L'émission qui va révolutionner l'industrie à tout jamais, ou pas. Ici, on échange de ce qui peut bien nous faire plaisir au gré des saisons et des situations qui se présentent. Sociologie du quotidien avec une touche d'actualité, sans format fixe.
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Aujourd'hui - en cette journée de l'action de grâce - je vous propose un petit mix de techno progressif d'automne pour accompagner vos activités de dystopie. À bientôt chères auditrices et auditeurs, portez vous bien. Peace. P.
Épisode confiné. Je vous propose une perspective auditive unique alors que je vous amène avec moi dans mon environnement (et dans ma tête) passer un samedi chez dans mon humble et très mal insonorisé appartement d’Hochelaga dans lequel je vis près de 24 heures sur 24 depuis maintenant 8 semaines. Je vous invite à constater à quel point ma patience est fragile alors que mes voisins posent des tablettes, cognent la balayeuse dans l’mur et que le propriétaire joue de la chainsaw sur du métal dans le sous-sol. Heureusement, Hélène m’a mis du bon reggeaton pour conclure cette journée qui a été - au final et à mon grand désarroi – typique. Je me magasine désormais une maison de campagne dans le bois... Peace. P.
Un matin tard de février j’ai dépoussiéré le stock d’enregistrement un peu dans le but de justifier mon abonnement à libsyn mais plus probablement parce que j’avais mangé pas mal de chocolat au THC. Accompagnez-moi alors que je cherche la chanson thème de Sans format fixe dans mes archives d’anciens épisodes et que je vous explique pourquoi je n’ai pas fait le voyage à Québec par peur de ne pas retrouver un stationnement sur l’île de Montréal enneigée à mon retour. Faites le constat à quel point je ne connais rien du UFC et soyez témoin du moment où je réalise que c’est probablement un peu débile de se parler à soi-même dans un micro à une heure impossible. Ne soyez sans craintes fidèles auditeurs, je vous ai habitué à un haut standard de qualité et il y a quand-même du contenu. Je prends quand-même une petite minute pour faire un semblant d’éditorial sur la crise du logement à Montréal ce qui me mène à vous faire jouer une chanson de Flight of the Conchords nommée : Inner City Pressure. Suivez-moi alors que je vous présente ma routine matinale décourageante de recherche de clés et écoutez attentivement l’histoire de comment j’ai libéré deux personnes arabes (ou ontariennes, ce n’était pas clair) d’un char-jacké-d’un-banc-d’neige à coup de traction aid. Besogne qui m’a rémunéré d’une cigarette que je partage avec vous en toute relâche dans mon studio. Un épisode de Sans format fixe résolument classique, en toute franchise sans édition et en abandon total. Je devrais avoir des invités bientôt, pour votre plus grand plaisir, peut-être. Peace. P. (Ah oui, et la fête de mes chums ce n’est pas le 9 et le 10 mais bien le 10 et le 11, désolé. Peut-être que l’an prochain je vais réussir à m’en souvenir, à suivre…)
Mixé live dans mon humble salon/studio/bibliothèque/ d'Hochelag, cet épisode prend la forme d'un set de musique électronique progressive contenant 10 tracks ayant retenue mon attention au cours de 2019.
Treizième épisode de Sans format fixe. Le temps file et l’aventure continue. Pour cet épisode j’ai eu le plaisir de m’entretenir avec Isabeau. Petit avertissement, j’utilise allégrement les mots « menne » et beaucoup de sacres dans cet épisode. Je m’en excuse sincèrement et j’attribue ce comportement d’adolescent sur les quelques shots de vaporisateur de THC. J’imagine que ça donne un certain charme, mettons… On a parlé de mon studio ainsi que du BigMac que j’ai cuisiné comme snack de pré-enregistrement. Il semblerait que le phénomène des unicorns professionnels existe, nous en parlons. J’ai découvert qu’Isabeau n’aime pas la bière ce qui nous à amené à avoir une discussion sur la raison pour laquelle nous sommes des amis. Isabeau nous a partagé un souvenir des olympiades du primaire et de nos orientations politiques de pré-ados et de la fois qu’il a failli gagné le 800m à QHS, sommet de sa carrière d’athlète. On a parlé du débarquement des Français à Montréal et Isabeau a tenté de faire un parallèle entre le domaine des docteurs et quelque chose qui n’était pas clair avec beaucoup de mots. On a parlé un peu de ma job et de la manière dont je crois que je participe à redonner du lustre à l’image qu’on se fait des fonctionnaires et que l’important – dans l’fond – c’est d’avoir un powerpoint de secours en cas de débarquement surprise d’élus dans son bureau. Bref, un entretien en toute franchise, respectueuse dans lequel il y a eu deux nouveautés intéressantes. J’ai remplacé la bière par de l’eau et je n’ai fait aucune coupe au montage, ce n'est pas rien. Bonne écoute de cet épisode sans filtre de Sans format fixe. Peace P.
