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Avec Fouad Hassoun et Donia Tawk, directrice de la "Cuisine de Marie" https://www.le-phoenix.org/ https://www.facebook.com/p/La-Cuisine-de-Mariam-Marys-soup-kitchen-100064227993686/?locale=fr_FR
Meet Jane Bertch, a Chicagoan who has called Paris home since 2005. She started her life here as a banker, but made the unusual pivot to running a cooking class (which is now the hugely popular La Cuisine Paris). And now, she has written a memoir about it all: The French Ingredient. She joined me in the studio to talk about the book, how to make a croissant, and even how to make a croissant class (plus a whole lot more). Follow La Cuisine on Instagram and follow Jane herself here. Book a cooking class at La Cuisine in Paris And follow the La Cuisine newsletter And of course, find the book: The French Ingredient The music in this episode is from Pres Maxson, his take on the classic Sous le ciel de Paris. *********** The Earful Tower exists thanks to support from its members. From $10 a month you can unlock almost endless extras including bonus podcast episodes, live video replays, special event invites, and our annually updated PDF guide to Paris. Membership takes only a minute to set up on Patreon, or Substack. Thank you for keeping this channel independent. For more from the Earful Tower, here are some handy links: Website Weekly newsletter Walking Tours
La lactofermentation, un procédé millénaire où les micro-organismes transforment les sucres en acide lactique, préservant les aliments tout en enrichissant leurs saveurs, inspire aujourd'hui autant les chefs cuisiniers que les agriculteurs et plus particulièrement ici en viticulture. Nous sommes à côté de Chinon. Découvrons l'univers des " Lacto " avec Martin Bolaers chef restaurateur " les jardiniers" pour définir le sujet et interroger sur son utilisation , Antoine Lambert viticulteur en biodynamie en deuxième partie nous expose ses méthodes de traitements naturels. En viticulture, la lactofermentation n'est pas un procédé connu dans le milieu contrairement aux fermentations habituellement utilisées comme avec certaines plantes (Ortie, consoude, fougère, luzerne, laminaire et bien d'autres). Beaucoup de chercheurs ont à présent démontré le rôle important des bactéries, micro-organismes pour le biotope. On parlera donc des expériences autour du pain, du levain, des protéines des céréales pour fabriquer des bactéries lactiques afin d'aider la vie du sol et la résilience des plantes cultivées. Les Fermentations et Lactofermentations seraient-elles complémentaires ? Aussi l'utilisation de l'ail pour ses propriétés soufrées et la question du poids de la phytothérapie dans les processus de traitements viendront compléter nos réflexions.
Avant de vous dévoiler cet automne la prochaine saison de notre série Entrez ! Plat, Dessert, nous vous proposons de (re)découvrir les épisodes de la première saison.Bienvenue dans Entrez ! Plat, Dessert. Dans cette série, notre journaliste Jeanne-Marie Desnos part sur le terrain et se faufile dans les cuisines des chefs !Rendez-vous aujourd'hui au cœur de Paris dans le restaurant “Faubourg Daimant” où Alice Tuyet et son équipe s'affairent chaque jour à proposer une carte 100% végétarienne où le plaisir est au centre de l'assiette. Comment rendre hommage à la grande cuisine française avec des légumes de saison tout au long de l'année et en surprenant les papilles ? On le découvre dans le deuxième épisode de Entrez ! Plat, Dessert.Cette série audio est réalisée en collaboration avec Eureden Foodservice et produite par Lacmé production. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bonjour à toutes et à tous, Ici Malaury du podcast ondine. Avant la rentrée, je voulais vous partager un épisode d'un autre podcast qui s'appelle Cette vie est belle auquel j'ai participé. Eve Jacquier nous a interrogé avec Julien, qui a fondé Blutopia avec moi, sur les dessous de l'association, l'état des lieux de la biodiversité marine et les pistes d'action pour préserver l'océan à coup de fourchette. On a échangé pendant 2 heures, et pourtant on n'a pas eu le temps d'aborder tous les sujets qui étaient au programme. Je vous laisse découvrir notre discussion.Bonne écoute, et à très vite pour le tout dernier épisode de la saison 1 d'ondine.
Sophie, quant à elle, dévoile sa recette phare quand vient les beaux jours : les linguine alle vongole qu'elle prépare chaque été en Vendée dans sa maison de famille. Après avoir fait dégorger les coques et palourdes du littoral dans plusieurs bain, elle concasse tomates, ail et persil qui serviront de base à la sauce. Elle n'oublie pas d'y glisser une lichette de Muscadet et d'y verser les pâtes toujours cuites al dente car elles cuiront une dernière fois dans la sauce une fois égouttées. Quant à Mathieu, pâtissier parisien, il apporte une tarte sablée aux fraises et aux framboises, le dessert qu'il propose chaque été à sa famille et ses enfants lorsqu'il est dans le Périgord. C'est d'ailleurs en Dordogne qu'il prépare chaque mois d'août son clafoutis avec les mirabelles des jardins environnants sa maison de famille. Retour sur le dernier thriller de Maxime Chattam, PRIME TIME. Il vient également de se mettre aux fourneaux, une première pour lui qui avant ne cuisinait pas et il est conquis Son goût de la semaine : le café en grain. Apéro de Luana Belmondo, une mousse de mortadelle, ricotta, parmesan et pistaches. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sophie, quant à elle, dévoile sa recette phare quand vient les beaux jours : les linguine alle vongole qu'elle prépare chaque été en Vendée dans sa maison de famille. Après avoir fait dégorger les coques et palourdes du littoral dans plusieurs bain, elle concasse tomates, ail et persil qui serviront de base à la sauce. Elle n'oublie pas d'y glisser une lichette de Muscadet et d'y verser les pâtes toujours cuites al dente car elles cuiront une dernière fois dans la sauce une fois égouttées. Quant à Mathieu, pâtissier parisien, il apporte une tarte sablée aux fraises et aux framboises, le dessert qu'il propose chaque été à sa famille et ses enfants lorsqu'il est dans le Périgord. C'est d'ailleurs en Dordogne qu'il prépare chaque mois d'août son clafoutis avec les mirabelles des jardins environnants sa maison de famille. Retour sur le dernier thriller de Maxime Chattam, PRIME TIME. Il vient également de se mettre aux fourneaux, une première pour lui qui avant ne cuisinait pas et il est conquis Son goût de la semaine : le café en grain. Apéro de Luana Belmondo, une mousse de mortadelle, ricotta, parmesan et pistaches. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Selon Luana Belmondo, ses astuces pour une cuisson de pâtes réussies : les pâtes ont besoin d'une grande quantité d'eau… et une ou deux minutes de moins que sur les paquets de pâtes ! -> On garde une louche de cuisson de pâtes, plein d'amidon Déborah Dupont-Daguet nous révèle que l'on peut faire réchauffer des pâtes sans aucun souci… avec quelques petites astuces. On peut en faire une frittata… mais pas seulement. Les pâtes peuvent être réchauffées à la vapeur, à la poêle pour apporter du croustillant ou au micro-onde. Ses conseils : une fois les pâtes cuites, passez-les sous un filet d'eau froide ; ajoutez la sauce et ensuite du parmesan frais et des feuilles de basilic fraîches. Et ne pas manger vos pâtes le jour-même permet d'avoir un indice glycémique plus bas ! DÉGUSTATION : Spaghetti à la courge préparée par Luana Belmondo Actu : Dico de Lolo de Laurent Baffie Son goût de la semaine : les soupes Laurent Mariotte passe au crible toutes les entrées de son dictionnaire qui concerne la cuisine : bistro, couteau, etc. Dégustation d'un panettone offert à Laurent Baffie pour couronner la fin de l'année ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Selon Luana Belmondo, ses astuces pour une cuisson de pâtes réussies : les pâtes ont besoin d'une grande quantité d'eau… et une ou deux minutes de moins que sur les paquets de pâtes ! -> On garde une louche de cuisson de pâtes, plein d'amidon Déborah Dupont-Daguet nous révèle que l'on peut faire réchauffer des pâtes sans aucun souci… avec quelques petites astuces. On peut en faire une frittata… mais pas seulement. Les pâtes peuvent être réchauffées à la vapeur, à la poêle pour apporter du croustillant ou au micro-onde. Ses conseils : une fois les pâtes cuites, passez-les sous un filet d'eau froide ; ajoutez la sauce et ensuite du parmesan frais et des feuilles de basilic fraîches. Et ne pas manger vos pâtes le jour-même permet d'avoir un indice glycémique plus bas ! DÉGUSTATION : Spaghetti à la courge préparée par Luana Belmondo Actu : Dico de Lolo de Laurent Baffie Son goût de la semaine : les soupes Laurent Mariotte passe au crible toutes les entrées de son dictionnaire qui concerne la cuisine : bistro, couteau, etc. Dégustation d'un panettone offert à Laurent Baffie pour couronner la fin de l'année ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:21 - On va déguster - par : François-Régis Gaudry - La cuisine algérienne se fait désormais une place au soleil. Voyage dans les casseroles de cette cuisine généreuse et variée, à travers ses recettes familiales et du quotidien. - réalisé par : Paul Laporte Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
REDIFFUSION - Oser la Reconversion est en vacances et revient début septembre avec de nouveaux invités.- Episode diffusé initialement le 7 décembre 2020 (épisode #12)Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Camille Picoulet, cheffe cuisinière. Après une école de commerce, Camille devient publicitaire chez Publicis. Chef de projet puis directrice de clientèle, elle fait le lien entre les clients et briefe l'équipe créative. Un métier très stressant où beaucoup font des burn-out. Elle y restera 10 ans. Ce sont ses deux grossesses et ses congés maternité qui lui font prendre conscience qu'elle ne s'y retrouve plus : manque de concret, de créativité et de retour sur son travail. Elle fait le point et se rend compte que la cuisine l'a toujours animée depuis petite. Elle décide donc de passer un CAP cuisine pendant son congé parental et finalement de démissionner de sa carrière dans la publicité. Elle commence en tant que cuisinière chez Maison Plisson puis Gramme Paris et vient aujourd'hui d'ouvrir son propre take-away.Alors avec Camille, on a parlé du métro-boulot-dodo parisien, des charrettes, de la pression de rester dans la tendance, des justifications qu'on se donne pour rester dans un travail dans lequel on ne se reconnait plus, de se détacher du matériel, du féminisme et de la recherche de sens. En bref, une discussion presque philosophique selon ses mots. Notes & Références :- Le compte Instagram de Camille : / unzestedanslassiette Contactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feedbacks (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pas.Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici :- Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/oserlareconversion et @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose- Sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/clervie-rose-boennec-a09065102/- Sur Youtube https://www.youtube.com/channel/UC7Qzm4HrS5OdmdXoY344vqA- Par mail : partenariats@oserlareconversion.com
REDIFFUSION - Oser la Reconversion est en vacances et revient début septembre avec de nouveaux invités.- Episode diffusé initialement le 7 décembre 2020 (épisode #12)
Laurent Mariotte et ses chroniqueurs s'intéressent au retour des arts de la table. On a presque toujours fait attention à comment dresser une table ! Déjà dans l'Antiquité, les nobles Grecs avaient de belle argenterie, même parfois en or. Et la belle vaisselle servait aussi pour les offrandes aux Dieux. L'expression “dresser la table” vient du Moyen-âge car les tables étaient des planches sur des tréteaux, recouvert d'un nappe. Il n'y avait pas de couvert, simplement des couteaux et le pain servait d'assiette. Pour parler de ce retour des arts de la table, Laurent Mariotte reçoit Cécile de La Maison du Bac, à Paris. Ensemble, ils vous donnent les indispensables à avoir à la maison. Et ils sortent la vaisselle de nos grands-parents des placards ! Ils vont détourner nos vieux plats ! Sonia Ezgulian a ressorti un service à boîte de sardine, quant à Emmanuel Rubin, il nous raconte l'histoire de la nappe. Et vous aussi, chers auditeurs racontez-nous quels sont les plats qui dorment dans vos placards, qu'on les sorte ! Ce samedi, la table des bons vivants s'intéresse à la cuisine végétarienne avec l'autrice et journaliste Estérelle Payany, elle vient de publier un livre La cuisine végétarienne aux éditions Flammarion. Et si la cuisine végétarienne nous permettait de varier et d'équilibrer nos menus ? Aubergine frite comme un schnitzel, lasagnes de légumes, minestrone et aussi panisse marseillaise et champignons farcis, les recettes végétariennes ont toujours été là, elles font partie de notre inventaire de tous les jours. Elles nous aident à varier notre quotidien en cuisine. L'un des secrets pour un plat végétarien gourmand et rassasiant c'est d'allier légumes, céréales et légumineuses (lentilles, pois chiche, fèves…). Loin des clichés d'une cuisine pas assez nourrissante, Estérelle Payany montre combien les recettes végétariennes font la part belle aux protéines végétale, vitamines et minéraux sans oublier d'être gourmand, à l'instar d'un chili sin carne, un mijoté qui garde toutes ses vertus revigorante même en y enlevant la viande. Dans son livre, on y découvre des techniques de cuisson utile pour tous les légumes, telles que la cuisson des artichauts dans un “blanc” un mélange de citron, de farine et d'eau qui permet à l'artichaut de garder sa couleur verte et vive. On y découvre aussi des astuces pour donner du goût à un bouillon de légume, on y glissant un peu de sauce soja au dernier moment par exemple ou bien laissant caraméliser les légumes dans la casserole avant de les mouiller afin de faire sortir les suces (une astuce très efficace à faire avec les champignons de Paris.) Le plat du jour est signé Clément Vergeat, chef au Domaine de Roncemay à Chassy (Yonne) à la tête du restaurant gastronomique ERRE et du Bistrot du Château dans le même lieu. Il prépare pour toute la table une recette tout en fraîcheur salade de tomates cerises, tagète, céleri branche et pickles de moutarde, une recette à retrouver à la carte de son Bistrot du Château. Il donne aussi des conseils à nos auditeurs pour réussir comme un chef sa salade de tomates. https://roncemay.com/fr/ Pour la dernière partie de l'émission, Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invitée sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est la cheffe Stéphanie Le Quellec, qui est autour de la table. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. Aujourd'hui, elle nous confie que des agrumes sont toujours dans son frigo… “parce que ça twiste tout de suite une recette”. Mais son plaisir coupable se passe du côté d'un fast-food ! Restaurants : La Scène** au 32 Avenue Matignon à Paris 8e : https://www.la-scene.paris/ Vive au 62 avenue des Ternes à Paris 17e : https://www.vive-restaurant.com/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce samedi, la table des bons vivants s'intéresse à la cuisine végétarienne avec l'autrice et journaliste Estérelle Payany, elle vient de publier un livre La cuisine végétarienne aux éditions Flammarion. Et si la cuisine végétarienne nous permettait de varier et d'équilibrer nos menus ? Aubergine frite comme un schnitzel, lasagnes de légumes, minestrone et aussi panisse marseillaise et champignons farcis, les recettes végétariennes ont toujours été là, elles font partie de notre inventaire de tous les jours. Elles nous aident à varier notre quotidien en cuisine. L'un des secrets pour un plat végétarien gourmand et rassasiant c'est d'allier légumes, céréales et légumineuses (lentilles, pois chiche, fèves…). Loin des clichés d'une cuisine pas assez nourrissante, Estérelle Payany montre combien les recettes végétariennes font la part belle aux protéines végétale, vitamines et minéraux sans oublier d'être gourmand, à l'instar d'un chili sin carne, un mijoté qui garde toutes ses vertus revigorante même en y enlevant la viande. Dans son livre, on y découvre des techniques de cuisson utile pour tous les légumes, telles que la cuisson des artichauts dans un “blanc” un mélange de citron, de farine et d'eau qui permet à l'artichaut de garder sa couleur verte et vive. On y découvre aussi des astuces pour donner du goût à un bouillon de légume, on y glissant un peu de sauce soja au dernier moment par exemple ou bien laissant caraméliser les légumes dans la casserole avant de les mouiller afin de faire sortir les suces (une astuce très efficace à faire avec les champignons de Paris.) Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Laurent Mariotte et ses chroniqueurs s'intéressent au retour des arts de la table. On a presque toujours fait attention à comment dresser une table ! Déjà dans l'Antiquité, les nobles Grecs avaient de belle argenterie, même parfois en or. Et la belle vaisselle servait aussi pour les offrandes aux Dieux. L'expression “dresser la table” vient du Moyen-âge car les tables étaient des planches sur des tréteaux, recouvert d'un nappe. Il n'y avait pas de couvert, simplement des couteaux et le pain servait d'assiette. Pour parler de ce retour des arts de la table, Laurent Mariotte reçoit Cécile de La Maison du Bac, à Paris. Ensemble, ils vous donnent les indispensables à avoir à la maison. Et ils sortent la vaisselle de nos grands-parents des placards ! Ils vont détourner nos vieux plats ! Sonia Ezgulian a ressorti un service à boîte de sardine, quant à Emmanuel Rubin, il nous raconte l'histoire de la nappe. Et vous aussi, chers auditeurs racontez-nous quels sont les plats qui dorment dans vos placards, qu'on les sorte ! Ce samedi, la table des bons vivants s'intéresse à la cuisine végétarienne avec l'autrice et journaliste Estérelle Payany, elle vient de publier un livre La cuisine végétarienne aux éditions Flammarion. Et si la cuisine végétarienne nous permettait de varier et d'équilibrer nos menus ? Aubergine frite comme un schnitzel, lasagnes de légumes, minestrone et aussi panisse marseillaise et champignons farcis, les recettes végétariennes ont toujours été là, elles font partie de notre inventaire de tous les jours. Elles nous aident à varier notre quotidien en cuisine. L'un des secrets pour un plat végétarien gourmand et rassasiant c'est d'allier légumes, céréales et légumineuses (lentilles, pois chiche, fèves…). Loin des clichés d'une cuisine pas assez nourrissante, Estérelle Payany montre combien les recettes végétariennes font la part belle aux protéines végétale, vitamines et minéraux sans oublier d'être gourmand, à l'instar d'un chili sin carne, un mijoté qui garde toutes ses vertus revigorante même en y enlevant la viande. Dans son livre, on y découvre des techniques de cuisson utile pour tous les légumes, telles que la cuisson des artichauts dans un “blanc” un mélange de citron, de farine et d'eau qui permet à l'artichaut de garder sa couleur verte et vive. On y découvre aussi des astuces pour donner du goût à un bouillon de légume, on y glissant un peu de sauce soja au dernier moment par exemple ou bien laissant caraméliser les légumes dans la casserole avant de les mouiller afin de faire sortir les suces (une astuce très efficace à faire avec les champignons de Paris.) Le plat du jour est signé Clément Vergeat, chef au Domaine de Roncemay à Chassy (Yonne) à la tête du restaurant gastronomique ERRE et du Bistrot du Château dans le même lieu. Il prépare pour toute la table une recette tout en fraîcheur salade de tomates cerises, tagète, céleri branche et pickles de moutarde, une recette à retrouver à la carte de son Bistrot du Château. Il donne aussi des conseils à nos auditeurs pour réussir comme un chef sa salade de tomates. https://roncemay.com/fr/ Pour la dernière partie de l'émission, Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invitée sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est la cheffe Stéphanie Le Quellec, qui est autour de la table. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. Aujourd'hui, elle nous confie que des agrumes sont toujours dans son frigo… “parce que ça twiste tout de suite une recette”. Mais son plaisir coupable se passe du côté d'un fast-food ! Restaurants : La Scène** au 32 Avenue Matignon à Paris 8e : https://www.la-scene.paris/ Vive au 62 avenue des Ternes à Paris 17e : https://www.vive-restaurant.com/ Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce samedi, la table des bons vivants s'intéresse à la cuisine végétarienne avec l'autrice et journaliste Estérelle Payany, elle vient de publier un livre La cuisine végétarienne aux éditions Flammarion. Et si la cuisine végétarienne nous permettait de varier et d'équilibrer nos menus ? Aubergine frite comme un schnitzel, lasagnes de légumes, minestrone et aussi panisse marseillaise et champignons farcis, les recettes végétariennes ont toujours été là, elles font partie de notre inventaire de tous les jours. Elles nous aident à varier notre quotidien en cuisine. L'un des secrets pour un plat végétarien gourmand et rassasiant c'est d'allier légumes, céréales et légumineuses (lentilles, pois chiche, fèves…). Loin des clichés d'une cuisine pas assez nourrissante, Estérelle Payany montre combien les recettes végétariennes font la part belle aux protéines végétale, vitamines et minéraux sans oublier d'être gourmand, à l'instar d'un chili sin carne, un mijoté qui garde toutes ses vertus revigorante même en y enlevant la viande. Dans son livre, on y découvre des techniques de cuisson utile pour tous les légumes, telles que la cuisson des artichauts dans un “blanc” un mélange de citron, de farine et d'eau qui permet à l'artichaut de garder sa couleur verte et vive. On y découvre aussi des astuces pour donner du goût à un bouillon de légume, on y glissant un peu de sauce soja au dernier moment par exemple ou bien laissant caraméliser les légumes dans la casserole avant de les mouiller afin de faire sortir les suces (une astuce très efficace à faire avec les champignons de Paris.) Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À voir le nombre d'émissions de cuisine qui fleurissent sur les chaînes de télévision du monde entier, les photos et vidéos de plats alléchants qui circulent sur les réseaux sociaux, les métiers de la gastronomie semblent avoir de beaux jours devant eux. (Rediffusion) Dans la grande marmite des réseaux sociaux, les contenus culinaires sont en effet populaires, notamment auprès des jeunes. Selon un sondage Ipsos, en France publié en 2024, 58% des moins de 35 ans suivent les comptes de chefs ou de restaurants. Ils sont également 67% à consulter les recettes de leurs cuisiniers préférés. Mais derrière le glamour, les assiettes bien dressées et les étoiles Michelin, il y a beaucoup de travail et de rigueur. Les métiers de la gastronomie requièrent des formations exigeantes, des savoir-faire et savoir-être essentiels en cuisine. Leurs variétés peuvent aussi correspondre à une diversité de profils et de personnalités. Comment bien se former pour faire carrière dans la gastronomie ? Quels besoins des établissements ? Cette émission est une rediffusion du 8 avril 2025. Avec : Anto Cocagne, « Le Chef Anto », cheffe à domicile, autrice de Mon Afrique – Produits phares, savoir-faire, recettes (Mango éditions,2024) et fondatrice de Baraka by le Chef Anto, table et épicerie fine qui met en valeur le meilleur des saveurs africaines, située à Paris Pascal Maillou, proviseur du Lycée Belliard, lycée professionnel des métiers de la gastronomie à Paris Lorna Boboua Do Sacramento, cheffe exécutive du Groupe Onomo basé en Côte d'Ivoire. Un reportage de Charlie Dupiot qui a suivi un concours de cuisine. 3 heures pour préparer deux pâtisseries iconiques de la gastronomie française : c'était l'idée d'un concours organisé par la Fondation des apprentis d'Auteuil en février 2025 au Lycée professionnel hôtelier Daniel Brottier à Bouguenais, près de Nantes. Ils étaient six jeunes apprentis en pâtisserie, dont une majorité de filles, à participer, chacun aidé d'un commis. À la tête du jury : Nina Métayer, la première femme à avoir été distinguée « Pâtissière mondiale » en 2023 avant d'être sacrée « meilleure cheffe pâtissière du monde » en 2024. Notre reporter Charlie Dupiot était présente à ce concours forcément plus amateur, mais non moins stressant... À la clé : une semaine de stage avec Nina Métayer. Programmation musicale : ► Epuikoiencore – Dani Bumba ► Guyane – Bamby
À voir le nombre d'émissions de cuisine qui fleurissent sur les chaînes de télévision du monde entier, les photos et vidéos de plats alléchants qui circulent sur les réseaux sociaux, les métiers de la gastronomie semblent avoir de beaux jours devant eux. (Rediffusion) Dans la grande marmite des réseaux sociaux, les contenus culinaires sont en effet populaires, notamment auprès des jeunes. Selon un sondage Ipsos, en France publié en 2024, 58% des moins de 35 ans suivent les comptes de chefs ou de restaurants. Ils sont également 67% à consulter les recettes de leurs cuisiniers préférés. Mais derrière le glamour, les assiettes bien dressées et les étoiles Michelin, il y a beaucoup de travail et de rigueur. Les métiers de la gastronomie requièrent des formations exigeantes, des savoir-faire et savoir-être essentiels en cuisine. Leurs variétés peuvent aussi correspondre à une diversité de profils et de personnalités. Comment bien se former pour faire carrière dans la gastronomie ? Quels besoins des établissements ? Cette émission est une rediffusion du 8 avril 2025. Avec : Anto Cocagne, « Le Chef Anto », cheffe à domicile, autrice de Mon Afrique – Produits phares, savoir-faire, recettes (Mango éditions,2024) et fondatrice de Baraka by le Chef Anto, table et épicerie fine qui met en valeur le meilleur des saveurs africaines, située à Paris Pascal Maillou, proviseur du Lycée Belliard, lycée professionnel des métiers de la gastronomie à Paris Lorna Boboua Do Sacramento, cheffe exécutive du Groupe Onomo basé en Côte d'Ivoire. Un reportage de Charlie Dupiot qui a suivi un concours de cuisine. 3 heures pour préparer deux pâtisseries iconiques de la gastronomie française : c'était l'idée d'un concours organisé par la Fondation des apprentis d'Auteuil en février 2025 au Lycée professionnel hôtelier Daniel Brottier à Bouguenais, près de Nantes. Ils étaient six jeunes apprentis en pâtisserie, dont une majorité de filles, à participer, chacun aidé d'un commis. À la tête du jury : Nina Métayer, la première femme à avoir été distinguée « Pâtissière mondiale » en 2023 avant d'être sacrée « meilleure cheffe pâtissière du monde » en 2024. Notre reporter Charlie Dupiot était présente à ce concours forcément plus amateur, mais non moins stressant... À la clé : une semaine de stage avec Nina Métayer. Programmation musicale : ► Epuikoiencore – Dani Bumba ► Guyane – Bamby
durée : 00:28:24 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Avec son livre "Culture Street food", Marcelle Ratafia nous fait découvrir les multiples plats et histoires de la cuisine de rue qui se déguste aux quatre coins du monde. - réalisation : Camille Mati - invités : Marcelle Ratafia; Mory Sacko Chef cuisinier
durée : 00:28:24 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Avec son livre "Culture Street food", Marcelle Ratafia nous fait découvrir les multiples plats et histoires de la cuisine de rue qui se déguste aux quatre coins du monde. - réalisation : Camille Mati - invités : Marcelle Ratafia; Mory Sacko Chef cuisinier
durée : 00:28:24 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Avec son livre "Culture Street food", Marcelle Ratafia nous fait découvrir les multiples plats et histoires de la cuisine de rue qui se déguste aux quatre coins du monde. - réalisation : Camille Mati - invités : Marcelle Ratafia; Mory Sacko Chef cuisinier
Ce samedi, la table des bons vivants célèbre la cuisine de nos mères : Quelles recettes nos mères nous ont léguées ? Lesquels de leurs gestes sont devenus les nôtres ? Nos mamans nous ont donné le goût du partage et ça mérite bien une fête ! Les auditeurs partagent les recettes qu'ils ont héritées de leur mère, tour à tour rillettes de cochon, gratin de pâtes, foie de veau vinaigré … Autant de recettes qu'il y a de foyer à vrai dire. Sonia Ezgulian nous parle du clafoutis de sa maman qui n'hésite pas à glisser beaucoup de cerises et toujours avec leurs noyaux, ce qui donne un dessert gourmand en fruits. Si certains ont vécu avec une mère cordon bleu, d'autres sont issus de la génération d'après mai 68, un tournant où de nombreuses femmes se libèrent du statut de mère au foyer et passent moins de temps derrière les fourneaux. On ne peut parler de transmission culinaire sans évoquer le fameux cahier de recettes et plus précisément le fichier de recettes, recueil que possèdent souvent les mères ayant élevé leurs enfants dans les années 1980, avec l'avènement des fiches cuisine récoltées dans les magazines. Souvent, la transmission se déroule en observant les gestes de nos mères en cuisine, sans forcément en garder une trace écrite. Ainsi, quelques secrets se passent de génération en génération : comment faire une mayonnaise inratable ? Quel tour de de main permet d'obtenir un fiadone corse aérien ? Tels sont les gestes que les auditeurs racontent à l'antenne de l'émission ce samedi. Ce samedi à La table