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durée : 00:54:31 - On va déguster - par : François-Régis Gaudry - Le chef de cuisine et propriétaire du restaurant la Grenouillère à la Madeleine-sous-Montreuil dans le Pas-de-Calais, il nous raconte sa vision créative, enracinée et humaniste de la cuisine. - invités : Alexandre Gauthier - Alexandre Gauthier : Chef cuisinier - réalisé par : Lauranne THOMAS Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Du 26 novembre au 1er décembre, la ville de Montreuil, à l'est de Paris, accueille la 41ème édition du Salon du livre et de la presse jeunesse, axée cette année sur la thématique de "l'Art de l'autre." Parmi les milliers d'auteurs et d'autrices présents : la romancière afroféministe Laura Nsafou. Dans son travail, l'autrice d'origine martiniquaise et congolaise s'est donné une mission : représenter ceux qui ne le sont que rarement. RFI : Bonjour Laura Nsafou. Vous êtes autrice de livres et albums pour enfants, afroféministe également. Si vous deviez résumer votre travail en quelques mots, qu'est-ce que vous diriez ? Laura Nsafou : (rire) C'est dur ! Mais c'est un travail littéraire qui tente de proposer une vraie diversité en termes de représentation des communautés noires, et qui essaie de montrer une pluralité d'histoires aussi, en rappelant que les personnages noirs peuvent exister dans le rêve aussi, pas que dans certains stéréotypes, et faire rêver. Puisque vous employez le mot de "stéréotype," pour vous, ce n'est pas le stéréotype en tant que tel le problème, c'est bien cela ? Oui, en fait, c'est surtout qu'aujourd'hui, la présence des personnages noirs oscille toujours entre l'invisibilisation pure et simple ou la stéréotypisation. Or, l'existence des stéréotypes et des cases ne définit pas les existences des communautés noires. Ce qu'il faut aujourd'hui, c'est veiller à ce qu'il y ait une richesse d'histoires. Et aussi examiner la façon dont notre imaginaire collectif s'est figé autour de la représentation des personnages noirs. Par l'illustration par exemple, on peut représenter une diversité de carnations, de types de cheveux, ou même d'origines au sein de la diaspora. C'est un peu tous ces écueils-là que j'essaie de décortiquer. Cela fait une dizaine d'années que vous écrivez des livres. Comment en êtes-vous venue à traiter, dès le début de votre carrière d'ailleurs, ces problématiques ? Avant d'être autrice, je suis aussi une lectrice. Une jeune femme noire, d'origine martiniquaise par ma mère et congolaise par mon père, qui a grandi en France et qui ne s'est pas vue en littérature jeunesse. L'exemple que je donne souvent, c'est cette enseignante, quand j'avais huit ans, qui a demandé à ma classe d'aller dans la bibliothèque de l'école et de choisir un livre avec un personnage principal qui nous ressemble. Et moi, je n'en avais pas. Je suis repartie avec un exemplaire de Tom-Tom et Nana, parce qu'il y avait Rémi, le meilleur ami noir personnage secondaire. (rire) Donc, il y avait une expérience propre au fait de ne pas se voir. Et un enfant, quand il voit ça, il se dit « qu'est-ce qui ne va pas avec moi ? » Et donc, l'acte d'écrire est venu avec cette envie de voir des princesses noires, de voir des fées noires, des choses comme ça que je ne voyais pas. Comme un million de papillons noirs, mon premier album, c'était vraiment la volonté de créer un album que je n'avais pas eu. Le fait d'écrire ces ouvrages, c'est donc aussi une sorte de soin pour vous ? Complètement ! Effectivement, il y avait cet enjeu de parler de thèmes assez durs, que ce soit le harcèlement scolaire, les discriminations, ou dans le cas du Chemin de Jada [album paru en 2020, ndlr], la question du colorisme. Donc, ce sont des thématiques dures, mais mon envie venait toujours de les raconter avec de la poésie et avec une fin heureuse, lumineuse, joyeuse. C'est vraiment ça que je trouve aussi intéressant avec le format de l'album jeunesse, parce qu'on ne s'adresse pas seulement aux enfants, on crée un espace de discussion entre adultes et enfants. Mais le fait est qu'en France, dès lors qu'on propose une histoire avec des personnages minorisés, il y a tout de suite cette présomption de non-universalité. On parle beaucoup de littérature universelle, mais on oublie que l'universel se travaille et l'universel se crée ensemble. Et sur cette notion d'universalisme, justement, la question ne se pose jamais quand ce sont des livres qui mettent en scène des enfants blancs. C'est un peu l'exemple que je donne : je ne pense pas que pour le Petit Nicolas [série de nouvelles pour enfants datant des années 1950-1960 et toujours très populaire en France, ndlr], on a présumé que c'était forcément un livre communautariste. On part simplement du principe que ça parle à tout le monde.Sauf que ce principe-là, il marche pour toutes les histoires. En fait, juste, on existe.
