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durée : 00:04:17 - La planète des sciences - par : Daniel FIEVET - Au sommaire cette semaine : des vols de nuit avec les oiseaux migrateurs, de mystérieux passages souterrains incas et des anguilles championnes de l'évasion
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bulletin d'actualités. Dans les années 90, l'expression « semaine d'or » est apparue dans les Tatras précisément en relation avec la clientele russophone. En fait, il s'agissait de trois semaines, et c'était un boom de clientele parlant russe dans les Tatras pendant les vacances, dépensant de l'argent a corps perdu Les Hautes Tatras servent en hiver de refuge pour les oiseaux migrateurs. En effet, pour beaucoup d'especes des pays nordiques les Tatras constituent un territoire approprié pour y passer l'hiver
À l'occasion de la journée mondiale des oiseaux migrateurs du 12 octobre 2024, BSG rediffuse 4 des 12 épisodes de sa saga Migrations. Une espèce sur deux d'oiseaux est en déclin. La France est un lieu de passage essentiel, pourtant les chasseurs hexagonaux font carton plein, avec le record européen d'une soixantaine d'espèces chassables.______Lors de la migration, tous les oiseaux ne volent pas le jour. En effet, des études récentes ont démontré que 2/3 des oiseaux effectuent leurs déplacements la nuit. La majorité des passereaux migrateurs, pour l'essentiel des voyageurs au long cours, volent de nuit.Pourquoi voler de nuit plutôt que de jour ?Il semblerait que les oiseaux au long cours se doivent d'optimiser leur temps pour arriver au moment opportun dans leurs quartiers d'hivernage ou sur leurs sites de reproduction. Ainsi, la migration nocturne leur permet de couvrir une partie du trajet et la journée est mise à profit pour s'alimenter.Voler de nuit permettrait également une économie d'énergie, car l'air est plus frais et dense. Les vents sont en outre plus faibles la nuit. La probabilité de lutter contre des vents contraires s'en trouve, de ce fait, réduite.Enfin, le taux d'humidité plus élevé la nuit et les températures plus fraîches seraient un bon moyen d'éviter le coup de chaud et la déshydratation.Par ailleurs les oiseaux optimisent le vol de plusieurs manières :Le vol à voile, qui repose sur l'utilisation des courants d'air chaud ascendants leur permettant de s'élever facilement dans les airs et de planer sur de longues distances sans efforts.Le vol en V qui permet à l'individu situé derrière celui qui le succède de jouir de l'aspiration créée par ce dernier et ainsi d'économiser de l'énergie.Le vol battu qui, comme son nom l'indique, repose sur la puissance du battement des ailes. Cette technique de vol permet de voler plusieurs jours d'affilés mais elle est très coûteuse en énergie.Malgré tout, parfois, les oiseaux pâtissent d'accidents de parcours, souvent dus à la météo, mais aussi à l'humain…________
À l'occasion de la journée mondiale des oiseaux migrateurs du 12 octobre 2024, BSG rediffuse 4 des 12 épisodes de sa saga Migrations. Une espèce sur deux d'oiseaux est en déclin. La France est un lieu de passage essentiel, pourtant les chasseurs hexagonaux font carton plein, avec le record européen d'une soixantaine d'espèces chassables.______Pourquoi migrer? Comment les oiseaux font-ils pour trouver leur route de jour comme de nuit, pour traverser les océans, pour survivre à de si longs voyages?Les oiseaux suivent ce que l'on appelle des voies ou des “routes” migratoires assez précises et spécifiques à leur famille/espèces. Le terme “trajet” sera plutôt utilisé pour qualifier le voyage d'un individu. Tant que les oiseaux ne rencontrent pas d'obstacles, comme une chaîne de montagnes, ils vont migrer sur un large front.La taille du front de migration peut évoluer durant le voyage: de très étendu, il peut devenir beaucoup plus restreint lorsque les oiseaux atteignent leurs quartiers d'hiver. À l'inverse, des espèces se déplacent sur des fronts à la largeur uniforme durant toute la migration. Les Grues cendrées en sont le meilleur exemple: elles traversent la France dans un couloir de seulement 200km de large !Ces fronts étroits sont caractéristiques des espèces qui voyagent en famille, les adultes transmettant cette connaissance aux jeunes.Beaucoup d'oiseaux suivent la route la plus courte entre deux points. Mais les oiseaux tiennent compte de bien d'autres paramètres que la distance à parcourir pour déterminer leur voie de migration. Ainsi :Ils peuvent faire des pauses pour se nourrir et se reposer.Suivre la côte permet également de se repérer dans l'espace.Ils peuvent tenir compte de la la saisonnalité des ressources.Autre paramètre essentiel: les conditions atmosphériques et notamment l'influence des vents. S'ils sont très puissants, ils peuvent dévier un oiseau de sa trajectoire. Aussi, un oiseau expérimenté sera à même de prendre ce paramètre en compte et même, de l'utiliser à son avantage. Il parcourt alors plus de kilomètres... mais de manière bien plus économique.De fait, à cause de ces questions de ressources alimentaires évoluant dans le temps et des vents dominants, les oiseaux ne suivent généralement pas la même route à l'aller qu'au retour.________
À l'occasion de la journée mondiale des oiseaux migrateurs du 12 octobre 2024, BSG rediffuse 4 des 12 épisodes de sa saga Migrations. Une espèce sur deux d'oiseaux est en déclin. La France est un lieu de passage essentiel, pourtant les chasseurs hexagonaux font carton plein, avec le record européen d'une soixantaine d'espèces chassables.______Avant le grand départ, les oiseaux doivent emmagasiner de copieuses réserves, qu'ils stockent sous forme de graisse. C'est leur carburant.De nombreux oiseaux peuvent ainsi doubler leur masse corporelle avant de partir en migration. Par exemple, le Phragmite des joncs (Acrocephalus schoenobaenus), un petit passereau des marais, pèse habituellement 12g et “s'upgrade” à à 24g avant de partir.Mais attention! un oiseau trop gros devra dépenser plus d'énergie pour se déplacer. Un équilibre est donc recherché : le coût énergétique sera moindre si le trajet est effectué en plusieurs fois avec des courtes haltes qui permettront de refaire ses réserves de graisse en chemin.________Notre invité Adrien de Montaudouin est ornithologue et fondateur de l'association CPAL. Il nous a contactés en 2021 pour proposer un sujet sur sa passion, et c'est aujourd'hui chose faite.Nos épisodes se basent sur l'excellent livre d'une autre jeune ornithologue, Maxime Zucca: La migration des oiseaux, comprendre les voyageurs du ciel._______
