POPULARITY
Categories
durée : 00:28:09 - Les orchestres de chambre III (1/4) - par : Christian Merlin - Suite et fin (provisoire ?) de notre panorama des orchestres de chambre, qui ont fleuri à partir des années 1945 puis ont connu une éclipse avec l'éclosion des ensembles baroques avant d'être obligés de se réinventer - réalisé par : Taïssia Froidure
"Pour certains, leur chambre, c'est de l'art abstrait : il y en a partout, même de la nourriture et jusque dans le lit. Et... pour toi ?" Ma vie d'ado, ce sont des témoignages d'ado, venus de toute la France. C'est une émission qui s'adresse aux adolescents. Mais pas que. Ces tranches de vie surprennent et émeuvent les adultes ; si elles racontent qui sont les ados d'aujourd'hui, elles rappellent aussi aux adultes, qui ils ont été. Ma Vie d'Ado, c'est intime, c'est joyeux, c'est drôle, c'est triste, c'est tranquille ou mouvementé… C'est bouleversant comme une vie d'ado ! Ma Vie d'Ado, un podcast proposé par le magazine Okapi, à retrouver tous les quinze jours. Crédits : Ce podcast est préparé et animé par le magazine Okapi (Bayard Jeunesse.) Merci aux enseignants et aux élèves des classes / groupes des webradios des collèges Pasteur à Villejuif (94), Anatole France à Gerzat (63), , Gilles Gahinet à Arradon (56), Camille Sée à Paris (75), Voix hoste : Rebecca Devannes. Montage : Yann Bonicatto. Conception, réalisation, mixage : Emmanuel Viau. Musique : Fixxions. Animation éditoriale : Julie Pialot. Création visuelle : France Rapp. Production : Hélène Devannes / Emmanuel Viau. Un podcast de Bayard Jeunesse 2022- Droits réservés.
durée : 01:58:27 - Les orchestres de chambre II - par : Christian Merlin - Deuxième volet de notre histoire des orchestres de chambre, ces formations qui ont fleuri après-guerre pour proposer une alternative aux grandes phalanges symphoniques dans les répertoires baroque et classique. Place aux années 50 et 60. - réalisé par : Marie Grout
durée : 00:28:11 - Les orchestres de chambre II (1/4) : 1954-55 - par : Christian Merlin - Deuxième volet de notre histoire des orchestres de chambre, ces formations qui ont fleuri après-guerre pour proposer une alternative aux grandes phalanges symphoniques dans les répertoires baroque et classique. Place aux années 50 et 60. - réalisé par : Marie Grout
durée : 00:28:25 - Les orchestres de chambre 2 2/4 1955-58 - Deuxième volet de notre histoire des orchestres de chambre, ces formations qui ont fleuri après-guerre pour proposer une alternative aux grandes phalanges symphoniques dans les répertoires baroque et classique. Place aux années 50 et 60.
durée : 00:28:06 - Les orchestres de chambre 2 3/4 1959-60 - Deuxième volet de notre histoire des orchestres de chambre, ces formations qui ont fleuri après-guerre pour proposer une alternative aux grandes phalanges symphoniques dans les répertoires baroque et classique. Place aux années 50 et 60.
durée : 00:28:27 - Les orchestres de chambre 2 4/4 1962-64 - Deuxième volet de notre histoire des orchestres de chambre, ces formations qui ont fleuri après-guerre pour proposer une alternative aux grandes phalanges symphoniques dans les répertoires baroque et classique. Place aux années 50 et 60.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la restitution des corps des victimes de la crise post-électorale en Côte d'Ivoire, sur la victoire du Real Madrid contre Chelsea, et sur l'éventuel prolongement de l'accord sur les céréales ukrainiennes. Côte d'Ivoire : à quand la restitution des dépouilles de la crise de 2010 ? Plus d'un mois après les cérémonies de restitution, les familles n'ont toujours pas reçu les dépouilles de leurs proches décédés lors de la crise post-électorale de 2010-2011. Pourquoi les corps n'ont-ils toujours pas été rendus aux familles des victimes ? Ce dysfonctionnement peut-il entacher le processus de réconciliation nationale ? Avec Bineta Diagne, correspondante permanente de RFI à Abidjan. Ligue des Champions : vers un quinzième titre du Real Madrid ? Pour la 11è fois en 13 participations, le Real Madrid rejoint les demi-finales de la Ligue des Champions. Comment expliquer la domination des « merengue » dans cette compétition ? Le club madrilène est-il favori pour remporter la coupe cette année ? Avec Antoine Grognet, journaliste au service des sports de RFI. Guerre en Ukraine : pourquoi la position de Lula fait polémique ? Lors de la visite du ministre russe des Affaires étrangères Serguei Lavrov à Brasilia, les États-Unis ont accusé le président brésilien de reprendre à son compte la propagande russe. Quelle est la position de Lula sur la guerre en Ukraine ? Avec Adriana Brandão, cheffe adjointe du service en langue brésilienne. Accord sur les céréales : Moscou impose ses conditions Après un premier renouvellement de l'accord sur les céréales ukrainiennes en mars, la Russie refuse de s'engager à nouveau si les Occidentaux ne cèdent pas à certaines de leurs exigences. Pourquoi la Russie impose-t-elle un nouvel ultimatum ? Quelles conséquences si l'accord n'était pas prolongé ? Avec Marine Raffray, agro-économiste à la Chambre d'agriculture France.
Au XVIIIe siècle, le royaume commence à ressembler à ce qu'il est aujourd'hui: une monarchie constitutionnelle. Alors même qu'on célèbre la monarchie et l'Empire, la démocratie britannique se développe et des réformes électorales se succèdent. Parallèlement, des partis politiques se constituent sur la base de factions qui remontent aux conflits du XVIIe siècle. Nous retrouvons au micro d'Etienne Duval Philippe Chassaigne, professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Bordeaux Montaigne et spécialiste de la Grande Bretagne. Photo: palais de Westminster, Londres (Royaume-Uni). En 1707, les parlements du Royaume d'Angleterre et du Royaume d'Écosse sont dissous afin de former le Royaume de Grande-Bretagne, gouverné par un Parlement de Grande-Bretagne unifié. Celui-ci s'installe alors dans le palais de Westminster, à Londres. Westminster abrite aujourd'hui encore les deux chambres du Parlement du Royaume-Uni: la Chambre des communes et la Chambre des lords. (© Terry Ott/wikipedia)
Executive Talk avec Marie-Christine STEPHENSON, Présidente de la Chambre des Métiers et Ancienne Ministre du Tourisme.
