Podcast appearances and mentions of Saint Denis

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Grand reportage
«Le supplément du dimanche» du 16 novembre 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 48:30


Hier, nous revenions avec Laura Martel sur les attentats de Paris et Saint-Denis. Le 13 novembre 2015, des terroristes franco-belges dirigés de Syrie attaquent à la kalachnikov et par commandos-suicide bardés d'explosifs les alentours du Stade de France, les terrasses des bars du centre de Paris et la salle de concert du Bataclan. Aujourd'hui, Manon Chapelain nous emmène en Syrie sur les pistes empruntées par l'organisation État islamique. En 2è partie, les attentats de Londres en juillet 2005. En Syrie, sur les traces de l'État islamique Dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis, les milliers de combattants étrangers partis rejoindre l'organisation État Islamique sont toujours présents sur le territoire syrien. La plupart sont retenus dans les camps et prisons du nord-est du pays. Leur sort est une question épineuse pour le gouvernement de transition, qui doit aussi composer avec la présence de cellules dormantes de l'organisation à travers le pays. Notre correspondante à Damas a parcouru la Syrie à la rencontre de ces jihadistes étrangers et des nostalgiques de l'organisation pour essayer de comprendre ce qui demeure du califat. Un Grand reportage de Manon Chapelain qui s'entretient avec Jacques Allix. Royaume-Uni, le 7 juillet 2005: 20 ans plus tard, des blessures toujours à vif Il y a dix ans, le 13 novembre 2015, Paris et Saint-Denis étaient frappés par une série d'attentats coordonnés, revendiquée par l'État islamique. Bilan :130 morts. Mais ce n'est pas le premier attentat en France. Et ailleurs en Europe, le terrorisme frappe régulièrement depuis longtemps, en particulier au Royaume-Uni. Londres, la capitale, a subi des dizaines d'attentats à travers les siècles : conspiration des poudres en 1605, IRA irlandaise, vague d'attaques au couteau à partir de 2015. Mais la véritable déflagration pour la société britannique, dix ans avant le Bataclan et Saint-Denis, ce sont les attentats du 7 juillet 2005. Au cœur de Londres, quatre bombes explosent en même temps dans les transports. 52 innocents périssent ainsi dans les bus et métro de la capitale. Un Grand reportage d'Emeline Vin qui s'entretient avec Jacques Allix.  

Grand reportage
«Le supplément du samedi» du 15 novembre 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Nov 15, 2025 48:30


Ce supplément du Grand reportage est consacré aux attentats de Saint-Denis et Paris du 13 Novembre 2015. Des explosions à Saint-Denis au Stade de France vers 21h15, un passant est tué. Dix minutes plus tard, fusillades multiples dans le Xè et le XIè arrondissement de Paris visant des terrasses de cafés, une trentaine de morts. À 21h45, une troisième équipe de terroristes attaque la salle de concert du Bataclan et ses 1 500 spectateurs, 90 personnes sont tuées.   13 novembre 2015: vivre, 10 ans après C'était, il y a 10 ans, jour pour jour : les attentats de Paris et Saint-Denis, commis au nom du groupe État islamique. 130 morts à l'époque ; 132 désormais. Car le traumatisme peut être un lent poison. Arthur Desnouveaux est sorti physiquement indemne du Bataclan. Depuis 2017, il est le président de l'Association de Victime life for Paris. Nadia Mondeguer a perdu sa fille Lamia, assassinée à 30 ans, sur la terrasse du bar La Belle Équipe. Face au poids du traumatisme et du deuil, quel a été leur cheminement, leur chemin de vie, leur chemin de survie, ces 10 dernières années ? 13 novembre 2015: 10 ans après, le sens du souvenir Les noms des 132 victimes des attentats de Paris et de Saint-Denis. Ils sont égrenés, chaque 13 novembre, depuis 10 ans. Ces actes terroristes majeurs ont été commis au nom du groupe État islamique. Nadia Mondeguer est la maman de Lamia, tuée à 30 ans sur la terrasse du bar La Belle Équipe. Elle est un pilier de l'association 13onze15. Arthur Dénouveaux a réchappé à l'attentat du Bataclan, physiquement indemne. Il est, depuis 2017, le président de l'association Life for Paris, qui a décidé de se dissoudre ce 13 novembre 2025. Quelle importance apportent-ils aux commémorations qui sont organisées ? Quel regard portent-ils sur la mémoire collective, l'héritage de ces attentats ? Deux Grands reportages de Laura Martel qui s'entretient avec Jacques Allix.

Ringside Report + Wrestling Uncensored Radio Podcasts
UFC 322 Preview: Islam Makhachev vs Jack Della Maddalena – Bold Upset Prediction

Ringside Report + Wrestling Uncensored Radio Podcasts

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 69:26


UFC 322 PREVIEW: Islam Makhachev vs Jack Della Maddalena at Madison Square GardenDave Simon goes against the grain with a BOLD main event prediction – he's picking Jack Della Maddalena to upset pound-for-pound king Islam Makhachev at +215 odds. Is the Dagestani aura fading? Can the Australian welterweight champion defend the takedowns from a natural lightweight? Dave breaks down why size, age, and recent competition quality all favor Della Maddalena.AJ D'Alesio counters with Islam's legendary training camp intensity and championship pedigree.ALSO COVERED:Zhang Weili vs Valentina Shevchenko co-main event – both hosts pick Weili to overwhelm the longtime flyweight queenSean Brady vs Michael Morales – future title contender matchupLeon Edwards vs Carlos Prates – the hosts split on this oneBenoît Saint Denis vs Beneil Dariush – age and hunger favor BSDBo Nickal vs Hiago Vieira prelim breakdownComplete betting odds and parlay strategyJake Paul vs Anthony Joshua breaking newsPlus: Aaron Judge wins third MVP, Blue Jays World Series heartbreak debate, and all the combat sports news you need.JOIN US LIVE Saturday, 10 PM ET for our UFC 322 Watch-Along with Dave, Fred, and AJ!New episodes every Thursday at 8 PM ET.Wrestling Uncensored every Friday at 10 PM ET.https://ringsidereport.nethttps://membership.ringsidereport.netThe Combat Sports Authority – Ringside Report Network

Invité Afrique
«Le Sahel est l'épicentre de l'expansion jihadiste en Afrique», explique le chercheur Luis Martinez

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 6:49


« L'Afrique est-elle le prochain califat ? », demandait il y a deux ans l'universitaire français Luis Martinez, dans un ouvrage au titre provocateur, paru aux éditions Tallandier. Aujourd'hui, la question se pose au Mali, où les jihadistes du Jnim essayent d'imposer le blocus de Bamako et où les États-Unis et la France conseillent à leurs ressortissants de quitter le pays au plus vite. Mais y a-t-il vraiment une menace sécuritaire de la part des jihadistes sur la ville de Bamako ? Luis Martinez, qui est directeur de recherches au Centre de recherches internationales (CERI), répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Deux ans après la sortie de votre livre, continuez-vous de penser que l'Afrique peut devenir le prochain califat ? Luis Martinez : Je pense qu'en Afrique, et en particulier dans le Sahel, il y a des conditions pour voir émerger des territoires qui seraient gouvernés par des jihadistes, qui chercheraient à mettre en œuvre ce qu'ils cherchent depuis quelques années, à savoir un califat. Quand vous dites que le jihadisme est en expansion, pensez-vous en priorité à l'Afrique de l'Ouest ou à l'Afrique de l'Est ? Disons que le vivier, le cœur ou l'épicentre, c'est clairement le Sahel. Tout simplement parce que les conditions de ces dix dernières années nous montrent qu'il y a eu une constellation qui a favorisé leur expansion. Je ne reviens pas sur les déterminants intérieurs et régionaux, mais les conditions ont été vraiment propices à leur développement. Et leur projet ne s'arrête pas là. Il est clair qu'on voit bien qu'il y a des tentatives vers l'Afrique de l'Ouest, sur le Bénin, le Togo, le Nigeria, bien évidemment, et depuis longtemps dans certaines régions. Mais le Sahel reste quand même l'épicentre en raison d'un certain nombre de conditions qui sont quand même très favorables. Certains observateurs disent qu'après ses échecs en Irak et en Syrie, le groupe État islamique essaie de faire de l'Afrique de l'Est une base de repli, notamment en Somalie ? En Somalie, c'est clair qu'il y a dans l'État semi-autonome du Puntland ou d'autres régions, là aussi, des conditions qui pourraient amener à une installation. Mais en même temps, on est en Somalie, c'est un environnement qui, peut-être, n'est pas celui du Sahel, avec un engagement des États-Unis qui, sans doute, limite ou limiterait, dans la durée, la possibilité de vraiment s'y installer. Pour revenir à l'Afrique de l'Ouest, quel est, à votre avis, le pays le plus exposé à l'instauration d'un éventuel califat jihadiste ? Clairement, c'est le Mali qui apparaît dans l'agenda jihadiste comme celui qui pourrait le plus facilement, dans les semaines, les mois, voire les années à venir, constituer un terrain nouveau d'instauration d'un califat. Alors pourquoi ? Tout simplement parce qu'il y a quand même un isolement de Bamako, à la fois vis-à-vis de la France et vis-à-vis du voisin algérien. Mais également, ses partenaires et alliés, que ce soit le Burkina ou le Niger, ont eux-mêmes de graves difficultés sur place pour pouvoir lui venir en aide. Quant à la Russie, je pense que les quelque 2 000 ou 3 000 mercenaires de l'Africa Corps ne peuvent strictement rien faire face à une insurrection jihadiste. On l'a vu avec la France avec ses 6 000 hommes, ce ne sont pas les 2 000 ou 3 000 hommes de la Russie qui vont modifier la donne. Je pense que l'approche militaire, de toute manière, est vouée à l'échec. Parce qu'il faudrait vraiment passer par les armes et faire des massacres dans toutes les régions du Mali pour restaurer l'ordre et la sécurité, ce que quasiment aucun État occidental n'assumerait de faire. Et évidemment, la Russie a d'autres soucis en Europe et en Ukraine pour pouvoir considérer que le Mali est stratégique dans sa politique. Aujourd'hui, l'armée malienne est quand même assez isolée pour pouvoir bénéficier d'une capacité, non seulement de résistance, mais de reconquête de son territoire. Cela me semble, comme beaucoup d'observateurs, voué à l'échec. Quand vous voyez que les États-Unis et les grands pays européens appellent leurs ressortissants à quitter Bamako, y voyez-vous le signe d'une prise possible de cette capitale africaine, notamment par le Jnim d'Iyad Ag Ghaly ? Je ne sais pas dans les détails. Aujourd'hui, Bamako peut tomber ou pas. Ce qui est sûr, c'est que depuis quelques années, le Jnim a construit une vraie stratégie pour, entre guillemets, isoler Bamako sur le plan territorial, isoler le pouvoir politique sur le plan sociétal, dont l'influence est limitée. Et maintenant, sans doute, chercher à l'isoler économiquement, financièrement. Toutes ces conditions vont-elles faire que les militaires à Bamako vont considérer qu'il n'y a plus d'échappatoire ? Ou bien vont-ils estimer qu'ils peuvent s'en accommoder ? Un peu comme à Kaboul où, pendant des années, on s'est accommodé de ne pas pouvoir sortir au-delà de 30 km de Kaboul, parce qu'il y avait les talibans à côté. Voilà, cela va dépendre. Le Jnim n'a aucune capacité, aujourd'hui, de conquête, au sens militaire du terme, d'entrer dans Bamako. Le Jnim a toujours recherché ce qu'on pourrait appeler des partenaires politiques, militaires et religieux pour lui ouvrir les portes de Bamako. C'est-à-dire faire en sorte que, de l'intérieur, on se débarrasse de la junte et on négocie des alliances avec le Jnim dans ce qu'on pourrait appeler une co-gouvernance de la capitale et de l'État malien. À une époque passée, pas très lointaine, il y avait l'imam Mahmoud Dicko qui aurait pu remplir ce rôle. Lui-même avait fondé le Coordination des mouvements, associations et sympathisants de l'imam Dicko (CMAS), ce qui est donc une sorte de coordination de mouvements civils et religieux qui avait encouragé un dialogue jusqu'en 2019 et 2020. À partir de 2022, les militaires au pouvoir à Bamako l'ont quasiment pourchassé. Il est exilé en Algérie en ce moment. Mais c'est ce type de personnage que les groupes jihadistes recherchent. C'est-à-dire des figures religieuses, politiques, voire demain militaires, qui puissent être des passerelles pour ouvrir les portes de Bamako. Parce que les djihadistes du Sahel sont pour beaucoup des Arabes et des Touaregs qui seraient minoritaires dans la ville de Bamako ? Il y a à la fois cette dimension ethnique, communautaire qui jouerait, mais en même temps, il y a l'expérience passée, c'est-à-dire la conquête militaire d'une ville, voire sa prise complète du pouvoir. Le Jnim a bien regardé ce qui s'est passé avec le groupe État islamique du côté de Syrte, en Libye. Cela a généré immédiatement une coalition internationale pour déloger le groupe État islamique de la ville de Syrte en 2014 et 2015. Donc il y a cette idée que le Jnim ne veut pas apparaître comme un projet politique radical qui s'imposerait à la société, mais comme une alternative politique et religieuse que la société serait prête à accompagner. Cela fait quelques années que le Jnim, entre guillemets, gouverne un certain nombre de régions, et Bamako serait un peu la vitrine. Entrer par la force à Bamako pourrait susciter des réactions tout à fait contraires à son projet. Il y a dix ans, les attentats de Paris et de Saint-Denis ont été prémédités et préparés au Moyen-Orient, et donc pas en Afrique de l'Ouest. Est-ce à dire que les jihadistes qui opèrent en Afrique et au Sahel ne représentent pas une menace terroriste pour l'Europe ? Il me semble que le contexte du Moyen-Orient, qui était quand même un contexte d'ingérence de forces étrangères extrêmement importantes – la guerre d'Irak, la guerre contre Al-Qaïda, et toute une série de variables – avait construit une vraie haine de l'Occident et des pays alliés à l'Occident. Il me semble que l'on n'a pas cette configuration aujourd'hui dans le Sahel. À la rigueur, je dirais presque que c'est une chance pour la France aujourd'hui de ne pas être associée à cette avancée spectaculaire des jihadistes et de ne pas chercher à les combattre militairement sur place. Tout simplement parce qu'ainsi cela ne va pas générer un certain nombre de griefs, de colère contre la France. Il y a déjà le passé colonial. Il y a déjà le passé post-colonial de la Françafrique. Je pense qu'aujourd'hui, la France est, entre guillemets, mieux lotie en étant loin de ce type de transformation de la société du Sahel plutôt qu'en y étant présente. Cela ne veut pas dire demain que cette région ne pourrait pas, bien évidemment, devenir une base pour certains groupes qui, entre guillemets, échapperaient à la gouvernance du Jnim et chercheraient à exploiter les failles d'une gouvernance califale pour frapper l'Occident. Cela, en toute sincérité, je n'en sais rien aujourd'hui.   À lire aussiMali: record d'enlèvements d'étrangers par les jihadistes

