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Il y a cinq ans en Alsace, la centrale nucléaire de Fessenheim s'arrêtait définitivement de tourner. On parlait alors de la fin d'une époque… Jusqu'à ce que la guerre en Ukraine et la prise de conscience de l'urgence écologique rebattent les cartes. Entre la souveraineté énergétique, les ressources limitées et les enjeux d'influence, les défis autour du nucléaire sont de taille. Dans ce premier épisode, Anne Rosencher, directrice déléguée de la direction, et Sébastien Julian, rédacteur en chef adjoint du service climat de L'Express, nous racontent l'histoire d'un sabotage politique. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte Baris Ecriture : Solène AlifatMontage et réalisation : Jules Krot Crédits : BFM TV, Europe 1, France 24, France 3, INA, Le Monde, TF1 Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rapidement à 11 contre 9, le Barça a facilement vaincu Mallorca. Mais parlons un peu de Lamine Yamal. Car le génie a un défi.
Vous aimez Home(icides) le podcast Bababam Originals ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir A la folie pas du tout, le podcast qui raconte les histoires d'amour les plus marquantes. A l'occasion des 70 ans de la mort d'une grande peintre mexicaine, découvrez la nouvelle saison de A la folie, pas du tout. En 4 épisodes, on vous dévoilera la face cachée de l'un des couples d'artistes peintres les plus iconiques du XXe siècle : Frida Kahlo et Diego Rivera. Une histoire d'amour tumultueuse où l'art cimente la passion et répare les douleurs. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Il y a trois ans, la Thaïlande était le premier pays d'Asie à retirer le cannabis de la liste des stupéfiants. Mais depuis le 1er juillet, le royaume a fait marche arrière. Fini, l'usage récréatif, retour à une consommation strictement médicale. Un coup dur pour une industrie qui a généré 1 milliard de dollars l'an dernier. Entre flou administratif et inquiétude, les producteurs, les vendeurs et les consommateurs tentent de s'adapter. Reportage Juliette Chaignon à Chiang Mai et Bangkok. Il y a trois ans, Aeon était comptable dans le nord de la Thaïlande et n'avait jamais consommé de cannabis. Mais la légalisation et un marché en plein essor l'ont séduite. Aeon a investi alors 150 000 euros dans une plantation et six magasins : « Au début, j'ai pensé pouvoir gagner de l'argent. J'ai fait des prêts à la banque. » Jusqu'ici, les règles étaient simples pour les plus de 10 000 magasins sous licence : des fleurs de cannabis en vente libre, sauf pour les étudiants, les moins de 20 ans et les femmes enceintes, interdiction de fumer dans les lieux publics et tenue d'un registre des achats et ventes du mois. Mais depuis le 1er juillet 2025, un nouveau décret inquiète les vendeurs : les clients doivent présenter une ordonnance médicale pour acheter. « Je suis inquiète, car j'ai déjà trop investi et la vente sera plus difficile. Les clients ont peur d'acheter maintenant, ils ont peur de la police. Et j'ai peur de devoir licencier mes employés », raconte Aeon. Depuis l'entrée en vigueur des nouvelles règles, quelques dizaines de magasins ont été sanctionnés. Certaines boutiques, elles, n'ont rien changé. Elles misent sur le flou des autorités, qui n'ont pas encore détaillé comment concrètement appliquer la loi. À lire aussiThaïlande: intervention de la police lors d'une grande «soirée drogue» Dans ce magasin de Chiang Mai, Jackson et Rayan, deux touristes, viennent d'acheter un sachet d'herbe. Ils roulent leur joint sur la terrasse. « Je n'ai pas eu besoin de prescription pour acheter. C'est un peu confus. Tu viens d'acheter ça... C'était combien ? », demande l'un. « Six euros pour 3 grammes », répond l'autre. « C'est aussi simple que d'acheter de la bière », s'amuse le premier. Dans une autre boutique, Travis, un gérant californien installé en Thaïlande, a lui choisi de s'adapter : « J'ai des contacts de médecins, ce qui permettra aux clients d'avoir une ordonnance et de continuer à profiter du cannabis. » Pour lui, une régulation plus stricte en Thaïlande était nécessaire : « C'est un peu le Far West jusqu'ici. Et la surproduction entraîne une baisse de la qualité. » Officiellement, la Thaïlande a restreint l'accès au cannabis pour protéger la santé des plus jeunes et pour éviter le trafic. L'an dernier, plus de 800 voyageurs ont été arrêtés et accusés de transporter de l'herbe. Des justifications opportunistes d'après Chokwan Kitty Chopaka, militante pro-cannabis : « Ce sont des manœuvres politiques. Tant que nous n'aurons pas une loi spécifique sur le cannabis, n'importe quel gouvernement pourra imposer ce qu'il veut. » Le gouvernement dit aussi vouloir re-criminaliser le cannabis. Une mauvaise solution, d'après Kitty : « En Thaïlande, il y a toujours moyen de contourner la loi. Sinon, notre industrie du sexe n'existerait pas. Est-ce une bonne chose ? Pas vraiment, car le cannabis risque de se retrouver dans une zone grise. » Face à l'incertitude et une forte concurrence, Kitty a déjà fermé son magasin. Elle craint de voir des centaines de vendeurs de cannabis faire de même en Thaïlande. À lire aussiThaïlande: la légalisation du cannabis, une manière de renouer avec la culture locale
« Je ne te dis pas de pardonner jusqu'à sept fois, mais jusqu'à 70 fois sept fois » (Mt 18, 21 – 19, 1)Méditation par la Pasteure Nicole FabreChant Final : "Exalte ô mon âme" de Hélène GoussebayleRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:27:59 - Les Pieds sur terre - par : Stéphanie Thomas - Le fils de Manon a commencé à se "retirer du monde" à l'adolescence. Impossible de le sortir de sa chambre. Jusqu'au jour où elle découvre ce qu'il fait la nuit. Le fils de Corinne dit non à tout. C'est un "mollasson". Tous les moyens sont bons pour arriver à le faire sortir. Y parviendra-t-elle ? - réalisation : Yaël Mandelbaum
Chaque année en Bolivie, des millions d'hectares sont dévastés par les incendies. En 2024, les feux ont été d'une ampleur sans précédent, dix millions d'hectares, l'équivalent de deux fois et demie la superficie d'un pays comme la Suisse, ont été réduits en cendres. Plusieurs mois après la fin des feux, leurs conséquences se font toujours ressentir : communautés sans production agricole pour se nourrir, personnes âgées à la santé encore précaire à cause des fumées et, bien sûr, la forêt et sa biodiversité qui peinent à se remettre de cet épisode. (Rediffusion) De notre correspondant en Bolivie, «Ici, on parle de la saison de feux de la même manière que l'on parle de l'hiver ou de l'été. Ça arrive chaque année, de manière toujours plus forte et violente». Au parc Ambue Ari, dans l'est de la Bolivie, les membres du staff se sont habitués à lutter tous les ans contre les incendies. Dans ce sanctuaire, on récupère et soigne des animaux sauvages issus du braconnage, des incendies ou encore de la déforestation. En période d'incendies, de juillet à octobre, de nombreux animaux brûlés ou déshydratés sont amenés à la clinique vétérinaire du parc par la population. Paresseux, singes, tortues ou encore oiseaux y sont soignés avant d'être relâchés dans le sanctuaire. En 2024, le parc a même récupéré une jaguar de 6 mois : «normalement, nous n'acceptons pas de félins car nos espaces d'accueil sont saturés, explique Ivan Marquez, biologiste, mais dans ce cas-ci, elle est jeune et nous pensons pouvoir lui apprendre à chasser seule pour pouvoir la libérer». Il s'agira du premier jaguar relâché de l'histoire de la Bolivie. Du fait des incendies, beaucoup d'animaux sauvages se réfugient