EXPERTS FRÉDÉRIC ENCEL Docteur en géopolitique Maître de conférences à Sciences Po Paris et Paris School of Business Auteur de « Les voies de la puissance » PIERRE HASKI Chroniqueur international – « France Inter » et « L'Obs » NICOLE BACHARAN Historienne et politologue spécialiste des États-Unis GÉNÉRAL PATRICK DUTARTRE Général de l'armée de l'Air et de l'Espace Ancien pilote de chasse Des exercices militaires qui s'intensifient… La Chine organise ce lundi 10 avril des manœuvres à tirs réels dans le détroit de Taïwan, au troisième jour de manœuvres militaires chinoises, annoncée au lendemain du retour de la présidente Tsai Ing-wen des États-Unis, où elle a rencontré le président de la Chambre des représentants Kevin McCarthy. Durant le week-end, des avions de chasse et des navires de guerre chinois ont simulé des bombardements ciblés contre l'île, dans le cadre de cette opération baptisée "Joint Sword" et dénoncée par Taïwan. L'objectif de ces exercices est de simuler un "encerclement total" du territoire de 23 millions d'habitants revendiqué par Pékin a expliqué l'armée chinoise. Et notamment un "blocus aérien", selon la télévision d'Etat CCTV. Taiwan a dit de son côté avoir détecté 11 navires de guerre et 59 aéronefs chinois autour de l'île. Tout en appelant la Chine à la "retenue", Washington est entré dans la danse ce lundi en déployant le destroyer américain USS Milius dans un secteur de mer de Chine méridionale revendiqué par Pékin, pour mener une "opération de liberté de navigation". Le département d'Etat américain a réitéré son appel à "ne pas modifier le statu quo", tandis que le Pentagone a dit lui "suivre les événements de près". Samedi, la présidente taïwanaise, Tsai Ing-wen, avait dénoncé l'"expansionnisme autoritaire" de la Chine et assuré que l'île "continuerait à travailler avec les Etats-Unis et d'autres pays […] pour défendre les valeurs de liberté et de démocratie". La Chine de Xi Jinping ne cache plus ses ambitions sur Taïwan qu'elle considère une province qu'elle n'a pas encore réussi à réunifier avec le reste de son territoire depuis la fin de la guerre civile chinoise en 1949. Pékin vise cette réunification, par la force si nécessaire. "L'indépendance de Taïwan et la paix et la stabilité dans le détroit de Taïwan s'excluent mutuellement", a d'ailleurs déclaré Wang Wenbin, porte-parole du ministère des Affaires étrangères ce lundi. "Si nous voulons protéger la paix et la stabilité dans le détroit de Taïwan, nous devons nous opposer fermement à toute forme de séparatisme pour l'indépendance de Taïwan", a-t-il ajouté. A Taïwan, face à la pression militaire de la Chine, on se prépare également au conflit : allongement du service militaire obligatoire, achat d'armes et auto-organisation des civils… mais aussi aménagement de tout un réseau d'abris souterrains, conçu pour servir de refuge à la population en cas de frappes aériennes. 100 000 abris antiaériens auraient déjà été construits sur tout son territoire pour protéger ses habitants. Dans ce contexte, et après trois jours de visite en Chine, les propos du chef de l'Etat prononcés samedi à bord de l'avion qui le ramenait à Paris, font vivement réagir. Dans une interview accordée aux Échos et à Politico, Emmanuel Macron a appelé l'Union européenne à ne pas être dans le suivisme des Américains, notamment sur l'épineuse question de Taïwan. "Le grand risque" pour le Vieux Continent serait "de se retrouver entraîné dans des crises qui ne sont pas les nôtres, ce qui nous empêcherait de construire notre autonomie stratégique". "Le paradoxe", selon le président, "serait que nous nous mettions à suivre la politique américaine, par une sorte de réflexe de panique". Et d'insister, plus précisément sur Taïwan : "La question qui nous est posée à nous Européens est la suivante […] Avons-nous intérêt à une accélération sur le sujet de Taïwan ? Non. La pire des choses serait de penser que nous, Européens, devrions être suivistes sur ce sujet et nous adapter au rythme américain et à une surréaction chinoise". Un message qui suscite depuis la crispation et les critiques de certains en Europe ainsi qu'aux États-Unis. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dans Historiquement Vôtre, Clémentine Portier-Kaltenbach vous emmène en visite dans la fameuse Chambre d'ambre du roi de Prusse Frédéric-Guillaume Ier. Offerte en 1716 au tsar de Russie Pierre le Grand, la chambre est démontée pour être transportée jusqu'au Palais d'hiver de Saint-Pétersbourg. Durant la Seconde Guerre mondiale, on perd sa trace...
durée : 00:41:52 - Un jour dans le monde - Pékin a envoyé ce jeudi 6 avril trois navires de guerre et un hélicoptère anti sous-marin autour de Taiwan. Ces tensions surviennent au lendemain de la rencontre entre la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen et le président de la Chambre des représentants américaine Kevin McCarthy.
durée : 00:41:52 - Un jour dans le monde - Pékin a envoyé ce jeudi 6 avril trois navires de guerre et un hélicoptère anti sous-marin autour de Taiwan. Ces tensions surviennent au lendemain de la rencontre entre la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen et le président de la Chambre des représentants américaine Kevin McCarthy.
Cette semaine, c'est spécial winners LGBTQIA + ! On commence en soutenant le chanteur Bilal Hassani qui, à l'annonce de son concert initialement prévu le mercredi 5 avril dans une église désacralisée située à Saint-Pierre-aux-Nonnain, a subi une nouvelle vague d'homophobie. Le concert a finalement été annulé. On envoie également de la force aux manifestant·es pour les droits des personnes trans qui ont pris d'assaut la Chambre des représentants du Kentucky, où avait lieu un débat sur l'un des projets de loi anti-trans les plus sévères des Etats-Unis. On décerne ensuite la couronne de la lose à Donald Trump qui a enfin comparu ce mardi 4 avril devant le tribunal de New York, du jamais vu pour un président des Etats-Unis d'Amérique, dans l'affaire qui l'oppose à Stormy Daniels, ancienne actrice de films pornographiques. On finit cette cérémonie avec notre loseuse française préférée, Valérie Pécresse, qui veut changer le nom du lycée Angela Davis de Saint Denis. La raison ? La militante antiraciste a osé critiqué la laïcité française. Les Mains dans la pop est une émission de Nouvelles Écoutes Animée par Mahaut Drama et Audrey Couppé de Kermadec Produite par Julien Neuville Montage, mixage et enregistrement par Livio Boullenger au studio Artistic Palace Directrice générale adjointe : Nora Hissem Directrice artistique : Aurore Mahieu Directrice des productions : Marion Gourdon Directrice commercial : Emmanuelle Fortunato Chargée de production : Cassandra De Carvalho
