POPULARITY
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Le Hamas réclame l'ouverture de corridors humanitaires alors que les vidéos des otages israéliens décharnés continuent de provoquer de vives réactions.
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Le Hamas réclame l'ouverture de corridors humanitaires alors que les vidéos des otages israéliens décharnés continuent de provoquer de vives réactions.
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Le Hamas réclame l'ouverture de corridors humanitaires alors que les vidéos des otages israéliens décharnés continuent de provoquer de vives réactions.
Les combats en raison d'un différend frontalier entre le Cambodge et la Thaïlande ont fait 33 morts de part et d'autre de la frontière depuis jeudi, selon les derniers bilans disponibles. Un niveau de violence jamais vu depuis 2011, qui a conduit le Conseil de sécurité de l'ONU à se réunir d'urgence. Pour en parler, Sophie Boisseau Du Rocher, chercheure associée au Centre Asie de l'IFRI, maîtresse de conférences à Sciences-Po Paris*. RFI : Le conflit entre la Thaïlande et le Cambodge est au cœur des préoccupations depuis jeudi. Il y aurait au moins 33 morts, selon les derniers bilans. Alors qu'hier soir, le Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni en urgence, les affrontements ont éclaté au niveau de temples avant que les combats n'interviennent le long de la frontière. Phnom Penh et Bangkok ont aussi signalé des affrontements vers 5 h, heure locale, sur la côte. Face à cette situation, peut-on parler d'un risque de guerre ouverte entre la Thaïlande et le Cambodge ? Sophie Boisseau du Rocher : À ce stade, je ne crois pas. Depuis l'indépendance du Cambodge en novembre 1953, plusieurs crises, dont certaines ont été aussi très violentes et ont connu un paroxysme dans les affrontements militaires, ont eu lieu. Je pense, par exemple, à la crise de 2008. Ce qui est intéressant aujourd'hui, c'est qu'on assiste à une même mobilisation militaire et à des embrasements ponctuels, puisque plusieurs affrontements ont encore eu lieu récemment, comme vous l'avez signalé, dans six zones de la frontière, provoquant la mort de plusieurs dizaines de personnes, également de nombreux blessés et près de 140 000 évacués. Ces derniers jours, on a vu des tirs de roquettes cambodgiennes sur des cibles civiles en Thaïlande qui ont provoqué des frappes aériennes avec des avions de combat F-16 du côté thaïlandais sur des bases militaires cambodgiennes. Il y a un risque d'embrasement. Néanmoins, à ce stade, les opérations militaires sont très ciblées et sous contrôle. Que faut-il comprendre historiquement pour expliquer cette crise frontalière ? Le litige porte sur le tracé de la frontière entre le Cambodge et la Thaïlande. Un tracé de 817 kilomètres, dont 195 restent d'ailleurs à définir. Notamment autour de quatre sites angkoriens qui sont contrôlés par la Thaïlande, mais qui sont considérés par les Cambodgiens comme partie prenante de leur patrimoine. Au XIXᵉ siècle, le Cambodge est un royaume faible qui est travaillé par les coups de butoir des Thaïlandais à l'ouest et des Vietnamiens à l'est. Norodom 1er, le roi du Cambodge à cette époque, fait appel aux Français pour ne pas voir son royaume dépecé. En 1907, un traité franco-siamois détermine le tracé de la frontière. Mais la Thaïlande du très vieux roi Chulalongkorn néglige une analyse détaillée des tracés, notamment autour des monts Dângrêk. Or, les Français ont placé le temple de Preah Vihear du côté cambodgien, en contradiction avec la ligne de crête. Donc, quand les Thaïlandais se réveillent, plusieurs dizaines d'années après, ils sont en état de sidération. Ils profitent des désordres de la colonisation et de la première guerre du Vietnam pour occuper le temple de Preah Vihear. C'est le début des tensions militaires entre les deux voisins. À lire aussiThaïlande-Cambodge: aux origines d'un vieux conflit frontalier Quelles