POPULARITY
Categories
Langsam gesprochene Nachrichten | Deutsch lernen | Deutsche Welle
08.12.2025 – Langsam Gesprochene Nachrichten – Trainiere dein Hörverstehen mit den Nachrichten der DW von Montag – als Text und als verständlich gesprochene Audio-Datei.
Vor einem Jahr endete die Schreckensherrschaft der Assads. Die Ukraineverhandlungen und die Nationale Sicherheitsstrategie der USA verunsichern die Europäer. Und Jodeln wird vielleicht Unesco-Weltkulturerbe. Das ist die Lage am Montagmorgen. Die Artikel zum Nachlesen: Die ganze Geschichte hier: Das Enigma von Damaskus Mehr Hintergründe: Die AfD will die deutsche Regierung stürzen – und wirbt in den USA um Unterstützung Mehr Hintergründe: Warum Affen die besseren Jodler sind+++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie mit SPIEGEL+. Entdecken Sie die digitale Welt des SPIEGEL, unter spiegel.de/abonnieren finden Sie das passende Angebot. Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
Nowa strategia bezpieczeństwa narodowego USA to zupełnie inny dokument niż wszystkie poprzednie. Gdzie według Trumpa jest miejsce Europy? Czy Trump jest konsekwentny w swoich działaniach? Dlaczego Bliski Wschód jest ważniejszy tylko od Afryki? Co to oznacza dla Polski? Czy jest szansa przesunąć wojska amerykańskie do Polski? Czy Polska razem z krajami północnymi ma argumenty dla USA? O tym opowiada prof. Andrew Michta.
Friedrich Merz bricht zu einer heiklen Reise nach Israel auf. Die Wagenknecht-Partei bemüht sich um einen Neuanfang. Und: Die Europäer kämpfen gegen die Bedeutungslosigkeit. Das ist die Lage am Samstagmorgen. Hier die Artikel zum Nachlesen: Mehr Hintergründe hier: Netanyahus Werk und Trumps Beitrag Mehr Hintergründe hier: In Sahras Welt Mehr Hintergründe hier: »Wir dürfen die Ukraine und Wolodymyr nicht mit diesen Jungs alleinlassen«+++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie mit SPIEGEL+. Entdecken Sie die digitale Welt des SPIEGEL, unter spiegel.de/abonnieren finden Sie das passende Angebot. Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
durée : 00:04:12 - La planète des sciences - par : Daniel FIEVET - Au sommaire de "la planète des sciences" cette semaine : une étude qui remet en question l'origine de nos chats domestiques, des amphores remplies de milliers de pièces romaines découverte en Lorraine et une opération de science participative pour explorer le microbiote intestinal des enfants... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 5 décembre 2025 - Poutine tout-puissant… qui peut encore l'arrêter ? C'est une nouvelle visite qui suscite beaucoup d'attention. Après avoir reçu vendredi dernier Viktor Orbán à Moscou pour mener des discussions autour de l'énergie, Vladimir Poutine a déclaré ce vendredi qu'il allait continuer de « livrer du pétrole sans interruption » à l'Inde. Le Premier ministre indien Narendra Modi et le président russe se sont retrouvés ce vendredi 5 décembre à New Delhi pour des entretiens destinés à resserrer leurs liens, malgré la pression des États-Unis depuis des mois sur l'Inde pour qu'elle cesse ses achats de pétrole russe en pleine guerre en Ukraine.Une visite du maître du Kremlin qui en dit long sur les grandes manœuvres qui se déroulent actuellement et visent à redéfinir l'ordre mondial. À l'offensive sur les terrains militaire et diplomatique, Vladimir Poutine veut montrer au reste du monde que, malgré les sanctions et le mandat d'arrêt dont il fait l'objet, il n'est pas isolé. Inflexible dans les négociations sur le plan de paix avec l'Ukraine, le président russe entend apparaître comme le grand gagnant de cette période d'intenses discussions qui s'est soldée jeudi par un échange d'amabilités avec Donald Trump, après l'apparent échec de la réunion au Kremlin mardi avec Steve Witkoff et Jared Kushner.« Parvenir à un consensus entre des parties en conflit n'est pas chose aisée, mais je crois que le président Trump s'y emploie sincèrement », a ainsi affirmé hier le maître du Kremlin. « Je pense que nous devons nous engager dans cet effort plutôt que d'y faire obstruction », a-t-il ajouté, faisant allusion aux Européens que Moscou accuse de vouloir empêcher un accord. Un peu plus tôt dans la journée, Donald Trump a évoqué de son côté « une très bonne rencontre », assurant que Vladimir Poutine voulait bien « mettre fin à la guerre ».Des émissaires américains et ukrainiens mènent de nouvelles discussions depuis jeudi en Floride pour tenter de trouver une issue à la guerre, au moment où Washington a annoncé assouplir ses sanctions à l'égard du géant du pétrole russe Lukoil.À Pékin, le président français Emmanuel Macron a pressé hier son homologue chinois d'œuvrer à la fin de la guerre en Ukraine, mais a entendu son hôte rejeter fermement toute part de responsabilité dans la poursuite de la crise ukrainienne. Ce vendredi, il a appelé les Européens à maintenir « l'effort de guerre » et à accroître « la pression sur l'économie russe ». « La seule qui ne veut pas la paix, c'est la Russie, parce qu'elle veut tout », a estimé le chef de l'État. L'Allemagne, de son côté, a promis une aide supplémentaire de 100 millions d'euros à l'Ukraine pour réparer ses infrastructures énergétiques mais veillera « strictement » à son utilisation, en plein scandale de corruption qui ébranle le gouvernement de Kiev. Parallèlement, la Turquie a convoqué les ambassadeurs russe et ukrainien, appelant les deux pays à « laisser les infrastructures énergétiques en dehors de la guerre ».Depuis plusieurs semaines, Moscou multiplie les attaques et pilonne les infrastructures énergétiques de l'Ukraine. En réponse, Kiev intensifie son offensive contre les installations pétrolières russes. En frappant un important terminal pétrolier russe et deux cargos pétroliers liés à Moscou en mer Noire ces derniers jours, Kiev a touché un axe stratégique pour la Russie, le pétrole étant le carburant de l'effort de guerre russe.Nos journalistes se sont rendus il y a quelques semaines aux portes du Donbass, région déchirée de l'Est ukrainien, au cœur de toutes les négociations de paix.Nos experts :- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Lucas MENGET - Grand reporter, réalisateur du documentaire : Des trains dans la guerre - Antoine VITKINE - Journaliste, réalisateur du documentaire Opération Trump : les espions russes à la conquête de l'Amérique - Marie JEGO - Journaliste - Le Monde, ancienne correspondante à Moscou
Reisen Reisen - Der Podcast mit Jochen Schliemann und Michael Dietz
Mit Huskys durch das winterliche Schnee-Paradies Finnland zu abgelegenen Orten, Übernachten in Holzhütten ohne Strom und fließend Wasser - Natur pur. Jochen ist für euch (und weil es sein Traum war) durch schneeweiße Wälder und über vereiste Seen gerast, hat Löcher ins Eis geschlagen, mitten im Nichts sauniert und sich verliebt in seine vier Huskys, mit denen er Lappland durchquert hat. Die Region Ruka-Kuusamo ist perfekt für eine der tollsten Sachen, die man im Winter und in seinem Reiseleben machen kann. Alle Tipps, Tricks, Antworten und die herzzerreißende Geschichte von einem (fast) furchtlosen Podcaster und vier hinreißenden Fellfreunden in Lappland gibt es in dieser Episode.Diese Episode entstand mit freundlicher Unterstützung der Ruka-Kuusamo Tourist Association und der Naturpolis Ltd mit Kofinanzierung durch die Europäische Union.Im Winter gibt es ein paar Direktflüge nach Kuusamo:Ab Frankfurt (Lufthansa): 22.11.2025 - 28.3.2026Ab Düsseldorf (Eurowings): 21.12.2025 - 8.3.2026Ab Zürich (Edelweiss): 19.12.2025 - 6.3.2026(Stand Dezember 2025) Unsere Werbepartner findet ihr hier.Kommt zu einer unserer LIVE-Shows:24.2.2026Hamburg26.2.2026 München11.4.2026Mannheim (SWR Podcastfestival)Tickets gibt es HIER.Mehr Reisen Reisen gibt es hier.Noch mehr Reisen Reisen gibt es in unserem Newsletter-Magazin. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
L'actualité qui a retenu l'attention de La Loupe de la semaine, c'est l'avancée des négociations autour de la guerre en Ukraine. D'un côté Volodymyr Zelensky était reçu par Emmanuel Macron, la deuxième visite du président ukrainien en quinze jours à L'Elysée. De l'autre, l'émissaire américain Steve Witkoff rencontrait à nouveau Vladimir Poutine à Moscou. Une semaine décisive pour les pourparlers, quelques jours après l'annonce du plan russo-américain qui a suscité l'opposition des Européens et surtout de l'Ukraine. Et parmi les points abordés, il y a la question des élections que certains veulent voir organisées rapidement dans le pays en guerre. Un immense défi, comme nous l'explique Paul Véronique, journaliste au service Monde de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules KrotRédaction en chef : Thibauld Mathieu Crédits : Le Monde, Huff Post Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Verhandeln die USA und Russland über die Köpfe von Ukrainern und Europäern hinweg? Europaweit wächst die Besorgnis darüber zumindest. In Moskau reagiert ein hochrangiger Politiker mit Spott.
