Et si Banksy était une femme est un podcast qui interroge la place des femmes dans le street art en France. Nous partons rencontrer les femmes qui parcourent la rue chaque jour, pour coller, peindre, militer. Six épisodes seront réalisés à Montpellier, Toulouse, Lyon, Bordeaux et Paris (avec un ép…
Je pense qu'on s'est très souvent demandé à quoi ressemblerait notre épisode sur Paris. Déjà parce que c'est le dernier gros épisode de cette série documentaire. Mais aussi parce que Paris est tellement immense qu'il faudrait plus qu'un épisode pour raconter la ville. Moi dans cet épisode j'avais envie de parler d'opportunités, celles que l'on donne aux street artistes et plus largement aux artistes. Celles que l'on donne aux femmes. L'opportunité de pouvoir faire, de pouvoir affiner son art, tester des techniques, et s'afficher en grand. Les opportunités qu'elles se créent en cassant les codes, en pétant les plafonds de verre, en s'inscrivant dans l'Histoire. Parce qu'au fond Et si Banksy était une femme c'est ça aussi : raconter les femmes qui se donnent l'espace, public ou non de réinventer de transformer l'art urbain. Mais s'ouvrir à soi des opportunités, ça ne suffit pas. Il reste un long chemin à parcourir pour que ceux et celles qui font vivre l'art urbain donnent encore plus d'opportunités aux femmes de travailler leur art, de le rendre visible, vivant. L'art urbain c'est un art vivant et mouvant. Alors je crois que Paris illustre parfaitement ça. Cette vie sur les murs, cette énergie incroyable, ce sont aussi des femmes qui ont cassé les codes, comme Miss Tic, disparue en mai 2022. Elle a ouvert un boulevard pour les autres et nous lui rendons hommage ici, et un épisode spécial sortira bientôt. Vous écoutez Et si Banksy était une femme, dédié à la ville de Paris. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Vous écoutez l'épisode 3, pour en savoir plus sur le projet et découvrir nos épisodes précédents, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musiques : Meydän-Synthwave 368 - Dyalla Les instagram de Kashink, Oja, Carole B, Combo CK et le Colors Festival
Moi la rue je la connaissais pas. Alors oui, je m'arrêtais parfois devant des fresques. J'avais bien conscience que le street art est partout. C'est pas un truc nouveau. C'est pas une pratique qui est née hier. D'ailleurs quand on commence à feuilleter les bouquins, quand on lit des articles et qu'on regarde les documentaires, on s'aperçoit que le street art fait partie de notre Histoire. Mais un jour j'ai ouvert les yeux, j'ai regardé au lieu de voir. Et devant moi y'avait des femmes en noir et blanc sur des panneaux en bois. Des photos immenses à la sortie du métro Compans Caffarelli à Toulouse. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Vous écoutez l'épisode 1, pour en savoir plus sur le projet, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Extraits utilisés dans cet épisode : Montpellier 30 ans de graffiti - Kaina TV Le clitoris pour les nuls - Clique Dimanche Canal + Greta Thunberg - How dare you Girls power Tracks- Arte Musiques utilisées dans cet épisode : Kraked Unit - Poupées russes Medyn-SynthwaveVibe Jo Stone - Cover This is a man's world Les street-artistes montpelliéraines : Sancko : @sanckoartiste www.sancko.com Cake : @cake_streetart Crying Sailor : @crying_sailor www.cryingsailor.com Clara Langelez : https://www.claralangelez.com/ @claralangelez Noon : https://collectiflesbiches.com/noon/ @annegnoon Aude Brouillé : https://www.facebook.com/Aude-B-214034622261318/ Marie Pourcho : @marie.pourchot Tussock Studio : @tussockstudio http://wwx.tussockstudio.com/ Zoulette : @zouletteandco http://zouletteandco.com/ Miss Tiki : @miss_tiki_art Fika : @fikasakif www.fikas.fr Imagin'n'co : imagin_and.co Lea Delec : @leadelec L.AY : @audichou0023 lay.onuniverse.com Débit de Beau : debitdebeau.com
Liberté. C'est un peu le sentiment prédominant de ce début d'été. C'est aussi un sentiment qui anime le travail de Marika Gysbers, alias MOG. Elle vient de terminer, au coeur de Montauban dans le Tarn-et-Garonne, une oeuvre de 13 mètres par 8 mètres. Cette fresque monumentale est une réinterprétentation du tableau La Source du célèbre peintre montalbainais Jean-Auguste Dominique Ingres. Alors, nous n'avons pas résisté à aller la rencontrer, parce que nous aussi nous avons décidé d'être libres avec ces capsules. Nous avons envie de saisir des moments, vous faire découvrir des artistes, des lieux, des instants. Nous vous proposons de rencontrer MOG. Sa sensibilité résonne dans son travail monumental et nous la remercions d'avons répondu à nos questions pour la capsule numéro 3 de Et si Banksy était une femme. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Vous écoutez la capsule 3 consacrée à l'artiste MOG (Marika Gysbers), pour en savoir plus sur le projet et découvrir nos épisodes précédents, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musiques : Meydän - SynthwaveVibe Flow-LiQWYD Retrouvez MOG sur les réseaux sociaux : Instagram : @mog_marika.gysbers http://mogartiste.com/
