princes, nous racontera l'atmosphère et les enjeux du soir. LIVERPOOL / REAL MADRID Anfield en ébullition : le Real veut poursuivre son sans-faute, Liverpool doit répondre, porté par son public. Les Reds peuvent-ils stopper la machine madrilène ? Qui fera basculer ce classique européen ? BODØ/GLIMT / MONACO Virée au nord du Cercle polaire ! Bodø/Glimt impose son intensité, Monaco doit s'adapter au froid, au rythme et à l'enjeu pour espérer relancer sa campagne. Les hommes du Rocher peuvent-ils ramener les trois points de Norvège ? Autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Manu Terradillos, Said Amdaa et David Lortholary. Édition : David Fintzel — Technique/Réalisation : Laurent Salerno.
C dans l'air du 4 novembre 2025 : Aides sociales, santé : la fin de la "générosité" ?Une nouvelle étape du marathon budgétaire s'ouvre ce mardi à l'Assemblée : après avoir mis sur pause les débats sur la partie « recettes » du projet de loi de finances, les députés s'attaquent à l'examen du budget de la Sécurité sociale, et des coupes sévères sont avancées. Franchises médicales, durée des arrêts de travail, cotisation sur les tickets-restaurant… Le gouvernement a prévu des économies massives pour réduire le déficit de la Sécu à 17,5 milliards d'euros en 2026, contre 23 cette année.Les discussions s'annoncent inflammables, et le texte sera sans aucun doute remanié. Le Premier ministre, Sébastien Lecornu, a lui-même déclaré vendredi être prêt à renoncer au gel des pensions de retraite et des minima sociaux, l'une des mesures les plus contestées. Une nouvelle concession, après avoir fait inscrire la suspension de la réforme des retraites dans le texte, l'une des conditions du Parti socialiste pour ne pas censurer. « En réalité, c'est sur le PLFSS que le sort du gouvernement se joue dans les jours qui viennent », a déclaré à l'AFP le socialiste Jérôme Guedj."Si on n'a pas le courage de s'attaquer à bras-le-corps à son équilibre, ça va déraper. On va arriver à un moment où on ne sera plus capable de payer les retraites, de payer les remboursements", a estimé, de son côté, le ministre du Travail ce matin sur France Inter. "Il faut faire attention, je ne suis pas sûr que notre pays ait les moyens de poursuivre ces politiques de générosité maximale", a également averti Jean-Pierre Farandou.Parmi les sujets en discussion, la question des affections de longue durée (ALD) risque notamment de donner ces prochains jours matière à de vifs échanges. Celles-ci concernent des maladies dont la gravité ou le caractère chronique nécessitent un traitement prolongé (cancers, accidents vasculaires cérébraux invalidants, diabète de type 1 ou 2, certaines affections psychiatriques, etc.). « L'augmentation inédite des maladies chroniques invite à une réforme profonde du dispositif des affections de longue durée (ALD) : 26 % de la population pourrait relever de ce dispositif en 2035, soit 18 millions de personnes représentant les trois quarts de la dépense d'Assurance maladie, contre 14 millions de bénéficiaires en 2022 », écrit le gouvernement dans le dossier accompagnant la présentation du PLFSS 2026. Nos journalistes ont rencontré des Français atteints d'affections de longue durée (ALD).Ils sont aussi allés à Chalon-sur-Saône, où le ministre de l'Industrie, Sébastien Martin, a piloté pendant dix ans la réindustrialisation du site Kodak, fermé en 2008.LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Carl MEEUS - Rédacteur en chef - Le Figaro Magazine - Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges - Marc VIGNAUD - Journaliste en charge du suivi des politiques économiques – L'Opinion
Au sommaire de Radio foot internationale, ce mardi 4 novembre 2025 à 16h10 TU & 21h10 TU : Quatrième journée de Ligue des Champions : c'est parti ! Trois affiches pour vibrer, trois styles, trois ambiances. PSG / BAYERN MUNICH. LIVERPOOL / REAL MADRID. BODØ/GLIMT / MONACO. PSG / BAYERN MUNICH Choc au Parc ! Deux équipes invaincues en C1 — Kompany prévient : «Il faudra un match parfait pour battre Paris». Duel tactique, gestion des stars et des absences : qui prendra l'ascendant dans ce sommet européen ? Cédric de Oliveira, qui sera toute la soirée sur notre antenne en direct du Parc des Princes, nous racontera l'atmosphère et les enjeux du soir. LIVERPOOL / REAL MADRID Anfield en ébullition : le Real veut poursuivre son sans-faute, Liverpool doit répondre, porté par son public. Les Reds peuvent-ils stopper la machine madrilène ? Qui fera basculer ce classique européen ? BODØ/GLIMT / MONACO Virée au nord du Cercle polaire ! Bodø/Glimt impose son intensité, Monaco doit s'adapter au froid, au rythme et à l'enjeu pour espérer relancer sa campagne. Les hommes du Rocher peuvent-ils ramener les trois points de Norvège ? Autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Manu Terradillos, Said Amdaa et David Lortholary. Édition : David Fintzel — Technique/Réalisation : Laurent Salerno.