0:00 Wstęp0:45 Turcja wezwała Rosję i Ukrainę do zaprzestania wzajemnych ataków na Morzu Czarnym2:20 Francja i Niemcy obawiają się, że Stany Zjednoczone zdradzą Ukrainę i Europę3:39 Ukraińskie przedsiębiorstwa mają problemy z powodu masowej emigracji młodych ludzi5:15 Chiński przywódca wezwał Francję do udziału w budowie wielobiegunowego świata6:41 Rosja zamierza rozwijać współpracę militarną z Indiami8:02 Członek litewskiej koalicji rządowej został skazany za antysemityzmInformacje przygotował Maurycy Mietelski. Nadzór redakcyjny – Igor Janke. Czyta Michał Ziomek.
Ministerpräsidenten der Länder beraten mit Kanzler Merz über Finanzfragen, Bundestag beschließt Paket mit Steuerentlastungen, BSW scheitert mit Forderung nach Neuauszählung, Vor Abstimmung im Bundestag über umstrittenes Rentengesetz, Beweisstücke zur Brutalität des Assad-Regimes ausgewertet, Bundespräsident Steinmeier hält Rede vor britischem Parlament in London, EU lockert Gentechnik-Regeln für Lebensmittel, Europäische Rundfunkunion: Israel kann im kommenden Jahr am Eurovision Song Contest in Wien teilnehmen, Hanns-Joachim-Friedrichs-Preis für Fernsehjournalismus an zwei ARD-Korrespondentinnen vergeben, Handball-Frauen erreichen Heim-WM-Viertelfinale, Das Wetter
durée : 00:21:18 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - Face à l'empire numérique américain et l'essor chinois, l'Europe peut-elle encore tracer sa propre voie dans l'IA ? Entre régulation et dépendance, où en est le combat pour la souveraineté technologique ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Beeban Kidron réalisatrice britannique, membre de la chambre des Lords; Anne Bouverot Envoyée spéciale du président de la République pour le Sommet pour l'action sur l'intelligence artificielle
Die USA haben erstmals europäische Antifa-Gruppen als „ausländische terroristische Organisationen“ eingestuft. Darunter ist auch die deutsche „Hammerbande“. Die Einstufung ermöglicht eine bessere strafrechtliche Verfolgung, Vermögenssperren und Ermittlungen gegen Unterstützer. Ziel ist es, die Vernetzung von inländischer und ausländischer Antifa zu unterbinden.
In Brüssel wird an einem Plan B gearbeitet, sollten die Friedensverhandlungen mit Putin scheitern. Bei den Europäern wachsen die Zweifel an Trumps Unterhändlern. Und: Macron trifft Xi. Das ist die Lage am Donnerstagmorgen. Die Artikel zum Nachlesen: Diese Optionen hat die Ukraine jetzt Von der Leyen legt Plan zur Nutzung russischer Vermögen vor Chinas Exportkontrollen erschüttern Vertrauen europäischer Unternehmen+++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie mit SPIEGEL+. Entdecken Sie die digitale Welt des SPIEGEL, unter spiegel.de/abonnieren finden Sie das passende Angebot. Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
Ministerpräsidenten der Länder beraten mit Kanzler Merz über Finanzfragen, Bundestag beschließt Paket mit Steuerentlastungen, BSW scheitert mit Forderung nach Neuauszählung, Vor Abstimmung im Bundestag über umstrittenes Rentengesetz, Beweisstücke zur Brutalität des Assad-Regimes ausgewertet, Bundespräsident Steinmeier hält Rede vor britischem Parlament in London, EU lockert Gentechnik-Regeln für Lebensmittel, Europäische Rundfunkunion: Israel kann im kommenden Jahr am Eurovision Song Contest in Wien teilnehmen, Hanns-Joachim-Friedrichs-Preis für Fernsehjournalismus an zwei ARD-Korrespondentinnen vergeben, Handball-Frauen erreichen Heim-WM-Viertelfinale, Das Wetter
Europäische Rundfunkunion beschließt Teilnahme Israels am Eurovision Song Contest 2026: Mehrere Länder sagen Beteiligung ab, EU lockert Gentechnik-Regeln für Lebensmittel, Die Meinung, Ministerpräsidenten der Länder beraten mit Kanzler Merz über Finanzfragen, ARD-DeutschlandTrend: Mehrheit will stabiles Rentenniveau, Beweisstücke zur Brutalität des Assad-Regimes ausgewertet, Weitere Meldungen im Überblick, #mittendrin aus Bergkamen: Schulungsprogramm für Fairness im Jugendfußball, Das Wetter
Dès sa naissance, Anne-Marie Louise d'Orléans se distingue par son statut et sa fortune hors-norme : petite fille d'Henri IV, celle qu'on surnomme la grande Mademoiselle, est aussi la plus riche héritière d'Europe. Pourtant, elle n'est pas épargnée par le destin. Orpheline de mère et délaissée par son père, elle cherchera toute sa vie à gagner l'affection de son père : Gaston d'Orléans. C'est ainsi que lors de la Fronde, la toute jeune Mademoiselle se rebelle et va jusqu'à oser l'affront ultime : bien que cousine de Louis XIV, elle lui tire dessus avec les canons de la Bastille. "Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Jean-Edouard Choppin.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Cyprille-Anne LigerMontage : Victor Benhamou Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Bannie de la cour est rejetée par la famille royale, la Grande Mademoiselle est exilée à Saint-Fargeau. Ce qui devait être un lieu d'exil devient bientôt un véritable lieu de résistance. La princesse y organise des représentations théâtrales et entreprend la rédaction de ses mémoires. Après 5 années d'exil, la Grande Mademoiselle est finalement graciée et réintègre la Cour. Seule ombre au tableau : à 34 ans, elle n'est toujours pas mariée. En dépit des nombreux prétendants qui se sont succédés, Anne-Marie Louise refuse les mariages d'intérêts et s'oppose, une fois encore, à Louis XIV qui espérait la marier au roi du Portugal. "Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Jean-Edouard Choppin.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Cyprille-Anne LigerMontage : Victor Benhamou Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
De retour à la Cour du roi soleil, la Grande Mademoiselle tombe sous le charme du duc de Lauzun. Opportuniste, les ambitions de ce-dernier ne sont que bassement matérielles. De plus, Louis XIV fait valoir la raison d'État et refuse ce mariage. Éperdument amoureuse, la Grande Mademoiselle reste inconsolable et tentera jusqu'à la fin de sa vie de se voir à nouveau réunie aux côtés du duc de Lauzun. "Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Jean-Edouard Choppin.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Cyprille-Anne LigerMontage : Victor Benhamou Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:04:18 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Aborder la question des quotas de pêche n'est jamais simple, surtout lorsqu'il s'agit des quotas européens qui seront fixés prochainement par le Conseil des ministres de la pêche pour l'année 2026. Perrine Cuvilliers, la secrétaire générale de l'OP du Sud, est l'invitée des Chroniques Littorales... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 3 décembre 2025 - Poutine "prêt" à la guerre avec l'EuropeMoscou et Kiev se sont déclarés, ce mercredi, prêts à poursuivre les pourparlers sur un plan de paix, au lendemain d'une réunion entre le président russe Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff qui n'a débouché sur aucune percée. À l'issue d'une réunion de près de cinq heures au Kremlin, Iouri Ouchakov, le conseiller diplomatique de Vladimir Poutine, a reconnu qu'« aucune solution de compromis [sur les territoires ukrainiens] n'a encore été choisie ». « Il reste encore beaucoup de travail », a-t-il prévenu, se contentant de qualifier la conversation d'« utile » et « constructive », au terme d'un mois d'intenses négociations.Steve Witkoff, critiqué pour sa gestion des négociations et accusé de complaisance envers son homologue russe après la révélation d'une conversation téléphonique avec Iouri Ouchakov par l'agence Bloomberg, s'est abstenu de tout commentaire. Depuis le Kremlin, l'émissaire de la Maison-Blanche, accompagné dans sa mission de Jared Kushner, gendre du président américain, s'est rendu à l'ambassade américaine à Moscou afin de s'entretenir avec Donald Trump sur une ligne téléphonique sécurisée.Quelques heures avant sa rencontre avec les Américains, Vladimir Poutine avait menacé les Européens, les accusant de chercher à « empêcher » les efforts de Washington pour mettre fin au conflit. « Nous n'avons pas l'intention de faire la guerre à l'Europe, mais si l'Europe le souhaite et commence, nous sommes prêts dès maintenant », a-t-il lancé en marge d'un forum économique.De son côté, Volodymyr Zelensky a accusé Moscou d'utiliser les pourparlers actuels pour tenter « d'affaiblir les sanctions » visant Moscou. Le président ukrainien a aussi appelé à la fin de la guerre et non « seulement à une pause » dans les combats. Sur le terrain, l'Ukraine a par ailleurs fermement démenti la prise de la ville stratégique de Pokrovsk, annoncée la veille par la Russie, et a dénoncé « une manipulation » de la part du Kremlin.En Europe, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a présenté ce mercredi le plan de l'UE pour financer l'Ukraine sur deux ans et la « mettre en position de force » dans les négociations avec la Russie. Cette proposition prévoit deux options visant à couvrir les deux tiers des besoins de financement de l'Ukraine pour 2026 et 2027 : un emprunt ou une utilisation des avoirs russes gelés en Europe, dont l'essentiel se trouve en Belgique. La décision de recourir à un emprunt européen, qui nécessite l'unanimité des États membres, se heurte pour l'heure aux réticences de certains d'entre eux et à l'opposition radicale de la Hongrie. La Commission n'a pas caché qu'elle privilégiait, dans ces conditions, le recours aux avoirs russes gelés, mais doit encore convaincre la Belgique.Parallèlement, le Parlement européen a adopté la semaine dernière EDIP, le premier programme pour l'industrie européenne de la défense. Doté de 1,5 milliard d'euros, ce dispositif doit renforcer les capacités de l'Union européenne.Quels sont les contours et les ambitions d'EDIP ? Les rapporteurs du projet, François-Xavier Bellamy (PPE) et Raphaël Glucksmann (S&D), nous ont accordé une interview, à retrouver aujourd'hui dans #cdanslair.Nos experts :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre - Philippe GELIE - Directeur adjoint de la rédaction – Le Figaro- Marion VAN RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse - L'Express, auteure de Le piège Nord Stream - Samantha de BENDERN - Chercheuse en relations internationales - Chatam House
Generation Deutschland : la nouvelle vitrine de l'extrême droite allemande Quand les Européens se laissent humilier par Donald Trump Macron a rappelé la jeunesse sous les drapeaux Noël avant l'heure, c'est déjà l'heure Le climat accélère la destruction de notre patrimoine architectural
L'Autriche célèbre, cette année, les 30 ans de son adhésion à l'Union européenne. La République alpine de 9 millions d'habitants a, en effet, adhéré à l'UE en 1995 et trois décennies plus tard, un constat s'impose : l'Autriche profite largement de son adhésion sur le plan économique. De notre correspondante à Vienne, Gabriel Felbermayr, directeur de l'Institut de recherche économique Wifo, voit trois avantages essentiels de cette adhésion pour l'Autriche : « Il y a d'abord, évidemment, le marché intérieur [européen]. Si l'Autriche ne dépendait que de son propre marché, les entreprises ne pourraient pas se spécialiser autant. Cela est beaucoup plus vrai pour les petits pays comme l'Autriche que pour les grands comme la France. Il y a aussi l'espace Schengen et enfin, la politique monétaire européenne. Elle est très importante pour un pays comme l'Autriche, qui s'était auparavant aligné sur le mark allemand, mais qui n'avait pas son mot à dire. » Gabriel Felbermayr a mené une étude pour Wifo dans laquelle il quantifie ces avantages et donc ce que le pays perdrait s'il y avait un « Öxit », le terme qui désigne une sortie de l'Autriche de l'UE. Et les résultats sont sans appel : « On arrive, selon nos calculs, à un effet positif de l'adhésion de l'Autriche à l'UE qui se situe entre 7 et 8% du PIB. C'est beaucoup. Et comme l'Autriche est un pays riche, 7% représentent environ 4 000 euros par habitant. En Autriche, on critique souvent le fait que ces 4 000 euros ne sont pas gratuits, qu'il faut payer une contribution. Mais cette contribution est relativement faible. L'Autriche verse environ trois milliards d'euros à l'UE et en récupère deux milliards, soit une contribution nette d'un milliard. Nous avons 9 millions d'habitants, ce qui signifie que la contribution nette par habitant est d'environ 110 euros. On paie donc 110 euros et on en récupère 4 000, ce qui est un assez bon investissement ! » Une forte insatisfaction Pourtant, année après année, les enquêtes Eurobaromètre, études d'opinion réalisées à l'échelle de l'Union européenne, montrent l'insatisfaction des Autrichiens vis-à-vis de l'Europe. Dans la plus récente, publiée en septembre 2025, seuls 60% d'entre eux se disent convaincus que leur pays bénéficie de son adhésion à l'UE contre une moyenne de 73% dans l'ensemble de l'Union européenne. Et seuls 38% des Autrichiens ont une opinion positive de l'UE. L'Autriche est ainsi l'un des pays les plus insatisfaits des 27. Un thème cristallise ce mécontentement et est, selon cette étude, la priorité pour les Autrichiens : l'immigration. On le constate à Nickelsdorf, village de moins de 2 000 habitants, situé à la frontière avec la Hongrie, dans la région autrichienne du Burgenland. En 2015, lors de ce qu'on a appelé « la crise des réfugiés », ce village a été l'un des principaux points de passage. En quelques semaines, 300 000 réfugiés, principalement originaires de Syrie, d'Afghanistan et d'Irak, sont arrivés dans ce village, depuis la Hongrie - jusqu'à 20 000 par jour au plus fort de la vague. Des tentes ont été installées, des moyens de transport déployés, car ces réfugiés voulaient gagner l'ouest de l'Europe, notamment l'Allemagne. Le maire social-démocrate de la commune depuis près de 30 ans, Gerhard Zapfl, reconnaît qu'ils se sont sentis seuls à l'époque pour faire face à cette situation d'urgence, déplorant le manque de stratégie coordonnée des 27 États européens : « En 2015, l'Union européenne n'avait pas de réponse à ce problème et, jusqu'à présent, je constate qu'elle n'en a toujours pas. » Cette