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Dans cet épisode d'Extraterrien, Barthelemy reçoit Mévena et Quentin, champions du monde d'Hyrox en duo mixte ! Plongez dans leur histoire de rencontre, de passion commune pour le sport, de la transition du badminton au monde du fitness et de l'endurance. Ils partagent sans filtre leurs débuts, leurs doutes, leurs séances d'entraînement et la dynamique unique de leur couple, autant sur le run que dans la vie.Découvrez les coulisses de leur préparation, la pression des compètes, la gestion des sponsors et le quotidien derrière les réseaux sociaux. Pourquoi la visualisation mentale a-t-elle autant compté dans leur succès ? Quels sont les petits “hacks” de leur stratégie gagnante ? Vous apprendrez comment ils jonglent entre vie pro, amour et haut niveau, tout en gardant un vrai plaisir dans la compétition.Bonne écoute à tous les Extraterriens !
Recueillis par Libération, ces témoignages de personnes licenciées ne risquent pas d'améliorer la réputation carnassière d'une IA dévoreuse de métiers. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins, à 6h10 et 6h50 sur Chérie FM, Tiffany Bonvoisin nous présente une info qui l''a marquée !
Une découverte majeure publiée dans Nature Communications bouleverse notre manière de raconter l'histoire de l'humanité. Sur le site kényan de Nomorotukunan, les archéologues ont mis au jour un phénomène fascinant — et déroutant. Pendant près de 300 000 ans, des générations d'hominidés y ont façonné exactement les mêmes outils en pierre, sans la moindre innovation. Pas de progrès, pas de variation notable, pas d'amélioration technique. Une immobilité totale dans un monde pourtant en pleine mutation.Cette persistance dans la répétition interroge. On a longtemps imaginé la préhistoire comme une aventure continue d'inventions brillantes menant progressivement à l'Homo sapiens moderne. Mais Nomorotukunan raconte une autre histoire : celle d'une humanité qui, pendant une immense portion de son existence, a fait du conservatisme technologique la norme plutôt que l'exception.Les outils retrouvés ne sont pas n'importe quels objets : ce sont des artefacts appartenant à la tradition Oldowayenne, l'une des plus anciennes technologies humaines, apparue il y a environ 2,6 millions d'années. Ce sont des éclats simples, produits en frappant deux pierres l'une contre l'autre, utilisés pour couper, racler ou broyer. Leur fabrication, quasi immuable, suggère une maîtrise transmise, mais jamais réinventée. Cela implique des pratiques pédagogiques, une culture matérielle stable et, surtout, une absence totale de pression à innover.Comment expliquer cette stagnation ? D'abord, ces outils étaient probablement suffisants pour répondre aux besoins du quotidien. Quand une technologie fonctionne parfaitement pour chasser, découper ou dépecer, pourquoi en changer ? Ensuite, les hominidés de cette époque vivaient dans des environnements où la stabilité culturelle importait davantage que l'expérimentation individuelle. L'innovation, loin d'être une valeur universelle, est un concept moderne.Cette découverte nous oblige aussi à revoir notre définition du « progrès ». Ce que nous percevons aujourd'hui comme une évolution naturelle — l'amélioration continue des technologies — est en réalité une anomalie récente à l'échelle de notre histoire. Pendant des centaines de milliers d'années, le véritable pilier de la survie humaine n'était pas la créativité, mais la continuité.L'immobilité de Nomorotukunan n'est donc pas un signe d'infériorité intellectuelle. Au contraire, elle révèle que ces populations maîtrisaient déjà un savoir-faire optimisé, durable et parfaitement adapté à leur mode de vie. Le progrès n'était pas une priorité : la transmission fidèle d'un geste ancestral était la clé de la survie.En fin de compte, cette découverte bouleverse notre récit : l'humanité n'a pas toujours avancé grâce à l'innovation. Pendant la majorité de son histoire, elle a avancé grâce à la tradition. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:46 - Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Les alternatives se multiplient dans cette région du nord de l'État brésilien du Minas Gérais, en particulier la céramique, qui connaît une belle réussite. L'enjeu pour les habitants, en particulier les femmes, est de réussir à valoriser ce travail financièrement. - réalisation : Annie Brault
Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Ecoutez Ça peut vous arriver avec Julien Courbet du 01 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée : Valérie Mousseeff, directrice du centre pénitentiaire de Baie-Mahault en GuadeloupeChroniqueurs : Gauthier Le Bret, journalisteSabrina Medjebeur, auteureChristophe Bordet, rédacteur-en-chefGérard Carreyrou, journalisteHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:18:54 - Disques de légende du lundi 01 décembre 2025 - Figure majeure de la direction d'orchestre scandinave, Osmo Vänskä s'est imposé comme un des grands mahlériens contemporains grâce son intégrale des Symphonies du compositeur viennois, enregistrée avec le Minnesota Orchestra chez BIS. Leur version de la 4e symphonie constitue le joyau de ce cycle. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invitée : Valérie Mousseeff, directrice du centre pénitentiaire de Baie-Mahault en GuadeloupeChroniqueurs : Gauthier Le Bret, journalisteSabrina Medjebeur, auteureChristophe Bordet, rédacteur-en-chefGérard Carreyrou, journalisteVous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Face à un cours de l'or dépassant les 4 250 dollars l'once, plusieurs pays, et même le FMI, réfléchissent ouvertement à vendre une partie de leurs réserves pour alléger leur dette. Une tentation politiquement explosive et juridiquement très encadrée, qui ressurgit à mesure que le métal jaune atteint des sommets.