Cette semaine, c'est spécial winners LGBTQIA + ! On commence en soutenant le chanteur Bilal Hassani qui, à l'annonce de son concert initialement prévu le mercredi 5 avril dans une église désacralisée située à Saint-Pierre-aux-Nonnain, a subi une nouvelle vague d'homophobie. Le concert a finalement été annulé. On envoie également de la force aux manifestant·es pour les droits des personnes trans qui ont pris d'assaut la Chambre des représentants du Kentucky, où avait lieu un débat sur l'un des projets de loi anti-trans les plus sévères des Etats-Unis. On décerne ensuite la couronne de la lose à Donald Trump qui a enfin comparu ce mardi 4 avril devant le tribunal de New York, du jamais vu pour un président des Etats-Unis d'Amérique, dans l'affaire qui l'oppose à Stormy Daniels, ancienne actrice de films pornographiques. On finit cette cérémonie avec notre loseuse française préférée, Valérie Pécresse, qui veut changer le nom du lycée Angela Davis de Saint Denis. La raison ? La militante antiraciste a osé critiqué la laïcité française. Audrey et Mahaut abordent ensuite un sujet dont on a tous·tes entendu parler ces derniers temps : l'intelligence artificielle ! Entre questionnements sur la notion de progrès et d'art, les fake news et leurs impacts politiques, le droit à l'image ou encore le début d'une nouvelle cybercriminalité, iels se penchent sur les nombreux débats qui découlent de cette invention. Au menu de la rôtisserie de Mahaut, un “hétérosexuel légèrement dépassé”. Vous l'avez ? Il s'agit de Frédéric Beigbeder. Vous avez probablement vu passer sur les réseaux la couverture, pour le moins douteuse, de son nouveau livre “Confessions d'un homme hétérosexuel légèrement dépassé” ou peut-être même son passage sur France Inter, lors duquel il déclare avoir été un “avant-gardiste” du mouvement #MeToo. Audacieux ! Enfin, c'est Sophye Soliveau, chanteuse de soul, harpiste guadeloupéenne et cheffe de chœur de la chorale afrofeministe Maré Mananga qu'Audrey nous recommande pour conclure cet épisode. C'est une musique envoûtante, presque transcendante, qui rappelle l'énergie du gospel. Impossible que vous ne soyez pas touché·es alors foncez, et allez écouter ! Les Mains dans la pop est une émission de Nouvelles Écoutes Animée par Mahaut Drama et Audrey Couppé de Kermadec Produite par Julien Neuville Montage, mixage et enregistrement par Livio Boullenger au studio Artistic Palace Directrice générale adjointe : Nora Hissem Directrice artistique : Aurore Mahieu Directrice des productions : Marion Gourdon Directrice commercial : Emmanuelle Fortunato Chargée de production : Cassandra De Carvalho
Le 1er avril 2022, la ville de Shanghai était mise sous cloche devant la progression du Covid. Deux mois de confinement, et même parfois plus pour ses 25 millions d'habitants, qui ont laissé des traces, notamment au sein de la communauté étrangère. De notre correspondant à Pékin, « J'ai fait deux mois de "lockdown", j'avais deux chats donc je suis resté. » Il est resté à Shanghai, Paul. Comme beaucoup d'étrangers, au moment du confinement de la capitale économique chinoise, ce Français qui travaille dans le marketing a pensé à tout plaquer. Ce sont ses chats qui l'ont contraint à rester. Mais, un an après, il n'oublie pas : « Tu sais ce que c'est que d'être enfermé pendant deux mois dans ton appart ? Beaucoup ont pensé partir et ils y pensent encore. J'ai perdu la moitié de mes amis à Shanghai et plus encore à Pékin. » Siège de la plupart des entreprises étrangères en Chine, Shanghai accueillait un quart de la population expatriée avant 2022. Près de 25% des Allemands résidents dans la ville sont partis après le confinement, le nombre des Français et Italiens a diminué de 20%, selon un rapport de la Chambre de commerce européenne en Chine cité par l'Agence Bloomberg. La politique « zéro Covid » que les autorités et les médias d'État chinois voudraient aujourd'hui effacer des mémoires, a laissé des traces jusque dans la communauté française à Pékin. « Trois ans d'enfermement pour de nombreux Français, des départs importants. C'est une communauté blessée, fatiguée par le Covid, mais aussi par la politique "Zéro Covid" qui a fermé les frontières. Il y a des retours, mais ce n'est pas aussi simple », déplore Franck Pajot, représentant des Français de l'étranger, président du Conseil consulaire Chine du Nord, Mongolie et professeur au lycée français international de Pékin. Recours à des « talents locaux » La décision soudaine d'enfermer des mégalopoles entières l'année dernière a aussi marqué durablement les entreprises étrangères. La visite de dirigeants européens, dont le président français, en ce début avril, devrait contribuer à relancer les échanges humains, espèrent les diplomates. Question talents, le confinement a accéléré le remplacement des expatriés par des contrats locaux, affirme Johnathan Edwards, directeur de l'agence de recrutement Antal à Shanghai : « Beaucoup d'entreprises ont maintenant des talents locaux à la tête de leurs filiales en Chine. Il y a donc moins de demande d'expatriés qu'avant. C'est une question de localisation des moyens. Le Covid a juste accéléré ce phénomène, parce qu'il était impossible d'entrer et de sortir du pays pendant trois ans. Je pense que ça va prendre six mois au minimum pour que les choses se normalisent. » Six mois, un an, avant que la deuxième économie du monde ne retrouve son dynamisme pré-pandémie, disent les optimistes. Pour les pessimistes, il faudra un peu plus de temps avant que les cicatrices du « zéro Covid » ne soient définitivement refermées. ► À lire aussi : Chine: Shanghai atteint l'objectif «sociétal zéro Covid»
durée : 00:28:14 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Nathalie a grandi dans une famille bourgeoise. Elle a travaillé pour de prestigieuses maisons de couture et de design avant de se mettre à son compte. Mais suite à une erreur d'orientation quant à la forme juridique de son activité, elle fait face à de graves problèmes financiers
Homme du consensus, l'ancien président de la Chambre des représentants Abdelouahed Radi est décédé dimanche 16 mars à l'âge de 88 ans. Il était un des derniers politiques marocains de la première génération. Quel homme politique était-il ? Quelle empreinte laisse-t-il dans le paysage politique ? Dans Le Scan, le podcast actu de TelQuel, Landry Benoit reçoit Mehdi Mezouari, membre du bureau politique de l'USFP et Nouzha Skalli, ancienne ministre de la famille, membre du PPS. L'équipe "Le Scan" par TelQuel Média : Présentation, écriture : Landry Benoit Interview : Imane Essaidi Montage, réalisation : Adam El Harchaoui Soutenez un média indépendant. Abonnez-vous à Telquel : https://telquel.ma/abonnement/
durée : 00:54:26 - Le masque et la plume - par : Jérôme Garcin - Faut-il prendre son ticket pour voir "La chambre des merveilles" de Lisa Azuelos; "Emily" de Frances O'Connor, "Toute la beauté et le sang versé" de Laura Poitras; "Sur les chemins noirs" de Denis Imbert; "De grandes espérances" de Sylvain Desclous; "Le Bleu du kaftan" de Maryam Touzani ?
Tous les jours, les journalistes et correspondants de RFI ainsi que des spécialistes répondent à vos questions sur l'actualité. Ce matin : France : motions de censure rejetées, et après ? Par Julien Chavanne, chef adjoint au service politique en France. CPI : Vladimir Poutine visé par un mandat d'arrêt international. Par Stéphanie Maupas, correspondante de RFI à La Haye. Guerre en Ukraine : désaccord sur la durée de l'accord céréalier. Par Marine Raffray, agroéconomiste à Chambre d'agriculture de France. RDC : retard dans l'enrôlement des électeurs. Par Christian Moleka, analyste politique, coordonnateur national de la Dypol, la dynamique des politologues de la République démocratique du Congo. * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays). Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
durée : 00:54:19 - Julian Lage "The Layers" - par : Alex Dutilh - Dans “The Layers”, Julian Lage dévoile 6 nouveaux morceaux issus des sessions d'enregistrement de son précédent album gravé avec son mentor Bill Frisell, le bassiste Jorge Roeder et le batteur Dave King.