Pour cet épisode il n’y a rien de bien compliqué. Je m’installe derrière le pseudonyme avec lequel j’ai franchi le nouveau millénaire et je vous propose un petit DJ set de quelques tracks de musique électronique progressive. Je n’ai pas grand chose d’autre à dire pour cet édition de Sans format fixe à part bonne écoute! Peace. Pete formerly known as DJ Araz.
Pour cette édition de Sans format fixe j’ai eu le plaisir de m’entretenir via les internets avec David Rivest, ami golfeur, et partenaire/associé de Hoolign’s golf. Sans aucun doute le plus radiophonique de mes invités à présent, j'ai reçu David dans le but de parler du Masters. Comme tout bon intervieweur, j’avais préparé une liste de questions et tout ce tralala, mais comme à chaque émission de Sans format fixe, on a tiré à gauche et à droite en parlant principalement de golf, des "meet-up" qu’organisent Hoolign’s, de baseball et du prix exhorbitant de la bière dans les stades. On a quand-même réussi à faire un petit 5 minutes dur le Masters vers la fin de l’entretien et je me suis permis quelques délires sur la trame sonore du tournoi des Maîtres. Bref une vibe de printemps est bien présente dans cet épisode et - mesdames et messieurs - fiez-vous sur moi, il y a de l'espoir. L'été arrive, deux semaines encore, je vous le jure. Peace. P. Site WEB Hoolign's: https://hooligns.com HG Podcast: https://hooligns.com/hg-podcast/
Cette semaine à Sans format fixe j’ai reçu Bruno Frenette mieux connu sous le pseudonyme de Le Brun. Ami depuis quelques mois Bruno est le genre de personne que tu veux dans ton entourage simplement parce qu’il se calisse ben de toute. Il ne passe pas par quatre chemins pour dire les choses et si tu n’es pas d’accord avec lui, c’est ben correct car il en a des chums et il sait qu’il ne peut pas faire l’unanimité. On a enregistré pendant 3 heures de temps et j’ai gardé le meilleur des 2 premières heures car on était lendemain de veille et il a fallu qu’on retourne au dépanneur acheter d’autres bières parce qu’il en avait pas assez. Dans tout ça on a oublié de faire cuire les ailes de poulet... Bref, on a parlé de comment que nous nous sommes rencontrés et du fait que notre amitié s’est forgé pas mal autour du sport. Bruno aime ben jaser mais il aime surtout le hockey alors on a mis la game en background et je vous passe l’extrait du pire hymne national jamais chanté au Centre Bell par le jeune Nolan quelque chose. On s’est permis de critiquer ouvertement le manque de talent du jeune Nolan comme on s’est permis de critiquer notre expérience de karaoké au Sel et Poivre la veille. Je fais jouer du PL Mafia qui est le band qu’on était allé voir la veille au Foufs. On a effleuré le sujet de ma question posé lors d’un enregistrement live de Spart30, Bruno nous donne un cours de goaler et on parle de mon trou d’un coup. Brun a fait la présentation classique de la bière qu’on buvait, nous a parlé de la fois qu’il a fumé un bat avec Xzibit et nous a fait sa meilleure impression de Michel Lacroix. La religion, les cyclistes et autres sujets enivrants font surface sans vraiment rentrer trop en profondeur, et surtout en disant un peu n’importe quoi. Bref, j’ai donné un micro à Brun et sans format fixe, c’est ça que ça donne.