TW : Cet épisode aborde le sujet des féminicides et des violences physiques et sexuelles, avant de le lancer, assurez-vous d'être dans de bonnes conditions pour l'écouter. C'est un anniversaire particulier, puisque cela fait un an que le mouvement des colleuses contre les féminicides a démarré. Dans cet épisode hors série de Et si Banksy était une femme, nous revenons sur l'impact des collages et l'engagement des colleuses. En septembre 2019, de nombreux collages contre les féminicides sont apparus dans les rues de Paris. Puis dans celles de Lyon, de Toulouse, Bordeaux, Marseille, Lille, Metz, Valence, Albi, et tant d'autres villes. Des lettres noires sur des feuilles blanches A4. Des messages comme «papa il a tué maman», ou «Feminicides état coupable, justice complice», «dans 53 féminicides c'est Noel », «on nait femme et on en meurt», «elle le quitte, il la tue». Initié par la militante Marguerite Stern, le mouvement s'est étendu à toute la France, et même à l'étranger, Allemagne, Syrie ou encore en Pologne. Il nous paraissait impossible de ne pas en parler dans ce podcast qui questionne la place que prennent les femmes dans la rue. Tout d'un coup, toutes ces histoires qui restent normalement dans des huit-clos, dans l'intimité, dans le silence, sont partout dans l'espace public. Tout d'un coup, on ne tourne plus la tête en faisant semblant de ne pas comprendre. Du jour au lendemain, on marche, on achète son pain, et on se prend la réalité en pleine face. A Paris, un soir de novembre, on a rencontré un groupe de colleuses. Certaines se connaissaient, d'autres venaient pour la première fois. On leur a tendu notre micro pour qu'elles nous racontent pourquoi elles ont ressenti l'envie de prendre part à ce mouvement. On a été impressionnée par la détermination de ces femmes, mais on a aussi été bluffées par leur organisation. Ce qu'on veut montrer, entre autre, avec ce podcast, c'est la place que prennent les femmes dans la rue. On veut comprendre, avec les vécus des streets artistes, comment elles reprennent possession des murs, et explosent ceux érigés par la société. Musiques : Tilly and the wall-Love Riot Meydän-Synthwave BFMTV - Reportage 131 ème féminicide Simone media - Feminicides
Pour cet épisode, c'est à Bordeaux que nous nous sommes rendues. Nous y avons découvert une véritable réflexion sur la rue comme galerie. L'art qu'on y pose, l'art qu'on y fait, que devient-il ? Comment est-il pensé ? Ces interrogations nous poussent à aller plus dans nos réflexions sur l'intégration du street art et de l'art urbain dans la ville. Mais aussi sur comment repenser l'urbanisme autour du street art et de l'art urbain. Bordeaux est une ville surprenante, son architecture, ses quartiers, sa géographie, ne laissent pas indifférent. Les actrices et acteurs de l'art urbain, du street art, du graffiti, y repensent une ville plus mouvante, plus revendicative. Toutes ces réflexions sont en cours. Et c'est ce que nous allons vous raconter dans cet épisode. Bienvenue dans Et si Banksy était une femme, dédié à la ville de Bordeaux. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Vous écoutez l'épisode 3, pour en savoir plus sur le projet et découvrir nos épisodes précédents, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musiques : Meydän-Synthwave Jimmysquare - Mean Machine Anywhen You Say - Cheel Les instagram de Rouge, Delphine Delas, Pôle Magnetic, Elle Par'court
Ce n'est pas inné de savoir que l'on peut aller coller/graffer/peindre dans la rue. Que l'on en le droit, que l'on peut s'y exprimer. Parfois on passe à côté de ses espaces que l'on peut se réapproprier, parfois on les découvre tard. Parfois, il suffit d'un mur, en face de chez soi, en bas de son immeuble. Un mur de son quartier pour qu'on se dise que la ville, nos villes, nous appartiennent aussi. Mlle Forma fait partie de ces artistes multiples, elle diversifie ses médiums, ses échelles, ses supports. Son travail est toujours parfaitement juste, organique, évident. Alors quand nous avons appris qu'elle pegnait un mur de 200 mètres de long quartier de la gloire à Toulouse, nous sommes allées faire un tour avec notre micro. Ce projet, c'est la mairie de Toulouse, avec l'aide des habitants et des centres sociaux du quartier qui l'a porté. Mlle Forma a remporté l'appel à projet et avec Sassou, son associée, elles ont réalisé des ateliers sur le graffiti avec les enfants du quartier et les ont invité à venir peindre sur le mur. C'est ce projet hors du commun que nous voulions vous raconter pour la capsule 4 de Et si Banksy était une femme. /! Malheureusement notre micro a cherché à capter l'antenne relais située près du mur c'est pourquoi vous entendrez quelques désagréments sonores. Nous nous en excusons. Instagram de Mlle Forma : forma_julia Meydän - SynthwaveVibe Sunset'n'beach-Ofshane