crise a, selon lui, laissé des traces durables à Nickelsdorf, mais aussi dans toute l'Autriche. « La conséquence de cette vague de réfugiés est que le scepticisme à l'égard des étrangers n'a cessé d'augmenter. Et cette situation peut être instrumentalisée. C'est le cas en Autriche avec le parti d'extrême droite FPÖ, qui ramène tous les sujets qui touchent le pays à l'immigration », affirme-t-il, ajoutant que ce scepticisme concerne aussi l'Union européenne. « L'UE échoue totalement sur cette question et cela déçoit un très grand nombre de personnes. » Intéresser les jeunes à l'UE Le FPÖ est actuellement dans l'opposition, mais il est le premier parti dans les sondages, crédité d'environ 35% des intentions de vote. Kevin dit se reconnaître dans ce parti. Ce jeune homme vit à Sattledt en Haute-Autriche, commune de moins de 3 000 habitants « où tout le monde se connaît » et où il a ouvert un café, il y a deux ans. « L'idée d'une union entre les pays européens, du point de vue d'une communauté économique, d'un projet de paix, est quelque chose de très positif », reconnaît-il. Mais s'il se dit aujourd'hui très critique de l'Union européenne, c'est avant tout, insiste-t-il, en raison de la politique migratoire de l'UE : « Nous ne parviendrons pas à maîtriser la situation si nous n'avons pas de protection aux frontières. [...] C'est typique de l'UE : nous discutons et négocions éternellement au lieu de prendre rapidement des mesures. » C'est pour comprendre cette insatisfaction des Autrichiens vis-à-vis de l'UE et la combattre que Rüya Buga parcourt l'Autriche depuis deux ans. Cette jeune bénévole de l'association ÖGfE anime des ateliers sur l'Union européenne dans les écoles, partout dans le pays. « J'entends souvent la réponse suivante de la part des élèves : "Ça ne m'intéresse pas." Mais alors, je leur réponds : "Tu es jeune, n'est-ce pas ? Tu aimerais peut-être déménager un jour, avoir un bon travail, pouvoir t'offrir certaines choses ? Tout ça, ce sont des sujets politiques qui influencent ta vie. Alors, cela doit t'intéresser d'une manière ou d'une autre." » Le but des ateliers qu'elle anime est de mieux faire connaître le travail de l'UE et ses effets concrets dans notre vie de tous les jours. Faire naître « une prise de conscience » car, conclut-elle, « nous vivons tous dans l'Union européenne et devons contribuer à la façonner. Parce que nous sommes la masse et ici, il s'agit de notre avenir. »
durée : 00:05:13 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - On pensait que les chats domestiques européens étaient arrivés du Levant il y a 6000 ans. Grâce à de l'ADN nucléaire ancien, une nouvelle étude propose une généalogie différente : le chat européen serait en réalité arrivé d'Afrique du Nord bien plus récemment. - invités : Bea De Cupere Archéozoologue à l'Institut des sciences naturelles de Bruxelles
durée : 00:20:16 - Journal de 18h - Le président russe s'est montré particulièrement menaçant avec les Européens, juste avant de recevoir l'émissaire de Donald Trump au Kremlin. La Russie est prête à riposter militairement, même si Vladimir Poutine se défend de vouloir faire la guerre à l'Europe.
durée : 00:06:31 - Caroline au pays des 27 - par : Caroline Gillet - On retrouve Hugues Parmentier. Il travaille à la DG DEFIS - Defense, industrie et espace, il a déjà été envoyé en Ukraine deux fois et raconte le vote pour sécuriser EDIP - un projet d'1,5 milliard d'euros issus du budget de l'UE qui seront consacré à l'industrie européenne de la défense. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce mardi 2 décembre, Ulrich Bounat, analyste géopolitique de l'Europe centrale et de l'Est, chercheur associé, était l'invité d'Annalisa Cappellini dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Erwan Morice. Ils sont revenus sur les pourparlers internationaux en faveur de la paix en Ukraine, le côté paradoxal derrière la tentative d'exclure l'Union européenne de la table des négociations alors que l'Europe est le seul allié fiable de l'Ukraine et a toutes les cartes en main pour faire pression sur la Russie. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
W drugim odcinku z cyklu Update europejski Bartosz T. Wieliński, wicenaczelny "Gazety Wyborczej", rozmawia z Krzysztofem Brejzą, posłem do Parlamentu Europejskiego z ramienia Koalicji Obywatelskiej, o sytuacji w Gruzji. Jak to się stało, że Gruzja, w której prężnie rozwijała się demokracja, teraz stała się państwem autorytarnym? Jaki udział w tym zwrocie mają rosyjskie służby specjalne? Co łączy Gruzinów i Polaków? W jaki sposób Gruzja Saakaszwilego poradziła sobie z olbrzymią korupcją? Jak wielka w tej chwili jest inwigilacja gruzińskich obywateli? Czy w dłuższej perspektywie autorytaryzm w Gruzji jest do utrzymania? I jak silne jest dążenie Gruzinów do integracji z Unią Europejską? Podcast powstał w ramach projektu Poznajmy naszą Europę współfinansowanego przez Unię Europejską. Więcej o nim na wyborcza.pl/naszaeuropa
Dans cette édition :Le marché de Noël de la Défense à Paris fait débat avec la présence de produits halal, suscitant la polémique chez certains visiteurs attachés aux traditions.Deux mineurs de 16 ans, l'un résidant à Strasbourg et l'autre en région parisienne, ont été mis en examen et écroués pour un projet d'attentat antisémite.Le projet de budget de la Sécurité sociale est de retour à l'Assemblée nationale, avec des discussions entre le gouvernement et l'opposition pour tenter de trouver un compromis.Emmanuel Macron a réaffirmé que les Européens et l'Ukraine devront être présents dans les discussions de paix concernant la guerre en Ukraine, face aux efforts de médiation menés par Donald Trump.Le festival de la bande dessinée d'Angoulême a dû être annulé pour l'édition 2026, une décision qui aura un impact important sur l'économie locale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:24 - Déjà debout - par : Mathilde MUNOS - Delphine Michele, agente à la banque d'investissement européenne au Luxembourg. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:24 - Déjà debout - par : Mathilde MUNOS - Delphine Michele, agente à la banque d'investissement européenne au Luxembourg. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
In Gießen randalierten linke Protestler gegen die AfD-Jungendorganisation. Wie das Fazit des hessischen Innenministeriums ausfällt und wie der politische Nachwuchs das Land verändert, berichtet Journalist Klaus-Rüdiger Mai. Nach massiver Kritik ist der Verband der Familienunternehmer in Deutschland eingeknickt und hat seine „Brandmauer“ gegen die AfD erneuert. Die aktuelle Situation erläutert der Unternehmer Michael Saier, ehemaliges Verbandsmitglied. In der Schweiz setzt derweil eine Volksinitiative die Regierung unter Druck: Die sogenannte Kompass-Initiative will eine passive Mitgliedschaft in der Europäischen Union verhindern. Welche Idee dahinter steckt, erklärt Unternehmer Marco Sieber. Und Frank Wahlig beschäftigt sich im Kommentar mit der Führungsspitze der SPD und dem Dilemma der Bärbel Bas.