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 5h30 du 14/11/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 7:59


Dans cette édition :Entretien avec l'écrivain Boualem Sansal, libéré après un an et demi de prison en Algérie, qui se dit combatif et espère rentrer en France prochainement pour poursuivre ses soins médicaux.Commémoration des 10 ans des attentats du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis, avec l'inauguration du Jardin Mémoriel en présence du président Macron et des discours émouvants rendant hommage aux victimes.Polémique autour de la promesse du candidat écologiste à la mairie de Paris d'ouvrir davantage de salles de shoot, face aux nuisances dénoncées par les riverains d'une salle existante.Qualification de l'équipe de France de football pour la Coupe du Monde 2026 en Amérique du Nord, avec les réactions du sélectionneur Didier Deschamps.Victoire de l'Espagnol Carlos Alcaraz, assuré de terminer l'année à la première place mondiale, au Masters de tennis de Turin.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

VOV - Việt Nam và Thế giới
Tin quốc tế - Pháp tưởng niệm 10 năm vụ tấn công khủng bố Bataclan: Nỗi đau còn đó, ký ức không phai

VOV - Việt Nam và Thế giới

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 2:18


VOV1 - Ngày 13/11, nước Pháp tổ chức chuỗi nghi lễ tưởng niệm tròn 10 năm sau loạt tấn công khủng bố đẫm máu trải dài từ Saint-Denis đến các quán cà phê bị tấn công và kết thúc tại nhà hát Bataclan, nơi chịu tổn thất nặng nề nhất với 90 nạn nhân thiệt mạng.

Le journal - Europe 1
Le journal de 5h30 du 14/11/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 7:59


Dans cette édition :Entretien avec l'écrivain Boualem Sansal, libéré après un an et demi de prison en Algérie, qui se dit combatif et espère rentrer en France prochainement pour poursuivre ses soins médicaux.Commémoration des 10 ans des attentats du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis, avec l'inauguration du Jardin Mémoriel en présence du président Macron et des discours émouvants rendant hommage aux victimes.Polémique autour de la promesse du candidat écologiste à la mairie de Paris d'ouvrir davantage de salles de shoot, face aux nuisances dénoncées par les riverains d'une salle existante.Qualification de l'équipe de France de football pour la Coupe du Monde 2026 en Amérique du Nord, avec les réactions du sélectionneur Didier Deschamps.Victoire de l'Espagnol Carlos Alcaraz, assuré de terminer l'année à la première place mondiale, au Masters de tennis de Turin.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RMC Fighter Club
Saint Denis, le combat le plus important de sa carrière ?

RMC Fighter Club

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 39:05


En 2023, Benoît Saint Denis remportait la plus grosse victoire de sa carrière en battant Matt Frevola. 2 ans plus tard, presque jour pour jour, BSD revient au Madison Square Garden de New York pour un combat qui pourrait le faire rentrer dans le top 10 de sa catégorie. Après une année 2024 marquée par 2 défaites, il abordé 2025 de la meilleure des manières. Ses succès contre Prepolec et Ruffy lui ont permis de reprendre confiance, gagner contre Beneil Dariush viendrait le replacer dans la course à la ceinture. Charles Chevallier, Baba Diagne et Anthony Sterpigny analysent les chances du Français dans ce qui pourrait être le combat le plus important de sa vie.

Escala en París
Yihadismo: ¿cómo una generación de adolescentes franceses se radicalizó?

Escala en París

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 13:38


El 13 de noviembre de 2015, comandos del Estado Islámico asesinaron a 130 personas en la sala de conciertos Bataclan y en terrazas de restaurantes y bares, así como cerca del Estadio de Francia, en Saint-Denis. Estos ataques, junto a los perpetrados contra la redacción de Charlie Hebdo y el supermercado judío Hyper Casher, pusieron de relieve el fenómeno de la radicalización. ¿Cómo es posible que jóvenes educados en la escuela de la República llegaran a matar a sus propios compatriotas?

Les matins
Vivre avec, vivre après les attentats du 13 novembre 2015

Les matins

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 15:28


durée : 00:15:28 - Journal de 8 h - Ils et elles continuent de vivre avec, dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis. Des commémorations sont prévues ce jeudi. Un ancien otage du Bataclan témoigne dans cette édition. Que reste-t-il du groupe État islamique ? Reportage à suivre en Syrie.

Grand reportage
13 novembre 2015: vivre, 10 ans après

Grand reportage

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 19:29


C'était, il y a 10 ans, jour pour jour : les attentats de Paris et Saint-Denis, commis au nom du groupe État islamique. 130 morts à l'époque ; 132 désormais. Car le traumatisme peut être un lent poison. Arthur Desnouveaux est sorti physiquement indemne du Bataclan. Depuis 2017, il est le président de l'Association de Victime life for Paris. Nadia Mondeguer a perdu sa fille Lamia, assassinée à 30 ans, sur la terrasse du bar La Belle Équipe. Face au poids du traumatisme et du deuil, quel a été leur cheminement, leur chemin de vie, leur chemin de survie, ces 10 dernières années ? «13 novembre 2015 : vivre, 10 ans après», un Grand reportage de Laura Martel.   ⇒ Life for Paris.

Le journal de 8H00
Vivre avec, vivre après les attentats du 13 novembre 2015

Le journal de 8H00

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 15:28


durée : 00:15:28 - Journal de 8 h - Ils et elles continuent de vivre avec, dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis. Des commémorations sont prévues ce jeudi. Un ancien otage du Bataclan témoigne dans cette édition. Que reste-t-il du groupe État islamique ? Reportage à suivre en Syrie.

Le débat
Édition spéciale 13-Novembre : 2015-2025, une décennie pour panser les plaies

Le débat

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 120:00


Édition spéciale consacrée à la cérémonie des dix ans des attentats de Saint-Denis et de Paris. La cérémonie a débuté place Saint-Gervais, derrière l'Hôtel de Ville, dans un jardin mémoriel inauguré ce soir. Un lieu de souvenir pour les victimes, mais aussi un lieu de vie. Elle a été le point d'orgue d'une journée de commémorations au Stade de France, devant les terrasses du Xe et du XIe arrondissement et devant le Bataclan.

Les journaux de France Culture
Vivre avec, vivre après les attentats du 13 novembre 2015

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 15:28


durée : 00:15:28 - Journal de 8 h - Ils et elles continuent de vivre avec, dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis. Des commémorations sont prévues ce jeudi. Un ancien otage du Bataclan témoigne dans cette édition. Que reste-t-il du groupe État islamique ? Reportage à suivre en Syrie.

Journal d'Haïti et des Amériques
Attentats du 13 novembre à Paris: «Au Chili, ma famille et moi sommes seules avec notre douleur»

