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durée : 00:39:19 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Depuis une semaine la société iranienne vit sous les bombes israéliennes mais elle vit aussi depuis des décennies sous la dictature des mollahs. Qu'adviendra-t-il pour les civils iraniens si le régime venait à changer ? Pour y répondre, nous recevons quatre artistes iraniens exilés. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Mehran Tamadon Documentariste.; Sepideh Farsi Cinéaste; Sorour Kasmaï Romancière, traductrice, éditrice; Mina Kavani comédienne et autrice
« J'avais jamais fait le lien de la musique avec mes origines, et j'ai commencé à digger des sons de musique de mes parents. » À l'occasion de sa Release Party à La Maroquinerie le 12 juin 2024, Thérèse et Banh Mi Media se sont associés pour organiser une table ronde inédite : 9 artistes asio-descendant·es réuni·es pour répondre à une question essentielle
Jubilé 2025 : la Cathédrale Saint-Louis célèbre les artistes et la résilience humaine
Dans cet épisode d'Insight, on explore les liens entre musique et marketing avec Charlotte Gay, Directrice des Partenariats chez Play Two et fondatrice de Music Lab for Brands. Pourquoi la musique est-elle un levier aussi puissant pour les marques ? Comment créer des collaborations qui vont au-delà du simple placement de produit ? Pourquoi les artistes sont devenus des alliés stratégiques pour raconter des histoires fortes et toucher les communautés ? De la création de contenu au live, du clip à la co-création, Charlotte nous ouvre les portes d'un écosystème riche et en constante évolution.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui on vous présente un extrait tiré de l'épisode avec le ministre de la culture Mathieu Lacombe où on revient sur le débat qui dérange sur la rentabilité des artistes depuis la prise de position de Guillaume Abbatiello (Pizza Salvatoré) sur le financement de la culture québécoise. Est-ce qu'on devrait la subventionner? Devrait-on voir un artiste comme une entreprise? Dites-nous ce que vous en pensez dans les commentaires! Pour voir l'épisode complet: https://youtu.be/M3nMvYOW6TQ Pour commanditer le podcast, pour louer un de nos studios ou pour toutes autres demande, écrivez-nous au: info@studiosf.ca Pour nous suivre: https://www.instagram.com/sansfiltrepodcast Pour nous suivre: https://www.instagram.com/phcantin/ https://www.instagram.com/doumplante/ https://www.facebook.com/Sans-Filtre-Podcast
Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !
"Ces papiers d'agrumes sont des images qui voyagent, mais aussi des objets chargés de politique." Aujourd'hui, Graphic Matter vous emmène au MIAM, le Musée International des Arts Modestes à Sète, où l'exposition Superbemarché se tient jusqu'en mars 2026. Commissaires de l'exposition, les designers graphiques Gaëlle Sandré et Sébastien Dégeilh du studio Rovo nous reçoivent sur place pour raconter cette étonnante collection de papiers d'agrumes, oui j'ai bien dit papiers d'agrumes, entre arts modestes, graphisme, commerce et mondialisation.On parle aussi de leur démarche ancrée dans le territoire, de leur maison d'édition Trèfle, de leurs résidences, de la transmission à travers l'enseignement, et de leur manière sensible et située de penser le design graphique.Et puis au détour de la conversation, ils nous recontent leur collection de cartes postales de recettes de cuisine… en alexandrins.Un grand merci à Gaëlle Maury directrice de La Fenêtre et à Françoise Adamsbaum, directrice du MIAM pour leur invitation à visiter cette superbe exposition. Cet été, passez à Sète et au MIAM.➡️ Exposition Superbemarché - Papiers d'agrumes & Co@r0v0.frrovo.frLes références et noms cités : - @miam_artsmodestes- @la_fenetre_mtp- Pascal Casson, peintre, collectionneur- Odette Lachenal et Jean Cessaire, collectionneur- Alfredo Massip- Jean Le Gac, artiste- Emilie Bernard- Hervé Di Rosa, artiste, cofondateur MIAM, théoricien arts modestes- Françoise Adamsbaum, directrice du MIAM @fjradams- Gaëlle Maury, directrice de La Fenêtre à Montpellier- Carole Maréchal, chercheuse sur statut objets graphiques- Olivier Huz, prof Beaux-Arts de Toulouse- Antoni Miralda, artiste- Bruno Munari, designer italien, auteur de Good Design- Revue DocumentsType in use : Michelin par RovoPour faire un don et soutenir le podcast.Pour vous inscrire à la newsletter mensuelle de Graphic Matter.Pour suivre le podcast @graphicmatterpodcastMerci pour votre soutien, on se retrouve toutes les deux semaines pour une nouvelle rencontre. Conception, production, curation, graphisme : Louise GomezHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Six des principaux syndicats du milieu culturel québécois ont uni leurs voix lundi après-midi au Centre Mont-Royal pour dénoncer l’impact croissant de l’intelligence artificielle sur le travail des artistes. Entrevue avec Laurent Dubois, directeur général de la Société des auteur.e.trice.s de radio, télévision et cinéma (SARTEC). Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Merci de soutenir mon travail sur Patreon ou sur PaypalL'exposition "Paris noir - Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950 – 2000" met en lumière 150 artistes afro-descendants, de l'Afrique aux Amériques en passant par la Caraïbe, dont les œuvres n'ont souvent jamais été montrées en France. Une exposition historique à ne pas manquer !De la création de la revue Présence africaine à celle de Revue noire, l'exposition "Paris noir" retrace la présence et l'influence des artistes noirs en France entre les années 1950 et 2000. Plongée vibrante dans un Paris cosmopolite, lieu de résistance et de création, véritable laboratoire panafricain, l'exposition dévoile l'importance l'importance de ces artistes dans la redéfinition des modernismes et post-modernismes.Visite de l'exposition "Paris noir" avec Alicia Knock et Éva Barois de CaevelDéfi historiographique et matériel de par l'invisibilisation des artistes, la dispersion, voire la disparition de leurs œuvres à travers plusieurs continents, et les lacunes éditoriales et de recherche autour de leurs pratiques, elle retrace, pour la première fois dans une institution nationale française, cinquante ans d'émancipation et d'expression artistique à Paris. Dans la préface du superbe catalogue Paris Noir, Alicia Knock écrit : "L'exposition « Paris noir» a pour ambition de proposer des outils d'exploration d'œuvres et de trajectoires marginalisées. Elle incarne une volonté de résister à la disparition d'œuvres, d'archives et de lieux de création. Elle célèbre des artistes qui ont persisté à s'engager et à créer, malgré un isolement institutionnel. Elle est une invitation à élargir les perspectives et à écrire une histoire-monde multiculturelle."Il est fortement conseillé de réserver ! Vous pouvez le faire sur le site du Centre Pompidou ici.Paris noir - Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950 – 200019 mars - 30 juin 2025 - Centre Pompidou, ParisMarie-Siguier est co-commissaire de l'exposition "Paris noir", attachée de conservation au sein du département Créations contemporaines et prospectives.Pour voir les liens, photos, playlists et vidéos mentionnés durant l'interview, rendez-vous sur la page de ce podcast sur le site So Sweet Planet On parle de ces podcasts de So Sweet Planet dans l'interview :Le premier panorama des revues artistiques et culturelles du 20è siècle ! Rencontre avec Mica Gherghescu pour évoquer La Fabrique de l'Histoire de l'Art. (2 épisodes)La bibliothèque Chimurenga à Paris : Généalogies de l'imagination radicale noire dans le monde francophone. (3 épisodes) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
12 artistes pointent du doigt le groupe Ad Litteram. Le médecin personnel et Joe Biden est appelé à témoigner. La Russie a massivement bombardé l’Ukraine. Le Canada et la Chine se sont entendus pour régulariser les voies de communication entre eux. L’enseigne de La Baie en danger. Pas facile pour les jeunes de se trouver un emploi d’été. Une autre aménagement fait tomber les piétons à Montréal. Tour de table entre Isabelle Perron, Audrey Gagnon et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !
Raphaelle de Barmon reçoit Fleur Nabert Sites de l'artiste :https://fleurnabert.fr/ :https://fleurnabertcreations.com/
durée : 00:21:46 - Le café des artistes à Biarritz : la convialité en menu du jour !
Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !
Aujourd'hui, 4 juin 2025, 1197è jour d'une guerre qui a poussé 4.300.000 Ukrainiens à trouver refuge dans l'Union européenne, principalement en Pologne, Allemagne et République Tchèque. Celles et ceux qui sont restés massivement engagés dans la défense de leur pays, que ce soit au combat ou dans le civil. Habitués à ne pas compter sur un appareil d'État souvent fragile, les Ukrainiens font preuve d'inventivité et de solidarité. À Kiev, le festival international du livre Arsenal réunit des milliers de visiteursEn Ukraine, malgré la guerre qui bat son plein, la vie cherche un semblant de normalité. Le festival international du livre s'est tenu le week-end dernier dans la capitale. Artistes, écrivains, maisons d'éditions se sont retrouvés dans un grand espace du centre-ville pour promouvoir la langue et la culture ukrainiennes. Cette année, les événements étaient placés sous la bannière «Tout est traduction». Visite guidée, Emmanuelle Chaze. Ukraine, la force des faibles (Éd. du Seuil, coll. Libelle)Dans son dernier ouvrage, Anna Colin-Lebedev, maîtresse de conférence, spécialiste de l'Ukraine, se penche sur les racines de la résistance civile, sur le sens de l'engagement citoyen et les ingrédients de son succès. De retour de Kiev, elle nous livre son témoignage. La chronique musique de Vincent Théval : Giorgio Poi Nelle tue piscine (Italie). Surtourisme et pénurie de logementsAvec son climat idyllique et ses plages, l'archipel des îles Canaries au large de l'Afrique de l'Ouest n'est pas épargné par la crise du logement qui secoue l'Espagne continentale. Il a accueilli l'an dernier (2024) plus de 17 millions de touristes. Le marché locatif est devenu inabordable pour les habitants, dans les zones très touristiques mais aussi, et c'est plus récent, dans la capitale régionale. Reportage à Las Palmas de Gran Canaria, Nicolas Kirilowits.