Longue émission pour cette semaine chargée en actualités !Avec Brahim Naït-Balk, retrouvez "Homomicro, le podcast qui se prend aux mots", avec les invités du jour :- Abdellah TAÏA, réalisateur, présente son film « Cabo Négro » et nous parle de la jeunesse marocaine. Interview par Brahim NAÏT-BALK et Éric GARNIER- Clair JAZ et Franck LE HEN présentent leur pièce « Brialy/Baker » qui se joue au théâtre de Passy. Interview par Antoine DuvignalAinsi que le Cercle des Chroniqueurs :- Éric GARNIER « Un Film, Un Regard » "Cabo Négro" de Adbellah TAÏA- Louis-George TIN « Nos Couleurs, Nos Colères » "Retour sur la décision européenne concernant le mariage des couples de même sexe"- Nicolas RIVIDI et Fred BLADOU (ex-ActUp) « Le Plus de l'Actu » "La Lutte contre le VIH en ce 1er Décembre"- Valérie BAUD « J'Écris Ton Nom » "La clôture du festival Chéries Chéris"- Michel FIZE sociologue « Fize Au Micro » "L'impact des violences homophobes sur la société Française et Européenne"- Nathan HILLAIREAU « Les Sons de la Fierté » : Hong Seok-Cheon, pionnier, survivant, symbole de la communauté LGBTQI+ en Corée du Sud, sur une musique de LIONESSES « Boy With A Strange Love »Soutenez-nous sur PayPal !
C dans l'air du 1er décembre 2025 - Zelensky fragilisé...Poutine et Trump prêts à signer?Encore une semaine cruciale pour l'Ukraine. Volodymyr Zelensky est reçu ce lundi à l'Élysée par Emmanuel Macron, afin d'échanger sur les négociations et le plan de paix proposé par Donald Trump. Cette nouvelle visite en France du président ukrainien, la dixième depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, intervient au lendemain de nouvelles discussions en Floride. Les Russes n'étaient pas autour de la table : il n'y avait que les Américains et les Ukrainiens, mais le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, a jugé que ces pourparlers avaient été « productifs », même s'il a prévenu qu'« il restait encore du travail ». Une source proche de la délégation ukrainienne a confié de son côté à l'AFP que ces discussions n'étaient « pas faciles ».Cela n'a pas empêché le président américain d'afficher dimanche son optimisme à bord d'Air Force One. « Je pense que la Russie aimerait que cela se termine, et je pense que l'Ukraine… je sais que l'Ukraine aimerait que cela se termine », a déclaré Donald Trump.L'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, qui a participé aux discussions en Floride, doit de nouveau se rendre à Moscou mardi pour discuter avec le président russe Vladimir Poutine. Ces échanges seront suivis de près par les Ukrainiens, les Européens et les Américains, tant l'envoyé spécial est considéré comme proche de Moscou depuis la divulgation d'un appel téléphonique avec un conseiller diplomatique russe par l'agence Bloomberg.Les Européens espèrent que l'administration de Donald Trump, qu'ils soupçonnent de « complaisance » vis-à-vis de Vladimir Poutine, ne sacrifiera pas l'Ukraine, considérée comme un rempart face aux ambitions russes.De son côté, le président ukrainien – qui incarne depuis bientôt quatre ans la résistance ukrainienne à l'invasion russe – a dû se séparer en urgence de son chef de cabinet, Andriy Yermak, éclaboussé par un important scandale de corruption. Un timing qui ne pouvait pas être plus mauvais pour l'Ukraine, alors que dans le pays les attaques incessantes des drones et des missiles russes sur les villes se poursuivent et que sur la ligne de front l'armée russe gagne du terrain, kilomètre carré par kilomètre carré, même si l'armée ukrainienne réussit encore des coups d'éclat, comme l'attaque de deux pétroliers russes par des drones marins le week-end dernier.Nos experts :- Général Jean-Paul PERRUCHE - général de corps d'armée, ancien directeur général de l'état-major de l'Union européenne et ancien chef de la mission militaire auprès du commandement suprême allié de l'Otan en Europe- Alain BAUER - professeur émérite de criminologie au Conservatoire National des Arts et Métiers, auteur de Conspiration au Vatican, publié aux Editions First- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang, publié aux éditions du Rocher- Patricia ALLEMONIERE - Grand reporter spécialiste des questions internationales
Ungarns Rechtsstaatlichkeit steht erneut im Fokus der EU. Ein Zwischenbericht des Europäischen Parlaments verurteilt Budapest. Dies erhöht den Druck vor den Wahlen im nächsten Jahr. Die Regierungspartei von Viktor Orbán spricht von einer politisch motivierten „Hexenjagd“.
