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Aujourd'hui, Demain N'attend Pas souffle sa 100ème bougie. Et je ressens une immense gratitude. J'ai lancé ce podcast en plein Covid. Le monde était à l'arrêt.Je revenais en France après sept années passées aux États-Unis, avec une envie profonde de me rapprocher du monde de l'impact et des personnes engagées, ici, en France. Dans un moment où tout semblait incertain, j'avais besoin de sens, d'espoir, d'action … Alors, j'ai allumé un micro. Je suis partie à la rencontre de celles et ceux qui étaient assez braves, assez fous, assez téméraires pour croire qu'ils pouvaient réparer le monde et contribuer à le rendre un peu meilleur. Et avec la conviction que nous étions nombreux à ressentir un besoin vital d'entendre ces voix. Depuis, le podcast a grandi, épisode après épisode :Avec des invités formidables qui s'engagent de mille façons : dirigeants d'entreprises engagées, fondateurs d'ONG, artistes activistes, scientifiques, philosophes, explorateurs… Avec une déclinaison sous forme de livre – Les Inspirants (Éditions de l'Aube), disponible en librairie et hautement recommandé comme lecture d'été (à la Fnac ici) Avec des enregistrements vidéo disponibles sur YouTube depuis le début d'année (je n'en reviens toujours pas d'avoir une chaîne Youtube… cela fait beaucoup rire mes enfants…) Avec des moments merveilleux de rencontres en direct, comme les tables rondes organisées à l'occasion de l'Université de la Terre ce printemps. Aujourd'hui, Demain N'attend Pas vous appartient. Il existe pour vous et grâce à vous, vous qui l'écoutez et le soutenez. Semaines après semaines. Gratitude infinie ! Pour ce 100ème épisode, je me suis lançée dans un exercice inhabituel : passer de l'autre côté du micro. Je suis interviewée par mon amie Claire Bône, fondatrice du magnifique podcast Encore. Moi qui ne suis habituellement pas très bavarde sur mon compte pendant les interviews, je vous raconte tout : Pourquoi j'ai créé Demain N'attend Pas, Mes rêves les plus fous avec ce podcast, Ce que j'ai appris grâce à toutes ces conversations, Comment je vois son avenir… J'espère que vous aurez autant de plaisir à l'écouter que j'en ai eu à l'enregistrer Et comme toujours, si l'épisode vous plait et si vous voulez fêter avec moi, partagez-cet épisode. Offrez-le à un ami, un collègue, votre voisine engagée ou votre oncle sceptique. Qui sait, il pourrait adorer
Tu as du mal à déconnecter du travail le soir, le week-end ou en vacances ? Voici 6 clés précieuses pour arriver à couper après le boulot, même si tu es en télé-travail ! .........Notes de l'épisode :
Salut c'est Ibby,Dans cet épisode, on parle d'un sujet simple, mais si puissant : juste sois toi-même.Tu n'as pas besoin d'en faire trop. Pas besoin de forcer pour plaire, ni de te travestir pour être accepté(e). Ta vérité, ta sensibilité, tes défauts et ta lumière… tout ça mérite d'exister tel quel.Je te parle comme à un(e) ami(e), avec des mots sincères, des citations que j'aime, et surtout cette certitude : tu n'as rien à prouver pour être aimé(e).Alors si parfois tu te sens un peu trop, ou pas assez — respire. Tu es exactement là où tu dois être.Prends un moment pour toi et rejoins-moi dans cette parenthèse bienveillante.Et n'oublie pas : le plus bel amour, c'est celui que tu te portes à toi-même.N'hésite pas à lâcher un 5 ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ et un petit commentaire
Salut c'est Ibby,Dans cet épisode, on parle de ces décisions qu'on prend sans retour en arrière. Parfois, la coupure est nécessaire. Parfois, tu réalises qu'il n'y a plus rien à dire. Que rester, c'est trahir ton évolution. Que pardonner ne veut pas toujours dire reconnecter.Je te parle de ces moments où tu choisis de ne plus jamais répondre. Non pas par haine, mais par respect pour toi. Je partage avec toi des réflexions et des citations qui m'ont aidée à faire la paix avec ces silences définitifs. Parce qu'on ne guérit pas toujours en recollant — parfois, on guérit en se retirant.Alors prends un moment pour toi et rejoins-moi dans cette conversation honnête et nécessaire.Rappelle-toi : dire stop peut être un acte d'amour envers soi.N'hésite pas à lâcher un 5 ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ et un petit commentaire
Tu crois que faire +10K€/mois en coaching, c'est la liberté, la facilité, le kiff total ?La réalité est souvent bien plus nuancée… et personne n'en parle franchement. Dans cet épisode, je te partage les coulisses sans filtre d'un business à +50K€/mois : les remises en question, les erreurs, l'auto-sabotage… mais aussi les clés pour tenir sur la durée et vraiment vivre de ton activité. Tu vas découvrir : ✅ Les coulisses réelles (et parfois inconfortables) d'un business qui cartonne ✅ Pourquoi ton état d'esprit est la seule vraie stratégie qui compte ✅ Comment aligner ton activité avec ta vision, sans t'épuiser ✅ Ce qui fait vraiment la différence entre stagner et scaler Ce podcast pourrait bien changer ta façon de voir ton activité. Pas de recette miracle ici, mais un vrai miroir pour t'aider à upgrader — avec simplicité, clarté et intention.
À 25 ans, comment les jeunes voient-ils le monde du travail, l'entrepreneuriat ? Comment se projettent-ils dans l'avenir ? RFI est allé aux quatre coins de la planète pour sonder des jeunes nés en l'an 2000 sur leurs espoirs, mais aussi les difficultés qu'ils rencontrent dans leur quotidien. Aujourd'hui, direction l'Estonie à la rencontre de Mihkel, ingénieur dans une startup de la défense. De notre envoyé spécial à Tallinn, Mikhel nous guide dans les locaux de sa start-up installée dans un grand bâtiment en lisière de forêt. La façade de l'immeuble est en bois. À l'étage, au-dessus de ses bureaux, une cuisine partagée et un sauna. « Le sauna, c'est vrai, c'est un peu cliché », s'en amuse-t-il. Travailler dans une start-up pourrait aussi relever du cliché tant elles sont nombreuses ici. L'Estonie est le pays d'Europe qui compte le plus de start-ups par habitants, plus d'un millier pour 1,4 million d'habitants. « Ici, beaucoup de jeunes étudient les nouvelles technologies très tôt. Dès le lycée ou la fac, on nous enseigne cette culture de l'entrepreneuriat. Cela fait maintenant deux ans que je travaille dans différentes start-ups. Le vrai boom, c'était surtout il y a cinq ans. Les choses ont un peu changé depuis le Covid, il y a moins de levées de fonds et trouver de l'argent devient un peu plus difficile », explique-t-il. Mais Mihkel ne se plaint pas. Sa start-up, Wayren, est spécialisée dans la cybersécurité. « Je suis ingénieur informatique, je dessine des composants électroniques. Aujourd'hui, les start-ups qui ont le vent en poupe, c'est dans la défense. C'est notre domaine, on est en pleine expansion », confie-t-il. Car en Estonie, l'invasion de l'Ukraine en février 2022 a ravivé les craintes d'une agression du grand voisin russe et rappelé l'urgence d'investir dans l'industrie militaire. L'année prochaine, le pays va consacrer plus de 5 % de son PIB à sa défense. « La Russie n'a jamais été très amicale avec ses voisins. Ils ont occupé l'Estonie. Maintenant, vous avez Vladimir Poutine au pouvoir qui cherche à reconstruire l'empire russe. On verra bien ce qui arrivera, redoute le jeune homme, qui avoue néanmoins réussir à mener la vie assez normale d'un jeune homme de 25 ans. Je joue aux vidéos, je sors avec des amis, on va randonner. » Une vie normale, ou presque. « J'ai fait mon service militaire juste après le lycée, je suis réserviste. J'ai rejoint ensuite la Ligue de défense estonienne qui est une force de civil destinée à venir en aide à l'armée estonienne si besoin. Moi, je suis rattaché à la section cybersécurité. De grands exercices sont organisés, on appelle cela des hackathons. On se retrouve pour simuler des attaques numériques et y répondre. » Et si Mikhel ne croit pas à une guerre avec la Russie, il considère que cette option existe. « Nous devons donc être prêts », estime-t-il. À lire aussiL'Estonie, qui renforce sa défense face à la menace russe, reçoit le soutien des États-Unis
Les studios Kirah de Conakry, nés en 2017, se sont imposés comme un haut lieu de production artistique et culturelle en Guinée. Ils sont un incubateur très prisé pour les artistes en herbe. Ils peuvent venir y travailler librement sur leurs projets personnels. Ils y trouvent des formations techniques en photo, en montage ou en design. Les activités des studios se structurent autour de deux projets phares : « Musi'Shine », pour accompagner de jeunes chanteurs et chanteuses dans leur professionnalisation, et l'accueil du festival de théâtre « Univers des mots ». Dans le quartier de Kipé, c'est dans ce bâtiment de deux étages et son jardin, où s'entasse le matériel laissé en vrac par des scénographes, qu'aura lieu le festival « Univers des mots », en novembre. Aujourd'hui, des artistes français et guinéen en résidence aux studios Kirah travaillent sur le spectacle qu'ils proposeront lors du festival, explique Myriame, une responsable des studios : « Dans le cadre d'Univers des mots, on a un projet inclus dedans, « Les mots et le geste ». Ça permet de rassembler les artistes en binômes, on crée des binômes mixtes interdisciplinaires avec des artistes français et guinéens. C'est vraiment un échange culturel qu'on veut au travers de ça, une communication entre différentes formes d'arts, les différentes disciplines. Créer un projet pour aider les populations à prendre conscience de certains enjeux sociaux ». Slam et danse : une collaboration en mouvement Maureen, une danseuse française, a profité de sa résidence pour animer des ateliers avec des danseurs guinéens : « Le projet de « L'univers des mots, Les mots et le geste », c'est de créer un métissage et un lien entre un artiste guinéen et un artiste français. Moi je suis danseuse et je vais travailler avec un artiste guinéen, Bademba Barry, qui est slameur. Le but est de collaborer, de trouver une thématique en s'inspirant de l'univers d'ici, de Conakry, trouver un thème. Et à partir de ça, trouver son axe de recherche, développer et créer une proposition artistique, un duo, qui mélange le slam et la danse ». Bademba Barry aussi anime des ateliers, de slam, pendant sa résidence. Pour lui, il s'agit autant de métisser les équipes d'artistes que les arts sonores et visuels, pour créer un spectacle complet : « L'intérêt, c'est d'apporter une expression visuelle au slam qui est un art d'expression orale. Moi, je l'ai déjà fait, ça fait déjà cinq bonnes années que je fais de grands spectacles à Conakry où je fais intervenir des danseurs et d'autres artistes. Mais cette fois-ci c'est différent, car Maureen est une danseuse professionnelle. […] Elle a de l'expression dans le mouvement. Je pense qu'elle pourra parfaitement interpréter mes mots à travers ses mouvements sur une scène. J'ai d'ailleurs hâte de voir la thématique que nous allons choisir et l'œuvre que nous allons créer ». Structurer une carrière artistique en Guinée Un autre grand projet des studios Kirah, c'est « Musi'Shine », un programme aidant des chanteurs et chanteuses talentueux à pouvoir vivre de leur art, à travers du coaching par des chanteurs expérimentés et des formations juridiques sur les contrats ou les droits d'auteurs. Le rappeur Africanisé en a bénéficié l'an dernier. « Pour moi, le début, c'était juste une passion. Et après, j'ai compris, quand je suis venu à Musi'Shine, ils m'ont fait comprendre que ce que je fais, je peux en vivre. Ils m'ont appris le sens du métier, ils m'ont appris à m'organiser de façon professionnelle. C'est-à-dire à me structurer, même si pour le moment tout n'est pas encore au complet, mais ils m'ont beaucoup aidé sur ce plan ». Une nouvelle cohorte de chanteurs va participer cette année à ce programme des studios Kirah pour booster leur carrière.
