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Boufeldja Benabdallah, le cofondateur de la Mosquée de Québec, explique ses attentes pour le Sommet national sur l'islamophobie; le journaliste sportif de Radio-Canada Robert Frosi commente son arrivée à Tokyo pour les JO; Josée Néron, mairesse de Saguenay, réagit au rejet du projet GNL Québec; Diane Francœur, obstétricienne gynécologue au CHU Ste-Justine, témoigne de l'engorgement des salles d'accouchements; Donald Beauchamp, ancien VP aux communications du Canadien, conseiller spécial pour TACT, discute de la stratégie du Kraken de Seattle; Catherine Potvin, professeure à l'Université McGill, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur l'atténuation des changements climatiques et la forêt tropicale, commente l'enchaînement des catastrophes naturelles dans le monde; la chroniqueuse Catherine Ethier livre son billet d'humeur; et Louis-Jean Cormier, auteur-compositeur-interprète, évoque son départ en tournée et sa participation au Festif! de Baie-Saint-Paul
INVITÉ RTL - Selon le spécialiste de l'islam politique, le terme "entretient une ambiguïté entre la critique légitime et les actes ou propos anti-musulmans".
Alors que la loi séparatisme a reçu une majorité de voix à l'Assemblée Nationale, le sociologue Saïd Bouamama est venu analyser le continuum historique de cette loi et, en tant que spécialiste des mouvements d'organisation issus de l'immigration post-coloniale, réaffirmer la nécessité de faire front Écoutez et abonnez vous au podcast Les Idées Libres sur: iTunes, Google Podcasts, Spotify, Deezer, Podbean, Stitcher et toutes les principales plateformes. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/lesideeslibres/message
Après l'appel "Non à la loi islamophobe et liberticide !" (https://blogs.mediapart.fr/front-contre-lislamophobie/blog/110221/non-la-loi-islamophobe-et-liberticide) signé entre autres par le CJL (CJL.ONG), le sociologue Saïd Bouamama est venu analyser le continuum historique de la loi séparatisme et, en tant que spécialiste des mouvements d'organisation issus de l'immigration post-coloniale, réaffirmer la nécessité de faire front --- Send in a voice message: https://anchor.fm/lesideeslibres/message
Trois lycéennes du 93, musulmanes, pratiquantes ou non relatent leur expérience de l'islamophobie et son impact sur leur identité. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dimanche 10 novembre, plus de 13000 personnes ont défilé dans les rues de la capitale pour dénoncer les actes antimusulmans et réclamer une réaction politique contre l'islamophobie. Une manifestation en présence des réprésentant.e.s de plusieurs partis de gauche malgré la polémique qui a opposé plusieurs responsables de ces courants politiques tout la semaine dernière. Soutenez l'information indépendante ! Faites un don à Radio Parleur.
durée : 00:10:13 - Journal de 9h - Il y a malaise à gauche autour du terme d'"islamophobie".
Des questions simples, des réponses claires, PRIORITE AU DECRYPTAGE est votre rendez-vous pour comprendre et décoder l'actualité. Chaque samedi et dimanche, dès 14h, Philippe Gaudin revient sur les événements qui ont marqué la semaine. En s'appuyant sur l'expertise de chroniqueurs et d'invités, ils commenteront ensemble l'actualité pour mieux la comprendre, et répondre en direct à toutes les questions des téléspectateurs sur les réseaux sociaux. BFMTV, 1ère chaine d'information en continu de France, vous propose toute l'info en temps réel avec 18h d'antenne live par jour et des directs partout à travers le monde où l'actualité le nécessite. BFMTV, c'est aussi les débats et les grands reportages d'actualité. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.
durée : 00:04:33 - Le Billet politique - par : Frédéric Says - Plusieurs signataires d'un texte appelant à une manifestation ce dimanche ont décidé de se retirer. D'autres responsables politiques en contestent les termes.
En août, un mot a agité les médias pendant tout l’été : burkini. Le burkini, c’est ce maillot de bain qui devait permettre aux musulmanes d’aller à la plage tout en respectant les principes de leur culte. La polémique a démarré quand certains maires ont décidé d’interdire le burkini de leurs plages en argumentant qu’il représentait « une menace pour l’ordre public » et une atteinte au principe de laïcité. Depuis la fin des années 80, les musulmans doivent faire face à de plus en plus d’obstacles de ce genre ainsi que de discriminations. Aujourd’hui, l’islamophobie semble omniprésente parmi les politiciens et les médias. Dans un tel climat, comment être à la fois français et musulman ? Vous pouvez lire la transcription de cet épisode ici.
