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Ahuntsic: cet entrepreneur a besoin de plus de présence policière. Faites attention si vous êtes clients de la Banque Nationale et Desjardins une opération de fraude est en cours. Affaires et société avec Philippe Richard Bertrand, expert en commercialisation et en technologies et co animateur du balado Prends pas ça pour du cash à QUB. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Hay Mohammadi est un quartier mythique de Casablanca qui a fourni au Maroc certain de ses grands artistes contemporains, comme le groupe de musique Nass El Ghiwane. Populaire et rebelle, Hay Mohammadi a été dans les années 1960/1970 un foyer de création et un lieu où le Maroc se réinventait. Cinquante ans plus tard, après des bouleversements majeurs comme la destruction des bidonvilles et l'arrivée d'un nouveau personnel politique, le quartier s'est endormi. De notre correspondant à Casablanca, À lire aussiMaroc: le quartier de Hay Mohammadi, l'incubateur du groupe Nass el Ghiwane [1/2]
Dans ce nouvel épisode de "Brèves de Quartier, Mathis, Mariam, Loumi, Eléonore, Elora et Charlotte interrogent Pauline, coordinatrice du secteur enfance du Centre socioculturel des Longs-Prés. C'était le vendredi 29 août à l'occasion de son dernier jour à ce poste. Pourquoi partir ? Quoi faire maintenant ? Que retenir des presque huit ans passés aux Longs-Prés ? Réponses en écoutant ce podcast réalisé avec l'aide de Baptiste Julien Blandet (journaliste).
Il y a des quartiers qui, par leur apport politique, économique ou culturel, marquent l'histoire de pays entier. Au nord-est de Casablanca, le quartier de Hay Mohammadi, avec ses bidonvilles et ses usines, a servi de pépinière à plusieurs générations d'artistes. Parmi eux, Nass el Ghiwane, le groupe mythique des années 1960. Avec ses textes engagés et sa musique issue de différents répertoires traditionnels, il déferle sur le Maroc des « années de plomb ». Alors que la répression s'abat sur les opposants, Hay Mohammadi va produire ses plus grands artistes. De notre correspondant à Casablanca, À lire aussiMaroc: «Chikha», l'histoire d'un art et d'une résistance
Ce nouvel épisode de "Brèves de Quartier, le podcast" a été réalisé à La Maison de Quartier de la Bellangerais par Noémie, Tadina, Lubin et Lunaya à l'occasion du spectacle d'été "La dernière danse de Monique" joué par la Compagnie Choupachoupa le jeudi 28 août. Ils ont interrogé Sandrine, l'interprète, à l'issue du spectacle. Elle livre quelques secrets sur la fabrication du spectacle et sa motivation à faire ce métier. Bonne écoute !
Zürcher Schülerinnen und Schüler sollen künftig wieder erst ab der Sek oder dem Gymi Französisch lernen. Das Kantonsparlament hat am Montag eine Motion von Mitte, EVP, SVP und GLP an die Regierung überwiesen. Bildungsdirektorin Silvia Steiner (Mitte) warnte vor dem «Spiel mit dem Feuer». Ausserdem: · Birsfelden BL überwacht Einfahrten in Quartier mit Kameras · Mollis und Thun: Vor und nach dem ESAF · Wohin kommt ESAF-Muni Max?
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : le quartier de haute sécurité de la prison de Vendin-le-Vieil volontairement inondé par des détenus la nouvelle grève des contrôles aériens le 18 septembre Mireille Mathieu se lâche sur Emmanuel Macron
« Dans mon Chinatown », c'est une série spéciale de RFI. Nous vous emmenons à la découverte des quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Mexico. Installé dans une rue du centre-ville, son Chinatown est le plus petit quartier chinois du monde. Plusieurs générations de Chinois s'y succèdent depuis l'arrivée des fondateurs, après la Seconde Guerre mondiale. Mais de plus en plus, les commerces chinois s'étendent hors des frontières du quartier et éclosent dans tout le centre-ville. De quoi réveiller la colère des commerçants mexicains. Un reportage de Marine Lebègue. À lire aussiAustralie: à Sydney, le Chinatown de Burwood bouscule la politique locale À lire aussiDeux Chinatown à Johannesburg: focus sur la plus grande communauté asiatique en Afrique
Ce nouvel épisode de "Brèves de Quartier, le podcast" vous propose de découvrir la Maison des familles proposée par l'UDAF 35. Anaïs s'est rendu le vendredi 18 juillet à l'un des rendez-vous programmé cet été. A cette occasion, elle a interrogé des parents sur ce qu'il retire de leur participation à la Maison des Familles et Camille, qui co-anime les ateliers. Bonne écoute !
