Podcasts about SES

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Choses à Savoir ÉCONOMIE
Quelle ville va interdire la construction de résidences secondaires ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 2:26


La flambée immobilière qui secoue certaines régions touristiques françaises pousse désormais des communes à prendre des mesures radicales. La dernière en date est Cancale, charmante ville portuaire d'Ille-et-Vilaine, en Bretagne, connue pour ses huîtres et ses panoramas sur la baie du Mont-Saint-Michel. Ses élus ont décidé d'agir contre l'explosion des résidences secondaires qui menace l'accès au logement pour les habitants permanents.Vendredi soir, le conseil municipal a voté à l'unanimité une modification de son plan local d'urbanisme. L'objectif est clair : chaque nouveau logement construit dans certaines zones devra obligatoirement être une résidence principale. Cette décision s'appuie sur la loi Echaniz/Le Meur, entrée en vigueur en novembre 2024, qui permet aux communes de créer des secteurs où seules les résidences principales sont autorisées.Pourquoi une telle sévérité ? Parce que la pression est devenue trop forte. Entre 2011 et 2022, la part des résidences secondaires à Cancale est passée de 35,5 % à plus de 41 % du parc immobilier. Dans le même temps, les locations touristiques de type meublés ont bondi de 30 % entre 2020 et 2024, pour atteindre près de 600 annonces déclarées. Résultat : les prix grimpent et les habitants peinent à se loger.La nouvelle règle impose que les logements soient occupés au moins huit mois par an comme résidence principale, sauf en cas de dérogation liée au travail ou à la santé. Les propriétaires pourront encore proposer de la location touristique, mais dans une limite stricte de 120 jours par an. Et gare aux contrevenants : le maire pourra infliger des amendes pouvant aller jusqu'à 1 000 euros par jour de non-respect, dans la limite de 100 000 euros. En dernier recours, le bail pourra même être résilié d'office.Cancale n'est pas une exception isolée. D'autres villes frappées par la spéculation immobilière ont déjà adopté des règles similaires. En juin, cinq communes basques – Biarritz, Bayonne, Anglet, Bidart et Boucau – ont instauré ce type de restriction. À Chamonix, en Haute-Savoie, où 70 % du parc immobilier est déjà constitué de résidences secondaires, le maire a également bloqué toute nouvelle construction destinée à ce marché.Plus largement, la Bretagne comme d'autres zones littorales ou alpines fait face à une crise du logement aiguë, qui touche aussi bien les étudiants que les familles locales. La loi permet aux communes d'agir dès lors que plus de 20 % de leur parc est occupé par des résidences secondaires ou qu'elles appliquent déjà une taxe sur les logements vacants.À travers cette décision, Cancale envoie donc un message fort : protéger son tissu social et éviter de devenir un décor de carte postale déserté hors saison. Une politique qui pourrait inspirer bien d'autres communes confrontées au même dilemme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Wade Keller Pro Wrestling Podcast
15 YRS AGO LIVECASTS: Nexus losing momentum, Lashley in Strikeforce, Starrcade '97 finish, venting about TNA, Randy Savage-HOF

Wade Keller Pro Wrestling Podcast

Play Episode Listen Later Aug 30, 2025 170:47 Transcription Available


Today we jump back 15 years to two back-to-back episodes of the PWTorch Livecast from Aug. 23 and 24, 2010.On the Aug. 23, 2010 episode, PWTorch assistant editor James Caldwell and co-host PWTorch columnist Greg Parks discussed with live callers how WWE could rebound from Nexus losing momentum, some interesting discussion on how the removal of Darren Young could be flipped due to Young stepping up to take on John Cena and the other Nexus members winning by fluke, whether Darren Young could end up with Cena or with SES on Smackdown from the NXT Season 1 partnership, Alberto Del Rio's Smackdown debut, how long Randy Orton could have a babyface run, a booking plan to stretch out Kane vs. The Undertaker to WrestleMania 27 (much to Parks's chagrin), brief discussion of Strikeforce with Bobby Lashley at the end, and more.Then on the Aug. 24, 2010 episode, PWTorch Livecast with host PWTorch editor Wade Keller and Jason Powell of ProWrestling.net, they took live calls for most of the hour including topics ranging from Bobby Lashley's loss, Paul Heyman's talks with Strikeforce, Starrcade '97's finish to Miz losing to John Cena to Zach Ryder's quick loss to Serena's release and of course venting about TNA.In the previously VIP-exclusive Aftershow, they discussed ideas for TNA to clean up their business approach plus Randy Savage in WWE HOF.Become a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/wade-keller-pro-wrestling-podcast--3076978/support.

Les matins
Le phénomène Drag Race France / Le malaise des enseignants / La dessinatrice Fanny Michaëlis

Les matins

Play Episode Listen Later Aug 30, 2025 119:30


durée : 01:59:30 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Au programme des Matins du samedi cette semaine : l'ampleur du phénomène de l'art drag en France ; les causes et les perspectives face à la souffrance du corps enseignant en cette veille de rentrée scolaire ; et en dernière partie, l'autrice de bande dessinée Fanny Michaëlis. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Margot Reyraud Docteure en études théâtrales, enseignante à l'Université Bordeaux Montaigne; Jérémie Fontanieu Professeur de SES au lycée Eugène Delacroix de Drancy, porte-parole du collectif "Réconciliations"; Géraldine Farges Sociologue, professeure des universités en sciences de l'éducation et de la formation à l'Université de Bourgogne Franche-Comté; Fanny Michaëlis Illustratrice, autrice de bande dessinée et musicienne

Le goût du monde
Le piment, ou la vie ? Les deux pardi !

Le goût du monde

Play Episode Listen Later Aug 30, 2025 28:59


En regardant son oncle se régaler de sauce harissa, Julien Fréchette tout jeune cherche à comprendre, d'où vient cette appétence pour le feu et le piquant. C'est un autre feu, celui de la guerre, frôlé de bien trop près alors qu'il filmait des documentaires en Irak et au Kurdistan qui l'incitera à repenser à cette scène : son oncle, la harissa et le goût manifeste pour ce piment. (Rediffusion) D'où vient ce goût pour les piments ? De quelles cultures fait-il partie ? D'où vient ce plaisir de la brûlure ? Un documentaire plus tard sur ces « fous de piments », Julien Fréchette mordu, se lance, et fonde « la pimenterie », mariage en français de piment et de brasserie en français. La première sauce sera une Royal Bourbon, entre le Moyen-Orient et les Amériques : des piments habanero chocolat, des dattes, une touche de bourbon, totalement addictive. La pimenterie travaille avec des piments élevés et produits au Québec, crée des mélanges originaux -  Cari vert, Rose Flash, Kumquat crush, le temps des cerises ou vertigo – sans consigne ni injonction sur la (bonne) manière de les savourer : champ libre et pur plaisir ! Avec Julien Fréchette, pimenteur en chef, passionné et grand curieux. La pimenterie est à Montréal au Québec, et sur le web. Parmi les documentaires réalisés par Julien Fréchette, il y a Chiliheads : fous de piments forts réalisé en 2021 et présenté au FIPADOC, le festival international du film documentaire en 2021. Ses autres films.  Cette rencontre a été enregistrée à Montréal, lors d'un voyage effectué à l'occasion de la sortie d'une nouvelle collection de guide Hachette Tourisme intitulée Food lovers travel avec plusieurs villes à savourer en l'occurrence «Eat Montréal». Découvrez aussi les autres destinations.   En images   Pour aller plus loin : - François Chartier - Papilles et molécule, de François Chartier, éditions la Presse - Le répertoire des saveurs, de Nikki Segnit, éditions Marabout. Un répertoire des saveurs végétales a été publié au printemps 2024 - Piments de Sophie Dupuis Gaulier, éditions Hachette Cuisine - Piments, des recettes hot hot hot, de Valérie Drouet et Pierre Louis Viel, éditions Mango - Créole et veggie, métissage végétal, de Suzy Palatin, éditions La Plage.   Programmation musicale : - Mariana Froes, Gabriela, a colors show - Gabi Hartman, Lever du soleil.

Les matins du samedi
Éducation nationale : ce que les profs ont à nous dire

Les matins du samedi

Play Episode Listen Later Aug 30, 2025 38:02


durée : 00:38:02 - L'Invité(e) des Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Conditions de travail précaires, augmentation de la charge de travail, pénurie généralisée de recrutement… Le malaise dans le corps enseignant est grandissant. Quelles sont les causes de cette souffrance ? Quelles sont les perspectives dans un contexte de réformes incessantes ? - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Jérémie Fontanieu Professeur de SES au lycée Eugène Delacroix de Drancy, porte-parole du collectif "Réconciliations"; Géraldine Farges Sociologue, professeure des universités en sciences de l'éducation et de la formation à l'Université de Bourgogne Franche-Comté

Les matins du samedi
Du cabaret Madame Arthur à Drag Race, la France renoue avec ses queens

Les matins du samedi

Play Episode Listen Later Aug 30, 2025 13:24


durée : 00:13:24 - La Transition de la semaine - par : Nicolas Herbeaux - Avec Drag Race France, la déclinaison française de l'émission de télé-réalité américaine RuPaul's Drag Race, les drag-queens ont conquis leurs lettres de noblesse. Au pays de Madame Arthur et autres cabarets, comment ce programme a-t-il ravivé la culture drag, bien au-delà des milieux queers ? - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Margot Reyraud Docteure en études théâtrales, enseignante à l'Université Bordeaux Montaigne

Le goût du monde
Le piment, ou la vie ? Les deux pardi !

Le goût du monde

Play Episode Listen Later Aug 30, 2025 28:59


En regardant son oncle se régaler de sauce harissa, Julien Fréchette tout jeune cherche à comprendre, d'où vient cette appétence pour le feu et le piquant. C'est un autre feu, celui de la guerre, frôlé de bien trop près alors qu'il filmait des documentaires en Irak et au Kurdistan qui l'incitera à repenser à cette scène : son oncle, la harissa et le goût manifeste pour ce piment. (Rediffusion) D'où vient ce goût pour les piments ? De quelles cultures fait-il partie ? D'où vient ce plaisir de la brûlure ? Un documentaire plus tard sur ces « fous de piments », Julien Fréchette mordu, se lance, et fonde « la pimenterie », mariage en français de piment et de brasserie en français. La première sauce sera une Royal Bourbon, entre le Moyen-Orient et les Amériques : des piments habanero chocolat, des dattes, une touche de bourbon, totalement addictive. La pimenterie travaille avec des piments élevés et produits au Québec, crée des mélanges originaux -  Cari vert, Rose Flash, Kumquat crush, le temps des cerises ou vertigo – sans consigne ni injonction sur la (bonne) manière de les savourer : champ libre et pur plaisir ! Avec Julien Fréchette, pimenteur en chef, passionné et grand curieux. La pimenterie est à Montréal au Québec, et sur le web. Parmi les documentaires réalisés par Julien Fréchette, il y a Chiliheads : fous de piments forts réalisé en 2021 et présenté au FIPADOC, le festival international du film documentaire en 2021. Ses autres films.  Cette rencontre a été enregistrée à Montréal, lors d'un voyage effectué à l'occasion de la sortie d'une nouvelle collection de guide Hachette Tourisme intitulée Food lovers travel avec plusieurs villes à savourer en l'occurrence «Eat Montréal». Découvrez aussi les autres destinations.   En images   Pour aller plus loin : - François Chartier - Papilles et molécule, de François Chartier, éditions la Presse - Le répertoire des saveurs, de Nikki Segnit, éditions Marabout. Un répertoire des saveurs végétales a été publié au printemps 2024 - Piments de Sophie Dupuis Gaulier, éditions Hachette Cuisine - Piments, des recettes hot hot hot, de Valérie Drouet et Pierre Louis Viel, éditions Mango - Créole et veggie, métissage végétal, de Suzy Palatin, éditions La Plage.   Programmation musicale : - Mariana Froes, Gabriela, a colors show - Gabi Hartman, Lever du soleil.

Les matins du samedi (l'intégrale)
Le phénomène Drag Race France / Le malaise des enseignants / La dessinatrice Fanny Michaëlis

Les matins du samedi (l'intégrale)

Play Episode Listen Later Aug 30, 2025 119:30


durée : 01:59:30 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Au programme des Matins du samedi cette semaine : l'ampleur du phénomène de l'art drag en France ; les causes et les perspectives face à la souffrance du corps enseignant en cette veille de rentrée scolaire ; et en dernière partie, l'autrice de bande dessinée Fanny Michaëlis. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Margot Reyraud Docteure en études théâtrales, enseignante à l'Université Bordeaux Montaigne; Jérémie Fontanieu Professeur de SES au lycée Eugène Delacroix de Drancy, porte-parole du collectif "Réconciliations"; Géraldine Farges Sociologue, professeure des universités en sciences de l'éducation et de la formation à l'Université de Bourgogne Franche-Comté; Fanny Michaëlis Illustratrice, autrice de bande dessinée et musicienne

Entreprendre dans la mode
#471 Pierre Hermé | Son enfance en Alsace, l'Ispahan et ses échecs fondateurs

Entreprendre dans la mode

Play Episode Listen Later Aug 29, 2025 80:07


Cet épisode est présenté par Squarespace.Vous voulez lancer votre marque, votre projet ou votre portfolio ?Squarespace est l'outil que j'aurais rêvé d'avoir à mes débuts : templates élégants, boutique en ligne intégrée, paiement sécurisé, gestion des stocks, emailing, optimisation SEO… tout en un, sans développeur et sans prise de tête.Essayez 14 jours. -10 % avec le code BOLD → squarespace.com/BOLD

Vertigo - La 1ere
Chloé Delaume "Ils appellent ça lʹamour" Seuil

Vertigo - La 1ere

Play Episode Listen Later Aug 29, 2025 8:34


Prix Médicis en 2020 pour " Le cœur synthétique ", Chloé Delaume en reprend les personnages ainsi que ceux de " Pauvre folle ", son livre précédent. Soit 5 femmes, qui vont passer un week-end dans une ville où 20 ans auparavant, lʹune dʹelles, Clotilde, a vécu une relation mortifère avec un homme que lʹautrice appelle Monsieur. Ses amies Adélaïde, Judith, Bérangère et Hermeline ne connaissent pas cette histoire. Et pour cause, Clotilde en a honte, car dépouillée dʹelle-même par Monsieur. Violences, viol conjugal, elle se demande si libérer sa parole pourrait aider la honte à enfin changer de camp.