La responsabilité des acteurs de la communauté éducative face à l'islamophobie.
Après la terrible attaque islamophobe de #Christchurch qui a fait 49 morts et plusieurs dizaines de blessés, nous discuterons autour de cette idéologie mortifère dont la France se présente désormais comme l’un des centres névralgiques mondiaux. C’est pourquoi nous poserons les termes du débat de cette première émission ainsi : « La France, capitale mondiale de l’islamophobie ? » Avec Hassina Mechaï, journaliste, Ugo Palheta, sociologue, Jawad Bachare, directeur du CCIF (Collectif Contre l'Islamophobie en France), Waheed Khan, co-réalisateur du film "Soumaya", et Youssef Boussoumah, historien et militant pour les luttes de l'immigration. L'émission est présentée par Wissam Xelka, journaliste à PDH.
Discussion avec Jérôme Blanchet-Gravel, chroniqueur: L'islamophobie et la journée nationale.
Entrevue avec Leila Lesbet, membre fondatrice de PDF Québec et de l'Association québécoise des Nord-Africains pour la laïcité (AQNAL): Le débat sur l'islamophobie au Québec reprend de plus belle.
L'actualité vue par Richard Martineau: Plus de « cabanes à pot » mohawk que partout ailleurs au Québec et les policiers surveillés. Entrevue avec Leila Lesbet, membre fondatrice de PDF Québec et de l'Association québécoise des Nord-Africains pour la laïcité (AQNAL): Le débat sur l'islamophobie au Québec reprend de plus belle. Discussion avec Jérôme Blanchet-Gravel, chroniqueur: L'islamophobie et la journée nationale. Discussion avec Guillaume St-Pierre, correspondant parlementaire a Ottawa pour le Journal de Montréal - Journal de Québec: Les maladresses de Justin Trudeau ont isolé le Canada. Une production de QUB radio Février 2019
Opinion politique et opinion religieuse sont des sujets délicats, encore plus lorsqu'on les traite ensemble. Pour ce 26e épisode de Coram Deo, nous recevons le député conservateur Brad Trost qui siège à la Chambre des communes depuis 2004. (https://en.wikipedia.org/wiki/Brad_Trost) M. Trost s'est lancé dans la course à la chefferie du Parti Conservateur du Canada afin de représenter les conservateurs sociaux dans le parti. (https://brad4leader.ca/) Voici quelques-unes des questions qui ont occupé cet entretien: 1. Quels sont les enjeux sociaux qui devraient préoccuper les chrétiens et les conservateurs sociaux au niveau politique en ce moment? 2. Que répondez-vous à ceux qui vous accusent de vouloir imposer votre religion, ou les impératifs moraux de votre religion au reste de la société qui n'est pas chrétienne? 3. Certains croyants pensent que Dieu n'appelle pas les chrétiens à utiliser la politique, mais uniquement l'Évangile pour garder les valeurs conservatrices de la famille et du respect de la vie. Comment leur répondez-vous d'un point de vue chrétien? 4. Le 23 mars dernier, la Chambre des communes à Ottawa a appuyé (201 pour, 91 contre) la Motion 103 condamnant l'Islamophobie au Canada, l'avez-vous appuyée et pourquoi? (http://www.parl.gc.ca/Parliamentarians/fr/members/Iqra-Khalid(88849)/Motions?sessionId=152&documentId=8661986) 5. Pensez-vous que la montée de la droite nationaliste est une bonne chose? Y a-t-il des inquiétudes à avoir?
Un compte rendu, avec des extraits audio, de la conférence sur l'islamophobie donnée par le professeur Rachad Antonius le 25 janvier 2017 à Montréal.
Le 10 février 2015, le frère de Suzanne Barakat, Deah, sa belle-sœur, Yusor, et la sœur de Yusor, Razan, ont été tués par leur voisin à Chapel Hill, en Caroline du nord. Selon l'assassin, il les aurait tués suite à une dispute de voiture. Sa version n'a pas été questionnée par les médias et la police jusqu'à ce que Barakat s'exprime lors d'une conférence de presse, appelant les meurtres par leur vrai nom : des crimes de haine. En relatant comment sa famille et elle ont reconquis leur histoire, Barakat nous appelle à nous exprimer quand nous sommes témoin d'une intolérance haineuse et d'exprimer notre soutien envers ceux qui font face à la discrimination.