In this episode I discuss with Claire Lemarié her experience working with farmers in the Pays de la Loire region in France, where she is a technical adviser for the chamber of agriculture. She has precious insights into the management of mature hedges, as this region still has a significant amount of bocage: a traditional french hedge layout. In this interview we gain an understanding of why effective information sharing between farmers is crucial to creating innovative agroforestry systems and how she enables peer to peer exchange through the 'Club des Agroforestiers'.• RESOURCEShttps://www.linkedin.com/in/claire-lemari%C3%A9-34b667155/?originalSubdomain=frYoutube video Chambre d'agriculture de la Loire• GET IN TOUCH www.regenerativeagroforestry.org• SUPPORT US www.gumroad.com/regenagroforestry• FOLLOW US on Twitter, Facebook, LinkedIn and Instagram• FUNDING FOR EUROPEAN PROJECTS https://explore.ecosia.org/regenerative-agriculture Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Ce mercredi 1er mars, les conséquences du vote d'une résolution pour annuler une nouvelle règle en faveur de l'investissement durable dans les fonds de retraites à la Chambre des représentants américaine ont été abordées par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Stéphane Pedrazzi, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
EXPERTS FRÉDÉRIC ENCEL Docteur en géopolitique Maître de conférences à Sciences Po Paris et Paris School of Business AZADEH KIAN Sociologue franco-iranienne Auteure de « Femmes et pouvoir en Islam » ARMELLE CHARRIER Éditorialiste en politique internationale - « France 24 » ANTHONY BELLANGER Éditorialiste, spécialiste des questions internationales – « France Inter » Que se passe-t-il en Iran ? L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a détecté dans le pays des particules d'uranium enrichi à 83,7%, soit juste en deçà des 90 % nécessaires pour produire une bombe atomique, selon un dernier rapport de cette instance de l'ONU. Ces particules ont été découvertes dans des échantillons collectés en janvier dans l'usine souterraine de Fordo. "Des clarifications" sont demandées à Téhéran et "les discussions sont toujours en cours" pour déterminer l'origine de ces particules a expliqué l'agence onusienne. L'Iran, qui nie vouloir se doter de l'arme atomique, a fait état la semaine dernière "de fluctuations involontaires" au cours du processus d'enrichissement, dans une lettre citée par l'AIEA. Ces informations surviennent alors que le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi, est attendu en Iran dans les jours à venir, dans un contexte de détérioration des relations. Les négociations afin de ranimer l'accord de Vienne (JCPOA ) conclu en 2015 pour limiter les activités atomiques de l'Iran en échange d'une levée des sanctions internationales sont en effet au point mort. Depuis le retrait des États-Unis de cet accord, décidé en 2018 par le président Donald Trump, la République islamique s'est progressivement affranchie de ses engagements. Au 12 février, son stock total d'uranium enrichi s'élevait ainsi à 3 760,8 kg, soit plus de 18 fois la limite autorisée par l'accord, selon les estimations de l'AIEA. Surtout, l'Iran enrichit à des niveaux toujours plus élevés, loin de la limite fixée à 3,67 %. Hier, le numéro trois du ministère de la Défense américaine, Colin Kahl, a estimé que l'Iran pourrait désormais fabriquer suffisamment de matière fissile pour une bombe nucléaire en "environ 12 jours" lors d'une audience de la Chambre des représentants, en réponse à un parlementaire républicain qui lui demandait pourquoi l'administration Biden avait cherché à relancer l'accord sur le nucléaire iranien. "Parce que les progrès nucléaires de l'Iran depuis que nous avons quitté le JCPOA ont été remarquables. En 2018, lorsque l'administration précédente a décidé de quitter le JCPOA, il aurait fallu environ 12 mois à l'Iran pour produire l'équivalent d'une bombe de matière fissile. Maintenant, il faudrait environ 12 jours", a-t-il expliqué. Le chef de la CIA a lui estimé dimanche que le programme d'enrichissement d'uranium iranien "progresse vite à tel point qu'il leur suffirait de quelques semaines pour atteindre les 90 %, s'ils décidaient de franchir cette ligne". Il s'est également inquiété d'une « dangereuse » escalade dans la coopération militaire entre Téhéran et Moscou. "Ce que nous constatons, ce sont des signes selon lesquels la Russie propose d'aider les Iraniens avec leur programme de missiles et envisage aussi la possibilité de procurer à l'Iran des avions de combat ", a déclaré Bill Burns dans une rare interview diffusée sur la chaîne CBS. Alors jusqu'où ira le régime des mollahs dans la poursuite de son programme nucléaire ? Le pays peut-il se doter bientôt de l'arme nucléaire ? Et après plus de 5 mois, où en est la révolte en Iran ? Le mouvement est-il en train de s'essouffler ? Enfin que va faire Israël ? Le Premier ministre sur le retour, Benyamin Netayahou, qui a formé il y a quelques semaines une alliance électorale avec les ultra-nationalistes extrémistes auparavant en marge de la politique, multiplie les menaces. Lui qui préconise depuis longtemps une action militaire contre l'Iran, l'a de nouveau évoqué lors d'un discours mi-février. "La seule chose qui parvient à arrêter les États voyous qui s'apprêtent à développer la bombe atomique, c'est une menace militaire crédible ou un passage à l'action militaire crédible", a-t-il indiqué lors d'une conférence sur la sécurité nationale. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
EXPERTS FRANÇOIS CLEMENCEAU Rédacteur en chef international - « Le Journal du Dimanche » ÉLISE VINCENT Journaliste chargée des questions de défense - « Le Monde » GUILLAUME ANCEL Ancien officier de l'armée française BÉNÉDICTE CHÉRON Historienne, spécialiste des questions militaires Débarquement de troupes et d'engins, largages de parachutistes, opérations aériennes et de cyberdéfense : ce week-end l'opération "Orion", le plus gros exercice militaire en France depuis plus de vingt ans, a débuté dans le Sud du pays sous les yeux de vacanciers et d'habitants médusés. Prévu jusqu'en mai dans quatorze départements, "Orion" doit permettre à l'armée française de se préparer à un conflit de "haute intensité" contre un État ennemi de force égale. Terre, mer, air, spatial, cyber... Dans ce scénario de crise internationale, toutes les composantes de l'armée se retrouvent sur le pied de guerre. Une opération programmée depuis trois ans mais qui prend une signification plus grande encore depuis l'invasion russe de l'Ukraine, il y a un an. Dans un contexte de bouleversement de la géopolitique mondiale et de montée des tensions, le recours à la force n'est désormais plus un tabou et la perspective d'un conflit majeur ne relève plus de la science-fiction. "Le conflit en Ukraine nous réapprend la guerre de haute intensité", qui se joue "sur tout le registre de la guerre moderne", a expliqué le général Nicolas Le Nen, commandant des opérations interarmées. "Cette préparation-là est absolument essentielle, et j'espère qu'à l'avenir, ce sera reproduit régulièrement pour que nous retrouvions des savoir-faire en termes de gestion de grandes masses interarmées que nous avons perdus puisque pendant deux décennies, nous nous sommes focalisés sur des petites opérations sur des espaces réduits et des moyens relativement limités" a affirmé, de son côté, le général Vincent Desportes au micro de à RFI. Pour les soldats français, la dernière ouverture d'un théâtre de cette ampleur en conditions réelles remonte à l'opération Serval au Mali, en 2012, quand ils avaient repris la ville de Tombouctou aux groupes islamistes armés liés à Al-Qaïda. Ont suivi ensuite vingt ans de lutte anti djihadiste au Sahel pour aider les autorités locales. Mais depuis quelques mois la donne a changé. Après avoir levé le camp au Mali à l'été 2022, l'armée française a définitivement quitté le Burkina Faso la semaine dernière à la demande de la junte au pouvoir. Paris assure encore une présence au Tchad, au Niger et, dans une moindre mesure, en Mauritanie. Mais pour combien de temps encore ? Emmanuel Macron a annoncé hier une nouvelle réduction des effectifs militaires français déployés sur le continent africain. "La transformation débutera dans les prochains mois avec une diminution visible de nos effectifs et une montée en puissance dans ces bases de nos partenaires africains", a-t-il ainsi expliqué, en détaillant les contours d'une nouvelle relation "partenariale" avec les pays du continent, "loin des logiques de prédation" de certaines autres puissances a-t-il indiqué, évoquant sans les nommer la Russie et la Chine. La Chine qui voit également la pression s'accroître sur son réseau social TikTok. Le ministère des Armées envisage en effet de "déconseiller l'usage de l'application" aux militaires français. Aux Etats-Unis, le réseau social chinois est déjà banni de la Chambre des représentants et des agences fédérales. Fin février, la Commission européenne avait demandé elle aussi à ses salariés de supprimer l'application au plus vite. L'armée française est-elle prête à une guerre de haute intensité ? Emmanuel Macron a assuré avoir posé les bases "d'une autre voie" dans les relations avec le continent africain. Quelle est la stratégie de la France en Afrique ? Et que reproche-t-on à TikTok ? L'application TikTok pourrait-elle être interdite en Europe ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 01:58:28 - Les orchestres de chambre I - par : Christian Merlin - Première d'une série de deux semaines pour retracer l'histoire d'un type particulier de formation, les orchestres de chambre, qui se sont multipliés après-guerre pour jouer le répertoire classique autrement que les grandes phalanges symphoniques. - réalisé par : Marie Grout
Débat entre Pierre Vanek, député Ensemble à gauche au Grand Conseil genevois, et Vincent Subilia, député PLR et directeur de la Chambre de commerce genevoise.