Zohran Mamdani, jeune représentant de la gauche du Parti démocrate et opposant résolu à Donald Trump, est élu maire de New York au terme du plus suivi des scrutins locaux organisés dans le pays, premier test électoral pour le président américain.. Ce démocrate d'origine indienne, inconnu il y a quelques mois, bouscule le paysage politique avec un programme anticapitaliste. Elisa Chelle, politologue spécialiste des Etats-Unis, dresse son portrait dans le Point J. Un épisode réalisé juste avant la confirmation de son élection. Journaliste : Caroline Stevan Réalisation : Brian Lanni Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:07 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Face à Sébastien Lecornu, le Parti socialiste voulait des victoires concrètes. Après huit jours de débat, le bilan est mince. Et la stratégie, confuse.
durée : 00:23:20 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - Olivier Faure, député de Seine-et-Marne, Premier secrétaire du Parti socialiste est l'invité du Grand Entretien, alors que le débat sur le futur budget bat toujours son plein à l'Assemblée nationale. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:23:20 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - Olivier Faure, député de Seine-et-Marne, Premier secrétaire du Parti socialiste est l'invité du Grand Entretien, alors que le débat sur le futur budget bat toujours son plein à l'Assemblée nationale. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Après le célèbre À la prochaine fois de René Lévesque, une série d'étapes a mené à un deuxième référendum sur la souveraineté du Québec. Le 30 octobre 1995, la population était conviée aux urnes. Éric Bédard, historien, mais aussi président du Comité national des jeunes du Parti québécois (PQ) à l'époque, nous rappelle quelles sont ces étapes.
durée : 00:12:05 - Journal de 7 h - Si le PVV - parti d'extrême droite fondé par Geert Wilders - réalise une véritable percée, le centriste Rob Jetten semble le plus à même de construire une coalition pour former le nouveau gouvernement.