Heute geht es um die Frage, wie die Europäer die Ukraine vor dem vierten Kriegswinter unterstützen können, um den Besuch von Papst Leo XIV. im Libanon und um Donald Trumps Lieblingsbaustelle. Das ist die Lage am Montagmorgen. Die Artikel zum Nachlesen: Mehr Hintergründe hier: Wie die Weltgemeinschaft um 300 Milliarden Euro ringt Mehr Hintergründe hier: Libanons Präsident wirbt bei Papst für Erhalt seines Landes Mehr Hintergründe hier: Präsident Protz+++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie mit SPIEGEL+. Entdecken Sie die digitale Welt des SPIEGEL, unter spiegel.de/abonnieren finden Sie das passende Angebot. Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 28 novembre 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.REDRESSEMENT ITALIEN, DÉCLIN FRANÇAIS : UN PARALLÈLE EN TROMPE-L'ŒILAlors que la France s'enfonce dans la dette, l'Italie redresse ses dépenses publiques. Le 2 octobre, le gouvernement d' « union des droites » de Giorgia Meloni a approuvé les dernières prévisions financières pour fin 2025 : le déficit serait ramené autour de 3% du PIB, ouvrant la porte à une sortie de la procédure pour déficit excessif engagée par la Commission européenne. L'Italie est devenue la quatrième puissance exportatrice mondiale se classant derrière l'Allemagne, elle devance désormais la Corée du Sud. En 2014, elle était classée au septième rang.Ces résultats ne doivent pas occulter une dette italienne restée à des niveaux très préoccupants (140% du PIB). De plus, le redressement financier de l'Italie est facilité par les effets du plan de relance européen décidé durant la crise sanitaire de 2020-2022, particulièrement généreux pour Rome (avec 194 milliards d'euros perçus, le pays est le premier bénéficiaire du dispositif). Une dette souveraine qui n'a pas empêché le 19 septembre l'agence de notation Fitch d'en relever la note à BBB+, quelques jours après avoir abaissé celle de la France à A+, donnant l'impression que les courbes, entre les deux pays, étaient destinées à se croiser, le redressement italien ne faisant que mettre en lumière, par contraste, l'affaiblissement des positions de la France.L'économie italienne conserve de grandes fragilités structurelles, notamment une productivité atone, une croissance en berne et une crise démographique qui ne cesse de s'aggraver, notamment par le départ à l'étranger des Italiens diplômés. Le pays connait une productivité du travail faible, estimée par l'OCDE à 65,60 € par heure en 2024, soit beaucoup moins que la France (90,86€). Deuxième puissance manufacturière d'Europe, l'Italie arrive seulement quatorzième dans le classement des pays membres les plus innovants en 2025, selon la Commission, tandis que le climat social se détériore. Le recul du chômage de 7,8% en 2022 à 6% en 2024 cache une augmentation du nombre de travailleurs pauvres et un temps partiel contraint qui frappe d'abord les femmes. Dans ces circonstances, le nombre de familles en situation de pauvreté absolue se maintient au-dessus de 8 millions, quand le taux de population à risque de pauvreté est de 23,1% en 2024. De plus, une étude d'octobre 2024 menée par plusieurs universités analysant les données de la Banque centrale européenne a mis en évidence le caractère profondément inégalitaire du système fiscal italien. Les principaux avantages fiscaux y seraient ainsi concentrés entre les mains des 7% des plus riches, dont le taux moyen d'imposition se révèle inférieur à celui des classes moyennes moins favorisées.En dépit de ces faiblesses, 39% des Italiens, selon le baromètre publié en février 2025 par le Centre de recherches politiques de Sciences Po, déclarent faire confiance à la politique, contre 26% des Français. L'Italie, il est vrai, connait depuis trois ans, contrairement à la France, une stabilité gouvernementale inédite.LE PLAN DE PAIX DE TRUMP POUR L'UKRAINELe 18 novembre, un plan de paix en Ukraine, détaillé en 28 points a sidéré les Ukrainiens et les Européens, tant cette esquisse inacceptable à leurs yeux était alignée sur les positions russes. Il stipule notamment que la Crimée (annexée par la Russie en 2014) ainsi que Louhansk et Donetsk seront « reconnues comme russes de facto, y compris par les Etats-Unis ». Il évoque aussi la création d'une « zone tampon démilitarisée » et neutre dans la partie de l'oblast de Donetsk contrôlée par l'Ukraine, qui serait « internationalement reconnue comme territoire appartenant à la Fédération de Russie », mais où les forces russes n'entreraient pas. Il y est énoncé encore que l'Ukraine devrait renoncer à son projet d'adhérer à l'OTAN et réduire à 600.000 soldats ses forces armées. Il ouvre la voie à une amnistie générale, y compris pour les crimes de guerre dont est accusé le dirigeant russe, Vladimir Poutine, ainsi qu'à une levée progressive des sanctions occidentales, voire à un retour de la Russie dans le G8.Les négociations entreprises dimanche à Genève, entre les conseillers à la sécurité nationale américains, ukrainiens et européens, ont permis de remodeler le plan Trump et de le nettoyer de ses aspects les plus problématiques. Sur les 28 points initiaux, il n'en restait plus que 19 lundi. Certains paragraphes ont été tout simplement rayés, comme la suggestion de réintégrer la Russie dans le G8, ou d'offrir la possibilité pour les Etats-Unis d'utiliser les actifs russes gelés, majoritairement détenus dans des pays européens, afin de financer l'effort de reconstruction. Les mentions concernant directement les intérêts européens, comme les sanctions, la perspective que l'Ukraine adhère à l'Union européenne ou qu'elle n'intègre jamais l'OTAN ont été remises à plus tard. Ce nouveau plan en 19 points n'est pas définitif. Divers ajustements et précisions doivent encore être négociées dans les coulisses, avant d'être soumis à la Russie. Mais la copie paraît désormais acceptable à la fois aux Ukrainiens, aux Américains et aux Européens. Il n'est plus question pour Kyiv de renoncer aux territoires conquis par la Russie, ni d'établir une zone tampon sur son sol mais de proposer un armistice sur la ligne de front actuelle qui serait gelée. Il n'est plus envisagé de réduire par deux la taille de l'armée ukrainienne. « Beaucoup de choses justes ont été prises en compte » à Genève, a observé Volodymyr Zelensky, lundi, indiquant qu'il négociera lui-même avec Donald Trump les points les plus sensibles laissés de côté, lors d'une rencontre dont la date est incertaine. En écho, Vladimir Poutine a déclaré jeudi que « les combats cesseront » quand l'armée ukrainienne « quittera les territoires qu'elle occupe » (= les régions revendiquées par Moscou) et qu'il ne peut pas y avoir d'accord de paix car le gouvernement ukrainien n'est pas légitime.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Gudrun Engel ist Fernsehkorrespondentin in den USA und leitet seit 3 Jahren das ADR-Studio in Washington D.C.. Die Berichterstattung, sagt sie, laufe immer stärker unter Druck, mit Verunsicherung und Angstszenarien. Mit Wolfgang spricht sie über die aktuelle Newslage: wie Trump den Anschlag in Washington instrumentalisieren wird, über die Rolle der Amerikaner im Ukraine-Krieg, was noch von den Epstein-Files zu erwarten ist. Und: Inwiefern müssen die Europäer ihre Perspektive auf die USA überdenken? Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/ApokalypseundFilterkaffee
La guerre d'Ukraine a profondément bouleversé les équilibres géopolitiques en Europe. Elle a mis fin à l'illusion d'un continent définitivement pacifié, ravivé les logiques de blocs et provoqué un réarmement accéléré des États européens. L'Europe est sous pression qui doit à la fois se repenser et repenser en profondeur son modèle de défense. Le renforcement de la menace russe, hybride, cyber, militaire et informationnelle, combinée à la dépendance persistante envers les États-Unis qui la brutalisent, met en lumière les fragilités structurelles de la défense européenne. Si l'OTAN a retrouvé une centralité stratégique, une coordination renforcée des États européens sur les plans stratégique, capacitaire et opérationnel s'impose. Le conflit ukrainien interroge aussi la souveraineté, les frontières et les rapports de puissance sur le continent. Comment la guerre en Ukraine reconfigure-t-elle durablement l'architecture de sécurité européenne ? Invités : Sylvie Bermann, ancienne ambassadrice de France en Chine, au Royaume-Uni et en Russie. «L'ours et le dragon. Russie/Chine. Histoire d'une amitié sans limite», éd. Tallandier Général Vincent Desportes, essayiste, conférencier, ancien directeur de l'Ecole de guerre. Laurent Griot, enseignant chercheur à Grenoble École de Management, spécialiste des risques géopolitiques d'économie de la défense. Pascal Boniface, directeur de l'IRIS. «Géostrategix». L'intégrale Tomes 1 et 2. éd. Dunodgraphic. Émission enregistrée à Grenoble dans le cadre des Géopolitiques de Grenoble. Initiative IRIS (Institut des Relations Internationales et Stratégiques / GEM (Grenoble École de Management).