Europe 1 - Hondelatte Raconte
Aurélien Pioger, vendanges barbares - Le récit (1/2)

Europe 1 - Hondelatte Raconte

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 14:24


En octobre 2008, à Saint-Lambert-du-Lattay dans le Maine-et-Loire, Aurélien Pioger, 28 ans, un vendangeur itinérant, est retrouvé pendu dans un appentis au milieu des vignes. Ses pieds touchent étrangement le sol et ses parents ne veulent pas croire à l'hypothèse d'un suicide.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Europe 1 - Hondelatte Raconte
Aurélien Pioger, vendanges barbares - Le récit (2/2)

Europe 1 - Hondelatte Raconte

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 14:58


En octobre 2008, à Saint-Lambert-du-Lattay dans le Maine-et-Loire, Aurélien Pioger, 28 ans, un vendangeur itinérant, est retrouvé pendu dans un appentis au milieu des vignes. Ses pieds touchent étrangement le sol et ses parents ne veulent pas croire à l'hypothèse d'un suicide. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Europe 1 - Hondelatte Raconte
Aurélien Pioger, vendanges barbares - Le débrief

Europe 1 - Hondelatte Raconte

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 14:50


En octobre 2008, à Saint-Lambert-du-Lattay dans le Maine-et-Loire, Aurélien Pioger, 28 ans, un vendangeur itinérant, est retrouvé pendu dans un appentis au milieu des vignes. Ses pieds touchent étrangement le sol et ses parents ne veulent pas croire à l'hypothèse d'un suicide.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
À la Une: plus de 50 prétendants au fauteuil présidentiel en Côte d'Ivoire

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 4:25


« La Commission électorale indépendante, la CEI, a annoncé hier avoir reçu 53 dossiers pour l'élection présidentielle du 25 octobre prochain, rapporte le site ivoirien L'Infodrome, confirmant une compétition électorale d'une intensité inédite. (…) Le Conseil constitutionnel rendra publique la liste définitive des candidats au plus tard le 10 septembre, ouvrant la voie à une campagne officielle prévue du 5 au 23 octobre. » Commentaire de L'Infodrome : « dans un contexte de fortes attentes sociales, de jeunesse en quête d'alternance et de polarisation politique accumulée, cette présidentielle s'annonce comme l'une des plus imprévisibles et disputées depuis deux décennies. » Radiations et exclusions… Il faut dire que « ces dernières semaines, le climat politique s'est tendu, relève Jeune Afrique. Plusieurs leaders de l'opposition critiquent la candidature à un quatrième mandat d'Alassane Ouattara, et dénoncent leur exclusion de la liste électorale. Ils pointent également du doigt l'organisateur du scrutin, la CEI, jugée trop peu impartiale, et demandent la révision de la liste électorale. Cela n'a pas empêché plusieurs ténors de déposer leur dossier pour pouvoir participer à la course. » Parmi eux, Laurent Gbagbo, pourtant radié en raison d'une condamnation de la justice ivoirienne. « Laurent Gbagbo qui a d'ores et déjà face à lui un autre prétendant du PPA-CI, précise Jeune Afrique. En effet, « Ahoua Don Mello, qui se propose comme une alternative en cas de rejet de la candidature de l'ancien président, a aussi déposé son dossier. Ses équipes étaient accompagnées de Charles Blé Goudé – inéligible et qui a affirmé soutenir toutes les candidatures de la gauche. Il était aux côtés de l'ancienne première dame et leader du MGC, Simone Ehivet Gbagbo. Une autre figure de la gauche, Pascal Affi N'Guessan, président du FPI, a déposé sa candidature malgré la fronde interne à laquelle il fait face. L'autre ténor de l'opposition absent de la liste électorale est le président du PDCI, Tidjane Thiam. La justice ivoirienne avait demandé son retrait de la liste, estimant qu'il était toujours français au moment de son inscription. » Sélection restreinte… Alors « si l'annonce d'une cinquantaine de candidatures peut sembler refléter une ouverture démocratique, tous ne franchiront pas le cap du Conseil constitutionnel. » C'est ce que souligne Afrik.com. Les Sages devront « examiner scrupuleusement les dossiers, en vérifiant notamment les critères de moralité, d'éligibilité et les conditions financières imposées. C'est donc une sélection plus restreinte qui sera officiellement validée d'ici au 10 septembre. » En tout cas, poursuit Afrik.com, « le rendez-vous électoral du 25 octobre cristallise les attentions. Outre la question de la participation effective des grandes figures politiques, ce scrutin est observé de près par les acteurs internationaux, compte tenu du rôle central de la Côte d'Ivoire dans la stabilité régionale. Pour les électeurs, il s'agira de choisir entre la continuité avec le président sortant, Alassane Ouattara, et les différentes visions de l'opposition, dans un contexte marqué par les débats sur la gouvernance, la réconciliation nationale et le développement économique. » Mali : l'assainissement, parent pauvre des politiques publiques Tout autre chose avec cette enquête à lire sur le site malien Sahel Tribune… Enquête sur le manque de toilettes publiques au Mali. « Toilettes publiques, un luxe à ciel ouvert », titre le site bamakois. « Dans ce pays où seulement 45 % de la population dispose d'un service d'assainissement de base, plus d'un million de Maliens continuent à déféquer à l'air libre, dénonce Sahel Tribune. La statistique dit tout : l'infrastructure n'existe pas, ou si peu, et quand elle existe, elle se dégrade, faute d'entretien, de financement et de volonté politique. » En effet, déplore encore le site malien, « l'assainissement reste le parent pauvre des politiques publiques (…) Construire un bloc de trois latrines publiques coûte un peu plus d'un million de francs CFA. Une somme importante pour une mairie, certes, mais ridicule au regard du coût social et sanitaire des diarrhées, de la malnutrition et des infections que provoque l'absence de toilettes. » Enfin, Sahel Tribune élargit le débat, avec ce chiffre récemment publié par l'OMS et l'UNICEF : dans le monde, 354 millions de personnes n'ont pas accès à des toilettes… « L'accès universel à l'eau potable et à l'assainissement d'ici 2030, promesse des Nations unies, s'éloigne inexorablement », soupire le site malien. Et « c'est là le symbole extrême des inégalités mondiales. L'humanité avance, mais laisse derrière elle des centaines de millions d'hommes et de femmes dans la poussière, l'eau souillée et l'humiliation. »

Reportage Afrique
En Côte d'Ivoire, le hit «Stabilise Rentabilise» enflamme les réseaux sociaux

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 2:30


On connaissait la Côte d'Ivoire pour le zouglou et le coupé-décalé, plus récemment pour le rap, mais beaucoup moins pour le rock. Et pourtant, « Stabilise Rentabilise » a créé la surprise en début d'année en devenant viral sur les réseaux sociaux ivoiriens. Coup de chance ou coup de maître ? Ses auteurs, Arii Siguira et Toto le Banzou, qui préparent un album, espèrent poser les jalons d'un nouveau genre appelé « Rock Ivoire ». De notre correspondante à Abidjan,  Inutile de chercher le sens des paroles, ce n'est pas l'essentiel. Si « Stabilise Rentabilise » est devenu un hit instantané, c'est grâce à sa mélodie entraînante et à l'excentricité de ses deux jeunes chanteurs venus du rap, Arii Siguira et Toto Le Banzou : « La recette de ce hit ? On a juste apporté la bonne énergie. On a travaillé. Et tout s'est passé naturellement », en explique un. L'autre enchaîne : « Ce morceau, c'est un morceau à plusieurs couleurs… Un peu de pop, beaucoup de vibes africaines, parce qu'on a parlé un peu de baoulé dedans, un peu d'anglais, aussi du français, et notre petite touche ivoirienne. Raison pour laquelle ça s'appelle du rock Ivoire, du rock à l'ivoirienne. » Face au succès, le duo et leur équipe ont changé de direction artistique, pour s'orienter vers des projets rock. Mais en gardant le même processus de création que pour un morceau de hip-hop : tous les instruments sont virtuels, et la musique est élaborée en studio, avec une boîte à rythme, explique leur beatmaker et compositeur Keelam : « De nos jours, on utilise plus les samples, parce que c'est des jeux déjà composés : la guitare électrique, le piano, les synthés. On réfléchit à la structure de la production avec l'artiste. Il y a du djembé, des tamas, des shakers. Plusieurs instruments africains. J'ai essayé de faire un style hors du commun, qui est à la fois ivoirien et américain. On compte rester là-dessus, essayer de marier ça avec d'autres styles, tout en restant dans le rock. » Après ce premier succès, Arii et Toto le Banzou vont devoir réitérer l'exploit pour que leur carrière décolle. Et même s'il sait que le public les attend au tournant, leur producteur et manager Khaled Touré est confiant : « Quand tu fais un hit, le prochain son, c'est la confirmation. C'est ça qui prouve que tu as vraiment travaillé. Il y avait un peu de magie, mais c'est un projet qui était vraiment travaillé. On sentait que ça allait forcément faire quelque chose, vu que c'est un genre de musique qu'on n'a pas forcément l'habitude d'entendre ici. » Tous les quatre travaillent désormais sur un album. Ils annoncent déjà des concerts et même un court-métrage. À lire aussiDerrière les hits du rap ivoire, une nouvelle génération de producteurs

La Revue de Presse
« Pas un appel, pas une lettre, pas un signe qui pourrait nous rassurer » : La fille de Boualem Sansal prend la parole

La Revue de Presse

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 7:25


L'écrivain est emprisonné en Algérie depuis 9 mois, et sa famille n'a aucune nouvelle de lui. Ses proches ignorent tout de son état de santé et de ses conditions de détention. Sa fille parle d'une double peine : « à l'enfermement s'ajoute l'effacement, l'idée qu'en l'empêchant de communiquer, on pourrait le faire disparaître symboliquement ». Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
À la Une: plus de 50 prétendants au fauteuil présidentiel en Côte d'Ivoire

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 4:25


« La Commission électorale indépendante, la CEI, a annoncé hier avoir reçu 53 dossiers pour l'élection présidentielle du 25 octobre prochain, rapporte le site ivoirien L'Infodrome, confirmant une compétition électorale d'une intensité inédite. (…) Le Conseil constitutionnel rendra publique la liste définitive des candidats au plus tard le 10 septembre, ouvrant la voie à une campagne officielle prévue du 5 au 23 octobre. » Commentaire de L'Infodrome : « dans un contexte de fortes attentes sociales, de jeunesse en quête d'alternance et de polarisation politique accumulée, cette présidentielle s'annonce comme l'une des plus imprévisibles et disputées depuis deux décennies. » Radiations et exclusions… Il faut dire que « ces dernières semaines, le climat politique s'est tendu, relève Jeune Afrique. Plusieurs leaders de l'opposition critiquent la candidature à un quatrième mandat d'Alassane Ouattara, et dénoncent leur exclusion de la liste électorale. Ils pointent également du doigt l'organisateur du scrutin, la CEI, jugée trop peu impartiale, et demandent la révision de la liste électorale. Cela n'a pas empêché plusieurs ténors de déposer leur dossier pour pouvoir participer à la course. » Parmi eux, Laurent Gbagbo, pourtant radié en raison d'une condamnation de la justice ivoirienne. « Laurent Gbagbo qui a d'ores et déjà face à lui un autre prétendant du PPA-CI, précise Jeune Afrique. En effet, « Ahoua Don Mello, qui se propose comme une alternative en cas de rejet de la candidature de l'ancien président, a aussi déposé son dossier. Ses équipes étaient accompagnées de Charles Blé Goudé – inéligible et qui a affirmé soutenir toutes les candidatures de la gauche. Il était aux côtés de l'ancienne première dame et leader du MGC, Simone Ehivet Gbagbo. Une autre figure de la gauche, Pascal Affi N'Guessan, président du FPI, a déposé sa candidature malgré la fronde interne à laquelle il fait face. L'autre ténor de l'opposition absent de la liste électorale est le président du PDCI, Tidjane Thiam. La justice ivoirienne avait demandé son retrait de la liste, estimant qu'il était toujours français au moment de son inscription. » Sélection restreinte… Alors « si l'annonce d'une cinquantaine de candidatures peut sembler refléter une ouverture démocratique, tous ne franchiront pas le cap du Conseil constitutionnel. » C'est ce que souligne Afrik.com. Les Sages devront « examiner scrupuleusement les dossiers, en vérifiant notamment les critères de moralité, d'éligibilité et les conditions financières imposées. C'est donc une sélection plus restreinte qui sera officiellement validée d'ici au 10 septembre. » En tout cas, poursuit Afrik.com, « le rendez-vous électoral du 25 octobre cristallise les attentions. Outre la question de la participation effective des grandes figures politiques, ce scrutin est observé de près par les acteurs internationaux, compte tenu du rôle central de la Côte d'Ivoire dans la stabilité régionale. Pour les électeurs, il s'agira de choisir entre la continuité avec le président sortant, Alassane Ouattara, et les différentes visions de l'opposition, dans un contexte marqué par les débats sur la gouvernance, la réconciliation nationale et le développement économique. » Mali : l'assainissement, parent pauvre des politiques publiques Tout autre chose avec cette enquête à lire sur le site malien Sahel Tribune… Enquête sur le manque de toilettes publiques au Mali. « Toilettes publiques, un luxe à ciel ouvert », titre le site bamakois. « Dans ce pays où seulement 45 % de la population dispose d'un service d'assainissement de base, plus d'un million de Maliens continuent à déféquer à l'air libre, dénonce Sahel Tribune. La statistique dit tout : l'infrastructure n'existe pas, ou si peu, et quand elle existe, elle se dégrade, faute d'entretien, de financement et de volonté politique. » En effet, déplore encore le site malien, « l'assainissement reste le parent pauvre des politiques publiques (…) Construire un bloc de trois latrines publiques coûte un peu plus d'un million de francs CFA. Une somme importante pour une mairie, certes, mais ridicule au regard du coût social et sanitaire des diarrhées, de la malnutrition et des infections que provoque l'absence de toilettes. » Enfin, Sahel Tribune élargit le débat, avec ce chiffre récemment publié par l'OMS et l'UNICEF : dans le monde, 354 millions de personnes n'ont pas accès à des toilettes… « L'accès universel à l'eau potable et à l'assainissement d'ici 2030, promesse des Nations unies, s'éloigne inexorablement », soupire le site malien. Et « c'est là le symbole extrême des inégalités mondiales. L'humanité avance, mais laisse derrière elle des centaines de millions d'hommes et de femmes dans la poussière, l'eau souillée et l'humiliation. »

