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C dans l'air du 18 décembre 2025 - Affaire Epstein: Trump cherche la parade« Il y a onze mois j'ai hérité d'un désastre et je le répare ». C'est avec ces mots que Donald Trump a lancé ce mercredi une courte allocution en guise de bilan de fin d'année. Malgré le mécontentement des Américains, le président américain a maintenu son cap économique tout en accablant son prédécesseur démocrate Joe Biden. Il lui a reproché de lui avoir laissé une économie « au bord de la ruine ». Parmi les autres thèmes abordés : la résolution de huit guerres, selon lui-même, « un boom économique » à venir, ou encore un processus de « migration inversée » enclenché, mais un sujet manquait à l'appel : l'affaire Epstein. Pourtant le dossier est brulant. Les derniers documents liés au délinquant sexuel décédé en 2019 doivent être divulgués d'ici à vendredi par le ministère de la Justice. Après des mois de fausses promesses complotistes puis une volte-face l'amenant à dénoncer un « canular » politique, Donald Trump a été forcé par sa base MAGA à rendre publics les derniers secrets dans cette affaire. La semaine dernière, des élus démocrates au Congrès avaient déjà rendu publiques de nouvelles photos émanant des légataires du criminel sexuel Jeffrey Epstein, qui incluent notamment des images de Donald Trump. « Ces images troublantes soulèvent encore plus de questions sur Jeffrey Epstein et ses relations avec certains des hommes les plus puissants du monde », avaient relevé les élus démocrates de la commission de surveillance à la Chambre des représentants. Qu'en sera-t-il ce vendredi 19 décembre ? Michael Wolff, connu pour ses enquêtes et livres consacrés à Donald Trump, devrait suivre de près la divulgation des derniers dossiers de l'affaire Epstein. Les 23.000 documents publiés, en novembre dernier, révèlent une proximité troublante avec le criminel sexuel, qu'il qualifie pourtant de « monstre ». L'écrivain s'est également confronté à Melania Trump, dans cette affaire. Michael Wolff a porté plainte contre la femme de Donald Trump, qu'il accuse d'avoir tenté de le faire taire après ses révélations sur ses liens avec Jeffrey Epstein. Selon l'auteur du « Feu et la fureur », la Première dame aurait été présentée à son mari par le criminel sexuel. Donald Trump augmente la pression sur le Venezuela. Le président américain a annoncé, mardi 16 décembre, un « blocus total » contre les pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela, renforçant la pression économique sur Caracas en pleine crise entre les deux pays. La chute du président vénézuélien Nicolas Maduro apparaît aujourd'hui comme l'un des principaux objectifs de la Maison Blanche.Les dernières révélations sur l'affaire Epstein peuvent-elles avoir des conséquences pour Donald Trump ? Qui est Michael Wolff, le journaliste qui défie le président américain ? Que signifie le « blocus total et complet » imposé par Donald Trump dans la crise politique face au Venezuela ? Nos experts :- Anthony BELLANGER - Éditorialiste Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales - Corentin SELLIN - Historien spécialiste des États-Unis, chroniqueur Les Jours - Anne DEYSINE - Juriste et politologue, spécialiste des États-Unis, auteure de Les juges contre l'Amérique - Anne TOULOUSE - Journaliste franco-américaine, auteure de L'art de trumper
C dans l'air du 18 décembre 2025 - Affaire Epstein: Trump cherche la parade« Il y a onze mois j'ai hérité d'un désastre et je le répare ». C'est avec ces mots que Donald Trump a lancé ce mercredi une courte allocution en guise de bilan de fin d'année. Malgré le mécontentement des Américains, le président américain a maintenu son cap économique tout en accablant son prédécesseur démocrate Joe Biden. Il lui a reproché de lui avoir laissé une économie « au bord de la ruine ». Parmi les autres thèmes abordés : la résolution de huit guerres, selon lui-même, « un boom économique » à venir, ou encore un processus de « migration inversée » enclenché, mais un sujet manquait à l'appel : l'affaire Epstein. Pourtant le dossier est brulant. Les derniers documents liés au délinquant sexuel décédé en 2019 doivent être divulgués d'ici à vendredi par le ministère de la Justice. Après des mois de fausses promesses complotistes puis une volte-face l'amenant à dénoncer un « canular » politique, Donald Trump a été forcé par sa base MAGA à rendre publics les derniers secrets dans cette affaire. La semaine dernière, des élus démocrates au Congrès avaient déjà rendu publiques de nouvelles photos émanant des légataires du criminel sexuel Jeffrey Epstein, qui incluent notamment des images de Donald Trump. « Ces images troublantes soulèvent encore plus de questions sur Jeffrey Epstein et ses relations avec certains des hommes les plus puissants du monde », avaient relevé les élus démocrates de la commission de surveillance à la Chambre des représentants. Qu'en sera-t-il ce vendredi 19 décembre ? Michael Wolff, connu pour ses enquêtes et livres consacrés à Donald Trump, devrait suivre de près la divulgation des derniers dossiers de l'affaire Epstein. Les 23.000 documents publiés, en novembre dernier, révèlent une proximité troublante avec le criminel sexuel, qu'il qualifie pourtant de « monstre ». L'écrivain s'est également confronté à Melania Trump, dans cette affaire. Michael Wolff a porté plainte contre la femme de Donald Trump, qu'il accuse d'avoir tenté de le faire taire après ses révélations sur ses liens avec Jeffrey Epstein. Selon l'auteur du « Feu et la fureur », la Première dame aurait été présentée à son mari par le criminel sexuel. Donald Trump augmente la pression sur le Venezuela. Le président américain a annoncé, mardi 16 décembre, un « blocus total » contre les pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela, renforçant la pression économique sur Caracas en pleine crise entre les deux pays. La chute du président vénézuélien Nicolas Maduro apparaît aujourd'hui comme l'un des principaux objectifs de la Maison Blanche.Les dernières révélations sur l'affaire Epstein peuvent-elles avoir des conséquences pour Donald Trump ? Qui est Michael Wolff, le journaliste qui défie le président américain ? Que signifie le « blocus total et complet » imposé par Donald Trump dans la crise politique face au Venezuela ? Nos experts :- Anthony BELLANGER - Éditorialiste Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales - Corentin SELLIN - Historien spécialiste des États-Unis, chroniqueur Les Jours - Anne DEYSINE - Juriste et politologue, spécialiste des États-Unis, auteure de Les juges contre l'Amérique - Anne TOULOUSE - Journaliste franco-américaine, auteure de L'art de trumper