« Dans mon Chinatown », c'est une série spéciale de RFI. Nous vous emmenons à la découverte des quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Mexico. Installé dans une rue du centre-ville, son Chinatown est le plus petit quartier chinois du monde. Plusieurs générations de Chinois s'y succèdent depuis l'arrivée des fondateurs, après la Seconde Guerre mondiale. Mais de plus en plus, les commerces chinois s'étendent hors des frontières du quartier et éclosent dans tout le centre-ville. De quoi réveiller la colère des commerçants mexicains. Un reportage de Marine Lebègue. À lire aussiAustralie: à Sydney, le Chinatown de Burwood bouscule la politique locale À lire aussiDeux Chinatown à Johannesburg: focus sur la plus grande communauté asiatique en Afrique
durée : 00:03:08 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez RTL Matin avec Stéphane Boudsocq du 22 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Auditeurs : Laura L'alcool a pris beaucoup, aujourd'hui Laura tente de reprendre le dessus. Pyrène Pyrène voit ses parents deux fois par an. Et chaque fois, c'est trop. Lorenzo Son meilleur ami a été plongé dans un coma artificiel… puis il est mort. Depuis, Lorenzo cherche à comprendre. Caroline Caroline a trouvé la force de lutter contre la polyarthrite rhumatoïde en s'occupant des chats errants de son quartier. Jean-Marie Jean-Marie a un cœur à recoller. Cette fois, il est prêt à tout pour trouver l'amour. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
“Wou d'Uelzecht-Stad” ass deen zweete Soundwalk vun der Lëtzebuerger Komponistin Catherine Kontz zesumme mat der englescher Poetin S.L. Grange. Mam eegenen Handy a Kopfhörer kann een duerch de Gronn trëppelen an iwwer 13 Statiounen d'Geschichte vum Quartier entdecken. Esou soll deen onsiichtbare Patrimoine vun der Stad Lëtzebuerg nees méi visibel gemaach ginn. De Soundwalk ass gratis a kann zu all Zäit gemaach ginn, ob eleng oder an der Grupp. D'Marie Trussart huet sech mat der Komponistin am Gronn getraff a krut lauter spannend Geschichten erzielt. Den 31. August huet een am Kader vun der LUGA iwweregens d'Méiglechkeet de Spadséiergang zesumme mat der Komponistin ze goen.
durée : 00:10:06 - Les lieux à ne pas manquer - par : David ABITTAN - Un musée, une balade, une ascension, et un jardin ! Mais d'abord, une question : de quand datent les statues grecques du quartier Antigone ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:55:26 - Où est-ce que tu vas pour les vacances ? - par : David ABITTAN - Aujourd'hui, cap au sud, à Montpellier ! On découvre le quartier néo-néoclassique d'Antigone, on s'installe à la terrasse du MO.CO. Panacée dans l'Écusson, on grimpe jusqu'au sommet du Pic Saint-Loup, et on traverse le plus ancien jardin botanique de France. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Dans mon Chinatown », c'est le nom de notre série d'été sur RFI. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction le Chinatown de New York, l'un des plus vieux au monde. Situé dans le sud de Manhattan, il fait face de nos jours à de nombreux défis. Entre les aléas de la politique internationale des États-Unis et les projets de développement locaux, ses habitants tentent malgré tout de préserver leur communauté. Arriver à Chinatown le matin, c'est arriver dans un quartier qui se réveille en douceur. Dans une ville où tout va vite, ce quartier semble parfois suspendu dans le temps. « Là, on est devant le tout premier immeuble d'appartements de New York, vieux de plus de 200 ans. » Grace Young connaît Chinatown comme personne. Celle que les médias ont surnommée la « reine du wok », pour son expertise de la cuisine chinoise, nous a donné rendez-vous sur Mott Street, là où tout a commencé : « Les premiers à avoir vécu ici étaient les immigrés irlandais, puis les Italiens, et ensuite les juifs. Et ce n'est probablement qu'à la fin des années 1800 que les premiers Chinois sont arrivés. » À New York, Chinatown a toujours été l'une des destinations les plus prisées des touristes. Mais marcher dans les rues aujourd'hui révèle une autre histoire. « On tourne à gauche sur Canal Street. Au loin, vous voyez Lung Moon Bakery, qui a fermé durant la pandémie de Covid-19. Là, il y avait un marché et maintenant, c'est un horrible magasin de souvenirs ''I Love New York'', qui n'apporte absolument rien au quartier », raconte Grace Young. Durant la pandémie de Covid, l'économie de Chinatown a été durement touchée. Des dizaines de commerces ont fermé. Ceux qui existent encore font face à de nombreux défis. « Nous entrons dans Grand Tea Imports », indique Karen Liu. Ses parents ont ouvert ce magasin il y a plus de 20 ans. Elle ajoute : « Vous remarquerez