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Andri Jörger: «La lutga um cunter um fascinescha adina puspè»

Profil

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 58:46


La lutga ha gia adina fascinà Andri Jörger. Activ n'è el dentant betg stà, perquai ch'il dies ha fatg problems. S'enriclà n'è el dentant mai da quai. Uschia è Andri Jörger s'engaschà davos las culissas, è stà en ils comités d'organisaziun da las festas da lutga grischun-glarunaisas. E natiralmain accumpogna el ses dus figls a las festas. Ed era questa giada è in da ses figls a la festa federala, ed Andri Jörger sa chapescha sin tribuna cun passa 50'000 autras persunas. Sia fascinaziun per il sport en general sa mussa er en sia lavur. Dapi l'entschatta è el il «head greenkeeper» da la plazza da golf a Domat. In da Domat cun corp ed olma Sias ragischs sajan a Domat, raquinta Andri Jörger. El fetschia quai cun fieu e flomma. Uschia è el stà prest 30 onns en la suprastanza da la vischnanca burgaisa. In engaschament politic na saja dentant mai stà in tema per el. Memia pauc flexibel e memia spert saja il process politic. En la vischnanca burgaisa dentant hajan els adina pudì realisar spert projects. E quai a favur da las abitantas e dals abitants da Domat. Ses engaschament per la vischnanca sa mussa er en il fatg ch'el è stà cumandant dals pumpiers e ch'el è s'engaschà en autras uniuns e per events da sport.

Demain N'attend Pas
101- Le plastique, une bombe à retardement, avec Rosalie Mann, fondatrice de la No More Plastic Foundation

Demain N'attend Pas

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 49:14


Il y a quelques jours, je me suis plongée dans le livre de mon invitée, No More Plastic: comment le plastique ruine notre santé.  Je croyais avoir compris l'enjeu du plastique, sujet que j'avais traité plusieurs fois dans des épisodes de Demain N'attend Pas. Et pourtant… en trois heures de lecture, ma vision a basculé. J'ai levé les yeux du livre, j'ai regardé mon appartement, mes placards… et j'ai pris conscience de l'ampleur des dégâts : nous vivons littéralement dans le plastique.  Ses fonctionnalités extraordinaires (résistance, durabilité, légereté, imperméabilisation, brillance...) en ont fait un matériaux de base pour toutes les industries.  Résultat : le plastique est partout autour de nous. Dans nos bouteilles et nos contenants, dans nos vêtements et nos chaussures, dans nos crèmes, nos vernis et nos shampooings, dans nos produits ménagers, et jusque dans notre nourriture... Partout.  Aujourd'hui, je suis ravie d'accueillir Rosalie Mann, fondatrice de la No More Plastic Foundation, une ONG engagée contre la pollution plastique, et autrice du livre No More Plastic, comment le plastique ruine notre santé publié aux éditions La Plage.Rosalie nous rappelle la réalité des chiffres : 

Les matins
"Si je pleure, c'est parce que je suis épuisée" : une sage-femme à Mayotte témoigne de ses conditions de travail

Les matins

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 14:56


durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - À Mayotte, le malaise explose chez les sages-femmes de l'hôpital. Elles exercent leur droit de retrait depuis le 18 août dernier. En cause, le manque d'effectifs qui les poussent à exercer dans des conditions jugées inacceptables.

Les adultes de demain
[MOMENT CLE] Faire de Lyon une ville des enfants - Tristan Debray

Les adultes de demain

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 4:18


Dans cet extrait, Tristan Debray, conseiller municipal délégué à la ville des enfants à Lyon, partage son engagement de longue date pour les droits de l'enfant, depuis ses débuts en tant qu'animateur d'échecs jusqu'à ses expériences marquantes à l'international. Il explique comment la Convention internationale des droits de l'enfant est devenue la boussole de son action politique et détaille la genèse du projet “Ville des enfants” à Lyon. Tristan revient sur les principaux freins rencontrés pour transformer la ville à hauteur d'enfant, évoquant l'importance de changer les mentalités et de donner aux enfants une réelle place d'acteur dans l'espace public. Ses anecdotes illustrent l'impact positif de ces initiatives, non seulement pour les plus jeunes, mais pour l'ensemble des habitants.L'épisode intégral est à retrouver sur toutes les plateformes d'écoutes de podcast le 27/08/2025.

Le journal de 8H00
"Si je pleure, c'est parce que je suis épuisée" : une sage-femme à Mayotte témoigne de ses conditions de travail

Le journal de 8H00

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 14:56


durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - À Mayotte, le malaise explose chez les sages-femmes de l'hôpital. Elles exercent leur droit de retrait depuis le 18 août dernier. En cause, le manque d'effectifs qui les poussent à exercer dans des conditions jugées inacceptables.

Les journaux de France Culture
"Si je pleure, c'est parce que je suis épuisée" : une sage-femme à Mayotte témoigne de ses conditions de travail

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 14:56


durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - À Mayotte, le malaise explose chez les sages-femmes de l'hôpital. Elles exercent leur droit de retrait depuis le 18 août dernier. En cause, le manque d'effectifs qui les poussent à exercer dans des conditions jugées inacceptables.

Dans la tête d'un CEO
Entreprendre à 50 ans - avec Maïtena Biraben (Mesdames)

Dans la tête d'un CEO

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 57:52


Est-ce une bonne idée d'entreprendre à 50 ans ?J'ai reçu la grande journaliste Maïtena Biraben, aujourd'hui co-fondatrice de Mesdames Media - le média qui racontes les femmes de + de 45 ans - et de Mesdames Productions, une entreprise œuvrant dans la production de fiction et d'événementiel.

Journal imprévisible
Les grands coups d'architectures qui ont défrayé la chronique

Journal imprévisible

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 6:20


Charles-Édouard Jeanneret dit Le Corbusier disparaissait il y a 60 ans. Ses constructions ont été aussi bien admirées que détestées. C'est l'occasion pour Marc Bourreau de revenir sur l'architecture qui ne laisse pas indifférent Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Happy Bulle, le podcast.
Arrête de mendier l'amour et prends-toi en main maintenant !

Happy Bulle, le podcast.

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 25:15


Aujourd'hui, je vais vous raconter une histoire qui, avec le recul, me met en mode : mais pourquoi j'ai tant attendu!... mais qui va peut-être vous réveiller ! je vais parler de dépendance affective, de miettes d'amour, de peur de se mettre en priorité..bref, on va aller explorer ce qu'on ne veut pas voir!!

Vertigo - La 1ere
Lʹinvitée : Manon Mullener " Stories "

Vertigo - La 1ere

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 24:28


La pianiste fribourgeoise Manon Mullener revient avec son nouvel album "Stories". Ses compositions sont des carnets de voyage inspirées des rencontres marquantes de ses tournées, et tisse un pont entre jazz, folklore suisse et musique latine. En concert : demain jeudi 28 août Francomanias de Bulle Manon Mullener est lʹinvitée de Pierre Philippe Cadert

stories ses invit pierre philippe cadert
L'Empreinte
Comment mettre l'art au service de l'écologie ? Avec Côme Di Meglio, artiste engagé

L'Empreinte

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 19:29


Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Côme Di Meglio, l'artiste engagé, qui opère par observation du réel, et met en relation des disciplines telles que la gastronomie, la mycologie, ou encore l'hypnothérapie. Il explore les éléments et les matières dont recèle la nature, pour en en extraire les particularités afin d'agir sur notre sensorialité et notre intériorité. Ses recherches révèlent également les qualités inattendues des êtres et des choses, à l'instar des champignons cultivés et de leur mycélium qui deviennent des matériaux de constructions destinés à créer des architectures enveloppantes et d'accueil vouées à recevoir des moments de partage et de communion. Les expériences qu'il propose nous font tendre vers une disponibilité totale, permettant de repenser nos relations à l'environnement et aux autres, de se reconnecter à nos sens ainsi qu'au cycle du vivant au sein duquel nous nous inscrivons. Explorons ensemble cet univers

Entreprendre dans la mode
[Archives][FR] Martin Parr | Photographe : Conversation sur la photographie et sa carrière

Entreprendre dans la mode

Play Episode Listen Later Aug 26, 2025 32:19


Cet épisode est présenté par Squarespace.Vous voulez lancer votre marque, votre projet ou votre portfolio ?Squarespace est l'outil que j'aurais rêvé d'avoir à mes débuts : templates élégants, boutique en ligne intégrée, paiement sécurisé, gestion des stocks, emailing, optimisation SEO… tout en un, sans développeur et sans prise de tête.Essayez 14 jours. -10 % avec le code BOLD → squarespace.com/BOLD

La marche du monde
Kamtech. Le génocide perpétré par les Khmers rouges

La marche du monde

Play Episode Listen Later Aug 23, 2025 48:30


De 1975 à 1979, les Khmers rouges ont exterminé deux millions de femmes, d'hommes et d'enfants. Mais 50 ans après, qui s'en souvient ? (Rediffusion) Prétextant un futur bombardement américain, les Khmers rouges ordonnent d'évacuer Phnom Penh lorsqu'ils entrent dans la capitale du Cambodge le 17 Avril 1975. En réalité, la ville est vidée, et sa population déportée vers les campagnes devenues camps de travail et de rééducation. C'est le début du génocide cambodgien dans le nouveau Kampuchéa Démocratique où les mots de la langue khmère sont revus et corrigés. Kamtech ne signifie plus seulement tuer, mais détruire ou réduire en poussière sans laisser de trace. Alors comment faire pour se souvenir du passé et apaiser les morts ? Avec le témoignage du cinéaste Rithy Panh dont les films sont projetés dans le cycle « Qui se souvient du génocide cambodgien ? » au Forum des images à Paris. « Qui se souvient du génocide cambodgien ? » : la bande annonce. Et la participation de : - Soko Phay, professeure en Histoire et théorie de l'art à l'Université Paris 8, dont le livre, Cambodge, l'art devant l'extrême est à paraître aux éditions Naïma. Co-organisatrice, avec Pierre Bayard, du programme « Qui se souvient du génocide cambodgien ? » au Forum des images. Au Cambodge, environ deux millions de personnes – soit près du quart de la population – ont péri entre 1975 et 1979, à la suite de déportations, de meurtres de masse et de famines. Face au génocide perpétré par les Khmers rouges, l'art est un défi que les artistes doivent surmonter. Rithy Panh, Vann Nath, Séra, Svay Sareth ou encore, dans la seconde génération, Davy Chou, Vandy Rattana, Guillaume Suon, Jenny Teng n'ont eu de cesse de faire œuvre de mémoire, pour s'élever contre le déni et l'effacement des morts sans sépulture. Cinquante ans après le début des massacres dans son pays, Soko Phay revisite les relations entre le témoignage et la fiction et montre comment les œuvres mémorielles donnent à penser les séquelles profondes au sein de la société cambodgienne. La création, par ses ressources symboliques, permet de dévoiler ce qui a été dérobé au regard, tout en assurant le travail de transmission des événements non-inscrits dans l'histoire officielle. - Jean-Baptiste Phou, écrivain, metteur en scène, auteur du livre « 80 mots du Cambodge », à L'asiathèque. 80 mots qui sont autant d'histoires qui racontent le Cambodge et qui, en plus des racines des mots et de leur résonance dans le coeur des femmes et des hommes qui les utilisent, évoquent le lien particulier qu'entretient l'auteur avec le Cambodge, ses habitants et leur langue. La famille de Jean-Baptiste Phou est d'origine chinoise de l'ethnie Teochew, et a émigré au Cambodge. Les attaches chinoises de la mère restent fortes et Jean-Baptiste, qui a choisi de pratiquer la danse khmère et de s'installer au Cambodge, s'attache à approfondir les traditions du pays auquel il a décidé d'appartenir et en même temps nous fait part des difficultés qu'il rencontre pour comprendre le mode de vie et les réactions des gens et pour s'acclimater et s'insérer. Les mots sont souvent choisis en référence à son histoire personnelle. - Anne-Laure Porée, journaliste, anthropologue, pour son livre « La langue de l'Angkar, leçons khmères rouges d'anéantissement », aux éditions La Découverte. Comment bien torturer pour réussir un interrogatoire en bon révolutionnaire ? Comment présenter un dossier d'aveux qui satisfasse les dirigeants ? Voilà ce qu'enseigne Duch, le chef khmer rouge du centre de mise à mort S-21, aux interrogateurs qu'il forme de 1975 à 1978 à Phnom Penh. Ses leçons, qui dictent comment penser et agir au service du Parti communiste du Kampuchéa, ont été consignées avec soin dans un cahier noir à petits carreaux d'une cinquantaine de pages. Anne-Laure Porée décrypte ce document capital, plongeant le lecteur dans le quotidien des génocidaires cambodgiens. Elle identifie trois mots d'ordre au service de l'anéantissement : cultiver – la volonté révolutionnaire, l'esprit guerrier et la chasse aux « ennemis » –, trier – les « ennemis » à travers diverses méthodes, de la rédaction d'une biographie sommaire à la torture physique, en passant par la réécriture de l'histoire – et purifier – les révolutionnaires comme le corps social. Ces notions reflètent la politique meurtrière orchestrée par le régime de Pol Pot, au pouvoir à partir du 17 avril 1975, qui, en moins de quatre ans, a conduit un quart de la population cambodgienne à la mort. En prenant les Khmers rouges au(x) mot(s), La Langue de l'Angkar rend plus sensibles la logique organisatrice et les singularités d'un régime longtemps resté en marge des études sur les génocides. En partenariat avec RFI et le Forum des images, le numéro hors-série Historia retrace toute l'histoire du Cambodge, des rois bâtisseurs d'Angkor au régime de terreur de Pol Pot, en passant par le protectorat français et la déclaration d'indépendance. Pour en savoir plus : Cambodge : de la grandeur d'Angkor à la terreur khmère rouge ».

