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Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, financer les TPE, PME grâce aux diasporas. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur • Didier Acouetey, consultant spécialisé dans le développement des entreprises. • Frédéric Guerengbo, créateur de Fredeyaourts, une entreprise formelle de production et de vente de yaourts en sachets, à Bangui, en République centrafricaine. Très généreux avec ses vendeurs de yaourts, Frédéric a du mal à tirer profit de son activité. Il est également confronté à la saisonnalité de ses produits. Partie 2 : Le pilotage financier : un enjeu de développement et de croissance pour les PME • Vanessa Adande, expert-comptable, fondatrice du cabinet de conseil financier Ellipsis. Présentatrice de la chronique Vanessa a dit, sur le média en ligne Upper • Safiétou Seck, créatrice et dirigeante de Sarayaa, une marque sénégalaise de vêtements haut de gamme, vendus à l'international • Didier Acouetey, consultant spécialisé dans le développement des entreprises. Programmation musicale : ► Amsterdam – Disiz ► Respire - Tribeqa.
Nouvelle semaine, nouveau sketch. Concept store, bubble tea, vinyles... elle déteste les hipsters !
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, financer les TPE, PME grâce aux diasporas. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur • Didier Acouetey, consultant spécialisé dans le développement des entreprises. • Frédéric Guerengbo, créateur de Fredeyaourts, une entreprise formelle de production et de vente de yaourts en sachets, à Bangui, en République centrafricaine. Très généreux avec ses vendeurs de yaourts, Frédéric a du mal à tirer profit de son activité. Il est également confronté à la saisonnalité de ses produits. Partie 2 : Le pilotage financier : un enjeu de développement et de croissance pour les PME • Vanessa Adande, expert-comptable, fondatrice du cabinet de conseil financier Ellipsis. Présentatrice de la chronique Vanessa a dit, sur le média en ligne Upper • Safiétou Seck, créatrice et dirigeante de Sarayaa, une marque sénégalaise de vêtements haut de gamme, vendus à l'international • Didier Acouetey, consultant spécialisé dans le développement des entreprises. Programmation musicale : ► Amsterdam – Disiz ► Respire - Tribeqa.
Avec : Carine Galli, journaliste. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Analyse du Bitcoin et du marché crypto pour ce nouveau Crypto Digest avec Mathieu Jamar, mon associé au sein du fonds DCY BTC Yield, un fonds market neutral dédié à Bitcoin (https://dcy.fund/).Merci à Glassnode de nous accorder une licence "Professional" afin de vous partager des indicateurs on-chain de haute qualité : https://studio.glassnode.com/pricing// ME CONTACTERJe m'appelle Gary Benezat, cofondateur de la stratégie DCY BTC Yield (https://dcy.fund/), un fonds d'investissement market neutral sur Bitcoin. Travaillant dans l'industrie des crypto-actifs depuis 2018, j'ai créé en 2022 le podcast Crypto Coulisses, animé par l'envie de faire découvrir les coulisses de l'écosystème blockchain en donnant la parole aux plus grands experts du secteur.Vous pouvez me contacter :✉️ Par mail : gb@dcy.io
LES BARRES PROTÉINÉES : 3 CHIFFRES ESSENTIELS À SAVOIR Les barres protéinées sont-elles bien composées ? Quels sont les 3 chiffres à onnaître pour choisir les bonnes barres protéinées ? Les barres protéinées peuvent-elles remplacer un repas ? Dans quels cas consommer des barres protéinées et qu'apportent-elles vraiment ? Dans cette vidéo, vous allez découvrir la composition des barres protéinées pour pouvoir les consommer en tout état de cause et à bon escient. Vous en consommez ? Partagez vos produits préférés et dites-nous en commentaire pourquoi vous en consommer :)
durée : 00:58:28 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Si elles ne représentent que 4% de la population féminine totale du Canada, les femmes autochtones sont près d'un quart des victimes des féminicides et sont plus représentées dans les violences que les femmes subissent. En réaction, après une longue période d'ignorance, l'État tente de réagir. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Adeline Vasquez-Parra historienne, maîtresse de conférences en civilisation américaine à l'université Lumière Lyon 2; Mylène Jaccoud Professeure à l'école de criminologie de l'université de Montréal ; Sabrina Van Tassel Journaliste et documentariste
