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durée : 00:04:54 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Deux journalistes, Charlotte Belaïch et Olivier Pérou, publient une enquête inédite sur La France insoumise. "La Meute" (Flammarion) détaille un climat violent au sein du mouvement.
Dans la deuxième partie de cet épisode nous retrouvons, Joseph Mestrallet, fondateur de la start-up Enduraw, il accompagne aujourd'hui des figures majeures du trail mondial comme Ruth Croft 2ème de l'UTMB 2024, Tom Evans 1er de la western states 2023 et 3ème de l'UTMB 2022 ou Petter Engdahl 1erde la Transvulcania 2022, en utilisant la data comme levier stratégique pour performer le jour J.
Voici un épisode en 2 parties: Partie 1: Interview de Thibaut Mulliez, cofondateur de l'association Atlantid. Son objectif ? Permettre à chacun d'avancer en vivant une expérience d'intelligence collective au delà des frontières et des catégories socioprofessionnelles. Pour en savoir plus: https://atlantid.org/Partie 2: je vous explique comment créer votre propre session d'1h avec vos amis, pour avancer quand vous êtes bloqué.e dans votre carrière. Voici le déroulé: en 6 étapes :Poser le cadre (5 min): Explique le principe à ton groupe :"Je vais vous partager une situation pro, vous m'aidez à y voir plus clair. Pas besoin d'être expert, juste de poser des questions et partager vos idées."Exposer la situation (10 min)Décris ton contexte : Ce qui te bloque, Ce que tu veux décider ou comprendreClarification (10 min)Ils te posent des questions de compréhension (pas encore de conseils).Formulation de ta question (5 min)Reformule ton besoin en une question claire :"Comment puis-je… ?" ou "De quoi ai-je besoin pour… ?"Partage d'idées (20 min)Ils proposent librement leurs idées.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Quand on pense à une startup à succès, on imagine une IPO spectaculaire ou un rachat retentissant. Mais il existe une voie plus discrète — et tout aussi stratégique : celle du marché secondaire. Et c'est précisément là que David Laroque entre en jeu. Ancien banquier en levée de fonds et M&A, David est aujourd'hui l'un des grands spécialistes français du VC secondary chez Bryan Garnier, désormais intégré au groupe Stifel. Son métier ? Permettre aux premiers investisseurs, aux fondateurs, voire à des fonds entiers… de sortir au bon moment. Il a vu passer les plus belles scale-ups européennes : Klarna, Backmarket, Algolia, Revolut… Et dans l'ombre, il sait évaluer ces parts mieux que quiconque… et trouver les acheteurs capables d'en révéler toute la valeur. Dans cette interview Voix de la Finance, on plonge dans les coulisses du venture capital secondaire : ses deals les plus marquants, et comment il parvient à créer de la liquidité — qu'il s'agisse d'opérations LP-led, GP-led ou Company-led.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue sur la Radio Circulab (ex Activer l'Economie Circulaire) Brieuc reçoit Jessica Weinreb, une ancienne de la team Circulab !Jessica, après avoir évolué dans un grand groupe industriel, a opéré un changement de cap radical suite à un déclic lié à la recherche de sens.Chez On Purpose et Circulab, elle a pu observer l'engagement profond des acteurs de l'économie sociale et solidaire. Elle a eu besoin de s'engager à son tour et a cofondé Au carré, une entreprise de l'ESS innovante dans le numérique.Comment Au carré, accompagne des personnes en transition professionnelle vers les métiers du numérique, en mettant l'accent sur la formation en no-code ?Leur modèle est unique, combinant formation gratuite, reprise de confiance et opportunités d'emploi au sein de leur propre entreprise d'insertion.Jessica nous raconte des histoires de réussite touchantes et nous explique l'impact concret d'Au carré sur des personnes éloignées de l'emploi. Mais comment démocratiser des métiers du numérique grâce au no-code ?Et quelle est la vision de Jessica sur l'avenir ?C'est une belle preuve qu'il est possible d'allier impact social et entrepreneuriat dans le secteur du numérique !Pour aller plus loin : Baladez-vous sur notre site internet (tout neuf) ; Téléchargez nos outils sur la Circulab Academy ; Inscrivez-vous à notre newsletter ; Envoyez-nous vos retours ou suggestions sur Linkedin : Justine Laurent et Brieuc Saffré. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Permettre aux jeunes entrepreneurs à impact de profiter du savoir-faire des plus expérimentés, c'est la mission d'Impactus. La société a créé un prix afin de mettre en lumière leur potentiel. Les fondateurs de deux start-up finalistes sont sur le plateau de SMART IMPACT avec la dirigeante d'Impactus.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Permettre d'optimiser l'usage et la performance énergétique de parcs de matériel dans les secteurs de la construction et de l'industrie, c'est l'idée de la start-up Hiboo. La société a lancé récemment Hiboo Connect : un outil destiné aux loueurs, pour qu'ils partagent des données de performance avec leurs clients.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Vent de Fraîcheur | CJMD 96,9 FM LÉVIS | L'ALTERNATIVE RADIOPHONIQUE
Peut-on vraiment aider les autres si l'on n'est pas aligné avec soi-même ? Dans cette réflexion personnelle, Manon Poulin explore l'importance de l'alignement intérieur pour soutenir et inspirer ceux qui nous entourent. Un appel à l'authenticité et à la cohérence personnelle.#VentDeFraicheur #manonpoulin #Alignement #Authenticité Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si la performance ne se jouait plus seulement sur les sentiers, mais aussi derrière un écran ?Joseph Mestrallet, fondateur de la start-up Enduraw, accompagne aujourd'hui des figures majeures du trail mondial comme Ruth Croft 2ème de l'UTMB 2024, Tom Evans 1er de la western states 2023 et 3ème de l'UTMB 2022 ou Petter Engdahl 1erde la Transvulcania 2022, en utilisant la data comme levier stratégique pour performer le jour J.