À 25 ans, comment les jeunes voient-ils le monde du travail, l'entrepreneuriat ? Comment se projettent-ils dans l'avenir ? RFI est allé aux quatre coins de la planète pour sonder des jeunes nés en l'an 2000 sur leurs espoirs, mais aussi les difficultés qu'ils rencontrent dans leur quotidien. Aujourd'hui, direction l'Estonie à la rencontre de Mihkel, ingénieur dans une startup de la défense. De notre envoyé spécial à Tallinn, Mikhel nous guide dans les locaux de sa start-up installée dans un grand bâtiment en lisière de forêt. La façade de l'immeuble est en bois. À l'étage, au-dessus de ses bureaux, une cuisine partagée et un sauna. « Le sauna, c'est vrai, c'est un peu cliché », s'en amuse-t-il. Travailler dans une start-up pourrait aussi relever du cliché tant elles sont nombreuses ici. L'Estonie est le pays d'Europe qui compte le plus de start-ups par habitants, plus d'un millier pour 1,4 million d'habitants. « Ici, beaucoup de jeunes étudient les nouvelles technologies très tôt. Dès le lycée ou la fac, on nous enseigne cette culture de l'entrepreneuriat. Cela fait maintenant deux ans que je travaille dans différentes start-ups. Le vrai boom, c'était surtout il y a cinq ans. Les choses ont un peu changé depuis le Covid, il y a moins de levées de fonds et trouver de l'argent devient un peu plus difficile », explique-t-il. Mais Mihkel ne se plaint pas. Sa start-up, Wayren, est spécialisée dans la cybersécurité. « Je suis ingénieur informatique, je dessine des composants électroniques. Aujourd'hui, les start-ups qui ont le vent en poupe, c'est dans la défense. C'est notre domaine, on est en pleine expansion », confie-t-il. Car en Estonie, l'invasion de l'Ukraine en février 2022 a ravivé les craintes d'une agression du grand voisin russe et rappelé l'urgence d'investir dans l'industrie militaire. L'année prochaine, le pays va consacrer plus de 5 % de son PIB à sa défense. « La Russie n'a jamais été très amicale avec ses voisins. Ils ont occupé l'Estonie. Maintenant, vous avez Vladimir Poutine au pouvoir qui cherche à reconstruire l'empire russe. On verra bien ce qui arrivera, redoute le jeune homme, qui avoue néanmoins réussir à mener la vie assez normale d'un jeune homme de 25 ans. Je joue aux vidéos, je sors avec des amis, on va randonner. » Une vie normale, ou presque. « J'ai fait mon service militaire juste après le lycée, je suis réserviste. J'ai rejoint ensuite la Ligue de défense estonienne qui est une force de civil destinée à venir en aide à l'armée estonienne si besoin. Moi, je suis rattaché à la section cybersécurité. De grands exercices sont organisés, on appelle cela des hackathons. On se retrouve pour simuler des attaques numériques et y répondre. » Et si Mikhel ne croit pas à une guerre avec la Russie, il considère que cette option existe. « Nous devons donc être prêts », estime-t-il. À lire aussiL'Estonie, qui renforce sa défense face à la menace russe, reçoit le soutien des États-Unis
Mon enfant, Mon Coeur est brûlant d'Amour pour toi, et Je brûle du désir d'une plus grande intimité avec toi. Tu es très précieux pour Moi, ton Dieu. J'ai besoin de toi, mais J'ai surtout besoin de te voir très près de Mon Coeur. J'ai beaucoup d'Amour à déverser en toi, laisse-toi combler. Enfant de Mon Coeur, Je t'aime. Parce que l'Amour nous aime, nous devenons l'amour!
20 avril, 5 h 05 Merci Seigneur Jésus pour le beau témoignage de sœur T. et de ce que j'entends régulièrement en regard des onctions de Paix et d'Amour que Vous mettez dans le cœur des lecteurs et lectrices. Merci pour cette grande faveur que vous nous faites d'être témoins de Votre agir. Je vous demande de combler d'une façon bien particulière les lecteurs et lectrices aujourd'hui-même et dans les jours à venir. Je dépose dans Votre Cœur et Celui de Maman Marie ces rencontres d'adoration, de prière, de témoignages. Éventuellement des Eucharisties seront célébrées aux intentions des lecteurs et lectrices du volume. Merci d'entendre ma prière. Merci pour tant d'Amour. Je Vous aime. « Mon tout-petit, Je suis dans la très grande Joie de voir des cœurs s'ouvrir davantage à Moi et d'accueillir davantage Mon Amour; il est là le véritable chemin de la vie, de la vraie Vie. De plus en plus vous serez nombreux à accueillir ce trop-plein d'Amour du Père qui passe tantôt directement par Moi, Son Fils, par l'action de l'Esprit Saint, et tantôt par Marie, Ma Sainte Mère, par les Saints et Saintes du Paradis et de la Terre, les Saints Anges et les âmes du purgatoire. Finalement, cet Amour passe par tous ceux et celles qui L'accueillent, qui s'en laissent pénétrer et qui donnent un “oui” totalà Dieu. Plus ily aura d'Eucharisties vécues dans la foi, de temps d'ado- ration, de prières et de témoignages à la Gloire de Dieu et à Lui seul, plus rapidement vous serez nombreux à entrer dans cette Église Nouvelle, dans cette Société Nouvelle baséesur l'Amour. Très bientôt, vous serez témoins de ce que produit l'Amour lorsqu'Il est accueilli et vécu. Demeurez bien attentifs au souffle de l'Esprit qui fera éclater aux yeux du monde la grande puissance de Dieuà travers les groupes capables d'accueillirce nouveau renouveau continu. Demeurez bien en paix et disposés à accueillir ce souffle nouveau. Tendrement et follement, Je vous aime.» Pour visionner ce RDV du Dimanche, rendez-vous sur notre site web.
Programa de Música Dance dels 80's, realitzat per Josep Maria Jurado pop. S'emet per Ràdio Vic , Ràdio ARRC, Vic Fm, Alpicat Ràdio, Ràdio Vitamènia, Cunit Ràdio Cap de Creus, Ràdio Cubelles, Ràdio Moià, Ràdio Vilafant, Ràdio Calella. podcast recorded with enacast.com
Les studios Kirah de Conakry, nés en 2017, se sont imposés comme un haut lieu de production artistique et culturelle en Guinée. Ils sont un incubateur très prisé pour les artistes en herbe. Ils peuvent venir y travailler librement sur leurs projets personnels. Ils y trouvent des formations techniques en photo, en montage ou en design. Les activités des studios se structurent autour de deux projets phares : « Musi'Shine », pour accompagner de jeunes chanteurs et chanteuses dans leur professionnalisation, et l'accueil du festival de théâtre « Univers des mots ». Dans le quartier de Kipé, c'est dans ce bâtiment de deux étages et son jardin, où s'entasse le matériel laissé en vrac par des scénographes, qu'aura lieu le festival « Univers des mots », en novembre. Aujourd'hui, des artistes français et guinéen en résidence aux studios Kirah travaillent sur le spectacle qu'ils proposeront lors du festival, explique Myriame, une responsable des studios : « Dans le cadre d'Univers des mots, on a un projet inclus dedans, « Les mots et le geste ». Ça permet de rassembler les artistes en binômes, on crée des binômes mixtes interdisciplinaires avec des artistes français et guinéens. C'est vraiment un échange culturel qu'on veut au travers de ça, une communication entre différentes formes d'arts, les différentes disciplines. Créer un projet pour aider les populations à prendre conscience de certains enjeux sociaux ». Slam et danse : une collaboration en mouvement Maureen, une danseuse française, a profité de sa résidence pour animer des ateliers avec des danseurs guinéens : « Le projet de « L'univers des mots, Les mots et le geste », c'est de créer un métissage et un lien entre un artiste guinéen et un artiste français. Moi je suis danseuse et je vais travailler avec un artiste guinéen, Bademba Barry, qui est slameur. Le but est de collaborer, de trouver une thématique en s'inspirant de l'univers d'ici, de Conakry, trouver un thème. Et à partir de ça, trouver son axe de recherche, développer et créer une proposition artistique, un duo, qui mélange le slam et la danse ». Bademba Barry aussi anime des ateliers, de slam, pendant sa résidence. Pour lui, il s'agit autant de métisser les équipes d'artistes que les arts sonores et visuels, pour créer un spectacle complet : « L'intérêt, c'est d'apporter une expression visuelle au slam qui est un art d'expression orale. Moi, je l'ai déjà fait, ça fait déjà cinq bonnes années que je fais de grands spectacles à Conakry où je fais intervenir des danseurs et d'autres artistes. Mais cette fois-ci c'est différent, car Maureen est une danseuse professionnelle. […] Elle a de l'expression dans le mouvement. Je pense qu'elle pourra parfaitement interpréter mes mots à travers ses mouvements sur une scène. J'ai d'ailleurs hâte de voir la thématique que nous allons choisir et l'œuvre que nous allons créer ». Structurer une carrière artistique en Guinée Un autre grand projet des studios Kirah, c'est « Musi'Shine », un programme aidant des chanteurs et chanteuses talentueux à pouvoir vivre de leur art, à travers du coaching par des chanteurs expérimentés et des formations juridiques sur les contrats ou les droits d'auteurs. Le rappeur Africanisé en a bénéficié l'an dernier. « Pour moi, le début, c'était juste une passion. Et après, j'ai compris, quand je suis venu à Musi'Shine, ils m'ont fait comprendre que ce que je fais, je peux en vivre. Ils m'ont appris le sens du métier, ils m'ont appris à m'organiser de façon professionnelle. C'est-à-dire à me structurer, même si pour le moment tout n'est pas encore au complet, mais ils m'ont beaucoup aidé sur ce plan ». Une nouvelle cohorte de chanteurs va participer cette année à ce programme des studios Kirah pour booster leur carrière.
Salut c'est Ibby,Dans cet épisode, si tu te sens seul, je suis là.Juste toi et moi, comme deux amis qui parlent tard le soir. Je te partage quelques citations que j'aime, je te parle avec douceur, sans prétention, juste pour t'accompagner un peu. Pas besoin de tout comprendre, ni de tout régler aujourd'hui.C'est un épisode simple, plein de présence et d'humanité. Parce que parfois, ce dont on a le plus besoin… c'est juste d'une voix qui réchauffe un peu le silence.Alors pose ton téléphone, ferme les yeux si tu veux, et laisse-moi t'accompagner.Rappelle-toi : tu n'es pas seul.e, et tu mérites de te sentir aimé et entendu, même dans les jours où tu doutes.N'hésite pas à lâcher un 5 ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ et un petit commentaire
Commentaire de L'Évangile du jour Luc 11, 1-13 Il arriva que Jésus, en un certain lieu, était en prière. Quand il eut terminé, un de ses disciples lui demanda : « Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean le Baptiste, lui aussi, l'a appris à ses disciples. » Il leur répondit : « Quand vous priez, dites : ‘Père, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour. Pardonne-nous nos péchés, car nous-mêmes, nous pardonnons aussi à tous ceux qui ont des torts envers nous. Et ne nous laisse pas entrer en tentation. » Jésus leur dit encore : « Imaginez que l'un de vous ait un ami et aille le trouver au milieu de la nuit pour lui demander : ‘Mon ami, prête-moi trois pains, car un de mes amis est arrivé de voyage chez moi, et je n'ai rien à lui offrir.' Et si, de l'intérieur, l'autre lui répond : ‘Ne viens pas m'importuner ! La porte est déjà fermée ; mes enfants et moi, nous sommes couchés. Je ne puis pas me lever pour te donner quelque chose'. Eh bien ! je vous le dis : même s'il ne se lève pas pour donner par amitié, il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami, et il lui donnera tout ce qu'il lui faut. Moi, je vous dis : Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira. En effet, quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; à qui frappe, on ouvrira. Quel père parmi vous, quand son fils lui demande un poisson, lui donnera un serpent au lieu du poisson ? ou lui donnera un scorpion quand il demande un œuf ? Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus le Père du ciel donnera-t-il l'Esprit Saint à ceux qui le lui demandent ! » L'Amour Vaincra ! Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op) Et l'aventure continue ! retrouvez : les vidéos sur
durée : 00:44:06 - Ma différence à moi - par : Giulia Foïs - Julie est une influenceuse qui a été gravement brûlée dans un accident il y a 12 ans. Elle raconte pourquoi il lui a fallu du temps pour accepter ses cicatrices, et comment le contact avec la nature ainsi que le surf l'ont aidée à se réconcilier avec elle-même. - réalisé par : Séverine Cassar, Fanny BOHUON Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Voici l'Évangile du dimanche 27 juillet 2025 : « Demandez, on vous donnera » (Lc 11, 1-13) Il arriva que Jésus, en un certain lieu, était en prière. Quand il eut terminé, un de ses disciples lui demanda : « Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean le Baptiste, lui aussi, l'a appris à ses disciples. » Il leur répondit : « Quand vous priez, dites : ‘Père, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour Pardonne-nous nos péchés, car nous-mêmes, nous pardonnons aussi à tous ceux qui ont des torts envers nous. Et ne nous laisse pas entrer en tentation. » Jésus leur dit encore : « Imaginez que l'un de vous ait un ami et aille le trouver au milieu de la nuit pour lui demander : ‘Mon ami, prête-moi trois pains, car un de mes amis est arrivé de voyage chez moi, et je n'ai rien à lui offrir.' Et si, de l'intérieur, l'autre lui répond : ‘Ne viens pas m'importuner ! La porte est déjà fermée ; mes enfants et moi, nous sommes couchés. Je ne puis pas me lever pour te donner quelque chose'. Eh bien ! je vous le dis : même s'il ne se lève pas pour donner par amitié, il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami, et il lui donnera tout ce qu'il lui faut. Moi, je vous dis : Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira. En effet, quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; à qui frappe, on ouvrira. Quel père parmi vous, quand son fils lui demande un poisson, lui donnera un serpent au lieu du poisson ? ou lui donnera un scorpion quand il demande un œuf ? Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus le Père du ciel donnera-t-il l'Esprit Saint à ceux qui le lui demandent ! » Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Salut c'est Ibby,Dans cet épisode, on parle de ces moments où on a été blessé. Trahi. Abîmé. Et où on n'a pas d'autre choix que d'avancer.Mais avancer, ça ne veut pas dire oublier. Tu n'as pas à faire semblant que ça ne t'a pas touché. Tu n'as pas à effacer les cicatrices juste pour faire genre que t'es “au-dessus de tout ça”. Tu peux continuer ta route, te reconstruire, rêver à nouveau… tout en te souvenant.Parce que parfois, vouloir oublier à tout prix, c'est rester enfermé dans ce que tu refuses de regarder. Alors n'oublie pas. Rappelle-toi du mal, mais surtout de la leçon. Et avance avec ça dans les mains. C'est ce qui fera ta force.Rappelle-toi : le plus bel amour, c'est celui que tu te portes à toi-même.N'hésite pas à lâcher un 5 ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ et un petit commentaire