solutions sont envisageables pour mettre fin à ce conflit à court, mais aussi à long terme ? À court terme, arrêt évidemment du déploiement des forces et des opérations militaires. Fin des mesures de rétorsion, également. Les Thaïlandais ont fermé les points de passage frontaliers. Les Cambodgiens, de leur côté, ont mis un terme aux importations de gaz, de carburant, de fruits et légumes en provenance de Thaïlande. Et puis, à plus long terme, évidemment, l'établissement ou la reprise d'un dialogue et des consultations, notamment par le biais de la Commission mixte de coopération, pour aboutir à un compromis bilatéral qui serait éventuellement validée par les institutions internationales. L'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (Asean) peut-elle aussi jouer un rôle dans cette affaire ? L'Asean a effectivement à plusieurs reprises tenté de jouer un rôle. La Thaïlande, récemment, s'est dit prête à résoudre le conflit par la voie diplomatique sous l'égide de la Malaisie, qui préside cette année l'Asean. Le Cambodge, lui, préfère avoir recours à la Cour internationale de Justice, auquel à laquelle il a eu recours en 1962 et en 2013. Mais c'est une solution qui ne convient pas à la Thaïlande, puisque, à deux reprises, le tracé de la frontière de 1907 a été reconnu comme le tracé légitime. Quand le Cambodge souhaite cette solution, elle sait qu'elle va être d'emblée refusée par la Thaïlande. * Sophie Boisseau Du Rocher est co-autrice de l'ouvrage L'Asie-Pacifique, nouveau centre du monde, paru chez Odile Jacob.
Pékin multiplie les manœuvres militaires en mer de Chine, alimentant les craintes d'une invasion de Taïwan. Sur place, l'île se prépare à se défendre, dans un contexte de reconnaissance internationale fragile et d'alliances incertaines. Un bras de fer géopolitique à haut risque, sous l'œil attentif des Etats-Unis. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du mercredi 16 juillet 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BqeU.A
Etienne Fakaba Sissoko est un économiste malien, professeur à l'université de Bamako et voix critique de la Transition. Après avoir publié fin 2023 un livre dans lequel il dénonçait la « propagande » des autorités de transition, Etienne Fakaba Sissoko a été condamné notamment pour « atteinte au crédit de l'État » et a passé un an en prison. Etienne Fakaba Sissoko avait déjà été emprisonné pendant six mois, deux ans plus tôt, sans aucune condamnation.Libéré fin mars, Etienne Fakaba Sissoko est désormais exilé, de passage en France. Tenir, témoigner, lutter : durant sa détention, le chercheur a écrit plusieurs livres dont Le trône des illusions (mai 2025, L'Harmattan). Un roman, une fiction, où le Mali de transition transparaît à chaque page. Les personnages et les situations collent au réel… sauf pour la fin, où l'auteur imagine la chute du régime. Etienne Fakaba Sissoko est l'invité Afrique de RFI, au micro de David Baché. RFI : Votre roman se passe dans le pays imaginaire de Gayma, sous un régime militaire putschiste autoritaire, le protagoniste Sabu est « un professeur devenu résistant », qui comme vous écrit, dénonce, est emprisonné… Je ne fais pas la liste des personnages dont on reconnaît facilement à qui ils correspondent : pourquoi avoir écrit un roman, et pas un essai politique sur le Mali de transition ? Etienne Fakaba Sissoko : Déjà, le fait de me retrouver en prison était dû à un essai politique que j'avais écrit : « Propagande, agitation, harcèlement, la communication gouvernementale sous la transition militaire ». Et donc, puisque la lutte aussi, c'est des phases, j'ai voulu essayer autre chose que d'appeler les choses par leur nom, tout en laissant la possibilité au lecteur de savoir exactement à quoi on fait référence. À lire aussiMali: après un an passé en détention, l'universitaire Étienne Fakaba Sissoko a été libéré Vous décrivez dans votre livre des scènes très touchantes, en prison, qui réunissent