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La démonstration de force est pour la nuit prochaine en Chine, où Xi Jinping a réuni de nombreux dirigeants hostiles à l'Occident, parmi lesquels Vladimir Poutine. Pékin se prépare à montrer ses plus beaux atours militaires : une grande parade pour marquer les 80 ans de la victoire contre le Japon.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du 27 août 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BxUv.A
L'essentiel des nouvelles le 27 août 2025---Le Canada a conclu un partenariat avec l'Allemagne sur les minéraux critiquesLe gouvernement fédéral veut acheter douze sous-marins militaires François Legault témoignera à son tour mardi prochain devant la commission Gallant dans le cadre de l'enquête publique sur le lancement raté du site internet de la SAAQ. Le comité mandaté au printemps par le gouvernement Legault pour renforcer la laïcité au Québec a publié son rapport. La proportion de personnes en télétravail continue à diminuer En quoi les Québécois se distinguent-ils des autres Canadiens en matirère de psychologie financière?--- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com Pour s'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref (notamment pour recevoir ce bulletin audio par écrit chaque matin): https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur les options de publicité-commandite dans ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À l'occasion de sa revue de presse en remplacement de Paul Arcand, lundi, Jean-Sébastien Hammal commente la visite surprise de Mark Carney en Ukraine, dimanche. Le premier ministre du Canada a laissé entendre que des troupes canadiennes pourraient être déployées dans le pays dirigé par Volodymyr Zelensky. «Dans quel mandat exactement? Là est toute la question. Est-ce que ce serait pour préserver la paix, lorsqu'il y aura paix? Est-ce que ce serait pour offrir des garanties de sécurité? Et là, ça devient intéressant, parce que si le Canada offre des garanties et que dans un rebondissement de situation, Vladimir Poutine décidait d'attaquer les Ukrainiens, ça voudrait dire que les Canadiens s'engageraient dans des combats avec les Russes.» «Le Canada a-t-il les effectifs nécessaires en ce moment pour y déployer des troupes? Ça demanderait des ajustements très importants...» Mark Carney se rendra en Pologne lundi, puis en Allemagne et en Lettonie, pour un périple de trois jours. Il doit s'entretenir avec ses homologues de partenariats commerciaux et en défense. Autres sujets abordés Au tour du ministère de la Justice de se lancer dans la numérisation de ses dossiers; Donald Trump menace de déployer la garde nationale dans une autre ville démocrate; Le 25 août 2005, il y a 20 ans, éclatait le scandale Norbourg: bilan d’un cauchemar financier et humain. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Dans cet épisode, Lisa Kamen explore l'origine militaire de certaines expressions courantes. Elle explique comment des termes comme "battre la chamade", "tailler des croupières", "de but en blanc" et "mettre à pied" ont évolué de leur contexte militaire pour s'intégrer dans notre langage quotidien. Lisa conclut en promettant d'expliquer l'expression "prendre la poudre d'escampette" sur sa page.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’élaboration du budget 2025 provoque de vives tensions : coupes dans l’éducation, financement accru de la défense, aide humanitaire à Gaza…
Il y a cinq ans, en août 2020, le président malien Ibrahim Boubacar Keita était délogé du pouvoir par un coup d'État militaire. Moins d'un an après, le colonel Assimi Goïta a de nouveau renversé le pouvoir et est depuis à la tête du Mali. Quel bilan pour les militaires depuis leur prise de pouvoir ?
Invité : Gérard Vespierre, géopolitologue et spécialiste des questions internationales Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La défense va investir plus d'un milliard d'euros dans des data centers. Ils devraient voir le jour d'ici à 2029 et ne serviront pas qu'à l'armée. Les banques externalisent une partie de leurs risques et boostent leur rentabilité dans des produits financiers, les SRT. Des mécanismes qui rappellent un peu les subprimes... Les prospections de pétroles et les perspectives de forage repartent très nettement à la hausse. Elles devraient atteindre un pic historique en 2030. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Le Hamas réclame l'ouverture de corridors humanitaires alors que les vidéos des otages israéliens décharnés continuent de provoquer de vives réactions.
