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Au printemps 1991, un vent de panique souffle sur Vienne, en proie aux pulsions d'un tueur en série. Son mode opératoire se précise semaine après semaine, immuable, impitoyable. Il vise les jeunes femmes du quartier rouge, des travailleuses du sexe, embarquées en voiture au beau milieu de la nuit. Leur soi-disant client les emmène à l'abri des regards, en bordure de la capitale autrichienne... On l'appelle « l'étrangleur de Vienne », ou « Jack l'étrangleur », un clin d'oeil morbide à l'éventreur de Londres, du siècle dernier. Il rôde comme une ombre, un fantôme caché au sein même de la société, qui se prend pour Dieu, et s'octroie un droit de vie ou de mort sur ses semblables. Son nom est Jack Unterweger, il est écrivain... Et il a déjà tué.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
[SPONSORISÉ] Au printemps 1991, un vent de panique souffle sur Vienne, en proie aux pulsions d'un tueur en série. Son mode opératoire se précise semaine après semaine, immuable, impitoyable. Il vise les jeunes femmes du quartier rouge, des travailleuses du sexe, embarquées en voiture au beau milieu de la nuit. Leur soi-disant client les emmène à l'abri des regards, en bordure de la capitale autrichienne... On l'appelle « l'étrangleur de Vienne », ou « Jack l'étrangleur », un clin d'oeil morbide à l'éventreur de Londres, du siècle dernier. Il rôde comme une ombre, un fantôme caché au sein même de la société, qui se prend pour Dieu, et s'octroie un droit de vie ou de mort sur ses semblables. Son nom est Jack Unterweger, il est écrivain... Et il a déjà tué.Au matin du lundi 20 mai 1991, une éclaircie met fin à des jours de déluge, et pousse un retraité à sortir se balader dans les bois viennois. Durant sa promenade, perturbée par une odeur épouvantable, il s'écarte du sentier et distingue, sous les feuilles mortes et les branches sèches, le corps d'une femme. Elle gît face contre terre, rongée par la putréfaction et les charognards, les jambes écartées, seulement vêtue d'un haut relevé au niveau des épaules. Le reste de ses effets personnels a été disposé en cercle concentrique, à l'exception de ses collants, fermement noués autour de son cou.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
Le livre de Jean-François Tifiou « Les Bords de Marne d'antan » nous rappelle que les premiers studios de cinéma français sont précisément nés près de ces célèbres guinguettes de la Marne, à Joinville-le-Pont et à Saint-Maurice. L'auteur nous raconte l'histoire de ces studios pionniers... Ecoutez RTL Pop Ciné avec Vincent Perrot du 16 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le patron français de la recherche en IA de Meta sur le départ, cyberattaque pilotée par une IA, microprocesseur souverain : encore un épisode bourré de tech et d'IA !
Ils formèrent le couple le plus iconique de l'histoire de la mode. Yves Saint Laurent et Pierre Bergé écrivirent ensemble, pendant 50 ans, une page de l'histoire de la haute couture et du prêt à porter. Ensemble ils traversèrent les infidélités, les excès, les jalousies. Leur secret résidait peut être dans leur amour commun pour les Arts. Une histoire de génie, d'angoisses et de couleurs. Une histoire d'amour. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Alice Deroide Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
On fait le point ensemble sur la disparition inquiétante de la navigatrice française Marie Descoub.We take stock together of the worrying disappearance of the French sailor Marie Descoub.Alors voilà, Marie qui a 28 ans et son coéquipier américain Nathan Perrins ont disparu le 5 novembre.So, Marie, who is 28, and her American teammate Nathan Perrins disappeared on November 5th.Ils étaient en train de convoyer un voilier du Maine jusqu'à Porto Rico.They were in the process of conveying a sailboat from Maine to Puerto Rico.La question c'est : que s'est-il passé ?The question is: what happened?Premièrement, les circonstances.Firstly, the circumstances.Leur voilier, le SV Liona, a cessé d'émettre le 5 novembre.Their sailboat, the SV Liona, stopped transmitting on November 5th.À ce moment-là, il n'était plus qu'à environ 16 heures de leur but.At that time, they were only about 16 hours from their destination.Le seul souci signalé par le capitaine, c'était un manque de carburant.The only problem reported by the captain was a lack of fuel.Deuxièmement, les recherches.Secondly, the search.Bien sûr, les garde-côtes américains et les équipes des Bermudes se sont mobilisés, mais pour l'instant, ça n'a rien donné.Of course, the American Coast Guard and the Bermuda teams mobilized, but for now, it hasn't yielded anything.Pourtant, les proches, eux, ils gardent espoir.Yet, their loved ones, they are holding onto hope.Ils se disent que ça pourrait juste être un problème de communication.They are telling themselves that it could just be a communication problem.Le sort des deux marins reste donc incertain.The fate of the two sailors therefore remains uncertain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au printemps 1991, un vent de panique souffle sur Vienne, en proie aux pulsions d'un tueur en série. Son mode opératoire se précise semaine après semaine, immuable, impitoyable. Il vise les jeunes femmes du quartier rouge, des travailleuses du sexe, embarquées en voiture au beau milieu de la nuit. Leur soi-disant client les emmène à l'abri des regards, en bordure de la capitale autrichienne... On l'appelle « l'étrangleur de Vienne », ou « Jack l'étrangleur », un clin d'oeil morbide à l'éventreur de Londres, du siècle dernier. Il rôde comme une ombre, un fantôme caché au sein même de la société, qui se prend pour Dieu, et s'octroie un droit de vie ou de mort sur ses semblables. Son nom est Jack Unterweger, il est écrivain... Et il a déjà tué.Visiblement ravi d'échouer dans un secteur aussi pittoresque, Unterweger se met au travail, sillonne les ruelles, rencontre les travailleuses du sexe, les sans-abris, s'informe sur les trafics de drogue, les récents faits-divers. En contrepoint, il se rapproche du LAPD, part en patrouille, pose des questions, potasse son reportage. Les jours suivants, changement de décor, il grimpe sur Beverly Hills tente d'apercevoir des stars. Il obtient un rendez-vous avec un cinéaste autrichien, cherche à lui vendre un scénario, sans succès. Il ne rencontrera ni Bukowski, ni son père, quittera le sol californien à la mi-juillet, et l'anecdote aurait pu s'arrêter là...Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 14 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours à 7H10 et 9H50 , on vous donne les bonnes nouvelles du jour.