Quel est le point commun entre Aznavour, Greco, Barbara et Lama ? Leur talentueux accordéoniste et chef d'orchestre italien : Sergio Tomassi ! Notre invité nous raconte son parcours, ses souvenirs de tournée en compagnie de ces monuments de la chanson française et nous présentera son concert de l'Epiphanie, accompagné du bassiste et chef d'orchestre Leonardo Raponi, le 6 janvier à Ciorlano en Campanie.
Cette semaine pour le premier épisode de la 3e saison de Datestable, on reçoit deux queens d'Occupation Double : Catherine Fidiadis et Marie-May Larochelle. Ensemble, on plonge profondément dans leurs définitions de l'amour, leurs langages amoureux et la façon dont leur passage en téléréalité a transformé leur rapport au dating. On explore la vulnérabilité, la confiance, les red flags et les mécanismes de séduction qui influencent les premières dates. Au programme : - Comment OD a remodelé leur confiance, leurs attentes et leurs réflexes amoureux - Leurs langages de l'amour : ce qu'elles donnent, ce qu'elles reçoivent, ce qu'elles attendent - La vulnérabilité et la difficulté d'être soi-même en amour - Les mécanismes de séduction (regards, mystère, humour, assurance) - La pire date du jour et ce que ça révèle sur l'intimité
REDIFF - Virginie, une coiffeuse ambitieuse, tombe amoureuse de Laurent, un nouveau client. Leur histoire d'amour naissante est marquée par la clandestinité car l'homme est marié et les rendez-vous, volés. Mais voilà que tout bascule lorsque la femme de Laurent est retrouvée assassinée. Les soupçons se tournent vers lui, et Virginie se retrouve malgré elle au cœur de l'enquête. Qui a bien pu tuer l'épouse de Laurent ? Des meurtres qui défient la raison, des enquêtes impossibles, ou encore des assassins imprenables : abonnez-vous pour ne rater aucun nouveau récit passionnant de Pierre Bellemare, pour qui l'art de conter n'avait aucun secret. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:18:54 - Disques de légende du lundi 01 décembre 2025 - Figure majeure de la direction d'orchestre scandinave, Osmo Vänskä s'est imposé comme un des grands mahlériens contemporains grâce son intégrale des Symphonies du compositeur viennois, enregistrée avec le Minnesota Orchestra chez BIS. Leur version de la 4e symphonie constitue le joyau de ce cycle. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Bienvenue dans Les Fabuleux Destins ! Aujourd'hui, nous allons vous parler de l'une des batailles les plus épiques de l'Antiquité grecque. Face à l'invasion perse, une poignée d'hommes a tenu bon pendant trois jours malgré leur infériorité numérique évidente. Leur nom : les 300 Spartiates. De leur stratégie militaire impressionnante au courage, proche de la folie, dont ils ont fait preuve, découvrez leur héroïque destin. En ce matin d'août 480 avant Jésus-Christ, l'armée Spartiate et ses hommes savent qu'ils seront morts avant le coucher du soleil. Car, à quelques centaines de mètres, de l'autre côté du défilé des Thermopyles qui donne sur l'intérieur des terres grecques et qu'ils gardent férocement, une autre armée attend : les gigantesques troupes de l'Empire perse, commandées par le grand roi Xerxès. Plus de 100 000 hommes qui s'apprêtent à déferler sur le rempart humain que forment Léonidas et ses Spartiates pour défendre les portes de la Grèce. Et eux… ne sont que 300... Un podcast Bababam Originals Ecriture : Elie Olivennes Production : Bababam (montage Gilles Bawulak, Antoine Berry Roger) Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Lorsque l'on parle de « brûler » des graisses, l'image qui nous vient souvent en tête est celle d'un glaçon qui fond. En réalité, la biologie raconte une histoire bien plus surprenante : lorsque nous perdons de la graisse après un effort physique, la majorité de cette graisse quitte notre corps… par la respiration.Tout commence dans nos cellules. Lorsqu'elles ont besoin d'énergie — pendant une séance de sport, une marche rapide ou même une simple montée d'escaliers — elles vont puiser dans leurs réserves : les triglycérides. Ces molécules sont stockées dans les adipocytes, nos cellules graisseuses. Leur rôle est d'emmagasiner de l'énergie sous une forme compacte et stable, en attendant un moment de besoin. Quand l'organisme réclame du carburant, ces triglycérides sont démontés en acides gras et en glycérol.C'est dans les mitochondries que la véritable « combustion » a lieu. Grâce à l'oxygène que nous respirons, ces acides gras sont métabolisés. Et c'est là que survient la révélation : la graisse ne disparaît pas, elle se transforme. Son produit final n'est pas de la chaleur ni de la sueur, mais principalement du dioxyde de carbone (CO₂) et de l'eau.Pour donner une idée concrète : si vous perdez 100 g de graisse, environ 84 g seront transformés en CO₂. À un rythme respiratoire normal, cela représente plusieurs dizaines de litres de CO₂ expirés au fil des heures. La dépense énergétique d'une séance de sport d'intensité modérée peut mobiliser 50 à 150 g de graisse, ce qui signifie que l'on expire littéralement des dizaines de grammes de graisse sous forme de CO₂ après un seul entraînement.Les 16 % restants de la masse initiale sont transformés en eau, éliminée par la sueur, l'urine et même la vapeur d'eau expirée. Contrairement aux idées reçues, la transpiration n'est pas la preuve que nous « brûlons » de la graisse : elle sert surtout à refroidir le corps.Cette découverte — popularisée après une étude publiée en 2014 dans BMJ — a renversé nombre d'idées que l'on croyait acquises : maigrir est avant tout un processus respiratoire. Chaque mouvement accélère la transformation des triglycérides en CO₂, et c'est en expirant que nous perdons réellement du poids.En résumé : pour perdre de la graisse, il faut bouger… et respirer. L'oxygène que nous inspirons, et surtout le CO₂ que nous expirons, portent la signature chimique de notre perte de poids. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Shirine, Maxine et Ludovic étudient le cinéma à l'Université de Lausanne et ont été biberonnés aux séries américaines, de "Friends" à "Dallas", en passant par "Twin Peaks". Leur professeur Charles-Antoine Courcoux y voit la capacité unique des États-Unis à produire des contenus de portée universelle. De son côté, l'écrivain et cinéphile Douglas Kennedy s'inquiète pour l'avenir de la production culturelle de son pays. Reportages de Mathieu Truffer Réalisation : Sandro Lisci Production : Raphaële Bouchet
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
La découverte récente de toutes petites galaxies très rouge à faible rayon (appelées des Little Red Dots, LRD) a potentiellement révélé un nouveau type de population galactique dans l'Univers primordial, caractérisée par de petits rayons effectifs (100 à 200 parsecs seulement) mais de grandes masses stellaires (plusieurs dizaines de milliards de masses solaires). Leur source d'énergie demeure incertaine : trous noirs supermassifs en accrétion ou une intense formation d'étoiles. Une équipe d'astrophysiciens à analysé les conséquences dynamiques de ces densités stellaires extrêmes et arrivent à la conclusion que les collisions d'étoiles doivent y être incontrôlées, menant à la naissance de trous noirs massifs en très peu de temps. L'étude est publiée dans The Astrophysical Journal. Source Little Red Dots are Nurseries of Massive Black HolesFabio Pacucci, Lars Hernquist, and Michiko FujiiThe Astrophysical Journal, Volume 994, Number 1 (13 november 2025)https://doi.org/10.3847/1538-4357/ae1619 Illustrations Images de six LRD observées avec le télescope Webb [NASA/ESA/CSA/I. Labbe] Fabio Pacucci
Leur relation fût courte, mais orageuse. Leur passion scandaleuse et dévastatrice. Pour eux, aimer c'est se quereller. En deux ans, leur histoire a bouleversé leurs existences respectives. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Alice Deroide Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Cette semaine dans La Vie d'avant, partez à la foire de Paris à la rencontre de Jean-Pierre Cinéma, camelot. On est en 1991, Jean-Pierre est une star dans sa catégorie, avec d'autres têtes d'affiches comme Dominique le Martiniquais, Le Père La souris ou Jeannot la pince à carrelage. Leur talent : manier les gadgets ménagers qu'ils vendent sur les marchés avec autant de dextérité et de célérité que leur bagout. C'est tout un art qui doit s'adapter au numérique avec le boum du commerce en ligne.*** Crédits archive *** Extrait de l'émission radiophonique "Là bas, si j'y suis" - France Inter - 31/12/1991.*** Crédits podcast *** Documentalistes : Pascale Aubaret - Restauration et mixage : Stéphane Rives - Enregistrement : Guillaume Solignat - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) : Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard, Sophie Da Costa - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Chargée d'édition : Anouk Valverde - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis la chute du régime de Bachar el-Assad, un groupe de femmes tentent de faire survivre l'art traditionnel de la broderie en Syrie. Durant la guerre, la plupart d'entre elles ont été forcées à l'exil ont ont été tuées dans les bombardements. De 1 000, elles sont passées à 80. Ces rescapées essaient de relancer leur business, pour récupérer des fonds et reconstruire leurs villages, ainsi que pour former les nouvelles générations, et que jamais ne se perde cette tradition. Une dizaine de femmes se sont réunies dans une petite salle, un sac plastique à la main. À l'intérieur, des bouts de tissus colorés et des broderies qu'elles ont ces derniers mois fabriqués. Objectif : les vendre dans une galerie à Damas, explique Jamilé, pour faire revivre cet art en perdition. « Sur cette broderie, j'ai dessiné la montagne, l'herbe, et ici le linge suspendu. Au loin, il y a les maisons détruites par la guerre », détaille-t-elle. Comme les autres femmes ici présentes, Wattah, 61 ans, brode les contours de son village. Des dessins qui ont, depuis la guerre, perdus de leurs éclats. « Avant la guerre, nous étions plus sereines. Tout était beau à voir. Les terres verdoyantes, la tempête, les oiseaux... Désormais, notre humeur est plus morose. Même les couleurs que nous utilisons pour broder sont plus déprimantes », soupire-t-elle. Plus moroses, déprimantes, dit-elle, depuis qu'elles ont dû fuir leurs villages. Parmi elles, Um Loaï. Avant la guerre en Syrie, elle supervisait le travail de 200 femmes depuis sa maison, en périphérie d'Alep. Elle rêve aujourd'hui de s'y réinstaller afin de relancer son activité, mais sur place. « Quand je viens ici, c'est dur. Je ressens beaucoup de peine parce que... Regardez. C'est vrai, ce ne sont plus que des ruines, mais ça reste ma maison. Ma propre maison, que j'avais décoré avec l'argent des broderies », montre-t-elle en sanglotant. Partout, des impacts de balles, des murs éventrés... Les traces des années de combat entre le régime et l'armée syrienne libre, et des années d'occupation