des bons vivants, Laurent Mariotte et ses chroniqueurs convoquent la cuisine traditionnelle française. Elle redevient tendance ! Et pour en parler : l'un de ses grands défenseurs, le chef meilleur ouvrier de France, Joseph Viola. Il est le chef de "Daniel & Denise" à Lyon et auteur de "La Délicieuse Cuisine traditionnelle française" aux éditions de La Martinière, une véritable bible de la tradition française. La cuisine traditionnelle française, c'est la cuisine réconfortante qu'on a envie d'avoir sur les tables. C'est une cuisine identifiable. On pouvait la trouver presque ringarde… et en 2025, elle devrait exploser ! D'après une enquête TheFork et NellyRodi sur les tendances, l'an prochain, les bistrots et brasseries avec leurs plats classiques seront à l'honneur. Laurent Mariotte, ses chroniqueurs et son invité en profitent pour revenir sur plusieurs plats traditionnels et donnent leurs conseils. Faut-il faire mariner la viande pour le boeuf bourguignon ? Ils ne conseillent pas de faire mariner la viande mais par contre de ne pas manger le plat dans la foulée de la cuisson, mais bien 4 à 5 jours ensuite… Autre conseil, sur un autre plat traditionnel français : les endives au jambon. Le chef Joseph Viola recommande de faire cuire tous les légumes dans une cocotte, avec 2 millimètres d'eau et une noisette de beurre. Avec cette cuisson pas de problème de rendu d'eau des endives ! Comme chaque semaine, Laurent Mariotte reçoit un invité. Cette semaine, c'est le réalisateur Régis Wargnier pour son film La Réparation. L'intrigue se déroule en grande partie dans un restaurant, car elle raconte l'histoire d'un chef trois étoiles qui du jour au lendemain disparaît, laissant sa fille prendre les commandes de l'établissement à l'âge de 20 ans. Elle reçoit un jour une lettre mystérieuse l'invitant dans un restaurant à Taïwan. Le plat du jour est signé Sébastien Martinez, chef étoilé à la tête du restaurant Le Moulin de Rosmadec à Pont-Aven (Finistère). Son restaurant a servi de cadre au tournage du film de Régis Wargnier. Le chef a même joué un rôle crucial durant le tournage en conseillant sur les recettes qui lui semblaient les plus pertinentes à filmer, de concert avec toute l'équipe sur place. Ainsi, son plat “Moules Paul Gauguin”, réalisé avec des coquillages bretons, une sauce au piment jalapeño, du lait ribot et une huile de persil, fait partie du récit est a été filmé sous tous les angles. Pour la dernière partie de l'émission, Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invité sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est le chef Jean-François Piège, qui est autour de la table. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. Aujourd'hui, il nous dévoile son plus grand raté en cuisine : la quiche sans pâte. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce samedi à La table des bons vivants, Laurent Mariotte et ses chroniqueurs convoquent la cuisine traditionnelle française. Elle redevient tendance ! Et pour en parler : l'un de ses grands défenseurs, le chef meilleur ouvrier de France, Joseph Viola. Il est le chef de "Daniel & Denise" à Lyon et auteur de "La Délicieuse Cuisine traditionnelle française" aux éditions de La Martinière, une véritable bible de la tradition française. La cuisine traditionnelle française, c'est la cuisine réconfortante qu'on a envie d'avoir sur les tables. C'est une cuisine identifiable. On pouvait la trouver presque ringarde… et en 2025, elle devrait exploser ! D'après une enquête TheFork et NellyRodi sur les tendances, l'an prochain, les bistrots et brasseries avec leurs plats classiques seront à l'honneur. Laurent Mariotte, ses chroniqueurs et son invité en profitent pour revenir sur plusieurs plats traditionnels et donnent leurs conseils. Faut-il faire mariner la viande pour le boeuf bourguignon ? Ils ne conseillent pas de faire mariner la viande mais par contre de ne pas manger le plat dans la foulée de la cuisson, mais bien 4 à 5 jours ensuite… Autre conseil, sur un autre plat traditionnel français : les endives au jambon. Le chef Joseph Viola recommande de faire cuire tous les légumes dans une cocotte, avec 2 millimètres d'eau et une noisette de beurre. Avec cette cuisson pas de problème de rendu d'eau des endives ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce samedi à La table des bons vivants, Laurent Mariotte et ses chroniqueurs convoquent la cuisine traditionnelle française. Elle redevient tendance ! Et pour en parler : l'un de ses grands défenseurs, le chef meilleur ouvrier de France, Joseph Viola. Il est le chef de "Daniel & Denise" à Lyon et auteur de "La Délicieuse Cuisine traditionnelle française" aux éditions de La Martinière, une véritable bible de la tradition française. La cuisine traditionnelle française, c'est la cuisine réconfortante qu'on a envie d'avoir sur les tables. C'est une cuisine identifiable. On pouvait la trouver presque ringarde… et en 2025, elle devrait exploser ! D'après une enquête TheFork et NellyRodi sur les tendances, l'an prochain, les bistrots et brasseries avec leurs plats classiques seront à l'honneur. Laurent Mariotte, ses chroniqueurs et son invité en profitent pour revenir sur plusieurs plats traditionnels et donnent leurs conseils. Faut-il faire mariner la viande pour le boeuf bourguignon ? Ils ne conseillent pas de faire mariner la viande mais par contre de ne pas manger le plat dans la foulée de la cuisson, mais bien 4 à 5 jours ensuite… Autre conseil, sur un autre plat traditionnel français : les endives au jambon. Le chef Joseph Viola recommande de faire cuire tous les légumes dans une cocotte, avec 2 millimètres d'eau et une noisette de beurre. Avec cette cuisson pas de problème de rendu d'eau des endives ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce samedi, la table des bons vivants célèbre la cuisine de nos mères : Quelles recettes nos mères nous ont léguées ? Lesquels de leurs gestes sont devenus les nôtres ? Nos mamans nous ont donné le goût du partage et ça mérite bien une fête ! Les auditeurs partagent les recettes qu'ils ont héritées de leur mère, tour à tour rillettes de cochon, gratin de pâtes, foie de veau vinaigré … Autant de recettes qu'il y a de foyer à vrai dire. Sonia Ezgulian nous parle du clafoutis de sa maman qui n'hésite pas à glisser beaucoup de cerises et toujours avec leurs noyaux, ce qui donne un dessert gourmand en fruits. Si certains ont vécu avec une mère cordon bleu, d'autres sont issus de la génération d'après mai 68, un tournant où de nombreuses femmes se libèrent du statut de mère au foyer et passent moins de temps derrière les fourneaux. On ne peut parler de transmission culinaire sans évoquer le fameux cahier de recettes et plus précisément le fichier de recettes, recueil que possèdent souvent les mères ayant élevé leurs enfants dans les années 1980, avec l'avènement des fiches cuisine récoltées dans les magazines. Souvent, la transmission se déroule en observant les gestes de nos mères en cuisine, sans forcément en garder une trace écrite. Ainsi, quelques secrets se passent de génération en génération : comment faire une mayonnaise inratable ? Quel tour de de main permet d'obtenir un fiadone corse aérien ? Tels sont les gestes que les auditeurs racontent à l'antenne de l'émission ce samedi. Ce samedi à La table des bons vivants, Laurent Mariotte et ses chroniqueurs convoquent la cuisine traditionnelle française. Elle