Le Mali traverse une crise énergétique exceptionnelle : files d'attente interminables devant les stations-service, coupures d'électricité, activités paralysées, conséquences d'un blocus imposé par les groupes jihadistes dans ce pays déjà parmi les plus pauvres du monde. Les invités d'Eco d'ici Eco d'ailleurs décrypte la stratégie de ceux qui ont lancé ce bras de fer économique avec le pouvoir malien dirigé par des militaires.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 14 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 14 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le palmarès des écoles secondaires du Québec est de retour en fin de semaine. Quelles écoles traînent de la patte et lesquelles s’illustrent ? Entrevue avec Sébastien Ménard, éditeur adjoint du Journal de Montréal et du Journal de Québec. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Si certaines personnes adorent les films d'horreur tandis que d'autres les fuient, la raison se trouve en grande partie dans notre cerveau. Les neurosciences montrent que tout dépend de la manière dont chacun traite la peur, cette émotion universelle mais extrêmement variable d'un individu à l'autre.Lorsqu'on regarde une scène effrayante, l'amygdale, une petite structure située au cœur du cerveau, s'active. C'est elle qui déclenche la réponse de peur : accélération du rythme cardiaque, sécrétion d'adrénaline, contraction musculaire. En temps normal, cette réaction prépare à fuir ou à se défendre. Mais dans un cinéma ou sur un canapé, le cerveau sait qu'il n'y a aucun danger réel. Résultat : la peur devient une expérience contrôlée, une montée d'adrénaline sans risque, un peu comme les montagnes russes.Chez les amateurs de films d'horreur, cette activation de l'amygdale s'accompagne souvent d'une libération de dopamine, le neurotransmetteur du plaisir et de la récompense. Ils ressentent donc un mélange paradoxal de peur et d'excitation. C'est cette combinaison – la montée du stress suivie du soulagement – qui crée le frisson agréable. Des chercheurs de l'Université de Copenhague ont montré en 2020 que le cerveau des amateurs de films d'horreur alterne très vite entre état d'alerte et retour à la sécurité, un peu comme un entraînement émotionnel : ils apprennent à “jouer” avec leur peur.À l'inverse, certaines personnes ont une hyperactivité de l'amygdale ou une moindre régulation de cette zone par le cortex préfrontal, la région du raisonnement. Leur cerveau a plus de mal à distinguer la fiction du réel. Pour elles, les images d'horreur déclenchent un véritable état de stress, avec libération excessive de cortisol (l'hormone du stress), sueurs et anxiété prolongée. D'où le rejet total du genre.Enfin, le goût de la peur dépend aussi de la personnalité et du câblage neuronal. Les personnes curieuses, en quête de sensations fortes, ou dotées d'un système dopaminergique plus sensible (comme les amateurs de sports extrêmes) trouvent dans l'horreur une stimulation gratifiante. D'autres, plus anxieuses ou empathiques, activent plus intensément les circuits de la douleur et du dégoût.En résumé, aimer les films d'horreur, c'est une question de chimie cérébrale : pour certains cerveaux, la peur est un jeu excitant ; pour d'autres, c'est une alarme qu'il vaut mieux ne jamais déclencher. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au printemps 1991, un vent de panique souffle sur Vienne, en proie aux pulsions d'un tueur en série. Son mode opératoire se précise semaine après semaine, immuable, impitoyable. Il vise les jeunes femmes du quartier rouge, des travailleuses du sexe, embarquées en voiture au beau milieu de la nuit. Leur soi-disant client les emmène à l'abri des regards, en bordure de la capitale autrichienne... On l'appelle « l'étrangleur de Vienne », ou « Jack l'étrangleur », un clin d'oeil morbide à l'éventreur de Londres, du siècle dernier. Il rôde comme une ombre, un fantôme caché au sein même de la société, qui se prend pour Dieu, et s'octroie un droit de vie ou de mort sur ses semblables. Son nom est Jack Unterweger, il est écrivain... Et il a déjà tué.Encouragé par ses encadrants et ses codétenus, Jack Unterweger se lance dans l'écriture d'un premier roman, intitulé « Le purgatoire ». Séduit, un éditeur le publie en 1982 et le vend comme un récit autobiographique, dans lequel l'auteur raconte son quotidien carcéral.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
À Jérusalem, ce jeudi 13 novembre 2025, à la sortie de la ville, après la colonie de Ramot, nous vous proposons une illustration de la colonisation rampante. Trois villages palestiniens vivent isolés du reste des territoires palestiniens et ils ont appris qu'ils étaient désormais situés sur « une zone de jonction », qui change leur statut et leurs papiers de résidence. De notre correspondante à Jérusalem, La petite école de Nabi Samuel est en préfabriqué, Nawal Barakat y enseigne les mathématiques. Elle a appris en septembre dernier que son village de 300 habitants avait changé de statut. L'organisme israélien chargé d'administrer les territoires palestiniens occupés, le Cogat lui a délivré un nouveau permis pour qu'elle puisse vivre chez elle. « Nous sommes allés chercher ces nouveaux permis, ce sont des cartes à puces magnétiques de couleur orange. Ce permis, c'est juste pour entrer et sortir du village. Ça nous inquiète beaucoup. Nous ne savons pas ce que signifie "Nouveau résident" inscrit sur la carte, s'inquiète Nawal. Je suis ici chez moi, et les habitants du village aussi, nous sommes nés là. Pourquoi me dit-on "nouveau résident" ? Cette phrase est ambiguë. On ne sait pas vraiment ce qui se passe. » Une carte magnétique qui fait office de permis de résidence Nabi Samuel n'est pas le seul village concerné par les nouvelles règles. Beit Iksa se trouve six kilomètres à vol d'oiseau. En voiture, c'est plus compliqué. Le jour de notre reportage, impossible de passer, les militaires israéliens interdisent l'accès aux étrangers. Nous avons rendez-vous avec un conseiller municipal, Imad Zayed qui nous rejoint donc de l'autre côté du check point, au bord de la route. Imad Zayed explique qu'il sort toujours de chez lui avec une série de cartes dans son portefeuille : « Chaque personne a besoin de trois choses : une carte d'identité, la nouvelle carte magnétique qui est un permis de résidence et l'enregistrement sur l'application appelée le coordinateur al Monasseq. C'est sur le téléphone. L'autorisation est valable pendant un an. Cette carte orange, sans l'autorisation sur l'application, ne vaut rien. Mais sans cette carte, je ne peux pas entrer non plus. » Une « annexion administrative » Ces Palestiniens coincés entre la ligne verte de 1967, le mur de séparation et les colonies, étaient habitués aux restrictions de déplacement, mais les nouvelles mesures les isolent davantage et rendent leur quotidien encore plus compliqué pour se déplacer ou faire entrer des marchandises dans le village. De facto, Israël a récupéré 20 km² de territoire. Pour Salah Al Khawaja, activiste contre la colonisation à Ramallah, toute cette bureaucratie a un objectif très clair : « Aujourd'hui, avec la politique de Ben-Gvir, Smotrich et Netanyahu, les trois villages sont traités différemment du reste des territoires palestiniens. Il y a une annexion administrative. Une annexion administrative, cela signifie que les règles changent comme ce nouveau statut de résident, même pour ceux qui sont nés dans le village Nabi Samuel. » Salah estime que c'est une façon de briser le rêve d'un État palestinien.
