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Published 15 June 2024We have rabbited on about this event for the years, the Stockholm Archipelago Raid. This year is a special edition, its the 25th running and they are doing the extreme course including a crossing to Finland. We reached out to Oscar Wetterling, a multiple participant and the last person to sink a boat during the race, (we think) to find out really what it is all about. Let us know if you would be keen to do it? Enjoy.#stockholmarchipelagoraid #f18 #catamaran #multihull #vaikobi #vaikobisail #radixnutrition #barkarate #sailingpodcast #barkarateconversations #worldsailingofficial #sailing #boat #ocean #sport #voile #sail #sea #offshore #sailors #sailingworld #extremesailing #foils #yacht #yachts #saillife #instayacht #sailingblog #instasail
Pour la dernière partie de l'émission, Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invité sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est le chef Thierry Marx. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. A cette occasion, il confie le plat qu'il aurait aimé avoir inventé.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le départ du 86ème Bol d'Or a été donné ce samedi 14 juin 2025 à Genève. Une longue course en perspective vu le peu de vent annoncé pour ce week-end sur le Léman. Des conditions bien différentes de celles du Vendée Globe pour Justine Mettraux, qui ne boude toutefois pas son plaisir de pouvoir concourir sur ''son'' lac.
On peut passer plus de deux décennies au coeur de la voile de haut niveau et n'avoir accordé qu'une poignée d'interviews : à 44 ans, Erwan Israël, marin recherché, est aussi, c'est peu de le dire, un homme de l'ombre. Formé à Brest puis à Hyères, il suit d'abord la filière olympique en laser, avant de bifurquer vers la course en équipage. Dès 2001, il découvre le Tour de France à la voile, qu'il remportera à plusieurs reprises avec l'équipe TPM–COYCH (2005, 2007), tout en développant ses compétences de tacticien et de navigateur.Entre 2006 et 2009, il s'essaye au Figaro, devient vice-champion du monde de match racing, navigue en Class America. En 2010, il intègre le Groupama Sailing Team et participe à la légendaire et victorieuse Volvo Ocean Race 2011–2012 à bord de Groupama 4, avec Franck Cammas. Il rejoint en suite Spindrift Racing. Navigateur à bord du plus grand trimaran de course du monde, Spindrift 2, il participe à plusieurs tentatives du Trophée Jules Verne et remporte notamment la Route de la Découverte (2013) et la Fastnet Race (2015). C'est aussi là qu'il bascule vers des fonctions de routage et de performance à terre.Depuis 2019, il évolue au sein du Gitana Team, dont il est devenu une pièce maîtresse, en tant que navigateur, routeur et responsable de la cellule performance. Il accompagne la victoire sur la Brest Atlantiques (2019) et la Transat Jacques Vabre (2021), puis devient co-skipper de Charles Caudrelier sur celle de 2023. Il éclate à l'écran dans son rôle de routeur, menant son skipper à la victoire dans la Route du Rhum (2022) et l'Arkea Ultim Challenge (2024). Ces derniers mois, il est accaparé par la conception de Gitana 18, dont la mise à l'eau est attendue en septembre. Des heures derrière l'écran, encore ; mais la promesse d'heures à voler prochainement...Diffusé le 13 Juin 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Français en ondes. Humour paternel. Révolutionner le déménagement. Funérailles de VLB. Dans cet épisode intégral du 13 juin, en entrevue : Guy Bertrand, conseiller linguistique Entrevue avec Virginie Courtiol et Radi, humoristes. Chloé Daneau, propriétaire du Groupe Brisson. Une production QUBJuin 2025 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans cet épisode, Clarisse nous raconte comment la voile, qui n'était qu'un loisir, est devenue un jour une véritable vocation.Elle nous parle de son enfance, de son éducation, et de cette passion qui, un jour, a pris le dessus sur tout le reste.Clarisse aborde sans détour les défis rencontrés avec les sponsors, la pression médiatique, les accusations,mais elle nous livre aussi les grandes joies et tous les petits instants de grâce si présents dans les grands défis.Merci Clarisse pour ton authenticité, ton regard si lucide et inspirant sur la vie.Et merci de nous prouver que tout est possible, tout en nous rappelant que les grands projets sont souvent semés d'obstacles, mais que ce n'est pas une raison pour ne pas y aller !Musique : Stolen Heart - Henry and the WaiterRetrouvez l'épisode complet Dimanche soir.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invité de "On se tutoie ?...", MC Solaar se dévoile sans filtre
En 25 ans d'émission, Julien Courbet et toute son équipe ont connu des excuses de plus en plus rocambolesques ... Ils ont même une très belle collection photos ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De 17H à 20H, l'Happy Hour FG, Avec Antoine Baduel, Stars, Mixes Live, cadeaux. L'Happy Hour, c'est le son de la DJ radio, des interviews, des voyages de rêve, et les bons plans de la rédaction
Éduc’alcool change. Club de lecture voilé. Un prof qui n’aime pas trop le Québec libre. La censure en humour. Dans cet épisode intégral du 11 juin, en entrevue : Geneviève Desautels, directrice générale d’Éduc’alcool Romain Gagnon, ingénieur, essayiste et auteur. Marie-Anne Alepin, présidente générale de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Une production QUB Juin 2025 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque samedi, Laurent Mariotte et ses chroniqueurs passent l'invité sur le grill : une interview qui permet d'en savoir plus sur les goûts culinaires de notre personnalité de la semaine. Aujourd'hui, Ary Abittan.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Faith Evans - Love Like This (Les Bisous Remix) Laurent Voulzy - Le Coeur Grenadine (Yann Muller Remix) BANTU - Habibi (Extended Mix) Andhim & AMÉMÉ & Malou - Feel The Love (Extended Mix) aMouse x Mindblow x Nes Mburu - Nifunze (Extended Mix) BLOND-ISH & Bantu - Can't Let You Go (Extended Mix) HUGEL x Topic x Arash - Adore You (HUGEL, J Balvin & Ellie Goulding Extended Edit) Unfazed - A Gira (Extended Mix) Fred Karato Feat. Kimberly - Chéri Je T'Aime (Jeremy Bass & Rio Dela Duna Extended Remix) DE SOFFER - Voyage Voyage (Club Mix) Les Bisous, DE SOFFER - E Samba (Extended Mix) Bob Sinclar Feat. Steve Edwards - World hold on (Yann Muller Remix) Yann Muller - Bateau Blanc (Extended Mix) Yann Muller - L'Envie D'aimer (Extended Mix) DE SOFFER – Everybody's Free (To Feel Good) (Extended Mix) Yann Muller, Les Bisous - Africa (Extended Mix)