Du 26 novembre au 1er décembre, la ville de Montreuil, à l'est de Paris, accueille la 41ème édition du Salon du livre et de la presse jeunesse, axée cette année sur la thématique de "l'Art de l'autre." Parmi les milliers d'auteurs et d'autrices présents : la romancière afroféministe Laura Nsafou. Dans son travail, l'autrice d'origine martiniquaise et congolaise s'est donné une mission : représenter ceux qui ne le sont que rarement. RFI : Bonjour Laura Nsafou. Vous êtes autrice de livres et albums pour enfants, afroféministe également. Si vous deviez résumer votre travail en quelques mots, qu'est-ce que vous diriez ? Laura Nsafou : (rire) C'est dur ! Mais c'est un travail littéraire qui tente de proposer une vraie diversité en termes de représentation des communautés noires, et qui essaie de montrer une pluralité d'histoires aussi, en rappelant que les personnages noirs peuvent exister dans le rêve aussi, pas que dans certains stéréotypes, et faire rêver. Puisque vous employez le mot de "stéréotype," pour vous, ce n'est pas le stéréotype en tant que tel le problème, c'est bien cela ? Oui, en fait, c'est surtout qu'aujourd'hui, la présence des personnages noirs oscille toujours entre l'invisibilisation pure et simple ou la stéréotypisation. Or, l'existence des stéréotypes et des cases ne définit pas les existences des communautés noires. Ce qu'il faut aujourd'hui, c'est veiller à ce qu'il y ait une richesse d'histoires. Et aussi examiner la façon dont notre imaginaire collectif s'est figé autour de la représentation des personnages noirs. Par l'illustration par exemple, on peut représenter une diversité de carnations, de types de cheveux, ou même d'origines au sein de la diaspora. C'est un peu tous ces écueils-là que j'essaie de décortiquer. Cela fait une dizaine d'années que vous écrivez des livres. Comment en êtes-vous venue à traiter, dès le début de votre carrière d'ailleurs, ces problématiques ? Avant d'être autrice, je suis aussi une lectrice. Une jeune femme noire, d'origine martiniquaise par ma mère et congolaise par mon père, qui a grandi en France et qui ne s'est pas vue en littérature jeunesse. L'exemple que je donne souvent, c'est cette enseignante, quand j'avais huit ans, qui a demandé à ma classe d'aller dans la bibliothèque de l'école et de choisir un livre avec un personnage principal qui nous ressemble. Et moi, je n'en avais pas. Je suis repartie avec un exemplaire de Tom-Tom et Nana, parce qu'il y avait Rémi, le meilleur ami noir personnage secondaire. (rire) Donc, il y avait une expérience propre au fait de ne pas se voir. Et un enfant, quand il voit ça, il se dit « qu'est-ce qui ne va pas avec moi ? » Et donc, l'acte d'écrire est venu avec cette envie de voir des princesses noires, de voir des fées noires, des choses comme ça que je ne voyais pas. Comme un million de papillons noirs, mon premier album, c'était vraiment la volonté de créer un album que je n'avais pas eu. Le fait d'écrire ces ouvrages, c'est donc aussi une sorte de soin pour vous ? Complètement ! Effectivement, il y avait cet enjeu de parler de thèmes assez durs, que ce soit le harcèlement scolaire, les discriminations, ou dans le cas du Chemin de Jada [album paru en 2020, ndlr], la question du colorisme. Donc, ce sont des thématiques dures, mais mon envie venait toujours de les raconter avec de la poésie et avec une fin heureuse, lumineuse, joyeuse. C'est vraiment ça que je trouve aussi intéressant avec le format de l'album jeunesse, parce qu'on ne s'adresse pas seulement aux enfants, on crée un espace de discussion entre adultes et enfants. Mais le fait est qu'en France, dès lors qu'on propose une histoire avec des personnages minorisés, il y a tout de suite cette présomption de non-universalité. On parle beaucoup de littérature universelle, mais on oublie que l'universel se travaille et l'universel se crée ensemble. Et sur cette notion d'universalisme, justement, la question ne se pose jamais quand ce sont des livres qui mettent en scène des enfants blancs. C'est un peu l'exemple que je donne : je ne pense pas que pour le Petit Nicolas [série de nouvelles pour enfants datant des années 1950-1960 et toujours très populaire en France, ndlr], on a présumé que c'était forcément un livre communautariste. On part simplement du principe que ça parle à tout le monde.Sauf que ce principe-là, il marche pour toutes les histoires. En fait, juste, on existe.
Régine Hatchondo, la présidente du Centre National du Livre, était l'invitée de la matinale de Radio Classique à l'occasion du 41ème Salon du Livre et de la Presse jeunesse à Montreuil. Un secteur qui va bien, et s'exporte à l'étranger. C'est « une richesse incroyable » pour notre pays, souligne-t-elle. Et malgré la concurrence des écrans, qui fait plonger le temps de lecture de nos enfants, il est encore possible, selon elle, de leur redonner goût à la lecture. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:00:21 - Le 5/7 - À 5h45 : Olivier Krieg, boulanger à l'Enfariné à Kaysersberg. Champion de France de Panettone. À 6h20 : Sylvie Vassallo, directrice du Salon du livre jeunesse de Montreuil. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:06:23 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Sylvie Vassallo, directrice du Salon du livre jeunesse de Montreuil, est notre invitée pour l'ouverture de l'édition 2025. Avec 76 millions de livres vendus en 2024, la littérature jeunesse représente à elle seule plus de 13% du marché du livre, même si l'on observe un tassement ces derniers mois. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Des milliers d'auteurs, d'illustrateurs et des centaines de maisons d'édition se retrouvent au Salon du livre et de la presse jeunesse. Le secteur, en Afrique, est très dynamique grâce à une nouvelle génération d'auteurs et d'éditeurs. L'enjeu n'est pas seulement de promouvoir la lecture, c'est aussi de trouver des modèles économiques viables, de répondre aux exigences d'un public toujours plus nombreux, et surtout de faire circuler les livres d'un pays à l'autre et sur tous les supports. Agnès Debiage, consultante internationale spécialisée dans les écosystèmes et dynamiques du livre en Afrique ; Fatou Diomande, autrice aux éditions Calebasse ; Amina Hachimi Alaoui, éditrice jeunesse aux éditions Yanbow El Kitab et Constantin Adadja, auteur et éditeur, étaient les invités de Nathalie Amar. Le Salon du livre et de la presse jeunesse se tient à Montreuil du 26 novembre au 1er décembre 2025. ► Reportage Sarah Cozzolino s'est rendue au FLUP pour sa 15ème édition à Rio de Janeiro, la Fête littéraire des périphéries. Elle y a rencontré l'autrice Conceição Evaristo, grande voix de la littérature contemporaine brésilienne à l'honneur au festival qui a lieu du 17 au 23 novembre et du 27 au 30 novembre 2025. ► Chronique : Café Polar Catherine Fruchon-Toussaint a rencontré Philibert Humm pour «Roman policier» (Les Équateurs) un texte apparemment farfelu qui s'appuie sur un vrai fait-divers : le vol des lettres «U» dans les enseignes de la ville de Pau. Un mystère sur lequel l'auteur a véritablement enquêté en se rendant sur place et en démasquant le coupable. ► Playlist du jour - Souleymane Mbodj - Aayaa yimbéy. - Aya Nakamura - Desarmer.