Aujourd'hui, 4 juin 2025, 1197è jour d'une guerre qui a poussé 4.300.000 Ukrainiens à trouver refuge dans l'Union européenne, principalement en Pologne, Allemagne et République Tchèque. Celles et ceux qui sont restés massivement engagés dans la défense de leur pays, que ce soit au combat ou dans le civil. Habitués à ne pas compter sur un appareil d'État souvent fragile, les Ukrainiens font preuve d'inventivité et de solidarité. À Kiev, le festival international du livre Arsenal réunit des milliers de visiteursEn Ukraine, malgré la guerre qui bat son plein, la vie cherche un semblant de normalité. Le festival international du livre s'est tenu le week-end dernier dans la capitale. Artistes, écrivains, maisons d'éditions se sont retrouvés dans un grand espace du centre-ville pour promouvoir la langue et la culture ukrainiennes. Cette année, les événements étaient placés sous la bannière «Tout est traduction». Visite guidée, Emmanuelle Chaze. Ukraine, la force des faibles (Éd. du Seuil, coll. Libelle)Dans son dernier ouvrage, Anna Colin-Lebedev, maîtresse de conférence, spécialiste de l'Ukraine, se penche sur les racines de la résistance civile, sur le sens de l'engagement citoyen et les ingrédients de son succès. De retour de Kiev, elle nous livre son témoignage. La chronique musique de Vincent Théval : Giorgio Poi Nelle tue piscine (Italie). Surtourisme et pénurie de logementsAvec son climat idyllique et ses plages, l'archipel des îles Canaries au large de l'Afrique de l'Ouest n'est pas épargné par la crise du logement qui secoue l'Espagne continentale. Il a accueilli l'an dernier (2024) plus de 17 millions de touristes. Le marché locatif est devenu inabordable pour les habitants, dans les zones très touristiques mais aussi, et c'est plus récent, dans la capitale régionale. Reportage à Las Palmas de Gran Canaria, Nicolas Kirilowits.
Hi my G, j'espère que tu vas bien ! Dans ce tout nouvel épisode, on parle de mon rapport à la féminité, de comment je l'ai construite et surtout, déconstruite.Artistes mentionné.e.s : Ruthee - Le mal de toi Theodora - Mega BBLClique ici pour ma playlist de printemps
Ida y Vuelta és el festival de la Casa Musicale que complirà 30 anys el 2026. Tindrà lloc els dies 6, 7 i 8 de juny.El festival ofereix una programació eclèctica on hi tenen cabuda totes les músiques: reggae, soul, rock, electro, jazz, hip-hop, funk…Aquest esdeveniment és cada any el clímax de la Casa Musicale perquè, si bé cada nova edició veu passar per la gran escena nombrosos caps de cartell, Ida y Vuelta no oblida la promoció dels artistes regionals i emergents que actuen en diferents espais del festival. Artistes als quals la Casa acompanya i dona suport durant tot l'any, al voltant de 100 grups i companyies de música, teatre i dansa. També és una presentació del treball dels aficionats que han assajat tot l'any, més o menys 700 persones. Ja sigui dansa, coral, o música de tots els gèneres.Un festival compromès i gratuït per mantenir-lo accessible a tothom.Entre els artistes convidats el 2025: Samira Brahmia, DJ Taj Mahal, Enock, Chakib, Maguelon, Theo 1337, Raffut, Skatalans, Yumitus y el Tourné, Iriwan, Las Panteras…Rebecca Bouillou, la directora de la Casa Musicale, ens ha parlat del programa d'aquesta nova edició.
Découvrez l'histoire surprenante de "Cocaine" d'Eric Clapton. Fabrice Laffitte révèle comment ce tube, souvent mal interprété, est en réalité un puissant message anti-drogue.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du nouveau dans nos oreilles ! Médecins: peu de rendez-vous le vendredi et les fins de semaine. Projet de loi 89. Dépôt sauvage: c’est long avant de sévir. En préparation de la rencontre des premiers ministres à Saskatoon. Mathieu Darche rencontre la presse. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Graphic Matter [STATION] est une capsule radiophonique éphémère, installée au cœur des événements du design graphique. Des voix, des sons, des gestes… captés en direct du terrain.Enregistrée à chaud pendant la Biennale internationale de design graphique 2025 à Chaumont et pendant 3 jours, GM tend le micro aux graphistes, éditeur·ices, étudiant·es et visiteur·euses.
Graphic Matter [STATION] est une capsule radiophonique éphémère, installée au cœur des événements du design graphique. Des voix, des sons, des gestes… captés en direct du terrain.Enregistrée à chaud pendant la Biennale internationale de design graphique 2025 à Chaumont et pendant 3 jours, GM tend le micro aux graphistes, éditeur·ices, étudiant·es et visiteur·euses.