C dans l'air du 17 décembre 2025 - L'affaire Epstein continue de secouer les États-Unis. Dix-neuf photos ont été mises en ligne vendredi dernier par des élus démocrates. On y voit, en compagnie du prédateur sexuel, Donald Trump, Bill Clinton, Ghislaine Maxwell (aujourd'hui incarcérée), Bill Gates, Steve Bannon ou encore Andrew Mountbatten-Windsor. Ces nouvelles images, publiées par les législateurs démocrates de la commission de surveillance de la Chambre des représentants, ne sont qu'une petite partie des plus de 95 000 photos qu'ils ont reçues de la succession d'Epstein, qui s'est suicidé dans une cellule d'une prison new-yorkaise en 2019 alors qu'il attendait d'être jugé pour des accusations de trafic sexuel.Elles sont surtout distinctes des dossiers que le ministère de la Justice est désormais contraint de publier. Mais l'impatience grandit alors que l'administration Trump fait face à la date limite du 19 décembre pour produire les dossiers Epstein, mais aussi à de nouvelles révélations explosives.Mardi 16 décembre, le magazine américain Vanity Fair a publié une enquête basée notamment sur une dizaine d'entretiens avec Susie Wiles, la secrétaire générale de la Maison-Blanche. L'ancienne directrice de campagne du milliardaire républicain estime par exemple que l'ex-magnat de l'immobilier, marqué par la mort de son frère alcoolique, « a une personnalité d'alcoolique » — elle-même est fille d'un homme alcoolique. Il « fonctionne avec la conviction que rien ne lui est impossible. Absolument rien ». « Les alcooliques fonctionnels, ou les alcooliques en général, ont une personnalité exacerbée lorsqu'ils boivent », a-t-elle ajouté. La conseillère âgée de 68 ans égratigne aussi le vice-président, estimant qu'il est « adepte des théories complotistes depuis une décennie », ou encore Elon Musk, un temps à la tête du département de l'Efficacité gouvernementale (Doge), qualifié de destructeur…Sous pression, le camp Trump s'exprime et tente de désamorcer. Très discrète habituellement, Susie Wiles a dénoncé un article « malhonnête ». « Elle voulait dire que je… Voyez-vous, je ne bois pas d'alcool. Tout le monde le sait, mais j'ai souvent dit que si je buvais, j'aurais de fortes chances de devenir alcoolique. Je l'ai dit à maintes reprises », a déclaré de son côté Donald Trump. Quelques heures plus tard, le président des États-Unis a annoncé sur son réseau Truth Social que les États-Unis mettaient en place un blocus au Venezuela contre « les pétroliers sous sanctions », une nouvelle escalade dans la crise entre les deux pays. Accusé de faire diversion par ses opposants, le président des États-Unis doit s'exprimer une nouvelle fois ce soir.En face, ses adversaires surenchérissent. Ils affirment avoir d'autres clichés encore plus troublants alors que l'heure de vérité approche. Les autorités ont désormais moins de deux jours pour publier l'intégralité des documents non classifiés liés aux enquêtes portant sur Jeffrey Epstein, sur sa complice Ghislaine Maxwell et sur toute personne en lien avec les faits qui leur sont reprochés. Une affaire qui obsède depuis des années l'opinion publique américaine et a inspiré de multiples théories du complot.Alors que sait-on des liens entre Donald Trump et Jeffrey Epstein ? Cette affaire peut-elle provoquer la chute du président des États-Unis ? Pourquoi le mouvement MAGA se déchire-t-il ?Nos experts :- Laurence HAÏM - Journaliste spécialiste des Etats-Unis, autrice de Ghislaine Maxwell, une femme amoureuse, publié chez Robert Laffont- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France, autrice du livre Requiem pour le monde libre, publié aux éditions de l'Observatoire- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Vincent JOLLY - Grand reporter pour Le Figaro Magazine
C dans l'air du 17 décembre 2025 - L'affaire Epstein continue de secouer les États-Unis. Dix-neuf photos ont été mises en ligne vendredi dernier par des élus démocrates. On y voit, en compagnie du prédateur sexuel, Donald Trump, Bill Clinton, Ghislaine Maxwell (aujourd'hui incarcérée), Bill Gates, Steve Bannon ou encore Andrew Mountbatten-Windsor. Ces nouvelles images, publiées par les législateurs démocrates de la commission de surveillance de la Chambre des représentants, ne sont qu'une petite partie des plus de 95 000 photos qu'ils ont reçues de la succession d'Epstein, qui s'est suicidé dans une cellule d'une prison new-yorkaise en 2019 alors qu'il attendait d'être jugé pour des accusations de trafic sexuel.Elles sont surtout distinctes des dossiers que le ministère de la Justice est désormais contraint de publier. Mais l'impatience grandit alors que l'administration Trump fait face à la date limite du 19 décembre pour produire les dossiers Epstein, mais aussi à de nouvelles révélations explosives.Mardi 16 décembre, le magazine américain Vanity Fair a publié une enquête basée notamment sur une dizaine d'entretiens avec Susie Wiles, la secrétaire générale de la Maison-Blanche. L'ancienne directrice de campagne du milliardaire républicain estime par exemple que l'ex-magnat de l'immobilier, marqué par la mort de son frère alcoolique, « a une personnalité d'alcoolique » — elle-même est fille d'un homme alcoolique. Il « fonctionne avec la conviction que rien ne lui est impossible. Absolument rien ». « Les alcooliques fonctionnels, ou les alcooliques en général, ont une personnalité exacerbée lorsqu'ils boivent », a-t-elle ajouté. La conseillère âgée de 68 ans égratigne aussi le vice-président, estimant qu'il est « adepte des théories complotistes depuis une décennie », ou encore Elon Musk, un temps à la tête du département de l'Efficacité gouvernementale (Doge), qualifié de destructeur…Sous pression, le camp Trump s'exprime et tente de désamorcer. Très discrète habituellement, Susie Wiles a dénoncé un article « malhonnête ». « Elle voulait dire que je… Voyez-vous, je ne bois pas d'alcool. Tout le monde le sait, mais j'ai souvent dit que si je buvais, j'aurais de fortes chances de devenir alcoolique. Je l'ai dit à maintes reprises », a déclaré de son côté Donald Trump. Quelques heures plus tard, le président des États-Unis a annoncé sur son réseau Truth Social que les États-Unis mettaient en place un blocus au Venezuela contre « les pétroliers sous sanctions », une nouvelle escalade dans la crise entre les deux pays. Accusé de faire diversion par ses opposants, le président des États-Unis doit s'exprimer une nouvelle fois ce soir.En face, ses adversaires surenchérissent. Ils affirment avoir d'autres clichés encore plus troublants alors que l'heure de vérité approche. Les autorités ont désormais moins de deux jours pour publier l'intégralité des documents non classifiés liés aux enquêtes portant sur Jeffrey Epstein, sur sa complice Ghislaine Maxwell et sur toute personne en lien avec les faits qui leur sont reprochés. Une affaire qui obsède depuis des années l'opinion publique américaine et a inspiré de multiples théories du complot.Alors que sait-on des liens entre Donald Trump et Jeffrey Epstein ? Cette affaire peut-elle provoquer la chute du président des États-Unis ? Pourquoi le mouvement MAGA se déchire-t-il ?Nos experts :- Laurence HAÏM - Journaliste spécialiste des Etats-Unis, autrice de Ghislaine Maxwell, une femme amoureuse, publié chez Robert Laffont- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France, autrice du livre Requiem pour le monde libre, publié aux éditions de l'Observatoire- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Vincent JOLLY - Grand reporter pour Le Figaro Magazine