Victor-Lévy Beaulieu parti. Régime d’union parentale. À la défense du Grand Prix à Montréal. Des étudiants américains très petits lapins. Dans cet épisode intégral du 10 juin, en entrevue : Yves Desgagnés, acteur, metteur en scène et réalisateur. Fabien Major, planificateur et chroniqueur financier. Vianney Godbout Lescouzères, ex restaurateur montréalais. Une production QUB Juin 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ce 216e épisode de Pos. Report reçoit deux marins qui, du 14 au 22 juin, disputeront le Tour de Bretagne à la voile entre Perros-Guirec et Quiberon, Alexis Loison (Groupe Réel) et Alexis Thomas (Wings of the Ocean).Nos deux invités commencent par évoquer cette épreuve qui fête cette année sa 15e édition, avec toujours le même format, à savoir qu'elle se court en double et par étapes. Alexis Loison, qui y a participé huit fois et l'a gagnée à deux reprises, avec Fred Duthil en 2029 puis Guillaume Pirouelle il y a deux ans, explique que la clé est la régularité, tandis qu'Alexis Thomas se souvient d'une première participation, en 2021, qui s'était terminée sur un caillou de l'Aber Wrac'h.Ils expliquent ensuite le choix de leurs co-skippers respectifs, Corentin Horeau pour le Normand, Malo Wessely pour le Rochelais, qui raconte au passage comment il est venu à la voile de compétition et au Figaro en particulier, sa famille étant très proche de celle des Levaillant père et fils (Jean-Baptiste et Arthur).Nous évoquons ensuite avec eux leur début de saison, marqué par une première victoire sur le circuit Figaro lors de la Solo Guy Cotten pour Alexis Thomas, qui l'explique notamment par un budget enfin à la hauteur de ses ambitions et l'arrivée de Romen Richard comme entraîneur du pôle de La Rochelle. Et même si la Transat Paprec s'est avérée frustrante (9e avec Pauline Courtois après avoir fait une partie de la course aux avant-postes), il estime avoir trouvé quelque chose en termes de vitesse, notamment au portant.Quant à Alexis Loison, il explique comment il “jongle” entre son travail à la voilerie Incidence et les navigations, notamment sur le nouveau JPK 1050 qu'il met actuellement au point. Nous enchaînons sur leur grand objectif de la saison, la Solitaire du Figaro, la 19e d'Alexis Loison, la 5e d'Alexis Thomas. Le premier présente le parcours et revient sur quelques souvenirs marquants, entre son unique victoire d'étape à Plymouth et la première du Figaro 3, en 2019.Diffusé le 10 Juin 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Note aux auditrices et auditeurs : cet épiside a été diffusé une première fois le 29 avril.La traversée risque d'être "un peu agitée", prévient le capitaine Andrew Simons avant de larguer les amarres pour emmener un groupe de voyageurs en Angleterre au départ de Boulogne-sur-mer (Pas-de-Calais) à la seule force du vent.Le vent fait partie des solutions pour décarboner le transport maritime, de fret ou de passagers, responsable de 3% des émissions de gaz à effet de serre et le secteur du transport maritime s'est engagé à atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. Sail Link, la start-up britannique qui a organisé les voyages sur la Manche, veut démocratiser la voile comme alternative bas carbone aux ferries sur la Manche, entre Douvres et Boulogne-su-Mer.Invités : Laura Salabert, journaliste au bureau de LilleSylvain Roche, professeur à Sciences Po Bordeaux, spécialiste de la décarbonation du secteur maritime Lise Detrimont, déléguée générale de Wind Ship.Réalisation : Emmanuelle BaillonReportage AFPTV : Margaux ChauvineauVoix : Pierre Moutot, Luca MatteucciSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Inventer des mots. La SAQ coule. Attention aux pubs IA. Santé! Dans cet épisode intégral du 9 juin, en entrevue : Pierre-Yves Lord, animateur Yves Mailloux, président fondateur du Club des dégustateurs de grands vins Une production QUB Juin 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Published 8 June 2025Plenty going on in the World of Finns. Finn World Masters 25 start next week. The Finn Worlds and Masters Worlds are coming up in Brisbane in February 2026. We wanted to know more. In Australia, in the Finn fleet, there is also a bloke who is the ultimate person when it comes to building a class. I have mentioned this about him on the show before, so when we decided we wanted to talk Finns, we reached out to the man himself Phil Chadwick. If you love Finns or you just want to know about building a class, this is the episode for you.#finnclass #finn #finnsailing #rqyssailing #olympicsailing #vaikobi #vaikobisail #radixnutrition #barkarate #sailingpodcast #barkarateconversations #worldsailingofficial #sailing #boat #ocean #sport #voile #sail #sea #offshore #sailors #sailingworld #extremesailing #foils #yacht #yachts #saillife #instayacht #sailingblog #instasail
Après 7 ans d'absence, "Bouquet final" est le tout premier extrait du nouvel album de Vanessa Paradis, à paraître à l'automne prochain. Composée par Etienne Daho et Jean-Louis Piérot, écrite par Doriand, cette chanson renoue avec un univers pop/soul cher à l'artiste. Ecoutez La star du jour avec Anthony Martin du 06 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Boxe féminine. Mario Pelchat et les fonctionnaires. Pourboire. Subventions pour influenceurs. Dans cet épisode intégral du 4 juin, en entrevue : Katia Bissonnette, coach de boxe, responsable boxe à Équipe Québec et docteure en psychologie. Éric Duhaime, chef du Parti Conservateur du Québec et candidat dans Arthabaska. Pierre Moreau, président-directeur général du Groupe Restos Plaisirs. Une production QUB Juin 2025 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le Train Grande Vitesse | Michel Jean nommé Chevalier | Urgences et délai | Québécois en finale de la NBA Dans cet épisode intégral du 3 juin, en entrevue : Jean Mercier, professeur associé, Département de science politique à l’Université Laval. Michel Jean, écrivain. Renaud Brossard, vice-président communications à l’Institut économique de Montréal (IEDM). Une production QUB Juin 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ce 215e épisode