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 30:00


Ce jeudi 13 novembre 2025 marque les 10 ans des attentats de Paris et de Saint-Denis. Le Stade de France, des terrasses de bars et la salle de concert du Bataclan avaient été pris pour cible par des terroristes se revendiquant du groupe État islamique. 132 personnes ont été tuées, dont des étrangers, comme Luis Felipe Zschoche Valle, un Chilien de 33 ans. Sa famille vient tous les ans à Paris honorer sa mémoire. Sa famille s'est confiée à RFI. La mère de Luis Felipe, Nancy Valle, a assisté aux cérémonies de ce jeudi 13 novembre 2025, comme les années précédentes. «Pour moi, c'est une année comme les autres», expliquait-elle au micro de Marine de La Moissonnière, quelques heures plus tôt. «Dix ans, ce n'est rien parce que l'absence est toujours là. Ce sont dix années de jours vides, de silences éloquents. Tous les jours, je pense à mon fils», poursuit-elle. «Avec le temps, ma peine s'est transformée. C'est une douleur plus apaisée : je ne ressens plus de rage, d'impuissance, de sentiment d'échec de n'avoir pas réussi à protéger mon enfant. Il n'y a plus rien à faire que se souvenir de lui, célébrer sa vie et honorer sa mémoire. Et c'est très important parce que ça peut permettre que cela ne se reproduise plus jamais», souligne-t-elle. «Chaque année, quand approche la date du 13 novembre, cette blessure qui est en train de cicatriser s'ouvre à nouveau.» Après avoir assisté aux cérémonies d'hommages, elle partira pour Gap où son fils est enterré. «C'est mon rituel, chaque année. Puis chaque fois, quand je repars pour le Chili, j'ai l'impression de l'abandonner, explique-t-elle, très émue. Ça me fait du bien d'être à Paris et à Gap, avec des gens qui ont vécu la même chose que moi. On se réconforte entre nous. Au Chili, ma famille et moi, on est seules avec notre douleur. Je n'ai personne avec qui parler de tout ça. Mais ici en France, si. Et ça fait du bien.» Le procès qui s'est tenu en 2021 et 2022 a aussi contribué à apaiser cette douleur. «Avant le procès, je n'existais pas pour la justice : personne ne nous a prévenues de la tenue du procès. On l'a su grâce à des journalistes de Radio France Internationale qui nous ont aussi expliqué comment y participer», se remémore Nancy Valle. «Ce procès m'a aidée. Il a été comme une reconstruction judiciaire. Cela m'a un peu apaisée de savoir que la justice avait fait son travail. C'est une satisfaction de savoir que les accusés ont été jugés et condamnés», conclut-elle.   Haïti : la sécurité des ports mise en cause par les États-Unis La garde-côtière américaine a déterminé que «le gouvernement haïtien ne mettait pas en œuvre de manière substantielle le Code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires au niveau national et au niveau des installations portuaires» et ne «constatait pas la mise en place de mesures de sécurité efficaces», peut-on lire dans une lettre transmise au gouvernement haïtien via l'ambassade des États-Unis en Haïti, rapporte Le Nouvelliste, mercredi 12 novembre 2025. Tirs, kidnappings, à quai ou en mer, «depuis des mois, les ports et des navires sont attaqués par les gangs», ajoute son rédacteur en chef, Frantz Duval, alors que «Haïti importe par voie maritime plus de 80% de ses biens de consommation», souligne-t-il.    Le plus long shutdown de l'histoire des États-Unis s'achève Après plus de 40 jours de paralysie budgétaire, les fonctionnaires vont de nouveau pouvoir être payés et les programmes d'aides sociales vont reprendre, notamment l'aide alimentaire SNAP. Certains élus démocrates ont voté contre la ligne de leur parti, qui exigeait la prolongation des aides publiques pour le système d'assurance santé Obamacare. «Stupidity never shuts down» («La stupidité ne s'arrête jamais»), ce titre assassin et ce jeu de mots ont été choisis par le Wall Street Journal pour son éditorial du jour. Le quotidien économique se moque des démocrates qui ont cru que, plus la paralysie budgétaire durerait, plus ils auraient de chance d'obtenir la prolongation de l'Obamacare. Ce n'était «pas la stratégie la plus maline», estime le quotidien. Le quotidien Detroit Free Press est plus clément : les élus démocrates qui ont voté avec les républicains pour mettre fin au shutdown le plus long de l'histoire du pays «avaient des arguments entendables», lit-on dans une tribune publiée sur le site de ce média du Michigan. Par exemple, celui de considérer que les citoyens touchés par la paralysie budgétaire avaient «assez souffert». «Qu'auriez-vous fait à leur place ?», interroge l'auteur, qui s'adresse aux électeurs états-uniens. À ses yeux, il reste encore une chance de prolonger Obamacare.   Campagne électorale tendue au Honduras Le Honduras se prépare à voter pour choisir son nouveau ou sa nouvelle présidente, le 30 novembre 2025. La campagne se déroule dans un climat de «crispation» selon El Heraldo, à Tegucigalpa. La majorité sortante de gauche et l'opposition de droite s'accusent mutuellement de vouloir attenter contre la transparence et la sincérité du vote. D'un côté, une enquête a été ouverte contre un député de droite ou encore contre une membre de l'autorité électorale, soupçonnés d'avoir voulu organiser une fraude. De l'autre, le gouvernement de gauche est particulièrement critiqué après avoir annoncé que l'armée sera chargée de réaliser un décompte parallèle des voix. Les candidats de l'opposition ont appelé ce mercredi 12 novembre 2025 à «protéger» l'intégrité du processus électoral. Même les États-Unis ont décidé de s'en mêler. Le secrétaire d'État adjoint du gouvernement Trump, Christopher Landau, prévient que Washington «suit de près le processus électoral», rapporte le journal La Tribuna. Le gouvernement états-unien «exhorte les autorités [...] à respecter les lois et la Constitution», faute de quoi il «réagira rapidement», rapporte encore le média hondurien, qui y voit un «avertissement» de la part du grand voisin régional. El Heraldo nuance tout de même cette menace et pointe du doigt la «naïveté de l'opposition», qui insinue, selon le journal, que les États-Unis pourraient envahir le Honduras en cas de victoire de la majorité sortante de gauche. La présidente Xiomara Castro n'échappe pas aux critiques, cette fois-ci dans La Prensa, dont un des éditorialistes accuse la dirigeante d'attiser les divisions au sein de la société hondurienne.   Dans les Caraïbes françaises... Le saviez-vous ? La Martinique est la région de France où l'on compte le plus de… personnes âgées, nous raconte Benoît Ferrand, de La 1ère.

RTL2 : Pop-Rock Station by Zégut
L'intégrale - AC/DC, Wet Leg, Foo Fighters dans RTL2 Pop Rock Station (13/11/25)

RTL2 : Pop-Rock Station by Zégut

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 108:04


Ce 13 novembre, Marjorie Hache propose dans Pop-Rock Station deux heures où rock, punk et explorations arty se répondent. Ramones, Nick Cave, Beth Ditto, Deep Purple ou The Hives ouvrent la voie avant un moment de mémoire autour d'Eagles Of Death Metal et du 13 novembre, dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis qui ont fait 132 morts et des centaines de blessés. Pop-Rock Station et RTL2 adressent alors une pensée aux victimes et à leurs proches. L'album de la semaine, "Cosplay" des Londoniens de Sorry, revient avec "Jive", morceau qui illustre leurs détours entre pop et art rock. Sum 41 revient avec "Landmines", suivi par un détour avec The Easybeats, New Order et un passage par le sludge metal avec Kylesa qui revisite "Come As You Are" de Nirvana. Les découvertes se poursuivent avec The Beths. Le long format du jour met en avant la collaboration Charli XCX / John Cale pour la bande originale des "Hauts de Hurlevent". La soirée glisse ensuite vers Foo Fighters, Electric Six, Daft Punk, Homer Banks, avant de s'achever avec David Bowie. AC/DC - Back In Black The Hives - The Hives Forever Forever The Hives Eagles Of Death Metal - Complexity Beth Ditto - Fire Deep Purple - Highway Star Nick Cave - To Be By Your Side Procol Harum - A Whiter Shade Of Pale Sorry - Jive Ramones - Sheena Is A Punk Rocker Sum 41 - Landmines The Easybeats - Friday On My Mind Wet Leg - Mangetout Kylesa - Come As You Are New Order - 60 Miles An Hour Prince - Dance 4 Me The Beths - Til My Heart Stops The Doors - Soul Kitchen Suicidal Tendencies - You Can't Bring Me Down Foo Fighters - Asking For A Friend The Runaways - Cherry Bomb Electric Six - Danger ! High Voltage Charli XCX - House (Feat. John Cale) Nine Inch Nails - As Alive As You Need Me To Be Daft Punk - Robot Rock Homer Banks - (If Loving You Is Wrong) I Don't Want To Be Right The Ting Tings - That's Not My Name David Bowie - The Width Of A Circle Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 5h du 13/11/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 7:34


Dans cette édition :Commémoration du 10e anniversaire des attentats de Paris et Saint-Denis en 2015, avec des témoignages de Français toujours marqués par la colère et le refus du pardon envers les terroristes.Libération de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, grâce à l'intervention diplomatique de l'Allemagne, malgré les réticences de la France.Débat houleux à l'Assemblée nationale sur le budget de la Sécurité sociale, avec le vote de la suspension de la réforme des retraites, malgré l'opposition du gouvernement.Visite du président Macron à Toulouse, marquée par la mobilisation des agriculteurs contre l'accord de libre-échange avec les pays tiers.Préparation de l'équipe de France de football pour un match le 13 novembre, jour de commémoration des attentats, dans un contexte toujours empreint d'émotion.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ici c'est France Bleu Paris
"Nous avons vécu un drame, nous aurions pu vivre une tragédie" : comment le pire a été évité au Stade de France

Ici c'est France Bleu Paris

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 2:55


durée : 00:02:55 - 100% PSG - Le billet - Le Stade de France, départ des attentats du 13 novembre 2015. La première victime, Manuel Dias, est morte aux abords du stade. C'est la seule à Saint-Denis malgré une affluence importante pour le match de football entre la France et l'Allemagne. Une combinaison de facteurs a fait éviter le pire. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le journal - Europe 1
Le journal de 5h du 13/11/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 7:34


Dans cette édition :Commémoration du 10e anniversaire des attentats de Paris et Saint-Denis en 2015, avec des témoignages de Français toujours marqués par la colère et le refus du pardon envers les terroristes.Libération de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, grâce à l'intervention diplomatique de l'Allemagne, malgré les réticences de la France.Débat houleux à l'Assemblée nationale sur le budget de la Sécurité sociale, avec le vote de la suspension de la réforme des retraites, malgré l'opposition du gouvernement.Visite du président Macron à Toulouse, marquée par la mobilisation des agriculteurs contre l'accord de libre-échange avec les pays tiers.Préparation de l'équipe de France de football pour un match le 13 novembre, jour de commémoration des attentats, dans un contexte toujours empreint d'émotion.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Conseil Santé
10 ans après les attentats du 13 novembre : à quoi servent les commémorations ?

Le Conseil Santé

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 1:30


Le 13 novembre 2015 ont eu lieu une série de fusillades et d'attaques-suicides perpétrées dans la soirée à Paris et dans sa périphérie : Bataclan, terrasses de café, Stade de France... Dix ans après, comment vont les survivants de ces attaques ? Stress-posttraumatique, reviviscences, phobies...  Quel est le rôle des cérémonies du souvenir dans le parcours des survivants après un traumatisme à l'image de celui des attentats du 13 novembre à Paris et à Saint-Denis ? Est-ce qu'aujourd'hui, 10 ans après, on sait quels sont encore les besoins d'accompagnement en santé mentale pour les victimes et les survivants même si les approches sont singulières ? Carole Damiani, docteur en psychologie, directrice de l'association Paris Aide aux victimes    Retrouvez l'émission en intégralité ici10 ans après les attentats du 13 novembre

Reportage France
Raid de l'immeuble à Saint-Denis, une habitante raconte son calvaire: «Une fois relogés, on s'est débrouillés seuls»

Reportage France

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 2:31


Dix ans après les attaques du 13 novembre 2015 qui ont fait plus de 130 morts et des centaines de blessés, les souvenirs s'estompent, mais demeurent toujours présents chez les victimes. Eux aussi ont été reconnus comme des victimes du terrorisme : les habitants d'un immeuble de la rue du Corbillon, à Saint-Denis. C'est dans cette ville du nord de Paris où s'étaient retranchés deux terroristes. L'immeuble a été détruit lors de l'assaut du Raid, le 18 novembre 2015, cinq jours après les attentats. Mais avant cette reconnaissance arrachée après avoir lutté devant la justice, leur parcours n'a pas été facile pendant des années, et ce, dès le lendemain, dès l'assaut des forces de police. Rencontre avec une ancienne habitante de la rue du Corbillon.   À lire aussiAttentats: retour sur l'opération antiterroriste à Saint-Denis

Convidado
Filho de vítima pede “pensamento crítico” e menos emoção em torno dos atentados de Paris