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 27 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:22 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - En Corée du Sud, les femmes sont confrontées au harcèlement de rue, pouvant aller jusqu'à des assassinats, mais aussi au harcèlement numérique (deepfakes et photos volées). Dix ans après l'affaire du "métro de Gangnam", les politiques de luttes contre les VSS ont pourtant du plomb dans l'aile. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Marion Gilbert Docteure en sociologie et chargée de cours en études coréennes à l'université Paris-cité; Nicolas Rocca journaliste, ancien correspondant à Séoul, aujourd'hui journaliste au service international de RFI; Yukiko Itoh doctorante en sociologie et en études de genre à l'INALCO et à l'université Panthéon-Assas
Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed du 26 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Séance Q&R : Motivation, parrainage & astuce anti-fatigue ! Retrouvez ici la nouvelle séance de questions-réponses avec JMC ! Dans cet épisode, il revient sur sa nouvelle mission de parrainage des diététiciennes 2026–2029 et partage son astuce anti-fatigue express pour rebooster votre énergie. Que vous cherchiez des conseils pratiques ou de la motivation, cet épisode vous aide à rester informé et prêt à prendre soin de vous. Au programme : Parrainage JMC : Promotion diètes 2026–2029 Anti-Fatigue Express : l'astuce de JMC Questions/réponses N'oubliez pas de relayer notre opération #stopobesite et merci de votre soutien et de faire votre analyse minceur gratuite avec Jean-Michel Cohen Vous souhaitez mieux manger, maigrir, rééquilibrer votre alimentation, apprendre à toujours faire les bons choix alimentaires ?Faites votre analyse minceur gratuite avec Jean-Michel Cohen Découvrez l'ActiBox Minceur Dr Cohen, la boîte d'assistance à l'amaigrissement conçue pour éviter tous les “parasites” du régime Abonnez-vous ici à la chaîne Savoir Maigrir sur Youtube Découvrez la chaîne Youtube de Jean-Michel Cohen Consultez les Lettres d'Information du Dr Jean-Michel Cohen Visitez la page Facebook Savoir Maigrir avec Jean-Michel Cohen Suivez les stories de Jean-Michel Cohen sur Instagram
durée : 00:44:17 - 3 repas par jour c'est la règle … mais est-ce la vôtre ? Faites-vous l'impasse sur le matin ou le midi ? Etes-vous adepte du « Je mange quand j'ai faim ». Petit-déjeuner sauté, déjeuner oublié, diner tardif : racontez-nous vos habitudes. Avec Séverine Ber Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le Journal en français facile du mardi 25 novembre 2025, 17 h 00 à Paris. ► EXERCICE Comprendre un extrait du journal | Worakls, un artiste du mix | niveau B1 (exercice + PDF)Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CDND.A
durée : 00:15:25 - Journal de 8 h - En cette journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, zoom dans cette édition sur le rapport rendu au ministre de la Justice ce mardi concernant les violences intrafamiliales.
durée : 00:04:47 - Le Reportage de la rédaction - Pourtant érigée en "grande cause" des deux quinquennats d'Emmanuel Macron, la lutte contre les violences faites aux femmes reste largement insuffisante comme en témoignent les chiffres des féminicides. Les associations qui accompagnent les femmes victimes de violences voient leurs moyens diminuer.
durée : 00:58:07 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Lutter contre les violences sexistes et domestiques, voilà l'objectif que s'est donné la loi adoptée le 14 février 2025 qui prévoit une enveloppe de 2,6 milliards jusqu'en 2036. Elle arrive dans un contexte difficile, alors que le nombre de féminicides augmente continuellement en Allemagne. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Elisa Goudin-Steinmann Professeure en études germaniques à l'université Sorbonne Nouvelle et co-rédactrice du blog « Regards sur la RDA et l'Allemagne de l'Est »; Valérie Dubslaff Maîtresse de conférence à l'Université Rennes 2 - Germaniste civilisationniste et historienne; Faten Khazaei Sociologue, professeure assistante de sociologie à l'université de Northumbria à Newcastle, spécialiste des violences de genre en Suisse
À l'occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes qui se tient le 25 novembre, nous parlons des violences subies dans le cadre professionnel : injures sexistes, menaces, violences physiques… Selon une étude conjointement réalisée par Eurostat, l'Institut européen pour l'égalité entre les hommes et les femmes (EIGE) et l'Agence des droits fondamentaux de l'UE (FRA) en 2024, en France, 4 femmes sur 10 ont déjà été victimes de harcèlement sexuel au travail. Comment reconnaitre et prévenir les violences faites aux femmes en milieu professionnel ? Quelles prises en charge sont mises à disposition des victimes ? Clémence Sientzoff, psychologue psychothérapeute spécialisée dans la prise en charge des victimes de violences sexistes et sexuelles, travail en libéral et au centre AVIV du CIDFF 21. Et co-vice-présidente du Réseau NON en Bourgogne Franche Comté Dr Laure Mengueme, psychiatre à l'hôpital Jamot de Yaoundé, au Cameroun. Un reportage de Thalie Mpouho À écouter aussiQuelle justice face aux féminicides et aux violences sexuelles ? Programmation musicale : ► Chaka Khan – I'm every woman ► Jimmy Cliff - I can see clearly now