du groupe État islamique (EI). « Quand je suis arrivée ici pour la toute première fois, j'ai pleuré à chaudes larmes. Les portes avaient été volées, toute la maison avait été pillée », se remémore-t-elle. Sur la terrasse de la maison dans laquelle elle est réfugiée, Um Loaï compte les billets de ses dernières ventes. Aujourd'hui, coûte que coûte, elle et les dernières brodeuses essaient de remonter leur business. « On veut reconstruire nos villages. On a déjà installé un système de dessalement de l'eau financé par nos économies et par des dons. On a planté des oliviers sur nos terres et creusé un puits. J'essaie de rassembler à nouveau les filles pour broder. Mais c'est très difficile », confie-t-elle. À la tête de cette petite entreprise, il y a une Allemande, Heike Weber, tombée d'amour pour la broderie syrienne dans les années 1980. Depuis Damas, elle supervise le travail des dernières brodeuses et collectionne les pièces pour les vendre une à une. « Maintenant, elles sont assises entre quatre murs, sans lumière. La plupart de leurs maisons sont très sombres. L'inspiration de leur environnement, c'est très important pour créer. Si elles ne peuvent pas retourner dans leur village, je pense que tout cela va mourir », redoute-t-elle. Demain, Heike Weber recevra de nouvelles femmes pour leur apprendre la broderie. Pour que tout cela ne meure pas et que la tradition perdure. À lire aussiReconstruction de la Syrie: une opération à 216 milliards de dollars, selon la Banque mondiale
La Fédération internationale de judo (IJF) a annoncé jeudi 27 novembre dans un communiqué la pleine réintégration des judokas russes, qui pourront de nouveau participer aux compétitions internationales sous les couleurs de leur pays, avec leur "hymne" et leur "drapeau national". Une première qui appelle d'autres instances sportives à l'imiter ?Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:08:12 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Les Banques alimentaires organisent leur collecte annuelle, en ce dernier week-end de novembre. Jean-Louis Duprez, président de la Fédération française des banques alimentaires. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Bienvenue sur Happy Work Express, le podcast quotidien qui vous livre des chiffres étonnants et des anecdotes sur le monde du travail en quelques minutes. Happy Work Express est une version quotidienne et plus courte de Happy Work, le podcast francophone audio le plus écouté sur le bien-être au travail et le management bienveillant.Que vous soyez salarié, manager ou à la tête d'une entreprise, Happy Work Express vous apporte chaque jour des informations pertinentes et surprenantes pour éclairer votre journée de travail.Chaque épisode vous offre un regard neuf sur des statistiques clés, des tendances actuelles et des faits insolites qui façonnent le monde professionnel. Être manager ou managé, ce n'est pas toujours simple... mais ces chiffres vous montreront que vous n'êtes pas seul.e.s.devenir un meilleur manager ou un meilleur managé... c'est parfois simple comme un chiffre ;-)Abonnez-vous dès maintenant et enrichissez votre quotidien avec Happy Work Express !DÉCOUVREZ MON NOUVEAU PODCAST, HAPPY MOI LE PODCAST POUR PRENDRE SOIN DE TOI : lnk.to/sT70cYSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tenante du titre, l'équipe de France féminine de handball affronte vendredi 28 novembre à 21h la Tunisie à 's-Hertogenbosch, aux Pays-Bas. Il s'agit du premier match du tour préliminaire. Il y en aura deux autres, contre la Chine dimanche et la Pologne mardi. Un groupe largement à la portée des championnes du monde en titre. Pour autant, que ce soit l'encadrement ou les filles, tous ont le même discours : cette équipe de France n'a rien à voir avec celle qui s'était parée d'or en 2023... Ecoutez La tentation sport avec Isabelle Langé du 28 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment le diable fait-il pour nous perdre ? Comment les plus humbles font-ils pour lui échapper ? Jean-Marie Guénois interroge ses 3 invités pour comprendre un peu. Le père Jean-Baptiste Edart, doyen de la faculté de théologie de l'Université catholique de l'Ouest, spécialiste de démonologie, vient de publier « Le diable dans ses oeuvres - Comprendre l'action invisible du mal et s'en libérer » (Artège). S'appuyant sur saint Thomas d'Aquin et la psychologie cognitive contemporaine, son étude montre comment le Démon exploite les émotions et les vulnérabilités mentales, et comment son emprise empêche d'accéder à la vérité et à la conversion. Bénédicte de Saint Germain a écrit « Le club des saints minuscules, Ces gens simples qui portent l'Église », aux éditions du Cerf. Elle présente des invisibles : Christian le hippie devenu laveur d'âmes, Philothée la sacristine, Élisabeth l'infatigable bénévole, Charlotte la maman solo qui dit des chapelets, Étienne le paysan maître d'espérance... Parfois cabossés par la vie mais agrippés au manteau du Christ, ils sont là, endurants. Leur lumière chasse les ténèbres. Emmanuelle Delagrange, au Cerf, évoque une autre figure, dans « Jean de Miribel, L'aventurier de l'empire céleste ». Prêtre-ouvrier dans la France de l'après-guerre, il écouta l'appel de l'ailleurs et devint Chinois parmi les Chinois, pont entre l'Orient et l'Occident. Son idéal antidémoniaque : trouver en chacun les graines de bonté, qui étaient pour lui la marque de l'Esprit Saint. Une émission en coproduction KTO - La Procure - Le Jour du Seigneur.