de Pos. Report est consacré à la classe Mini 6.50 avant le départ, le jeudi 5 juin de Douarnenez, du Trophée Marie-Agnès Péron, auquel participent, en catégorie proto, les deux invités, Benoît Marie (Nicomatic-Petit Bateau) et Basile Gautier (Nass&Wind/les EDG).L'un comme l'autre commencent par raconter comment ils sont venus à la classe Mini, un projet né après son entrée en alternance chez North Sails à l'âge de 16 ans pour Basile Gautier (23 ans aujourd'hui), également très jeune chez Benoît Marie, passionné de voile et de technique depuis longtemps, et qui est arrivé sur le circuit en 2012, avant de remporter un an plus tard la Mini Transat en proto.Quand Caroline Boule lui a parlé de relancer un projet sur un proto à foils signé Sam Manuard, ce dernier, passé depuis ses débuts au large par de nombreux supports (Ultim, Ocean Fifty, Moth…), a “repiqué” avec enthousiasme il y a trois ans. Il raconte l'apprentissage parfois compliqué du foil sur un bateau de 6,50 mètres, tandis que Basile Gautier explique de son côté pourquoi, après deux premières années sur le 802 (il n'a pas réussi à se qualifier pour la Mini Transat 2023), il a jeté son dévolu sur le 945, le fameux Tartine, lancé en 2018 par Axel Tréhin, puis équipé de foils en 2022 par Fabio Muzzolini, copropriétaire du plan Lombard.Après avoir détaillé les spécificités de leurs protos respectifs et comment ils financent leur projet, les deux skippers évoquent leurs ambitions pour la suite de la saison, avec en ligne de mire la Mini Transat. Et après ? Basile Gautier se verrait bien poursuivre en course au large, sans doute pas en Mini, Benoît Marie veut “voir le cap Horn”, que ce soit sur The Ocean Race, le Vendée Globe ou son rêve ultime, le Trophée Jules Verne.Diffusé le 03 Juin 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment mange un des plus grands champions d'ultra-endurance au monde ?Dans cet épisode inédit, Kilian Jornet nous dévoile sa vision de la nutrition : simple, naturelle, ultra-efficace. Pas de régimes à la mode ni de recettes miracles, mais une approche fine, flexible et personnalisée. De son potager norvégien à ses tests scientifiques en pleine course, il partage tout : ses erreurs de débutant, ses découvertes sur le microbiote, ses apports en glucides... et sa façon de garder le plaisir dans l'assiette, sans jamais tomber dans l'obsession.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rapport du Comité de sages sur l’identité de genre. Humour. Pauvreté. Hot dog ou hamburger? Dans cet épisode intégral du 2 juin, en entrevue : Alexandra Houle, présidente du Réseau féministe Québécois Russel-Aurore Bouchard, historienne et écrivaine Guy Nantel, humoriste et auteur Audrey Renaud, directrice générale du Regroupement Partage Isabelle Huot, docteure en nutrition Une production QUB Juin 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tous les matins à 7h50, l'actualité culture, TV ou cinéma avec Charles Magnien.
Published 1 June 2025This week we chat to Maud Jayet, one of the next wave of women leading the way in professional sailing. Maud is great fun and very open in her discussion and a great story teller, so we were very keen to get her on the show. Enjoy it.#maudjayet #ilca_sailing #paris2024 #olympicsailing #vaikobi #vaikobisail #radixnutrition #barkarate #sailingpodcast #barkarateconversations #worldsailingofficial #sailing #boat #ocean #sport #voile #sail #sea #offshore #sailors #sailingworld #extremesailing #foils #yacht #yachts #saillife #instayacht #sailingblog #instasail
En septembre 2025, la Maison des mondes africains ouvrira ses portes à Paris, après un véritable parcours du combattant pour trouver un lieu. À sa tête : Liz Gomis, journaliste et réalisatrice, de caractère bien trempé, qui n'esquive pas les tensions du moment. « C'est l'institution que j'aurais voulu à 20 ans », confie-t-elle. Elle porte ce projet avec force, mémoire et convictions. Rencontre avec une femme bien trempée, portée par un désir de transmission, de réparation, et de dialogue entre les récits afro-diasporiques et l'espace culturel français. RFI : Pour celles et ceux qui ne la connaissent pas encore, qu'est-ce que la Maison des Mondes Africains, la MansA ?Liz Gomis : La MansA, c'est une institution culturelle. C'est également un laboratoire. Nous ne nous inscrivons pas comme un musée puisque nous n'aurons pas de collection d'œuvres d'art ou autres. Nous sommes centrés sur la création contemporaine. Je dirais qu'on a un prisme aussi sur la création numérique et l'audiovisuel, parce que je viens de là. L'idée, c'est de pouvoir monter un centre qui sera pluridisciplinaire et qui croisera aussi bien les arts du spectacle, que la littérature, que le cinéma. MansA, le nom de l'institution, c'est Maison des mondes africains. Quand on dit mondes africains, on parle des Caraïbes, on parle des Amériques – du nord et du sud –, on parle de l'océan Indien et on parle évidemment de la diaspora européenne. Parce que l'idée, c'est justement de croiser ces savoirs. L'idée, c'est aussi de les faire découvrir parfois à un public plus jeune. Ce sera notre mission d'éducation, toujours sous le prisme de la culture, qui permettra, je pense, de permettre à certaines personnes de se libérer un peu de l'exigence – parce qu'on a toujours le sentiment qu'il faut avoir lu Achille Mbembe pour pouvoir rentrer dans ces sujets. Alors qu'en fait, on peut y entrer par différents biais. On peut y entrer par des œuvres d'art – en ce moment, il y a l'exposition au Centre Pompidou, Paris Noir – des moments musicaux, des moments d'expositions. Voilà, ce sera un bouillonnement de culture. Vous faites référence à Achille Mbembe qui est à l'origine de ce projet. Comment le projet a-t-il évolué depuis ce premier jet ? Achille Mbembe, effectivement, est à l'initiative de ce projet. Ensuite, j'ai vite été mise à contribution pour écrire le rapport de préfiguration. Achille est arrivé évidemment avec la philosophie et l'idée du projet, mais ensuite, il fallait transformer cela en un projet tangible. Voilà comment le projet a évolué. Je peux dire que j'y ai mis toutes mes tripes et j'y ai également mis une part de moi parce que, quelque part, la MansA, c'est un peu l'institution que j'attendais lorsque j'avais 20 ans. C'est l'institution qui m'aurait permis, il y a 20 ans, de mieux comprendre qui j'étais en tant que Française dont