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C dans l'air l'invité du 17 décembre 2025 avec Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France et du mouvement Nous France. Il publie Rien n'est jamais écrit, aux éditions Robert Laffont.Le Premier ministre Sébastien Lecornu a tenu deux réunions de crise hier au sujet de la contestation agricole, cristallisée par la gestion de la dermatose nodulaire contagieuse et le Mercosur. La contestation s'est poursuivie aujourd'hui, notamment dans le Sud-Ouest, au huitième jour de mobilisation des agriculteurs. Plusieurs axes routiers et ferroviaires font l'objet de blocage à l'appel des syndicats Coordination rurale et Confédération paysanne. Hier, quelque 75 actions ont été recensées par le ministère de l'Intérieur.Pour tenter de désamorcer la colère des agriculteurs, le gouvernement promet une accélération de la vaccination dans le Sud-Ouest contre la dermatose nodulaire contagieuse, avec 750 000 bovins supplémentaires ciblés et le recours à des vétérinaires militaires. Concernant l'accord avec le Mercosur, le président de la République Emmanuel Macron a déclaré aujourd'hui que "la France s'opposerait de manière très ferme" à un éventuel "passage en force" de l'Union européenne.Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France, et du mouvement Nous France est notre invité. À 60 ans, il publie son premier livre, « Rien n'est jamais écrit », aux éditions Robert Laffont, dans lequel il se positionne comme candidat pour 2027. Il réagira à la colère des agriculteurs, lui qui s'était joint à des manifestations contre le traité de libre échange avec le Mercosur. Il reviendra également sur ses engagements politiques, lui qui a été maire de Saint-Quentin, puis ministre à plusieurs reprises. Comment analyse-t-il les désaccords dans sa famille politique quant au front républicain face au RN, lui qui s'est toujours opposé à une union avec l'extrême-droite. "L'union des droites, non, c'est l'union de la droite avec l'extrême droite", avait-il dit sur France Inter.
C'est l'histoire d'une figure éminente du mouvement pacifiste américain. Mais ses relations amoureuses sont bien loin de ses discours qui prônent la paix. Avide de pouvoir et passionné par les riches héritières, ce gourou n'apprécie pas qu'on lui résiste. Jusqu'à commettre l'irréparable…"Interpol" est un podcast coproduit par Initial Studio et New Dominion Pictures, adapté de la série documentaire audiovisuelle éponyme produite par New Dominion Pictures. Cet épisode a été écrit par David O'Donnell. Il a été réalisé par Stuart Taylor.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Marie AgassantMontage : Victor BenhamouAvec la voix d'Alix Martineau Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C'est l'histoire d'une figure éminente du mouvement pacifiste américain. Mais ses relations amoureuses sont bien loin de ses discours qui prônent la paix. Avide de pouvoir et passionné par les riches héritières, ce gourou n'apprécie pas qu'on lui résiste. Jusqu'à commettre l'irréparable…"Interpol" est un podcast coproduit par Initial Studio et New Dominion Pictures, adapté de la série documentaire audiovisuelle éponyme produite par New Dominion Pictures. Cet épisode a été écrit par David O'Donnell. Il a été réalisé par Stuart Taylor.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Marie AgassantMontage : Victor BenhamouAvec la voix d'Alix Martineau Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Kenza Ito Mekouar a grandi entre deux terres, le Maroc et la France, avec cette sensation diffuse d'être à la fois dedans et dehors, comme derrière un voile de lumière. Psychologue, danseuse, mannequin, créatrice, elle a longtemps porté plusieurs vies sans jamais renoncer à sa quête de sens. Jusqu'au jour où son corps a parlé plus fort que tout : une infection, l'hôpital, la colère et ce déclic intérieur qui vient bouleverser une existence. Comment écoute-t-on enfin ce corps que l'on a trop longtemps fait taire ? Que se passe-t-il lorsque les rêves d'enfance, la sensorialité, le souffle et la foi reviennent frapper à la porte ? Et si la colère, l'errance et l'étrangeté pouvaient devenir des guides vers une autre manière d'habiter sa vie ? Kenza Ito Mekouar partage avec nous ce que le yoga, la danse, le Maroc, la sensorialité, l'Ubuntu, le lien au groupe et la confiance peuvent transformer en profondeur. Son témoignage nous parle du corps comme d'un allié, de la voix comme d'une vibration qui soigne, du collectif comme d'un lieu où l'on renaît. [VOS MÉTAMORPHOSES] Quelques citations du podcast avec Kenza Ito Mekouar :"Le cheminement spirituel est plus une question de dépouillement et de retour à une espèce d'état originel.""Le groupe permet de recréer aussi ces espaces où on est responsable les uns des autres.""C'est l'acceptation de la différence qui sauvera le monde."Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeThèmes abordés lors du podcast avec Kenza Ito Mekouar :00:00Introduction02:00Présentation de l'invitée00:42L'enfance au Maroc03:56Une vocation de psychologue04:59Des rencontres transformatrices07:02Infection et déclic09:29Du constat à l'action11:15Cheminement et dépouillement14:05Accueillir ses peurs15:30 Le corps comme allié17:47Le Yoga comme union19:55Routine au réveil21:37La voix comme outil de guérison24:08La force du groupe et de la rencontre31:24La sagesse qui ne se prend pas au sérieux34:25Les différences comme richesse38:17Un mot à la Kenza d'hier39:38L'objet symbolique de KenzaAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Janus avait deux visages ; Franco, lui, en affichait bien une centaine. "Paquito" pour les intimes, "Miss Canarias" pour ses compagnons d'armes en 1936, "Generalísimo", "Caudillo" ou "Son Excellence" au faîte de son pouvoir. Jusqu'à "El Abuelo" - le grand-père - dans les années 1960. Autant de surnoms, autant de figures, pour un seul homme. Mais qui était vraiment Franco derrière ces différents masques ? Stéphane Michonneau retrace l'implacable construction d'une légende, savamment orchestrée par le dictateur lui-même, puis remodelée par les générations successives. Du héros autoproclamé au fantôme embarrassant, chaque époque a réinventé "son" Franco, en fonction de ses peurs, de ses oublis ou de ses besoins. Entre culte officiel, mémoire républicaine, silences familiaux et falsifications assumées, Franco a survécu à sa propre mort, infiltrant les esprits et les paysages. Reste l'énigme d'un homme, et, plus encore, celle d'un pays tout entier. Inquiète, divisée, l'Espagne d'aujourd'hui continue de porter l'empreinte du Caudillo. Ce livre en explore les traces. Il invite à regarder Franco non plus comme une ombre du passé, mais comme une présence persistante qui continue d'agiter les débats et de fracturer le présent.Stéphane Michonneau est notre invité en partenariat avec le Salon du Livre d'Histoire de Versailles, pour les Interviews HistoireHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
RDC : vers un retrait effectif de l'AFC/M23 d'Uvira ? A la demande des Etats-Unis, l'AFC/M23, soutenu par le Rwanda, accepte de retirer ses forces de la ville d'Uvira dans l'est de la RDC. Mais les rebelles fixent des préalables, notamment le déploiement d'une force neutre pour contrôler le cessez-le-feu. Que vous inspire cette annonce ? Jusqu'où ira la pression américaine sur Kigali ? Vos réactions nous intéressent.
Le dernier sommet européen se tient à partir de ce jeudi (18 décembre 2025) à Bruxelles. Une année marquée par la défiance des États-Unis à l'égard des 27. Mais une année qui a également révélé la dépendance de Bruxelles vis-à-vis de Washington. Jusqu'où ? Reculs environnementaux, simplification des règlementations : ces décisions sont-elles destinées à satisfaire l'allié américain ? Comment l'influence de Donald Trump sur le Vieux Continent se traduit-elle ? Pour en débattre : - Lucile Schmid, cofondatrice du think tank La fabrique écologique - Thomas Pellerin-Carlin, député européen Place Publique au sein du groupe social-démocrate - Laurent Warlouzet, professeur d'Histoire européenne à Sorbonne Université. Auteur du livre Europe contre Europe, CNRS éditions.
durée : 00:03:17 - Le monde à l'endroit - Le président américain a annoncé hier un "blocus total" de "tous les pétroliers sanctionnés entrant et sortant du Venezuela". Une mise sous pression supplémentaire. Jusqu'où ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:38:00 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - Ce matin nous revenons sur le dernier drame survenu à Sydney en Australie ce week-end : un nouvel attentat antisémite qui a fait 16 morts et 42 blessés réveille la peur de l'antisémitisme qui semble désormais ne plus connaître de frontière. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Eva Illouz Sociologue; Romain Fathi Associate Professor (professorat) à l'Australian National University (Australie) et chercheur associé au Centre d'histoire de Sciences Po, à Paris.