Aujourd'hui, on parle d'une petite révolution attendue du côté de l'opérateur Free Mobile avec l'arrivée imminente de la version du système d'exploitation iOS 18.5 sur iPhone.Une mise à jour qui pourrait bien simplifier la vie de nombreux abonnés. Elle permettra enfin de transformer une carte SIM physique en carte SIM virtuelle et embarquée, que l'on nomme eSIM. Et ce en quelques clics seulement. Je vous explique tout cela en trois points.Free Mobile a pris son tempsPremier point, Free Mobile a pris son temps.À partir de l'iPhone 14, commercialisé en 2022, Apple a complété l'emplacement de la carte nano SIM par la technologie eSIM.Mais côté Free, si l'eSIM est proposée aux nouveaux clients depuis fin 2020, il fallait jusqu'ici débourser 10 € pour passer de la SIM physique à sa version dématérialisée.Conversion automatique d'une carte SIM en eSIMMais ça, c'était avant. Avec iOS 18.5, Apple introduit deux fonctionnalités clés que Free semble prêt à activer.D'une part, le transfert rapide d'eSIM. Mais surtout la conversion automatique d'une carte SIM en eSIM, et ce directement depuis les réglages de l'iPhone.La promesse de l'opérateur, c'est que l'opération sera ultra simple. Il suffira d'aller dans la section Réglages puis Données cellulaires pour choisir l'option “Convertir en eSIM”.Plus besoin donc de passer par le service client ou de patienter pour recevoir une nouvelle carte. Le tout sera fait en quelques secondes, de manière fluide, directement sur l'appareil.Démocratiser l'eSIMEt enfin, troisième point, cette nouveauté pourrait bien démocratiser l'eSIM.Elle permet non seulement un gain de place dans les smartphones – un avantage crucial pour intégrer des composants plus performants – mais elle rapproche aussi Apple de son objectif : proposer un jour des iPhone 100 % eSIM à l'échelle mondiale, comme c'est déjà le cas aux États-Unis.D'ailleurs, Free Mobile rejoint Orange et SFR qui offrent déjà ces options, laissant Bouygues comme le dernier opérateur majeur à ne pas encore suivre le mouvement.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le numérique nous a privé de notre liberté cognitive. C'est le constat que fait Hadi El-Khoury. dirigeant du mouvement Lumérique. L'organisme sensibilise et accompagne les utilisateurs du numérique via des formations. Le principe est de comprendre quelles sont les conséquences économiques et mentales de nos usages digitaux.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Et si la lumière pouvait améliorer la qualité de vie au travail ? ☀️C'est exactement ce que proposent Tinou SEGUIN et Paul TREMENT avec LIBU. Leur innovation ? Une lumière circadienne qui reproduit la lumière naturelle du soleil :→ Réduit le stress jusqu'à 35%→ Améliore la qualité du sommeil→ Augmente l'attention et la productivitéTinou et Manon LOUSTAU ont démarré LIBU dès la fin de leurs études d'ingénieurs, motivés par une idée simple : Permettre à tous de mieux vivre leur journée de travail grâce à la lumière. Paul, spécialiste de la lumière naturelle, les a rejoints pour accélérer leur développement. Leur mission est claire : éclairer un million de personnes d'ici 2027.Aujourd'hui, LIBU c'est :→ Une fabrication française et écoresponsable→ Des produits innovants : plafonniers intelligents et lampes de bureau→ Une technologie validée scientifiquementEt ce n'est que le début. Avec des projets ambitieux comme intégrer leur technologie dans des bureaux, écoles et même des environnements extrêmes comme l'espace, ils n'ont pas fini de nous surprendre. Alors, prêt(e) à illuminer ta journée autrement ?
Hello Kitty est l'un des personnages les plus célèbres au monde. Créée en 1974 par la société japonaise Sanrio, cette petite chatte blanche, reconnaissable à son nœud rouge et son visage minimaliste, a conquis des générations d'enfants et d'adultes. Mais un détail intrigue encore aujourd'hui : elle n'a pas de bouche.Pourquoi ? Ce choix graphique, loin d'être une omission ou un caprice de designer, est délibéré et profondément symbolique. Il répond à plusieurs logiques à la fois esthétiques, émotionnelles et culturelles.Une neutralité émotionnelle voulueSelon Sanrio, l'absence de bouche permet à Hello Kitty de servir de miroir émotionnel. En d'autres termes, elle n'exprime pas une émotion précise : elle s'adapte à celle de la personne qui la regarde. Si vous êtes triste, elle vous semble compatissante. Si vous êtes joyeux, elle paraît vous sourire. Cela renforce l'attachement émotionnel et la capacité d'identification.C'est ce que les créateurs appellent une "projection émotionnelle". L'idée est que Hello Kitty reflète les sentiments de chacun, sans les influencer.Un design inspiré de la culture japonaiseDans l'esthétique japonaise, notamment dans l'art du kawaii (le "mignon"), la simplicité prime. Les traits sont réduits au minimum pour accentuer la douceur et la pureté. Les personnages kawaii ont souvent de grands yeux, un petit nez, et peu ou pas de bouche. Cela crée une impression de calme et de douceur, très éloignée des expressions exagérées des personnages occidentaux.En ce sens, Hello Kitty suit cette logique : elle est minimaliste, apaisante, neutre, et donc universelle.Une porte-parole… sans paroleParadoxalement, bien qu'elle n'ait pas de bouche, Hello Kitty a une voix dans certaines séries animées, et un caractère bien défini. Sanrio la décrit comme une petite fille anglaise vive, joyeuse, généreuse, qui aime cuisiner, faire des gâteaux, et jouer du piano.L'absence de bouche ne signifie donc pas l'absence de personnalité, mais au contraire une manière de ne pas imposer un ton ou une humeur. Cela permet à Hello Kitty d'être interculturelle, intemporelle et accessible à tous, au-delà des langues ou des expressions faciales.Hello Kitty n'a pas de bouche, non par oubli ou par hasard, mais pour des raisons précises :Permettre l'identification émotionnelle,Respecter les codes esthétiques du kawaii japonais,Créer un personnage neutre et universel.Et c'est peut-être justement ce silence graphique qui fait d'elle l'une des figures les plus expressives et attachantes de la pop culture mondiale. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:10:31 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - En 1995, France Culture reçoit le poète Michel Bulteau dans l'émission "Jeu de l'ouïe" pour une série de cinq épisodes. Au menu de ce quatrième volet : d'un côté le nihilisme, le désespoir du rock avec le Velvet Underground, de l'autre sa "simplicité" avec l'univers de Chuck Berry. - réalisation : Jeanne Cherequefosse - invités : Michel Bulteau Poète et éditeur français
Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Permettre à chacun de participer à l'avenir de Sélestat. C'est l'objectif de l'appel à projets lancé par la Ville de Sélestat ce mardi 15 avril. Dans la continuité d'une démarche de démocratie active, les Sélestadiens et Sélestadiennes sont appelés à s'engager dans la vie locale, en soumettant des projets.Pour Hugo Rapp, ce dispositif est un « outil très simple, transparent et concret pour permettre à chacun de participer à l'avenir de Sélestat ». Il se dit fier de « porter un projet qui donne la parole aux habitants et surtout les moyens d'agir ».Lien vers l'article complet : Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu peux en mettant 5⭐️ sur Apple Podcasts ou Spotify !Thomas Vidal est Head of Design chez Thiga, en mission dans le groupe Accor.Après son bac, Thomas passe une licence en informatique. A la sortie de l'iPhone, souhaite se réorienter dans l'UX Design, dans la création d'interface homme-machine (IHM). Étant basé à Toulouse, il rentre à l'école nationale d'aviation civile pour faire une master d'ergonomie IHM.Pour son stage de fin d'études, il travaille sur un écran tactile à destination des pilotes et des co-pilotes d'avion pour simplifier les interactions dans le cockpit.Par peur de faire les mêmes choses pendant 40 ans, Thomas décide de rejoindre le cabinet Exakis, à la fin de son stage, afin de travailler sur différents projets dans le temps. Il y travaille pour des entreprises comme Airbus ou Total. Cependant, il se voit confronter à un problème d'agence : il répond à un brief, prototype énormément, discute avec de nombreux utilisateurs, livre des maquettes qui, au final, ne seront jamais développées par le client.Thomas travaille, via Exakis, à l'uniformisation de la plateforme des SAMU de France en tant que Designer. En travaillant sur ce projet, il vient souvent à Paris et doit travailler avec des Product Managers du cabinet Thiga. Cabinet qu'il rejoint à la fin de sa mission, en tant Product Designer.Sa première mission sera au sein de l'incubateur d'AXA : l'Accélérateur. Où, pendant 1 an, il fait toutes les semaines un Design Sprint pour tester de nouveaux projets au sein de l'assureur. Même si l'exercice est intellectuellement stimulant, il est extrêmement intense, ce qui fait que Thomas change de mission au bout d'un an.Il passe ensuite chez Splio, en tant que Lead Product Designer. Une mission “classique” de Product Designer au cours de laquelle Thomas commence à manager une équipe et à monter en compétence sur ces sujets. Une montée qui est également suivie et mise en place du côté de Thiga.Par la suite, Thomas rejoint Doctolib en tant que Design System Manager. Il nous explique comment il fait pour mettre en place un Design System dans une structure de plus de 30 designers où la cohérence graphique commençait à manquer.Ensuite, Thomas occupe le rôle de Head of Design chez Leetchi, puis VP Digital Design chez Décathlon, puis Head of Product Design chez Accor. Dans cet épisode, on revient sur ces 3 aventures, afin de comprendre comment bien structurer une équipe et s'assurer qu'elle va dans la bonne direction. Pour ça, Thomas à 3 piliers sur lesquels il revient :Création d'une vision designMise à plat de l'organisation et de l'équipe designVéhiculée une culture design dans les équipes et l'entrepriseIl nous explique comment il a mis en place ces 3 piliers dans les entreprises dans lesquelles il y a travaillé et comment n'importe quelle entreprise ou même équipe design peut s'en saisir pour l'adapter à son contexte et ses besoins.Les ressources de l'épisodeThigaPour contacter ThomasLinkedInHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une étude du cabinet Casavo met en lumière trois aspects qui mettent un bien immobilier sur le haut du panier en prix de vente.