Cet État de 33 millions d'habitants gouverné par le Parti communiste indien caracole en tête de tous les indicateurs de développement. La santé et l'éducation y sont gratuites. L'étonnant succès de cette expérience démocratique fait qu'on parle de « modèle du Kerala ». Mais tout n'est pas rose au pays des « rouges ». De notre correspondant à Bangalore, Côme Bastin avec Ashik Sumakaran Ce jour-là à Trivandrum, la crème du Communist Party of India célèbre les 70 ans de la maison d'édition marxiste Prabhat. « Bienvenue au Kerala, Camarade. Vous savez, les communistes ont été acteurs majeurs de l'indépendance de l'Inde », lance C. Divakaran. « Influencés par la révolution russe de 1917, nous avons défait les monarques, redistribué les terres, instauré l'éducation gratuite, et la santé pour tous, s'enthousiasme cet ancien ministre de l'Agriculture. C'est pour ça qu'aujourd'hui les Kéralais ont l'espérance de vie la plus longue d'Inde ! » Octobre rouge, camarade, révolution… Un lexique qui peut surprendre. Comme les drapeaux rouges, les portraits de Marx et de Staline dans les rues. Mais c'est bien par les urnes que les communistes sont arrivés au pouvoir au Kerala. En alternance avec le parti du Congrès de Gandhi, ils y ont appliqué des politiques résolument de gauche. « Ici, le salaire minimum pour un ouvrier est de 800 roupies par jour. Dans le Gujarat, l'État de Narendra Modi, c'est 300 roupies. Beaucoup pensaient qu'un tel modèle allait freiner la croissance, décrit Thomas Isaac, ancien ministre des Finances. Au contraire, le PIB par tête du Kerala est supérieur au reste du pays. » Les chiffres lui donnent raison. Le Kerala bénéficie du plus haut taux d'alphabétisation, à 97%, et de l'espérance de vie la plus longue, à 76 ans. Récemment, c'est dans le domaine de la santé que le « modèle du Kerala » a fait parler de lui. À l'accueil d'un centre de santé publique, dans le village de Poozhanad, Vinod Kumar et sa femme présentent leur carte « eHealth » – ils avaient auparavant pris un rendez-vous en ligne. Celle-ci contient les données de santé de leur fille et lui permet d'être pris en charge immédiatement. « Au Kerala, grâce aux centres de santé familiaux, c'est beaucoup plus facile pour les villageois d'accéder aux traitements, explique le docteur Vinoj, 43 ans, en charge de l'établissement. Avec sa carte, monsieur reçoit des soins à hauteur de 350 euros par an. Nous avons aussi des infirmières qui visitent les domiciles. » Endettement et fuite des cerveaux On trouve dans le Kerala quelque 500 centres de santé comparables. Hématologie, en biochimie ou neurologie : la gamme de soins qui y est dispensée est impressionnante. Ce maillage sanitaire a permis de mieux tester, tracer et isoler la population lors du pic du Covid. « Où est le hic ? », se demandera le sceptique. « Nous avons la dette la plus élevée de tous les États indiens, parce que les communistes ont tendance à trop dépenser », alerte Shashi Tharoor, célèbre diplomate devenu député du parti du Congrès dans la capitale Trivandrum. Nous n'avons quasiment pas d'industrie. Nous avons le taux de chômage le plus élevé en Inde pour les jeunes : 40% ! » « La bureaucratie entraîne la fuite des cerveaux du Kerala vers des contrées plus capitalistes », regrette Raghuchandran Nair, président de la Chambre de commerce et d'industrie. « Même si la situation s'améliore. » Conscient de l'urgence de séduire la jeunesse, le gouvernement communiste a en effet lancé un des plus grands incubateurs technologiques d'Inde. À Cochin, les gratte-ciel poussent, signe que la classe moyenne trouve racine. Le succès de la biennale d'art contemporain, plus grand festival du genre en Asie, participe aussi de ce nouveau souffle. « Dans ce quartier, il y avait beaucoup de dépôts d'épices pour les bateaux. Mon rêve était d'y construire un village artistique, raconte Firoz Baba, artiste de 50 ans. Depuis la biennale, artistes et acheteurs du monde entier affluent. On a ouvert treize galeries dans ce bâtiment ! » Une réussite que les communistes aiment revendiquer. Mais pour Shashi Tharoor, le « modèle du Kerala » n'est l'apanage d'aucun parti. « Au XIXe siècle, le niveau d'inégalité était absolument terrible au Kerala. La société [locale] a donc vu naître des intellectuels réformateurs et anti-castes. La culture égalitaire et communiste y a puisé ses racines. » Au-delà des partis, le Kerala est porté par sa société civile. On y trouve le plus grand nombre d'ONG par habitant. Ici, 26% de musulmans et 18% de chrétiens cohabitent en paix avec les hindous. Le parti nationaliste BJP de Narendra Modi a d'ailleurs perdu son unique siège au sein de l'Assemblée en 2021. « Le problème, c'est que les Kéralais réfléchissent trop », a justifié le malheureux candidat.
durée : 00:28:13 - Les orchestres de chambre 1/4: 1926-1945 - Première d'une série de deux semaines pour retracer l'histoire d'un type particulier de formation, les orchestres de chambre, qui se sont multipliés après-guerre pour jouer le répertoire classique autrement que les grandes phalanges symphoniques.