d'anciens ministres et des jeunes militants, avec des discussions politiques, des désaccords, mais aussi un amour de la patrie et une forme de fraternité. C'est-ce que vous avez vécu, dans la prison de Kenioroba ? Aujourd'hui effectivement oui, lorsqu'on pense à ces moments douloureux, je pense encore Adama Ben Diarra dit « Ben le cerveau », je pense à Ras Bath, à « Rose la vie chère », Clément Dembélé, Kalilou Doumbia, Adama Sangaré, l'ancien maire de Bamako… tous ces résistants qui se retrouvent aujourd'hui en prison et qui ont été des soutiens mutuels. On vivait les mêmes injustices, les mêmes privations de liberté et donc la seule alternative pour tenir, c'était justement de se nourrir de ces rêves pour le pays et surtout de ces débats que nous avions au quotidien. Donc c'était une fraternité effectivement, comme vous le dites, mais c'était surtout des moments profonds de réflexion pour l'avenir de notre nation. À lire aussiMali: l'économiste Etienne Fakaba Sissoko attend toujours son procès en appel Vous définissez le régime militaire de Gayma, le pays de votre roman, comme « un empire de répression et d'illusion ». C'est ce que vous pensez de la Transition malienne ? Pas que de la transition malienne. De toutes les transitions aujourd'hui au Sahel : que le lecteur soit du Niger, du Burkina ou du Mali, il saura retrouver les traits des pays qui répriment les libertés fondamentales, les libertés individuelles, qui dissolvent les partis politiques. Des régimes autoritaires qui se donnent des mandats à durée indéterminée, qui n'acceptent plus la critique et qui, finalement, se retrouvent dans des pays divisés où les populations se regardent en chiens de faïence. Et tout cela dans un contexte d'insécurité, de pauvreté extrême. Et l'illusion ? L'illusion, c'est le fait de croire que tout cela peut perdurer. Le fait de croire qu'avec la répression, on puisse se maintenir au pouvoir pour 5 ans, pour 10 ans, sans résultat probant. L'illusion, c'est surtout de penser que les populations resteront dans cette situation-là. Et aujourd'hui, nous sommes dans cette illusion-là qui est entretenue par nos autorités militaires, qui ont pris goût aux délices du pouvoir. L'illusion, c'est tout le narratif qui est présenté aujourd'hui aux populations. La question de la lutte contre l'insécurité. Nous avons suivi Kayes qui est tombée… À lire aussiMali: la Cour d'appel confirme la condamnation et la peine de prison d'Étienne Fakaba Sissoko Les attaques jihadistes tout le long de la frontière sénégalaise et mauritanienne, et notamment dans cette ville de Kayes. Exactement, et ces sept attaques qui se sont tenues simultanément dans ces régions-là montrent combien l'insécurité a gagné du terrain. Mais quand vous écoutez les autorités, vous avez l'impression que tout se passe bien. L'illusion, c'est surtout de dire qu'au Mali tout va bien, alors que les populations n'ont pas à manger trois fois par jour. L'illusion, c'est surtout de croire que nous avons un pays qui se développe lorsque que la moindre des choses qui est l'électricité, nous ne l'avons pas. Donc oui, l'illusion, c'est le narratif servi par les autorités maliennes actuellement. Dans votre livre, les habitants ont peur et n'osent pas critiquer le régime. Est-ce que c'est vraiment le cas, selon vous, au Mali ? Est-ce que la Transition n'est pas populaire, malgré les difficultés ? Si la Transition était populaire, elle aurait organisé les élections, comme elle a organisé le référendum il y a quelques années. Lorsqu'on est populaire, on n'a pas peur de se confronter au suffrage universel. Les militaires qui sont au pouvoir ne vont pas aux élections parce qu'ils savent qu'ils n'ont pas le soutien du peuple malien. Le rejet est tel que c'est impossible aujourd'hui pour les autorités actuelles, notamment Assimi Goïta, de se confronter au suffrage universel. Mais les objectifs de la Transition : sécuriser le pays, faire du Mali un pays souverain