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Les combats en raison d'un différend frontalier entre le Cambodge et la Thaïlande ont fait 33 morts de part et d'autre de la frontière depuis jeudi, selon les derniers bilans disponibles. Un niveau de violence jamais vu depuis 2011, qui a conduit le Conseil de sécurité de l'ONU à se réunir d'urgence. Pour en parler, Sophie Boisseau Du Rocher, chercheure associée au Centre Asie de l'IFRI, maîtresse de conférences à Sciences-Po Paris*. RFI : Le conflit entre la Thaïlande et le Cambodge est au cœur des préoccupations depuis jeudi. Il y aurait au moins 33 morts, selon les derniers bilans. Alors qu'hier soir, le Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni en urgence, les affrontements ont éclaté au niveau de temples avant que les combats n'interviennent le long de la frontière. Phnom Penh et Bangkok ont aussi signalé des affrontements vers 5 h, heure locale, sur la côte. Face à cette situation, peut-on parler d'un risque de guerre ouverte entre la Thaïlande et le Cambodge ? Sophie Boisseau du Rocher : À ce stade, je ne crois pas. Depuis l'indépendance du Cambodge en novembre 1953, plusieurs crises, dont certaines ont été aussi très violentes et ont connu un paroxysme dans les affrontements militaires, ont eu lieu. Je pense, par exemple, à la crise de 2008. Ce qui est intéressant aujourd'hui, c'est qu'on assiste à une même mobilisation militaire et à des embrasements ponctuels, puisque plusieurs affrontements ont encore eu lieu récemment, comme vous l'avez signalé, dans six zones de la frontière, provoquant la mort de plusieurs dizaines de personnes, également de nombreux blessés et près de 140 000 évacués. Ces derniers jours, on a vu des tirs de roquettes cambodgiennes sur des cibles civiles en Thaïlande qui ont provoqué des frappes aériennes avec des avions de combat F-16 du côté thaïlandais sur des bases militaires cambodgiennes. Il y a un risque d'embrasement. Néanmoins, à ce stade, les opérations militaires sont très ciblées et sous contrôle. Que faut-il comprendre historiquement pour expliquer cette crise frontalière ? Le litige porte sur le tracé de la frontière entre le Cambodge et la Thaïlande. Un tracé de 817 kilomètres, dont 195 restent d'ailleurs à définir. Notamment autour de quatre sites angkoriens qui sont contrôlés par la Thaïlande, mais qui sont considérés par les Cambodgiens comme partie prenante de leur patrimoine. Au XIXᵉ siècle, le Cambodge est un royaume faible qui est travaillé par les coups de butoir des Thaïlandais à l'ouest et des Vietnamiens à l'est. Norodom 1er, le roi du Cambodge à cette époque, fait appel aux Français pour ne pas voir son royaume dépecé. En 1907, un traité franco-siamois détermine le tracé de la frontière. Mais la Thaïlande du très vieux roi Chulalongkorn néglige une analyse détaillée des tracés, notamment autour des monts Dângrêk. Or, les Français ont placé le temple de Preah Vihear du côté cambodgien, en contradiction avec la ligne de crête. Donc, quand les Thaïlandais se réveillent, plusieurs dizaines d'années après, ils sont en état de sidération. Ils profitent des désordres de la colonisation et de la première guerre du Vietnam pour occuper le temple de Preah Vihear. C'est le début des tensions militaires entre les deux voisins. À lire aussiThaïlande-Cambodge: aux origines d'un vieux conflit frontalier Quelles solutions sont envisageables pour mettre fin à ce conflit à court, mais aussi à long terme ? À court terme, arrêt évidemment du déploiement des forces et des opérations militaires. Fin des mesures de rétorsion, également. Les Thaïlandais ont fermé les points de passage frontaliers. Les Cambodgiens, de leur côté, ont mis un terme aux importations de gaz, de carburant, de fruits et légumes en provenance de Thaïlande. Et puis, à plus long terme, évidemment, l'établissement ou la reprise d'un dialogue et des consultations, notamment par le biais de la Commission mixte de coopération, pour aboutir à un compromis bilatéral qui serait éventuellement validée par les institutions internationales. L'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (Asean) peut-elle aussi jouer un rôle dans cette affaire ? L'Asean a effectivement à plusieurs reprises tenté de jouer un rôle. La Thaïlande, récemment, s'est dit prête à résoudre le conflit par la voie diplomatique sous l'égide de la Malaisie, qui préside cette année l'Asean. Le Cambodge, lui, préfère avoir recours à la Cour internationale de Justice, auquel à laquelle il a eu recours en 1962 et en 2013. Mais c'est une solution qui ne convient pas à la Thaïlande, puisque, à deux reprises, le tracé de la frontière de 1907 a été reconnu comme le tracé légitime. Quand le Cambodge souhaite cette solution, elle sait qu'elle va être d'emblée refusée par la Thaïlande. * Sophie Boisseau Du Rocher est co-autrice de l'ouvrage L'Asie-Pacifique, nouveau centre du monde, paru chez Odile Jacob.