La table des bons vivants - Laurent Mariotte
Laurent Baffie pratique la cuisine du quotidien

La table des bons vivants - Laurent Mariotte

Play Episode Listen Later Aug 23, 2025 13:23


Selon Luana Belmondo, ses astuces pour une cuisson de pâtes réussies : les pâtes ont besoin d'une grande quantité d'eau… et une ou deux minutes de moins que sur les paquets de pâtes ! -> On garde une louche de cuisson de pâtes, plein d'amidon Déborah Dupont-Daguet nous révèle que l'on peut faire réchauffer des pâtes sans aucun souci… avec quelques petites astuces. On peut en faire une frittata… mais pas seulement. Les pâtes peuvent être réchauffées à la vapeur, à la poêle pour apporter du croustillant ou au micro-onde. Ses conseils : une fois les pâtes cuites, passez-les sous un filet d'eau froide ; ajoutez la sauce et ensuite du parmesan frais et des feuilles de basilic fraîches. Et ne pas manger vos pâtes le jour-même permet d'avoir un indice glycémique plus bas ! DÉGUSTATION : Spaghetti à la courge préparée par Luana Belmondo Actu : Dico de Lolo de Laurent Baffie Son goût de la semaine : les soupes Laurent Mariotte passe au crible toutes les entrées de son dictionnaire qui concerne la cuisine : bistro, couteau, etc. Dégustation d'un panettone offert à Laurent Baffie pour couronner la fin de l'année !    Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Tour de chant
Les adieux de Sylvie Vartan 4/4 : De l'Olympia au Palais des Congrès, l'appel de la scène

Tour de chant

Play Episode Listen Later Aug 23, 2025 58:59


durée : 00:58:59 - Les adieux de Sylvie Vartan (4) - par : Martin Pénet - A 80 ans, Sylvie Vartan a décidé de faire ses adieux à la scène. Ses ultimes concerts ont eu lieu dernièrement au Palais des Congrès de Paris. C'est l'occasion pour nous d'évoquer son formidable parcours. - réalisé par : Fanny Constans Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Aujourd'hui l'économie
Les grands boycotts de l'Histoire: «B.D.S», trois lettres pour faire pression sur Israël

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Aug 22, 2025 2:56


Le boycott transforme le consommateur en citoyen, un mouvement d'expression et de colère qui fait pression sur les gouvernements et les entreprises les plus puissantes. Notre nouvel épisode de notre série sur les boycotts ayant changé l'histoire s'arrête sur trois lettres : B.D.S. pour boycott, désinvestissements et sanctions. Un mouvement né il y a tout juste 20 ans, le 9 juillet 2005, pour inciter Israël à respecter les droits des Palestiniens et mettre fin à sa politique de colonisation. En 2005, c'est, à l'époque, du moins on l'espère, un moyen de parvenir à la paix. Cet été-là, Israël prépare son désengagement de la bande de Gaza : « Nous sommes là parce que ce retrait n'apportera aucune paix. Que ferez-vous le jour du retrait ?  - Que ferons-nous ? Attendez, vous verrez ! ». L'opposition des colons comme ici dans ce reportage sur France 2 n'y change rien : après 38 ans d'occupation, l'État hébreu se retire de l'enclave palestinienne.  Sauf que dans le même temps, les violences ne cessent pas et que la colonisation israélienne s'accélère sur un autre territoire palestinien : la Cisjordanie. Le mur construit depuis 2002 par l'État hébreu - dont le tracé est décrété illégal dans un avis consultatif de la Cour internationale de Justice (CIJ) le 9 juillet 2004 - déborde toujours un peu plus dans les territoires palestiniens. C'est dans ce contexte, le 9 juillet 2005, que 170 ONG et syndicats palestiniens lancent le mouvement « BDS ». Omar Barghouti, le fondateur du mouvement, énonce ses trois revendications : « Notre mouvement appelle Israël à mettre fin à l'occupation des territoires occupés depuis 1967, à se retirer des colonies et à détruire le mur de séparation. Notre deuxième exigence, c'est l'arrêt du système de discrimination racial contre les citoyens palestiniens à l'intérieur même d'Israël. Enfin, la troisième et la principale, c'est de reconnaître et de permettre le droit au retour des réfugiés palestiniens. » BDS, pour Boycott-Désinvestissements-Sanctions Le mouvement, qui se veut « non violent » et s'inspire des méthodes héritées de la lutte anti-apartheid en Afrique du Sud, appelle à boycotter les produits fabriqués en Israël et dans les colonies. Ses partisans réclament des sanctions contre l'État hébreu. Ils mènent des campagnes pour inciter des entreprises comme Orange ou Microsoft, impliquées dans les territoires occupés, à désinvestir. Des États-Unis à la Belgique, de la France au Royaume-Uni, le mouvement gagne les universités, les syndicats et le monde de la culture. Des institutions, comme le puissant fonds de pension de Norvège, se retirent de certaines entreprises liées à l'occupation des territoires palestiniens. Mais au-delà de ces cas très médiatisés, les conséquences économiques pour Israël restent limitées, comme le raconte en 2015, le correspondant à Jérusalem de Radio France : « Certes, l'agriculture israélienne dans la vallée du Jourdain a connu une baisse de chiffre d'affaires de 14 % l'an dernier, mais l'agriculture ne représente qu'à peine 1 % du PIB de l'État hébreux. Et parallèlement, les échanges commerciaux entre l'Europe et Israël ont doublé ces dix dernières années. » D'autant que le même temps, Israël accuse les activistes de nourrir l'antisémitisme et qu'un peu partout, c'est une autre bataille se livre, cette fois-ci devant les tribunaux : en France, l'appel au boycott d'Israël est même un temps décrété illégal. La décision sera désavouée en 2020 par la Cour européenne des droits de l'Homme. Depuis les attaques du 7 octobre 2023 et la guerre dévastatrice menée par Israël dans la bande de Gaza, qui vaut à l'État hébreu des accusations de génocide, de crimes contre l'humanité et crimes de guerre, le BDS note « une croissance sans précédent » de ses campagnes. Mais dans les faits, jamais depuis le début du mouvement il y a 20 ans, Israël n'aura semblé céder aux pressions. Le pays a même, au contraire, accentué sa politique d'occupation et d'annexion des territoires palestiniens, en violation du droit international. À lire aussiLes grands boycotts de l'Histoire: Martin Luther King et les bus de Montgomery

True Story
Marc Liblin, le Français qui rêvait dans une langue disparue : le mystère de l'île Rapa Iti (2/4)

True Story

Play Episode Listen Later Aug 21, 2025 12:13


Bienvenue dans les Fabuleux Destins. Cette semaine, en quatre épisodes, nous allons vous raconter l'histoire de Marc Liblin, un Français qui rêvait dans une langue qu'il ne connaissait pas. Éric Viennot, un game designer, va décider de percer les mystères qui entourent Marc. Aujourd'hui, nous allons parler du début de son enquête et de la tournure inattendue qu'elle va prendre. Le mystère de l'île Rapa Iti Un jour, grâce à Internet, Eric découvre un livre qui mentionne l'histoire de Marc. Son excitation monte. Il s'empresse de l'acheter, déterminé à être celui qui percera le mystère. Il tourne frénétiquement les pages à la recherche du récit qui l'intéresse. Et puis, soudain, devant lui, les mots lui sautent aux yeux. Eric tombe sur un résumé de la vie de cet homme énigmatique. Ses yeux dévorent les pages alors qu'il apprend que Marc a quitté ce monde le 26 mai 1998. L'auteur de l'ouvrage prétend avoir rencontré une femme nommée Meretuini, qui a rempli sept malles entières de notes et de recherches liées à la vie de l'homme et à l'île. Ces précieuses archives semblent être la clé de voûte pour comprendre ce mystère... Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠[SPÉCIALE MUSIQUE] Ray Charles, le génie torturé du blues⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠[SPÉCIALE MUSIQUE] Marvin Gaye, le destin tragique du prince de la soul⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠[SPÉCIALE MUSIQUE] Nina Simone, une vie de lutte et de génie musicale⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠[SPÉCIALE MUSIQUE] Fela Kuti, l'afrobeat comme arme politique⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam (montage Gilles Bawulak) Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Statecraft
Four Ways to Fix Government HR

