Bientôt, c'est à vous que l'on s'adressera pour aller voir un film ou lire un bon livre ! Avec les podcasts Lettres it be, découvrez nos critiques sur les livres du moment, les dernières sorties au ciné, bref, tout ce qu'il ne faut pas louper ! Toutes les semaines, retrouvez les meilleures…
Raconter la vie d’une station-service de l’intérieur. Pour un premier roman, le pari était osé, et Alexandre Labruffe l’a relevé dans Chroniques d’une station-service paru en mai 2019 aux éditions Verticales. Lettres it be vous livre sa critique ! La quatrième de couverture : "Je me dis que si la station-service explosait par accident, si je mourais sur mon lieu de travail et qu'un archéologue découvrait, dans cent ans, sur Les ruines de son chantier, les morceaux de mon squelette d'athlète, mon crâne atypique, ma gourmette en or, à moitié calcinée, agrégée de pétrole et d'acier, il me déclarerait trésor national et je serais exposé au musée des Arts premiers." Pour tromper l'ennui de son héros pompiste, Alexandre Labruffe multiplie les intrigues minimalistes, les fausses pistes accidentelles et les quiproquos érotiques. Comme s'il lui fallait sonder l'épicentre de la banalité contemporaine - un commerce en panne de sens, sinon d'essence - avant d'en extraire les matières premières d'une imagination déjantée. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/3esECim
Les misophones, c’est le titre de ce premier roman signé Bruno Salomone, publié aux éditions du Cherche-Midi. L’humoriste de talent fait une excursion en librairie pour traiter un mal dont il est lui-même victime : la misophonie, ou la haine du bruit. Découvrez notre critique ! La quatrième de couverture : Damien est misophone. Tous les petits bruits du quotidien lui sont insupportables : les croustillements de pop-corn au cinéma, les aspirations interdentaires d’un voisin de table, les mastications de chewing-gum dans le métro… À sa solitude s’ajoute ce fardeau qu’il pense être seul à porter. Jusqu’au jour où il croise le chemin d’Alexi, serveur à la repartie grinçante. Ces deux naufragés du cœur vont devenir complices grâce à leur misophonie. De leur handicap ils feront un atout. Leur vie, ballottée entre tumulte sentimental et chaos acoustique, va être bouleversée, pour le meilleur et pour le pire… Damien et Alexi réussiront-ils à s’écouter pour mieux se soigner ? Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/3agFPWQ
Après Corpus Christine (Gallimard), premier roman de Max Monnehay, après Géographie de la bêtise en 2012 (Seuil) ou encore Comment j’ai mis un coup de boule à JoeyStarr un an plus tard (Christophe Lucquin Éditeur), l’auteure bisontine revient avec Somb. Lettres it be vous livre sa critique sur ce roman noir à tiroirs qui devrait en surprendre plus d’un… La quatrième de couverture : Victor Caranne est psychologue en milieu carcéral. Chaque jour il emprunte à moto le long pont qui relie le continent à l’île de Ré pour rejoindre la Citadelle, fortification reconvertie en prison. Chaque jour il écoute des détenus lui confier leurs fantasmes les plus abjects, leurs crimes les plus atroces. Ils n’ont rien à craindre : les menottes de Caranne se nomment secret professionnel. La découverte d’un corps, sur la grève d’une plage proche de sa villa, va soudain bouleverser sa vie. C’est, pour lui, une perte immense. Caranne va devoir replonger dans un passé qu’il faisait tout pour oublier. Et les certitudes qu'il avait sur sa vie vont, une à une, s’effondrer. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/3apxiRy
Après POLICE publié en 2016 aux éditions Grasset, Hugo Boris est de retour avec Le courage des autres, son nouveau livre, toujours chez Grasset. Cette fois, l’auteur verse dans l’autobiographie pour sonder un seul et unique élément : le courage. Découvrez notre critique ! La quatrième de couverture : Le courage des autres Il y a quinze ans, tout juste ceinture noire de karaté, Hugo Boris est témoin d'une altercation dans les transports en commun. Paralysé, il se contente de tirer la sonnette d'alarme. Ce manque de courage l'obsède. Est-ce un trait de son caractère ou une peur universelle d'affronter l'autre, l'inconnu, au quotidien ? Intrigué, il se met à observer ses contemporains dans le métro et le RER, tranches de vies entre parenthèses, rencontres fugaces, purs instants d'humanité. Il consigne sur le vif des situations d'effroi mais aussi le ravissement d'un dialogue, l'humour d'un échange imprévu. En se mettant à nu, il parle de chacun de nous, de nos lâchetés, de nos éblouissements et de nos héroïsmes. Avec une minutie, un style et une empathie remarquables, Hugo Boris rend hommage à tous ceux qui osent, qui ne se dérobent pas. Et si le courage des autres était contagieux ? Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/2VDtMNV
Alors que le Tournoi des Six Nations battait son plein avec un XV de France qui n’avait jamais été aussi près de la victoire depuis des années avant que la crise du coronavirus ne mette fin au rêve, arrêtons-nous sur un essai qui porte bien son nom. Avec Le rugby à la conquête du monde : histoire et géopolitique de l’Ovalie (Armand Colin), Carole Gomez décortique le monde du rugby dans tous ses aspects, sur et en-dehors du terrain. La quatrième de couverture : À la différence du football, le rugby demeure un champ relativement peu exploré par la géopolitique du sport. Il est pourtant riche d’histoires, de revendications et de contradictions. De sa naissance en Angleterre à la Coupe du monde 1995 dans une Afrique du Sud tout juste sortie de l’apartheid, en passant par sa mondialisation imparfaite, ses enjeux économiques croissants ou encore les débats permanents sur son évolution, le ballon ovale constitue, lui aussi, un formidable outil de compréhension du monde. Aussi, en dépassant les frontières de Garonne, cet essai se propose d’envisager les évolutions du rugby, qu’il soit joué à VII, XIII ou XV, par des hommes ou des femmes, à Twickenham comme à Wellington, afin d’en esquisser les futurs enjeux. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/2UHwyT7