Toulouse c'est notre ville. c'est là que Et si Banksy était une femme est né, entre deux sessions de collages rue Gramat. Cet épisode est le plus évident et en même temps le plus difficile à écrire Parce que les rues de Toulouse on les connaît par cœur pour les avoir arpentées des centaines de fois. Mais pour Popnographe et moi, c'est aussi l'occasion de mieux comprendre cette ville, de mieux la cerner et de mieux connaître son histoire passée et future. Ça nous donne d'autres perspectives. Plus on avance dans ce projet et plus on s'aperçoit de son importance. Pour moi c'est avant tout une question de visibilisation. De replacer les femmes street artistes dans la plus grande histoire. Celle qu'on a en commun. Celle de l'art urbain. Celle qui sera dans les livres scolaires, celle qu'on racontera, qu'on dira aux futures générations. C'est aussi important de décloisonner les récits hors des grandes capitales. Et l'histoire de l'art urbain à Toulouse est un récit passionnant. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Vous écoutez l'épisode 3, pour en savoir plus sur le projet et découvrir nos épisodes précédents, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musiques : Meydän-Synthwave Graffiti Sound rooz Cindy Lauper – Girls Just wanna have fun Nana Kwabena – Find your way beat Extraits utilisés : Archives INA – France 3 / Vincent Albinet Les street artistes toulousaines : Mademoiselle Kat : @mademoisellekat http://www.mademoisellekat.com/ Miadana : @miadana.artiste https://miadana.tumblr.com/ Mlle Forma : @forma_julia https://mlleforma.com/ Fafi : @therealfafi http://fafi.bigcartel.com/ Miss Van : @missvanofficial https://missvan.com/store/ Moune : @mynameis_moune https://www.etsy.com/shop/mounexprints/ Miss Jena : @missjenaone https://www.missjenaone.com/ Wuna : @wuna_graffiti http://wunaone.com/ La grande Mag (Région toulousaine et alentours) : @lagrandemag Galerie 22m² :https://www.facebook.com/22m2galerie/ Ressources : Olivier Gal – Truskool une histoire du Graffiti à Toulouse
Il y a les artistes qu'on aime, leurs œuvres nous parlent, elles sont pour nous un dialogue avec le monde, elles sont parfois si universelles, parfois si intimes. Il y a les artistes qui marquent leur temps, qui changent l'histoire, qui envahissent nos imaginaires. Miss tic était de ces deux là, de celles qui révolutionnent et nous parlent, elle était ce tournant dans une histoire commune. Miss tic a envahi la rue, l'espace public parisien, de façon presque méthodique. Ses œuvres sont innombrables, mais surtout elles font partie de Paris, à la fois par leur graphisme, mais aussi par leurs textes, et leurs places dans l'espace public. Comment ne pas rendre hommage à cette street-artiste qui a marqué la France ? Décédée en mai 2022, elle a écrit l'histoire du street art français et international, mais surtout, elle a ouvert la voie. C'est pourquoi il nous semble primordial d'écrire cet épisode, dans ce podcast que nous produisons et réalisons depuis 3 ans. Vous y entendrez des voix déjà écoutées auparavant, qui vous raconteront comment Miss tic les a influencé, inspiré, troublé, changé, comment cette femme qui a fait de la rue sa galerie, a révolutionné l'art urbain. Dans cet épisode, vous entendrez Oja, que vous pouvez retrouver dans l'épisode sur Paris , Delphine Delas, que vous pouvez retrouver dans l'épisode sur Bordeaux , Carole B, que vous pouvez retrouver dans l'épisode sur Paris , Océane, que vous pouvez écouter dans la capsule L'émancipation de la femme artiste dans l'art urbain . Et bien sûr, vous entendrez Miss tic, via des sons d'archives. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Pour en savoir plus sur le projet, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Sons d'archives : Miss Tic, l'artiste furieusement féministe - France TV 5 monde INA - Miss tic Cuture Prime - La légende de Miss tic Référence : Une Place - Eva Kirilof et Mathilde Lemiesle Instagram des artistes : Oja Carole B Delphine Delas Musiques : Meydän - SynthwaveVibe Swimming lessons - Bail bonds