Coucou les abonnés, ça va bien ? Moi je suis en vacances au soleil et je vous envoie une carte postale, comme promis ! La face A de cette dernière c'est une très belle illustration à l'aquarelle d'une pinède typiquement provençale, et la face B c'est moi qui l'aie noircie de ma plus belle écriture pour vous raconter de façon concise ma seule vraie semaine de repos de l'année. Comme c'est un peu long d'écrire les adresses de chacun d'entre vous sur des cartes postales différentes et que, on va pas se mentir, ça me coûterait une blinde en timbres, je vais me contenter de vous la lire dans cet épisode. Ici Mathilde, de Dance With Him et vous écoutez Radio Mama. Instagram : @dance_with_him Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tinubu Confirms Nigeria Ex President Muhammadu Buhari Dies In Londonhttps://osazuwaakonedo.news/tinubu-confirms-nigeria-ex-president-muhammadu-buhari-dies-in-london/13/07/2025/#Breaking News #Buhari #London #Muhammadu ©July 13th, 2025 ®July 13, 2025 8:23 pm President Bola Ahmed Tinubu has confirmed and announced the death of the Nigeria immediate past President, Muhammadu Buhari at a London Hospital at about 4:30pm on Sunday, after years of rumours and speculations by the detained leader of the Indigenous People of Biafra, IPOB, Mazi Nnamdi Kanu that the person that ruled Nigeria for the last eight years died few years after he took over office on May 29, 2015. #OsazuwaAkonedo3 Dead As Police Repel Mass Shooting In Oko, Ekwulobia, Biafra Group Denieshttps://osazuwaakonedo.news/3-dead-as-police-repel-mass-shooting-in-oko-ekwulobia-biafra-group-denies/10/07/2025/#Breaking News #Aguata #Anambra #Biafra #Ekwulobia #Oko #Orumba #Police ©July 10th, 2025 ®July 10, 2025 8:54 pm Anambra State Command of the Nigeria Police Force has repelled the simultaneous sporadic heavy gun shooting in Oko and Ekwulobia, when two separate groups of unknown gunmen engaged men of the Oko Divisional Police Headquarters in the Orumba North local government area in an early morning gun battle and another group took over the Ekwulobia flyover bridge in the Aguata local government area of the state on Wednesday, resulting in the death of two members of the public and set ablaze the patrol vehicle of Agunaechemba, the state special vigilante group, which, police said one of the attackers was killed during the deadly gun battle and on Thursday, the Police issued new updates, stating that an additional Ak-47 riffle has been recovered from one of the fleeing assailants, while Biafra armed group, the Biafra Defense Forces in a tweet on Thursday specifically denied any involvement in the mass shooting at Ekwulobia, stating, those impersonating them will one day run out of luck. #OsazuwaAkonedo31 Dead As Kenya Protesters Mark 7-7, Fear As Ruto, Rivals Talk Anarchyhttps://osazuwaakonedo.news/31-dead-as-kenya-protesters-mark-7-7-fear-as-ruto-rivals-talk-anarchy/09/07/2025/#Breaking News #Kenya #Nairobi #Ruto ©July 9th, 2025 ®July 9, 2025 5:00 pm Kenya National Human Rights Commission, KNHRC has confirmed that 31 persons have already been pronounced dead by medical doctors attending to protesters who were attacked on Monday by Kenya security operatives and armed militias when thousands of Kenya residents came out to stage a mass protest to mark this year 7-7 anniversary, an event known as Saba-Saba Day that commemorates July 7, 1990 when Kenyans rose up to demand a return to multi-party democracy after years of autocratic rule by then-president Daniel arap Moi, this, the United Opposition Leaders called on all Kenya Citizens to declare President Williams Ruto government as an illegitimate regime that is an enemy of the people, hostile to the people, killing the people by thus boycotting all government functions and activities and delegitimize the government's businesses and actions, insisting, 2027 is too far for Kenyans to wait before ending the Presidency of Ruto, and in a swift reaction, President William Ruto on Wednesday visited Dagoretti Northern side of Nairobi to inspect the construction of 540 housing units' project at Kilimani Police Station and during the visit, the President addressed the Nation and declared those or apparent protesters who attacked fellow Kenyans, police officers, security installations and businesses as terrorists, stressing, such acts are a declaration of war and he will never allowed retrogressive elements who want to rise to power through shortcut succeed. #OsazuwaAkonedoBecome a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/osazuwaakonedo--4980924/support.
Tinubu Confirms Nigeria Ex President Muhammadu Buhari Dies In Londonhttps://osazuwaakonedo.news/tinubu-confirms-nigeria-ex-president-muhammadu-buhari-dies-in-london/13/07/2025/#Breaking News #Buhari #London #Muhammadu ©July 13th, 2025 ®July 13, 2025 8:23 pm President Bola Ahmed Tinubu has confirmed and announced the death of the Nigeria immediate past President, Muhammadu Buhari at a London Hospital at about 4:30pm on Sunday, after years of rumours and speculations by the detained leader of the Indigenous People of Biafra, IPOB, Mazi Nnamdi Kanu that the person that ruled Nigeria for the last eight years died few years after he took over office on May 29, 2015. #OsazuwaAkonedo3 Dead As Police Repel Mass Shooting In Oko, Ekwulobia, Biafra Group Denieshttps://osazuwaakonedo.news/3-dead-as-police-repel-mass-shooting-in-oko-ekwulobia-biafra-group-denies/10/07/2025/#Breaking News #Aguata #Anambra #Biafra #Ekwulobia #Oko #Orumba #Police ©July 10th, 2025 ®July 10, 2025 8:54 pm Anambra State Command of the Nigeria Police Force has repelled the simultaneous sporadic heavy gun shooting in Oko and Ekwulobia, when two separate groups of unknown gunmen engaged men of the Oko Divisional Police Headquarters in the Orumba North local government area in an early morning gun battle and another group took over the Ekwulobia flyover bridge in the Aguata local government area of the state on Wednesday, resulting in the death of two members of the public and set ablaze the patrol vehicle of Agunaechemba, the state special vigilante group, which, police said one of the attackers was killed during the deadly gun battle and on Thursday, the Police issued new updates, stating that an additional Ak-47 riffle has been recovered from one of the fleeing assailants, while Biafra armed group, the Biafra Defense Forces in a tweet on Thursday specifically denied any involvement in the mass shooting at Ekwulobia, stating, those impersonating them will one day run out of luck. #OsazuwaAkonedo31 Dead As Kenya Protesters Mark 7-7, Fear As Ruto, Rivals Talk Anarchyhttps://osazuwaakonedo.news/31-dead-as-kenya-protesters-mark-7-7-fear-as-ruto-rivals-talk-anarchy/09/07/2025/#Breaking News #Kenya #Nairobi #Ruto ©July 9th, 2025 ®July 9, 2025 5:00 pm Kenya National Human Rights Commission, KNHRC has confirmed that 31 persons have already been pronounced dead by medical doctors attending to protesters who were attacked on Monday by Kenya security operatives and armed militias when thousands of Kenya residents came out to stage a mass protest to mark this year 7-7 anniversary, an event known as Saba-Saba Day that commemorates July 7, 1990 when Kenyans rose up to demand a return to multi-party democracy after years of autocratic rule by then-president Daniel arap Moi, this, the United Opposition Leaders called on all Kenya Citizens to declare President Williams Ruto government as an illegitimate regime that is an enemy of the people, hostile to the people, killing the people by thus boycotting all government functions and activities and delegitimize the government's businesses and actions, insisting, 2027 is too far for Kenyans to wait before ending the Presidency of Ruto, and in a swift reaction, President William Ruto on Wednesday visited Dagoretti Northern side of Nairobi to inspect the construction of 540 housing units' project at Kilimani Police Station and during the visit, the President addressed the Nation and declared those or apparent protesters who attacked fellow Kenyans, police officers, security installations and businesses as terrorists, stressing, such acts are a declaration of war and he will never allowed retrogressive elements who want to rise to power through shortcut succeed. #OsazuwaAkonedoBecome a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/osazuwaakonedo--4980924/support.
Tinubu Confirms Nigeria Ex President Muhammadu Buhari Dies In Londonhttps://osazuwaakonedo.news/tinubu-confirms-nigeria-ex-president-muhammadu-buhari-dies-in-london/13/07/2025/#Breaking News #Buhari #London #Muhammadu ©July 13th, 2025 ®July 13, 2025 8:23 pm President Bola Ahmed Tinubu has confirmed and announced the death of the Nigeria immediate past President, Muhammadu Buhari at a London Hospital at about 4:30pm on Sunday, after years of rumours and speculations by the detained leader of the Indigenous People of Biafra, IPOB, Mazi Nnamdi Kanu that the person that ruled Nigeria for the last eight years died few years after he took over office on May 29, 2015. #OsazuwaAkonedo3 Dead As Police Repel Mass Shooting In Oko, Ekwulobia, Biafra Group Denieshttps://osazuwaakonedo.news/3-dead-as-police-repel-mass-shooting-in-oko-ekwulobia-biafra-group-denies/10/07/2025/#Breaking News #Aguata #Anambra #Biafra #Ekwulobia #Oko #Orumba #Police ©July 10th, 2025 ®July 10, 2025 8:54 pm Anambra State Command of the Nigeria Police Force has repelled the simultaneous sporadic heavy gun shooting in Oko and Ekwulobia, when two separate groups of unknown gunmen engaged men of the Oko Divisional Police Headquarters in the Orumba North local government area in an early morning gun battle and another group took over the Ekwulobia flyover bridge in the Aguata local government area of the state on Wednesday, resulting in the death of two members of the public and set ablaze the patrol vehicle of Agunaechemba, the state special vigilante group, which, police said one of the attackers was killed during the deadly gun battle and on Thursday, the Police issued new updates, stating that an additional Ak-47 riffle has been recovered from one of the fleeing assailants, while Biafra armed group, the Biafra Defense Forces in a tweet on Thursday specifically denied any involvement in the mass shooting at Ekwulobia, stating, those impersonating them will one day run out of luck. #OsazuwaAkonedo31 Dead As Kenya Protesters Mark 7-7, Fear As Ruto, Rivals Talk Anarchyhttps://osazuwaakonedo.news/31-dead-as-kenya-protesters-mark-7-7-fear-as-ruto-rivals-talk-anarchy/09/07/2025/#Breaking News #Kenya #Nairobi #Ruto ©July 9th, 2025 ®July 9, 2025 5:00 pm Kenya National Human Rights Commission, KNHRC has confirmed that 31 persons have already been pronounced dead by medical doctors attending to protesters who were attacked on Monday by Kenya security operatives and armed militias when thousands of Kenya residents came out to stage a mass protest to mark this year 7-7 anniversary, an event known as Saba-Saba Day that commemorates July 7, 1990 when Kenyans rose up to demand a return to multi-party democracy after years of autocratic rule by then-president Daniel arap Moi, this, the United Opposition Leaders called on all Kenya Citizens to declare President Williams Ruto government as an illegitimate regime that is an enemy of the people, hostile to the people, killing the people by thus boycotting all government functions and activities and delegitimize the government's businesses and actions, insisting, 2027 is too far for Kenyans to wait before ending the Presidency of Ruto, and in a swift reaction, President William Ruto on Wednesday visited Dagoretti Northern side of Nairobi to inspect the construction of 540 housing units' project at Kilimani Police Station and during the visit, the President addressed the Nation and declared those or apparent protesters who attacked fellow Kenyans, police officers, security installations and businesses as terrorists, stressing, such acts are a declaration of war and he will never allowed retrogressive elements who want to rise to power through shortcut succeed. #OsazuwaAkonedo3 Israelis To Be Jailed For Stealing After Hamas' Attack At Nova Festivalhttps://osazuwaakonedo.news/3-israelis-to-be-jailed-for-stealing-after-hamas-attack-at-nova-festival/08/07/2025/#Law #Gaza #Israel #Nova ©July 8th, 2025 ®July 8, 2025 11:20 am Three Israeli citizens; Liran Yaakovov, Natanel Aviv and Oz Chai Rahum have been convicted for stealing properties belonging to victims of the October 7, 2023 massacre when groups of Hamas fighters invaded the Nova Music Festival near Kibbutz Be'eri, barely five kilometers away from Gaza, with over 4,400 fun seekers at the music party and killed more than 360 persons at the music festival which led to the state of Israel waging wars in Hamas controlled Gaza, Hezbollah controlled Lebanon, Iran under Ayatollah Khamenei Supreme Leadership and recently in Houthis controlled Yemen. #OsazuwaAkonedoFlights Delayed, 1 Dead As Gunman Engage US Border Police In Texashttps://osazuwaakonedo.news/flights-delayed-1-dead-as-gunman-engage-us-border-police-in-texas/08/07/2025/#Breaking News #McAllen #Texas #US ©July 8th, 2025 ®July 8, 2025 5:19 am Flights at McAllen International Airport on Monday early morning were delayed for several hours as 27 years old gunman, Ryan Louis Mosqueda ambushed and shot at the United States, US Border Police Patrol agents in Texas, injuring two police officers and a border patrol employee, which, the suspect was later shot dead at the entrance of the US Border Patrol Federal Building, this occurred, less than 48 hours when on Saturday a North Texas police officer was ambushed at a DHS facility and shot in the neck by 8 men in body armor, these incidents happened amid nationwide rise in threats to Immigration and Custom Enforcement, I.C.E personnel and Border Patrol agents over President Donald Trump Immigrants deportation policy. #OsazuwaAkonedoWhy Suspected Multi States Kidnapper Obinna Orji Not In Court - Policehttps://osazuwaakonedo.news/why-suspected-multi-states-kidnapper-obinna-orji-not-in-court-police/06/07/2025/#Nigeria Police Force #Anambra #Delta #Imo #Police #Rivers ©July 6th, 2025 ®July 7, 2025 7:07 pm Imo State Command of the Nigeria Police Force has given reasons why a suspected kidnapper, Obinna Orji who the police said his gang are responsible for series of kidnapping and armed robbery in Anambra, Delta and Rivers States has not been charged to court since he was arrested, while condemning an X social media post published by an account holder named Fisayo Soyombo who has raised alarm that the police arrested and detained Obinna Orji he described in the post a businessman for eight months without charging him to court. #OsazuwaAkonedoBecome a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/osazuwaakonedo--4980924/support.