Convidado

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 15:30


Dez anos depois dos atentados que mataram 130 pessoas e fizeram mais de 400 feridos em Paris e Saint-Denis, o filho de uma das vítimas mortais denuncia a exploração da emoção em torno dos ataques e pede “pensamento crítico e analítico sobre o que aconteceu”. Michaël Dias afirma que não se procuraram respostas sobre as causas e o financiamento dos ataques e alerta que não foi feito “um trabalho para lutar contra a polarização da sociedade” de modo a “evitar que pessoas nascidas em França atentem contra o próprio país”. O filho do português que morreu no Stade de France questiona “como é que “um país como a França não foi capaz de antecipar uma operação terrorista desta dimensão” e não acredita que hoje a situação esteja melhor. Foi há dez anos que três comandos de homens armados mataram 130 pessoas e fizeram mais de 400 feridos em Paris e Saint-Denis. Primeiro, no Stade de France, depois em bares e restaurantes e na sala de concertos Bataclan. Os ataques de 13 de Novembro de 2015 foram, então, reivindicados pelo autodenominado Estado Islâmico. Dez anos depois, como contar e lembrar o que aconteceu e como estão os familiares das vítimas? Para falar sobre o assunto, convidámos Michaël Dias, filho de Manuel Dias, a primeira vítima mortal daquela noite junto ao Stade de France, em Saint-Denis, nos arredores de Paris.   RFI: Dez anos depois, como é que está o Michaël Dias e a sua família? É possível reconstruir-se dos atentados? Michaël Dias, filho de Manuel Dias: “Enquanto estamos vivos, é sempre possível reconstruir-se e continuar a viver, mas acho que isso é bastante universal em todos os lutos. Não me parece que este luto seja muito diferente de outro. As circunstâncias podem ser mais inesperadas, mas o ser humano passa por um luto que é seu, que é íntimo, que é pessoal e todos os ouvintes um dia passarão por isso.” Que memórias é que ainda guarda daquela noite? “É uma noite de espera até termos a confirmação. Não guardo nada para além dessa lembrança, mas não traz nada à reflexão sobre o assunto, o sofrimento das vítimas ou da família das vítimas. A gente vimo-lo na televisão e na rádio nos últimos dez anos, várias vezes. Não há nada que seja muito útil ao explorar esse sentimento, nem vejo uma grande utilidade de fazer um tutorial sobre como fazer o luto em circunstâncias excepcionais.” Mas se houver alguma coisa que tenha falhado, por exemplo, a forma como as autoridades comunicaram com as famílias, seria bom tirar lições. Ou não? “Não acho que houvesse um protocolo que tenha falhado ou que fosse importante fazer alguma coisa na altura. Soube-se quando tinha que se saber e não é por aí. Não acho que seja um ponto que tenha falhado em particular, é muito mais o facto de um país como a França não ter sido capaz de antecipar uma operação terrorista desta dimensão e coordenada e sincronizada desta forma.” Mas, por exemplo, a sua irmã disse-nos [numa entrevista em 2021] que o número de emergência não funcionou e ela estava em Portugal... “Sim, mas se não somos capazes de antecipar um acto terrorista ou vários numa mesma noite, quanto mais as questões puramente logísticas de números de telefone e de quem centraliza a informação, etc. Desde então, certamente com o número de atentados que já houve em França, eles hão-de ter criado um processo bastante mais eficaz.” Dez anos depois, diz que não houve antecipação. Como é que está a França hoje? “Quando isso acontece, a gente sempre espera que seja o último, que não haja mais, como é óbvio. Mas depois eles foram-se multiplicando, chegando a uma banalização. Acho que ninguém saberia listar o número de atentados que houve em França, de pequena ou grande dimensão, nos últimos dez anos. Portanto, não só não anteciparam esse, como falharam em vários outros níveis. Certamente que também terão evitado outros atentados, mas não acredito que estejamos numa melhor situação hoje do que há dez anos, com muito mais ameaças, com um sentimento de insegurança que foi sempre crescendo. Estamos longe de termos melhorado em qualquer um dos aspectos.” O que é que falha concretamente? O que é que é preciso fazer para antecipar? “Esse é o trabalho de quem zela pela segurança da população, é um trabalho da Inteligência, um trabalho de procura das causas de quem pode estar a financiar, quem pode estar a dar apoio logístico, etc. E todo o outro trabalho que tem que ser feito para lutar contra a polarização da sociedade e para evitar que pessoas nascidas no próprio país atentem contra outros cidadãos que não têm nada a ver com o assunto.” Como é que a memória colectiva deve recordar estes momentos sem que eles sejam, digamos, politicamente utilizados para fracturar uma sociedade que já está polarizada há muito? “Essa questão do dever de memória, eu acho acho curioso. Relembrar o quê? Relembrar que não foram capazes de evitar vários atentados que fizeram mais de 120 mortos numa mesma noite? Não esquecer tudo o que está por trás disso e como nunca fomos capazes de pensar nas origens, de fazer essa genealogia dos acontecimentos, saber quem financiou, quem deu apoio logístico? Continuamos com essa historinha de que três ou quatro parvos num kebab terão imaginado um dia fazer um atentado sozinhos. Isso é absurdo. Forçosamente houve quem financiou e quem deu apoio, mas em nenhum dos momentos a gente pensa essas causas, em nenhum momento o julgamento pensou essas causas profundas e continuamos com a mesma moralização de sempre nos ‘media' e a tentar sempre entrar no acontecimento pela emoção, em vez de pensar isso de forma crítica.” Além do luto individual, os atentados deixaram uma marca indelével na sociedade francesa. Foram os piores atentados na história de França. Até que ponto é que não se poderiam tirar lições, mesmo em termos políticos, do ocorrido e também lembrar das pessoas? No julgamento, a sua irmã disse-nos que pouca gente sabe que houve uma vítima no Stade de France. Como é que se devem lembrar estas pessoas? “Lembrarão essas pessoas quem sente a falta delas. De forma colectiva, ficarão na História pelo que se viveu naquela noite, mas não tem grande interesse tentar personificar um atentado porque isso não traz nada ao debate político, não diz nada sobre a sociedade. O luto é uma coisa completamente individual, pessoal e essa reflexão incapacita as pessoas de pensar de forma crítica, vamos falar de como dói perder uma pessoa sem pensar porque é que isto aconteceu e quem são as pessoas que poderiam ser responsabilizadas por isso de forma política e não só. De resto, é uma questão de luto pessoal. Um dia seremos só uma foto numa estante e no dia a seguir não seremos mais nada.” O seu pai não é apenas uma foto numa estante. O seu pai tem uma placa de homenagem a lembrar o nome dele junto ao Stade de France... “Sim, mas certamente ela um dia será tirada de lá. Não serve de grande coisa pensarmos em toda esta questão de uma forma emocional porque esse trabalho foi feito a vários níveis. Foi feito naquela noite para quem viu na televisão aqueles atentados em directo e sentiu essa emoção, portanto não precisa de voltar a senti-la hoje. Viveu também de forma muito sofrida todas as pessoas que perderam alguém ou estiveram lá naquelas noites e, portanto, não precisamos de mais emoção para perceber o assunto. A gente percebeu bem o que é viver aquilo. Agora, precisamos é de pensamento crítico e analítico sobre o que aconteceu e a emoção impede que isso aconteça.” Foi convidado para as cerimónias de homenagem? O que está previsto? “Acho que há várias comemorações, como sempre, em todos os sítios onde aconteceu, e depois acho que há a inauguração do Jardim da Memória, algo assim.” Lá está, a memória... “Sim, mas essa memória é a memória emocional de quanto se sofreu que vai impedir de pensar de forma crítica ou é a memória de não termos sido capazes de antecipar isto, de não termos sido capazes de gerir isto, de termos obrigado as vítimas a submeterem-se a um processo longo e indecente de responder a todos os inquéritos para poder aceder, possivelmente, a uma indemnização?” Como assim? O que é que aconteceu? Como é que foi esse processo, o acompanhamento para terem as ajudas terapêuticas e financeiras? “As vítimas, na sua maioria, tiveram de esperar quase dez anos para serem, em parte, ressarcidas e terem acesso, às vezes, a apoios psicológicos e a outras compensações. Para isso, muitas delas tiveram de se submeter a todo um processo que incluía encontros com médicos e outros profissionais e todo um inquérito sobre questões muito pessoais que roça a indecência só para se poder provar quase o que se sofreu e a dificuldade em reconstruir-se. Isso é muito absurdo e se temos que ter um dever de memória é para com isso. É para com a incapacidade de antecipar vários atentados e com a incapacidade de gerir de forma digna as compensações que iriam surgir.” Convosco também foi o caso? “Não porque eu não me quis submeter a nada disso, ms conheço pessoas que sim.” Um ano depois dos atentados, durante uma homenagem francesa ao seu pai, na qual foi colocada uma placa com o seu nome no Stade de France, o Michaël fez um discurso em que disse que os que perpetraram os atentados eram apenas “carne para canhão ao serviço de interesses obscuros”. Na altura, também deixou a mensagem – que dizia que herdada do pai – de que “para viver sem medo e em liberdade é preciso parar de estigmatizar o outro”. Esse seu discurso ecoou de alguma forma? Ou nada mudou? “Não acho que tenha mudado seja o que for. Em dez anos, se mudou foi para pior. Temos uma sociedade muito mais polarizada hoje em dia em França do que tínhamos em 2015. De resto, eu não sei se ecoou, não tenho essa pretensão, mas é uma questão que já referi várias vezes que é: como é que pessoas que nascem em França são capazes de realizar atentados ou de se virar contra outros cidadãos que não têm nada a ver com a temática? É preciso pensar como é que chegámos a este ponto, como é que pessoas que nascem em França não se vão identificar como franceses ao ponto de poder realizar algo contra o próprio país supostamente. Nesse sentido, até é muito estranho porque, sim, são carne para canhão porque eles estão a defender interesses que são, às vezes, interesses políticos, interesses mafiosos, interesses que eles nem conhecem e só o fazem por ideologia, neste caso. Mas é sempre curioso perceber como é que pessoas que nascem num mesmo sítio crescem de forma tão diferente.” Numa conversa que tivemos em 2017, criticou o Presidente francês, Emmanuel Macron, pela supressão do Secretariado de Estado de Ajuda às Vítimas. Na altura, falou-me numa “vontade explícita” de fazer cair as vítimas e as famílias num certo “esquecimento”. Teve uma posição bastante crítica com o Presidente. Mantém-na? “Quando ele foi eleito e acabou com a Secretaria de Estado, ele disse que queria acabar com essa cultura de vítimas porque na altura ainda era algo muito presente. Isso não é muito relevante no sentido em que depois houve outros atentados e ele teve que voltar a falar sobre o assunto, etc, mas é mais que o pesou na relação das vítimas com o Estado, no sentido de todas as indemnizações e da ajuda que era suposto vir. Tudo foi complicado e várias vezes tiveram que falar com os ministros e o governo para pedir uma série de coisas que deviam ter acontecido muito mais rápido. Então, o que eu observo é o que eu estava a falar há bocado, é que todo o processo do pedido de ajudas e indemnizações foi muito mais demorado, muito mais complicado do que certamente teria sido com o governo anterior.” Como é que olha para o julgamento? Houve alguma forma de reparação? “Eu fiquei bastante à margem do julgamento pessoalmente. É o que eu sempre disse: vamos julgar as pessoas que estiveram envolvidas directamente nesse atentado e está muito bem fazê-lo, mas eu procurava respostas que nunca chegaram a aparecer porque são questões políticas muito mais profundas e não há interesse sequer em encontrar ligações políticas e económicas a esses atentados. Então é melhor falar das três ou quatro pessoas que pudermos julgar, mas isso não responde em nada às perguntas que eu teria.” Que perguntas são essas concretamente? “São perguntas simples. Quem acredita que três ou quatro desgraçados são capazes de organizar um atentado desta dimensão ou outros atentados que aconteceram depois é ingénuo porque forçosamente há uma complexidade económica e logística que não são acessíveis de forma fácil. Mas nunca sequer essa questão é feita. Quando eu faço essa questão, a maior parte dos jornalistas responde: ‘Ah, não, mas é que a gente não pode na nossa rádio ou televisão falar desse tipo de assuntos. A gente não pode fazer essas perguntas...” Mas eu estou-lhe a pedir essa pergunta. “Sim, mas eu não tenho a resposta. A minha questão é: por que é que nunca se fala de quem poderá ter financiado isto e por que é que sempre que eu faço essa pergunta, os jornalistas me respondem que não podem falar disso? É muito curioso, não chamo a isso censura, mas é curioso.”