Je pense qu'on s'est très souvent demandé à quoi ressemblerait notre épisode sur Paris. Déjà parce que c'est le dernier gros épisode de cette série documentaire. Mais aussi parce que Paris est tellement immense qu'il faudrait plus qu'un épisode pour raconter la ville. Moi dans cet épisode j'avais envie de parler d'opportunités, celles que l'on donne aux street artistes et plus largement aux artistes. Celles que l'on donne aux femmes. L'opportunité de pouvoir faire, de pouvoir affiner son art, tester des techniques, et s'afficher en grand. Les opportunités qu'elles se créent en cassant les codes, en pétant les plafonds de verre, en s'inscrivant dans l'Histoire. Parce qu'au fond Et si Banksy était une femme c'est ça aussi : raconter les femmes qui se donnent l'espace, public ou non de réinventer de transformer l'art urbain. Mais s'ouvrir à soi des opportunités, ça ne suffit pas. Il reste un long chemin à parcourir pour que ceux et celles qui font vivre l'art urbain donnent encore plus d'opportunités aux femmes de travailler leur art, de le rendre visible, vivant. L'art urbain c'est un art vivant et mouvant. Alors je crois que Paris illustre parfaitement ça. Cette vie sur les murs, cette énergie incroyable, ce sont aussi des femmes qui ont cassé les codes, comme Miss Tic, disparue en mai 2022. Elle a ouvert un boulevard pour les autres et nous lui rendons hommage ici, et un épisode spécial sortira bientôt. Vous écoutez Et si Banksy était une femme, dédié à la ville de Paris. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Vous écoutez l'épisode 3, pour en savoir plus sur le projet et découvrir nos épisodes précédents, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musiques : Meydän-Synthwave 368 - Dyalla Les instagram de Kashink, Oja, Carole B, Combo CK et le Colors Festival
Pour cet épisode, c'est à Bordeaux que nous nous sommes rendues. Nous y avons découvert une véritable réflexion sur la rue comme galerie. L'art qu'on y pose, l'art qu'on y fait, que devient-il ? Comment est-il pensé ? Ces interrogations nous poussent à aller plus dans nos réflexions sur l'intégration du street art et de l'art urbain dans la ville. Mais aussi sur comment repenser l'urbanisme autour du street art et de l'art urbain. Bordeaux est une ville surprenante, son architecture, ses quartiers, sa géographie, ne laissent pas indifférent. Les actrices et acteurs de l'art urbain, du street art, du graffiti, y repensent une ville plus mouvante, plus revendicative. Toutes ces réflexions sont en cours. Et c'est ce que nous allons vous raconter dans cet épisode. Bienvenue dans Et si Banksy était une femme, dédié à la ville de Bordeaux. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Vous écoutez l'épisode 3, pour en savoir plus sur le projet et découvrir nos épisodes précédents, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musiques : Meydän-Synthwave Jimmysquare - Mean Machine Anywhen You Say - Cheel Les instagram de Rouge, Delphine Delas, Pôle Magnetic, Elle Par'court
Hanna et Axelle ont créé Elle par'court, un projet de parcours artistique à travers Bordeaux. L'idée est de reprendre la rue en luttant contre le sentiment d'insécurité. Trois oeuvres ont été inaugurée ce 26 juin, réalisée par des femmes et minorités de genre, accompagnées par les créatrices du projet et plusieurs artistes locales. Sur la place de la victoire, à Saint-Michel et sur les quais des sports, Hanna et Axelle voulaient dire aux habitantes, aux touristes, à celles qui traversent la rue, qu'elles peuvent se l'approprier, qu'elles peuvent y prendre place. Nous vous proposons une balade avec ces deux bordelaises qui redéfinissent l'espace public et redonnent aux femmes et minorités de genre, la rue. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Pour en savoir plus sur le projet, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Pour suivre le projet d'Hanna et Axelle : @ellepar.court Musique : Meydän - Synthwave Broke in summer - Hello capitano
Cet été je suis partie à Madrid et dans la boutique du musée de la Reine Sofia j'ai trouvé un book avec tout un tas d'images et de planches pour faire du collage. C'est un art qui m'a toujours fascinée : assembler ce qui ne devait pas l'être au départ. Pour dire, montrer dénoncer...Avec son exposition Yellow, du 5 au 26 mars à la maison du Crieur de Montauban, la Grande Mag a probablement réveillé en moi et en beaucoup d'autres personnes l'envie d'assembler ce qui ne devait pas l'être au départ, pour dire, pour raconter, pour dénoncer parfois, pour militer. Car coller, sur les murs, sur le papier, peu importe où, est aussi éphémère que militant. Alors Popnographe est allée réaliser l'interview de la Grande Mag, artiste, street artiste, plasticienne, amoureuse des couleurs. Elle a pu nous livrer son parcours et ce qui l'a amené à cheminer vers cette exposition. Vous écoutez la capsule 9 de Et si banlsy était une femme. Pour nous suivre : @etsibanksy Pour suivre la Grande Mag : @lagrandemag Musique : Meydan-Synthwave Neffex - Don't wanna let myself down