Tinubu Confirms Nigeria Ex President Muhammadu Buhari Dies In Londonhttps://osazuwaakonedo.news/tinubu-confirms-nigeria-ex-president-muhammadu-buhari-dies-in-london/13/07/2025/#Breaking News #Buhari #London #Muhammadu ©July 13th, 2025 ®July 13, 2025 8:23 pm President Bola Ahmed Tinubu has confirmed and announced the death of the Nigeria immediate past President, Muhammadu Buhari at a London Hospital at about 4:30pm on Sunday, after years of rumours and speculations by the detained leader of the Indigenous People of Biafra, IPOB, Mazi Nnamdi Kanu that the person that ruled Nigeria for the last eight years died few years after he took over office on May 29, 2015. #OsazuwaAkonedo3 Dead As Police Repel Mass Shooting In Oko, Ekwulobia, Biafra Group Denieshttps://osazuwaakonedo.news/3-dead-as-police-repel-mass-shooting-in-oko-ekwulobia-biafra-group-denies/10/07/2025/#Breaking News #Aguata #Anambra #Biafra #Ekwulobia #Oko #Orumba #Police ©July 10th, 2025 ®July 10, 2025 8:54 pm Anambra State Command of the Nigeria Police Force has repelled the simultaneous sporadic heavy gun shooting in Oko and Ekwulobia, when two separate groups of unknown gunmen engaged men of the Oko Divisional Police Headquarters in the Orumba North local government area in an early morning gun battle and another group took over the Ekwulobia flyover bridge in the Aguata local government area of the state on Wednesday, resulting in the death of two members of the public and set ablaze the patrol vehicle of Agunaechemba, the state special vigilante group, which, police said one of the attackers was killed during the deadly gun battle and on Thursday, the Police issued new updates, stating that an additional Ak-47 riffle has been recovered from one of the fleeing assailants, while Biafra armed group, the Biafra Defense Forces in a tweet on Thursday specifically denied any involvement in the mass shooting at Ekwulobia, stating, those impersonating them will one day run out of luck. #OsazuwaAkonedo31 Dead As Kenya Protesters Mark 7-7, Fear As Ruto, Rivals Talk Anarchyhttps://osazuwaakonedo.news/31-dead-as-kenya-protesters-mark-7-7-fear-as-ruto-rivals-talk-anarchy/09/07/2025/#Breaking News #Kenya #Nairobi #Ruto ©July 9th, 2025 ®July 9, 2025 5:00 pm Kenya National Human Rights Commission, KNHRC has confirmed that 31 persons have already been pronounced dead by medical doctors attending to protesters who were attacked on Monday by Kenya security operatives and armed militias when thousands of Kenya residents came out to stage a mass protest to mark this year 7-7 anniversary, an event known as Saba-Saba Day that commemorates July 7, 1990 when Kenyans rose up to demand a return to multi-party democracy after years of autocratic rule by then-president Daniel arap Moi, this, the United Opposition Leaders called on all Kenya Citizens to declare President Williams Ruto government as an illegitimate regime that is an enemy of the people, hostile to the people, killing the people by thus boycotting all government functions and activities and delegitimize the government's businesses and actions, insisting, 2027 is too far for Kenyans to wait before ending the Presidency of Ruto, and in a swift reaction, President William Ruto on Wednesday visited Dagoretti Northern side of Nairobi to inspect the construction of 540 housing units' project at Kilimani Police Station and during the visit, the President addressed the Nation and declared those or apparent protesters who attacked fellow Kenyans, police officers, security installations and businesses as terrorists, stressing, such acts are a declaration of war and he will never allowed retrogressive elements who want to rise to power through shortcut succeed. #OsazuwaAkonedo3 Israelis To Be Jailed For Stealing After Hamas' Attack At Nova Festivalhttps://osazuwaakonedo.news/3-israelis-to-be-jailed-for-stealing-after-hamas-attack-at-nova-festival/08/07/2025/#Law #Gaza #Israel #Nova ©July 8th, 2025 ®July 8, 2025 11:20 am Three Israeli citizens; Liran Yaakovov, Natanel Aviv and Oz Chai Rahum have been convicted for stealing properties belonging to victims of the October 7, 2023 massacre when groups of Hamas fighters invaded the Nova Music Festival near Kibbutz Be'eri, barely five kilometers away from Gaza, with over 4,400 fun seekers at the music party and killed more than 360 persons at the music festival which led to the state of Israel waging wars in Hamas controlled Gaza, Hezbollah controlled Lebanon, Iran under Ayatollah Khamenei Supreme Leadership and recently in Houthis controlled Yemen. #OsazuwaAkonedoFlights Delayed, 1 Dead As Gunman Engage US Border Police In Texashttps://osazuwaakonedo.news/flights-delayed-1-dead-as-gunman-engage-us-border-police-in-texas/08/07/2025/#Breaking News #McAllen #Texas #US ©July 8th, 2025 ®July 8, 2025 5:19 am Flights at McAllen International Airport on Monday early morning were delayed for several hours as 27 years old gunman, Ryan Louis Mosqueda ambushed and shot at the United States, US Border Police Patrol agents in Texas, injuring two police officers and a border patrol employee, which, the suspect was later shot dead at the entrance of the US Border Patrol Federal Building, this occurred, less than 48 hours when on Saturday a North Texas police officer was ambushed at a DHS facility and shot in the neck by 8 men in body armor, these incidents happened amid nationwide rise in threats to Immigration and Custom Enforcement, I.C.E personnel and Border Patrol agents over President Donald Trump Immigrants deportation policy. #OsazuwaAkonedoWhy Suspected Multi States Kidnapper Obinna Orji Not In Court - Policehttps://osazuwaakonedo.news/why-suspected-multi-states-kidnapper-obinna-orji-not-in-court-police/06/07/2025/#Nigeria Police Force #Anambra #Delta #Imo #Police #Rivers ©July 6th, 2025 ®July 7, 2025 7:07 pm Imo State Command of the Nigeria Police Force has given reasons why a suspected kidnapper, Obinna Orji who the police said his gang are responsible for series of kidnapping and armed robbery in Anambra, Delta and Rivers States has not been charged to court since he was arrested, while condemning an X social media post published by an account holder named Fisayo Soyombo who has raised alarm that the police arrested and detained Obinna Orji he described in the post a businessman for eight months without charging him to court. #OsazuwaAkonedoBecome a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/osazuwaakonedo--4980924/support.
Salut c'est Ibby,Dans cet épisode, on parle de nouveau départ. Et parfois, ce départ, c'est celui de dire stop à une pression qu'on subit sans même s'en rendre compte : la pression du mariage.Je ne suis pas seule aujourd'hui, je suis accompagnée de ma pote Hynda – une femme brillante, drôle, et pleine de lucidité. Ensemble, on te parle de ce qu'on a vécu, de ce qu'on entend, de cette injonction invisible à se marier “dans les temps”, et de tout ce qu'on refuse d'accepter juste pour rentrer dans la norme.On partage avec toi nos réflexions, nos doutes, nos rires et nos vérités. Tu n'as pas à forcer ton destin ni à accélérer une histoire pour cocher une case. Tu as le droit d'attendre ce qui est juste, beau, aligné. Et surtout : tu as le droit de construire ta vie selon tes valeurs, pas selon les attentes des autres.Alors prends un moment pour toi et rejoins-nous dans cette conversation sincère et bienveillante.Rappelle-toi : le plus bel amour, c'est celui que tu te portes à toi-même.N'hésite pas à lâcher un 5 ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ et un petit commentaire
durée : 00:29:22 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1991, France Culture proposait une série de 20 émissions, "Héros du roman noir français". Le premier volet racontait la vie de Vidocq, qui exista réellement : aventurier, bagnard, policier, détective privé... Une émission émaillée de lecture produite par Didier Daeninckx et Noël Simsolo. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Didier Daeninckx Écrivain
Mon enfant, Je veux que tu deviennes 'Amour' comme Moi! C'est ta véritable mission, celle pour laquelle tu as été créé! Heureux es-tu de pouvoir entrer dans ta véritable mission, tout en vivant sur la terre... et ainsi devenir un instrument entre les mains du Père pour inviter les gens qui vivent sur cette terre à entrer dans leur véritable mission. Parce que l'Amour nous aime, nous devenons l'amour!
Salut c'est Ibby,Dans cet épisode, on parle de nouveau départ. Et parfois, ce départ prend la forme d'une rupture. D'un “c'est fini” qui fait mal mais qui ouvre, doucement, une nouvelle porte.Tu sais, ton ex t'a peut-être brisé·e, déçu·e, blessé·e. Mais il ou elle t'a aussi appris des choses. Sur toi. Sur l'amour. Sur ce que tu veux et ce que tu ne veux plus jamais. Et ça, c'est précieux.Je partage avec toi des réflexions, des idées et des petits rappels pour t'aider à transformer cette histoire en force. Parce que tu n'as pas souffert pour rien. Et si tu choisis de guérir avec honnêteté, tu verras que tu t'es rapproché·e de toi-même.Alors prends un moment pour toi et rejoins-moi dans cette conversation douce et lucide.Rappelle-toi : le plus bel amour, c'est celui que tu te portes à toi-même.N'hésite pas à lâcher un 5 ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ et un petit commentaire
Près de 80 000 Israéliens ont quitté leur pays l'an dernier. Un record, alors que le sujet a longtemps été tabou en Israël. Guerre à Gaza, atteintes à la démocratie et plus récemment la guerre de 12 jours contre l'Iran poussent de plus en plus d'habitants à déménager à l'étranger. De notre envoyée spéciale de retour de Tel Aviv, Justine Fontaine Hanna Kahana va avoir 90 ans dans quelques jours. Elle est née ici, avant même la création de l'État d'Israël. Une fois adulte, elle a travaillé dans des ministères, a fait l'armée et fondé une famille. Mais depuis quelques années, elle n'est plus du tout d'accord avec la politique menée par le gouvernement actuel. Et maintenant, elle en est sûre, elle veut partir : « Je déteste ce que je crois savoir des actions de l'armée israélienne à Gaza et dans les territoires occupés ». Elle ne veut pas participer à cela, dit-elle, alors Hanna est en train de faire les démarches pour déménager : « Au Portugal, à Porto ». « Y aller quand ici c'est trop dangereux » Elle a des amis là-bas. Elle a obtenu un passeport européen, autrichien plus précisément, il y a deux mois, parce que c'était le pays de ses parents. Elle a convaincu son fils, un jeune retraité, mais certains de ses petits-enfants hésitent encore. « Je ne peux pas faire ça seule. Et mon fils est lié à ses enfants, alors ce n'est pas facile. Je ne sais pas si je vais déménager, car je suis peut-être trop vieille et je n'aurai peut-être pas le temps de le faire. Nous allons acheter une maison ou un appartement pour nous tous, pour y aller quand ici c'est trop dangereux. Ou pour déménager tout à fait. Moi, je voudrais vraiment déménager, quitter le pays. On va le faire. Je le crois, j'espère. » Elle et son fils doivent décider la semaine prochaine quel appartement ils vont acheter. Le contexte politique comme déclencheur Hanna Kahana n'est pas à la seule à vouloir partir. Silvia Brand est notaire à Tel Aviv, spécialisée dans les démarches entre Israël et le Portugal : « Les Israéliens ont toujours aimé avoir une deuxième nationalité. Pour avoir le choix. Puis le 7-Octobre et ensuite la guerre avec l'Iran ont agi comme des déclencheurs : cela a poussé plus de gens à s'intéresser à l'émigration vers le Portugal ». Ses clients ont généralement moins de 40 ou 50 ans et sont surtout des gens aisés et diplômés. Son propre fils, lui, est beaucoup plus jeune, mais il a décidé de partir lui aussi : « Il habite Madrid. Il a 19 ans. Et il est très content là-bas, il n'a pas envie de rentrer ». L'an dernier, les gens qui ont quitté Israël ont été plus nombreux que ceux qui ont décidé de s'y installer. À lire aussiIsraël: pourquoi les ultraorthodoxes refusent toujours le service militaire après deux ans de guerre à Gaza
Tu veux prendre confiance en toi ? Alors cet épisode est pour toi ! Je te partage 5 outils puissants que j'utilise en coaching pour aider mes coaché·es à gagner en confiance !.........Notes de l'épisode :Télécharge ma formation gratuite pour t'affranchir du regard des autres et prendre confiance en toi !Tu peux aussi t'abonner à ma newsletter pour recevoir du contenu gratuit et exclusif 2x par mois !Episodes cités dans le podcast :Episode 20 de Bulles de Coaching sur l'estime de soi : lien vers Spotify - Lien vers Apple podcastsEpisode 22 de Bulles de Coaching sur les peurs : lien vers Spotify - Lien vers Apple podcasts.........
