Device to secure an object to be worked on
POPULARITY
Categories
« Au terme d'une longue nuit, relève Afrik.com, l'Assemblée nationale béninoise a adopté, samedi matin à l'aube, une vaste révision constitutionnelle. Le texte instaure un Sénat et allonge les mandats du président de la République, des députés et des maires de 5 à 7 ans. » Précision importante, pointe La Nation à Cotonou, « cette réforme au niveau des mandats électifs prend effet à partir des élections générales de l'année prochaine. Ce qui veut dire que la (nouvelle) loi constitutionnelle ne concerne pas le mandat actuel du président de la République, Patrice Talon qui passera le témoin en mai prochain ». Pourquoi cette révision ? D'après la mouvance présidentielle, relève le site d'information Banouto, « ce nouveau texte vise à renforcer la stabilité, la transparence et l'efficacité des institutions et la vitalité démocratique du Bénin ». L'opposition bâillonnée ? Alors, « la question pressante, estime pour sa part La Nouvelle Tribune, toujours à Cotonou, est de savoir si le Bénin, fort de ce nouveau cadre constitutionnel, peut désormais engager une trajectoire de développement plus sereine et plus rapide. Les arguments avancés en faveur de cette modification visent principalement à éliminer ce qui est perçu comme des freins structurels au progrès national, pointe le quotidien béninois. La classe dirigeante pointe souvent du doigt les cycles électoraux polarisés et les crises politiques récurrentes, les décrivant comme des sources de distraction et d'instabilité, empêchant la pleine concentration sur les politiques de développement économique et social. L'un des objectifs affichés est d'instaurer une sorte de trêve politique en apaisant le jeu électoral et institutionnel. (…) Cependant, la lecture de la classe politique et de la Société civile est loin d'être unanime, tempère La Nouvelle Tribune. Pour certains observateurs, (au contraire) l'adoption de cette loi modificative est un processus qui pourrait exacerber les fractures politiques et conduire à la non-participation d'une partie importante de l'opposition aux différents rendez-vous électoraux. » Déjà, note Aujourd'hui, le principal parti d'opposition, les Démocrates, a été écarté des élections locales et de l'élection présidentielle : « à l'évidence, affirme le site burkinabé, le président Patrice Talon, qui ne briguera (donc) pas un 3e mandat, est en train de modeler le paysage politique et institutionnel avant son départ du palais de la Marina. Il a ouvert un large boulevard pour son dauphin, Romuald Wadagni, lequel sans un challenger de poids, en l'occurrence celui des Démocrates, écarté pour cause de parrainage, est à 50 % déjà vainqueur de la présidentielle d'avril prochain. » Une « manœuvre savamment orchestrée » ? Le Pays, toujours au Burkina, revient sur cette réforme constitutionnelle : certes, elle « est présentée par ses promoteurs comme un instrument de paix, une architecture d'unité nationale et un rempart contre l'instabilité. Pourtant, derrière cet argumentaire officiel particulièrement séduisant, pourrait se dissimuler une opération politique minutieusement calibrée, affirme le quotidien ouagalais, destinée à consolider le système mis en place par l'actuel président Patrice Talon, à neutraliser une opposition déjà affaiblie et à protéger l'élite dirigeante contre d'éventuelles poursuites judiciaires. Sinon, s'interroge le journal, pourquoi ne pas avoir engagé cette réforme plus tôt, si son ambition réelle était de renforcer la démocratie béninoise ? Pourquoi intervient-elle précisément à la fin du mandat du président en exercice ? Ce timing, loin d'être anodin, nourrit l'hypothèse d'une manœuvre savamment orchestrée ». Le Pays cite notamment l'allongement des mandats électifs à sept ans, qui constitue, d'après lui, « un point majeur de crispation. Car, il réduit davantage encore l'espace du pluralisme politique. (…) Ce passage du quinquennat au septennat réduira, en effet, la fréquence des élections, verrouillera durablement le jeu politique et condamnera une opposition déjà fragmentée, à une longue traversée du désert… » Illusion démocratique ? Autre point qui pose problème, selon Ledjely en Guinée : la création d'un Sénat : « car un élément interpelle, pointe le site guinéen : aucun futur sénateur ne sera élu. Tous seront membres de droit ou désignés. Et détail ultime : parmi les membres de droit figureront… les anciens présidents. Évidemment, diront certains. Beaucoup y voient un point de chute soigneusement aménagé par le président Patrice Talon lui-même. » Globalement, relève encore Ledjely, sous la présidence Talon, « le Bénin avait semblé incarner l'un des rares îlots d'espérance. En particulier, la confirmation par Patrice Talon qu'il ne briguerait pas un troisième mandat avait séduit. Au point que, dans le sillage des lauriers qui lui étaient tressés, on avait soudain oublié le sort des détenus politiques, dont Reckya Madougou (emprisonnée depuis plus de quatre ans). Mais peut-être avons-nous célébré trop tôt le chef de l'État béninois, soupire Ledjely. Entre l'absence de fait de l'opposition à la prochaine présidentielle et les récentes modifications constitutionnelles aux objectifs suspects, la victoire démocratique que l'on croyait entrevoir paraît bien illusoire ». À lire aussiBénin: l'adoption d'une nouvelle réforme constitutionnelle suscite de vifs débats dans la classe politique
« Au terme d'une longue nuit, relève Afrik.com, l'Assemblée nationale béninoise a adopté, samedi matin à l'aube, une vaste révision constitutionnelle. Le texte instaure un Sénat et allonge les mandats du président de la République, des députés et des maires de 5 à 7 ans. » Précision importante, pointe La Nation à Cotonou, « cette réforme au niveau des mandats électifs prend effet à partir des élections générales de l'année prochaine. Ce qui veut dire que la (nouvelle) loi constitutionnelle ne concerne pas le mandat actuel du président de la République, Patrice Talon qui passera le témoin en mai prochain ». Pourquoi cette révision ? D'après la mouvance présidentielle, relève le site d'information Banouto, « ce nouveau texte vise à renforcer la stabilité, la transparence et l'efficacité des institutions et la vitalité démocratique du Bénin ». L'opposition bâillonnée ? Alors, « la question pressante, estime pour sa part La Nouvelle Tribune, toujours à Cotonou, est de savoir si le Bénin, fort de ce nouveau cadre constitutionnel, peut désormais engager une trajectoire de développement plus sereine et plus