Dans cette interview, animée par Raphäelle de Barmon, Louis Maingault et Brieuc présentent leur marque de vêtements chrétiens, Fidem. Leur devise ? "La foi nous élève, nous l'élevons en la portant.” Site: https://fidem-paris.com/ Compte Instagram et Tik Tok : fidem.paris
Jeudi 13 novembre, François Sorel a reçu Anthony Morel, journaliste BFM Business, Amélie Charnay, journaliste à La Tribune, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur ElevenLabs et le lancement de Meta Vibes en Europe dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
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Aujourd'hui, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Cette réalité surprend aujourd'hui, car on imagine le médecin comme une figure respectée, savante, au service du bien commun. Mais à Rome, la médecine n'avait pas ce prestige. C'était un métier utile, certes, mais considéré comme manuel, presque servile. Les citoyens romains libres, surtout les plus aisés, voyaient mal l'idée d'un homme libre penché sur un malade ou manipulant le corps d'autrui. Ce rôle était donc souvent confié à des esclaves instruits, souvent d'origine grecque.Les Grecs étaient alors réputés pour leurs connaissances dans les sciences et la philosophie, et beaucoup avaient été réduits en esclavage après les conquêtes romaines. Parmi eux, certains maîtrisaient les textes d'Hippocrate, de Galien ou d'Aristote. Rome, pragmatique, récupéra ce savoir à sa manière. Un riche patricien pouvait ainsi posséder un esclave formé à la médecine, chargé de soigner la maisonnée, les enfants, les domestiques et parfois même les voisins. Cet esclave, s'il s'avérait compétent, gagnait en considération et pouvait être affranchi, devenant un « médecin affranchi ». Mais son origine servile restait souvent un stigmate social.Dans les grandes familles, on formait même des esclaves spécialement pour ce rôle. On les instruisait dans des écoles de médecine grecques, ou on les plaçait en apprentissage auprès d'un médecin expérimenté. Ces hommes (et parfois ces femmes) devenaient les « medici » du domaine, au même titre qu'un cuisinier ou qu'un scribe. Ils soignaient les blessures, préparaient des onguents, réalisaient des saignées et suivaient les accouchements. Leur valeur économique était telle qu'un médecin esclave pouvait coûter très cher sur le marché.Il faut aussi se rappeler que la médecine romaine était très pragmatique : plus proche de la pratique que de la théorie. Le prestige allait plutôt aux philosophes, aux juristes, aux orateurs. Le médecin, lui, touchait les corps — et cela le plaçait dans une catégorie inférieure. Il n'exerçait son art que par tolérance sociale, pas par reconnaissance.Pourtant, certains d'entre eux réussirent à s'élever. Le plus célèbre, Galien, né libre mais influencé par cette tradition gréco-romaine, fit carrière auprès des empereurs. D'autres, affranchis ou anciens esclaves, devinrent riches et respectés, preuve que la compétence pouvait parfois transcender le statut.Ainsi, dans la Rome antique, le savoir médical circulait grâce à des esclaves savants. Ce paradoxe dit beaucoup de cette société : c'est au cœur même de la servitude que Rome a puisé une partie de son savoir scientifique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invités : - Sophie est condamnée pour des faits qu'elle n'a pas commis - Isolé et malade, Pierre arrive pourtant à se rebooster pour garder le moral. - L'enquête de Zoé sur le décès de sa fille Cassandra, policière, morte dans des circonstances floues avance. - La mise en EHPAD de leur mère déchire Philippe et son frère - Mélusine revient d'un voyage en Grèce pas cher et donne ses tuyaux éco ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous vous emmenons dans le nord-est du Brésil sur la caravane fluviale scientifique Iaraçu qui remonte le fleuve Amazone de Manaus à Belém avec une vingtaine de scientifiques à bord. Au rythme des escales, des hydrologues, des géologues, des archéologues… échangent avec les populations amazoniennes sur le changement climatique, les pollutions ou la préservation des forêts. L'objectif est de renforcer les liens entre la science et la société pour alimenter les discussions à la COP30. Une vingtaine de scientifiques a embarqué à bord d'une caravane pas comme les autres : la caravane fluviale Iaraçu. Ils sont Brésiliens, Français, Congolais et Gabonais. Leur mission ? Remonter le fleuve de Manaus à Belém, à la rencontre des communautés locales, les Ribeirinhos, pour les écouter, partager leurs savoirs, et surtout porter leurs voix jusqu'à la COP 30. Ils travaillent avec et pour les populations locales. C'est une aventure humaine et scientifique hors du commun organisée par l'IRD, l'Ambassade de France au Brésil et le Centre franco-brésilien de la biodiversité en Amazonie. Nous avons eu la chance de monter à bord ! → Retrouvez Le journal de bord Iaraçu ici. Avec : - Valérie Verdier, présidente directrice générale de l'IRD - Marie-Paule Bonnet, hydrologue, directrice de recherche à l'IRD - Loïc Martin, géochimiste, post doctorant au Luxembourg Institute of Science of Technology - Helena Lima, archéologue, chercheuse au Musée Goeldi à Belém - Jérôme Murienne, chargé de recherche au CNRS sur l'ADN environnementale - Yago Ferreira, éducateur environnemental - Helen Gurgel, géographe de la santé et professeure à l'université de Brasilia - Pedro, habitant de Gurupa. Musiques diffusées pendant l'émission - Ellielthon Douglas - Rap do Meio Ambiente - Jair Rodriguez - O Garimpeiro - Grupo Kuatá de Carimbó - Que Peixe Que É - Conjunto Tapayoara - Carimbó.