Des milliers d'auteurs, d'illustrateurs et des centaines de maisons d'édition se retrouvent au Salon du livre et de la presse jeunesse. Le secteur, en Afrique, est très dynamique grâce à une nouvelle génération d'auteurs et d'éditeurs. L'enjeu n'est pas seulement de promouvoir la lecture, c'est aussi de trouver des modèles économiques viables, de répondre aux exigences d'un public toujours plus nombreux, et surtout de faire circuler les livres d'un pays à l'autre et sur tous les supports. Agnès Debiage, consultante internationale spécialisée dans les écosystèmes et dynamiques du livre en Afrique ; Fatou Diomande, autrice aux éditions Calebasse ; Amina Hachimi Alaoui, éditrice jeunesse aux éditions Yanbow El Kitab et Constantin Adadja, auteur et éditeur, étaient les invités de Nathalie Amar. Le Salon du livre et de la presse jeunesse se tient à Montreuil du 26 novembre au 1er décembre 2025. ► Reportage Sarah Cozzolino s'est rendue au FLUP pour sa 15ème édition à Rio de Janeiro, la Fête littéraire des périphéries. Elle y a rencontré l'autrice Conceição Evaristo, grande voix de la littérature contemporaine brésilienne à l'honneur au festival qui a lieu du 17 au 23 novembre et du 27 au 30 novembre 2025. ► Chronique : Café Polar Catherine Fruchon-Toussaint a rencontré Philibert Humm pour «Roman policier» (Les Équateurs) un texte apparemment farfelu qui s'appuie sur un vrai fait-divers : le vol des lettres «U» dans les enseignes de la ville de Pau. Un mystère sur lequel l'auteur a véritablement enquêté en se rendant sur place et en démasquant le coupable. ► Playlist du jour - Souleymane Mbodj - Aayaa yimbéy. - Aya Nakamura - Desarmer.
durée : 00:25:30 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - À l'occasion de l'ouverture du salon du livre jeunesse de Montreuil, focus sur la littérature jeunesse avec des experts et des témoignages et nous verrons comment les livres peuvent accompagner les adolescents dans leur développement et la compréhension de leurs émotions. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
400 maisons d'édition venues du monde entier, des milliers d'autrices et d'auteurs, et un thème, l'Art de l'autre, qui célèbre l'empathie et la curiosité : le Salon du Livre et de la Presse jeunesse est ouvert aux petits et aux grands à partir de ce mercredi 26 novembre 2025. Les dernières études montrent un recul marqué de la lecture chez les jeunes qui lisent moins souvent et moins longtemps – seulement 19 minutes par jour en moyenne – et peinent davantage à se concentrer. Pour autant, l'offre jeunesse n'a jamais été aussi abondante (elle représente actuellement 13% des ventes de livres en France) et propose de nombreuses pistes pour reconnecter les jeunes au plaisir de lire. Les BD, mangas et comics dominent largement leurs lectures, tandis que les romans, bien que toujours présents, reculent légèrement. Le Salon du Livre et de la Presse Jeunesse, depuis sa première édition en 1984, reste le rendez-vous incontournable (et gratuit) des jeunes lecteurs. Parmi les propositions exposées cette année, Le Dinosaulyre de Guillaume Métayer, «un livre pour les enfants de 7 à 117 ans» ; et Pirates en Enfer, de Lucas Scholtes, l'histoire d'une bande de pirates coincée dans les neuf cercles de l'Enfer qui tente de trouver une porte de sortie. Deux auteurs qui fabriquent l'imaginaire des adultes de demain. Invités : Guillaume Métayer, poète et chercheur en Lettres et en Philosophie. Spécialiste de Nietzsche et d'Anatole France, il est agrégé de Lettres classiques, germaniste et traducteur littéraire de l'allemand et du hongrois. Son livre, Le Dinosaulyre (suivi de l'Etymosaure), illustré par Djohr, propose un voyage dans le temps à dos de dinosaure pour aller jusqu'à la préhistoire de la langue française et en décortiquer les étymologies Lucas Scholtes, illustrateur et auteur de romans graphiques. Pirates en Enfer est une BD inspirée de son mémoire d'étude, et revisite le lore dantesque des Enfers, mais aussi celui de la piraterie. Le jeune dessinateur signe le scénario, les dialogues et le dessin de l'ouvrage. La BD a reçu le soutien du Centre national du livre. ► La 41è édition du Salon du Livre et de la Presse jeunesse se tient du 26 novembre au 1ᵉʳ décembre 2025 à Paris Montreuil Expo en Seine-Saint-Denis. Et la chronique la Puce à l'oreille de Lucie Bouteloup, qui décrypte le langage texto à l'occasion du 33è anniversaire de l'apparition du SMS. Programmation musicale : Requin Chagrin - Parachute.
400 maisons d'édition venues du monde entier, des milliers d'autrices et d'auteurs, et un thème, l'Art de l'autre, qui célèbre l'empathie et la curiosité : le Salon du Livre et de la Presse jeunesse est ouvert aux petits et aux grands à partir de ce mercredi 26 novembre 2025. Les dernières études montrent un recul marqué de la lecture chez les jeunes qui lisent moins souvent et moins longtemps – seulement 19 minutes par jour en moyenne – et peinent davantage à se concentrer. Pour autant, l'offre jeunesse n'a jamais été aussi abondante (elle représente actuellement 13% des ventes de livres en France) et propose de nombreuses pistes pour reconnecter les jeunes au plaisir de lire. Les BD, mangas et comics dominent largement leurs lectures, tandis que les romans, bien que toujours présents, reculent légèrement. Le Salon du Livre et de la Presse Jeunesse, depuis sa première édition en 1984, reste le rendez-vous incontournable (et gratuit) des jeunes lecteurs. Parmi les propositions exposées cette année, Le Dinosaulyre de Guillaume Métayer, «un livre pour les enfants de 7 à 117 ans» ; et Pirates en Enfer, de Lucas Scholtes, l'histoire d'une bande de pirates coincée dans les neuf cercles de l'Enfer qui tente de trouver une porte de sortie. Deux auteurs qui fabriquent l'imaginaire des adultes de demain. Invités : Guillaume Métayer, poète et chercheur en Lettres et en Philosophie. Spécialiste de Nietzsche et d'Anatole France, il est agrégé de Lettres classiques, germaniste et traducteur littéraire de l'allemand et du hongrois. Son livre, Le Dinosaulyre (suivi de l'Etymosaure), illustré par Djohr, propose un voyage dans le temps à dos de dinosaure pour aller jusqu'à la préhistoire de la langue française et en décortiquer les étymologies Lucas Scholtes, illustrateur et auteur de romans graphiques. Pirates en Enfer est une BD inspirée de son mémoire d'étude, et revisite le lore dantesque des Enfers, mais aussi celui de la piraterie. Le jeune dessinateur signe le scénario, les dialogues et le dessin de l'ouvrage. La BD a reçu le soutien du Centre national du livre. ► La 41è édition du Salon du Livre et de la Presse jeunesse se tient du 26 novembre au 1ᵉʳ décembre 2025 à Paris Montreuil Expo en Seine-Saint-Denis. Et la chronique la Puce à l'oreille de Lucie Bouteloup, qui décrypte le langage texto à l'occasion du 33è anniversaire de l'apparition du SMS. Programmation musicale : Requin Chagrin - Parachute.