qui décide pour lui-même, ce ne sont pas des objectifs légitimes ? Des objectifs légitimes oui, mais lorsqu'on a passé cinq ans déjà dans une transition et qu'on n'est pas arrivé à lutter contre l'insécurité et que finalement, on se retrouve dans une situation où c'est l'inverse : l'insécurité qui était d'abord concentrée au nord s'est retrouvée au centre et aujourd'hui, c'est tout le pays, y compris le sud, le sud-ouest, qui sont touchés par l'insécurité. Donc en l'absence de résultats, on ne peut pas confier encore un mandat supplémentaire. C'est pourquoi je dis : quels que soient les objectifs que ces autorités-là vont présenter au peuple malien, ils ont échoué, ils doivent partir. De gré ou de force. À lire aussiMali: la Cour d'appel confirme la condamnation et la peine de prison d'Étienne Fakaba Sissoko Votre livre devient véritablement fiction lorsque le peuple se soulève et finit par renverser le tyran. Vous racontez une insurrection populaire, que vous appelez « la grande convergence », dans les villes et les campagnes, avec des réunions clandestines, et aussi le soutien de militaires désabusés… Ce que vous écrivez, on comprend que c'est peut-être ce que vous souhaitez. Est-ce que vous pensez vraiment que ça peut se passer comme ça ? C'est un vœu pour certains, mais pour moi, c'est un travail. C'est un travail de rassemblement, un travail de discussion, un travail de dialogue avec tous ceux qui aujourd'hui sont des acteurs importants de la stabilité du Mali. Je parle des partis politiques, je parle des groupes armés, qu'ils soient des groupes armés avec des revendications politiques ou des groupes armés avec d'autres types de revendications… Les rebelles et les djihadistes, pour traduire. Absolument. Il faut discuter avec tout le monde, arrêter de faire le faux-fuyant et penser que la guerre à elle seule peut amener la paix dans notre pays. Nous l'avons expérimenté depuis 2012. Jusqu'à maintenant, la situation continue de se détériorer. Il faut trouver autre chose. Vous êtes longtemps resté au Mali, malgré les risques. Vous en avez payé le prix, en séjournant longuement en prison. À présent que vous êtes sorti, vous êtes de passage en France, qu'est-ce que vous allez faire ? Je vais continuer à échanger avec les différents acteurs, tous ceux qui aujourd'hui estiment que le Mali a assez souffert sous cette dictature-là, tous ceux qui adoptent comme principe que la démocratie est la seule voie qui vaille au Mali et qu'il faut se battre pour arracher le pays des griffes de ces militaires actuellement au pouvoir. À lire aussiMali: le procès en appel de l'économiste Étienne Sissoko débute à Bamako
durée : 00:10:13 - Journal de 7 h - Emmanuel Macron veut accélérer les dépenses de défense, dans une période d'incertitude avec la guerre en Ukraine, le point dans ce journal.
Le 14 juillet 1789 a lieu un événement majeur de la Révolution Française : la prise de la Bastille. Un an plus tard, en 1790, c'est la Fête de la Fédération, à la même date, qui célèbre cette journée emblématique. Il faut attendre près d'un siècle pour que le 14 juillet soit déclaré fête nationale, en 1880, sous la IIIe République. C'est la même année, au cours de la première célébration officielle du 14 juillet comme fête nationale, qu'a lieu le défilé militaire devenu désormais coutume. Mais pourquoi faire défiler des militaires ? Où était le défilé avant d'être sur les Champs-Élysées ? Que pensent les Français de ce défilé ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Maële Diallo. Première diffusion : 14 juillet 2023 À écouter aussi : Pourquoi juin est-il le mois des fiertés ? Pourquoi les billets de train coûtent-ils si cher ? Pourquoi a-t-on mal au ventre quand on est stressé ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:10:13 - Journal de 7 h - Emmanuel Macron veut accélérer les dépenses de défense, dans une période d'incertitude avec la guerre en Ukraine, le point dans ce journal.