Le Journal en français facile du mercredi 16 juillet 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BqeU.A
Etienne Fakaba Sissoko est un économiste malien, professeur à l'université de Bamako et voix critique de la Transition. Après avoir publié fin 2023 un livre dans lequel il dénonçait la « propagande » des autorités de transition, Etienne Fakaba Sissoko a été condamné notamment pour « atteinte au crédit de l'État » et a passé un an en prison. Etienne Fakaba Sissoko avait déjà été emprisonné pendant six mois, deux ans plus tôt, sans aucune condamnation.Libéré fin mars, Etienne Fakaba Sissoko est désormais exilé, de passage en France. Tenir, témoigner, lutter : durant sa détention, le chercheur a écrit plusieurs livres dont Le trône des illusions (mai 2025, L'Harmattan). Un roman, une fiction, où le Mali de transition transparaît à chaque page. Les personnages et les situations collent au réel… sauf pour la fin, où l'auteur imagine la chute du régime. Etienne Fakaba Sissoko est l'invité Afrique de RFI, au micro de David Baché. RFI : Votre roman se passe dans le pays imaginaire de Gayma, sous un régime militaire putschiste autoritaire, le protagoniste Sabu est « un professeur devenu résistant », qui comme vous écrit, dénonce, est emprisonné… Je ne fais pas la liste des personnages dont on reconnaît facilement à qui ils correspondent : pourquoi avoir écrit un roman, et pas un essai politique sur le Mali de transition ? Etienne Fakaba Sissoko : Déjà, le fait de me retrouver en prison était dû à un essai politique que j'avais écrit : « Propagande, agitation, harcèlement, la communication gouvernementale sous la transition militaire ». Et donc, puisque la lutte aussi, c'est des phases, j'ai voulu essayer autre chose que d'appeler les choses par leur nom, tout en laissant la possibilité au lecteur de savoir exactement à quoi on fait référence. À lire aussiMali: après un an passé en détention, l'universitaire Étienne Fakaba Sissoko a été libéré Vous décrivez dans votre livre des scènes très touchantes, en prison, qui réunissent d'anciens ministres et des jeunes militants, avec des discussions politiques, des désaccords, mais aussi un amour de la patrie et une forme de fraternité. C'est-ce que vous avez vécu, dans la prison de Kenioroba ? Aujourd'hui effectivement oui, lorsqu'on pense à ces moments douloureux, je pense encore Adama Ben Diarra dit « Ben le cerveau », je pense à Ras Bath, à « Rose la vie chère », Clément Dembélé, Kalilou Doumbia, Adama Sangaré, l'ancien maire de Bamako… tous ces résistants qui se retrouvent aujourd'hui en prison et qui ont été des soutiens mutuels. On vivait les mêmes injustices, les mêmes privations de liberté et donc la seule alternative pour tenir, c'était justement de se nourrir de ces rêves pour le pays et surtout de ces débats que nous avions au quotidien. Donc c'était une fraternité effectivement, comme vous le dites, mais c'était surtout des moments profonds de réflexion pour l'avenir de notre nation. À lire aussiMali: l'économiste Etienne Fakaba Sissoko attend toujours son procès en appel Vous définissez le régime militaire de Gayma, le pays de votre roman, comme « un empire de répression et d'illusion ». C'est ce que vous pensez de la Transition malienne ? Pas que de la transition malienne. De toutes les transitions aujourd'hui au Sahel : que le lecteur soit du Niger, du Burkina ou du Mali, il saura retrouver les traits des pays qui répriment les libertés fondamentales, les libertés individuelles, qui dissolvent les partis politiques. Des régimes autoritaires qui se donnent des mandats à durée indéterminée, qui n'acceptent plus la critique et qui, finalement, se retrouvent dans des pays divisés où les populations se regardent en chiens de faïence. Et tout cela dans un contexte d'insécurité, de pauvreté extrême. Et l'illusion ? L'illusion, c'est le fait de croire que tout cela peut perdurer. Le fait de croire qu'avec la répression, on puisse se maintenir au pouvoir pour 5 ans, pour 10 ans, sans résultat probant. L'illusion, c'est surtout de penser que les populations resteront dans cette situation-là. Et aujourd'hui, nous sommes dans cette illusion-là qui est entretenue par nos autorités militaires, qui ont pris goût aux délices du pouvoir. L'illusion, c'est tout le narratif qui est présenté aujourd'hui aux populations. La question de la lutte contre l'insécurité. Nous avons suivi Kayes qui est