durée : 00:02:48 - 100% Sainté, la chronique - Ce samedi 15 novembre (20h30), l'ASSE entre en lice en Coupe de France. Leur premier adversaire est l'AS Quétigny, club de l'agglomération dijonnaise. Focus sur ce club qui évolue en Régionale 2. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au printemps 1991, un vent de panique souffle sur Vienne, en proie aux pulsions d'un tueur en série. Son mode opératoire se précise semaine après semaine, immuable, impitoyable. Il vise les jeunes femmes du quartier rouge, des travailleuses du sexe, embarquées en voiture au beau milieu de la nuit. Leur soi-disant client les emmène à l'abri des regards, en bordure de la capitale autrichienne... On l'appelle « l'étrangleur de Vienne », ou « Jack l'étrangleur », un clin d'oeil morbide à l'éventreur de Londres, du siècle dernier. Il rôde comme une ombre, un fantôme caché au sein même de la société, qui se prend pour Dieu, et s'octroie un droit de vie ou de mort sur ses semblables. Son nom est Jack Unterweger, il est écrivain... Et il a déjà tué.Au matin du lundi 20 mai 1991, une éclaircie met fin à des jours de déluge, et pousse un retraité à sortir se balader dans les bois viennois. Durant sa promenade, perturbée par une odeur épouvantable, il s'écarte du sentier et distingue, sous les feuilles mortes et les branches sèches, le corps d'une femme. Elle gît face contre terre, rongée par la putréfaction et les charognards, les jambes écartées, seulement vêtue d'un haut relevé au niveau des épaules. Le reste de ses effets personnels a été disposé en cercle concentrique, à l'exception de ses collants, fermement noués autour de son cou.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
Christelle est harcelée par son ex-partenaire qui refuse de couper les liens après leur séparation, allant jusqu'à faire du tapage devant chez elle. Elle est contrainte de mentir sur sa localisation pour éviter ses visites imprévues et subit une pression psychologique constante. Elle est encouragée à déposer une main courante pour se protéger. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mes chers camarades, bien le bonjour !Imaginez : vous êtes au large des côtes nordiques à bord de votre navire viking, aux côtés de vos camarades. La mer s'étend à perte de vue, sa surface bleue profonde vous appelle à avancer. Et pourtant, aucun compas, aucune carte moderne pour vous guider. Seulement la mémoire des marins et la lecture des courants, du soleil, des étoiles, le bruit des oiseaux. Comment les vikings naviguaient-ils réellement à cette époque sans instrument moderne ? Les sagas nordiques et chroniques anciennes regorgent de descriptions fascinantes et les découvertes archéologiques complètent ces récits. Mais seulement en partie. En mai 2025, une étude publiée dans “Journal of Archaeological Method and Theory” propose de combiner archéologie expérimentale et modélisations numériques pour compléter les sources écrites et archéologiques. Après tout, c'est en forgeant qu'on devient forgeron. Alors peut-être que c'est en naviguant qu'on devient navigateur ?Bonne écoute !➤ Un grand merci à Lucie Malbos pour avoir répondu à mes questions ! Découvrez ses différents livres sur les peuples du Nord : https://fr.wikipedia.org/wiki/Lucie_Malbos#Ouvrages
La Chambre des représentants américaine doit se prononcer ce mercredi sur un texte de financement qui pourrait mettre fin au plus long « shutdown » de l'histoire du pays. Si le déblocage politique semble à portée de main, l'impact économique, lui, est déjà lourd avec plus de 10 milliards de dollars de pertes de production, une croissance ralentie et une confiance mise à rude épreuve. Depuis plus de six semaines, l'État fédéral américain fonctionne au ralenti. Faute d'accord entre la Maison Blanche et le Congrès sur le budget 2026, une grande partie des administrations, agences et programmes publics sont à l'arrêt. Le Congressional Budget Office (CBO), organe indépendant du Congrès, a livré une première estimation : l'économie américaine pourrait perdre entre 7 et 14 milliards de dollars de production, soit un peu plus de 10 milliards selon les projections médianes. Sur le trimestre d'automne – octobre, novembre, décembre –, le cabinet EY-Parthenon évalue déjà la perte de croissance à 0,8 point de pourcentage ; un chiffre qui peut sembler faible, mais qui représente des dizaines de milliards de dollars d'activité économique en moins. Ce shutdown est désormais le plus long de l'histoire américaine, dépassant celui de 2019 sous Donald Trump. Et contrairement aux précédentes fermetures temporaires, celui-ci intervient dans un contexte économique déjà tendu : croissance molle, inflation persistante et confiance des consommateurs affaiblie. Fonctionnaires, entreprises, ménages : une économie au ralenti Derrière ces chiffres se cachent des réalités très concrètes. Plus de 750 000 fonctionnaires fédéraux ont été placés en congé forcé ou continuent de travailler sans rémunération. Leur pouvoir d'achat s'effondre avec des conséquences directes sur la consommation locale. Dans les zones dans lesquelles les emplois publics sont nombreux — Washington, Virginie, Maryland — les commerces, restaurants et services de proximité voient leur chiffre d'affaires chuter. Les contrats publics sont, eux aussi, suspendus, touchant des milliers d'entreprises privées qui dépendent des commandes de l'État. Pour certaines petites sociétés sous-traitantes, la trésorerie est déjà exsangue : les paiements gelés mettent en péril des emplois et freinent la reprise de l'investissement. Les programmes sociaux sont également frappés de plein fouet. Les retards de versement d'allocations, notamment du programme d'aide alimentaire SNAP, pénalisent les ménages les plus modestes. Pour des millions d'Américains, cela signifie moins de dépenses dans les supermarchés, donc une baisse de la demande. Le programme Head Start, qui soutient la scolarisation des jeunes enfants, a dû fermer plusieurs centres, empêchant certains parents de travailler. Enfin, la publication de nombreux indicateurs économiques a été suspendue pendant la fermeture, faute de personnel. Or ces statistiques – emploi, inflation, production industrielle – servent de boussole aux entreprises, aux marchés financiers et à la Réserve fédérale. Sans ces données, les investisseurs naviguent à vue. Résultat : un climat d'incertitude budgétaire et institutionnelle qui pèse sur la confiance et complique les décisions économiques. Des pertes en partie irrattrapables, malgré une reprise attendue Si le vote de ce mercredi met effectivement fin au blocage, la reprise de l'activité devrait être rapide dans la plupart des agences fédérales. Les fonctionnaires seront payés rétroactivement, les contrats réactivés et les programmes sociaux relancés. Mais, préviennent les économistes, toutes les pertes ne seront pas compensées. Le CBO estime qu'une partie de la production disparue — entre 7 et 14 milliards de dollars — ne sera jamais récupérée, notamment à cause de la baisse de productivité, de la perte de confiance et des retards administratifs qui freinent durablement les investissements. Chaque jour supplémentaire de fermeture creuse davantage le manque à gagner. Au-delà de 40 jours, le blocage pourrait amputer la croissance annuelle américaine de près de 2 points sur le trimestre, selon plusieurs instituts. « Même si l'administration rouvre demain, le mal est fait », résume un économiste d'EY. Une économie fragilisée sur fond de tensions politiques Ce shutdown intervient à un moment délicat pour les États-Unis. L'économie reste solide en apparence, mais les fondamentaux se dégradent : croissance molle, taux d'épargne en baisse, inflation qui résiste autour de 3 %. Pour de nombreux Américains, cette paralysie est un révélateur des fragilités structurelles du pays : une dépendance croissante aux dépenses fédérales, une instabilité politique chronique et un fossé entre les élus de Washington et le quotidien des ménages. Même si les aéroports rouvrent, les salaires sont versés et les aides sociales reprennent, les séquelles économiques et sociales resteront visibles plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Les retards de paiement s'accumulent, les entreprises devront reconstituer leurs stocks, et les ménages endettés peineront à retrouver un équilibre. Le vote attendu ce mercredi pourrait donc ramener le fonctionnement de l'État à la normale, mais il ne suffira pas à effacer les dégâts. Ce shutdown historique restera comme un signal d'alarme : celui d'une économie américaine capable de s'affaiblir de l'intérieur, non pas à cause d'un choc extérieur, mais à force de blocages politiques répétés. À lire aussi«Shutdown» aux États-Unis: quelles conséquences économiques pour les Américains et les marchés?
durée : 00:05:33 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Les recherches reprennent en Malaisie pour retrouver des survivants d'un naufrage : ils étaient au moins 300 à avoir quitté la Birmanie à bord de plusieurs bateaux, en grande majorité des Rohingyas, minorité musulmane persécutée. Leur quotidien empire avec la guerre civile en Birmanie.