Graphic Matter [STATION] est une capsule radiophonique éphémère, installée au cœur des événements du design graphique.Des voix, des sons, des gestes… captés en direct du terrain.Enregistrée à chaud pendant la Biennale internationale de design graphique 2025 à Chaumont et pendant 3 jours, GM tend le micro aux graphistes, éditeur·ices, étudiant·es et visiteur·euses.
Plus de 40 artistes retracent dix ans de création inspirée par l'intelligence artificielle au Jeu de Paume avec la nouvelle exposition Le Monde selon l'IA. Une exposition à voir jusqu'au 21 septembre qui questionne notre rapport à l'IA, son impact sur l'art et sur notre façon de représenter le monde. Au Jeu de Paume, à Paris, l'intelligence artificielle (IA) est décortiquée par les artistes qui nous en montrent les aspects peu reluisants en les critiquant, mais aussi tentent de créer de nouveaux possibles en essayant de débrider les IA. Dans cette exposition, il n'est pas question d'être béat face à l'intelligence artificielle, ses biais et ses limites. Dès l'entrée, la question de la ressource, entre l'énergie consommée pour les faire fonctionner ou l'utilisation de minerai disponible en quantité limitée. À coup de grands diagrammes complexes prenant tout l'espace des murs, on devine les quantités d'énergie nécessaires rien que pour faire fonctionner une simple requête sur Alexa.« Nous avons choisi des artistes qui ont une posture critique face à l'IA et face à ces modèles qui commencent à développer des capacités qui vont au-delà des humains, déclare Antonio Somaini, enseignant-chercheur à la Sorbonne et commissaire général de cette exposition. L'on entend souvent parler de l'IA comme quelque chose qui développe une intelligence semblable à celle des humains, mais là, nous faisons face à des modèles qui font des choses dont, nous, les humains, ne sommes pas capables. »Des biais occidentaux reproduits par l'IADes capacités qui dépassent celles de l'humain, mais une base de données alimentée… par des humains. Le problème est que ce sont toujours les mêmes : principalement des Occidentaux, ce qui crée des biais. Pour résoudre ces problèmes de biais culturels et ethniques, il faut alors enseigner à l'IA de nouveaux alphabets, de nouvelles langues, de nouvelles représentations, tout cela en veillant à ne pas reproduire les stéréotypes. Avec Tongues, l'artiste sénégalo-libanaise, Linda Dounia Rebeiz a enseigné à l'IA son propre modèle d'écriture asémique, c'est-à-dire dénuée de signification, et inspiré de sept calligraphies de différentes parties du monde, mais avec un focus sur les graphies africaines comme l'amharique : « L'idée derrière était de montrer qu'il y avait un biais pour l'alphabet romain dans les modèles d'IA générative aujourd'hui. Alors que dans un monde où il y a des milliers de langues écrites avec beaucoup de formes différentes et jolies, je pensais que c'était réductif ce que l'on avait à disposition. »Effacement et tombe numériqueDans cette même critique des biais de l'IA, l'artiste américano-saoudienne Nouf Aljowaysir avec son projet Salaf signifiant « ancêtre » en arabe, qui critique les limitations des intelligences artificielles. Elle pointe les difficultés des IA occidentales à reconnaitre et bien nommer ce qu'elles voient lorsque cette dernière présente des photos de ses ancêtres bédouins. Pour elle, c'est dû au fait que les données utilisées pour entraîner les IA restituent les préjugés coloniaux des archives européennes qui ont été exploitées. Elle a ensuite utilisé un modèle d'IA générative où les silhouettes des personnes sur les photos sont masquées par un filtre blanc, soulignant l'effacement de la mémoire collective de ces ancêtres par l'IA.L'intelligence artificielle ouvre aussi la voie à des créations plus philosophiques et artistiques. Pour son œuvre La Quatrième Mémoire, Grégory Chatonsky a reproduit une sépulture où l'on voit un gisant à plat ventre et un film généré en temps réel par IA : « Cette installation, c'est ma tombe. C'est un projet très personnel. Mais ce n'est pas la vie factuelle que j'ai vécue. C'est tout ce que je n'ai pas vécu, c'est ma vie possible. L'intelligence artificielle générative génère des documents qui nous ressemblent, des choses qui n'existent pas, mais qui sont vraisemblables. Et donc, je me suis dit que la tombe du futur pourrait poursuivre notre mémoire pour la rendre éternelle, un peu comme l'ont fait les Égyptiens avec les pyramides. »Si l'intelligence artificielle peut être un formidable outil de création et d'innovation, elle reste le reflet de ceux qui la nourrissent. Sans prise en compte de la diversité, elle risque de reproduire, voire d'amplifier, les biais du monde réel. À nous donc de l'appréhender autrement.À lire aussiLe monde du doublage en colère et inquiet face aux dérives de l'IA