que les étagères sont pleines à craquer. On a du thé, des théières, des tasses mais aussi de l'encens et des objets traditionnels qu'on importe de Chine. » À lire aussiDroits de douane: les États-Unis prolongent de 90 jours la détente avec la Chine Ces derniers mois, ils n'ont qu'une chose en tête : comment survivre aux taxes douanières imposées par les États-Unis ? Karen Liu confie : « Chinatown ne peut pas exister sans les importations chinoises. On est aussi un quartier populaire, donc on essaie de garder nos prix abordables. Donc, même 30% de droits de douane, cela pèse énormément sur nos marges qui sont déjà très très faibles. » En plus de la guerre commerciale, Chinatown doit faire face à la gentrification qui ne cesse de faire flamber les loyers. La famille d'Alice Choi-Barrick possède une société de distribution de fruits et légumes. Après 40 ans dans le quartier, ils ont dû abandonner leurs locaux. « La pandémie a évidemment tout changé. Quand les autres commerces qu'on fournit en produits ont fermé, on a perdu des clients. Et cela nous a mis dans une situation financière délicate. Nous n'avons pas eu le choix et nous avons déménagé dans un entrepôt dans le Queens », explique-t-elle. Comme Alice et sa famille, ils sont nombreux à s'installer dans les Chinatown du Queens ou de Brooklyn. Le Chinatown de Manhattan, lui, compte désormais moins de 30 000 habitants d'origine chinoise. Une réalité contre laquelle se bat Grace Young, qui espère préserver ces quartiers historiques : « Ces quartiers nous lient à notre passé. S'ils disparaissent, on perd une part de nous-mêmes. » À lire aussiDans mon Chinatown: Lagos, une ville d'opportunités pour les ressortissants chinois
« Dans mon Chinatown », c'est le nom de notre série d'été sur RFI. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction le Chinatown de New York, l'un des plus vieux au monde. Situé dans le sud de Manhattan, il fait face de nos jours à de nombreux défis. Entre les aléas de la politique internationale des États-Unis et les projets de développement locaux, ses habitants tentent malgré tout de préserver leur communauté. Arriver à Chinatown le matin, c'est arriver dans un quartier qui se réveille en douceur. Dans une ville où tout va vite, ce quartier semble parfois suspendu dans le temps. « Là, on est devant le tout premier immeuble d'appartements de New York, vieux de plus de 200 ans. » Grace Young connaît Chinatown comme personne. Celle que les médias ont surnommée la « reine du wok », pour son expertise de la cuisine chinoise, nous a donné rendez-vous sur Mott Street, là où tout a commencé : « Les premiers à avoir vécu ici étaient les immigrés irlandais, puis les Italiens, et ensuite les juifs. Et ce n'est probablement qu'à la fin des années 1800 que les premiers Chinois sont arrivés. » À New York, Chinatown a toujours été l'une des destinations les plus prisées des touristes. Mais marcher dans les rues aujourd'hui révèle une autre histoire. « On tourne à gauche sur Canal Street. Au loin, vous voyez Lung Moon Bakery, qui a fermé durant la pandémie de Covid-19. Là, il y avait un marché et maintenant, c'est un horrible magasin de souvenirs ''I Love New York'', qui n'apporte absolument rien au quartier », raconte Grace Young. Durant la pandémie de Covid, l'économie de Chinatown a été durement touchée. Des dizaines de commerces ont fermé. Ceux qui existent encore font face à de nombreux défis. « Nous entrons dans Grand Tea Imports », indique Karen Liu. Ses parents ont ouvert ce magasin il y a plus de 20 ans. Elle ajoute : « Vous remarquerez que les étagères sont pleines à craquer. On a du thé, des théières, des tasses mais aussi de l'encens et des objets traditionnels qu'on importe de Chine. » À lire aussiDroits de douane: les États-Unis prolongent de 90 jours la détente avec la Chine Ces derniers mois, ils n'ont qu'une chose en tête : comment survivre aux taxes douanières imposées par les États-Unis ? Karen Liu confie : « Chinatown ne peut pas exister sans les importations chinoises. On est aussi un quartier populaire, donc on essaie de garder nos prix abordables. Donc, même 30% de droits de douane, cela pèse énormément sur nos marges qui sont déjà très très faibles. » En plus de la guerre commerciale, Chinatown doit faire face à la gentrification qui ne cesse de faire flamber les loyers. La famille d'Alice Choi-Barrick possède une société de distribution de fruits et légumes. Après 40 ans dans le quartier, ils ont dû abandonner leurs locaux. « La pandémie a évidemment tout changé. Quand les autres commerces qu'on fournit en produits ont fermé, on a perdu des clients. Et cela nous a mis dans une situation financière délicate. Nous n'avons pas eu le choix et nous avons déménagé dans un entrepôt dans le Queens », explique-t-elle. Comme Alice et sa famille, ils sont nombreux à s'installer dans les Chinatown du Queens ou de Brooklyn. Le Chinatown de Manhattan, lui, compte désormais moins de 30 000 habitants d'origine chinoise. Une réalité contre laquelle se bat Grace Young, qui espère préserver ces quartiers historiques : « Ces quartiers nous lient à notre passé. S'ils disparaissent, on perd une part de nous-mêmes. » À lire aussiDans mon Chinatown: Lagos, une ville d'opportunités pour les ressortissants chinois