À l'occasion de la journée mondiale des oiseaux migrateurs du 12 octobre 2024, BSG rediffuse 4 des 12 épisodes de sa saga Migrations. Une espèce sur deux d'oiseaux est en déclin. La France est un lieu de passage essentiel, pourtant les chasseurs hexagonaux font carton plein, avec le record européen d'une soixantaine d'espèces chassables.______On dénombre plus de 10.000 espèces d'oiseaux dans le monde. Un peu moins de la moitié de ces espèces migrent (de quelques m à 80.000 km par an). Ils étonnent année après année les scientifiques, en faisant tomber les records les uns après les autres :Temps de volDistance parcourueAltitude franchie ...Tous les ans, la sterne arctique parcourt près de 80.000 km. Entre Arctique et Antarctique, Sterna paradisaea allonge sa route pour profiter des vents portants.Les martinets noirs, Apus apus, sont quant à eux connus pour être capables de voler… 10 mois d'affilée sans se poser ! Pour qu'une telle performance soit possible, les oiseaux se nourrissent et dorment dans les airs. La distance accumulée des vols durant leur vie équivaut à 7 voyages aller-retour jusqu'à la Lune !Le record d'altitude appartient au vautour de Rüppell. l'un d'eux a percuté un avion à ... 11.300m !!!L'Oie à tête barrée se pose en challenger du vautour : elle survole les montagnes de l'Himalaya à plus de 10.000 m. Des cygnes ont aussi été repérés à plus de 8.000 m.Les oiseaux migrateurs trouvent un intérêt particulier de voler très haut car ils profitent des courants de vents forts qui les aident à se déplacer sur de grandes distances.L'augmentation de l'altitude de vol permet aussi de limiter l'hyperthermie (liée à l'intensité des battements d'ailes), grâce à la température qui atteint souvent moins de -50 °C, ainsi que la déshydratation qui s'ensuit, lors des grandes migrations.L'une des migrations les plus célèbres est celle de la Barge rousse (Limosa lapponica), championne d'endurance. En 2020, des scientifiques ont enregistré le vol migratoire sans pause le plus long jamais observé, entrepris par une Barge rousse entre l'Alaska et la Nouvelle-Zélande. Elle a parcouru plus de 12.700 kilomètres au-dessus de l'océan Pacifique, pendant 11 jours, sans jamais s'arrêter.D'autres volent loin et vite. La Bécassine double (Gallinago media) peut parcourir plus de 6.700 km et atteindre des vitesses de 96 km/h lors de ses voyages sans interruption entre l'Europe et l'Afrique subsaharienne. Il s'agit de l'oiseau migrateur le plus rapide.Même les petits oiseaux embarquent pour d'éprouvants voyages. Le Colibri calliope (Selasphorus calliope), le plus petit oiseau d'Amérique du Nord, effectue des allers-retours de plus de 9.000 km entre les prairies de haute altitude et les vastes forêts des Rocheuses ou celle de pins et de chênes du Mexique._______
durée : 00:03:08 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Dans une étude publiée par la revue scientifique Current Biology, un groupe de chercheurs britannique affirme que les aigles criards ont modifié leur route migratoire pour ne pas survoler ou faire de pause en Ukraine. Un phénomène qui n'est pas sans conséquence sur leur reproduction.
durée : 00:03:08 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Dans une étude publiée par la revue scientifique Current Biology, un groupe de chercheurs britannique affirme que les aigles criards ont modifié leur route migratoire pour ne pas survoler ou faire de pause en Ukraine. Un phénomène qui n'est pas sans conséquence sur leur reproduction.
durée : 00:03:08 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Dans une étude publiée par la revue scientifique Current Biology, un groupe de chercheurs britannique affirme que les aigles criards ont modifié leur route migratoire pour ne pas survoler ou faire de pause en Ukraine. Un phénomène qui n'est pas sans conséquence sur leur reproduction.
On sait que les oiseaux migrateurs se déplacent sur des distances impressionnantes. Certains sont ainsi capables de franchir des milliers de kilomètres sans cesser de voler pendant des mois.Dès lors, certaines questions se posent. Ainsi, comment ces oiseaux s'y prennent-ils pour dormir pendant ces marathons aériens ?Une équipe de chercheurs allemands a voulu en avoir le cœur net. Ils se sont donc rendus sur les îles Galapagos, où se réfugient volontiers les frégates du Pacifique, une espèce d'oiseaux migrateurs.Les scientifiques ont alors fixé sur quelques-uns de ces oiseaux des capteurs capables d'enregistrer leur activité cérébrale. En examinant les données recueillies, les chercheurs ont constaté que ces oiseaux faisaient, tout en volant, de très courtes siestes.Dans ce cas, l'un de leurs hémisphères cérébraux restait en éveil. Il s'agit donc plus d'une somnolence que d'un véritable sommeil. Mais les résultats montrent que les frégates dorment parfois complètement, volant dès lors à l'aveugle, les deux yeux fermés.D'autres recherches ont été consacrées aux modalités de repos des oiseaux migrateurs. Ainsi, une récente étude a montré l'importance des courants de vent, notamment ascendants.En effet, certaines espèces d'oiseaux migrateurs choisissent leur route en fonction de ces courants, qui les élèvent de manière durable au-dessus des flots et leur permettent de planer de longues heures, sans avoir à battre des ailes.Ils peuvent ainsi économiser de l'énergie et prendre du repos. Mais, pour se remettre de leurs fatigues, ou même pour dormir, les oiseaux migrateurs ont trouvé une autre solution.En effet, ils utilisent les bateaux comme haltes. Ainsi, des chercheurs ont remarqué que, durant une traversée de 25 jours, des oiseaux appartenant à 13 espèces s'étaient arrêtés sur leur bateau.Ils ont même estimé la durée moyenne de cette halte, propice au repos, à 42 minutes. On considère que près de 4 millions d'oiseaux migrateurs pourraient faire des pauses régulières sur des navires sillonnant la Méditerranée.Ce qui montre la faculté d'adaptation de ces volatiles et l'influence des activités humaines sur leur comportement migratoire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:46 - Bientôt chez vous - C'est une idée de l'agence des transports de l'Alaska, le robot de la taille d'un labrador doit patrouiller toutes les heures autour des pistes et chasser les oiseaux migrateurs.
durée : 00:02:21 - Le billet sciences - Les oiseaux migrateurs arrivent en France cinq à six jours plus tôt que dans les années 80. Avec la douceur des températures, ils sont tentés de de regagner le nord de l'Europe de plus en plus tôt pour la période de reproduction.
durée : 00:02:49 - Les anguilles présentes dans le Rhône - par : Nathalie Mazet - L'anguille d'Europe ou commune mesure de 40 cm à 150 cm et pèse jusqu'à 4 kg pour les femelles. A la différence du saumon l'anguille se reproduit dans des eaux salées et elle passe sa vie adulte dans les eaux douces comme le Rhône.
