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La presse européenne revient amplement sur le plan de paix américain pour l'Ukraine. Un plan jugé largement défavorable à Kiev, ce serait même « un désastre » pour l'Ukraine, estime le quotidien britannique The Guardian, qui perçoit un air de déjà-vu dans l'ultimatum posé par Trump (le président ukrainien Volodymyr Zelensky est censé se prononcer d'ici jeudi). « On a déjà vu ça » nous dit effectivement le Guardian, « l'administration Trump annonce une feuille de route (…) qui semble largement répondre aux exigences de Moscou. Volodymyr Zelensky appelle ses alliés européens, qui contactent aussitôt Trump, pour lui dire que le plan est irréalisable. Le plan tombe à l'eau et on recommence ». « Mais cette fois-ci, la situation semble un peu différente », reconnaît le quotidien britannique. « Selon des informations parues hier, les États-Unis menacent de retirer leur aide en matière de renseignements et plusieurs autres formes de leur soutien, crucial, à l'effort de guerre ukrainien ». Toutefois, en Ukraine, le Kyiv Post ne l'entend pas de cette oreille : « Pas de capitulation imposée », s'exclame le journal ukrainien, « quelles que soient les intentions du président Trump, il est inadmissible qu'il conclue des accords avec la Russie au détriment de l'Ukraine, de l'Europe et du reste du monde démocratique ». Traîtresse Donald Trump qui a, par ailleurs, semble-t-il, trouvé une adversaire à sa taille, au sein de ses plus proches soutiens. Elle s'appelle Marjorie Taylor Greene, représentante républicaine de Géorgie élue en 2020, et elle « annonce son intention de démissionner », nous explique le New York Times. « Elle s'était positionnée comme un fervent soutien de Trump, jusqu'à une série de désaccords avec le président américain qui lui a récemment retiré son soutien ». Donald Trump a en effet qualifié Marjorie Taylor Greene de « traîtresse », raconte le Washington Post, « car elle a insisté pour que la Chambre des représentants vote sur l'obligation faite au ministère de la Justice de publier davantage de documents concernant le délinquant sexuel Jeffrey Epstein », une ancienne connaissance de Donald Trump. La réponse de Marjorie Taylor Greene a été cinglante : « Défendre des Américaines violées à 14 ans, victimes de trafic et exploitées par des hommes riches et puissants ne devrait pas me valoir d'être qualifiée de traîtresse et menacée par le président des États-Unis, pour lequel je me suis battue ». Marjorie Taylor Green qui n'a toutefois pas toujours tenu que des propos de bon sens. Pendant la crise du Covid, rappelle le Wall Street journal, « elle avait comparé le port du masque et la vaccination obligatoire aux atrocités nazies ». Journal d'un prisonnier En France, un ancien président annonce la sortie de son nouveau livre. Cet ancien président, c'est Nicolas Sarkozy, qui va raconter « son expérience de l'incarcération », explique le journal Libération, « dans un livre sobrement intitulé "le Journal d'un prisonnier" ». « En prison, il n'y a rien à voir et rien à faire », raconte ainsi Nicolas Sarkozy. « J'oublie le silence qui n'existe pas à la prison de la Santé où il y a beaucoup à entendre. Le bruit y est hélas constant ». Des propos qui font visiblement sourire Libération, journal de gauche qui interroge ironiquement : « Vingt jours de détention et de quoi écrire un pamphlet sur les prisons ? » Le livre de l'ancien président sortira le 10 décembre, « un timing parfait pour les fêtes de fin d'année », remarque encore le quotidien français, qui précise aussi que le titre du livre "le Journal d'un prisonnier", a déjà maintes fois été emprunté. « L'ancien président, manifestement pressé de livrer sa courte expérience carcérale, n'a pas pris le temps de vérifier si un tel titre avait déjà été utilisé. La liste des livres portant la même appellation est pourtant longue », conclut Libération.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les conséquences de l'affaire Epstein sur Donald Trump, la politique migratoire britannique et les tensions sino-japonaises. Guerre en Ukraine : les Rafale français entrent en jeu Lors de sa visite à Paris, Volodymyr Zelensky a signé avec Emmanuel Macron une déclaration d'intention «historique» : l'Ukraine pourrait acquérir jusqu'à 100 Rafale ainsi que des systèmes de défense aérienne. En quoi la livraison de ces avions de chasse serait stratégique pour l'Ukraine ? Avec Franck Alexandre, journaliste spécialiste des questions de défense et de sécurité à RFI. États-Unis : Donald Trump gêné par l'affaire Epstein Les élus américains ont approuvé la publication de documents sensibles liés à l'affaire Epstein, quelques heures seulement après un revirement de Donald Trump qui refusait jusque-là ce vote à la Chambre des représentants. Comment expliquer la volte-face du président américain ? Avec Pierre Gervais, professeur de Civilisation américaine à l'Université Sorbonne Nouvelle. Auteur du livre « Histoire des États-Unis de 1860 à nos jours » (éditions Hachette Education). Royaume-Uni : pourquoi Londres durcit sa politique migratoire ? Le gouvernement travailliste britannique a dévoilé un vaste plan anti-immigration qui réduit significativement la protection accordée aux réfugiés. En quoi consistent ces nouvelles mesures ? Pourquoi la question migratoire suscite-t-elle un tel débat au sein de la société anglaise ? Avec Leslie Carretero, journaliste à Infomigrants. Japon/Chine : faut-il craindre une escalade ? En affirmant que Tokyo n'exclurait pas une intervention militaire à Taiwan en cas d'attaque de l'île, la Première ministre japonaise, Sanae Takaichi, a déclenché la colère de Pékin. Quel est l'intérêt du Japon à défendre Taïwan ? Jusqu'où peuvent aller les tensions entre les deux pays ? Avec Stéphane Corcuff, maître de conférences à Science Po Lyon.
C'est une bête noire pour le président américain. Après avoir joué le jeu des complotistes, Donald Trump se retrouve maintenant plombé par l'affaire des dossiers Epstein. Après plusieurs jours d'opposition forcenée, le président américain a finalement dû se résoudre à soutenir le vote à la Chambre des représentants sur la publication du dossier du défunt pédocriminel mondain. Dans quelle mesure le résultat du vote pourrait mettre Donald Trump dans la tourmente ? Pour le comprendre, Libération a invité Julien Gester, ancien correspondant à New York et spécialiste des Etats-Unis. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:35:30 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Ce mardi, la Chambre américaine des représentants et le Sénat ont voté en faveur de la publication de l'affaire Epstein. Lâché jusqu'à dans son camp, Donald Trump a dû faire volte-face et a déclaré soutenir cette proposition de loi. Elle doit être envoyée à la Maison Blanche pour promulgation Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:35:30 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Ce mardi, la Chambre américaine des représentants et le Sénat ont voté en faveur de la publication de l'affaire Epstein. Lâché jusqu'à dans son camp, Donald Trump a dû faire volte-face et a déclaré soutenir cette proposition de loi. Elle doit être envoyée à la Maison Blanche pour promulgation Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pas de pétrole.Pas d'accès à la mer.Pourtant, 1 suisse sur 7 est millionnaire.Comment la Suisse a-t-elle fait de ses pires défauts ses meilleurs atouts ?***
C'est là le paradoxe du président américain : alors que le plan de paix pour Gaza formulé par son administration a été déclaré comme un chemin crédible par le Conseil de sécurité de l'ONU, la requête votée de la publication intégrale des documents dans l'affaire Epstein, émise par la Chambre des représentants, vient gâcher ce succès diplomatique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le scandale des messages de Pablo Rodriguez fait trembler la Chambre. L'univers est-il un trou noir: Val est en panique devant la science. On dénonce les criminels des petits gestes illégaux dans votre entourage ! Et une grotte troublante qui a fait une victime. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Après la Chambre des représentants, le Sénat américain s'est prononcé hier en faveur de la publication des documents d'enquête sur l'affaire Epstein, du nom de ce financier mort en prison en 2019 avant son procès pour exploitation sexuelle de mineures. Donald Trump devrait maintenant signer cette proposition de loi qui vise donc à rendre public les documents de cette affaire. « À contrecœur », s'exclame le New York Times. Contraint et forcé en effet par son propre camp. Cette fois, pointe le journal, « Donald Trump n'est pas parvenu à détourner l'attention. Il avait ordonné aux membres de son parti de cesser d'en parler. Il avait tenté de faire pression sur les républicains de la Chambre des représentants. Peine perdue. Face à l'échec de ses tentatives, Donald Trump de plus en plus frustré a haussé le ton et même accusé certains de ses soutiens d'être des "traîtres" ». Publication partielle ? Reste à connaître maintenant la teneur de ces documents d'enquête et voir si le nom de Trump y apparaît… Dans les deux camps, républicains et démocrates, on s'interroge, pointe le Washington Post : « "le véritable test sera de savoir si le ministère de la Justice publiera l'ensemble des dossiers, ou si tout restera bloqué", affirme la représentante républicaine Marjorie Taylor Greene. Le chef de la minorité sénatoriale, le démocrate Chuck Schumer met en garde Trump contre toute publication partielle de documents une fois la loi adoptée : "si le président tente de manipuler l'administration pour ne publier qu'une partie des dossiers Epstein tout en en cachant délibérément d'autres, le public s'en apercevra immédiatement, affirme-t-il, et sa frustration et sa méfiance envers Donald Trump n'en seront que plus grandes" ». Dépassé par sa propre base… En effet, pointe Libération à Paris, « pour une partie de la base électorale de Trump, le mouvement Maga, l'affaire Epstein symbolise tout ce qui cloche depuis des années au sommet de l'État : un prétendu réseau de pédocriminels aux commandes du pays qui tente par tous les moyens de se disculper pour tromper le peuple américain. Ils sont convaincus que Jeffrey Epstein ne s'est pas suicidé en prison en 2019, mais qu'il a été assassiné parce que les clients de son réseau de prostitution sont ceux qui tireraient les ficelles d'un "deep state" (d'un "État profond") dirigeant le pays sans partage. Après avoir laissé prospérer cette théorie lors de la campagne présidentielle de 2024, voici donc Donald Trump dépassé par sa propre base. Il essaie désormais désespérément de la convaincre que tout