durée : 00:28:26 - Les orchestres de chambre I (2/4) - par : Christian Merlin - Première d'une série de deux semaines : il faut bien cela pour passer en revue les grands titulaires du poste de clarinette solo d'orchestre, en commençant par l'école française. - réalisé par : Marie Grout
durée : 00:28:28 - Les orchestres de chambre I (3/4) - par : Christian Merlin - Première d'une série de deux semaines pour retracer l'histoire d'un type particulier de formation, les orchestres de chambre, qui se sont multipliés après-guerre pour jouer le répertoire classique autrement que les grandes phalanges symphoniques. - réalisé par : Marie Grout
durée : 00:28:32 - Les orchestres de chambre I (4/4) - par : Christian Merlin - Première d'une série de deux semaines : il faut bien cela pour passer en revue les grands titulaires du poste de clarinette solo d'orchestre, en commençant par l'école française. - réalisé par : Marie Grout
EXPERTS Pascal PERRINEAU Politologue - Professeur des universités à Sciences Po - Auteur de « Le populisme » Nathalie SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » Astrid DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » - Auteure de « Les 7 péchés capitaux de la gauche » Bernard VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail - Spécialiste du dialogue social Après trois grandes journées de grève contre la réforme des retraites, les syndicats ont fait le choix d'organiser une manifestation ce samedi sans appeler à la grève. L'objectif est double : permettre que les personnes souhaitant se mobiliser puissent facilement rejoindre le cortège, mais également offrir la possibilité aux gens pour qui la grève coûterait trop cher de participer, eux aussi, à cette mobilisation dans la rue. Les trois premières journées d'action ont réuni entre 757 000 et 1,27 million de personnes selon les autorités, entre « près de deux millions » et « plus de 2,5 millions » selon l'intersyndicale. Pour l'heure, cela n'a pas infléchi le choix de l'exécutif, qui tient sur la mesure clé de la réforme, le recul de l'âge légal de départ à 64 ans. La bataille autour de cette réforme a également lieu à l'Assemblée nationale, où l'examen du projet de loi se poursuit. Le premier article, qui prévoit la suppression des régimes spéciaux, a été adopté jeudi. Les débats sont houleux. Il ne se passe pas un jour sans son lot de polémiques et d'invectives. Hier, le député LFI-Nupes Thomas Portes a été exclu pour 15 jours après un tweet litigieux le présentant le pied sur un ballon à l'effigie d'Olivier Dussopt, ministre en charge de la réforme. La France Insoumise explique y voir une manœuvre visant à priver d'une voix supplémentaire l'opposition. Au sein de l'opposition politique à l'Assemblée, c'est le groupe LR qui semble plus que jamais avoir en main le destin de la réforme. Le nouveau président du parti, Eric Ciotti, a assuré le gouvernement de son appui lors du vote à la Chambre. Ce soutien des Républicains est indispensable pour l'exécutif afin d'éviter d'avoir à recourir à l'article 49-3 pour faire adopter son texte. Seulement, plusieurs députés LR expliquent qu'en l'état ils ne voteront pas le texte. Plusieurs points justifient selon eux ce refus. La question des carrières longues, tout d'abord. Ce dispositif est censé permettre à ceux qui ont commencé à travailler avant 21 ans de partir plus tôt. Le député du Lot Aurélien Pradié a affirmé qu'il ne soutiendra la réforme qu'à la condition de réduire de 5 à 1 le nombre de trimestres nécessaires pour y être éligible. Mais la question de la pénibilité au travail est également au cœur des débats. Car si le gouvernement assure que son projet permettra d'« améliorer la prise en compte de la pénibilité », les syndicats estiment qu'elle est encore loin d'être reconnue, et même que les dispositifs existants ont été affaiblis depuis l'arrivée au pouvoir d'Emmanuel Macron en 2017. Dans la rue, les cortèges d'opposants à la réforme sont fournis, et pas uniquement dans les grandes métropoles. Le mouvement social est en effet marqué par une forte mobilisation dans les petites et moyennes communes. C'est même l'un de ses grands succès. À Alès, dans le Gard, malgré une moindre mobilisation mardi dernier, on comptait quand même 4 500 participants. C'est important pour une commune d'un peu plus de 40 000 habitants. Dans cette France des sous-préfectures, frappée par la désindustrialisation, beaucoup manifestent pour la première fois. Si tous sont préoccupés par la réforme des retraites, le climat économique ambiant, marqué par la forte inflation, est également dans tous les esprits. Qui du mouvement social ou de l'exécutif est le mieux armé pour remporter ce bras de fer ? Le gouvernement peut-il éviter le recours au 49-3 pour faire adopter sa réforme ? La mobilisation des petites et moyennes communes est-elle la clé du succès pour le mouvement social ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce mardi 7 février à Washington, Joe Biden a prononcé son discours annuel sur l'état de l'Union devant les deux chambres du Congrès. Un Congrès transformé puisque, si le Sénat est toujours à majorité démocrate, Biden faisait face à une Chambre des représentants désormais conduite par les Républicains. Que faut-il retenir de cette édition? On sait que les choses vont plutôt bien pour le pays, puisque l'inflation est retombée à 6,5% fin 2022, avec des anticipations à 3% seulement pour 2023. Dans ce contexte, quels sont les grands axes de la politique du président pour les deux ans à venir? Et quid de l'élection présidentielle de 2024? Trump se représente; Biden va-t-il en faire autant? Tous les mercredis, New Deal décortique l'actualité politique américaine. New Deal est un podcast de Laurence Nardon produit et réalisé par Slate Podcasts en partenariat avec la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et l'Institut français des relations internationales (IFRI). Direction et production éditoriale: Christophe Carron Prise de son, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues Présentation: Romain Dessal Musique: «Cutting It Close», DJ Freedem Suivez-nous sur Instagram et Facebook.
Après 24 années de hauts puis de bas, l'alliance a résisté entre Renault et Nissan mais doit être restructurée. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités reviennent sur les termes du nouveau contrat d'une union plus libre entre les constructeurs automobiles alors que les défis de l'industrie sont colossaux.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en février 2023. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Yann Rousseau (correspondant des « Echos » au Japon) et Lionel Steinmann (journaliste spécialiste de l'automobile aux « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Shutterstock. Sons : Nissan, Renault France, Ina, BFM TV, « Dikkenek » (2006), BFM Business, Chambre à part « Picon Mon Amour » (2022). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:39:30 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Le 1er février, la Fondation Abbé Pierre publiait son 28e rapport sur le mal logement en France, alors que le Sénat examinait la veille une loi « anti-squat », renforçant les procédures d'expulsion. La crise du logement est au cœur du débat, dans un contexte d'inflation, de tension de l'immobilier. - invités : Camille François sociologue; Jean Pinsolle Président de la Chambre des Propriétaires du Grand Paris; Christophe Robert Délégué général de la Fondation Abbé Pierre