Une espèce migratrice sur cinq est menacée de disparition, selon l'ONU-Environnement. Les poissons migrateurs sont les plus touchés. Pourquoi ? Qu'en est-il en France ? Ecoutez La Pluie et le beau temps du 16 février 2024 avec Marina Giraudeau.
durée : 00:09:41 - Les sorties cinéma de la semaine - par : Laurent Delmas, Christine Masson - Une mobilisation contre la destruction d'un immeuble par Ladj Ly ? Un grand voyage mené par des canards par Benjamin Renner ? Une sensation de vide au dessus de vestiges par Alice Rohrwacher ? L'amour dans un cookie par Babak Jalali ? La vie d'un grand magasin par Yoshimi Itazu ? Que voir ?
durée : 00:02:40 - Le Like de France Bleu Lorraine Nord - Qui n'a pas levé les yeux au ciel ces derniers jours ? Comment résister au majestueux vol en V des oiseaux migrateurs ?
L'automne est la saison des grands voyages. Dès le mois de juin et jusqu'au mois de novembre, des centaines d'espèces d'oiseaux quittent le territoire européen pour partir vers le sud. Certaines s'installent simplement le long de la méditerranée et d'autres traversent carrément le Sahara. Sauf qu'avec le réchauffement climatique, les cartes de la migration semblent rebattues. Alors est-ce que nous allons assister à la fin des oiseaux migrateurs ? C'est ce que nous allons voir aujourd'hui. Bienvenue dans le 4ème épisode de la saison 2 du podcast La vie partout, je vous souhaite une bonne écoute.
Cette semaine, Ben prend la place de PC le temps d'un podcast et l'équipe de Sixième Sens reçoit au studio l'excellent guide et spécialiste de la chasse à la sauvagine, Mathieu Tremblay accompagné de son chien Fancy ! Relax et enrichissant, ce podcast vous en apprendra plus sur cette fabuleuse chasse. -- Les vêtements de chasse & pêche les plus originales au Québec.
Chaque dimanche, le Fort de la Revère, à Èze, accueille des ateliers d'observation des oiseaux migrateurs. En partenariat avec la LPO, le Département des Alpes-Maritimes et la a Ligue pour la Protection des Oiseaux PACA proposent ces animations gratuites jusqu'au 29 octobre. Guépiers d'Europe, rapaces migrateurs, bondrées apivores, circaètes et autres grues cendrées... Sur leur route vers le Sud et l'Afrique, toutes ces espèces empruntent un couloir aérien situé juste au-dessus du Parc de la Grande Corniche. En effet, les oiseaux migrateurs profitent des reliefs de la région pour faire des haltes avant de traverser la Méditerranée. Selon les comptages effectués par la LPO, environ 120 000 oiseaux migrateurs passent chaque année par la Côte d'Azur. Antoine Vasseur, animateur des Parcs naturels départementaux, répond à Nathalie Michet.
durée : 00:02:18 - La LPO compte les petits oiseaux migrateurs à Frossay
Les Nations Unies célèbrent samedi 13 mai la Journée mondiale des oiseaux migrateurs. L'eau et son importance pour les oiseaux migrateurs - ainsi que les menaces croissantes qui pèsent sur la qualité et la quantité de l'eau - sont cette année au cœur de la Journée. L'eau dans le monde entier est menacée. Jacques Trouvilliez, Secrétaire exécutif de l'Accord sur la conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'AfriqueEurasie (AEWA), explique comment cette menace affecte les oiseaux migrateurs.En réduisant notre consommation, en luttant contre le changement climatique et en gérant plus judicieusement les zones humides, nous pouvons améliorer la situation,souligne-t-il.
Les langues comme objets migrateursun podcast avec l'artiste Marianne Mispelaëre, les enseignantes et les élèves du collège Vieux Port à Marseille Cet épisode spécial retrace notre rencontre avec l'artiste Marianne Mispelaëre, les enseignantes et les élèves du collège Vieux Port à Marseille. En 2019 naît le projet Les langues comme objets migrateurs dans le cadre d'une action Nouveaux commanditaires, dont la médiation est assurée par Claire Migraine pour thankyouforcoming. Ce dispositif permet à toute personne qui le souhaite de passer commande d'un œuvre d'art au regard d'un sujet de société. Des enseignantes ont imaginé mener ce projet au sein d'établissements marseillais pour valoriser la diversité des langues parlées par leurs élèves — plus de 35 langues sont parlées par les élèves du Collège Vieux Port. L'artiste en charge du projet, Marianne Mispelaëre, a invité l'équipe de na3na3 à rencontrer les élèves pour créer, ensemble, un podcast autour des langues des élèves. Pendant plusieurs séances, Nadia a interrogé les élèves sur leur rapport à leurs langues, enregistré·e·s par Morgan Peyrot. Depuis 2019, Marianne Mispelaëre développe une proposition langagière et typographique aux côtés d'élèves, enseignantes, expertes en linguistique et parents. À travers sa pratique, elle interroge le monde, les relations sociales, le langage et les systèmes de communication et s'intéresse notamment à la structure du langage et aux pratiques langagières. À travers ce projet, elle a construit un protocole artistique qui questionne les langues, le multilinguisme et la traduction, et par ce biais, l'identité, l'exil et la transmission. L'épisode que vous allez écouter retrace les moments auxquels Marianne et les enseignantes nous ont invité·e·s. Avec cet épisode spécial, qui nous tient particulièrement à cœur, nous proposons aux élèves de nous parler des différentes langues qui composent leur identité et de prendre le temps d'écouter celles des autres, ensemble. —Œuvre de l'artiste Marianne Mispelaëre, réalisée dans le cadre d'une action Nouveaux commanditaires, avec la médiation-production de thankyouforcoming.Avec la participation de la Fondation de France, de la Fondation Daniel et Nina Carasso, de la Fondation des Artistes, en association avec le Frac Provence-Alpes-Côte d'Azur et en partenariat avec la Mission Éducation Prioritaire de l'Académie d'Aix-Marseille, au sein du réseau académique Marseille Vieux Port.na3na3 est un podcast animé par Nadia, monté par Morgan Peyrot et co-produit par Lisa Omara | PYAR et Radio Grenouille. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:50 - Vraiment nature - par : Nathalie Mazet - À cause du changement climatique, des milliers d'oiseaux migrateurs passent moins de temps en Afrique ou bien raccourcissent leurs distances de migration pour passer l'hiver dans le sud de l'Europe. Certains sont même devenus complètement sédentaires.
durée : 00:02:28 - Le Like de France Bleu Lorraine Nord
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 07 novembre 2022
durée : 00:02:49 - Vraiment nature - par : Nathalie Mazet
Comme à chaque automne, des millions d'oiseaux débutent leur grande migration vers le sud. Ceux qui longent la côte est du continent américain empruntent la voie Atlantique, un corridor qui part du Canada et descend jusqu'en Bolivie, au Paraguay et en Argentine. Malheureusement, plusieurs d'entre-eux ne se rendent jamais à destination, tués par un ennemi mortel qui leur barre la route en chemin. Avec Sophie Croteau et Charles Trahan Production QUB Radio Octobre 2022Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Stéphane Monette vient nous parler de la chasse aux oiseaux migrateurs!
durée : 00:03:00 - Eau Douce France Bleu Normandie (Rouen)
durée : 00:02:10 - Le billet sciences - La Fédération nationale de la pêche en France lance un appel pour sauver les poissons migrateurs.