Nathalie Kuperman est auteure, bien connue dans le rayon « Jeunesse » mais aussi du côté de la littérature pour les grands. En 2018, elle a fait paraître chez Flammarion son dernier roman Je suis le genre de fille, récemment sorti en version poche chez Folio. L’occasion pour Lettres it be de découvrir ce livre et de vous en faire la critique. La quatrième de couverture : Après Styles et Les occupations, Côme Martin-Karl est revenu récemment en librairie avec La réaction publié aux éditions Gallimard. Dans ce livre, l’auteur propose une plongée dans la vie de Matthieu Richard, citoyen et activiste d’extrême droite. Ambiance. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/34cbdV6
Après l’incontournable Chanson douce récemment adapté au cinéma, après Sexe et mensonges : la vie sexuelle au Maroc, un essai pas franchement convaincant, Leïla Slimani revient avec Le pays des autres. Premier volet d’une trilogie, ce roman marque le grand retour de l’auteure partie sur les traces de l’Histoire, de son histoire. Ça valait le coup ? La quatrième de couverture : En 1944, Mathilde, une jeune Alsacienne, s’éprend d’Amine Belhaj, un Marocain combattant dans l’armée française. Après la Libération, le couple s’installe au Maroc à Meknès, ville de garnison et de colons. Tandis qu’Amine tente de mettre en valeur un domaine constitué de terres rocailleuses et ingrates, Mathilde se sent vite étouffée par le climat rigoriste du Maroc. Seule et isolée à la ferme avec ses deux enfants, elle souffre de la méfiance qu’elle inspire en tant qu’étrangère et du manque d’argent. Le travail acharné du couple portera-t-il ses fruits ? Les dix années que couvre le roman sont aussi celles d’une montée inéluctable des tensions et des violences qui aboutiront en 1956 à l’indépendance de l’ancien protectorat. Tous les personnages de ce roman vivent dans « le pays des autres » : les colons comme les indigènes, les soldats comme les paysans ou les exilés. Les femmes, surtout, vivent dans le pays des hommes et doivent sans cesse lutter pour leur émancipation. Après deux romans au style clinique et acéré, Leïla Slimani, dans cette grande fresque, fait revivre une époque et ses acteurs avec humanité, justesse, et un sens très subtil de la narration. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/2VkZd0G
Nathalie Kuperman est auteure, bien connue dans le rayon « Jeunesse » mais aussi du côté de la littérature pour les grands. En 2018, elle a fait paraître chez Flammarion son dernier roman Je suis le genre de fille, récemment sorti en version poche chez Folio. L’occasion pour Lettres it be de découvrir ce livre et de vous en faire la critique. La quatrième de couverture : « D’accord » : c’est peut-être le mot que Juliette dit le plus souvent, par fatigue, lâcheté ou absence d’à-propos. Elle est le genre de fille accommodante, avec ses proches, son ex-mari un brin narquois, son adolescente de fille, son trop parfait collègue de travail. Jusqu’au moment où elle décide de dire non. Un immense « non » libérateur, lancé à la figure de ceux qui ne doutent jamais d’eux, qui tiennent à jouer le premier rôle dans leur comédie sociale. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/2UGjfCg
Rejouer le cours de la vie de la « sulfureuse » Marguerite Steinheil, c’est le point de départ fort et assumé par l’historienne et psychanalyste belge Sylvie Lausberg. Dans Madame S, paru aux éditions Slatkine & Cie, Sylvie Lausberg mène l’enquête. Entre roman et essai, qu’est-ce que ça donne ? La quatrième de couverture : C’est une histoire bien française. Le 16 février 1899, à l’Élysée, Félix Faure s’étouffe de plaisir dans les bras de sa maîtresse, une certaine Mme Steinheil. « Le Président a-t-il encore sa connaissance ? Non, elle est sortie par l’escalier de service. » Clemenceau commente : « Il se voulait César, il ne fut que Pompée. » Mais qui était cette mystérieuse Madame S ? Assurément pas une cocotte. Héritière d’une grande famille d’industriels protestants, mariée trop jeune à un peintre trop vieux, Madame S est alors la coqueluche du Tout-Paris politique. Sur fond d’affaire Dreyfus, elle se rapproche de Félix Faure et s’installe au cœur du pouvoir et des secrets d’État. Après la mort du Président, elle disparaît. On la retrouve neuf ans plus tard, accusée du meurtre de sa mère et de son mari. Elle est emprisonnée, jugée, innocentée. Disparaît encore. Épouse un lord anglais, s’installe à Brighton et finit enlevée au Maroc… Sa vie est un roman. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/3aDQXxT
Après Fils du feu sorti en 2016 aux éditions Grasset, l’auteur bisontin Guy Boley revient avec Quand Dieu boxait en amateur, son nouveau roman. Disponible en format poche chez Folio depuis peu, ce nouveau livre signé Guy Boley est l’occasion de se confronter à nouveau avec un auteur dont le nom résonne de plus en plus. La quatrième de couverture : « Il faut l’imaginer, mon père ce héros, roi du monde et boxeur, assis dans la cuisine, ouvrir son dictionnaire et recopier des mots dont il se demande comment il parviendrait à les tordre sous sa langue pour construire des phrases aussi belles et volubiles que les fers emmêlés qu’il façonne dans son atelier. » Dans une France rurale oubliée, un gamin passionné par les mots grandit auprès d’une mère que la littérature effraie. Elle veut faire de lui un homme. Alors très tôt, René devient forgeron puis champion de boxe, domptant l’enclume et le ring avec la même grâce. Mais jamais ne faiblit son amour des lettres. Quand son ami d’enfance, devenu abbé de la paroisse du quartier, lui offre le rôle principal de sa pièce de théâtre, René se lance dans le plus dur et le plus lumineux des combats, sous les yeux ébahis de son fils. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/3aOIM20