À l'occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes qui se tient le 25 novembre, nous parlons des violences subies dans le cadre professionnel : injures sexistes, menaces, violences physiques… Selon une étude conjointement réalisée par Eurostat, l'Institut européen pour l'égalité entre les hommes et les femmes (EIGE) et l'Agence des droits fondamentaux de l'UE (FRA) en 2024, en France, 4 femmes sur 10 ont déjà été victimes de harcèlement sexuel au travail. Comment reconnaitre et prévenir les violences faites aux femmes en milieu professionnel ? Quelles prises en charge sont mises à disposition des victimes ? Clémence Sientzoff, psychologue psychothérapeute spécialisée dans la prise en charge des victimes de violences sexistes et sexuelles, travail en libéral et au centre AVIV du CIDFF 21. Et co-vice-présidente du Réseau NON en Bourgogne Franche Comté Dr Laure Mengueme, psychiatre à l'hôpital Jamot de Yaoundé, au Cameroun. Un reportage de Thalie Mpouho À écouter aussiQuelle justice face aux féminicides et aux violences sexuelles ? Programmation musicale : ► Chaka Khan – I'm every woman ► Jimmy Cliff - I can see clearly now
durée : 00:15:25 - Journal de 8 h - En cette journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, zoom dans cette édition sur le rapport rendu au ministre de la Justice ce mardi concernant les violences intrafamiliales.
durée : 00:15:25 - Journal de 8 h - En cette journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, zoom dans cette édition sur le rapport rendu au ministre de la Justice ce mardi concernant les violences intrafamiliales.
durée : 00:02:28 - France Inter sur le terrain - La Fédération France Victimes a lancé une plateforme inédite et salvatrice."Mémo de vie" propose aux femmes victimes de violences de recueillir leurs témoignages au jour le jour, mais aussi de stocker leurs documents et les preuves des agressions subies dans un coffre-fort sécurisé, en ligne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:47 - Le Reportage de la rédaction - Pourtant érigée en "grande cause" des deux quinquennats d'Emmanuel Macron, la lutte contre les violences faites aux femmes reste largement insuffisante comme en témoignent les chiffres des féminicides. Les associations qui accompagnent les femmes victimes de violences voient leurs moyens diminuer.
durée : 00:05:35 - L'invité de "ici Maine" - À l'occasion de la journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, le collectif féministe unitaire en Sarthe dénonce "une situation qui se dégrade" et des "mesures insuffisantes", face au contrôle coercitif et au nombre de plaintes encore classées sans suite. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:36 - L'invité d'ICI Matin, ICI Drôme Ardèche - Marie-Pierre Monier (PS), vice-présidente de la délégation des droits aux femmes au Sénat, a fait plusieurs propositions ces dernières années pour protéger les victimes de violences intra-familiales. Certains dossiers ont avancé mais tout n'est pas réglé. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui 25 novembre, c'est la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes. Avec ce rappel édifiant, formulé par El Pais à Madrid : « les violences sexistes demeurent la forme de violence la plus répandue et la plus fréquente au monde ». En effet, précise le quotidien espagnol, « les agressions commises par des partenaires intimes, en grande majorité par des hommes contre des femmes, sont plus fréquentes que les homicides et les décès ou blessures graves résultant des guerres et des attentats terroristes ». Il y a encore quelques années, rappelle El Pais, « le silence entourant les violences conjugales subies par de nombreuses femmes était monnaie courante (en Espagne). Ce silence était profondément ancré. Les normes sociales de l'époque supposaient que les femmes devaient satisfaire les désirs sexuels de leurs maris et que les hommes avaient le droit de décider du moment des rapports sexuels. Cet ordre social acceptait la violence physique et psychologique comme moyen de résoudre les conflits familiaux, renforçant ainsi le pouvoir intime des hommes sur les femmes ». Depuis, de nombreux progrès ont été accomplis. « Toutefois, pointe encore El Pais, les violences sexistes demeurent une menace persistante et universelle pour le bien-être des femmes ». Des chiffres terribles En effet, renchérit La Croix à Paris, « la réalité quotidienne décrite par les statistiques