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Kuzguncuk ass ee ganz historesche Quartier op der asiatescher Säit vun Istanbul. Do hat d'Pianistin a Komponistin Büşra Kayıkçı laang hire Studio mat hirem Piano an hiren Opnamgeräter. Si kënnt vun Istanbul an huet och do studéiert. Net nëmme klassesch Musek, mee och Innenarchitektur. Fir si beaflosst dat eent dat anert. Mat hiren eenzegaartegen a ganz intimen Improvisatiouns-Concerte begeeschtert si Leit ronderëm d'ganz Welt. De 17. August spillt si hiren alleréischte Concert hei am Land an de Rotonden. Wéi si Innenarchitektur an hir Musek verbënnt, an ob si deemnächst en neien Album erausbréngt, ënner anerem dat verréit déi 34-Joer jonk Pianistin am Gespréich mam Marie Schockmel.
Formen des Zusammenlebens – vom Alleinsein bis zur GemeinschaftWie leben wir heute – allein, in WGs, genossenschaftlich oder im Quartier? In dieser Folge nehme ich dich mit auf eine Reise durch die Vielfalt des Wohnens. Wir sprechen über Freiheit, Gemeinschaft, stille Räume und das Lachen, das ein Zuhause lebendig macht.Entdecke, welche Wohnform zu deinem Lebensabschnitt passt – und wie dein Zuhause mit dir wachsen kann.Mehr dazu und praktische Impulse findest du in meinem Buch „Türen öffnen Räume“.Besuche uns auch gerne auf den folgenden Internetseiten:www.eberlebau-landau.dewww.Bauen50Plus.dewww.heikeeberle.comUnd wenn du mir etwas Gutes tun willst, lasse mir eine Bewertung für den Podcast hier. Das ist der Lohn für mein ehrenamtliches Engagement!Herzlichst,Heike Eberle
Le Vietnam et ses plus de 7% de croissance fait figure de locomotive de l'Asie du Sud-Est. Le pays à l'économie la plus dynamique de l'Asean est en pleine mutation économique avec d'immenses projets d'infrastructures, notamment de transports. Cette croissance rapide s'accompagne de transformation des villes, notamment Hanoï où se construisent des résidences pour les plus aisés. Des complexes, fermés et sécurisés, déjà répandus en Chine ou en Corée du Sud qui se développent rapidement dans la capitale vietnamienne. Si c'est un symbole des inégalités sociales, ces lieux pour ultra-riches racontent aussi les inégalités environnementales. Visite de Ciputra, l'une des premières résidences du genre à Hanoï. De notre envoyé spécial de retour d'Hanoï, Loin du trafic incessant et des klaxons permanents et centre-ville d'Hanoï, les quelques milliers d'habitants de la résidence de Ciputra vivent dans un petit havre de paix où des gardes contrôlent l'entrée de la résidence. Ici, on trouve tout, au presque. « On a un golf, des cafés, des grandes piscines, des salles de sports. J'adore à quel point il y a énormément de nature dans ce quartier, des arbres, des parcs. Dans le centre d'Hanoï, il y a des motos, des voitures et évidemment cela affecte la qualité de l'air. » Hanoï, nommée temporairement ville la plus polluée de la Terre cet hiver, a pour habitude d'être enveloppée plusieurs fois par an dans un large nuage de particules fines. Les plus fortunés espèrent échapper à cette pollution qui tue chaque année 60 000 personnes au Vietnam. Phan Huy Hùng, habite ici depuis cinq ans : « De façon générale, j'adore l'ambiance de ce quartier, il y a beaucoup de résidents étrangers, et puis on n'est pas les uns sur les autres. Les bâtiments sont séparés, il y a beaucoup de verdures, au printemps les plantes fleurissent. » Ce modèle de résidence ne cesse de se répliquer à l'image des chantiers qui entourent Ciputra. Avec la hausse des revenus, le nombre de Vietnamiens souhaitant accéder à ce luxe augmente et avec la pollution générée par des chantiers où le béton est roi. Inégalités sociales grandissantes À quelques centaines de mètres dedans un restaurant de rue, les chevilles ouvrières de ce rêve vietnamien partagent une bière et des cacahuètes, ils s'adonnent au passe-temps national : le karaoké. « J'adore mon travail d'ouvrier du bâtiment. Ça crée un revenu stable pour nous tous, nos familles ! Nous gagnons environ 450 000 à 500 000 dôngs par jour. Le logement et les repas sont pris en charge. » Un revenu deux fois supérieur au salaire minimum, ce qui a attiré cet ouvrier