d'eux mêmes dans le parc. «L'écosystème du parc est souvent surchargé, continue le biologiste, par exemple, ici, il y a un nombre de jaguars bien supérieur à ce qu'il devrait y avoir dans un espace naturel.» D'année en année, la déforestation et les incendies font reculer la forêt, résultat : aujourd'hui Ambue Ari est devenue une île de biodiversité au milieu des champs et des pâturages. Dans l'est du pays, la déforestation a explosé ces 10 dernières années. «À partir de 2012-2013, le gouvernement planifie une vision de diversification de l'économie, en particulier le développement de l'agro, c'est-à-dire le bétail et le soja, il devient donc beaucoup plus tolérant avec toutes les lois environnementales», explique Stasiek Czaplicki, économiste environnemental, spécialisé sur le secteur agro exportateur ainsi que la déforestation et les incendies. «Depuis qu'il y a eu ces feux, chacun survit comme il peut» La biodiversité n'est pas la seule à se remettre difficilement des feux. Dans la petite ville de San Javier, à 200 kilomètres d'Ambue Ari, les communautés autochtones continuent de souffrir des conséquences des incendies. «Notre centrale indigène Païkoneka est une organisation qui regroupe 60 communautés et 1 500 familles, desquelles 300 ont dû émigrer en ville parce qu'elles n'avaient plus rien à manger chez elles», raconte Brian Baca Talamas. La grande majorité des habitants des communautés autochtones produit son alimentation elle-même et un petit surplus qu'elle vend sur les marchés. Mais comme de nombreux champs ont été ravagés par les feux, beaucoup de personnes ont dû trouver un travail salarié en ville. «J'ai ma femme et mes enfants, je n'ai pas eu d'autre option que de partir car il n'y avait plus d'eau dans ma communauté et l'incendie avait ravagé toute ma parcelle», témoigne Enrique Pesoa, qui a dû travailler plusieurs mois comme maçon pour faire vivre sa famille. «J'ai 57 ans et n'avais jamais eu à partir comme ça de ma communauté pour travailler ailleurs, confie Agustín Parapaena, c'est très dur pour nous les habitants des communautés, on souffre de devoir partir. Depuis qu'il y a eu ces feux, chacun survit comme il peut». La centrale indigène Païkoneka a combattu du mieux qu'elle pouvait les incendies, grâce à 50 pompiers volontaires formés et équipés, ainsi qu'en sensibilisant les habitants pour qu'aucun incendie ne se déclare dans les territoires des communautés. «Mais les feux arrivent de l'extérieur, des voisins. Ils vont brûler dans un ranch, perdre le contrôle du feu et ça finit par arriver chez nous», dénonce Brian Baca Talamas. Jusqu'à l'année dernière, l'amende à payer lorsque qu'un feu devenait hors de contrôle était de 20 centimes de dollar par hectare. Il était moins coûteux de payer l'amende après un feu que défricher une parcelle avec un bulldozer. La discipline dans les communautés n'a donc pas empêché que certaines soient dévastées à 80 ou 90% par les flammes. Écoles fermées dans un-tiers du pays au plus fort des incendies À San Javier, mais comme dans tout le département de Santa Cruz et une partie de la Bolivie, les fumées des feux ont également fait beaucoup de dégâts. «Entre le mois de juin et la fin octobre, nous avons 2 jours de pluie, en août, où nous avons pu respirer, sinon c'était de la fumée tout le temps», se rappelle Brian Baca Talamas. «Mon fils aîné a eu des problèmes pulmonaires et il a dû être évacué de la communauté», raconte Enrique Pesoa. Au plus fort des incendies, les écoles ont été fermées dans un tiers du pays. Même dans des villes comme La Paz, en pleine montagne et à des centaines de kilomètres des incendies, les élèves risquaient d'être affectés par les fumées. «Maintenant, il est guéri, parce qu'il est jeune, continue Enrique, mais il y a des personnes âgées qui continuent de souffrir». C'est notamment le cas de Maria, 64 ans : «J'ai encore des problèmes aux yeux, ils se fatiguent très vite. Donc oui, ma vue n'est plus la même depuis les incendies et c'est pareil pour mon mari.» Elle ajoute qu'à Bella Vista, sa communauté, les sources d'eau ont aussi été affectées. «Certains ruisseaux se sont asséchés et les autres étaient contaminés par les cendres, boire leur eau nous rendait malade». Malgré toutes ces conséquences sur les populations locales et sur la biodiversité, les incendies et la déforestation ne sont pas près de s'arrêter. «Le gouvernement bolivien continue de penser que le secteur agro exportateur va lui donner beaucoup plus de bénéfices qu'actuellement, donc il est en train de prendre des mesures pour aider son expansion», analyse Stasiek Czaplicki. La protection de la forêt et de ses écosystèmes n'est donc toujours pas à l'ordre du jour.
Invités : - Michel Fayad, analyste politique Franco-Libanais - Eric Naulleau, journaliste et écrivian - Arno Klarsfeld, avocat et écrivain Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 1er épisode retrace la naissance de Guy Georges, qui s'appelait encore Guy Rampillon, son abandon par sa mère, ce père qu'il ne connait pas, cette famille d'accueil qui l'éduque sans l'aimer… Jusqu'à ses premiers meurtres.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Précédés de mois de tensions, les cinq jours de conflits armés entre la Thaïlande et le Cambodge fin juillet 2025 ont déplacé des centaines de milliers de personnes dans les provinces frontalières où se sont concentrés les affrontements. Selon les autorités cambodgiennes, au moins 700 000 travailleurs émigrés en Thaïlande seraient revenus au Cambodge depuis le début de la crise. Alors que les relations entre les deux pays sont au plus bas malgré le cessez-le-feu, les perspectives d'emplois semblent très incertaines pour ces travailleurs peu qualifiés, précaires et revenus à la hâte. De notre correspondante à Phnom Penh, Sur un chantier de la capitale Phnom Penh, Lors et Sanan s'estiment chanceux d'avoir pu retrouver un emploi. Fin juillet, ce couple d'ouvriers du bâtiment travaillait encore à Bangkok. Quand le conflit armé éclate entre la Thaïlande et le Cambodge, ils se sentent menacés. « D'autres travailleurs migrants nous ont prévenu qu'une bande d'une dizaine de Thaïlandais avaient cherché à les intimider. Et puis, ils sont venus nous trouver et ont demandé : " Eh toi ! Tu viens d'où ? "J'ai eu peur de me faire frapper si je leur disais que j'étais Cambodgien. Alors, j'ai répondu que je venais d'une province thaïlandaise et ça s'est arrêté là. » Au même moment, le couple est prévenu que leur famille restée au Cambodge doit évacuer le village en raison des affrontements : « Nous avions déjà peur ici. Et ma mère nous appelait tous les jours avec les enfants. Nous avons redouté que ce gang (thaïlandais) nous retrouve et nous cherche plus d'histoires. Alors, nous avons demandé notre salaire et nous sommes rentrés fin juillet. » Comme Lors et Sanan, au moins 700 000 travailleurs émigrés sont rentrés au Cambodge en raison du conflit. Jusqu'à présent, ils étaient près de 1,2 million Cambodgiens à travailler en Thaïlande, dont seulement une moitié en situation régulière. À lire aussiThaïlande-Cambodge: aux origines d'un vieux conflit frontalier « Choisir entre leur sécurité et leurs revenus » « On n'a jamais vu ça. Regardez ! » Khun Tharo est responsable de programme à Central, une ONG cambodgienne de défense des droits des travailleurs. Sur son ordinateur défilent les vidéos envoyées par leurs équipes déployées sur un poste frontalier : « Regardez ce qu'ils transportent : des matelas, des couvertures, leurs bébés sur leurs épaules, etc. On comprend qu'ils ne vont pas revenir avant un long moment. » La