tombée… À lire aussiMali: la Cour d'appel confirme la condamnation et la peine de prison d'Étienne Fakaba Sissoko Les attaques jihadistes tout le long de la frontière sénégalaise et mauritanienne, et notamment dans cette ville de Kayes. Exactement, et ces sept attaques qui se sont tenues simultanément dans ces régions-là montrent combien l'insécurité a gagné du terrain. Mais quand vous écoutez les autorités, vous avez l'impression que tout se passe bien. L'illusion, c'est surtout de dire qu'au Mali tout va bien, alors que les populations n'ont pas à manger trois fois par jour. L'illusion, c'est surtout de croire que nous avons un pays qui se développe lorsque que la moindre des choses qui est l'électricité, nous ne l'avons pas. Donc oui, l'illusion, c'est le narratif servi par les autorités maliennes actuellement. Dans votre livre, les habitants ont peur et n'osent pas critiquer le régime. Est-ce que c'est vraiment le cas, selon vous, au Mali ? Est-ce que la Transition n'est pas populaire, malgré les difficultés ? Si la Transition était populaire, elle aurait organisé les élections, comme elle a organisé le référendum il y a quelques années. Lorsqu'on est populaire, on n'a pas peur de se confronter au suffrage universel. Les militaires qui sont au pouvoir ne vont pas aux élections parce qu'ils savent qu'ils n'ont pas le soutien du peuple malien. Le rejet est tel que c'est impossible aujourd'hui pour les autorités actuelles, notamment Assimi Goïta, de se confronter au suffrage universel. Mais les objectifs de la Transition : sécuriser le pays, faire du Mali un pays souverain qui décide pour lui-même, ce ne sont pas des objectifs légitimes ? Des objectifs légitimes oui, mais lorsqu'on a passé cinq ans déjà dans une transition et qu'on n'est pas arrivé à lutter contre l'insécurité et que finalement, on se retrouve dans une situation où c'est l'inverse : l'insécurité qui était d'abord concentrée au nord s'est retrouvée au centre et aujourd'hui, c'est tout le pays, y compris le sud, le sud-ouest, qui sont touchés par l'insécurité. Donc en l'absence de résultats, on ne peut pas confier encore un mandat supplémentaire. C'est pourquoi je dis : quels que soient les objectifs que ces autorités-là vont présenter au peuple malien, ils ont échoué, ils doivent partir. De gré ou de force. À lire aussiMali: la Cour d'appel confirme la condamnation et la peine de prison d'Étienne Fakaba Sissoko Votre livre devient véritablement fiction lorsque le peuple se soulève et finit par renverser le tyran. Vous racontez une insurrection populaire, que vous appelez « la grande convergence », dans les villes et les campagnes, avec des réunions clandestines, et aussi le soutien de militaires désabusés… Ce que vous écrivez, on comprend que c'est peut-être ce que vous souhaitez. Est-ce que vous pensez vraiment que ça peut se passer comme ça ? C'est un vœu pour certains, mais pour moi, c'est un travail. C'est un travail de rassemblement, un travail de discussion, un travail de dialogue avec tous ceux qui aujourd'hui sont des acteurs importants de la stabilité du Mali. Je parle des partis politiques, je parle des groupes armés, qu'ils soient des groupes armés avec des revendications politiques ou des groupes armés avec d'autres types de revendications… Les rebelles et les djihadistes, pour traduire. Absolument. Il faut discuter avec tout le monde, arrêter de faire le faux-fuyant et penser que la guerre à elle seule peut amener la paix dans notre pays. Nous l'avons expérimenté depuis 2012. Jusqu'à maintenant, la situation continue de se détériorer. Il faut trouver autre chose. Vous êtes longtemps resté au Mali, malgré les risques. Vous en avez payé le prix, en séjournant longuement en prison. À présent que vous êtes sorti, vous êtes de passage en France, qu'est-ce que vous allez faire ? Je vais continuer à échanger avec les différents acteurs, tous ceux qui aujourd'hui estiment que le Mali a assez souffert sous cette dictature-là, tous ceux qui adoptent comme principe que la démocratie est la seule voie qui vaille au Mali et qu'il faut se battre pour arracher le pays des griffes de ces militaires actuellement au pouvoir. À lire aussiMali: le procès en appel de l'économiste Étienne Sissoko débute à Bamako
durée : 00:10:13 - Journal de 7 h - Emmanuel Macron veut accélérer les dépenses de défense, dans une période d'incertitude avec la guerre en Ukraine, le point dans ce journal.