est effrayante. En France, entre 2023 et 2024, 107 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-conjoint. Une femme est victime toutes les deux minutes de viol, tentative de viol ou d'agression sexuelle. (…) Derrière ces chiffres terribles, publiés jeudi dernier par la Mission interministérielle pour la protection des femmes, ce sont des jeunes filles et des femmes marqués à vie par la violence, soupire La Croix. Ils dégagent également une impression amère : malgré le statut de "grande cause du quinquennat", malgré la libération de la parole entraînée par le mouvement #MeToo, la lutte pour mettre fin au système de domination masculine qui structure encore notre société ne progresse pas suffisamment ». « Est-ce que c'est un viol ? » Libération consacre aux violences faites aux femmes un dossier de huit pages. On peut y lire notamment ce reportage dans les coulisses du 3919 : sur cette « plateforme d'écoute nationale destinée aux femmes victimes de violences, d'autres femmes conseillent, orientent et rassurent. Un travail émotionnellement éprouvant ». Exemple de dialogue : « "Je vous appelle parce que mon copain a insisté pour avoir un rapport. Je l'ai repoussé, j'avais mal, mais il m'a fait culpabiliser, m'a manipulée, et j'ai fini par accepter". La jeune femme marque une pause. "Est-ce que c'est un viol ?". De l'autre côté du combiné, une respiration. La réponse n'est pas précipitée. On devine que c'est le temps qu'il faut pour jauger : dire la vérité, sans que cela fasse plus de mal. "Vous avez subi une pression psychologique, il n'était pas possible pour vous de dire non. Ce que vous décrivez, pour moi et pour la loi, c'est un viol et c'est répréhensible", affirme Romy, 30 ans, écoutante sur la plateforme du 3919 depuis trois ans ». Romy qui avoue à Libération qu'elle « est parfois submergée, pas assez outillée ». Et le plus difficile, poursuit-elle, c'est « la frustration face à l'injustice. On ne peut pas changer le système et on n'a pas toutes les réponses. Parfois, les personnes qui appellent ne sont pas satisfaites et ça, c'est plus dur à gérer que le récit de violence ». Repenser l'éducation des garçons Alors l'une des solutions, pointe Le Temps à Genève, est de « renverser la perspective », de « réinventer l'éducation des garçons », de « repenser les normes et les valeurs avec lesquelles ils grandissent ». C'est-à-dire, précise le quotidien suisse, « apprendre aux garçons à prendre soin d'eux-mêmes et des autres, leur transmettre de nouveaux modèles moins axés sur la performance et la rivalité et davantage sur la coopération et l'empathie. Leur montrer des figures masculines intéressantes qui rompent avec les clichés constitue un puissant levier de prévention des violences sexistes. Mais repenser l'éducation des garçons ne peut pas reposer sur la seule responsabilité des parents, relève encore Le Temps. Cela devrait devenir le projet central d'une société égalitaire, partagé par l'école, les structures d'accueil de la petite enfance et tous les adultes qui les entourent. Un projet pour s'émanciper d'un système sexiste qui enferme tout le monde ».
Aujourd’hui, nous nous retrouvons pour la journée internationale contre les VSS faites aux femmes en co-animation avec Sana de NewsFM. Avec nous, Pauline de Patriarchie, une association militante grenobloise abordant des thématiques engagés de manière décalée et ludique, et Floriane... Continue Reading →
durée : 00:58:34 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - En dépit d'une législation en pointe et d'une société civile très structurée, le Mexique reste profondément marqué par les violences sexuelles et sexistes, comme en témoigne l'agression dont a été victime la présidente lors d'un bain de foule. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Laurène Daycard Membre du collectif de journalistes indépendantes Les Journalopes; Jacqueline Prado Prado doctorante en sciences politiques à l'université Sorbonne-Nouvelle et chercheuse au CREDA; Nicole Forstenzer sociologue membre de l'UMR 201 Développement et société de l'université Panthéon-Sorbonne
durée : 00:20:22 - Journal de 12h30 - 15 enquêtes ont été ouvertes en 2025 pour des agressions sexuelles dans les écoles maternelles parisiennes selon la procureure spécialisée du parquet de Paris, qui pointe une recrudescence importante du nombre de signalements.
Nouvelle semaine, nouveau sketch. Elle pensait que faire l'amour avec une femme, c'était facile… jusqu'à ce qu'elle essaie
durée : 00:20:22 - Journal de 12h30 - 15 enquêtes ont été ouvertes en 2025 pour des agressions sexuelles dans les écoles maternelles parisiennes selon la procureure spécialisée du parquet de Paris, qui pointe une recrudescence importante du nombre de signalements.