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous ! 1️⃣ Présentation de l'invité : Dans cet épisode, nous avons l'honneur de recevoir Christophe Hay, un chef d'exception qui se définit comme un paysan cuisinier. Cuisinier de l'année en 2021, il est détenteur de deux étoiles Michelin au restaurant de son hôtel, Fleur de Loire. Originaire d'une famille avec des racines agricoles et bouchères, Christophe a bâti sa carrière en alliant passion pour la gastronomie et respect de l'environnement. Fleur de Loire, situé dans l'ancien hospice de Blois, est plus qu'un hôtel pour Christophe ; c'est une maison de famille, une grande bâtisse où tout est pensé pour le bien-être des convives. Ce projet, qui a vu le jour grâce à une opportunité inattendue, représente aujourd'hui la concrétisation d'un rêve et l'expression d'une vision de l'accueil, de l'art culinaire et de l'hospitalité. Christophe nous parle de sa cuisine, une alchimie entre les produits de la Loire, une approche végétale et des techniques culinaires raffinées. Son engagement pour la durabilité se reflète dans chaque aspect de Fleur de Loire, de la gestion des déchets à l'utilisation de produits locaux pour les soins et l'entretien. Avec une équipe jeune et dynamique, il poursuit un objectif clair : offrir une expérience inoubliable tout en respectant l'environnement et en valorisant le patrimoine local. 2️⃣ Notes et références : Le Rendez-Vous des Pêcheurs Lycée hôtelier de Blois Eric Reithler Monsieur Paul Bocuse Groupe BSignature Château de Chambord Enodis - Martin Pouret - Huiles Guénard - Malvaux - Werner & Mertz Caroline Tissier Spa Sisley Paris Le livre : Paul Bocuse, le feu sacré 3️⃣ Pour contacter l'invité : Le site internet Fleur de Loire ou via l'Instagram de @christophehaychef 4️⃣ Le partenaire de l'épisode : LoungeUp Découvrez LoungeUp : www.loungeup.com / contact@loungeup.com / +33 (0)1 84 16 82 20 Bénéficiez de -10% sur la première année d'abonnement, ainsi que -20% sur le paramétrage de la solution (réservé aux nouveaux clients, pour tout abonnement débutant avant juillet 2024) Pour découvrir la solution en live, demandez une démonstration en ligne ici Chapitrage : 00:00:00 - Introduction 00:01:00 - Christophe Hay 00:02:01 - Projet Fleur de Loire 00:04:19 - L'évolution de carrière 00:06:20 - L'esprit entrepreneurial 00:08:52 - L'influence de Paul Bocuse 00:11:31 - Le concept d'écoresponsabilité 00:16:47 - Recrutement et management 00:23:50 - Vision de l'avenir 00:32:00 - Questions signatures Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Guardian publie aujourd'hui une galerie photo sur les inondations à Gaza. On peut voir un petit garçon marcher pieds nus, dans une grande flaque d'eau, ou encore des familles qui ont érigé des murets de sable pour tenter d'empêcher l'eau d'envahir leurs tentes. Le quotidien britannique explique que « Gaza a été frappée par de fortes pluies et des températures glaciales, aggravant la misère de la plupart de ses deux millions deux cent mille habitants ». Dans le sud de l'enclave palestinienne, « les camps de tentes ont été emportés par les flots », poursuit le quotidien britannique. « Des milliers de Palestiniens ont alors migré vers le nord en direction de la ville de Gaza, où ils ont trouvé refuge parmi les décombres des bâtiments bombardés par Israël ». L'ONU « a confirmé le décès d'un bébé de 18 mois, mort d'hypothermie. Douze autres personnes auraient aussi péri », ajoute le Guardian. À lire aussiGaza sous les eaux: «Nous essayons de survivre face à la pluie» causée par la tempête Byron Dissidence Aux États-Unis, le Washington Post s'intéresse au mouvement de contestation qui s'organise autour de Donald Trump. « Les élus républicains disent à Trump quelque chose qu'il n'a pas l'habitude d'entendre : non », souligne ainsi le quotidien américain, qui remarque que « lors de deux votes quasi simultanés cette semaine, dans l'Indiana et au Congrès, les élus républicains ont fait preuve d'une opposition inhabituelle envers Trump ». Exemple jeudi 11 décembre : « Vingt élus républicains de la Chambre des représentants ont fait dissidence et voté pour annuler le décret de Trump mettant fin aux droits syndicaux dans de nombreuses agences fédérales. » « Certains républicains, poursuit le Washington Post, laissent entendre que la pression exercée par la Maison Blanche commence à se retourner contre ses auteurs et que les parlementaires envisagent un avenir où Trump ne sera plus candidat. » On n'en est pas encore là. Le Washington Post rappelle que « le président américain conserve une influence considérable au sein de son parti et a fréquemment menacé de représailles les républicains qui s'opposent à lui ». À lire aussiÉtats-Unis: l'Indiana résiste à Donald Trump et refuse de redessiner sa carte électorale Frappée aux jambes et saisie par les cheveux En France, Libération alerte sur l'arrestation de la prix Nobel Narges Mohammadi. L'Iranienne, qui était en liberté provisoire pour raisons de santé, a de nouveau été arrêtée. Selon son comité de soutien et sa famille, elle a été arrêtée « alors qu'elle assistait à une cérémonie en mémoire d'un avocat de 45 ans, qui avait défendu des personnes arrêtées lors de la répression des manifestations de 2022. Son corps a été retrouvé la semaine dernière et les organisations de défense des droits réclament une enquête. » Selon une ONG basée aux États-Unis, Narges Mohammadi « assistait à cette cérémonie sans porter le voile obligatoire pour les femmes dans l'espace public en Iran ». D'autres images « la montrent grimpant sur un véhicule et encourageant les gens à scander des slogans ». Selon l'un de ses frères, la prix Nobel de la Paix « a été frappée aux jambes et saisie par les cheveux » lors de son arrestation. Il dit s'inquiéter pour sa santé, expliquant qu'en prison « elle a souffert des poumons et du cœur, et qu'elle a subi plusieurs opérations. » La prison « où elle a passé la majorité des deux dernières décennies », rappelle Libération. À lire aussiIran: la prix Nobel de la paix 2023 Narges Mohammadi a été arrêtée, affirment ses proches Un projet de loi contesté Enfin, en Allemagne, les défenseurs de la biodiversité ont du pain sur la planche. L'hebdomadaire français Courrier international a rassemblé les articles publiés par la presse allemande sur le sujet. Article de Die Zeit notamment, qui nous explique « que le développement des réseaux routiers, fluviaux et ferroviaires, de même que la réparation des ponts, seront dorénavant considérés comme étant "d'un intérêt supérieur public", et pourront être lancés plus rapidement ». Et, cela ne sera pas sans conséquences, nous explique Courrier international : « Le texte prévoit des simplifications bureaucratiques, comme l'exemption d'évaluation d'impact environnemental détaillée pour les projets d'électrification, mais aussi, une restriction du droit des ONG environnementales à intenter des actions en justice ». Sans surprise, le projet de loi inquiète « les associations de défense de l'environnement qui dénoncent une atteinte à la biodiversité ». Toutefois, remarque Courrier international, « ce projet de loi risque bien de se heurter à la législation européenne en matière d'environnement ».