panique a poussé ces travailleurs à quitter leur emploi, quitte à se priver de tous revenus une fois au Cambodge : « Ils ont dû choisir entre leur sécurité et leurs revenus, explique Khun Tharo. S'ils n'avaient pas été confrontés à cette situation, ils seraient restés en Thaïlande où ils avaient un salaire régulier. Quand ils reviennent ici, ils ne savent pas s'ils pourront retrouver un travail ou combien de temps cela prendra. Ils s'inquiètent de savoir comment ils pourront subvenir aux besoins de leur famille ou rembourser leur emprunt. Le problème, c'est que je doute qu'il y ait assez d'emplois disponibles pour la masse de travailleurs qui sont revenus. » Malgré un cessez-le-feu le 29 juillet, ils sont encore nombreux à dire ne pas vouloir retourner en Thaïlande. Mais, même si les autorités cambodgiennes se mobilisent, le marché du travail risque de ne pas pouvoir absorber ces quelque 700 000 travailleurs supplémentaires issus de milieux précaires. Or, côté thaïlandais, les secteurs de la construction, du service, de la pêche, de l'agriculture ou encore de l'industrie alimentaire, des secteurs qui employaient cette main d'œuvre cambodgienne peu qualifiée, se confrontent à l'urgence de la remplacer. À lire aussiThaïlande-Cambodge: après les affrontements, l'angoisse des étudiants khmers restés à Bangkok
On aborde aujourd'hui et avec une experte du sujet : les Reflux gastro œsophagiens alias les RGO du nourrisson avec évidemment un focus sur l'allaitement !Pour cela j'ai contacté Virginie FERRANDEZ, consultante en lactation IBCLC et experte de ce sujet qui va répondre à toutes mes questions.Que devons-nous observer et quand devons-nous nous inquiéter ? Un bébé qui régurgite, un peu de lait qui ressort de sa bouche après les tétées, est-ce déjà grave ? Que faire si le bébé régurgite à distance des tétées, vomit, est inconfortable, grimace, ou souffre ? Jusqu'à pleurer jour et nuit... Nous aborderons également les signes non digestifs souvent moins connus mais tout aussi importants.Dans cet épisode on va se demander qu'est-ce qui définit le reflux gastro œsophagien du bébé et à quel moment on le considère problématique. Ces infos vous serviront que vous soyez parents comme professionnels.On abordera les avantages et intérêt de l'allaitement dans ces problématiques.Ensuite on se demandera à quoi il peut-être dû et vous verrez qu'au nombre de causes probables, cela peut être un véritable jeu de piste de trouver l'origine. Pourtant, c'est la clé du traitement comme souvent : trouver la causeEt puis on se penchera évidement sur les solutions, tip et astuces pour y faire face.Donc gardons une chose en tête, l'idée est évidement de trouver la cause et de la traiter, même si traiter la douleur sera la première étape indispensable pour retrouver la sérénité.Belle écoute,Charlotte Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(00:00:33) Les nitazènes, une drogue jusqu'à 50 fois plus puissante que le fentanyl (00:08:19) La Thaïlande revient sur la légalisation du cannabis (00:13:54) Quand la musique classique raconte l'Histoire. Episode 1/5 : Verdi
REDIFF - Il y a plus de vingt ans, au mois d'avril 2003, un chalet vide de Haute-Savoie allait devenir une spectaculaire scène de crime. Toute une famille, les Flactif, la père, la mère, et leurs trois jeunes enfants vivaient ici. Des existences qui n'avaient jamais attiré l'attention. Jusqu'à ce que la famille disparaisse. Et que dans la maison parfaitement rangée et lessivée, de petites traces laissent supposer un drame. Des scènes d'une violence inouïe. Les enquêteurs vont se demander où sont passés les Flactif. Car d'eux, on ne retrouve rien ou presque. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Il y a plus de vingt ans, au mois d'avril 2003, un chalet vide de Haute-Savoie allait devenir une spectaculaire scène de crime. Toute une famille, les Flactif, la père, la mère, et leurs trois jeunes enfants vivaient ici. Des existences qui n'avaient jamais attiré l'attention. Jusqu'à ce que la famille disparaisse. Et que dans la maison parfaitement rangée et lessivée, de petites traces laissent supposer un drame. Des scènes d'une violence inouïe. Les enquêteurs vont se demander où sont passés les Flactif. Car d'eux, on ne retrouve rien ou presque. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ça y est ! L'été est là ! C'est la saison de la lecture, quoi de mieux en vacances que de lézarder au soleil avec un bon livre ? Et pourquoi pas avec un bon livre d'amour. Cette nouvelle saison de "Love Story" est consacrée aux plus beaux couples dans les romans. A cette occasion, Alice Deroide est accompagnée de Karen Etourneau, chroniqueuse livre de notre podcast "Puzzle" et dans "Editions illimitées" du studio Super Bagatelles. C'est une fine connaisseuse du monde de l'édition et une passionnée de lecture. A travers son témoignage, découvrez sa sélection des plus beaux couples dans les romans. "En attendant Bojangles", une évidence Dans cet épisode, Alice Deroide et Karen Etourneau nous parlent de l'histoire d'amour au coeur de l'histoire de "En attendant Bojangles", un premier livre écrit par l'auteur français Olivier Bourdeaut. C'est un voyage en Espagne qui changera la vie de l'auteur, alors qu'il rend visite à ses parents. En seulement 7 semaines, il écrit un nouveau roman. Le ton est unique. La réception aussi. Les éditions Finitude contacte Bourdeaut quelques jours à peine après avoir reçu le manuscrit. "En attendant Bojangles" raconte une histoire d'amour "pure" et "folle" selon Karen Etourneau. Pour elle, parler de cette histoire d'amour est une évidence. Une histoire d'amour, mais aussi une histoire de famille En attendant Bojangles c'est une histoire d'amour, entre un homme et une femme, mais aussi une histoire de famille, avec leur fils. L'action prend principalement place dans le grand appartement de la famille, ou dans leur maison de vacances en Espagne. Un lieu sûrement inspiré par celui où Olivier Bourdeaut a écrit ce roman. Ils vont en Espagne pour chaque floraison des amandiers, quitte à déscolariser le petit pour assister à ce spectacle de la nature. Jusqu'au jour où cette femme si flamboyante, cette mère virevoltante doit être internée. Toujours sous le regard de l'enfant. De la fantaisie, des rires contre la monotonie. Olivier Bourdeaut plonge le lecteur dans un univers en marge du quotidien... Le récit de leur histoire d'amour est à écouter dans ce podcast. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le Central Electricity Board (CEB) renforce son engagement en faveur de la transition énergétique et du soutien aux plus démunis. Deux nouveaux plans ont été mis sur pied pour aider, d'une part, les familles à faible revenu, et d'autre part, les ONG et les institutions religieuses. Selon Thierry Ramasawmy, responsable de la communication au CEB, 1 000 panneaux solaires seront installés gratuitement dans les foyers vulnérables. « Ces familles bénéficieront chaque mois de 100 kWh d'électricité gratuits, déduits directement de leur facture », précise-t-il. Le second dispositif vise les ONG et les institutions religieuses, qui pourront elles aussi faire installer gratuitement des panneaux photovoltaïques, afin de réduire leurs coûts énergétiques et réorienter leurs ressources vers leurs missions sociales. Julie, l'un des bénéficiaires, témoigne : « C'est un vrai soulagement. Mes factures ont considérablement baissé, et je peux mieux gérer mes autres dépenses. » Pour plus d'informations sur ces deux plans, les intéressés peuvent se rendre dans l'agence CEB la plus proche ou appeler le 8912.