Épisode 9 du podcast Sans format fixe. J’ai reçu mon ami David Levie dans le studio de mon 3-1/2 et puisque notre enregistrement a été court, je me suis permis de faire une introduction vraiment plus longue qu’à l’habitude dans laquelle j’ai effleuré les sujets suivants: Monter et descendre, blog au Vénézula, Douchebag, pourboires, diction, prendre conscience de c’qu’on dit et de la l’hiérarchie du 99… À la base, Dave était dans la métropole pour venir voir un show de Maribou State et il tenait à ce qu’on enregistre un épisode ensemble. Je vous invite à une discussion qui a pris place à 2h30 du matin où on a jasé –entre autres - de ses choix vestimentaires et du fait que Dave aime que sa voix soit « sensualé » pour sortir le meilleur de lui-même. Pour vous mettre dans la vibe, j’ai fait joué la toune Turnmills de Maribou State. Je m’excuse pour la qualité d’enregistrement de l’audio que j’ai trouvé sur le web, le son est un peu ordinaire… c’est ça qui arrive quand tu downloads les tounes à partir de YouTube. Par la suite, on a jasé un peu de Daft Punk et du fait que ce n’est probablement pas eux autres en arrière des masques quand ils partent en tournée. J’ai mis un extrait de WinterMix ‘2013 (que j’ai downloadé à partir de YouTube parce que j’étais trop lâche pour trouver le MP3 original…) et je trouve que ça sonne mieux que Maribou State…. Anyway, j’ai remixé un peu notre remix avec des lyrics du podcast tel un Pérusse des temps modernes. Quand moi et Dave on fait un show, ça sonne demême. À ce stade je vous présente un extrait de mes notes brutes : *** J’ai arrêté de gosser après le mix du podcast parce que crisse que je m’embarquais dans quelque chose de compliqué pis que je n’avais pas warpé les WAV comme faut… On a un peu parlé d’Acid Pro, de Rebirth, de VST, des soirées dans le sous-sol chez Tony et si jamais vous voulez savoir la différence entre le Plymouth Horizon et le Dodge Omni, restez jusqu’à la fin, je suis un expert en la matière. Pour être ben franc, je l’aime cet épisode là. Il y a plein de petits punchs drôles. Peace. P.
Pour cet épisode de Sans format fixe, nous sommes revenus (dans les mots de mon invitée) à l’essentiel. Ce fût un beau dimanche en compagnie d’une amie et maintenant habituée de l’émission, Raphaëlle Auger. Dans ce qui était supposé être un spécial Queens of the Stone Age, on est parti un peu à la dérive dans notre mood très relax du dimanche de février. On a discuté du penseur de Rodin et on se demandait bien à quoi il pouvait bien penser… On parlé de notre sortie en camping à la rivière Batiscan et j’ai rafraichi la mémoire de Raph sur comment fonctionne l’hydroélectricité. Un petit segment sur la définition de ASMR nous a apporté à parler du charismatique Bob Ross. Raph s’est souvenue que son homme, Josh Homme, s’était déjà déguisé en Bob Ross et on est parti sur une discussion sur Queens of the Stone Age et j’ai mis quelques tounes au travers de l’épisode pour votre plus grand plaisir. On a enquêté sur la différence entre la Hefeweizen et la Witbier ce qui nous a emmené à entrer dans un spin off royal en parlant de la princesse Sissi, de Romy Schneider de l’hypothèse sur comment que Meaghan Markle et le Prince Harry se sont rencontrés et de Lady Diana. Le mot de la fin vient à Raphaëlle (qui n’est pas Humeuriste) qui nous fait une chronique à saveur humoristique sur la définition de l’urgence. On s’est promené pas mal comme vous pouvez le voir, du Sans format fixe à son apogée.
