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Après la prison dans « Intra Muros », et de la PMA dans « Une histoire d'amour », Alexis Michalik continue d'explorer au théâtre des thématiques plus sociales et humanistes. Il revient aujourd'hui avec « Passeport » qui aborde cette fois-ci les sujets de l'immigration, de l'identité et des réfugiés. Ses pièces font un carton, tant public que critique. 5 Molière en 10 ans, et de vrais succès populaires, avec toujours des histoires pleines d'émotions, de rebondissements et de rythme, qui touchent et font mouche.Comme d'habitude, pas une seconde d'ennui, une fluidité entre les scènes qui s'enchaînent sans temps mort, d'astucieuses idées de mise en scène à foison, des dialogues ciselés et des personnages touchants dans sa nouvelle pièce, qui nous parle du sort des migrants et de l'identité, à travers le destin d'un réfugié.De la Jungle de Calais à la cuisine d'un restaurant parisien, d'un camion de gendarmerie à une salle à manger familiale, d'un wagon de train à une chambre d'hôpital, Alexis Michalik entraîne ses comédiens - parmi lesquels Jean-Louis Garçon et Manda Touré - et avec eux les spectateurs, dans un souffle romanesque puissamment théâtral.Le nom de la pièce tient en un seul mot « Passeport ». Un spectacle à l'affiche du Théâtre de la Renaissance.Alexis Michalik, Manda Touré et Jean-Louis Garçon sont les invités de VMDN.Reportage : Clara Gabillet s'est rendue aux « Cuistots migrateurs », un traiteur pas comme les autres situé à Montreuil en banlieue parisienne, qui embauche des personnes réfugiées. Ils partagent leur passion pour la cuisine du monde entier, entre gastronomie sénégalaise, syrienne ou bien encore népalaise.
Salut, c'est Julie! T'as remarqué tous ces coquelicots en ville comme à la campagne? Le printemps pluvieux y est pour quelque chose! Mais ces fleurs peuvent enquiquiner les paysans qui cultivent du blé. En Afghanistan, les Talibans ont d'ailleurs interdit la culture du pavot. Parce qu'on en fait... de l'héroïne! Mais nous on va plutôt utiliser les graines de ces magnifiques fleurs rouges pour faire un cake citron vert-pavot-mélisse: https://bit.ly/3ASWsai J'espère qu'il te plaira! Un week-end plein de soleil à toi! Julie
Bonjour à toutes et à tous, Bienvenue dans Changer la norme. Je m’appelle Flavie Deprez et je suis la directrice et la cofondatrice de Carenews, les acteurs de l’engagement. Depuis deux ans, je tends mon micro à celles et ceux qui ont choisi d’entreprendre autrement. Ces chefs d’entreprises ou dirigeants d’association, ou quelques soient le statut qui ne fait pas la vertu de leur structure ont choisi de placer le bénéfice humain et ou écologique avant le bénéfice financier et répondent à des problématiques sociales. Sur leur chemin, linéaire ou faits de détours, des questions économiques, RH, financières et commerciales. Pour Changer vraiment la norme, il nous semble important d’aborder tous les contours d’une histoire et de ne pas se limiter à des inspirations ou des social callings. Et d’échanger sur ce qui va bien, et parfois moins bien. Aujourd’hui, je suis heureuse de recevoir Louis jacquot, le cofondateur des Cuistots migrateurs. Ça faisait longtemps qu’on n’avait pas parlé de bouffe dans Changer la norme. L’amour de la bonne bouffe, c’est ce qui a amené Louis a lancé les Cuistots migrateurs avec son associé qui avait lui la volonté d’une entreprise sociale. Les Cuistots migrateurs, c’est une entreprise de traiteurs, un restaurant et maintenant une école de cuisine du monde où les cuisiniers sont des réfugiés. Avec Louis, nous allons parler de la genèse du projet, du choix du business et de cette volonté de travailler avec des personnes qui ont fui leur pays, de la croissance de l’entreprise, du Covid et du développement des Cuistots migrateurs vers la formation. La saison 4 de Changer La Norme est soutenue par la Fondation Entreprendre.