Une étude du cabinet Casavo met en lumière trois aspects qui mettent un bien immobilier sur le haut du panier en prix de vente.
durée : 00:04:07 - Prévention du cancer du sein : le Mammobile fait escale en Haute-Garonne - Dans le cadre de la prévention et du dépistage du cancer du sein, le réseau de soignants et de médécins du sud-toulousain a invité le Mammobile sur son territoire du 7 au 11 avril 2025. Une action qui a débuté à Portet-sur-Garonne et qui a permis à 50 femmes de passer une mammographie.
Wall Street a perdu près de 10% en 48h après l'annonce des droits de douane que les États-Unis vont appliquer sur tous les biens importés. Dix pour cent minimum pour tout le monde, 20% pour l'Europe, plus de 50% pour la Chine. La volonté du président américain Donald Trump est de relancer l'économie américaine. Mais pour l'instant cela provoque surtout la panique sur les marchés et plutôt sur les marchés américains. La Chine a réagi par des droits de douane similaires. Mais pour André Sapir, professeur à la Solvay Brussels School, membre du Think Tank européen Bruegel et spécialiste du commerce international, la dernière des choses à faire pour l'Europe est de se lancer dans une guerre commerciale à coup de mesures de rétorsion. "Son économie ne le lui permet pas. Elle doit au contraire privilégier la négociation et surtout raffermir ses relations avec ses autres partenaires commerciaux." Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Avec : Périco Légasse, journaliste. Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Et Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Dans ce 3ème épisode de Collectif Numérique, Alain Garnier reçoit Baptiste Jourdan, co-fondateur et CRO de Toucan Toco, la pépite française de la Data Vizualisation ! Toucan Toco, c'est l'histoire d'une startup autofinancée devenuune entreprise internationale en à peine 10 ans avec aujourd'hui :- 80 collaborateurs ;- Près de 10 millions d'ARR ;- Une levée de fonds en 2020 pour conquérir les Etats-Unis ; Leur produit ?
Permettre aux propriétaires d'espaces vacants de rentabiliser leurs mètres carrés vides. C'est l'idée de l'entreprise Jestocke. La plateforme permet de les mettre en relation avec des particuliers ou des entreprises ayant besoin de stocker du mobilier et du matériel. Un moyen de minimiser l'artificialisation des sols. La société développe un partenariat avec des bailleurs sociaux pour contribuer au financement de la réhabilitation de logements.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Laurent Loine est l'invité du 189ème épisode du podcast C'est quoi le bonheur pour vous? Laurent, 56 ans, est un explorateur du bonheur et un passionné de la nature. Son parcours a pris un tournant décisif en 2012, lorsqu'il a vécu une Expérience de Mort Imminente (EMI). Cet événement bouleversant l'a amené à recentrer sa vie autour d'une quête essentielle : le bonheur. Depuis, il se définit comme un Bonheurologue, une personne qui cherche, trouve et partage des chemins vers une vie plus épanouie.Une Philosophie Ancrée dans la Terre et la NatureÀ travers cette transformation, Laurent a compris que le bonheur est un état intérieur, indépendant des circonstances extérieures. Il a également réalisé l'importance de se libérer des mémoires émotionnelles négatives, souvent enfouies dans l'inconscient. Son outil de prédilection pour cette libération ? La Terre. Fort de cette conviction, il a su allier sa quête personnelle à sa passion de longue date pour la nature. Guide nature depuis 25 ans, Laurent a fait du Canada et de ses vastes forêts québécoises son terrain d'exploration et de transmission.Une Retraite en Pleine Nature pour se RégénérerAujourd'hui, Laurent Loine accueille celles et ceux en quête de ressourcement dans son chalet grand confort, niché au cœur d'une forêt magique du Québec. Plus qu'un simple séjour, il propose une véritable retraite immersive, un espace de reconnexion avec soi-même et avec la nature.Son objectif ?
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, nous sommes heureux de nous retrouver au Mobilier National pour accueillir cet événement autour de la transmission d'entreprises dans le secteur des métiers d'art ! Nos invités sont :Marc Bayard, Directeur de la Recherche et de l'Innovation pour les Manufactures Nationales.Valérie Malfay. Après une première vie professionnelle dans des grandes entreprises, Valérie change de cap en passant par un CAP d'encadrement à La Bonne Graine. Avec une camarade de promotion, elles rachètent le fond de commerce d'un artisan d'art encadreur.Marie-Hélène Poisson. Son atelier se consacre depuis 4 générations à la restauration des meubles et objets en marqueterie Boulle des XVII, XVIIIe et XIXe siècle. Anne Anquetin. Ingénieure de formation, Anne a repris la Passementerie Verrier en 2018.Veuillez excuser les quelques turbulences sonores, mais nous ne voulions pas manquer l'opportunité de faire raisonner ce sujet.