À l'heure où les droits des femmes vacillent dans plusieurs régions du monde, une dynamique inquiétante s'impose peu à peu : celle d'une idéologie masculiniste, qui s'ancre à la fois dans la politique, dans la culture numérique et dans les imaginaires collectifs. Des États-Unis post-Roe v. Wade à certaines démocraties européennes en tension, cette mouvance trouve un terrain fertile dans les crises successives (économique, sanitaire, identitaire) et se nourrit d'un discours viriliste qui oppose brutalement égalité et «ordre naturel». Dans le sillage du trumpisme, elle façonne des politiques publiques, réécrit des normes sociales, alimente des colères masculines et encourage des violences qui touchent de plein fouet les femmes les plus fragiles. Cette résurgence n'est pas anecdotique : elle constitue une menace idéologique qui dépasse les frontières et interroge les fondements mêmes de nos démocraties. Comment ce courant s'est-il diffusé ? Quels effets a-t-il sur les droits reproductifs, sur la sécurité numérique des femmes, sur leur santé mentale et physique ? Et pourquoi maintenant ? Décryptage pour en comprendre les ressorts, les ramifications et les dangers. Avec : - Marie-Cécile Naves, directrice de recherche à l'IRIS, directrice de l'Observatoire genre et géopolitique, autrice de Géopolitique des féminismes (Eyrolles).
L'appel de David Pélicot, un père, un mari, un fils aussi, celui de Gisèle Pelicot qui dénonce le silence des hommes face aux violences faites aux femmes. David Pelicot, membre d'ONU Femmes France, à l'initiative de la tribune « Le Silence des hommes doit cesser », et Philippe Caverivière, humoriste, signataire de la tribune, sont nos invités.Vous êtes témoin ou victime de violences : appelez le 3919Tous les soirs du lundi au vendredi à partir de 18h57 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Ce mardi 25 novembre 2025, c'est la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. À cette occasion, rencontre en France avec une « abritante ». C'est le surnom de ces personnes qui mettent à disposition chez elles une chambre pour accueillir des victimes de violences conjugales et intrafamiliales. Ces bénévoles le font dans le cadre de l'association « Un abri qui sauve des vies ». Une association créée par des étudiants en 2020 durant le confinement du Covid-19 dans le but de mettre à disposition des victimes un hébergement d'urgence citoyen. Le fonctionnement de l'association Un abri qui sauve des vies repose sur un réseau de 1 100 professionnels et particuliers qui mettent gratuitement à disposition un appartement ou une chambre pour la mise à l'abri des victimes de violence conjugale ou intra-familiale. Julie est chef d'entreprise dans la Tech. Depuis trois ans, elle accueille temporairement dans son appartement parisien des femmes. « Ici, on est dans le salon, elles ont accès à l'ensemble des parties communes : la cuisine, les toilettes, la salle de bain et le salon. Et puis elles ont une chambre pour elles qui est ici. Vous avez un canapé-lit et un bureau si elles ont besoin de travailler et également un accès direct à la salle de bain. » Comme Julie, 1 100 citoyens proposent gratuitement un hébergement ponctuel aux bénéficiaires, par l'intermédiaire de l'association. « C'est très bien organisé. Ils nous contactent pour savoir si on peut héberger le soir même ou le lendemain. Si c'est possible, on répond positivement et un contrat est signé. On prend ensuite un rendez-vous avec la personne bénéficiaire de la chambre, du logement afin de pouvoir l'accueillir pendant le temps défini avec l'association. » À lire aussiLe difficile parcours administratif des femmes migrantes victimes de violences sexuelles Les abritants sont sélectionnés Une fois inscrit sur le site de l'association, les abritants n'ont aucune démarche à faire. C'est l'association qui s'occupe de l'organisation de la mise à l'abri des bénéficiaires. Charlyne Péculier, fondatrice et directrice générale de l'association : « On a des victimes qui nous contactent via notre permanence téléphonique qui sont souvent orientées par des professionnels pour une mise à l'abri. Si le cas de la situation du demandeur rentre dans notre cadre, on met en place rapidement une mise à l'abri grâce à notre base de données d'abritantes et d'abritants. Et évidemment, ce sont des abritants que l'on a sélectionnés et que l'on accompagne dans leur engagement. » Une mise à l'abri dure en moyenne 15 jours, sans