rapide. Les arguments avancés en faveur de cette modification visent principalement à éliminer ce qui est perçu comme des freins structurels au progrès national, pointe le quotidien béninois. La classe dirigeante pointe souvent du doigt les cycles électoraux polarisés et les crises politiques récurrentes, les décrivant comme des sources de distraction et d'instabilité, empêchant la pleine concentration sur les politiques de développement économique et social. L'un des objectifs affichés est d'instaurer une sorte de trêve politique en apaisant le jeu électoral et institutionnel. (…) Cependant, la lecture de la classe politique et de la Société civile est loin d'être unanime, tempère La Nouvelle Tribune. Pour certains observateurs, (au contraire) l'adoption de cette loi modificative est un processus qui pourrait exacerber les fractures politiques et conduire à la non-participation d'une partie importante de l'opposition aux différents rendez-vous électoraux. » Déjà, note Aujourd'hui, le principal parti d'opposition, les Démocrates, a été écarté des élections locales et de l'élection présidentielle : « à l'évidence, affirme le site burkinabé, le président Patrice Talon, qui ne briguera (donc) pas un 3e mandat, est en train de modeler le paysage politique et institutionnel avant son départ du palais de la Marina. Il a ouvert un large boulevard pour son dauphin, Romuald Wadagni, lequel sans un challenger de poids, en l'occurrence celui des Démocrates, écarté pour cause de parrainage, est à 50 % déjà vainqueur de la présidentielle d'avril prochain. » Une « manœuvre savamment orchestrée » ? Le Pays, toujours au Burkina, revient sur cette réforme constitutionnelle : certes, elle « est présentée par ses promoteurs comme un instrument de paix, une architecture d'unité nationale et un rempart contre l'instabilité. Pourtant, derrière cet argumentaire officiel particulièrement séduisant, pourrait se dissimuler une opération politique minutieusement calibrée, affirme le quotidien ouagalais, destinée à consolider le système mis en place par l'actuel président Patrice Talon, à neutraliser une opposition déjà affaiblie et à protéger l'élite dirigeante contre d'éventuelles poursuites judiciaires. Sinon, s'interroge le journal, pourquoi ne pas avoir engagé cette réforme plus tôt, si son ambition réelle était de renforcer la démocratie béninoise ? Pourquoi intervient-elle précisément à la fin du mandat du président en exercice ? Ce timing, loin d'être anodin, nourrit l'hypothèse d'une manœuvre savamment orchestrée ». Le Pays cite notamment l'allongement des mandats électifs à sept ans, qui constitue, d'après lui, « un point majeur de crispation. Car, il réduit davantage encore l'espace du pluralisme politique. (…) Ce passage du quinquennat au septennat réduira, en effet, la fréquence des élections, verrouillera durablement le jeu politique et condamnera une opposition déjà fragmentée, à une longue traversée du désert… » Illusion démocratique ? Autre point qui pose problème, selon Ledjely en Guinée : la création d'un Sénat : « car un élément interpelle, pointe le site guinéen : aucun futur sénateur ne sera élu. Tous seront membres de droit ou désignés. Et détail ultime : parmi les membres de droit figureront… les anciens présidents. Évidemment, diront certains. Beaucoup y voient un point de chute soigneusement aménagé par le président Patrice Talon lui-même. » Globalement, relève encore Ledjely, sous la présidence Talon, « le Bénin avait semblé incarner l'un des rares îlots d'espérance. En particulier, la confirmation par Patrice Talon qu'il ne briguerait pas un troisième mandat avait séduit. Au point que, dans le sillage des lauriers qui lui étaient tressés, on avait soudain oublié le sort des détenus politiques, dont Reckya Madougou (emprisonnée depuis plus de quatre ans). Mais peut-être avons-nous célébré trop tôt le chef de l'État béninois, soupire Ledjely. Entre l'absence de fait de l'opposition à la prochaine présidentielle et les récentes modifications constitutionnelles aux objectifs suspects, la victoire démocratique que l'on croyait entrevoir paraît bien illusoire ». À lire aussiBénin: l'adoption d'une nouvelle réforme constitutionnelle suscite de vifs débats dans la classe politique
Chaque jour, retrouvez les journaux de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez les journaux de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez les journaux de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un nouveau vent souffle-t-il sur la fiscalité immobilière ? Après avoir réduit l'assiette de la taxe sur le patrimoine financier des holdings familiales prévue par le Gouvernement, puis écarté la taxe Zucman défendue par la gauche, les députés ont adopté, le 31 octobre 2025, l'amendement déposé par le député MoDem des Pyrénées-Atlantiques Jean-Paul Mattei visant à transformer l'impôt sur la fortune immobilière (IFI) en « impôt sur la fortune improductive. » « Tout patrimoine productif est hors ISF, par contre le patrimoine non productif rentre dans l'impôt, nous résumé le député MoDem. Cet amendement vise donc à remettre un peu de justice et de cohérence fiscale. » Son principe ? Il élargit cette fois-ci l'assiette de l'IFI à certains placements financiers et biens meublés. Au lieu d'un barème progressif allant jusqu'aujourd'hui de 0,5 % à 1,5 %, le taux d'imposition serait désormais fixé à 1,5 % et s'appliquerait dès lors que le patrimoine dépasserait les 2 millions d'euros. Si ce nouvel impôt survit à la copie finale du budget 2026, seront donc concernés par l'amendement Mattei : tous les actifs immobiliers productifs, les sommes, rentes ou valeurs d'assurance-vie, ainsi que les liquidités et placements financiers assimilés, les cryptomonnaies et « les biens meubles corporels », comme les jets privés, les voitures de luxe, les bijoux mais aussi les œuvres d'art jusqu'à présent exonérées d'ISF. Malgré tout, le 31 octobre au soir, l'amendement Mattei a rencontré quelques écueils avec l'adoption du sous-amendement du député socialiste Philippe Brun visant notamment à abaisser les 2 millions à 1,3 million d'euros le seuil d'entrée de cette contribution. Une question désormais se pose : quel sort sera réservé par la Chambre-Haute aux amendements Matteï-Brun dès la reprise des débats le 25 novembre ? Il est certain que les sénateurs revoient la copie une probable réunion en commission mixte paritaire (CMP). Ecoutons Jean-Paul Matteï, député du groupe (MoDem) des Pyrénées-Atlantiques (circonscription de Pau), et notaire de profession.
