POPULARITY
durée : 00:54:09 - La librairie francophone - par : Emmanuel Kherad - Ce samedi, nous parlerons philo avec Mazarine Pingeot et Nathalie Kuperman, des Rolling Stones avec Simon Liberati et de l'adolescence avec Thomas Lavachery.
Invité.es : Mazarine Pingeot, Nathalie Kuperman, Simon Liberati et Thomas Lavachery. C'est le Prix Renaudot 2022. Simon Liberati raconte un moment clef de la vie des Rolling Stones, mis en lumière par ses propres démons. Un roman sulfureux qui va peut-être agité nos libraires : « Performance », publié aux Editions Grasset. Il sera question de philosophie pour les enfants et les parents. Un livre à plusieurs entrées pour tous les âges. Nathalie Kuperman et Mazarine Pingeot analysent le rêve, la différence, l'amour ou la compassion avec finesse : « Drôles d'histoires pour apprentis philosophes », publié aux Editions Flammarion Jeunesse. Vous découvrirez le roman belge d'un auteur qui s'était jusqu'alors consacré à la jeunesse. Une petite révélation. Thomas Lavachery raconte une adolescence pleine de liberté et de sensualité : « Le netsuke », publié aux Editions Esperluètes. Mais nous commençons cette émission avec l'actualité francophone de la semaine. C'est le rayon des Bande Dessinée qui est en tête des ventes en libraires, tous livres confondus. Avec le nouveau Lucky Luke, le dernier Riad Sattouf ou encore le nouvel album de Blake et Mortimer. Jean-Luc Fromental nous parle de Blake et Mortimer : « 8h à Berlin »,* publié aux Editions Blake et Mortimer. Présentation : Emmanuel KHERAD
Deborah Danblon propose : Baptiste Beaulieu illustré par Quin Leng – Les gens sont beaux – Éditions Les Arènes Nathalie Kuperman et Mazarine Pingeot illustré par Claire Morel Fato – Drôles d'histoires pour apprentis philosophes – Éditions Flammarion jeunesse Thomas Vinau illustré par Anne Brouillard– Pizza quatre saisons – Éditions Thierry Magnier Marie Desplechin adapté et illustré par Édith – Séraphine – Éditions Rue de Sèvres
Par l'auteure, avec Alex Beaupain (piano & voix), Valentine Duteil (violoncelle) & Nathalie Kuperman (voix) C'est sur son fond d'exil et de guerre que s'écrit l'histoire de cette famille. Daredjane, la mère, a quitté la Géorgie pour s'installer en France. Dans les années 1980, elle tient à emmener tous les étés ses deux filles sur ses terres natales, chez leurs grands-parents. Bien longtemps après, le mari de Daredjane mort, l'harmonie du passé semble s'être fendillée : les deux sœurs, si proches autrefois, se sont éloignées l'une de l'autre, et les rapports entre Daredjane et Kessané, sa fille aînée, s'assombrissent. Que s'est-il passé ? Entre souvenirs d'été sensuels, exploration du désamour et traumatismes politiques, Kéthévane Davrichewy livre un roman aux résonances très actuelles. Elle est accompagnée par le chanteur Alex Beaupain, la musicienne Valentine Duteil et l'autrice Nathalie Kuperman. À lire – Kéthévane Davrichewy, Nous nous aimions, Sabine Wespieser éd., 2022.
durée : 01:48:59 - Le grand atelier - par : Vincent Josse - Delphine de Vigan est la présidente du Prix du Livre Inter cette année, l'occasion de rediffuser son Grand Atelier, réalisé à la sortie de son livre "Les enfants sont rois", chez Gallimard. - invités : Delphine DE VIGAN, Françoise GILLARD, Nathalie KUPERMAN, La Grande Sophie, Fabcaro, Fabienne VERDIER - Delphine de Vigan : Ecrivain, Françoise Gillard : Comédienne, sociétaire de la Comédie Française, Nathalie Kuperman : Ecrivaine, La Grande Sophie : Chanteuse, auteure, compositrice, Fabcaro : Dessinateur de BD, Fabienne Verdier : Artiste peintre - réalisé par : Karen DEHAIS