REDIFF - Il y a plus de vingt ans, au mois d'avril 2003, un chalet vide de Haute-Savoie allait devenir une spectaculaire scène de crime. Toute une famille, les Flactif, la père, la mère, et leurs trois jeunes enfants vivaient ici. Des existences qui n'avaient jamais attiré l'attention. Jusqu'à ce que la famille disparaisse. Et que dans la maison parfaitement rangée et lessivée, de petites traces laissent supposer un drame. Des scènes d'une violence inouïe. Les enquêteurs vont se demander où sont passés les Flactif. Car d'eux, on ne retrouve rien ou presque. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:41:58 - Questions du soir d'été - par : Marguerite Catton - Elue à la tête des Scouts et Guides de France en juin dernier, Marine Rosset a annoncé sa démission moins de deux mois plus tard... Une démission causée par une vague de pressions à son encontre en partie liée à son homosexualité. Jusqu'où l'Eglise catholique se veut-elle inclusive ? - réalisation : Phane Montet - invités : Isabelle de Gaulmyn Journaliste, productrice déléguée des Matins de France Culture; Yann Raison du Cleuziou Maître de conférences en science politique; Sylvaine Landrivon Co-présidente de Magdala (Ex-comité de la jupe, une association qui promeut la place des femmes dans l'Eglise). Docteure en théologie, autrice et ancienne maitresse de conférences à l'UCLy
Ecoutez RTL Matin avec Vincent Derosier du 08 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'annulation de la candidature de Maurice Kamto, la création d'une milice au Niger et l'augmentation des productions de pétrole. Gabon : retour sur le chantage d'un influenceur contre le président Un influenceur gabonais d'origine libanaise menace de divulguer des vidéos compromettantes du président Oligui Nguema. Quel est le contenu des enregistrements que Nazih affirme détenir ? Une enquête est-elle ouverte côté gabonais pour vérifier l'authenticité des enregistrements ? Avec Yves-Laurent Goma, correspondant de RFI à Libreville. Cameroun : Maurice Kamto définitivement écarté de la course à la présidentielle Considéré comme « non fondé », le recours de l'opposant a été rejeté par le Conseil constitutionnel. Comment expliquer cette décision ? À quoi s'attendre pour l'avenir politique de Maurice Kamto ? Avec Stéphane Akoa, politologue camerounais et chercheur à la fondation Paul Ango Ela. Niger : une milice citoyenne en appui aux forces de l'ordre Au Niger, le mouvement citoyen M62 lance une milice civile pour appuyer les forces de sécurité. Quelle est la mission précise de cette milice ? Plusieurs organisations de la société civile mettent en garde contre une dérive de cette milice. Ces craintes sont-elles fondées ? Avec Seidik Abba, président du Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. Auteur de l'ouvrage « Crise interne au Conseil Militaire Suprême du Niger » (éditions L'Harmattan). Pétrole : pourquoi les pays de l'OPEP+ augmentent leur production ? Les pays de l'OPEP+ ont prévu d'augmenter leur production de pétrole en septembre 2025. Pourquoi l'OPEP+ cherche-t-elle à augmenter sa production alors qu'elle avait jusqu'à maintenant réduit son offre pour maintenir des prix élevés ? Jusqu'où l'Organisation peut-elle augmenter sa production sans provoquer une chute importante des prix ? Avec Marie-Pierre Olphand, journaliste pour la Chronique des matières premières sur RFI.
Dans cet épisode, je te raconte l'histoire de David, un dentiste de 39 ans qui semblait avoir tout pour être heureux : une famille aimante, un cabinet florissant, une maison avec vue sur l'océan… Mais derrière ce tableau parfait, se cachait une fatigue profonde, une frustration silencieuse, et surtout une incapacité à dire NON.
Avec : Véronique Siegel, présidente de la branche hôtellerie de l'UMIH. - Chaque matin, Sébastien Krebs reçoit un invité au cœur de l'actualité.
Ecoutez RTL Soir avec Gaël Giordana du 06 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:55:36 - Le temps d'un bivouac - Ancienne grande reporter, Marie-Hélène Fraïssé est parti sur la côte du grand Nord-Ouest américain, sillonner les recoins de son histoire coloniale en recueillant la parole des communautés autochtones, trop longtemps passées sous silence. - invités : Marie-Hélène Fraïssé - Marie-Hélène Fraïssé : Productrice à France Culture - réalisé par : David Leprince Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Découvrez l'aventure touchante d'Aang, un bison curieux qui rêve de voyager au-delà de son île flottante !
durée : 00:04:37 - Le Zoom de France Inter - [REDIFFUSION] Pour faire mentir l'image parfois triste des EHPAD, direction la Maison nationale des artistes, à Nogent-sur-Marne. Depuis 1945, cet établissement accueille des artistes à la retraite qui ne peuvent plus vivre de façon autonome, mais qui continuent de créer. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
REDIFF - Camille a grandi dans une famille aimante, à l'écoute et plutôt pieuse du côté de son père. Jusqu'à l'âge de 14 ans, elle pensait que ses parents travaillaient dans la restauration. En réalité, ils étaient producteurs de films pornographiques. Camille raconte au micro de Faustine Bollaert son parcours atypique entre éducation bienveillante et héritage familial controversé. Livre- « Virgin in Porn » aux éditions Fayard Pilote de ligne, Maxime partage au micro de "Héros" les coulisses fascinantes de son métier ! Entre anecdotes surprenantes et exigences de la profession, il nous livre un regard unique sur la vie en cockpit !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Épisode exceptionnel, voire légendaire, évidemment consacré cette semaine à l'exploit de Pauline Ferrand-Prévôt devenue la première Française à remporter le Tour de France femmes nouvelle génération. Il y a un an, après son titre olympique, elle décidait de revenir à la route avec comme objectif de gagner le Tour. C'est désormais chose faite dès sa première tentative. On va évidemment revenir en long et en large sur sa victoire, sur ses victoires mêmes avec les deux dernières étapes. Jusqu'où ira-t-elle ? De quoi sera fait son avenir ?Sans oublier les principaux adversaires de Pauline Ferrand Prévot et notamment la FDJ-Suez. Est-ce un Tour réussi pour l'équipe Française qui avait misé sur Demi Vollering, qui termine deuxième derrière Pauline ? Mais également de Maéva Squiban l'autre tricolore qui a brillé sur les routes de ce Tour. Et enfin, avec un engouement de plus en plus grand grâce à des Françaises qui brillent, le Tour de France Femme est passé dans une nouvelle dimension ! Delà à supplanter son pendant masculin ? Les équipes de Grand Plateau en débattent ! Avec Yohan Bredow, Lena Marjak, Pierre Koetschet et Maxime Pique-Martinez.Production : Killian VeroveRéalisation : Kevin Paugam
Tous les matins à 6h40, l'actualité du point de vue des auditeurs de RMC. Chaque jour, trois questions autour d'un sujet d'actualité. Témoignages, réactions et débats : RMC est LA radio de l'interactivité.