cela n'est qu'un "canular démocrate" ». Il « savait » et même plus ? Quel pourrait être le degré d'implication du président américain ? Le Monde rappelle que « l'affaire a été relancée la semaine dernière par la publication d'e-mails du financier new-yorkais, au carnet d'adresses particulièrement bien rempli. Dans des messages dévoilés par des parlementaires démocrates, Jeffrey Epstein affirme que Donald Trump "savait à propos des filles" agressées sexuellement et qu'il avait même "passé plusieurs heures" avec l'une d'elles. Le président américain, qui n'a jamais été inquiété par la justice dans cette affaire, a toutefois assuré ne rien savoir de cela. Il a également contre-attaqué, relève encore Le Monde, en réclamant une enquête sur la relation entre Jeffrey Epstein et certaines personnalités démocrates, dont Bill Clinton ». Donald Trump est donc sur la défensive… Le Times à Londres note que le président américain s'en est vertement pris à une journaliste de Bloomberg qui l'interrogeait hier à propos de ces fameux courriels : « tais-toi, petite cochonne », lui a-t-il asséné… « C'est incroyable » Enfin, pour Die Welt à Berlin, « il est impossible de prédire les conséquences de la publication de ces documents, qui, selon le ministère de la Justice, comprennent plus de 100 000 pages. Des noms de personnalités importantes devraient y figurer. Comme Larry Summers, secrétaire au Trésor sous la présidence de Bill Clinton, qui a annoncé hier sa retraite de la vie publique, l'ancien secrétaire au Trésor britannique Peter Mandelson, ou encore Andrew Mountbatten-Windsor, le frère du roi Charles III ». Die Welt qui retient aussi les propos, après la décision du Congrès, d'Haley Robson, l'une des victimes d'Epstein : « "C'est incroyable. Voir cette promesse enfin tenue…", a-t-elle dit, la voix tremblante. Il lui a fallu 17 ans pour trouver le courage de parler des violences sexuelles qu'elle a vécues. Haley Robson avait 16 ans lorsqu'elle a été invitée à une séance de "massage lucratif" dans une villa de West Palm Beach. Et son calvaire a duré deux ans… »
durée : 00:26:34 - Auto-entrepreneur, connaissez-vous vraiment vos droits ? les aides possibles ? - Joël Derocles de la Chambre des Métiers de l'Ardèche, nous éclaire sur le statut d'auto-entrepreneur. Que vous soyez déjà indépendant ou que vous envisagiez de vous lancer, il partage des conseils précieux sur la création d'entreprise, la gestion des cotisations sociales, et bien plus encore. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 18 novembre 2025 - Affaire Epstein : le scandale qui rattrape Donald TrumpUn revirement spectaculaire. Après plusieurs mois d'un combat acharné contre la divulgation du dossier lié au pédocriminel Jeffrey Epstein, décédé en prison en 2019, le président américain a fait volte-face dimanche. Il a exhorté ses pairs républicains du Congrès à voter en faveur de la publication des documents judiciaires liés à l'enquête.La raison de ce virage à 180 degrés ? Les courriels de l'homme d'affaires déchu rendus publics la semaine dernière par des élus démocrates à la Chambre des représentants. Ces derniers suggérant des liens étroits entre Donald Trump et Jeffrey Epstein. Donald Trump "savait à propos des filles" agressées sexuellement et a "passé plusieurs heures" avec l'une d'elles, affirment des mails signés par Jeffrey Epstein.Le scandale Epstein a semé la division dans son camp. Une figure emblématique de son mouvement MAGA (Make America Great Again), Marjorie Taylor Greene, avait reproché au président de manquer de transparence dans ce scandale politico-judiciaire.Donald Trump a contre-attaqué en réclamant une enquête fédérale sur la relation entre Jeffrey Epstein et certaines personnalité démocrates. Parmi les 20.000 documents rendus publics, plusieurs personnalités sont mentionnées, dont le prince Andrew, déchu de ses titres royaux en octobre dernier. Un certain nombre de mails accablants impliquerait le frère du roi Charles III dans cette affaire retentissante. Empêtré dans cette affaire Epstein, Donald Trump doit faire face au mécontentement de ses citoyens, alors que l'inflation s'accélère dans le pays (à +3% en septembre contre +2,3% en avril, selon l'indice CPI). Sous pression, le président américain a annulé des droits de douane qu'il avait lui-même imposés sur certains produits du quotidien. Son propre camp le poussait à réagir après un cinglant revers aux derniers scrutins locaux et à un an des élections de mi-mandat. Nous sommes allés à la rencontre de ses électeurs déçus de sa politique, en Floride.Nos experts : - Laurence HAïM - Journaliste spécialiste des États-Unis- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France- Virginie VILAR - Grand Reporter pour Complément d'Enquête sur France Télévision- Anthony BELLANGER - Éditorialiste à France Info TV, spécialiste des questions internationales
Le premier budget du premier ministre Mark Carney a obtenu les appuis nécessaires à la Chambre des communes pour passer le test du vote de confiance, ce qui a permis d'éviter la chute du gouvernement libéral minoritaire et le déclenchement de nouvelles élections fédérales cet hiver.
Les députés de la Chambre des communes à Ottawa se prononcent sur le premier budget de Mark Carney. Parallèlement, le directeur parlementaire du budget par intérim remet en question la comptabilité du gouvernement et suggère qu’il y a moins de 10% de chances qu’il respecte ses objectifs de déficit. Entrevue avec Jason Jacques, directeur parlementaire du budget par intérim. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Notre chambre, c'est un peu comme « notre maison rien qu'à nous » dans la maison qu'on partage avec notre famille… Et plus on grandit, plus on y passe du temps ! Alors c'est normal d'avoir besoin d'un espace où on se sent bien et qui colle avec notre univers, nos goûts, nos passions. Dans cet épisode, tu vas découvrir plein d'astuces pour aménager la chambre de tes rêves sans te ruiner grâce à Juju et ses BFF qui se sont transformées en reines de la déco !CréditsDirection éditoriale : Aurélya Guerrero. Scénario : Sarah Barthère. Réalisation : Qude. Avec les voix de Candice Sansano, Augustine Pouplin et Alexia Neveu. Création visuelle : Emma Tissier. Responsable marketing : Jean-Luc Monchy. Un podcast de Milan presse 2025. Droits réservés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la dernière ligne droite au Chili avant le premier tour de l'élection présidentielle, dimanche prochain. La campagne est très polarisée : d'un côté, la candidate de gauche Yanette Hara, et de l'autre, l'extrême droite. Des camps que tout oppose, nous raconte notre correspondante Naïla Derroisné. Ce dimanche, 16 novembre 2025, plus de 15 millions de Chiliens seront appelés aux urnes pour choisir entre les 8 candidats présidentiels qui se présentent. Jeannette Jara, la candidate communiste du bloc de la gauche est, pour le moment, la favorite. Mais selon les sondages, elle ne remporterait pas assez de voix pour gagner dès le premier tour. Face à elle, trois candidats de la droite et de l'ultra-droite, dont José Antonio Kast, fondateur du parti Républicain bien positionné lui aussi, pour passer au second tour. Ces derniers mois, la campagne a fortement été marquée par les questions de sécurité, de narcotrafic et de délinquance. Tous les candidats en ont fait leur priorité car ce sont les principales préoccupations des Chiliens, nous précise notre correspondante Naïla Derroisné dans un reportage à Santiago. L'affaire Epstein secoue les républicains et une partie du camp MAGA En voulant étouffer la controverse autour des «Epstein files», les républicains ont finalement ravivé l'affaire, estime le New York Times. Face aux démocrates qui tentaient d'imposer un vote pour publier les documents, les dirigeants du Parti républicain ont lancé en septembre une manœuvre destinée à éviter une mise en difficulté politique : confier à la commission de contrôle de la Chambre, déjà dirigée par les conservateurs, la poursuite d'une enquête sur le dossier Epstein. L'objectif, poursuit le journal, était de montrer un effort de transparence tout en protégeant Donald Trump. Mais cette stratégie s'est retournée contre eux. Coincés entre les appels croissants à la transparence et leur volonté de protéger Trump, les républicains peinent désormais à reprendre le contrôle du dossier. Mais ce n'est pas le seul dossier qui pose un problème à Donald Trump Oui, selon le Washington Post, le président américain fait face à une fronde inhabituelle au sein de sa base MAGA, après avoir affirmé que les États-Unis manquaient de travailleurs «talentueux» et avaient besoin de faire venir davantage d'étrangers qualifiés. Une déclaration qui a été jugée contraire à la devise «l'Amérique d'abord». Ces tensions révèlent les limites de l'autorité de Trump sur son propre mouvement, même si tous s'accordent à dire que la base ne se détournera pas durablement de lui. Les critiques, de plus en plus ouvertes, montrent un populisme désormais autonome, parfois prêt à «guider» Trump plutôt qu'à le suivre. En tout cas, d'après le Washington Post, plusieurs stratèges républicains s'inquiètent que l'enthousiasme pro-Trump s'érode à l'approche des élections de mi-mandat de 2026. Des footballeurs en grève Des footballeurs colombiens se sont couchés sur la pelouse pour protester contre leurs conditions de travail. D'après le journal La Nacion, les joueurs demandent un accord visant notamment à augmenter le pourcentage qui leur revient lors des transferts, à améliorer la couverture santé et à leur accorder une part des revenus liés aux droits de diffusion télévisuelle. Le malaise touche le football colombien depuis un certain moment. Il y a quelques jours, un club a menacé de faire grève pour demander le paiement d'un mois de salaire qui leur est dû. Selon le site Infobae, la saison 2025 du football colombien se termine dans un contexte de graves difficultés financières pour de nombreux clubs. En Colombie, le Bullerengue est devenu patrimoine immatériel de la nation Ce genre musical et cette danse traditionnelle de la côte caribéenne de Colombie sont nés au cœur des communautés afro-colombiennes à l'époque de l'esclavage. Ils constituaient un outil de résistance contre les colons, un art pour exprimer la liberté et l'identité de ces peuples. Avec une nouvelle loi, le gouvernement vient de franchir un pas historique pour la préservation de la culture afro-colombienne. Notre correspondante à Medellín, Najet Benraba, nous en dit plus, après avoir assisté à plusieurs concerts de Bullerengue. Journal de la 1re Le Conseil départemental de la Guadeloupe veut en faire avec le conflit qui est en cours au centre hospitalier universitaire.