de la ville vers la campagne : « Je me sens extrêmement fier, car des bâtiments comme celui qu'on construit donnent une bonne image du Vietnam. » Comme le restaurateur qui leur amène des soupes et des cigarettes sur une table en plastique, ces ouvriers le savent que leur présence dans le quartier est temporaire : « Dans quelques années les chantiers seront terminés et les investisseurs et les habitants haut de gamme seront installés ici alors, il faudra s'adapter à cette clientèle haut de gamme pour répondre à leurs attentes. » Une adaptation impossible pour ce restaurateur populaire. Même la forte croissance a réduit les inégalités. Le grand écart social est visible à Hanoï, à quelques centaines de mètres de distance. À lire aussiVietnam: pour lutter contre la pollution, les motos bientôt interdites dans le centre-ville de Hanoï
Le Vietnam et ses plus de 7% de croissance fait figure de locomotive de l'Asie du Sud-Est. Le pays à l'économie la plus dynamique de l'Asean est en pleine mutation économique avec d'immenses projets d'infrastructures, notamment de transports. Cette croissance rapide s'accompagne de transformation des villes, notamment Hanoï où se construisent des résidences pour les plus aisés. Des complexes, fermés et sécurisés, déjà répandus en Chine ou en Corée du Sud qui se développent rapidement dans la capitale vietnamienne. Si c'est un symbole des inégalités sociales, ces lieux pour ultra-riches racontent aussi les inégalités environnementales. Visite de Ciputra, l'une des premières résidences du genre à Hanoï. De notre envoyé spécial de retour d'Hanoï, Loin du trafic incessant et des klaxons permanents et centre-ville d'Hanoï, les quelques milliers d'habitants de la résidence de Ciputra vivent dans un petit havre de paix où des gardes contrôlent l'entrée de la résidence. Ici, on trouve tout, au presque. « On a un golf, des cafés, des grandes piscines, des salles de sports. J'adore à quel point il y a énormément de nature dans ce quartier, des arbres, des parcs. Dans le centre d'Hanoï, il y a des motos, des voitures et évidemment cela affecte la qualité de l'air. » Hanoï, nommée temporairement ville la plus polluée de la Terre cet hiver, a pour habitude d'être enveloppée plusieurs fois par an dans un large nuage de particules fines. Les plus fortunés espèrent échapper à cette pollution qui tue chaque année 60 000 personnes au Vietnam. Phan Huy Hùng, habite ici depuis cinq ans : « De façon générale, j'adore l'ambiance de ce quartier, il y a beaucoup de résidents étrangers, et puis on n'est pas les uns sur les autres. Les bâtiments sont séparés, il y a beaucoup de verdures, au printemps les plantes fleurissent. » Ce modèle de résidence ne cesse de se répliquer à l'image des chantiers qui entourent Ciputra. Avec la hausse des revenus, le nombre de Vietnamiens souhaitant accéder à ce luxe augmente et avec la pollution générée par des chantiers où le béton est roi. Inégalités sociales grandissantes À quelques centaines de mètres dedans un restaurant de rue, les chevilles ouvrières de ce rêve vietnamien partagent une bière et des cacahuètes, ils s'adonnent au passe-temps national : le karaoké. « J'adore mon travail d'ouvrier du bâtiment. Ça crée un revenu stable pour nous tous, nos familles ! Nous gagnons environ 450 000 à 500 000 dôngs par jour. Le logement et les repas sont pris en charge. » Un revenu deux fois supérieur au salaire minimum, ce qui a attiré cet ouvrier de la ville vers la campagne : « Je me sens extrêmement fier, car des bâtiments comme celui qu'on construit donnent une bonne image du Vietnam. » Comme le restaurateur qui leur amène des soupes et des cigarettes sur une table en plastique, ces ouvriers le savent que leur présence dans le quartier est temporaire : « Dans quelques années les chantiers seront terminés et les investisseurs et les habitants haut de gamme seront installés ici alors, il faudra s'adapter à cette clientèle haut de gamme pour répondre à leurs attentes. » Une adaptation impossible pour ce restaurateur populaire. Même la forte croissance a réduit les inégalités. Le grand écart social est visible à Hanoï, à quelques centaines de mètres de distance. À lire aussiVietnam: pour lutter contre la pollution, les motos bientôt interdites dans le centre-ville de Hanoï
Ce nouvel épisode de "Brèves de quartier, le podcast" a été enregistré le jeudi 17 juillet 2025 à l'occasion du rendez-vous "Ciné en plein air" organisé par le cadre d'un Eté à Rennes. Elahi, Médina et Selma, avec l'aide de Baptiste Julien Blandet, journaliste, vous proposent des interviews autour de cette animation qui s'est déroulé au Clair détour, derrière le Pôle associatif de la Marbaudais. Bonne écoute.