Dans la première partie, programmation consacrée aux nouveautés musicales et aux chansons gold avec, ce jour, Kery James, Yemi Alade, Diesel Gucci et Niska. Dans la séquence Gold, Saturday Night Fever, le tube culte des Bee Gees sorti en 1977. Et dans la deuxième partie, retrouvez la première manche de la spéciale consacrée à la chanteuse américaine Britney Spears, de ses débuts d'enfant star à sa descente aux enfers. Avec Steeve de la chaîne YouTube Musicfeelings TV, nous revenons sur la vie et la carrière d'une des icônes pop de ces deux dernières décennies. Playlist du 16 décembre (1ère partie) Aknose, Junior, Kamelon, Kikitox, Le Jem'ss, LiJay, Nken, P.L.L, TKS 2G et Vanou, Da Nillo, DJ Glad, DJ Sebb, Mikado et YSN - La manigance (Teaser) Justin Bieber feat Daniel Caesar, Giveon - Peaches Original Koffe - Toast Kery James - Jacmel Yemi Alade - Shawa shawa (Ashado) Diesel Gucci et Niska - Eliminé Koffi Olomidé - Ekotite Bee Gees - Saturday Night fever Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons Playlist du 16 décembre (2ème partie) Britney Spears - Baby one more time Britney Spears - Oops I dit it again Britney Spears - Slave for U Britney Spears - Toxic Britney Spears - Gimme more Dans ce premier épisode de la série consacrée à la chanteuse américaine Britney Spears, retour sur les débuts de sa carrière en 1998, lorsque l'artiste signe sur le label Jive Records. Une collaboration qui lui offre un premier succès : le titre devenu culte Baby One more Time. Jusqu'au milieu des années 2000, la chanteuse enchaîne les succès (Oops I dit it again, Me against the music, Slave 4 U...) tout en faisant face au harcèlement des paparazzis. À partir de 2005, Britney souffre de plus en plus de cette intrusion dans sa vie privée, son corps lâche mais elle continue de se produire malgré la pression. Chaque dimanche, Steeve propose une nouvelle analyse musicale sur sa chaine YouTube Musicfeelings TV Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.
Qu'est-ce que la conscience ? Que nous apprennent les neurosciences ? Pourquoi la célèbre formule de Descartes «Je pense donc je suis» est à reprendre mais en sens inverse : «Je suis donc je pense» et qu'est-ce que ça implique ? Jusqu'où va la conscience ? (Rediffusion du 29 avril 2025). C'est une certitude commune que de croire que notre existence est guidée par des choix raisonnés, et que notre cerveau n'est là que pour exécuter les intentions de notre conscience. Issue du dualisme cartésien, cette vision « cogito-centrée » est pourtant aujourd'hui remise en cause par les recherches actuelles en neurosciences. Avec : Stéphane Charpier, coordinateur de l'équipe Excitabilité cellulaire et dynamique des réseaux neuronaux de l'Institut du cerveau et professeur de neurosciences à l'Université Pierre et Marie Curie. Son livre Le cauchemar de Descartes, ce que les neurosciences nous apprennent de la conscience paraît chez Albin Michel en mai 2025. Musiques diffusées pendant l'émission - Sting, Eric Clapton - It's Probably Me - Ours, Pierre Souchon, Alain Souchon - À quoi tu penses (playlist RFI).
Qu'est-ce que la conscience ? Que nous apprennent les neurosciences ? Pourquoi la célèbre formule de Descartes «Je pense donc je suis» est à reprendre mais en sens inverse : «Je suis donc je pense» et qu'est-ce que ça implique ? Jusqu'où va la conscience ? (Rediffusion du 29 avril 2025). C'est une certitude commune que de croire que notre existence est guidée par des choix raisonnés, et que notre cerveau n'est là que pour exécuter les intentions de notre conscience. Issue du dualisme cartésien, cette vision « cogito-centrée » est pourtant aujourd'hui remise en cause par les recherches actuelles en neurosciences. Avec : Stéphane Charpier, coordinateur de l'équipe Excitabilité cellulaire et dynamique des réseaux neuronaux de l'Institut du cerveau et professeur de neurosciences à l'Université Pierre et Marie Curie. Son livre Le cauchemar de Descartes, ce que les neurosciences nous apprennent de la conscience paraît chez Albin Michel en mai 2025. Musiques diffusées pendant l'émission - Sting, Eric Clapton - It's Probably Me - Ours, Pierre Souchon, Alain Souchon - À quoi tu penses (playlist RFI).
Créer une entreprise, c'est déjà difficile.Mais créer une entreprise dans un univers ultra-compétitif, sous pression permanente, où la performance ne pardonne rien, ça l'est encore plus.Dans cet épisode, j'ai reçu Fabien Devide, que beaucoup connaissent sous le nom de Neo, co-fondateur et dirigeant de Team Vitality, l'une des plus grandes équipes d'e-sport au monde.Ce que Fabien raconte ici va bien au-delà du gaming. Il parle de pouvoir, d'ego, de solitude, de responsabilité, de santé mentale, et surtout d'un sujet encore trop tabou chez les dirigeants : la vulnérabilité.Pendant longtemps, il a cru qu'un leader devait être solide, silencieux, presque invincible. Jusqu'au jour où cette posture a commencé à lui coûter cher.On parle de performance, bien sûr. De croissance, de levées de fonds, de pression. Mais on parle surtout du moment où un entrepreneur comprend qu'il doit changer pour ne pas se perdre.C'est une conversation rare, exigeante et profondément humaine.Je vous laisse découvrir ma conversation avec Fabien Devide.Bonne écoute ✨Chapitrage00:00 – Introduction : un leadership sous pression permanente02:36 – Créer Vitality : passion, ambition et inconscience07:50 – Performance avant tout : l'ADN e-sport14:20 – Argent, croissance et illusion du contrôle22:10 – Quand la pression commence à fissurer le dirigeant30:40 – Devenir patron : solitude, doutes et responsabilités38:55 – Santé mentale : le tabou qui a tout changé47:30 – Accepter sa vulnérabilité pour mieux diriger56:10 – Apprendre à lâcher prise sans renoncer à l'exigence01:02:30 – Le plus grand échec et ce qu'il lui a appris01:09:00 – Ce que la vulnérabilité change dans le leadershipNotes et références de l'épisode ✨ Pour retrouver Fabien (Neo) DevideSur LinkedInSur InstagramSur X (Twitter) ✨Pour retrouver Vitality : Sur leur siteSur Instagram Sur X (Twitter)Sur YouTubeSur LinkedIn #leadership #vulnerabilite #entrepreneuriat #dirigeant #performance #santementale #egoleadership #esport #teamvitality #fondateur #management #croissance #pression #responsabilite #resilience #podcastfrancais #paulinelaigneau #legratin #businesshumain Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
L'éducation à l'astronomie est une affaire sérieuse et joyeuse à partager ensemble sous le ciel d'Afrique avec nos formidables lauréats de télescopes, qui nous mettent des étoiles plein les yeux. Jusqu'où nous entraineront les jeunes astronomes du continent africain ? Émission à l'occasion du Colloque Astronomie pour l'Éducation dans l'Espace Francophone (organisé par le nœud francophone de l'astronomie pour l'Éducation de l'Union Astronomique Internationale et dirigé par Emmanuel Rollinde de l'Université Cergy Paris.) Ce colloque qui s'est tenu fin octobre, a réuni les personnes actives pour la promotion de l'enseignement de l'astronomie, dont les NAEC (National Astronomy Education Coordinator) de plusieurs pays d'Afrique francophone. Nous sommes en compagnie de notre formidable réseau de jeunes astronomes sur le continent qui se sont donné pour mission de partager avec tous, petits ou grands, leur passion pour l'observation du ciel et des étoiles, de la lune et de notre voie lactée. Une aventure spatiale et universelle qui est aussi et d'abord une sacrée aventure humaine... Avec : Prudence Ayivi, de Cotonou au Bénin, l'un des premiers gagnants de lunette astronomique co-fondateur du Sirius astro club du Bénin Jacob (l'afronome) Tolno de Guinée Conakry, instituteur fan d'astronomie, il a fondé l'association d'astronomie en Guinée NAEC de la Guinée (National Astronomy Education Coordinator) Jean-Pierre Grootaerd de l'Université Ghent en Belgique, fondateur de SSVI (les étoiles brillent pour tout le monde). C'est lui qui monte et assemble les lunettes que nous faisons gagner en partenariat avec l'Astronomie Afrique Chaima Bhiba, étudiante en master à la Faculté des sciences de Tunisie, fondatrice de la Société Astronomique de Tunisie Denison Yewadan Togbe, ingénieur et fondateur du Sirius Astro Club Benin Et notre chronique mensuelle Ciel d'Afrique. Musiques diffusées pendant l'émission Soprano - Près des étoiles Tarika - Cocorico.