Cette semaine nous avons rendez-vous avec Jean-Philippe Durrieu, chirurgien, réserviste militaire et président de l'UNOR (l'union nationale des officiers de réserve).Cette émission est disponible sur toutes les plateformes audio (Spotify, Deezer, Apple et Google Podcast), ainsi que sur YouTube. Pensez à vous abonner et à laisser une note de 5 étoiles pour aider à la faire connaître. Et si vous souhaitez soutenir notre média indépendant, vous pouvez également rejoindre notre espace premium sur defense-zone.com et mettre la main sur du contenu inédit ainsi que nos magazines papier !Nous vous souhaitons une bonne écoute.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le chef d'état-major des armées a pris la parole ce vendredi 11 juillet. Découvrez les éléments principaux de son discours. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:08:23 - Les lieux à ne pas manquer - par : David ABITTAN - Un musée des minéraux, une vue depuis un point culminant, un cimetière de bateaux, et des alignements de cailloux millénaires… Mais d'abord, une question : pourquoi cette toutes ces tours et ces fortifications le long des côtes du Finistère ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Voici l’essentiel de l’épisode du mardi 8 juillet 2025 pour l’émission Le Midi: Des membres de l’armée canadienne qui avaient l’intention de créer une milice antigouvernementale ont été arrêtés et accusés de terrorisme; Le gouvernement Carney veut couper dans les dépenses : «La moitié de la dette du Canada porte la signature libérale» selon Gérard Deltell; 175 nouveaux postes abolis à l'usine PACCAR de Sainte-Thérèse après les 250 coupures annoncées en décembre dernier; Entrevue avec l’ex-lutteur Jacques Rougeau qui a encaissé le coup et se remet de plusieurs épreuves; Prix Nobel de la paix: Nétanyahou présente la nomination de Donald Trump. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jamais autant de militaires n'avaient été déployés sur le sol américain : 4 800 membres de la garde nationale de Californie et marines ont été envoyés à Los Angeles, en soutien à la police locale et aux agents l'ICE, l'agence chargée de l'immigration. Un contingent hors normes pour faire face aux manifestants californiens, mobilisés pour dénoncer la politique migratoire de Donald Trump.Les protestations, en cours depuis le 7 juin, font suite aux arrestations de plusieurs travailleurs considérés comme des sans-papiers par la police de l'immigration, à Paramount, une ville du comté de Los Angeles.Comment comprendre l'usage de l'armée par Donald Trump ? Et comment le président exploite-t-il les heurts à Los Angeles pour durcir sa politique migratoire ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Piotr Smolar, correspondant du Monde à Washington, analyse l'usage de l'armée par Donald Trump ; en introduction, Corine Lesnes, correspondante du journal en Califonie, nous raconte les manifestations à Los Angeles.Un épisode de Garance Muñoz et Jean-Guillaume Santi. Réalisation : Quentin Tenaud. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extraits de manifestations à Los Angeles entre le 7 juin 2025 et le 14 juin 2025, Reuters ; extrait d'une prise de parole du gouverneur de Californie, Gavin Newsom, le 10 juin 2025 ; extrait d'une prise de parole de Donald Trump, le 14 juin 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Peer de Jong, ancien colonel des troupes de marine et vice-président de l'Institut Themiis, répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Ensemble, ils s'intéressent au budget de la Défense européenne et à l'objectif de 5% de dépenses militaires imposé par Donald Trump à ses alliés. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos de Donald Trump durant sa conférence de presse durant le sommet de l'OTAN à La Haye, aux Pays-Bas.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos de Donald Trump durant sa conférence de presse durant le sommet de l'OTAN à La Haye, aux Pays-Bas.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les soirs à 20h30, Pierre de Vilno reçoit un invité qui fait l'actualité politique. Ce soir, il recoit le géopolitologue et auteur de Le Suicide de l'Amérique (Odile Jacob, paru aujourd'hui), François Heisbourg.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:16 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Hier soir, l'Iran a attaqué des bases militaires américaines au Qatar, en représailles aux frappes de dimanche soir. Jusqu'à présent, les relations entre Doha et Téhéran étaient plutôt cordiales, au vu d'une diplomatie d'équilibriste menée par le Qatar dans la région. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Dorothée Schmid Responsable du programme Turquie/Moyen-Orient de l'IFRI
Les 32 pays de l'Otan vont se pencher mardi et mercredi, sous la pression de Donald Trump et de la menace russe, sur une augmentation de leurs dépenses militaires à hauteur de 5% de leur PIB. Selon Mark Rutte, lundi à La Haye, l'alliance va faire un "bond en avant" grâce à cet objectif.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les 32 pays de l'Otan vont se pencher mardi et mercredi, sous la pression de Donald Trump et de la menace russe, sur une augmentation de leurs dépenses militaires à hauteur de 5% de leur PIB. Selon Mark Rutte, lundi à La Haye, l'alliance va faire un "bond en avant" grâce à cet objectif.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:13 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Les Etats-Unis ont infligé des "dégâts monumentaux" aux sites nucléaires iraniens bombardés dimanche, se félicite Donald Trump. En représailles, l'Iran menace d'attaquer des bases militaires américaines au Moyen-Orient. Désormais, vient le test de la diplomatie pour l'administration Trump.