C'est une histoire fascinante, presque incroyable : le design de nos fusées modernes, celles qui partent aujourd'hui vers la Lune ou Mars, doit en partie… aux chars romains. Ce n'est pas une légende urbaine : c'est une chaîne d'héritages techniques et de contraintes normalisées qui remonte à plus de deux mille ans.Tout commence avec les chars de guerre romains. Leur écartement entre les deux roues — environ 1,435 mètre — n'avait rien d'arbitraire. Cette largeur correspondait à la taille moyenne de deux chevaux attelés côte à côte, plus l'espace nécessaire à leurs sabots et aux roues du char. Ce standard s'impose dans tout l'Empire romain, car les routes pavées étaient creusées de sillons adaptés à cet écartement. Tout véhicule devait donc respecter cette dimension pour ne pas se briser les essieux.Des siècles plus tard, ce même écartement se retrouve dans les charrettes médiévales puis dans les wagons de mine britanniques. Quand les premiers ingénieurs du XIXᵉ siècle conçoivent les locomotives, ils reprennent naturellement les rails existants, eux-mêmes adaptés à la largeur des anciennes charrettes. C'est ainsi que l'écartement standard des chemins de fer modernes — 1,435 mètre, soit exactement celui des chars romains — est né et s'est imposé sur la quasi-totalité du globe.Et voici où cela devient étonnant : lorsque la NASA et les ingénieurs américains développent les premières fusées et les propulseurs des navettes spatiales, ils doivent fabriquer et transporter ces éléments gigantesques depuis leurs usines jusqu'au site de lancement, en l'occurrence le Kennedy Space Center. Or les segments des boosters à poudre de la navette américaine étaient produits dans l'Utah, puis acheminés… par chemin de fer. Les tunnels et wagons utilisés pour ce transport étaient calibrés sur la largeur standard des rails — 1,435 mètre — donc sur la taille des chars romains.Résultat : la taille maximale des propulseurs latéraux (Solid Rocket Boosters) a été partiellement contrainte par cette norme vieille de deux millénaires. Impossible de les élargir sans changer toute la logistique ferroviaire.Autrement dit, une partie du design de nos fusées modernes découle d'un choix pratique fait par des ingénieurs… de l'Antiquité. Ce n'est pas que les Romains ont inventé les fusées, mais que leurs chars ont fixé une mesure devenue universelle. Un simple écartement de roues, dicté par la largeur de deux chevaux, a fini par influencer la conquête spatiale.En somme, nos fusées ne portent pas seulement l'héritage de la science moderne — elles roulent encore, symboliquement, dans les traces des chars de Rome. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis, les milliers de combattants étrangers partis rejoindre l'organisation État Islamique sont toujours présents sur le territoire syrien. La plupart sont retenus dans les camps et prisons du nord-est du pays. Leur sort est une question épineuse pour le gouvernement de transition, qui doit aussi composer avec la présence de cellules dormantes de l'organisation à travers le pays. Notre correspondante à Damas a parcouru la Syrie à la rencontre de ces jihadistes étrangers et des nostalgiques de l'organisation pour essayer de comprendre ce qui demeure du califat. « En Syrie, sur les traces de l'État islamique », un Grand reportage de Manon Chapelain.
Le 27 octobre 2025, une étude publiée dans la revue Nature Communications a remis en question l'utilité réelle des télévisions ultra haute définition. Des chercheurs de l'Université de Cambridge et du laboratoire Meta Reality Labs ont voulu répondre à une question simple : notre œil humain perçoit-il vraiment la différence entre une image en 4K, 8K ou une résolution plus basse ? Leur conclusion est sans appel : au-delà d'un certain point, notre vision ne peut tout simplement plus distinguer les détails supplémentaires.Les écrans ultra HD se vantent d'afficher des millions de pixels supplémentaires – 8 millions pour la 4K, plus de 33 millions pour la 8K. En théorie, plus il y a de pixels, plus l'image semble nette. Mais en pratique, notre œil a une limite de résolution, mesurée en « pixels par degré de vision » (PPD). Cela représente combien de détails l'œil peut discerner dans un angle d'un degré. Dans leurs expériences, les chercheurs ont exposé des volontaires à des images aux contrastes et couleurs variables, et ont mesuré le point où la netteté cessait d'être perçue comme améliorée. Résultat : le seuil moyen était d'environ 90 PPD. Au-delà, les différences deviennent imperceptibles, même si l'écran affiche beaucoup plus d'informations.Prenons un exemple concret. Dans un salon typique, si vous êtes assis à 2,5 mètres d'un téléviseur de 110 centimètres de diagonale (environ 44 pouces), vous ne ferez pas la différence entre une image en 4K et en 8K. L'œil humain ne peut pas discerner autant de détails à cette distance. Pour vraiment profiter de la 8K, il faudrait soit un écran gigantesque, soit s'asseoir à moins d'un mètre – ce qui est peu réaliste pour regarder un film confortablement.Ces résultats soulignent une réalité simple : les gains de résolution vendus par les fabricants dépassent désormais les capacités biologiques de notre vision. Autrement dit, nous avons atteint un plafond perceptif. Acheter une TV 8K pour remplacer une 4K revient un peu à utiliser une loupe pour lire un panneau routier à un mètre de distance : la différence existe techniquement, mais votre œil ne la voit pas.Les chercheurs estiment qu'il serait plus utile d'améliorer d'autres aspects de l'image, comme la luminosité, le contraste, la fidélité des couleurs ou la fluidité des mouvements. Ces paramètres influencent beaucoup plus notre perception de la qualité qu'une hausse du nombre de pixels. En clair, la course à la résolution touche à sa fin : la vraie révolution de l'image ne viendra plus du nombre de points, mais de la manière dont ils sont rendus. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que la COP30 a démarré lundi 10 novembre, cap sur le sud-ouest de la République centrafricaine. Niché dans l'immense bassin du Congo, le parc de Dzanga-Sangha incarne l'espoir et la réussite d'une conservation harmonieuse entre la nature et l'humanité. Véritable sanctuaire de biodiversité, cette réserve abrite des espèces emblématiques et menacées : éléphants de forêt, gorilles, léopards, girafes, lions et beaucoup d'autres. Grâce à un modèle de gestion partagée entre le gouvernement centrafricain, l'ONG WWF et les populations locales, le parc prouve qu'il est possible d'allier conservation, développement durable et valorisation des savoirs autochtones. Une vingtaine d'éléphants de forêt s'avancent lentement vers la saline de Zangaba, vaste espace dégagé où la terre, gorgée de minéraux, attire chaque jour des centaines d'animaux. À quelques mètres, un jeune mâle joue avec sa trompe dans l'eau. Puis, les femelles forment un cercle protecteur autour des éléphanteaux, tout en arrachant de longues herbes humides qu'elles mâchent lentement. Yoann Galleran, le directeur de l'aire protégée de Dzanga Sangha, nous sert de guide. « Tous les jours, une centaine d'éléphants se rassemblent régulièrement dans cette saline. Les éléphants de forêt, le pangolin et les gorilles sont les espèces emblématiques de notre parc. Le bassin du Congo regorge d'espèces de poissons, d'insectes, de champignons, de végétaux, de produits forestiers non ligneux. La gestion de ces ressources est très importante et elle doit être directement opérée par les communautés locales elles-mêmes. La gestion de la chasse durable, de la cueillette durable sont des questions clés pour le futur des aires protégées de Dzanga Sangha », nous apprend Yoann Galleran. Le parc de Dzanga-Sangha, en Centrafrique, n'est pas seulement un refuge pour les animaux. C'est aussi le berceau d'un peuple autochtone : les Ba'Aka, gardiens de la forêt. Leur connaissance intime des plantes et des pistes invisibles fait d'eux les véritables maîtres des lieux. Firmin est l'un d'eux. « Depuis toujours, nous vivons en lien étroit avec la terre, l'eau et les forêts. Pour nous, la nature n'est pas une ressource à exploiter, mais une partie de notre famille. Quand la Terre souffre, nous souffrons aussi. Les anciens nous enseignent que chaque décision doit être prise en pensant aux sept prochaines générations », explique-t-il. Grâce à son modèle de conservation participative, où la protection de la faune et la flore rime avec le développement des communautés locales, Dzanga Sangha est en phase d'atteindre tous ses objectifs, selon Firmin : « La gestion se déroule de façon participative, avec une implication totale de notre part en tant qu'autochtones. Il existe une véritable prise de conscience collective quant aux méthodes de gestion durable des ressources naturelles. Des formations régulières nous sont dispensées sur l'importance de la préservation des ressources. Nous avons mis en place une zone de chasse communautaire que nous respectons scrupuleusement. » Plusieurs projets sont également conçus pour garantir une conservation durable, selon Yoann Galleran : « L'important, c'est de continuer à faire de Dzanga Sangha une destination d'écotourisme qui va bénéficier aux communautés locales. C'est également de promouvoir les nouvelles techniques d'agriculture responsable. C'est de maintenir un équilibre entre conservation et développement sans que l'un prenne le dessus sur l'autre, tout en s'assurant que les communautés locales puissent continuer de bénéficier d'opportunités économiques qui sont liées directement à la préservation de l'environnement. » Cependant, les responsables du parc ont identifié plusieurs menaces potentielles pour la faune et la flore, telles que l'exploitation illégale des ressources forestières, le trafic d'armes et surtout le braconnage visant les éléphants, les gorilles et les pangolins. Ces risques doivent être pris au sérieux, disent-ils, pour assurer la protection du bassin du Congo. À lire aussiCentrafrique: comment les pygmées Ba'Akas préservent et valorisent leur mode de vie traditionnel
Bienvenue sur Happy Work Express, le podcast quotidien qui vous livre des chiffres étonnants et des anecdotes sur le monde du travail en quelques minutes. Happy Work Express est une version quotidienne et plus courte de Happy Work, le podcast francophone audio le plus écouté sur le bien-être au travail et le management bienveillant.Que vous soyez salarié, manager ou à la tête d'une entreprise, Happy Work Express vous apporte chaque jour des informations pertinentes et surprenantes pour éclairer votre journée de travail.Chaque épisode vous offre un regard neuf sur des statistiques clés, des tendances actuelles et des faits insolites qui façonnent le monde professionnel. Être manager ou managé, ce n'est pas toujours simple... mais ces chiffres vous montreront que vous n'êtes pas seul.e.s.devenir un meilleur manager ou un meilleur managé... c'est parfois simple comme un chiffre ;-)Abonnez-vous dès maintenant et enrichissez votre quotidien avec Happy Work Express !DÉCOUVREZ MON NOUVEAU PODCAST, HAPPY MOI LE PODCAST QUI TE PARLE DE TOI : lnk.to/sT70cYSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au Ve siècle avant notre ère, la Grèce antique n'était pas un pays unifié, mais une mosaïque de cités-États — les polis — jalouses de leur indépendance. Parmi elles, deux dominaient par leur puissance et leur prestige : Athènes, cité maritime et démocratique, et Sparte, cité militaire et oligarchique. Leur affrontement, connu sous le nom de guerre du Péloponnèse, allait bouleverser le monde grec.Après les guerres médiques contre les Perses (490–479 av. J.-C.), Athènes émergea comme la grande puissance navale du monde grec. Elle mit sur pied la Ligue de Délos, une alliance censée protéger les cités grecques contre un retour des Perses. En réalité, Athènes transforma peu à peu cette ligue en empire maritime, imposant son autorité, exigeant des tributs et plaçant des garnisons dans les cités alliées. Cette expansion, vécue comme une domination, inquiéta profondément Sparte et ses alliés du Péloponnèse.Sparte, société austère et militarisée, dirigeait de son côté la Ligue du Péloponnèse, une coalition de cités conservatrices. Là où Athènes incarnait le mouvement, la culture, la démocratie et la mer, Sparte représentait la stabilité, la discipline, la tradition et la terre. Deux visions du monde s'opposaient : celle d'une cité commerçante ouverte sur l'extérieur, et celle d'un État guerrier refermé sur lui-même. La tension idéologique devint politique, puis militaire.Les premières frictions éclatèrent dès le milieu du Ve siècle. Des incidents en Béotie, en Mégaride et à Corinthe mirent le feu aux poudres. En 431 av. J.-C., la guerre fut officiellement déclarée : Sparte contre Athènes, dans un conflit total qui allait durer près de trente ans. Les Spartiates dominaient sur terre, les Athéniens régnaient sur mer. Mais la guerre ne se joua pas seulement sur le champ de bataille : Athènes fut frappée par une terrible peste qui décima sa population, dont son stratège Périclès.En 404 av. J.