durée : 00:04:18 - L'info d'ici - Dans le quartier Bel Air à Tarbes, les 200 habitants du bâtiment A n'ont pas de gaz, depuis un mois et demi. Une fuite avait provoqué l'intoxication au monoxyde de carbone de 29 personnes, le 21 juin dernier. Pour le moment, aucune date claire de rétablissement n'a été communiquée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec : Aude, membre du Collectif Belsunce à Marseille. - Chaque matin, Sébastien Krebs reçoit un invité au cœur de l'actualité.
Quand on n'a pas de gouvernement, on réduit les dépenses. Cette règle s'applique en ce moment à la Région bruxelloise qui voit ses factures diminuer pour les six premiers mois de l'année. Ainsi, le ministre du Budget, Sven Gatz, entretient l'espoir de réduire le déficit. Jamais le précompte mobilier, l'impôt sur les revenus des capitaux, n'avait autant rapporté à l'État belge au premier semestre. Il a atteint plus de 4,2 milliards d'euros cette année. Le bon d'État Van Peteghem a joué un rôle dans ce record. Le quartier Nord de Bruxelles va-t-il déborder de bureaux au point de ne plus pouvoir les louer? Pas si sûr... De nombreux promoteurs, entreprises et administrations s'y intéressent. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:03:19 - L'info d'ici, ici Mayenne - Avant la reprise de la Ligue 2 de football ce samedi 9 août 2025, et la réception de l'ASSE pour le Stade Lavallois, ICI Mayenne vous propose une série de reportages à 7h32. C'est la dernière saison intégrale pour le stade Francis Le Basser qui sera bientôt rénové dans les grandes largeurs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Immer mehr Millionäre leben in Lugano: Die Stadt im Tessin wird immer beliebter bei den Superreichen. Wieso? Und wie fischt die Stadt im weltweiten Teich der Superreichen? Tagesgespräch unterwegs – Rendezvous mit Iwan Santoro in Lugano. Lugano glänzt – doch nicht für alle. In Pregassona, einem Quartier zwischen See und Berg, prallen zwei Welten aufeinander: oben luxuriöse Villen, unten baufällige Blöcke. Mit Tessin-Korrespondent Iwan Santoro sprechen wir über eine Stadt, in der die Schere zwischen Arm und Reich besonders weit auseinandergeht. Warum zieht es Superreiche nach Lugano? Was bedeutet das für Wohnraum, Preise und das Zusammenleben im Quartier? Und wie lebt es sich hier für Familien mit tiefem Einkommen? Iwan Santoro war unterwegs mit David Karasek.