The Czech republic is the Pays d'Honneur for this biennial event. De Mains De Maîtres is dedicated to excellence in craftsmanship, creativity, and the profound artistry of making things by hand. This, the 5th edition of the biennale, has grown into one of the most prestigious applied Art and Design events in the Greater Region. De Mains de Maîtres was founded in 2016 under the patronage of Their Royal Highnesses, the Grand Duke and Grand Duchess of Luxembourg. The mission is to honour craftsmanship and give visibility to those who shape our world with their hands. In this conversation we will discuss how craftsmanship connects heritage, identity, sustainability, and emotional well-being across generations. It is linked to the materials around us, the conversations and subversions of the day, the need to slow down and connect with our world through our hands and our heads. Artistry of this level is worth elevating, celebrating, respecting and encouraging through our educational system - another theme of the conversation. This year hosts Czechia as the Pays d'Honneur, bringing centuries of glassmaking, ceramics, puppetry and design heritage to Luxembourg. My guests this week are: - Her Excellency, Ambassador Barbara Karpetová, who has been instrumental in coordinating Czechia's participation. - Tom Wirion, Director General of the Chambre des Métiers. - Embroidery artist Yanis Miltgen, whose sculptural textile work has gained international acclaim. - Ceramicist Ellen van der Woude, whose work is influenced by nature, harmony and emotional resonance. Ambassador Barbara Karpetová speaks so eloquently about the changing borders and names of her homeland, and how, throughout this, the language of the artists developed its own conversation with people. The humour that can be spotted in artisans' work through generations of history; the means to remain resilient through periods of political repression. Craft can hold the history and identity of a nation's people. Her Excellency also highlighted the psychological importance of making: the sense of satisfaction in producing something from beginning to end, and the power of craft to reconnect us with our own creativity which is so easily lost in an era of screens and speed. Ambassador Barbara also spoke about the rich material landscape of ‘Bohemia' which easily allowed the arts of certain genres to flourish, such as glass-making. On the Luxembourg side, Tom Wirion, Director General of the Chambre des Métiers, underscored how essential the craft sector is to the country's cultural landscape. Tom noted that one of the greatest challenges remains perception: encouraging young people (and parents) to view skilled trades as a stable, innovative, and rewarding career path. “Buying a crafted object,” he explained, “means investing in a gesture, not just a product.” His vision is to make artisans visible, valued, and actively supported through new pathways, partnerships, and gallery collaborations. And naturally the educational system has to allow this subject to shine more too. Ceramic artist Ellen van der Woude, formerly a lawyer, turned to ceramics after personal loss and found profound therapeutic power in clay. Her sculptures embrace movement, tension, harmony, and imperfection: an homage to nature's organic balance. For this edition, she presents three works inspired by the transition from winter to spring, reminding us that renewal follows even the longest winters. Ellen's own confidence in realising that she was indeed an artist only settled once she won the Jury Prize in the first edition of De Mains de Maîtres. She went on to win numerous other awards since. Yanis Miltgen, at just 24 years, found embroidery at the age of 15. Like Ellen, he found working with his hands and mind to be therapy as he had panic attacks at school. Yanis has won the most prestigious embroidery prize (just last week in London); the Hand & Lock Prize. He also won “Les de(ux) mains” Prize from the Comité Colbert (which is ‘the voice of luxury in France). Yanis has brought embroidery to an entirely new level of textile sculptural artistry, merging embroidery with metal, silicone, and reclaimed materials. His pieces, often requiring hundreds of hours, push the boundaries of what textile art can be: scientific in process, poetic in effect. We are reminded at the end by Ambassador Karpetová that even we, as customers, continue this line of artisan appreciation, as we observe the flow of an artists hands' into our homes, or gifting to a loved one. The continuity of time and art, heritage and thought, all combined. These are the things of divine creation which we can contemplate. To stand amongst these curated pieces, visit De Mains De Maîtres 20th to 23rd of November, 10am to 6.30pm, no entrance fee at 19 Avenue de la Liberté. Useful Links https://www.demainsdemaitres.lu/en/ Czech Embassy • Website: https://mzv.gov.cz/luxembourg • Facebook: https://www.facebook.com/AmbassadeTchequeLuxembourg/ Tom Wirion – Chambre des Métiers • https://www.cdm.lu • LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/tom-wirion/ Yanis Miltgen • Instagram: https://www.instagram.com/miltgen_design/?hl=en Ellen van der Woude • Website: http://www.ellenvanderwoude.com • Instagram: https://www.instagram.com/ellenvanderwoude/ • Facebook: https://www.facebook.com/madebyEF/
Ce matin, on parle de musique qui fait du bien, de celle qui console autant qu'elle rassemble. Et pour commencer, direction un service de néonatologie au Brésil, où la chorale Cantateiros a récemment partagé un moment bouleversant. Dans une courte vidéo devenue virale, on les voit chanter doucement au milieu des incubateurs, entourés de bébés prématurés. Leur message est simple et magnifique : « ici, la musique n'est pas seulement un son. Elle devient échange, affection, vie. C'est la guérison. » Ce chant posé dans un lieu fragile rappelle à quel point les voix humaines peuvent apporter chaleur, apaisement et présence. Une pratique qui d'ailleurs commence doucement à se développer en Europe, et même chez nous, où un projet similaire serait en préparation.Et puis, plus près de chez nous, il existe une autre chorale qui fait du bien : celle de Nativitas, dans les Marolles à Bruxelles. Une asbl vieille de 50 ans, installée dans un quartier populaire, qui accueille chaque jour des personnes précarisées ou sans abri. Leur slogan dit tout : « Chez Nativitas, c'est Noël toute l'année car il n'y a pas de saison pour aimer. »Et chaque mardi après-midi, c'est chorale populaire dans la salle de séjour. Aux commandes : Monica Nev, la fondatrice, 94 ans, au piano. Les bénéficiaires chantent des airs entraînants, des chansons populaires du quartier. Certains participent, d'autres écoutent, mais l'effet est toujours le même : un moment suspendu, où l'on oublie les nuits difficiles, où l'on retrouve un sourire, une respiration, une humanité.Nativitas mise beaucoup sur la culture comme levier de réparation et d'ouverture. Il y a des sorties au théâtre, des concerts, des balades, des ateliers de cuisine, de jardinage ou de yoga. Tout ce qui peut redonner confiance, rompre l'isolement, réintroduire un peu de beauté et de répit dans le quotidien des personnes en grande difficulté. Et parfois, c'est la culture qui vient jusqu'à eux : ce sera le cas aujourd'hui, avec un concert classique directement dans leur centre d'accueil, rue Haute. Valère Burnon, 3e lauréat du dernier Concours Reine Elisabeth, viendra jouer en personne, accompagné d'instrumentistes de l'Orchestre de Chambre de Wallonie. Une rencontre improbable, précieuse, profondément humaine.Et notez déjà la date : le 2 décembre, un concert de gala aura lieu à Flagey au profit de Nativitas, pour continuer à soutenir ces actions si essentielles.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be
« Lorsque les États-Unis se sont réveillés de la plus longue paralysie gouvernementale de leur histoire, Jeffrey Epstein était toujours là », ironise El Pais. « Pendant les 43 jours où le robinet de l'argent public est resté partiellement fermé, le souvenir des terribles crimes du millionnaire pédophile – qui, depuis sa mort en 2019, hante Donald Trump – est passé au second plan face à d'autres questions urgentes ». Mais voilà, de nouveaux rebondissements sont intervenus, cette semaine, avec la publication, par les démocrates de la commission de surveillance de la Chambre des représentants, de mails dans lesquels Jeffrey Epstein affirme que Donald Trump « était au courant pour les filles » et qu'il avait passé « des heures » avec l'une des victimes du financier. Le président dénonce des « supercheries ». Mais l'affaire ne s'arrête pas là puisque, comme l'explique El Pais, une pétition parlementaire va contraindre le Congrès à voter et à exiger de la Maison-Blanche la publication des dossiers Epstein par le ministère de la Justice. Malgré les pressions exercées sur certains, « quatre républicains se sont joints à leurs rivaux, précise le quotidien espagnol, pour rassembler les 218 signatures nécessaires pour exiger la publication de ce dossier ». Vote attendu du Congrès sur la publication de dossiers Un démocrate de Californie estime, selon The Guardian, « qu'entre 40 et 50 républicains pourraient voter en faveur de la publication des documents, s'alliant ainsi aux démocrates qui voteront pour ». « Le texte, poursuit The Guardian, devrait ensuite être examiné par le Sénat, où son adoption est peu probable. » Et dans tous les cas, conclue le quotidien britannique, « Donald Trump pourrait opposer son veto à la version finale du projet de loi, même s'il était adopté par les deux chambres ». « Cependant, note The Guardian, la simple perspective d'un vote favorable de la Chambre des représentants, contrôlée par les républicains, pourrait engendrer de sérieux problèmes politiques pour Trump, car elle pourrait alimenter les protestations de sa base politique en faveur de la levée du secret sur ces documents et saper leur soutien envers lui. » « Epstein est le seul sujet qui divise constamment Trump et sa base électorale » : c'est d'ailleurs ce que titre le Washington Post. « Les partisans du slogan "Make America Great Again" n'ont eu aucun mal à fermer les yeux sur le mépris de Donald Trump pour les normes et les principes éthiques, souligne le Washington Post, mais la gestion par son administration des informations relatives aux crimes odieux du délinquant sexuel condamné Jeffrey Epstein est différente. » « C'est tout ce que la Maison Blanche redoutait : que l'affaire Epstein lui revienne en pleine figure », confirme le journal français