Statecraft

Play Episode Listen Later Aug 21, 2025 63:02


Today I'm talking to economic historian Judge Glock, Director of Research at the Manhattan Institute. Judge works on a lot of topics: if you enjoy this episode, I'd encourage you to read some of his work on housing markets and the Environmental Protection Agency. But I cornered him today to talk about civil service reform.Since the 1990s, over 20 red and blue states have made radical changes to how they hire and fire government employees — changes that would be completely outside the Overton window at the federal level. A paper by Judge and Renu Mukherjee lists four reforms made by states like Texas, Florida, and Georgia: * At-will employment for state workers* The elimination of collective bargaining agreements* Giving managers much more discretion to hire* Giving managers much more discretion in how they pay employeesJudge finds decent evidence that the reforms have improved the effectiveness of state governments, and little evidence of the politicization that federal reformers fear. Meanwhile, in Washington, managers can't see applicants' resumes, keyword searches determine who gets hired, and firing a bad performer can take years. But almost none of these ideas are on the table in Washington.Thanks to Harry Fletcher-Wood for his judicious transcript edits and fact-checking, and to Katerina Barton for audio edits.Judge, you have a paper out about lessons for civil service reform from the states. Since the ‘90s, red and blue states have made big changes to how they hire and fire people. Walk through those changes for me.I was born and grew up in Washington DC, heard a lot about civil service throughout my childhood, and began to research it as an adult. But I knew almost nothing about the state civil service systems. When I began working in the states — mainly across the Sunbelt, including in Texas, Kansas, Arizona — I was surprised to learn that their civil service systems were reformed to an absolutely radical extent relative to anything proposed at the federal level, let alone implemented.Starting in the 1990s, several states went to complete at-will employment. That means there were no official civil service protections for any state employees. Some managers were authorized to hire people off the street, just like you could in the private sector. A manager meets someone in a coffee shop, they say, "I'm looking for exactly your role. Why don't you come on board?" At the federal level, with its stultified hiring process, it seemed absurd to even suggest something like that.You had states that got rid of any collective bargaining agreements with their public employee unions. You also had states that did a lot more broadbanding [creating wider pay bands] for employee pay: a lot more discretion for managers to reward or penalize their employees depending on their performance.These major reforms in these states were, from the perspective of DC, incredibly radical. Literally nobody at the federal level proposes anything approximating what has been in place for decades in the states. That should be more commonly known, and should infiltrate the debate on civil service reform in DC.Even though the evidence is not absolutely airtight, on the whole these reforms have been positive. A lot of the evidence is surveys asking managers and operators in these states how they think it works. They've generally been positive. We know these states operate pretty well: Places like Texas, Florida, and Arizona rank well on state capacity metrics in terms of cost of government, time for permitting, and other issues.Finally, to me the most surprising thing is the dog that didn't bark. The argument in the federal government against civil service reform is, “If you do this, we will open up the gates of hell and return to the 19th-century patronage system, where spoilsmen come and go depending on elected officials, and the government is overrun with political appointees who don't care about the civil service.” That has simply not happened. We have very few reports of any concrete examples of politicization at the state level. In surveys, state employees and managers can almost never remember any example of political preferences influencing hiring or firing.One of the surveys you cited asked, “Can you think of a time someone said that they thought that the political preferences were a factor in civil service hiring?” and it was something like 5%.It was in that 5-10% range. I don't think you'd find a dissimilar number of people who would say that even in an official civil service system. Politics is not completely excluded even from a formal civil service system.A few weeks ago, you and I talked to our mutual friend, Don Moynihan, who's a scholar of public administration. He's more skeptical about the evidence that civil service reform would be positive at the federal level.One of your points is, “We don't have strong negative evidence from the states. Productivity didn't crater in states that moved to an at-will employment system.” We do have strong evidence that collective bargaining in the public sector is bad for productivity.What I think you and Don would agree on is that we could use more evidence on the hiring and firing side than the surveys that we have. Is that a fair assessment?Yes, I think that's correct. As you mentioned, the evidence on collective bargaining is pretty close to universal: it raises costs, reduces the efficiency of government, and has few to no positive upsides.On hiring and firing, I mentioned a few studies. There's a 2013 study that looks at HR managers in six states and finds very little evidence of politicization, and managers generally prefer the new system. There was a dissertation that surveyed several employees and managers in civil service reform and non-reform states. Across the board, the at-will employment states said they had better hiring retention, productivity, and so forth. And there's a 2002 study that looked specifically at Texas, Florida, and Georgia after their reforms, and found almost universal approbation inside the civil service itself for these reforms.These are not randomized control trials. But I think that generally positive evidence should point us directionally where we should go on civil service reform. If we loosen restrictions on discipline and firing, decentralize hiring and so forth — we probably get some productivity benefits from it. We can also know, with some amount of confidence, that the sky is not going to fall, which I think is a very important baseline assumption. The civil service system will continue on and probably be fairly close to what it is today, in terms of its political influence, if you have decentralized hiring and at-will employment.As you point out, a lot of these reforms that have happened in 20-odd states since the ‘90s would be totally outside the Overton window at the federal level. Why is it so easy for Georgia to make a bipartisan move in the ‘90s to at-will employment, when you couldn't raise the topic at the federal level?It's a good question. I think in the 1990s, a lot of people thought a combination of the 1978 Civil Service Reform Act — which was the Carter-era act that somewhat attempted to do what these states hoped to do in the 1990s — and the Clinton-era Reinventing Government Initiative, would accomplish the same ends. That didn't happen.That was an era when civil service reform was much more bipartisan. In Georgia, it was a Democratic governor, Zell Miller, who pushed it. In a lot of these other states, they got buy-in from both sides. The recent era of state reform took place after the 2010 Republican wave in the states. Since that wave, the reform impetus for civil service has been much more Republican. That has meant it's been a lot harder to get buy-in from both sides at the federal level, which will be necessary to overcome a filibuster.I think people know it has to be very bipartisan. We're just past the point, at least at the moment, where it can be bipartisan at the federal level. But there are areas where there's a fair amount of overlap between the two sides on what needs to happen, at least in the upper reaches of the civil service.It was interesting to me just how bipartisan civil service reform has been at various times. You talked about the Civil Service Reform Act, which passed Congress in 1978. President Carter tells Congress that the civil service system:“Has become a bureaucratic maze which neglects merit, tolerates poor performance, permits abuse of legitimate employee rights, and mires every personnel action in red tape, delay, and confusion.”That's a Democratic president saying that. It's striking to me that the civil service was not the polarized topic that it is today.Absolutely. Carter was a big civil service reformer in Georgia before those even larger 1990s reforms. He campaigned on civil service reform and thought it was essential to the success of his presidency. But I think you are seeing little sprouts of potential bipartisanship today, like the Chance to Compete Act at the end of 2024, and some of the reforms Obama did to the hiring process. There's options for bipartisanship at the federal level, even if it can't approach what the states have done.I want to walk through the federal hiring process. Let's say you're looking to hire in some federal agency — you pick the agency — and I graduated college recently, and I want to go into the civil service. Tell me about trying to hire somebody like me. What's your first step?It's interesting you bring up the college graduate, because that is one recent reform: President Trump put out an executive order trying to counsel agencies to remove the college degree requirement for job postings. This happened in a lot of states first, like Maryland, and that's also been bipartisan. This requirement for a college degree — which was used as a very unfortunate proxy for ability at a lot of these jobs — is now being removed. It's not across the whole federal government. There's still job postings that require higher education degrees, but that's something that's changed.To your question, let's say the Department of Transportation. That's one of the more bipartisan ones, when you look at surveys of federal civil servants. Department of Defense, Veterans Affairs, they tend to be a little more Republican. Health and Human Services and some other agencies tend to be pretty Democrat. Transportation is somewhere in the middle.As a manager, you try to craft a job description and posting to go up on the USA Jobs website, which is where all federal job postings go. When they created it back in 1996, that was supposedly a massive reform to federal hiring: this website where people could submit their resumes. Then, people submit their resumes and answer questions about their qualifications for the job.One of the slightly different aspects from the private sector is that those applications usually go to an HR specialist first. The specialist reviews everything and starts to rank people into different categories, based on a lot of weird things. It's supposed to be “knowledge, skills, and abilities” — your KSAs, or competencies. To some extent, this is a big step up from historical practice. You had, frankly, an absurd civil service exam, where people had to fill out questions about, say, General Grant or about US Code Title 42, or whatever it was, and then submit it. Someone rated the civil service exam, and then the top three test-takers were eligible for the job.We have this newer, better system, where we rank on knowledge, skills, and abilities, and HR puts put people into different categories. One of the awkward ways they do this is by merely scanning the resumes and applications for keywords. If it's a computer job, make sure you say the word “computer” somewhere in your resume. Make sure you say “manager” if it's a managerial job.Just to be clear, this is entirely literal. There's a keyword search, and folks who don't pass that search are dinged.Yes. I've always wondered, how common is this? It's sometimes hard to know what happens in the black box in these federal HR departments. I saw an HR official recently say, "If I'm not allowed to do keyword searches, I'm going to take 15 years to overlook all the applications, so I've got to do keyword searches." If they don't have the keywords, into the circular file it goes, as they used to say: into the garbage can.Then they start ranking people on their abilities into, often, three different categories. That is also very literal. If you put in the little word bubble, "I am an exceptional manager," you get pushed on into the next level of the competition. If you say, "I'm pretty good, but I'm not the best," into the circular file you go.I've gotten jaded about this, but it really is shocking. We ask candidates for a self-assessment, and if they just rank themselves 10/10 on everything, no matter how ludicrous, that improves their odds of being hired.That's going to immensely improve your odds. Similar to the keyword search, there's been pushback on this in recent years, and I'm definitely not going to say it's universal anymore. It's rarer than it used to be. But it's still a very common process.The historical civil service system used to operate on a rule of three. In places like New York, it still operates like that. The top three candidates on the evaluation system get presented to the manager, and the manager has to approve one of them for the position.Thanks partially to reforms by the Obama administration in 2010, they have this category rating system where the best qualified or the very qualified get put into a big bucket together [instead of only including the top three]. Those are the people that the person doing the hiring gets to see, evaluate, and decide who he wants to hire.There are some restrictions on that. If a veteran outranks everybody else, you've got to pick the veteran [typically known as Veterans' Preference]. That was an issue in some of the state civil service reforms, too. The states said, “We're just going to encourage a veterans' preference. We don't need a formalized system to say they get X number of points and have to be in Y category. We're just going to say, ‘Try to hire veterans.'” That's possible without the formal system, despite what some opponents of reform may claim.One of the particular problems here is just the nature of the people doing the hiring. Sometimes you just need good managers to encourage HR departments to look at a broader set of qualifications. But one of the bigger problems is that they keep the HR evaluation system divorced from the manager who is doing the hiring. David Shulkin, who was the head of the Department of Veterans Affairs (VA), wrote a great book, It Shouldn't Be This Hard to Serve Your Country. He was a healthcare exec, and the VA is mainly a healthcare agency. He would tell people, "You should work for me," they would send their applications into the HR void, and he'd never see them again. They would get blocked at some point in this HR evaluation process, and he'd be sent people with no healthcare experience, because for whatever reason they did well in the ranking.One of the very base-level reforms should be, “How can we more clearly integrate the hiring manager with the evaluation process?” To some extent, the bipartisan Chance to Compete Act tries to do this. They said, “You should have subject matter experts who are part of crafting the description of the job, are part of evaluating, and so forth.” But there's still a long road to go.Does that firewall — where the person who wants to hire doesn't get to look at the process until the end — exist originally because of concerns about cronyism?One of the interesting things about the civil service is its raison d'être — its reason for being — was supposedly a single, clear purpose: to prevent politicized hiring and patronage. That goes back to the Pendleton Civil Service Act of 1883. But it's always been a little strange that you have all of these very complex rules about every step of the process — from hiring to firing to promotion, and everything in between — to prevent political influence. We could just focus on preventing political influence, and not regulate every step of the process on the off-chance that without a clear regulation, political influence could creep in. This division [between hiring manager and applicants] is part of that general concern. There are areas where I've heard HR specialists say, "We declare that a manager is a subject matter expert, and we bring them into the process early on, we can do that." But still the division is pretty stark, and it's based on this excessive concern about patronage.One point you flag is that the Office of Personnel Management (OPM), which is the body that thinks about personnel in the federal government, has a 300-page regulatory document for agencies on how you have to hire. There's a remarkable amount of process.Yes, but even that is a big change from the Federal Personnel Manual, which was the 10,000-page document that we shredded in the 1990s. In the ‘90s, OPM gave the agencies what's called “delegated examining authorities.” This says, “You, agency, have power to decide who to hire, we're not going to do the central supervision anymore. But, but, but: here's the 300-page document that dictates exactly how you have to carry out that hiring.”So we have some decentralization, allowing managers more authority to control their own departments. But this two-level oversight — a local HR department that's ultimately being overseen by the OPM — also leads to a lot of slip ‘twixt cup and lip, in terms of how something gets implemented. If you're in the agency and you're concerned about the OPM overseeing your process, you're likely to be much more careful than you would like to be. “Yes, it's delegated to me, but ultimately, I know I have to answer to OPM about this process. I'm just going to color within the lines.”I often cite Texas, which has no central HR office. Each agency decides how it wants to hire. In a lot of these reform states, if there is a central personnel office, it's an information clearinghouse or reservoir of models. “You can use us, the central HR office, as a resource if you want us to help you post the job, evaluate it, or help manage your processes, but you don't have to.” That's the goal we should be striving for in a lot of the federal reforms. Just make OPM a resource for the managers in the individual departments to do their thing or go independent.Let's say I somehow get through the hiring process. You offer me a job at the Department of Transportation. What are you paying me?This is one of the more stultified aspects of the federal civil service system. OPM has another multi-hundred-page handbook called the Handbook of Occupational Groups and Families. Inside that, you've got 49 different “groups and families,” like “Clerical occupations.” Inside those 49 groups are a series of jobs, sometimes dozens, like “Computer Operator.” Inside those, they have independent documents — often themselves dozens of pages long — detailing classes of positions. Then you as a manager have to evaluate these nine factors, which can each give points to each position, which decides how you get slotted into this weird Government Schedule (GS) system [the federal payscale].Again, this is actually an improvement. Before, you used to have the Civil Service Commission, which went around staring very closely at someone over their typewriter and saying, "No, I think you should be a GS-12, not a GS-11, because someone over in the Department of Defense who does your same job is a GS-12." Now this is delegated to agencies, but again, the agencies have to listen to the OPM on how to classify and set their jobs into this 15-stage GS-classification system, each stage of which has 10 steps which determine your pay, and those steps are determined mainly by your seniority. It's a formalized step-by-step system, overwhelmingly based on just how long you've sat at your desk.Let's be optimistic about my performance as a civil servant. Say that over my first three years, I'm just hitting it out of the park. Can you give me a raise? What can you do to keep me in my role?Not too much. For most people, the within-step increases — those 10 steps inside each GS-level — is just set by seniority. Now there are all these quality step increases you can get, but they're very rare and they have to be documented. So you could hypothetically pay someone more, but it's going to be tough. In general, the managers just prefer to stick to seniority, because not sticking to it garners a lot of complaints. Like so much else, the goal is, "We don't want someone rewarding an official because they happen to share their political preferences." The result of that concern is basically nobody can get rewarded at all, which is very unfortunate.We do have examples in state and federal government of what's known as broadbanding, where you have very broad pay scales, and the manager can decide where to slot someone. Say you're a computer operator, which can mean someone who knows what an Excel spreadsheet is, or someone who's programming the most advanced AI systems. As a manager in South Carolina or Florida, you have a lot of discretion to say, "I can set you 50% above the market rate of what this job technically would go for, if I think you're doing a great job."That's very rare at the federal level. They've done broadbanding at the Government Accountability Office, the National Institute of Standards and Technology. The China Lake Experiment out in California gave managers a lot more discretion to reward scientists. But that's definitely the exception. In general, it's a step-wise, seniority-based system.What if you want to bring me into the Senior Executive Service (SES)? Theoretically, that sits at the top of the General Service scale. Can't you bump me up in there and pay me what you owe me?I could hypothetically bring you in as a senior executive servant. The SES was created in the 1978 Civil Service Reform Act. The idea was, “We're going to have this elite cadre of about 8,000 individuals at the top of the federal government, whose employment will be higher-risk and higher-reward. They might be fired, and we're going to give them higher pay to compensate for that.”Almost immediately, that did not work out. Congress was outraged at the higher pay given to the top officials and capped it. Ever since, how much the SES can get paid has been tightly controlled. As in most of the rest of the federal government, where they establish these performance pay incentives or bonuses — which do exist — they spread them like peanut butter over the whole service. To forestall complaints, everyone gets a little bit every two or three years.That's basically what happened to the SES. Their annual pay is capped at the vice president's salary, which is a cap for a lot of people in the federal government. For most of your GS and other executive scales, the cap is Congress's salary. [NB: This is no longer exactly true, since Congress froze its own salaries in 2009. The cap for GS (currently about $195k) is now above congressional salaries ($174k).]One of the big problems with pay in the federal government is pay compression. Across civil service systems, the highest-skilled people tend to be paid much less than the private sector, and the lowest-skilled people tend to get paid much more. The political science reason for that is pretty simple: the median voter in America still decides what seems reasonable. To the median voter, the average salary of a janitor looks low, and the average salary of a scientist looks way too high. Hence this tendency to pay compression. Your average federal employee is probably overpaid relative to the private sector, because the lowest-skilled employees are paid up to 40% higher than the private sector equivalent. The highest-paid employees, the post-graduate skilled professionals, are paid less. That makes it hard to recruit the top performers, but it also swells the wage budget in a way that makes it difficult to talk about reform.There's a lot of interest in this administration in making it easier to recruit talent and get rid of under-performers. There have been aggressive pushes to limit collective bargaining in the public sector. That should theoretically make it easier to recruit, but it also