REDIFF - Victime d'une usurpation d'identité, Sébastien a dû faire face à des créanciers en tous genre. Jusqu'à se retrouver fiché à la Banque de France.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avril 2025. Un lycée privé modèle dans le 16e arrondissement de Paris, le Lycée Pierre-Froment, fait l'objet d'une enquête confidentielle. Ce qu'on y découvre dépasse l'imaginable.Derrière une façade d'excellence républicaine, un programme officieux impose aux élèves issus de la diversité un protocole d'intégration par effacement.Chaque trimestre, une consigne.Chaque trimestre, un renoncement.Jusqu'à ce que l'identité ne soit plus qu'un souvenir.Et un jour, un élève disparaît.Un récit à mi-chemin entre le podcast true crime, la chronique sociale, et la fable noire.Imaginez Jordan Peele en France, sur un texte écrit par Stephen King, et produit dans une ambiance sonore digne de Serial ou Limetown.L'horreur n'est pas sanglante. Elle est procédurale.Elle se cache dans les formulaires, les bulletins, les regards.Elle est validée. Répétée. Ignorée.Replay: https://smartlink.ausha.co/danslombresdeslegendes/l-inconnu-de-3h33-smut-horreurReplay: https://smartlink.ausha.co/danslombresdeslegendes/la-seconde-peau-smut-horreurReplay: https://smartlink.ausha.co/danslombresdeslegendes/celui-qui-gemit-sous-la-peau-smut-horreurHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Camerounais attendent l'avis du Conseil constitutionnel sur la participation ou non à la présidentielle du 12 octobre du principal opposant Maurice Kamto, après la décision en première instance de la commission électorale Elecam de l'en écarter. Quelle est la valeur juridique de cette exclusion de samedi dernier ? Quelles sont les chances de Maurice Kamto d'être repêché par les onze magistrats du Conseil ? Claude Assira est avocat au barreau de Yaoundé et défenseur des droits de l'Homme. Également enseignant à l'Université catholique d'Afrique centrale, il répond depuis Yaoundé aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Le principal événement de ce début de campagne, c'est l'éviction, du moins pour l'instant, du candidat Maurice Kamto, le principal opposant. Est-ce le signe qu'il fait peur au régime camerounais ? Maître Claude Assira : J'ai envie de vous répondre positivement. Oui, je pense qu'on peut dire sans risque de se tromper qu'il fait peur. Et ça, ce n'est pas seulement du fait de l'épilogue de samedi 26 juillet. La décision qui a été prise par le Conseil électoral Elecam, samedi 26 juillet, c'est surtout parce que c'est la chronique d'une fin qui était annoncée depuis le début. Tout le monde sait que, à la précédente élection présidentielle de 2018, il a été le principal challenger et qu'il est arrivé effectivement en position de numéro 2. Tout le monde sait également que depuis lors, depuis 2018 et de façon plus marquée encore en 2019, il a mené des actions et un combat, d'abord de revendications de la victoire. Et puis ensuite les actions sur le terrain juridique, sur le terrain politique. Et que tout au long de cet intervalle, on a vu la réaction du pouvoir, les objurgations des membres du gouvernement qui, à chacune de ses apparitions, traduisaient une certaine fébrilité, pour ne pas dire une crainte, une peur. On a vu parfois ce que je considère comme étant la machine de guerre de l'État se mettre en œuvre même pour des événements banals comme la convocation d'un événement politique interne à Yaoundé ou une de ses apparitions à Douala. Donc toutes ces choses sont autant de manifestations de la peur, de la crainte qu'on a pour ce seul nom. Il faut dire qu'aux côtés de cela, vous avez également, d'un point de vue de la crainte psychologique, beaucoup de ses partisans, qui sont particulièrement virulents et agités sur les réseaux sociaux, qui cristallisent autant de raisons d'avoir peur de la personne, de ce candidat. Bref, il y a toujours eu un tir de barrage, de sorte que les esprits des observateurs avisés étaient forcément prêts à ce qu'il puisse y avoir la touche finale qui serait apportée d'une façon ou d'une autre à sa candidature devant le tir de barrage systématique auquel il a eu à faire face. Ce qui fait qu'aujourd'hui, même si Elecam, qui tire son origine d'un décret de désignation du président de la République, j'allais dire du seul président de la République qui lui-même est à nouveau candidat… Donc il ne peut pas être complètement un organe considéré comme étant neutre. Quels que soient les efforts qu'il aurait faits, lorsqu'Elecam vient donc en bout de course consacrer tout ce que nous avons vu se dessiner, se profiler au fur et à mesure du temps, aucune concession ne lui a jamais été faite. La décision d'Elecam du 26 juillet apparaît évidemment comme étant la consécration de la volonté politique d'éliminer un adversaire dont on a peur aujourd'hui. Est-ce qu'Elecam, qui est donc l'organe en charge des élections, a motivé par écrit sa décision d'exclure la candidature de Maurice Kamto ? Elecam l'a motivée et a justifié cette motivation sur la demande des avocats de Maurice Kamto. Et le motif qui a été avancé alors, le seul motif qui a été invoqué à l'appui de la décision de rejet de sa candidature, c'est la multiplicité d'investiture par le parti qui a finalement accepté d'investir, Maurice Kamto, à savoir le Manidem. Alors l'argument d'Elecam, c'est donc de dire que le parti que Maurice Kamto représente, le Manidem, compte dans ses membres un autre candidat et qu'il ne peut pas y avoir une pluralité d'investitures au sein d'un même parti. Qu'est-ce que vous pensez de cet argument ? Comme je pense avoir essayé de vous l'indiquer, l'argument est tout simplement l'aboutissement d'un processus. Donc l'argument qui est soulevé par Elecam est très largement sujet à caution. Mais même en lui-même simplement, l'argument peut être très largement discutable lui aussi. Parce qu'il est effectivement fort probable qu'il y ait eu une deuxième investiture par un organe plus ou moins infiltré du Manidem. Et cette situation, il faut le dire encore, est aussi une certaine forme de flou organisé et entretenu par les pouvoirs de l'État. Je m'explique. Les partis politiques, les formations politiques sont considérés comme étant des associations. Or ces associations voient régulièrement l'interférence, j'allais dire l'ingérence du pouvoir politique au travers du ministère de l'Administration territoriale, qui croit devoir organiser le fonctionnement et la direction de ces associations. Ce n'est pas que le Manidem. On a vu le cas pour le PCRN. Ça a été le cas pour le CPP de Kah Walla et je pense pour d'autres formations encore. Or, nous savons tous qu'il y a un principe consacré par la Constitution qui est le principe de la liberté d'association, la liberté d'expression. Les partis politiques concourent, contribuent à l'expression de la démocratie. Et ils le font dans un cadre qui est organisé par la Constitution, qui est un cadre de liberté. Donc il n'y a que les associations qui, dans leur organisation, ont la possibilité de déterminer qui est leur mandataire, celui qui peut parler pour elles, ces associations. Pourtant, nous voyons toujours régulièrement, sans aucune explication ni justification juridique ou autre, l'interférence du pouvoir qui vient indiquer qui, selon lui, est la personne qu'il a choisie pour pouvoir être le représentant, c'est à dire son interlocuteur. Il n'est donc pas à exclure que, profitant de cette ambivalence, de cette ambiguïté organisée et entretenue, qu'il puisse y avoir effectivement quelqu'un d'autre qui, au sein de la même organisation du Manidem, ait pu éventuellement se prévaloir du titre qui lui a été donné dans les conditions que je viens de vous indiquer pour pouvoir brouiller les pistes. Et ainsi contrecarrer pour finaliser la mise en échec de la candidature de Kamto. Je pense que la procédure devant le Conseil constitutionnel nous permettra certainement d'être fixé. Il suffira de comparer, de voir quel était l'organe qui a présenté l'investiture de Maurice Kamto, celui qui a présenté l'investiture de l'autre, et