MANDALE
MANDALE - BSD, Makhachev, JDM : les prédictions UFC 322 de Mandale

MANDALE

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 89:29


C'est l'une des cartes UFC les plus attendues de l'année ce week-end ! Benoit Saint Denis s'attaque de nouveau au top 10 de la catégorie la plus dangereuse du monde. Va-t-il s'imposer face à Dariush ? BSD va-t-il casser le plafond qui le sépare des meilleurs de la catégorie ? De son côté, Islam Makhachev va défier Jack Della Maddalena pour tenter de devenir double champion et inscrire son nom parmi les plus grands de tous les temps. Du côté des filles, le plus gros combat possible à l'UFC sera co-main event pour la ceinture de championne des -57kgs entre Shevchenko et Zhang. Est-ce la carte de l'année ?

La question info
10 ans après le 13-Novembre, que reste-t-il de Daesh?

La question info

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 3:06


La France commémorait ce jeudi les 10 ans des attentats du 13 novembre. 130 personnes ont perdu la vie à Paris et Saint-Denis dans des attaques terroristes, revendiquées par l'Etat islamique. 10 ans après que reste-t-il de cette organisation terroriste ? On pose la question à Patrick Sauce, chef du service international de BFMTV.

Les matins
13 novembre 2015 : des victimes aux élèves, une mémoire à transmettre

Les matins

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 4:48


durée : 00:04:48 - Le Reportage de la rédaction - Dix ans après les attentats terroristes du 13 novembre 2015 à Paris et à Saint-Denis, comment transmettre la mémoire de ces événements aux jeunes générations ? Des victimes et des proches endeuillés, comme Aurélie Silvestre, interviennent depuis plusieurs années dans les établissements scolaires.

Grand reportage
13 novembre 2015: 10 ans après, le sens du souvenir

Grand reportage

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 19:30


Les noms des 132 victimes des attentats de Paris et de Saint-Denis. Ils sont égrenés, chaque 13 novembre, depuis 10 ans. Ces actes terroristes majeurs ont été commis au nom du groupe État islamique. Nadia Mondeguer est la maman de Lamia, tuée à 30 ans sur la terrasse du bar La Belle Équipe. Elle est un pilier de l'association 13onze15. Arthur Dénouveaux a réchappé à l'attentat du Bataclan, physiquement indemne. Il est, depuis 2017, le président de l'association Life for Paris, qui a décidé de se dissoudre ce 13 novembre 2025. Quelle importance apportent-ils aux commémorations qui sont organisées ? Quel regard portent-ils sur la mémoire collective, l'héritage de ces attentats ? « 13 novembre 2015 : 10 ans après, le sens du souvenir », un Grand Reportage de Laura Martel.

Reportage International
Syrie: Baghouz, dernier réduit de l'organisation État islamique, peine à se relever

Reportage International

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 3:00


Dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis, les legs de l'État islamique demeurent en Syrie. L'organisation y avait installé, dès 2014, la capitale de son califat autoproclamé. Baghouz, aux confins avec l'Irak, tout au sud, en avait été son dernier réduit. Le village est tombé en mars 2019 après plus de deux mois d'assauts et de siège de la coalition internationale et de leurs alliés, les Forces démocratiques syriennes, signant la fin de l'organisation terroriste. Depuis, la ville peine à se relever. La majorité des infrastructures sont détruites. Nombre des habitants sont encore déplacés dans les camps du Nord-Est. Et la menace des cellules dormantes de l'État islamique plane sur la région. Reportage de notre correspondante en Syrie. De notre correspondante en Syrie,  C'est sur les hauteurs d'une colline, à la frontière avec l'Irak, que les jihadistes de l'organisation État islamique ont été enterrés. Tout autour, un paysage aride, lunaire. Et à perte de vue, des centaines de monticules de terre. Baghouz, c'est le dernier bastion de l'État islamique. La ville est tombée le 23 mars 2019, après plus de deux mois de siège et de bombardement de la coalition internationale. « Lorsque nous sommes revenus pour la première fois à Baghouz, nous avons tout simplement trouvé des cadavres », explique Farhan Al Dawod. Il a réussi à en être évacué avant l'assaut final. Mais lorsqu'il est revenu quelques mois plus tard, il est devenu, malgré lui, fossoyeur du village.  « Nous trouvions des cadavres dans les maisons, sur les terres agricoles, dans les fosses communes, sans savoir vraiment s'il s'agissait de civils ou de membres de l'État islamique. Il y avait des personnes décapitées, leurs têtes gisaient encore à leurs pieds. Il y avait des corps brûlés, d'autres recouverts de poussière. Nous en avons enterré plus de 5 000 », raconte-t-il. Baghouz a vu débarquer les jihadistes de l'organisation État islamique fin 2014, avec la promesse de combattre le clan Assad. « Au tout début, ils nous promettaient de vivre confortablement, de conduire des voitures, ils nous disaient que nous allions devenir des hommes d'affaires. Puis au bout d'un certain temps, ils ont commencé à réprimer le peuple, à décapiter quiconque s'opposait à eux, que ce soit un rebelle de l'armée syrienne libre, ou bien un simple habitant qui refusait de coopérer », explique Dib Kalel Daoud, membre du comité local de la ville. La coalition internationale, épaulée par les Kurdes des Forces démocratiques syriennes, mène l'assaut depuis le nord, repousse un à un les combattants de l'organisation terroriste vers le sud. Tous se retrouvent bientôt coincés à Baghouz. « Vous, en tant que coalition internationale, vous êtes venus pour libérer la région. Mais vous l'avez détruite à la place. Vous avez tout détruit, sous prétexte de la présence de l'État islamique. Entre 1 400 et 1 700 maisons ont été totalement rasées », affirme Mana Rajab Safr, cheikh de la ville. À lire aussiL'étau se resserre autour du groupe Etat Islamique dans l'est de la Syrie Depuis, les habitants qui ont survécu sont de retour, ils reconstruisent coûte que coûte leur maison. Comme cet homme qui vient de dépenser 10 000 dollars. « Je n'imaginais pas que je reviendrais à Baghouz. Mais pour être sincère, j'aurais préféré rester déplacé et ne pas voir ces scènes d'horreur à mon retour. Regardez, tous ces cheveux gris que ça m'a fait pousser ! », s'exclame-t-il. La plupart des habitants ont été déplacés dans le camp d'Al-Hol, plus au nord. Avec l'ensemble des familles de jihadistes de l'État islamique. Cette femme est institutrice. Elle s'occupe de l'éducation des enfants au retour du camp. « C'est très dur pour eux, précise-t-elle. Il y avait bien des écoles dans le camp d'Al Hol, notamment financées par l'Unicef. Mais nous, habitants de Baghouz, refusions que nos enfants aillent étudier à côté de ceux de l'État islamique. »  Alors que la menace des cellules dormantes de l'organisation terroriste demeure, les habitants craignent ici d'être à nouveau pris en étau dans des combats qui ne sont pas les leurs. Dans la région, les opérations de la coalition internationale sont fréquentes. La nuit, il n'est pas rare d'entendre le vrombissement de leurs hélicoptères. À lire aussiEn Syrie, sur les traces de l'État islamique

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 6h30 du 12/11/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 6:45


Dans cette édition :Le 13 novembre 2015, la France a été frappée par des attentats islamistes à Paris et Saint-Denis, faisant 132 morts et plus de 400 blessés.10 ans après, le groupe État islamique (Daesh) s'est déplacé en Afrique, devenue l'épicentre du djihadisme mondial avec plus de 10 000 combattants sur le continent.Daesh s'implante durablement au Sahel, en Afrique de l'Ouest, en Somalie et en Afrique centrale, avec une nouvelle stratégie d'enlèvements.Le débat sur la suspension de la réforme des retraites s'ouvre à l'Assemblée nationale, avec un coût estimé à 1,4 milliard d'euros en 2027.Une enquête a été ouverte après l'explosion d'un colis piégé dans une agence Allianz à Montluçon, une hypothèse de l'ultra-gauche étant examinée.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L’Heure du Monde
Dix ans du 13-Novembre : le Bataclan raconté par ceux qui ont survécu

L’Heure du Monde

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 26:44


Ces images ont fait le tour des écrans du monde entier au petit matin du 14 novembre 2015. On y voit des dizaines de personnes s'échappant d'une sortie de secours, dans une petite ruelle, en courant, en rampant. D'autres sont au sol et ne peuvent plus bouger. Une, enfin, est suspendue à une fenêtre du premier étage et crie à qui veut bien l'entendre qu'elle est enceinte et qu'elle va bientôt lâcher prise. Ces images, ce sont celles des spectateurs du Bataclan tentant de fuir les terroristes qui ont ouvert le feu dans la foule, le 13 novembre 2015, aux alentours de 21 h 40. Elles ont été filmées par Daniel Psenny, alors journaliste au Monde et habitant de cette ruelle parisienne, le passage Saint-Pierre-Amelot, dans laquelle donnent les sorties de secours de la salle de spectacle.Dix ans plus tard, il a retrouvé et interviewé une partie des personnes qui apparaissent dans cette vidéo. Il en a tiré un documentaire,Vendredi noir, réalisé avec Franck Zahler et diffusé sur LCP. Dans cet épisode, vous entendrez deux d'entre eux : Charlotte, la femme enceinte suspendue dans le vide, et Sébastien, l'homme qui lui a tendu la main. Vous entendrez également Daniel Psenny raconter son 13 novembre 2015. Celui d'un journaliste témoin des attentats, qui ont fait 132 morts et des centaines de blessés à Paris et Saint-Denis. Mais aussi celui d'un rescapé, puisqu'il a lui-même été touché par balle en tentant de secourir un blessé.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia. Réalisation : Amandine Robillard. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : extraits de la vidéo de Daniel Psenny filmée le 13 novembre 2015 ; d'une interview vidéo de Jérôme Fenoglio, directeur du Monde, diffusée sur Lemonde.fr le 11 novembre 2016 ; de l'édition spéciale de France 2, le 13 novembre 2015.Cet épisode a été diffusé le 12 novembre 2025---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 6h30 du 12/11/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 6:45


Dans cette édition :Le 13 novembre 2015, la France a été frappée par des attentats islamistes à Paris et Saint-Denis, faisant 132 morts et plus de 400 blessés.10 ans après, le groupe État islamique (Daesh) s'est déplacé en Afrique, devenue l'épicentre du djihadisme mondial avec plus de 10 000 combattants sur le continent.Daesh s'implante durablement au Sahel, en Afrique de l'Ouest, en Somalie et en Afrique centrale, avec une nouvelle stratégie d'enlèvements.Le débat sur la suspension de la réforme des retraites s'ouvre à l'Assemblée nationale, avec un coût estimé à 1,4 milliard d'euros en 2027.Une enquête a été ouverte après l'explosion d'un colis piégé dans une agence Allianz à Montluçon, une hypothèse de l'ultra-gauche étant examinée.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Reportage de la rédaction
13 novembre 2015 : des victimes aux élèves, une mémoire à transmettre

Le Reportage de la rédaction

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 4:48


durée : 00:04:48 - Le Reportage de la rédaction - Dix ans après les attentats terroristes du 13 novembre 2015 à Paris et à Saint-Denis, comment transmettre la mémoire de ces événements aux jeunes générations ? Des victimes et des proches endeuillés, comme Aurélie Silvestre, interviennent depuis plusieurs années dans les établissements scolaires.

Reportage international
Syrie: Baghouz, dernier réduit de l'organisation État islamique, peine à se relever

Reportage international

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 3:00


Dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis, les legs de l'État islamique demeurent en Syrie. L'organisation y avait installé, dès 2014, la capitale de son califat autoproclamé. Baghouz, aux confins avec l'Irak, tout au sud, en avait été son dernier réduit. Le village est tombé en mars 2019 après plus de deux mois d'assauts et de siège de la coalition internationale et de leurs alliés, les Forces démocratiques syriennes, signant la fin de l'organisation terroriste. Depuis, la ville peine à se relever. La majorité des infrastructures sont détruites. Nombre des habitants sont encore déplacés dans les camps du Nord-Est. Et la menace des cellules dormantes de l'État islamique plane sur la région. Reportage de notre correspondante en Syrie. De notre correspondante en Syrie,  C'est sur les hauteurs d'une colline, à la frontière avec l'Irak, que les jihadistes de l'organisation État islamique ont été enterrés. Tout autour, un paysage aride, lunaire. Et à perte de vue, des centaines de monticules de terre. Baghouz, c'est le dernier bastion de l'État islamique. La ville est tombée le 23 mars 2019, après plus de deux mois de siège et de bombardement de la coalition internationale. « Lorsque nous sommes revenus pour la première fois à Baghouz, nous avons tout simplement trouvé des cadavres », explique Farhan Al Dawod. Il a réussi à en être évacué avant l'assaut final. Mais lorsqu'il est revenu quelques mois plus tard, il est devenu, malgré lui, fossoyeur du village.  « Nous trouvions des cadavres dans les maisons, sur les terres agricoles, dans les fosses communes, sans savoir vraiment s'il s'agissait de civils ou de membres de l'État islamique. Il y avait des personnes décapitées, leurs têtes gisaient encore à leurs pieds. Il y avait des corps brûlés, d'autres recouverts de poussière. Nous en avons enterré plus de 5 000 », raconte-t-il. Baghouz a vu débarquer les jihadistes de l'organisation État islamique fin 2014, avec la promesse de combattre le clan Assad. « Au tout début, ils nous promettaient de vivre confortablement, de conduire des voitures, ils nous disaient que nous allions devenir des hommes d'affaires. Puis au bout d'un certain temps, ils ont commencé à réprimer le peuple, à décapiter quiconque s'opposait à eux, que ce soit un rebelle de l'armée syrienne libre, ou bien un simple habitant qui refusait de coopérer », explique Dib Kalel Daoud, membre du comité local de la ville. La coalition internationale, épaulée par les Kurdes des Forces démocratiques syriennes, mène l'assaut depuis le nord, repousse un à un les combattants de l'organisation terroriste vers le sud. Tous se retrouvent bientôt coincés à Baghouz. « Vous, en tant que coalition internationale, vous êtes venus pour libérer la région. Mais vous l'avez détruite à la place. Vous avez tout détruit, sous prétexte de la présence de l'État islamique. Entre 1 400 et 1 700 maisons ont été totalement rasées », affirme Mana Rajab Safr, cheikh de la ville. À lire aussiL'étau se resserre autour du groupe Etat Islamique dans l'est de la Syrie Depuis, les habitants qui ont survécu sont de retour, ils reconstruisent coûte que coûte leur maison. Comme cet homme qui vient de dépenser 10 000 dollars. « Je n'imaginais pas que je reviendrais à Baghouz. Mais pour être sincère, j'aurais préféré rester déplacé et ne pas voir ces scènes d'horreur à mon retour. Regardez, tous ces cheveux gris que ça m'a fait pousser ! », s'exclame-t-il. La plupart des habitants ont été déplacés dans le camp d'Al-Hol, plus au nord. Avec l'ensemble des familles de jihadistes de l'État islamique. Cette femme est institutrice. Elle s'occupe de l'éducation des enfants au retour du camp. « C'est très dur pour eux, précise-t-elle. Il y avait bien des écoles dans le camp d'Al Hol, notamment financées par l'Unicef. Mais nous, habitants de Baghouz, refusions que nos enfants aillent étudier à côté de ceux de l'État islamique. »  Alors que la menace des cellules dormantes de l'organisation terroriste demeure, les habitants craignent ici d'être à nouveau pris en étau dans des combats qui ne sont pas les leurs. Dans la région, les opérations de la coalition internationale sont fréquentes. La nuit, il n'est pas rare d'entendre le vrombissement de leurs hélicoptères. À lire aussiEn Syrie, sur les traces de l'État islamique

Escala en París
Jihad: ¿Por qué una generación de adolescentes franceses se radicalizó?

Escala en París

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 20:02


El 13 de noviembre del 2015, comandos del grupo yihadista Estado Islámico mataron a 130 personas en la sala de conciertos El Bataclan, en terrazas de restaurantes y bares. También lo hicieron cerca del Estadio de Francia, en la  ciudad Saint-Denis. Estos atentados, así como los que se perpetraron contra la redacción del satírico Charlie Hebdo el mismo año o el supermercado judío Hyper Casher, y otros ataques terroristas - que ya anunciaban la fatídica fecha, pusieron la lupa en el fenómeno de radicalización. ¿Por qué jóvenes criados en Francia en la escuela de la República asesinaron a sus compatriotas ?  "Esta experiencia clínica me marcó mucho. Sigue siendo para mí un paradigma. Lo que me impresionó mucho era el hecho que estos niños, estas niñas, estaban totalmente desesperados. Tenían problemas muy diferentes. Pero tenían en común el hecho de que no habían encontrado nada para darle un sentido a su existencia. Era como si solo esa violencia podía darle un sentido a sus vidas de niños", cuenta la psiquiatra Marie Rose Moro, que formó parte del Comité Científico de Prevención de la Radicalización impulsado por el gobierno francés. Moro y sus colegas recibieron a adolescentes de 13 a 18 años que llegaban hasta ellos por medio de la policía. La también profesora en la Universidad de París y jefa de servicio de la Casa de Solenn  de adolescentes del Hospital Cochin de París, destaca que muchas adolescentes se radicalizaban, no era solo una cuestión masculina. Recuerda particularmente el caso de una jovencita que estaba en el aeropuerto a punto de despegar. Se iba a Siria para unirse al grupo Estado islámico: "Ella quería realmente escaparse de la casa. Tuvimos que decirle que no la podíamos dejar marchar. La dejamos internada en el hospital. Y al día siguiente estaba ya totalmente deprimida. Se quería morir. Ya no quería vivir el día siguiente". De la radicalización a la depresión en 24 horas. Una cuestión identitaria Otro punto en común de todos esos adolescentes radicalizados es la cuestión identitaria. La gran mayoría eran hijos de migrantes que habían crecido en Francia en la escuela laica y gratuita de la República: "Había niños migrantes de todas partes no solo del mundo islámico. Venían de Sri Lanka, de la India. Pero también había niños de migrantes y también había niños autóctonos. Es decir, sus familias eran francesas y desde varias generaciones. Pero estos niños que se radicalizaron, muchos de ellos se convirtieron. Eran, por ejemplo, judíos y se convirtieron al Islam. Lo mismo con padres católicos que se convirtieron". "Es bastante sencillo, lo puedes hacer por teléfono. Esto era algo muy común a todos esos niños y esas niñas. Estaban buscando un sentido a la vida y también valores, que solo encontraban en esa ideología de violencia extrema", agrega. Lo que notaron los profesionales en los años más álgidos que siguieron al 13 de noviembre fue la diferencia en la radicalización de los adolescentes y las adolescentes. Si los chicos se enfocaban en "la guerra" y la Kalashnikov, las chicas intelectualizan más su radicalización con lecturas "filosofando más". También son más jóvenes, entre 13 y 15 años. De la vulnerabilidad al islám radical Lo que ha quedado en evidencia es que la radicalización prospera en los individuos vulnerables. En hogares donde hay ruptura. Pero no todos los chicos vulnerables van a ser terroristas. ¿Qué es lo que determina que esa vulnerabilidad se convierta en Islam radical? "Es verdad que eso muchos investigadores lo han intentado estudiar porque algunas veces nos da la impresión que es poca cosa lo que hace pasar de [esta desesperación a la violencia]. Pero lo que sí hemos notado es que cuando a estos chicos no les importa su historia, cuando ya no tienen vínculo con sus padres, sus amigos, con la gente del barrio, cuando ya no pueden compartir, entonces en ese momento pueden decidir que ya no tienen nada que perder", responde Marie Rose Moro. Es ese punto de quiebre que buscaron evitar a todo precio con los jóvenes que recibieron y que todavía no habían pasado al acto: "Nuestra función era curarlos y sacarlos de este mundo. Lo primero era encontrar puntos, no solo para discutir, pero para que ellos pudieran compartir algo con otras personas, adultos, pero también otros adolescentes para entablar conversaciones reales lejos de los teléfonos" por donde entra la propaganda islamista. Padres impotentes ante la radicalización En este proceso los padres son fundamentales. Padres que en un principio pudieron a veces sentirse aliviados porque un chico turbulento encontraba sosiego en esta ideología. Pero era solo temporal y pronto muchos padres se encontraron totalmente rebasados por la violencia de sus hijos.  "El papel de los padres es muy difícil. Es verdad que muchas veces no se pueden representar lo que están viviendo estos hijos. Y hay que también decir que como son adolescentes, algunos de estos chicos y de estas chicas se oponen a los padres. Me acuerdo de un chico cuyo padre y madre venían de Argelia. Intelectuales, ateos. Y este chico quería imponer a su madre que pusiera el velo, que rezara, se ponía contra los valores de sus padres. Un día le quiso cortar la mano a su madre porque estaba fumando".  Si bien una serie de instituciones y la urgencia post-atentados multiplicaron las iniciativas para acompañar a esos jóvenes y a sus padres, sumándose a todo el arsenal jurídico y de seguridad que se implementaron en la época, poco a poco se han ido diluyendo. Eso sí, Marie Rose Moro sigue recibiendo pacientes radicalizados: "Ahora, un 50% son chicas. Para mí está cambiando eso. Ya no es ese fenómeno colectivo que hubo en un momento es algo más de individuos".  Aunque los conocimientos sobre el fenómeno de radicalización se han ido afinando todavía quedan lecciones por aprender porque el fondo del problema subsiste: "Lo que nos falló es no entender que era un fenómeno global. Era el malestar muy fuerte de una generación de jóvenes. Una generación sin perspectivas. Lo que nos falló es no tener una mirada más benevolente sobre las dificultades de nuestros jóvenes." Sufrimiento individual en un contexto colectivo heredado de la violencia Estos atentados y los más de 50 que se contabilizan entre 2010 y 2020 pusieron a prueba el cosmopolitismo francés. En su libro 'Madres, padres, bebés, familias y diversidad cultural' la psiquiatra sostiene que el enfoque transcultural puede ser una herramienta para ayudar a los padres migrantes y a sus hijos: "Es esa idea que los aspectos colectivos, culturales, de identidad, son muy importantes en todos esos sufrimientos colectivos de nuestros jóvenes y que hay que tomar en cuenta. Hay que tomar también en cuenta la Historia, porque la historia de la colonización en Francia es muy violenta. Es una cuestión política que no está resuelta". Con los cambios geopolíticos en Siria y en Irak, el grupo Estado Islámico ha cambiado de estrategia y desplazado su centro de gravedad, aunque se documenta un aumento de su actividad en Siria. La rama Estado Islámico del Khorasan sigue reclutando y siendo la principal amenaza terrorista para Francia. Sin embargo, el peligro ahora proviene de individuos cada vez más jóvenes, como lo identifica la psiquiatra en su práctica, que se radicalizan por sí mismos en el territorio nacional a través de las redes sociales y al margen de las organizaciones islamistas tradicionales, según analizan especialistas.  #EscalaenParís también está en redes sociales. Un programa coordinado por Julia Courtois, realiado por Souheil Khedir y Vanessa Loiseau.

Escala en París
Jihad: ¿Por qué una generación de adolescentes franceses se radicalizó?

Escala en París

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 20:02


El 13 de noviembre del 2015, comandos del grupo yihadista Estado Islámico mataron a 130 personas en la sala de conciertos El Bataclan, en terrazas de restaurantes y bares. También lo hicieron cerca del Estadio de Francia, en la  ciudad Saint-Denis. Estos atentados, así como los que se perpetraron contra la redacción del satírico Charlie Hebdo el mismo año o el supermercado judío Hyper Casher, y otros ataques terroristas - que ya anunciaban la fatídica fecha, pusieron la lupa en el fenómeno de radicalización. ¿Por qué jóvenes criados en Francia en la escuela de la República asesinaron a sus compatriotas ?  "Esta experiencia clínica me marcó mucho. Sigue siendo para mí un paradigma. Lo que me impresionó mucho era el hecho que estos niños, estas niñas, estaban totalmente desesperados. Tenían problemas muy diferentes. Pero tenían en común el hecho de que no habían encontrado nada para darle un sentido a su existencia. Era como si solo esa violencia podía darle un sentido a sus vidas de niños", cuenta la psiquiatra Marie Rose Moro, que formó parte del Comité Científico de Prevención de la Radicalización impulsado por el gobierno francés. Moro y sus colegas recibieron a adolescentes de 13 a 18 años que llegaban hasta ellos por medio de la policía. La también profesora en la Universidad de París y jefa de servicio de la Casa de Solenn  de adolescentes del Hospital Cochin de París, destaca que muchas adolescentes se radicalizaban, no era solo una cuestión masculina. Recuerda particularmente el caso de una jovencita que estaba en el aeropuerto a punto de despegar. Se iba a Siria para unirse al grupo Estado islámico: "Ella quería realmente escaparse de la casa. Tuvimos que decirle que no la podíamos dejar marchar. La dejamos internada en el hospital. Y al día siguiente estaba ya totalmente deprimida. Se quería morir. Ya no quería vivir el día siguiente". De la radicalización a la depresión en 24 horas. Una cuestión identitaria Otro punto en común de todos esos adolescentes radicalizados es la cuestión identitaria. La gran mayoría eran hijos de migrantes que habían crecido en Francia en la escuela laica y gratuita de la República: "Había niños migrantes de todas partes no solo del mundo islámico. Venían de Sri Lanka, de la India. Pero también había niños de migrantes y también había niños autóctonos. Es decir, sus familias eran francesas y desde varias generaciones. Pero estos niños que se radicalizaron, muchos de ellos se convirtieron. Eran, por ejemplo, judíos y se convirtieron al Islam. Lo mismo con padres católicos que se convirtieron". "Es bastante sencillo, lo puedes hacer por teléfono. Esto era algo muy común a todos esos niños y esas niñas. Estaban buscando un sentido a la vida y también valores, que solo encontraban en esa ideología de violencia extrema", agrega. Lo que notaron los profesionales en los años más álgidos que siguieron al 13 de noviembre fue la diferencia en la radicalización de los adolescentes y las adolescentes. Si los chicos se enfocaban en "la guerra" y la Kalashnikov, las chicas intelectualizan más su radicalización con lecturas "filosofando más". También son más jóvenes, entre 13 y 15 años. De la vulnerabilidad al islám radical Lo que ha quedado en evidencia es que la radicalización prospera en los individuos vulnerables. En hogares donde hay ruptura. Pero no todos los chicos vulnerables van a ser terroristas. ¿Qué es lo que determina que esa vulnerabilidad se convierta en Islam radical? "Es verdad que eso muchos investigadores lo han intentado estudiar porque algunas veces nos da la impresión que es poca cosa lo que hace pasar de [esta desesperación a la violencia]. Pero lo que sí hemos notado es que cuando a estos chicos no les importa su historia, cuando ya no tienen vínculo con sus padres, sus amigos, con la gente del barrio, cuando ya no pueden compartir, entonces en ese momento pueden decidir que ya no tienen nada que perder", responde Marie Rose Moro. Es ese punto de quiebre que buscaron evitar a todo precio con los jóvenes que recibieron y que todavía no habían pasado al acto: "Nuestra función era curarlos y sacarlos de este mundo. Lo primero era encontrar puntos, no solo para discutir, pero para que ellos pudieran compartir algo con otras personas, adultos, pero también otros adolescentes para entablar conversaciones reales lejos de los teléfonos" por donde entra la propaganda islamista. Padres impotentes ante la radicalización En este proceso los padres son fundamentales. Padres que en un principio pudieron a veces sentirse aliviados porque un chico turbulento encontraba sosiego en esta ideología. Pero era solo temporal y pronto muchos padres se encontraron totalmente rebasados por la violencia de sus hijos.  "El papel de los padres es muy difícil. Es verdad que muchas veces no se pueden representar lo que están viviendo estos hijos. Y hay que también decir que como son adolescentes, algunos de estos chicos y de estas chicas se oponen a los padres. Me acuerdo de un chico cuyo padre y madre venían de Argelia. Intelectuales, ateos. Y este chico quería imponer a su madre que pusiera el velo, que rezara, se ponía contra los valores de sus padres. Un día le quiso cortar la mano a su madre porque estaba fumando".  Si bien una serie de instituciones y la urgencia post-atentados multiplicaron las iniciativas para acompañar a esos jóvenes y a sus padres, sumándose a todo el arsenal jurídico y de seguridad que se implementaron en la época, poco a poco se han ido diluyendo. Eso sí, Marie Rose Moro sigue recibiendo pacientes radicalizados: "Ahora, un 50% son chicas. Para mí está cambiando eso. Ya no es ese fenómeno colectivo que hubo en un momento es algo más de individuos".  Aunque los conocimientos sobre el fenómeno de radicalización se han ido afinando todavía quedan lecciones por aprender porque el fondo del problema subsiste: "Lo que nos falló es no entender que era un fenómeno global. Era el malestar muy fuerte de una generación de jóvenes. Una generación sin perspectivas. Lo que nos falló es no tener una mirada más benevolente sobre las dificultades de nuestros jóvenes." Sufrimiento individual en un contexto colectivo heredado de la violencia Estos atentados y los más de 50 que se contabilizan entre 2010 y 2020 pusieron a prueba el cosmopolitismo francés. En su libro 'Madres, padres, bebés, familias y diversidad cultural' la psiquiatra sostiene que el enfoque transcultural puede ser una herramienta para ayudar a los padres migrantes y a sus hijos: "Es esa idea que los aspectos colectivos, culturales, de identidad, son muy importantes en todos esos sufrimientos colectivos de nuestros jóvenes y que hay que tomar en cuenta. Hay que tomar también en cuenta la Historia, porque la historia de la colonización en Francia es muy violenta. Es una cuestión política que no está resuelta". Con los cambios geopolíticos en Siria y en Irak, el grupo Estado Islámico ha cambiado de estrategia y desplazado su centro de gravedad, aunque se documenta un aumento de su actividad en Siria. La rama Estado Islámico del Khorasan sigue reclutando y siendo la principal amenaza terrorista para Francia. Sin embargo, el peligro ahora proviene de individuos cada vez más jóvenes, como lo identifica la psiquiatra en su práctica, que se radicalizan por sí mismos en el territorio nacional a través de las redes sociales y al margen de las organizaciones islamistas tradicionales, según analizan especialistas.  #EscalaenParís también está en redes sociales. Un programa coordinado por Julia Courtois, realiado por Souheil Khedir y Vanessa Loiseau.

Believe You Me with Michael Bisping
656: UFC 322 Preview Ft. Herb Dean

Believe You Me with Michael Bisping

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 122:26


Michael Bisping and Paul Felder discuss everything UFC 322 from the main card opener of Beneil Dariush vs Benoît Saint Denis, massive fights with title implicatio in Leon Edwards vs Carlos Prates and Sean Brady vs Michael Morales, the double champion vs champion main and co-main events between JDM and Islam Makhachev plus Valentina Shevchenko and #Bisping #Felder #UFC322 Support Our Sponsors Vandy Crisps/MASA Chips - Ready to give MASA or Vandy a try? Get 25% off your first order by going to ⁠http://masachips.com/BELIEVE⁠ and using code BELIEVE. My Bookie - ⁠⁠⁠⁠https://www.mybookie.ag/⁠⁠⁠⁠ Use promo code BELIEVE on your first deposit of $50 or more, and receive up to $200 in cash instantly! Follow the show on social media: Twitter: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://twitter.com/BYMPod⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Subscribe on YouTube: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://bit.ly/3drq6ps⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Follow the hosts on social: Michael Bisping Twitter ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://twitter.com/bisping⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Michael Bisping Instagram ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.instagram.com/mikebisping/⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Michael Bisping YouTube ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.youtube.com/channel/UCDrG2_1TcVkXKXXsD6Kjwig⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Paul Felder Twitter: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://twitter.com/felderpaul⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Paul Felder Instagram: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.instagram.com/felderpaul/⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Paul Felder YouTube: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.youtube.com/@Ironlungfelder⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Follow the guest on social: Herb Dean Twitter: https://x.com/HerbDeanMMA Hear Dean Instagram: https://www.instagram.com/herbdeanmma Follow the team on social: Brian MacKay Instagram: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.instagram.com/bmackayisright⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Brian MacKay Twitter: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://twitter.com/bmackayisright⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Mike Harrington Twitter: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://twitter.com/TheMHarrington⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Mike Harrington Instagram ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.instagram.com/themharrington⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Mike Harrington YouTube: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.youtube.com/@themharrington Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices

MMA Lock of the Night
Maddalena vs Makhachev | UFC 322 Breakdown & Predictions | The MMA Lock-Cast #352

MMA Lock of the Night

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 67:22


Grand reportage
En Syrie, sur les traces de l'État islamique

Grand reportage

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 19:30


Dix ans après les attentats de Paris et Saint-Denis, les milliers de combattants étrangers partis rejoindre l'organisation État Islamique sont toujours présents sur le territoire syrien. La plupart sont retenus dans les camps et prisons du nord-est du pays. Leur sort est une question épineuse pour le gouvernement de transition, qui doit aussi composer avec la présence de cellules dormantes de l'organisation à travers le pays. Notre correspondante à Damas a parcouru la Syrie à la rencontre de ces jihadistes étrangers et des nostalgiques de l'organisation pour essayer de comprendre ce qui demeure du califat.   « En Syrie, sur les traces de l'État islamique », un Grand reportage de Manon Chapelain.

Reportage France
Attentats de Paris: les leçons tirées par la Croix-Rouge pour mieux organiser les secours

Reportage France

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 2:35


Près de 700 secouristes ont été déployés lors des attentats de Paris et du Stade de France, le 13 novembre 2015, et lors de la prise d'assaut des forces de l'ordre qui a suivi, le 18 novembre 2015, à Saint-Denis. Jamais encore la Croix-Rouge française n'était intervenue dans une telle configuration. Quelles leçons tirer de ces événements sur l'organisation des secours ? À La Croix-Rouge française, une vaste réflexion a été menée avec les principaux acteurs concernés, sur le plan « Aramis », le dispositif spécial attentat. Les objectifs sont de rendre plus efficaces encore les secours et renforcer la sécurité des intervenants sur le terrain. Rémi, un jeune bénévole, faisait partie des 700 secouristes déployés lors des attentats de novembre 2015. Il était à bord d'un véhicule de la Croix-Rouge et se souvient : « Avec une autre bénévole, on a sauté les deux pieds joints dans une flaque de sang. C'était la première fois, dans ma vie de membre de la Croix-Rouge. On voyait l'ampleur des événements avec une désorganisation... je ne vais pas dire ''totale'', mais j'ai vu des policiers égarés. » Mieux se coordonner avec les forces de l'ordre et les pompiers pour une meilleure intervention, voilà une première leçon de ces événements. Florent Vallée, responsable des opérations d'urgence, explique aussi qu'au lendemain du 13 novembre 2015, la Croix-Rouge a mis en place un outil informatique pour mieux géolocaliser les équipes : « C'est un outil qui fonctionne toujours aujourd'hui, qui a été déployé partout en France, qui nous permet de suivre nos interventions, suivre nos volontaires, suivre nos véhicules en intervention, mais aussi ce qu'ils font. Ça, ce sont de très grandes avancées qui nous permettent d'être plus efficaces et de mieux comprendre ce qui se passe. »  Anna était dans le quartier où une partie des attentats s'est déroulée. Elle raconte que les gens ne savaient pas où se réfugier : « On nous a d'abord évacués chez la propriétaire du bar qui était juste au-dessus. Finalement, vu que c'était un peu trop risqué – parce qu'on a vu une personne se faire abattre juste en dessous, au rez-de-chaussée –, on a préféré aller dans la cour. » Des mairies ont finalement été ouvertes pour servir d'abris. Là encore, la Croix-Rouge en a tiré des enseignements. Florent Vallée précise qu'il faut mieux identifier et sécuriser les abris : « Ça a été fait très vite, dans des mairies d'arrondissement, sans aucune protection. Il y avait danger, d'abord parce qu'il aurait pu y avoir potentiellement un terroriste au milieu. Il faut prévoir à l'avance quels pourraient être ces lieux. Typiquement, à Paris, il y a plusieurs lieux qui seraient sécurisés, et qui pourraient être prévus pour accueillir les impliqués. Ça, c'est l'amélioration qui a été faite par la suite, pour permettre la sécurité des uns et des autres. »  Autre grande avancée : la santé mentale des volontaires de la Croix-Rouge a été également prise en charge. Car eux aussi ont été très éprouvés. « Les images qui remontent, chaque fois que j'y pense, sont à peu près les mêmes. Comme parler avec des personnes qui sont peut-être habillées comme moi aujourd'hui, mais qui étaient rouges de sang, et qui me disaient ''on est rentrés à cinq dans le bar, je suis sorti tout seul'' », confie Rémi, le bénévole. Les 700 volontaires mobilisés ont été reçus, un par un, par des professionnels de la santé mentale. Pour Florent Vallée, c'est une priorité : « Il va y avoir systématiquement ce type de dispositif. Pour les JO de Paris, nous avions intégré cette problématique, et nous avions des médecins et des psychologues à disposition en permanence pour nos équipes. » Dix ans plus tard, la Croix-Rouge réfléchit toujours à comment améliorer la préparation et la sécurité des volontaires en situation de crise. À lire aussiFrance: dix ans après les attentats de Paris, comment a évolué le métier des forces de l'ordre?

Grand reportage
Royaume-Uni, le 7 juillet 2005: 20 ans plus tard, des blessures toujours à vif

Grand reportage

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 19:30


Il y a dix ans, le 13 novembre 2015, Paris et Saint-Denis étaient frappés par une série d'attentats coordonnés, revendiquée par l'État islamique. Bilan :130 morts. Mais ce n'est pas le premier attentat en France. Et ailleurs en Europe, le terrorisme frappe régulièrement depuis longtemps, en particulier au Royaume-Uni. Londres, la capitale, a subi des dizaines d'attentats à travers les siècles : conspiration des poudres en 1605, IRA irlandaise, vague d'attaques au couteau à partir de 2015. Mais la véritable déflagration pour la société britannique, dix ans avant le Bataclan et Saint-Denis, ce sont les attentats du 7 juillet 2005. Au cœur de Londres, quatre bombes explosent en même temps dans les transports. 52 innocents périssent ainsi dans les bus et métro de la capitale. « Royaume-Uni, le 7 juillet 2005 : 20 ans plus tard, des blessures toujours à vif », un grand reportage de Emeline Vin.

MANDALE
MANDALE - BSD va-t-il intégrer le top 10 ?

MANDALE

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 79:19


L'UFC 322 au Madison Square Garden pourrait faire basculer BSD parmi les stars de la catégorie la plus dense en MMA mondial ! S'il s'impose face à Beneil Dariush, un solide vétéran qui ne s'incline que face aux meilleurs, Benoît Saint Denis pourrait inscrire son nom parmi les Gaethje, Hooker, Gamrot et autres stars de la division. Dariush est également un combattant dont le style mêlant grappling aggressif et striking puissant peut ressembler au "God of War", une vraie clé dans ce combat ? Dariush est-il le meilleur match up possible pour BSaint Denis ? BSD va-t-il intégrer le top 10 ? Mandale répond à toutes ces questions.

Franceinfo junior
Les dix ans des attentats du 13 Novembre

Franceinfo junior

Play Episode Listen Later Nov 9, 2025 4:22


durée : 00:04:22 - franceinfo junior - Alors qu'une grande cérémonie doit se tenir jeudi 13 novembre en souvenir des attentats de Paris et Saint-Denis, des élèves de CM1-CM2 posent leurs questions à Wassim Nasr, journaliste à France 24, spécialiste des mouvements djihadistes, au micro de franceinfo junior. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les journaux de France Culture
Attentats du 13 novembre 2015 : une "course de la liberté" pour se souvenir et rendre hommage aux victimes

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Nov 9, 2025 14:47


durée : 00:14:47 - Journal de 12h30 - Plus de 1 500 personnes se sont élancées dimanche matin dans une "course de la liberté", dix ans après les attentats de novembre 2015 de Paris et Saint-Denis. Un évènement imaginé par les rescapés, avant une semaine de commémorations partout en France. - invités : Pauline Vilain-Carlotti Docteure en géographie

Le journal de 12h30
Attentats du 13 novembre 2015 : une "course de la liberté" pour se souvenir et rendre hommage aux victimes

Le journal de 12h30

Play Episode Listen Later Nov 9, 2025 14:47


durée : 00:14:47 - Journal de 12h30 - Plus de 1 500 personnes se sont élancées dimanche matin dans une "course de la liberté", dix ans après les attentats de novembre 2015 de Paris et Saint-Denis. Un évènement imaginé par les rescapés, avant une semaine de commémorations partout en France. - invités : Pauline Vilain-Carlotti Docteure en géographie

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13 Novembre : rescapé du Bataclan, Arthur Dénouveaux raconte sa reconstruction

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Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 21:41


Dix ans après les attentats du 13-novembre qui ont frappé Paris et Saint-Denis, les rescapés continuent de se reconstruire. Arthur Dénouveaux est l'un d'entre eux. Ce survivant du Bataclan qui a été président de l'association de victimes Life for Paris raconte dans cet épisode de Code Source son chemin vers la reconstruction.Au micro de Barbara Gouy, il revient sur cette soirée du 13 novembre 2015, mais aussi sur son rapport au statut de victime et à la mémoire des attentats. Son livre « Vivre après le Bataclan » vient de paraître aux éditions du Cerf.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clémentine Spiler et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : FR2, TF1, Euronews, Public Sénat. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les Experts
Les Experts : Shein, les pouvoirs publics impuissants ? - 05/11

Les Experts

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 25:28


Ce mercredi 5 novembre, l'arrivée de Shein au BHV qui affecte le commerce français, et la baisse historique de la production automobile européenne, ont été abordées par Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, Stéphane van Huffel, fondateur de SVH Conseil, et Gilles Raveaud, maitre de conférences à l'Institut d'Etudes Européennes de Paris-8 Saint-Denis, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Les Experts
Les Experts : Conférence sociale, le Medef claque la porte - 05/11

Les Experts

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 25:55


Ce mercredi 5 novembre, les enjeux de la conférence sociale, qui s'est ouverte hier, ont été abordés par Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, Stéphane van Huffel, fondateur de SVH Conseil, et Gilles Raveaud, maitre de conférences à l'Institut d'Etudes Européennes de Paris-8 Saint-Denis, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Les Experts
L'intégrale des Experts du mercredi 5 novembre

Les Experts

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 53:53


Ce mercredi 5 novembre, Raphaël Legendre a reçu Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, Stéphane van Huffel, fondateur de SVH Conseil, et Gilles Raveaud, maitre de conférences à l'Institut d'Etudes Européennes de Paris-8 Saint-Denis, dans l'émission Les Experts sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Pilestræde – Berlingskes nyhedspodcast
Saint-Denis, hvor den franske kultur viger for indvandrernes

Pilestræde – Berlingskes nyhedspodcast

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 25:18


"Man føler ikke, at man går rundt i Frankrig," sådan beskriver korrespondent Solveig Gram Jensen sit møde med den parisiske forstad Saint-Denis. Her har flertallet indvandrerbaggrund, og det har resulteret i et parallelsamfund præget af muslimsk kultur. Byen kæmper med kriminalitet og radikalisering, forstærket af høj arbejdsløshed, ressourcesvage borgere og en offentlig sektor i knæ. Gæst: Berlingskes internationale korrespondent, Solveig Gram Jensen. Vært: Anne Sofie Allarp. See omnystudio.com/listener for privacy information.

New Books Network
Gilles Deleuze, "On Painting" (U Minnesota Press, 2025)

New Books Network

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 99:48


Charles J. Stivale (Distinguished Professor Emeritus, Wayne State University) and Dan Smith (Professor of Philosophy, Purdue University) join me to discuss: Deleuze, Gilles. 2025. On Painting. Edited by David Lapoujade, translated by Charles J. Stivale. Minneapolis: University of Minnesota Press. Although Charles is the translator of this New Book, he has been working with Dan for years on The Deleuze Seminars (website here). Dan is also the translator of Deleuze's Francis Bacon: The Logic of Sensation, which Deleuze published shortly after giving this seminar. I thank Charles for bringing him in to contribute to our discussion! From the inside flap: “ ” Nathan Smith is a PhD candidate in Music Theory at Yale University nathan.smith@yale.edu Available for the first time in English: the complete and annotated transcripts of Deleuze's 1981 seminars on paintingFrom 1970 until 1987, Gilles Deleuze held a weekly seminar at the Experimental University of Vincennes and, starting in 1980, at Saint-Denis. In the spring of 1981, he began a series of eight seminars on painting and its intersections with philosophy. The recorded sessions, newly transcribed and translated into English, are now available in their entirety for the first time. Extensively annotated by philosopher David Lapoujade, On Painting illuminates Deleuze's thinking on artistic creation, significantly extending the lines of thought in his book Francis Bacon.Through paintings and writing by Rembrandt, Delacroix, Turner, Cézanne, Van Gogh, Klee, Pollock, and Bacon, Deleuze explores the creative process, from chaos to the pictorial fact. The introduction and use of color feature prominently as Deleuze elaborates on artistic and philosophical concepts such as the diagram, modulation, code, and the digital and the analogical. Through this scrutiny, he raises a series of profound and stimulating questions for his students: How does a painter ward off grayness and attain color? What is a line without contour? Why paint at all?Written and thought in a rhizomatic manner that is thoroughly Deleuzian—strange, powerful, and novel—On Painting traverses both the conception of art history and the possibility of color as a philosophical concept. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network

New Books in Critical Theory
Gilles Deleuze, "On Painting" (U Minnesota Press, 2025)

New Books in Critical Theory

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 99:48


Charles J. Stivale (Distinguished Professor Emeritus, Wayne State University) and Dan Smith (Professor of Philosophy, Purdue University) join me to discuss: Deleuze, Gilles. 2025. On Painting. Edited by David Lapoujade, translated by Charles J. Stivale. Minneapolis: University of Minnesota Press. Although Charles is the translator of this New Book, he has been working with Dan for years on The Deleuze Seminars (website here). Dan is also the translator of Deleuze's Francis Bacon: The Logic of Sensation, which Deleuze published shortly after giving this seminar. I thank Charles for bringing him in to contribute to our discussion! From the inside flap: “ ” Nathan Smith is a PhD candidate in Music Theory at Yale University nathan.smith@yale.edu Available for the first time in English: the complete and annotated transcripts of Deleuze's 1981 seminars on paintingFrom 1970 until 1987, Gilles Deleuze held a weekly seminar at the Experimental University of Vincennes and, starting in 1980, at Saint-Denis. In the spring of 1981, he began a series of eight seminars on painting and its intersections with philosophy. The recorded sessions, newly transcribed and translated into English, are now available in their entirety for the first time. Extensively annotated by philosopher David Lapoujade, On Painting illuminates Deleuze's thinking on artistic creation, significantly extending the lines of thought in his book Francis Bacon.Through paintings and writing by Rembrandt, Delacroix, Turner, Cézanne, Van Gogh, Klee, Pollock, and Bacon, Deleuze explores the creative process, from chaos to the pictorial fact. The introduction and use of color feature prominently as Deleuze elaborates on artistic and philosophical concepts such as the diagram, modulation, code, and the digital and the analogical. Through this scrutiny, he raises a series of profound and stimulating questions for his students: How does a painter ward off grayness and attain color? What is a line without contour? Why paint at all?Written and thought in a rhizomatic manner that is thoroughly Deleuzian—strange, powerful, and novel—On Painting traverses both the conception of art history and the possibility of color as a philosophical concept. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/critical-theory