La Commission européenne a dévoilé, en mars, son plan européen pour le logement abordable. Et en Europe, c'est en Irlande que se loger revient actuellement le plus cher. Le pays fait face à une énorme crise du logement depuis plusieurs années maintenant. Phénomène plus récent : les offres de logement contre relations sexuelles se multiplient. Des propositions qui visent surtout les jeunes femmes, et en particulier les étudiantes internationales, premières victimes de cette dérive. De notre correspondante à Dublin, À l'été 2022, Darling Duran quitte la Bolivie et s'installe en Irlande, dans le but d'apprendre l'anglais. « J'ai lu une annonce pour louer une chambre individuelle, pour 700 euros. Mais quand j'ai contacté l'homme qui l'avait postée, il m'a dit : ''Oui. Oui, c'est une chambre individuelle, parce que c'est ma chambre. Comme je travaille la nuit, elle sera libre pour toi, je serai juste là de temps en temps''. Alors là, je suis dit : ''Mais qu'est-ce que ça veut dire ?" Moi, j'ai besoin d'un endroit pour moi, un endroit où je me sens en sécurité !'' », raconte-t-elle. Aujourd'hui, Darling en rit, mais à l'époque, elle a été profondément choquée. Car les annonces ne mentionnent jamais, noir sur blanc, ces demandes sexuelles. Mais les intentions deviennent rapidement évidentes dès que des femmes y répondent. D'après elle, les étudiantes internationales sont encore plus vulnérables, puisqu'il est impossible pour elles de passer par des agences immobilières classiques : « Vous ne remplissez pas les critères exigés. Vous n'avez pas de références ou une preuve de revenus stables, des éléments qui montrent que vous êtes un locataire fiable ! » La plupart finissent donc par chercher un logement principalement via des communautés en ligne. « Malheureusement, surtout sur Facebook, certaines personnes essaient d'en profiter. Mais vous prenez ce que vous trouvez, car vous avez peu d'options. On peut se retrouver à vivre dans une chambre avec quatre ou cinq personnes, parfois des hommes et des femmes ensemble. Dans ces conditions, tout peut arriver, continue celle qui, hélas, est bien trop familière de ce genre d'histoires. J'ai une amie, elle vivait chez l'habitant. Mais un jour, son propriétaire était ivre et il a essayé, vous savez, de faire quelque chose avec elle. Et il l'a menacée, en lui disant que si elle ne voulait pas, elle devait quitter la maison. Donc, elle a dû s'enfuir, en pleine nuit ! » « Notre enquête révèle que 5% des étudiantes internationales ont été témoins ou ont reçu directement une proposition de faveurs sexuelles, contre un loyer. Mais il est très difficile de dire combien de personnes exactement reçoivent ce genre de propositions, ce n'est probablement que la partie visible de l'iceberg », déplore Brian Hearne, qui travaille au Conseil irlandais des étudiants internationaux. Une action législative est urgente pour résoudre ce problème, selon cet organisme. D'après le ministre de la Justice, Jim O'Callaghan, le gouvernement envisagerait de faire de ces demandes de faveurs sexuelles en échange d'un toit, une infraction pénale spécifique. À lire aussiEspagne : le logement, enjeu national
Avoir 25 ans en 2025. Comment les jeunes nés autour de l'an 2000 voient-ils le monde du travail, l'entrepreneuriat ? Et comment se projettent-ils dans l'avenir ? Pour ce deuxième épisode, direction Ciudad Juarez, à la frontière entre le Mexique et les États-Unis. Rencontre avec Luis, un jeune Mexicain qui la traverse illégalement toutes les semaines pour aller travailler au Texas. Ce n'est pas son vrai nom, mais pour préserver son anonymat, nous l'appellerons Luis. Nous le rencontrons au domicile de ses parents à Ciudad Juarez. De l'autre côté du fleuve Rio Grande, il y a El Paso, le Texas et le pays du dollar. Les deux villes-frontières sont reliées par le pont des Amériques. Luis connaît parfaitement le chemin : « Je traverse la frontière tous les week-ends pour aller travailler dans un genre de casino à El Paso, une salle de poker. Je m'occupe de l'argent, parfois je distribue les cartes. Je travaille trois jours : du jeudi au samedi ou du vendredi au dimanche. Et puis, je rentre au Mexique. Cela me permet d'aider mes parents à payer les factures. » « Chaque travailleur sans papiers a sa propre technique » Luis n'a pas pourtant pas de permis l'autorisant à travailler aux États-Unis. « Chaque travailleur sans papiers a sa propre technique. Moi, j'ai l'avantage d'avoir de la famille à El Paso, donc c'était facile de trouver un travail, d'avoir un endroit où dormir. Je traverse avec de la famille ou des amis, vers midi ou en début d'après-midi plutôt que tôt le matin. Donc, j'ai l'air de venir pour faire du tourisme ou du shopping. Traverser le week-end ? C'est très facile, ils ne soupçonnent rien. » Luis assure n'avoir jamais été interrogé en deux ans, pas même depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. « J'aime bien Donald Trump, même si lui ne m'aime pas » Le président américain d'ailleurs, Luis l'apprécie plutôt : « Je sais que c'est bizarre, mais si vous me demandez si j'aime Trump : oui, je l'aime bien. L'économie se porte mieux quand il est au pouvoir. Je sais qu'il ne veut pas qu'on vienne travailler aux États-Unis, mais ce sont les immigrés qui font tourner son pays. Donc oui, je l'aime bien. Même si lui ne m'aime pas. » Mais n'allez pas croire qu'il rêve pour autant de s'installer aux États-Unis : « Je n'aime pas leur mode de vie. C'est travail, travail, travail. Ils ont tout ce qu'ils veulent, mais au final, ils ne font que travailler. Je me vois faire un ou deux ans de plus comme ça. Et puis, j'ouvrirai un business ici au Mexique, un food truck peut-être. » À lire aussiDe part et d'autre de la frontière, la vie chamboulée des Mexicains et des Américains
Welcome Back! The Boulder Boys Show Ep. 51 Drew is back from europe after winning the Lavaredo 80k! We chat about his race at Lavaredo, Hardrock, and our green flags of aidstation volunteers. This Episode is brought to you by Intrepid Camp Gear. https://intrepidcampgear.com/discount/BoulderBoys Code: BoulderBoys for 10% off Boulderboys.show Year Of The Boy: https://youtu.be/KsClhdWc5-8 Moi's training app: https://vert.run Matt's substack: https://substack.com/@mattdaniels480?utm_source=substack-feed-item
durée : 00:44:01 - Ma différence à moi - par : Giulia Foïs - Le podcast donne les clés du volant à celles et ceux qui ont quitté les routes bien balisées pour suivre des chemins plus singuliers. Giulia Foïs voulait les entendre se raconter, qu'on les laisse exister, sans filtre, sans intermédiaire… Cette série est dédiée à Ali Leonardi - réalisé par : Anne LHIOREAU Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La 39e édition du Festival international Nuits d'Afrique se termine ce dimanche 20 juillet à Montréal. Treize jours de concerts ont rassemblé près de 700 artistes africains, d'Amérique latine et des Antilles. Des sonorités traditionnelles aux fêtes technos en passant par des cours de danse ouverts à tous, la richesse culturelle de cet événement a transporté le public en voyage tout autour du monde. De notre envoyée spéciale à Montréal, Rumba congolaise, maloya réunionnais, trap syrienne, rythmes berbères, amazighs, yorubas ou vaudous : en un mot, les Nuits d'Afrique rassemblent. Dans le quartier des spectacles, l'Esplanade Tranquille porte très mal son nom cette semaine. Les concerts s'enchaînent dans une immersion sonore totale et ininterrompue. Chaque artiste profite de son temps sur scène pour mettre en lumière son pays et sa culture. « Le kamele ngoni, c'est un instrument purement africain. C'est un instrument qui a créé à Wassoulou, une ville peule au Mali. À travers cet instrument, je peux parler de la paix, de la cohésion sociale, du vivre ensemble. C'est très important pour moi parce qu'il faut promouvoir ta culture, ta langue. Moi, je chante en langue peule d'abord, et puis je chante en langue bambara. Je suis très content de pouvoir le faire », raconte le maître du kamele ngoni, Dicko Fils. Si la traditionnalité est partout, elle est loin de rester bloquée dans le passé. La Malienne Djely Tapa est devenue griotte pour la diaspora africaine à Montréal. Mais une griotte bien ancrée dans son époque, ayant ajouté de l'électro à sa musique mandingue. « L'afrofuturisme, pour moi, c'est d'amener nos instruments, qui sont des instruments d'héritage, de les amener dans des sonorités futuristes. Parce que quand on parle de nos instruments, on va les qualifier d'instruments traditionnels. Mais le violon aussi est un instrument traditionnel, mais il est utilisé dans la musique contemporaine. Et on ne l'appellerait pas un ''instrument traditionnel''. Donc, pourquoi ma kora serait un instrument traditionnel ? Elle peut être aussi contemporaine, non ? », interroge l'artiste. Ici, les revendications fusent de toutes parts, portées par des artistes engagés pour la justice et la paix. Le Nigérian Fémi Kuti porte un afro-beat politique par essence : « Je suis profondément convaincu que l'Afrique devrait être le meilleur des continents, un modèle qui ferait l'admiration du monde entier. Si ses dirigeants étaient vraiment engagés, s'ils aimaient leur peuple, l'Afrique serait aujourd'hui un continent épanoui, rempli de joie, vous voyez ? Et pourtant, à chaque fois que j'y retourne ou que je lis les nouvelles, j'en ai vraiment le cœur brisé. Je n'ai pas de baguette magique pour changer les choses, et je ne peux pas forcer les autres à croire en mes idées, sinon je passerais pour un dictateur. Alors, peut-être que finalement, la vie consiste surtout à se développer soi-même. Car nous allons tous mourir un jour. Et s'il y a une vie après la mort, alors c'est à ce moment que nous devrons répondre de nos pensées et de nos actes. » Aux Nuits d'Afrique, la musique est plus que jamais un moyen de transmettre, d'ouvrir les esprits et de résister, dans la joie et le partage. À lire aussiNigeria: «Zombie», la fronde de Fela Kuti contre Obasanjo
"Et si le souci, c'était pas un manque d'idées ? Ou un manque de créativité ? Aujourd'hui, j'ai envie de te partager ma réponse à une question qu'on me pose tout le temps – genre tout le temps : “Comment tu trouves toutes tes idées de contenu ?”Souvent, cette question est accompagnée de petites phrases comme :“Moi j'suis pas créative.” “J'ai plus d'idées.” “Je sais pas quoi dire.”Et au-delà du fait que ce soit déjà une bonne grosse croyance limitante, surtout si ton objectif, c'est de construire une présence forte en ligne, je crois surtout que le vrai blocage, il est rarement là.Quand je creuse avec mes clientes, je me rends compte que ce qu'elles appellent “manquer d'idées” cache souvent autre chose. Et aujourd'hui, je vais te partager les 3 vrais déclencheurs qui te permettent non seulement de retrouver l'inspi, mais surtout de créer du contenu puissant, fluide, et qui vend sans avoir l'impression de forcer.---Ressource offerte : 12 premières minutes de l'atelier Carrousel Superstar Et si tu souhaites soutenir Ambition Digitale gratuitement