Plus de 40 artistes retracent dix ans de création inspirée par l'intelligence artificielle au Jeu de Paume avec la nouvelle exposition Le Monde selon l'IA. Une exposition à voir jusqu'au 21 septembre qui questionne notre rapport à l'IA, son impact sur l'art et sur notre façon de représenter le monde. Au Jeu de Paume, à Paris, l'intelligence artificielle (IA) est décortiquée par les artistes qui nous en montrent les aspects peu reluisants en les critiquant, mais aussi tentent de créer de nouveaux possibles en essayant de débrider les IA. Dans cette exposition, il n'est pas question d'être béat face à l'intelligence artificielle, ses biais et ses limites. Dès l'entrée, la question de la ressource, entre l'énergie consommée pour les faire fonctionner ou l'utilisation de minerai disponible en quantité limitée. À coup de grands diagrammes complexes prenant tout l'espace des murs, on devine les quantités d'énergie nécessaires rien que pour faire fonctionner une simple requête sur Alexa.« Nous avons choisi des artistes qui ont une posture critique face à l'IA et face à ces modèles qui commencent à développer des capacités qui vont au-delà des humains, déclare Antonio Somaini, enseignant-chercheur à la Sorbonne et commissaire général de cette exposition. L'on entend souvent parler de l'IA comme quelque chose qui développe une intelligence semblable à celle des humains, mais là, nous faisons face à des modèles qui font des choses dont, nous, les humains, ne sommes pas capables. »Des biais occidentaux reproduits par l'IADes capacités qui dépassent celles de l'humain, mais une base de données alimentée… par des humains. Le problème est que ce sont toujours les mêmes : principalement des Occidentaux, ce qui crée des biais. Pour résoudre ces problèmes de biais culturels et ethniques, il faut alors enseigner à l'IA de nouveaux alphabets, de nouvelles langues, de nouvelles représentations, tout cela en veillant à ne pas reproduire les stéréotypes. Avec Tongues, l'artiste sénégalo-libanaise, Linda Dounia Rebeiz a enseigné à l'IA son propre modèle d'écriture asémique, c'est-à-dire dénuée de signification, et inspiré de sept calligraphies de différentes parties du monde, mais avec un focus sur les graphies africaines comme l'amharique : « L'idée derrière était de montrer qu'il y avait un biais pour l'alphabet romain dans les modèles d'IA générative aujourd'hui. Alors que dans un monde où il y a des milliers de langues écrites avec beaucoup de formes différentes et jolies, je pensais que c'était réductif ce que l'on avait à disposition. »Effacement et tombe numériqueDans cette même critique des biais de l'IA, l'artiste américano-saoudienne Nouf Aljowaysir avec son projet Salaf signifiant « ancêtre » en arabe, qui critique les limitations des intelligences artificielles. Elle pointe les difficultés des IA occidentales à reconnaitre et bien nommer ce qu'elles voient lorsque cette dernière présente des photos de ses ancêtres bédouins. Pour elle, c'est dû au fait que les données utilisées pour entraîner les IA restituent les préjugés coloniaux des archives européennes qui ont été exploitées. Elle a ensuite utilisé un modèle d'IA générative où les silhouettes des personnes sur les photos sont masquées par un filtre blanc, soulignant l'effacement de la mémoire collective de ces ancêtres par l'IA.L'intelligence artificielle ouvre aussi la voie à des créations plus philosophiques et artistiques. Pour son œuvre La Quatrième Mémoire, Grégory Chatonsky a reproduit une sépulture où l'on voit un gisant à plat ventre et un film généré en temps réel par IA : « Cette installation, c'est ma tombe. C'est un projet très personnel. Mais ce n'est pas la vie factuelle que j'ai vécue. C'est tout ce que je n'ai pas vécu, c'est ma vie possible. L'intelligence artificielle générative génère des documents qui nous ressemblent, des choses qui n'existent pas, mais qui sont vraisemblables. Et donc, je me suis dit que la tombe du futur pourrait poursuivre notre mémoire pour la rendre éternelle, un peu comme l'ont fait les Égyptiens avec les pyramides. »Si l'intelligence artificielle peut être un formidable outil de création et d'innovation, elle reste le reflet de ceux qui la nourrissent. Sans prise en compte de la diversité, elle risque de reproduire, voire d'amplifier, les biais du monde réel. À nous donc de l'appréhender autrement.À lire aussiLe monde du doublage en colère et inquiet face aux dérives de l'IA
Clap de fin ce samedi pour le Festival de Cannes. Une 78è édition qui restera très politique, à l'image des multiples prises de position -contre le président américain Donald Trump ou la guerre à Gaza- qui ont marqué la cérémonie d'ouverture. Cannes est-il à l'image de l'engagement des artistes ou bien celui-ci est-il en recul ? La parole est-elle de moins en moins libre ? En quoi peut-elle faire bouger les choses ? Pour en débattre :- Charles Berling, comédien, metteur en scène, directeur de la scène nationale Châteauvallon-Liberté, à Toulon. Il fête cette année les 60 ans du très beau site de Chateauvallon, avec le festival d'été qui aura lieu du 26 juin au 29 juillet 2025- Yuming Hey, comédien. Aujourd'hui il monte les marches du Festival de Cannes pour son interprétation dans le film Ma frère, de Lise Akoka et Romane Gueret présenté en sélection officielle dans la section Cannes Première, par ailleurs, il joue actuellement au Théâtre 14 Les bonnes de Jean Genet, mise en scène de Mathieu Touzé- Emmanuel Wallon, professeur émérite de Sociologie politique à l'Université Paris Nanterre.