durée : 00:15:43 - Journal de 8 h - Dans la nuit de jeudi à vendredi, Israël a frappé des installations nucléaires et des sites militaires en Iran. L'armée affirme disposer de renseignements prouvant que Téhéran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique. Le point avec nos correspondants à Téhéran et Jérusalem.
durée : 00:15:43 - Journal de 8 h - Dans la nuit de jeudi à vendredi, Israël a frappé des installations nucléaires et des sites militaires en Iran. L'armée affirme disposer de renseignements prouvant que Téhéran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique. Le point avec nos correspondants à Téhéran et Jérusalem.
durée : 00:15:43 - Journal de 8 h - Dans la nuit de jeudi à vendredi, Israël a frappé des installations nucléaires et des sites militaires en Iran. L'armée affirme disposer de renseignements prouvant que Téhéran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique. Le point avec nos correspondants à Téhéran et Jérusalem.
durée : 00:03:23 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Avec les guerres hybrides, numériques, ces parades ont-elles encore un sens ?
durée : 00:03:18 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Meta serait prêt à investir 10 milliards de dollars dans la start-up Scale AI, spécialisée dans le traitement de données nécessaires au bon fonctionnement de l'intelligence artificielle générative.
durée : 00:14:37 - Journal de 8 h - L'ONU appelle à la "désescalade" à Los Angeles, après plusieurs jours de heurts entre forces de l'ordre et manifestants opposés à la politique migratoire très stricte de Donald Trump. Reportage sur place de notre envoyé spécial.
durée : 00:14:37 - Journal de 8 h - L'ONU appelle à la "désescalade" à Los Angeles, après plusieurs jours de heurts entre forces de l'ordre et manifestants opposés à la politique migratoire très stricte de Donald Trump. Reportage sur place de notre envoyé spécial.
Ce mardi 10 juin, une escalade militaire inquiétante aux États-Unis a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:14:37 - Journal de 8 h - L'ONU appelle à la "désescalade" à Los Angeles, après plusieurs jours de heurts entre forces de l'ordre et manifestants opposés à la politique migratoire très stricte de Donald Trump. Reportage sur place de notre envoyé spécial.
Le premier ministre Mark Carney veut que les dépenses militaires atteignent la cible de 2 % du PIB fixée par l'OTAN dès cette année.
Ce mercredi 28 mai, l'intensification des activités militaires de la Russie le long de la ligne de démarcation avec la Finlande, qui est déjà sur pied de guerre, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
En RD Congo, plus de 1300 militaires et policiers congolais ont été évacués de Goma vers Kinshasa. Ces militaires et policiers étaient bloqués dans la base de la Monusco à Goma depuis plus de trois mois où ils s'étaient réfugiés après la prise de la ville par les rebelles.
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Quatre militaires du 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine à Castres dénoncent des traitements dégradants que leur ont fait subir leurs supérieurs hiérarchiques. Ils ont porté plainte. Témoignage dans ce journal.