A l'occasion du 27ème Printemps des poètes : que vous apporte la poésie ? Avec Linda Maria Baros, directrice du Printemps des poètes et Stéphane Bataillon, poète et journaliste à La Croix Hebdo, auteur de Permettre aux étoiles (Bruno Doucey). Du lundi au vendredi, de 21 heures à 22 heures 30. 1h30 de partage, d'échanges et de confidences. Une libre antenne pour vous chers auditeurs, rejoignez nous au 01 56 56 44 00 ou par mail auditeurs@radionotredame.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus de la moitié des hôpitaux gazaouis ont été détruits par les bombardements israéliens depuis le début de la guerre. Au nord de la bande de Gaza, l'hôpital al-Karama a fait partie des premières cibles, dès le mois d'octobre 2023, avant d'être complètement détruit en août. Pour financer la reconstruction, un militant britannico-palestinien a développé un soda militant, Gaza Cola, qui permet aussi à ses clients de boycotter d'autres marques. Au Royaume-Uni, en plein cœur de Londres, le café Hiba offre une bulle de Palestine avec ses keffiehs et ses drapeaux partout. Attablé devant une salade arabe, Hamza sirote un soda un peu particulier. « Gaza Cola, ça fait toujours du bien, savoure-t-il. C'est bon, c'est rafraîchissant. Je crois qu'on a le pouvoir d'agir collectivement en choisissant ce qu'on consomme et ce qu'on refuse de consommer. »À l'origine du Gaza Cola, canette rouge inspirée d'une autre célèbre marque, il y a Osama Qashoo, réalisateur originaire de Cisjordanie. Depuis août 2024, il a vendu un million et demi de canettes. Une manière pour ses clients de boycotter les géants du soda.« Les grandes entreprises bénéficient toujours de la guerre, elles font déjà beaucoup d'argent. [Coca-Cola] possède une immense usine dans les territoires palestiniens illégalement occupés. C'est une pratique illégale. Et eux, ils font de l'argent : tant qu'ils n'en perdront pas, ils ne changeront rien. Gaza Cola vient de là, une sorte de David contre Goliath. Nous n'allons pas tout changer, mais nous voulons créer de la réflexion », estime-t-il. La grande marque visée admet être présente en Palestine depuis 1998 et assure employer un petit millier de Palestiniens.Il aura fallu neuf mois pour trouver des partenaires. Aujourd'hui, tous les bénéfices sont reversés à Gaza, et à un projet en particulier : la reconstruction de l'hôpital d'al-Karama, au nord du territoire, détruit en août 2024. « Cet hôpital, en particulier, est très important, car au moins 300 000 personnes en dépendent. C'est un petit établissement, donc c'est réalisable. Autour du site, nous avons installé des tentes où les patients sont soignés. Nous finançons ces tentes, nous sponsorisons le salaire des soignants qui restent, aux alentours de 200€ par mois. Nous soignons environ 1 000 personnes chaque jour », explique le fondateur de la marque.Ce soir-là, Osama Qashoo organisait une conférence avec le docteur Mohammed Tahir, revenu de deux missions médicales à Gaza. Le chirurgien explique l'importance des initiatives comme Gaza Cola : « Sur le terrain, ce sont des familles détruites, de nombreux patients avec des blessures catastrophiques, handicapantes… Et des semaines, voire des années de douleur à venir. Maintenant qu'on se dirige vers la gestion d'affections chroniques, il faut former, entraîner, reconstruire. Si vous ne pouvez pas venir donner de votre temps, alors donnez de votre argent. »Aucun grand distributeur britannique n'a pour l'instant accepté de commercialiser le soda, qui devrait arriver en France en mars dans certains restaurants.À lire aussiFace à une campagne régionale de boycott, McDonald's rachète toutes ses franchises en Israël
Plus de la moitié des hôpitaux gazaouis ont été détruits par les bombardements israéliens depuis le début de la guerre. Au nord de la bande de Gaza, l'hôpital al-Karama a fait partie des premières cibles, dès le mois d'octobre 2023, avant d'être complètement détruit en août. Pour financer la reconstruction, un militant britannico-palestinien a développé un soda militant, Gaza Cola, qui permet aussi à ses clients de boycotter d'autres marques. Au Royaume-Uni, en plein cœur de Londres, le café Hiba offre une bulle de Palestine avec ses keffiehs et ses drapeaux partout. Attablé devant une salade arabe, Hamza sirote un soda un peu particulier. « Gaza Cola, ça fait toujours du bien, savoure-t-il. C'est bon, c'est rafraîchissant. Je crois qu'on a le pouvoir d'agir collectivement en choisissant ce qu'on consomme et ce qu'on refuse de consommer. »À l'origine du Gaza Cola, canette rouge inspirée d'une autre célèbre marque, il y a Osama Qashoo, réalisateur originaire de Cisjordanie. Depuis août 2024, il a vendu un million et demi de canettes. Une manière pour ses clients de boycotter les géants du soda.« Les grandes entreprises bénéficient toujours de la guerre, elles font déjà beaucoup d'argent. [Coca-Cola] possède une immense usine dans les territoires palestiniens illégalement occupés. C'est une pratique illégale. Et eux, ils font de l'argent : tant qu'ils n'en perdront pas, ils ne changeront rien. Gaza Cola vient de là, une sorte de David contre Goliath. Nous n'allons pas tout changer, mais nous voulons créer de la réflexion », estime-t-il. La grande marque visée admet être présente en Palestine depuis 1998 et assure employer un petit millier de Palestiniens.Il aura fallu neuf mois pour trouver des partenaires. Aujourd'hui, tous les bénéfices sont reversés à Gaza, et à un projet en particulier : la reconstruction de l'hôpital d'al-Karama, au nord du territoire, détruit en août 2024. « Cet hôpital, en particulier, est très important, car au moins 300 000 personnes en dépendent. C'est un petit établissement, donc c'est réalisable. Autour du site, nous avons installé des tentes où les patients sont soignés. Nous finançons ces tentes, nous sponsorisons le salaire des soignants qui restent, aux alentours de 200€ par mois. Nous soignons environ 1 000 personnes chaque jour », explique le fondateur de la marque.Ce soir-là, Osama Qashoo organisait une conférence avec le docteur Mohammed Tahir, revenu de deux missions médicales à Gaza. Le chirurgien explique l'importance des initiatives comme Gaza Cola : « Sur le terrain, ce sont des familles détruites, de nombreux patients avec des blessures catastrophiques, handicapantes… Et des semaines, voire des années de douleur à venir. Maintenant qu'on se dirige vers la gestion d'affections chroniques, il faut former, entraîner, reconstruire. Si vous ne pouvez pas venir donner de votre temps, alors donnez de votre argent. »Aucun grand distributeur britannique n'a pour l'instant accepté de commercialiser le soda, qui devrait arriver en France en mars dans certains restaurants.À lire aussiFace à une campagne régionale de boycott, McDonald's rachète toutes ses franchises en Israël
Dans cet épisode, l'équipe du NFT Morning accueille Jean-Hugues Gavarini (CEO), Laetitia Berthet (COO) et Xavier Pouteau de l'équipe Lak3 pour discuter de leur projet innovant autour de l'eau et de la blockchain.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Europe 1 reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Europe 1 reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.