Dans le cadre de la journée « Bell cause pour la cause » et bien installé dans un cozy appartement situé dans le bas Vieux-Québec, au cœur de Catherine Dorion world, j’ai eu le plaisir de passer un petit moment avec ma bonne amie Geneviève pour jaser un peu de son nouveau projet, MessyGe. Mais avant d’entrer dans les détails de son éventuelle production, on start ça en force avec une conversation sur l’animal exotique qu’est le cochon d’inde et de ses particularités. On jasé de notre rencontre, qui s’est fait au Sears, lorsque je me promenais entre les racks de bobettes et que je suis tombé sur Gen, l’horlogère. On a parlé de la différence entre les horloges grand-père et grand-mère et de obsolescence éventuelle du réveil-matin... Par la suite - dans la portion sérieuse / philosophique - nous avons parlé du fait que ce n’est pas parce que nous travaillons dans des jobs dites « régulière » qu’on perd nécessairement notre côté artistique. Après une petite pause, on est entré pas mal plus dans le creux du projet MessyGe et du retour à la vie de Geneviève qui nous parle avec une belle générosité et une ouverture candide de la dépression qu’elle a vécue. Allant mieux, elle veut reprendre le contrôle sur la passion de la musique et conscientiser les gens sur la santé mentale. Il y a quelqu’un qui est rentré dans l’appart qui venait livrer un item à Geneviève et puis il y a eu une conversation un peu impromptue entre deux personnes qui vivent des moments rough et des moyens qu’elles prennent pour aller mieux. On s’est callé de la pizza du Mille et une pizzas à Québec et on a mangé ça en jasant de muse et on a fini la journée avec l’enregistrement d’un petit cover acoustique de I’m only happy when it rains de Garbage, avec les moyens du bord. La version finale - produite par votre hôte - jouera vers la fin de l’épisode. Somme toute une belle après-midi passée en bonne compagnie. Suivez MessyGe, elle est awesome et je suis content de la voir retrouver ses moyens. #bellcause
Sixième épisode de sans format fixe, première de la nouvelle année! On commence l’année sous la féerie du temps des fêtes avec « l’unboxing » (déballage) d’un paquet surprise que j’ai reçu par la poste. Sur un fond de Michael Bublé, je déballe des items et l’enregistrement prend une tournure pas mal geek alors que je décris le fonctionnement de mes nouveaux « jouets ». À un moment donné je prends une pause et je mets en background l’entrevue de Mike Ward à tout le monde en parle enregistré en novembre 2018. J'aime bien Mike, il est cool. Après la petite pause, je fais une revue culturelle de la semaine en parlant de ma consommation de trucs sur le web soit des vidéos YouTube, de podcasts et de ma semi-déception avec mon abonnement à RDS. Bref, c’est un épisode bonus, les prochains épisodes retrouveront la formule d’entretien avec des invités! Enjoy. P.
Cette semaine je vous présente la suite du dernier épisode où moi et Jean-Pierre nous nous livrons à une bataille sans pitié sur les allées du Augusta National. D'ailleurs beaucoup de gens me disent qu'ils ne comprennent rien quand je parle de golf, je ferai peut-être un épisode dédicacé au lexique et à l'étiquette du golf un jour… Mais dans celui-ci, Jean-Pierre nous raconte la fois qu'il avait écrit un courriel à Claude Rajotte et moi j'ai appris que Rivers était le prénom - et non son nom de famille - du chanteur de Weezer. J'ai également fait de la pub gratis au gens du Beau's à Vankleek Hill tout en parlant d'un album de Porcupine Tree. On termine sur les joies de la calvitie et l'importance de rester patient, comme au baseball. On est resté dans les choses pas trop compliquées dans une ambiance assez, disons-le, tranquille. Bref, ici Peter Vallières pour Sans format fixe, Hochelaga.