L'Opinion, qui rappelle qu'en juillet, cette affaire avait déjà failli faire imploser le mouvement MAGA. La procureure générale, Pam Bondi, avait affirmé qu'il n'y avait pas de raison de dévoiler le contenu de l'enquête, après avoir promis de le faire quelques mois plus tôt. La fameuse liste des clients haut placés de l'ancien financier, qui auraient participé à ses crimes, « n'existe pas », avait-elle affirmé. « Plusieurs soutiens trumpistes s'étaient alors sentis trompés par leur chef, poursuit L'Opinion, apprenant par le biais des médias de nouveaux détails sur son amitié avec Jeffrey Epstein. » Le président américain traverse « une mauvaise passe » « En quelques jours seulement, note El Pais, le parti de Trump a subi une défaite cuisante aux urnes, la Cour suprême a exprimé des doutes quant à la constitutionnalité de ses tarifs douaniers, et une guerre intestine a éclaté au sein du mouvement MAGA concernant le niveau d'extrémisme (antisémite) acceptable en son sein, suite à une interview controversée entre Tucker Carlson et le négationniste Nick Fuentes. » Le Washington Post évoque aussi des critiques après une interview de Donald Trump, en début de semaine, faisant comprendre que les États-Unis avaient besoin de travailleurs étrangers parce qu'ils ne disposent pas d'assez de « personnes talentueuses ». Des dissensions qui « ont mis en lumière, analyse le Washington Post, les limites de l'autorité de Trump sur le programme de "l'Amérique d'abord" qu'il a défendu durant sa campagne, et qui ont suscité des inquiétudes au sein du Parti républicain quant à l'enthousiasme des électeurs à l'approche des élections de mi-mandat de 2026. » « En privé, tempère Politico, les conseillers de la Maison-Blanche réfutent l'idée que la situation actuelle soit particulièrement défavorable ou qu'ils aient essuyé une série de revers ». Mais la Maison-Blanche est, titre le média américain, « sur la défensive ». À lire aussiÉtats-Unis: la Maison Blanche accuse les démocrates de fabriquer «un faux récit» sur Trump et Epstein
Vous faites quoi ce vendredi 7 novembre à 12h30 ? Moi, j'invite Julie Bonnot, Meilleur Ouvrier de France Gouvernante, pour un webinaire exceptionnel !Si vous êtes directeur d'établissement, de l'hébergement ou que vous vous intéressez aux étages, inscrivez-vous gratuitement !1️⃣ Présentation de l'épisode :Annoncer une mauvaise nouvelle n'est jamais un moment facile.Et pourtant, c'est une réalité que tous les managers connaissent un jour.Il y a quelques semaines, un manager m'a raconté une situation désagréable où il était gêné d'annoncer une mauvaise nouvelle à son collaborateur.Il ne savait pas par où commencer...C'est pour cette raison que j'ai voulu consacrer cet épisode à ce sujet.Car annoncer une nouvelle difficile, ce n'est pas seulement une compétence de communication.C'est un acte de management, un moment où votre posture, vos mots et votre attitude peuvent transformer une épreuve en preuve de leadership.Dans cet épisode, je vais vous partager 7 étapes simples et concrètes pour annoncer une nouvelle difficile sans briser la relation.Vous êtes manager ou souhaitez le devenir ? Cet épisode va vous donner de bons outils !2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : HotelPartnerHotelPartner Revenue ManagementPrendre un rendez-vous avec MarjolaineDites que vous venez d'Hospitality Insiders et Marjolaine se déplace gratuitement dans votre établissement pour effectuer un diagnostic !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - Planifier le rendez-vous pour décharger son esprit00:03:00 - Noter les points principaux à évoquer00:04:00 - Répéter la conversation à voix haute00:06:00 - Créer le bon cadre00:08:00 - Annoncer les faits avec empathie00:09:00 - Accueillir la réaction de l'autre00:11:00 - Accompagner la suite et construire l'après00:13:00 - ConclusionSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aux États-Unis, le mot shutdown désigne littéralement « la fermeture » du gouvernement fédéral. Mais derrière ce terme se cache un mécanisme bien particulier du système politique américain, lié à la manière dont le pays vote et dépense son budget.Chaque année, le Congrès américain – composé de la Chambre des représentants et du Sénat – doit adopter les lois de finances qui fixent les dépenses de l'État fédéral : salaires des fonctionnaires, fonctionnement des agences, programmes sociaux, armée, justice, etc. Si, pour une raison politique, le budget n'est pas voté à temps, alors les administrations concernées ne peuvent plus être financées. Résultat : elles ferment temporairement. C'est ce qu'on appelle le shutdown.Concrètement, lorsque le Congrès échoue à adopter un nouveau budget avant la date limite, une partie du gouvernement cesse de fonctionner. Les services jugés « non essentiels » ferment : les musées, les parcs nationaux, les bureaux administratifs, certaines recherches scientifiques. Des centaines de milliers de fonctionnaires sont placés en congé forcé, sans salaire. Les autres – policiers, militaires, contrôleurs aériens, hôpitaux publics – continuent de travailler, mais sans être payés immédiatement.Un shutdown ne concerne pas tout l'État américain, mais uniquement les activités dépendant du budget fédéral. Les services locaux (écoles, pompiers, police municipale) continuent, car ils relèvent des États ou des villes. En revanche, plus le shutdown dure, plus ses conséquences économiques s'accumulent : retards de paiement, chute de confiance, baisse de la consommation, blocage administratif pour des millions de citoyens.Pourquoi cela arrive-t-il ? Parce que, contrairement à d'autres pays, les États-Unis reposent sur un équilibre strict entre le pouvoir exécutif (le président) et le pouvoir législatif (le Congrès). Quand les deux ne s'entendent pas – par exemple, si la Maison Blanche et la Chambre des représentants appartiennent à des partis opposés – le budget peut devenir un instrument de pression politique. C'est souvent le cas : un camp bloque le financement pour obtenir des concessions sur un autre sujet, comme l'immigration, la dette ou les dépenses militaires.Depuis les années 1980, les États-Unis ont connu une vingtaine de shutdowns. Certains ont duré quelques heures, d'autres plusieurs semaines, comme celui de 2018-2019, resté le plus long de l'histoire avec 35 jours d'arrêt partiel du gouvernement.En résumé, le shutdown est une arme politique autant qu'une crise budgétaire : c'est la conséquence directe d'un désaccord entre les pouvoirs américains, qui paralyse temporairement l'administration et rappelle la fragilité du compromis au cœur du système fédéral américain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Vincent Strauss, ancien patron de COMGEST et un véritable colosse de la finance.Dans cet épisode, j'ai demandé à Vincent de me présenter ses nouvelles convictions d'investissement pour 2026, notamment à l'ère des discussions de plus en plus présentes sur la bulle de l'IA...***
durée : 00:00:33 - En Dordogne, une boulangerie à reprendre à Saint-Estèphe - C'est le mois de la transmission en Nouvelle-Aquitaine avec la Chambre des Métiers et de l'Artisanat en Dordogne qui vous propose de reprendre une boulangerie au cœur du village de Saint-Estèphe près de Nontron...... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En Ukraine, un proche de Zelensky est accusé de corruption grave Vladimir Poutine nomme de plus en plus de personnes de sa famille proche à des postes importants L'écrivain algérien Boualem Sansal gracié par le président algérien Le maire d'Istanbul risque... 2000 ans de prison On surveille le vote à la Chambre des représentants aux ÉU Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Abonnez-vous à QUB télé via https://www.tvaplus.ca/qub ou écoutez ce segment en balado via https://www.qub.ca/radio/balado/benoit-dutrizacPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le Sénat a adopté, dans la nuit du 11 au 12 novembre 2025, le texte qui lève la paralysie budgétaire en vigueur depuis plus de 40 jours. Il doit être adopté à présent par la Chambre des représentants à partir du 13 novembre avant d'être signé par Donald Trump. Écoutez RTL autour du monde du 11 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est sans doute bientôt la fin de 41 jours de shutdown, de blocage de l'État fédéral. Le Sénat américain a adopté hier un texte en ce sens, grâce à l'appui d'une poignée de sénateurs démocrates. « La proposition de loi - adoptée à 60 voix pour et 40 contre - étend le budget actuel jusqu'à la fin du mois de janvier, précise Le Monde à Paris. Le texte doit encore être débattu et adopté à partir de demain à la Chambre des représentants, avant d'atterrir sur le bureau de Donald Trump pour une promulgation qui mettra officiellement fin à la paralysie budgétaire. » Ouf de soulagement pour le Wall Street Journal : « félicitations aux sept démocrates et à l'unique indépendant qui ont décidé de mettre fin à la plus longue paralysie gouvernementale de l'histoire des États-Unis, s'exclame le quotidien financier. Ils ont fait passer l'intérêt du pays avant tout. Et la colère de certains démocrates à leur encontre est symptomatique de la polarisation actuelle (au sein du parti) et laisse présager des tensions accrues. » « Le blocage devait forcément se terminer ainsi, reconnait le Washington Post. Les huit sénateurs qui ont fait pencher la balance méritent d'être félicités d'avoir rompu les rangs. (…) Un bref aperçu de l'histoire des États-Unis en matière de blocage des services publics montre que le parti qui prend le gouvernement en otage pour faire avancer ses objectifs politiques n'y parvient presque jamais. » Tout ça pour ça… Et pourtant, déplore le New York Times, les sénateurs démocrates qui ont voté la fin du shutdown « n'ont pas obtenu grand-chose : l'aide alimentaire bénéficiera d'un financement légèrement accru (…). Les fonctionnaires fédéraux licenciés seront réembauchés et ceux mis en congé technique recevront leurs arriérés de salaire. La majeure partie de l'administration est financée seulement jusqu'à fin janvier. Alors, préparez-vous, s'exclame le New York Times. On pourrait bien se retrouver avec un nouveau shutdown ! » En effet, si c'est globalement une bonne nouvelle pour les Américains, c'est un revers pour les démocrates, ce que souligne notamment Le Temps à Genève : « Le compromis n'inclut pas la revendication centrale des démocrates. À savoir la prolongation des subventions aux assurances maladie, qui expireront à la fin de l'année. Or, pour les démocrates, minorisés dans les deux chambres, le shutdown permettait de tirer avantage de