les parents sont nés sur le continent africain et qui parfois avaient du mal à trouver sa place. Aujourd'hui, j'en ai 24 de plus, donc je ne me pose plus cette question. Mais je sais que c'est une question qui continue de perturber et de questionner de jeunes gens et de jeunes femmes qui sont pleinement français et qui se posent toujours la question de savoir quelle est leur place dans le pays dans lequel ils sont nés. Vous parlez de cette difficulté à trouver sa place. Comment faire entendre cette voix dans une France où les crispations identitaires s'accentuent ? C'est toujours compliqué de monter un projet, en premier lieu. Évidemment, on sait bien que le sujet de l'Afrique et de ses descendants, cela crispe. Mais moi, j'ai juste envie de dire aux Français, ayez de la mémoire. Rappelez-vous qu'à un moment donné, on était content d'avoir les tirailleurs sénégalais. Rappelez-vous qu'on était heureux d'aller voir Joséphine Baker sur scène. Rappelez-vous que Manu Dibango était le directeur musical de la seule émission musicale de l'ORTF, Pulsations, et que le producteur était Gésip Légitimus. Rappelez-vous de tout cela. Je suis juste là pour dire, nous avons une mémoire. Si on fait le choix de se replier en invoquant le fantasme d'une France qui aurait toujours été monochrome, c'est un mensonge que l'on se fait. Ce pays a toujours été un brassage. Tout ce qu'on fait avec MansA, c'est de rappeler les Français à leur histoire. Il ne faudrait pas glisser vers cette voie du repli. Au fond, qu'est-ce que ça nous apporte ? On voit bien les États-Unis en train de se replier. Honnêtement, cela ne donne pas envie, ce qu'on est en train de voir aujourd'hui. Est-ce que c'est cela, la marche du monde ? Je ne crois pas. Comment est financée la Maison des Mondes Africains ?Pour l'instant, c'est financé par la puissance publique. Nous sommes en train de monter notre cellule de mécénat, parce qu'il s'agit aussi d'aller lever des fonds privés. Mais pour le moment, oui, nous sommes financés par la puissance publique. Personnellement, qu'est-ce qui vous porte dans ce projet ? Ce qui me motive, ce sont mes parents. C'est le parcours de mes parents. C'est de se dire qu'une femme qui s'appelle Émilie Mendy, qui est partie de Guinée-Bissau, qui est arrivée au Sénégal à l'âge de douze ans, qui est ensuite arrivée en France à l'âge de 19 ans, qui a fait des ménages et qui s'est battu toute sa vie pour en avoir une, de vie digne, mais aussi pour que ses enfants soient sur un chemin qui soit digne également. Ma motivation, c'est de me dire : « Je ne peux pas décevoir ce parcours. » Ma motivation première, c'est celle-ci, c'est d'abord de rendre hommage à mes parents. La deuxième motivation, c'est que maintenant, je regarde derrière moi et je vois les plus jeunes. Je ne peux pas me dire que ces plus jeunes vivront le même parcours que le mien. Je suis obligé d'être à la hauteur. Voici ce qui me motive tous les matins et qui fait que je me lève et que je me bats pour que cette institution existe parce qu'on a besoin de « role model », de modèles en français. Je ne sais pas si je suis un « role model », mais de voir les stagiaires d'observation qu'on a pu avoir nous renvoyer des messages en nous disant : « J'ai eu 20 sur 20 à mon rapport de stage et c'est grâce à vous, j'aimerais bien faire mon stage de seconde chez vous. » Alors que ce sont des gens qui sont motivés par le football et qui m'ont dit qu'ils n'avaient pas envie d'aller faire un stage dans un club de foot ou à la fédération. Pour moi, ce sont des victoires. Parce que pour une fois, ils se sont dit : « Je fais un stage d'observation et la directrice est une femme d'origine africaine, elle ressemble à ma sœur, elle ressemble à ma mère, elle ressemble à ma tante. En fait, c'est possible. » L'idée est de se dire qu'on a ouvert la porte. On offre un champ des possibles quelque part infini. Moi, à partir de ce moment-là, ma motivation démarre et après, plus rien ne peut m'arrêter. À lire aussiLa Maison des mondes africains a trouvé ses locaux à Paris après des mois de controverses
Il a découvert la voile à l'adolescence, entre Toulouse et Gruissan, dans une famille baignée par l'aéronautique - loin des capitales de la régate. C'est aux côtés de son père Ortwin, pionnier d'Airbus, que Stephan Kandler fait ses premières armes, en croisière puis en course, avant de professionnaliser cette passion au sein de K Yachting. Très actif dans les années 1990 sur les circuits ILC 40, Mumm 30 ou Corel 45, il construit des programmes ambitieux en équipage, repère de futurs grands noms (Juan Kouyoumdjian, Guillaume Verdier) et attire les meilleurs navigateurs français des circuits inshore.En 2001, à 30 ans, il se lance dans l'aventure Coupe de l'America avec la création de K-Challenge. Six ans plus tard, son équipe représente la France à Valence sous le nom Areva Challenge, après avoir frôlé la banqueroute. Le défi français se classe sixième de la Louis Vuitton Cup et parvient à rivaliser avec des écuries bien mieux dotées. L'avenir s'annonce prometteur - Stephan Kandler assure avoir alors réuni un budget de 60 millions d'euros grâce à un mécène et un partenaire -, mais le conflit judiciaire entre Oracle et Alinghi gèle tout projet de suite et tout s'effondre.Il rebondit en TP52 avec All4One durant trois saisons, sans parvenir à revenir dans la Coupe et prend ce qu'il pense être sa retraite de la voile pour se tourner vers les vignes pendant près de huit ans. Kandler revient à la voile en 2021, motivé par l'évolution technologique des supports et l'essor de SailGP. Il s'associe à Bruno Dubois et relance K-Challenge, avec l'objectif de concourir à la 37e America's Cup à Barcelone. C'est le groupe Accor, via sa marque Orient Express, qui relance définitivement la machine fin 2022. En deux ans à peine, un AC75 est construit chez Multiplast, issu du design package des Kiwis et l'équipe s'aligne dans les délais.Sur le plan sportif, Quentin Delapierre et les siens créent la surprise en remportant la première régate officielle à Villanova en AC40. Mais le manque d'entraînement sur l'AC75 et l'inexpérience de ce type de support pénalisent la suite du parcours. Malgré une victoire symbolique contre Alinghi, le défi tricolore ne se qualifie pas pour les demi-finales. Une "déception" sportive, Kandler ne s'en cache pas.Aujourd'hui, K-Challenge poursuit