obligation d'accueil pour les abritants. Et pour devenir membre du réseau de l'association, la démarche est simple : « Quand on veut devenir abritant, on s'inscrit sur le site internet de l'association. C'est un formulaire tout simple à remplir et la mise en place est rapide. » Un abri qui sauve des vies propose uniquement un hébergement temporaire le temps de trouver une solution durable. Il s'agit d'un dispositif qui vient en complément des structures mises en place par l'État, mais qui sont très fréquemment saturées. En France, 40% des femmes victimes de violence n'ont aucune solution d'hébergement. À lire aussiFrance: manifestation contre les violences faites aux femmes, le gouvernement décrié
durée : 00:59:22 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Au XVIIIe siècle, les médecins et les philosophes imposent l'idée d'une "nature féminine". Les femmes seraient d'éternelles malades, que la faiblesse et la sensibilité exacerbée écartent légitimement des sphères politiques et savantes. - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Yannick Ripa Professeure en histoire des femmes et du genre à l'Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis; Muriel Salle Historienne, maîtresse de conférences à l'Université Claude Bernard Lyon 1
Versailles, 1783. Devant trois mille personnes, un énorme ballon d'air chaud s'apprête à s'élever pour le premier vol habité de l'histoire. Le Roi Louis XVI et Marie-Antoinette retiennent leur souffle. Va-t-il s'envoler majestueusement ou finir en torche géante ? Joseph et Étienne Montgolfier sont les inventeurs de cette prouesse inédite. Plongez dans l'aventure de ces deux frères visionnaires, deux rêveurs qui ont décidé de défier le ciel. Crédits : Lorànt Deutsch, Ayrton Morice Kerneven. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouvelle semaine, nouveau sketch. ! Il fait sa révolution
Et puis un jour on se rend compte que ses fils regardent des masculinistes sur YouTube. Ou ils disent “tu es ma mère, tu dois me faire à manger”.Qu'on le veuille ou non, nos fils baignent dans des environnements qu'on ne contrôle pas, et qui infusent en eux ce que c'est censé être, un homme, un vrai. Et souvent, être mère face à tout ça, c'est comme essayer de boucher une cascade à mains nues.Julie Gavras est mère de deux garçons. Dans sa série Pas mes fils qu'on veut vous faire découvrir dans Faites des gosses, elle s'interroge sur le poids qui pèse sur les épaules de mères de garçons.Dans cet épisode, Julie Gavras interroge Danièle, gynéco-obstétricienne ; Francis Dupuis-Déri, professeur de science politique à l'Université du Québec à Montréal et auteur. Elle échange aussi avec d'autres mères de garçons.Cet épisode d'Injustices a été tourné et écrit par Julie Gavras, la réalisation est d'Anna Buy, la prise de son et le mix sont du studio la Fugitive, la musique originale a été composée et est interprétée par Dr. Chill et Samir Flynn. Louise Hemmerlé est en charge de la production. Pour aller plus loin : L'essai de Daisy Letourneur, On ne naît pas mec (éditions La Découverte)L'essai de Martine Delvaux, Le boys club (éditions Payot)L'essai d'Olivia Gazalé, Le mythe de la virilité (éditions Pocket)L'essai d'un collectif d'auteurs, Masculinités (éditions E/P/A) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Perdre l'appétit » pendant ou juste après avoir cuisiné vient d'un faisceau de mécanismes sensoriels, hormonaux et cognitifs qui se renforcent entre eux.Habituation sensorielle et “satiation spécifique”À force d'être exposé aux mêmes odeurs et vapeurs pendant 20–60 minutes, le cerveau s'y habitue. L'odorat “baisse le volume” (habituation), la salivation diminue, l'envie pour ce plat précis décroît : c'est la “satiation spécifique aux propriétés sensorielles”. Résultat : le même plat excite moins que s'il arrivait soudain sous votre nez. Parfois, on n'a plus envie que d'un goût radicalement différent (frais/acide si on a cuisiné gras et chaud).