Un nouveau vent souffle-t-il sur la fiscalité immobilière ? Après avoir réduit l'assiette de la taxe sur le patrimoine financier des holdings familiales prévue par le Gouvernement, puis écarté la taxe Zucman défendue par la gauche, les députés ont adopté, le 31 octobre 2025, l'amendement déposé par le député MoDem des Pyrénées-Atlantiques Jean-Paul Mattei visant à transformer l'impôt sur la fortune immobilière (IFI) en « impôt sur la fortune improductive. » « Tout patrimoine productif est hors ISF, par contre le patrimoine non productif rentre dans l'impôt, nous résumé le député MoDem. Cet amendement vise donc à remettre un peu de justice et de cohérence fiscale. » Son principe ? Il élargit cette fois-ci l'assiette de l'IFI à certains placements financiers et biens meublés. Au lieu d'un barème progressif allant jusqu'aujourd'hui de 0,5 % à 1,5 %, le taux d'imposition serait désormais fixé à 1,5 % et s'appliquerait dès lors que le patrimoine dépasserait les 2 millions d'euros. Si ce nouvel impôt survit à la copie finale du budget 2026, seront donc concernés par l'amendement Mattei : tous les actifs immobiliers productifs, les sommes, rentes ou valeurs d'assurance-vie, ainsi que les liquidités et placements financiers assimilés, les cryptomonnaies et « les biens meubles corporels », comme les jets privés, les voitures de luxe, les bijoux mais aussi les œuvres d'art jusqu'à présent exonérées d'ISF. Malgré tout, le 31 octobre au soir, l'amendement Mattei a rencontré quelques écueils avec l'adoption du sous-amendement du député socialiste Philippe Brun visant notamment à abaisser les 2 millions à 1,3 million d'euros le seuil d'entrée de cette contribution. Une question désormais se pose : quel sort sera réservé par la Chambre-Haute aux amendements Matteï-Brun dès la reprise des débats le 25 novembre ? Il est certain que les sénateurs revoient la copie une probable réunion en commission mixte paritaire (CMP). Ecoutons Jean-Paul Matteï, député du groupe (MoDem) des Pyrénées-Atlantiques (circonscription de Pau), et notaire de profession.
durée : 00:02:29 - Normandie Sports - Louis Duc a terminé 14e de la Transat Café l'Or en Martinique en duo avec le Japonais Masatomo Suzuki, sur le bateau qu'il va lui céder, au terme d'une deuxième traversée de l'Atlantique. Il se projette déjà sur 2026 et la route du Rhum. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Une firme d’architecte propose d’utiliser les travaux de l'autoroute Métropolitaine pour faire un grand projet : ajouter un étage pour aménager des espaces verts et du logement. Entrevue avec Louis T Lemay, président du cabinet Lemay. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
To av de vise mennene, Andreas og Teodor, og Nora B er i studio i dag og jazzer! Svigervenn er et relevant og viktig tema, og noe som ble diskutert flittig! Videre ble det snakk om Halloween-Duo-kostymer, våre anbefalinger for å få deg i halloween stemning, budsjettkutt til FHS og skuespill utdanning, hvordan dra på fotball trening for første gang på 14 år og mer!Takk til AK på teknikk!