l'aventure à travers sa présence en SailGP, où elle aligne le même équipage qu'en America's Cup. L'équipe s'est ancrée à Lorient, via des activités technologiques (hydrogène, software embarqué, simulateur) qui nourrissent à la fois la performance et des débouchés industriels.Alors que la 38e édition de la Coupe se profile à Naples en 2027, Stéphane Kandler affiche son ambition : capitaliser sur l'expérience de Barcelone pour construire une équipe encore plus compétitive. La France a (re)pris pied dans la Coupe. Il reste désormais à s'y imposer. Et Stephan Kandler en est sûr : jamais cela n'a été aussi possible.Diffusé le 30 Mai 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Baguette de Montréal. Grève en construction. Coupe Longueuil. Élimination des barrières commerciales. Dénatalité milléniale. Dans cet épisode intégral du 30 mai, en entrevue : Yanic Parent, courtier immobilier résidentiel Jean-Philippe Roy, fondateur du mouvement Québec Mulet Gabriel Giguère, analyste senior en politiques publiques à l’IEDM. Une production QUB Mai 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Bonjour à tous et bienvenue sur DM&V, j'espère que vous allez pour le mieux. Aujourd'hui, je reçois un invité qui se fait très discret dans les médias, ce qui ajoute encore au plaisir de le recevoir dans l'émission. Ce dernier a pourtant mille choses passionnantes à raconter. Il s'agit de Laurent Tordjmann, fils et successeur récent de Claude Tordjmann, le repreneur de la marque Auricoste en 1983. L'an dernier, Auricoste, l'horloger de la Marine Française depuis plus d'un siècle, fêtait ses 170 ans. Or, à cette occasion, la marque vient de dévoiler une pièce conjuguant avec élégance les spécifications d'une montre outil professionnelle en 2025. Cette montre, c'est la Fusco, pour "Fusillers Commandos" Nous en parlons d'ailleurs dans cette émission où la passion est omniprésente. Au cours de cet épisode, nous revenons sur les grandes épopées de la marque Auricoste, dont chaque décennie est jonchée. Laurent nous fait l'immense cadeau de partager avec nous ses anecdotes familiales, ayant baigné toute sa jeunesse dans l'univers de l'aéronavale et du secret défense... J'espère que vous prendrez autant de plaisir à suivre cet épisode que nous en avons eu à le tourner. Sachez d'ailleurs que si vous souhaitez rendre visite à Laurent et visiter ses bureaux musée dans le 15ème à Paris et voir les pièces disponibles à la vente, c'est tout à fait possible en appelant le 01 45 78 61 11 ou en lui envoyant un e-mail à l'adresse suivante : ltordjmann@auricoste.fr Infos supplémentaires sur auricoste.com Enfin, si vous aimez la chaine et son contenu, N'hésitez pas à liker, à vous abonner et à activer les notifications pour ne rien louper et pour aider DM&V à progresser. Pour ceux qui écoutent en version podcast, pensez à laisser une note 5 étoiles et un commentaire, ça fait toujours plaisir Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une première mondiale. Une exposition d'envergure sur l'Art brut d'Iran a pris ses quartiers à la Halle Saint-Pierre à Paris jusqu'à la fin de l'été. Niché au pied du Sacré-Cœur, le musée d'art naïf dévoile près de 200 pièces d'une vingtaine d'artistes iraniens : dessins, peintures, œuvres textiles et sculptures en bois. Loin des conventions, ces créations puissantes, subversives et colorées s'ancrent dans une culture millénaire, tout en étant intimement liées à la vie des artistes. C'est un tourbillon de formes et de couleurs, un univers peuplé de créatures mythologiques, étranges et fantastiques. L'art brut se déploie dans toute sa splendeur, aussi libre que l'air, à la Halle Saint-Pierre à Paris, sous l'initiative de Martine Lusardy. Engagée depuis plus de 30 ans dans l'exposition de cet art des marginaux, des fous et des autodidactes, la commissaire met pour la première fois l'accent sur des artistes iraniens.« Ils sont tous autodidactes, des chauffeurs de taxi, des paysans, des gens plus ou moins érudits, mais qui ont eu une fracture dans leur existence. Ils ont eu besoin de créer pour donner du sens à leur existence. Pour certains, c'est la perte d'un enfant, d'autres, c'est la perte du travail, ou d'avoir quitté la campagne pour vire dans la ville. Certains sombrent avec ces expériences, ces drames, et d'autres trouvent le chemin de la création, guérissent d'une certaine façon ou se reconstruisent. C'est comme un puzzle qui se reforme. Une fois qu'ils sont dans cette dynamique, rien ne peut les arrêter », nous raconte Martine Lusardy.Certains artistes travaillent plus de 10 heures d'affilée, comme Sarvenaz Farsian de Téhéran. Elle noircit des feuilles entières à la pointe d'un stylo, créant des dentelles en papier, entre labyrinthes créatifs et boucles infernales. D'autres se jettent à corps perdu dans la création pour échapper à la douleur, à l'angoisse ou à des comportements compulsifs. « Il y a ce besoin irrépressible de créer, presque obsessionnel. Et en Iran, ce qui va les réunir, c'est leur culture qui va du début de l'Histoire de la Perse jusqu'au début de l'islam, pratiquement trois millénaires, mais de façon très diffuse, très lointaine. C'est plutôt un rapport aux grands mythes, aux grands archétypes qui ont un peu déserté nos civilisations occidentales actuelles. Et d'ailleurs, les auteurs d'art brut ne s'adressent pas à un spectateur en espérant avoir la gloire, la reconnaissance, l'argent. On s'adresse à un alter égo plus grand que soi », explique-t-elle. Et parfois, l'art va main dans la main avec l'artisanat. « En Iran, il y a cette tradition du tissage et de la tapisserie. Ça vient du latin du mot texere. C'est tisser, et en même temps, raconter une histoire. Et là, on retrouve un artiste qui s'appelle CC. Il utilise des vieux tapis jetés, usés, épuisés, il les récupère, il les réassemble et dessus, il va broder une histoire inspirée des récits épiques, mais réinterprétée de façon personnelle : la bataille entre un homme et le diable, le bien et le mal », poursuit-elle. Toiles d'araignées et sculptures totémiques, broderies et arbres féeriques, ces œuvres, radicalement personnelles et profondément ancrées dans la culture iranienne, expriment, enfin et surtout, une revendication de vie, voire une résistance vibrante et colorée.► L'Art brut d'Iran, une exposition inédite à découvrir à la Halle Saint-Pierre à Paris jusqu'au 31 juillet 2025.