L'éducation à l'astronomie est une affaire sérieuse et joyeuse à partager ensemble sous le ciel d'Afrique avec nos formidables lauréats de télescopes, qui nous mettent des étoiles plein les yeux. Jusqu'où nous entraineront les jeunes astronomes du continent africain ? Émission à l'occasion du Colloque Astronomie pour l'Éducation dans l'Espace Francophone (organisé par le nœud francophone de l'astronomie pour l'Éducation de l'Union Astronomique Internationale et dirigé par Emmanuel Rollinde de l'Université Cergy Paris.) Ce colloque qui s'est tenu fin octobre, a réuni les personnes actives pour la promotion de l'enseignement de l'astronomie, dont les NAEC (National Astronomy Education Coordinator) de plusieurs pays d'Afrique francophone. Nous sommes en compagnie de notre formidable réseau de jeunes astronomes sur le continent qui se sont donné pour mission de partager avec tous, petits ou grands, leur passion pour l'observation du ciel et des étoiles, de la lune et de notre voie lactée. Une aventure spatiale et universelle qui est aussi et d'abord une sacrée aventure humaine... Avec : Prudence Ayivi, de Cotonou au Bénin, l'un des premiers gagnants de lunette astronomique co-fondateur du Sirius astro club du Bénin Jacob (l'afronome) Tolno de Guinée Conakry, instituteur fan d'astronomie, il a fondé l'association d'astronomie en Guinée NAEC de la Guinée (National Astronomy Education Coordinator) Jean-Pierre Grootaerd de l'Université Ghent en Belgique, fondateur de SSVI (les étoiles brillent pour tout le monde). C'est lui qui monte et assemble les lunettes que nous faisons gagner en partenariat avec l'Astronomie Afrique Chaima Bhiba, étudiante en master à la Faculté des sciences de Tunisie, fondatrice de la Société Astronomique de Tunisie Denison Yewadan Togbe, ingénieur et fondateur du Sirius Astro Club Benin Et notre chronique mensuelle Ciel d'Afrique. Musiques diffusées pendant l'émission Soprano - Près des étoiles Tarika - Cocorico.
Aujourd'hui, je reçois une invitée très spéciale : Liza Dorinet, docteure en économie, praticienne IFS, future psychologue… et désormais la personne qui va piloter la toute première étude sur le programme ARISE.Si tu t'es déjà demandé : « Est-ce que le travail sur le système nerveux fonctionne vraiment ? »… cet épisode est pour toi.Jusqu'ici, nous avons évalué les transformations vécues par les participants grâce à leurs témoignages, leurs progrès, leurs retours bouleversants.Mais il est temps d'aller plus loin : créer une méthodologie rigoureuse, inspirée du monde académique, pour mesurer l'impact du travail somatique et du programme ARISE.Dans cet épisode, tu vas découvrir :✨ Pourquoi nous lançons cette étude (et ce que cela changera pour la science et pour les humains)✨ En quoi l'approche de Liza, à la croisée de l'économie, de l'IFS et de la psychologie, est unique✨ Les questions de recherche que nous voulons explorer (et pourquoi elles sont complexes !)✨ Comment mesurer scientifiquement des transformations somatiques, émotionnelles et relationnelles✨ L'état des connaissances actuelles sur le système nerveux dans la littérature scientifique✨ Les obstacles, les défis… et la vision d'avenir de la recherche sur le traumaUn épisode passionnant, différent, qui ouvre une nouvelle page dans l'histoire d'ARISE.Bienvenue dans les coulisses de ce projet que nous rêvions depuis longtemps.
Commençons par briser un mythe tenace.Non, la culture d'entreprise n'est pas un concept mou ou accessoire.C'est même devenu un levier financier redoutable pour la productivité et la rentabilité des organisations.La culture d'entreprise est désormais un impératif stratégiqueTout d'abord, il faut changer de perspective. La culture d'entreprise est désormais un impératif stratégique. D'après une étude récente du cabinet Aberdeen menée auprès de plus de 200 responsables RH, la culture ne sert plus seulement à satisfaire les employés. Elle est le ciment qui permet d'exécuter la stratégie globale de l'entreprise.Ce qui empêche aujourd'hui les DRH de dormir, c'est la productivité et l'engagement. Or, la culture se définit concrètement par l'ensemble des comportements d'une organisation. Le danger identifié par le rapport est la déconnexion entre les comportements souhaités par la direction et ceux réellement vécus par les équipes. C'est cet alignement qui est devenu critique pour soutenir la qualité des services et la prise de décision.Réduction des coûts opérationnelsEnsuite, parlons chiffres, car l'impact est directement mesurable sur votre bilan. Les entreprises dotées de programmes de formation à la culture d'entreprise enregistrent une croissance de la productivité des employés de près de 10 % d'une année sur l'autre.À l'inverse, celles qui négligent cet aspect voient leurs gains stagner. Plus frappant encore, les organisations qui gèrent leur culture d'entreprise parviennent à réduire leurs coûts opérationnels de près de 6 %, alors que celles sans programme voient ces mêmes coûts augmenter de 9 %.Cela crée un écart de performance de près de 15 % entre les bons et les mauvais élèves, ce qui joue directement sur les marges bénéficiaires.Enfin, comment piloter cette culture efficacement ?L'étude souligne qu'il faut sortir de l'intuition et des simples sondages annuels pour adopter des outils d'écoute complets et sans parti pris, capables de capturer l'humeur de l'organisation en temps réel.Un point crucial à retenir est l'universalité des besoins. Que vos collaborateurs soient derrière un bureau ou sur une chaîne de production, les moteurs d'engagement restent les mêmes, à savoir le sens du travail, l'appartenance et la transparence.Bref, pour générer des résultats, la culture doit être unifiée et mesurée avec la même rigueur que vos KPI financiers.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vladimir Petković est-il le point faible de l'Algérie ? Mohammed Amoura peut-il mener l'attaque des Fennecs ? Jusqu'où iront-ils dans cette CAN 2025 ? On en parle dans CAN Extra avec Reda Mrabit, Brahim Thiam et Hamza Rahmani ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Manque de temps, difficultés d'accès aux soins, organisation du travail… Les salariés savent qu'ils doivent agir pour leur santé, mais peinent souvent à passer à l'action. Pourtant, la prévention devient un levier essentiel pour réduire les risques, limiter les arrêts de travail et renforcer la qualité de vie au travail. Comment accompagner concrètement les collaborateurs et structurer une démarche efficace ? Carole Bourget-Martin, Directrice prévention & services entreprises chez Harmonie Mutuelle, partage ses éclairages et les clés pour installer une culture de prévention durableHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après 45 ans, une nouvelle et vaste grande enquête mobilité est lancée sur notre territoire, et elle est absolument cruciale pour l’avenir de nos infrastructures. C’est une étude d’envergure inédite. Jusqu’à avril 2026, elle va couvrir 131 communes du Vaucluse, du Gard et des Bouches-du-Rhône, soit environ 610 000 habitants [...]