durée : 00:03:33 - L'info d'ici de 07h30 Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:13 - Matthieu Cardon (Les Productions du Vendredi) : "J'adore la vie nocturne du quartier St Aubin à Toulouse" - Toulouse est officiellement "Ville des Musiques" ! C'est la distinction décernée par l'Unesco en 2023. La ville rose est reconnue pour son engagement à soutenir et promouvoir tous les genres de musiques. On rencontre Matthieu Cardon, de la structure spécialisée jazz "Les Productions du Vendredi". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Schaffhausen war im Mittelalter für den Salzhandel bekannt. Später durch seine Unternehmen aus der Metall, Maschinen- und Uhrenindustrie. Doch die Industriekrise traf Schaffhausen hart, sagt SRF-Korrespondent Roger Steinemann im «Tagesgespräch unterwegs – Rendez-vous in Schaffhausen». Treffpunkt ist die ehemalige Stahlgiesserei. Dieser Ort habe Schaffhausen «in mehrfacher Hinsicht geprägt» sagt Steinemann. Vor 200 Jahren wurde am Rande von Schaffhausen die Schmelzhütte gegründet. Es war die Initialzündung der Industrialisierung des Kantons. Hunderte von Arbeitern haben in der Stahlgiesserei im Schichtbetrieb gearbeitet und Stahl gegossen. Anfangs der 1990er Jahre brachen die Aufträge weg und die Industrie geriet in die Krise. Die Stahlgiesserei wurde geschlossen. In Schaffhausen brachen über zehn Prozent der Arbeitsplätze weg. Roger Steinemann, der damals soeben seine Lehre als Elektromechaniker beendet hatte, bekam die Krise hautnah mit. Als Volontär des Lokalradios «Munot» berichtete er über einbrechende Steuereinnahmen und er kannte viele direkt Betroffene, die sich ausserhalb von Schaffhausen Arbeit suchen mussten oder ganz wegzogen. Eine Massnahme des Kantons war, eine Wirtschaftsförderung zu installieren, um neue Firmen und Menschen anzuziehen. Im Fall der Stahlgiesserei dauerte es sogar 30 Jahre, bis Neues entstand. Erst als sich ein einheimischer Investor dem Gelände annahm, ging es vorwärts. 500 neue Wohnungen sind entstanden in der ehemaligen Stahlgiesserei in der Nähe des Bahnhofs. Daneben gibt es Gewerbe und Restaurants. Kurz: Es ist ein neues Quartier entstanden. Gefragt, welche Klischees es über Schaffhausen gibt, sagt Korrespondent Roger Steinemann, die Menschen nehmen Schaffhausen als «kleine Stadt» am Rande der Schweiz wahr. Die Schaffhauser würden manchmal damit hadern, «nur» als kleine Stadt am Rande der Schweiz wahrgenommen zu werden. Gleichzeitig würden sie damit auch ein wenig kokettieren. «Den Schaffhausern ist es wohl in ihrer kleinen Stadt, wo man sich kennt».
Die Zürcher Langstrasse ist weit über Zürich hinaus bekannt. Das einstige Arbeiterquartier zieht Partygänger aus der ganzen Schweiz an. Die soziale Durchmischung ändert sich rasant. Zürich-Korrespondent Dominik Steiner ist im «Tagesgespräch unterwegs» Gast bei Radka Laubacher. Am Beispiel der Zürcher Langstrasse kann man eine Entwicklung in der Stadt Zürich beobachten, die Stadt «wird zum Opfer ihres eigenen Erfolgs», sagt Dominik Steiner. Die Stadt Zürich hat viel getan, um die Langstrasse hübscher, sicherer und wohnlicher zu machen. Alteingesessene Bewohnerinnen und Bewohner, viele von ihnen mit Migrationshintergrund, können sich mittlerweile die teuren Mieten nicht mehr leisten und ziehen in die Aussenquartiere. Ihren Platz nehmen Gutverdiener ein, die bei den nahegelegenen Tech-Giganten wie Google oder Nvidia arbeiten. Die Gentrifizierung zeigt sich exemplarisch an der Langstrasse. Eine konkrete Folge ist eine veränderte Durchmischung in den Schulklassen. Nirgendwo im Kanton Zürich ist der Anteil von ausländischen Kindern so stark gesunken wie in diesem Quartier. Waren 2000 noch 80% ausländische Kinder in den Schulklassen, sind es heute 2025 noch 25%. SRF Zürich Korrespondent Dominik Steiner wohnte als junger Mann selbst nahe der Langstrasse. «Die Strasse ist Leben pur». Ohne Konflikte geht es aber nicht. Am Wochenende kommt es in der Langstrasse regelmässig zu Messerstechereien oder Demonstrationen eskalieren. In der Langstrasse bei Demonstrationen überlege man sich als Journalist schon, wie prominent man sein SRF-Mikrofon präsentiert. In heiklen Situationen entferne er den Plop-Schutz des Mikrofons mit dem SRF-Logo oder mache Aufnahmen mit dem Handy, sagt Dominik Steiner. Ausser Verbalangriffen sei ihm noch nie etwas passiert, aber er weiss von Kollegen, die herumgeschubst worden seien. Trotzdem ist für Dominik Steiner die Langstrasse, die «interessanteste Strasse der Stadt Zürich».