Avec Ogee, on a parlé de ce que ça fait de traverser la vingtaine. Les échecs amoureux qui nous abîment. Les amitiés qui explosent. Et ce moment flou où t'es censée te construire, alors que tout s'écroule autour. Ogee, c'est une artiste au vrai sens du mot. Elle a un ADN sonore qu'on reconnaît sans réfléchir, une créativité qui colle à sa peau. Moi qui déteste écouter les gens chanter, elle peut me chanter à l'oreille pendant une soirée entière — je la regarde, bouche ouverte. Elle est Cancer, c'est LA hot girl. xxx Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans cette nouvelle Pépite Papa PhD ! Dans cet excerpt de mon entrevue avec Olivier Bernard, pharmacien et vulgarisateur reconnu, il parle de comment communiquer efficacement la science, même face à la pseudoscience et aux sujets polarisants. On a parlé de l'importance de l'empathie, de la nuance et de surmonter la peur de prendre la parole publiquement. Le message à retenir : 95% des gens sont prêts à entendre la vérité, alors ose partager tes connaissances et prends ta place dans la discussion scientifique. À très vite pour une nouvelle dose d'inspiration ! Olivier Bernard est un communicateur scientifique passionné par le partage du savoir et l'engagement du milieu académique dans la société. Après avoir constaté que la diffusion des connaissances demeure peu valorisée dans le monde universitaire, il s'est donné pour mission d'encourager ses collègues, en particulier les jeunes chercheurs, à prendre la parole dans l'espace public, malgré leurs doutes et les craintes face aux sujets polarisants. Lui-même a développé ses compétences en communication en acceptant toutes les occasions de s'exprimer dans des émissions, des chroniques ou des podcasts, convaincu que l'aisance s'acquiert par l'expérience. Aujourd'hui, il milite pour que la vulgarisation scientifique soit reconnue, et inspire les universitaires à surmonter leurs hésitations pour participer activement au dialogue public. Points à retenir : Osez prendre la parole : Même lorsque vous débutez, chaque voix compte. Dire « oui » aux invitations à des podcasts, chroniques ou émissions permet de gagner de l'aisance et de la légitimité en communication. Privilégiez l'empathie et la nuance : Faire preuve de compréhension envers les personnes possédant des croyances erronées ouvre la voie à des échanges constructifs, plutôt qu'à la confrontation. Gardez en tête l'impact positif : 95% du public apprécie l'accès à une information claire et vraie, même si une minorité bruyante résiste. Ne laissez pas cette minorité freiner votre envie de partager la science ! Pourquoi écouter cet épisode ? Ces conseils sont précieux, surtout quand il s'agit de débattre autour de la pseudoscience ou du climat, sujets si importants et pourtant si souvent controversés. Envoie-nous tes commentaires : Vous souhaitez réagir à cet épisode ou proposer un(e) invité(e) pour une prochaine entrevue ? Rien de plus simple : rendez-vous sur speakpipe.com/papaphd pour enregistrer un court message vocal. Nous avons hâte de vous entendre ! Passe à l'écoute : Ne manque pas cet épisode captivant et suis “Au-delà de la thèse avec Papa PhD” sur ton application préférée pour ne jamais rater une occasion d'apprendre davantage sur la réalité du marché du travail après le doctorat. Écoute cette pépite maintenant et laisse-toi inspirer par le parcours de Manon! Liens de l'épisode Olivier Bernard | Site Web Olivier Bernard | Instagram Transcription de l'épisode David Mendes: Salut. Dans cette nouvelle pépite papa PHD, je t'apporte une partie de mon entrevue avec Olivier Bernard, pharmacien et vulgarisateur scientifique reconnu pour son combat contre la pseudoscience. On discute de l'importance de la communication, de l'humour pour rendre la science accessible et surtout de l'impact qu'on peut avoir même quand ça semble difficile. Le message, osez communiquer, soyez nuancé et rappelez-vous, la majorité des gens sont prêts à entendre la vérité. Bonne écoute. Bienvenue sur au-delà de la thèse avec papa PHT. Ton inspiration hebdomadaire pour le développement de carrière après le doctorat. Avec moi, David Mendes. David Mendes: J'aimerais quand même un peu maintenant apporter un un peu de de ton expérience et faire le parallèle avec des jeunes chercheurs qui sont maintenant en train de faire leur doctorat ou leur maîtrise et qui ont un peu ce désir de, par exemple, combattre la pseudo science en lien avec le climat. Ce que j'aimerais, ce serait de poser la question de comment est-ce que tu te positionnes en tant que jeune chercheur dans ce type de conversation souvent qui sont polémiques et et c'est quoi des bons principes pour des fois dans des conversations qui peuvent avoir l'air un peu perdues déjà au départ de quand même avoir des résultats positifs et de pas juste se frustrer ou ou se fâcher. C'est quoi des des bons principes pour être dans une conversation avec quelqu'un que tu sais qui est comme un sceptique ou ou qui a une pseudo croyant une croyance, une fausse croyance très enracinée. Est-ce que tu en as appris au cours de ces années Olivier Bernard: Oui, j'ai tellement de choses à dire là-dessus. Je vais essayer de je vais essayer de résumer tout ça puis en particulier parce que là tu me poses la question par rapport à des jeunes chercheurs chercheuses des gens qui seraient au doctorat ou au post-doctorat par exemple ou même des des jeunes chercheurs qui sont demandés mais j'ai envie de commencer ça. Bon premièrement on le sait là le le les gens du milieu académique ça fait partie de la mission académique de diffuser le savoir donc c'est pas très valorisé malheureusement c'est pas ça qui donne des de t'investir sur la place publique, de participer à des podcasts, ce n'est pas ça qui fait que tu as des demandes de que tu as plus de subventions et plus de bourses malheureusement, mais on le sait que ça fait partie de la mission académique de le faire. Moi, je le sens quand je parle à des gens du milieu académique, des universitaires, je sens un désir il y a beaucoup de gens qui aimeraient ça pouvoir parler et il rencontre certaines barrières la première étant je sais pas comment faire je suis peut-être pas assez bon je suis peut-être pas assez bonne ça j'adresse ça rapidement moi il faut que je convainque souvent les gens que oui ils sont assez bons il faut souvent là que je me batte avec les gens là en disant comme oui non regarde je te dis que tu es capable go donc des fois les gens ont besoin de vaincre cette espèce de résistance là puis la faire aussi c'est que si on cessait pas on deviendra jamais bon c'est devenir un bon communicateur une bonne communicatrice exprimée bien c'est quelque chose qu'on développe par l'expérience donc si vous avez des invitations à des podcasts vous avez des invitations à des émissions à faire des chroniques des télé radio sur le web dites oui à tout moi c'est ça que j'ai fait personnellement au début je disais oui à tout qui était dans mon champ de compétences puis c'est comme ça que j'ai développé une certaine aisance deuxième chose c'est sûr qu'aujourd'hui ça fait un peu peur de parler de certains sujets sur la place publique il y a beaucoup de sujets qui sont polarisants qui sont délicats et puis ça je comprends complètement je comprends complètement des universitaires de dire ça j'ai pas envie de m'embarquer là-dedans moi il y a des gens que je contacte puis qui me disent j'aimerais vraiment ça pouvoir faire une entrevue avec toi là-dessus mais j'ai peur des conséquences que ça va avoir sur j'ai peur des qui est du backlash des choses comme ça. David Mendes: Est-ce qu'il va apparaître dans ma boîte courriel tout à coup Olivier Bernard: Ouais. Ben moi il y a déjà un chercheur qui m'a dit que un de ses collègues s'était fait crever ses pneus de voiture quand il y avait parlé d'un sujet en particulier sur lequel je lui demandais de parler il m'a dit je vais le faire mais je te dirais je te cacherai pas que j'ai peur tu sais je pense qu'en ce moment c'est un nouveau phénomène mais je pense qu'il faut pas non plus comment dire il faut il faut quand même s'investir il faut ceci puis il y a moyen puis je le dis là moi ça fait 10 ans que je fais ça j'ai dit des choses vraiment là que maintenant je leur dirais pas les choses de la même façon parce que je me rends compte que ça a fâché des gens que c'était pas la bonne manière de m'y prendre garde un moment donné là il y a moyen de le faire il y a moyen de se positionner sur des sujets qui sont délicats on peut le faire d'une manière nuancée je pense que la clé parce que tu me demandais comment le faire je pense que la clé là c'est que il faut l'aborder avec beaucoup d'empathie puis de compréhension pour l'autre c'est à dire que moi puis moi j'ai encore une fois j'ai commencé comme ça en 2012 là j'étais vraiment comme telle croyance c'est faux pour telle raison puis les gens qui croient ça ben ils devraient pas croire à ça c'est pas une bonne façon de faire c'est on le voit dans la recherche là d'y aller par une méthode qui est confrontationnelle ça marche pas donc je pense qu'au départ il faut aborder la question sous l'angle de et moi là cette croyance là imperistante dans l'espace public ça m'intéresse je me demande pourquoi les gens croient à ça je comprends aussi pourquoi les gens croient ça je pense que c'est normal c'est quand j'ai lu j'ai lu ça c'est normal d'avoir des doutes normal d'être inquiet aussi d'avoir des inquiétudes de dire aussi qu'il y a un fond de vérité souvent c'est rare qu'il y a des croyances qui ont complètement fausses puis qu'il y a absolument rien de vrai il y a souvent des choses vraies puis après à travers ça il y a des choses qui sont peut-être un peu exagérées donc de le présenter plus sous cet angle là plutôt que d'arriver juste en disant c'est faux pour la raison suivante moi personnellement quand j'ai vu des gens faire ça quand moi je l'ai fait généralement ça se passe bien c'est ça la réalité c'est quatre-vingt-quinze pour 100 des gens sont toujours très heureux d'avoir accès à la bonne information puis je pense que le 5 de gens qui sont toujours très mécontents si on a tendance à mettre beaucoup de focus là-dessus ou d'avoir peur ou tout ça je pense pas que c'est la bonne approche David Mendes: et 95 c'est déjà très bon en effet Olivier Bernard: C'est un chiffre approximatif, là. J'utilise souvent ce chiffre-là 95/5, là. Quatre-vingt-quinze pourcent des gens sont contents mais le 5 pourcent qui sont pas contents, ils font quatre-vingt-quinze pour 100 du bruit là. David Mendes: Ah oui c'est ça c'est ça Olivier Bernard: Mais ça, il faut il faut toujours se ramener à la plupart des gens sont très contents en ce moment qu'on puisse parler de ça. David Mendes: Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode de la saison 6 d'au-delà de la thèse avec papa PHP. Tu as une question sur cette entrevue Tu veux laisser un commentaire sur le balado Tu veux recommander quelqu'un pour une autre entrevue Rends-toi sur speak pipe point com slash papa phd et laisse-moi un message vocal. Clique sur le gros bouton enregistrer et laisse-moi un message de jusqu'à quatre-vingt-dix secondes. Je les écoute tous et je les considère tous pour passer sur des épisodes à venir. Encore une fois c'est speak pipe point com slash papa PHD. Bien d'entendre ta voix. Merci Olivier ! 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durée : 01:31:21 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Florence Marguier - Avec Bernard Dort et Roger Planchon - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
C'était il y a tout juste 80 ans. Le 27 janvier 1945, le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, situé en Pologne, était libéré par l'armée russe. La Shoah fera 6 millions de morts, dont un million dans ce camp, épicentre de la solution finale : l'extermination programmée, à l'échelle industrielle, des Juifs d'Europe par l'Allemagne Nazie. (Rediffusion) 80 ans après, le camp est devenu un musée et un mémorial visité chaque année par de nombreux étudiants, qui ont un rapport parfois distant avec l'histoire de la Shoah. Reportage avec de jeunes lycéens français originaires de Toulouse. De notre envoyé spécial à Auschwitz, C'est un marathon express en Pologne. Un aller-retour dans la journée et une visite de quelques heures pour se plonger dans un pan entier de l'histoire, concrétiser des mots, des récits et des images, étudiés en classe. Ces lycéens étudient au lycée Pierre-Paul Riquet de Saint-Orens-de-Gameville, dans l'agglomération de Toulouse. Parmi eux, Malack, 17 ans. La lycéenne doit bien l'admettre, elle ne connaissait pas l'histoire de la Shoah. « C'est grâce au professeur que j'en ai entendu parler. On m'a parlé des Juifs, de leur extermination, mais ce n'était jamais détaillé, ce n'était pas approfondi comme aujourd'hui », déroule-t-elle. La trentaine d'élèves s'est levée très tôt et a embarqué dans un avion depuis Toulouse, jusqu'à Cracovie, la seconde ville de Pologne, située à 70 kilomètres d'Auschwitz-Birkenau. Avant d'entamer la visite, l'ambiance est plutôt détendue, ponctuée de quelques batailles de boules de neige à la descente du car. Plusieurs élèves, dont Yann, avouent regarder avec un certain éloignement l'histoire de la Shoah. « C'est dans les livres d'histoire, plante le jeune homme. On en entend parler, on voit quelques photos, mais venir ici c'est une vraie opportunité de découvrir l'histoire de l'Europe et de la Seconde Guerre mondiale. » Le mot « guerre » lui évoque davantage celle en Ukraine, à 200 kilomètres à vol d'oiseau. Loann dresse une analyse similaire : « La guerre au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine : Je me sens beaucoup plus proche de ces guerres aujourd'hui car on a des images, des vidéos, des reportages, sur ces guerres, et elles sont plus médiatisées qu'avant. Auparavant, on n'avait pas du tout conscience de ce qui se passait dans ces camps. » Bâtiments en ruines En ce mois de janvier 2025, 20 centimètres de neige recouvrent ce qu'il reste de Birkenau, le deuxième