Bonjour à toutes et à tous, Bienvenue dans Changer la norme. Je m’appelle Flavie Deprez et je suis la directrice et la cofondatrice de Carenews, les acteurs de l’engagement. Depuis deux ans, je tends mon micro à celles et ceux qui ont choisi d’entreprendre autrement. Ces chefs d’entreprises ou dirigeants d’association, ou quelques soient le statut qui ne fait pas la vertu de leur structure ont choisi de placer le bénéfice humain et ou écologique avant le bénéfice financier et répondent à des problématiques sociales. Sur leur chemin, linéaire ou faits de détours, des questions économiques, RH, financières et commerciales. Pour Changer vraiment la norme, il nous semble important d’aborder tous les contours d’une histoire et de ne pas se limiter à des inspirations ou des social callings. Et d’échanger sur ce qui va bien, et parfois moins bien. Aujourd’hui, je suis heureuse de recevoir Louis jacquot, le cofondateur des Cuistots migrateurs. Ça faisait longtemps qu’on n’avait pas parlé de bouffe dans Changer la norme. L’amour de la bonne bouffe, c’est ce qui a amené Louis a lancé les Cuistots migrateurs avec son associé qui avait lui la volonté d’une entreprise sociale. Les Cuistots migrateurs, c’est une entreprise de traiteurs, un restaurant et maintenant une école de cuisine du monde où les cuisiniers sont des réfugiés. Avec Louis, nous allons parler de la genèse du projet, du choix du business et de cette volonté de travailler avec des personnes qui ont fui leur pays, de la croissance de l’entreprise, du Covid et du développement des Cuistots migrateurs vers la formation. La saison 4 de Changer La Norme est soutenue par la Fondation Entreprendre.
Cette semaine Jeane reçoit Louis Jacquot, co-fondateur des cuistots migrateurs. Dans cette épisode, Louis nous raconte comment depuis 2015, grâce a la restauration, il permet a des réfugié•e•s de travailler de manière pérenne. Chaque recette est imaginée par les réfugié•e•s et proposées aussi bien pour le service traiteur de l'entreprise que pour le restaurant. Depuis 2020, Louis et son équipe ont pour projet d'ouvrir une école de cuisine permettant à des réfugié•e•s de suivre une formation gratuite de quelques mois afin de s'insérer sur le marché de l'emploi facilement une fois le diplôme obtenu. Plus de 10 000 postes sont à pourvoir chaque année dans le secteur de la restauration. N'hésitez pas à soutenir le projet des Cuistots migrateurs pour soutenir ces hommes et femmes venu•e•s du monde entier. Liens utiles pour suivre l’épisode : • Les cuistots migrateurs : www.lescuistotsmigrateurs.com • Le compte Instagram : S'abonner Soutenir Basilic :instagram.com/basilicpodcast/twitter.com/BasilicPodcast?lang=frfacebook.com/Basilicpodcast/ Production : Jeane Clesse Musique : Benjamin Porraz Graphisme : Mahaut Clément & Coralie Chauvin Mixage : Alexandre Ottmann Si cet épisode vous a plu, n’hésitez pas à laisser plein d’étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m’aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs.
S’intégrer par la cuisine, avec Louis Jacquot, des Cuistots migrateurs, et Camille Marshall, de l’association « Eat and meet ».
Nous sommes aujourd'hui avec Louis Jacquot, le fondateur des Cuistots Migrateurs, une entreprise sociale et solidaire dont la mission est de changer le regard des français sur les réfugiés grâce à la bouffe.Ensemble, nous revenons sur le concept de son entreprise à mission : un service traiteur qui embauche des réfugiés et s'appuie sur leur savoir-faire pour faire émerger de nouvelles cuisines du monde. Nous parlons des conséquences de la crise sur son activité et de la nécessité de se réinventer. Louis ne manque pas d'ambition pour accroitre son impact social. En effet, en plus de sa détermination à maintenir et à trouver de nouveaux débouchés malgré le contexte difficile, le fondateur nous fait part de son projet d'école de cuisine pour les réfugiés et nous explique sa vision de l'après-crise.
avec Louis Jacquot, des Cuistots migrateurs, et Camille Marshall, de l’association « Eat and meet »
Ali et Shayan sont réfugiés d’Afghanistan. Ils ont traversé l’Europe, sont passés par les camps de migrants à Calais notamment et viennent d’ouvrir un restaurant à Paris, le Kabul Kitchen. Dans leur pays, la cuisine était le domaine réservé des femmes mais aujourd’hui, ils ont appris à réaliser les plats de leur enfance avec les ingrédients qu’ils trouvent ici pour faire découvrir leur culture aux Français et donner une image plus réjouissante de leur pays.