Le 14 juillet 1789 a lieu un événement majeur de la Révolution Française : la prise de la Bastille. Un an plus tard, en 1790, c'est la Fête de la Fédération, à la même date, qui célèbre cette journée emblématique. Il faut attendre près d'un siècle pour que le 14 juillet soit déclaré fête nationale, en 1880, sous la IIIe République. C'est la même année, au cours de la première célébration officielle du 14 juillet comme fête nationale, qu'a lieu le défilé militaire devenu désormais coutume. Mais pourquoi faire défiler des militaires ? Où était le défilé avant d'être sur les Champs-Élysées ? Que pensent les Français de ce défilé ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Maële Diallo. Première diffusion : 14 juillet 2023 À écouter aussi : Pourquoi juin est-il le mois des fiertés ? Pourquoi les billets de train coûtent-ils si cher ? Pourquoi a-t-on mal au ventre quand on est stressé ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:10:13 - Journal de 7 h - Emmanuel Macron veut accélérer les dépenses de défense, dans une période d'incertitude avec la guerre en Ukraine, le point dans ce journal.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jamais autant de militaires n'avaient été déployés sur le sol américain : 4 800 membres de la garde nationale de Californie et marines ont été envoyés à Los Angeles, en soutien à la police locale et aux agents l'ICE, l'agence chargée de l'immigration. Un contingent hors normes pour faire face aux manifestants californiens, mobilisés pour dénoncer la politique migratoire de Donald Trump.Les protestations, en cours depuis le 7 juin, font suite aux arrestations de plusieurs travailleurs considérés comme des sans-papiers par la police de l'immigration, à Paramount, une ville du comté de Los Angeles.Comment comprendre l'usage de l'armée par Donald Trump ? Et comment le président exploite-t-il les heurts à Los Angeles pour durcir sa politique migratoire ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Piotr Smolar, correspondant du Monde à Washington, analyse l'usage de l'armée par Donald Trump ; en introduction, Corine Lesnes, correspondante du journal en Califonie, nous raconte les manifestations à Los Angeles.Un épisode de Garance Muñoz et Jean-Guillaume Santi. Réalisation : Quentin Tenaud. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extraits de manifestations à Los Angeles entre le 7 juin 2025 et le 14 juin 2025, Reuters ; extrait d'une prise de parole du gouverneur de Californie, Gavin Newsom, le 10 juin 2025 ; extrait d'une prise de parole de Donald Trump, le 14 juin 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos de Donald Trump durant sa conférence de presse durant le sommet de l'OTAN à La Haye, aux Pays-Bas.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos de Donald Trump durant sa conférence de presse durant le sommet de l'OTAN à La Haye, aux Pays-Bas.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:16 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Hier soir, l'Iran a attaqué des bases militaires américaines au Qatar, en représailles aux frappes de dimanche soir. Jusqu'à présent, les relations entre Doha et Téhéran étaient plutôt cordiales, au vu d'une diplomatie d'équilibriste menée par le Qatar dans la région. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Dorothée Schmid Responsable du programme Turquie/Moyen-Orient de l'IFRI
Les 32 pays de l'Otan vont se pencher mardi et mercredi, sous la pression de Donald Trump et de la menace russe, sur une augmentation de leurs dépenses militaires à hauteur de 5% de leur PIB. Selon Mark Rutte, lundi à La Haye, l'alliance va faire un "bond en avant" grâce à cet objectif.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les 32 pays de l'Otan vont se pencher mardi et mercredi, sous la pression de Donald Trump et de la menace russe, sur une augmentation de leurs dépenses militaires à hauteur de 5% de leur PIB. Selon Mark Rutte, lundi à La Haye, l'alliance va faire un "bond en avant" grâce à cet objectif.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:13 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Les Etats-Unis ont infligé des "dégâts monumentaux" aux sites nucléaires iraniens bombardés dimanche, se félicite Donald Trump. En représailles, l'Iran menace d'attaquer des bases militaires américaines au Moyen-Orient. Désormais, vient le test de la diplomatie pour l'administration Trump.