increases the precariousness of civil service roles. We've seen huge firings in the civil service over the last six months.Classically, the explicit trade-off of working in the federal government was, “Your pay is going to be capped, but you have this job for life. It's impossible to get rid of you.” You trade some lifetime earnings for stability. In a world where the stability is gone, but pay is still capped, isn't the net effect to drive talent away from the civil service?I think it's a concern now. On one level it should be ameliorated, because those who are most concerned with stability of employment do tend to be lower performers. If you have people who are leaving the federal service because all they want is stability, and they're not getting that anymore, that may not be a net loss. As someone who came out of academia and knows the wonder of effective lifetime annuities, there can be very high performers who like that stability who therefore take a lower salary. Without the ability to bump that pay up more, it's going to be an issue.I do know that, internally, the Trump administration has made some signs they're open to reforms in the top tiers of the SES and other parts of the federal government. They would be willing to have people get paid more at that level to compensate for the increased risks since the Trump administration came in. But when you look at the reductions in force (RIFs) that have happened under Trump, they are overwhelmingly among probationary employees, the lower-level employees.With some exceptions. If you've been promoted recently, you can get reclassified as probationary, so some high-performers got lumped in.Absolutely. The issue has been exacerbated precisely because the RIF regulations that are in place have made the firings particularly damaging. If you had a more streamlined RIF system — which they do have in many states, where seniority is not the main determinant of who gets laid off — these RIFs could be removing the lower-performing civil servants and keeping the higher-performing ones, and giving them some amount of confidence in their tenure.Unfortunately, the combination of large-scale removals with the existing RIF regs, which are very stringent, has demoralized some of the upper levels of the federal government. I share that concern. But I might add, it is interesting, if you look at the federal government's own figures on the total civil service workforce, they have gone down significantly since Trump came in office, but I think less than 100,000 still, in the most recent numbers that I've seen. I'm not sure how much to trust those, versus some of these other numbers where people have said 150,000, 200,000.Whether the Trump administration or a future administration can remove large numbers of people from the civil service should be somewhat divorced from the general conversation on civil service reform. The main debate about whether or not Trump can do this centers around how much power the appropriators in Congress have to determine the total amount of spending in particular agencies on their workforce. It does not depend necessarily on, "If we're going to remove people — whether for general layoffs, or reductions in force, or because of particular performance issues — how can we go about doing that?" My last-ditch hope to maintain a bipartisan possibility of civil service reform is to bracket, “How much power does the president have to remove or limit the workforce in general?” from “How can he go about hiring and firing, et cetera?”I think making it easier for the president to identify and remove poor performers is a tool that any future administration would like to have.We had this conversation sparked again with the firing of the Bureau of Labor Statistics commissioner. But that was a position Congress set up to be appointed by the President, confirmed by the Senate, and removable by the President. It's a separate issue from civil service at large. Everyone said, “We want the president to be able to hire and fire the commissioner.” Maybe firing the commissioner was a bad decision, but that's the situation today.Attentive listeners to Statecraft know I'm pretty critical, like you are, of the regulations that say you have to go in order of seniority. In mass layoffs, you're required to fire a lot of the young, talented people.But let's talk about individual firings. I've been a terrible civil servant, a nightmarish employee from day one. You want to discipline, remove, suspend, or fire me. What are your options?Anybody who has worked in the civil service knows it's hard to fire bad performers. Whatever their political valence, whatever they feel about the civil service system, they have horror stories about a person who just couldn't be removed.In the early 2010s, a spate of stories came out about air traffic controllers sleeping on the job. Then-transportation secretary, Ray LaHood, made a big public announcement: "I'm going to fire these three guys." After these big announcements, it turned out he was only able to remove one of them. One retired, and another had their firing reduced to a suspension.You had another horrific story where a man was joking on the phone with friends when a plane crashed into a helicopter and killed nine people over the Hudson River. National outcry. They said, "We're going to fire this guy." In the end, after going through the process, he only got a suspension. Everyone agrees it's too hard.The basic story is, you have two ways to fire someone. Chapter 75, the old way, is often considered the realm of misconduct: You've stolen something from the office, punched your colleague in the face during a dispute about the coffee, something illegal or just straight-out wrong. We get you under Chapter 75.The 1978 Civil Service Reform Act added Chapter 43, which is supposed to be the performance-based system to remove someone. As with so much of that Civil Service Reform Act, the people who passed it thought this might be the beginning of an entirely different system.In the end, lots of federal managers say there's not a huge difference between the two. Some use 75, some use 43. If you use 43, you have to document very clearly what the person did wrong. You have to put them on a performance improvement plan. If they failed a performance improvement plan after a certain amount of time, they can respond to any claims about what they did wrong. Then, they can take that process up to the Merit Systems Protection Board (MSPB) and claim that they were incorrectly fired, or that the processes weren't carried out appropriately. Then, if they want to, they can say, “Nah, I don't like the order I got,” and take it up to federal courts and complain there. Right now, the MSPB doesn't have a full quorum, which is complicating some of the recent removal disputes.You have this incredibly difficult process, unlike the private sector, where your boss looks at you and says, "I don't like how you're giving me the stink-eye today. Out you go." One could say that's good or bad, but, on the whole, I think the model should be closer to the private sector. We should trust managers to do their job without excessive oversight and process. That's clearly about as far from the realm of possibility as the current system, under which the estimate is 6-12 months to fire a very bad performer. The number of people who win at the Merit Systems Protection Board is still 20-30%.This goes into another issue, which is unionization. If you're part of a collective bargaining agreement — most of the regular federal civil service is — first, you have to go with this independent, union-based arbitration and grievance procedure. You're about 50/50 to win on those if your boss tries to remove you.So if I'm in the union, we go through that arbitration grievance system. If you win and I'm fired, I can take it to the Merit Systems Protection Board. If you win again, I can still take it to the federal courts.You can file different sorts of claims at each part. On Chapter 43, the MSPB is supposed to be about the process, not the evidence, and you just have to show it was followed. On 75, the manager has to show by preponderance of the evidence that the employee is harming the agency. Then there are different standards for what you take to the courts, and different standards according to each collective bargaining agreement for the grievance procedure when someone is disciplined. It's a very complicated, abstruse, and procedure-heavy process that makes it very difficult to remove people, which is why the involuntary separation rate at the federal government and most state governments is many multiples lower than the private sector.So, you would love to get me off your team because I'm abysmal. But you have no stomach for going through this whole process and I'm going to fight it. I'm ornery and contrarian and will drag this fight out. In practice, what do managers in the federal government do with their poor performers?I always heard about this growing up. There's the windowless office in the basement without a phone, or now an internet connection. You place someone down there, hope they get the message, and sooner or later they leave. But for plenty of people in America, that's the dream job. You just get to sit and nobody bothers you for eight hours. You punch in at 9 and punch out at 5, and that's your day. "Great. I'll collect that salary for another 10 years." But generally you just try to make life unpleasant for that person.Public sector collective bargaining in the US is new. I tend to think of it as just how the civil service works. But until about 50 years ago, there was no collective bargaining in the public sector.At the state level, it started with Wisconsin at the end of the 1950s. There were famous local government reforms beginning with the Little Wagner Act [signed in 1958] in New York City. Senator Robert Wagner had created the National Labor Relations Board. His son Robert F. Wagner Jr., mayor of New York, created the first US collective bargaining system at the local level in the ‘60s. In ‘62, John F. Kennedy issued an executive order which said, "We're going to deal officially with public sector unions,” but it was all informal and non-statutory.It wasn't until Title VII of the 1978 Civil Service Reform Act that unions had a formal, statutory role in our federal service system. This is shockingly new. To some extent, that was the great loss to many civil service reformers in ‘78. They wanted to get through a lot of these other big reforms about hiring and firing, but they gave up on the unions to try to get those. Some people think that exception swallowed the rest of the rules. The union power that was garnered in ‘78 overcame the other reforms people hoped to accomplish. Soon, you had the majority of the federal workforce subject to collective bargaining.But that's changing now too. Part of that Civil Service Reform Act said, “If your position is in a national security-related position, the president can determine it's not subject to collective bargaining.” Trump and the OPM have basically said, “Most positions in the federal government are national security-related, and therefore we're going to declare them off-limits to collective bargaining.” Some people say that sounds absurd. But 60% of the civilian civil service workforce is the Department of Defense, Veterans Affairs, and the Department of Homeland Security. I am not someone who tries to go too easy on this crowd. I think there's a heck of a lot that needs to be reformed. But it's also worth remembering that the majority of the civil service workforce are in these three agencies that Republicans tend to like a lot.Now, whether people like Veterans Affairs is more of an open question. We have some particular laws there about opening up processes after the scandals in the 2010s about waiting lists and hospitals. You had veterans hospitals saying, "We're meeting these standards for getting veterans in the door for these waiting lists." But they were straight-up lying about those standards. Many people who were on these lists waiting for months to see a doctor died in the interim, some from causes that could have been treated had they seen a VA doctor. That led to Congress doing big reforms in the VA in 2014 and 2017, precisely because everyone realized this is a problem.So, Trump has put out these executive orders stopping collective bargaining in all of these agencies that touch national security. Some of those, like the Environmental Protection Agency (EPA), seem like a tough sell. I guess that, if you want to dig a mine and the Chinese are trying to dig their own mine and we want the mine to go quickly without the EPA pettifogging it, maybe. But the core ones are pretty solid. So far the courts have upheld the executive order to go in place. So collective bargaining there could be reformed.But in the rest of the government, there are these very extreme, long collective bargaining agreements between agencies and their unions. I've hit on the Transportation Security Administration (TSA) as one that's had pretty extensive bargaining with its union. When we created the TSA to supervise airport security, a lot of people said, "We need a crème de la crème to supervise airports after 9/11. We want to keep this out of union hands, because we know unions are going to make it difficult to move people around." The Obama administration said, "Nope, we're going to negotiate with the union." Now you have these huge negotiations with the unions about parking spots, hours of employment, uniforms, and everything under the sun. That makes it hard for managers in the TSA to decide when people should go where or what they should do.One thing we've talked about on Statecraft in past episodes — for instance, with John Kamensky, who was a pivotal figure in the Clinton-Gore reforms — was this relationship between government employees and “Beltway Bandits”: the contractors who do jobs you might think of as civil service jobs. One critique of that ‘90s Clinton-Gore push, “Reinventing Government,” was that although they shrank the size of the civil service on paper, the number of contractors employed by the federal government ballooned to fill that void. They did not meaningfully reduce the total number of people being paid by the federal government. Talk to me about the relationship between the civil service reform that you'd like to see and this army of folks who are not formally employees.Every government service is a combination of public employees and inputs, and private employees and inputs. There's never a single thing the government does — federal, state, or local — that doesn't involve inputs from the private sector. That could be as simple as the uniforms for the janitors. Even if you have a publicly employed janitor, who buys the mop? You're not manufacturing the mops.I understand the critique that the excessive focus on full-time employees in the 1990s led to contracting out some positions that could be done directly by the government. But I think that misses how much of the government can and should be contracted out. The basic Office of Management and Budget (OMB) statute [OMB Circular No. A-76] defining what is an essential government duty should still be the dividing line. What does the government have to do, because that is the public overseeing a process? Versus, what can the private sector just do itself?I always cite Stephen Goldsmith, the old mayor of Indianapolis. He proposed what he called the Yellow Pages test. If you open the Yellow Pages [phone directory] and three businesses do that business, the government should not be in that business. There's three garbage haulers out there. Instead of having a formal government garbage-hauling department, just contract out the garbage.With the internet, you should have a lot more opportunities to contract stuff out. I think that is generally good, and we should not have the federal government going about a lot of the day-to-day procedural things that don't require public input. What a lot of people didn't recognize is how much pressure that's going to put on government contracting officers at the federal level. Last time I checked there were 40,000 contracting officers. They have a lot of power. In the most recent year for which we have data, there were $750 billion in federal contracts. This is a substantial part of our economy. If you total state and local, we're talking almost 10% of our whole economy goes through government contracts. This is mind-boggling. In the public policy world, we should all be spending about 10% of our time thinking about contracting.One of the things I think everyone recognized is that contractors should have more authority. Some of the reform that happened with people like [Steven] Kelman — who was the Office of Federal Procurement Policy head in the ‘90s under Clinton — was, "We need to give these people more authority to just take a credit card and go buy a sheaf of paper if that's what they need. And we need more authority to get contract bids out appropriately.”The same message that animates civil service reform should animate these contracting discussions. The goal should be setting clear goals that you want — for either a civil servant or a contractor — and then giving that person the discretion to meet them. If you make the civil service more stultified, or make pay compression more extreme, you're going to have to contract more stuff out.People talk about the General Schedule [pay scale], but we haven't talked about the Federal Wage Schedule system at all, which is the blue-collar system that encompasses about 200,000 federal employees. Pay compression means those guys get paid really well. That means some managers rightfully think, "I'd like to have full-time supervision over some role, but I would rather contract it out, because I can get it a heck of a lot cheaper."There's a continuous relationship: If we make the civil service more stultified, we're going to push contracting out into more areas where maybe it wouldn't be appropriate. But a lot of things are always going to be appropriate to contract out. That means we need to give contracting officers and the people overseeing contracts a lot of discretion to carry out their missions, and not a lot of oversight from the Government Accountability Office or the courts about their bids, just like we shouldn't give OPM excess input into the civil service hiring process.This is a theme I keep harping on, on Statecraft. It's counterintuitive from a reformer's perspective, but it's true: if you want these processes to function better, you're going to have to stop nitpicking. You're going to have to ease up on the throttle and let people make their own decisions, even when sometimes you're not going to agree with them.This is a tension that's obviously happening in this administration. You've seen some clear interest in decentralization, and you've seen some centralization. In both the contract and the civil service sphere, the goal for the central agencies should be giving as many options as possible to the local managers, making sure they don't go extremely off the rails, but then giving those local managers and contracting officials the ability to make their own choices. The General Services Administration (GSA) under this administration is doing a lot of government-wide acquisition contracts. “We establish a contract for the whole government in the GSA. Usually you, the local manager, are not required to use that contract if you want computer services or whatever, but it's an option for you.”OPM should take a similar role. "Here's the system we have set up. You can take that and use it as you want. It's here for you, but it doesn't have to be used, because you might have some very particular hiring decisions to make.” Just like there shouldn't be one contracting decision that decides how we buy both a sheaf of computer paper and an aircraft carrier, there shouldn't be one hiring and firing process for a janitor and a nuclear physicist. That can't be a centralized process, because the very nature of human life is that there's an infinitude of possibilities that you need to allow for, and that means some amount of decentralization.I had an argument online recently about New York City's “buy local” requirement for certain procurement contracts. When they want to build these big public toilets in New York City, they have to source all the toilet parts from within the state, even if they're $200,000 cheaper in Portland, Oregon.I think it's crazy to ask procurement and contracting to solve all your policy problems. Procurement can't be about keeping a healthy local toilet parts industry. You just need to procure the toilet.This is another area where you see similar overlap in some of the civil service and contracting issues. A lot of cities have residency requirements for many of their positions. If you work for the city, you have to live inside the city. In New York, that means you've got a lot of police officers living on Staten Island, or right on the line of the north side of the Bronx, where they're inches away from Westchester. That drives up costs, and limits your population of potential employees.One of the most amazing things to me about the Biden Bipartisan Infrastructure Law was that it encouraged contracting officers to use residency requirements: “You should try to localize your hiring and contracting into certain areas.” On a national level, that cancels out. If both Wyoming and Wisconsin use residency requirements, the net effect is not more people hired from one of those states! So often, people expect the civil service and contracting to solve all of our ills and to point the way forward for the rest of the economy on discrimination, hiring, pay, et cetera. That just leads to, by definition, government being a lot more expensive than the private sector.Over the next three and a half years, what would you like to see the administration do on civil service reform that they haven't already taken up?I think some of the broad-scale layoffs, which seem to be slowing down, were counterproductive. I do think that their ability to achieve their ends was limited by the nature of the reduction-in-force regulations, which made them more counterproductive than they had to be. That's the situation they inherited. But that didn't mean you had to lay off a lot of people without considering the particular jobs they were doing now.And hiring quite a few of them back.Yeah. There are also debates obviously, within the administration, between DOGE and Russ Vought [director of the OMB] and some others on this. Some things, like the Schedule Policy/Career — which is the revival of Schedule F in the first Trump administration — are largely a step in the right direction. Counter to some of the critics, it says, “You can remove someone if they're in a policymaking position, just like if they were completely at-will. But you still have to hire from the typical civil service system.” So, for those concerned about politicization, that doesn't undermine that, because they can't just pick someone from the party system to put in there. I think that's good.They recently had a suitability requirement rule that I think moved in the right direction. That says, “If someone's not suitable for the workforce, there are other ways to remove them besides the typical procedures.” The ideal system is going to require some congressional input: it's to have a decentralization of hiring authority to individual managers. Which means the OPM — now under Scott Kupor, who has finally been confirmed — saying, "The OPM is here to assist you, federal managers. Make sure you stay within the broad lanes of what the administration's trying to accomplish. But once we give you your general goals, we're going to trust you to do that, including hiring.”I've mentioned it a few times, but part of the Chance to Compete Act — which was mentioned in one of Trump's Day One executive orders, people forget about this — was saying, “Implement the Chance to Compete Act to the maximum extent of the law.” Bring more subject-matter expertise into the hiring process, allow more discretion for managers and input into the hiring process. I think carrying that bipartisan reform out is going to be a big step, but it's going to take a lot more work. This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit www.statecraft.pub