Après l'occupation de la ville d'Uvira par les forces rebelles du M23, la presse congolaise s'en prend vertement au Rwanda : « Kigali poursuit sa folle aventure dans l'est de la République démocratique du Congo, dénonce La Tempête des Tropiques à Kinshasa, crachant ainsi sur la communauté internationale et sur les efforts diplomatiques consentis par les États-Unis et le Qatar. (…) Tout porte à croire que les rebelles auraient bénéficié de nouveaux renforts de l'armée rwandaise, avec pour objectif d'élargir le champ d'occupation, violant ainsi ouvertement l'Accord de paix signé le 4 décembre dernier, à Washington, en présence de Donald Trump et de plusieurs dirigeants de la région. » D'ailleurs, la communauté internationale hausse le ton également contre Kigali, relève le site congolais Actualité CD : aux États-Unis, « la majorité républicaine de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants a appelé hier à tenir “pleinement responsable“ le Rwanda des engagements pris avec la RDC lors de la signature des Accords de Washington la semaine dernière. “Ces engagements ne sont pas optionnels, et les États-Unis s'attendent à ce qu'ils soient appliqués“, a déclaré la commission, exhortant les dirigeants internationaux à “condamner sans réserve“ les actions de Kigali. (…) Plus tôt, rapporte encore Actualité CD, le Groupe de contact international pour les Grands Lacs – réunissant les États-Unis et l'Union européenne sous présidence allemande – s'est dit “profondément préoccupé“ par la nouvelle offensive du M23. » L'accord de paix piétiné… Pour les autorités congolaises, l'implication du Rwanda n'est plus à démontrer… « Aux yeux de Kinshasa, rapporte Le Monde Afrique, seul l'engagement de l'armée rwandaise a permis l'offensive sur Uvira. Lundi, le président congolais, Félix Tshisekedi, a accusé Kigali de “violer ses engagements“ pris à Washington. “Au lendemain même de la signature, des unités des forces de défense du Rwanda ont conduit et appuyé des attaques à l'arme lourde“, a-t-il dénoncé dans son discours annuel à la nation. Une très bonne source internationale au cœur du dossier, pointe encore Le Monde Afrique, affirme que l'ordre de l'assaut contre Uvira a été pris “au plus haut niveau de l'Etat rwandais avant même le 4 décembre“. Un autre interlocuteur note l'utilisation, ces derniers jours, sur le champ de bataille “de brouilleurs d'ondes de haute technologie, de lance-roquettes multiples, de mortiers de 120 mm guidés par GPS et de drones. Autant d'équipements et d'actions, ajoute-t-il, qui dépassent les capacités du M23“. » Qui plus est, croit savoir Le Monde Afrique, le dernier rapport des experts des Nations unies sur la RDC, qui sera publié prochainement, est accablant. Ce rapport « souligne en effet “la poursuite du déploiement de forces rwandaises au-delà de leurs frontières, le renforcement de leur présence au Nord et Sud-Kivu, positionnées sur les lignes de front et participant directement aux combats“. Les experts estiment qu'entre 6.000 et 7.000 militaires rwandais – “soit deux brigades et deux bataillons de forces spéciales“ – sont déployées dans les deux provinces. Kigali continue de nier sa présence en RDC, reconnaissant seulement l'existence de “mesures défensives“ sur sa frontière. » Des milliers de réfugiés… Conséquence de la chute d'Uvira : « le flot des déplacés submerge le Burundi » voisin… C'est ce que constate Le Journal de Kinshasa. « Des milliers de personnes ont franchi la frontière ces derniers jours, fuyant l'avancée des combattants de l'AFC-M23 à Uvira. Silhouettes courbées sous le poids de ballots précipités, ces civils cherchent un refuge immédiat. La frontière burundaise s'est rapidement transformée en un espace d'accueil, étroit mais vital. Sur place, l'urgence est totale. Les équipes du HCR et de l'Office national burundais de protection des réfugiés se mobilisent pour organiser les arrivées et protéger les déplacés. (…) La vie de milliers de personnes, soupire Le Journal de Kinshasa, dépend désormais de la capacité du Burundi à leur tendre la main. La réponse de la communauté internationale reste cruciale, alors que le monde risque de détourner le regard. » Tigri au Togo ? Enfin, les suites de la tentative de coup d'Etat au Bénin. D'après Jeune Afrique, « l'instigateur présumé du putsch, le lieutenant-colonel Pascal Tigri aurait trouvé refuge au Togo, à Lomé, en franchissant le fleuve Mono. Il aurait ensuite été hébergé dans le quartier de Lomé 2. » Toujours d'après Jeune Afrique, « Cotonou va demander son extradition. Contactée par le site panafricain, une source proche du président togolais Faure Gnassingbé dit ne pas être informée de cette situation. »
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous !1️⃣ Présentation de l'invité :Son nom vous est peut-être inconnu, mais son visage coiffé d'un chapeau, vous l'avez forcément vu passer sur les réseaux !Thomas Yung est un hôtelier, devenu spécialiste de la e-réputation et enseignant Maître de conférences à l'ESTHUA.Nous partageons tous deux la passion du métier, mais également celle de l'innovation et de la transmission.Et, pour ne rien gâcher, Thomas était la recommandation d'invité de Sylvia Harrault !Nous sommes entrés dans une nouvelle ère technologique, souvent angoissante, mais selon Thomas, follement excitante. Si l'e-réputation est devenue une pierre angulaire de toute stratégie digitale, l'arrivée de l'Intelligence Artificielle (IA) est en train de modifier profondément les règles du jeu.Pour décrypter ce tsunami technologique et comprendre comment l'IA peut devenir le copilote de votre stratégie d'image en ligne, Thomas nous partage son expérience, qui remonte aux prémices de Tripadvisor.Il nous offre une perspective unique sur la manière dont l'IA transforme nos métiers.Après cet épisode, vous allez adopter la "promptologie" et mettre la technologie au service de votre excellence humaine. "Ne cessez jamais d'être curieux, ne cessez jamais de vous former."2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : HotelPartnerHotelPartner Revenue ManagementPrendre un rendez-vous avec MarjolaineDites que vous venez d'Hospitality Insiders et Marjolaine se déplace gratuitement dans votre établissement pour effectuer un diagnostic !