La Semaine de la langue française et de la francophonie s'ouvre ce samedi 15 mars, sur le thème cette année : « Prendre la parole ! ». Inciter à s'exprimer, à créer, à s'approprier et à jouer avec les mots, c'est justement ce que cherche à faire Lajoya Sène, de son nom d'artiste Maua Ya Jua à Dakar. Cette chanteuse, conteuse, slameuse et poète d'origine congolaise, a co-créé les ateliers des « philo-poètes » pour les enfants de 6 à 15 ans avec une professeure des écoles, Cynthia Sauvain. Les enfants y viennent composer puis déclamer des textes en français, dans un espace dans lequel ils peuvent se reconnecter avec leur riche imagination. ► Festival de la Francophonie► Semaine de la langue française et de la francophonie
Chaque week-end, à 8h13, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Les casques antibruit, conçus pour atténuer les bruits ambiants et offrir une expérience d'écoute plus immersive, suscitent des interrogations quant à leurs effets sur le cerveau. Bien qu'ils présentent des avantages indéniables, une utilisation excessive ou inappropriée peut entraîner des conséquences neurologiques.Impact sur le traitement auditifUne étude australienne menée par l'université Bond a révélé qu'une utilisation normale des casques antibruit ne pose généralement aucun problème. Cependant, une utilisation prolongée peut entraîner une hypersensibilité au son. En effet, le cerveau, habitué au silence imposé par le casque, peut percevoir les bruits ambiants normaux comme dérangeants une fois le casque retiré. Cette adaptation neuronale peut modifier la manière dont le cerveau traite les sons, entraînant une sensibilité accrue aux stimuli auditifs. Effets sur l'équilibre et la perception spatialeLe cerveau utilise naturellement les bruits ambiants pour se repérer dans l'espace. En supprimant certains sons, le casque antibruit perturbe la perception de l'équilibre, et certains utilisateurs peuvent ressentir des vertiges, des maux de tête ou des nausées. Cette sensation est similaire au mal des transports.Conséquences psychologiques et cognitivesL'isolement sonore prolongé peut également avoir des répercussions psychologiques. Le silence excessif, surtout dans des environnements où le bruit est habituel, peut provoquer une sensation de désorientation ou d'inconfort. Cette privation sensorielle peut affecter l'humeur et, dans certains cas, entraîner du stress ou de l'anxiété.Recommandations pour une utilisation sainePour minimiser les effets indésirables potentiels des casques antibruit sur le cerveau, il est conseillé de :Limiter la durée d'utilisation : Éviter de porter le casque pendant de longues périodes sans interruption.Faire des pauses régulières : Permettre au système auditif de se réadapter aux sons naturels en retirant le casque périodiquement.Utiliser la réduction de bruit de manière contextuelle : Activer cette fonction uniquement dans des environnements bruyants où elle est réellement nécessaire.Maintenir un volume d'écoute modéré : Même avec la réduction de bruit, il est essentiel de ne pas augmenter excessivement le volume pour protéger l'audition.En conclusion, bien que les casques antibruit offrent des avantages significatifs en matière de confort auditif, une utilisation modérée et consciente est essentielle pour éviter des effets potentiellement néfastes sur le cerveau et le système auditif. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:25:06 - 8h30 franceinfo - Gaël Veyssière, ambassadeur de France en Ukraine, invité du "8h30 franceinfo" lundi, "à aucun moment, il n'est question de préparer la guerre, la question est comment la France et d'autres pays européens pourraient créer des conditions pour permettre qu'une paix soit une paix durable."
Avec : Périco Légasse, journaliste à Marianne. Juliette Briens, journaliste à l'Incorrect. Et Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
C'est le 15 février prochain que les 55 chefs d'État de l'Union africaine éliront le nouveau président de la Commission de l'UA pour un mandat de quatre ans. Trois candidats briguent la succession du Tchadien Moussa Faki Mahamat : le ministre djiboutien des Affaires étrangères Mahmoud Ali Youssouf, l'ex-Premier ministre kenyan Raila Odinga et l'ex-ministre malgache des Affaires étrangères Richard Randriamandrato. RFI offre son antenne, bien sûr, aux trois candidats. Place ce matin au ministre djiboutien des Affaires étrangères. Au micro de Christophe Boisbouvier, il s'exprime d'abord sur la guerre meurtrière en RDC. RFI : Mahmoud Ali Youssouf, bonjour. La guerre fait rage dans l'est du Congo. La ville de Goma est menacée par les assaillants. Le Congo vient de rompre ses relations diplomatiques avec le Rwanda. Que doit faire l'Union africaine face à cette situation ?Mahmoud Ali Youssouf : Bonjour. Je dois rappeler d'abord que c'est une crise chronique qui sévit dans cette région de la RDC depuis plusieurs décennies. Ce conflit, d'abord, est un petit peu le reflet de ce qui se passe dans toute la région et d'une certaine histoire. Mais je crois que l'Union africaine a un rôle à jouer et ce rôle, il est déjà assumé par le président João Lourenço de l'Angola qui, je le rappelle, est le champion pour la paix et la stabilité sur le continent. C'est comme ça, ce sont les chefs d'État qui assument certaines questions. On les appelle les champions, il y en a pour l'éducation, pour la santé et le président João Lourenço est le champion de l'Afrique pour la paix et la stabilité. Il est déjà engagé depuis plus de deux ans pratiquement sur ce dossier. Il y a tout un processus qu'on appelle le processus de Nairobi et celui de Luanda. Il a déjà organisé plusieurs réunions au plus haut niveau entre les deux chefs d'État de la RDC et du Rwanda. Et il faut, je crois, que l'Union africaine continue à soutenir les efforts du président João Lourenço, appeler à la désescalade entre la RDC et le Rwanda, et travailler surtout au désarmement des mouvements armés à l'Est du Congo. Comme vous le savez, il y a le M23, mais il n'y a pas que le M23, il y a d'autres mouvements armés tels que les FDLR, la Codeco et les ADF. Donc, il y a une prolifération de mouvements armés dans cette région. Il est très important que les efforts que mène l'Union africaine à travers donc la médiation du président João Lourenço, ces efforts doivent être maintenant plus intenses et éviter surtout plus d'escalade entre le Rwanda et la RDC. Et je crois que l'Afrique doit systématiquement et impérativement éviter un conflit ouvert entre ces deux pays, je crois que c'est toute la région des Grands Lacs qui risque d'être déstabilisée.Alors vous appelez à la désescalade entre la RDC et le Rwanda. Vous savez que si Kinshasa vient de rompre ses relations diplomatiques avec Kigali, c'est parce que la RDC accuse son voisin rwandais de soutenir les rebelles du M23. L'Organisation des Nations unies et l'Union européenne disent la même chose, mais pas l'Union africaine qui s'est contentée ces derniers jours de réclamer, « la stricte observation du cessez-le-feu convenu entre les parties ». Qu'est-ce que vous pensez de ce refus de l'Union africaine de désigner nommément le Rwanda comme l'un des protagonistes de ce conflit ?Je crois que la complexité de la situation sur le terrain impose à l'Union africaine d'avancer à pas comptés et surtout de faire en sorte que toutes les chances d'une désescalade rapide restent encore entre ses mains. Je crois que c'est