La pollution lumineuse est une menace pour non seulement la faune mais aussi pour les oiseaux migrateurs C'est le thème cette année de la Journée mondiale des oiseaux migrateurs : Diminuer les lumières pour les oiseaux de nuit. En effet une grande diversité d'oiseaux, actifs la nuit subissent les effets de la pollution lumineuse qui les désoriente. Avec 85% de la population mondiale vivant actuellement sous un ciel éclairé, un chiffre proche de 99% en Europe et en Amérique du Nord, cette pollution lumineuse est une menace importante et croissante pour la faune, y compris pour de nombreuses espèces d'oiseaux migrateurs et contribue à la mort de millions d'oiseaux. De nombreux gouvernements, villes, entreprises et communautés du monde entier prennent déjà des mesures pour lutter contre cette pollution. Entretien : Jacques Trouvilliez, Secrétaire exécutif de l'AEWA, l'Accord sur la conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'Afrique-Eurasie
Quels sons nous manquent ? S'agit-il toujours de sons lointains ou perdus ? Et comment hantent-ils nos esprits pour investir le présent et le quotidien ? Au fil d'entretiens croisés, de textes écrits, dits ou chantés ou de lecture de poèmes, avec six détenus du Centre pénitentiaire de Marseille, nous avons composé le quatrième épisode de la série « Sons migrateurs ». Sons migrateurs – « Vivre avec ce qui manque » a été réalisé dans le cadre d'ateliers de création sonore avec six détenus, dirigés par Monica Fantini et Joseph Césarini, cofondateur de « Lieux Fictifs », en mars 2022 au Studio Image et mouvement du Centre pénitentiaire de Marseille. Merci aux participants : Cheikna, Mustapha, Raphaël, Sébastien, Tourquie, Walid. // INVITATION À LA RENCONTRE « ECOUTER LE MONDE - SONS MIGRATEURS » - VENDREDI 13 MAI 2022 DE 15h À 19h - À LA BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DE FRANCE // Le vendredi 13 mai 2022, la Bibliothèque Nationale de France, propose un après-midi de débats, ateliers de création avec le public, lectures et séances d'écoute autour de l'exposition « Objets migrateurs, trésors sous influences » et de la série « Sons migrateurs », en présence de Barbara Cassin, Monica Fantini, de tous les acteurs du projet et d'autres invités. Si vous souhaitez y participer, vous trouverez le programme complet et le formulaire d'inscription gratuite et indispensable (toute en bas de la page) aussi ici. La série « Sons migrateurs » : des cartes postales diffusées à la radio et au musée Invitée par la philosophe, philologue et académicienne Barbara Cassin, commissaire de l'exposition « Objets migrateurs » et en écho à son propos, Monica Fantini propose la série « Sons migrateurs ». Elle se compose de sons et de poèmes du monde, ainsi que de réflexions collectives d'habitants de Marseille autour des sens du mot « migration ». Réalisée dans le cadre d'ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini en mars 2022, en collaboration avec le Centre international de poésie Marseille, le collège Vieux-Port (19 élèves dont des primo-arrivants) et « Lieux Fictifs », structure de production audiovisuelle au Centre pénitentiaire de Marseille (6 détenus, entre 20 et 40 ans), la série de quatre cartes postales sonores a été illustrée par les élèves de l'École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris. Diffusées à la radio, en podcast et au musée, les cartes postales sonores et visuelles, sont également imprimées sur papier, dotées d'un QR code et présentées à l'exposition « Objets migrateurs », au Centre de la Vieille Charité à Marseille d'avril à octobre 2022. Chaque visiteur se voit remettre à son arrivée une des quatre cartes postales exclusives de RFI « Sons migrateurs ». Les ateliers « Sons migrateurs » : des poèmes et des sons du monde A partir de poèmes en français et en d'autres langues, sélectionnés par Giulia Camin, responsable de la bibliothèque de poésie contemporaine au Cipm (Centre international de poésie Marseille), et de centaines de sons édités et publiés sur « La carte des sons » de la plateforme participative d'« Ecouter le monde », Monica Fantini a dirigé des ateliers de création sonore et visuelle. Lectures, séances d'écoute et d'écriture collective, entretiens croisés de participants, réflexions partagées autour du thème de l'écoute et de la migration… : autant de fragments sonores, poétiques et intimes qui ont été recomposés, pour tisser quatre cartes postales sonores sur le thème de la migration. Entendues et interprétées visuellement par les étudiants de première année de l'École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris, dans le cadre d'ateliers codirigés avec les professeurs Florence Jamet et David Gelot, les émissions radiophoniques ont donné lieu à des cartes postales sonores composées d'une image et d'un son. Tous les épisodes de la série « Sons migrateurs » « Le vent qui danse avec la mer » - Avec les élèves Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine de la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. « Les bruits du pays de mes parents » - Avec les élèves Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine de la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. « Le bus qui s'envole jusqu'à Vénus » - Avec les élèves Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine de la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. « Vivre avec ce qui manque » - Avec Cheikna, Mustapha, Raphaël, Sébastien, Tourquie, Walid au Studio Image et mouvement du Centre pénitentiaire de Marseille Équipe de production Conception, montage, mixage : Monica Fantini Prise de son de la voix : Joseph Césarini – Lieux Fictifs Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFI Cet épisode e été réalisé en collaboration avec Lieux Fictifs, structure soutenue par les Ministères de la Justice et de la Culture, le FIPD, le Conseil régional Sud Provence-Alpes-Côte d'Azur, le Conseil départemental des Bouches-du-Rhône, la Ville de Marseille et la Fondation de France.