des trois camps d'Auschwitz, où débute la visite. Une grande partie des constructions en pierre sont détruites et Loann apparaît quelque peu déboussolé : « Le fait que les bâtiments soient en ruines, on a du mal à imaginer leur fonctionnement. Mais venir ici, ça permet de mettre en forme tout ce que l'on voit en cours. On comprend vraiment l'importance de ce camp dans la Seconde Guerre mondiale », insiste le lycéen. Une première visite permet de matérialiser les faits au-delà des mots de la guide qui accompagne les élèves : la visite d'un baraquement. En silence, les élèves arpentent la construction où s'entassaient et dormaient sur des planches en bois, les prisonniers du camp. « C'est à la fois triste et extrême, c'est angoissant, il y a une atmosphère pesante », commentent Anaïs et Mélanie. Malack, qui n'avait que très peu entendu parler de la Shoah, se plonge peu à peu dans le récit. « Je peux imaginer ces gens-là en train de vivre ces atrocités. J'arrive un peu à ressentir ce qu'ils ont dû ressentir à l'époque. » Le système concentrationnaire de Birkenau se concrétise aussi sous les yeux de Nina, 17 ans. « Déshumanisation », « humiliation » : peu à peu, la jeune lycéenne met des mots sur l'horreur et rapproche l'événement de sa propre histoire : « C'est vrai que ça me paraît un peu loin parce que ça date d'une époque où je n'étais pas née. D'un autre côté, c'est un combat qui me touche aussi car tout ce qui est racisme, antisémitisme, ce sont des choses que je peux encore vivre aujourd'hui. Je suis encore confrontée aux racistes. Et même si cette histoire est loin, ce sont des combats qui sont toujours actuels. » Des noms et des visages, la Shoah à hauteur d'hommes et de femmes La Shoah se raconte aussi à hauteur d'hommes et de femmes. C'est le parti pris d'Auschwitz I, aujourd'hui musée et mémorial, que s'apprêtent à visiter les élèves. Et c'est aussi le choix réalisé par Mary Albagnac, l'enseignante d'histoire. Toute l'année, ces lycéens étudient les récits de déportés originaires de Toulouse et de ses environs et vont tenter de retrouver leurs traces dans les archives du musée. « En passant par la petite histoire, ça leur permet de mieux comprendre, on pense, la grande histoire, et aussi de connaître davantage le patrimoine et l'histoire locale, explique Mary Albagnac. On se rend compte qu'ils habitent pas très loin du camp d'internement sur lequel on a travaillé, mais qu'ils ne savaient pas du tout qu'il existait et qu'il s'était passé de tels événements sur leur territoire qu'ils pratiquent tous les jours. Ce projet permet de s'identifier plus facilement à ces personnes, à ces enfants, à leur destin, leur parcours, qui nous amènent à Auschwitz. » Des prénoms, des noms, des dates de naissance : plus de quatre millions de victimes connues de la Shoah sont répertoriées dans le livre des noms, dans lequel se plongent désormais les élèves. Romane part en quête du nom d'un déporté originaire des environs de Toulouse, un certain «Rosenwasser». La lycéenne interpelle sa professeure, « Je crois que je l'ai trouvé ». La professeure coupe court : « Il serait mort le 15 août 1942. Et bien non, ça ne marche pas, puisqu'il est censé être déporté le 26 août 1942. » Un peu plus loin, Loann et Roman se sont quelque peu écartés de la consigne initiale. « On cherche une personne que l'on a en commun et que l'on connaît, développe Loann. On essaye de voir s'il y a peut-être un de ses descendants qui est ici et s'il y a son nom de famille dans le livre. » Mais la quête se révèle fastidieuse, constate Roman. « Je cherche un nom de famille précis et je trouve quand même dix personnes qui ont ce nom de famille. C'est impressionnant, ça montre vraiment la diversité des personnes qui ont été touchées par le génocide. » Effets personnels Aux images d'archives se superposent désormais, plus seulement des noms, mais des visages et de nombreux effets personnels. La Shoah s'incarne à travers des lunettes, des cheveux, des milliers de paires de chaussures, rassemblées derrière une immense plaque de verre. « Là, on est sans voix, on est bouche bée face à cet amas d'objets, de prothèses. On se rend compte réellement du massacre que ça a été et du nombre de personnes qui ont été tuées. Je suis choqué de l'espace que ça prend et du nombre d'objets et de chaussures qu'il y a », explique Loann. À Auschwitz, ce sont un million de personnes qui ont été amenées en train, afin d'y être triées, gazées et incinérées. Pour les élèves qui le souhaitent, la visite s'achève par un passage devant un four crématoire. « Tout le monde rentre ? », interroge par précaution Mary Albagnac, l'enseignante. Tous les élèves pénètrent et découvrent le summum de l'horreur. « Cela fait peur, réagit immédiatement Yann. Parce que les bâtiments sont en assez bon état et en entrant dedans on s'imagine ce qu'il s'est passé auparavant. » Transmettre la mémoire Face aux preuves parfois crues et brutales de la Shoah, aucun élève ne reste insensible. Reste à savoir ce qu'ils feront de l'exigence de mémoire et de l'importance de la transmettre. Une mission plus difficile à mener aujourd'hui qu'il y a quelques années, à en croire l'enseignante d'histoire, Mary Albagnac : « Les derniers témoins disparaissent ou sont de plus en plus fragiles, donc on a du mal à les faire venir sur les événements. Et l'autre souci que j'identifie, c'est que la jeune génération a accès à tout, dans l'instantané, à tout moment et a parfois du mal à faire le tri. Avec ce projet, on veut les faire travailler sur les sources historiques, leur montrer comment on fait de l'histoire, comment avoir un regard critique. Et la professeure de poursuivre : «On sait que ça ne marchera pas avec tous, mais on se donne les moyens d'y arriver avec ce type de projet. » La mémoire de la Shoah demeure encore une mémoire incarnée, grâce au récit qu'en font encore les rescapés. Mais la force de ce récit est condamnée à s'amenuiser avec la disparition des derniers survivants, estime Alexandre Doulut, guide accompagnateur du mémorial de la Shoah : « Pour avoir vu dans les yeux des jeunes leurs réactions face à quelqu'un qui a été la victime d'Auschwitz, qui raconte quel a été son quotidien, je peux vous assurer que nous, si on passe derrière en tant qu'historien avec nos connaissances brutes, ça a une portée cent fois plus minime, c'est évident. » Cela signifie-t-il pour autant que l'on puisse un jour complètement oublier cette histoire ? « Oui, personne ne peut dire quel sera l'état de la mémoire, dans dix ans, dans vingt ans, c'est très versatile la mémoire, reprend Alexandre Doulut. Mais moi je suis plutôt optimiste. » Transmettre, un poids ou un défi ? Nina, 17 ans, doit bien le reconnaître, avant cette année, « elle n'aurait vraiment pas pensé parler de la Shoah. Cela me touchait, mais je n'étais pas sensibilisée au fait de devoir retranscrire. » À la question de savoir si la lycéenne se sent capable ou non de transmettre cette mémoire, elle hésite d'abord, puis se lance : « Moi, je ne m'en sens pas vraiment capable. Je raconterai à mon entourage proche, car eux, ils me connaîtront personnellement et c'est dans l'intimité que l'on raconte ces choses, puisque ce sont des traumatismes. » Nina ne se sent pas d'en parler car elle a peur, « peur de mal raconter, d'oublier des détails, d'offenser les petits enfants des familles ». Mais l'idée que l'on puisse totalement oublier cette histoire « l'effraie ». À ses côtés, Juliette lui oppose d'autres arguments. « C'est à nous de porter cela. Ce n'est pas un poids, c'est quelque chose que l'on va devoir faire et c'est à nous d'assumer ce rôle. Il ne faut pas se priver d'en parler, ça ne doit pas être tabou, on ne doit pas ne pas en parler parce que ça a été très grave. Il faut justement en parler. Ce n'est pas un défi qui doit faire peur. » Ginette Kolinka, passeuse de mémoire Quelques jours plus tard, au mémorial de la Shoah à Paris, des rires se font entendre dans l'auditorium. Sur scène, Ginette Kolinka houspille la modératrice de la conférence : « Posez-moi une question, mais une vraie ! Sinon je mélange tout, le départ et le retour ! » La mémoire fait parfois défaut, mais à presque 100 ans, Ginette Kolinka n'a rien perdu de sa répartie et de la force de son récit. « Hitler voulait nous humilier et il a su trouver tout ce qu'il y avait pour le faire », rappelle-t-elle. Infatigable passeuse de mémoire, c'est encore à la jeune génération qui l'écoute dans l'auditorium qu'elle s'adresse ce soir-là, avant d'entamer un dialogue plus direct entre deux dédicaces et de répondre à quelques questions de journalistes : « Aux jeunes, je le dis et le redis : qu'ils parlent au plus grand nombre de personnes possibles en leur spécifiant que ce n'est pas une fiction. Ce qui a été écrit, ça a été vécu, on en est les survivants », insiste la rescapée. Puis, Ginette Kolinka s'adresse à une jeune fille qui lui présente son ouvrage à dédicacer : « Toi, tu es une petite fille et j'espère que quand ça sera le moment de parler de ça dans ta classe, tu diras "moi j'ai vu quelqu'un qui l'a vécu, j'ai vu deux dames, tu peux dire âgées, ça ne fait rien, et qui l'ont vécu ! " »Reste une dernière interrogation : a-t-elle confiance dans la jeune génération pour porter cette mémoire ? La réponse fuse : « Qu'est-ce que ça veut dire confiance ou pas confiance ? Je ne suis pas obsédée par ce qu'il va se passer après. Moi, je vis le présent. Quand je vais dans les écoles, je m'aperçois qu'il y a beaucoup d'enfants qui m'écoutent, des plus jeunes et des moins jeunes. On vit le présent. Ils ont écouté. Cette petite fille a écouté. Peut-être que demain elle va le raconter à sa maîtresse. Et bien moi, ça, ça me suffit. »
Comment ne pas vous blesser en courant ? C'est une question majeure dans la course à pied car les blessures sont très fréquentes. Combien d'entre nous ont dû s'arrêter à cause d'une douleur insidieuse ? Et malgré toutes les études et outils comme nos montres GPS nous continuons à nous blesser. Est-ce que parce que nos croyances sur le sujet étaient fausses ? Une étude scientifique récente change en effet totalement nos croyances sur les causes de ces blessures et nos alertes sur le paradoxe de la session unique.La nouvelle règle est simple : ne dépassez jamais 10 % de votre plus longue sortie au cours des 30 derniers jours.Liens :Tous les liens et anciens épisodes : https://km42.soulier.xyz/354Le Protocole Perte de Gras : https://go.soulier.xyz/protocolekm42La course est un sport populaire, accessible, et pratiqué par des millions de personnes pour la compétition, les loisirs, la socialisation ou la santé mais ce risque de blessure reste un point majeur.Il existe de nombreux conseils et quelques règles sur la planification de l'entraînement pour l'éviter. L'idée était globalement d'éviter le « trop, trop vite ». Moi même je vous ai souvent parlé de ma règle des 20% d'augmentation de la distance maximum de semaine en semaine. Et bien une étude récente vient bousculer nos croyances et pratiques. Et elle précise sur quoi il faut se concentrer pour limiter le risque de blessure.Dans cet épisode :mes mauvaises expériences de blessure et notamment ma périostite en préparation marathonl'importance de la quantification du stress mécanique et la difficulté à le fairepourquoi on se concentrait avant sur le volume global de semaine en semaineen quoi la Garmin-RUNSAFE Running Health study change le paradigmepourquoi il faut moins se concentrer sur l'augmentation du volume global hebdomadairepourquoi une seule séance d'entraînement peut conduire à la blessurepourquoi les blessures sont soudaines et non progressivesles règles à adopter pourquoi il faut arrêter de glorifier la sortie longue de plus en plus longuece que ça nous apprend sur la progressivité à avoir quand on prépare des distances comme le semi-marathon, le marathon et au delàl'importance de l'écoute des signaux et de l'individualisation de votre progressionNouveau : Le protocole Perte de Gras 2025 ❤️ Me suivre Tous les liens sont ici
Tu as du mal à voir ta valeur et tu passes ton temps à te critiquer ? Tu vas justement découvrir dans ce podcast comment booster ton estime de toi pour développer une meilleure relation avec toi-même ! .........Notes de l'épisode :Télécharge ma formation gratuite pour t'affranchir du regard des autres et prendre confiance en toi !Tu peux aussi t'abonner à ma newsletter pour recevoir du contenu gratuit et exclusif 2x par mois !Episode 4 de Bulles de Coaching sur les émotions : lien vers Spotify - Lien vers Apple podcasts.........