la nécessité d'une majorité qualifiée au Sénat pour forcer les républicains à négocier. La stratégie s'était jusqu'ici révélée gagnante : Donald Trump lui-même a reconnu que la fermeture partielle du gouvernement avait contribué aux victoires démocrates à New York, en Virginie et dans le New Jersey. À ce titre, l'effondrement désordonné du blocage démocrate contre le mot d'ordre du parti ne fait que souligner sa faiblesse. (…) Et les républicains ne manqueront pas d'en tirer bruyamment profit. Le parti du président devrait crier victoire, blâmer ses adversaires pour le plus long shutdown de l'histoire, et revendiquer la paternité de la sortie de crise. Donald Trump et ses méthodes d'intimidation triompheraient à nouveau. » Bref, s'interroge Le Temps, « tout ça pour rien ? » À lire aussiÉtats-Unis: les sénateurs démocrates et républicains trouvent un accord pour mettre fin au «shutdown» France : Sarkozy libéré… À la Une également, la libération hier de l'ancien président Nicolas Sarkozy. La « fin d'une incroyable injustice, pour Le Figaro. La cour a considéré que la “détention provisoire n'était pas justifiée“. Pourquoi, alors, l'était-elle il y a trois semaines ?, s'interroge le quotidien de droite. Aujourd'hui, les Français n'ont plus confiance dans l'autorité judiciaire et ce qu'ils craignent, c'est l'arbitraire. » Non, rétorque Libération : « La puissante contre-offensive médiatique (de la droite) n'a pas convaincu la majorité des Français, sauf bien sûr les fans de l'ancien Président et les soutiens de Marine Le Pen, qui a, elle aussi, maille à partir avec la justice. (…) Il n'y avait aucune raison de se réjouir de voir Nicolas Sarkozy dormir à la prison de la Santé. Et aucune raison non plus, pointe Libération, qu'il ne soit pas traité comme n'importe quelle personne déclarée coupable et condamnée à de la prison ferme, puis comme n'importe quel détenu. C'est d'ailleurs ce que les Français attendaient de la justice. » À lire aussiProcès libyen: Nicolas Sarkozy libéré de prison, «la vérité triomphera» assure l'ancien président
Vous faites quoi ce vendredi 7 novembre à 12h30 ? Moi, j'invite Julie Bonnot, Meilleur Ouvrier de France Gouvernante, pour un webinaire exceptionnel !Si vous êtes directeur d'établissement, de l'hébergement ou que vous vous intéressez aux étages, inscrivez-vous gratuitement !Aujourd'hui, nous allons parler d'un sujet qui est de plus en plus d'actualité, la génération Z ! Qui est cette génération Z, vous demandez-vous peut-être ? Il s'agit de la population née entre 1997 et 2012. Et devinez quoi ? Cette génération représentera 30 % de la force active en 2030. C'est énorme, n'est-ce pas ? Mais voilà le problème. La génération Z est très différente des précédentes. Elle est difficile à cerner et à manager avec les méthodes traditionnelles. En effet, cette génération est très mobile et peut refuser un haut salaire si elle ne retrouve ni les valeurs ni le confort auxquels elle aspire. Elle utilise aussi massivement les réseaux sociaux dans sa recherche d'emploi - 79 % des candidats de moins de 35 ans le font. Alors, quelle est la solution ? Il faut apprendre, comprendre, et innover. Pour illustrer, prenons l'exemple de deux entreprises. D'abord, Kimpton St Honoré, qui a innové en proposant un CV d'entreprise. Puis, Les Maisons Pariente qui ont créé un comité RSE, basé sur le volontariat. En conclusion, comprendre et intégrer la génération Z est un défi, mais aussi une opportunité. C'est le début d'un chemin passionnant. Alors, restons ouverts, curieux et prêts à apprendre. Ressources citées : L'article de Forbes Mon post Linkedin Chapitrage 00:00:00 Introduction 00:01:12 Identification de la génération Z 00:04:03 Défis pour les employeurs et les managers 00:07:22 Solutions et adaptation nécessaire des entreprises 00:12:07 Nécessité d'une communication forte et d'un lien social 00:18:00 Nouvelles approches et changements de paradigme en recrutement Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 7 novembre 2025 - Budget : pas de cadeaux à Noël…Aura-t-on un budget pour les fêtes de Noël ? À un mois et demi de la fin des débats sur le budget, le gouvernement s'échine à chercher des pistes pour réduire le déficit de la sécurité sociale (23 milliards d'euros). Dernière proposition polémique : diviser par deux l'enveloppe globale allouée à la prime de fin d'année pour les allocataires du Revenu de solidarité active (RSA). Pour faire simple, les 1,2 millions de bénéficiaires du RSA sans enfants ne la toucheraient plus. La mesure est loin d'être adoptée, mais le gouvernement cherche à tout prix à tailler dans les dépenses depuis l'annonce de la suspension de la réforme des retraites. Mercredi, les députés ont cette fois adopté la hausse de la Contribution sociale généralisée (CSG) de 9,2 à 10,6 %. Malgré l'échec de la taxe Zucman, rejetée par l'Assemblée, la gauche continue à négocier avec la majorité.Ancien héraut des socialistes, candidat malheureux à l'élection présidentielle de 2017, Benoît Hamon commente depuis quelques mois la crise politique qui frappe la France. PDG de l'association Singa et président de la Chambre d'économie sociale et solidaire, il dénonce les coupes budgétaires pour les associations. Selon une étude menée en septembre par le mouvement associatif, 40 % des associations ont déclaré réduire leur masse salariale, et 9 % procéder à des licenciements ou à un plan de sauvegarde. "Très concrètement, on fait une économie sur le retour à l'emploi et la possibilité de travailler de dizaines de milliers de personnes déjà vulnérables", s'indigne Benoît Hamon. L'ancien socialiste dénonce également la "faute morale" consistant à s'attaquer au budget des classes populaires (via le RSA par exemple), plutôt qu'à taxer davantage les plus riches : "C'est révoltant en termes sociaux, mais c'est révoltant aussi sur le plan moral."Si les débats s'annoncent toujours houleux à l'Assemblée nationale, une bonne nouvelle est arrivée fin octobre dans les bureaux de Bercy. La croissance française atteint 0,5 % au troisième trimestre, en hausse par rapport aux deux trimestres précédents. Le ministre de l'économie Roland Lescure s'est félicité d'une "performance remarquable" : "Malgré les soubresauts politiques et les incertitudes internationales, nos entreprises investissent, exportent et font progresser le pays." Certaines ont même décidé de renationaliser leur production, à l'image de la manufacture horlogère Yema, 15 millions d'euros de chiffre d'affaires et 50 salariés, dont une trentaine en Suisse. Depuis l'annonce des droits de douane américains de 39% sur les exportations Suisse, l'entreprise a décidé de se concentrer sur le made in France. Une équipe de C dans l'air est allée à la rencontre de son patron.Qui pourrait être touché par les nouvelles taxes votées sur l'épargne salariale des Français ? Comment expliquer le mal-être du secteur associatif en France ? Et comment expliquer le regain de croissance de l'économie française ?LES EXPERTS :- Bruno Jeudy - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Nathalie Mauret - Journaliste politique - Groupe EBRA- Benjamin Morel - Constitutionnaliste, professeur de droit public à l'Université Paris-Panthéon-Assas- Christine Kerdellant - Journaliste économique et essayiste
Le député conservateur d'Edmonton Riverbend, Matt Jeneroux, a annoncé qu'il quittera son poste, probablement d'ici le printemps. Sa démission survient dans la foulée de celle d'un autre élu conservateur, Chris d'Entremont, qui a traversé la Chambre pour rejoindre les libéraux.
Vous faites quoi ce vendredi 7 novembre à 12h30 ? Moi, j'invite Julie Bonnot, Meilleur Ouvrier de France Gouvernante, pour un webinaire exceptionnel !Si vous êtes directeur d'établissement, de l'hébergement ou que vous vous intéressez aux étages, inscrivez-vous gratuitement !1️⃣ Présentation de l'invité :Dans l'hôtellerie, on parle beaucoup de luxe, de palaces, de grands noms !Mais l'hôtellerie économique, elle, représente la majorité des séjours et constitue un pilier essentiel de notre secteur. Longtemps associée à une image de “bas de gamme”, elle connaît aujourd'hui une transformation profonde : nouvelles attentes clients, enjeux de développement durable, croissance internationale…À la tête de B&B Hotels, Fabrice Collet a accompagné cette mutation avec une vision claire : montrer que « économique » ne veut pas dire « au rabais ». Son parcours de CEO, désormais président du groupe, illustre parfaitement comment leadership et transmission peuvent façonner l'avenir d'une marque.C'est donc de croissance, de responsabilité, mais aussi d'humain que nous allons parler aujourd'hui.Depuis 35 ans, B&B Hotels regroupe 940 hôtels dans 19 pays et sur deux continents.Quelle est la stratégie derrière l'offre d'un produit simple, efficace, garantissant un excellent sommeil pour environ 70 ou 75 €, sans compromis sur la qualité ?Quel est le modèle unique des hôteliers entrepreneurs qui gèrent le fonds de commerce, Comment gérer l'hyper-croissance que représente l'ouverture d'une centaine d'hôtels par an ? Quels sont leurs nouveaux projets comme la marque B&B Home ?Toutes les réponses sont à écouter dans notre conversation.2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : HotelPartnerHotelPartner Revenue ManagementPrendre un rendez-vous avec MarjolaineDites que vous venez d'Hospitality Insiders et Marjolaine se déplace gratuitement dans votre établissement pour effectuer un diagnostic !