Le 17 mai, le trois-mâts mexicain Cuauhtémoc percute le pont de Brooklyn, causant deux morts et vingt blessés, en raison d'une erreur de navigation.Traduction:On May 17, the Mexican tall ship Cuauhtémoc strikes the Brooklyn Bridge, resulting in two deaths and twenty injuries due to a navigation error. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A 10h, ce jeudi 29 mai 2025, les GG : Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de : Mathilde Panot défend le port du voile chez les petites filles.
Aide à mourir en France. Touristes québécois aux États-Unis. Chronique Sac de Chips. 2 parents par enfant. Dans cet épisode intégral du 28 mai, en entrevue : Jonathan Marchand, défenseur des droits des personnes handicapées. Nicolle Dufour, représentante de la région du Jersey Cape pour le Canada Une production QUB Mai 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Comme chaque semaine, Laurent Mariotte reçoit un invité. Cette semaine, c'est le chroniqueur et critique culinaire François Simon à l'occasion de la sortie de son ouvrage "Y retournerai-je ?" paru aux éditions Flammarion. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Secrétaire générale de la classe Figaro Beneteau, Eléonore Jeudi de Grissac a suivi un parcours pas toujours rectiligne, fait de rencontres et de métiers variés, mais jamais bien loin de la mer. Aux Antilles, où elle a vécu vingt ans, puis en Bretagne où le monde de la course au large lui a ouvert les bras.Généreuse et sincère, elle se décrit comme « facilitatrice», toujours aux petits soins pour les skippers de la classe, qu'ils soient bizuths ou présents sur le circuit depuis des années. A 56 ans, cette maman a le sentiment d'être bien où elle est et tient à rendre hommage à sa famille, pour l'amour et la bienveillance dont elle a fait preuve à son égard et lui a permis de se construire.Diffusé le 28 Mai 2025Post production : Grégoire LevillainGénérique : All the summer girlsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Éléonore Lemaire, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Fin de vie. Abandon d’animaux. Francisation. Le roi Charles. Dans cet épisode intégral du 27 mai, en entrevue : Olivier Teasdale, fils de Jacques Teasdale décédé en juillet 2024 Laurence Massé, directrice générale de la SPCA de Montréal. Tania Longpré, docteure en éducation, enseignante spécialiste en francisation. Une production QUB Mai 2025 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ce 214e épisode de Pos. Report est consacré à la voile olympique et aux bateaux volants, avec une invitée unique, Camille Lecointre, avant le coup d'envoi du Grand Prix de l'École Navale à laquelle elle participe en ETF26.Cette dernière commence par revenir sur ses quatrièmes Jeux olympiques en 470, disputés l'été dernier à Marseille avec Jérémie Mion, une belle aventure humaine, mais une déception sportive qui l'a laissée sur sa faim, elle qui visait une nouvelle médaille olympique, après celles de bronze décrochées à Rio avec Hélène Defrance et à Tokyo avec Aloïse Retornaz.Même s'il “ne faut jamais dire jamais”, la page de l'olympisme est désormais tournée pour la navigatrice de 40 ans qui ne gardera que de bons souvenirs de ses presque vingt ans de 470, avec en point d'orgue la medal race des Jeux de Rio. Elle se verrait en revanche bien transmettre son expérience, elle qui se félicite de voir que la relève est assurée en 470 avec Matisse Pacaud et Lucie de Gennes, troisièmes du récent championnat d'Europe de Split.Camille Lecointre explique que comme elle n'avait rien prévu à l'avance, elle a eu une longue phase de réflexion sur son avenir après les Jeux, au point de songer à changer radicalement d'univers, avant de recevoir un coup de fil de Bruno Dubois qui lui a proposé de rejoindre l'équipe de France de SailGP pour la saison 5. Elle raconte la découverte de ce nouvel univers du foil et du F50 et son rôle de tacticienne remplaçante (pour l'instant) de Manon Audinet.Elle explique également comment elle s'est mise à l'ETF26 avec K-Challenge, l'objectif étant de former des femmes aux supports à foil dans la perspective de la prochaine édition de la Women's America's Cup, clairement un objectif pour la Normande. Qui sera donc à partir de mercredi en presqu'île de Crozon pour participer sur ce support au Grand Prix de l'École Navale, avec un équipage composé de Lou Mourniac, Enzo Ballanger et Manon Peyre.Diffusé le 27 Mai 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On paie pour les étoiles Michelin. Les douaniers peuvent fouiller nos téléphones. Attirer les Américains chez nous. Un cerveau en santé via l’alimentation. Dans cet épisode intégral du 26 mai, en entrevue : Marie-Claude Lortie, chroniqueuse et rédactrice en chef au journal Le Droit. Francis Coats, expert en sécurité et enseignant à l’École de technologie supérieure (ETS). Shanny Hallé, directrice représentation et communications et porte-parole officielle de Tourisme Cantons-de-l’Est. Une production QUB Mai 2025 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Published 25 May 2025This week we have three World Champions from the Hobie Class. Cam Owen, Susie Ghent and Paddy Butler, each of them putting time and energy in to growing the sport. Its a chat about excellence, but excellence in ideas to grow sailing. We also talk in depth about a bunch of catamaran events including Western Australia's Cat Summer. Its fun as usual. Enjoy!#hobie16 #hobie14 #hobiecataustralia #hobiecatcompany #hobiecatnationals #vaikobi #vaikobisail #radixnutrition #barkarate #sailingpodcast #barkarateconversations #worldsailingofficial #sailing #boat #ocean #sport #voile #sail #sea #offshore #sailors #sailingworld #extremesailing #foils #yacht #yachts #saillife #instayacht #sailingblog #instasail