j'incline à penser que c'est le président actuel, Monsieur Anicet Ekane, celui qui a donné l'investiture à Maurice Kamto, qui devrait pouvoir l'emporter si les choses sont faites avec justice et avec justesse. Alors, vous parlez du ministère de l'Administration territoriale de Paul Atanga Nji. Jusqu'au 22 juillet dernier, sur le site de ce ministère, le président du parti Manidem, c'était Anicet Ekane, mais depuis le 23 juillet, sur le même site, son nom est remplacé par celui de Dieudonné Yebga, le candidat surprise qui provoque aujourd'hui la disqualification de Maurice Kamto. Est-ce un signe de ce que vous appelez l'ingérence du ministère de l'Administration territoriale dans l'organisation des partis politiques ? L'ingérence est intervenue déjà bien auparavant et je crois qu'elle pourrait se manifester encore là, sauf que là, en l'occurrence, à la veille d'une transmission des dossiers à Elecam, cette ingérence, ou plutôt cette manipulation, apparaît comme étant une forfaiture désormais. Ce n'est plus une simple ingérence, mais là, c'est une forfaiture et une volonté manifeste d'induire en erreur. J'ai envie de vous indiquer que je ne sais même pas si cette activité, cette action de ces personnes, ces organes publics, devraient être considérés comme étant une action banale. Je pense qu'elles doivent interroger. L'actuel président de la République a mis au centre de son rôle politique historique qu'il voulait qu'on retienne que c'est lui qui a apporté la démocratie. Je ne suis pas sûr que ce qui est fait en son nom représente l'idée de la démocratie qu'il a envie de laisser. Donc si c'est pour lui, pour ce candidat-là, que toutes ces forfaitures sont faites, je crains qu'on salisse son nom pour l'histoire alors que c'est la seule chose au moins qu'il aurait pu laisser. Donc j'invite toutes les personnes qui jouent aux apprentis sorciers à faire attention et à rester aussi neutres que possible dans les fonctions publiques qui leur ont été confiées par le peuple. Alors Elecam écarte, du moins pour l'instant, Maurice Kamto, au prétexte que son parti Manidem avait deux candidats, mais Elecam accepte le candidat Paul Biya, alors que son parti RDPC avait lui aussi deux candidats le président sortant et l'élu local Theiller Onana. Est-ce qu'il n'y a pas deux poids, deux mesures ? Alors là, je ne pense pas. Parce que là, vous avez parlé de candidature. Mais s'agissant du motif de rejet de la candidature de Maurice Kamto, on a parlé plutôt d'investiture. Donc il ne faut pas confondre candidature et investiture. La déclaration de candidature est le fait d'un individu qui se présente au peuple. Or la déclaration d'investiture, c'est une formation politique qui adoube un candidat qu'elle a présenté, qui s'est réclamé de lui. Donc je ne pense pas que la même situation que celle que vous évoquez au Manidem soit comparable à ce qui se passe au RDPC, parce qu'il ne me semble pas que le parti RDPC ait donné une investiture à quelqu'un d'autre qu'à l'actuel président de la République. Suite à cette décision d'Elecam, Maurice Kamto a déposé ce lundi un recours devant le Conseil constitutionnel. Mais si le régime est décidé à écarter Maurice Kamto, est-ce que les magistrats du Conseil constitutionnel pourront prendre une décision contraire à la volonté du régime ? Là, vous me demandez encore une fois de prendre une boule de cristal pour pouvoir lire l'avenir. Et on peut juste se contenter de faire un certain nombre de conjectures. La première, ce serait d'imaginer que le Conseil constitutionnel est un organe indépendant, puisqu'on sait aujourd'hui que le pouvoir est relativement plus faible, plus vacillant, plus chancelant qu'il ne l'a été autrefois. Ça se voit non seulement au travers de l'âge relativement avancé du titulaire de la fonction aujourd'hui, mais cela se voit aussi au travers de la grande fébrilité dont ses partisans font montre de façon publique. Il y a une grosse opposition à l'intérieur du camp. Donc je pense qu'aujourd'hui peut-être qu'une nouvelle philosophie pourrait éventuellement animer le fonctionnement du Conseil constitutionnel et ses décisions. On peut donc miser là-dessus et se dire qu'il s'agit peut-être d'un organe qui va être indépendant, même si, encore une fois, là aussi, son mode de désignation exclusivement confié au décret du président de la République peut aussi interroger sur son indépendance. Mais faisons lui confiance et disons-nous que cela est possible au regard du contexte sociopolitique que je vous ai décrit. Mais d'un autre côté aussi, on peut parfaitement craindre, quand on voit l'irrédentisme dont ont fait preuve aujourd'hui les agents du pouvoir. Quand on sait que les institutions judiciaires ou juridictionnelles ont souvent eu par ailleurs à se voir dicter un certain nombre de leurs décisions ou de leurs attitudes, on peut parfaitement craindre que le Conseil constitutionnel, même si vraiment, par extraordinaire, il venait à en avoir envie, avoir envie de s'autonomiser, on peut craindre qu'il n'ait pas finalement les moyens de le faire, cela est aussi possible. Parfaitement. Maintenant, nous tous, nous observons l'histoire. Nous pouvons donc nous dire qu'au stade où nous sommes, peut être que le Conseil constitutionnel, aussi, investi d'une mission historique, peut avoir envie de se surpasser et de montrer, d'essayer de montrer aux uns et aux autres que les décisions qu'il va prendre doivent être empreintes de la confiance qu'on doit normalement à cette institution-là. Donc, il est possible que cette occasion leur soit donnée pour valider en ultime recours la candidature de Maurice Kamto. Je le souhaite en tout cas énormément. Issa Tchiroma Bakary, l'un des deux ministres démissionnaires, qui est à présent candidat à la présidentielle, réclame du Conseil constitutionnel qu'il fasse preuve d'impartialité et d'intégrité. Est-ce à dire que cet homme d'expérience a de sérieux doutes sur cette impartialité et cette intégrité des magistrats ? Il faut que vous rappeliez peut-être aussi que c'est le même Issa Tchiroma Bakary qui a défendu bec et ongles le même pouvoir auquel il a appartenu, donc je pense que, si aujourd'hui il vient nous dire le contraire, on ne peut pas faire autre chose que d'avoir foi en sa parole. Il est crédible sur ce qu'il indique. Les propos contradictoires sur RFI, il y a trois semaines, des ministres René Sadi et Fame Ndongo sur la candidature ou non de Paul Biya cette année, de quoi est-ce le signe à votre avis ? C'est un signe, j'allais dire un signe de plus sur un tout petit peu, j'allais dire la déliquescence de l'action de l'État, des pouvoirs de l'État. Sur beaucoup de sujets, auparavant, on a observé un camp, une division qui traduit les intérêts conflictuels qui, à chacune des décisions de justice ou non, démontrent parfaitement qu'il y a un clivage, une scission nette dans l'appareil gouvernant. Et que ce clivage est le fait de deux choses, un effet de cisaillement entre un président de la République qui est souvent absent, qui n'a plus vraiment les choses en main et qui a tout abandonné à chacun. Il n'y a, par exemple, jamais eu je pense, en sept ans un conseil des ministres rien que pour coordonner et contrôler l'action en interne du gouvernement. Donc chacun fait un peu sa petite tambouille dans son coin. Et la deuxième chose du cisaillement, c'est que tout le monde voit très bien que le pouvoir est vacant. Donc à l'intérieur, il y a des prétentions qui naissent. D'autres, il y en a qui essaient de combler ce vide là en faisant un peu plus, en dépassant leurs fonctions ou en essayant de rattraper ce qu'ils peuvent encore pour essayer de conserver leurs positions, leurs rentes de situation. Voilà, c'est tout ça qui crée forcément un cafouillage. Et comme il n'y a pas de coordination pour permettre de siffler la fin de la récréation, la peur qui est toujours très mauvaise conseillère finit par s'emparer des uns et des autres pour essayer de sauvegarder ce qui peut encore être sauvé des acquis. C'est tout ça qui explique un peu cette Bérézina de la communication.