durée : 00:02:34 - Ligue 2 - L'Amiens SC vise une première victoire à domicile face à Rodez Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, entrepreneur, Charles Consigny, avocat, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tør du vise hele dig selv på din arbejdsplads – eller gemmer du dele af dig væk for at passe ind?Vi taler alle meget om at være professionelle – men glemmer ofte, at det vigtigste, vi bringer ind på vores arbejdsplads, er os selv og derfor har vi inviteret Jens Lunn ind til en snak om autenticitet, lederskab og modet til at vise flere sider af sig selv – også de sårbare.Jens Lunn er Managing Director i AS3 Transition og har brugt mange år af sit arbejdsliv som topleder. Der ud over er han med i flere bestyrelser, i VL59 og så er han cykelentusiast og familiefar med stort f.Lyt med til en ærlig snak om at turde byde ind med hele dig på arbejdspladsen. Om hvorfor det er så svært og så får du et råd af Jens til den éne ting du skal prioritere i dit arbejdsliv.God lyttelyst
Le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed et l'homme d'affaires Aliko Dangote ont posé ensemble la première pierre d'une usine d'engrais à Gode, en région Somali. Si cette construction va de pair avec la stratégie d'expansion du milliardaire nigérian sur le continent, c'est « plus qu'une simple démonstration de croissance industrielle », selon les mots d'Abiy Ahmed. L'Éthiopie devrait, elle aussi, en tirer des bénéfices. Avec notre correspondante à Addis-Abeba, L'usine de Gode fera de l'Éthiopie le deuxième pays possédant une usine d'urée en Afrique – après le Nigeria. Objectif principal : assurer les immenses besoins en engrais du pays, où le secteur agricole emploie 70% de la population. Jusqu'ici, tous les produits étaient achetés à l'étranger. Et pour l'Éthiopie, la facture est salée, déplore Mered Fikireyohannes, PDG du fonds d'investissements PAGA : « Un pays de 120 millions de personnes ne peut pas continuer à importer des engrais d'un montant de deux millions de tonnes chaque année et dépenser deux milliards de dollars, pour fournir ses agriculteurs. Ce n'est pas durable. Ces deux milliards de dollars peuvent être réinvestis dans le paiement du service de la dette, dans d'autres investissements. » Si avec l'usine de Gode, l'Éthiopie va donc faire des économies, elle devrait aussi faire des recettes, en vendant le surplus de production à ses voisins. Une bonne nouvelle selon Mered Fikireyohannes. « Le besoin actuel local est de 2,5 millions de tonnes, et l'usine fabriquera 3,5 millions de tonnes. Le surplus sera exporté. L'Éthiopie fait partie de la zone de libre-échange africaine, donc nous pourrons vendre au Kenya, dans les pays voisins », estime le PDG. « C'est un business très lucratif », souligne-t-il. À lire aussiÉthiopie: le milliardaire nigérian Aliko Dangote signe un accord de 2,5 milliards de dollars pour une usine d'engrais Suffisance alimentaire et exportations Avec cette structure, alimentée notamment par le gaz naturel de la réserve de Calub, à une centaine de kilomètres de Gode, l'Éthiopie espère aussi renforcer sa sécurité alimentaire. « Ça va permettre aux producteurs d'accéder à l'engrais à moindre coût, ce qui va agir ensuite sur le coût de production des produits locaux », estime Florent Toto, agro-économiste, spécialiste des politiques agricoles en Afrique. « Ça va rendre le coût d'achat plus abordable, ainsi que le coût d'achat des produits finis, notamment de la nourriture pour la population. Donc, indirectement, ça va contribuer à la sécurité alimentaire », poursuit-il. Mais Florent Toto alerte aussi sur les risques d'utilisation des engrais chimiques, nocifs pour l'environnement en cas de mauvaise utilisation : « Utiliser les engrais, c'est bien, mais il va falloir les utiliser de manière rationnelle. Parce que si on fait l'épandage massif des engrais et sans précision, ça peut agir sur la pollution des nappes phréatiques et ça peut aussi agir sur les sols. Et à long terme, ce sont les agriculteurs qui seront perdants. » Le montant total de la construction de l'usine de Gode s'élève à 2,5 milliards de dollars.
On today's episode, Andy & DJ discuss Trump declaring an ‘end of an age of terror and death' to raucous applause in Israel's parliament, Kamala Harris snapping back at protesters who crashed her book tour, and Democrats being in a GOP shutdown vise.
durée : 00:04:07 - La procession aux flambeaux de Lourdes vise l'inscription au patrimoine culturel immatériel de la France Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La Chine vient de lancer une enquête sur les exportations de noix de pécan des États-Unis et du Mexique. Pékin dénonce des ventes à des prix inférieurs à ceux du marché, ventes qui porteraient préjudice à l'industrie nationale chinoise. La Chine ne produit qu'environ 3 000 tonnes de noix de pécan et a besoin de beaucoup plus pour faire tourner ses usines de transformation, explique José Gutierrez Fernandez, analyste, noix, épices et fruits secs, chez S&P Global Commodity Insights. Depuis 2010, la Chine est le premier importateur mondial et dépend des États-Unis et du Mexique qui fournissent à eux deux 70 % du marché ! La Chine achète aussi en Afrique du Sud, ce qui lui permet d'avoir des fournisseurs aux périodes de récoltes différentes, qui lui garantissent un approvisionnement tout au long de l'année. Cette enquête est donc perçue avant tout comme une mesure de rétorsion contre les taxes américaines. Les noix de pécan avaient déjà été prises dans la tourmente de la guerre commerciale lancée pendant le premier mandat de Donald Trump, Pékin avait à ce moment-là riposté par des droits de 47 % sur la noix de pécan. L'intégration du Mexique dans l'enquête est nouvelle, et interroge, dans la mesure où le Mexique n'est pas le fournisseur principal de la Chine. Impact immédiat ? L'enquête chinoise, annoncée pour durer un an, n'interdit pas aux exportateurs américains et mexicains de vendre en Chine, mais il n'est pas exclu de voir les douaniers chinois mettre plus de temps à approuver les commandes. En pratique, l'enquête se fait déjà sentir : les achats chinois ont chuté depuis un an et les exportations américaines aussi, les deux étant très liés. Sur les quatre premiers de l'année de la campagne commerciale, d'octobre 2024 à janvier 2025, les exportations américaines de noix de pécan ont chuté de 70 %, selon le ministère américain de l'Agriculture. L'ensemble de la saison 2024/2025 a été une des plus basses depuis les années 1990, selon S&P Global Commodity Insights. Coup dur pour les États-Unis et le Mexique Les conséquences de l'enquête pourraient être d'autant plus contraignantes que c'est précisément l'appétit chinois qui a poussé les principaux États producteurs à augmenter leurs volumes de production ces dernières années, Mexique et États-Unis en tête. Toute nouvelle baisse des importations chinoises de noix de pécan va faire augmenter les stocks au Mexique et aux États-Unis et risque d'entrainer de fortes baisses de prix sur ces deux marchés. Sans parler des difficultés pour les agriculteurs : lors de la précédente guerre commerciale, les producteurs de plusieurs États américains avaient été durement touchés, et les États-Unis avaient dû diversifier leurs ventes vers le Canada, Israël, la Hollande ou encore l'Allemagne, explique José Gutierrez Fernandez, mais cela n'avait pas suffi à combler le manque d'achats chinois. Cette enquête va aussi directement compliquer l'approvisionnement de la Chine. Son alternative, c'est d'acheter plus en Afrique du Sud, et auprès d'autres producteurs mineurs tels que l'Argentine, le Brésil et l'Australie. Mais ils ne fourniront jamais assez si les besoins de la Chine restent les mêmes. À lire aussiLa guerre commerciale de Donald Trump redessine les exportations chinoises
Ascultați o nouă rubrică de întrebări și răspunsuri pe teme variate, care privesc rânduiala vieții creștine, dar și aspecte ale vieții sociale, care se pot rezolva prin abordarea unei atitudini duhovnicești corecte.Vă mulțumim pentru comentarii!Răspândiți dragostea!Pentru Pomelnice și Donații accesați: https://www.chilieathonita.ro/pomelnice-si-donatii/Pentru mai multe articole (texte, traduceri, podcasturi) vedeți https://www.chilieathonita.ro/
Invités : - Tanguy Hamon, journaliste Police-Justice CNEWS - Gauthier Le Bret, journaliste politique - André Vallini, avocat, ancien ministre - Rachel Khan, essayiste et juriste - Guillaume Perrault, journaliste - Geoffroy Lejeune, journaliste le JDD Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Tanguy Hamon, journaliste Police-Justice CNEWS - Gauthier Le Bret, journaliste politique - André Vallini, avocat, ancien ministre - Rachel Khan, essayiste et juriste - Guillaume Perrault, journaliste - Geoffroy Lejeune, journaliste le JDD Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque lundi, retrouvez Virage Marseille, votre émission dédiée à l'actualité de l'OM, en partenariat avec Le Phocéen.