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la proposition de loi de Gabriel Attal visant à interdire le port du voile pour les mineurs de moins de 15 ans dans l'espace public.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il fût longtemps un technicien de haut vol ; il occupe désormais une place centrale dans l'écosystème de la course au large. Président de l'Imoca depuis 2017, Antoine Mermod, 48 ans, élu par les coureurs, dirige la classe phare des monocoques de 60 pieds. Il a commencé par l'habitable à La Trinité-sur-Mer où la famille passe ses vacances, alors véritable Mecque de la voile dans les années 1990-2000. Étudiant en école d'ingénieur, il se forme au contact de Bruno Peyron, multiplie les coups de main et les expériences avant de plonger dans l'univers des Orma. Avec Karine Fauconnier chez Sergio Tacchini puis au sein du Gitana Team, il vit de l'intérieur l'âge d'or des trimarans de 60 pieds, à une époque où peu d'équipes disposent de bureaux d'études intégrés.Il a à peine 30 ans et déjà beaucoup d'expérience quand il vit son premier Vendée Globe avec Gitana 80 : il dissèque la jauge et découvre les émotions puissantes d'un tour du monde. Il renouvellera l'expérience en 2016-2017 en construisant No Way Back et en gérant le projet de Pieter Heerema. Entre-temps, il est directeur technique des 5 Imoca de la Fnob sur la Barcelona World Race, 2011 puis rejoint les frères Peyron pour participer à l'aventure Energy Team dans la Coupe de l'America.Il est élu président de l'Imoca au printemps 2017, à l'issue du premier Vendée Globe des foilers, lorsque partisans et opposants à la monotypie s'affrontent : l'ingénieur passionné par les protos se retrouve président d'une association de coureurs. Sous sa houlette, l'Imoca va se transformer en une véritable ligue professionnelle (une dizaine de collaborateurs, 1,7 million d'euros de budget), profitant de l'engouement pour le Vendée Globe 2020-2021 et du choix par The Ocean Race - sur sa proposition - de faire des Imoca le support de ses épreuves en équipage.Prochain objectif : faire en sorte que les coureurs, qui prennent tous les risques, vivent mieux de leur sport. Et continuer à vivre les émotions si uniques d'un tour du monde...Diffusé le 21 Mai 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:59 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce mercredi 21 mai, autour d'Agathe Lambret et de Jean-Rémi Baudot.
Au menu de la troisième heure des GG du mercredi 21 mai 2025 : "Faut-il interdire le voile aux moins de quinze ans ?" avec Élina Dumont, intervenante sociale, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Antoine Diers, consultant auprès des entreprises.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Didier Giraud et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Published 18 May 2025We couldn't put an episode together last week, so this week we bring you a rip snorter. We chat to Rohan Veal, the man who brought foiling to the masses, the game changer, the man who invented the Veal Heel, the first King of foiling. The two time Moth World Champion gives us all the detail on how foiling came about. Its an awesome story, it changed our sport, it's part of our history, it should be taught in schools! You will love this Ep. Enjoy.#rohanveal #mothclass #foiling #vaikobi #vaikobisail #radixnutrition #barkarate #sailingpodcast #barkarateconversations #worldsailingofficial #sailing #boat #ocean #sport #voile #sail #sea #offshore #sailors #sailingworld #extremesailing #foils #yacht #yachts #saillife #instayacht #sailingblog #instasail
Laurent Larcher, grand reporter à La Croix, spécialiste des conflits africains, est l'invité de cet épisode puissant.Je sais bien qu'on n'a pas envie de regarder les massacres de masse et qu'on préfère regarder ailleurs mais vous allez voir que cet épisode va vous permettre avec douceur et lucidité de mieux comprendre un phénomène qu'on arrive pas à saisir autrement.Laurent est également l'auteur du livre La fureur et l'extase, dans lequel il interroge notre rapport collectif à la violence de masse.J'ai reçu Laurent avec une émotion particulière, parce que son regard, affûté par des années de terrain — Rwanda, Soudan, Centrafrique — vient interroger en profondeur ce que nous voyons, ou plutôt, ce que nous choisissons de ne pas voir.Dans cet épisode, nous parlons de l'horreur brute, des massacres de masse dont les victimes deviennent des chiffres, vidées de leur humanité. Pourquoi certains conflits sont-ils invisibles alors qu'ils comptent des centaines de milliers de morts ? Pourquoi cette indifférence crasse quand les victimes sont africaines ? Quel rôle jouent les médias, les réseaux sociaux, ou notre propre confort intellectuel dans ce mécanisme d'abstraction ?J'ai questionné Laurent sur le processus qui mène des citoyens ordinaires à participer à l'indicible. Il m'a parlé du plaisir, parfois de la joie qu'ont certains à tuer, une idée dérangeante mais nécessaire à regarder en face. Nous avons aussi parlé du colonialisme, de la manière dont notre regard est encore structuré par un imaginaire de domination, inconscient mais puissant.C'est un épisode intense, qui dérange, mais que je crois essentiel. Il ne s'agit pas de se flageller, mais de comprendre que ce que nous choisissons de voir — ou non — a un impact direct sur les vies humaines. Je vous invite à l'écouter avec attention, à rester avec l'inconfort, et à vous interroger.5 citations marquantes"Plus le nombre est important, moins on en prend la mesure.""Ce qu'on reproche à Hitler, c'est d'avoir traité les Français comme les Français ont traité leurs