Parti pour l'Inde française, Dupleix bâtit sa fortune et son prestige à Chandernagor. En 1742, il devient gouverneur de Pondichéry et rêve de créer un empire français des Indes. Pour réaliser son projet, il s'allie avec les princes moghols et s'entoure des fastes orientaux. Mais ses ambitions expansionnistes inquiètent la cour de Louis XV qui finit par le rappeler en France. Plongez dans le destin de Dupleix, visionnaire ruiné et nabab déchu. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Deltombe. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olivier Niquet résume le congrès du Parti libéral du Québec. Michel Désautels présente son premier récit, «Parfum de croquias», et évoque des moments de sa vie associés à des odeurs. Et Simon et Tyler racontent une histoire effrayante pour l'Halloween.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 octobre 2025.Avec cette semaine :- Nicolas Baverez, essayiste et avocat.- David Djaïz, entrepreneur et essayiste.- Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.- Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LE VOL DU LOUVRE ET LA PROTECTION DU PATRIMOINEAu musée du Louvre, dimanche dernier, une série de bijoux datant du XIXe siècle ont été dérobés en quelques minutes par plusieurs malfaiteurs dans la galerie d'Apollon. Huit pièces manquent à l'appel. Le butin a été estimé à 88 millions d'euros par la conservatrice du musée, a annoncé mardi la procureure de Paris. La couronne de l'impératrice Eugénie, d'abord volée, a été retrouvée près du site, vraisemblablement égarée par les voleurs dans leur fuite. Très fréquenté, le musée a accueilli 8,7 millions de visiteurs en 2024. Il s'étend sur 73.000 mètres carrés et contient environ 35.000 œuvres issues de collections du monde entier. Le dernier vol recensé au Louvre a eu lieu en 1998 : une toile de Camille Corot, volée en pleine journée et jamais retrouvée.Lors de son audition mercredi au Sénat, la présidente du musée Laurence des Cars a indiqué qu'aucune caméra ne couvrait le balcon de la galerie d'Apollon, où sont passés les braqueurs, mais a réfuté tout « retard » dans la mise en œuvre du plan de sécurisation, contestant les observations de la Cour des comptes. Elle a confirmé avoir présenté sa démission, « refusée » par la ministre de la culture, et a notamment souhaité solliciter le ministère de l'intérieur pour étudier la possibilité d'installer un commissariat de police au sein du musée.Alors que le Louvre a rouvert ses portes mercredi matin, The Economist rappelle, étude scientifique à l'appui, que le vol d'œuvres dans les grands musées est presque une routine : on en recense 40 dans le monde depuis 1990 (majoritairement en Europe)… plus d'un par an. Dans quasiment un cas sur cinq, la valeur des objets dérobés dépasse les 100 millions d'euros avec un record à 450 millions d'euros pour le Van Gogh Museum d'Amsterdam en 1991. Moins d'une fois sur deux les œuvres volées ont finalement été récupérées.La portée symbolique de ce cambriolage n'est pas sans rappeler, pour Le Figaro, celui de l'incendie de Notre-Dame de Paris, en 2019, ou du vol de La Joconde en 1911. L'incendie de Notre-Dame avait mis en lumière la vulnérabilité d'autres édifices religieux. Un plan « sécurité » avait été lancé en 2020 pour les 87 cathédrales dépendant de l'État qui ont renforcé depuis leurs dispositifs de sécurité par des formations aux secours, des caméras thermiques, des porte coupe-feu… Selon la Direction nationale du renseignement territorial, 401 faits antichrétiens ont été recensés entre janvier et juin 2025, soit + 13 % par rapport à la même période en 2024. Une hausse significative qui intervient après deux ans de baisse. Mais pour l'Observatoire du patrimoine religieux, association indépendante qui effectue une veille en temps réel, ces chiffres sont « sous-estimés, parce qu'il n'y a pas toujours des plaintes ». Selon son vice-président, il y aurait aujourd'hui « trois à cinq fois plus de vandalisme touchant les édifices catholiques qu'il y a dix ans ».LE MOUVEMENT NO KINGSDe Washington à San Francisco, en passant par New York, Tampa ou Los Angeles, samedi 18 octobre dans 2.700 villes, près de sept millions d'Américains ont manifesté pacifiquement, contre Donald Trump et son usage autoritaire du pouvoir. Un mouvement lancé par un collectif de 300 associations regroupées derrière le slogan « No Kings » « pas de rois ». Ce collectif d'associations de défense des libertés civiles, dont certaines sont proches du Parti démocrate annonce la couleur sur la page d'accueil du site Internet qui coordonne les manifestations : « Pas de trônes, pas de couronnes, pas de rois : le pouvoir appartient au peuple. » Le