Quels sont les sons migrateurs ? Un battement d'aile, le fracas des vagues, le sifflement du vent ? Avec les enfants du collège Vieux-Port à Marseille, nous avons partagé des réminiscences, des réflexions, des poèmes et des sons. En jouant de nos voix dans différentes langues, nous avons composé le premier épisode de la série « Sons migrateurs ». Sons migrateurs – « Le vent qui danse avec la mer » a été réalisé dans le cadre d'ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini en mars 2022 avec la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. Merci aux participants : Les élèves de la 6e1 Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine et leurs professeurs. Merci aussi à l'artiste et compositeur Robin Meier pour l'enregistrement de la grande nuée d'étourneaux qui s'envole, réalisé à Poggio Paradiso, près de Civitavecchia, en Italie. // INVITATION À LA RENCONTRE « ECOUTER LE MONDE - SONS MIGRATEURS » - VENDREDI 13 MAI 2022 DE 15h À 19h - À LA BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DE FRANCE // Le vendredi 13 mai 2022, la Bibliothèque Nationale de France, propose un après-midi de débats, ateliers de création avec le public, lectures et séances d'écoute autour de l'exposition « Objets migrateurs, trésors sous influences » et de la série « Sons migrateurs », en présence de Barbara Cassin, Monica Fantini, de tous les acteurs du projet et d'autres invités. Si vous souhaitez y participer, vous trouverez le programme complet et le formulaire d'inscription gratuite et indispensable (toute en bas de la page) aussi ici. La série « Sons migrateurs » : des cartes postales diffusées à la radio et au musée Invitée par la philosophe, philologue et académicienne Barbara Cassin, commissaire de l'exposition « Objets migrateurs » et en écho à son propos, Monica Fantini propose la série « Sons migrateurs ». Elle se compose de sons et de poèmes du monde, ainsi que de réflexions collectives d'habitants de Marseille autour des sens du mot « migration ». Réalisée dans le cadre d'ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini en mars 2022, en collaboration avec le Centre international de poésie Marseille, le collège Vieux-Port (19 élèves dont des primo-arrivants) et « Lieux Fictifs », structure de production audiovisuelle au Centre pénitentiaire de Marseille (6 détenus, entre 20 et 40 ans), la série de quatre cartes postales sonores a été illustrée par les élèves de l'École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris. Diffusées à la radio, en podcast et au musée, les cartes postales sonores et visuelles, sont également imprimées sur papier, dotées d'un QR code et présentées à l'exposition « Objets migrateurs », au Centre de la Vieille Charité à Marseille d'avril à octobre 2022. Chaque visiteur se voit remettre à son arrivée une des quatre cartes postales exclusives de RFI « Sons migrateurs ». Les ateliers « Sons migrateurs » : des poèmes et des sons du monde A partir de poèmes en français et en d'autres langues, sélectionnés par Giulia Camin, responsable de la bibliothèque de poésie contemporaine au Cipm (Centre international de poésie Marseille), et de centaines de sons édités et publiés sur « La carte des sons » de la plateforme participative d'« Ecouter le monde », Monica Fantini a dirigé des ateliers de création sonore et visuelle. Lectures, séances d'écoute et d'écriture collective, entretiens croisés de participants, réflexions partagées autour du thème de l'écoute et de la migration… : autant de fragments sonores, poétiques et intimes qui ont été recomposés, pour tisser quatre cartes postales sonores sur le thème de la migration. Entendues et interprétées visuellement par les étudiants de première année de l'École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris, dans le cadre d'ateliers codirigés avec les professeurs Florence Jamet et David Gelot, les émissions radiophoniques ont donné lieu à des cartes postales sonores composées d'une image et d'un son. Tous les épisodes de la série « Sons migrateurs » « Le vent qui danse avec la mer » - Avec les élèves Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine de la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. « Les bruits du pays de mes parents » - Avec les élèves Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine de la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. « Le bus qui s'envole jusqu'à Vénus » - Avec les élèves Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine de la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. « Vivre avec ce qui manque » - Avec Cheikna, Mustapha, Raphaël, Sébastien, Tourquie, Walid au Studio Image et mouvement du Centre pénitentiaire de Marseille Équipe de production Conception, montage, mixage, prise de son : Monica Fantini Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFI
Comment les voix d'Alger, de Paris ou de Moroni aux Comores résonnent-elles dans les rues de Marseille… ? Quels sons nous animent ou nous apaisent ? Les sons migrateurs se croisent dans une foisonnante polyphonie… Avec les enfants du collège Vieux-Port à Marseille, nous avons partagé des réminiscences, des réflexions, des poèmes et des sons. En jouant de nos voix dans différentes langues, nous avons composé le deuxième épisode de la série « Sons migrateurs ». Sons migrateurs – « Les bruits du pays de mes parents » a été réalisé dans le cadre d'ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini en mars 2022 avec la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. Merci aux participants : Les élèves de la 6e1 Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine et leurs professeurs. // INVITATION À LA RENCONTRE « ECOUTER LE MONDE - SONS MIGRATEURS » - VENDREDI 13 MAI 2022 DE 15h À 19h - À LA BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DE FRANCE // Le vendredi 13 mai 2022, la Bibliothèque Nationale de France, propose un après-midi de débats, ateliers de création avec le public, lectures et séances d'écoute autour de l'exposition « Objets migrateurs, trésors sous influences » et de la série « Sons migrateurs », en présence de Barbara Cassin, Monica Fantini, de tous les acteurs du projet et d'autres invités. Si vous souhaitez y participer, vous trouverez le programme complet et le formulaire d'inscription gratuite et indispensable (toute en bas de la page) aussi ici. La série « Sons migrateurs » : des cartes postales diffusées à la radio et au musée Invitée par la philosophe, philologue et académicienne Barbara Cassin, commissaire de l'exposition « Objets migrateurs » et en écho à son propos, Monica Fantini propose la série « Sons migrateurs ». Elle se compose de sons et de poèmes du monde, ainsi que de réflexions collectives d'habitants de Marseille autour des sens du mot « migration ». Réalisée dans le cadre d'ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini en mars 2022, en collaboration avec le Centre international de poésie Marseille, le collège Vieux-Port (19 élèves dont des primo-arrivants) et « Lieux Fictifs », structure de production audiovisuelle au Centre pénitentiaire de Marseille (6 détenus, entre 20 et 40 ans), la série de quatre cartes postales sonores a été illustrée par les élèves de l'École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris. Diffusées à la radio, en podcast et au musée, les cartes postales sonores et visuelles, sont également imprimées sur papier, dotées d'un QR code et présentées à l'exposition « Objets migrateurs », au Centre de la Vieille Charité à Marseille d'avril à octobre 2022. Chaque visiteur se voit remettre à son arrivée une des quatre cartes postales exclusives de RFI « Sons migrateurs ». Les ateliers « Sons migrateurs » : des poèmes et des sons du monde A partir de poèmes en français et en d'autres langues, sélectionnés par Giulia Camin, responsable de la bibliothèque de poésie contemporaine au Cipm (Centre international de poésie Marseille), et de centaines de sons édités et publiés sur « La carte des sons » de la plateforme participative d'« Ecouter le monde », Monica Fantini a dirigé des ateliers de création sonore et visuelle. Lectures, séances d'écoute et d'écriture collective, entretiens croisés de participants, réflexions partagées autour du thème de l'écoute et de la migration… : autant de fragments sonores, poétiques et intimes qui ont été recomposés, pour tisser quatre cartes postales sonores sur le thème de la migration. Entendues et interprétées visuellement par les étudiants de première année de l'École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris, dans le cadre d'ateliers codirigés avec les professeurs Florence Jamet et David Gelot, les émissions radiophoniques ont donné lieu à des cartes postales sonores composées d'une image et d'un son. Tous les épisodes de la série « Sons migrateurs » « Le vent qui danse avec la mer » - Avec les élèves Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine de la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. « Les bruits du pays de mes parents » - Avec les élèves Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine de la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. « Le bus qui s'envole jusqu'à Vénus » - Avec les élèves Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine de la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. « Vivre avec ce qui manque » - Avec Cheikna, Mustapha, Raphaël, Sébastien, Tourquie, Walid au Studio Image et mouvement du Centre pénitentiaire de Marseille Équipe de production Conception, montage, mixage, prise de son : Monica Fantini Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFI
Du ronronnement du bus au silence des étoiles, de la clameur du jour au calme de la nuit, les sons migrateurs se faufilent, de la tête aux pieds, et du rêve à la réalité. Avec les enfants du collège du Vieux-Port à Marseille, nous avons partagé des réminiscences, des réflexions, des poèmes et des sons. En jouant de nos voix dans différentes langues, nous avons composé le troisième épisode de la série « Sons migrateurs ». Sons migrateurs – « Le bus qui s'envole jusqu'à Vénus » a été réalisé dans le cadre d'ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini en mars 2022 avec la classe 6e1 du collège Vieux Port à Marseille. Merci aux participants : Les élèves de la 6e1 Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine et leurs professeurs. // INVITATION À LA RENCONTRE « ECOUTER LE MONDE - SONS MIGRATEURS » - VENDREDI 13 MAI 2022 DE 15h À 19h - À LA BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DE FRANCE // Le vendredi 13 mai 2022, la Bibliothèque Nationale de France, propose un après-midi de débats, ateliers de création avec le public, lectures et séances d'écoute autour de l'exposition « Objets migrateurs, trésors sous influences » et de la série « Sons migrateurs », en présence de Barbara Cassin, Monica Fantini, de tous les acteurs du projet et d'autres invités. Si vous souhaitez y participer, vous trouverez le programme complet et le formulaire d'inscription gratuite et indispensable (toute en bas de la page) aussi ici. La série « Sons migrateurs » : des cartes postales diffusées à la radio et au musée Invitée par la philosophe, philologue et académicienne Barbara Cassin, commissaire de l'exposition « Objets migrateurs » et en écho à son propos, Monica Fantini propose la série « Sons migrateurs ». Elle se compose de sons et de poèmes du monde, ainsi que de réflexions collectives d'habitants de Marseille autour des sens du mot « migration ». Réalisée dans le cadre d'ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini en mars 2022, en collaboration avec le Centre international de poésie Marseille, le collège Vieux-Port (19 élèves dont des primo-arrivants) et « Lieux Fictifs », structure de production audiovisuelle au Centre pénitentiaire de Marseille (6 détenus, entre 20 et 40 ans), la série de quatre cartes postales sonores a été illustrée par les élèves de l'École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris. Diffusées à la radio, en podcast et au musée, les cartes postales sonores et visuelles, sont également imprimées sur papier, dotées d'un QR code et présentées à l'exposition « Objets migrateurs », au Centre de la Vieille Charité à Marseille d'avril à octobre 2022. Chaque visiteur se voit remettre à son arrivée une des quatre cartes postales exclusives de RFI « Sons migrateurs ». Les ateliers « Sons migrateurs » : des poèmes et des sons du monde A partir de poèmes en français et en d'autres langues, sélectionnés par Giulia Camin, responsable de la bibliothèque de poésie contemporaine au Cipm (Centre international de poésie Marseille), et de centaines de sons édités et publiés sur « La carte des sons » de la plateforme participative d'« Ecouter le monde », Monica Fantini a dirigé des ateliers de création sonore et visuelle. Lectures, séances d'écoute et d'écriture collective, entretiens croisés de participants, réflexions partagées autour du thème de l'écoute et de la migration… : autant de fragments sonores, poétiques et intimes qui ont été recomposés, pour tisser quatre cartes postales sonores sur le thème de la migration. Entendues et interprétées visuellement par les étudiants de première année de l'École Supérieure des Arts graphiques Estienne à Paris, dans le cadre d'ateliers codirigés avec les professeurs Florence Jamet et David Gelot, les émissions radiophoniques ont donné lieu à des cartes postales sonores composées d'une image et d'un son. Tous les épisodes de la série « Sons migrateurs » « Le vent qui danse avec la mer » - Avec les élèves Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine de la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. « Les bruits du pays de mes parents » - Avec les élèves Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine de la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. « Le bus qui s'envole jusqu'à Vénus » - Avec les élèves Aïncha, Arij, Ayat, Cédric, Djibril, Dorisa, Ersi, Inès, Izidine, Irchad, Maria, Matteo, Mohamed, Ryad, Samuel, Shanzay, Sirine, William, Yassine de la classe 6e1 du collège Vieux-Port à Marseille. « Vivre avec ce qui manque » - Avec Cheikna, Mustapha, Raphaël, Sébastien, Tourquie, Walid au Studio Image et mouvement du Centre pénitentiaire de Marseille. Équipe de production Conception, montage, mixage, prise de son : Monica Fantini Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFI
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durée : 00:05:38 - Camille passe au vert - par : Camille Crosnier - Terminée la reproduction, voici le temps de la migration pour les oiseaux ! L'hiver arrive et ils quittent leur nid, direction le sud de l'Europe, le Sahara, et au-delà, pour continuer à trouver de la nourriture.
durée : 00:05:38 - Camille passe au vert - par : Camille Crosnier - Terminée la reproduction, voici le temps de la migration pour les oiseaux ! L'hiver arrive et ils quittent leur nid, direction le sud de l'Europe, le Sahara, et au-delà, pour continuer à trouver de la nourriture.
«Les 5 minutes Renatura», un podcast destiné aux passionnés de nature et d'environnement, animé par l'ONG Renatura Congo. Au travers du volet Education et Sensibilisation à l'Environnement, Renatura Congo diffuse des chroniques environnementales sur la radio Mucodec. Durant 5 minutes, l'ONG, et ses invités, abordent de manière simple et ludique des questions que tout un chacun peut se poser sur son environnement ou sur le fonctionnement de la nature en général. Dans cet épisode, vous allez découvrir « comment les oiseaux migrateurs s'orientent ». Retrouvez des chroniques inédites tous les mercredis, à 20h, et tous les samedis, à 11h, sur la radio Mucodec (100.3 FM).
De 6h à 9h écoutez le Réveil de Tipik ! Marco débarque le matin accompagné d'Hélo et François. Chaque jour la team morning va relever le défi de vous réveiller dans la bonne humeur (parce qu'on en a bien besoin) ! Une matinale encore plus interactive et dont vous faites partie ! Les oiseaux migrateurs font-ils des pauses durant les longues distances qu'ils parcourent?!
Au printemps, les oiseaux migrateurs reviennent de leur long voyage hivernal. Matias, 7 ans, se demande pourquoi ces oiseaux ne migrent plus comme avant. Écoute la réponse dans ce podcast du 10 mai 2021. Et si l'actu t'intéresse, découvre 1jour1actu, l'actualité à hauteur d'enfants.
durée : 00:04:40 - Les Savanturiers - par : Fabienne Chauvière - Comme chaque année au début du mois de mai, sous l’égide de l’ONU, pour souligner la nécessité d’une collaboration internationale. Car, pour assurer la conservation des oiseaux migrateurs, il faut protéger leur habitat à l’échelle mondiale.
durée : 00:02:52 - Le billet sciences - par : Gérard FELDZER - Aujourd’hui, samedi 8 mai, c'est la journée mondiale des oiseaux migrateurs.