Les Rencontres de Vianney HUGUENOT France Bleu Lorraine Nord
durée : 00:03:44 - Les Rencontres de Vianney HUGUENOT France Bleu Lorraine Nord - par : Vianney HUGUENOT
Les Rencontres de Vianney HUGUENOT France Bleu Lorraine Nord
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Les Rencontres de Vianney HUGUENOT France Bleu Lorraine Nord
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Les Rencontres de Vianney HUGUENOT France Bleu Lorraine Nord
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Les Rencontres de Vianney HUGUENOT France Bleu Lorraine Nord
durée : 00:03:10 - Les Rencontres de Vianney HUGUENOT France Bleu Lorraine Nord - par : Vianney HUGUENOT
J’ai rencontré Louis Jacquot le 31 janvier 2019 à Paris au Hasard Ludique. Il y a trois ans, avec son associé Sébastien Prunier, Louis Jacquot a fondé une entreprise sociale et engagée, Les Cuistots Migrateurs. Il m’a reçue au Hasard Ludique, dans ce lieu culturel du 18ème arrondissement où est installée la résidence des Cuistots Migrateurs : si l'entreprise est un traiteur de cuisine du monde qui emploie des cuisiniers réfugiés et mobilise leurs recettes familiales et leur talent pour proposer une cuisine authentique et pleine de saveurs, il est aussi possible, depuis quelques mois, de déguster leur cuisine au sein d'un restaurant. Après une école de commerce et différents postes dans le marketing, Louis Jacquot avait envie de monter sa propre entreprise, mais une entreprise sociale, "afin de remettre du sens dans sa vie et dans celles des autres". Parmi de nombreuses envies, il a finalement choisi de réunir sa passion pour la cuisine et son intérêt pour les cultures étrangères, en développant un concept qui mixerait interculturalité et cuisine, tout en décalant et faisant évoluer le regard posé sur les migrants. De cette volonté sont nés les Cuistots migrateurs. Partis du constats que les discours médiatiques sur les migrants étaient souvent pessimistes voire anxiogènes, l’objectif des jeunes entrepreneurs était bien de créer une entreprise qui permettrait de valoriser le talent des migrants, de réinsérer dans la société des personnes d’horizons et de profils sociaux-professionnels très variés. Si la cuisine est source de plaisir et rassemble, elle permet aussi à celui qui la fait de se raconter, d’évoquer son histoire, son parcours. En faisant la cuisine, on peut transmettre des sensations, on peut partager sa culture, raconter son pays, en la dégustant, on peut saisir l’âme d’une population, et mieux s'immerger dans la culture d'un pays ; la cuisine est un profond vecteur d’histoires, de la plus universelle à la plus intime. Avec Louis nous sommes revenus sur l’origine de son projet, sur cette envie de construire quelque chose qui ait du sens pour lui et pour les autres. Il nous a parlé de ses employés, motivés et motivants, de la cuisine qui est une porte d’entrée sur le monde, qui permet des rencontres et des découvertes non seulement gustatives mais aussi humaines. Nous avons également évoqué d’autres initiatives proches comme le Refugee Food Festival, dont la première édition a d’ailleurs été co-organisée par Les Cuistots Migrateurs. Dans le contexte actuel d’uniformisation du goût et des pratiques culinaires, préserver les cuisines locales, valoriser les identités culturelles, les rattacher à leurs terroirs, à leurs traditions sont de précieuses initiatives. Et la promesse des Cuistots Migrateurs, "Voyagez grâce aux talents de chefs réfugiés", est tenue.