Vi er over halvvejs i denne sæson af ’Gift ved første blik’, og denne uge flytter parrene sammen og skal have arbejde, deleordninger og hunde til at gå op. Men det viser sig at være lettere sagt end gjort, så derfor får vi de første tegn på fænomenet ick’s, en pludselig bevidsthed om det kiksede ved den, man lige har været forelsket i. For nogen er de tegn skilte på væggen med positive budskaber, for andre er det hundeopdragelsesmetoder. PANEL: Maria Brus Pedersen, journalist og forfatter til bogen ’Sig til hvis jeg skal hjælpe’. Og det nygifte par: Maria Grabowski, forfatter til bogen ’Jeg fryser’. Kasper Lundberg, journalist og forfatter til bogen ’Trip’. Vært: Lucia Odoom. Redaktion: Lucia Odoom, Kathrine Eggert Wadsholt og Jonas Bach-Madsen. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs À la suite des révélations de Mediapart sur l'intervention d'Astrid Panosyan-Bouvet pour réduire les cotisations sociales dues par la société Setforge, l'association AC !! anti-corruption a saisi le Parquet national financier. Un article de Michel Deléan publié lundi 15 septembre et lu par Christine Pâris. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mercredi 10 septembre, la nouvelle démonstration de force d'Israël, témoignée par ses frappes menées au Qatar contre des dirigeants du Hamas, alors qu'ils étaient en pleine réunion de négociation pour la paix, a été abordée par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Après les discussions jeudi 4 septembre avec les membres de la coalition des volontaires, le président français Emmanuel Macron a affirmé que 26 pays étaient prêts à assurer des garanties de sécurité à l'Ukraine. Premier pilier de ces garanties de sécurité : apporter à Kiev une aide militaire massive et durable, mais Kiev entend également développer ses propres armements stratégiques, et c'est le cas avec le missile de croisière Flamingo, testé avec succès cet été. « Flamingo » car les missiles FP5 testés il y a quelques semaines avaient tout simplement une livrée rosée. Le Flamingo c'est une bête de combat et il est aujourd'hui opérationnel, pointe l'expert aéronautique Xavier Tytelman : « C'est un missile qui va porter à 3 000 km avec une tonne de charge utile. C'est dix fois plus loin et deux fois plus lourd, par exemple, que le missile scalp qui a été fourni par la France. L'autre avantage, c'est qu'il est tiré depuis le sol. Il n'est pas nécessaire d'avoir un avion de chasse qui va se mettre en danger en se rapprochant de la ligne de front. Là, c'est simplement un camion qui va être au sol, donc beaucoup plus difficile à intercepter, à détecter pour les Russes. » Produit par l'entreprise Fire point, le FP5 Flamingo est le fruit d'une collaboration avec l'industriel britannique Milanion. Aux yeux d'Elie Tenenbaum, directeur de recherche à l'Institut français de relations internationales (Ifri), c'est une étape clé pour accéder à une certaine autonomie stratégique. « Cela illustre d'abord le dynamisme de l'industrie de défense ukrainienne, sa capacité d'innovation, de montée en gamme dans une logique de juste suffisance capacitaire. Ça illustre aussi le besoin ukrainien d'une certaine autonomie en matière de frappe dans la profondeur. On se souvient que les Américains avaient à plusieurs reprises bloqué les frappes contre le territoire russe, avec un système de contrôle à l'usage sur les armements qui leur avait été délivré. Non seulement les missiles de facture américaine, mais même certains matériels de facture européenne qui pouvaient inclure des composants américains et donc une volonté de gagner en souveraineté là-dessus. » Une arme pour frapper l'industrie russe L'objectif attribué à ce missile Flamingo : des cibles plutôt étendues, comme des sites industriels, des raffineries, car la précision précise Xavier Tytelman, ce n'est pas le point fort du Flamingo : « En termes de précision, a priori, il n'est pas aussi efficace qu'un missile occidental, mais on ne lui demande pas la même chose. Un missile avec grande précision, c'est nécessaire pour taper sur un bunker ou sur un véhicule quand on va être en ville. Mais là, pour un missile qui va avoir une tonne de charge utile, on est capable de détruire une usine. Et finalement, quand on tape sur une infrastructure assez large comme des dépôts de carburant ou des dépôts de munitions, si on est 50 mètres à droite ou à gauche, logiquement, on va toucher son objectif. » Un « game changer » ? Un seul équipement ne permet jamais de modifier complétement le cours d'un conflit. Ce missile peut-il néanmoins changer le cours de la guerre ? Si le Flamingo n'est pas l'arme magique, c'est en tout cas un atout de taille, insiste Xavier Tytelman : « Aujourd'hui, il y a déjà un Flamingo produit par jour. En mois d'octobre, ça doit être sept par jour. Ça veut dire que peut être potentiellement, il aurait la possibilité de détruire chaque jour soit une usine importante, soit une raffinerie de carburant sur la très, très grande profondeur russe. Et ça, réellement, c'est ce qui doit permettre d'obtenir l'effondrement économique de la Russie. Ça peut contraindre Poutine à accepter une négociation pour une vraie paix. » Le président français Emmanuel Macron soutient que l'une des garanties de sécurité pour l'Ukraine sera une armée ukrainienne assez « robuste » pour empêcher une éventuelle nouvelle attaque de Moscou. Le Flamingo pourrait bien y contribuer. À lire aussiFrappes de drones et tirs de missiles: la Russie et l'Ukraine en pleine escalade