C'est la guerre entre TikTok et les institutions américainesOn le sait l'application a déjà été interdite sur tous les appareils du gouvernement fédéral et sur les appareils gouvernementaux dans 31 États pour des raisons de confidentialité des données.Désormais, les restrictions s'étendent aux universités.L'université d'Auburn, l'université d'Oklahoma du Texas ont décidé de bloquer l'accès à TikTok sur les réseaux wifi scolaires.Sont à nouveau opposé les risques de confidentialité et la fuite éventuelles de données stratégiques vers la Chine. Si la mesure est symbolique, TikTok est la cible de pressions importantes au coeur même du Congrès américains. Ils sont un certain nombre à faire pression pour une interdiction nationale.Les politiques tentent de placer TikTok au centre d'une guerre culturelle. Selon eux, le gouvernement chinois utilise TikTok pour "détruire les États-Unis d'Amérique ».Un projet de loi de la Chambre a même été présenté ce mois-ci par 19 républicains. Il propose de bloquer le financement fédéral de tout "établissement d'enseignement supérieur" qui refuse d'interdire l'application.Rappelons que TikTok compte plus de 100 millions d'utilisateurs américains.——Twitter ferme les portes de son API et coupe le jus à des dizaines d'applications tiercesRIP Twitterific et TweetBot… Le 19 janvier 2023, Twitter a actualisé ses règles vis-à-vis des développeurs. Les choses sont maintenant écrites noir sur blanc : il est interdit de concevoir un logiciel semblable aux applications officielles de Twitter.Twitter leur a révoqué du jour au lendemain l'accès à son API.Visiblement, Elon Musk voit d'un drôle d'oeil ces application miroirs qui répliquent Twitter. ll s'agirait aussi d'un effort pour centraliser la totalité des internautes sur l'application officielle. La fin des applications tierces marque la fin d'une époque chez Twitter. Initialement ces applications ont contribué au succès de Twitter. Fait intéressant, Twitter a pendant longtemps été en retard sur les smartphones. Twitter avait même fini par racheter un client tiers, Tweetie, pour en faire son application officielle. —Instagram lance un « mode silencieux »La semaine dernière, Instagram a annoncé le lancement d'une nouvelle fonctionnalité appelée "Mode silencieux".La fonctionnalité vise à réduire le FOMO des utilisateurs lorsqu'ils s'absentent de l'application.Une fois enclenché le mode silencieux désactive les notifications entrantes, répond automatiquement aux DM et met votre statut sur « En mode silencieux ».Instagram est devenu un véritable outil de messagerie et à ce titre un « quiet mode » semble un adon logique.Le mode silencieux rejoint une poignée d'autres outils de gestion du temps d'écran qu'Instagram propose désormais. Il y a les contrôles quotidiens du temps passé qui permettent aux gens de suivre leur utilisation de l'application. On peut aussi parler de l'outil permettant de configurer des rappels "faire une pause" lorsque les sessions de connexions se prolongent au-delà d'un certain temps.Succès InstagramUne news bien cool, ou plutôt la confirmation d'une news qui qui a été confirmée par un auditeur du super Daily Aka @Du_point_a_la_ligne, les badges de Succès d'Instagram sont en route.La nouveauté avait été détectée par notre Rétro Ingénieur préféré Alesandro Paluzzi en Octobre et elle annonçait l'apparition de badges de réussite sur Instagram qui auraient pour vocation d'inciter les créateurs de reels.Et la c'est officiel c'est en Beta test de ce côté de l'Atlantique.Ce qu'on en sait :Lorsque tu as publié un Reels on te tease en t'annonçait que tu peux remporter des « succès » qui soulignent ton processus créatif.Créateur de communauté : utilisation d'un sondage, sticker ou curseurDénicheur de tendances : utilise un audio ou un effet populaireÉlan créatif : 2 réels ou plus sur 7 joursCollaborateur : remixé un contenuCette Beta confirme la volonté d'Instagram de pousser le Reels encore plus fort avec ces badges d'encouragement.ChatGPT a déclenché le code rouge chez GooglePour changer un peu je vais te parler de Google !Ce que vit Google en ce moment rappelle un peu ce qui s'était passé en 2007 avec le lancement du premier iPhone. A l'époque, Google travaillait aussi sur un smartphone, mais c'était un projet beaucoup moins ambitieux que Apple : un téléphone avec des touches, le tout avec une première version d' Android peu convaincante.Par son côté inédit, ultra-utile et révolutionnaire, ChatGPT fait un peu à Google le même effet que la présentation du premier iPhone. La firme doit réagir, ou sinon, OpenIA finira par lui voler son coeur de métier : ChatGPT permet en effet déjà d'obtenir des réponses assez fiables, directement utilisables, le tout plus vite que si vous deviez parcourir de nombreux sites via Google pour arriver au même résultat.Cette année Google devrait donc lancer une vingtaine d'Ia : Un de ces outils, baptisé Colab Plus Android Studio permet par exemple de coder des applications Android plus vite. Un autre outil permet de créer de toutes pièces des fonds d'écran pour les smartphones Google Pixel.Enfin, il sera également question d'une IA qui résume des vidéos en en générant une nouvelle de toutes pièces. Mais aussi lancer une sorte de chatbot dopé à l'IA cette année et qui devrait apparaître sur le moteur de recherche.Épisode 909 : Youpi, c'est lundi et on a un tas d'actualités social media à vous dévoiler ! Insta, Twitter, Linkedin, Google, Tiktok, personne n'échappe à ce lundi placé en alerte rouge !Programmer en natif sur LinkedinLa News est dans les tuyaux depuis quelques mois et le déploiement France a enfin commencé : on peut programmer en natif sur Linkedin.C'était l'une des bêtes noires de la plateforme et ça obligeait les marques à passer pas un outil tierce ou à l'ancienne d'aller publier à la Mano au jour le jour. Et bien désormais, pour ceux qui sont à jour, lorsque vous créez un post, juste à gauche du bouton « publier » vous verrez apparaître une petite horloge. La fonctionnalité permet de programmer tout type de contenu et ça va clairement en soulager certains.C'est une news qui nous vient de notre team CM et je les remercie car ils sont super attentifs sur l'évolution des plateformes. Bien souvent il y a des choses qui sortent quelques mois après leur annonce et personne ne le voit passer.. . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs.Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com/. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs.
La rentrée, le 3 janvier 2023, du nouveau Congrès américain, issu des Midterms de novembre 2022, restera sans doute dans les annales de l'histoire politique des États-Unis : il a fallu, en effet, 4 jours de débats houleux, 3 nuits de tractations laborieuses et 15 tours de scrutin pour que la Chambre des Représentants, désormais à majorité républicaine, réussisse à désigner son speaker, c'est-à-dire son président : Kevin Mc Carthy, 57 ans. Le représentant de Californie a été humilié par une vingtaine d'élus du mouvement MAGA (Make Americain great again), minoritaires au sein du parti Républicain. Et il a dû leur faire d'énormes concessions en échange de leurs votes. Comment le parti républicain a-t-il pu offrir un tel spectacle de divisions ? (certains élus ont failli en venir aux mains...). S'agit-il d'une claque pour Donald Trump qui avait apporté son soutien à Kevin Mc Carthy ? Quel était le but recherché par les extrémistes du mouvement MAGA ? Le speaker républicain risque-t-il à présent de se retrouver otage de ces frondeurs ? Comment va se passer la cohabitation entre la Chambre républicaine et le Sénat démocrate ? Faut-il s'attendre, pendant 2 ans, à des batailles homériques au Congrès sur des sujets sensibles comme les dépenses publiques, voire sur le soutien à l'Ukraine ? Comment Joe Biden compte-t-il composer avec les Républicains ? Invités : - Maya Kandel, historienne, spécialiste de la Politique étrangère américaine, et chercheuse associée à l'Université Sorbonne Nouvelle Paris 3 - Hugo Bouvard, maître de conférences en Histoire et Sociologie des États-Unis à l'Université Paris Cité - Simon Grivet, maître de conférences en Histoire et Civilisation des États-Unis à l'Université de Lille.