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction 00:02:00 - Le choix stratégique des canaux d'e-réputation 00:10:00 - La stratégie en 5 axes pour la gestion des avis en ligne 00:15:00 - Le débat des étoiles : classement officiel vs. notation client 00:22:00 - Le parcours de Thomas Yung 00:32:00 - L'intelligence artificielle : copilote et "promptologie" 00:43:00 - Angelia, l'automatisation de qualité, et l'agilité 00:51:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après l'occupation de la ville d'Uvira par les forces rebelles du M23, la presse congolaise s'en prend vertement au Rwanda : « Kigali poursuit sa folle aventure dans l'est de la République démocratique du Congo, dénonce La Tempête des Tropiques à Kinshasa, crachant ainsi sur la communauté internationale et sur les efforts diplomatiques consentis par les États-Unis et le Qatar. (…) Tout porte à croire que les rebelles auraient bénéficié de nouveaux renforts de l'armée rwandaise, avec pour objectif d'élargir le champ d'occupation, violant ainsi ouvertement l'Accord de paix signé le 4 décembre dernier, à Washington, en présence de Donald Trump et de plusieurs dirigeants de la région. » D'ailleurs, la communauté internationale hausse le ton également contre Kigali, relève le site congolais Actualité CD : aux États-Unis, « la majorité républicaine de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants a appelé hier à tenir “pleinement responsable“ le Rwanda des engagements pris avec la RDC lors de la signature des Accords de Washington la semaine dernière. “Ces engagements ne sont pas optionnels, et les États-Unis s'attendent à ce qu'ils soient appliqués“, a déclaré la commission, exhortant les dirigeants internationaux à “condamner sans réserve“ les actions de Kigali. (…) Plus tôt, rapporte encore Actualité CD, le Groupe de contact international pour les Grands Lacs – réunissant les États-Unis et l'Union européenne sous présidence allemande – s'est dit “profondément préoccupé“ par la nouvelle offensive du M23. » L'accord de paix piétiné… Pour les autorités congolaises, l'implication du Rwanda n'est plus à démontrer… « Aux yeux de Kinshasa, rapporte Le Monde Afrique, seul l'engagement de l'armée rwandaise a permis l'offensive sur Uvira. Lundi, le président congolais, Félix Tshisekedi, a accusé Kigali de “violer ses engagements“ pris à Washington. “Au lendemain même de la signature, des unités des forces de défense du Rwanda ont conduit et appuyé des attaques à l'arme lourde“, a-t-il dénoncé dans son discours annuel à la nation. Une très bonne source internationale au cœur du dossier, pointe encore Le Monde Afrique, affirme que l'ordre de l'assaut contre Uvira a été pris “au plus haut niveau de l'Etat rwandais avant même le 4 décembre“. Un autre interlocuteur note l'utilisation, ces derniers jours, sur le champ de bataille “de brouilleurs d'ondes de haute technologie, de lance-roquettes multiples, de mortiers de 120 mm guidés par GPS et de drones. Autant d'équipements et d'actions, ajoute-t-il, qui dépassent les capacités du M23“. » Qui plus est, croit savoir Le Monde Afrique, le dernier rapport des experts des Nations unies sur la RDC, qui sera publié prochainement, est accablant. Ce rapport « souligne en effet “la poursuite du déploiement de forces rwandaises au-delà de leurs frontières, le renforcement de leur présence au Nord et Sud-Kivu, positionnées sur les lignes de front et participant directement aux combats“. Les experts estiment qu'entre 6.000 et 7.000 militaires rwandais – “soit deux brigades et deux bataillons de forces spéciales“ – sont déployées dans les deux provinces. Kigali continue de nier sa présence en RDC, reconnaissant seulement l'existence de “mesures défensives“ sur sa frontière. » Des milliers de réfugiés… Conséquence de la chute d'Uvira : « le flot des déplacés submerge le Burundi » voisin… C'est ce que constate Le Journal de Kinshasa. « Des milliers de personnes ont franchi la frontière ces derniers jours, fuyant l'avancée des combattants de l'AFC-M23 à Uvira. Silhouettes courbées sous le poids de ballots précipités, ces civils cherchent un refuge immédiat. La frontière burundaise s'est rapidement transformée en un espace d'accueil, étroit mais vital. Sur place, l'urgence est totale. Les équipes du HCR et de l'Office national burundais de protection des réfugiés se mobilisent pour organiser les arrivées et protéger les déplacés. (…) La vie de milliers de personnes, soupire Le Journal de Kinshasa, dépend désormais de la capacité du Burundi à leur tendre la main. La réponse de la communauté internationale reste cruciale, alors que le monde risque de détourner le regard. » Tigri au Togo ? Enfin, les suites de la tentative de coup d'Etat au Bénin. D'après Jeune Afrique, « l'instigateur présumé du putsch, le lieutenant-colonel Pascal Tigri aurait trouvé refuge au Togo, à Lomé, en franchissant le fleuve Mono. Il aurait ensuite été hébergé dans le quartier de Lomé 2. » Toujours d'après Jeune Afrique, « Cotonou va demander son extradition. Contactée par le site panafricain, une source proche du président togolais Faure Gnassingbé dit ne pas être informée de cette situation. »
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les moyens militaires européens face à la Russie, le redécoupage électoral au Texas et la question des avoirs russes gelés. Mali : une coalition clandestine peut-elle ébranler la junte ? Exilé depuis 2023 en Algérie, l'imam Mahmoud Dicko a pris la tête d'une plateforme d'opposition clandestine. Décrite comme non violente, la Coalition des forces pour la République (CFR) est destinée à contester la junte malienne. Quelle est sa feuille de route ? L'imam Dicko est-il encore en capacité de mobiliser ? Comment peut-il piloter à distance ce nouveau mouvement ? Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel. Défense : en cas de guerre, l'Europe a-t-elle les moyens de se défendre face à la Russie ? Dans un rapport publié par l'Institut français des relations internationales, les experts dressent un panorama des moyens militaires européens et russes. Il en ressort qu'en cas de confrontation, l'Europe bénéficie d'une nette supériorité dans les airs et sur les mers. Sur quels éléments s'appuie cette étude ? Si les pays européens ont vraiment un avantage militaire, pourquoi donc insistent-ils pour se réarmer ? Avec Franck Alexandre, journaliste spécialiste des questions de défense à RFI. États-Unis : le redécoupage électoral permettra-t-il à Trump de remporter les élections de l'année prochaine ? La Cour suprême des États-Unis a autorisé le Texas à reconfigurer la carte électorale. Cette manœuvre devrait permettre aux Républicains de reprendre cinq sièges aux Démocrates à la Chambre des représentants lors des élections de mi-mandat, en novembre 2026. Cette décision peut-elle influencer les résultats à l'échelle du pays ? D'autres États vont-ils, à leur tour, envisager un découpage électoral partisan ? Avec Ludivine Gilli, directrice de l'Observatoire de l'Amérique du Nord de la Fondation Jean Jaurès. Guerre en Ukraine : pourquoi la France hésite à utiliser les avoirs russes gelés ? On savait la Belgique opposée mais, selon une enquête du journal économique britannique Financial Times, la France est également réticente à utiliser les 18 milliards d'euros actifs russes gelés dans ses banques commerciales pour aider l'Ukraine. Comment expliquer cette hésitation ? Avec Ulrich Bounat, analyste géopolitique, chercheur-associé chez Euro Créative.