Essentiel – Le rendez-vous culture de RCJ – présenté par Laurence Goldmann Spécial Festival Quartier du Livre organisé par la Mairie du Ve arrondissement. Avec Florence Berthout, Maire du Ve arrondissement de Paris Nathalie Kuperman pour « On était des poissons » aux éditions Flammarion Et Carole Zalberg pour « Tes ombres sur les talons » aux éditions Grasset À propos du livre : "On était des poissons " Paru aux éditions Flammarion " Demain, gare de Lyon, départ à 9h37. T'es contente ? Je ne savais pas si j'étais contente ou pas. Je trouvais que tout allait trop vite. Je ne pourrais dire au revoir à personne, ne pourrais me réjouir quelques jours auparavant à l'idée du départ. Pourtant, j'ai répondu Oui. Parce que je sentais, peut-être pour la première fois, que ma mère n'était pas prête à écouter mes états d'âme. Papa, il est au courant ? Laisse ton père où il est. Il verrait d'un mauvais oeil que je te fasse rater les derniers jours de classe. Il me ferait la morale, et la morale, je n'aime pas ça. " Cet été-là, Agathe le passe échouée sur une plage de la Côte d'Azur au côté d'une mère dont la folle excentricité l'inquiète. Cette dernière la presse de grandir vite et la petite fille devine qu'elle a quelque chose d'urgent à lui dire. Mais quoi ? Emportée dans le sillage de cette mère-poisson, ce n'est que des années plus tard, en déroulant le souvenir à vif de ces jours pleins de bruit et de fureur, qu'elle le découvrira enfin. Nathalie Kuperman est l'auteur d'une dizaine de romans parmi lesquels Nous étions des êtres vivants, Les Raisons de mon crime, La Loi Sauvage (Gallimard, 2010,2012, 2014) et Je suis le genre de fille (Flammarion, 2018) a connu un vif succès critique et public. À propos du livre : "Tes ombres sur les talons " Paru aux éditions Grasset Jeune fille au parcours scolaire sans faute, Melissa paraît s'intégrer au mieux dans la vie professionnelle… sans réellement trouver sa place. Fragilisée par un manque d'assurance sociale, elle perd le fil, se lie avec une autre jeune femme, désorientée comme elle, qui l'entraîne à de mystérieuses réunions. Dans ce groupe aux visées douteuses, animé par un gourou manipulateur, Melissa se soumet à un cadre rassurant et s'engage corps et âme dans un mouvement politique qui se révèle brutal et dangereux. Se croyant enfin protégée, enfin utile, enfin aimée, elle ne voit rien, ne veut pas comprendre. Jusqu'au jour où, associée aux funestes projets du groupe, elle se trouve mêlée à la mort d'un enfant. Tout bascule. Au lendemain du drame, Melissa entame une danse avec sa conscience, qui la mènera d'un engagement toujours plus extrême vers un effondrement et une réinvention de soi, de New York à la Corse en passant par Key West et l'Alaska où se nouent des rencontres déterminantes. À travers la trajectoire individuelle de Melissa, Carole Zalberg aborde de son regard aigu et subtil la question de la radicalisation, des rêves déçus, de ces dons que la société ne sait pas toujours exploiter, décourage souvent et, pire, pervertit. « Histoire d'une conscience », tel pourrait être le titre de ce roman dérangeant, bouleversant et lumineux. Carole Zalberg est l'auteur de neuf romans dont Feu pour feu (Actes Sud, 2014), Prix Littérature-Monde ; Je dansais (Grasset, 2017), prix Simenon ; et Où vivre (Grasset, 2018).
NATHALIE KUPERMAN - ON ÉTAIT DES POISSONS Lecture par l'auteure accompagnée de Mathieu Baillot (musique & vidéo) Rencontre animée par Nathalie Crom Lecture musicale & rencontre « Peut-être, sans m'en rendre compte, voulais-je l'accompagner. En dépit de toutes les résolutions que j'avais prises de ne plus l'aimer, puis finalement de l'aimer quand même, ne sachant plus que faire de l'embarrassante mère qui était la mienne, une reine, une folle, une sauvage… » Cet été-là, la jeune Agathe le passe sur une plage de la Côte d'Azur avec sa mère dont la folle excentricité l'inquiète. Aussi aimante que brutale, cette femme fascinante semble avoir quelque chose à dire à sa fille, mais quoi ? Pourquoi faudrait-il grandir au plus vite comme elle le dit ? Quelle est cette menace qui sourd et rend l'amour incertain ? Nathalie Kuperman livre un tandem puissant et met à jour en chacun de nous cette faille immémoriale : la crainte d'être abandonné. À lire – Nathalie Kuperman, On était des poissons, Flammarion, 2021.