durée : 00:15:43 - Journal de 8 h - Dans la nuit de jeudi à vendredi, Israël a frappé des installations nucléaires et des sites militaires en Iran. L'armée affirme disposer de renseignements prouvant que Téhéran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique. Le point avec nos correspondants à Téhéran et Jérusalem.
durée : 00:15:43 - Journal de 8 h - Dans la nuit de jeudi à vendredi, Israël a frappé des installations nucléaires et des sites militaires en Iran. L'armée affirme disposer de renseignements prouvant que Téhéran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique. Le point avec nos correspondants à Téhéran et Jérusalem.
durée : 00:15:43 - Journal de 8 h - Dans la nuit de jeudi à vendredi, Israël a frappé des installations nucléaires et des sites militaires en Iran. L'armée affirme disposer de renseignements prouvant que Téhéran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique. Le point avec nos correspondants à Téhéran et Jérusalem.
durée : 00:03:23 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Avec les guerres hybrides, numériques, ces parades ont-elles encore un sens ?
durée : 00:03:18 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Meta serait prêt à investir 10 milliards de dollars dans la start-up Scale AI, spécialisée dans le traitement de données nécessaires au bon fonctionnement de l'intelligence artificielle générative.
durée : 00:14:37 - Journal de 8 h - L'ONU appelle à la "désescalade" à Los Angeles, après plusieurs jours de heurts entre forces de l'ordre et manifestants opposés à la politique migratoire très stricte de Donald Trump. Reportage sur place de notre envoyé spécial.
durée : 00:14:37 - Journal de 8 h - L'ONU appelle à la "désescalade" à Los Angeles, après plusieurs jours de heurts entre forces de l'ordre et manifestants opposés à la politique migratoire très stricte de Donald Trump. Reportage sur place de notre envoyé spécial.
Ce mardi 10 juin, une escalade militaire inquiétante aux États-Unis a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:14:37 - Journal de 8 h - L'ONU appelle à la "désescalade" à Los Angeles, après plusieurs jours de heurts entre forces de l'ordre et manifestants opposés à la politique migratoire très stricte de Donald Trump. Reportage sur place de notre envoyé spécial.
Le premier ministre Mark Carney veut que les dépenses militaires atteignent la cible de 2 % du PIB fixée par l'OTAN dès cette année.
Ce mercredi 28 mai, l'intensification des activités militaires de la Russie le long de la ligne de démarcation avec la Finlande, qui est déjà sur pied de guerre, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
En RD Congo, plus de 1300 militaires et policiers congolais ont été évacués de Goma vers Kinshasa. Ces militaires et policiers étaient bloqués dans la base de la Monusco à Goma depuis plus de trois mois où ils s'étaient réfugiés après la prise de la ville par les rebelles.
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Quatre militaires du 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine à Castres dénoncent des traitements dégradants que leur ont fait subir leurs supérieurs hiérarchiques. Ils ont porté plainte. Témoignage dans ce journal.
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Quatre militaires du 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine à Castres dénoncent des traitements dégradants que leur ont fait subir leurs supérieurs hiérarchiques. Ils ont porté plainte. Témoignage dans ce journal.
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Quatre militaires du 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine à Castres dénoncent des traitements dégradants que leur ont fait subir leurs supérieurs hiérarchiques. Ils ont porté plainte. Témoignage dans ce journal.
Au menu de la troisième heure des GG du jeudi 15 mai 2025 : "Militaires en uniforme dans la rue" avec Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Étienne Liebig, éducateur, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique.
Les dépenses militaires mondiales ont connu leur plus forte augmentation depuis plus d'une décennie en 2023, atteignant un niveau record de 2,4 milliards de dollars alors que les guerres et les tensions croissantes alimentaient les dépenses à travers le monde.Traduction :Global military expenditure saw its steepest increase in over a decade in 2023, reaching an all-time high of $2.4 trillion as wars and rising tensions fuelled spending across the world.Click through the following links to start your language-learning journey:Web: https://go.italki.com/louisfrenchApp: https://go.italki.com/louisfrenchappBuy $10, get $5 for free for your first lesson using my exclusive Promo Code: LOUISThe discounts are only available for the first 50 users. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:06:00 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La Chine a lancé mercredi un nouvel exercice militaire de grande ampleur dans le détroit de Taïwan et dit s'entraîner à des attaques de ports et infrastructures énergétiques, au lendemain d'un blocus simulé de l'île qu'elle revendique, condamné par Washington et l'Union européenne.