durée : 00:02:43 - Picardie Sport Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, pas le choix, on monte dans la cage parce que c'est « fight week ». Depuis 2022, l'UFC fait escale à Paris au mois de septembre. Cette année rendez-vous le 6 à Bercy pour une carte qui a mis du temps à se dessiner et qui, si pas de changement, verra 5 Français combattre. Le RMC Fighter Club rentre en détail dans l'analyse de ces combats et sur l'ensemble de la carte. On vous donnera aussi en fin d'émission notre podium des combats qu'on attend le plus… Et d'ailleurs n'hésitez à nous donner vous aussi votre top 3 en commentaire. Nassourdine Imavov, Benoit Saint Denis, William Gomis, Oumar Sy, Axel Sola et les combats internationaux comme le très chaud Keita contre Pitbull, c'est parti pour le preview de l'UFC Paris, 4ème édition…
C dans l'air l'invitée du 28 août 2025 avec Marion Van Renterghem est grand reporter, chroniqueuse à L'Express, et spécialiste des questions européennes.Et en duplex de Kiev, en Ukraine : Magali Lacroze, journaliste reporter à C dans l'air, qui a passé la nuit dans le métro de Kiev, sous les bombardements. Au moins 14 personnes, dont trois enfants, ont été tuées à Kiev lors d'une des plus importantes attaques aériennes russes contre l'Ukraine, ont annoncé jeudi les autorités ukrainiennes. La Russie a tiré 598 drones et 31 missiles balistiques et de croisière sur l'Ukraine. Volodymyr Zelensky a accusé Moscou de préférer "continuer à tuer" plutôt que négocier une paix.Les réactions internationales n'ont pas tardé. La présidente de la Commission Ursula Von der Leyen a affirmé que la Russie ne "recule devant rien" pour terroriser l'Ukraine, avant d'ajouter "Il s'agit de l'attaque de drones et de missiles la plus meurtrière contre la capitale (ukrainienne) depuis juillet". "C'était aussi une attaque contre notre délégation", a-t-elle ajouté, alors qu'un bâtiment de l'UE a été touché. Emmanuel Macron a de son côté posté sur X:""629 missiles et drones en une nuit sur l'Ukraine : voilà la volonté de paix de la Russie. Terreur et barbarie". Marion Van Renterghem, grand reporter, chroniqueuse à L'Express, et spécialiste des questions européennes reviendra avec nous sur la portée de ce frappes. Des bombardements qui interviennent alors qu'Emmanuel Macron rencontre aujourd'hui, à Brégançon, le chancelier allemand Friedrich Merz, pour lancer un "reset" des relations franco-allemandes. Et ce au lendemain d'une visite en Moldavie, destinée à soutenir ce pays face à Moscou. Comment peut réagir l'Europe ? Peut-elle peser sur la paix ?Nous recevrons aussi en duplex la grand reporter de C dans l'air Magali Lacroze, en direct de Kiev, en Ukraine.
Tell us what you think of the show! This Week in Cleantech is a weekly podcast covering the most impactful stories in clean energy and climate in 15 minutes or less featuring Paul Gerke of Factor This and Tigercomm's Mike Casey. It recently ranked 13th on Feedspot's 50 Best Solar Energy Podcasts and cracked the top-25 in its 80 Best Energy Transition Podcasts.This week's episode features special guest Camila Domonoske from NPR, who wrote about how Ford plans to retool an assembly plant to build a more affordable midsize electric pickup truck.This week's "Cleantecher of the Week" is Saad Dara, CEO of Mangrove Lithium. Last week he hosted British Columbia Premier David Eby and several Canadian officials visited their groundbreaking new plant, which will be the first electrochemical refining facility in North America. This Week in Cleantech — August 15, 2025 Suddenly, the Trump Administration Tightens the Vise on Wind Farms – The New York TimesPlastic Waste Is Piling Up, but Alternative Materials Struggle to Get Off the Ground – The Wall Street JournalU.S. Clean Tech Leadership at Risk Due to Trump Policies, Investors Warn – NewsweekThe lessons of Europe's upside-down power market – Financial TimesFord says it will roll out a cheaper electric pickup truck – NPRWant to make a suggestion for This Week in Cleantech? Nominate the stories that caught your eye each week by emailing Paul.Gerke@clarionevents.com
Bochum er i Superliga, og Runar er på Ruhrstadion – det blirScheisse 04. Alle andre enn Hertha-fans tipper hovedstadsklubben får opprykk, fansen får nok rett. De tre vise menn herjer i Sør-Tyskland. Florian Niederlechner, Kevin Volland og Hulk Haugen scorer hvert sitt for 1860 München. Hannover og Rot-Weiss Essen starter DHZ-spillet, lager togkaos med pepperspray og slagstokker. Superligaens Al Pacino er tilbake, Max Kruse har fått ny jobb!See omnystudio.com/listener for privacy information.