Où le carré d'or commence à se sentir comme dans la filmographie de Nicolas Cage circa 2012. Avec Amandine, Anouck, Clem et Matthieu. 2'12 : Krazzy 4 17'54 : Love Breakups Zindagi 31'15 : Jusqu'à mon dernier souffle (Jab Tak Hai Jaan) 1'04'23 : Chennai Express 1'29'27 : Bhoothnath Returns
C'est un tournant dans la politique étrangère américaine : publié le 5 décembre par l'administration Trump, la Stratégie de sécurité nationale appelle à restaurer la suprématie américaine sur l'Amérique latine, à lutter contre l'immigration incontrôlée, contre les menaces transfrontalières comme la drogue ou le terrorisme et réactive la doctrine Monroe qui, en 1823, interdisait toute intervention européenne sur le continent américain et réciproquement toute ingérence américaine dans les affaires européennes. Aujourd'hui, Donald Trump va plus loin et l'assume. Il étrille les Européens et revendique l'Amérique latine comme sa chasse gardée. Pas question de laisser un pays adverse y positionner des forces ou exploiter des ressources stratégiquement vitales pour les États-Unis. Le document justifie le redéploiement des forces militaires américaines et même l'utilisation de la force létale. Des lignes qui expliquent la guerre engagée, depuis fin août 2025, par Donald Trump dans la mer des Caraïbes, au large du Venezuela, pour lutter contre le narcotrafic, avec une armada militaire impressionnante. En 3 mois, les frappes américaines contre des bateaux accusés sans preuve de transporter de la drogue ont fait plus de 80 morts. L'ONU dénonce des exécutions extrajudiciaires. Le président Nicolas Maduro, lui, voit dans le déploiement américain un prétexte pour le renverser et s'emparer des réserves pétrolières de son pays... Et la tension est encore montée cette semaine. Dans une interview au site Politico mardi, Donald Trump a déclaré à propos de Maduro «ses jours sont comptés» tout en évitant de répondre sur l'envoi de troupes américaines au sol. Jusqu'où ira Donald Trump au Venezuela : veut-il vraiment combattre les narcotrafiquants ou d'abord faire tomber sa bête noire, Nicolas Maduro ? Comment les États-Unis comptent-ils contrer l'accès de la Russie et de la Chine aux ressources pétrolières et minières du continent sud-américain ? Quelle est l'influence de Washington sur la contagion populiste qui frappe la région ? Ce bras de fer Trump/Maduro illustre-t-il le retour de l'interventionnisme américain en Amérique latine ? Avec - Maud Quessard, spécialiste de politique étrangère américaine, directrice du domaine «Europe, Espace Transatlantique Russie» à l'IRSEM. Autrice de «La puissance sans principe. Géopolitique du trumpisme», étude de l'Irsem N°126 parue en septembre 2025 - Thomas Posado, maître de conférences en Civilisation latino-américaine contemporaine à l'Université de Rouen, auteur de «Venezuela : de la révolution à l'effondrement», aux Presses Universitaires du Midi - Jean-Jacques Kourliansky, directeur de l'Observatoire de l'Amérique latine et des Caraïbes à la fondation Jean Jaurès, a publié «Progressisme et démocratie en Amérique latine 2000-2021» aux éditions de l'Aube.
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
Cette semaine, écoutez ou réécoutez l'épisode avec Alexia Barrier, alors qu'elle est en pleine tentative du Trophée Jules Verne à bord du trimaran The Famous Project CIC avec son équipage 100% féminin. Un podcast indispensable pour mieux comprendre son parcours.--C'est l'histoire d'une promesse. Celle que se fait à elle-même une petite fille, le jour de ses 10 ans, un certain 26 novembre 1989, au départ du premier Vendée Globe : elle aussi, elle participera un jour à cette folle aventure autour du monde.Une promesse qu'elle mettra 31 ans à tenir, ce qui en dit long sur l'énergie qu'il faut déployer et sur la ténacité qui l'a animée pour y parvenir : la petite fille en question s'appelle Alexia Barrier, 24e du Vendée Globe 2020-2021.Née à Paris, elle déménage à Nice à 3 ans et découvre la voile avec ses parents plaisanciers novices. Fan de cheval et de basket, elle devient monitrice de voile à 15 ans, tâte du Laser mais se lance rapidement, avec succès dans le match racing féminin, où elle évolue au niveau mondial.Bientôt c'est la Mini Transat (en 2005) qui l'attend, puis la transat AG2R, du Class40, de l'Imoca et, très vite les grands yachts en Médterranée, où elle devient marin professionnel, éclusant les circuits maxi et classiques.En 2014, elle décroche une 3e place sur l'AG2R, enchaîne sur le Tour de France à la voile, court la Solitaire du Figaro en 2017, sans jamais oublier son étoile polaire : le Vendée Globe.En 2018, elle franchit le pas et achète le Pingouin, solide et rustique Imoca sur plan Lombard que Catherine Chabaud et Tanguy de Lamotte ont emmené autour du monde. Jusqu'au bout, elle se bat pour conquérir son budget, euro par euro. Et prend, quelques jours avant ses 40 ans, le départ du Vendée Globe.Avant même de toucher terre, Alexia Barrier sait qu'elle veut repartir pour une nouvelle giration planétaire et se lance dans la course pour le Vendée Globe 2024. Histoire d'aller toujours plus loin que son rêve de petite fille...Rediffusé le 12 décembre 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Clovis TisserandHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Japon, la nouvelle Première ministre, Sanae Takaichi, a déclenché une véritable tempête. Elle qui est ultralibérale sur le plan économique exige que les Japonais travaillent davantage. Elle a donc ordonné que l'on rehausse, voire que l'on supprime, le plafond maximal d'heures supplémentaires exigibles des salariés. Actuellement, il est fixé à 45 heures par mois ou 300 par an – contre 220 seulement en France, à titre de comparaison. Sauf que, tous les ans, d'innombrables Japonais sont victimes du surtravail. Jusqu'à en mourir, souvent. De notre correspondant à Tokyo, Il y a dix ans, Matsuri Takahashi s'est suicidée. Le soir de Noël, cette jeune fille de 24 ans s'est jetée du toit de l'immeuble où elle habitait, épuisée physiquement et nerveusement, car son employeur l'avait contrainte à faire une centaine d'heures supplémentaires. Depuis, une loi portant son nom limite le nombre maximal d'heures de ce type que l'on peut exiger des salariés. C'est ce dispositif que la Première ministre veut abroger ou, à tout le moins, considérablement assouplir. Cela désespère Yukimi Takahashi, la mère de Matsuri: « Le plafond des heures supplémentaires ne peut pas être haussé, et encore moins supprimé. Cela mettrait en danger des millions de salariés. Ce serait donc irresponsable, voire criminel. Mais enfin, le gouvernement a-t-il donc oublié ce qui est arrivé à ma fille ? Elle est morte pour rien, tuée par son travail et son employeur. Dix ans ont beau avoir passé, je m'en veux toujours énormément de ne pas avoir pu lui venir en aide, à l'époque. C'était une jeune fille admirable. Radieuse, aussi, jusqu'à ce qu'elle commence à travailler. Mais ensuite, elle a été détruite, broyée, anéantie. Pourquoi ? C'est terrible. Elle me manque tellement. » Les sondages indiquent que seuls 6% des Japonais souhaitent travailler plus. Ces salariés tokyoïtes, en tout cas, ne sont pas demandeurs : - « Assouplir la loi, donner plus de libertés aux employeurs, ça augmenterait la pression qui pèse sur les salariés et les oblige à se dépenser sans compter pour leur entreprise, explique cette employée. Pour nous, ce serait encore plus difficile de refuser de travailler jusqu'à la déraison. » - « À la fin des années 1980, comme tous mes collègues, je ne rentrais du boulot qu'à 23 heures, se remémore cet autre employé. Mais, depuis, les entreprises ont fait des efforts pour humaniser les rythmes de travail. Cela paraît la moindre des choses, donc, selon moi, il n'y a pas à revenir en arrière. » - « Moi, je veux profiter à fond de ma jeunesse: ma priorité, dans la vie, ce sont mes relations sociales et mes loisirs, pas le travail. Du coup, continuer à en faire le moins possible au bureau, ça me convient très bien. » – « Je fais énormément d'heures supplémentaires, cela m'épuise mais je n'ai pas le choix: si je refusais, ce serait considéré comme un manque de dévouement à mon employeur, donc cela nuirait à ma carrière. » Chaque année, plusieurs dizaines de Japonais meurent d'avoir trop travaillé: ils sont victimes, par exemple, d'un AVC ou d'un infarctus fatal survenu au bureau. L'an dernier, plus de 200 salariés se sont aussi suicidés ou ont tenté de mettre fin à leurs jours car ils n'en pouvaient plus sur le plan professionnel. Enfin, on a dénombré près de 4 000 demandes d'indemnisation pour de graves problèmes de santé mentale liés au travail. C'est trois fois plus qu'il y a quinze ans. À lire aussiJapon: Sanae Takaichi, une Première ministre face à une montagne de défis