colonies.""Eux, c'est nous. Et nous, c'est eux.""On ne voit pas ce qu'on voit, car notre œil est imprégné de nos représentations.""Ne soyons jamais dans l'abstrait : chaque victime mérite un nom, une histoire."10 questions structurées posées dans l'interviewQu'est-ce qui vous a donné la force ou l'envie d'écrire ce livre ?Pourquoi certains massacres attirent-ils toute notre attention, quand d'autres sombrent dans l'indifférence ?Comment peut-on encore humaniser des dizaines de milliers de morts ?Pourquoi les conflits en Afrique reçoivent-ils si peu d'attention médiatique en France ?Est-ce que cette indifférence relève d'un racisme structurel ?Qu'est-ce que ces violences disent de nous, en tant qu'humains ?Quel est le processus psychologique qui pousse des individus ordinaires à devenir des bourreaux ?Comment avez-vous, en tant qu'homme, survécu à tant d'atrocités ?Que peut-on faire, à notre niveau, face à cette violence ?Pourquoi devient-on reporter de guerre ?Timestamps clés pour YouTube00:00 – Introduction par Grégory : comprendre la violence de masse02:00 – Pourquoi Laurent Larcher a écrit La fureur et l'extase07:00 – Abstraction des chiffres, perte d'humanité09:30 – Invisibilisation des massacres africains12:00 – "C'est ça, l'Afrique" : le racisme insidieux dans notre perception17:00 – Le plaisir de tuer, expérience de lynchage22:30 – Le rôle des médias et la désinhibition28:00 – La nuance, ce luxe disparu34:00 – Ce que l'imaginaire colonial nous empêche de voir46:00 – Hommage à Camille Lepage et l'engagement personnel52:00 – Que peut-on faire, concrètement ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : #321 (partie 1) Israël-Palestine : Comprendre et décrypter le conflit avec Vincent Lemire (https://audmns.com/FvEjGWR) #159 Casser les idées préconçues sur le continent Africain avec Odile Goerg (https://audmns.com/hXljCUx) #312 Les défis géopolitiques d'un monde hors de contrôle avec Thomas Gomart (https://audmns.com/jscnrns)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Laurent Larcher, grand reporter à La Croix, spécialiste des conflits africains, est l'invité de cet épisode puissant.Je sais bien qu'on n'a pas envie de regarder les massacres de masse et qu'on préfère regarder ailleurs mais vous allez voir que cet épisode va vous permettre avec douceur et lucidité de mieux comprendre un phénomène qu'on arrive pas à saisir autrement.Laurent est également l'auteur du livre La fureur et l'extase, dans lequel il interroge notre rapport collectif à la violence de masse.J'ai reçu Laurent avec une émotion particulière, parce que son regard, affûté par des années de terrain — Rwanda, Soudan, Centrafrique — vient interroger en profondeur ce que nous voyons, ou plutôt, ce que nous choisissons de ne pas voir.Dans cet épisode, nous parlons de l'horreur brute, des massacres de masse dont les victimes deviennent des chiffres, vidées de leur humanité. Pourquoi certains conflits sont-ils invisibles alors qu'ils comptent des centaines de milliers de morts ? Pourquoi cette indifférence crasse quand les victimes sont africaines ? Quel rôle jouent les médias, les réseaux sociaux, ou notre propre confort intellectuel dans ce mécanisme d'abstraction ?J'ai questionné Laurent sur le processus qui mène des citoyens ordinaires à participer à l'indicible. Il m'a parlé du plaisir, parfois de la joie qu'ont certains à tuer, une idée dérangeante mais nécessaire à regarder en face. Nous avons aussi parlé du colonialisme, de la manière dont notre regard est encore structuré par un imaginaire de domination, inconscient mais puissant.C'est un épisode intense, qui dérange, mais que je crois essentiel. Il ne s'agit pas de se flageller, mais de comprendre que ce que nous choisissons de voir — ou non — a un impact direct sur les vies humaines. Je vous invite à l'écouter avec attention, à rester avec l'inconfort, et à vous interroger.5 citations marquantes"Plus le nombre est important, moins on en prend la mesure.""Ce qu'on reproche à Hitler, c'est d'avoir traité les Français comme les Français ont traité leurs colonies.""Eux, c'est nous. Et nous, c'est eux.""On ne voit pas ce qu'on voit, car notre œil est imprégné de nos représentations.""Ne soyons jamais dans l'abstrait : chaque victime mérite un nom, une histoire."10 questions structurées posées dans l'interviewQu'est-ce qui vous a donné la force ou l'envie d'écrire ce livre ?Pourquoi certains massacres attirent-ils toute notre attention, quand d'autres sombrent dans l'indifférence ?Comment peut-on encore humaniser des dizaines de milliers de morts ?Pourquoi les conflits en Afrique reçoivent-ils si peu d'attention médiatique en France ?Est-ce que cette indifférence relève d'un racisme structurel ?Qu'est-ce que ces violences disent de nous, en tant qu'humains ?Quel est le processus psychologique qui pousse des individus ordinaires à devenir des bourreaux ?Comment avez-vous, en tant qu'homme, survécu à tant d'atrocités ?Que peut-on faire, à notre niveau, face à cette violence ?Pourquoi devient-on reporter de guerre ?Timestamps clés pour YouTube00:00 – Introduction par Grégory : comprendre la violence de masse02:00 – Pourquoi Laurent Larcher a écrit La fureur et l'extase07:00 – Abstraction des chiffres, perte d'humanité09:30 – Invisibilisation des massacres africains12:00 – "C'est ça, l'Afrique" : le racisme insidieux dans notre perception17:00 – Le plaisir de tuer, expérience de lynchage22:30 – Le rôle des médias et la désinhibition28:00 – La nuance, ce luxe disparu34:00 – Ce que l'imaginaire colonial nous empêche de voir46:00 – Hommage à Camille Lepage et l'engagement personnel52:00 – Que peut-on faire, concrètement ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.