Après Bleu calypso, premier roman captivant, Charles Aubert revient aux affaires avec Rouge tango, toujours aux éditions Slatkine. L'occasion de retrouver les mêmes personnes alors que l'un d'entre eux a disparu... La quatrième de couverture : Niels s’est retiré loin du monde. Dans sa cabane de pêcheur, au coeur d’un Sud encore sauvage, il fabrique des leurres qu’il vend sur Internet. Quadragénaire bourru, Niels n’a que peu d’amis, son voisin Vieux Bob, pêcheur lui aussi, la fille de Bob, la détonante Lizzie, et le jeune geek Malik. Alors, quand Malik est porté disparu et que la police retrouve chez lui le cadavre d’un inconnu, il n’en faut pas plus pour que notre héros ordinaire reprenne du service. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/2SvEnKi
C'est le deuxième roman de Quentin Lafay. Avec L'intrusion, paru chez Gallimard, l'ancien conseiller d'Emmanuel Macron revient sur une sombre affaire de piratage de données personnelles dont il a été victime. Une affaire qui en appelle d'autres ? La quatrième de couverture : « Je me suis fait pirater. Toute mon existence est là, répandue sur Internet. Mes documents, l’ensemble de mes emails professionnels, tous mes courriels privés : des milliers de messages, reçus et envoyés. Depuis un moteur de recherche, n’importe qui est désormais en mesure d’accéder à ma correspondance privée, à douze années d’intimité. Demain, lorsqu’ils se réveilleront, mes parents pourront appréhender ma vie intime et sexuelle. Mon patron entreprendra peut-être l’archéologie des messages hargneux et absurdes que j’ai échangés à son propos avec des collègues ou des amis. Mes collègues saisiront mes photos de soirées, perceront à jour mes projets, mes goûts, mes opinions. Comme chacun, je vis de front une multitude de vies, disparates et compartimentées, faites de désirs antagonistes et d’intérêts incohérents. Mes amis découvriront les masques et les costumes variés que je porte lorsque je ne suis pas auprès d’eux ; ils verront l’étudiant que j’étais, l’amant que je suis devenu. Ma compagne, Sophie, aura accès à mes secrets, aux erreurs et aux tares que je tentais de lui cacher. Me voilà nu. » Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/2uGtpc9
Avec son tout premier essai Le viol et nous : enquête sur un fléau social, Claire Chartier invite ses lecteurs à penser la question du viol dans toute ses dimensions. Sociologie du viol, aspect psychologique, perceptions idéologiques... Tout y est ! La quatrième de couverture : Plus de 100 000 cas estimés par an en France : non, le viol n’est pas un événement « exceptionnel », comme on le croit encore trop souvent. S’il cible très majoritairement les femmes, il peut aussi toucher les hommes. Et tout porte à croire que les jeunes et très jeunes en sont autant victimes que les adultes. L’heure est venue d’élargir notre regard sur ce crime méconnu, qu’on réduit trop souvent à un drame intime. Agressions sur conjoint, entre ados, pédophilie, inceste, attaques de prostitués, d’actrices du X, d’homosexuels : le viol nous concerne tous, parce qu’il repose sur des stéréotypes enracinés dans notre culture. Il porte atteinte au fondement même de ce qui cimente les sociétés : le respect de l’intégrité de l’autre. S’appuyant sur des témoignages de victimes, de magistrats, de policiers, de médecins, mais aussi d’agresseurs, Claire Chartier analyse ce crime sous tous ses aspects et en démonte, au fil des histoires vécues, les mécanismes sociaux et culturels. Il n’y a pas de fatalité au viol : en accentuant la formation de tous les acteurs, notamment autour de l’enjeu crucial du consentement, ce fléau peut reculer. Avec #MeToo, un espace de parole formidable s’est ouvert. Au nom des victimes et de la société dans son ensemble, nous devons saisir cette opportunité historique. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/39AnOTp
Remontez l'histoire de la censure du cinéma jusqu'à aujourd'hui et peut-être... demain ! C'est la promesse d'Arnaud Esquerre pour son nouvel essai Interdire de voir : sexe, violence et liberté d'expression au cinéma publié aux éditions Fayard. La quatrième de couverture : Une analyse des forces en présence, des arguments mobilisés et des conséquences des décisions de la Commission de classification des films qui en dit long sur le rapport au sexe et à la violence, et à la jeunesse, de notre société. Au début du XXIème siècle, en France, il est des images filmées dont l’État interdit l’accès à une catégorie du public, les mineurs, parce que leurs effets sont jugés dangereux : ce sont des images d’actes sexuels, des images d’actes violents, ou les deux. De quelle instance procèdent ces décisions ? Selon quels critères ? Avec quelles conséquences en cas de contestation de la décision du gouvernement, aussi bien par les artistes que par des associations de spectateurs au nom de la protection de la jeunesse et du respect de la dignité humaine ? Arnaud Esquerre a assisté aux débats en huis clos des membres de la Commission de classification. Il analyse comment les commissaires interprètent et rendent un avis sur les films. Il se penche aussi sur la manière dont des décisions ministérielles délivrant des visas ont été remises en cause à plusieurs reprises depuis le film Baise-moi en 2000.Il peut sembler évident que la liberté d’expression en France, un État se présentant comme démocratique, ne cesse de s’étendre et que cette extension sera acquise pour toujours. Pourtant, en pénétrant dans les coulisses de la « censure » au cinéma telle qu’elle s’exerce aujourd’hui, ce que la lectrice ou le lecteur sont invités à découvrir, c’est pourquoi la liberté d’expression n’est jamais définitivement gagnée.Arnaud Esquerre est sociologue. Chargé de recherche au CNRS, il est directeur de l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (IRIS – EHESS, CNRS, Inserm, Paris 13). Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/2HtsrTm