Depuis le début de son second mandat, le président américain a repris et formalisé la «doctrine Monroe», et affirme l'hégémonie des États-Unis sur «l'hémisphère» américain. L'administration Trump l'a confirmé en publiant, vendredi 5 décembre 2025, un document qui redéfinit sa «stratégie de sécurité nationale», alignée sur la philosophie du dirigeant de mettre en avant «l'Amérique d'abord». La publication de ce document n'est «pas une surprise» et vient en réalité formaliser et donner une «cohérence» aux actions des États-Unis déjà en cours sur le continent, depuis le début de l'année, estime Kevin Parthenay, professeur à l'Université de Tours et membre de l'Institut universitaire de France. Il était l'invité de RFI ce mercredi 10 décembre. C'est «une extension de la doctrine Monroe» établie au XIXè siècle et qui consiste à tenter d'établir une hégémonie états-unienne sur la région et à décourager d'autres puissances que les États-Unis d'intervenir dans «l'hémisphère américain», poursuit le chercheur. Cela constitue néanmoins une «rupture» par rapport à la politique menée sous les mandats de Barack Obama et de Joe Biden. À cette période, Washington était «concentrée sur d'autres régions» du monde et l'Amérique latine n'était alors pas vue comme une région stratégique, explique Kévin Parthenay. En revanche, depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump estime que la stabilité de son pays dépend, au moins en partie, de ce qu'il se passe en Amérique latine. Entretien complet à réécouter en audio ci-dessus. Possible réduction de la peine de Jair Bolsonaro : nuit mouvementée au Parlement brésilien 291 «oui» et 148 «non» : une proposition de loi permettant de réduire énormément la peine de l'ancien président Jair Bolsonaro a été adoptée par la Chambre des députés au Brésil dans la nuit de mardi à mercredi, lors d'une séance particulièrement mouvementée. Si elle est ensuite votée par le Sénat, cette loi permettrait à l'ancien dirigeant d'extrême-droite de voir sa durée de détention réduite à 2 ans et 4 mois de prison, alors qu'il a été condamné pour tentative de coup d'État à 27 ans de prison. La séance parlementaire est très commentée par la presse brésilienne. On y voit le député Glauber Braga (soutien du président de gauche Lula) expulsé manu militari de la chambre par des policiers, dans une impressionnante foire d'empoigne. Pour protester contre le texte défendu par la droite conservatrice et l'extrême-droite, il s'était installé dans le fauteuil du président de la Chambre. Les clichés ont été pris par les députés eux-mêmes car la presse a été contrainte elle aussi de quitter les lieux temporairement. Une «censure» selon O Globo et la fédération des journalistes du Brésil. L'issue du vote n'est en tout cas pas surprenante estime le journal Estado. En effet, les proches de Jair Bolsonaro tentent depuis des mois d'obtenir une amnistie ou une réduction de peine. Ils ont finalement laissé de côté l'idée d'une amnistie au profit du texte voté dans la nuit de mardi à mercredi. L'un des fils de Jair Bolsonaro, Flavio, menaçait de se présenter à la présidentielle et a négocié avec les partis conservateurs à l'assemblée pour retirer sa candidature en échange du vote de cette proposition de loi, déclarait ce mardi (avant le vote) le leader du parti de Lula à la chambre des députés, le parti des travailleurs (PT), rapporte le journal Folha. La République Dominicaine n'est «pas raciste», proclame son président après la mort d'une fillette haïtienne La mort, mi-novembre, de la jeune Haïtienne Stephora Anne-Mircie Joseph continue de faire beaucoup réagir en Haïti. Cette fillette de 11 ans, immigrée en République Dominicaine, s'est noyée dans une piscine lors d'une sortie scolaire organisée par l'établissement où elle étudiait. L'affaire a contraint le président dominicain Luis Abinader lui-même à réagir publiquement : «La République Dominicaine n'est pas un pays raciste», a-t-il assuré lors d'une conférence de presse lundi soir, relayée par Listín Diario. D'après les images de vidéosurveillance, quand Stephora s'est noyée, les encadrantes ont énormément tardé à réagir, malgré les alertes d'autres enfants, raconte le quotidien dominicain, qui a eu accès au dossier de l'enquête. Les secours ont été appelés seulement après son décès, souligne Gazette Haïti. La petite fille avait été confrontée au racisme dans son collège expliquait la mère de Stéphora au média haïtien Ayibopost. Quatre cadres et employées de l'établissement ont été arrêtées et mises en examen, notamment pour homicide involontaire et négligence, précisait le 6 décembre 2025 Listín Diario. Dans le journal de La 1ère... Le ministre de la Justice a inauguré ce mardi (9 décembre 2025) en Martinique une nouvelle structure «d'accompagnement vers la sortie de prison», nous explique Benoît Ferrand.
Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Charles Gave de l'institut des libertés.Dans cet épisode, j'ai demandé à Charles de me présenter ses nouvelles convictions d'investissement pour 2026.***
Aujourd'hui dans le podcast, on commente le catch-22 créé hier par Pierre Poilievre et les conservateurs fédéraux à la Chambre des communes, alors qu'ils ont forcé un vote sur une motion de leur cru visant à approuver le projet de pipeline entre l'Alberta et la Colombie-Britannique proposé par le gouvernement Carney. Les libéraux ont pourtant voté contre, exposant ainsi l'hypocrisie de leur discours sur leur volonté de réaliser de grands projets énergétiques.DANS LA PARTIE PATREON, on commence en lisant un article nous apprenant que le ministre fédéral de la Justice Sean Fraser souhaite que tous les crimes qualifiés de féminicides soient automatiquement considérés comme des meurtres au premier degré, peu importe le contexte. On poursuit avec la fin de notre écoute des interventions de Pierre Poilievre à la Chambre des communes hier. Ensuite, on lit le texte de Jimmy Thibodeau, ancien directeur de campagne au porte-parolat de Sol Zanetti, qui a décidé de rejoindre le Parti Québécois au nom de la réalisation de la souveraineté du Québec. On termine avec Joey qui nous fait écouter une parodie de l'humoriste Anthony Ouellet imitant Mathieu Bock-Côté s'expliquant après avoir fait pipi au lit, ainsi qu'un reportage de TVA Nouvelles sur l'homme du Saguenay qui avait reçu une amende de 3 800 $ pour avoir demandé une tourtière à la viande sauvage sur Facebook et qui porte maintenant sa cause en appel. Ian conclut le podcast avec une prédiction à la fois juste et cynique.0:00 Intro2:43 Tweet de Pierre Paul-Hus5:20 Nos leaders ont-ils de la bonne volonté ?7:47 Motion du PCC sur le pipeline12:47 Texte de Steven Guilbeault15:44 Le catch-22 des conservateurs27:21 Poilievre call le bluff de Carney34:36 Réactions médiatiques38:04 À venir dans le Patreon
Cette semaine, Radio Campus Angers ouvre ses micros aux élèves de BTS Négociation et digitalisation de la relation client du Centre de formation des apprenti·es (CFA) de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Maine-et-Loire à Angers. Cette émission est le résultat des ateliers radio menés avec la classe en octobre et novembre 2025. Au sommaire de cette émission : trois débats : l’immigration est-elle une chance ou une menace pour le pays ? le travail à distance rend-il plus heureux ? faut-il légaliser le cannabis ? une fiction sonore : une histoire de tondeuse qui ne finit pas très bien… des portraits croisés, où les élèves racontent leur passion pour le football, l'automobile ou le ménage, des récits de voyage, mais aussi de bagarres, d'accidents en tout genre et même de mensonge Playlist : A Reason Why > Fragile / Tamat > Nusantara Beat /
Je n'ai aucune action chez Ikea, mais il faut avouer qu'on y trouve beaucoup de choses très utiles pour appliquer la pédagogie Montessori chez soi...Car bien au-delà du pur matériel Montessori, élaboré de façon scientifique par Maria Montessori, et qui est très précis et réfléchi, il s'agit avant tout d'un mode de vie, qui a pour but d'encourager l'autonomie de l'enfant au quotidien, et c'est pourquoi il est tout à fait possible d'appliquer la pédagogie Montessori à la maison.Et il se trouve qu'il existe du mobilier peu cher et parfaitement compatible avec l'approche Montessori chez Ikea (en particulier beaucoup de choses à hauteur d'enfant).Je voudrais donc aujourd'hui partager avec vous quelques coups de cœur Ikea suivant la façon dont vous souhaitez appliquer la pédagogie Montessori chez vous : simplement en aménageant votre maison pour accompagner vos enfants vers plus d'indépendance, en installant chez vous un coin nido pour votre bébé ou les bébés que vous gardez, en proposant quelques activités de vie pratique (par exemple si vous êtes assistante maternelle ou que vous avez un jeune enfant chez vous), ou encore en pratiquant l'instruction en famille.Alors, prêt pour une farandole de noms suédois parfaitement imprononçables ?---Le site des MontessouricettesLien pour me laisser un petit message audio avec votre question ou votre suggestion de thème (j'inclurai votre message dans un prochain épisode !)Notre communauté gratuiteFormation Aménager sa maison MontessoriCatalogue des formations des MontessouricettesAccompagnement à la Parentalité et à l'IEF MontessoriVous pouvez nous envoyer vos retours, suggestions et commentaires ici :