durée : 00:46:17 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - Derrière le mot “quartier”, que met-on vraiment ? Une géographie ? Ou bien autre chose de plus intime, plus vivant ? Aujourd'hui, les quartiers se transforment, souvent au prix d'un effacement. Derrière les rénovations, c'est toute une mémoire qui s'efface, des repères qui disparaissent. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cet été, revivez les moments les plus marquants de la Libre antenne d'Europe 1. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Greenwich Village. Quartier bohème, cœur battant de la contre-culture new-yorkaise. Derrière ses façades victoriennes et ses ruelles pavées, le Village garde ses secrets. Parmi eux, un immeuble au 14 West 10th Street. Charmant à première vue, maudit selon ceux qui y ont vécu.Construit dans les années 1850, le bâtiment du 14 West 10th Street n'a rien d'extraordinaire. Pourtant, en un siècle et demi, il aurait été le théâtre de plus d'une vingtaine de morts, souvent dans des circonstances étranges, parfois violentes.Historiquement, Greenwich Village attire des écrivains, des artistes, des rêveurs – mais aussi des âmes en peine. Le 14 West 10th est surnommé en privé par certains habitants : "la maison des morts."Retrouvez tous les liens des réseaux sociaux et des plateformes du podcast ici : https://linktr.ee/racontemoinewyorkHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Sarah Saldmann, avocate - Louis de Raguenel, journaliste politique d'Europe 1 - Paul Amar, journaliste - Olivier Vial, directeur du CERU - Jonathan Siksou, journaliste Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nénette est marseillaise. Elle vient d'ouvrir une pizzeria dans son quartier, le plus vieux de Marseille, le Panier. Pourtant, en 1990, ce quartier a une réputation exécrable : les maisons y sont souvent insalubres et les règlements de compte fréquents. C'était avant le lancement d'une grande opération d'aménagement urbain en 1995. En 2004, la série « Plus belle la vie », dont les décors sont directement inspirés du Panier, révèle les charmes de ce quartier à la France entière. Depuis les touristes s'y bousculent.*** Crédits archive *** Extrait de l'émission radiophonique Nuits magnétiques : "Un NAGRA devant Marseille" d'Irène Omélianenko - France Culture - 14/11/1990.*** Crédits podcast *** Documentaliste : Anne Brulant - Textes : Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy, Stéphane Rives - Enregistrement : Franck Couillard - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) : Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Assistante cheffe de projet : Daphné Boussus - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:22:46 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1997, cela faisait presque 30 ans que les Halles de Paris avaient déménagé. Pourtant, ici et là, subsistaient quelques îlots de commerces qui vivaient encore au rythme des anciennes halles. Pour les "Nuits magnétiques" Josette Colin avait enregistré des témoignages sur les Halles d'avant 1970. - réalisation : Véronique Vila
durée : 00:19:45 - Journal de 18h - Nous ferons le point sur cette sixième journée de confrontation militaire entre Israël et l'Iran et sur les dernières déclarations du président américain Donald Trump.
durée : 00:19:45 - Journal de 18h - Nous ferons le point sur cette sixième journée de confrontation militaire entre Israël et l'Iran et sur les dernières déclarations du président américain Donald Trump.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La bande Gaza incarnait le processus de paix embourbé, jusqu'aux attaques du Hamas le 7 octobre 2023. Quartier général du Hamas, la bande de Gaza est aussi l'espace de vie de nombreux civils palestiniens qui subissent depuis la répression de l'Etat d'Israël. À quel moment commence-t-on à parler de la bande de Gaza ? Joan Deas, directrice exécutive de l'iReMMO, l'institut de recherches et d'études Méditerranée Moyen-Orient et sociologue retrace l'itinéraire et l'histoire de ce territoire.
Situé à proximité du port de Montréal, le Faubourg à m'lasse a été charcuté plusieurs fois pour faire place au pont Jacques-Cartier et à l'élargissement de la rue Dorchester (boulevard René-Lévesque). Le coup de grâce a été porté dans les années 1960, quand Radio-Canada y a élu domicile. Maxime Coutié rencontre Jeannelle Bouffard devant ce qui était jadis sa maison et qui fait maintenant place à l'ancienne tour de Radio-Canada. Il s'entretient également avec l'historien Jean-François Leclerc pour nous raconter la riche histoire de ce quartier.
durée : 00:15:44 - Journal de 8 h - Israël annonce avoir bombardé Damas, près du palais présidentiel syrien. L'état hébreu avait menacé le gouvernement syrien de représailles s'il ne protégeait pas la minorité druze.
Ready to rethink what it means to travel with kids? Join me for an expansive and heart-opening conversation with Taryn and Martin, the visionary founders behind Quartier Collective—a family-centered and adult travel company redefining how we explore the world. In this episode, we talk about: - Why slow travel beats bucket lists - How to tune into your own "inner bell" calling you to travel and change - What it's really like to travel full-time with three kids for seven years—and the lessons they learned before finally settling in Mallorca, Spain Whether you're dreaming of packing your bags or simply craving more presence in your everyday life, this conversation will inspire you to create meaningful adventures—wherever you are. Share your takeaways with us on Instagram @OneWade and @QuartierCollective Join the waitlist for my upcoming interactive self-care book, 100 Mindful Moments to Balance & Energize. I'd love to see you at the next Mindful Moment Meeup on April 29th. Claim yuor spot for free.