Administracja Donalda Trumpa kompletnie zaskoczyła nie tylko polski rząd, ale całą Europę. W podsuniętym Amerykanom przez Kreml tzw. planie pokojowym dla Ukrainy jest zapisana kapitulacja Kijowa, rozgrzeszenie rosyjskich zbrodniarzy, zakaz rozszerzania NATO, redukcja ukraińskiej armii i powrót Rosji do światowej polityki oraz gospodarki. Premier Donald Tusk widzi w nim rosyjską pułapkę, w którą wpadli amatorzy od Trumpa. Dlatego wzywa prezydenta Karola Nawrockiego, by interweniował u swego frienda Trumpa. Ale prezydent umywa ręce, bo wie, że ich friendship to pic. Zamiast wspólnego frontu w sprawie Ukrainy, jest front polsko-polski, na którym prezydent odmawia już nie tylko awansów dla funkcjonariuszy i żołnierzy kontrwywiadu, ale też odznaczeń dla nich. Pałac Prezydencki twierdzi, że rząd chciał upokorzyć Nawrockiego. Jak? Podsyłając prezydentowi do odznaczeń funkcjonariuszy, którzy — wedle Nawrockiego — rzekomo chcieli zaszkodzić mu w kampanii. To cokolwiek zdumiewające, bo jeśli Nawrocki twierdzi, że specsłużby stały za ujawnieniem kompromitujących faktów z jego przeszłości, to powinien złożyć doniesienie do prokuratury. Tak się składa, że prezydent odrzucił 130 wniosków o odznaczenia dla funkcjonariuszy ABW. Gdyby zatem wersję Nawrockiego brać na serio, to znaczyłoby, że wszyscy oni wzięli udział w operacji przeciwko niemu. Są zatem dwie możliwe wersje wydarzeń. Albo ABW łamie prawo, a jednocześnie jest skrajnie nieudolna, bo przeprowadziła operację przeciwko kandydatowi na prezydenta, w której wzięło udział 130 ludzi i która skończyła się fiaskiem. Albo też pan prezydent jest zwyczajnym mitomanem. Prawa jest zresztą nieważna — wybór wersji zapewne jest pochodną poglądów politycznych wybierającego. Dla PiS zmartwienia pana prezydenta nie są szczególnie ważne. Bo PiS zajęty jest sam sobą — w partii doszło do totalnej konfrontacji dwóch zwalczających się obozów. Chodzi o frakcję „harcerzy" Mateusza Morawieckiego i „maślarzy", czyli Przemysława Czarnka, Jacka Sasina, Tobiasza Bocheńskiego i Patryka Jakiego. Wojna doszła na poziom ścisłych władz PiS, tak zwanego PKP. To było najciekawsze od lat posiedzenie PKP. Opisujemy jego przebieg. Panie i Panowie, co się tam działo! Aż chce się nam zakrzyknąć: „Towarzysze maślarze i druhowie harcerze, śmielej!" Za niepłacenie składek nie wyleci co prawda europoseł Waldemar Buda — związany z Morawieckim — ale niedługo wylecieć może legendarna Janina Goss, która latami obdarowywała Kaczyńskiego swymi legendarnymi ziółkami. Ale jest też w PiS sporo radości. Na przykład z tego powodu, że książka byłego prezydenta Andrzeja Dudy — na której chciał zarobić miliony — właśnie trafiła do Biedronki.
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face Marie-Christine Tabet, Daniel Cohn-Bendit et Claude Blanchemaison.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Die Zeitungen beschäftigen sich erneut mit der Lage der Ukraine. Dabei geht es zum einen weiterhin um den auf Druck der Europäer überarbeiteten US-Plan für ein Kriegsende. Die meisten der heutigen Kommentare thematisieren jedoch die laufende Korruptionsaffäre. www.deutschlandfunk.de, Internationale Presseschau
Noch nie bekam die Europäische Raumfahrtagentur ESA so viel Geld. Dafür soll sie deutlich mehr tun für die Sicherheit und Verteidigung Europas. Ausserdem: Die Masern kommen zurück. Und: der letzte Teil unseres Rückblicks zum Ende des Wissenschaftsmagazins. (00:36) Paradigmenwechsel in der europäischen Raumfahrt. Noch nie hat die europäische Raumfahrtagentur ESA erhalten, was sie wünschte. Ihre Budgetforderungen wurden immer gestutzt. Diesmal nicht. Mit den jetzt zugesprochenen 22.1 Milliarden soll die ESA eine duetlich grössere Rolle spielen in der Sicherheit Europas (04:51) Die Rhythmen des Gehirns - unser Gehirn macht vier markante Entwicklungsschritte von der Kindheit bis ins Alter. Zu diesem Schluss kommen Forschende in einer neuen Studie. Doch so klar scheint die Sache nicht zu sein (08:02) Masern – sie kommen zurück. Seit dem Jahr 2000 haben die Todesfälle durch Masern weltweit stark abgenommen. Millionen von Menschen sind in diesem Zeitraum vor dem Masernvirus geschützt worden. Doch die Infektionszahlen steigen wieder an.Die Gründe für den Anstieg sind vielschichtig. (13:44) Rückblick auf achtzehn Jahre Wissenschaftsmagazin, letzter Teil: Die Energie, die wir verbrauchen. Woher sie kommt und aus welchen Quellen wir sie in Zukunft beziehen könnten. Links: Rekordbeiträge für die Europäische Raumfahrtagenur ESA: esa.int/Newsroom/Press_Releases/ESA-Mitgliedstaaten_zeichnen_auf_Ministerratstagung_Rekordbeitraege Staatssekretariat für Bildung und Forschung SBFI zum ESA-Budget: news.admin.ch/de/newnsb/nKC0FVbj4loYYOs8koyJB Turningpoints unserer Gehirnentwicklung: nature.com/articles/s41467-025-65974-8 SRF-Artikel zu der Gehirnentwicklung: srf.ch/wissen/gesundheit/hirnforschung-wir-sind-jugendlich-bis-anfang-30-zumindest-im-gehirn Die Zahl der Masereinfektionen steigt wieder: who.int/news/item/28-11-2025-measles-deaths-down-88--since-2000--but-cases-surge
Diese Woche machte sich in Europa ein Fünkchen Hoffnung auf Frieden breit. In Genf verhandelten EU, USA und Ukraine über ein Ende des Kriegs. Aber in dem ursprünglich von den USA vorgelegten Plan befanden sich vorwiegend Punkte, die aus russischer Feder zu stammen schienen. Unter anderem der de facto Verzicht der Ukraine auf Teile ihres Staatsgebiets. Kritiker sprachen von einer “Kapitulation”, US-Außenminister Marco Rubio soll den Plan gar mit einer russischen “Wunschliste” verglichen haben. Inzwischen konnten die Europäer Washington von Änderungen überzeugen. Doch ob diese in Russland auf offene Ohren stoßen werden, ist unklar. Unterdessen steht die Ukraine enorm unter Druck. An der Front rückt Russland langsam aber stetig voran. Und in der Hauptstadt tobt ein millionenschwerer Korruptionsskandal, der im Rücktritt von Selenskyjs Stabschef Jermak mündet. Die Zeiten sind hart für die Ukraine, doch trotz allem scheint zumindest etwas Bewegung in die verfahrene Situation zu kommen. Wie realistisch ist die Hoffnung auf Frieden? Ist Russland bereit, Zugeständnisse zu machen? Oder bleibt es am Ende, wie so oft in den vergangenen Jahren, bei Ankündigungen und Initiativen? Der Apofika-Presseklub mit Christina Hebel (Spiegel), Olivia Kortas (Zeit), Frederik Pleitgen (CNN) und natürlich unserem Host, Markus Feldenkirchen (Spiegel) Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/presseklub
Chiny są dziś pewne siebie jak nigdy wcześniej. Jakub Jakóbowski z OSW tłumaczy, skąd bierze się ta pewność, jakie sygnały Pekin wysyła światu i dlaczego tak otwarcie mówi o swoich planach.(00:00) Wstęp(2:06) Rozmowa Trumpa z Xi(7:12) Czy Chińczycy chcą coś ugrać na procesie pokojowym?(16:09) Czego Chińczycy uczą się od Rosja?(19:07) Jak Chiny widzą siebie?(33:53) Od kiedy rośnie pewność siebie Chin?(39:00) Czy Chińczycy chcą wyciągnąć Europę od USA?(47:57) Podsumowanie: Czy Chińczycy nie przegrzewają?Mecenasi programu:Inwestuj w fundusze ETF z OANDA TMS Brokers: https://go.tms.pl/UkladOtwartyETF AMSO-oszczędzaj na poleasingowym sprzęcie IT: https://amso.pl/Uklad-otwarty-cinfo-pol-218.htmlPobierz aplikację Hallow: http://hallow.com/ukladotwartyZgłoś się do Szkoły Przywództwa Instytutu Wolności:https://szkolaprzywodztwa.plhttps://patronite.pl/igorjanke ➡️ Zachęcam do dołączenia do grona patronów Układu Otwartego. Jako patron, otrzymasz dostęp do grupy dyskusyjnej na Discordzie i specjalnych materiałów dla Patronów, a także newslettera z najciekawszymi artykułami z całego tygodnia. Układ Otwarty tworzy społeczność, w której możesz dzielić się swoimi myślami i pomysłami z osobami o podobnych zainteresowaniach. Państwa wsparcie pomoże kanałowi się rozwijać i tworzyć jeszcze lepsze treści.