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - Définition de l'hôtellerie économique et contexte du marché00:12:00 - Genèse, philosophie et croissance de B&B Hotels00:24:00 - Modèle opérationnel et rôle essentiel de l'humain00:35:00 - Parcours de Fabrice Collet et nouveaux axes stratégiques00:44:00 - Engagements RSE : réduction impact carbone et inclusion sociale01:04:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous faites quoi ce vendredi 7 novembre à 12h30 ? Moi, j'invite Julie Bonnot, Meilleur Ouvrier de France Gouvernante, pour un webinaire exceptionnel !Si vous êtes directeur d'établissement, de l'hébergement ou que vous vous intéressez aux étages, inscrivez-vous gratuitement !Si vous êtes ici, c'est que vous cherchez à atteindre l'excellence, et je vous félicite pour cela. Mais savez-vous comment y parvenir ? L'excellence ne se fait pas du jour au lendemain, elle est le fruit d'un travail acharné, d'une grande exigence envers soi-même et d'une remise en question constante. Si vous souhaitez progresser et atteindre vos objectifs les plus ambitieux, il est essentiel de sortir de votre zone de confort, d'accepter les critiques constructives et de travailler sur vos faiblesses. L'exigence, c'est se fixer des objectifs élevés et travailler dur pour les atteindre, sans se contenter de résultats médiocres. C'est également être honnête avec soi-même et reconnaître ses propres limites. Cela permet de se concentrer sur ses points forts et d'identifier les domaines dans lesquels il est nécessaire de s'améliorer. La remise en question, quant à elle, consiste à remettre en question ses méthodes de travail et à essayer de nouvelles approches. Cela peut parfois être difficile, car cela implique de sortir de sa zone de confort et de prendre des risques. Mais c'est aussi essentiel pour progresser et atteindre ses objectifs. Enfin, il est important d'accepter les critiques constructives. Nous avons tous des points faibles, et il est normal de recevoir des commentaires négatifs de la part de nos collègues ou de nos mentors. Mais c'est précisément en écoutant ces commentaires et en travaillant sur nos faiblesses que nous pouvons nous améliorer et atteindre l'excellence. En somme, l'exigence et la remise en question sont deux aspects essentiels de l'atteinte de l'excellence. En les incorporant dans vos pratiques de travail, vous pouvez vous assurer que vous progressez constamment et atteignez vos objectifs. Alors, prêt à relever le défi de l'excellence ? Notes et références : Mon passage sur le podcast Actions & Réservations de Yen Bui ; Mon TedX : Le luxe expérientiel, créer l'enchantement à travers le service ; Nicolas Dupont - Chef de réception au Four Seasons, hôtel George V ; Xavier Thuizat : un parcours dans le vin ; Diriger un SPA d'hôtel avec Isabelle Schlumberger ; Chapitrage : 00:01:12 : L'excellence de service dans le luxe 00:05:25 : Formation et progression 00:08:35 : Exigence et remise en question 00:13:50 : Exemples concrets 00:15:57 : Extension de l'excellence Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'héritage représente aujourd'hui 60% du patrimoine national français.Contre à peine 35% en 1970.Alors la question se pose :S'enrichir par soi-même, est-ce encore possible dans la France de 2025? Et si oui, comment ?Mes sources : https://docs.google.com/document/d/1nmSXhbLb9GFcM1pEvI4wsG9W2YHrhSGd9tpocisPflw/edit?tab=t.0***
Nouveauté pour la rentrée : Le E-carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" est disponible pour seulement 39 € !Découvrez l'extrait de l'épisode 152 d'Hospitality Insiders sur le parcours de Stéphane Guénaud ! Stéphane est Maître d'hôtel - Argentier à l'Élysée, depuis plus de 25 ans.Ensemble, nous plongeons dans les coulisses de ce métier méconnu ! Retrouvez l'intégralité de l'épisode ici.Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:42 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Après 1918 s'ouvre une période de grands changements, notamment pour les femmes. Entre 1915 et 1923, quatorze pays leur accordent des droits politiques. Pour les Françaises aussi, l'heure du droit de vote semble venu. Le 8 mai 1919 s'ouvrent à la Chambre des députés les débats sur le vote féminin. - invités : Anne-Sarah Bouglé-Moalic - Anne-Sarah Bouglé-Moalic : Historienne - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:15:08 - Mozart : "Les premiers concertos viennois" - Ben Kim, Orchestre de chambre du Concertgebouw d'Amsterdam - C'est déjà le troisième disque de concertos de Mozart que Ben Kim enregistre avec l'Orchestre de chambre du Concertgebouw d'Amsterdam depuis 2019. Pour cette nouvelle collaboration, il revient aux premiers concertos écrits après avoir quitté Salzbourg pour Vienne, entre 1782 et 1783. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:15:08 - Mozart : "Les premiers concertos viennois" - Ben Kim, Orchestre de chambre du Concertgebouw d'Amsterdam - C'est déjà le troisième disque de concertos de Mozart que Ben Kim enregistre avec l'Orchestre de chambre du Concertgebouw d'Amsterdam depuis 2019. Pour cette nouvelle collaboration, il revient aux premiers concertos écrits après avoir quitté Salzbourg pour Vienne, entre 1782 et 1783. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Nouveauté pour la rentrée : Le E-carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" est disponible pour seulement 39 € !1️⃣ Présentation de l'invité :Stéphane Guenaud est l'un des derniers représentants d'un art discret… mais essentiel à la diplomatie française.Maître d'hôtel - Argentier à l'Élysée, c'est d'ailleurs là que j'ai eu l'occasion de le rencontrer.Nous partageons cette conviction : le service, quand il est bien fait, devient un art. Et aujourd'hui, je suis très honoré d'en parler avec lui.Depuis plus de 25 ans, il est le gardien discret d'un patrimoine inestimable (dont 56 000 pièces de Sèvres et 16 000 pièces d'orfèvrerie) et l'un des derniers représentants d'un art essentiel à la diplomatie française.Comment cet expert de la « gastrodiplomatie » orchestre des dîners de 2 à 350 couverts ?Comment assurer un service d'une rigueur absolue ? A-t-il déjà cassé une assiette ?Comment cet art est transmis aux jeunes générations ?Quelle est la logistique derrière son service ?Stéphane, qui a servi quatre présidents, partage ses anecdotes et celles du Palais de l'Élysée.Ensemble, nous allons plonger dans les coulisses du protocole républicain !2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : HotelPartnerHotelPartner Revenue ManagementPrendre un rendez-vous avec MarjolaineDites que vous venez d'Hospitality Insiders et Marjolaine se déplace gratuitement dans votre établissement pour effectuer un diagnostic !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - La définition du métier et la gestion du patrimoine d'exception00:12:00 - La Gastrodiplomatie et l'influence présidentielle00:17:00 - Les défis logistiques et l'adaptation au protocole00:22:00 - La transmission du savoir-faire et l'évolution de la profession00:28:00 - Conseils et anecdotes personnels00:34:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouveauté pour la rentrée : Le E-carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" est disponible pour seulement 39 € !Retrouvez cet épisode dès demain sur votre plateforme d'écoute favorite !Abonnez-vous pour éviter de passer à côté du prochain épisode.Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouveauté pour la rentrée : Le E-carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" est disponible pour seulement 39 € ! 1️⃣ Présentation de l'invitée : Avez-vous déjà rêvé d'un séjour à la campagne qui combine le confort de l'hôtellerie de luxe avec l'authenticité d'une maison familiale ? Dans cet épisode, j'ai le plaisir d'accueillir Camille Personnat, une entrepreneure dynamique qui a su créer un concept unique en réponse aux nouvelles tendances du travail flexible et du bien-être. Camille a un parcours impressionnant dans le monde de l'hôtellerie et du tourisme. Après ses études à l'École Hôtelière de Lausanne et des expériences marquantes chez Airbnb et dans des établissements de luxe, Camille a cofondé The Oasis House, avec Guillaume Prigent. Leur objectif était de repenser l'expérience de séjour à la campagne en intégrant des éléments de confort, de qualité et des processus automatisés pour offrir le meilleur des deux mondes. Nous plongeons, donc, dans l'univers de The Oasis House et de La Prairie, l'une des maisons de cette collection située près de Paris. Camille nous explique comment elle a conçu ces espaces pour répondre aux besoins des entreprises et des particuliers en quête d'un cadre propice à la créativité, au travail et au bien-être. Avec des services sur mesure, une expérience clé en main et une forte dimension de bien-être, The Oasis House se positionne comme une réponse innovante aux besoins du travel BtoB, dans un cadre bucolique et ressourçant. 2️⃣ Notes et références : Airbnb ; l'École Hôtelière de Lausanne (EHL) ; HEC ; Les Airelles ; Le livre "De Zéro à Un" de Peter Thiel. 3️⃣ Pour contacter l'invitée : LinkedIn Site web de The Oasis House Son email : camille@theoasishouse.fr 4️⃣ Le partenaire de l'épisode : Influence Society Influence Society Prendre un rendez-vous avec le fondateur Sébastien Felix En venant de la part d'Hospitality Insiders, vous bénéficiez de 45 minutes en tête-à-tête avec Sébastien Felix pour repenser votre stratégie digitale et parler d'Intelligence Artificielle. Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 octobre 2025.Avec cette semaine :- Nicolas Baverez, essayiste et avocat.- David Djaïz, entrepreneur et essayiste.- Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.- Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LE VOL DU LOUVRE ET LA PROTECTION DU PATRIMOINEAu musée du Louvre, dimanche dernier, une série de bijoux datant du XIXe siècle ont été dérobés en quelques minutes par plusieurs malfaiteurs dans la galerie d'Apollon. Huit pièces manquent à l'appel. Le butin a été estimé à 88 millions d'euros par la conservatrice du musée, a annoncé mardi la procureure de Paris. La couronne de l'impératrice Eugénie, d'abord volée, a été retrouvée près du site, vraisemblablement égarée par les voleurs dans leur fuite. Très fréquenté, le musée a accueilli 8,7 millions de visiteurs en 2024. Il s'étend sur 73.000 mètres carrés et contient environ 35.000 œuvres issues de collections du monde entier. Le dernier vol recensé au Louvre a eu lieu en 1998 : une toile de Camille Corot, volée en pleine journée et jamais retrouvée.Lors de son audition mercredi au Sénat, la présidente du musée Laurence des Cars a indiqué qu'aucune caméra ne couvrait le balcon de la galerie d'Apollon, où sont passés les braqueurs, mais a réfuté tout « retard » dans la mise en œuvre du plan de sécurisation, contestant les observations de la Cour des comptes. Elle a confirmé avoir présenté sa démission, « refusée » par la ministre de la culture, et a notamment souhaité solliciter le ministère de l'intérieur pour étudier la possibilité d'installer un commissariat de police au sein du musée.Alors que le Louvre a rouvert ses portes mercredi matin, The Economist rappelle, étude scientifique à l'appui, que le vol d'œuvres dans les grands musées est presque une routine : on en recense 40 dans le monde depuis 1990 (majoritairement en Europe)… plus d'un par an. Dans quasiment un cas sur cinq, la valeur des objets dérobés dépasse les 100 millions d'euros avec un record à 450 millions d'euros pour le Van Gogh Museum d'Amsterdam en 1991. Moins d'une fois sur deux les œuvres volées ont finalement été récupérées.La portée symbolique de ce cambriolage n'est pas sans rappeler, pour Le Figaro, celui de l'incendie de Notre-Dame de Paris, en 2019, ou du vol