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Quatre militaires du 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine à Castres dénoncent des traitements dégradants que leur ont fait subir leurs supérieurs hiérarchiques. Ils ont porté plainte. Témoignage dans ce journal.
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Quatre militaires du 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine à Castres dénoncent des traitements dégradants que leur ont fait subir leurs supérieurs hiérarchiques. Ils ont porté plainte. Témoignage dans ce journal.
Le début d'un MeToo militaire ? 4 militaires du 8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa), basé à Castres, ont déposé plainte contre l'armée pour dénoncer des faits de privation, des humiliations, du harcèlement et de la violence volontaire jusqu'à la provocation au suicide. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu de la troisième heure des GG du jeudi 15 mai 2025 : "Militaires en uniforme dans la rue" avec Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Étienne Liebig, éducateur, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique.
Les dépenses militaires mondiales ont connu leur plus forte augmentation depuis plus d'une décennie en 2023, atteignant un niveau record de 2,4 milliards de dollars alors que les guerres et les tensions croissantes alimentaient les dépenses à travers le monde.Traduction :Global military expenditure saw its steepest increase in over a decade in 2023, reaching an all-time high of $2.4 trillion as wars and rising tensions fuelled spending across the world.Click through the following links to start your language-learning journey:Web: https://go.italki.com/louisfrenchApp: https://go.italki.com/louisfrenchappBuy $10, get $5 for free for your first lesson using my exclusive Promo Code: LOUISThe discounts are only available for the first 50 users. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Les dépenses militaires mondiales ont connu leur plus forte augmentation depuis plus d'une décennie en 2023, atteignant un niveau record de 2,4 milliards de dollars alors que les guerres et les tensions croissantes alimentaient les dépenses à travers le monde.Traduction :Global military expenditure saw its steepest increase in over a decade in 2023, reaching an all-time high of $2.4 trillion as wars and rising tensions fuelled spending across the world.Click through the following links to start your language-learning journey:Web: https://go.italki.com/louisfrenchApp: https://go.italki.com/louisfrenchappBuy $10, get $5 for free for your first lesson using my exclusive Promo Code: LOUISThe discounts are only available for the first 50 users. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:06:00 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La Chine a lancé mercredi un nouvel exercice militaire de grande ampleur dans le détroit de Taïwan et dit s'entraîner à des attaques de ports et infrastructures énergétiques, au lendemain d'un blocus simulé de l'île qu'elle revendique, condamné par Washington et l'Union européenne.
Nous sommes à l'été 782. Cela fait dix ans déjà que Francs et Saxons se cherchent, mais aucun camp ne parvient à prendre l'avantage et la guerre est ravageuse. Charlemagne veut absolument étendre son territoire vers l'Est et doit donc écraser toute résistance. Cette année-là, le roi des est informé du soulèvement des peuples aux frontières de son royaume. Ses espions et ses éclaireurs lui apprennent que des Slaves sont entrés en territoire saxon et que Widikund, le chef de ses adversaires, prépare une armée pour lancer une nouvelle offensive. D'après les « Annales royales des Francs », dans la version dite d'Eginhard, on peut lire que le comte Théodoric « donna aux ambassadeurs le conseil de s'enquérir aussi vite que possible, par des espions, du lieu où étaient les Saxons, de ce qui se passait au milieu d'eux, et de les attaquer tous ensemble, si la nature des lieux le permettait. (…) A mauvais préparatifs, mauvaise issue, ajoute l'auteur de la première biographie de Charlemagne, car les Francs, entourés par les Saxons, furent presque tous massacrés (…). Sous quelle forme l'espionnage se pratique-t-il au Moyen Âge ? Quelles sont les moyens militaires, diplomatiques et politiques mis en œuvre ? La dissimulation, l'imposture, la trahison, l'intoxication, relèvent-elles déjà de l'art consommé du renseignement ? Avec nous : Valentin Baricault. Auteur de « L'espionnage au Moyen Âge » ; éd. Passés/Composés. Sujets traités : Charlemagne, roi, Francs, Théodoric, espions, espionnage , Moyen Âge, militaires, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.