l'objet de la médiation du président João Lourenço qui, lui, essaie donc de passer outre ces accusations et de ramener les parties prenantes autour de la table des négociations. Il y a eu déjà plusieurs réunions. Je pense qu'avec cette histoire de rupture des relations diplomatiques, le président João Lourenço va certainement prendre des mesures encore plus importantes afin d'amener les deux parties autour de la table. Il n'y a pas de baguette magique ou de recette magique. Cela fait des années que les Nations unies sont à l'est du Congo, mais ce n'est pas ça qui a réglé le problème. Je crois que l'objectif principal, c'est de neutraliser ces mouvements armés, de les désarmer et pour cela, il faut des efforts collectifs. Il faut que l'Union africaine s'implique davantage et c'est la seule chose qui compte je crois, au-delà des allégations et des accusations qui viennent de la part des uns et des autres.Oui, mais vous savez que cette façon de l'Union africaine de marcher à pas comptés, comme vous dites, face au Rwanda, à la différence de l'ONU ou de l'Union européenne, cela agace énormément le président Félix Tshisekedi ?Je crois que nos chefs d'État, qu'ils soient du Congo ou du Rwanda, ou le président João Lourenço s'efforcent de toute manière de rétablir la paix. L'instabilité et l'absence de paix dans la région n'est profitable pour personne et je pense qu'il est très important de pouvoir se donner les moyens d'agir. Et ce n'est pas en jetant l'anathème sur x ou y qu'on arrivera à résoudre les problèmes.Est-ce que dans les moyens d'agir peuvent être envisagés des sanctions internationales contre le Rwanda ?Je crois que l'Afrique a, à travers son acte constitutif, certaines dispositions qui peuvent aider à la résolution des problèmes et je ne voudrais pas m'avancer sur ce terrain-là. Je ne suis pas encore élu et je ne peux pas avoir une position, je dirais, tranchée et je pense que l'acte constitutif, les textes qui nous gouvernent doivent être un petit peu au centre de ce que nous pouvons apporter comme solution dans les crises africaines.Mahmoud Ali Youssouf, vous êtes le candidat de Djibouti au poste stratégique de président de la Commission de l'Union africaine. Si vous êtes élu le 15 février prochain, quelles seront vos deux priorités ?Ce qui est important, c'est d'abord poursuivre la mise en œuvre des réformes qui ont déjà été enclenchées depuis quelques années. Et parmi ces réformes, il y a un travail à faire au niveau de la Commission. Dans l'organisation interne de la Commission, sa gestion financière, la gestion de son personnel. Il y a tout un travail qui a déjà été entamé, notamment dans le cadre d'un processus qu'on appelle le processus de Lusaka, les promotions internes, éviter les doublons, mettre en place les règles d'or en matière de gestion, tout un travail de coordination à faire entre les différentes commissions. Éviter que ces commissions travaillent en solo et surtout faire en sorte de créer une certaine synergie, une meilleure coordination également entre les organes décisionnels que nous connaissons tous. L'Assemblée des chefs d'État, le Conseil exécutif, le Comité des représentants et la Commission. Un travail de pédagogie est également à mener. Je crois qu'on ne réinvente pas la roue ici, on a beaucoup de difficultés à surmonter. De nombreux défis également, et je commencerai d'abord par mettre de l'ordre dans la Commission. Cela, c'est un premier élément.L'une des autres priorités qui me tient à cœur, c'est justement la paix et la sécurité sur le continent. On vient de parler de la question de la RDC. Il n'y a pas que la RDC aujourd'hui, malheureusement, même si c'est un sujet aujourd'hui brûlant, nous avons la crise au Soudan qui est une guerre ouverte ou des milliers et des milliers de gens sont morts, des millions de déplacés. Nous sommes également dans des situations difficiles à gérer dans le Sahel. La Libye également n'est pas encore sortie de cette période de turbulences. Il y a de nombreux sujets relatifs à la paix, la sécurité et je crois que la nouvelle Commission qui arrivera et son président à sa tête auront beaucoup à faire en matière de paix et de sécurité.La troisième priorité qui me tient à cœur, c'est vraiment d'accélérer le processus d'intégration à travers la Zlecaf. La Zlecaf qui est la zone de libre-échange continental. Vous savez qu'on l'a adoptée, le traité a été ratifié, mais la mise en œuvre de certains mécanismes clés reste encore en souffrance. Notamment la Chambre de compensation qui n'est pas encore mise en place. Nous allons travailler avec le secrétariat de la Zlecaf qui se trouve au Ghana, pour faire en sorte que ces mécanismes soient rendus opérationnels et travailler surtout sur la levée d'un certain nombre de barrières. Il y en a beaucoup, hein, les barrières douanières. Mais il existe surtout des barrières non douanières. Faire en sorte que la circulation des biens et des personnes soit vraiment une réalité et pour cela, il faut mettre en place le passeport africain qui a déjà été lancé en 2017. Mais il y a beaucoup de réticences encore et de résistance pour qu'il soit rendu opérationnel par tous les États membres. Donc, un certain nombre de priorités en matière d'intégration. Surtout faire en sorte que la Zlecaf, qui est la zone de libre-échange continentale, puisse fonctionner proprement. Permettre que ce commerce intra africain qui aujourd'hui n'est que de 18 %, puisse arriver vraiment à des niveaux qui soient acceptables pour tous. En tout cas pour la nouvelle Commission, des niveaux acceptables, ce serait avoir au moins entre 60 % et 70 % de commerce intra africain et le reste avec le monde extérieur.Alors, dans la lettre confidentielle que le président sortant de la Commission, le Tchadien Moussa Faki Mahamat, a écrite en septembre dernier aux chefs d'État africains et que Jeune Afrique vient de révéler, le président sortant regrette les limites de ses pouvoirs et de ceux de la Commission de l'Union africaine. Est-ce que vous partagez son diagnostic ?Je crois que l'acte constitutif de l'Union africaine définit clairement les prérogatives, les rôles et les responsabilités des uns et des autres. Pour ce qui est de la Commission, il faut garder à l'esprit qu'il s'agit d'un organe d'exécution. Les organes décisionnels sont l'Assemblée des chefs d'État, le Conseil exécutif et le Comité des représentants. Le Président de la Commission défend les intérêts du continent à l'international, a également des prérogatives d'orientation, il est vrai, de conseil, il est vrai, également de soutien aux organes décisionnels. Mais il ne faut pas confondre un petit peu les rôles. Je crois que le président Moussa a fait beaucoup de travail durant ses deux mandats. Il a mené à terme cette adoption du traité de la Zlecaf, il ne faut pas l'oublier. Il est vrai également que le niveau d'exécution du premier plan décennal, vous savez que l'Agenda 2063 de l'Union africaine est basé sur cinq plans décennaux. Le taux d'exécution du premier plan décennal est vraiment bas. Il est de l'ordre de 37 %. La plupart des indicateurs sur différents secteurs ne sont pas encore sortis du rouge. Très peu de ces indicateurs sont au vert. Il y a beaucoup, beaucoup de travail à faire, mais je crois qu'il n'est pas facile de mener plusieurs combats de front, surtout lorsque la Commission a des difficultés financières. Sur les 600 millions de dollars de budget 2025 prévus pour