How We Got There
How We Got There: Sean Lewis, Director of Partnerships at Vicasso and Serviceblazer User Group Leader for AMER

How We Got There

Play Episode Listen Later Aug 21, 2025 37:18


I am joined by ⁠Sean Lewis⁠, Director of Partnerships at Vicasso and the Serviceblazer User Group Leader for AMER.   We talk about his journey from customer support to sales to partnerships and everything in between. When he was selling, a Salesforce AE sent them a referral to a F100 company that really opened his eyes to the value of the partnership. Now Vicasso has two FTEs focused on partnerships to drive further top of the funnel growth. The partner team at Vicasso focuses on Salesforce AEs, SEs and leaders but has started to explore SI partnerships as well since Vicasso no longer provides SI work as part of their business as a pure ISV. Sean shares an incredibly valuable learning around focus when it comes to coselling with Salesforce.  One time they found that one Service Cloud RVP has 5x the number of existing accounts and were only in 5% of their total accounts. Hyperfocus means Sean and his team knows where they will provide value to them.If your app helps add value to Service Cloud users, the Serviceblazer community events might be worth your time to check out. Here is a link to ⁠join the serviceblazer slack community⁠.We talk a bit about Chris Voss' book called ⁠Never Split the Difference⁠, which is a sales classic everyone can get value out of. And Sean calls out ⁠Matt Kravitz⁠ as a great person to follow to learn about service cloud.And thanks again to ⁠Jon Schultz⁠ for the recommendation to have Sean on!This episode is brought to you by ⁠⁠⁠⁠⁠Invisory⁠⁠⁠⁠⁠. Invisory is designed to meet you where you are: in your cloud marketplace journey through a strong go-to-market strategy that helps drive prospect and co-sell opportunities with Salesforce, AWS, Microsoft, and Google.  v2

Grand bien vous fasse !
Apprendre à aimer le sport, un remède à la sédentarité et à ses ravages

Grand bien vous fasse !

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 45:03


durée : 00:45:03 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - Cela vous est-il déjà arrivé de regarder quelqu'un courir et vous dire que vous aimeriez aimer ça vous aussi ? Et si on apprenait enfin à aimer le sport ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Revue de presse Afrique
À la Une: Choguel Maïga, de la primature malienne à la prison

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 4:08


« Après une semaine passée en garde à vue, l'ancien chef du gouvernement, Choguel Maïga a été présenté, hier, au parquet général de la Cour suprême, relate MaliActu. Au terme de son audition, un mandat de dépôt a été émis à son encontre pour des accusations d'atteinte aux biens publics. Cette incarcération fait suite aux conclusions d'un audit de sa gestion, diligenté par les services de l'État après son départ de la Primature en novembre 2024. » Pour rappel, poursuit MaliActu, « Choguel Maïga s'était d'abord fait connaître en tant que figure de proue d'un mouvement d'opposition qui a lutté contre la mauvaise gouvernance du régime précédent. Son engagement avait abouti à sa nomination au poste de Premier ministre, qu'il a occupé pendant près de trois ans et demi. Son mandat avait été marqué par une brève interruption pour raison de santé, avant sa destitution, amorçant une série d'investigations qui ont mis en lumière des dysfonctionnements dans la gestion des finances publiques. » Manœuvre politique ? Qu'est-ce que la justice malienne lui reproche exactement ? « “Atteinte aux biens publics, faux et usage de faux“, relève Afrik.com. Les accusations portées contre l'ancien Premier ministre sont très pesantes et pourraient lui valoir une peine conséquemment lourde. Il est question de gestion de biens publics et de faits présumés de falsification de documents officiels. Mais, aucune précision n'a pour l'instant été donnée sur les affaires concrètes concernées. (…) Pour ses partisans, poursuit Afrik.com, il s'agit d'une manœuvre politique visant à museler une voix devenue dérangeante pour la junte. Des membres du M5-RFP, mouvement politique qui avait porté Choguel Maïga à la primature, dénoncent une “instrumentalisation de la justice“ et alertent sur une dérive autoritaire des militaires. Du côté des autorités, le discours est tout autre, relève encore le site panafricain. Des proches du pouvoir assurent que “nul n'est au-dessus de la loi“ et que la lutte contre la corruption et les malversations financières doit concerner “toutes les personnalités, quel que soit leur rang passé“. » L'arroseur arrosé ? En tout cas, pour une bonne partie de la presse malienne, le sort en est jeté. « Du verbe haut aux barreaux froids », titre Sahel Tribune à Bamako. En effet, relate le site bamakois, « l'homme qui se rêvait en incorruptible héraut du souverainisme malien vient de tomber dans les filets d'une justice qu'il appelait autrefois de ses vœux. Choguel Maïga aimait se présenter comme l'homme des principes, le tribun inflexible qui dénonçait tour à tour les dérives des régimes passés, l'ingérence occidentale et les compromissions de ses adversaires. Mais voilà que son nom se retrouve associé aux mêmes maux qu'il prétendait combattre : gestion douteuse des deniers publics, favoritisme, manque de transparence. Ceux qui l'érigeaient en modèle découvrent aujourd'hui un paradoxe cruel, relève encore Sahel Tribune : l'apôtre de la souveraineté nationale éclaboussé par des soupçons de prédation. L'ironie n'échappera à personne. Chef du M5-RFP, Choguel avait incarné la contestation acharnée contre (le président) Ibrahim Boubacar Keïta avant d'embrasser, avec un zèle soudain, la Transition militaire […]. Premier ministre improvisé, il s'était mué en porte-parole d'un souverainisme enflammé, n'hésitant pas à vitupérer contre la France, la Cédéao ou les "ennemis de l'intérieur". Ses discours martiaux faisaient vibrer les foules, mais, pointe encore Sahel Tribune, sa pratique du pouvoir ressemblait trop à celle qu'il dénonçait : exclusion des contradicteurs, gestion opaque et culte de la personnalité. » Espérer que l'histoire ne se répète pas « Choguel Maïga : une chute qui devrait servir de leçon », lance Ledjely en Guinée. « L'histoire de Choguel Maïga démontre que l'on ne triomphe pas en foulant aux pieds les principes, tonne le site conakryka, et que même en politique, abuser de la ruse et de la duplicité peut finir par se retourner contre soi. Cette leçon vaut avant tout pour la jeunesse des pays de l'AES (Mali, Niger, Burkina Faso) aujourd'hui soudée aux juntes de leurs pays respectifs, comme l'était, il y a une soixantaine d'années, la jeunesse africaine mobilisée derrière les leaders indépendantistes. Avec la même passion, la même insouciance. Mais beaucoup de ces jeunes d'hier se sont retrouvés, hélas, victimes des régimes qui avaient remplacé les colons après les indépendances. Il faut espérer que l'histoire ne se répète pas, conclut Ledjely. Mais pour cela, il faut qu'elle guide les choix présents et futurs. »

Les Voix de la Photo
#81 Clément Chéroux (Fondation Henri Cartier-Bresson) [REPOST]

Les Voix de la Photo

Play Episode Listen Later Aug 20, 2025 46:47


-> Il s'agit d'une rediffusion d'un épisode posté le 26 avril 2023.Clément Chéroux, directeur de la Fondation Henri Cartier-Bresson revient sur son parcours et ses apprentissages durant ses expériences de conservateur en chef de la photographie au Centre Pompidou, au Musée d'art moderne de San Francisco, au MoMA à New York. Il nous explique les différences qu'il observe dans les méthodes de travail et la relation à la photographie entre la France et les Etats-Unis. Il nous présente les différentes activités de la Fondation Henri Cartier-Bresson qui fête ses 20 ans en 2023 : des expositions dans les murs de son espace parisien, des expositions itinérantes, des publications, un prix HCB, des conférences et des recherches actives sur le fond HCB et Martine Franck. La fondation HCB a principalement trois sources de financement privés : la billetterie, les dividendes du placement du capital de départ de la fondation et la recherche de mécénat (entreprise ou individuel). Bonne écoute !2:00 – La découverte de Clément Chéroux avec la photo comme moyen d'expression.5:00 – Ses études en histoire de l'art à Paris VIII puis à l'école de la photographie d'Arles. Cette double formation en photographie : théorique et plus pratique est à l'origine de son intérêt pour les pratiques photographiques.9:20 – Son expérience de conservateur en chef de la photographie au Musée d'art moderne de San Francisco et au MoMA à New York et en particulier les différences dans les méthodes de travail.17:00 – Il a travaillé en tant que conservateur de la photographie aux États-Unis et en France.21:00 – La fondation fut créée en 2003 et reconnue comme fondation d'utilité publique. Lieu de préservation des fonds Henri Cartier-Bresson et sa femme Martine Franck.26:30 – La seule fondation pour des photographes en France.29:00 - Les projets de la fondation HCB : des expositions dans les murs de ses espaces et qui voyagent dans le monde entier, prix HCB qui récompense tous les deux ans un photographe avec une exposition et un catalogue, des publications, une librairie, un site, des conférences et des recherches sur les collections de la fondation.35:00 – Un financement privé sans subvention composé principalement : de la billetterie, des dividendes du placement d'un capital de départ et de recherche de mécénat.37:30 – Deux constats dans le milieu de la photo :- La recherche de financement prend de plus en plus de place dans le travail des professionnels de la culture (c'était plus d'habituel aux EU, mais il observe le même phénomène en France.)- Au milieu des années 80, les historiens, curateurs, journalistes s'intéressaient à la façon dont on est produite des images et depuis les années 90, on parle de la diffusion et il pense que le prochain focus sera sur le regardeur.43:30 – Importance du processus d'apprentissage par l'erreur. Aussi, il veut mettre en garde contre l'apparente simplicité de la photographie. La photographie est un objet qui semble évident alors qu'au contraire la photographie demande du temps long de recherche.Site de la Fondation Henri Cartier-Bresson : https://www.henricartierbresson.org/Lien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueLien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre projet de livre : https://bit.ly/LVDLPlivrephotoMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Kropp & Själ
Vi ses på stan! - om mötesplatser och hälsosamma kvarter

Kropp & Själ

Play Episode Listen Later Aug 19, 2025 55:10


I Vänersborg samlas ungdomar på torget. De parkerar sina EPA-traktorer och spelar musik. I en annan stad sitter Arto på en bänk och matar fåglarna. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. Veckans Kropp & Själ undersöker vilka platser vi möts på idag. Det handlar om staden och hur den kan påverka vårt mående och våra relationer, men också om hur våra vanor skapar utseendet på stadens kvarter. Medverkande: Håkan Forsell, historiker och författare, aktuell med boken “Söder”Alexander Ståhle, stadsforskare och stadsplanerare Isabelle Sjövall, neurodesignerProgramledare: Ulrika Hjalmarson NeidemanProducent: Stina NäslundReportrar: Kicki Möller och Ninos Chamoun