mouvement qui dit vouloir s'opposer aux « abus de pouvoir », déplore « l'envoi d'agents militarisés » dans des villes démocrates et les « cadeaux aux milliardaires ». Il entend « défendre la démocratie » face à « la dictature ». Dans les cortèges, les manifestants qui revendiquent la défense des valeurs américaines, ont concentré leurs critiques sur les attaques contre la liberté de la presse, le droit de vote des minorités ou la séparation des pouvoirs. Le déploiement de la garde nationale dans plusieurs villes américaines, ainsi que les rafles opérées par la nouvelle police anti-immigration nourrissent l'indignation. Cette deuxième contestation d'ampleur, a été trois fois plus suivie qu'un événement similaire à la mi-juin.Né de la société civile, ce mouvement a reçu le soutien public de plusieurs personnalités politiques. Il a notamment été relayé par l'ancienne candidate démocrate Kamala Harris. Dans les cortèges, on a pu voir le leader de l'aile gauche démocrate Bernie Sanders, ou le sénateur de New York Chuck Schumer. Le mouvement a été également soutenu par des artistes comme Robert De Niro. Cette nouvelle journée de mobilisation survient par ailleurs en pleine paralysie budgétaire de l'État fédéral et alors que Donald Trump a déployé des militaires dans plusieurs fiefs démocrates pour, selon lui, lutter contre l'immigration illégale et la criminalité. La droite a fustigé un mouvement de « haine de l'Amérique », tandis que plusieurs membres de l'administration Trump ont accusé les manifestants d'être des « extrémistes ». Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, a ainsi jugé que le mouvement était animé par « des partisans du Hamas et des antifas ». Un qualificatif qui pourrait ouvrir la voie à des poursuites, le président Donald Trump ayant récemment signé un décret qui classe le mouvement « antifa » comme étant une « organisation terroriste ». À ses yeux, ce mouvement serait une « entreprise militarisée et anarchiste qui appelle explicitement au renversement du gouvernement des États-Unis ». En réponse à ces manifestations, Donald Trump a publié sur les réseaux sociaux, depuis sa résidence de Mar-a-Lago en Floride, une vidéo réalisée grâce à l'intelligence artificielle. On y voit le président américain aux commandes d'un avion, la tête coiffée d'une couronne, en train de bombarder les cortèges de manifestants avec des excréments.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:52 - Journal de 8 h - L'examen du projet de loi de finances pour 2026 a débuté hier à l'Assemblée. Le gouvernement est attendu au tournant, notamment par le Parti socialiste, sur une toute série de mesures de justice fiscale discutées ce week-end dans l'hémicycle. - invités : Aurore Richard Journaliste à Radio France
C dans l'air l'invité du 24 octobre 2025 avec Benjamin Morel, constitutionnaliste et maître de conférences à l'université Panthéon Assas.Dans la nuit de mercredi à jeudi, le volet recettes du projet de loi de finances a été rejeté en commission des finances, ce qui augure de débats houleux en séance à l'Assemblée, dont le coup d'envoi a été donné aujourd'hui à 15h. Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a d'ores et déjà prévenu que "si dans les toutes prochaines heures, en gros jusqu'à lundi prochain, il n'y avait pas d'évolution sensible sur le texte, en réalité, ce serait terminé". Mais le Premier ministre, qui sera particulièrement présent sur les bancs de l'Assemblée et qui a donné le coup d'envoi de l'examen de la partie recettes du budget, a assuré, selon des propos rapportés par Le Parisien, qu'il fallait "être mobiles, être adeptes de la guerre de mouvement plutôt que de la guerre de tranchées." De son côté Marine Le Pen, présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale dénonce un "théâtre", un "sketch préparé entre le gouvernement et le Parti socialiste", "Un scenario a été écrit. Les décors sont de Sébastien Lecornu, les textes de Olivier Faure."Reste à savoir si des compromis pourront tout de même être trouvés pour donner un budget à la France et ainsi éviter au gouvernement de recourir à une loi spéciale ou, chose inédite, aux ordonnances. En effet, Sébastien Lecornu a fait le choix de renoncer au 49-3 pour satisfaire les socialistes, sur lesquels reposent la responsabilité de faire tomber, ou non, le gouvernement.Benjamin Morel, constitutionnaliste et maître de conférences à l'université Panthéon Assas, sera notre invité ce soir pour nous livrer son éclairage sur le début de l'examen de la partie recettes du budget pour 2026 à l'Assemblée nationale. Il est l'auteur de "Le nouveau régime. Ou l'impossible parlementarisme", paru aux éditions Passés composés.