D'où nous vient le besoin de croire à tout prix, même parfois lorsqu'une imposture est révélée ? Jean Champenois, magicien et ancien spirite, raconte la jubilation que peut procurer la manipulation mentale face à la crédulité humaine. Jusqu'au jour où, érigé en véritable gourou, il arrête tout et décide de s'engager dans l'éducation à l'esprit critique.Cette émission existe en version vidéo, avec sous-titres et illustrations didactiques !•• L'ÉMISSION COMPLÈTE ••L'homme qui avait des pouvoirs, avec Jean Champenois : https://metadechoc.fr/podcast/lhomme-qui-avait-des-pouvoirs/.•• SOUTENIR ••Méta de Choc est gratuit, indépendant et sans publicité. Vous pouvez vous aussi le soutenir en faisant un don ponctuel ou mensuel : https://soutenir.metadechoc.fr/.•• SUIVRE ••Facebook, Instagram, LinkedIn, TikTok, Bluesky, Mastodon, Threads, PeerTube, YouTube. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 10 décembre 2025 - Lecornu dompte l'Assemblée, Sarkozy dynamite la droiteÀ 13 voix près, le budget de la Sécurité sociale a été adopté hier soir à l'Assemblée nationale. Jusqu'au bout, l'issue du vote semblait incertaine. Finalement, la stratégie adoptée par le Premier ministre s'est, sur ce texte, révélée payante : Sébastien Lecornu a tenu son engagement de ne pas utiliser l'article 49-3 et d'obtenir le soutien ou la neutralité des groupes d'opposition socialistes et écologistes, à coups de concessions accordées jusqu'au dernier moment. Nommé il y a trois mois à Matignon, le Premier ministre sort provisoirement renforcé de ce scrutin à haut risque qui a révélé une Assemblée nationale profondément éclatée, où les alliances habituelles se sont brouillées.Si les groupes Renaissance et MoDem ont serré les rangs, les LR ont majoritairement choisi l'abstention, suivant la ligne de Laurent Wauquiez. Du côté du Parti socialiste, où 63 députés sur 69 ont voté pour ce budget de la Sécurité sociale, on assume une volonté « d'être utile » et l'on défend des victoires : suspension de la réforme des retraites, pas de gel des pensions ni de doublement des franchises médicales, ou encore rehaussement de l'enveloppe allouée à l'Ondam à 3 %.La France insoumise, de son côté, dénonce un « changement d'alliance » des socialistes et une trahison. Les députés du groupe présidé par Mathilde Panot ont unanimement rejeté le PLFSS, pointant « une aberration budgétaire ». Même unanimité du côté du RN, qui jugeait très probable un rejet du texte et appelait depuis plusieurs jours à une nouvelle dissolution.Et maintenant ? Le budget de la Sécu va repartir au Sénat, puis revenir à l'Assemblée nationale en vue d'une dernière lecture qui pourrait intervenir le 16 décembre. Après cette étape décisive pour le budget de la Sécurité sociale, le budget de l'État pour 2026 va de nouveau faire l'objet de toutes les attentions. Sébastien Lecornu a réaffirmé ce mercredi en Conseil des ministres que son « objectif » était « de doter la France d'un budget de l'État d'ici au 31 décembre », jugeant que c'était « possible », a rapporté la porte-parole du gouvernement. Mais « si un accord est impossible entre l'Assemblée nationale et le Sénat », qui doivent se réunir en « commission mixte paritaire » le 19 décembre, « nous poursuivrons probablement ces discussions en janvier », a déclaré Maud Bregeon sur France 2. Aussi, pour éviter un blocage des finances publiques, Matignon et Bercy ont déjà commencé à préparer une « loi spéciale », comme l'a indiqué le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, lors d'une réunion au Sénat.Alors que l'examen des textes budgétaires pour l'an prochain va continuer à animer les discussions parlementaires, un rapport publié ce lundi 8 décembre pour le think tank Terra Nova, intitulé « Comptes publics : en finir avec le n'importe quoi (qu'il en coûte) », fait parler de lui. Dans ce document, l'économiste Guillaume Hannezo préconise deux mesures pour enrayer l'élargissement de la dette : réduire le taux d'épargne des retraités et relever la taxe sur la valeur ajoutée. Il a accordé une interview à nos journalistes.Alors, quelles sont les principales mesures du PLFSS pour 2026 ? Quelles sont les leçons de ce vote sur le budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée nationale ? Enfin, que contient le dernier livre de Nicolas Sarkozy, Le Journal d'un prisonnier ?Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
C dans l'air du 10 décembre 2025 - Lecornu dompte l'Assemblée, Sarkozy dynamite la droiteÀ 13 voix près, le budget de la Sécurité sociale a été adopté hier soir à l'Assemblée nationale. Jusqu'au bout, l'issue du vote semblait incertaine. Finalement, la stratégie adoptée par le Premier ministre s'est, sur ce texte, révélée payante : Sébastien Lecornu a tenu son engagement de ne pas utiliser l'article 49-3 et d'obtenir le soutien ou la neutralité des groupes d'opposition socialistes et écologistes, à coups de concessions accordées jusqu'au dernier moment. Nommé il y a trois mois à Matignon, le Premier ministre sort provisoirement renforcé de ce scrutin à haut risque qui a révélé une Assemblée nationale profondément éclatée, où les alliances habituelles se sont brouillées.Si les groupes Renaissance et MoDem ont serré les rangs, les LR ont majoritairement choisi l'abstention, suivant la ligne de Laurent Wauquiez. Du côté du Parti socialiste, où 63 députés sur 69 ont voté pour ce budget de la Sécurité sociale, on assume une volonté « d'être utile » et l'on défend des victoires : suspension de la réforme des retraites, pas de gel des pensions ni de doublement des franchises médicales, ou encore rehaussement de l'enveloppe allouée à l'Ondam à 3 %.La France insoumise, de son côté, dénonce un « changement d'alliance » des socialistes et une trahison. Les députés du groupe présidé par Mathilde Panot ont unanimement rejeté le PLFSS, pointant « une aberration budgétaire ». Même unanimité du côté du RN, qui jugeait très probable un rejet du texte et appelait depuis plusieurs jours à une nouvelle dissolution.Et maintenant ? Le budget de la Sécu va repartir au Sénat, puis revenir à l'Assemblée nationale en vue d'une dernière lecture qui pourrait intervenir le 16 décembre. Après cette étape décisive pour le budget de la Sécurité sociale, le budget de l'État pour 2026 va de nouveau faire l'objet de toutes les attentions. Sébastien Lecornu a réaffirmé ce mercredi en Conseil des ministres que son « objectif » était « de doter la France d'un budget de l'État d'ici au 31 décembre », jugeant que c'était « possible », a rapporté la porte-parole du gouvernement. Mais « si un accord est impossible entre l'Assemblée nationale et le Sénat », qui doivent se réunir en « commission mixte paritaire » le 19 décembre, « nous poursuivrons probablement ces discussions en janvier », a déclaré Maud Bregeon sur France 2. Aussi, pour éviter un blocage des finances publiques, Matignon et Bercy ont déjà commencé à préparer une « loi spéciale », comme l'a indiqué le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, lors d'une réunion au Sénat.Alors que l'examen des textes budgétaires pour l'an prochain va continuer à animer les discussions parlementaires, un rapport publié ce lundi 8 décembre pour le think tank Terra Nova, intitulé « Comptes publics : en finir avec le n'importe quoi (qu'il en coûte) », fait parler de lui. Dans ce document, l'économiste Guillaume Hannezo préconise deux mesures pour enrayer l'élargissement de la dette : réduire le taux d'épargne des retraités et relever la taxe sur la valeur ajoutée. Il a accordé une interview à nos journalistes.Alors, quelles sont les principales mesures du PLFSS pour 2026 ? Quelles sont les leçons de ce vote sur le budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée nationale ? Enfin, que contient le dernier livre de Nicolas Sarkozy, Le Journal d'un prisonnier ?Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
L'affaire du violeur en série Florian Varin soulève plusieurs interrogations. En l'espace de seulement huit mois, ce jeune homme de 21 ans est parvenu à faire sept victimes au nez et à la barbe de la police. Profitant d'une énorme défaillance dans les rouages du système judiciaire, il a voyagé librement dans toute la France pour commettre ses crimes dont toute la cour, au moment du procès, peinera à entendre les détails.CRIMES EN BRETAGNE • Histoires Vraies est une production Minuit, issue de la collection CRIMES · Histoires Vraies . Découvrez aussi Crimes en Montagne et Crimes en Provence !
Pour prendre vos billets pour le LEGEND TOUR c'est par ici ➡️ https://www.legend-tour.fr/ Trade Republic est fier d'être partenaire du Legend Tour ! Vous investissez sur vous-même en prenant votre place !Jusqu'au 6 janvier, Trade Republic soutient toutes celles et ceux qui veulent commencer à investir avec un cadeau qui dure Entre 10€ et 500€ en actions offertes si vous ouvrez un compte et commencez à investir ou si vous invitez un proche ➡️ https://trade.re/Legend_Tour_by_TRLe montant exact de votre bonus est révélé dès l'inscription. Assurez-vous de remplir les conditions spécifiées pour conserver votre bonus.Les investissements comportent des risques. Les gains financiers et les bonus sont soumis à l'imposition. La validité de cette offre est à la discrétion de notre banque. Conditions générales applicables.Collaboration commercialeOn vous donne rendez-vous pour 16 dates partout en France et en Belgique !Legend vous propose une expérience inédite avec des invités exceptionnels et plein de surprises ! Plongez au cœur de révélations étonnantes et de confidences jamais dévoilées à l'écranRejoignez l'aventure et réservez votre place dès maintenant !