“Satiété par procuration” via les sensLes sens déclenchent une phase céphalique digestive (avant même de manger) : petites sécrétions d'insuline, de sucs gastriques, activation vagale. Une exposition prolongée (regarder, sentir, goûter en cours de route) suffit à envoyer des micro-signaux de “déjà mangé”, réduisant la motivation à se mettre à table.Grignotage invisible et micro-dégustationsUne cuillère pour rectifier l'assaisonnement, un morceau “pour voir”, un bout de pain pour la sauce… Ces bouchées enregistrent peu consciemment mais comptent. Elles relèvent la glycémie, stimulent des hormones de satiété (CCK, GLP-1), et rasent le pic de faim initial.Fatigue et légère aversion olfactiveLa chaleur, la station debout, le bruit et la vigilance (éviter de rater la cuisson) fatiguent. Le stress léger et la chaleur corporelle élevée tendent à comprimer l'appétit à court terme. De plus, l'odeur concentrée dans la cuisine peut devenir écœurante à la longue, surtout pour les préparations grasses ou très aromatiques : petit début d'aversion conditionnée.Décision et contrôle cognitifCuisiner, c'est décider sans cesse (quantités, timing, assaisonnement). Cette charge cognitive réduit l'attention aux signaux internes (faim/pleine) et peut émousser le désir de manger. Une fois le plat prêt, on “décompresse” — l'envie retombe comme après un effort.TemporalitéOn commence à cuisiner au pic de faim… mais on mange 30–60 minutes plus tard. Entre-temps, les signaux hormonaux ont fluctué et la faim peut redescendre, d'autant plus si l'on a grignoté.Comment retrouver l'appétit au moment de servir• Aérez la cuisine, ouvrez une fenêtre : chassez les odeurs persistantes.• Faites une courte “coupure” de 5–10 minutes avant de manger : sortez de la pièce, buvez un verre d'eau fraîche.• Limitez les dégustations à des micro-tests (et notez-les mentalement).• Servez-vous à table (pas dans la cuisine), changez de lumière/ambiance : le contexte relance l'envie.• Ajoutez un élément de contraste au service (salade croquante acide, herbes fraîches, agrumes) pour réveiller le palais.En bref : odeurs prolongées + petites bouchées + fatigue et chaleur + charge mentale → moindre envie immédiate. Ce n'est pas anormal ; il suffit souvent d'un changement d'air et d'un peu de contraste pour que l'appétit revienne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nouvelle semaine, nouveau sketch. “C'est son style.” C'est tout ce qu'on a à ajouter
Faites en tout temps par l'Esprit toutes sortes de prières et de supplications. Veillez à cela avec une entière persévérance, et priez pour tous les saints.
Tous les lundis 18h, l'émission rugby sur Twitch, Youtube et en podcast qui te résume l'actualité du rugby, en France (Top14, ProD2, Equipes de France) et partout dans le monde. Avec Alex Priam et Clément Combes voir parfois Joseph Ruiz, Rivenzi ou Nogodi ! Abonnez vous pour plus de rugby !
Si vous hésitez à acheter un véhiucle électrique, Il y a de bonnes affaire à réaliser du coté des voitres d'occasion. C'est ce que révèle cette semaine notre panier RTL avec Autoviza, 11e panier qui scrute chaque trimestre les tarifs de 16 modèles...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Canadiens de Montréal viennent de subir quatre défaites à ses cinq derniers matchs: qu'est-ce qui explique ces récentes performances et comment les troupes de Martin St-Louis rebondiront-elles? La perte de l'attaquant Alex Newhook, blessé à la cheville, mettra la profondeur de l'alignement à l'épreuve. Pendant ce temps, les espoirs Michael Hage et Alexander Zarovsky brillent. Ce sont quelques-uns des sujets de ce nouvel épisode de Sortie de zone avec l'animateur Jérémie Rainville et Marc-André Dumont du 98.5 Sports, ainsi que Guillaume Lefrançois et Simon-Olivier Lorange, de La Presse. Le sommaire Bloc 1 6: 00 - Analyse des récentes performances de l'équipe: un retour du balancier inévitable? 17:00 - La perte d'Alex Newhook fait mal à l'alignement du CH, lui qui connaissait un excellent début de saison. À quoi ressembleront les trios en son absence? Jared Davidson pourra-t-il saisir sa chance? Bloc 2 32:08 - Les deux meilleurs espoirs du Tricolore à l'attaque, Alexander Zarovsky et Michael Hage, connaissent de bons débuts de saison dans leur ligue respective. 45:00 - Kent Hughes devrait-il considérer une transaction pour de l'aide immédiate ou prôner la patience? Bloc 3 49:20 - La bourse de la LNH : analyse des équipes qui pourraient bouger au classement.