redevient tendance ! Et pour en parler : l'un de ses grands défenseurs, le chef meilleur ouvrier de France, Joseph Viola. Il est le chef de "Daniel & Denise" à Lyon et auteur de "La Délicieuse Cuisine traditionnelle française" aux éditions de La Martinière, une véritable bible de la tradition française. La cuisine traditionnelle française, c'est la cuisine réconfortante qu'on a envie d'avoir sur les tables. C'est une cuisine identifiable. On pouvait la trouver presque ringarde… et en 2025, elle devrait exploser ! D'après une enquête TheFork et NellyRodi sur les tendances, l'an prochain, les bistrots et brasseries avec leurs plats classiques seront à l'honneur. Laurent Mariotte, ses chroniqueurs et son invité en profitent pour revenir sur plusieurs plats traditionnels et donnent leurs conseils. Faut-il faire mariner la viande pour le boeuf bourguignon ? Ils ne conseillent pas de faire mariner la viande mais par contre de ne pas manger le plat dans la foulée de la cuisson, mais bien 4 à 5 jours ensuite… Autre conseil, sur un autre plat traditionnel français : les endives au jambon. Le chef Joseph Viola recommande de faire cuire tous les légumes dans une cocotte, avec 2 millimètres d'eau et une noisette de beurre. Avec cette cuisson pas de problème de rendu d'eau des endives ! Comme chaque semaine, Laurent Mariotte reçoit un invité. Cette semaine, c'est le réalisateur Régis Wargnier pour son film La Réparation. L'intrigue se déroule en grande partie dans un restaurant, car elle raconte l'histoire d'un chef trois étoiles qui du jour au lendemain disparaît, laissant sa fille prendre les commandes de l'établissement à l'âge de 20 ans. Elle reçoit un jour une lettre mystérieuse l'invitant dans un restaurant à Taïwan. Le plat du jour est signé Sébastien Martinez, chef étoilé à la tête du restaurant Le Moulin de Rosmadec à Pont-Aven (Finistère). Son restaurant a servi de cadre au tournage du film de Régis Wargnier. Le chef a même joué un rôle crucial durant le tournage en conseillant sur les recettes qui lui semblaient les plus pertinentes à filmer, de concert avec toute l'équipe sur place. Ainsi, son plat “Moules Paul Gauguin”, réalisé avec des coquillages bretons, une sauce au piment jalapeño, du lait ribot et une huile de persil, fait partie du récit est a été filmé sous tous les angles. Pour la dernière partie de l'émission, Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invité sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est le chef Jean-François Piège, qui est autour de la table. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. Aujourd'hui, il nous dévoile son plus grand raté en cuisine : la quiche sans pâte. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Laurent Mariotte s'entoure de bons vivants pour une émission autour de la cuisine du quotidien : qu'ils soient chefs, artistes ou intellectuels, ils ont en commun cette passion du bien manger et la partagent pendant 1h30 avec les auditeurs d'Europe 1. Promenades gourmandes à travers les marchés et chez les producteurs, recettes simples et conseils proches des préoccupations des auditeurs... Le rendez-vous incontournable des gourmands !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des produits de saison et des conseils, Laurent Mariotte et ses bons vivants sont là pour la septième saison de La table des Bons vivants ! Une émission pour vous aider à bien manger et comprendre ce que vous mangez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:19 - On va déguster - par : François-Régis Gaudry - Surnommé aussi le Pagnol de la cuisine française, Il marque de son empreinte la gastronomie méridionale. Il nous révèle ses secrets et recettes, de l'aïoli à la soupe au pistou - réalisé par : Lauranne THOMAS Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Note aux auditrices et auditeurs : cet épisode a été diffusé une première fois le 4 mai.Un tiers de la nourriture produite dans le monde est perdu ou gaspillé. Et l'alimentation représente 22 % de notre empreinte carbone.Pour y remédier, on peut notamment tenter de réduire l'impact environnemental du secteur de la restauration. Les leviers sont nombreux : on peut privilégier les circuits courts pour réduire le transport des matières premières, mettre moins de viande dans les menus, et réduire la consommation d'énergie.Et comme tout part de nos menus, sous la pression d'apprentis cuisiniers sensibles à l'écologie, l'offre de formations à la gastronomie durable s'étoffe.Sa philosophie est d'utiliser les denrées dans leur entièreté, de privilégier le végétal, de réduire les déchets.Pour en parler, Sur le Fil vous emmène dans deux centres de formation à Paris.Sur le terrain: Fabien Dallot, Anahide Merayan et Véronique Dupont.Invitée: Lou Dacquet, d'EcotableRéalisation : Emmanuelle BaillonSur la route des vacances, ou du travail, prenez cinq minutes pour remplir ce sondage. C'est très important pour nous !Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:37 - Les goûts d'ici en Béarn Bigorre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce samedi, la table des bons vivants nous plonge dans l'histoire, à la table des maisons de joie italiennes dans les années 1920-1930 avec l'autrice culinaire Alessandra Pierini pour son nouvel ouvrage La cuisine des maisons de plaisir italiennes : 1929 paru aux éditions de l'Epure. Ce dernier livre regroupe une trentaine de recettes servies dans les maisons closes italiennes au début du siècle dernier, à la table des prostituées exclusivement, c'est-à-dire à l'abri des clients. Elles donnent à voir des recettes quotidiennes rustiques et économiques eu égard aux brigades fascistes que l'Italie de l'époque voit s'installer au pouvoir. Il s'agissait de se nourrir presque comme en temps de guerre, d'où la simplicité des recettes comme les spaghetti au thon, les gnocchis de pommes de terre ou encore des plats giboyeux car la chasse permettait de garnir les tables sans dépenser la moindre pièce. Si les prostitués ne cuisinent pas, c'est bien une cheffe, anciennement dans le métier, qui gère les fourneaux de ces maisons. Alessandra Pierini, nourrie par ses recettes et ses recherches historiques, donne un éclairage inédit sur les conditions de vie et les repas pris entre les prostituées. La cuisine n'est pas laissée au hasard, malgré les dures contraintes de l'époque. Il fallait se nourrir certes, mais toujours bien et copieusement pour que les filles de joie puissent faire le travail au mieux. Si la trentaine de recettes présentes dans l'ouvrage nous est parvenue un siècle plus tard, c'est grâce à une certaine Madame Cora, tenancière de bordel à Paris. En 1929, elle effectue un voyage dans toute l'Italie pour savoir ce que les prostituées mangent au quotidien, entre elles, quand les clients ne sont pas là, dans l'optique de ramener ces recettes en France et de bien nourrir ses propres filles et éventuellement ses clients. Son carnet, qui n'était pas destiné à être publié, a été traduit par Alessandra Pierini. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:38 - Les goûts d'ici en Béarn Bigorre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans le cadre de notre semaine spéciale de replay [À la table du monde], (re)écoutez l'épisode [#106 - La cuisine italienne, un modèle de gastronomie durable ? avec Alessandra Pierini].Au-delà de son pouvoir économique, le soft power de la gastronomie italienne est aujourd'hui immense; et les produits, les restaurants et les chefs italiens s'érigent parmi les plus réputés dans le monde. L'Italie est divisée en 20 régions et plus de 7 000 communes, chacune ayant ses ingrédients, ses recettes et ses traditions culinaires propres. La diversité du territoire italien fait la très grande variété dans sa cuisine. Pourtant, la gastronomie italienne est aussi marquée par des traits communs : l'art d'accommoder les restes par exemple, dont cucina povera est un symbole, un savoir-faire artisanal très ancré, ou encore le choix de produits bruts de grande qualité, notamment en lien avec le mouvement Slow food. L'Italie compte aussi aujourd'hui la plus grande surface agricole exploitée de manière biologique en Europe. Alors, la cuisine italienne serait-elle un modèle de gastronomie durable ? Au-delà d'être délicieuse, que peut-on apprendre de nos voisins transalpins en matière d'alimentation ?Pour mieux comprendre ce qui se joue ici, Fanny Giansetto reçoit Alessandra Pierini, autrice de nombreux ouvrages sur la cuisine italienne, cheffe, entrepreneuse (épicerie Rap) mais aussi chroniqueuse radio dans l'équipe de On va déguster. Elle vient de publier aux éditions de l'épure La cuisine des maisons de plaisir italiennes.Références mentionnées dans cet épisode:On va déguster l'Italie, 2020, Éditions Marabout Trattoria Le Clarisse di Apolline, La Spezia Restaurants à Paris : Osteria Ferrara, Tempilenti, Il Ristorante de Niko Romito, Caffè Stern, ANNA, Piccolino, Il Localino, Vinello
Dans le cadre de notre semaine spéciale de replay [À la table du monde], (re)écoutez l'épisode [#81 - La cuisine indienne est-elle écoresponsable? par Sandra Salmandjee (Bollywood Kitchen)].Si la cuisine indienne est considérée par plus d'un Français comme la cuisine la plus épicée dans le monde, ses subtilités restent largement méconnues. Au-delà des emblématiques naans au fromage, qui ont en fait été inventés en France au milieu des années 1970, on trouve une diversité de plats plus savoureux les uns que les autres. On pense par exemple au byriani, au dhal de lentilles, au poulet tandoori ou encore au poulet tikka massala. Par ailleurs, cette cuisine véhicule certains raccourcis. Elle serait essentiellement constituée de plats en sauce, pour beaucoup végétariens, et reposerait sur une épice bien particulière : le curry. Encore un cliché.Pour questionner la cuisine indienne et mieux la comprenrde, Fanny Giansetto reçoit Sandra Salmandjee, alias Sanjee. À la fois autrice culinaire et fondatrice de Paris-Bombay, une agence de conseil en cuisine indienne, Sandra Salmandjee imagine des cartes de restaurants indiens, des mélanges d'épices ou encore des infusions. Elle partage aussi ses savoirs sur la cuisine indienne dans des cours de cuisine ou dans le magazine télé Chef pays.Son dernier livre de recettes ? "Inde - Balades gourmandes, recettes et art de vivre", paru aux Editions Mango en octobre 2022 !Ses recommandations : Les mélanges d'épices, qu'elle a imaginés pour Nomie ;Les restaurants Junglii, dans le 10ème et le 16ème arrondissements de Paris ;Desi Road, situé dans le 6ème arrondissement de Paris ;Le film The Lunchbox réalisé par Ritesh Batra !
Dans le cadre de notre semaine spéciale de replay [À la table du monde], (re)écoutez l'épisode [#72 - La cuisine japonaise en question, par Ryoko Sekiguchi].Les Français sont les plus gros consommateurs de sushis en Europe : 22 % en mangent au moins une fois par mois et plus de 1 500 restaurants japonais sont recensés dans le pays. Mais que cette cuisine reste largement méconnue ! Elle véhicule par ailleurs certains clichés : ce serait une cuisine peu accessible financièrement et techniquement. Elle serait saine, respectueuse des matières premières, mais pas forcément à la pointe des enjeux écologiques. En tout cas, elle ne l'est pas en France, avec l'usage important de poissons, pas toujours sourcés, l'utilisation des emballages ou de certains additifs alimentaires. Pour questionner la cuisine japonaise, Fanny Giansetto reçoit Ryoko Sekiguchi. Ryoko est autrice, poétesse, traductrice et journaliste japonaise. Elle écrit sur les cultures culinaires, et dirige la collection Banquet des éditions Picquier. Elle a aussi été la rédactrice en chef du hors-série du magazine Tempura sur « Manger le Japon ». Vivant entre Paris et Tokyo, elle écrit sur une pluralité de cuisines, son dernier livre « 961 heures à Beyrouth (et 321 plats qui les accompagnent) » portant sur la culture culinaire libanaise.Ses conseils?- Le flacon « curry japonais » des Epices Roellinger qu'elle a créé pour mettre du Japon dans tous vos plats ! - La lecture du livre "Les herbes sauvages" du chef Nakahigashi à Kyoto (ed. Picquier): une ôde à la cuisine végétale et la nature!
Dans le cadre de notre semaine spéciale de replay [À la table du monde], (re)écoutez l'épisode [#86 - La cuisine marocaine en question, avec Tarek et Leïla Idrissi, fondateurs de La cuisine de Souad].Dans cet épisode, nous plongeons au cœur de la cuisine marocaine et de son histoire. Connue pour ses épices et ses couleurs, 73% des Français disent l'apprécier, quand bien même sa consommation au restaurant reste occasionnelle. Derrière l'emblématique couscous, longtemps considéré comme le plat préféré des Français, se cachent d'autres spécialités tout aussi goûtues mais plus méconnues comme la soupe harira, le tajine au poisson, la pastilla, les msemens, le zaalouk ou encore les briouates. Cette cuisine est souvent imaginée autour d'un élément central qui est la viande ou le poisson, accompagné de légumes d'été.Mais qu'en est-il réellement ? Quelle est la place des protéines animales, de la saisonnalité? Comment décrire cette cuisine haute en couleurs et extrêmement variée ?Pour questionner cette cuisine, la comprendre sur tous ses aspects, notamment écoresponsable, Fanny Giansetto reçoit Tarek et Leïla Idrissi. Un frère et une sœur à l'origine de La cuisine de Souad, un service de traiteur événementiel et de chef à domicile créé en 2021 et qui propose une cuisine marocaine engagée socialement mais aussi authentique, végane et bio. Leurs conseils ?-Les restaurants : Yemma, Little Morocco, Lyoom (cuisine tunisienne), Majouja (cuisine algerienne)-Les lectures : "Le Maroc végétarien" de Mohamed Houbaida, la revue "Horizons Maghrébins", partie 4 : "Manger au Maghreb : par les mots, les fruits et les légumes", "Street food au Maroc, un goût authentique" de Asmaa Chaidi.-Le documentaire : "Le Maroc vu du ciel" de Yann Arthus-Bertrand, sur France 5
durée : 00:02:53 - Les goûts d'ici en Béarn Bigorre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette édition spéciale, Laure Manent va à la rencontre des femmes qui s'engagent pour faire de la gastronomie un milieu moins violent et plus égalitaire. De Marseille à Paris en passant par Nîmes, l'équipe d'Actuelles évoque les violences systémiques qui sévissent en cuisine, la discrimination sexuelle qui se traduit par des abandons du secteur pour de nombreuses femmes, les sacrifices qu'impose cette carrière, mais aussi l'ivresse de faire un métier passion, la reconnaissance de l'excellence du travail fourni et les méthodes qui permettent d'impulser un changement vertueux. Ces cheffes ont décidé de vivre leur passion jusqu'au bout, dans le respect des autres et de leurs engagements. Laëtitia Visse, Manon Fleury et Georgiana Viou dévoilent leurs histoires… et leurs cuisines.