de La Joconde en 1911. L'incendie de Notre-Dame avait mis en lumière la vulnérabilité d'autres édifices religieux. Un plan « sécurité » avait été lancé en 2020 pour les 87 cathédrales dépendant de l'État qui ont renforcé depuis leurs dispositifs de sécurité par des formations aux secours, des caméras thermiques, des porte coupe-feu… Selon la Direction nationale du renseignement territorial, 401 faits antichrétiens ont été recensés entre janvier et juin 2025, soit + 13 % par rapport à la même période en 2024. Une hausse significative qui intervient après deux ans de baisse. Mais pour l'Observatoire du patrimoine religieux, association indépendante qui effectue une veille en temps réel, ces chiffres sont « sous-estimés, parce qu'il n'y a pas toujours des plaintes ». Selon son vice-président, il y aurait aujourd'hui « trois à cinq fois plus de vandalisme touchant les édifices catholiques qu'il y a dix ans ».LE MOUVEMENT NO KINGSDe Washington à San Francisco, en passant par New York, Tampa ou Los Angeles, samedi 18 octobre dans 2.700 villes, près de sept millions d'Américains ont manifesté pacifiquement, contre Donald Trump et son usage autoritaire du pouvoir. Un mouvement lancé par un collectif de 300 associations regroupées derrière le slogan « No Kings » « pas de rois ». Ce collectif d'associations de défense des libertés civiles, dont certaines sont proches du Parti démocrate annonce la couleur sur la page d'accueil du site Internet qui coordonne les manifestations : « Pas de trônes, pas de couronnes, pas de rois : le pouvoir appartient au peuple. » Le mouvement qui dit vouloir s'opposer aux « abus de pouvoir », déplore « l'envoi d'agents militarisés » dans des villes démocrates et les « cadeaux aux milliardaires ». Il entend « défendre la démocratie » face à « la dictature ». Dans les cortèges, les manifestants qui revendiquent la défense des valeurs américaines, ont concentré leurs critiques sur les attaques contre la liberté de la presse, le droit de vote des minorités ou la séparation des pouvoirs. Le déploiement de la garde nationale dans plusieurs villes américaines, ainsi que les rafles opérées par la nouvelle police anti-immigration nourrissent l'indignation. Cette deuxième contestation d'ampleur, a été trois fois plus suivie qu'un événement similaire à la mi-juin.Né de la société civile, ce mouvement a reçu le soutien public de plusieurs personnalités politiques. Il a notamment été relayé par l'ancienne candidate démocrate Kamala Harris. Dans les cortèges, on a pu voir le leader de l'aile gauche démocrate Bernie Sanders, ou le sénateur de New York Chuck Schumer. Le mouvement a été également soutenu par des artistes comme Robert De Niro. Cette nouvelle journée de mobilisation survient par ailleurs en pleine paralysie budgétaire de l'État fédéral et alors que Donald Trump a déployé des militaires dans plusieurs fiefs démocrates pour, selon lui, lutter contre l'immigration illégale et la criminalité. La droite a fustigé un mouvement de « haine de l'Amérique », tandis que plusieurs membres de l'administration Trump ont accusé les manifestants d'être des « extrémistes ». Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, a ainsi jugé que le mouvement était animé par « des partisans du Hamas et des antifas ». Un qualificatif qui pourrait ouvrir la voie à des poursuites, le président Donald Trump ayant récemment signé un décret qui classe le mouvement « antifa » comme étant une « organisation terroriste ». À ses yeux, ce mouvement serait une « entreprise militarisée et anarchiste qui appelle explicitement au renversement du gouvernement des États-Unis ». En réponse à ces manifestations, Donald Trump a publié sur les réseaux sociaux, depuis sa résidence de Mar-a-Lago en Floride, une vidéo réalisée grâce à l'intelligence artificielle. On y voit le président américain aux commandes d'un avion, la tête coiffée d'une couronne, en train de bombarder les cortèges de manifestants avec des excréments.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sur le buzzer c'est le dernier débat des GG du Sport ! Pile à temps pour s'écharper une dernière fois lors de l'émission…
À Madagascar, il reste beaucoup de questions après la chute, il y a dix jours, du président Andry Rajoelina et l'arrivée au pouvoir des militaires. Combien de temps va durer la transition ? Les militaires vont-ils s'incruster à la tête de l'État et confisquer ainsi la victoire politique des jeunes manifestants de Génération Z ? L'essayiste politique Serge Zafimahova, qui préside également la Chambre de commerce Chine-Madagascar, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. En ligne d'Antananarivo, il s'exprime aussi sur le nouveau Premier ministre, qui suscite beaucoup de débats dans le pays. RFI : Serge Zafimahova, beaucoup de jeunes de la Gen Z se demandent s'ils ne vont pas se faire confisquer leur victoire par les militaires. Est-ce que leurs craintes vous paraissent fondées ou pas ? Serge Zafimahova : le problème qui se passe actuellement, c'est l'absence d'expérience politique des militaires qui ont pris le pouvoir. Et en fait, ils ne connaissent pas du tout le personnel politique et les oligarques de l'ancien régime. Donc, ils se font un peu dépasser, déborder de ce côté-là. Or, on est face à une Assemblée nationale corrompue qu'on aurait dû abroger dès le départ. Alors, sur la durée de la transition et sur la date des prochaines élections, le nouvel homme fort du pays, le colonel Mickael Andrinirina, n'est pas très clair. Est-ce que vous avez des précisions ? En fait, le plus important pour la communauté internationale, si on prend par exemple la Sadec, que j'ai rencontrée longuement, c'est qu'il y ait un calendrier clair qui justifie que les élections présidentielles ne seront que dans 22 mois. Pourquoi 22 mois ? Cela s'explique pour des raisons simples. Il y a une refonte totale de la liste électorale. Ensuite, il faut savoir qu'un quart de la population malgache n'a pas d'état civil. Donc à 18 ans, ils n'ont pas de carte d'identité nationale. Il y a ensuite la sécurisation des élections au niveau de la Haute Cour constitutionnelle et au niveau de la Cour électorale nationale indépendante. De toute façon, l'Union européenne ne peut pas se contredire. Dans son rapport électoral en 2018, l'Union européenne a demandé à ce que la Haute Cour constitutionnelle soit dissoute. Que la Cour électorale nationale indépendante (Céni) soit dissoute, que des nouveaux textes régissent les élections. Donc tout ça nécessite une période sérieuse, je dirais, pour qu'on puisse remettre tout ça à l'ordre. Tout ce processus devrait être fait en 22 mois. C'est pour ça qu'on parle d'une transition de 24 mois. Sous le couvert du FFKM, le Conseil chrétien des églises à Madagascar. Donc, cette transition de deux ans ne vous paraît pas scandaleuse ? Non, la transition de deux ans n'est pas scandaleuse dans le sens où là, on est déjà dans une procédure, je dirais, accélérée, mais crédible tout de même. L'autre point aussi, en fin de compte, vous avez parlé au tout début de la peur des jeunes que leur révolution soit confisquée. Aujourd'hui, la personne qui a été proposée comme Premier ministre est un proche de l'ancien régime. Donc, c'est un proche d'un grand opérateur économique qui se trouve être le bailleur de l'ancien régime. Donc le fossoyeur de Madagascar. Et c'est tout ça, en fin de compte, qui pose problème aujourd'hui au niveau de la jeunesse. Il y a déjà eu au moins deux coups d'État militaires dans le passé à Madagascar en 1972 et en 2009. Est-ce qu'il n'y a pas le risque que, cette année 2025, les militaires s'installent au pouvoir pour de nombreuses années ? Je ne crois pas parce que, au vu de ce qui s'est passé, je pense que les militaires vont transmettre à un vrai Premier ministre les pleins pouvoirs pour pouvoir mener cette mission. Comme je l'ai dit, la balise, c'est le Conseil des églises chrétiennes à Madagascar, le FFKM. Donc, je ne pense pas que les militaires risquent de confisquer le pouvoir. Et de toute façon, ils ont aussi compris que la population malgache ne va pas se laisser faire. Et ils ont compris qu'il y a quand même un rapport de force qui a été instauré au niveau de la population. Il faut savoir que le problème malgache, c'est la confiscation par l'élite de toutes les sorties de crise. Donc cette fois-ci, on va vraiment partir de la base sociale pour écouter la population, pour qu'on puisse construire ensemble de manière inclusive une loi fondamentale qui tient compte de la réalité socio-économique de Madagascar. De toute façon, on va aller vers une décentralisation forte. Alors, vous l'avez dit, le nouveau Premier ministre est un ami du milliardaire Mame Ravatomanga, qui a fui à l'île Maurice dans la nuit du 11 au 12 octobre. Et aujourd'hui, les nouvelles autorités malgaches ont lancé contre cet homme d'affaires un mandat d'arrêt international avec une notice rouge d'Interpol. Est-ce que le Premier ministre ne risque pas de faire barrage à cette procédure ? Le Premier ministre n'a pas le poids de faire barrage sur cette procédure. De toute façon, au niveau même des militaires, il y a une contestation là-dessus. Je pense que le plus sage pour les dirigeants actuels militaires, c'est de revenir sur leur décision et de mettre en place un Premier ministre accepté par toutes les parties, surtout par ceux qui ont exigé le changement. Donc, je crois qu'on va s'acheminer vers un vrai Premier ministre, cette fois-ci, avec tous les moyens nécessaires pour mettre Madagascar sur les rails, je dirais de l'assainissement et la fin, je dirais, d'un régime oligarchique qui a été mis en place par l'ancien régime. Je crois que c'est en train de se faire. Et sinon, il va y avoir une reprise des manifestations. À lire aussiMadagascar: comment va se dérouler la période de transition