Chaque année, 150 000 personnes demandent l'asile en France. Leur parcours commence à l'Ofpra (Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides), chargé d'examiner leur récit et d'évaluer les risques encourus dans leur pays d'origine. En cas de refus, elles peuvent faire appel devant la Cour nationale du droit d'asile, la CNDA, où elles deviennent des requérants. Plus de 500 interprètes assurent la communication entre les demandeurs d'asile et les institutions françaises. Leur mission est déterminante : traduire fidèlement, restituer chaque nuance, tout en respectant une neutralité stricte, indispensable au bon déroulement de l'examen des dossiers. Un poids, une pression constante, racontés par plusieurs interprètes dont les paroles déterminent des vies. À travers leurs témoignages, leurs émotions, nous plongeons au cœur de leur travail, de leurs dilemmes, et de la frontière parfois fragile entre neutralité professionnelle et empathie humaine. Un reportage long format en France d'Anaïs Godard.
La technologie française Pyannote est devenue l'outil IA indispensable pour comprendre "qui" parle dans un enregistrement audio. De la transcription d'interviews au doublage de vidéos, de nombreuses applications sont possibles.Interview : Vincent Molina, cofondateur de PyannoteEn quoi consiste votre technologie de "diarisation" ?La diarisation consiste à identifier les locuteurs dans un enregistrement audio. Avec Pyannote Audio, nous avons développé une technologie capable de reconnaître des voix qu'elle n'a jamais entendues, quelle que soit la langue, ce qui représente une difficulté scientifique majeure. L'histoire de Pyannote remonte à près de 15 ans : mon cofondateur, chercheur au CNRS, avait lancé une bibliothèque open source devenue la référence mondiale, avec plus de 150 000 utilisateurs. Depuis un an et demi, nous avons bâti une société pour porter ces avancées et proposer des modèles commerciaux déjà utilisés en production.Quels sont les principaux cas d'usage ?Notre brique technologique s'intègre dans de nombreux pipelines audio : transcription d'interviews, rendez-vous médicaux, audiences judiciaires, réunions d'entreprise… partout où il faut identifier qui parle. Nous sommes aussi très présents dans le doublage, le sous-titrage ou l'entraînement de grands modèles audio. Très souvent, on nous associe à des outils de transcription comme Whisper pour obtenir un traitement complet de la voix. Notre rôle, c'est d'indiquer précisément quand une voix apparaît, ce qui est essentiel pour synchroniser une voix de synthèse ou des sous-titres. Et tout cela fonctionne avec des modèles suffisamment légers pour tourner sur un téléphone, et bientôt sur un Raspberry Pi.Jusqu'où peut aller l'analyse de la voix ?La voix transporte bien plus que des mots : prosodie, rythme, chevauchements, indices contextuels… Sans aller jusqu'à interpréter les sentiments — notion trop subjective d'un pays à l'autre — nous pouvons fournir des métadonnées riches qui aident à comprendre la dynamique d'un échange. Pour l'instant, la plupart des usages sont en traitement différé, mais nous préparons une bascule vers le temps réel : retranscriptions d'événements, analyses en direct, signaux d'intensité vocale, etc.-----------♥️ Soutien : https://mondenumerique.info/don
Chaque année, 150 000 personnes demandent l'asile en France. Leur parcours commence à l'Ofpra (Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides), chargé d'examiner leur récit et d'évaluer les risques encourus dans leur pays d'origine. En cas de refus, elles peuvent faire appel devant la Cour nationale du droit d'asile, la CNDA, où elles deviennent des requérants. Plus de 500 interprètes assurent la communication entre les demandeurs d'asile et les institutions françaises. Leur mission est déterminante : traduire fidèlement, restituer chaque nuance, tout en respectant une neutralité stricte, indispensable au bon déroulement de l'examen des dossiers. Un poids, une pression constante, racontés par plusieurs interprètes dont les paroles déterminent des vies. À travers leurs témoignages, leurs émotions, nous plongeons au cœur de leur travail, de leurs dilemmes, et de la frontière parfois fragile entre neutralité professionnelle et empathie humaine. Un reportage long format en France d'Anaïs Godard.
Dans ce nouvel épisode d'Insight, nous recevons Kevin Taulera, co-fondateur de Supply Finder. Nous revenons avec lui sur la manière dont sa plateforme, lancée en 2025, accompagne les traders et acheteurs médias pour simplifier et optimiser leurs campagnes programmatiques. Entre transparence, efficacité opérationnelle et nouvelles technologies, il nous explique pourquoi la programmatique reste un levier clé malgré un marché de plus en plus complexe. Comment les équipes média peuvent-elles s'adapter à la fin des cookies, à la montée du retail media et de la CTV ? Quels indicateurs suivre pour mesurer la performance au-delà des impressions et des clics ? Jusqu'où l'intelligence artificielle peut-elle intervenir sans remplacer le rôle des humains ? Et surtout, à quoi ressemblera la programmatique dans 3 à 5 ans ? Kevin nous répond !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plongez dans l'histoire d'un nom qui hante encore l'île et les couloirs du pouvoir : Yvan Colonna, le tueur du préfet. Fils de berger et figure du nationalisme corse, Colonna grandit sur l'île de Beauté, au cœur d'un paysage tendu entre traditions, revendications identitaires et violences clandestines. Accusé d'être l'assassin du préfet Claude Érignac en 1998, il devient l'homme le plus recherché de France. Pendant des années, il échappe aux forces de l'ordre, vivant caché dans les maquis corses, protégé par un silence quasi sacré et un soutien populaire qui divise le pays. Son arrestation, puis ses procès, allument à chaque fois de nouvelles braises dans un dossier où s'entremêlent justice, identité, secrets d'État et colère populaire. Identité Corse Yvan Colonna grandit entre Ajaccio et Cargèse, bercé par une enfance libre et un profond attachement à la Corse. Le choc d'Aléria et l'exil forcé à Nice nourrissent en lui une conscience nationaliste qui ne fait que grandir. De retour sur l'île, il devient berger, mais reste proche des milieux militants les plus radicaux du FLNC. Dans les années 90, alors que le mouvement se déchire, Yvan choisit la ligne dure et rejoint la fraction clandestine qui refuse tout dialogue avec Paris. Jusqu'à participer, cagoulé, à l'attaque de la gendarmerie de Pietrosella en 1997, acte fondateur d'une escalade qui prépare la suite de la traque. Pour découvrir une autre traque, cliquez ci-dessous : [INÉDIT] James Whitey Bulger, le traître de Boston : le pacte avec le diable (1/4) [INÉDIT] James Whitey Bulger, le traître de Boston : le chat et la souris (2/4) [INÉDIT] James Whitey Bulger, le traître de Boston : les cadavres refont surface (3/4) [INÉDIT] James Whitey Bulger, le traître de Boston : la reddition de Santa Monica (4/4) Crédits : Production : Bababam Textes : Capucine Lebot Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Semaine Kassav' sur RFI ! Le groupe qui a popularisé le zouk est à l'honneur ! Jusqu'à vendredi, vous n'entendrez que des chansons de Kassav' et ses membres en solo. Préparez-vous à vivre une expérience unique ! (Rediffusion) Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Kassav' - Mwen mald aw Kassav' - Sé pa djen djen Kassav' - Mwen alé Kassav' - Souf zouk Kassav' - Flash Jocelyne Beroard - Mi tché mwen Jacob Desvarieux et Georges Decimus feat Jocelyne Beroard - Chawa Jocelyne Beroard feat Jacob Desvarieux - Milans Jean-Claude Naimro - An balaté Volt-Face - Zocké light Kassav' - Ayé Kassav' - Soucougnan Retrouvez notre playlist sur Deezer.
Semaine Kassav' sur RFI ! Le groupe qui a popularisé le zouk est à l'honneur ! Jusqu'à vendredi, vous n'entendrez que des chansons de Kassav' et ses membres en solo. Préparez-vous à vivre une expérience unique ! (Rediffusion) Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Kassav' - Mwen mald aw Kassav' - Sé pa djen djen Kassav' - Mwen alé Kassav' - Souf zouk Kassav' - Flash Jocelyne Beroard - Mi tché mwen Jacob Desvarieux et Georges Decimus feat Jocelyne Beroard - Chawa Jocelyne Beroard feat Jacob Desvarieux - Milans Jean-Claude Naimro - An balaté Volt-Face - Zocké light Kassav' - Ayé Kassav' - Soucougnan Retrouvez notre playlist sur Deezer.