L'ancien Premier ministre, qui vient de créer son propre parti, rejette la politique des réseaux sociaux, fustige « ceux qui ont un avis sur tout », et veut mettre en avant son projet. Un projet dont on ne sait pas encore grand-chose, selon L'Opinion. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les vacances scolaires sont un moment de repos bien mérité après une année scolaire intense. Le jeu permet de se détendre, de stimuler la créativité et de renforcer les liens sociaux. C'est un espace de liberté essentiel pour les enfants pour grandir autrement qu'à travers la classe. Cependant, délaisser totalement les révisions de côté peut poser problème, surtout en cas de lacunes. Quelques moments dédiés à l'étude peuvent permettre de consolider les acquis et d'aborder la rentrée avec sérénité ? Comment profiter vraiment des vacances tout en gardant un rythme d'apprentissage ? Le fait de réviser pendant les vacances ne risque-t-il pas d'accentuer les inégalités scolaires entre les enfants dont les parents peuvent consacrer du temps aux révisions estivales, et ceux dont les familles n'en ont pas la possibilité ? Avec : • Aurélie Gagnier, porte-parole du Syndicat National Unitaire des Instituteurs, Professeurs des écoles et Professeurs d'enseignement général de collège (SNUIpp-FSU) • Joëlle Alarcon, psychopédagogue, coach professionnelle, formatrice et diplômée en master en Sciences de l'Éducation Colo à Chaillot, un reportage de Thibault Matha Chaque année, le Théâtre national de Chaillot situé à Paris, en face de la Tour Eiffel, organise les Chaillot Colo. Une initiative qui rassemble de jeunes adolescents issus de quartiers populaires pour le faire découvrir une pratique artistique. Le théâtre a ouvert ses portes à notre reporter Thibault Matha, qui a assisté à une de ses colonies de vacances basée sur l'art du cirque et de l'acrobatie. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'Hubert à Kati, au nord de Bamako au Mali. Programmation musicale : ► Slow — Wizkid feat. Anais Cardot ► Gaguejar — Yola Semedo
Au sommaire de cette revue de presse : Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, s'en prend au macronisme dans une interview.Les combats entre Druzes et Bédouins font 1265 morts en 10 jours à Soueïda en Syrie, dans un contexte de guérilla entre communautés où l'État hébreu s'est érigé en protecteur des Druzes.Des familles de victimes de meurtres irrésolus espèrent enfin connaître l'identité de l'assassin de leurs proches grâce à l'utilisation de la généalogie génétique dans les enquêtes.Une lycéenne brillante, accusée à tort d'avoir triché au bac de philosophie avec l'aide de l'intelligence artificielle, a finalement été innocentée et voit son baccalauréat validé avec mention.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les vacances scolaires sont un moment de repos bien mérité après une année scolaire intense. Le jeu permet de se détendre, de stimuler la créativité et de renforcer les liens sociaux. C'est un espace de liberté essentiel pour les enfants pour grandir autrement qu'à travers la classe. Cependant, délaisser totalement les révisions de côté peut poser problème, surtout en cas de lacunes. Quelques moments dédiés à l'étude peuvent permettre de consolider les acquis et d'aborder la rentrée avec sérénité ? Comment profiter vraiment des vacances tout en gardant un rythme d'apprentissage ? Le fait de réviser pendant les vacances ne risque-t-il pas d'accentuer les inégalités scolaires entre les enfants dont les parents peuvent consacrer du temps aux révisions estivales, et ceux dont les familles n'en ont pas la possibilité ? Avec : • Aurélie Gagnier, porte-parole du Syndicat National Unitaire des Instituteurs, Professeurs des écoles et Professeurs d'enseignement général de collège (SNUIpp-FSU) • Joëlle Alarcon, psychopédagogue, coach professionnelle, formatrice et diplômée en master en Sciences de l'Éducation Colo à Chaillot, un reportage de Thibault Matha Chaque année, le Théâtre national de Chaillot situé à Paris, en face de la Tour Eiffel, organise les Chaillot Colo. Une initiative qui rassemble de jeunes adolescents issus de quartiers populaires pour le faire découvrir une pratique artistique. Le théâtre a ouvert ses portes à notre reporter Thibault Matha, qui a assisté à une de ses colonies de vacances basée sur l'art du cirque et de l'acrobatie. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'Hubert à Kati, au nord de Bamako au Mali. Programmation musicale : ► Slow — Wizkid feat. Anais Cardot ► Gaguejar — Yola Semedo
durée : 00:02:28 - Le vrai ou faux - La Russie diffuse des dizaines de fausses informations pour discréditer Maia Sandu et son camp pro-européen avant les élections moldaves. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Guillaume partage son parcours inspirant et atypique, de ses débuts dans une famille modeste à Paris, jusqu'à la création d'une entreprise valorisée à plus de 150 millions. Mais il nous parle surtout de tout ce que le sport d'endurance a bouleversé dans sa vision de la performance, du business et de la vie. Avec honnêteté, il décrit ses erreurs, ses blessures, comment repousser les croyances limitantes, et la force du travail acharné, que ce soit sur le terrain ou en salle de réunion.Vous découvrirez aussi comment il a documenté tout ce challenge dans un documentaire saisissant, tourné avec son vidéaste Jesse, et pourquoi mêler création de contenu et préparation sportive n'est pas forcément évident.Guillaume explore sans filtre les passerelles parfois inattendues entre l'entrepreneuriat, le sport, la santé mentale, et même la spiritualité. Il aborde sa vision du succès, de la gestion de l'échec, et du plaisir dans l'effort. Un échange riche, passionnant, qui vous donnera sans doute envie, vous aussi, de repousser vos propres limites.Chapitres :00:00 Sport et entrepreneuriat : entretien inspirant 14:49 Confiance et état d'esprit de croissance 21:25 Facilité en natation, pas en vélo 38:57 Méditation et guérison alternative 44:09 Trail en Corse : énergie vibrante 51:45 Lien intestin-cerveau et intuition 01:06:29 Écouter son intuition sportive 01:21:41 Triathlon : entre passion et discipline 01:28:32 Plans d'échec vs succès inatteignable 01:37:06 Gestion de l'échec public 01:47:08 Compétition : un instinct évolutif 01:55:34 Burnout et changement de perspective 02:13:57 Aventure en solitaire : galère nocturne 02:19:46 Du combattant amateur au proBonne écoute
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tipeee : https://fr.tipeee.com/tatami-connexion/Import Fight : https://import-fight.com/?srsltid=AfmBOorPLaRoGMlD5TMi_ToZnEBnkq6Mr3p_RFLl7lU5Idm0R0ySUfQdCode : TATAMI10Bienvenu sur le format actualité MMA et JJB du podcast TATAMI Connexion : Restons Connecté !Chaque semaine nous allons parler des sujets qui anime nos sports et qui attise toutes les conversation !Cette semaine programme chargé avec :- Nassourdine call out Borralho- Morgan Charrière de retour à Nashville- Aspinall visent Volkov ou Almeida- Tsarukyan back up de Topuria vs Oliveira- Holloway veut sa chance au titre s'il bat Poirier avec la manière- Mvp vs Canonnier au 319- Aldo out de l'UFC- Rroad to the title JJBBonne écoute !!