Nouveauté pour la rentrée : Le E-carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" est disponible pour seulement 39 € !Découvrez l'extrait de l'épisode 151 d'Hospitality Insiders sur la marque Geberit ! Geberit est le pionnier des WC lavants et accompagne les hôteliers à adopter et intégrer cette solution aux multiples avantages dans leurs établissements.Ensemble, nous plongeons dans les aspects techniques et financiers ainsi que les enjeux de ce marché ! Retrouvez l'intégralité de l'épisode ici.Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Argentins sont appelés aux urnes, dimanche 26 octobre 2025, pour élire la moitié des députés et un tiers des sénateurs. Des élections législatives de mi-mandat aux allures de plébiscite pour Javier Milei et son plan d'austérité. Le bilan économique contrasté du président ultralibéral est au cœur du scrutin. Deux ans après son élection, la désillusion pointe chez de plus en plus d'électeurs. Notre correspondant Théo Conscience s'est rendu à Suipacha, petite ville de 12 000 habitants, où Javier Milei l'avait emporté avec 54% des voix à la présidentielle fin 2023. Pour le président de la Chambre de commerce de Suipacha, voir la commune basculer du côté de l'opposition péroniste aux élections régionales début septembre n'a pas été une surprise. «Les gens votent avec leur porte-monnaie…», pointe Pablo Braghi. À quelques jours du scrutin législatif national sur la rue commerçante, la boutique de vêtements où travaille Priscilla Rodriguez est désespérément vide. Cette cinquantenaire en profite pour étiqueter les derniers arrivages avant de les mettre en rayon. «Ça fait six mois qu'on a recommencé à mettre les étiquettes. On avait arrêté parce que les prix n'arrêtaient pas d'augmenter et il fallait corriger et changer les étiquettes tous les mois, c'était du temps perdu.» La cure d'austérité imposée par Javier Milei a permis de réduire significativement l'inflation, mais elle a aussi plombé le pouvoir d'achat en plafonnant les salaires. Pour joindre les deux bouts, Priscilla a dû commencer à faire des ménages à côté de son travail de vendeuse. «Mon époux aussi a dû prendre un autre travail. Sans ça, avec un seul emploi on ne pourrait pas survivre», conclut-elle. Le nouveau budget de l'État critiqué en Haïti Le Nouvelliste étrille le projet de budget 2025-2026 présenté par le gouvernement intérimaire, pour l'exercice commencé le 1er octobre 2025. «L'État, incapable de jouer son rôle régalien d'assurer [...] la sécurité, [...] la santé, l'éducation» ou encore «le progrès économique pour tous les Haïtiens», «perçoit taxes et redevances pour s'occuper avant tout de ses petits oignons, ceux de nos chers chefs», écrit le journal. Plus de la moitié du budget sera consacrée au fonctionnement de l'administration, regrette le quotidien. Dans Le National, un économiste remet en cause des prévisions de croissance irréalistes selon lui, estimées par le gouvernement à +0,3%, après sept ans de récession et en pleine crise sécuritaire. Poker menteur et paris truqués en NBA Les États-Unis font face à un scandale de paris sportifs et de parties de poker truqués, avec la complicité de la mafia. Plus de trente personnes ont été arrêtées dont Terry Rozier, joueur de Miami Heat, et l'entraineur de l'équipe de Portland. «La NBA a un problème avec les jeux d'argent», titre le Wall Street Journal, qui parle d'une affaire «digne de James Bond» et rappelle que les fédérations sportives en ont largement tiré profit depuis la légalisation des paris sportifs par la Cour suprême il y a 7 ans. «Les fans ont droit à ce que la compétition soit juste et honnête», poursuit le journal. Mais «les scandales vont se reproduire» et ne se limiteront pas à la seule NBA, tout les grands sports populaires sont concernés, avertit le New York Times dans ses pages sportives. Reportage au «cimetière français» du canal de Panama Des milliers de Français, pour la plupart Antillais, sont enterrés au Panama. Si les États-Unis ont construit le Canal de Panama, inauguré en 1914, la France avait été, dès les années 1880, la première à s'attaquer à ce projet titanesque consistant à ouvrir une voie navigable entre les Caraïbes et l'océan Pacifique. L'initiative avait échoué, principalement car Ferdinand de Lesseps pensait pouvoir reproduire ce qu'il avait fait à Suez, sans prendre en compte les spécificités de l'environnement local. La forêt tropicale humide, dense et montagneuse, et la fièvre jaune et autres maladies qui sévissait alors dans la zone auraient ainsi causé la mort sur le chantier de près de 20.000 personnes venues essentiellement des Caraïbes. Notre correspondant Grégoire Pourtier s'est rendu dans le «cimetière français» où l'on trouve 2.000 croix anonymes. Négligé depuis plusieurs années, il est en train d'être rénové par les autorités panaméennes. Journal d'Outre-mer La 1ère La deuxième édition de la Conférence de l'aérien du bassin Antilles-Guyane s'est ouverte ce jeudi 23 octobre 2025 à Cayenne.
Nouveauté pour la rentrée : Le E-carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" est disponible pour seulement 39 € !1️⃣ Présentation des invités :On parle souvent du lit, du spa, du restaurant… mais rarement de ce qui se passe dans la salle de bains.Et pourtant, c'est là que se joue une grande partie du confort et du souvenir qu'un client emporte avec lui après son séjour.Et si l'expérience client se jouait… aux toilettes ?C'est le pari de Geberit, pionnier des WC lavants depuis les années 1970, qui veut faire de cet objet encore perçu comme tabou en France, un nouveau standard de confort dans l'hôtellerie.Pour en parler, j'ai la chance d'accueillir deux invités complémentaires :Sandrine Garcia, experte marketing, qui porte la vision de l'expérience clientOlivier Marchal, pilier de la maison depuis 2007, qui s'occupe de la prescription et du développement marchéEnsemble, nous allons lever le voile sur un sujet à la fois intime et stratégique :Comment les toilettes lavantes peuvent-elles transformer l'expérience client ?Pourquoi ce produit, souvent appelé "WC japonais" ?Quels sont les enjeux de durabilité et d'efficacité opérationnelle ?Le WC lavant sera-t-il le prochain standard de l'hôtellerie, comme le Wi-Fi ?Contrairement aux idées reçues, l'entrée de gamme est abordable, à moins de 1000 € hors taxe, rendant l'équipement pertinent même pour les hôtels trois étoiles souhaitant se démarquer.Geberit accompagne les hôteliers avec une offre de test pour intégrer une solution qui allie bien-être, intimité et différenciation. Il y aura l'avant et l'après !2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.Cet épisode est produit en partenariat avec Geberit. Un grand merci aux équipes pour leur collaboration et leur professionnalisme.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : HotelPartnerHotelPartner Revenue ManagementPrendre un rendez-vous avec MarjolaineDites que vous venez d'Hospitality Insiders et Marjolaine se déplace gratuitement dans votre établissement pour effectuer un diagnostic !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - Définition, historique et marché du WC Lavant Geberit00:12:00 - Les enjeux stratégiques pour l'hôtellerie00:32:00 - Aspects financiers, techniques et conseils pratiques00:44:00 - Culture, perspectives d'avenir00:50:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Petit journal de RSI. ESG? Savez-vous ce que c´est? ESG est l'acronyme de « Environnemental, Social et de Gouvernance », trois piliers qui définissent la démarche des entreprises : l'environnement, le social et la bonne gouvernance mais aussi fournissent aux investisseurs des outils pour évaluer la performance des entreprises sur des criteres de durabilité. Mercredi 15 octobre, la Chambre de commerce franco-slovaque organisait une conférence sur ce sujet complexe et sur sa mise en pratique par les sociétés. RSI était lá pour couvrir l´événement.
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Symbole mondial de Paris, la tour Eiffel attire toujours les foules : 6,3 millions de visiteurs en 2024, soit presque son niveau d'avant-crise. Pourtant, derrière cette fréquentation flatteuse, les comptes du monument sont dans le rouge. Selon un rapport de la Chambre régionale des comptes d'Île-de-France, la Société d'exploitation de la tour Eiffel (SETE) affiche des pertes cumulées de 305 millions d'euros entre 2020 et 2024.Des années de crise et un manque à gagner colossalLa pandémie de 2020 a marqué le début de cette descente financière. Les fermetures liées au Covid-19 ont fait plonger les recettes : 52 millions d'euros perdus en 2020, puis 43,8 millions en 2021. Même après la reprise, la fréquentation est restée en dessous des prévisions : 10,6 millions de visiteurs de moins que prévu sur quatre ans, soit 155 millions d'euros envolés rien que sur la billetterie.Un monument qui coûte de plus en plus cherAu-delà du manque de visiteurs, l'entretien du monument s'avère un gouffre financier. La dernière campagne de peinture, qui devait protéger la structure contre la corrosion, a pris 14 ans de retard, entraînant une dégradation accrue du métal et des surcoûts considérables. L'architecte Boris Weliachew explique que la mise en conformité avec les nouvelles normes sur le plomb a encore alourdi la facture.Autre source d'explosion budgétaire : le remplacement de l'ascenseur Nord. Le coût du chantier a « presque doublé » après la découverte de multiples erreurs de conception. Et ces travaux sont indispensables : entre 2016 et 2018, près de 17 % des jours d'ouverture ont été affectés par des pannes ou interruptions.Des coûts salariaux en forte hausseLe rapport épingle aussi la gestion du personnel. Depuis 2020, la masse salariale a grimpé de 31 %, et le salaire moyen de 17 %. La SETE maintient par ailleurs de nombreux postes de caissiers, alors que la vente de billets en ligne s'est généralisée. Les rapporteurs dénoncent un système de primes généreuses, parfois déconnectées des performances réelles.Le président de la SETE se défend : selon lui, la présence humaine reste nécessaire pour fluidifier les files d'attente et améliorer l'expérience des visiteurs.Pour tenter d'enrayer les pertes, la Mairie de Paris a validé en juin 2024 une augmentation de 29 % du prix des billets. L'objectif : générer 139 millions d'euros supplémentaires d'ici 2031, date de fin de la concession.Mais cette mesure suffira-t-elle ? Entre entretien titanesque, coûts de personnel et fréquentation incertaine, la Dame de fer reste, plus que jamais, fragile économiquement malgré son éclat touristique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:21 - Le Grand reportage de France Inter - À quoi ressemble le monde qui se cache à l'intérieur du smartphone de nos ados ? Inès, Alba, Judith, Stella et Maelya ont entre 16 et 17 ans. Elles vivent à Mérignac, en Gironde. Ensemble, elles racontent leur rapport aux écrans et aux réseaux sociaux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:58:31 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - De la naissance à la mort, la chambre est l'espace pluriel du sommeil, de l'amour, de la lecture, de l'écriture. En quoi la chambre est-elle un espace ambigu, entre intimité et mise en scène, entre refuge et violence ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Michelle Perrot Historienne, professeure émérite des universités, spécialiste de l'histoire des femmes