Au Mexique, le loup bénéficie aussi d'une protection. Depuis les années 2000, quelques individus ont été réintroduits dans les montagnes de l'État de Chihuahua. Là-bas, c'est une région de « rancheros ». Dans ces montagnes et ces grandes plaines, l'élevage de bovin est l'une des activités principales. On pourrait croire que le loup n'y serait donc pas le bienvenu, mais au lieu de s'opposer à la présence du prédateur, quelques « rancheros » s'impliquent. Ils l'encouragent et participent aux efforts de conservation. « Ici, il y a une trace de loup. » Seulement repérables par des yeux aguerris, quelques empreintes se dessinent dans la poussière brune. « Là, regarde ici, la trace est fraîche. Il est allé par là. Et là, il y a d'autres traces de biches. » Jaime Ruffo est vacher. Dans ce grand ranch perché à 2 300 mètres d'altitude, il garde 300 bovins qui évoluent en semi-liberté entre des roches abruptes et la foret. Ici, il fait partie des « pro loups ». « Ils ont été libérés ici et il ne s'est rien passé. Vraiment, ça n'a rien changé ! J'ai passé toute ma vie ici avec ces animaux, donc personne ne peut me raconter des histoires. Le loup n'a pas fait tant de mal. Je vous dis qu'il y a d'autres animaux qui attaquent beaucoup plus les troupeaux comme les pumas et les coyotes. » « Rapprocher les loups et les éleveurs » Un peu plus bas dans la plaine, le biologiste Cristian Aguilar a fait le pari de rallier les éleveurs à la cause du loup. En créant une coopérative, il les aide à vendre une viande biologique deux fois plus cher. Ainsi, quand ils gagnent correctement leur vie, ils sont davantage disposés accepter la présence du prédateur. « On est arrivés avec l'idée romantique de sauver le loup, mais on ne voyait pas les problématiques des producteurs. On leur disait : « Vous devez protéger les loups, car c'est une espèce en voie d'extinction… » Et eux, ils nous répondaient : " Oui, mais tu te rends compte que je n'ai pas déjeuné et que mes enfants ont le ventre vide parce que l'élevage est en crise ! " Donc, nous devons régler les problèmes de chacun pour trouver le moyen de conserver les loups et que ce soit un succès. Avant, on faisait en sorte d'éloigner les loups des troupeaux. Aujourd'hui, on travaille pour rapprocher les loups et les éleveurs. » Nostalgique de la faune disparue, et convaincu que le loup a sa place sur ce territoire, Alonso Olivas a même décidé de libérer des loups sur ses propres terres : « Moi, je suis très content, car les loups aiment mon ranch. Ils viennent souvent me rendre visite. Bien sûr, j'ai eu quelques problèmes au début, mais maintenant, c'est bon. J'ai tout mis en ordre. J'aime bien aller voir les images des pièges photographiques. J'adore voir d'où ils sortent, où ils sont et combien. » L'espèce du loup mexicain Canis lupus baileyi, présent aux États-Unis et au Mexique s'était complètement éteinte au sud de la frontière dans les années 1980, victime des campagnes d'extermination. Aujourd'hui, on estime qu'une cinquantaine d'individus arpentent les montages du nord du Mexique. À lire aussiY a-t-il trop de loups en Europe ?
durée : 00:44:00 - Ma différence à moi - par : Giulia Foïs - L'espace de quelques jours, Stanislas du groupe Astéréotypie, a enregistré des notes vocales sur son smartphone, et les a envoyées à Giulia Foïs. Réception, écoute, assemblage, montage, et voilà leur carnet de bord version 5G. Cette série est dédiée à Ali Leonardi. - réalisé par : Séverine Cassar Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Moi? We got an episode and we got topics, just look at 'em: which Muppets we identify with, the Hannibal Cinematic Universe, why posting sucks, optimal hat fits, Westworld only being one season actually, being horned up for both funny lookin' fellas AND elderly gentlemen, and mooooooore! My therapist said he can't believe we can talk for so long about "minutiae" and we continue to prove him right. Like what you hear? Check out our Patreon and support the show at patreon.com/leightonnight to get AD FREE and VIDEO EPISODES FOR AS LOW AS $2 A MONTH. WE LITERALLY SHOULDN'T BE DOING THIS AND MUST BE STOPPED!!!!! And there's other stuff on there but whatever who cares. Follow us on Twitter at @leightonnight and on Instagram/TikTok at @leighton_night. You can find Brian on Twitter/Instagram at @bwecht, and Leighton nowhere except letterboxd @ FUNERALTIDDY because posting is a sin unless if it's about Al Pacino being hot. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Dans cet épisode, nous partageons nos conseils pour voyager en France : transports, logements, langue et coutumes. Nous évoquons les différences régionales et l'ambiance estivale. Et surtout, nous racontons pourquoi on aime voir Paris à travers les yeux des touristes. Interactive Transcript and Vocab Helper Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership Open the Interactive Transcript (https://play.easyfrench.fm/episodes/v1g2oli84xumbk28rt7x0) Download transcript as HTML (https://www.dropbox.com/scl/fi/v1g2oli84xumbk28rt7x0/easyfrenchpodcast152_transcript.html?rlkey=f953c5yoz23a4v75chd0z2m25&st=v4aichqz&dl=1) Download transcript as PDF (https://www.dropbox.com/scl/fi/w83z83bhzx22ntaqgaylv/easyfrenchpodcast152_transcript.pdf?rlkey=6rmd91di3bhzqalh3zaginiq4&st=8cf9tm7h&dl=1) Download vocab as text file (https://www.dropbox.com/scl/fi/7tlyhu0048mm47ejx5gv3/easyfrenchpodcast152_vocab.txt?rlkey=wjarkf2uu5j0lno5u3x672b5k&st=7qzlmrwm&dl=1) Download vocab as text file with semicolons (https://www.dropbox.com/scl/fi/7tlyhu0048mm47ejx5gv3/easyfrenchpodcast152_vocab.txt?rlkey=wjarkf2uu5j0lno5u3x672b5k&st=kz0btkcz&dl=1) (for flashcard apps) Subscribe using your private RSS feed to see the transcript and vocabulary helper right in your podcast app while you listen. Show Notes
Le chef de l'État camerounais sera-t-il candidat à la présidentielle d'octobre ? « C'est du 50/50 », a déclaré lundi sur RFI le porte-parole du gouvernement camerounais, le ministre René-Emmanuel Sadi. « Il n'y a aucun doute », le président Paul Biya sera candidat en octobre, affirme de son côté, toujours sur RFI, le porte-parole du parti au pouvoir RDPC, Jacques Fame Ndongo. Visiblement, il y a donc une divergence entre le gouvernement et le parti au pouvoir sur l'avenir politique du président camerounais. Jacques Fame Ndongo, qui est aussi ministre d'Etat et ministre de l'Enseignement supérieur, répond à Christophe Boisbouvier. RFI : Nous sommes à trois mois de la présidentielle et, à la différence des autres grands partis politiques, le RDPC au pouvoir n'a toujours pas désigné son candidat. Est-ce qu'aujourd'hui vous pouvez nous en dire plus ? Jacques Fame Ndongo : Le candidat du RDPC est désigné. Article 27, alinéa trois, des statuts du parti. Que dit cet article ? Le président national du RDPC est le candidat du parti à l'élection présidentielle. Il est le candidat et je le dis de manière catégorique. Mais formellement, comment le RDPC peut-il prendre une telle décision ? Est-ce lors d'un congrès ? Est-ce lors d'un comité central ? Est-ce lors d'un bureau politique ? On n'a pas besoin d'un congrès. On n'a pas besoin d'autres choses. Nous avons nos statuts. C'est le droit positif. C'est-à-dire, l'article 27 des statuts du parti ne laisse planer aucun doute. Le président national du RDPC est le candidat du RDPC, de ce parti-là donc, à l'élection présidentielle. Donc, il y a zéro chance qu'il y ait un autre candidat du RDPC à la présidentielle d'octobre ? Nos statuts sont clairs. Pour être candidat du RDPC à l'élection présidentielle, il faut être président national de ce parti. Or, je ne sais pas qu'il y ait un autre président national du RDPC. Donc, c'est le président national du parti, Son Excellence Paul Biya, qui est le candidat. C'est dans les statuts du parti. Mais le chef de l'État a fait savoir ces derniers temps qu'il répondrait en temps voulu à l'appel du parti qui lui demande d'être candidat. Il n'a pas encore formellement répondu à cet appel… Je vous dis qu'il est candidat. Mais qu'est-ce qui vous permet de savoir qu'il est candidat alors qu'il ne s'est pas exprimé lui-même ? Parce que, ayant critiqué toutes les sources, je peux vous affirmer de manière péremptoire qu'il est le candidat du RDPC à l'élection présidentielle. Tout le reste n'est que supputation. C'est-à-dire que vous l'avez vu récemment ? Je ne peux pas répondre à cette question, mais je vous dis que j'ai procédé à toutes les vérifications possibles et réelles. L'information que je vous livre est puisée à très bonne source. Ce que tout le monde a envie de vous demander, c'est : est-ce que vous avez pu rencontrer ces dernières heures le président Paul Biya et est-ce qu'à l'issue de cette rencontre il vous a donné son accord pour que vous nous disiez ceci aujourd'hui ? Je ne le dirai pas, mais sachez qu'en 52 ans de haute administration, il m'est difficile de me jeter comme ça dans un tonneau des Danaïdes si je n'ai pas la certitude de ce que j'affirme. Je ne suis pas né de la dernière pluie, comme vous le savez bien. Donc, vous avez puisé à la meilleure source ? J'ai puisé à bonne source, c'est bien vérifié, c'est bien recoupé. Pas de doute là-dessus. Alors, formellement, par quel canal le chef de l'État va-t-il annoncer qu'il répond oui à l'appel des militants de son parti ? Oui, il le fera. Vous savez qu'il est maître du temps présidentiel. Il le fera par le canal qu'il jugera le plus opportun. Alors, ce lundi 7 juillet, sur RFI, le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, René-Emmanuel Sadi, a affirmé que rien n'était décidé concernant la candidature ou non du président Biya à la présidentielle d'octobre. « C'est du 50/50 », a-t-il précisé… Oui là, c'est l'État. Moi, je parle au nom du parti. Vous êtes bien d'accord que ce sont quand même deux points de vue divergents ? C'est vous qui le dites. Et est-ce que cette divergence, ça ne crée pas une situation de cacophonie au sommet de l'État camerounais ? Il n'y a aucune cacophonie. L'un parle pour le gouvernement de la République et l'autre pour le parti au pouvoir. Il n'y a pas de parti État. Alors par ailleurs, vous êtes ministre de l'Enseignement supérieur, vous êtes donc un collègue de René-Emmanuel Sadi. Est-ce que vos propos ne risquent pas d'être perçus comme une sérieuse entorse au principe de solidarité gouvernementale ? Je parle au nom du parti, pas au nom du gouvernement. Le ministre Sadi, qui est un frère, un ami, parle au nom de l'État, au nom du gouvernement. C'est la première fois tout de même que l'on voit une divergence sérieuse de point de vue entre le parti au pouvoir et le gouvernement sur la question d'une candidature à venir du président Biya, est-ce que cela ne dénote pas un certain essoufflement, une certaine fragilité au sommet de l'État camerounais ? C'est vous qui parlez de divergence. Je ne critique personne. La solidarité gouvernementale existe bel et bien, mais moi, je m'exprime au nom du parti au pouvoir.
durée : 00:57:59 - Le Souffle de la pensée - par : Géraldine Mosna-Savoye - Aujourd'hui, on parle du livre des livres, le plus traduit, le plus vendu, le plus discuté et le plus disputé : la Bible, en toute simplicité. Avec l'écrivain et éditeur Frédéric Boyer, qui a dirigé sa retraduction en 2001. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Frédéric Boyer Écrivain, traducteur et éditeur
Madeline Kenny is a singer, songwriter and multi-instrumentalist based in Oakland, Ca. Her 5th record, Kiss From The Balcony is due out July 18th via Carpark records and is a follow up to her acclaimed release New Reality Mind. Madeline shares her early relationship with music and why an education spilt between formal piano training and an all-ages punk venue proved to be a rounding experience. She tells us how she accidentally fell into making her first recording with Chaz Bundick from Tori y Moi and why the neutrality of their relationship played a role in that process. Joe and Madeline discuss the current music landscape and why taking advantage of the NOW is more important to Madeline that chasing the moving target of media consumption. Madeline tells us how recording Kiss From The Balcony at Tiny Telephone Studio gave her more freedom and dramatic license than previous records and why she is dedicated to performance both in the studio and live. We learn how Madeline feel in love with sideburns, how she came to be in a Neil Young cover band, and she reveals her next cover band project. Madeline Kenny Carpark Tour Stories is now supported by @tandemdrums, maker of Drops drum mutes. Joe's absolute favorite drummute for live, rehearsal and the studio. visit Tandem Drums Please visit and support Izotope and Distrokid for continued exclusive listener discounts. Izotope is the leader in audio repair, mixing and mastering. Ruinous uses Izotope and you should too. Trust us. The best way to get your music into the worlds ears is Distrokid. Artist keep 100% of their royalties and their mobile app is smartly designed, easy to use and perfectly intuitive.
Welcome Back! The Boulder Boys Show Ep. 50 This one is all things Western States! Boulderboys.show Year Of The Boy: https://youtu.be/KsClhdWc5-8 Moi's training app: https://vert.run Matt's substack: https://substack.com/@mattdaniels480?utm_source=substack-feed-item