durée : 00:37:13 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Inédite par son ampleur, l'attaque aérienne israélienne contre l'Iran dépasse la seule logique militaire. En frappant des cibles stratégiques et en évoquant la chute du régime, Israël semble viser plus qu'une dissuasion : un nouvel équilibre régional. Mais à quel prix, et pour quel avenir ? - réalisation : François Richer - invités : Antoine Basbous Politologue et spécialiste du monde arabe, de l'islam et du terrorisme islamiste. Fondateur de l'Observatoire des Pays arabes; Bernard Hourcade Géographe, chercheur émérite au CNRS et membre du comité de rédaction Orient XXI; Rina Bassist Correspondante à Paris pour la Radio publique israélienne
durée : 01:00:07 - Anne-Charlène Bezzina, constitutionnaliste - par : Priscille Lafitte - Anne-Charlène Bezzina a fait une "quasi-carrière" de pianiste, obtenant ses diplômes à la Schola Cantorum et à l'école Cortot tout en soutenant sa thèse en droit constitutionnel. Elle s'intéresse donc à l'esprit des textes, qu'ils soient juridique ou musical ! - réalisé par : Claire Lagarde
On today's show Ashali Vise catches up with former NHL goalie and current color commentator for both the Chicago Blackhawks and NHL on TNT, Darren Pang. They discuss Darren's broadcasting assignments so far this postseason, his thoughts on the series between Vegas and Edmonton, and his relationship with Bruce Cassidy that dates back to the early 1980s. Afterwards we hear from Bruce himself and some of what he had to say to the media on Tuesday at City National Arena.
On today's show Ashali Vise chats with Shea Theodore ahead of Game 4. The pair chat about Brayden McNabb suiting up for Game 3, the Knights' overall effort, and how the VGK can carry momentum into Monday to tie the series. We also go around the locker room for an update on Mark Stone from Bruce Cassidy, as well as words from Bruce, Ivan Barbashev, and Brayden McNabb on what Stone means to the Golden Knights. Afterwards we recap Sunday's Stanley Cup Playoff action.
Des drones ont bombardé mardi une importante station électrique ainsi que l'aéroport et une base militaire de Port-Soudan, au troisième jour de frappes sur cette ville de l'est du Soudan abritant le siège provisoire du gouvernement, en guerre contre les paramilitaires.
On today's show Ashali Vise catches up with Noah Hanifin as the Knights continue their preparation for their second-round series against the Oilers. They discuss the Vegas-Edmonton rivalry, what areas the Knights need to focus on in their game in this series, and how Vegas can slow down Connor McDavid and Leon Draisaitl. Afterwards we hear a portion of Bruce Cassidy's media availability from Sunday and recap the Game 7s from over the weekend.
On today's show Ashali Vise and Gary Lawless preview Game 6 between the Knights and the Wild. They chat about surprises in the series to this point, the focuses for the Golden Knights in an elimination game, and how the Knights can build on their Game 5 win. We hear some thoughts from both Bruce Cassidy and John Hynes before we wrap up the show by recapping Wednesday's Stanley Cup Playoff action.
On today's show Ashali Vise has two conversations for us before Game 3. First up we listen in to her chat with Daren Millard as the pair talk about what to expect for Game 3 and how the Knights can bounce back to regain the series lead. Then Ashali speaks with Kloey Carpenter, the VGK Director of Marketing and Brand, as she fills us in with info for tonight's watch party from the Cosmopolitan and Saturday's Game 4 watch party from Lee's Family Forum in Henderson.
Daniel De Vise, veteran journalist and author, whose latest book is “The Blues Brothers: An Epic Friendship, the Rise of Improv and the Making of an American Film Classic” Topic: The Blues Brothers Book: https://www.amazon.com/Blues-Brothers-Friendship-American-Classic/dp/0802160980 Website: https://danieldevise.com/ Social Media: https://www.facebook.com/Daniel.deVise https://x.com/danieldevise Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:03:10 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Donald Trump a ordonné sa plus importante opération militaire depuis qu'il est à la Maison Blanche, en bombardant les Houthis du Yémen. Mais il menace aussi directement l'Iran, tout en lui proposant un compromis sur le nucléaire, une double approche qui n'exclut pas la guerre.