durée : 00:58:43 - Être et savoir - par : Louise Tourret - Chaque année début décembre, le Salon du livre et de la presse jeunesse à Montreuil, en Seine-Saint-Denis, met la littérature jeunesse à l'honneur. Mais quelle est la place de celle-ci à l'école ? Comment y est-elle utilisée, médiatisée ? De quels outils disposent les enseignants pour s'en emparer ? - invités : Laetitia Perret Maitresse de conférence en littérature (didactique du Français) à l'Univesrité de Poitiers - INSPÉ; Christophe Lécullée Formateur à l'UPEC (Université de Paris Est Créteil), INSPE (Institut National Supérieur du Professorat et de l'Education) de l'académie de Créteil, spécialiste de littérature jeunesse notamment pour le Ministère de l'éducation nationale et auteur.
Au programme de l'émission du 26 novembre : avec Natali Fortier, autrice, illustratrice et plasticienne ; et avec Alain Serres, éditeur (rediffusion) ✅ En ouverture de l'émission, lecture du communiqué de l'association Paris librairies (qui rassemble 200 librairies de quartier indépendantes)n suite au Conseil de Paris de jeudi dernier, où les élus de l'opposition, parmi lesquels le groupe Changer Paris de la ministre de la Culture, Rachida Dati, se sont opposés à 500 000 euros de subventions destinées aux librairies indépendantes de la capitale, faisant de la sorte échouer l'adoption de cette délibération.JE VEUX UNE BD ET PAS N'IMPORTE LAQUELLE - chronique de Julia Segui - c'est vers 08 min
Quelles solutions face à la crise du logement que traverse la France ? Alors que de nombreux jeunes en particulier ne parviennent plus à se loger dans les grandes villes, une nouvelle forme d'habitat partagé se développe de plus en plus ces dernières années : le coliving. Il s'agit, comme la colocation, d'un même appartement dont plusieurs personnes louent les chambres. Sauf que chacun a ici son propre bail, pour une chambre, et un accès partagé à des services. Face à ce que les détracteurs de ce système qualifient de « machine à cash », la ville de Paris a agi : en octobre, elle a adopté une délibération pour refuser tout nouveau projet immobilier de coliving. Nous sommes dans un coliving. Ici, chacun loue sa chambre meublée, et les 600m² de cuisine, salon et salle de sport communes. Ce n'est pas vraiment une colocation traditionnelle, car les baux sont individuels et gérés par une société qui vend un logement clé en main. Victor Augais, le gérant, défend son modèle : « Le modèle habituel de la Casa, c'est de racheter des grandes maisons qui logeaient quatre, six personnes, et puis en fin de vie, deux personnes âgées. Nous, après réaménagement, on va faire une douzaine de chambres. Ça me semble plutôt positif, dans un cadre de pénurie de logements, que négatif. » Le loyer est de 675 euros, auxquels s'ajoutent 275 euros de charges et services, dont un petit-déjeuner quotidien. « On loue chambre et une partie des parties communes. Une douzaine de m² pour la chambre et la salle de bain, et à peu 11m² de part de partie commune », poursuit-il. Payer 950 euros par mois, n'est-ce pas un peu cher pour 10m² de partie individuelle ? Il répond : « Les pratiques de loyer sont conformes au marché. Si vous voulez avoir juste une partie privative et rien d'autres, louez un studio. » Vers une régulation du marché du coliving ? Un discours trompeur selon Ian Brossat, sénateur communiste de Paris et membre du conseil municipal. Son groupe a rédigé la délibération du 8 octobre 2025 pour rejeter tout nouveau projet de coliving dans la capitale. « Non, ça ne se justifie que le prix d'une chambre de 9m² s'élève à 950 euros de loyer, même si on a la possibilité de fréquenter des espaces communs. Comme nous avons encadré Airbnb, eh bien, les mêmes acteurs se tournent vers un nouveau produit qui doit leur permettre d'atteindre les mêmes niveaux de rentabilité qu'ils n'atteignent plus aujourd'hui sur Airbnb. C'est ça, la réalité », analyse Ian Brossat. Une expérience qu'a vécue Julia, étudiante argentine arrivée à Paris il y a deux ans. Elle a loué pendant un an une chambre dans un coliving du 15e arrondissement de Paris : 10m² meublés pour 990 euros par mois. « C'est hyper cher », précise-t-elle. Les garants argentins de Julia étaient presque systématiquement refusés par les bailleurs. « À ce moment-là, c'est la seule solution que j'avais trouvée pour pouvoir vivre ici à Paris. Ils profitent de la situation des étrangers désespérés. J'avais surtout de l'argent de côté. J'ai payé le loyer pendant six mois, et après, j'ai trouvé un travail ici en France. C'est devenu un peu plus facile. » Ian Brossat et le groupe communiste au Sénat ont déposé une proposition de loi pour réguler le marché du coliving à l'échelle nationale. D'autres villes, comme Lyon ou Montreuil, envisagent aussi d'encadrer ce type d'habitat. À lire aussiPourquoi les prix des logements s'envolent ?