-C., affaiblie par la guerre, la famine et les divisions internes, Athènes capitula. Sparte imposa un régime oligarchique, mettant fin à la démocratie athénienne pendant un temps.Mais cette victoire fut illusoire : la Grèce sortit épuisée, divisée, incapable de résister à la montée en puissance d'un nouvel acteur — la Macédoine. Ainsi, l'affrontement entre Athènes et Sparte ne fut pas seulement une guerre entre deux cités, mais le début du déclin du monde grec classique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bloquer, détourner et parfois détruire les camions de carburants qui approvisionnent le Mali par la route : « c'est un blocus d'une redoutable efficacité qu'impose, depuis deux mois, le JNIM, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, constate Jeune Afrique. Les axes majeurs reliant Bamako au reste du pays sont désormais très largement paralysés. Et la situation ne cesse de se dégrader, tant la stratégie amorcée par le groupe jihadiste depuis début septembre frappe, par un effet domino imparable, la quasi-totalité des secteurs. Si le transport et la logistique sont évidemment les premiers touchés, les conséquences se font désormais sentir sur l'énergie, l'agriculture, les mines et même l'éducation. "S'il n'y a pas de carburant, au Mali, cela signifie que tout s'arrête, puisqu'il n'y a pas d'alternative au transport routier", résume un responsable d'une société de logistique interrogé par le site panafricain. "Le vivrier, les personnes, les biens, le gaz… Absolument tout est transporté par voie routière. Donc à partir du moment où vous n'avez plus ni voie sécurisée, ni carburant, l'économie est à l'arrêt" ». Bamako pas sur le point de tomber… C'est dans ce contexte que la France, après les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Italie, a conseillé vendredi à ses ressortissants présents au Mali de quitter le pays. Pour autant, relève Afrik.com, « les jihadistes du JNIM ne semblent pas préparer une attaque militaire directe contre Bamako. Leur stratégie consisterait plutôt à asphyxier lentement la capitale par des blocus successifs. Les rançons versées en échange de la libération d'otages, entre 50 et 70 millions d'euros récemment, selon plusieurs sources, renforcent considérablement les moyens du groupe jihadiste. Cet afflux d'argent liquide permettrait au JNIM d'acquérir des armes lourdes, des véhicules, du carburant et des drones, mais aussi de financer sa propagande et de recruter plus efficacement ». En effet, renchérit le chercheur Boubacar Haidara sur le site The Conversation : « à ce stade, les jihadistes sont loin d'avoir les moyens de prendre la capitale. (…) On pourrait même penser que le JNIM lui-même a été surpris par l'ampleur inattendue des conséquences de ses actions autour de Bamako, lesquelles, en réalité, ne requièrent pas de moyens militaires particulièrement importants. (…) L'annonce alarmiste d'une éventuelle prise de contrôle du Mali par ce groupe, dans la perspective de gouverner le pays, estime encore Boubacar Haidara, revient à accorder une importance excessive aux conséquences, certes spectaculaires, d'une crise ponctuelle, plutôt qu'à une évaluation globale des actions du JNIM, et des capacités réelles que révèle sa force militaire observable ». Vers une extension de la crise ? En tout cas, attention, toute « l'Afrique de l'Ouest risque la paralysie économique », prévient un observateur cité par Le Point Afrique : « les pays voisins ne s'impliquent pas suffisamment, notamment pour sécuriser les axes routiers stratégiques – Abidjan-Bamako, Conakry-Bamako, Dakar-Bamako ou encore ceux venant de Mauritanie. Il faudrait mobiliser des forces armées pour protéger ces convois, car si rien n'est fait sur le volet purement économique, cette crise deviendra ouest-africaine. À force de laisser pourrir le Mali, prévient-il, c'est tout l'Ouest africain qui pourrait s'enfoncer dans le gouffre ». Résilience… La presse malienne pour sa part fait bloc… Sahel Tribune exalte le courage des chauffeurs routiers dont les représentants ont été récemment reçus par le Premier ministre Abdoulaye Maïga : « face aux défis sécuritaires et logistiques, ils ont exprimé leur détermination à poursuivre leur mission, malgré les risques et ont réaffirmé leur engagement total envers la nation. (…) Les chauffeurs et conducteurs routiers du Mali se dressent comme des acteurs clés de la résilience nationale ». Pour sa part, L'Essor affirme que « la distribution du carburant reprend progressivement dans les stations-service de Bamako. Les files d'attente se raccourcissent et les usagers retrouvent peu à peu leur sérénité ». Enfin, Aujourd'hui-Mali s'en prend aux puissances occidentales qui ont demandé à leurs ressortissants de quitter le pays : « La récente multiplication de ces messages diplomatiques alarmistes ne saurait être interprétée comme un simple geste de précaution humanitaire. Elle s'inscrit plutôt dans une logique de pression indirecte, affirme Aujourd'hui Mali, visant à affaiblir la crédibilité du gouvernement malien en amplifiant artificiellement le sentiment d'insécurité. Les ressortissants étrangers, pour la plupart, sont déjà recensés et informés par des circuits officiels précis ; ces alertes publiques et médiatisées n'ajoutent donc rien à la sécurité réelle, mais contribuent à nourrir une peur collective savamment entretenue ».
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 10 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Didier est accompagné de Marc-André pour discuter de la victoire des Alouettes contre les Tigercats pour accéder à la Coupe Grey. Suivez-vous pour ne rien manquer ! YouTube : https://www.youtube.com/@didier.ormejuste Facebook : https://www.facebook.com/lesacduquart Instagram : https://www.instagram.com/lesacduquart Spotify : https://open.spotify.com/show/0J2iQAMFwXJKwtZkqIzcRF?si=1512c5fbedc84dc0 Apple Podcasts : podcasts.apple.com/ca/podcast/le-sac-du-quart/id1250178466
Auditrice : - En conflit avec sa fille, Brigitte tente de trouver une issue à leur désaccord Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ibrahim Farahajallah, un habitant de la ville de Khan Younès, connaît depuis deux ans la famine et le quotidien sous les bombes israéliennes. Pourtant, avec sa fille, ils tournent des vidéos comiques qui font des millions de vues. En mélangeant poésie et humour, ils dépeignent le quotidien dramatique des Gazaouis. Notre correspondant à Gaza, Rami El Meghari, l'a rencontré. De notre correspondant à Gaza et de notre envoyé spécial à Jérusalem Un sac de farine sur l'épaule, Ibrahim Farahajallah rejoue sur internet une scène qu'il a vécue dans les rues de Gaza. Une vidéo qui a fait 18 millions de vues sur Facebook. « Je rentrais chez moi, je portais mon sac de farine, et quelqu'un m'a demandé si je pouvais le vendre. On était au plus fort de la famine. Alors, je lui ai répondu immédiatement : "Mais si je vends ma farine, je vends ma propre personne, parce que la faim de mes enfants me coupe les veines" », raconte-t-il. Depuis l'horreur qui s'est abattue sur Gaza dans la foulée du massacre du 7 octobre 2023, Ibrahim n'a cessé de créer, dans sa tente de