Dans l'imaginaire collectif, Casablanca est la ville du football marocain. Avec ses deux grands clubs, le Wydad et le Raja, c'est elle qui concentre le plus de supporters, mais cela fait bien longtemps que la capitale économique ne fait plus la pluie et le beau temps dans le royaume. De quoi alimenter la nostalgie de certains Casablancais. Lino Bacco est une légende du journalisme sportif au Maroc, l'une des mémoires du foot marocain. Il vient de publier un livre Et alors !, où il raconte cette époque aujourd'hui révolue. De notre correspondant à Casablanca, Un superbe hôtel-particulier et un hall chargé d'histoire, toute une collection de vieilles radios dont une fonctionne encore... On y entend le direct de Radio Mars, la radio dédiée au sport que Lino Bacco, 79 ans, a co-fondée en 2009 : « Nous sommes dans les locaux de Radio Mars. J'ai un peu plus d'un demi-siècle, je dirais, de journalisme sportif. J'ai commencé exactement en 1967. Je débarque dans la rédaction du petit Marocain. » Casablanca, l'ancien siège de la Fédération À l'époque, tout se passe à Casablanca. « Je suis d'origine sicilienne. Mon père est né à Casablanca. Ma mère est née à Rabat. Je suis né à Casablanca. Le football marocain s'est décidé entre le siège de la Fédération qui était à Casablanca, rue Dumont d'Urville, entre un café, le Marignan, et puis le stade Philippe où, juste en face, il y avait le journal. Tous les après-midi, le secrétaire général qui était Ahmed Antifi venait, ainsi que Daniel Pilard, qui était le patron des sports. On se retrouvait donc au café. Et au café, on parlait de quoi ? On parlait de foot. On parlait de la fédération. On parlait des problèmes, et c'est là qu'ils prenaient les grandes décisions justement pour le football marocain », raconte Lino Bacco. « La preuve, c'est qu'il y a quatre clubs rabatis en première division » Jusqu'à aujourd'hui, Casablanca est la ville du foot au Maroc. Dans son stade emblématique Mohammed-V, résonnent chaque week-end les chants des supporters du Wydad ou du Raja. Alors, lorsque les stades de la CAN 2025 ont été annoncés, des supporters casablancais se sont sentis soudain nostalgiques. « Il y a des gens qui sont déçus, qui disent ''Oui mais pourquoi, pourquoi Rabat a quatre stades et nous un seul ?''... C'est ça, C'est tout. Le centre de gravité s'est déplacé, qu'on le veuille ou non. Et puis, la preuve, c'est qu'il y a quatre clubs rabatis en première division. Il y a l'AS FAR, il y a le FUS, il y a Yacoub El Mansour et il y a Touarga. Donc, c'est tout : 4 à 2, ce n'est pas difficile (rires). » Mais Casablanca pourrait retrouver son rang d'ici à 2030. En ce moment, on construit aux portes de la ville le plus grand stade du monde, 115 000 places, où doit se jouer des matchs de la Coupe du monde 2030. À lire aussiCAN 2025: Rabat, ville majeure du tournoi et nouveau centre névralgique du football marocain [1/6]
Chroniqueurs :Gauthier le BretGérard CarreyrouChristophe BordetSabrina MedjebeurInvitée :Sylvie Bretones, déléguée générale de la Fondation Notre-DameHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs :Gauthier le BretGérard CarreyrouChristophe BordetSabrina MedjebeurInvitée :Sylvie Bretones, déléguée générale de la Fondation Notre-DameVous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités :Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia.Gilles Boutin, journaliste en politique économique au Figaro.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
(Premier épisode) Le jeudi 4 novembre 1965, Georges Segrétin, un banquier responsable d'une agence de la Société Générale à La Guerche (Cher), est retrouvé mort au milieu d'un bois dans sa 2CV bleue calcinée.L'enquête est retirée des mains des gendarmes pour être confiée à la police judiciaire d'Orléans. Mais elle n'avance pas. Jusqu'à ce que les policiers se mettent à soupçonner une femme, vendeuse dans le village. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Clara Garnier-Amouroux, Anaïs Godard et Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité les ressources suivantes : “L'affaire du Bois bleu - les innocents de La Guerche” de Gérard Boursier et Manuel Jacquinet aux Éditions Malpaso Radio Caroline Media, ainsi que Détective, Elle et Le Nouvel Obs Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Deuxième et dernier épisode) Le jeudi 4 novembre 1965, Georges Segrétin, un banquier responsable d'une agence de la Société Générale à La Guerche (Cher), est retrouvé mort au milieu d'un bois dans sa 2CV bleue calcinée.L'enquête est retirée des mains des gendarmes pour être confiée à la police judiciaire d'Orléans. Mais elle n'avance pas. Jusqu'à ce que les policiers se mettent à soupçonner une femme, vendeuse dans le village. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Clara Garnier-Amouroux, Anaïs Godard et Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité les ressources suivantes : “L'affaire du Bois bleu - les innocents de La Guerche” de Gérard Boursier et Manuel Jacquinet aux Éditions Malpaso Radio Caroline Media, ainsi que Détective, Elle et Le Nouvel Obs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet extrait, Mathieu Blanchard, athlète de l'extrême, raconte l'un des moments les plus forts de sa vie.Il explique son échelle des 6 niveaux de douleur, ce qui se passe quand le corps lâche, et comment, au Yukon, il a vraiment cru qu'il allait mourir. Un passage dans lequel il parle de peur, de limites, de flow, et de ce que la souffrance extrême révèle sur nous. Pourquoi certaines expériences transforment une vie entière ?Si cet extrait vous a plu, retrouvez notre conversation intégrale ici : https://shows.acast.com/inpower/episodes/600-kms-en-une-semaine-sous-50c-comment-mathieu-blanchard-re Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vendredi 5 décembre, le tirage au sort de la Coupe du Monde 2026 de football aura lieu au Kennedy Center de Washington. Un évènement qui lancera une compétition XXL avec pour la première fois la participation de 48 équipes qui s'affronteront dans les stades de trois pays : Etats-Unis, Canada et Mexique. Donald Trump s'investit massivement en faveur de ce rendez-vous, et sa politique migratoire commence à avoir des conséquences sur l'organisation de la compétition. Comment l'influence MAGA peut-elle infuser le Mondial 2026 ? Jusqu'où le Président américain peut-il aller pour faire de cet évènement un levier politique ? Pour en débattre : Kévin Veyssière, expert en géopolitique du sport, fondateur du média FC Geopolitics, auteur du livre GéopOlympics : les grandes histoires géopolitiques des JO, éditions Max Milo Seghir Lazri, sociologue du sport à l'Institut de Recherche Interdisciplinaire sur les enjeux sociaux, Laboratoire de recherche rattaché au CNRS/EHESS et chroniqueur au Nouvel Obs
C'est ce jeudi 4 décembre 2025, à Washington, aux États-Unis, que le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagame doivent ratifier un accord de paix en présence de Donald Trump. Mais comme les combats font rage actuellement au Sud-Kivu, beaucoup s'interrogent sur la portée réelle de l'accord à venir sur le terrain. Léonard She Okitundu a été le ministre congolais des Affaires étrangères de 2016 à 2019. Aujourd'hui, il est député national et vice-président de la commission des Affaires étrangères à l'Assemblée congolaise. Pour lui, la solution passe par une vraie neutralisation des FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda). De passage à Paris, il le dit au micro de Christophe Boisbouvier et Patient Ligodi. RFI : Alors, la principale condition que pose le Rwanda au retrait de ses troupes du Congo, c'est la neutralisation par l'armée congolaise des rebelles hutus rwandais FDLR qui sont basés au Congo. Pourquoi cela n'a-t-il pas encore été fait ? Léonard She Okitundu : Concernant la République démocratique du Congo, cette question des FDLR est une question déterminante. Et c'est pour ça que moi, j'essaye par tous les moyens que le gouvernement soit considéré comme le meilleur élève de l'application des résolutions du Conseil de sécurité. Parce que le seul reproche qu'on fait à la RDC sur cette question-là, c'est justement cette fameuse collaboration avec les FDLR. Par conséquent, de mon point de vue, il doit être pris en République démocratique du Congo des mesures radicales contre ce mouvement. Parce que finalement, ce mouvement est en train de prendre en otage toute la République démocratique du Congo. Parce que sur cette question des FDLR, je crois qu'il y a une certaine unanimité de la part des membres du Conseil de sécurité, sur la nécessité, si