De l'espace. De l'espace pour se déplacer, se mouvoir. De l'espace pour graffer, peindre, coller, militer, dessiner. De l'espace pour jouer au basket, pour danser, pour jouer au foot, pour faire du bmx, du roller et du...skate. « Deux jeunes sur trois pratiquant une activité de loisir subventionnée sont des garçons. A partir de l'entrée au collège, les filles décrochent des équipements de loisirs et deviennent rapidement invisibles dans l'espace public. Les garçons y sont plus présents et occupent quasiment seuls les « city stades », les « skate parcs », les maisons des jeunes, les gymnases, les terrains en accès libre, les salles de répétition. » Ce constat a été fait par Édith Maruéjouls-Benoit dans une thèse publiée en 2014. A l'occasion de l'exposition Ladies by Mister freeze dédiées aux femmes street artistes qui a eu lieu en octobre et novembre 2021 au Hall 82 à Montauban, nous avons rencontrés les membres de Roulez Jeunesse, une association consacrée à la pratique du skate et basée à Montauban. Lors de l'exposition, des girls sessions étaient proposées, Pauline et Mélissa nous ont expliqué la démarche. Proche de la culture street art et des questionnements que suscitent en nous l'appropriation de l'espace urbain par les femmes, il nous semblait juste de publier cette interview pour le 8 mars, journée de lutte pour les droits des femmes et pas journée de la femme. Car nous ne voulons pas des bouquets de fleurs mais un accès égalitaire à la rue, aux structures sportives et de loisirs. Pour ce 8 mars, on vous souhaite de reprendre la rue, l'espace public. D'oser aller faire du skate, du basket, du foot. D'aller graffer pour la première fois, de coller, de militer, de peindre. La rue est à vous. La rue est à nous toustes. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Pour en savoir plus sur le projet, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musique : Meydän - Synthwave Life after death - Dj Freedem Découvrir Roulez jeunesse et Mister freeze
Jeudi 14 octobre 2021, je prends le train pour Lyon, direction le festival Peinture Fraiche. Si vous êtes amateur.ices d'art urbain, vous avez déjà dû entendre parler de ce festival lyonnais, qui en seulement trois éditions est devenu un incontournable. En 2021, 54 000 personnes se sont déplacées à la Halle Debourg pour découvrir les oeuvres d'une cinquantaine d'artistes nationaux et internationaux. Pour cette capsule de Et si Banksy était une femme dédiée au festival Peinture Fraiche, je rencontre Pierrick, alias Cart'1, directeur artistique du festival. Ensemble, nous avons parlé d'histoire du street art, du public de Peinture Frainche et du numérique au service de l'art urbain. Découvrez le festival : https://www.peinturefraichefestival.fr/ Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Pour en savoir plus sur le projet, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musique : Meydän - Synthwave
L'art urbain vit en grande partie parce qu'il est exposé et parce qu'il réunit une communauté de passioné.es, de connaisseurs et connaisseuses, de curieux et curieuses. Il est donc tout naturel pour nous, au delà d'interviewer des artistes qui font vivre cette discipline de parler des festivals qui réunissent et lancent parfois ces artistes. C'est fin août que nous avons pris la route du Loiret pour cette première virée. Premier arrêt à Montargis, pour découvrir les immenses fresques réalisées lors du Hors les murs du Label Valette. Puis, nous avons conduit jusqu'à Pressigny-les-Pins pour découvrir le festival Label Valette sur un domaine exceptionnel. Avec pour symbole un château, peint chaque année par un.e nouvel.le artiste. Pour cette édition 2021, portée par Urban Art Paris, le thème était légalité/égalité. Et ça tombe bien ! On voulait justement connaître les secrets de programmation de ce type d'événement. Bienvenue dans cette capsule de Et si Banksy était une femme, dédiée au festival Label Valette. Merci à Rémi, Jeane, Bouda et Sandre pour leur temps. Liens : Label Valette Urban art Paris Bouda Sandre Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Pour en savoir plus sur le projet, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musique : Meydän - Synthwave