l'Union africaine ou la Commission, en tout cas, plus de 300 millions sont fournis par les partenaires pour financer les projets de développement sur le continent. Et vous vous imaginez un petit peu cette dépendance qui certainement limite l'action de la Commission. Il y a également le fait que les États membres, sur un certain nombre de sujets, gardent beaucoup des prérogatives, et ne concèdent rien ou très peu de choses à la Commission. Il y a un travail à faire, surtout de rétablissement de la confiance et un travail à faire de coordination pour que réellement la Commission puisse jouer un rôle non pas central, mais un rôle vraiment de précurseur sur un certain nombre de sujets. Un rôle pionnier. Et en cela la Commission a besoin et des États membres, et des communautés économiques régionales. Je crois qu'un engagement plus fort des États membres pourra nous permettre d'arriver donc à des contrats de performance plus intéressants, dans le 2e plan décennal qui a commencé, je le rappelle, en 2024.Il faut redéfinir les missions confiées au Conseil paix et sécurité de l'Union africaine, dit le président Moussa. Est-ce que vous êtes d'accord avec lui ?Je crois que le Conseil de paix et de sécurité est l'organe permanent qui est chargé de la paix, de la stabilité, de la sécurité sur le continent, à l'instar un peu du Conseil de sécurité des Nations unies. Le Conseil prend des décisions régulièrement sur ces conflits et ces crises. Mais ce qui fait défaut, c'est la mise en œuvre de ces décisions qui sont prises par ce Conseil de paix et de sécurité. Donc il faudra travailler sur le comment améliorer la performance du Conseil de paix et de sécurité dans le cadre de la mise en œuvre des décisions qu'il prend. C'est la demande, surtout pour que le mécanisme qui est mis en place dans l'architecture de paix et de sécurité de l'Union africaine, notamment celui de la prévention, soit renforcé. Et on appelle ça le mécanisme d'alerte rapide.Pour ce qui est de l'opérationnalisation des forces en attente, chaque région de ce continent est supposée avoir une force en attente. Elle doit être rendue opérationnelle. Le comité des sages qui sont là également pour pouvoir résoudre les conflits, voire même les prévenir, là aussi, ce comité a besoin de moyens. Et enfin, ce qui est très important, ce sont les ressources financières. Il y a ce qu'on appelle un fond de la paix dans lequel il y a à peu près 400 millions de dollars. Jusqu'à présent, les mécanismes pour pouvoir mettre ces fonds à la disposition des missions de la paix sur le continent africain, ces mécanismes ne sont pas en place et on n'arrive pas à travailler sur le déboursement de ces montants, ce sera l'un des rôles de la nouvelle Commission de convaincre les États membres, pour que le CPS, le Conseil de paix et de sécurité, puisse être efficace, il faut qu'il se donne les moyens et pour se donner les moyens, tous ces éléments que je viens d'évoquer doivent être vraiment pris en considération.Donc, il y a 400 millions de dollars qui dorment dans les caisses d'Addis-Abeba et qui ne servent à rien...On utilise un petit peu les intérêts qu'ils produisent, mais ces fonds doivent servir aux missions de la paix sur le continent. Et Dieu sait que beaucoup, beaucoup de régions ont besoin justement de ce type de financement pour gérer les situations de conflit ou de crises qui sévissent dans ces régions-là.Face à vous, Mahmoud Ali Youssouf, il y a deux candidats : le Kényan Raila Odinga et le Malgache Richard Randriamandrato, qu'est-ce qui vous distingue de ces deux autres candidats ?Le fait que je sois un diplomate de carrière, d'abord, avec 33 ans d'expérience en matière de diplomatie multilatérale, je suis toujours ministre des Affaires étrangères depuis 20 ans, donc je fréquente très régulièrement les arcanes de l'Union africaine, donc c'est une organisation que je connais très bien. Je suis, je viens d'un petit pays, certes, mais un pays carrefour entre les trois continents, un pays qui est un creuset culturel. Aujourd'hui, le monde arabe et l'Afrique se rejoignent à Djibouti. Djibouti est un pays stable qui fait des efforts colossaux en matière de sécurisation de la navigation maritime dans le détroit de Babel-el-Mandeb.Mon pays a démontré déjà par le passé qu'il était un grand contributeur à la lutte contre la piraterie et le terrorisme. Nous avons des forces qui sont présentes en Somalie sous la bannière de l'Union africaine, en Centrafrique, en RDC, donc un petit pays qui quand même a une contribution louable en matière de paix, de sécurité et je suis un homme qui a cette expérience à mettre au service du continent. Je pense que le temps est venu pour moi de partager cela avec le continent et de me mettre au service de ce continent.Mais tout de même, Mahmoud Ali Youssouf, le fait que le candidat mauricien se soit désisté en faveur du candidat kenyan, Raila Odinga. Le fait que ce dernier revendique, du moins son ministère des Affaires étrangères, le soutien dès le mois de septembre dernier de quelque 19 pays africains, est-ce que tout cela ne vous inquiète pas ?Pas du tout, parce que d'abord le vote est secret. Un, deuxièmement, les mêmes promesses de soutien nous sont données également chaque fois que nous rencontrons les leaders africains. Et donc vous voyez un petit peu que les jeux sont ouverts. Mais je crois que j'ai des avantages comparatifs qui me donnent justement cette avance sur les autres candidats. Et je crois que le dernier débat le 13 décembre à l'Union africaine sur ces grandes questions de l'Union a démontré un petit peu le profil des uns et des autres et je reste confiant.Alors justement, lors de ce débat du 13 décembre, vous avez été le seul des trois à vous exprimer alternativement en français, en anglais, en arabe. Est-ce que c'était une façon de montrer que vous avez un petit avantage linguistique sur vos deux adversaires ?C'est très important. Je me présente comme un candidat qui est capable de créer des passerelles à travers cette capacité de communication avec toutes les cultures. Je m'exprime dans trois langues sur les six langues de travail de l'Union africaine, et je crois que cela me donne certainement un avantage comparatif par rapport aux autres candidats.Et Djibouti est membre de la Ligue arabe, c'est ça ?Pareillement, oui, et nous, Djibouti, sommes également le siège de l'Igad, qui est la Communauté économique régionale que vous connaissez aussi.Mais quand même, l'ancien Premier ministre kényan Raila Odinga, c'est un poids lourd non ?C'est un poids lourd dans son pays et peut-être pas forcément sur le continent.Alors Mahmoud Ali Youssouf, vous avez évoqué les autres crises que traverse le continent africain, à commencer par le Sahel. Quelles sont, à votre avis, les solutions pour mettre fin à la guerre civile dans le nord des trois pays, Mali, Niger, Burkina Faso ?Il ne faut surtout pas baisser les bras quand il s'agit de lutter contre les mouvements terroristes. Et on le fait ici, dans la Corne de l'Afrique, en Somalie. Il est très important de continuer cette action collective. Ils ont créé une force, je crois, de 5 000 hommes pour lutter contre ces mouvements dans le Nord et il faut les soutenir. Quant au retour à l'ordre constitutionnel qui est exigé par l'Union africaine, nous allons accompagner ces pays-là à mettre en place les conditions de la transition. Certains ont déjà adopté des constitutions, je crois que l'Union