Nathalie Kuperman écrit pour la jeunesse, elle est scénariste et aussi l'auteure d'une dizaine de romans parmi lesquels «Nous étions des êtres vivants», «Les Raisons de mon crime», «La Loi Sauvage» (Gallimard, 2010, 2012, 2014) et «Je suis le genre de fille» (Flammarion, 2018) a connu un vif succès critique et public. Son nouveau roman vient de paraître sous le titre «On était des poissons» et raconte le lien complexe entre une mère et sa fille. « Demain, gare de Lyon, départ à 9h37. T’es contente ? Je ne savais pas si j’étais contente ou pas. Je trouvais que tout allait trop vite. Je ne pourrais dire au revoir à personne, ne pourrais me réjouir quelques jours auparavant à l’idée du départ. Pourtant, j’ai répondu Oui. Parce que je sentais, peut-être pour la première fois, que ma mère n’était pas prête à écouter mes états d’âme. Papa, il est au courant ? Laisse ton père où il est. Il verrait d’un mauvais œil que je te fasse rater les derniers jours de classe. Il me ferait la morale, et la morale, je n’aime pas ça. » Cet été-là, Agathe le passe échouée sur une plage de la Côte d’Azur au côté d’une mère dont la folle excentricité l’inquiète. Cette dernière la presse de grandir vite et la petite fille devine qu’elle a quelque chose d’urgent à lui dire. Mais quoi ? Emportée dans le sillage de cette mère-poisson, ce n’est que des années plus tard, en déroulant le souvenir à vif de ces jours pleins de bruit et de fureur, qu’elle le découvrira enfin. (Présentation des éditions Flammarion)
Nathalie Kuperman est auteure, bien connue dans le rayon « Jeunesse » mais aussi du côté de la littérature pour les grands. En 2018, elle a fait paraître chez Flammarion son dernier roman Je suis le genre de fille, récemment sorti en version poche chez Folio. L’occasion pour Lettres it be de découvrir ce livre et de vous en faire la critique. La quatrième de couverture : Après Styles et Les occupations, Côme Martin-Karl est revenu récemment en librairie avec La réaction publié aux éditions Gallimard. Dans ce livre, l’auteur propose une plongée dans la vie de Matthieu Richard, citoyen et activiste d’extrême droite. Ambiance. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/34cbdV6
Nathalie Kuperman est auteure, bien connue dans le rayon « Jeunesse » mais aussi du côté de la littérature pour les grands. En 2018, elle a fait paraître chez Flammarion son dernier roman Je suis le genre de fille, récemment sorti en version poche chez Folio. L’occasion pour Lettres it be de découvrir ce livre et de vous en faire la critique. La quatrième de couverture : « D’accord » : c’est peut-être le mot que Juliette dit le plus souvent, par fatigue, lâcheté ou absence d’à-propos. Elle est le genre de fille accommodante, avec ses proches, son ex-mari un brin narquois, son adolescente de fille, son trop parfait collègue de travail. Jusqu’au moment où elle décide de dire non. Un immense « non » libérateur, lancé à la figure de ceux qui ne doutent jamais d’eux, qui tiennent à jouer le premier rôle dans leur comédie sociale. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/2UGjfCg
Rencontre animée par Nathalie Crom Le 5 avril 2018 à la Maison de la Poésie - Scène littéraire
«D’accord» : c’est peut-être le mot qu’elle dit le plus souvent, par fatigue, lâcheté ou absence d’à-propos. Mais certains soirs, tard, après avoir improvisé une danse dans son salon pour chasser les contrariétés de la journée, elle est capable d’envoyer des mails incendiaires ou insensés pourrectifier la situation. Oui, c’est le genre de fille accommodante, avec ses proches, son ex-mari un brin narquois, son adolescente de fille, son trop parfait collègue de travail. Puis ceux à qui elle tient inlassablement la porte dans le métro, ceux qu’elle laisse passer indéfiniment devant elle à la caisse du supermarché au motif que leur caddie est moins rempli. Conciliante, oui, jusqu’au moment où elle dit non, un immense Non lancé comme un éclat de rire à la figure de ceux qui ne doutent jamais d’eux, qui tiennent à jouer le premier rôle dans leur comédie sociale. Mais pour qui se prennent-ils? En faisant le portait d’un genre de fille qui nous ressemble, Nathalie Kuperman livre une comédie sur les apparences et les non-dits et, en guerrière discrète mais tenace, s’attache à démasquer ce que Nathalie Sarraute appelait «les innombrables petits crimes» que les paroles des autres provoquent en nous.
La vie dans un groupe de presse en pleine revente. Chaque semaine, un écrivain lit un extrait de son oeuvre.
Beau travail...Dans le cadre du Mois du Film documentaire sur le thème du travail et de la carte blanche consacré au réalisateur Jean-Marc Moutout.Rendez-vous lecture n°5Ecouter en ligneTélécharger le fichierClic droit / Enregistrer sous...Téléchargement >> [mp3 : 30 Mo]Un extrait de Saint-Denis du bout du monde, de Samuel Zaoui, lu par Fanny Fageon.Un extrait de Petit éloge de la haine, de Nathalie Kuperman, lu par Vinciane Lecocq.Un extrait de Central téléphonique (service du montage), de Gérard Douce (Atelier d'écriture sur le travail), lu par l'auteur.La scierie, un texte de Geneviève Kus (Atelier d'écriture sur le travail), lu par l'auteur.Le directeur des ventes, un texte de Nathalie Picard (Atelier d'écriture sur le travail), lu par l'auteur.Un extrait de Titanic City un article d'Anna Loujine, paru en octobre 2008 dans Télérama, lu par Annie Julien-Baillet.