pas, l'obligation de neutraliser ces groupes armés qui opéreraient sur le territoire de la République démocratique du Congo. Des mesures radicales, ça veut dire des mesures crédibles ? Crédibles, c'est-à-dire qui soient considérées crédibles par ceux auprès de qui nous cherchons l'appui en vue de dégager une solution diplomatique à ce conflit. Parce qu'il n'y a pas de solution militaire. Oui, mais il y a quelques jours, un porte-parole des FDLR présents sur votre territoire a affirmé qu'il n'était pas question pour ces forces de désarmer. Est-ce que ce n'est pas une déclaration qui donne raison au Rwanda, dans les reproches de laxisme et de négligence qu'il adresse aux autorités congolaises ? Effectivement, moi, je considère cette déclaration comme extrêmement grave. On ne peut pas accepter que le responsable de ce mouvement fasse une telle déclaration. Par conséquent, j'estime que le gouvernement, par mesure radicale, devrait considérer toute personne qui se réclame de ce groupe armé indésirable sur le territoire de la République démocratique du Congo. Persona non grata ? Persona non grata. Mais franchement, est-ce que les FARDC du Congo et les FDLR rwandais ne combattent pas ensemble depuis de très longues années contre le M23 et l'armée rwandaise… Et du coup, est-ce que, sur le terrain, les officiers FARDC ne sont pas redevables à l'égard de leurs frères d'armes hutus rwandais ? Et du coup, est-ce qu'ils ne sont pas hostiles à toute neutralisation de ces FDLR ? S'il y a des gens qui sont hostiles, alors là franchement, cela devrait être sévèrement sanctionné. Nous ne pouvons pas accepter la moindre collaboration avec les FDLR. Jusqu'à présent, d'ailleurs, dans les négociations qui sont faites, on ne mentionne pas le gouvernement en tant que tel, mais on considère que ce sont certains éléments des forces armées congolaises qui collaborent avec les FDLR. Alors, dans ces conditions, autant on doit être sévère à l'égard de ces FDLR, autant aussi à l'égard de tout officier militaire qui s'exposerait à une telle collaboration, on ne peut pas accepter du tout. L'autre condition que pose le Rwanda au retrait de ses troupes du Congo, c'est la fin des discriminations à l'égard des Congolais d'origine tutsi. Est-ce que le gouvernement de Kinshasa a pris toutes les mesures nécessaires pour protéger ces populations ? Alors franchement, là, c'est amuser la galerie. Moi, je suis parlementaire, nous avons les parlementaires d'origine tutsi avec nous au Parlement congolais. Donc, on ne peut pas du tout accuser le gouvernement de la RDC d'adopter une attitude discriminatoire à l'égard de la communauté tutsi. Il y a des ministres d'origine tutsi et dans l'armée aussi, tout comme dans les services. Donc cette discrimination est un véritable prétexte pour justifier l'injustifiable. Est-ce que, de ce point de vue, il ne faut pas une déclaration solennelle du pouvoir congolais ? Effectivement, sur ces deux choses, moi, j'aurais préféré franchement, en toute modestie, que les deux questions, la discrimination prétendument faite par le gouvernement congolais à l'égard de la communauté tutsi et puis, ensuite, cette collaboration avec les FDLR, il faudrait qu'à un moment donné, le gouvernement traite de ces questions en Conseil des ministres et qu'à la suite d'un Conseil des ministres, on entende le ministre de la Communication solennellement donner la position du gouvernement de la RDC sur ces deux questions. D'une part, rappeler la pleine citoyenneté de ceux qui remplissent les conditions, la citoyenneté congolaise des personnes d'origine tutsi, ceux qui remplissent les conditions, je dis bien, et puis en même temps interdire toute discrimination à leur égard. Et en ce qui concerne les FDLR, il faut absolument les considérer comme indésirables, proclamer, décréter, l'indésirabilité de ces gens sur le territoire de la République démocratique du Congo. Et puis en même temps, s'il y a des réfractaires, il faudra utiliser la contrainte pour finalement mettre fin à cela. À lire aussiRDC-Rwanda: rencontre au sommet à Washington pour une paix incertaine
Pendant longtemps, les chercheurs répondaient : il y a environ 4 500 ans, en Mésopotamie, dans les premières tablettes cunéiformes où l'on voit apparaître la description de baisers amoureux ou familiaux. Mais une étude toute récente, publiée en 2025 dans la revue Evolution and Human Behavior, vient totalement bouleverser cette chronologie. Selon cette analyse, le « premier bisou » remonterait non pas à l'humanité… mais à nos ancêtres primates, il y a entre 21,5 et 16,9 millions d'années.Les chercheurs ont d'abord redéfini ce qu'ils entendaient par « bisou » : un contact bouche-à-bouche non agressif, sans transfert de nourriture, utilisé dans un cadre social ou affectif. Sur cette base, ils ont comparé les comportements d'un grand nombre de primates actuels : chimpanzés, bonobos, gorilles, orangs-outans et d'autres espèces moins étudiées. Or beaucoup d'entre eux pratiquent un équivalent du baiser, parfois pour apaiser un conflit, parfois pour renforcer un lien, parfois dans un contexte reproductif.À partir de ces observations modernes, les scientifiques ont utilisé des modèles phylogénétiques – des outils permettant de reconstruire le comportement probable d'espèces anciennes – pour remonter dans le temps. Le résultat est frappant : l'ancêtre commun des hominidés et des grands singes, qui vivait il y a environ 20 millions d'années en Afrique, avait très probablement ce comportement de contact buccal affectif. Autrement dit, le baiser n'est pas une invention culturelle humaine, mais un héritage évolutionnaire très ancien.Cette conclusion change totalement notre vision. Jusqu'ici, on pensait que le baiser naissait dans les sociétés humaines sédentarisées, et qu'il s'agissait d'un rituel social complexe. Or il apparaît maintenant que les humains n'ont fait que reprendre un geste déjà présent chez leurs ancêtres. Comme le toilettage social chez les singes, le bisou aurait servi à réduire le stress, renforcer les alliances, apaiser les tensions et signaler la confiance. Dans certaines espèces, il joue aussi un rôle dans la sélection de partenaire : le contact buccal permettrait d'évaluer des signaux chimiques liés au système immunitaire ou à l'état de santé.L'étude reste prudente : certains primates sont peu documentés et la définition du « bisou » varie selon les espèces. Mais l'idée est solide et cohérente avec un grand nombre de données comportementales.En résumé : le premier bisou, loin d'être une invention récente de l'humanité, serait un comportement vieux de près de vingt millions d'années. Quand nous embrassons quelqu'un aujourd'hui, nous perpétuons un geste hérité de nos ancêtres primates — un geste bien plus ancien que l'amour romantique lui-même. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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« C'était au mois de mai 1877. Les Russes fondaient comme des sauterelles sur ce magnifique pays de Roumanie qui leur était livré en proie » Ainsi commence un roman intitulé « Le Capitaine vampire ». Son intrigue nous emmène donc en Roumanie durant la guerre russo-turque, elle suit l'affrontement acharné entre un soldat roumain et un officier russe, le cruel prince Boris Liatoukine : un homme à la force démesurée et à la réputation démoniaque. On le dit invincible d'ailleurs et insensible aux balles et à la douleur, laissant derrière lui des champs de ruines et des milliers de cadavres. On murmure qu'il se nourrit du sang des morts ? « Le Capitaine vampire » est publié, en 1879, à Paris. Son autrice est âgée d'une vingtaine d'années, elle est belge et elle s'appelle Marie Nizet. Elle est très engagée politiquement et a côtoyé de nombreux étudiants venus des pays slaves et balkaniques. Elle a déjà publié des poèmes dans lesquels elle défend la Roumanie opprimée par l'empire russe. Après sa mort, en 1922, Marie Nizet, avec son œuvre, sombre dans l'oubli. Jusqu'au jour où un historien français d'origine roumaine décèle dans « Le Capitaine vampire », une influence majeure du fameux « Dracula » de Bram Stoker, paru dix-huit ans plus tard. Une Belge à l'origine de Dracula : nous allons bien voir. Avec nous : Laurent Therer, de la Bibliothèque royale de Belgique, qui signe la postface de la première édition belge du « Capitaine Vampire » de Marie Nizet chez Espace Nord. Sujets traités : Marie Nizet, Capitaine, vampire , origine, belge, Dracula , Roumanie, Boris Liatoukine Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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