africaine, même si elle les a suspendus de la participation dans ses réunions, je crois que nous allons soutenir les efforts de la Cédéao et nous allons accompagner si nous sommes élus à la tête de la Commission, accompagner ces États-là à revenir à l'ordre constitutionnel à travers des élections qui seront organisées à l'issue de la période de transition. Voilà un peu les leviers qui sont disponibles à nos yeux pour l'instant.Et la présence de miliciens russes du groupe Wagner, qu'en pensez-vous ?Je crois que toute ingérence dans les affaires des États africains n'est pas la bienvenue. Et de toute manière s'il y a des forces étrangères qui créent le chaos ou je dirais l'instabilité, ce sont des choses que nous n'apprécions pas. Mais les États sont encore des États souverains quand il s'agit de créer des accords de partenariat, l'Union africaine n'a rien à dire sur ce sujet-là. Ce sont des questions souveraines, chaque pays a le droit d'avoir un partenariat, des accords de stratégie militaire avec d'autres pays, mais tout ce qui déstabilise le continent est bien entendu rejeté par l'Union africaine et ça sera le cas si nous sommes élus à la tête de la Commission.Vous avez parlé de la Libye, est ce que vous craignez une partition du pays entre l'Est et l'Ouest ?Pour l'instant, la Libye est un pays qui est divisé malheureusement en zone d'influence de pouvoir et il faudrait que nous poursuivions les efforts. Récemment, le Secrétaire général des Nations unies a nommé un envoyé spécial. Ce poste était vacant pendant, je dirais après la démission de monsieur Abdoulaye Bathily, pendant longtemps. L'Union africaine fait ses propres efforts, il y a un comité des chefs d'État dirigé par le président Sassou Nguesso pour essayer d'aider la Libye, mais les efforts doivent se poursuivre et ce qu'il faut surtout éviter, c'est justement la dislocation du pays et surtout ce type de sécession des régions n'est pas la bienvenue sur le continent.L'une des guerres civiles les plus meurtrières actuellement sur le continent, c'est celle du Soudan. On n'en est bientôt à deux ans de conflit, comment trouver une solution dans cette guerre qui n'en finit pas ?Là aussi, diplomatiquement, on essaie de le faire. Il y a une plateforme Union africaine- Igad pour essayer de remettre le processus politique sur les rails, parce que la solution au Soudan n'est pas militaire. Il faut que les parties prenantes s'asseyent autour de la table des négociations et qu'on puisse revenir à un processus politique. C'est ce que nous essayons de pousser. D'abord, qu'on parvienne à un cessez-le-feu. Il y a déjà des plans qui ont été avancés et par l'Igad et par l'Union africaine, et la priorité dans le cadre de ces plans, c'est le cessez le feu. Les Nations unies ont aussi à ouvrir des corridors humanitaires, ce n'est pas suffisant à Adré et au Nord aussi, mais il faut continuer.Je crois que nous avons à Djibouti organisé plusieurs retraites sous l'égide des Nations unies sur le Soudan. La dernière a été organisée en Mauritanie. Il y a un travail diplomatique qui est fait, ce n'est pas suffisant, mais je pense qu'on doit continuer à le faire. Et je rappelle aussi que le Soudan reste sous sanctions de l'Union africaine parce que, dès qu'il y a un changement anticonstitutionnel de gouvernement, la sanction tombe. Ce sont les dispositions de l'acte constitutif. Mais le rôle de l'Union africaine est de poursuivre ses efforts, même si ces pays sont sous sanctions, nous n'arrêterons pas d'essayer donc de trouver une solution pacifique à toutes les crises qui se déclenchent dans les États membres.Une dernière question, votre pays Djibouti est frontalier de la Somalie et de sa province séparatiste du Somaliland, qui est soutenue par l'Éthiopie, autre voisin de votre pays. Quelle est votre position dans ce conflit ?Elle a été toujours cohérente depuis, je dirais plus de 30 ans. Djibouti a toujours soutenu l'unité de la Somalie. Cette unité, je crois, elle est remise en question, peut-être même à l'interne maintenant. Certaines régions démontrent un petit peu une certaine dissidence, mais nous sommes aux côtés du président Hassan Sheikh Mohamoud, nous le soutenons. Le gouvernement central doit mener des efforts politiques avec toutes les régions pour justement éviter cette dislocation du pays. Et c'est un peu ce que je disais par rapport à la Libye, la dislocation d'un pays, l'implosion créé plus de problèmes qu'elle n'en résout, aussi bien pour les pays en question que pour les pays voisins. Donc la priorité pour Djibouti a toujours été de soutenir l'unité de la Somalie et de son intégrité territoriale.Mais est-ce que le soutien de l'Éthiopie aux séparatistes du Somaliland ne change pas la donne ?Ça, c'est une question qu'il faudra poser aux Éthiopiens.En tout cas, vous n'êtes pas d'accord avec leur politique sur ce sujet ?C'est une question qui concerne les Éthiopiens, et pas les Djiboutiens. Voilà ce que je peux dire.Monsieur le ministre Mahmoud Ali Youssouf, je vous remercie.C'est moi qui vous remercie et bonne journée.À lire aussiUnion africaine: quels sont les enjeux du grand débat des candidats à la présidence de la Commission?
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Vous prendrez bien un peu de paillettes pour ce reveillon ? Sans rien perdre de votre authenticité ! Pour cet épisode je reçois une invitée de marque, c'est le cas de le dire. J'ai le grand honneur et bonheur de recevoir Valérie Messika, fondatrice et directrice artistique de la maison de joaillerie et haute joaillerie Messika. Une femme dont le leadership m'a tout de suite saisie, dès notre 1ère rencontre. Valérie est la preuve que l'on peut accomplir de grandes choses écoutant son instinct et en suivant ses passions, mais également en laissant de la place à ses équipes, en les encourageant à écouter leur propre instinct, à laisser parler leur intelligence émotionnelle et leur permettant de faire de cette aventure leur propre aventure personnelle. Valérie est une dirigeante, femme publique, dont j'admire la capacité à naviguer dans tous les univers, de ses collaborateurs aux égéries en passant par les influenceuses, tout en restant accessible et montrant de l'intérêt pour chacun. Nous explorons avec Valérie le leadership et l'authenticité. Le sien et celui qu'elle observe. Dans son entourage et chez ses égéries de Kate Moss à Carla Bruni. Encore un épisode pépite que j'ai le plaisir de vous proposer. Bonne écoute ! _____________Mon livre « 100 Jours pour révéler votre leadership » est en précommande ! Liens pour la précommande : Fnac : https://tidd.ly/4flSgSGAmazon : https://amzn.to/49zYbCiPour fêter cela, je vous invite à un événement spécial : le 21 janvier à 12h, un premier webinar où je vous dévoilerai les coulisses de ce livre, les clés essentielles pour révéler votre leadership et comment préparer votre parcours.Ce sera une occasion unique de vivre ce projet en avant-première, et de poser vos premières pierres pour transformer votre expérience de manager.Voici ce que vous devez savoir :Quand : 21 janvier de 12h à 13h30Où : en ligne, directement accessible après votre inscription.Comment participer : pour y assister, il vous suffit de précommander votre exemplaire du livre 100 jours pour révéler votre leadership. Une fois votre commande effectuée, envoyez la preuve d'achat à bonjour@lentreprisededemain.com. Vous recevrez alors le lien pour accéder à cet événement exclusif.