Alexandre Dana reçoit Romuald Leterrier, chercheur indépendant en ethnobotanique, spécialiste du chamanisme amazonien, et le journaliste scientifique Jocelin Morisson. Face à l'angoisse de la mort, l'humanité n'a cessé de chercher le secret de la vie éternelle. Mais l'immortalité est-elle un rêve de démiurge ou une clé de sagesse ? La science peut-elle réellement prolonger la vie ? Qu'avons-nous à apprendre des traditions ancestrales, du chamanisme, de l'alchimie ou des expériences de conscience élargie ? Romuald Leterrier et Jocelin Morisson explorent la longévité sous toutes ses formes et abordent des sujets comme le transhumanisme, la conscience, la rétrocausalité ou encore la puissance des synchronicités : prêts à percer le secret de la vie ? Leur dernier livre, intitulé Le secret de la vie - Rétrocausalité, synchronicités, alchimie : Comment boucler le temps pour prolonger notre existence est publié aux éditions Guy Trédaniel. Épisode #644Quelques citations du podcast avec Romuald Leterrier et Jocelin Morisson :J.M. : "Aujourd'hui le vieillissement en tant que tel est considéré comme une pathologie."R.L. : "Dire que la mort est une finalité du vivant, c'est une idée reçue."R.L.: "Un acte de synchronicité, c'est donc faire fusionner l'esprit et la matière."J.M.: "Le but c'est faire en sorte que notre futur probable soit le même que notre futur souhaitable."Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec Romuald Leterrier et Jocelin Morisson :00:00Introduction02:00Présentation invités03:13Rôle des mythes04:54L'inconscient collectif de Jung05:47L'immortalité dans les différentes traditions06:59Le sens de la vie08:26Substances psychédéliques et temps11:27La quête transhumaniste15:52Géroscience17:48Exemples d'immortalité (animaux & végétaux)19:18Question éthique20:50Environnement et métabolisme21:38La Materia Prima des alchimistes23:32Créer des synchrocinités26:58Atténuer l'angoisse de la mort28:59Communication avec les défunts34:11La rétro-causalité40:13Comment créer des synchronicités ?41:14Les ignames géantes de Nouvelle-Guinée43:19Le jeu de cartes Synchronicity45:01L'épigénétique des futurs désirablesAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo Jocelin Morisson © Lionel PesquéPhoto Romuald Leterrier DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En septembre 2017, Aude Ledoux, 34 ans, se rend dans l'appartement secondaire de ses parents à Vannes accompagnée de son compagnon, Joachim. Tout le week-end, les voisins entendent de violentes disputes. Le dimanche, la jeune femme est assassinée. C'est sa mère qui la retrouve deux jours plus tard. Le principal suspect, en fuite après les faits, s'est suicidé. Tous les trois jours, une femme meurt en France à cause de son genre. Depuis 2022, le collectif #NousToutes établit un décompte officiel des féminicides. Pour compléter ce chiffre qui circule dans les médias, il y a un nom, un prénom, une profession, un âge et parfois une unique photo de la victime. Puis la prochaine affaire occulte la précédente. Comment raconter le féminicide derrière les chiffres ? Quelle est la teneur de la vie qui a été brisée ? Les voix du crime de cet épisode, ce sont Louisette Battais et Thierry Ledoux, les parents d'Aude Ledoux. Ils ont illustré en photographies et décrit en mots qui était leur fille dans Aude : un jour de septembre et le vide insondable le meurtrier a créé dans leurs vies. Au micro de Marie Zafimehy, ils témoignent pour humaniser leur fille.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Auditeurs : Par amour pour son fils, Philippe fait de leur tragédie un engagement.La fratrie de Laetitia se déchire autour de leur mère.En soutenant son fils, Rachel s'est faite arnaquer.En donnant naissance à sa dernière fille, les viols de Linda lui sont revenus en mémoire... Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avicenne, Babinski, Charcot, Galien, Koch, Laennec, Pasteur... Ces personnalités ont marqué durablement l'histoire de la médecine. Quelles sont les autres figures, moins connues du grand public, qui ont su influencer le monde médical ? Nous parlons de leurs parcours et de leurs avancées, qui peuvent parfois, aujourd'hui, être remises en question. Certains ont donné leur nom à des rues, à des stations de métro, ou à des vaccins. D'autres, connus de leurs seuls contemporains, sont aujourd'hui complètement tombés dans l'oubli. Quant aux derniers, ils n'ont jamais connu la célébrité, alors qu'ils ont sauvé d'innombrables vies. Eux, ce sont les héros de la médecine. Leur héritage scientifique reste d'actualité, que ce soit pour lutter contre les infections, mettre des enfants au monde, combattre le cancer, soulager la dépression ou diagnostiquer une maladie génétique. Yersin, Hippocrate et Marie Curie Itinéraires d'hommes célèbres (Alexandre Yersin, Hippocrate ou Zénon Drohocki) et de femmes, dont la détermination et l'énergie ont eu raison des obstacles et des préjugés, faisant d'elles de véritables pionnières dans le domaine de la santé (comme Madeleine Brès ou Marthe Gautier), et pourtant, la renommée de ces dernières a rarement atteint celle de leurs confrères, exception faite bien sûr, de la double nobélisée, Marie Curie. Parcours de vie et découvertes scientifiques Les travaux de ces aventuriers de la santé sont toujours à l'ordre du jour pour soigner, partout dans le monde et leurs parcours parfois inattendus, se racontent comme un roman… Des personnalités qui ont tracé leur sillon en apportant de nouveaux savoir-faire, de nouvelles techniques, en créant des outils ou une compréhension, qui ont bouleversé la pratique de la médecine : césarienne, conseils pour l'allaitement maternel, électroconvulsivothérapie (les électrochocs), découverte de la Trisomie 21, du Bacille de la peste, culture du quinquina contre le paludisme... Évoquer le parcours et les découvertes de ces héros de la médecine, c'est aussi souligner l'importance de la recherche scientifique et d'avancées parfois anciennes, qui ont toute leur place, aujourd'hui encore dans la pratique médicale et continuent de sauver des vies. Avec : Pr Gilles Pialoux, chef du Service des Maladies Infectieuses et Tropicales à l'Hôpital Tenon (APHP) et professeur à Sorbonne Universités à Paris. Auteur de l'ouvrage Admirations : Sept héros de la médecine, aux éditions Perrin Pr Fatimata Ly, dermatologue et vénérologue, professeur à la Faculté de médecine, de pharmacie et d'odontostomatologie de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Médecin-chef du service de Dermatologie de l'Institut d'Hygiène Sociale de Dakar. Présidente de la société sénégalaise de dermatologie vénéréologie. Co-auteure de l'ouvrage Elles étaient là, les pionnières de la santé !, aux éditions Nara Thanh-Hà Tran, journaliste au service vietnamien de RFI. Programmation musicale : ► Michael Kiwanuka – Hero ► Trio Mocotó – O xangô.