Après une expérience capillaire fâcheuse à son arrivée en Australie, Hassanatu Bah a créé une gamme de soins capillaires organiques pour répondre aux besoins des femmes africaines et de tous les types de cheveux.
Autrice, entrepreneure, conférencière et militante féministe, elle est la créatrice du compte @Je m'en bats le clito, un compte devenu incontournable… et essentiel.À ses débuts ? Une passionnée de restauration, qui rêve de devenir cheffe étoilée.Elle travaille 4 ans dans des cuisines prestigieuses, jusqu'au jour où, lors d'une soirée entre potes, elle crée ce compte, elle fait un post… sans vraiment savoir où cela la mènerait.Un mois plus tard : l'explosion.Camille ose parler de clitoris, de plaisir, de consentement, de corps, de sexualité. Et ça change tout.Elle construit une communauté engagée, publie des livres à succès, multiplie les collaborations, développe des conférences et devient une figure majeure du féminisme décomplexé en France.Elle est suivie par plus de 660 000 personnes sur Instagram, intervient dans les lycées, publie des ouvrages qui brisent les tabous et inspire toute une génération à parler vrai.Une conversation sans filtre avec une femme qui a osé faire de ce qu'on n'ose pas dire… son arme la plus puissante.✨ Pourquoi écouter cet épisode ?Pour découvrir comment transformer un sujet tabou en business impactantPour apprendre à s'exprimer sans filtre, sans peur et sans perdre en crédibilitéPour s'inspirer d'un parcours de reconversion à la fois stratégique, féministe et radicalement assumé
durée : 00:02:25 - Les goûts d'ici en Béarn Bigorre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:18 - Les goûts d'ici en Béarn Bigorre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:54:43 - On va déguster - Voyage gourmand en Colombie avec un de ses meilleurs ambassadeurs à la découverte de ses produits et ses recettes. - réalisé par : Lauranne THOMAS Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 02:54:51 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1975, à l'heure de la "nouvelle cuisine", Michelle Bailly enquête pour France Culture. En six chapitres et 200 minutes, elle explore les mutations de nos assiettes, rencontre Paul Bocuse et donne la parole aux cuisiniers, critiques et nutritionnistes d'alors. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Paul Bocuse Chef cuisinier
durée : 00:16:31 - L'été à la Canopée au Nord de Pau - À La Canopée à Serres -Castet, Loujeanne vous invite à découvrir une cuisine de saison fraîche et créative, accompagnée de soirées animées. Entre plats à partager et concerts, cet établissement est l'adresse idéale pour un moment convivial cet été. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque samedi, Laurent Mariotte et ses chroniqueurs reçoivent des experts pour débattre et décrypter l'agriculture, l'alimentation, la cuisine d'aujourd'hui. Un éclairage utile pour mieux choisir et cuisiner au quotidien.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le 17 novembre 1858. Dans le journal « L'Emancipation », fondé vingt-huit ans plus tôt par le liégeois Adolphe Bayet, opposant sous le régime hollandais, l'un des premiers à embrasser la cause de la Révolution de 1830, journal passé aux mains des frères Briavoinne, des Parisiens, on peut lire ceci : « Que vous dirais-je de la cuisine belge, sinon qu'elle est de l'école fantaisiste comme la cuisine allemande ; et que, très recommandable sous le rapport de l'abondance et de la qualité des mets, elle se livre à de déplorables écarts de soupe aux céleris, de potage au vin, de saucisses sucrées et de gigot aux pruneaux. Mais, somme toute, on mange fort bien, et l'on boit encore mieux en Belgique (…). Le Belge est certainement le plus beau mangeur de l'Europe : des exploits gastronomiques, qui seraient regardés en France comme actes de gloutonnerie, sont considérés en Belgique comme œuvre méritoire. Chaque province, je pourrais même dire chaque ville, a sa société de mangeurs, où l'on donne des prix (une dent d'or ou d'argent) à l'hercule-gastronome qui a absorbé la plus grande quantité de victuailles dans un temps donné ». Retenons donc que l'on mange et que l'on boit fort bien en Belgique. Et pourtant qu'aurait-on constaté si nous avions fait partie des invités, triés sur le volet, mais nous l'aurions mérité, de la grande fête d'inauguration du nouveau pont de Boom, dans la province d'Anvers, un pont de métal, ce qui est innovant pour l'époque, assurant la liaison permanente entre les deux rives du Rupel, un affluent de l'Escaut ? La compagnie est de haute volée puisque l'on note la présence de leurs Altesses Royales le duc de Brabant, futur Léopold II, et le comte de Flandre . Il y a de la pompe et le soir a lieu un banquet somptueux préparé par le cuisinier bruxellois Alphonse Dubos, surnommé le « roi de la cuisine belge », c'est vous dire. Mais que nous propose-t-il à becqueter ? Un trentaine de plats qui, excepté les huitres d'Ostende et un turbot à la hollandaise, appartiennent tous à la grande histoire de la cuisine … française ! Alors pourquoi tant de mépris pour la tradition belge ? N'y a-t-il rien qui vaille dans nos casseroles ? Revenons, aujourd'hui, sur la LENTE reconnaissance de notre patrimoine culinaire. Avec les Lumières de Pierre Leclercq, historien de l'alimentation, collaborateur scientifique à l'ULG, responsable du Petit Lancelot qui nous propose des repas-conférences où la gastronomie se mêle à la découverte culturelle. Sujets traités : Cuisine, belge, Adolphe Bayet, soupe céleris, potage, vin, saucisses, gigot ,pruneaux, turbot , tradition, gastronomie Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:46:19 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - Adopter une cuisine végétarienne, c'est bien plus qu'un choix alimentaire : c'est une démarche bénéfique pour la santé, l'environnement et le plaisir des papilles. Découvrez ses bienfaits et comment la rendre simple et savoureuse au quotidien.
RÉUNI — Le pop-up The Comfort Week — Du 5 au 14 juin — 98 rue de Turenne, Paris 3e — 11h-19h (fermé le lundi) ➡ Découvrir le programme
durée : 00:47:52 - La 20e heure - par : Eva Bester - La cheffe Manon Fleury incarne la nouvelle garde de la gastronomie française. Dans son restaurant "Datil", qui a reçu sa première étoile il y a un an, elle insuffle questionnements écologiques, politiques et même féministes à sa pratique de la cuisine.