durée : 00:29:38 - Avoir raison avec... - par : Marie-Lys de Saint Salvy - Mondialement connu pour ses talents de géographe, Élisée Reclus s'engage en 1871 dans le soulèvement de la Commune. Condamné à l'exil, il s'installe en Suisse en 1872 et devient une figure du mouvement anarchiste européen. - réalisation : Chloé Leblond - invités : Philippe Pelletier Géographe, professeur émérite à l'Université Lyon 2
durée : 00:29:22 - Avoir raison avec... - par : Marie-Lys de Saint Salvy - En 1857, le géographe Élisée Reclus revient en France désargenté. Jusqu'en 1871, il multiplie les voyages, poursuit ses engagements militants et publie ses premiers écrits scientifiques avec pour objectif de rendre la géographie populaire. Pourquoi un peuple devrait-il connaître la géographie ? - réalisation : Chloé Leblond - invités : Béatrice Giblin Géographe, professeure émérite à l'Institut Français de Géopolitique (Université Paris 8), et directrice de la revue Hérodote
Bienvenue dans la traque. Cette semaine, découvrez une histoire, prête à vous entraîner dans l'exploration d'un parcours criminel, saisissant. Dans cette nouvelle saison, découvrez la terrible histoire du tueur en série Gary Ridgway. Il est reconnu d'avoir assassiné dans les années 80 et 90 de manière sanglante au moins 49 femmes dans l'État de Washington. Au fil des ans, les gens du coin commencent à connaître le tueur pour son mode de fonctionnement et le surnomment le Green River Killer. Il évite plusieurs fois, de justesse, la police, mais en 2003, il est condamné à 49 peines de réclusion à perpétuité. Découvrez comment la police a réussi à mettre la main sur l'un des tueurs en série les plus meurtriers des Etats Unis… Un amas de corps Gary Ridgway, homme ordinaire aux yeux de tous, cache un visage bien plus sombre. Derrière sa façade de banalité, il s'attaque aux plus vulnérables, laissant derrière lui une traînée de disparitions inexpliquées. Pour la brigade de la Rivière Verte, il devient une obsession insaisissable. Jusqu'à ce qu'une survivante réapparaisse, et donne des pistes plus concrètes à la police… Pour découvrir une autre traque, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Andrew Cunanan, le tueur de Gianni Versace : le rêve éphémère d'un garçon brillant (1/4) [INEDIT] Andrew Cunanan, le tueur de Gianni Versace : la descente aux enfers (2/4) [INEDIT] Andrew Cunanan, le tueur de Gianni Versace : un serial killer (3/4) [INEDIT] Andrew Cunanan, le tueur de Gianni Versace : fin de la cavale (4/4) Crédits : Production : Bababam Textes : Capucine Lebot Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Épisode diffusé en juillet 2024 — Merci à Marion !À découvrir :
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 28 juillet 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 28 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez Les Fabuleux destins, le podcast Bababam Originals ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir n vous invite à découvrir Home(icides), le podcast qui vous plonge dans les histoires les crimes les plus terribles. Découvrez l'une des affaires criminelles les plus mystérieuses de la région iséroise : le double meurtre de Saussenage. Le 7 janvier 1993, Michèle Marinescu et sa fille Christine sont retrouvées mortes dans leur pavillon de Sassenage, une commune tranquille au nord de Grenoble. Pendant des années, aucune des pistes explorées n'a pu élucider ces meurtres… Jusqu'au jour où le dossier a connu un revirement spectaculaire. Le journaliste Thibaut Solano, spécialiste de l'affaire, sera l'invité de Caroline Nogueras dans le dernier épisode. Un podcast Bababam Originals Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Manon Gauthier-Faure Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:28:27 - Les Pieds sur terre - par : Jeanne Mayer - Enfant, Noita croit tout ce qu'on lui raconte, chez elle, à l'école, à la télé. Puis Internet arrive, avec son lot de théories du complot. De clic en clic, de blog en page YouTube, elle avance au gré des recommandations des réseaux sociaux, sans se poser trop de questions. Jusqu'à la vidéo de trop. - réalisation : Clémence Gross
"Laissez-les pousser ensemble jusqu'à la moisson"Médiation de l'évangile (Mt 13, 24-30) par Soeur Catherine de CosterChant Final : "Ta main" de Florine SmithRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participer à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Prière du matin : https://audmns.com/DwJysxvHalte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Révélation du dernier Roland-Garros, Loïs Boisson a remporté son premier titre à Hambourg. Quasiment invincible sur terre battue cette saison, la nouvelle coqueluche du tennis français s'apprête à découvrir la tournée américaine sur dur. Son jeu peut-il se marier avec le ciment ? Comment a-t-elle géré l'après Roland-Garros ? Jusqu'où peut-elle grimper et a-t-elle le potentiel pour devenir une star du sport français ? Réponses dans « Air Open ».Air Open est disponible sur toutes les plateformes de podcast et le site L'Équipe. Présenté et réalisé par Maxime Monthioux, avec Clémentine Blondet, Bertrand Lagacherie et Victor Lengronne. Enregistrement : Léa Leostic.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jusqu'à 15 millions de foyers fiscaux reçoivent à partir de ce vendredi le remboursement du trop-perçu d'impôt sur le revenu par l'administration fiscale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet été, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes des derniers mois que vous avez le plus appréciés !Quel est le véritable impact des adultes sur la personnalité et le développement émotionnel des enfants ? En quoi la sécurité affective et le lien d'attachement forgent-ils des adultes épanouis demain ?Comment être un parent idéal ?Découvrez les réponses dans cet épisode passionnant où je reçois Gabrielle Douieb, psychologue clinicienne spécialiste des psychotraumatismes chez l'enfant. Elle y lève le voile sur la théorie de l'attachement, la construction de la personnalité, et le vrai rôle du parent "suffisamment bon".Au fil de l'épisode, nous décryptons ensemble :✅ La personnalité de l'enfant à travers les notions de tempérament et de caractère✅ Comment l'attachement modèle nos façons d'être, et la capacité d'un enfant à explorer le monde en toute sécurité✅ Pourquoi répondre « suffisamment » aux besoins, poser un cadre, et encourager l'autonomie, forme un équilibre favorable au bon développement de l'enfant✅ L'importance de l'erreur parentale, et la plasticité des styles d'attachement✅ Des clés pour repérer la souffrance psychique, différencier période difficile et vrai mal-être, comprendre l'impact du traumatisme et favoriser la résilienceAu programme :⇒ Qu'est-ce que la personnalité de l'enfant ? (02:17)⇒ Tempérament, inné, acquis : où commence l'influence de l'environnement ? (03:23)⇒ Les dimensions du tempérament chez l'enfant (04:27)⇒ Théorie de l'attachement : origines, définition et illustration (05:11)⇒ Jusqu'à quand a-t-on besoin d'attachement ? (08:19)⇒ Sécurité affective, exploration et autonomie : comment trouver l'équilibre ? (11:20)⇒ Les styles d'attachement et leurs conséquences (13:24)⇒ Le rôle des figures d'attachement et du « village » autour de l'enfant (19:09)⇒ Repérer les signes d'insécurité ou de souffrance chez l'enfant (21:14)⇒ Les effets des psychotraumatismes et comment accompagner l'enfant (27:33)⇒ Les clés d'une parentalité “suffisamment bonne” et l'importance de l'erreur (34:57)Cet épisode nous offre un éclairage précieux et rassurant sur ce qui fait un adulte épanoui… à commencer par l'enfant que nous avons tous été !