Thibault partage son expérience difficile suite à sa séparation avec la mère de ses enfants, révélant des mensonges et des conflits persistants. Il exprime ses inquiétudes concernant le bien-être de ses enfants, notamment face à des comportements inappropriés de la part du nouveau compagnon de son ex-compagne. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avicenne, Babinski, Charcot, Galien, Koch, Laennec, Pasteur... Ces personnalités ont marqué durablement l'histoire de la médecine. Quelles sont les autres figures, moins connues du grand public, qui ont su influencer le monde médical ? Nous parlons de leurs parcours et de leurs avancées, qui peuvent parfois, aujourd'hui, être remises en question. Certains ont donné leur nom à des rues, à des stations de métro, ou à des vaccins. D'autres, connus de leurs seuls contemporains, sont aujourd'hui complètement tombés dans l'oubli. Quant aux derniers, ils n'ont jamais connu la célébrité, alors qu'ils ont sauvé d'innombrables vies. Eux, ce sont les héros de la médecine. Leur héritage scientifique reste d'actualité, que ce soit pour lutter contre les infections, mettre des enfants au monde, combattre le cancer, soulager la dépression ou diagnostiquer une maladie génétique. Yersin, Hippocrate et Marie Curie Itinéraires d'hommes célèbres (Alexandre Yersin, Hippocrate ou Zénon Drohocki) et de femmes, dont la détermination et l'énergie ont eu raison des obstacles et des préjugés, faisant d'elles de véritables pionnières dans le domaine de la santé (comme Madeleine Brès ou Marthe Gautier), et pourtant, la renommée de ces dernières a rarement atteint celle de leurs confrères, exception faite bien sûr, de la double nobélisée, Marie Curie. Parcours de vie et découvertes scientifiques Les travaux de ces aventuriers de la santé sont toujours à l'ordre du jour pour soigner, partout dans le monde et leurs parcours parfois inattendus, se racontent comme un roman… Des personnalités qui ont tracé leur sillon en apportant de nouveaux savoir-faire, de nouvelles techniques, en créant des outils ou une compréhension, qui ont bouleversé la pratique de la médecine : césarienne, conseils pour l'allaitement maternel, électroconvulsivothérapie (les électrochocs), découverte de la Trisomie 21, du Bacille de la peste, culture du quinquina contre le paludisme... Évoquer le parcours et les découvertes de ces héros de la médecine, c'est aussi souligner l'importance de la recherche scientifique et d'avancées parfois anciennes, qui ont toute leur place, aujourd'hui encore dans la pratique médicale et continuent de sauver des vies. Avec : Pr Gilles Pialoux, chef du Service des Maladies Infectieuses et Tropicales à l'Hôpital Tenon (APHP) et professeur à Sorbonne Universités à Paris. Auteur de l'ouvrage Admirations : Sept héros de la médecine, aux éditions Perrin Pr Fatimata Ly, dermatologue et vénérologue, professeur à la Faculté de médecine, de pharmacie et d'odontostomatologie de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Médecin-chef du service de Dermatologie de l'Institut d'Hygiène Sociale de Dakar. Présidente de la société sénégalaise de dermatologie vénéréologie. Co-auteure de l'ouvrage Elles étaient là, les pionnières de la santé !, aux éditions Nara Thanh-Hà Tran, journaliste au service vietnamien de RFI. Programmation musicale : ► Michael Kiwanuka – Hero ► Trio Mocotó – O xangô.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pour débuter l'émission de ce mercredi 26 novembre 2025, les GG : Fatima Aït Bounoua, prof de français, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Bruno Poncet, cheminot, débattent du sujet du jour : "Budget : faut-il forcer les riches à prêter leur argent ?".