Cette semaine, Jean-Pierre Augustin était de passage dans la métropole et il est venu me rendre visite dans mon "studio" d'Hochelaga-Maisonneuve. En jouant une partie de Tiger Woods 2012, on a parlé largement de musique. On a effleuré des sujets partant du buzz de chanter sur scène au principe révolutionnaire des lecteurs de cassette auto-reverse. C'est définitivement le plus musical des émissions que j'ai mis en ligne depuis le début. Ça m'a mené à poser la question à savoir si - éthiquement - c'était acceptable de faire jouer de la musique sur mon podcast sans vraiment avoir les droits pour le faire. Si ça vous tente de me donner votre avis à ce sujet, je suis prêt à l'entendre. Nous on en est venu à la conclusion que ce c'était ben cool d'avoir de la muse pendant le "show". On a alors décidé de faire un palmarès de 3 albums chaque sur lequel on pensait avoir assez de connaissances pour dire des trucs pertinents (même si au fond, ce n'est pas la manière qu'on a formulé la patente.) Par la suite, comme deux génies clueless qui vivent dans le Cimetière des CD, on parle de comment que ça serait hot de créer une application qui garde tes stats d'écoute de musique… J'ai essayé de pousser une réflexion sur le fait que nos expériences de vie ne nous permettent pas d'apprécier les nouveautés (qui sont en fait des reprises différentes de trucs déjà faits) de la même manière que les enfants peuvent l'apprécier étant donné leur innocence et leur manque d'expérience. En étant pas clair du tout dans la formulation de mon argumentaire, j'ai réussi à distraire mon invité au point qu'il a fait un bogey au 8e du Augusta National. Je n'ai jamais eu le temps d'arriver au bout de ma réflexion, ni de l'exprimer, mais dans ma tête j'étais rendu pas mal profond. Bref, du bon temps entre chums enregistré pour votre plus grand plaisir. Le deuxième neuf suivra dans les semaines à venir, stay tuned!
Le genre d’épisode que tu downloads et que t’écoutes dans ton char ou encore pendant ta ride de métro. Dans cet épisode du podcast, je publie un extrait de notre "weekend au chalet pour faire du beat" enregistré avec Jean-Pierre Augustin et David Levie. On a jasé de mixtapes et du fait que c’était d'excellents souvenirs et nous avons réalisé l’importance de garder nos enregistrements. On a parlé de mon vieux Corolla rouge et de l’Ozone grande-allée qui sont deux éléments importants dans l’imaginaire qu’était mon ancienne vie. On a sacré un micro dans les mains de David Levie qui nous a fait une chronique vin où il nous parle du domaine d’Henri qui appartient à un dude qui a un nom québécois mais qui ne l’est pas. Il utilise des termes comme : acidité et tenir le rythme. C'est informatif et pertinent. On a texté David pour entendre sa notification auditive de réception de message texte. C’est quelque chose, comme on dit: wait for it. L'épisode est courte. J'imagine que c'est ça qui arrive quand on se donne le luxe de publier des trucs sans format fixe. Peace P.
Dans cet épisode, j’ai reçu une bonne amie à moi, Raphaëlle Auger. On a jasé de Wikipedia et j’ai un peu massacré l’histoire de la fontaine d’Armand Vaillancourt en voulant me penser ben hot. Je vous invite à consulter Wikipedia afin de vérifier les faits véridiques (j'ai payé pour vous!). Raph nous a fait une « chronique culturelle de la semaine » en nous parlant d’un groupe qui s’appelle l’Or du Commun et je vais vous faire écouter une toune d’eux qui s’appelle Léon. Dans la section débat nous avons débattu si Pierre Brassard est un acteur ou pas, et vous allez pouvoir admirer à quel point nos skills de résolution de problèmes sont développés. On a parlé de Emily Haines et de Metric et ça a mené à une discussion sur comment que le monde vivent derrière leur cells, de la grosse philosophie. On a parlé de notre mois sans alcool, du restaurant Jarry smoked meat, le Lafrenaie et de notre fameuse visite au Maxi. Nous avons conclut avec une histoire touchante de mes échecs avec les applications de rencontre. Bref, quelques bières, quelques tops, quelques accrochages de micros. Je vous laisse nous écouter dire pas grand-chose au final!
Dans l’épisode de rodage du podcast toujours sans nom, je joue une game de golf au PS3 contre Paula Creamer sur un fond de musique électronique. Je jase un peu des épisodes à venir, du projet de mon "podcast" en général, de ma visite récente à la SAQ et je fais jouer quelques tounes de Massive Attack. Le premier de tout.