Demain N'attend Pas
[BEST OF TOP 100] BERTRAND PICCARD, psychiatre, explorateur, fondateur de Solar Impulse : pionnier réaliste de la transition écologique

Demain N'attend Pas

Play Episode Listen Later Aug 18, 2025 46:08


Reportage International
Dans mon Chinatown: à New York, un quartier historique face à de nombreux défis

Reportage International

Play Episode Listen Later Aug 18, 2025 3:06


« Dans mon Chinatown », c'est le nom de notre série d'été sur RFI. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction le Chinatown de New York, l'un des plus vieux au monde. Situé dans le sud de Manhattan, il fait face de nos jours à de nombreux défis. Entre les aléas de la politique internationale des États-Unis et les projets de développement locaux, ses habitants tentent malgré tout de préserver leur communauté. Arriver à Chinatown le matin, c'est arriver dans un quartier qui se réveille en douceur. Dans une ville où tout va vite, ce quartier semble parfois suspendu dans le temps. « Là, on est devant le tout premier immeuble d'appartements de New York, vieux de plus de 200 ans. » Grace Young connaît Chinatown comme personne. Celle que les médias ont surnommée la « reine du wok », pour son expertise de la cuisine chinoise, nous a donné rendez-vous sur Mott Street, là où tout a commencé : « Les premiers à avoir vécu ici étaient les immigrés irlandais, puis les Italiens, et ensuite les juifs. Et ce n'est probablement qu'à la fin des années 1800 que les premiers Chinois sont arrivés. » À New York, Chinatown a toujours été l'une des destinations les plus prisées des touristes. Mais marcher dans les rues aujourd'hui révèle une autre histoire. « On tourne à gauche sur Canal Street. Au loin, vous voyez Lung Moon Bakery, qui a fermé durant la pandémie de Covid-19. Là, il y avait un marché et maintenant, c'est un horrible magasin de souvenirs ''I Love New York'', qui n'apporte absolument rien au quartier », raconte Grace Young. Durant la pandémie de Covid, l'économie de Chinatown a été durement touchée. Des dizaines de commerces ont fermé. Ceux qui existent encore font face à de nombreux défis. « Nous entrons dans Grand Tea Imports », indique Karen Liu. Ses parents ont ouvert ce magasin il y a plus de 20 ans. Elle ajoute : « Vous remarquerez que les étagères sont pleines à craquer. On a du thé, des théières, des tasses mais aussi de l'encens et des objets traditionnels qu'on importe de Chine. » À lire aussiDroits de douane: les États-Unis prolongent de 90 jours la détente avec la Chine Ces derniers mois, ils n'ont qu'une chose en tête : comment survivre aux taxes douanières imposées par les États-Unis ? Karen Liu confie : « Chinatown ne peut pas exister sans les importations chinoises. On est aussi un quartier populaire, donc on essaie de garder nos prix abordables. Donc, même 30% de droits de douane, cela pèse énormément sur nos marges qui sont déjà très très faibles. » En plus de la guerre commerciale, Chinatown doit faire face à la gentrification qui ne cesse de faire flamber les loyers. La famille d'Alice Choi-Barrick possède une société de distribution de fruits et légumes. Après 40 ans dans le quartier, ils ont dû abandonner leurs locaux. « La pandémie a évidemment tout changé. Quand les autres commerces qu'on fournit en produits ont fermé, on a perdu des clients. Et cela nous a mis dans une situation financière délicate. Nous n'avons pas eu le choix et nous avons déménagé dans un entrepôt dans le Queens », explique-t-elle.  Comme Alice et sa famille, ils sont nombreux à s'installer dans les Chinatown du Queens ou de Brooklyn. Le Chinatown de Manhattan, lui, compte désormais moins de 30 000 habitants d'origine chinoise. Une réalité contre laquelle se bat Grace Young, qui espère préserver ces quartiers historiques : « Ces quartiers nous lient à notre passé. S'ils disparaissent, on perd une part de nous-mêmes. » À lire aussiDans mon Chinatown: Lagos, une ville d'opportunités pour les ressortissants chinois

Le vrai du faux
Vrai ou faux. Est-il est nécessaire de "justifier ses dépenses avec un ticket de caisse" pour bénéficier de l'allocation de rentrée scolaire ?

Le vrai du faux

Play Episode Listen Later Aug 18, 2025 2:14


durée : 00:02:14 - Le vrai ou faux - Des vidéos Tik Tok affirment que les règles pour toucher l'ARS ont changé, c'est totalement faux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le Nouvel Esprit Public
Si vous l'avez manquée : le référendum, à quoi ça sert ? (Thématique)

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Aug 17, 2025 55:52


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 23 janvier 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Raphaël Doan, essayiste, haut fonctionnaire.Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.frÉmission originellement diffusée le 23 février 2025.LE RÉFÉRENDUM, À QUOI ÇA SERT ?Lors de son allocution à l'occasion des vœux de fin d'année, le président de la République a émis l'idée de recourir à un ou des référendums à propos de certains « sujets déterminants ». Il s'inscrit ainsi dans la lignée de ses déclarations précédentes, puisqu'il avait déjà proposé de recourir à cet outil au moment de la crise des Gilets Jaunes. L'annonce d'un potentiel recours au peuple par ce biais a suscité de nombreux commentaires, à gauche comme à droite. Le Rassemblement National défend de longue date la tenue d'un référendum sur les questions migratoires, tandis qu'une partie de la gauche souhaite que ce soit la réforme des retraites qui fasse l'objet d'une consultation. Le président (Insoumis) de la Commission des Finances de l'Assemblée nationale, Éric Coquerel, a quant à lui suggéré que soit organisé un « référendum révocatoire » qui remettrait en jeu le mandat du président de la République.Historiquement, la question du référendum est indissociable de la figure du général de Gaulle, dont la pratique régulière des consultations populaires s'est terminée par sa démission après l'échec de son projet de réforme régionale et du Sénat. Cette défaite, combinée au rejet en 2005 du projet de constitution européenne, ont contribué à raréfier la pratique du référendum dont la perception a également été modifiée : instrument permettant de dénouer les conflits pour les uns, il est présenté par les autres comme l'outil populiste par excellence, puisqu'il a pour fonction de faire appel directement au peuple dont la volonté serait supposément mal comprise par les élites. Ses détracteurs attaquent en outre son manichéisme et la personnalisation du pouvoir qu'il entraîne, un référendum sur une question se trouvant bien souvent assimilé à un plébiscite pour ou contre celui l'ayant proposé.Dans le climat politique français actuel, la question du gouvernement par référendum se pose avec d'autant plus d'acuité qu'Emmanuel Macron ne dispose pas de la majorité absolue à l'Assemblée. Proposer des référendums lui permettrait alors de faire passer des textes sans passer par la représentation nationale. De l'autre côté, une défaite l'exposerait à l'intensification des appels à sa démission, approfondissant un peu plus la crise politique ouverte par la dissolution de juin dernier. Cette proposition est donc loin de faire l'unanimité au sein même de la majorité présidentielle. Dans un entretien publié en 2017 dans la revue Esprit, le philosophe Bernard Manin diagnostiquait le passage d'une démocratie de partis à une démocratie du public, dans laquelle « les différents segments de la population ne se reconnaissent plus durablement dans les partis, mais peuvent se regrouper momentanément pour produire le succès ou l'échec de l'un d'entre eux ». En creux, le référendum apparaît comme un moyen d'outrepasser ces divisions en forçant une adhésion claire. Subsiste cependant le risque d'une alliance des contraires qui ferait échouer les projets présidentiels.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Very Good Trip
Aretha Franklin, la magie des années 70 : ses albums retrouvés

Very Good Trip

Play Episode Listen Later Aug 17, 2025 55:26


durée : 00:55:26 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Ce soir, c'est simple nous avons rendez-vous avec une reine. - réalisé par : Stéphane Ronxin Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Cultures monde
Les accords qui ont changé le monde : La fin des accords de défense entre la France et ses ex-colonies africaines

Cultures monde

Play Episode Listen Later Aug 16, 2025 58:45


durée : 00:58:45 - Ils ont changé le monde - par : Isabelle Lasserre - Depuis 2022, l'essentiel des anciennes colonies françaises en Afrique ont rompu les accords de défense qui les liaient encore à la France, entraînant le retrait des forces armées du continent. Comment expliquer ce désaveu, et quelles en sont les conséquences pour la région comme pour l'Europe ? - réalisation : Laure-Hélène Planchet - invités : Antoine Glaser Journaliste, écrivain, fondateur de La Lettre du Continent, spécialiste de l'Afrique; Olivier de Bavinchove Général, ancien chef d'état-major de la force internationale de l'Otan

Entreprendre dans la mode
[Archives] Charaf Tajer | Fondateur de Casablanca : C'était impossible alors il l'a fait

Entreprendre dans la mode

Play Episode Listen Later Aug 15, 2025 106:28


Cet épisode est présenté par Squarespace.Vous voulez lancer votre marque, votre projet ou votre portfolio ?Squarespace est l'outil que j'aurais rêvé d'avoir à mes débuts : templates élégants, boutique en ligne intégrée, paiement sécurisé, gestion des stocks, emailing, optimisation SEO… tout en un, sans développeur et sans prise de tête.Essayez 14 jours. -10 % avec le code BOLD → squarespace.com/BOLD

C dans l'air
Trump/Poutine : le monde retient son souffle - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Aug 15, 2025 68:18


C dans l'air du 15 août 2025 - Trump/Poutine : le monde retient son souffleL'"Amérique russe" au centre du monde diplomatique. Donald Trump et Vladimir Poutine ont rendez-vous aujourd'hui à Anchorage, en Alaska, état américain et ancienne possession de l'empire des tsars de Russie. Le sommet historique entre les deux chefs d'Etat pourrait sceller le sort de la guerre en Ukraine. La rencontre est donc extrêmement attendue.C'est la première fois depuis 2019 que les deux hommes se retrouvent. Autour de l'immense base aérienne d'Elmendorf, où vont se tenir les discussions, l'agitation médiatique, très inhabituelle, grandit. La venue du président russe a même attiré plusieurs dizaines de manifestants brandissant des pancartes l'accusant d'être un criminel de guerre.Aucun observateur ne sait vraiment à quoi s'attendre. Une conférence de presse commune est prévue à l'issue de la discussion. Donald Trump a pour sa part affirmé hier qu'il saurait dès les premières minutes si l'entrevue serait une réussite ou un échec. Il a estime à 25% la probabilité d'une issue stérile. Vladimir Poutine, menacé la veille par son homologue de "conséquences très graves" en cas de poursuite du conflit, a cherché à arrondir les angles :"Il s'agit de créer les conditions d'une paix à long terme, tant entre nos pays qu'en Europe et dans le monde entier", a-t-il affirmé.La table des discussions comptera un absent de taille : le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Donald Trump a répété que son objectif était de l'impliquer, si possible "très rapidement ", dans de futurs pourparlers de paix. "Cette rencontre va ouvrir la voie à une autre", incluant le président ukrainien, a-il assuré hier, en avançant l'éventualité d'un futur sommet tripartite.Pour l'heure, la grande interrogation concerne l'échange de territoires évoqué par Donald Trump et incompris par les observateurs.Alors que la rencontre aura lieu dans quelques heures, la relation entre les deux hommes pose question. Donald Trump s'est toujours montré étonnamment bienveillant envers le maître du Kremlin, et ce en dépit de l'inimitié historique entre les deux pays. Le milliardaire nourrit depuis près de vingt ans une fascination ostensible pour son homologue russe. Son empire immobilier a par ailleurs largement bénéficié de capitaux privés russes.De plus, les premiers pas de Trump en URSS, à la fin des années 1980, sont au cœur de rumeurs tenaces. Le magnat de l'immobilier, qui avait l'ambition de bâtir une Trump Tower à Moscou, aurait pu être approché par les services russes. Hasard du calendrier : un mois après son retour d'URSS, il avait publié des tribunes contre l'Otan dans des journaux américains. Sa position n'a jamais changé depuis. L'histoire reste encore aujourd'hui très floue et mal documentée. Donald Trump a, pour sa part, maintes fois démenti ces allégations.Le chef d'Etat américain, qui manifeste un goût prononcé pour les dirigeants à poigne, a lui-même une manière brutale de gérer la présidence de son pays. Dernier exemple en date, la façon dont il dit vouloir "nettoyer" la capitale fédérale Washington DC, qu'il affirme être "envahie par des gangs violents". Donald Trump y a décrété l'état d'urgence et fait déployer la garde nationale, faisant référence à une criminalité galopante... Alors que la ville connaît une baisse sensible de celle-ci, selon les statistiques officielles.Ses attaques contre les juges fédéraux, bien aidées par la Cour suprême, choquent également beaucoup d'observateurs. Pour compléter ce tableau, Donald Trump se dit favorable à "une action en justice majeure" contre le président de la la Réserve fédérale Jerome Powell. Il traite d'"abruti" le chef de l'institution monétaire et menace de le limoger, jugeant les taux d'intérêt fixés trop élevés. Le président de la Fed, incriminé, se bat pour imposer l'indépendance de son poste et tient bon pour l'instant.Quelle peut être l'issue du sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine ?Le président américain a-t-il été manipulé par les services russes ?Donald Trump est-il une menace pour l'état de droit dans son propre pays ?LES EXPERTS :- Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV - Spécialiste des questions internationales- Anne Toulouse - Journaliste franco-américaine- Elena VOLOCHINE - Grand reporter - France 24 - Ancienne correspondante en Russie- Lauric HENNETON - Spécialiste des États-Unis - Maître de conférences à l'Université Versailles-Saint Quentin

Demain N'attend Pas
[BEST OF TOP 100] JEAN-LOUIS ETIENNE, explorateur des pôles et infatigable défenseur de la planète

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Play Episode Listen Later Aug 13, 2025 54:57