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous !Cette semaine, je vous parle d'un sujet qui me tient particulièrement à cœur : le parcours collaborateur, plus précisément l'onboarding ! L'onboarding est une étape cruciale dans l'intégration des nouveaux collaborateurs. Il est essentiel de ne pas rater cette phase, car selon Workelo (2021), un onboarding raté peut coûter jusqu'à 7000 euros à une entreprise. De plus, l'INSEE (2022) révèle que 45% des démissions surviennent durant la première année de contrat. À l'inverse, un bon processus d'onboarding pourrait augmenter la rétention de 82%. Une des meilleures pratiques, pour réussir l'intégration des nouveaux venus, est de soigner leur "pre-boarding", une phase préparatoire souvent négligée. Je vous partage quelques stratégies innovantes et gagnantes comme l'envoi de kits de bienvenue ou l'assignation d'un "buddy" pour faciliter l'intégration. Quelques épisodes cités en référence : La Symétrie des Attentions, avec Jean-Jacques Gressier Les étapes du parcours collaborateur, avec Brice Duthion Comment utiliser les NFT et les Métavers dans l'hôtellerie-restauration ? Comment manager la génération Z en hôtellerie-restauration ? Chapitrage : 00:00:00 - Introduction 00:01:49 - Onboarding raté et réussi 00:04:44 - Le pre-boarding 00:09:04 - Le premier jour du collaborateur 00:17:18 - Le processus d'onboarding Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors, bulle ou pas bulle ?***
Une conférence de LexisNexis des RDV Transformations du Droit 2025 > https://www.transformations-droit.com :Pourquoi l'IA est désormais un impératif.? Chaque profession, chaque type de structure qu'elle soit importante ou de plus petite taille, a des exigences communes, des prérequis - principalement en matière de sécurité et de fiabilité des réponses : quelles ont été ces exigences sur lesquels vous ne transigez pas et pourquoi ? Hormis ces prérequis, quelles sont les autres services, fonctionnalités qui ont emporté votre choix et créer de la confiance dans l'outil ? Tous les acteurs proposent de nombreux cas d'usage, pour beaucoup identiques sur la recherche juridique et la rédaction (si données juridiques fiables), mais d'autres cas aussi comme l'audit de document, la traduction, le prompt à l'oral, la rédaction de courrier, data room etc.Concrètement : quels cas sont utiles et nécessaires à date et quels cas vont le devenir ? Comment avez-vous embarqué vos collaborateurs , des collaborateurs aux associés ? Comment vous les avez rassurés ? Est-ce que la formation est la seule clé ? Et maintenant ? Cela fait 3 ans que l'IA générative a intégré les cabinets, les études, les entreprises et les tribunaux : quelle est votre vision de praticien mais aussi de chef d'entreprise sur l'évolution de cette technologie et les impacts sur vos structures ? Quelles compétences humaines, quels profils vont tirer leur épingle du jeu ?Intervenants : Me Christophe Hareng, avocat associé, cabinet ALT Avocats à Béthune, et président du réseau ALTA JURIS, Me Christian de Bailliencourt, avocat associé du cabinet Drye de Bailliencourt à Senlis, Me Cyril Gibert, Notaire, Directeur général associé de l'étude 14Pyramides à Paris, membre de la commission Technologie de l'information de la Chambre des notaires de Paris.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:00:49 - Dans le cadre de la transmission portée par la chambre d'Agriculture de la Dordogne, voici quelques offres intéressantes - Voici des opportunités agricoles à saisir en Dordogne dans le cadre de la transmission portée par la chambre d'Agriculture. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous !1️⃣ Présentation de l'invité :Quand on pense à un hôtel, on imagine souvent un accueil chaleureux, un service soigné, une expérience mémorable.Mais avant tout cela, il y a l'espace.Des volumes, des circulations, des matériaux, des meubles. Autant d'éléments qui traduisent une intention : celle de faire vivre l'accueil.C'est le métier de Thierry Grillot, dirigeant de LBC, une entreprise fondée en 1983 par son frère et aujourd'hui intégrée au groupe Korus.Historiquement tournée vers le tertiaire, LBC s'impose désormais dans l'hôtellerie-restauration avec des projets d'envergure que nous allons découvrir aujourd'hui.Dans cet épisode, on parle d'espaces qui racontent une histoire, d'hôtels qui se transforment, et d'une entreprise qui conjugue design, RSE et hospitalité.2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.Cet épisode est produit en partenariat avec LBC. Un grand merci aux équipes pour leur collaboration et leur professionnalisme.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : HotelPartnerHotelPartner Revenue ManagementPrendre un rendez-vous avec MarjolaineDites que vous venez d'Hospitality Insiders et Marjolaine se déplace gratuitement dans votre établissement pour effectuer un diagnostic !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - L'aménagement au service de l'expérience client et de la fidélisation00:08:00 - Rentabilité des espaces et hybridation des usages00:16:00 - Histoire, ADN humaniste et croissance de LBC/Korus dans l'hospitalité00:24:00 - Innovation RSE et le leasing circulaire00:29:00 - Perspectives d'avenir, IA et Génération Z00:35:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je reçois Alexandra Beauvais, fondatrice d'Entretien Prolex, une entrepreneure inspirante qui a transformé un simple congé de maternité en une entreprise d'entretien après construction en pleine croissance.Partie du milieu hospitalier, Alexandra a dû déconstruire ses croyances limitantes, affronter le syndrome de l'imposteur et naviguer dans un domaine souvent compétitif… pour finalement bâtir une équipe solide, des processus clairs et une culture d'entreprise chaleureuse où les employés sont réellement valorisés.
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous !1️⃣ Présentation de l'invité : Diplômé depuis 2017, Thomas Hostache a fondé, son associé Bertrand Chaput, le studio Hoch. Implantée entre Paris et Aix-en-Provence, cette agence d'architecture s'occupe de projets hôteliers d'envergure, orientés vers le développement durable. Avec une troisième branche dédiée à l'architecture d'intérieur, Thomas et son équipe sont capables de mener des projets de A à Z, se spécialisant notamment dans la rénovation plutôt que dans la construction neuve, une démarche qui s'est transformée en conviction pour préserver l'environnement et valoriser le patrimoine. Nous plongeons avec lui dans l'univers de l'architecture hôtelière et restauration, où Thomas explique les défis spécifiques de ces projets, de la conception à la réalisation. Il aborde l'importance de la réversibilité des bâtiments, la réutilisation de matériaux et la création d'espaces qui servent aussi bien les clients que le personnel. L'approche de Thomas est une véritable leçon sur l'importance de l'architecture dans l'expérience hôtelière, montrant que la beauté d'un lieu est indissociable de sa fonctionnalité et de son impact environnemental. 2️⃣ Notes et références : Le studio archi Hoch Edgar Suites Le Grand Mazarin Canal Architecture Épisode 56 - Créer Okko Hotels, avec Solenne Ojea-Devys Épisode 69 - Projets FF&E et OS&E, avec Sébastien Romiszvili Épisode 42 - Transformer une grange en lieu d'accueil, avec Edouard Daehn, fondateur du Barn Hotel Le livre Le Style Anthropocène de Philippe Rahm 3️⃣ Pour contacter l'invité : par mail : thomas@hoch-studio.com ou via l'Instagram de @Hoch surtout pas sur linkedin ! 4️⃣ Le partenaire de l'épisode : Influence Society Influence Society Prendre un rendez-vous avec le fondateur Sébastien Felix En venant de la part d'Hospitality Insiders, vous bénéficiez de 45 minutes en tête-à-tête avec Sébastien Felix pour repenser votre stratégie digitale et parler d'Intelligence Artificielle. Chapitrage : 00:00:00 - Introduction 00:04:42 - Thomas Hostache 00:07:57 - Spécialisation en rénovation 00:10:00 - Les projets hôteliers 00:21:36 - Mise en œuvre d'un projet 00:27:59 - Rénovation vs. construction neuve 00:33:45 - Bilan carbone 00:39:00 - Les besoins des collaborateurs 00:42:25 - L'idée de bâtiments réversibles 00:47:45 - Questions signatures Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:13 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - Pour son premier roman, "Les Gréveuses" (Grasset), Romuald Gadegbeku explore le travail, le corps et la dignité à travers le parcours de femmes de chambre en grève. Un sujet qui fait écho à son histoire personnelle. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce n'est pas la peine d'utiliser le code BLACKFRIDAY2025, il ne fonctionnera pas...