C'est le grand retour au cinéma du personnage de Harley Quinn après Suicide Squad en 2016. Exit l'héroïne sexy victime de male gaze, désormais, Harley Quinn passe à l'attaque et n'a plus besoin du moindre mâle, Joker y compris. Ça suffit à faire un film ? Le synopsis : Vous connaissez l'histoire du flic, de l'oiseau chanteur, de la cinglée et de la princesse mafieuse ? Birds of Prey et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn est une histoire déjantée racontée par Harley en personne – d'une manière dont elle seule a le secret. Lorsque Roman Sionis, l'ennemi le plus abominable – et le plus narcissique – de Gotham, et son fidèle acolyte Zsasz décident de s'en prendre à une certaine Cass, la ville est passée au peigne fin pour retrouver la trace de la jeune fille. Les parcours de Harley, de la Chasseuse, de Black Canary et de Renee Montoya se télescopent et ce quatuor improbable n'a d'autre choix que de faire équipe pour éliminer Roman…
Laurent de Sutter est un philosophe belge très présent en librairie. Il revient avec Indignation totale. Ce que notre addiction au scandale dit de nous publié aux Éditions de l'Observatoire. Alors, il y a de bonnes raisons de s'indigner ? La quatrième de couverture : Et s'il était temps de cesser de vouloir avoir raison et d'apprendre à avoir tort ? Notre époque est celle du scandale généralisé. Du matin au soir, du bureau au bistrot et des vacances aux dîners de famille, il n'est de circonstance qui ne nous fournisse pas l'occasion de nous indigner. Tantôt le scandale est politique, tantôt il est économique ; tantôt il est moral, tantôt il est religieux ; tantôt écologique, tantôt esthétique. Tous les domaines de la vie semblent désormais être affectés par des imperfections, des bêtises, des horreurs suscitant notre rage plus ou moins vertueuse. Que signifie un tel réflexe d'indignation ? Que dit-il de nous—et, surtout, de la manière dont nous pensons ? Pour le philosophe Laurent de Sutter, ce que l'indignation incarne n'est peut-être rien d'autre que l'impasse de ce qui pourtant la nourrit : notre obsession pour la raison. L'âge du scandale est l'âge du triomphe de la raison. Si l'on veut en finir avec le premier, il faut donc se demander comment on peut parvenir à se débarrasser de la seconde ! Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/2NGb1GC En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Un premier roman sorti lors de la rentrée littéraire 2017 sans faire trop de vagues, un roman fort bien ancré dans son temps... Et si Faux départ de Marion Messina publié chez Le Dilettante était le livre à ne (surtout) pas manquer ? La quatrième de couverture : Une ode à l’espérance pour une génération frappée de plein fouet par le déclassement et la crise économique. Un hymne à la jeunesse, sans clichés, sans misérabilisme ni dolorisme. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/38k8Y2x En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
C'est l'un des polars les plus cités depuis la fin de l'année 2019. Avec Matière noire publié chez Cosmopolis, Ivan Zinberg semble s'imposer comme l'un des poids lourds du genre en France. Un succès mérité ? RECTIFICATION : Dans le podcast, il est dit que ce livre est édité chez Ring. C'est une erreur : Matière noire est édité chez Cosmopolis. La quatrième de couverture : Un thriller au réalisme captivant : Matière Noire est une bombe qui n'explose qu'à l'intérieur de votre organismeJuillet 2017. Une région. Deux disparitions. Après une nuit en discothèque, la jeune Inès Ouari ne donne plus signe de vie.Marion Testud, elle, n'est jamais rentrée de son jogging matinal. Sur leurs traces, deux enquêteurs aux profils atypiques : Karim Bekkouche, chef de la BAC de Saint-Étienne, flirte avec les limites et prend tous les risques pour retrouver Inès. Jacques Canovas, journaliste parisien et ex-flic des Renseignements généraux, couvre la disparition de la joggeuse. Tous deux ont des raisons personnelles de parvenir à leurs fins.D'un bout à l'autre du pays, les pistes se croisent tandis que de vieux meurtres énigmatiques refont surface. Deux hommes confrontés, lancés dans une course contre la mort à pleine vitesse dans les abysses de la terreur panique. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/38km1Be En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Marianne Chaillan est philosophe et professeur de philosophie. Dans son dernier livre, elle se penche sur un seul et unique objet d'études : Amélie Nothomb. Le résultat ? Ainsi philosophait Amélie Nothomb publié aux éditions Albin Michel. La quatrième de couverture : Amélie Nothomb, morte ? Elle ne se souvient de rien. Voici pourtant qu’une dénommée Plectrude lui annonce la sinistre nouvelle. Elle lui révèle également qu’une identité posthume est attribuée à chacun au terme d’une cérémonie. L’un ira au paradis des cinéastes et l’autre au paradis des boulangers, par exemple. L’éternité est moins longue lorsqu’on échange autour d’une passion commune... Amélie s’attend donc à retrouver Stendhal et Virginia Woolf au paradis des écrivains. Stupeur ! Elle se retrouve au paradis des philosophes, aux côtés de Platon et de Nietzsche ! S’agit-il d’une erreur ? En faisant appel de cette décision, Amélie va subir un drôle de Jugement dernier au cours duquel viendront témoigner les illustres gloires de la philosophie, depuis Spinoza jusqu’à Sartre. Écrit « à la manière » d’Amélie Nothomb, ce conte philosophique de Marianne Chaillan est un voyage aussi drôle que méditatif qui invite le lecteur à découvrir autrement l’œuvre de la romancière mondialement célèbre. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/368SZTE En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Premier roman de Stéphanie Arc, Quitter Paris est un texte qui s'annonce bien si l'on en croit la quatrième de couverture. Une grosse déception ? La quatrième de couverture : Vous rêvez d’avoir un chien (un setter roux, vif et soyeux), vous voulez même vivre avec. Mais vous habitez un studio. Vous adorez courir dans les prés, nager en eau vive, c’est un besoin vital… Au lieu de quoi vous composez avec des piscines bondées, de tout petits parcs et des tas de particules fines. Vous aimeriez cultiver vos carottes et buller dans les lilas, sans pour autant participer au projet de végétalisation urbaine. Vous vous sentez cerné par les périphériques intérieur et extérieur et, soudain, vous étouffez. Je partage votre sentiment. Il faut quitter Paris. Seulement, on ne plaque pas des années d’amours avec la capitale pour un bobtail hirsute… Ensemble, nous allons trouver un plan. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/3a242RL En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Nouvelle parution au catalogue de la maison d'édition Aux Forges de Vulcain, Le cimetière de l'auteur catalan est une petite découverte définitivement... déconcertante ! Découvrez l'avis de Lettres it be dans ce nouveau podcast. La quatrième de couverture : Dans un futur où le changement climatique et une catastrophe nucléaire ont réduit les espaces habitables, la surpopulation met en péril la vie. Il est devenu obligatoire d'incinérer les morts sous peine d'un terrible châtiment pour ceux qui tenteraient de les faire enterrer. Les familles peuvent pleurer leurs défunts dans des cimetières virtuels, les suicides sont fortement encouragés, les relations sexuelles non virtuelles et les grossesses sont interdites. Isobel jeune femme rebelle qui veut enterrer sa mère va s'éprendre de Travis, le gardien du cimetière, jeune homme fascinant qui n'est peut-être pas ce qu'il prétend être... Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/critiques-de-romans/auteurs-de-f-à-j/le-cimetière-de-gerard-guix/ Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/36JOSyA En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
C'est l'un des essais les plus commentés de l'année 2019. Avec Réflexions sur la question antisémite, Delphine Horvilleur invite à penser l'antisémitisme sous toutes ses formes. Terriblement éclairant. La quatrième de couverture : Sartre avait montré dans Réflexions sur la question juive comment le juif est défini en creux par le regard de l’antisémite. Delphine Horvilleur choisit ici de retourner la focale en explorant l’antisémitisme tel qu’il est perçu par les textes sacrés, la tradition rabbinique et les légendes juives. Dans tout ce corpus dont elle fait l’exégèse, elle analyse la conscience particulière qu’ont les juifs de ce qui habite la psyché antisémite à travers le temps, et de ce dont elle « charge » le juif, l’accusant tour à tour d’empêcher le monde de faire « tout » ; de confisquer quelque chose au groupe, à la nation ou à l’individu (procès de l’« élection ») ; d’incarner la faille identitaire ; de manquer de virilité et d’incarner le féminin, le manque, le « trou », la béance qui menace l’intégrité de la communauté. Cette littérature rabbinique que l’auteur décortique ici est d’autant plus pertinente dans notre période de repli identitaire que les motifs récurrents de l’antisémitisme sont revitalisés dans les discours de l’extrême droite et de l’extrême gauche (notamment l’argument de l’« exception juive » et l’obsession du complot juif). Mais elle offre aussi et surtout des outils de résilience pour échapper à la tentation victimaire : la tradition rabbinique ne se soucie pas tant de venir à bout de la haine des juifs (peine perdue…) que de donner des armes pour s’en prémunir. Elle apporte ainsi, à qui sait la lire, une voie de sortie à la compétition victimaire qui caractérise nos temps de haine et de rejet. Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/2R7ApWy En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Alors que l'affaire Matzneff vient s'ajouter à la (trop !) longue liste des scandales de violences sexuelles sur mineurs, les éditions Ring viennent de faire paraître Signalements. Dans ce titre signé Laurence et Karine Brunet-Jambu, le lecteur est invité à comprendre les rouages qui permettent à ces drames d'avoir lieu. La quatrième de couverture : Karine a été aspirée par l'enfer dès la première minute de son existence. Fille d'une mère condamnée pour infanticide, le Diable s'est penché sur son berceau : servitude, grêles de coups, insultes, privations, menaces de mort répétées et pédophilie massive. Son corps d'enfant de cinq ans a été offert pendant des années aux caprices d'un monstre hébergé par les parents, leur ami Roland Blaudy, pédophile en série. Les professionnels de l'enfance, mandatés pour protéger cette petite, fermeront tout simplement les yeux. Pire, certains magistrats de Rennes ignorent même les signalements gravissimes qui arrivent sur leurs bureaux. Abandonnée par tous à son calvaire, Karine ne peut compter que sur sa tante Laurence pour la sortir de l'abîme. Des magistrats et professionnels de l'enfance mettront tout en oeuvre pour empêcher sa tante de faire éclater la vérité. En vain. C'est elle qui va gagner. Ce témoignage unique, aussi authentique qu'effroyable, est le récit déchirant d'une femme au courage hors du commun, qui sacrifia tout pour arracher sa nièce des griffes du Mal. Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/2020/01/06/signalements-infanticide-pédophilie-maltraitance-tous-coupables-de-karine-et-laurence-brunet-jambu-le-livre-qu-il-fallait-écrire/ Pour acheter ce livre, c'est par ici : https://amzn.to/2QJLcXO En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Après l'excellent Le Dernier Hyver, Fabrice Papillon revient avec Régression, toujours publié aux éditions Belfond. Nouvelle enquête, nouvelle intrigue, toujours aussi riche et fouillée. Alors, un deuxième roman à la hauteur du premier ? La quatrième de couverture : Ils sont prêts. Ils reviennent d’un lointain passé, d’une époque glorieuse. Ils forment ce que Socrate et Homère nommaient déjà la race d’or. Ils viennent sauver la terre, et les hommes qui peuvent encore l’être. Pour les autres, ils n’auront aucune pitié. L’heure du Grand Retour a sonné… et, pour le commandant Marc Brunier, celle de son ultime enquête. Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/critiques-de-thrillers/régression-de-fabrice-papillon/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Alors qu'elle fera son grand retour lors de la rentrée littéraire de janvier 2020 avec Marche blanche, Lettres it be s'est penché sur Ma grande, le précédent roman de Claire Castillon. Un roman noir, poignant, tissé autour de la question de la violence dans le couple. Une violence qui n'est pas toujours celle que l'on croit... La quatrième de couverture : « La vérité, c’est : je t’ai tuée et c’est tout. J’ai sans doute pas raison. Je regrette rien, et c’est mal. » Ils se sont rencontrés à la piscine. Ils se sont aimés pas longtemps. Ils se sont acheté une maison. Il n’a jamais cessé de subir et malgré tout un enfant est né. Il n’était pas vraiment un homme battu : pas de bleus, rien de visible. Et pourtant des coups il y en a eu.Alors on se demande pourquoi il est resté. En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Après Le Gang des rêves, Les Enfants de Venise ou encore Le Soleil des rebelles, Luca Di Fulvio revient avec Les Prisonniers de la liberté publié chez Slatkine & Cie. Une réussite à la hauteur des succès précédents ? La quatrième de couverture : 1913, trois jeunes gens embarquent pour l’Argentine. La rebelle Rosetta fuit son village italien. A la mort de ses parents, harcelée, elle n’a eu d’autre choix que d’abandonner sa ferme. Rocco, fier et fougueux jeune homme, laisse derrière lui sa Sicile natale. Il refuse de se soumettre à la Mafia locale. Raechel, petite juive russe, a vu sa famille décimée dans un pogrom. Elle n’emporte avec elle que le souvenir de son père. Le nouveau monde les réunira. Après New York, Luca Di Fulvio nous emmène à Buenos Aires. Un parcours semé d’embuches, où amitié, amour et trahisons s’entremêlent… Un grand Di Fulvio. Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/critiques-de-romans/auteurs-de-f-à-j/les-prisonniers-de-la-liberté-de-luca-di-fulvio/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Après l'immense Il est de retour, premier roman de Timur Vermes dans lequel il imaginait le retour d'Adolf Hitler, l'auteur et journaliste allemand revient avec une nouvelle idée... qui devrait faire réagir ! Une télé-réalité autour de la crise des migrants, c'est l'idée de départ du roman Les affamés et les rassasiés. On vous en dit plus dans cette nouvelle critique ! La quatrième de couverture : 2020 et des poussières. L’Europe a fermé ses frontières et, comme des centaines de milliers de ses compatriotes, Lionel est coincé dans un immense camp de réfugiés aux confins de l’Afrique, sans le moindre avenir. Résolu à se rendre en Allemagne coûte que coûte, Lionel élabore alors un projet fou : marcher 10 000 kilomètres jusqu’en Europe, en compagnie de ses 150 000 compagnons d’infortune. Le tout sous les caméras d’une émission de téléréalité allemande et suivi de près par une foule de journalistes, d’hommes d’affaires et de mafieux en tout genre, bien décidés à capitaliser sur ce long cortège de misère humaine. En Allemagne, c’est la panique. Une horde d’envahisseurs venus d’ailleurs s’apprête à franchir les portes de l’Europe ? Jamais ! Les politiciens s’affairent, les journalistes polémiquent et la population s’émeut. Et tandis que tous tergiversent, les marcheurs arrivent enfin… Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/critiques-de-romans/auteurs-de-u-à-z/les-affamés-et-les-rassasiés-de-timur-vermes/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Et s'il était possible de percer les mystères et les secrets bien gardés de l'imposition en France ? C'est la promesse de Virginie Pradel dans son nouveau livre Impôts-mania : l'absurdité fiscale française publié aux Éditions de l'Observatoire. La quatrième de couverture : Notre système fiscal est d’un obscurantisme désarmant. Personne n’y comprend plus rien, et la hausse, la multiplication et la complexification folle de nos prélèvements (CSG, impôt sur le revenu, taxe carbone, TVA, droits de succession, etc.) nous donnent le sentiment d’être pris pour des idiots. Impôts, taxes, surtaxes, contributions, cotisations… Les Français, qu’ils soient actifs, retraités, propriétaires, automobilistes ou encore consommateurs, ont acquitté en 2018 plus de 1 000 milliards d’euros de prélèvements obligatoires, dont la plupart sont habilement dissimulés. Et alors que ces derniers n’ont jamais été aussi élevés et contestés, l’utilisation qui en est faite suscite également (et à juste titre) une insatisfaction grandissante. Résultat ? Les révoltes se multiplient et pourraient bien perdurer… sauf si nos gouvernants font enfin le choix de simplifier, réduire et surtout rendre plus transparents nos prélèvements. D’autres pays l’ont fait. Pourquoi pas nous ? Virginie Pradel nous dévoile les secrets de notre système fiscal absurde et opaque, et propose des solutions simples et immédiates pour sortir enfin de cette désastreuse « exception française » ! Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/2019/10/28/impôts-mania-de-virginie-pradel-la-fiscalité-française-cette-belle-usine-à-gaz/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