Pour cette capsule de Et si Banksy était une femme nous avons interviewé Océane Corbet qui a rédigé avec Solène Berthe un mémoire sur l'émancipation de la femme artiste dans l'art urbain. Ce mémoire, rédigé dans le cadre de leur master Direction de projet ou établissement culturel à l'université d'Angers a permis aux deux étudiantes de rédiger une bibliographie conséquente des recherches universitaires sur l'art urbain. elles y ont mis en avant les parcours des femmes street artistes mais aussi leur place dans l'art urbain. Ce travail universitaire a résonné avec notre travail documentaire, c'est pourquoi nous souhaitions le mettre en avant dans notre podcast. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Pour en savoir plus sur le projet, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musiques : Meydän - SynthwaveVibe Benki - Dyalla
Se rencontrer, c'est un peu le verbe qui pourrait résumer le mieux le tournage de cet épisode lyonnais. Entre deux confinements, en plusieurs allers-retours nous avons rencontré quelques-un.es de celles qui font vivre l'art urbain lyonnais. Le street art prend son ancrage sur les pentes de la croix rousse, comme un musée au cœur de la ville. Nous y avons regardé et écouté son histoire se dessiner. En filigrane, devant nos yeux, nous avons compris que Lyon est probablement une des villes où le street art est le plus présent, mouvant, vivant actuellement. Cette dynamique est portée par de nombreuses et nombreux actrices et acteurs de l'art urbain. Voici l'épisode 4 de Et si Banksy était une femme, dédié à la ville de Lyon. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Vous écoutez l'épisode 3, pour en savoir plus sur le projet et découvrir nos épisodes précédents, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musiques : Meydän-Synthwave North Oakland Extasy - Squadda B Ehrling - Champagne Ocean Les street artistes lyonnaises : Bouda : @b2o.da https://www.facebook.com/boudaillustration/Ofé : @ofe_spirographist https://ofespirographist.bigcartel.com/ Loraine Motti : @loraine_motti Cal : @cal_dessins_and_co Petite poissone : @petitepoissone https://petitepoissone.bigcartel.com/ Florina Aledo : @florina_aledo https://florina-aledoperez.com/menu Laureth sulfate : @laureth.sulfate http://laureth-sulfate.com/ Britt : @brittam67 Masha Magosia : @mashamagosia Mylla : @mylla.street.art Magrite : @magritestreetart magrite.fr Klitindastreet : @klitindastreet Les structures/festivals : Superposition : https://superposition-lyon.com/ Peinture fraîche : https://www.peinturefraichefestival.fr/
Ce n'est pas inné de savoir que l'on peut aller coller/graffer/peindre dans la rue. Que l'on en le droit, que l'on peut s'y exprimer. Parfois on passe à côté de ses espaces que l'on peut se réapproprier, parfois on les découvre tard. Parfois, il suffit d'un mur, en face de chez soi, en bas de son immeuble. Un mur de son quartier pour qu'on se dise que la ville, nos villes, nous appartiennent aussi. Mlle Forma fait partie de ces artistes multiples, elle diversifie ses médiums, ses échelles, ses supports. Son travail est toujours parfaitement juste, organique, évident. Alors quand nous avons appris qu'elle pegnait un mur de 200 mètres de long quartier de la gloire à Toulouse, nous sommes allées faire un tour avec notre micro. Ce projet, c'est la mairie de Toulouse, avec l'aide des habitants et des centres sociaux du quartier qui l'a porté. Mlle Forma a remporté l'appel à projet et avec Sassou, son associée, elles ont réalisé des ateliers sur le graffiti avec les enfants du quartier et les ont invité à venir peindre sur le mur. C'est ce projet hors du commun que nous voulions vous raconter pour la capsule 4 de Et si Banksy était une femme. /! Malheureusement notre micro a cherché à capter l'antenne relais située près du mur c'est pourquoi vous entendrez quelques désagréments sonores. Nous nous en excusons. Instagram de Mlle Forma : forma_julia Meydän - SynthwaveVibe Sunset'n'beach-Ofshane
Liberté. C'est un peu le sentiment prédominant de ce début d'été. C'est aussi un sentiment qui anime le travail de Marika Gysbers, alias MOG. Elle vient de terminer, au coeur de Montauban dans le Tarn-et-Garonne, une oeuvre de 13 mètres par 8 mètres. Cette fresque monumentale est une réinterprétentation du tableau La Source du célèbre peintre montalbainais Jean-Auguste Dominique Ingres. Alors, nous n'avons pas résisté à aller la rencontrer, parce que nous aussi nous avons décidé d'être libres avec ces capsules. Nous avons envie de saisir des moments, vous faire découvrir des artistes, des lieux, des instants. Nous vous proposons de rencontrer MOG. Sa sensibilité résonne dans son travail monumental et nous la remercions d'avons répondu à nos questions pour la capsule numéro 3 de Et si Banksy était une femme. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Vous écoutez la capsule 3 consacrée à l'artiste MOG (Marika Gysbers), pour en savoir plus sur le projet et découvrir nos épisodes précédents, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musiques : Meydän - SynthwaveVibe Flow-LiQWYD Retrouvez MOG sur les réseaux sociaux : Instagram : @mog_marika.gysbers http://mogartiste.com/