En 1884 à Montreuil, Elise Boehmer se plaint de maux de ventre avant de disparaitre. Quelques jours plus tard, son mari, Albert Pel, fait un grand feu dans le fourneau de sa cuisine...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 1884 à Montreuil, Elise Boehmer se plaint de maux de ventre avant de disparaitre. Quelques jours plus tard, son mari, Albert Pel, fait un grand feu dans le fourneau de sa cuisine...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mes chers camarades, bien le bonjour !Un seul nom : Lovecraft. Difficile d'être un geek en France dans les années 1980 et 1990 sans lire les nouvelles de cet auteur, si possible en pleine nuit, à la lumière d'une lampe de chevet afin d'être emporté par ses folles visions. Et encore aujourd'hui, presque 90 ans après sa mort, c'est galère de ne pas voir que Lovecraft exerce une énorme… oui, une ÉNORME influence sur la culture pop', de Stephen King en passant par Batman ! Oui, parce que l'asile d'Arkham de Gotham City porte le nom d'une ville fictionnelle inventée par Lovecraft… Et ce n'est qu'un exemple, sur des centaines de références cachées, dans des dizaines et des dizaines de romans, BD, films, et jeux vidéos ! Bonne écoute !
Associativement votre, c'est l'émission qui donne la parole aux associations de l'est-parisien. Animée par Franck et Neïla, en direct un jeudi par mois de 19h à 20h (rediffusée tous les jeudis). Des associations de l'Est-Parisien sont amenées à parler de leurs activités avec nos journalistes, et à répondre à nos questions.Pour cette vingt troisième émission nous recevons Maria et Florence de l'association « Les Petites Cantines de Bagnolet »Site web : https://bagnolet.lespetitescantines.org/Instagram : https://www.instagram.com/les_petites_cantines_bagnoletFacebook: https://www.facebook.com/lespetitescantinesbagnoletHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avant le 3e verre est un talk-show d'une heure animé par trois fortes personnalités : Manu, Morgane et Léo discutent avec sérieux et humour de sujets de société pour essayer d'y voir un peu plus clair ou de donner un sens au monde qui nous entoure.Sujet de cette 17eme émission : Les écrans, problème de petits et de grands !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Club M's, c'est 1h de Mix par David avec le son dancefloor des années 90 à nos jours, et tous les samedis 2h de mix à l'antenne de Radio M's de 23h à 1h.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Cie Myriam Dooge se consacre à la création et à la diffusion de spectacles pluridisciplinaires de grande qualité, enthousiasmants et directement accessibles à tous, spécialistes autant que néophytes. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La première année de Thierry Gaudin nommé comme CPE, Conseiller Principal d'Education, dans un collège de Montreuil en Seine-Saint-Denis. La rentrée, le premier jour, les élèves très familiers, les tâtonnements…Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Découvrez la face cachée d'un couple que tout oppose : Karl Lagerfeld et Jacques de Bascher. D'un côté, un styliste très chaste ; de l'autre un jeune dandy débauché. Une relation étrange qui renverse tous les codes établis en amour… Une fête très très gay 24 octobre 1977, Montreuil sous bois, discothèque La Main Bleue. Imaginez un immense sous-sol de béton brut. Des murs noirs. Des milliers de personnes qui dansent avec frénésie sur un morceau d'afrobeat assourdissant. Imaginez cette foule se déhancher dans cette salle de 1500 m2 sans aucun décors. C'est dans ce lieu improbable que toute la hype parisienne rejoint sur la piste ceux qu'on appelle les “sapeurs africains”. Tous ont répondu présent à l'invitation de Karl Lagerfeld. Car c'est là, dans ce nouveau club de la petite couronne parisienne, que le styliste a choisi de célébrer la fin de saison des défilés. Ecoutez la saison précédente : Serge Gainsbourg et Jane Birkin : idylle, chanson et alcool Un podcast Bababam Originals Ecriture : Claire Loup Voix : François Marion, Lucrèce Sassella Réalisation : Joey Daou Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
AGA, rappeur de Montreuil en provenance du Nord de la France, Aga s'inspire du rap français depuis toujours mais aussi des chansons à texte, du jazz ou de la musique latine, il pratique un art éclectique qui rassemble.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est le grand retour d'Entrez ! Plat, Dessert !Pour démarrer cette nouvelle saison, notre journaliste Audrey Largouët part à Montreuil, dans les cuisines d'un traiteur pas comme les autres : Les Cuistots Migrateurs, fondé par Louis Jacquot. Ici, les gastronomies du monde se croisent et s'enrichissent, grâce à des chefs réfugiés venus de Syrie, du Népal, du Bangladesh ou du Sénégal. Un épisode qui mêle cuisine, engagement et humanité — et qui prouve qu'en cuisine, l'intégration passe d'abord par le goût.Cette série audio est réalisée en collaboration avec Eureden Foodservice et produite par Lacmé.Journaliste : Audrey Largouët ; Réalisateur : Benjamin Macé ; Productrice : Alice Deroide ; Vidéaste ; Edouard Jacques Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les 1er vendredis du mois, retrouve "Live Vibes", en direct avec Gerardo. Du son Pop, Rock, Funk et Hip-hop, des talents locaux et des artistes confirmés. Live Vibes, La bande son de L' Est-Parisien. Et en rediffusion tous les vendredis suivants à 19h.L'invité de cette huitième émission, AGA, rappeur de Montreuil.Instagram de AGA Hugo : https://www.instagram.com/aga.hugo/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Associativement votre, c'est l'émission qui donne la parole aux associations de l'est-parisien. Animée par Franck et Neïla, en direct un jeudi par mois de 19h à 20h (rediffusée tous les jeudis). Des associations de l'Est-Parisien sont amenées à parler de leurs activités avec nos journalistes, et à répondre à nos questions.Pour cette vingt deuxième émission nous recevons Sophie Senot-Veber du « Café La Blague d'Aubervilliers »Site web : https://www.cafelablague.fr/Instagram : https://www.instagram.com/lablague_cafeassociatif/Facebook: https://www.facebook.com/cafe.lablague/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avant le 3e verre est un talk-show d'une heure animé par trois fortes personnalités : Manu, Morgane et Léo discutent avec sérieux et humour de sujets de société pour essayer d'y voir un peu plus clair ou de donner un sens au monde qui nous entoure.Sujet de cette 16eme émission : Notre rapport à la politique / l'engagement est-il terminé ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:58:55 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Fin 2012 s'est ouvert à Montreuil, en banlieue parisienne, une résidence réservée aux femmes de plus de 60 ans. Leur souhait : vieillir indépendantes et autonomes. - réalisation : Virginie Mourthé
Club M's, c'est 1h de Mix par David avec le son dancefloor des années 90 à nos jours, et tous les samedis 2h de mix à l'antenne de Radio M's de 23h à 1h.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le vendredi 19 septembre 2025, à Montreuil, se tenait le premier vendredi marxiste de la rentrée 2025, organisé par la section française de la IVᵉ Internationale, la Tendance communiste internationaliste (composante organisée du Parti des travailleurs). L'article La crise du régime peut-elle déboucher sur une issue positive pour les travailleurs et les jeunes ? est apparu en premier sur LA TRIBUNE DES TRAVAILLEURS.