C'est l'un des plus grands auteurs français. Reconnu pour ses polars et thrillers, reconnu en 2013 avec un prix Goncourt pour Au revoir là-haut, Pierre Lemaitre est de retour avec Miroir de nos peines, dernier volet d'une trilogie déjà culte. Un dernier volet à la hauteur des précédents ? La quatrième de couverture : Avril 1940. Louise, trente ans, court, nue, sur le boulevard du Montparnasse. Pour comprendre la scène tragique qu’elle vient de vivre, elle devra plonger dans la folie d’une période sans équivalent dans l’histoire où la France toute entière, saisie par la panique, sombre dans le chaos, faisant émerger les héros et les salauds, les menteurs et les lâches... Et quelques hommes de bonne volonté. Il fallait toute la verve et la générosité d’un chroniqueur hors pair des passions françaises pour saisir la grandeur et la décadence d’un peuple broyé par les circonstances. Secret de famille, grands personnages, puissance du récit, rebondissements, burlesque et tragique… Le talent de Pierre Lemaitre, prix Goncourt pour Au revoir là-haut, est ici à son sommet. Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/critiques-de-romans/auteurs-de-k-à-o/miroir-de-nos-peines-de-pierre-lemaitre/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
On attendait le retour de Frédéric Beigbeder dans les librairies après Une vie sans fin, récit transhumaniste décevant et Oona & Salinger qui marquait le début de la longue descente de l'auteur. Un retour à la hauteur des attentes avec
Après Success Story écrit à quatre mains avec Zarca (Éditions Goutte d'Or), Romain Ternaux revient en solo cette fois. Et ce grand retour se fait avec I am vampire, un délire aux dents acérées publié chez Aux Forges de Vulcain. Alors, ça vaut le voyage ? La quatrième de couverture : Artiste-peintre misanthrope, misogyne et libidineux en manque de reconnaissance, Bertrand vit aux crochets de son ami Yann, un rond-de-cuir de l'armée qu'il méprise. En proie à des accès de violence, il se découvre des pouvoirs extraordinaires. Serait-il en train de devenir un vampire ? Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/critiques-de-romans/auteurs-de-p-à-t/i-am-vampire-de-romain-ternaux/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
C'est l'une de nos auteures préférées chez Lettres it be ! Karine Giebel est revenue il y a peu avec Ce que tu as fait de moi publié aux éditions Belfond. Un retour en grâce, à la hauteur des précédents livres ? La quatrième de couverture : Personne n’est assez fort pour la vivre.Personne n’est préparé à l’affronter, même si chacun la désire plus que tout.La passion, la vraie…Extrême.Sans limites.Sans règles. On se croit solide et fort, on se croit à l’abri. On suit un chemin jalonné de repères, pavé de souvenirs et de projets. On aperçoit bien le ravin sans fond qui borde notre route, mais on pourrait jurer que jamais on n’y tombera. Pourtant, il suffit d’un seul faux pas. Et c’est l’interminable chute. Aujourd’hui encore, je suis incapable d’expliquer ce qui est arrivé. Si seulement j'avais plongé seul... Cette nuit, c’est le patron des Stups, le commandant Richard Ménainville, qui doit confesser son addiction et répondre de ses actes dans une salle d’interrogatoire. Que s’est-il réellement passé entre lui et son lieutenant Laëtitia Graminsky ? Comment un coup de foudre a-t-il pu déclencher une telle tragédie ? Si nous résistons à cette passion, elle nous achèvera l’un après l’autre, sans aucune pitié. Interrogée au même moment dans la salle voisine, Laëtitia se livre. Elle dira tout de ce qu’elle a vécu avec cet homme. Leurs versions des faits seront-elles identiques ? Si nous ne cédons pas à cette passion, elle fera de nous des ombres gelées d’effroi et de solitude. Si nous avons peur des flammes, nous succomberons à un hiver sans fin. Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/critiques-de-thrillers/ce-que-tu-as-fait-de-moi-de-karine-giebel/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Boudé par la critique et les médias, Laurent Obertone n'en demeure pas moins un poids lourd des librairies. Il est revenu en cette fin d'année 2019 avec Guérilla : Le temps des barbares paru aux éditions Ring. Ce deuxième volet est-il à la hauteur du précédent ? On vous dit tout ! La quatrième de couverture : Plus d'État. La France s'est effondrée en trois jours, livrée aux assassins qui tiennent les rues, aux chiens de guerre qui terrorisent les campagnes. Partout le pillage. La folie. La survie. Partout le silence des réseaux détruits. Et partout la violence. Plus de règles. Des crânes perforés de balles, des ombres qui fuient, des rues dévastées, des cadavres déchiquetés à perte de vue, des ordres, des plaintes, des cris, des rafales d'armes automatiques se répondant d'une rue à l'autre, des geysers de flammes et le bruit sourd des rotors brassant le ciel ardent des villes. Plus d'issue. Ils étaient de simples citoyens. Ils ne sont plus que des créatures humaines, privées de tout, isolées dans leur méfiance, prêtes à tuer pour un bidon d'essence. Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici :https://www.lettres-it-be.fr/critiques-de-romans/auteurs-de-k-à-o/guérilla-le-temps-des-barbares-de-laurent-obertone/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Après La vraie vie d'Adeline Dieudonné également paru aux éditions de L'Iconoclaste, Une bête au paradis occupe cette année la place principale du catalogue de cette maison d'édition qui monte. À juste titre ? Découvrez la critique Lettres it be ! La quatrième de couverture : La vie d’Émilienne, c’est le Paradis. Cette ferme isolée, au bout d’un chemin sinueux. C’est là qu’elle élève seule, avec pour uniques ressources son courage et sa terre, ses deux petits-enfants, Blanche et Gabriel. Les saisons se suivent, ils grandissent. Jusqu’à ce que l’adolescence arrive et, avec elle, le premier amour de Blanche, celui qui dévaste tout sur son passage. Il s’appelle Alexandre. Leur couple se forge. Mais la passion que Blanche voue au Paradis la domine tout entière, quand Alexandre, dévoré par son ambition, veut partir en ville, réussir. Alors leurs mondes se déchirent. Et vient la vengeance. « Une bête au Paradis » est le roman d’une lignée de femmes possédées par leur terre. Un huis clos fiévreux hanté par la folie, le désir et la liberté. En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Impossible de ne pas avoir entendu parler du film de Ladj Ly Les Misérables. Encensé par la critique, applaudi par Emmanuel Macron, le nouveau long-métrage signé Ladj Ly est un raz-de-marée. À y regarder de plus près, ce film pourrait être bien plus qu'un simple travail artistique... On vous en dit plus dans ce nouveau podcast ! Le synopsis : Stéphane, tout juste arrivé de Cherbourg, intègre la Brigade Anti-Criminalité de Montfermeil, dans le 93. Il va faire la rencontre de ses nouveaux coéquipiers, Chris et Gwada, deux "Bacqueux" d’expérience. Il découvre rapidement les tensions entre les différents groupes du quartier. Alors qu’ils se trouvent débordés lors d’une interpellation, un drone filme leurs moindres faits et gestes... Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/du-côté-du-cinéma/les-misérables-de-ladj-ly/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Tout le monde, ou presque, attendait Amélie Nothomb et Soif pour le Goncourt 2019. Surprise : c'est Jean-Paul Dubois qui a emporté le prix tant convoité avec Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon publié aux Éditions de l'Olivier. Une bonne cuvée ? Découvrez la critique Lettres it be ! La quatrième de couverture : Cela fait deux ans que Paul Hansen purge sa peine dans la prison provinciale de Montréal. Il y partage une cellule avec Horton, un Hells Angel incarcéré pour meurtre. Retour en arrière: Hansen est superintendant a L’Excelsior, une résidence où il déploie ses talents de concierge, de gardien, de factotum, et – plus encore – de réparateur des âmes et consolateur des affligés. Lorsqu’il n’est pas occupé à venir en aide aux habitants de L’Excelsior ou à entretenir les bâtiments, il rejoint Winona, sa compagne. Aux commandes de son aéroplane, elle l’emmène en plein ciel, au-dessus des nuages. Mais bientôt tout change. Un nouveau gérant arrive à L’Excelsior, des conflits éclatent. Et l’inévitable se produit. Une église ensablée dans les dunes d’une plage, une mine d’amiante à ciel ouvert, les méandres d’un fleuve couleur argent, les ondes sonores d’un orgue composent les paysages variés où se déroule ce roman. Histoire d’une vie, Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon est l’un des plus beaux livres de Jean-Paul Dubois. On y découvre un écrivain qu’animent le sens aigu de la fraternité et un sentiment de révolte à l’égard de toutes les formes d’injustice. Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/critiques-de-romans/auteurs-de-a-à-e/tous-les-hommes-n-habitent-pas-le-monde-de-la-même-façon-de-jean-paul-dubois/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Quand James Huth, spécialiste de l'absurde, décide de se moquer de l'émission Rendez-vous en terre inconnue en s'entourant, entre autres, de Christian Clavier et Michaël Youn, ça donne quoi ? Belle surprise ou grosse déception ? Le synopsis : Pour la spéciale Noël de son émission phare Rencontre au bout du bout du monde, Léo Poli emmène non pas un, mais quatre invités exceptionnels. Est-ce vraiment une bonne idée ? Nos stars partent à la rencontre des Malawas, une des tribus les plus isolées du monde. Une comédie sur la nature… humaine. Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/du-côté-du-cinéma/rendez-vous-chez-les-malawas-de-james-huth/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
Tout le monde ou presque attendait l'arrivée de l'enfant prodige du théâtre français en librairie, j'ai nommé Alexis Michalik. Après Edmond, sa pièce de théâtre récompensée à de multiples reprises, notre homme débarque avec Loin, un premier roman ambitieux étalé sur plusieurs centaines de pages. Verdict ? La quatrième de couverture : « Comment avoir l’audace de prétendre être en vie si l’on vit sans oser ? »Tout commence par quelques mots griffonnés au dos d’une carte postale : « Je pense à vous, je vous aime ». Ils sont signés de Charles, le père d’Antoine, parti vingt ans plus tôt sans laisser d’adresse. Avec son meilleur ami, Laurent, apprenti journaliste, et Anna, sa jeune sœur complètement déjantée, Antoine part sur les traces de ce père fantôme. C’est l’affaire d’une semaine, pense-t-il… De l’ex-Allemagne de l’Est à la Turquie d’Atatürk, de la Géorgie de Staline à l’Autriche nazie, de rebondissements en coups de théâtre, les voici partis pour un road movie généalogique et chaotique à la recherche de leurs origines insoupçonnées. Alexis Michalik a décidément le goût de l’aventure : après le succès phénoménal d’Edmond, le comédien, metteur en scène et dramaturge couronné par cinq Molières, nous embarque à bord d’un premier roman virevoltant, drôle et exaltant. Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/critiques-de-romans/auteurs-de-k-à-o/loin-d-alexis-michalik/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :
C'est l'heure du tout premier podcast signé Lettres it be ! Aujourd'hui, découvrez notre critique pour Soif, le nouveau roman d'Amélie Nothomb publié chez Albin Michel. Nouvelle déception après trois années (et trois romans) en demi-teinte ou grand retour de la Dame au chapeau ? La quatrième de couverture : « Pour éprouver la soif il faut être vivant. » Pour découvrir la chronique écrite sur le site de Lettres it be, c'est par ici : https://www.lettres-it-be.fr/critiques-de-romans/auteurs-de-k-à-o/soif-d-amélie-nothomb/ En attendant de se retrouver pour de prochains podcasts, abonnez-vous à la chaîne YouTube de Lettres it be et suivez-nous sur :