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face Marie-Christine Tabet, Daniel Cohn-Bendit et Claude Blanchemaison.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 28 novembre 2025 - Plan de paix : Poutine a-t-il déjà gagné ? Encore une nuit de frappes sur l'Ukraine. Missiles et drones ne laissent que peu de répit aux habitants, alors que les discussions autour du plan de paix américain pour mettre fin à la guerre entre l'Ukraine et la Russie se poursuivent. Jeudi, Vladimir Poutine a déclaré que les grandes lignes de ce plan pourraient servir de base à de « futurs accords » visant à mettre fin au conflit, tout en excluant de signer un document avec les autorités de Kiev, qu'il juge toujours « illégitimes ». Inflexible sur le fond, le président russe a réaffirmé que Moscou mettra fin à son offensive que si les forces ukrainiennes « se retirent des territoires qu'elles occupent » − sans préciser lesquels. « Dans le cas contraire, nous atteindrons nos objectifs militaires », a-t-il menacé.La cession par Kiev à Moscou des régions de Donetsk et de Lougansk figurait dans le plan originel en 28 points présenté la semaine dernière par les États-Unis, plan qui a été perçu par beaucoup à Kiev, en Europe mais aussi outre-Atlantique, comme une capitulation. Le texte a depuis été remanié après des consultations avec l'Ukraine et les Européens. Mais aux États-Unis, le débat sur l'origine réelle de ce plan se poursuit et a mis le feu au Parti républicain, depuis la révélation par le média Bloomberg de conversations entre Steve Witkoff et des proches de Vladimir Poutine, dans lesquelles l'envoyé spécial de Donald Trump apparaît aligné sur la posture russe.Sur le continent, les dirigeants de l'Union européenne tentent de se dresser unis contre la Russie et défendent un plan de paix respectueux de la souveraineté ukrainienne. Pour autant, le Premier ministre hongrois détonne. Viktor Orbán a promis, lors d'une rencontre avec le président Vladimir Poutine ce vendredi au Kremlin, de poursuivre les importations d'hydrocarbures russes dont son pays continue de dépendre. Le président russe, de son côté, s'est dit « très heureux » de la poursuite des relations entre les deux pays, basées selon lui sur le « pragmatisme ».Parallèlement, les autorités anticorruption ukrainiennes ont mené ce vendredi des perquisitions au domicile d'Andriy Iermak, chef de cabinet du président Zelensky. Une nouvelle qui fragilise le président ukrainien, à un moment où il poursuit sa quête d'appuis financiers et militaires en Europe, et alors que Kiev mène des pourparlers très difficiles sur le plan de paix. Andriy Iermak est le négociateur clé dans ce processus.Que contient le plan de paix en discussion ? Que sait-on des perquisitions en cours et de l'affaire de corruption qui secoue l'Ukraine depuis des mois ? Enfin, comment les pays baltes se préparent-ils face à la menace russe ? Nos journalistes se sont rendus à la frontière entre la Lituanie et la Russie.Nos experts :- VINCENT HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- LAURE MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, auteure de L'Ukraine se lève - MARYSE BURGOT - Grand reporter – France Télévisions- ALAIN PIROT - Journaliste, spécialiste des questions de défense
Reisen Reisen - Der Podcast mit Jochen Schliemann und Michael Dietz
Magische Farb-Schauspiele am arktischen Nachthimmel - eines DER Naturspektakel dieser Erde mit eigenen Augen erleben. Und im Winter-Wunderland Finnisch Lappland gibt es noch viel mehr: Eisangeln, Schneewandern, mehrtätige Ski-Safaris, Zelten im Iglu, Yoga mit Rentieren, Sauna bis der Arzt kommt plus Jochen Schliemann beim Eisbaden. Eine Grenzerfahrung mit unvorhersehbaren Auswirkungen für uns alle. All das checken wir für euch in Europas letzter Wildnis: der wunderschönen Winter-Szenerie der Region Ruka-Kuusamo im Nordosten Finnlands. Hier gibt es die beste Luft und das sauberste Wasser des Planeten, unberührte Natur und mit ein bisschen Glück: grüne, violette, bezaubernde Polarlichter. Aurora Borealis! Alle Tipps für eure besten Chancen und diesen Trip of a Lifetime bekommt in dieser Folge.Diese Episode entstand mit freundlicher Unterstützung der Ruka-Kuusamo Tourist Association und der Naturpolis Ltd mit Kofinanzierung durch die Europäische Union.Im Winter gibt es ein paar Direktflüge nach Kuusamo:Ab Frankfurt (Lufthansa): 22.11.2025 - 28.3.2026Ab Düsseldorf (Eurowings): 21.12.2025 - 8.3.2026Ab Zürich (Edelweiss): 19.12.2025 - 6.3.2026(Stand Dezember 2025) Unsere Werbepartner findet ihr hier.REISEN REISEN LIVE:24.2.2026 Hamburg26.2.2026 MünchenTickets gibt es HIER.Mehr Reisen Reisen gibt es hier.Noch mehr Reisen Reisen gibt es in unserem Newsletter-Magazin. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Une nouvelle mouture du plan de paix pour l'Ukraine a été transmise à Moscou, Kiev et les Européens ayant réussi à imposer des modifications. Face à la menace russe, Emmanuel Macron a annoncé la création d'un service militaire de dix mois pour les jeunes majeurs volontaires. En Guinée-Bissau, le processus électoral a été interrompu par un coup d'État et un général a été investi comme président de la transition. Enfin, au Nigeria, une vague d'enlèvements secoue le pays.
Ein 28 Punkte umfassender Friedensplan setzt die Ukraine unter Druck. Die Zustimmung dazu käme einer Kapitulation gleich. Haben die Europäer die Kraft dagegenzuhalten? Wie erschöpft ist die Ukraine nach drei Jahren Krieg?Zu hören: Der ukrainische Journalist Denis Trubetskoy (Kiew), der Amerika-Experte und Autor Eugen Freund („Das Spiel mit dem Dritten Weltkrieg“), die Auslandsjournalistin Jutta Sommerbauer (Die Presse) und London-Korrespondentin Tessa Szyszkowitz. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.