L'émission 28 minutes du 19/09/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Jean Quatremer, correspondant européen de “Libération”, Laetitia Strauch-Bonart, essayiste et journaliste indépendante, Thomas Porcher, économiste, membre des Économistes Atterrés, ainsi que le dessinateur de presse Thibault Soulcié. Licenciements, autocensure : le maccarthysme est-il de retour aux États-Unis ?Il ne fait pas bon d'accuser la droite américaine d'exploiter politiquement l'assassinat de Charlie Kirk. Jimmy Kimmel en a fait les frais mercredi soir. Vedette de la télévision américaine pour son émission satirique, l'humoriste a été suspendu à titre provisoire par la chaîne ABC, pour avoir critiqué la récupération du meurtre de l'influenceur d'extrême droite et ami de Donald Trump. Quelques mois auparavant, l'animateur Stephen Colbert, qui égratigne régulièrement le président américain, a appris que son émission sera supprimée d'ici mai 2026. Le premier amendement de la Constitution des États-Unis interdit pourtant au Congrès d'adopter des lois limitant la liberté de religion, d'expression et de la presse. Mais le vice-président américain, J. D. Vance, a lancé une vaste campagne de dénonciation contre ceux qui se seraient réjouis de la mort de Charlie Kirk. Par ailleurs, la Maison Blanche vient de décréter que les organisations antifascistes seraient désormais classées comme terroristes. Après la mobilisation d'hier, quelles marges de manœuvre pour le gouvernement ?La police en compte 500 000, la CGT préfère le million. Hier, les Français ont massivement battu le pavé à travers l'Hexagone à l'appel de l'intersyndicale en agitant plusieurs chiffons rouges : la politique austéritaire du gouvernement, le manque de moyens pour l'école publique, la retraite à 64 ans ou encore les injustices sociales. La FNSEA, syndicat majoritaire du monde agricole, a lui aussi appelé à la mobilisation le 26 septembre. Pas de round d'observation pour le gouvernement Lecornu, encore en attente de sa composition, qui aura la lourde tâche de répondre à ce mécontentement général. Ses marges de manœuvre semblent pourtant réduites. L'intersyndicale a donné jusqu'à mercredi au nouveau Premier ministre pour répondre à ses revendications et menace d'une nouvelle journée de grèves et de manifestations. Le gouvernement Lecornu peut-il lâcher du lest ? Nous recevons Chloé Verlhac, commissaire de l'exposition “Tignous Manifeste”. Elle organise une œuvre émouvante et inédite en l'hommage à son mari, Bernard Verlhac, plus connu sous son nom de dessinateur de presse “Tignous”. Il a été tué le 7 janvier 2015 dans les locaux de Charlie Hebdo, en même temps que 11 autres personnes. 10 ans après sa disparition, le Centre Tignous d'art contemporain à Montreuil (rebaptisé ainsi après sa mort) lui consacre une exposition jusqu'au 25 octobre. Le 6 septembre, l'ancien député européen Philippe de Villiers a lancé une pétition appelant à “exiger un référendum sur l'immigration”. Depuis, elle affiche plus de 1,5 millions de signatures, bien que l'absence de vérification de l'identité soulève des questions sur l'authenticité du nombre de signataires. Mais le texte, notamment signé par Laurent Wauquiez et Eric Zemmour, ne semble pas séduire Marine Le Pen, justifiant qu'elle préfère déposer “des propositions de loi”. Simple différence de méthode ou divergence plus profonde ? C'est le duel de la semaine de Frédéric Says. Pour la deuxième visite d'État de Donald Trump au Royaume-Uni depuis 2019, la famille royale et le gouvernement britannique ont mis les petits plats dans les grands lors d'une réception au château de Windsor : panna cotta de cresson, œufs de caille sur sablé de parmesan ou encore ballotine de poulet fermier en robe de courgettes. Un fastueux repas pour le président américain qui s'est réjoui de cet accueil. C'est le Point com de Marjorie Adelson. Enfin, ne manquez pas la proposition de la Commission européenne de taxer certains produits israéliens, les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Le Monde des choses, la nouvelle chronique de David Castello-Lopes !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 19 septembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Aujourd'hui, c'est au tour de Me Djamel Bouguessa, avocat des familles des bébés abusés de Montreuil, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Au menu de la deuxième heure des GG du vendredi 22 août 2025 : "Pormanove, est-ce que ça peut servir de leçon aux jeunes ?", "Bébés abusés à Montreuil, l'avocat des familles face aux GG", et "150 jeunes israéliens interdits d'accès d'un parc de loisirs", avec Antoine Diers, consultant, Bruno Poncet, cheminot, et Fatima Aït Bounoua, professeure de français.