Un an, ça fait un an qu'on vit cette crise sanitaire. Un an avec des mois de liberté où on a pu aller dans les bars, les restaus, les théâtres, les musées, les galeries... Mais franchement, ça vous manque pas à vous l'art ? Ca vous manque pas de flâner dans les galeries ? De découvrir des artistes ? Ca fait des mois qu'on est coupé de tout ça, de toutes ces découvertes. Ca fait des mois qu'on a les yeux rivés aux écrans, à parcourir et raconter le monde grâce à internet. Heureusement il reste le street art. Là, ouvert sur la ville, sur les gens. Ce collage au détour d'ue rue, ce graff posé sur un immeuble, cette fresque juste à côté de chez vous. Le street art n'est pas confiné lui. Avec le confinement, on a dû repousser les tournages de notre prochain épisode. Mais on voulait quand même vous faire voyager. Parce que l'art, la culture, pour nous c'est essentiel. Et c'est aussi ce que pense Ema Col-Ulrich, galeriste à l'Atelier du Canal, à Lyon. Un endroit au coeur des puces du canal, un endroit branché art urbain et art contemporain où Ema représente 21 artistes : 10 hommes, 9 femmes et deux duos. En attendant de pouvoir prendre un café avec elle dans cet endroit si particulier, nous l'avons interviewée grâce aux nouvelles technologies. Elle nous a raconté sa vie d'agent d'artiste, son amour de l'art urbain, sa passion de la rencontre et des liens que créent les oeuvres qu'elle défend. C'est la capsule numéro 2 de Et si Banksy était une femme. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Vous écoutez la capsule 2 consacrée à la galerie Lyonnaise "Atelier du Canal", pour en savoir plus sur le projet et découvrir nos épisodes précédents, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musiques : Meydän-Synthwave Patrick Patrikios-Know Myself Découvrez l'Atelier du canal sur les réseaux sociaux : Instagram : @atelier_du_canal
Toulouse c’est notre ville. c’est là que Et si Banksy était une femme est né, entre deux sessions de collages rue Gramat. Cet épisode est le plus évident et en même temps le plus difficile à écrire Parce que les rues de Toulouse on les connaît par cœur pour les avoir arpentées des centaines de fois. Mais pour Popnographe et moi, c’est aussi l’occasion de mieux comprendre cette ville, de mieux la cerner et de mieux connaître son histoire passée et future. Ça nous donne d’autres perspectives. Plus on avance dans ce projet et plus on s’aperçoit de son importance. Pour moi c’est avant tout une question de visibilisation. De replacer les femmes street artistes dans la plus grande histoire. Celle qu’on a en commun. Celle de l’art urbain. Celle qui sera dans les livres scolaires, celle qu’on racontera, qu’on dira aux futures générations. C’est aussi important de décloisonner les récits hors des grandes capitales. Et l’histoire de l’art urbain à Toulouse est un récit passionnant. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Vous écoutez l'épisode 3, pour en savoir plus sur le projet et découvrir nos épisodes précédents, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Musiques : Meydän-Synthwave Graffiti Sound rooz Cindy Lauper – Girls Just wanna have fun Nana Kwabena – Find your way beat Extraits utilisés : Archives INA – France 3 / Vincent Albinet Les street artistes toulousaines : Mademoiselle Kat : @mademoisellekat http://www.mademoisellekat.com/ Miadana : @miadana.artiste https://miadana.tumblr.com/ Mlle Forma : @forma_julia https://mlleforma.com/ Fafi : @therealfafi http://fafi.bigcartel.com/ Miss Van : @missvanofficial https://missvan.com/store/ Moune : @mynameis_moune https://www.etsy.com/shop/mounexprints/ Miss Jena : @missjenaone https://www.missjenaone.com/ Wuna : @wuna_graffiti http://wunaone.com/ La grande Mag (Région toulousaine et alentours) : @lagrandemag Galerie 22m² : https://www.facebook.com/22m2galerie/ Ressources : Olivier Gal – Truskool une histoire du Graffiti à Toulouse
Dans l'épisode sur Toulouse, on voulait vous parler d'une rue particulière au coeur de la cité rose. Il s'agit de la rue Gramat. Nichée à côté de la place Arnaud Bernard, elle détient encore un peu de l’histoire de la ville rose. Cette histoire que l’on ne connaît pas toujours s’y on ne s’y est pas attardé un peu. Enregistrement, écriture et mixage : Popnographe & Elodie Potente Musique : DJ Freedem - Life After Death Citations : Truskool, une histoire du graffiti à Toulouse - Olivier Gal