Le témoignage de Katie Telford sur l'affaire Jonathan Vance, ex-chef d'état-major éclaboussé par des allégations d'inconduite sexuelle; une publicité du gouvernement Ford qui dérange; le feu vert pour les camps de vacances au Québec; les émissions de gaz à effet de serre (GES) et le problème du transport de marchandises; la mise à jour des négociations de Vienne sur le nucléaire iranien; la saleté de la ville de Paris; une bibliothèque de semences à Vancouver; et l'importance de protéger les oiseaux migrateurs.
Cette année, la journée mondiale des oiseaux migrateurs se concentre sur les phénomènes du « chant des oiseaux » et du « vol des oiseaux » comme moyen d'inspirer et de connecter des personnes de tous âges à travers le monde dans leur désir commun de célébrer les oiseaux migrateurs et de s'unir dans un effort mondial commun pour protéger les oiseaux et les habitats dont ils ont besoin pour survivre. Les oiseaux ont été source de réconfort pendant la pandémie de la Covid-19 qui a ralenti de nombreuses activités en limitant nos mouvements.
En une minute, le podcast fait le tour de deux questions, sérieuses, légères ou insolites.Aujourd'hui, la rédaction de Ça M'intéresse répond à : Le Foodporn. Les oiseaux migrateurs.
durée : 00:02:37 - Ramène ta science FB Nord
durée : 00:51:09 - Le dossier du jour FB Drôme Ardèche
Chaque année, des millions d’oiseaux parcourent plusieurs centaines voire plusieurs milliers de kilomètres pour passer l’hiver au chaud.L’immense majorité d’entre eux arrive à rallier sans difficulté leur site d’hivernage et à en revenir. Leur sens de l’orientation nous fascine et reste encore mystérieux sur bien des aspects... See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Un podcast par Charlotte Giorgi. Il n'y a pas si longtemps, on laminait des tentes, place de la République. On expulsait des "migrants". On matraquait des réfugié.es. Des réfugié.es que l'on « évacue » de leurs tentes comme on les évacue de nos têtes. J'ai voulu parler d'elleux, et de ce que nous renvoyons en miroir, comme image pitoyable de l'humanité. Belle écoute. _____________________ Retrouvez tous les textes de Vacarme des Jours sur le site Motus et Langue Pendue en cliquant ici https://motusetlanguependue.wordpress.com Rejoignez-nous sur Instagram juste ici (vdj_podcast) ou là pour suivre Charlotte et ses autres projets (choo__p) Et puis ce lien regroupe tout ce dont vous avez besoin : https://linktr.ee/charlottegiorgi Si Vacarme des Jours vous plaît, n'hésitez pas à vous abonner pour ne rater aucun épisode, à mettre 5 étoiles si vous écoutez sur un appareil Apple, et à diffuser le podcast autour de vous : c'est un soutien précieux. Merci!
Bonjour à toutes et à tous, Bienvenue dans Changer la norme. Je m’appelle Flavie Deprez et je suis la directrice et la cofondatrice de Carenews, les acteurs de l’engagement. Depuis deux ans, je tends mon micro à celles et ceux qui ont choisi d’entreprendre autrement. Ces chefs d’entreprises ou dirigeants d’association, ou quelques soient le statut qui ne fait pas la vertu de leur structure ont choisi de placer le bénéfice humain et ou écologique avant le bénéfice financier et répondent à des problématiques sociales. Sur leur chemin, linéaire ou faits de détours, des questions économiques, RH, financières et commerciales. Pour Changer vraiment la norme, il nous semble important d’aborder tous les contours d’une histoire et de ne pas se limiter à des inspirations ou des social callings. Et d’échanger sur ce qui va bien, et parfois moins bien. Aujourd’hui, je suis heureuse de recevoir Louis jacquot, le cofondateur des Cuistots migrateurs. Ça faisait longtemps qu’on n’avait pas parlé de bouffe dans Changer la norme. L’amour de la bonne bouffe, c’est ce qui a amené Louis a lancé les Cuistots migrateurs avec son associé qui avait lui la volonté d’une entreprise sociale. Les Cuistots migrateurs, c’est une entreprise de traiteurs, un restaurant et maintenant une école de cuisine du monde où les cuisiniers sont des réfugiés. Avec Louis, nous allons parler de la genèse du projet, du choix du business et de cette volonté de travailler avec des personnes qui ont fui leur pays, de la croissance de l’entreprise, du Covid et du développement des Cuistots migrateurs vers la formation. La saison 4 de Changer La Norme est soutenue par la Fondation Entreprendre.
Bonjour à toutes et à tous, Bienvenue dans Changer la norme. Je m’appelle Flavie Deprez et je suis la directrice et la cofondatrice de Carenews, les acteurs de l’engagement. Depuis deux ans, je tends mon micro à celles et ceux qui ont choisi d’entreprendre autrement. Ces chefs d’entreprises ou dirigeants d’association, ou quelques soient le statut qui ne fait pas la vertu de leur structure ont choisi de placer le bénéfice humain et ou écologique avant le bénéfice financier et répondent à des problématiques sociales. Sur leur chemin, linéaire ou faits de détours, des questions économiques, RH, financières et commerciales. Pour Changer vraiment la norme, il nous semble important d’aborder tous les contours d’une histoire et de ne pas se limiter à des inspirations ou des social callings. Et d’échanger sur ce qui va bien, et parfois moins bien. Aujourd’hui, je suis heureuse de recevoir Louis jacquot, le cofondateur des Cuistots migrateurs. Ça faisait longtemps qu’on n’avait pas parlé de bouffe dans Changer la norme. L’amour de la bonne bouffe, c’est ce qui a amené Louis a lancé les Cuistots migrateurs avec son associé qui avait lui la volonté d’une entreprise sociale. Les Cuistots migrateurs, c’est une entreprise de traiteurs, un restaurant et maintenant une école de cuisine du monde où les cuisiniers sont des réfugiés. Avec Louis, nous allons parler de la genèse du projet, du choix du business et de cette volonté de travailler avec des personnes qui ont fui leur pays, de la croissance de l’entreprise, du Covid et du développement des Cuistots migrateurs vers la formation. La saison 4 de Changer La Norme est soutenue par la Fondation Entreprendre.