Au menu de la deuxième heure des GG du lundi 18 août 2025 : "Grèves des pharmacies, la colère des officines", "Mélenchon veut renvoyer Bayrou tout de suite" et "Agressions sexuelles sur des nourrissons à l'hôpital de Montreuil", avec Abel Boyi, éducateur et président de l'association Tous uniques tous unis, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Didier Giraud, agriculteur.
A 10h, ce lundi 18 août 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur et président de l'association Tous uniques tous unis, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Didier Giraud, agriculteur, débattent du sujet du jour : "Des bébés victimes d'attouchements et d'agressions sexuelles à l'hôpital de Montreuil"
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Notes aux auditrices et auditeurs : cet épisode a été diffusé pour la première fois le 13 mars 2025.En France, 125.000 femmes sont excisées. C'est l'équivalent de la population d'une ville comme Annecy ou Perpignan. Heureusement des chirurgies réparatrices sont possibles pour soigner ces mutilations sexuelles féminines, aujourd'hui considérées comme des atteintes aux droits fondamentaux et notamment à l'intégrité physique et psychologique des victimes. A l'hôpital André Grégoire de Montreuil, près de Paris, une unité spécialisée dans la prise en charge des femmes victimes a été créée en 2017 par la gynécologue-obstétricienne Dr Sarah Abramowicz. Dans ce service, une équipe pluridisciplinaire soigne non seulement le corps mais aussi l'âme des patientes, en espérant qu'elles pourront à terme se reconstruire pleinement en tant que femmes. Sur le terrain : Lisa Defossez, Agnès Coudurier et Emma Vallée-Guillard journalistes à l'AFP à Paris. Réalisation : Emmanuelle BaillonSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Ce podcast fait l'objet d'une clause de opt-out:Sous réserve des dispositions de l'article L.122-5-3.II. du code de la propriété intellectuelle, tout accès à ou utilisation (tels que, à titre non exhaustif, la reproduction, l'agrégation et l'archivage) du contenu de ce podcast et de sa description, pour toute activité systématique ou automatisée liée à la récupération, la fouille, l'extraction, l'agrégation, l'analyse, l'exploration ou la collecte de textes, d'extraits sonores, et/ou de données, par l'intermédiaire de tout "robot", "bot", "spider", "scraper", ou de tout autre dispositif, programme, technique, outil, procédé ou méthode, réalisé dans le but de créer, développer, entraîner, tester, évaluer, modifier et/ou permettre l'exécution de logiciels, algorithmes et modèles d'apprentissage automatique/d'intelligence artificielle ou à une quelconque autre fin, sans l'autorisation préalable écrite de l'AFP, est strictement interdit. La présente disposition des CG vaut opposition expresse de l'AFP au sens des articles L. 122-5-3.III. et R. 122-28 du Code de la propriété intellectuelle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'histoire du logement des travailleurs migrants isolés en France s'écrit depuis les années 50, quand les entreprises françaises, encouragées par l'Etat, ont fait venir en nombre des hommes seuls pour travailler à la reconstruction du pays après la guerre. Venus d'Afrique du Nord puis d'Afrique de l'Ouest, ces travailleurs séparés de leur famille ont été logés dans ce que l'on a appelé des foyers. À la fin des années 70, quelque 700 bâtiments logent 120 000 personnes, essentiellement en région parisienne. Pensés comme temporaires, ces logements sont finalement devenus pérennes : les travailleurs restés en France y ont passé leur vie. Mais en 1997, un plan national est adopté pour les restructurer en un nouveau type d'habitat : les résidences sociales. Près de 30 ans après, 86% des anciens foyers ont été transformés, et c'est tout un mode de vie qui est chamboulé. Quels rôles jouaient ces foyers ? Comment la conception du logement des travailleurs immigrés venus d'Afrique de l'Ouest a-t-elle évolué avec le temps ? Quelles en sont les conséquences sur la vie des personnes concernées ? Un grand reportage de Raphaëlle Pluskwa, avec les témoignages de Yelly Dioumassy, président du Comité des résidents du foyer Rochebrune de Montreuil, Bakary Doucouré, ancien résident du foyer Bara de Montreuil, Emmanuel Brasseur, directeur des métiers chez Coallia, Benjamin Masure, co-fondateur de l'association Taf et Maffé, Laura Guérin, sociologue, Djibril Sylla, soutien aux résidents du foyer Edouard Branly de Montreuil et Danielle Simonnet, députée du groupe Écologiste et Social. Merci à Michael Hoare, président du COPAF ainsi qu'à Véronique et tous les membres du comité de soutien du foyer Branly. Programmation musicale : ► Donne un peu – Vaudou Game ► Mamadou m'a dit – François Béranger (Une recommandation musicale de Bintou Simporé).
L'histoire du logement des travailleurs migrants isolés en France s'écrit depuis les années 50, quand les entreprises françaises, encouragées par l'Etat, ont fait venir en nombre des hommes seuls pour travailler à la reconstruction du pays après la guerre. Venus d'Afrique du Nord puis d'Afrique de l'Ouest, ces travailleurs séparés de leur famille ont été logés dans ce que l'on a appelé des foyers. À la fin des années 70, quelque 700 bâtiments logent 120 000 personnes, essentiellement en région parisienne. Pensés comme temporaires, ces logements sont finalement devenus pérennes : les travailleurs restés en France y ont passé leur vie. Mais en 1997, un plan national est adopté pour les restructurer en un nouveau type d'habitat : les résidences sociales. Près de 30 ans après, 86% des anciens foyers ont été transformés, et c'est tout un mode de vie qui est chamboulé. Quels rôles jouaient ces foyers ? Comment la conception du logement des travailleurs immigrés venus d'Afrique de l'Ouest a-t-elle évolué avec le temps ? Quelles en sont les conséquences sur la vie des personnes concernées ? Un grand reportage de Raphaëlle Pluskwa, avec les témoignages de Yelly Dioumassy, président du Comité des résidents du foyer Rochebrune de Montreuil, Bakary Doucouré, ancien résident du foyer Bara de Montreuil, Emmanuel Brasseur, directeur des métiers chez Coallia, Benjamin Masure, co-fondateur de l'association Taf et Maffé, Laura Guérin, sociologue, Djibril Sylla, soutien aux résidents du foyer Edouard Branly de Montreuil et Danielle Simonnet, députée du groupe Écologiste et Social. Merci à Michael Hoare, président du COPAF ainsi qu'à Véronique et tous les membres du comité de soutien du foyer Branly. Programmation musicale : ► Donne un peu – Vaudou Game ► Mamadou m'a dit – François Béranger (Une recommandation musicale de Bintou Simporé).