Retour sur les travaux de la commission d'enquête de la Chambre des représentants sur les événements du 6 janvier 2021. L'attaque du Capitole par les partisans de Trump est la plus grave atteinte envers les institutions américaines depuis la guerre de Sécession, et une inspiration pour de futures attaques contre la démocratie, que ce soit aux États-Unis ou ailleurs. Les événements de Brasília l'ont bien montré il y a quinze jours (le dernier épisode du podcast Le monde devant soi revient dessus en détails). On ne sait toujours pas si le département de la Justice va suivre les recommandations que lui a transmises cette commission, c'est-à-dire s'il va engager un procès contre Trump pour incitation à l'insurrection. La décision sera prise par le ministre Merrick Garland et le special counsel Jack Smith. Ils devront évaluer le risque qu'un nouveau procès ne relance l'intérêt du public envers Trump et son image de martyr, au moment où son influence politique commence à diminuer. Mais ce qui est sûr, c'est que le rapport de la commission est un document historique. Que dit-il exactement? Va-t-il changer quelque chose? Laurence Nardon l'a lu pour nous. Tous les mercredis, New Deal décortique l'actualité politique américaine. New Deal est un podcast de Laurence Nardon produit et réalisé par Slate.fr en partenariat avec la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et l'Institut français des relations internationales (IFRI), sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours. Prise de son, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues Musique: «Cutting It Close», DJ Freedem Suivez-nous sur Instagram et Facebook.
Elu a une courte majorité après quinze tours, c'est inédit, le républicain Kevin McCarthy devient le nouveau président de la Chambre des représentants du Congrès américain. Une élection rendue difficile par le blocage répété d'une vingtaine d'élus de la frange radicale de son parti. Pour quelles raisons ces élus ont-ils entravé cette élection ? Le nouveau « speaker » pourra-t-il conserver longtemps son siège dans ces conditions ? Mise en perspective et analyse des enjeux au sein du pouvoir républicain au menu de ce 19ème épisode de « Democracy ! Démocratie ! », avec Jordan Davis. Un podcast de Jordan Davis Réalisateur : Jean Berset Productrice : Magali Philip Attachée de production : Josiane Perret
Dimanche 8 janvier, nous avons assisté à une réédition de l'insurrection du Capitole du 6 janvier 2021. Cette fois-ci, nous n'étions pas aux États-Unis, mais à Brasilia, au Brésil. Cette insurrection était menée par les partisans de l'ex-président Jair Bolsonaro –dont on connaît par ailleurs les liens idéologiques et personnels avec Donald Trump. Pendant ce temps-là, à Washington, la Chambre des représentants connaissait aussi des heures mouvementées. Lors des élections de novembre dernier, la Chambre a basculé du côté républicain et il fallait donc, à l'ouverture de la nouvelle législature le 3 janvier, élire un nouveau speaker. Or, il a fallu pas moins de quinze tours de scrutin au candidat républicain Kevin McCarthy pour se faire élire, car il faisait face à une fronde venue de la droite du parti. McCarthy a dû leur octroyer des concessions importantes, qui risquent de compliquer le fonctionnement de la Chambre dans les mois qui viennent. Et quand on évoque cette «fronde venue de la droite du parti», ça va loin puisque Kevin McCarthy est lui-même soutenu par Trump. Qui sont ces élus plus trumpistes que Trump? Que se passe-t-il à la droite du parti républicain ? Tous les mercredis, New Deal décortique l'actualité politique américaine. New Deal est un podcast de Laurence Nardon produit et réalisé par Slate.fr en partenariat avec la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et l'Institut français des relations internationales (IFRI), sous la direction de Christophe Carron et Benjamin Saeptem Hours. Prise de son, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues Musique: «Cutting It Close», DJ Freedem Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.
Ce 3 janvier marque l'entrée en fonction de la nouvelle Chambre des représentants, après les midterms. Après quatre jours de vote, les élus de la Chambre des représentants ont choisi leur nouveau speaker, leur chef : le républicain Kevin McCarthy. Chaque semaine, le mardi, Lionel Gendron nous adresse une lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte-postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
durée : 00:14:42 - Journal de 8 h - Après quinze tours de vote étalés sur quatre jours, Kevin McCarthy a enfin obtenu le nombre de voix nécessaire pour prendre la tête du Congrès. Pour le parti, majoritaire, la procédure n'aurait dû être qu'une formalité, mais c'était sans compter la fronde d'un petit groupe d'ultra-conservateurs.
Tous les jours, les journalistes et correspondants de RFI ainsi que des spécialistes répondent à vos questions sur l'actualité. Ce matin : Iran : campagne de surveillance autour du port du voile. Par Nasser Etemadi, journaliste au service langue persane de RFI. M23 : annonce de retraits de Rumangabo et Kishishe. Par Paulina Zidi, journaliste au service Afrique de RFI. Etats-Unis : absence de consensus parmi les Républicains pour l'élection du président de la Chambre des Représentants. Par Jean-Eric Branaa, maître de conférences à l'Université Paris Panthéon Assas, spécialiste de la politique américaine, auteur de “Géopolitique des Etats-Unis", PUF 2022. * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays). Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
Louise est préoccupée par la situation de sa petite fille de 17 ans. Elle s'est renfermée sur elle-même au point de ne plus quitter sa chambre. Elle ne sait pas comment réagir et est démunie face à cette situation. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
durée : 01:10:45 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Pot au feu - Chambres introuvables (1ère diffusion : 25/06/2002)
durée : 00:15:10 - Journal de 22h - Un blocage inédit depuis 100 ans à la Chambre des représentants aux Etats-Unis. La majorité républicaine n'arrive pas à élire le président de la Chambre, le speaker. Son candidat, Kevin McCarthy est contesté par une vingtaine d'élus trumpistes.
durée : 00:38:57 - Le Temps du débat - par : Cécile Bidault - Le 23 décembre, à Rome, la Chambre des députés a adopté la loi de finances portée par le gouvernement italien. Ce budget répond aux exigences de Bruxelles au détriment de certaines promesses de campagne : que reste-t-il de la ligne d'extrême droite dans la politique de Giorgia Meloni ? - invités : Anna Bonalume Journaliste au magazine italien L'Espresso; Gilles Gressani Directeur de la revue Le Grand Continent; Marie-Anne Matard-Bonucci professeure d'histoire contemporaine à l'université Paris 8
Commençons par l'annonce de la première partie de notre émission. Tout d'abord, nous commenterons la décision prise lundi par la commission du 6-Janvier de la Chambre des représentants américaine : elle a déféré l'ancien président Donald Trump devant le ministère de la Justice en recommandant des poursuites pénales. Ensuite, nous parlerons du comportement fantasque qu'a eu ces derniers temps le nouveau propriétaire de Twitter, l'entrepreneur milliardaire Elon Musk, et de l'impact que cela pourrait avoir sur son image. Puis, dans la partie consacrée à la science, nous aborderons l'annonce par le ministère américain de l'Énergie d'une percée importante dans le domaine de la fusion nucléaire. Enfin, nous discuterons de la finale de la Coupe du monde 2022 qui a eu lieu dimanche et qui a été qualifiée par les fans et les experts de « meilleure finale de tous les temps ». Poursuivons avec la deuxième partie de notre émission, « Trending in France ». Cette semaine, nous parlerons du premier prix Goncourt des Détenus. Et pour finir, nous nous intéresserons à l'ouverture en Belgique d'une exposition événement en hommage à Johnny Hallyday. - La commission de la Chambre des représentants des États-Unis recommande des poursuites pénales contre Donald Trump - Le comportement fantasque d'Elon Musk sur Twitter nuit-il à son image ? - Une réaction de fusion nucléaire génère pour la première fois plus d'énergie qu'elle n'en a consommé - Coupe du monde 2022 : la « meilleure finale de tous les temps » selon les fans et les experts - Le premier prix Goncourt des Détenus a été décerné au roman Sa préférée - Johnny Hallyday : l'exposition-événement