Cette semaine Jeane reçoit Louis Jacquot, co-fondateur des cuistots migrateurs. Dans cette épisode, Louis nous raconte comment depuis 2015, grâce a la restauration, il permet a des réfugié•e•s de travailler de manière pérenne. Chaque recette est imaginée par les réfugié•e•s et proposées aussi bien pour le service traiteur de l'entreprise que pour le restaurant. Depuis 2020, Louis et son équipe ont pour projet d'ouvrir une école de cuisine permettant à des réfugié•e•s de suivre une formation gratuite de quelques mois afin de s'insérer sur le marché de l'emploi facilement une fois le diplôme obtenu. Plus de 10 000 postes sont à pourvoir chaque année dans le secteur de la restauration. N'hésitez pas à soutenir le projet des Cuistots migrateurs pour soutenir ces hommes et femmes venu•e•s du monde entier. Liens utiles pour suivre l’épisode : • Les cuistots migrateurs : www.lescuistotsmigrateurs.com • Le compte Instagram : S'abonner Soutenir Basilic :instagram.com/basilicpodcast/twitter.com/BasilicPodcast?lang=frfacebook.com/Basilicpodcast/ Production : Jeane Clesse Musique : Benjamin Porraz Graphisme : Mahaut Clément & Coralie Chauvin Mixage : Alexandre Ottmann Si cet épisode vous a plu, n’hésitez pas à laisser plein d’étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m’aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs.
Dans leurs parcours migratoires, les poissons de rivière rencontrent des obstacles qui leurs sont souvent fatals. Les barrages hydro électriques. La Confédération sʹest engagée à assurer la libre migration des poissons dʹici 2030. Pour y parvenir, ce ne sont pas moins de milles infrastructures qui doivent être assainies. Or, il y a urgence alerte la Fédération Suisse de pêche qui pointe une chute drastique de lʹichtyofaune. Exemple au barrage de Verbois dans le canton de Genève. Une nouvelle diffusion du 8 juin 2019.
durée : 00:02:29 - Le billet sciences - La journée internationale consacrée aux poissons migrateurs ce samedi 24 octobre met en évidence la nécessité de comprendre et de protéger des espèces en danger, qui pour certaines sont dotées d'un système de navigation lié à l'astronomie et à la lumière du ciel la nuit. Comme le cerveau des saumons par exemple.
durée : 00:54:24 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Et si les extra-terrestres étaient écolo ? C'est la réponse au paradoxe de Fermi formulée dans le dernier numéro de "Ciel et Espace". Les oiseaux migrateurs sont mis en danger par les activités humaines, on en parle avec Christian Moullec. Et enfin, on reçoit une palynologue à l'occasion de la Fête de la Science. - invités : Christian Mouellec, - Christian MOUELLEC, pour Dans le sillage des oiseaux migrateurs, Dunod
durée : 00:39:11 - Vraiment Nature FB Vaucluse
Les oiseaux ont beaucoup de choses à nous apprendre sur la séduction et la vie de couple. Cette semaine à l'émission, nous parlons de fous de Bassan, d'infidélité et de prêtres migrateurs avec le chercheur et enseignant en biologie au Cégep de Rimouski David Pelletier, la sexologue Jocelyne Robert et l'abbé Serge Danialou, chancelier au diocèse de Gaspé.
Connaissez-vous les oiseaux migrateurs ? La réponse dans ce magazine. Et il existe un instrument juridique pour les protéger : "l'Accord sur la conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'Afrique-Eurasie (AEWA)". Egalement au menu, l’agriculture de précision, c’est-à-dire : cultiver avec l’aide des nouvelles technologies comme les drones.
Nous sommes aujourd'hui avec Louis Jacquot, le fondateur des Cuistots Migrateurs, une entreprise sociale et solidaire dont la mission est de changer le regard des français sur les réfugiés grâce à la bouffe.Ensemble, nous revenons sur le concept de son entreprise à mission : un service traiteur qui embauche des réfugiés et s'appuie sur leur savoir-faire pour faire émerger de nouvelles cuisines du monde. Nous parlons des conséquences de la crise sur son activité et de la nécessité de se réinventer. Louis ne manque pas d'ambition pour accroitre son impact social. En effet, en plus de sa détermination à maintenir et à trouver de nouveaux débouchés malgré le contexte difficile, le fondateur nous fait part de son projet d'école de cuisine pour les réfugiés et nous explique sa vision de l'après-crise.
Le 9 mai, l'ONU célèbre la Journée mondiale des oiseaux migrateurs, une campagne mondiale consacrée à la sensibilisation aux oiseaux migrateurs et à la nécessité d’une coopération internationale pour leur conservation. Le thème de cette année est « Les oiseaux unissent notre monde ». Nous pouvons utiliser la période actuelle de confinement pour réfléchir et renouer avec la nature en nous engageant à aider les oiseaux migrateurs où qu’ils se trouvent.
Où observer les oiseaux migrateurs à Victoria ? by Radio Victoria
durée : 00:03:55 - La chronique de Constance - par : - .
durée : 00:02:28 - Destination nature France Bleu Limousin
durée : 00:02:27 - Destination nature France Bleu Limousin
Durée : 6:04 - Interview avec l'ornithologue et écologue Romain Lorrilliere, à l'occasion de sa conférence intitulé "Oiseaux migrateurs, voyage à haut risque", organisée ce jeudi 17 octobre au Musée de l'Erdre à Carquefou. Difficile d'avoir des chiffres globaux, mais on estime que la population des oiseaux agricoles a diminiué de 30% sur les 15 dernières années... Romain Lorrilliere explique au micro de Suzon Tisseau les défis actuels des migrations animales.
Durée : 6:04 - Interview avec l'ornithologue et écologue Romain Lorrilliere, à l'occasion de sa conférence intitulé "Oiseaux migrateurs, voyage à haut risque", organisée ce jeudi 17 octobre au Musée de l'Erdre à Carquefou. Difficile d'avoir des chiffres globaux, mais on estime que la population des oiseaux agricoles a diminiué de 30% sur les 15 dernières années... Romain Lorrilliere explique au micro de Suzon Tisseau les défis actuels des migrations animales.
durée : 00:58:30 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Hélaine Lefrançois - Les professionnels de la santé s'inscrivent depuis plusieurs années dans des dynamiques internationales, en fonction des besoins des pays et de leurs propres aspirations. Qu'est ce qui pousse les médecins à émigrer ? Ces migrations pèsent-elles sur l'économie et la santé dans les pays de départ ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Yasser Moullan Economiste, ingénieur d'étude au Centre d'économie et de management de l'Océan indien, chercheur associé à l'IRDES; Christelle Fifaten Housnou Docteure en sociologie à l'Université paris 7, spécialiste des professions médicales et des migrations; Virginie Chasles maître de conférences à l’Université Jean Moulin (Lyon III), auteur de « Santé et mondialisation » (2010)
Malgré le désert, la Mauritanie accueille, chaque année, des millions d’oiseaux migrateurs de passage ou qui y passent l’hiver. Améliorer et partager les connaissances sur les lieux par excellence pour la conservation de ces oiseaux, c’est ce à quoi s’attellent Yelli Diawara et son organisation, "Nature Mauritanie". Yelli Diawara est notre invité.
Cette intervention d'Eric Rochard porte sur les poissons migrateurs amphihalins, poissons effectuant des migrations entre les eaux douces et la mer. Après une présentation de ce mode de fonctionnement et un aperçu des espèces emblématiques, il revient sur leurs intérêts écologiques, alimentaires, récréatifs et culturels.