Épisode 1397 : Après des années de domination des macro-influenceurs et de leur contenu glamour déconnecté du réel tourné depuis leur gratte ciel des émirats il est temps de revenir sur le plancher des vaches avec des créateurs plus locaux qui affirment leur identité et qui n'ont rien à leur envier !C'est quoi un influenceur local ?Un influenceur local, c'est un créateur de contenu ancré dans son territoire. Il vit dans sa ville. Il connaît les bonnes adresses. Il partage les spots, les restos, les boutiques de sa région. C'est souvent un micro-influenceur. On parle de 10 000 à 100 000 abonnés. Parfois moins. Ces créateurs sont experts d'une thématique. Mode, food, lifestyle, voyage. Mais toujours avec un angle géographique fort. Leur communauté est là, près de chez eux. Ils parlent à des gens qui peuvent vraiment aller dans les endroits qu'ils recommandent.Les campagnes marketing se concentraient sur Paris. Comme si c'était la seule ville en France. Aujourd'hui, les choses changent. Les marques ont compris que les régions comptent.Des exemples concrets d'influenceurs locauxLe phénomène est partout en France. Voici des profils qui cartonnent :À Lille : Mathilde @lillebymat. A Marseille : Liane Comme TarzanÀ Lyon : Clémentine @clementine.drn. A Annecy : Le blog de Neroli—Pourquoi ça marche aussi bien l'influence locale ?Les chiffres parlent d'eux-mêmes.Des taux d'engagement jusqu'à 8 fois supérieurs. Une étude publiée par l'union des métiers de l'influence. Le premier baromètre de l'influence.Les micro-influenceurs locaux génèrent un engagement bien plus fort que les influenceurs nationaux. Un micro-influenceur affiche en moyenne 4,42% d'engagement sur Instagram. Contre 1,72% pour les méga-influenceurs. Sur TikTok, c'est encore plus flagrant : les micro-influenceurs atteignent 10,3% d'engagement moyen. Les créateurs à grande audience peinent à dépasser 2%.Plusieurs signaux expliquent cette montée en puissance.La fatigue envers les gros influenceurs. On appelle ça "l'influencer fatigue". Les consommateurs sont saturés. Trop de placements produits. Trop de partenariats. La confiance s'érode. Les audiences s'engagent moins. Les célébrités digitales perdent de spoints.Ce que la montée des influenceurs locaux dit de notre époqueLa fin du mythe des millions d'abonnés. Pendant longtemps, les marques ont cru que la taille faisait la force. Elles se trompaient. Aujourd'hui, mieux vaut 50 000 abonnés hyper engagés que 2 millions de followers passifs.Comment les marques doivent s'adapterPour le marque nationales il faut revoir sa copie.Multiplier les collaborations et penser réseau. Pour toucher une large audience géographique, il faut activer plusieurs micro-influenceurs dont les communautés couvrent différentes zones. Ce n'est plus un gros coup, c'est un réseau.Penser drive-to-store. L'influenceur local peut générer du trafic en boutique. Des réservations au restaurant. Des visites sur un site touristique. Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:12 - Le Grand reportage de France Inter - Le tir sportif est une discipline qui enregistre chaque année 5 à 6% de licenciés en plus, depuis une dizaine d'années. Mais ce succès demande de la vigilance. Trier entre les vrais amoureux du tir sportif et les adeptes de l'autodéfense est un défi pour les clubs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Bienvenue sur Happy Work Express, le podcast quotidien qui vous livre des chiffres étonnants et des anecdotes sur le monde du travail en quelques minutes. Happy Work Express est une version quotidienne et plus courte de Happy Work, le podcast francophone audio le plus écouté sur le bien-être au travail et le management bienveillant.Que vous soyez salarié, manager ou à la tête d'une entreprise, Happy Work Express vous apporte chaque jour des informations pertinentes et surprenantes pour éclairer votre journée de travail.Chaque épisode vous offre un regard neuf sur des statistiques clés, des tendances actuelles et des faits insolites qui façonnent le monde professionnel. Être manager ou managé, ce n'est pas toujours simple... mais ces chiffres vous montreront que vous n'êtes pas seul.e.s.devenir un meilleur manager ou un meilleur managé... c'est parfois simple comme un chiffre ;-)Abonnez-vous dès maintenant et enrichissez votre quotidien avec Happy Work Express !DÉCOUVREZ MON NOUVEAU PODCAST, HAPPY MOI LE PODCAST POUR PRENDRE SOIN DE TOI : lnk.to/sT70cYSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deux jeunes américains déterminés au pire.Leur objectif : envahir l'île de la Gonâve, exterminer tous les hommes et réduire femmes et enfants en esclavage sexuelUn complot inimaginable stoppé in extremis.Découvrez l'histoire vraie qui aurait pu devenir l'un des pires massacres de l'histoire moderne.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Roland Perez. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis avril 2023, se déroule au Soudan l'un des conflits les plus meurtriers, à l'origine de « la plus grande crise humanitaire au monde » selon l'ONU. Selon des témoins ayant fui El-Fasher, la capitale du du Darfour-Nord est le lieu de massacres, violences à caractère ethnique, viols et agressions sexuelles depuis qu'elle est tombée entre les mains des paramilitaires FSR du général Mohamed Hamdan Dogolo « Hemedti », le 26 octobre dernier. Plusieurs organisations humanitaires font état de crime de guerre, de crimes contre l'humanité, les Nations unies parlent d'une « spirale d'atrocité ». Après un siège de 18 mois, après la faim, la soif, la violence et la peur, certains Soudanais ont réussi à quitter El-Fasher pour se réfugier au Tchad voisin. Le Tchad et le Soudan sont séparés par un wadi, un oued sec, depuis la fin de la saison des pluies. De part et d'autre de cette frontière se trouvent deux villes : Tina, au Soudan, et Tiné, au Tchad. C'est là que les réfugiés soudanais traversent à pied, en charrette ou à l'arrière de camionnettes. De notre envoyée spéciale à