Clap de fin ce samedi pour le Festival de Cannes. Une 78è édition qui restera très politique, à l'image des multiples prises de position -contre le président américain Donald Trump ou la guerre à Gaza- qui ont marqué la cérémonie d'ouverture. Cannes est-il à l'image de l'engagement des artistes ou bien celui-ci est-il en recul ? La parole est-elle de moins en moins libre ? En quoi peut-elle faire bouger les choses ? Pour en débattre :- Charles Berling, comédien, metteur en scène, directeur de la scène nationale Châteauvallon-Liberté, à Toulon. Il fête cette année les 60 ans du très beau site de Chateauvallon, avec le festival d'été qui aura lieu du 26 juin au 29 juillet 2025- Yuming Hey, comédien. Aujourd'hui il monte les marches du Festival de Cannes pour son interprétation dans le film Ma frère, de Lise Akoka et Romane Gueret présenté en sélection officielle dans la section Cannes Première, par ailleurs, il joue actuellement au Théâtre 14 Les bonnes de Jean Genet, mise en scène de Mathieu Touzé- Emmanuel Wallon, professeur émérite de Sociologie politique à l'Université Paris Nanterre.
Hi my G, j'espère que tu vas bien ! Dans ce nouvel épisode, on revient sur les derniers mois compliqués que j'ai passés, sur mon état d'esprit, de mon "abandon" et de comment j'essayer d'y remédier. Artistes mentionné.e.s : Aya Nakamura ft Joé Dwèt Filé - Baddies Tuerie - Les Amant terribles Aminé - 13 Months of Sunshine Clique ici pour ma playlist de printemps
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De plus en plus d'artistes internationaux choisissent de chanter en français, une tendance mise en lumière dans ce podcast musical. Jay-Jay Johanson, chanteur suédois, propose ainsi un titre entièrement en français dans son nouvel album. Lors de l'Eurovision, plusieurs candidats non francophones, comme ceux des Pays-Bas ou d'Israël, ont eux aussi chanté dans la langue de Molière. Ce phénomène, bien que récent dans sa popularité, existe depuis longtemps : Marlène Dietrich, les Beatles, Elton John ou encore Sting s'y sont essayés. Des reprises de classiques français par des stars comme Shakira ou Grace Jones illustrent cette fascination. Chanter en français permet souvent de se démarquer dans un paysage musical dominé par l'anglais. Cela donne aussi une touche d'exotisme et ouvre les portes à un nouveau public. Certains y trouvent une richesse émotionnelle intraduisible dans leur propre langue. Cette pratique témoigne d'un véritable respect artistique pour la culture francophone. Plus qu'une mode, c'est un élargissement des horizons créatifs. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans Pop culture, Mathieu Alterman raconte chaque week-end l'actualité qui fait du bien aux yeux, au cœur et aux oreilles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On continue le débrief de la Draft des 32 équipes ! Au programme aujourd'hui, les Arizona Cardinals.Une draft axée sur la défense et qui, sur le papier, tutoie la perfection : du talent, des besoins comblés et du capital dépensé à bon escient.Le meilleur choix, le plus mauvais, le plus intrigant, tous ces choix vont être analysés par Antoine Ajavon et Cyprien Delmas au micro.Bonne écoute ! Become a member at https://plus.acast.com/s/touchdown-actu-nfl-podcast. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Hi my G, j'espère que tu vas bien ! Dans ce tout nouvel épisode, je t'aide à régler tes petits problèmes de cœur, d'amitié ou de vie, tout simplement ! Artistes mentionnés : Jake & Papa - CinnamonClique ici pour ma playlist de printemps
durée : 00:59:41 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Toutes deux inspirées par la parole et la force de Gisèle Pélicot, la chanteuse Suzane et l'autrice Claire Berest viennent de publier respectivement le clip "Je t'accuse" et "La Chair des autres". Comment les artistes s'emparent de ce phénomène judiciaire et sociétal ? On en parle à 13h30.