Ce lundi 21 juillet aurait pourtant dû être un jour de fête, ou au moins à marquer d'une pierre blanche, pour le Parti démocratique gabonais de l'ancien président Ali Bongo : une véritable « réunion stratégique » était prévue, rappelle Gabon Media Time, « visant à relancer la dynamique interne » de la formation, « en prélude aux échéances électorales à venir ». Dit plus clairement, abonde Le Pays, l'ex-parti au pouvoir « tente de se réorganiser pour son grand retour dans une arène politique en pleine recomposition ». Affaibli par le coup d'État à l'encontre d'Ali Bongo en 2023, la formation ambitionne de revenir sur la scène politique, bon an mal an. Mais elle n'est pas la seule, note Gabon Review : « l'homme que l'on croyait politiquement défait, effacé, exilé à jamais dans les marges de l'histoire nationale, revient. » Car Ali Bongo a annoncé, en fin de semaine dernière, reprendre la présidence du parti, de Londres, où il vit désormais. À lire aussiGabon: les cadres pro-Bongo et la nouvelle direction du parti se disputent le contrôle du siège du PDG Les crispations éclatent au grand jour Les crispations se sont alors éclatées au grand jour et cela s'est particulièrement vu ce lundi, lorsque les fidèles d'Ali Bongo, dirigés par son dauphin désigné Ali Akbar Onanga, ont été empêchés de se réunir au siège du parti par la nouvelle direction du PDG, élue lors d'un congrès en janvier dernier et emmenée par Blaise Louembé. L'Union a beau minimiser en parlant d'une « situation (…) incertaine », pour Le Pays, c'est justement certain : la formation est « miné[e] par des luttes intestines qui amènent » même le journal à « s'interroger sur son avenir. » Et Gabon Actu va dans le même sens : le parti « apparaît plus que jamais divisé. » Or, le PDG ne peut pas vraiment se permettre de telles querelles internes : à ce stade, il « joue sa survie », martèle Gabon Media Time. Il faut dire, rappelle Le Pays, que la formation a déjà été « beaucoup fragilisé[e] » par l'après coup d'État, lorsqu'elle a subi « une véritable saignée avec des démissions en cascades. » Plusieurs cadres, « et pas des moindres », insiste encore le titre burkinabè, « n'ont pas hésité à quitter le navire, en le laissant dans le creux de la vague. » En plus de ces défections, « les positions divergentes », les « exclusions réciproques, les réunions concurrentes, les déclarations antagonistes » continuent « d'affaiblir » ce parti historique, opine Gabon Review. À lire aussiGabon: bataille de succession au sein du Parti démocratique gabonais Jusqu'où l'escalade peut-elle aller ? Du Pays à Gabon Review, on emploie le même terme : celui d'une possible « implosion » dont les actuelles tensions ne seraient que les premiers symptômes. Même analyse pour Gabon Actu pour qui « la bataille du siège » lundi « semble à s'y méprendre n'être que la face visible de l'iceberg », qui pourrait bien « préfigure[r] une autre bataille, sur le terrain judiciaire cette fois-ci, au bout de laquelle l'ancien parti au pouvoir pourrait sortir complètement exsangue et groggy ». Pour le journal, ce contexte « hypothèque toutes chances de participation du PDG aux prochaines échéances électorales », prévues cette année. Mais en réalité, analyse Gabon Review, l'enjeu est ailleurs : « il se situe dans le temps long ». Et c'est peut-être le fruit d'une tactique mûrement réfléchie par Ali Bongo : s'agirait-il, s'interroge le journal, d'une « stratégie pour peser à nouveau sur le destin national ? » Pour Le Pays, il y a lieu de le penser : « la volonté de Bongo-fils de garder la haute main sur son parti dans l'espoir de maintenir son influence sur la scène politique gabonaise » est « la preuve (…) qu'il est loin d'avoir digéré sa perte de pouvoir, encore moins d'en avoir fait le deuil », diagnostique le titre. Car parmi les multiples scénarios possibles, il y en a un, imagine Gabon Review, dans lequel, « à la faveur d'un affaiblissement du pouvoir central, d'une faille institutionnelle, ou d'un retournement d'alliances, l'ancien président pourra redevenir acteur, sinon roi ». Faute d'avoir conservé le pouvoir, Ali Bongo tente au moins « d'en garder la matrice », croit savoir le journal, qui conclut : « Ali Bongo n'a peut-être pas dit son dernier mot ».
durée : 00:43:46 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - Limogeages massifs d'employés fédéraux, arrestation d'une magistrate, remise en cause du droit du sol : aux États-Unis, la crainte d'un glissement autoritaire s'intensifie. Cette émission revient sur les principales mesures et propose une analyse sur l'avenir de la démocratie américaine. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Lumir Lapray Activiste française; Eleonora Bottini Professeure de droit public à l'université de Caen, directrice de l'Institut caennais de recherche juridique; Bernard Hartcourt Professeur de droit et de théorie politique à l'Université Columbia à New York et directeur d'étude à l'EHESS
REDIFF - C'est une simple seringue qui pendant treize ans a donné le tournis à la justice de la Côte d'Azur. Une piqûre de tranquillisant qui aurait provoqué la mort de Pascal Vito, comptable et financier dans un laboratoire d'analyses médicales à Nice. Pascal Vito avait une réputation de grand dépressif. On va donc privilégier tout de suite l'hypothèse du suicide du suicide. Sans chercher plus loin, sans s'embarrasser non plus d'une autopsie. Affaire presque classée. Jusqu'à ce que le docteur Dominique Cosme, associé de la victime, fasse son entrée en scène. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - C'est une simple seringue qui pendant treize ans a donné le tournis à la justice de la Côte d'Azur. Une piqûre de tranquillisant qui aurait provoqué la mort de Pascal Vito, comptable et financier dans un laboratoire d'analyses médicales à Nice. Pascal Vito avait une réputation de grand dépressif. On va donc privilégier tout de suite l'hypothèse du suicide. Sans chercher plus loin, sans s'embarrasser non plus d'une autopsie. Affaire presque classée. Jusqu'à ce que le docteur Dominique Cosme, associé de la victime, fasse son entrée en scène. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 19ans, Céline Tran étudiante à Sciences-Po découvre, par défi et besoin de s'affirmer, le monde du strip-tease avant de devenir actrice porno quelques mois plus tard, sous le pseudonyme de Katsuni. Une façon pour elle d'affirmer sa liberté. Elle devient une des actrices X les plus célèbres au monde. Jusqu'en 2012 où elle ressent le besoin d'arrêter, elle se projette dans une vie loin du porno.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.