la banlieue de Khan Younès. La boucherie familiale détruite par les bombes, la peur, la vie, les habitants entassés les uns sur les autres... Il raconte le quotidien de l'enclave sur les réseaux sociaux en reprenant notamment des extraits de films cultes, accompagné de sa fille Reem. « Honnêtement, ma vidéo que je préfère, parmi celles qu'on a faites avec ma fille, c'est celle sur le partage de l'aide. Pour nous, l'aide est tellement rare, et à la fin, il ne nous reste presque rien », confie Ibrahim Farahajallah. Inspiré d'une scène d'un film égyptien où les acteurs se partagent un bout de fromage, il a dû adapter la vidéo avec les moyens du bord. « Je suis allé chercher un biscuit, il coûtait 20 shekels. Tu t'imagines ? Ce biscuit coûtait plus de dix dollars ! », s'exclame-t-il. À lire aussiBande de Gaza: l'enfer de 1,1 million d'enfants pris au piège entre guerre et malnutrition À force de diviser le biscuit entre lui et sa fille, Ibrahim se retrouve sans rien. Une métaphore des conditions de vie qu'ils connaissent depuis plus de deux ans. « C'était le moment où on n'avait pas d'aide. La famine s'était intensifiée et il ne nous restait que des miettes. Même si on nous apportait quelque chose, en réalité, il ne nous restait presque rien. C'était insignifiant, inexistant », se désole-t-il. Les millions de vues, ainsi que le soutien apporté par les médias et les internautes du monde entier ont, en partie, adouci ce quotidien marqué par la faim et les bombardements. Mais cela n'a pas atténué l'espoir de construire une vie ailleurs. Notamment pour Reem, âgée de 10 ans. « Mon rêve, c'est de devenir dentiste pour pouvoir soigner les dents de ma mère. Si je vais en Égypte, je ferai aussi des vidéos et prendrai des cours de comédie. Mon rêve, tout de suite, c'est que la guerre s'arrête, qu'on reprenne une vie normale, quand au moins, on avait de la bonne nourriture », confie la fillette. Le niveau d'aide humanitaire qui entre dans l'enclave reste nettement inférieur au niveau prévu par l'accord de cessez-le-feu. À lire aussi«From Ground Zero», 22 courts métrages de Gazaouis
Auditeur : - Sous l'influence de leur mère, les filles de Jérôme le rejettent Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes en octobre 1946, à Moscou, dans les locaux de la revue littéraire « Novy Mir » (Nouveau Monde). Olga Ivinskaïa y travaille comme éditrice et c'est dans ces lieux qu'elle va rencontrer Boris Pasternak, un auteur renommé mais aussi suspecté d'écrits subversifs. Pasternak, âgé de 56 ans, est très impressionné par la jeune femme qui en a 34. Il lui confie voir en elle un "don du ciel". Olga sera sa dernière muse. C'est en effet elle qui inspirera au poète le personnage de Lara dans son roman « Le Docteur Jivago ». Olga devient la "femme de confiance" et participe à la naissance du manuscrit dont la publication à l'étranger, en 1957, déclenche l'"Affaire Jivago", exposant l'inhumanité du régime soviétique. Un an plus tard, Pasternak sera contraint de refuser le prix Nobel qui lui est décerné pour protéger sa famille et ses proches. Olga Ivinskaïa sera dépeinte, par le régime soviétique, comme une "femme fatale" manipulatrice. Après la mort de Pasternak en mai 1960, la répression s'abat : Olga et sa fille Irina sont arrêtées par le KGB. Elles sont condamnées à plusieurs années de camp et sont déportées en Sibérie. Leur histoire, celle de leurs proches, parents, conjoints et enfants, retrace celle d'individus unis par les traumatismes et l'exil face à la répression soviétique. C'est aussi celle d'un amour absolu et d'une confiance inébranlable dans les pouvoirs de la littérature. Revenons sur le parcours d'Olga Ivinskaïa et des siens en compagnie de son petit-fils … Avec nous : Andreï Kozovoï, professeur d'histoire russe et soviétique à l'Université de Lille. « Les exilé – Pasternak et les miens » ; Grasset. Sujets traités : famille, russe, Docteur Jivago, Moscou,Olga Ivinskaïa, Boris Pasternak, Nobel, KGB, Andreï Kozovoï, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine dans tech 45', on parle martech, la tech appliquée au marketing, avec ReelevantCréation : 2018Misson : révolutionner le dernier km du marketing digital. Leur promesse ? De l'hyper-personnalisation en temps réel et à très grande échelle. Un exemple ? tu reçois un mail de ta marque préférée, eux se chargent de rédiger le message en moins de 400 millisecondes, ouf Les clients de Reelevant s'appellent L'Oréal, Carrefour, ou Decathlon.La startup Reelevant est rentable mais a tout de même levé 6 millions d'euros en avril pour accélérer, avec des investisseurs comme Seventure, Go Capital ou celle qui a relancé la Redoute. Son fondateur Vincent - champion d'Hyrox depuis 1 an - est avec nous pour revenir sur son parcours, ses choix, et ses ambitions, en France comme à l'étranger. Je suis Seb COUASNON, on a RDV chaque semaine sur ta plateforme de podcast favorite pour découvrir celles et ceux qui font la French Tech. Mets-moi des étoiles, laisse nous un avis, abonne-toi, merci de ta fidélité.
Malgré des avancées notables, les femmes restent sous-représentées dans les carrières scientifiques et technologiques. Moins d'un tiers des chercheurs scientifiques et à peine un quart des ingénieurs en France sont des femmes selon le rapport du Sénat XX=XY, féminiser les sciences, dynamiser la société du 7 octobre 2025. Ce constat interroge : comment expliquer une telle sous-représentation dans des secteurs clés de l'innovation ? Face à ces inégalités persistantes, des réseaux, associations et projets se mobilisent pour accompagner les parcours, créer des opportunités et renforcer la visibilité des femmes scientifiques. Comment ces initiatives influencent-elles concrètement les trajectoires professionnelles ? Peut-on mesurer leur impact sur le long terme ? Avec : • Fatima Bakhti, présidente de l'association Femmes Ingénieures, ingénieure dans les télécommunications en France • Valérie Brusseau, présidente de l'association Elles Bougent, qui œuvre au renforcement de la mixité dans les secteurs scientifiques, technologiques et industriels, en donnant aux jeunes filles les clés pour s'orienter vers les métiers d'ingénieure et de technicienne • Bernice Bancole, présidente du chapitre béninois de l'Organisation pour les Femmes en Science pour le Monde en Développement (OWSD-Bénin), co-fondatrice de SDAfrique, initiative de formation en science des données pour les femmes africaines, chercheuse en pathologie végétale chez GreenHill Laboratories, GHL, et chercheuse honoraire à l'Université du KwaZulu-Natal (UKZN), Durban, Afrique du Sud. En fin d'émission, la chronique Ecouter le monde, de Monica Fantini. Programmation musicale : ► Gorgeous - Doja Cat ► Melanin Monroe - Meduulla feat. Rozzzqween.