durée : 00:14:56 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - Quand la parole de Gisèle Pélicot inspire des femmes artistes - avec Claire Berest et Suzane
Dans cet épisode du Sans Filtre Podcast, on reçoit Mathieu Lacombe, ministre de la Culture du Québec. Une discussion sans langue de bois sur l'état de notre culture, le rôle du gouvernement, les plateformes comme Netflix et Spotify, et surtout… l'avenir des artistes d'ici. Ce que tu vas entendre : - Pourquoi le Québec n'écoute que 5 % de sa propre musique - L'envers du décor des négos budgétaires - Le vrai pouvoir du Québec sur les géants du streaming - Pourquoi la prise de risque est essentielle en culture - La place des podcasts et créateurs numériques dans les politiques culturelles Une discussion franche sur les critiques du milieu artistique Pour commanditer le podcast, pour louer un de nos studios ou pour toutes autres demande, écrivez-nous au: info@studiosf.ca Pour nous suivre: https://www.instagram.com/sansfiltrepodcast Pour nous suivre: https://www.instagram.com/phcantin/ https://www.instagram.com/doumplante/ https://www.facebook.com/Sans-Filtre-Podcast
Pourtant épargnée depuis le début du conflit, Port-Soudan, capitale provisoire depuis la destruction de Khartoum, est la cible d'attaques de drones quotidiennes depuis ce dimanche (4 mai). La ville portuaire accueille des centaines de milliers de déplacés internes, qui vivent chez des proches ou dans des camps de fortune. Parmi eux, des musiciens, qui ont décidé de faire l'école Al Shourta un lieu de refuge et de création. De notre correspondante à Nairobi de retour de Khartoum,Dans la cour de l'école Al Shourta, à côté du marché central de Port-Soudan, on trouve quelques tentes, des chevalets, des instruments de musique et un amplificateur. « Cet endroit est un refuge pour les artistes : musiciens, comédiens, réalisateurs, etc., explique Mohammed Hassan, le coordinateur du lieu. Nous avons quatre pièces. La première est dédiée aux arts plastiques, et celle à côté, c'est le studio de musique. La troisième pièce est consacrée aux arts dramatiques. Et la dernière, tout au fond, c'est là que vivent les familles. Ici, on vit en harmonie. On vient d'endroits très différents et on a vécu beaucoup de choses. Mais les artistes créent l'harmonie. C'est ça la musique. »Amin organise des ateliers avec des enfants déplacés : « J'essaie, avec la musique et ma guitare, d'apporter quelque chose de bénéfique aux miens. » Avant la guerre, il était professeur de musique et concertiste dans le grand hôtel Corinthia à Khartoum. « Grâce à la musique et à l'art, j'apprends aux enfants à développer leurs capacités, à vivre avec les autres, leur communauté, leur famille, eux-mêmes, expose le musicien. Parce que maintenant tout est ravagé. Dès le début de la guerre, beaucoup de familles sont restées coincées et la vie est devenue compliquée. C'est toujours difficile, mais je peux utiliser mon talent pour m'aider et aider les autres… La vie doit continuer. »À lire aussiGuerre au Soudan: troisième jour de bombardements sur Port-Soudan« Je pense que la musique est bénéfique pour guérir et permettre de rêver à demain »Cette communauté d'artistes s'est constituée par le bouche-à-oreille. Hassin Abdulaziz Sahan vient du nord de Kordofan et a fait de la musique sa thérapie : « Je pense que la musique est bénéfique pour guérir, permettre de rêver à demain et de regagner espoir, confie le compositeur et interprète. C'est pour cela que j'ai besoin de mes amis, d'artistes comme moi, à mes côtés... J'ai déjà composé plusieurs morceaux sur la guerre, ils parlent de nos maisons abandonnées. L'art fait une énorme différence. On est tous plongés dans cette situation pénible, dans l'obscurité. On a tous besoin de voir la lumière. »Mais ce sont des nuages de fumée noire que les habitants de Port-Soudan ont vu ces derniers jours. Les drones des Forces de soutien rapide (FSR) ont frappé l'aéroport, une base militaire et une station électrique. À lire aussiSoudan: l'enfer pour les habitants de l'île de Tuti [1/3]À lire aussiSoudan: le pillage de la Maison du Khalifa [2/3]
durée : 00:19:21 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - La chanteuse Wejdene est l'invitée de Léa Salamé à l'occasion de la sortie de son nouveau titre "Dans tes bras" le 25 avril dernier, ainsi que son clip. Elle revient sur sa folle ascension, l'impact des réseaux sociaux sur sa carrière, son évolution musicale et ses inspirations.
durée : 00:19:21 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - La chanteuse Wejdene est l'invitée de Léa Salamé à l'occasion de la sortie de son nouveau titre "Dans tes bras" le 25 avril dernier, ainsi que son clip. Elle revient sur sa folle ascension, l'impact des réseaux sociaux sur sa carrière, son évolution musicale et ses inspirations.
durée : 00:56:24 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie DUNCAN - Lucy Schwob et Suzanne Malherbe, figures du mouvement surréaliste sous les noms de Claude Cahun et Marcel Moore, ont produit une œuvre souvent signée à deux. En 1938, le couple s'installe sur l'île de Jersey mais le havre de paix est bouleversé à l'été 40 quand l'île est envahie par l'armée d'Hitler
Els artistes evolucionen, i el seu so tamb
durée : 00:14:41 - L'invité d'un jour dans le monde - « Conclave », « Habemus Papal », « les 2 papes », « The young pope ».... cette période de conclave nous rappelle que la figure du Pape inspire les artistes. Des Films, séries, figurines diverses, aux comptes Tik Tok, Il y a du soft power au Vatican.