Mardi dernier, j'ai accompagné Micaela à un cours d'acrobatie dans une école de cirque chinois à Montreuil. Montreuil est une grande ville populaire à l'est de Paris, une « ville-monde » aurait peut-être dit Gilles Souffi. Avant, ça, nous avons fait un arrêt à Nation où il se passait des choses ! www.onethinginafrenchday.com #FrenchListening #LearnFrenchPodcast #FrenchCulture #AdvancedFrench #FrenchImmersion #FrenchStory
Last Tuesday, I went with Micaela to an acrobatics class at a Chinese circus school in Montreuil. She was keen to try out the class with a view to improving her kung fu. Montreuil is a large, popular town to the east of Paris. Artists love it because you can still find unusual buildings to set up your studio. It's a very lively town, a ‘ Ville-monde ' as Gilles Soufi would have said, even if it is in the process of becoming gentrified. In the notes that accompany the text of this episode, we'll look at three natural turns of phrase in French. We'll also look at one sentence in particular, which is an application of a grammar lesson. www.cultivateyourfrench.com #FrenchListening #LearnFrenchPodcast #FrenchCulture #ParisSurroundings #FrenchConversation #AdvancedFrench #FrenchImmersion #FrenchStory #RealFrenchLife #FrenchLanguageLearning
durée : 00:59:45 - LSD, la série documentaire - par : Jérôme Sandlarz - Aujourd'hui, les fanfares se nourrissent de cultures étrangères, s'hybrident avec d'autres genres musicaux. Du Brésil à l'Occitanie, de l'Italie ou de la Nouvelle-Orléans à Montreuil, des rues de Hambourg au Zénith de Paris, l'esprit des fanfares transcende toutes les frontières. - réalisation : Benjamin Hû
Gilbert nait en juillet 1920, dans une famille de juifs séfarades, venue d'Algérie. Quand il nait ses parents sont riches, mais son père perd tout dans l'incendie de son usine de café. Ruinée, la famille Trigano s'installe dans la banlieue rouge de Paris, à Montreuil, dans un quartier ouvrier. Les temps sont durs mais une joyeuse ambiance règne à la maison.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Gilbert nait en juillet 1920, dans une famille de juifs séfarades, venue d'Algérie. Quand il nait ses parents sont riches, mais son père perd tout dans l'incendie de son usine de café. Ruinée, la famille Trigano s'installe dans la banlieue rouge de Paris, à Montreuil, dans un quartier ouvrier. Les temps sont durs mais une joyeuse ambiance règne à la maison.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Gilbert nait en juillet 1920, dans une famille de juifs séfarades, venue d'Algérie. Quand il nait ses parents sont riches, mais son père perd tout dans l'incendie de son usine de café. Ruinée, la famille Trigano s'installe dans la banlieue rouge de Paris, à Montreuil, dans un quartier ouvrier. Les temps sont durs mais une joyeuse ambiance règne à la maison.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette saison, pas de meurtre mais un récit d'emprise familiale. Dans des immeubles du XIe, XIIe et XXe arrondissements, une étrange communauté s'épanouit depuis plus de deux cent ans. Ce n'est pas vraiment une secte mais plutôt une organisation secrète, une société dans la société, comparable à aucune autre. Tout au long des 4 épisodes, Caroline Nogueras est accompagnée de la journaliste Suzanne Privat, autrice du livre La Famille, itinéraire d'un secret paru aux éditions Points. Le cauchemar de Malrevers Dans toutes les familles, il y a des caractères plus forts que d'autres, un membre un peu à part, différent. Dans La Famille c'est Vincent Thibout, petit neveu de mon Oncle Auguste, un illuminé, “un inspiré” selon le langage Familial. Vincent Thibout est un trentenaire au physique quelconque : de taille moyenne, des petits yeux, des lèvres sans caractère et déjà, une calvitie. Comme tous ses proches, il est né et a grandi au sein de la communauté. A 31 ans, en 1957, il a des envies d'ailleurs, de découvrir la vie si particulière des kibboutz israéliens, ces villages où l'on vit en collectivité, sans jamais être propriétaire. Il y reste un an, puis rentre rue de Montreuil avec une idée en tête... exporter La Famille hors de la capitale. Découvrez la dernière saison : L'énigme de l'ange de l'A10 Un podcast Bababam Originals Ecriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras En partenariat avec upday. Première diffusion : 2 octobre 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans cette saison, pas de meurtre mais un récit d'emprise familiale. Dans des immeubles du XIe, XIIe et XXe arrondissements, une étrange communauté s'épanouit depuis plus de deux cent ans. Ce n'est pas vraiment une secte mais plutôt une organisation secrète, une société dans la société, comparable à aucune autre. Tout au long des 4 épisodes, Caroline Nogueras est accompagnée de la journaliste Suzanne Privat, autrice du livre La Famille, itinéraire d'un secret paru aux éditions Points. La tribu de la rue de Montreuil Il est 16 heures, à l'école primaire Titon située dans le 11ème arrondissement. Dans la salle de classe, les jeunes élèves ne tiennent plus en place. La cloche sonne, ils se précipitent dehors. Devant le bâtiment scolaire, tous les jours, la chorégraphie est la même : une dizaine de mamans attendent patiemment, certaines sont enceintes, d'autres ont des enfants dans des poussettes. Souriantes, parfaitement coiffées, vêtues de jupes simples, sourire aux lèvres, elles semblent heureuses. De leur sac dépassent les goûters pour la horde de blondinets qui s'empressent de les rejoindre aussi vite que possible. Découvrez la dernière saison : L'énigme de l'ange de l'A10 Un podcast Bababam Originals Ecriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras En partenariat avec upday. Première diffusion : 2 octobre 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices