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Pour débuter l'émission de ce mardi 2 décembre 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Yves Camdeborde, cuisinier, débattent du sujet du jour : "2027 : Marine Le Pen doit-elle laisser sa place à Bardella ?".
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ça sent la soupe chaude pour Campbell’s : un enregistrement secret qui a fuité en ligne laisse entendre un des cadres de l’entreprise qui lance que ce ne sont « que des pauvres » qui achètent leurs produits et qu’il contiendrait du poulet imprimé en 3D. Quel impact pour la marque de Campbell’s ? Entrevue avec Éric Blais, président de Headspace Marketing. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque matin, à 8h50, l'imitateur rejoindra Apolline de Malherbe. Au programme : un débrief impertinent et sur-mesure de l'actualité politique, juste après le face-à-face avec l'invité du jour. À l'approche des municipales et de la présidentielle et dans un contexte politique en pleine effervescence, Nicolas Canteloup apportera sa voix unique, son regard affûté, et surtout une dose d'humour bien placée pour réveiller les auditeurs.
Aujourd'hui, on s'intéresse à une question que beaucoup se posent encore.Laisser son smartphone branché toute la nuit abîme-t-il vraiment la batterie ?Il est devenu impossible de surcharger un smartphone modernePremièrement, les fabricants sont unanimes. Il est devenu impossible de surcharger un smartphone moderne.Les iPhones comme les smartphones sous Android coupent automatiquement l'alimentation quand la batterie de votre téléphones est rechargée à 100%.Mais cela ne veut pas dire que laisser brancher votre smartphone au secteur toute la nuit c'est idéal pour sa longévité.Maintenir branché une batterie lithium-ion à pleine charge crée une tension élevée, ce qui accélère l'usure chimique au fil du temps. Mais le vrai danger, c'est surtout la chaleur générée pendant la recharge, un facteur reconnu comme l'ennemi numéro un de la durée de vie des batteries.Des protections intelligentesLe second point c'est que Apple et Samsung ont à présent intégré à leurs appareils des protections intelligentes pour limiter ces effets.Côté Apple, l'iPhone utilise l'Optimized Battery Charging, qui bloque la charge autour de 80% jusqu'au moment où vous avez l'habitude de débrancher l'appareil. La marque rappelle également que ses batteries fonctionnent idéalement entre 0 et 35 degrés Celsius, et recommande de retirer certains étuis si l'appareil chauffe en charge.Chez Samsung, la fonction Battery Protect limite la charge à 85% pour réduire le stress lié aux longues sessions sur secteur.Et d'autres constructeurs comme Google, OnePlus ou Xiaomi proposent des systèmes comparables, souvent basés sur l'apprentissage de vos habitudes.Certains usages peuvent accélérer l'usureMais il n'en demeure pas moins que certains usages peuvent malgré tout accélérer l'usure.L'exemple le plus parlant est la charge en situation de forte chaleur, que ce soit en plein soleil, dans une voiture ou sous un oreiller.Et l'utilisation intensive pendant la recharge, comme les jeux, le streaming, le montage vidéo, augmente aussi la température interne.Enfin, les câbles et adaptateurs bas de gamme peuvent envoyer un courant instable, source supplémentaire de stress pour des batteries déjà sensibles car déjà vieillissantes.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La saga de la rédaction d'un plan de paix sur l'Ukraine se poursuit Seattle élit une mairesse très à gauche Trump se dit prêt à parler à Nicolas Maduro Quatre nouveaux suspects arrêtés dans l'affaire du Louvre Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:02:52 - Normandie Sports - Le président du Bayeux FC était l'invité de Allo Malherbe ce lundi soir. Dix jours après avoir sorti le SM Caen, le club de Régional 1 se déplacera à Yvetot pour le 8e tour de la Coupe de France ce samedi. Il devra se passer de ses deux attaquants, suspendus. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vanessa votre escapade urbaine du jour nous emmène à Stockholm. La suède est le premier pays disponible sur prescription médicale…Mieux que des médicaments. Je vous donne à chacun votre ordonnance. Celle que les médecins suédois remplissent pour choisir le traitement le plus adapté aux besoins des patients : autour de cette table je sais a qui on prescrirait le vélo en forêt et la fika- ce rituel quotidien cher aux suédois- on prend le temps d'une pause-café pour ralentir. Alors si ça vous amuse cette ordonnance vous pouvez la télécharger. Je mettrai le lien sur le site. Qui sait ça arrivera peut-être un jour en France. En tout cas ce qui est sûr : la nature a des bienfaits sur la santé mentale et physique. Reconnus par les scientifiques. : Une des raisons pour laquelle La suède est selon l'ONU l'un des pays les plus heureux du monde. La nature est partout et même à Stockholm On peut profiter de son Archipelago trail. 30 000 ilots, et plusieurs spots verts en ville. Mon préféré, qui est aussi celui d'un des professeurs en bonheur les plus connus au monde Micael Dahlén. C'est l'ile de Djugarden. Ambiance campagne avec des Musées – Du Musée en plein air de Skansen au Musée Abba au Vrak et avec de grandes balades nature et de belles rencontres avec la faune aussiUn bon mélange de nature et de culture ; culture qui elle aussi participe au bien être … Une idée à nous conseiller ?Immanquable en décembre : C'est la 5 -ème édition, c'est gratuit et ça se déroule en plus pendant la semaine de la Sainte Lucie, la fête de la lumière : La Nobel Weeks Lights : un festival d'art lumineux orignal. Les artistes et les designeurs s'inspirent des prix Nobels. Exemple « moments de paix » : vous êtes invités à vous asseoir sur des bancs lumineux et à écouter des extraits des discours des différents lauréats du prix Nobel de la paix, et en musiqueVous nous avez trouvé un chouette hébergement nature ?Flambant neuf dans un parc très Hygge : Le HagastrandLa prescription médicale : https://visitsweden.fr/la-suede-sur-prescription-medicale/ La Nobel Week Lights https://www.nobelprizemuseum.se/en/nobel-week-lights L'ile de Djurgården : https://www.visitstockholm.com/see-do/attractions/district-guide-djurgarden/ L'Hôtel spa Hagastrand https://www.hagastrand.se/en/ Gaston GérardUn grand plat de la cuisine bourguignonne et plus particulièrement de la ville de Dijon où il est né. Un plat né totalement par accident en août 1930.Sérendipité culinaire.L'épouse du maire de Dijon, Gaston Gérard s'affaire en cuisine. Il faut dire que le couple a convié à dîner l'une des plus fines fourchettes de l'époque, le prince des gastronomes : Curnonski. D'un geste maladroit, elle fait tomber son pot de paprika dans la cocotte où mijotait un poulet. Afin de dissimuler l'accident, elle ajoute du vin blanc et du Comté râpé puis sert le plat. Curnonski est conquis et baptise la recette du nom de son hôte.La recetteIngrédients pour 4 personnes- 1 belle volaille coupée en morceaux- 25 cl de vin blanc- 1 c à s de paprika- 150 gr de Comté râpé- 2 c à s de moutarde- 25 cl de crèmeFaire dorer les morceaux de poulet dans un cocotte / Ajouter le vin blanc et déglacer / Laisser mijoter 40 min / Ajouter la moutarde, le paprika, le Comté et la crème / Placer les morceaux de poulet et la sauce dans un plat à gratin et gratiner 10 min au fourHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mon enfant, prends le temps de te laisser aimer par Moi, de bien accueillir Mon Amour, comme tu laisses au bois le temps de s'enflammer avant de goûter à sa chaleur. De même, tu dois toujours te laisser enflammer de Mon Amour avant de pouvoir le donner aux autres. Parce que l'Amour nous aime, nous devenons l'amour!
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Lapin trouve sa vie de plus en plus inconfortable.La Chute de LapinvilleLapin, pervers narcissique en fin de droits, raconte son retour à Lapinville et sa décision de faire un podcast pour se venger de ses anciens camarades d'école. Il est bientôt rejoint par Chloé Bloomington, star de cinéma qu'une énorme shitstorm oblige à revenir dans sa ville natale pour jouer dans une fiction quotidienne à la con. Puis, on suit l'enquête de Spiruline, astucieuse stagiaire à la mairie, qui dévoilera des scandales insoupçonnés dans les plus hautes sphères de Lapinville… Tour à tour, les Lapinvillois témoignent pour essayer de comprendre comment, une chose en entraînant une autre, ils ont fini par provoquer la destruction de la Terre. Leurs destins entremêlés forment une pelote visible de l'espace dont cette série, cinq minutes par jour, va dérouler le fil. Fresque épique et palpitante, chronique de la catastrophe en cours et de ses ramifications les plus inattendues, La Chute de Lapinville a pu être décrite comme une variante des Simpson à la sauce rond-point ou un jumeau maléfique de Plus belle la vie. Création 2023 Scénario et dialogues Benjamin Abitan, Wladimir Anselme, Laura Fredducci Direction artistique Benjamin Abitan Conseillère littéraire Noémie Landreau Réalisation Jean-Yves Pouyat Assistante réalisation Anissa Zidna Musique originale Samuel Hirsch Comédiens Aurélien Gabrielli (Lapin) Samuel Roger (Sarkis) Régis Romele (Garde du domaine) Gabriel Dahmani (Max Laflèche) Juliette Smajda (Afroula) Augustin Shackelpopoulos (Florian Frelon) Sahar Pirouz (Sahar) Voix générique Meyrélie Milhavet Juliette Allauzen Production ARTE Radio ARTE Studio Virginie Lacoste Sahar Pirouz Jacques Falgous Illustration Roxane Lumeret
La vie de parent, c'est un enchainement de séparations. Première nuit chez papy et mamy, première fois à la crèche puis l'école...Des séparations normales et fondatrices. Il faut des rituels pour les uns, pour apprivoiser l'absence. Il faut des rituels pour les autres, apprendre à lâcher la main pour laisser grandir. Laurence Marchal est la directrice psychopédagogique de l'ONE, l'office de la naissance et de l'enfance. On lui a rendu visite pour discuter du rôle et de l'importances de ces séparations.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
"L'impunité, c'est terminé" : le gouvernement a décidé de poursuivre en justice le britannique Greybull, repreneur tenu pour responsable de la situation critique de l'aciérie Novasco menacée de liquidation. Les 700 salariés situés à Hagondange, en Moselle, doivent être fixés sur leur sort lundi 17 novembre. Écoutez l'interview de Sébastien Martin, ministre délégué en charge de l'Industrie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment ne pas laisser sa parentalité freiner sa carrière ?Que vous soyez RH, recruteur, manager, parents ou entrepreneur, je décrypte le sujet pour vous.Dans cette capsule RH de 5 minutes, je vous partage mes 3 apprentissages suite à mon échange passionnant avec Gaëlle Brouat, fondatrice de L'Escale.
La vie de parent, c'est un enchainement de séparations. Première nuit chez papy et mamy, première fois à la crèche puis l'école...Des séparations normales et fondatrices. Il faut des rituels pour les uns, pour apprivoiser l'absence. Il faut des rituels pour les autres, apprendre à lâcher la main pour laisser grandir. Laurence Marchal est la directrice psychopédagogique de l'ONE, l'office de la naissance et de l'enfance. On lui a rendu visite pour discuter du rôle et de l'importances de ces séparations.
Depuis la loi du 26 juillet 2019 pour une école de la confiance, tout jeune de 16 à 18 ans a l'obligation de se trouver dans une situation de formation, d'emploi ou d'accompagnement vers l'insertion. Cette mesure vise à prévenir le décrochage scolaire et à garantir que chaque adolescent puisse construire un projet professionnel, quel que soit son parcours antérieur.Concrètement, cette obligation ne se limite pas à une scolarisation classique. Elle englobe plusieurs possibilités : poursuivre des études dans un lycée ou un CFA, suivre une formation professionnelle, occuper un emploi ou un service civique, ou encore bénéficier d'un accompagnement personnalisé pour élaborer un projet d'avenir. L'objectif est clair : éviter que des jeunes sortent du système éducatif sans diplôme ni perspective.Le rôle clé des Missions localesLes Missions locales jouent un rôle central dans la mise en œuvre de cette obligation. Présentes sur tout le territoire, elles accueillent les jeunes sortis du système scolaire sans solution et les accompagnent vers une insertion sociale et professionnelle durable. Après un entretien personnalisé, un conseiller aide le jeune à définir un projet adapté à ses envies, ses compétences et ses besoins. Cela peut passer par une reprise de formation, un contrat d'apprentissage, un emploi aidé ou encore des actions de remobilisation.Les Missions locales travaillent en lien étroit avec les établissements scolaires, les CFA, Pôle emploi et les collectivités locales. Elles assurent ainsi un véritable filet de sécurité pour éviter que les jeunes de 16 à 18 ans ne se retrouvent isolés ou sans accompagnement.Un enjeu de sociétéL'obligation de formation n'est pas une sanction, mais un droit à l'accompagnement. Elle traduit la volonté de l'État d'assurer à chaque jeune la possibilité de construire son avenir, même après un parcours difficile. Les familles ont également un rôle à jouer : en restant attentives, elles peuvent orienter leur enfant vers une Mission locale ou un établissement d'accueil pour qu'il bénéficie de cet accompagnement gratuit et personnalisé.Merci Olivier Gaillet pour vos explicationsℹ️ SUIVEZ L'ACTUALITÉ DE L'ORIENTATIONInscrivez-vous à la newsletter Les Clés de l'orientation : https://azimut-orientation.com/abonnez-vous-a-la-newsletter/ (vous recevrez en cadeau un guide téléchargeable)
Après un long silence, je reviens ici avec une voix plus proche de moi.Dans cet épisode de relance, je te partage ce que j'ai traversé ces derniers mois : un épuisement émotionnel profond, une perte de sens, et une lente remontée vers ce qui me ressemble vraiment.Je te parle de ce que mon âme m'a murmuré, de la honte et de la culpabilité que j'ai accueillies, et de la décision que j'ai prise : celle de ralentir, de laisser partir ce qui n'était plus juste, et de laisser émerger ce qui voulait éclore
durée : 00:05:58 - L'invité de la rédaction de "ici Lorraine" - Emma Schmitt avait 14 ans lors des attentats du 13 novembre 2015. Ce soir-là, elle était au Stade de France avec son père. "Des événements qui ont laissé des traces" et qu'elles ressent aujourd'hui encore. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le pardon est à la base du christianisme. Cependant, ce pardon est difficile à accorder. Est-ce qu'il y a des choses impardonnables? Dans cet épisode, Joan et Stéphane explorent la différence entre la saine vigilance et la possibilité de changement, et abordent les limites que nous nous imposons. Site Internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250 Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj Réforme: https://www.reforme.net/podcast/ Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada Moncredo.org * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission. * Photo de Edwin Andrade, unsplash.com. Utilisée avec permission. Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui explore la foi et la spiritualité, une question à la fois. Cette semaine, est-ce qu'il y a une limite au pardon? Bonne question et bonjour Stéphane! Bonjour Joan, bonjour aux gens qui nous s'écoutent! Le pardon et Sodome et Gomorrhe [Joan] Cette notion du pardon... Elle traverse un peu toute la Bible, elle culmine avec Jésus qui est un grand maître. J'aime beaucoup une histoire biblique à ce sujet concernant la ville de Sodome et Gomorrhe. C'est vrai que l'on connaît un peu Sodome et Gomorrhe via des exégèses souvent biaisées qui disent que ce sont des villes où on pratiquait l'homosexualité. Alors tout de suite, je fais mon standing point. On y pratique beaucoup de choses, mais surtout pas le consentement ni l'hospitalité. C'est vraiment ça le cœur du propos, finalement, et aussi le cœur de la condamnation de Dieu qui se dit « je vais exterminer cette ville ». Et puis Abraham négocie. C'est rigolo parce que là, on est dans une histoire biblique, on dirait presque un midrash, une histoire un peu parallèle qui explique la Bible; mais non, c'est une histoire biblique. Et Abraham négocie avec Dieu. C'est à lire, comme passage c'est un peu croustillant. À mettre en scène avec des jeunes, c'est assez rigolo. Finalement, Dieu demande qu'il y ait au moins 50 justes, 50 personnes qui suivent les voies du Seigneur, qui probablement pratiquent l'hospitalité et font gaffe aux questions de consentement, ou en tout cas à ce qui existait à l'époque en matière de consentement. On ne sait pas trop ce que c'est, ce n'est pas tout à fait comparable à aujourd'hui, mais c'est un respect des règles, tout simplement, quelque chose qui n'est pas tout le temps de l'ordre de la domination et du pouvoir. Finalement, ils arrivent ensemble à un chiffre qui est 10. C'est un chiffre symbolique parce que dans la tradition juive, il faut 10 hommes pour minian, pour faire la prière, donc pour faire éclore un petit peu quelque chose du royaume de Dieu dans notre quotidien. C'est vrai que c'est un peu aussi ma compréhension du pardon, c'est-à-dire oui, je suis prêt à pardonner à cette ville, dit Dieu, mais à condition qu'il y ait un semblant de justesse et de justice et qu'il y ait des personnes pour l'incarner. Et moi, c'est un petit peu comme ça que j'aborde les questions de pardon. Souvent on pose des questions. Il y a quelques jours, et c'est un petit peu à elle que je pense, j'ai une amie d'enfance qui sort d'une situation dans laquelle elle ne s'est pas sentie respectée, une situation sentimentale, amoureuse; elle me dit, qu'est-ce que tu penses du pardon dans ces cas-là, quand tu te n'es pas sentie respectée dans une relation? Alors voilà, on a commencé une discussion et je lui dédie aussi un petit peu cet épisode de podcast. Je me dis souvent que ce qui n'est pas tellement important, c'est que moi j'ai pardonné, bien que si ça fait du bien à l'autre, je veux bien me mettre en chemin. L'important, c'est qu'après cette demande de pardon et le fait de poser les choses à plat, il y ait une vraie possibilité d'agir avec justesse. Pour moi, demander pardon à quelqu'un et puis ensuite recommencer cinq minutes après à faire n'importe quoi, il n'y a pas de sens à ce type de pardon. La sincérité des hommes politiques [Stéphane] C'est très intéressant, cette notion de pardon, parce qu'on a un peu l'impression qu'il faut absolument pardonner, peut-être par les enseignements qu'on a reçus, peut-être par notre jeunesse. Moi j'ai souvent vécu ça. Plusieurs personnes à l'écoute ont vécu ça ou ont vu ça. Deux enfants se chamaillent, puis là, l'adulte intervient. Bon, vous allez arrêter tout ça et serrez-vous la main, puis c'est terminé. Un peu comme c'est tout. Voilà, vous vous êtes serré la main, c'est pardonné, on oublie, on passe à autre chose. Il y a comme quelque chose qu'on croit magique. Ça me fait penser aussi à l'homme politique qui se fait prendre la main dans le sac, peu importe la situation. Il arrive sur la place publique, je m'excuse, bla bla bla, je suis désolé. Et on se pose la question, mais est-ce que c'est sincère? Je pense qu'il y a une question de crédibilité reliée au pardon. Lorsque les personnes présentent leurs excuses, bon, c'est bien, je veux bien. Mais est-ce que, parce que tu t'es fait coincer, tu te sens mal et tu veux que je te pardonne, ou vraiment il y a une réflexion de dire « ce n'est peut-être pas la meilleure chose que j'ai faite et c'est vrai que je veux changer. » Laisser une porte ouverte en cas de conflit [Joan] Il me semble que, sauf cas de personne manipulatrice, on le sent, on l'entend, on le sait lorsqu'il y a une vraie réflexion. Moi j'ai une politique personnelle sur le pardon avec mes amis. Je me dis, la vie est compliquée, mais elle est aussi longue. Et c'est vrai, on en a parlé dans l'épisode précédent, des fois on finit par se retrouver pour des raisons XY, de déménagement, de situation de vie. Alors souvent j'essaye, quand on a un désaccord, (j'ai 45 ans, il y a eu des gens avec qui j'ai eu des désaccords, des gens proches), j'essaye de refuser qu'on se quitte avec des griefs. Je me dis, parlons-en, disons-nous les choses. Il n'y a pas si longtemps que ça, j'ai quelqu'un que j'aimais beaucoup dans ma vie, qui avait une grande place. Et voilà, on arrive à un point où notre relation n'était plus la même. Il ne s'agit pas de mon mari. Je me suis dit : il faut boucler cette boucle et le dire franchement. Et se dire aussi, peut-être qu'un jour, on arrivera à dépasser certaines choses et à vivre encore d'autres choses. Disons que, sauf cas extrême, la porte reste toujours ouverte. C'est un petit peu comme ça que je gère mon rapport au pardon. Mais après, il y a la question du cas extrême. Et donc, on arrive à cette question de la limite. La nomination controversée de l'archevêché de Toulouse [Stéphane] C'est très pertinent parce que, est-ce qu'il y a des choses qu'on ne peut pas pardonner? Ce que moi, je considère qu'on ne peut pas pardonner, ce n'est pas la même ligne normalement que la tienne, Joan, ni qu'une personne qui est à notre écoute. Qu'est-ce qu'on fait dans ces cas-là? Oui, il y a des systèmes de loi lorsqu'il y a des crimes. Bon, c'est bien. Lorsqu'on parle de choses peut-être un peu plus émotives, lorsqu'on sent une trahison. Un exemple, et c'est un peu cette histoire-là qui m'a inspiré, moi, pour qu'on traite ce sujet, c'est le cas de l'archevêché de Toulouse. Certaines des personnes à l'écoute connaissent les faits, mais juste au cas où. L'archevêque Mgr Guy de Kerimel a nommé une personne, je ne dirai pas son nom, mais c'est public si vous voulez aller le chercher, dans une position quand même assez importante au niveau de l'archevêché. Le truc, c'est que cette personne-là, il y a environ 30 ans, a été reconnue coupable d'agressions sexuelles sur mineurs – ce ne sont pas juste des accusations comme ça –. Ça a créé une réaction épidermique. On le comprend après toutes ces années de scandales et surtout de mensonges et de dissimulation pendant des décennies, voire des siècles. Ce n'est pas surprenant. La question est : une fois que la personne a payé entre guillemets sa dette à la société, est-ce qu'elle peut être réintégrée ou non? C'est très difficile et je ne prends pas parti pour l'un ou pour l'autre, je constate juste de l'extérieur que c'est très difficile de tirer une ligne. Peut-on pardonner à un pédo-criminel [Joan] Écoute, je salue ta neutralité canadienne qui rejoint d'ailleurs la neutralité suisse. Moi, sur les questions de pédocriminalité, je refuse l'angélisme. En fait, je me suis beaucoup renseignée. D'abord, je viens d'une famille de travailleurs et travailleuses sociaux, donc ce sont des sujets avec lesquels j'ai grandi. J'ai aussi vu malheureusement des petites victimes qui ont été hébergées par mes parents. Sans entrer dans les détails, je me figure tout à fait les ravages que ça fait sur les enfants et les jeunes, les actes de pédocriminalité. Pour moi, un pédocriminel récidiviste, je ne parle pas nécessairement d'un gamin de 16 ans qui découvre sa sexualité et qui fait des choses criminelles avec quelqu'un de plus jeune de sa famille. Après, on lui explique les choses, il est suivi, il comprend la portée de son acte, peut-être qu'il a reproduit quelque chose qu'il a subi. Des fois, il peut y avoir des situations où, pédagogiquement, on peut reprendre les choses, on peut les encadrer, on peut les surveiller. Je parle vraiment de quelqu'un d'adulte et de criminel récidiviste qui est prédateur, donc qui fait des plans. Je connais cette situation de très près, puisque ma deuxième fille a malheureusement été suivie par un prédateur comme ça, donc c'est tout un état d'esprit. J'estime que quelqu'un comme ça, qui a développé maintenant ce type d'approche de prédation, de criminalité et de sexualité, n'a pas été pardonné de ses péchés, dans le sens où il a une pathologie. C'est pathologique là maintenant, c'est quelque chose dont il ne pourra plus se séparer, dans l'état des soins actuels. Donc, comme il va toujours finir par faire du mal à une personne plus faible ou sans défense, parce que c'est maintenant son mode opératoire pour avoir du plaisir sexuel, appelons un chat un chat, ce n'est pas de pardon dont il a besoin en premier, mais justement, comme j'ai dit, de soins, et dans le cas, majoritaire pour l'instant, où les soins ne fonctionnent pas, d'un lieu de vie sécure pour lui et les autres. Il y a vraiment du cas par cas à faire sur les questions de pardon. Pour moi, ça ne se joue pas vraiment du côté du pardon, mais du côté de la sortie du déni. Les quelques rares cas de personnes qui ont ces paraphilies pédocriminelles, les quelques rares cas où ils arrivent à mettre en place un système qui les empêche d'aller vers cette criminalité-là, ce sont des personnes qui sont sorties du déni. Parce que sinon, dans la très grande majorité des cas, ce sont des personnes qui vivent dans le déni. J'avais vu comme ça toute une interview d'un prêtre qui avait fait des choses répréhensibles envers des mineurs et qui disait : je n'ai compris que plus tard que les enfants ressentaient des émotions. Donc là, on est dans un déni complet quand même. Une fois sortis du déni - ça c'est un travail thérapeutique - moi je ne suis pas capable de mener des gens comme ça dans le travail thérapeutique. Je peux aider, je peux être une des personnes qui accompagnent, mais je ne peux pas être celle qui mettra en place le protocole de soins. Je pourrais pardonner au prédateur d'avoir été agressivement dans le déni, ça, je pourrais le lui pardonner. Mais je ne pourrais jamais lui pardonner ces actes-là, c'est impossible. Je n'y arrive tout simplement pas et je le reconnais, je le dépose à la croix d'ailleurs. Je ne peux pas parce que j'ai vu trop d'enfants qui sont complètement détruits et qui trouveront, certains d'entre eux, par l'amour et le temps, la force de se construire. Mais pour les autres, on sait très bien comment ça se termine. Je trouve souvent que c'est angélique et que c'est de la pensée magique que de me dire, et ça m'est arrivé beaucoup dans ma vie, oui, mais tu es pasteur, tu dois leur pardonner. Alors ça, les amis, non, ce n'est pas comme ça que ça se construit. Et ce n'est même pas bon, en fait, pour leur psyché. Je dirais même que l'amour que je leur porte implique que je ne leur pardonne pas comme ça, tout simplement. Cela implique que je leur pose un cadre, que j'ai des exigences et que je les renvoie justement à leur responsabilité. Es-tu un criminel pour le reste de sa vie? [Stéphane] Je suis d'accord avec toi pour les questions où les personnes vont agresser d'autres personnes et que c'est difficile de réformer cette personne-là. Ce qui m'a fait réfléchir récemment, c'est un TED Talk, les conférences TED, et c'était un Américain dans l'industrie du divertissement qui a commis un hold-up à l'âge de 16 ans. Il a purgé sa peine pendant neuf ans et demi en prison. C'est un peu ça le deal, du moins en Amérique du Nord. Une fois qu'on a payé sa dette à la société, on devrait avoir le droit de recommencer, tant aussi longtemps qu'on ne recommence pas à faire des crimes. Ce que cette personne mentionne, c'est qu'il y a une série de lois, une série de restrictions qui vont limiter ses ajustements pour le reste de sa vie, même s'il ne commet aucun autre crime. Et là, à certains moments, je me demande où doit-on tracer la ligne? Parce que tu as commis un crime, on va prendre pour acquis que tu es toujours un criminel… ou parce que tu as blessé un ami, je vais vouloir avoir ma revanche sur toi, je veux que tu souffres. Où tire-t-on la ligne entre une saine vigilance (oui, aucun problème avec ça). Un pédo criminel, je pense que c'est une question de vigilance que de demander qu'il ou elle ne se retrouve pas avec des personnes vulnérables, avec des mineurs. Aucun problème avec ça. Mais est-ce qu'une personne qui fait un hold-up, un vol, un délit de fuite, doit payer pour toute sa vie? Je ne sais pas. Ça me questionne beaucoup. Et qui décide où est cette ligne, au-delà des aspects légaux? La conversion des cœurs [Joan] Pour moi, ça m'amène finalement à deux problématiques. Un, celle de la métanoïa, de la conversion des cœurs, et la deuxième, celle de la dissimulation. Je vais commencer par la dissimulation parce qu'en fait, les systèmes trop répressifs ne donnent pas une vraie seconde chance aux gens qui n'ont pas une pathologie vraiment comportementale, mais qui font des erreurs, notamment de jeunesse, tous ces systèmes encouragent à la dissimulation. Ce n'est pas tant qu'on ne fait plus de hold-up ou de magouille, mais c'est qu'on apprend, et souvent d'ailleurs on apprend ça en prison, à dissimuler les choses ou à mieux les faire ou à mandater d'autres pour les faire. C'est un petit peu l'autre écueil de ne pas être une société capable de donner de secondes chances, notamment pour des erreurs de jeunesse, on encourage d'autres vices, donc la dissimulation. La deuxième chose à laquelle je pense, c'est qu'en tant que chrétienne, c'est vrai que je crois très fort à la conversion des cœurs, et ça j'y crois, mais alors complètement. C'est pour ça que parfois les gens sont choqués, ils me disent « ah, mais comment, tu veux enfermer des pédocriminels? » et je leur dis « ben en fait, je pense que ces pédocriminels peuvent convertir leur cœur, mais qu'ils ont besoin de beaucoup, beaucoup de soutien pour ne pas céder à leur paraphilie criminelle ». Ce n'est pas parce que tu as converti ton cœur qu'après tu arriveras à aligner toutes tes actions. Ce n'est pas du tout fou, ce n'est pas simple, sinon il n'y aurait pas eu Judas. Et Judas, c'est nous. C'est toujours pareil. On revient à l'épisode d'avant sur nos ennemis. On aimerait pouvoir dire c'est l'autre le problème et puis non, si on est honnête, ça fait partie à la fois du problème et à la fois de la solution. Du coup, moi j'aimerais tellement qu'on ait des sociétés plus axées sur la deuxième chance, sur le rebond, sur refaire sa vie, sur soutenir les gens. J'aime beaucoup, et c'est vrai que je suis très de gauche, mais j'aime beaucoup toutes ces initiatives sur le désendettement personnel. En droit local, en Alsace, il y a cette possibilité d'être désendetté personnellement. Il y a aussi des mesures comme ça en Suisse, et je trouve que ça, ce sont des mesures vertueuses. Parce que du coup, comme tu disais avant, on permet à la personne de repartir et puis d'être de nouveau un bienfait pour la société. Ça poserait même encore une autre question. Ce n'est pas quelles sont les limites du pardon, mais quelles sont les chances du pardon, ou bien quelque chose comme ça. Qu'est-ce que le pardon permet de vertueux? Est-ce qu'on est prêt aussi à vraiment pardonner? Être prêt à vraiment pardonner [Stéphane] C'est facile de pardonner les petites choses. « Bon, tu m'as pris cinq dollars, tu me n'as jamais remboursé. » Bof! Mais lorsque, comment dire, ça fait mal, lorsque ça vient nous toucher dans nos valeurs, ça peut être matériel, ça peut être plein de choses. C'est là que ça devient difficile et c'est là que c'est demandant de pardonner. Je pense à la fin de l'évangile selon Jean, chapitre 21. La célèbre scène où Jésus demande à Pierre, « Pierre, est-ce que tu m'aimes? » Pierre était très proche de Jésus. On peut l'interpréter comme on veut, mais il était vraiment dans le cercle intime. On a l'impression que c'était vraiment copain-copain. Il l'a trahi, il l'a trahi et abandonné au moment où il allait être mis à mort. Il l'a renié : je ne le connais pas, bla bla bla. Et dans cette épilogue, probablement ajouté plus tard à l'évangile, on a Jésus qui trois fois lui demande « Est-ce que tu m'aimes, Pierre? » Je sais que c'est Jésus, et je ne suis pas Jésus. Mais moi, si quelqu'un m'avait trahi comme ça, ça me demanderait beaucoup pour dire « ok, je te pardonne, puis on repart sur de nouvelles bases ». C'est très difficile le pardon, et je pense que c'est ça qui vient nous chercher, cette demande d'énergie, cette demande presque d'humilité, je dirais, dans le sens où je ne suis pas en contrôle de l'autre personne. Je ne peux pas dicter ce que cette personne peut dire, ce que cette personne peut faire. Pour faire écho à l'épisode précédent, je peux l'aimer, je peux essayer de rétablir des bases, mais je n'ai pas de contrôle là-dessus. Donc le pardon, souvent j'exprime ça, c'est comme de laisser aller toute cette colère, toute cette toxicité qui est à l'intérieur de nous, qui nous gruge nous-mêmes. Parce que lorsqu'on est fâché contre l'autre personne, parfois l'autre personne ne le sait même pas. Et la seule personne dont la vie est empoisonnée, c'est nous-mêmes. Et de dire « je laisse aller ça », ça ne veut pas dire « j'oublie ». J'adore les anglophones quand ils font la différence entre « to forgive » et « to forget ». Pardonner et oublier, les mots en prononciation en anglais sont proches, mais c'est quand même deux concepts différents. Je ne veux pas dire j'oublie nécessairement ce que tu as fait, mais je laisse aller. J'arrête de m'empoisonner la vie avec ça et j'avance, j'ouvre la porte. Si tu veux rentrer, merveilleux. Si tu ne veux jamais rentrer, ben tant pis, moi j'ai ouvert la porte. Se pardonner soi-même [Joan] J'ai une pensée qui rejoint vachement ce que tu es en train de développer là. En fait, ce que je trouve le plus difficile, c'est de se pardonner à soi-même. Je me suis levée, j'étais bien, j'étais de bonne humeur. J'étais un peu à la bourre pour une vidéo, mais j'étais de bonne humeur. Et la vidéo, elle ne s'est pas bien passée parce que je ne m'étais pas branchée sur le bon Wi-Fi. Alors, j'ai cassé les pieds à tout le monde parce qu'on ne m'entendait pas toujours, on ne me voyait pas toujours. Je m'agaçais vachement, et je m'en suis vachement voulu, en fait, de ne pas juste avoir vérifié mes paramètres de Wi-Fi entre le Wi-Fi du haut et le Wi-Fi du bas. Je n'étais peut-être pas bien réveillée, j'étais peut-être un petit peu trop détendue, je n'en sais rien. Je me suis débattue toute la matinée avec un sentiment de culpabilité, à me dire : ah, mais tu es bête. En plus, c'étaient des collègues plus jeunes que moi. Tu t'es un peu ridiculisée avec tes histoires de Wi-Fi du haut, Wi-Fi du bas. Franchement j'ai eu beaucoup de mal à me pardonner une petite histoire d'une petite vidéo, d'une petite Wi-Fi. Je me dis, c'est qu'on ne nous enseigne pas beaucoup la bienveillance envers soi-même, comme si justement ce n'était pas trop possible de se pardonner. Comme on n'a pas vraiment ça dans l'éducation, on a quelque chose à travailler là-dessus. Ça m'amène à des réflexions un peu plus graves, un peu plus tristes, avec un traumavertissement pour celles et ceux qui pourraient être concernés. Je me demande souvent comment font les personnes qui ont fait du mal sans intention de le faire, pour se pardonner. Je pense à un collègue qui malheureusement avait roulé sur son fils; le fils n'est pas décédé, mais bon, enfin, il a eu un peu mal, quoi, disons. Comment est-ce qu'on fait? Moi, j'ai eu trop de mal. Là, ça va mieux, ça va mieux. Puis demain, ça ira très bien. Mais je me suis quand même sentie... enfin, pas obligée, mais ça m'a fait du bien d'envoyer un message pour expliquer la situation sur mon problème de Wi-Fi du matin. Après, je me sentais un petit peu mieux, tu vois. Je me demande, mais comment font celles et ceux qui, dans leur quotidien, font un geste, oublient quelque chose et que ça a une portée catastrophique. Est-ce qu'on arrive à enseigner cette culture de s'auto-pardonner quand il n'y avait pas d'intention de faire du mal? Le pardon à la base de l'identité chrétienne [Stéphane] Dans le Notre-Père, on dit « Pardonnes-nous nos péchés comme nous pardonnons à ceux et celles qui nous ont offensés ». Moi, j'y vois une invitation à pardonner, parce que si on veut que Dieu nous pardonne comme on pardonne aux autres, si je veux que Dieu me pardonne, alors j'ai intérêt à le faire moi aussi, puis de commencer avec moi-même. Avoir cette assurance-là, que Dieu pardonne si on est prêt à confesser humblement, honnêtement, notre péché, nos péchés, Dieu pardonne. J'étais dans une paroisse où on me disait : non, non, non! La reconnaissance du péché, tout ça, c'est de la vieille Église, c'est de la manipulation. Les gens se sentent mal, les pauvres personnes âgées ont bien assez de problèmes, on ne va pas leur en rajouter. Moi, je disais : oui, ce n'est pas plaisant de reconnaître nos erreurs, mais c'est l'assurance du pardon qui vient après, qui est tellement puissante : avoir un Dieu qui nous aime tellement, qui nous dit « ok, tu as fait une connerie, tu as fait une erreur, tu as dit telle chose, tu n'as pas pris la pleine mesure de ton action, de tes paroles, ok, on peut recommencer. Ce n'est pas la fin de tout. Il y a une possibilité de continuer d'avancer ensemble. » Je trouve ça merveilleux et inspirant, parce que, en même temps, je me dis : si Dieu est prêt à faire ça avec moi, peut-être que moi, ma petite personne avec toutes mes limites, je peux essayer de suivre un peu ce chemin-là, puis de regarder les autres, puis de dire, OK, ce n'est pas la fin de tout. Et puis on peut essayer de continuer ou recommencer ou reconstruire quelque chose. La parabole du fils prodigue [Joan] C'est avec la parabole du fils prodigue qu'on peut terminer. Ce fils qui réclame son héritage pour aller faire la fête à la ville et faire n'importe quoi, ou bien peut-être pas n'importe quoi, juste des trucs que les jeunes aiment faire, que moi aussi peut-être j'aimerais faire, mais ça me donne mal à la tête. Une fois qu'il a tout dilapidé, il s'est retrouvé plus bas que terre; en plus il y a une famine dans le pays, voyez-vous ça? Terrible. Il revient vers son père et son père fait une énorme fête. Et puis son frère qui est là, qui est resté, qui se pose 2-3 questions, et il a bien le droit de se poser 2-3 questions. C'est un peu comme ça le système de pardon, parfois on va pardonner à des gens, puis les gens autour de nous vont se poser 2-3 questions; parfois Dieu va nous pardonner et nous-mêmes on va se poser 2-3 questions sur pourquoi est-ce que Dieu me pardonne? Les deux vont ensemble, je trouve, c'est une dynamique un peu vertueuse de dire qu'il y a peut-être toujours une possibilité de pardon, mais c'est quand même aussi bon de continuer à se poser des questions. Conclusion Merci, Joan, pour cette conversation. Merci à toutes les personnes qui nous écoutent, qui nous offrent quelques minutes de leur semaine, de leur journée pour nous écouter. Merci à l'Église Unie du Canada, notre commanditaire qui nous permet d'être diffusées sur plein de plateformes. D'ailleurs, n'oubliez pas d'aimer, de partager, de mettre des commentaires, c'est toujours bon pour le référencement. Si vous avez des questions, si vous avez des suggestions pour nous, ne vous gênez pas. questiondecroire@gmail.com. Bonne semaine, Joan. Bonne semaine à vous. Au revoir.
La remise en liberté de Nicolas Sarkozy n'a pas manqué de faire réagir Philippe Caverivière ce mardi 11 novembre, en présence de l'ancien commissaire européen et ex-ministre de l'Économie, Thierry Breton.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La remise en liberté de Nicolas Sarkozy n'a pas manqué de faire réagir Philippe Caverivière ce mardi 11 novembre, en présence de l'ancien commissaire européen et ex-ministre de l'Économie, Thierry Breton.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Parentalité et carrière : faut-il vraiment choisir ?Devenir parent, c'est un séisme.Un chamboulement total de tes priorités, de tes envies… et souvent, de ta carrière.Mais faut-il vraiment sacrifier l'un pour sauver l'autre ?Et si, au contraire, la parentalité pouvait devenir un accélérateur de sens et de compétences ?Dans cet épisode passionnant, j'ai invité Gaëlle Brouat, fondatrice de L'Escale, un bilan de compétences 100 % digital pensé pour les parents (mais pas que), et créatrice du projet Ma Pause Parentale, qui redonne toute leur valeur aux compétences développées pendant le congé parental.
La remise en liberté de Nicolas Sarkozy n'a pas manqué de faire réagir Philippe Caverivière ce mardi 11 novembre, en présence de l'ancien commissaire européen et ex-ministre de l'Économie, Thierry Breton.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une hypnose douce, enveloppante et rassurante…pour accompagner vers un sommeil paisible et réparateur.
Dans un monde où plus personne ne s'écoute, elle bâtit des ponts.Étudiante en médecine, journaliste au Proche-Orient, et finalement rabbin, Delphine Horvilleur multiplie les vies.Dans sa famille, c'est devenu une blague : "Alors, qu'est-ce que tu vas devenir ensuite ?"Mais derrière ce parcours atypique, Delphine travaille depuis plus de vingt ans à réintroduire le dialogue là où il n'y a plus que du bruit.Elle parle d'un judaïsme ouvert, "libéral", de la nécessité d'écouter l'autre, et de cette liberté intérieure qu'on ne trouve qu'en acceptant de ne pas tout comprendre.Dans cet épisode passionnant, rassurant, nous avons parlé sans détour de :Être l'une des seules femmes rabbins en FrancePourquoi nous n'arrivons plus à nous parler, même dans nos propres famillesComment accompagner la mort au quotidienL'antisémitisme aujourd'huiDelphine ne cherche pas à convaincre, mais à comprendre.Un épisode essentiel pour quiconque cherche à comprendre notre époque et retrouver le goût du discernement sans s'enfermer dans une lecture binaire du monde.TIMELINE:00:00:00 : Laisser la place au doute00:09:48 : Quand la nuance devient un risque00:20:13 : La vérité est-elle encore possible ?00:32:43 : Le pouvoir caché des mots00:43:12 : Dire merde à la mort00:50:53 : Faire son deuil, une expression qui ne veut rien dire01:01:18 : La religion avait-elle prédit l'intelligence artificielle ?01:15:20 : Ce que l'IA ne saura jamais faire : oublier01:23:00 : Les mots ont toujours un double fond01:31:33 : Nous aurons tous plusieurs vies01:40:56 : Juifs & Israéliens : pourquoi l'amalgame est-il si fréquent ?01:49:51 : La haine la plus vieille du monde02:08:54 : Quels leaders la jeunesse écoute-elle ?02:18:08 : Comprendre ce qui se trouve entre les lignes02:27:12 : La forme la plus rare d'intelligence02:36:20 : Le courage commence par le discernementLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #497 - Grégoire Gambatto - Ctrl+G - Dissoudre ses peurs, faire les choix difficiles et vivre son plein potentiel#476 - Yannick Alléno - Chef, Groupe Alléno - Du bistrot à l'empire gastronomique aux 17 étoiles#450 - Karim Beguir - InstaDeep - L'IA Générale ? C'est pour 2025#261 - Caroline Vigneaux - Humoriste et réalisatrice - Changer de vie : passer de la plaidoirie au stand-up#181 - Olivier Goy - La vie, la maladie, le dépassement : memento moriNous avons parlé de :Sermon prononcé par Delphine Horvilleur le soir de Yom KippourLe TalmudL'assassinat d'Yitzhak Rabin en 1995Les accords d'OsloL'émouvant hommage de Luis Enrique à sa défunte filleAttentat devant une synagogue à ManchesterLes recommandations de lecture :Le TalmudVivre avec nos morts : Petit traité de consolation - Delphine HorvilleurBelle du Seigneur - Albert CohenÔ vous, frères humains - Albert CohenComment ça va pas ? - Delphine HorvilleurLa vie devant soi - Émile Ajar / Romain GaryUn grand MERCI à nos sponsors : SquareSpace : squarespace.com/doitQonto: https://qonto.com/r/2i7tk9 Brevo: brevo.com/doit eToro: https://bit.ly/3GTSh0k Payfit: payfit.com Club Med : clubmed.frCuure : https://cuure.com/product-onelyVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Daniel Riolo, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Québec Solidaire veut mettre le droit de vote à 16 ans. La rencontre Martineau-Dutrizac avec Richard Martineau et Benoit Dutrizac. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Mes chers camarade, bien le bonjour !Manger de l'éléphant en France, on peut le dire, c'est pas commun ! Et pourtant c'est arrivé à Paris au 19e siècle, pendant la Commune : un pot-au-feu d'éléphant ! Alors avec Fabian, on s'est dit que ça serait une bonne idée de se pencher sur cette recette pour ce neuvième épisode de Cuisine Historique ! Bonne écoute et bon appétit !➤ La série Cuisine Historique a pu être réalisée grâce au soutien du CNC Talent : https://www.cnc.fr/professionnels/aides-et-financements/creation-numerique/fonds-daide-aux-createurs-video-sur-internet-cnc-talent_190814➤ Pour en savoir encore plus sur l'histoire de l'alimentation, suivez les travaux de Fabian :➜ Sur Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100015340651981➜ Sur Instagram : https://www.instagram.com/fabian.mullers/➜ Via le collectif Cuisine Historique : https://www.facebook.com/CollectifCuisineHistorique➜ Et sur le site de La Muse : https://mondemedieval.fr/
Dans cet épisode très spécial, je vous invite dans un moment intime : la lecture d'un extrait de mon livre Avancer sans s'épuiser, tout juste sorti en librairie. Je vous lis un passage tiré de la première partie du livre, soit l'automne, celle de la chute, du désalignement, du trop-plein. J'y partage un des huit mensonges que je me racontais à l'époque : « Je ne peux pas les laisser tomber. » C'est une croyance limitante qui m'a longtemps fait croire que j'étais indispensable et que tout allait s'écrouler si je m'arrêtais… jusqu'au jour où j'ai dû m'arrêter, et que j'ai réalisé que tout continuait sans moi. À travers cet extrait, j'espère vous amener à réfléchir à vos propres attachements, à ces situations que vous maintenez par peur de décevoir ou de perdre votre valeur. Parce que lâcher prise, ce n'est pas abandonner. C'est choisir de se respecter, de se libérer, et parfois… de renaître. Je vous souhaite que cette lecture vous touche autant qu'elle m'a émue en l'écrivant. Et si vous avez envie de prolonger le moment, le livre Avancer sans s'épuiser est maintenant disponible partout au Québec et en format numérique à l'international. Début de la lecture de l'extrait à 9:25. >> Le résumé de cet épisode se trouve ici. LIENS ET RESSOURCES PARTAGÉS DANS CET ÉPISODE Livre : Avancer sans s'épuiser RESTONS EN CONTACT Infolettre éducative Instagram Facebook YouTube Pinterest TikTok
Laisser des cheveux dits texturés (bouclés, frisés ou crépus) au naturel est une manière de revendiquer ses origines avec fierté. Mais le chemin vers l'acceptation de soi est long, comme l'explique Mahine dans son salon Sica Curly Hair Studio à Lausanne. Quant à la crête colorée, le mouvement punk en a fait un signe d'anticonformisme. Reportages de Quentin Bohlen Réalisation: Jonathan Haslebacher Production: Raphaële Bouchet
durée : 00:02:40 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Guillaume Erner se penche sur l'amitié en politique, à quelques heures de l'incarcération de Nicolas Sarkozy à la prison de la Santé - réalisation : Félicie Faugère
Dans cet épisode d'Altitude, Karine explore la dimension intérieure du rebranding et du make-over. Elle démontre que le rebranding n'est pas une simple question d'esthétique, mais un acte de guérison et d'expansion identitaire. À travers son propre parcours de réinvention et les leçons tirées de ses multiples transformations, Karine nous invite à revisiter notre image, à honorer notre évolution et à oser être vues pleinement. Dans cet épisode, tu découvriras : Pourquoi le rebranding est un processus profondément guérisseur et transformateur. Comment reconnaître quand ton image ne reflète plus la femme que tu es devenue. L'importance de se donner la permission d'évoluer et de se redéfinir. Comment ton identité, ton alignement et ton image travaillent ensemble pour attirer les bonnes opportunités. Pourquoi la créativité et le leadership s'éteignent quand ton image n'est plus alignée à ton expansion. Et comment un rebranding conscient devient un acte de vérité et de puissance intérieure. AU PROGRAME 00:00 - Introduction au rebranding 02:50 - Laisser aller pour évoluer 05:44 - Le chemin de la transformation 08:35 - Les défis du rebranding 11:49 - Évolution et acceptation de soi 14:37 - L'alignement et la fréquence 18:47 - Authenticité et leadership 22:41 - Le rebranding comme acte de vérité 28:37 - Appel à l'Action et Invitation à MAKE-OVER Treads: « Il y a quelque chose de profondément guérisseur dans un rebranding » P.S. Si tu sens que ton image ne reflète plus la femme que tu es devenue, le programme MAKE-OVER t'aidera à réaligner ton identité, ton message et ton image à ta prochaine expansion. C'est un processus stratégique, créatif et profondément transformationnel.
durée : 00:59:54 - Banzzaï du jeudi 16 octobre 2025 - rediffusion - Se laisser attraper ! - par : Nathalie Piolé -
Avez-vous déjà ressenti un pincement persistant dans le ventre, sans raison apparente? Cet inconfort semble vouloir exprimer quelque chose, mais la signification demeure floue. Selon l'approche du Focusing, développée par Eugene T. Gendlin, psychologue humaniste, il s'agit d'un Felt Sense — que l'on peut traduire par ressenti corporel. Ce ressenti corporel est beaucoup plus subtil qu'une émotion. Il se situe à la frontière du conscient et de l'inconscient. Le corps sait; il possède une sagesse propre et il cherche à communiquer avec nous. La plupart d'entre nous avons tendance à ignorer ces messages. À l'inverse, l'approche thérapeutique de Gendlin invite à les écouter et à les utiliser pour accéder à une vérité enfouie. Il a ainsi mis au point une méthode en six étapes permettant d'entrer en dialogue avec notre corps. En conclusion, prêter attention à ces signaux subtils, c'est s'offrir une chance de mieux se comprendre et d'avancer avec plus de justesse. Dans cet épisode, je vous propose de découvrir comment le Focusing peut transformer ces malaises diffus en clés précieuses pour clarifier vos choix et enrichir votre vie intérieure. Méthode en six mouvements: Installer l'espace intérieur Repérer le ressenti corporel Trouver une poignée (Handle) Entrer en dialogue Observer le déplacement Laisser émerger une piste pour un premier pas Ordre du jour 0m23: Introduction 11m17: Présentation du livre (Focusing) 15m19: Le ressenti corporel (Felt Sense) 18m43: Le focusing en 6 mouvements 35m40: Réflexions personnelles Pour encore plus de détails, consulte la page web de l'épisode.
durée : 00:06:39 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Camille Etienne partira mardi prochain de Saint-Nazaire pour se rendre au Brésil en voilier afin d'assister à la COP30, prochaine conférence mondiale sur le climat qui commence le 10 novembre. La question "a complètement disparu du débat public", déplore-t-elle. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actuHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
J'ai rencontré Anne en février 2022, 6 mois après la perte de son petit garçon, Joseph, né sans vie juste avant le terme de sa grossesse. Anne a raconté son histoire dans un épisode que vous pouvez réécouter (rediffusé la semaine dernière épisode #143).Durant les 3 années qui ont suivi, la vie a continué pour elle, son mari et leurs deux filles aînées, Charlotte et Agathe. Elle a compris qu'elle ne s'en remettrait jamais vraiment, mais que la tache allait s'estomper pour s'intégrer dans le tableau.Aujourd'hui, elle trouve que ce tableau est beau, avec cette blessure, et aussi un peu grâce à elle. Elle se sent chanceuse et reconnaissante de cette famille au complet.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Saviez-vous qu'en France, une femme meurt toutes les 7 minutes d'une maladie cardiovasculaire ?Moi, non. Saviez-vous qu'en France, les femmes sont parfois plus exposées que les hommes à certains risques cardiaques, en particulier l'AVC ?Moi, non.
durée : 00:59:11 - Ocora, Couleurs du monde - par : Aliette de Laleu - La chanteuse franco-grecque a sorti son premier EP avec ses compositions inspirées de la culture et musique grecque, mais aussi des musiques d'Anatolie au sens large avec une touche de pop. Elle est venue en studio avec le percussionniste Dogan Poyraz présenter son univers. - réalisé par : Max James Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
REDIFFUSION. Faites des gosses prend des vacances et vous propose de (re)découvrir certains de nos épisodes favoris...Ça peut être une remarque prononcée l'air de rien – “C'est vrai qu'il a l'air d'a-do-rer les dessins animés !” –, un geste apparemment anodin – “Viens là que je te remonte ta fermeture éclair, t'es pas assez couvert·e !” – ou carrément une comparaison sans ambiguïté : “Ah, moi, je lui donne jamais d'aliments transformés.”Pourquoi les critiques sur l'éducation de nos enfants nous touchent-elles autant ? Comment se fait-il que la parentalité puisse devenir une telle source de crispation ? Dans cet épisode, Marine Revol interroge Marie et Inès sur la manière dont elles vivent les critiques de leur entourage, et Amélia qui a perdu un couple d'amis à cause de valeurs différentes. Elle interroge aussi Claude Martin, sociologue, et auteur de Etre un bon parent, une injonction contemporaine sur la pression que subissent les parents sur l'éducation qu'ils donnent à leurs enfants. Ensembles, il et elles parlent de conseils contradictoires, d'électricité dans l'air et de déclaration d'assurance, de confiance en soi et de socialisation.Faites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été monté par Louise Tavera et réalisé par Anna Buy. La prise de son et le mix sont du studio La Fugitive. Elsa Berthault est en charge de la production. La musique est de Jean Thévenin. Envoyez-nous vos questions, vos remarques et vos notes vocales à hello@louiemedia.comPour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Et suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter.Vous souhaitez soutenir la création et la diffusion des projets de Louie Media ? Vous pouvez le faire via le Club Louie. Chaque participation est précieuse. Nous vous proposons un soutien sans engagement, annulable à tout moment, soit en une seule fois, soit de manière régulière. Au nom de toute l'équipe de Louie : MERCI ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
durée : 00:51:08 - Le Masque et la Plume - par : Laurent Goumarre - Un Superman sur la banquise, qui se rêve plus humain que jamais ; une guérisseuse miraculée en Amazonie ; un body horror où un couple mal assorti sur une île atlantique est mu par une force mystérieuse ; et une boucle de deux minutes sans fin, où le temps n'a plus de sens. - invités : Ariane Allard, Christophe Bourseiller, Murielle Joudet - Ariane Allard : Critique de cinéma pour le magazine Positif, Christophe Bourseiller : Historien, animateur et critique de cinéma, Murielle Joudet : Journaliste et critique de cinéma - réalisé par : Anaïs Reinhardt Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.