Tiné, La frontière est gardée par des militaires tchadiens, mais aucune entrave n'a lieu au passage des réfugiés qui traversent tous librement. « Voilà les nouvelles familles qui viennent d'arriver. Elles sont orientées pour faire le circuit : d'abord l'enregistrement des réfugiés avec la Commission nationale d'accueil de réinsertion des réfugiés et des rapatriées du Tchad (Cenar), après avoir obtenu les informations de la personne. Puis un screening médical se fait avec Médecins sans frontière (MSF) avant leur transfert vers le site de transit », explique Georges, membre de l'équipe du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR). Le visage fatigué, en partie dissimulé derrière son foulard bariolé, Souad Ibrahim Abdou s'installe à quelques mètres de la frontière, sous la cabane de MSF. Elle attend désormais d'être enregistrée. « On a laissé les enfants à Tawila. On remercie le seigneur d'être arrivé ici en bonne santé. Dieu merci, tout va bien. On nous a conseillé de venir ici, on nous a dit que la ville était bien. Le seul problème ici, c'est la nourriture. Aussi, il n'y a pas de travail », raconte-t-elle. Une fois le premier enregistrement effectué, les réfugiés doivent se rendre par leurs propres moyens au site de transit à la sortie de la ville. Parmi les infrastructures sur place, des pompes à eau, mais peu de latrines. Et les températures chutent fortement le matin et le soir. La jeune Daralnayim,19 ans et enceinte de sept mois, a fait le voyage seule depuis El-Fasher. Elle raconte sa vie dans le site de transit : « Il n'a pas de nourriture, pas de couvertures, pas de lit. Je n'ai pas eu d'autre choix que de rester avec des femmes ici. On a fait les démarches d'enregistrement ensemble. » Les profils de ces derniers arrivants sont majoritairement des femmes et des enfants. Mais il y a beaucoup plus d'hommes comparé au début du conflit en 2023. « Il y a de plus en plus de vieillards blessés, de gens inaptes et beaucoup d'enfants non accompagnés. Ils avaient encore l'espoir en 2023 qu'ils peuvent défendre leur terre, résister. Maintenant, c'est le désespoir total », détaille Jean-Paul Habamungu, responsable du HCR à Iriba. À lire aussiLa route de l'exil vers le Tchad: les réfugiés soudanais d'El-Fasher racontent leur cauchemar[2/3]
Dans cet épisode, on explore le retour des mercenaires après la Révolution française. On les croyait condamnés, mais ils réapparaissent dans l'Afrique décolonisée de la fin du XXe siècle, au cœur d'opérations secrètes et de coups d'État. Leur image change : plus discrète, plus trouble, plus politique. Avec Walter Bruyère-Ostells, professeur à Sciences Po Aix et auteur de Histoire du mercenariat de 1789 à nos jours, on comprend comment ces nouveaux mercenaires agissent dans l'ombre des États, loin du regard des opinions publiques. Leur rôle raconte aussi une époque où l'on privatise la guerre pour éviter d'assumer ses responsabilités.
En cette journée internationale pour l'élimination des violences faites aux femmes, les ONG féministes en Turquie alertent sur la hausse inquiétante du nombre de « morts suspectes » en Turquie. Des décès de femmes dont les circonstances ne permettent pas d'exclure la possibilité d'un meurtre. Leur nombre a plus que doublé en cinq ans. Les ONG y voient un symbole de l'échec des autorités à lutter contre ces violences. Le reportage de notre correspondante Anne Andlauer à Ankara est à retrouver dans son intégralité dans Accents d'Europe. À lire aussiIdéologie masculiniste et violences faites aux femmes: les liaisons dangereuses
Enseignant ou employé le jour, développeur informatique ou chauffeur de taxi le soir. On les appelle les slasheurs, ces individus qui jonglent entre plusieurs activités professionnelles. Si certains cumulent les petits boulots par nécessité économique, d'autres font le choix de la polyvalence et revendiquent de porter plusieurs casquettes. En France, 4,3 millions de personnes cumulent au moins une activité complémentaire rémunérée et déclarée, soit 15% des actifs en emploi, selon une étude de 2025 réalisé pour le salon SME des indépendants, créateurs et dirigeants de TPE. Une tendance qui se pérennise. Cette pluriactivité, prisée par les jeunes générations bouscule nos modèles d'organisation du travail et brouille les frontières entre salariat, indépendance et entreprenariat. Pour les slasheurs, cette carrière à la carte leur permet peut-être de cumuler les passions, d'assouvir leur curiosité mais à quel prix ? Si les jeunes font preuve d'agilité et d'adaptabilité face à la fragilité des marchés de l'emploi, ne risquent-ils pas la surcharge ? Leur multi-activité est-elle rémunérée à sa juste valeur ? Avec : • Marielle Barbe, slasheuse, consultante, formatrice, conférencière et autrice de Profession slasheur / La vie est trop courte pour choisir un seul métier (Diatéino, 2023). • Un témoignage recueilli par Sarah Cozzolino, correspondante de RFI à Rio de Janeiro, au Brésil : Luciana Sena a 41 ans. Comédienne, bartender, commerciale, pâtissière. Elle a déjà eu plusieurs vies. Aujourd'hui elle cumule trois emplois en tant qu'indépendante. Sarah Cozzolino l'a suivie dans la banlieue de Rio de Janeiro • Un entretien avec Côme Bastin, correspondant de RFI à Bangalore en Inde où l'on parle davantage de «multi-travailleurs numériques», de «multi-tâches forcées», «d'économie du surtravail». Des termes qui renvoient à une réalité subie du slashing. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, sur l'évolution des sociétés africaines mondialisées à travers les écrans, les réseaux sociaux et la technologie. Aujourd'hui, Estelle nous parle des podcasts filmés, un format très prisé des médias mais aussi des entrepreneurs sur le continent africain. Programmation musicale : ► Chief Keef – HIBA ► Dé Mo Dé Mo - Aleksand Saya & Sarera.
Aujourd'hui, Joëlle Dago Serry, coach de vie, Charles Consigny, avocat, et Chirinne Ardakani, avocate, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.