TW : Cet épisode aborde le sujet des féminicides et des violences physiques et sexuelles, avant de le lancer, assurez-vous d’être dans de bonnes conditions pour l’écouter. C'est un anniversaire particulier, puisque cela fait un an que le mouvement des colleuses contre les féminicides a démarré. Dans cet épisode hors série de Et si Banksy était une femme, nous revenons sur l'impact des collages et l'engagement des colleuses. En septembre 2019, de nombreux collages contre les féminicides sont apparus dans les rues de Paris. Puis dans celles de Lyon, de Toulouse, Bordeaux, Marseille, Lille, Metz, Valence, Albi, et tant d’autres villes. Des lettres noires sur des feuilles blanches A4. Des messages comme «papa il a tué maman», ou «Feminicides état coupable, justice complice», «dans 53 féminicides c’est Noel », «on nait femme et on en meurt», «elle le quitte, il la tue». Initié par la militante Marguerite Stern, le mouvement s’est étendu à toute la France, et même à l’étranger, Allemagne, Syrie ou encore en Pologne. Il nous paraissait impossible de ne pas en parler dans ce podcast qui questionne la place que prennent les femmes dans la rue. Tout d’un coup, toutes ces histoires qui restent normalement dans des huit-clos, dans l’intimité, dans le silence, sont partout dans l’espace public. Tout d’un coup, on ne tourne plus la tête en faisant semblant de ne pas comprendre. Du jour au lendemain, on marche, on achète son pain, et on se prend la réalité en pleine face. A Paris, un soir de novembre, on a rencontré un groupe de colleuses. Certaines se connaissaient, d’autres venaient pour la première fois. On leur a tendu notre micro pour qu’elles nous racontent pourquoi elles ont ressenti l’envie de prendre part à ce mouvement. On a été impressionnée par la détermination de ces femmes, mais on a aussi été bluffées par leur organisation. Ce qu’on veut montrer, entre autre, avec ce podcast, c’est la place que prennent les femmes dans la rue. On veut comprendre, avec les vécus des streets artistes, comment elles reprennent possession des murs, et explosent ceux érigés par la société. Musiques : Tilly and the wall-Love Riot Medyn-Synthwave BFMTV - Reportage 131 ème féminicide Simone media - Feminicides
Dans cet épisode de Et si Banksy était une femme, nous partons à la rencontre des colleuses contre les féminicides. Ce podcast est réalisé par Elodie Potente et Popnographe, suivez-nous sur instagram @etsibanksy
Moi la rue je la connaissais pas. Alors oui, je m’arrêtais parfois devant des fresques. J’avais bien conscience que le street art est partout. C’est pas un truc nouveau. C’est pas une pratique qui est née hier. D’ailleurs quand on commence à feuilleter les bouquins, quand on lit des articles et qu’on regarde les documentaires, on s’aperçoit que le street art fait partie de notre Histoire. Mais un jour j’ai ouvert les yeux, j’ai regardé au lieu de voir. Et devant moi y’avait des femmes en noir et blanc sur des panneaux en bois. Des photos immenses à la sortie du métro Compans Caffarelli à Toulouse. Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. Vous écoutez l'épisode 1, pour en savoir plus sur le projet, rendez-vous sur notre compte instagram @etsibanksy Extraits utilisés dans cet épisode : Montpellier 30 ans de graffiti - Kaina TV Le clitoris pour les nuls - Clique Dimanche Canal + Greta Thunberg - How dare you Girls power Tracks- Arte Musiques utilisées dans cet épisode : Kraked Unit - Poupées russes Medyn-SynthwaveVibe Jo Stone - Cover This is a man's world Les street-artistes montpelliéraines : Sancko : @sanckoartiste www.sancko.com Cake : @cake_streetart Crying Sailor : @crying_sailor www.cryingsailor.com Clara Langelez : https://www.claralangelez.com/ @claralangelez Noon : https://collectiflesbiches.com/noon/ @annegnoon Aude Brouillé : https://www.facebook.com/Aude-B-214034622261318/ Marie Pourcho : @marie.pourchot Tussock Studio : @tussockstudio http://wwx.tussockstudio.com/ Zoulette : @zouletteandco http://zouletteandco.com/ Miss Tiki : @miss_tiki_art Fika : @fikasakif www.fikas.fr Imagin’n’co : imagin_and.co Lea Delec : @leadelec L.AY : @audichou0023 lay.onuniverse.com Débit de Beau : debitdebeau.com
Pour soutenir le projet : https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/et-si-banksy-etait-une-femme Et si Banksy était une femme est un podcast documentaire sur la place des femmes dans le street art en France. Six épisodes seront disponibles dès 2020.
Et si Banksy était une femme est un podcast réalisé par Elodie Potente et Popnographe. En six épisodes documentaires, dans différentes villes de France, nous allons à la rencontre de femmes street artistes. Lauréates de la "Podcast Creators session" créée par Majelan et Kiss kiss Bank Bank, notre campagne de crowdfunding est lancée : https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/et-si-banksy-etait-une-femme Retrouvez-nous également sur Instagram : @etsibanksy