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Si je suis traversée par les préjugés de la société à propos de ce que devrait être une femme, je dois reconnaître que je suis aussi traversée par les stéréotypes sur ce que devrait être un homme. Si j'aide mes fils à s'éloigner des modèles de masculinité hégémonique, alors je prends le risque de les voir descendre de leur piédestal de dominant, et potentiellement, d'être dominés par d'autres. Dès lors, mon inquiétude et mon envie de les protéger ne font-ils pas de moi une garante de leur masculinité ?Julie Gavras est mère de deux garçons. Dans sa série Pas mes fils qu'on veut vous faire découvrir dans Faites des gosses, elle s'interroge sur le poids qui pèse sur les épaules de mères de garçons.Camille Froidevaux-Metterie, philosophe, professeure de science politique, spécialiste des théories féministes ; Sylvie Dalnoky, psychologue et fondatrice des psy-situés ; Yoram Krakowski, psychologue clinicien membre des psy-situés ; Danièle, gynéco-obstétricienne et Sibylle Gollac, sociologue spécialisée sur l'héritage au CNRS. Elle échange aussi avec d'autres mères de garçons.Cet épisode d'Injustices a été tourné et écrit par Julie Gavras, la réalisation est d'Anna Buy, la prise de son et le mix sont du studio la Fugitive, la musique originale a été composée et est interprétée par Dr. Chill et Samir Flynn. Louise Hemmerlé est en charge de la production. Pour aller plus loin : L'essai de Daisy Letourneur, On ne naît pas mec (éditions La Découverte)L'essai de Martine Delvaux, Le boys club (éditions Payot)L'essai d'Olivia Gazalé, Le mythe de la virilité (éditions Pocket)L'essai d'un collectif d'auteurs, Masculinités (éditions E/P/A) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:14:19 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Nicolas Fontaine - Avec Simone Bitton - Lectures Frédéric Antoine, Jenny Bel'air et Fadila Belkebla - Réalisation Séverine Cassar - réalisation : Mydia Portis-Guérin
Avec la nouvelle année scolaire et peut-être aussi un peu égoïstement, j'avais envie de me, de NOUS, donner du courage... le courage d'oser, le courage de bouger, de réussir à comprendre pourquoi parfois on ne se lance pas dans cette activité qui nous donne tellement envie, pourquoi on a souvent la sensation que l'on n'y arrivera pas, que l'on va être ridicule."Pourquoi commencer la course à pied alors que je suis sûre que je vais abandonner ou que je vais être si lente ?", "Pourquoi commencer ce nouveau cours de pilate, tout le monde va me regarder et je suis raide comme un piquet ?"➡️ Bon, et si on décidait de balancer très très loin nos croyances limitantes et d'apprendre à nous faire confiance ? Dans ce format je tend le micro à des femmes qui ont douté parfois, mais qui se sont lancées à chaque fois. Des femmes sur le papier comme vous et moi : elles ne sont pas sportives de haut niveau, mais elles ont trouvé leur raison de se mettre en mouvement, d'accomplir ce qui leur donnait tant envie. Dans cet épisode c'est Alix Noblat, ancienne participante à Koh-Lanta, aujourd'hui créatrice de contenu et sportive amatrice qui vient parler de son parcours. De jeune femme peu sûre d'elle, à KIFFEUSE de la vie, Alix a appris à vivre pour elle sans écouter ce que disent les autres. Elle ne fait pas les choses pour être douée, elle fait les choses pour vibrer et ça change tout. Bienvenue dans... Croyances militantes
Nouvelle semaine, nouveau sketch. ! Si vous êtes enceinte, évitez de croiser son regard
Les mères de garçons ont la fâcheuse tendance d'être tout aussi adulées que insultées. Elles sont encensées en tant que mères sacrificielles à travers les siècles, du culte marial aux chansons de rap écoutées par mes fils. Elles sont aussi la première cible d'injures quand il s'agit en réalité de viser leurs fils. A travers elles, c'est l'honneur de tous les hommes de leur lignée qui est en jeu. C'est quoi ce paradoxe qui fait que, tout en étant glorifiées, les mères de garçons sont aussi hyper-responsabilisées pour les actions de leurs fils ?Julie Gavras est mère de deux garçons. Dans sa série Pas mes fils qu'on veut vous faire découvrir dans Faites des gosses, elle s'interroge sur le poids qui pèse sur les épaules de mères de garçons.Dans cet épisode, Julie Gavras interroge Audrey Pageau-Marcotte, rédactrice chroniqueuse à Montréal pour des médias québécois ; Sylvie Barnay, historienne, maîtresse de conférences à l'Université de Lorraine, spécialiste de l'histoire du christianisme ; Sylvie Dalnoky, psychologue et fondatrice des psy-situés. Elle échange aussi avec d'autres mères de garçons.Pour aller plus loin : L'essai de Daisy Letourneur, On ne naît pas mec (éditions La Découverte)L'essai de Martine Delvaux, Le boys club (éditions Payot)L'essai d'Olivia Gazalé, Le mythe de la virilité (éditions Pocket)L'essai d'un collectif d'auteurs, Masculinités (éditions E/P/A) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.