Hi my G, j'espère que tu vas bien ! Dans ce tout nouvel épisode, on parle du comeback du culte de la minceur, de comment ça m'affecte moi et de comment ça peut affecter les petites filles et adolescentes. PRECOMMANDE SMALL TALK !!!!!!Artistes mentionné.e.s : Coco Jones - Why Not MoreDestin Conrad - LOVE ON DIGITALMegan Thee Stallion - Whenever Ayra Starr, Wizkid - Gimme DatClique ici pour ma playlist de printemps
Which Artistes Hold The Top Four Spots In Ghana? An Online Debate.
Le Barreau des arts fête ses cinq ans. Cette association française fondée par de jeunes avocats apporte une aide bénévole aux artistes précaires et notamment aux artistes étrangers. Droit d'auteur, droit à l'image, droits voisins, les artistes sont souvent démunis face aux acteurs de l'industrie culturelle. Le Barreau des arts leur offre des analyses et des conseils gratuitement. Avijit Gosh est un peintre indien. Il vit dans un petit studio du 13e arrondissement de Paris. L'an dernier, il a fait appel aux avocats du Barreau des arts, alors qu'un imprimeur prétendait avoir des droits sur ses peintures. « Pour moi, c'est vraiment une bonne expérience. Quelqu'un, une société, une organisation m'a écouté », se réjouit-il.Les avocats du Barreau des arts ont étudié son dossier, puis ont adressé une lettre à l'imprimeur qui a abandonné ses demandes infondées. L'association gère ainsi une centaine de dossiers par an. Musiciens, plasticiens, comédiens, écrivains, tous les domaines artistiques sont concernés. « Nous allons prendre en compte deux critères : le fait que ce soit du droit d'auteur, et que cela réponde aux critères de l'aide juridictionnelle, puisque l'on va aider des artistes en situation de précarité. Ensuite, on va transmettre le dossier à un étudiant bénévole qui va travailler dessus, appeler l'artiste, réunir des pièces complémentaires. Puis, à un avocat qui va prendre le temps de conseiller de manière personnalisée l'artiste sur sa problématique », détaille Corentin Schimel, juriste et photographe, l'un des cofondateurs de l'association. Être en position de négocier pour l'artiste Le Barreau des arts intervient sur les questions de droits d'auteurs uniquement, les contrats, leurs déséquilibres possibles, les questions de plagiat et de contrefaçon. « Je pense que ce que l'on fait, c'est donner des outils pour que l'artiste se sente en mesure de négocier face, parfois, à une institution ou un partenaire plus fort entre guillemets ou qui est accompagné juridiquement. Et donc d'être dans une position pour négocier », estime Lucie Tréguier, cofondatrice et présidente du Barreau des arts. L'idée générale est d'éviter d'aller jusqu'au procès. La plupart des cas se résolvent par la négociation. « Ce sera du règlement amiable du dossier, donc on va aiguiller la personne en lui disant : "Voilà, on te conseille de faire valoir tes droits de telle manière, de revendiquer tel fondement", et puis d'aller discuter avec la personne pour essayer de s'arranger. Surtout dans le domaine de la musique qui s'y prête beaucoup », constate Aurélie Leroy, avocate.Soixante-quinze avocats collaborent avec le Barreau des arts. Tous le font pro bono, c'est-à-dire bénévolement. « Je pense que c'est une bonne balance avec notre métier d'avocat. Ce que l'on propose dans le cadre du barreau des arts, c'est vraiment d'aider les plus précaires qui n'auraient pas accès au droit. Et dans ma vision du métier, c'est quelque chose qui est important », confie Lucie Tréguier. Dans les rares cas où l'artiste est obligé de faire appel aux tribunaux pour trancher un litige, le Barreau des arts peut faire jouer le droit de suite et obtenir une prise en charge des frais d'avocat de leur bénéficiaire.À lire aussiFrance: rapport accablant d'une commission d'enquête sur les violences dans le milieu artistique
Dans le Paris de l'après-guerre, artistes et intellectuels venus d'Afrique, des Caraïbes et des Amériques se sont retrouvés dans la ville lumière, afin d'explorer l'identité noire. C'est l'époque du "Paris noir", du nom d'une exposition éponyme, qui se tient actuellement au Centre Pompidou, à Paris. Elle retrace la présence de 150 artistes africains, afro-américains et caribéens dans la ville-lumière durant la seconde moitié du XXᵉ siècle. Dans cette émission, nous vous emmenons sur les traces du "Paris noir" et à la rencontre d'artistes contemporains, dignes héritiers de cette époque.
durée : 00:04:16 - Le Zoom de France Inter - Loin de l'image que l'on se fait habituellement d'un Ehpad, la Maison nationale des artistes, à Nogent-sur-Marne, ressemble plus à un musée qu'à une maison de retraite. Et pour cause : elle accueille des artistes qui continuent de créer et d'exposer malgré leur grand âge.
Avec Marthe Davost et Raphaelle de Barmon https://marthedavost.fr/