Après plus de trois décennies d'interdiction, la baignade dans la Seine est sur le point de devenir une réalité, un objectif que la Mairie de Paris a fortement lié à l'héritage des Jeux Olympiques de 2024. Mais au-delà de l'exploit environnemental et sportif, une question se pose : quel est le véritable prix de ce rêve aquatique ? Un rapport cinglant de la Chambre régionale des comptes d'Île-de-France vient de dévoiler la facture.Le premier chiffre à retenir est sidérant : le coût global du "plan baignade" piloté par la Ville de Paris avoisine les 100 millions d'euros. Une somme colossale. Ce rapport, publié récemment, permet de détailler cet investissement massif. La majorité des fonds, soit 84 millions d'euros, a été dirigée vers les travaux de dépollution nécessaires pour garantir la propreté du fleuve pour les épreuves des Jeux.L'aménagement des trois sites de baignade publics et permanents qui ont ouvert l'été dernier – situés à Bercy, Bras Marie et Pont de Grenelle – a coûté séparément 13 millions d'euros. Et l'addition ne s'arrête pas là. Une fois opérationnels, le fonctionnement de ces sites coûte à la collectivité pas moins de 5 millions d'euros par an.L'aspect le plus frappant du rapport concerne le coût unitaire de cette prestation. Malgré la gratuité pour les usagers, l'opération est extrêmement onéreuse pour les contribuables. Selon les calculs de la Chambre régionale des comptes, chaque baigneur coûte entre 28 et 56 euros à la Mairie de Paris.Pourquoi une telle variation et un coût si élevé ? L'explication réside dans la fiabilité sanitaire incertaine du fleuve. L'été dernier, les trois sites ont dû être fermés entre 30 % et 45 % du temps, le plus souvent en raison d'une qualité d'eau jugée insuffisante. Moins le site est ouvert, plus le coût par baigneur explose. À titre de comparaison, le rapport note que ce coût est au moins trois fois supérieur à celui d'une politique de sécurité publique standard.Finalement, le rapport soulève de graves doutes sur la pérennité du projet. La Cour des comptes affirme que "l'organisation de la baignade pérenne dans la Seine […] s'avère coûteuse pour un résultat incertain". Pire, la Cour met en lumière que le classement de l'eau est parfois "simulé" avant l'ouverture, car aucune donnée bactériologique ne permet d'établir formellement la conformité aux seuils de la directive européenne de 2006.En somme, Paris a déboursé près de 100 millions d'euros pour offrir une baignade chère, peu fréquente, et dont la sécurité sanitaire reste, pour l'instant, un pari. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous !1️⃣ Présentation de l'invité :Et si l'hôtellerie du futur ne se construisait plus sur terre… mais sur l'eau ?Depuis des années, une autre forme d'hospitalité émerge : celle des palaces flottants, où l'art de recevoir rencontre l'art de naviguer.Derrière ces expériences d'exception, il y a des hommes et des femmes capables d'appliquer les codes du luxe dans les conditions les plus exigeantes : le mouvement, les éléments, la mer tout simplement.Parmi eux, Florent Kuhry, Vice-Président Yacht Hospitality pour Orient Express Sailing Yachts, le futur voilier hybride le plus grand du monde.Passé par l'école hôtelière à Strasbourg, voilà des années que Florent a pris la mer.Aujourd'hui, il abandonne son mat pour prendre la parole à mon antenne.Accrochez-vous pour découvrir l'histoire de la marque mythique, de 1883 aux palaces flottants d'aujourd'hui, et plongez dans les coulisses de l'Orient Express Corinthian :Un luxe sans compromis : Avec seulement 54 suites (75 m² en moyenne), une gastronomie signée Yannick Alléno (17 étoiles) et l'expertise en boisson de MOF comme Xavier Tuiza, découvrez comment ces "marins hôteliers" appliquent les codes du Palace en pleine mer.Innovation et écologie : Comprenez pourquoi le Corinthian, le plus gros objet flottant capable d'avancer par la force du vent, vise à émettre le moins de CO2 possible grâce au slow travel et à la propulsion vélique.L'expérience unique : Plus qu'une croisière, c'est un mode de voyage où l'on se déplace sans défaire ses valises, offrant une proximité rare avec l'équipage, comparable à un resort isolé.Florent nous invite à franchir le cap et à naviguer vers une expérience hors du commun, à bord du luxe du futur !2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : HotelPartnerHotelPartner Revenue ManagementPrendre un rendez-vous avec MarjolaineDites que vous venez d'Hospitality Insiders et Marjolaine se déplace gratuitement dans votre établissement pour effectuer un diagnostic !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - Le marché de l'hôtellerie flottante et l'émergence d'une tendance00:12:00 - La genèse de l'Orient-Express et sa transition de rail à mer00:25:00 - L'Orient Express Corinthian : un palace flottant aux dimensions colossales00:44:00 - Les enjeux de la navigation et de l'écologie maritime00:52:00 - Le parcours de Florent Kuhry et la philosophie du marin hôtelier01:09:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 26 novembre 2025 - Russie, affaire Epstein: les liaisons dangereuses de TrumpAprès un week-end de pourparlers à Genève sur le plan de paix de Donald Trump, Ukrainiens et Américains se seraient mis d'accord sur un document remanié. Donald Trump a estimé mardi soir qu'il ne restait que « quelques points de désaccord » à régler pour mettre un terme à la guerre en Ukraine. L'émissaire spécial américain Steve Witkoff doit se rendre en Russie pour discuter directement avec Vladimir Poutine de ce plan, réécrit ce week-end avec les Européens. Le Kremlin a confirmé ce mercredi la rencontre la « semaine prochaine », tout en soulignant qu'il est « encore trop tôt » pour parler d'un accord de paix.Parallèlement, aux États-Unis, le média Bloomberg a révélé cette nuit — retranscription téléphonique à l'appui — que Steve Witkoff avait donné des conseils, en octobre dernier, à un conseiller de Vladimir Poutine sur la meilleure manière de présenter au président américain un plan de règlement du conflit en Ukraine. De quoi relancer outre-Atlantique les débats sur l'origine réelle de ce plan de paix qui, même s'il a été amendé ces derniers jours, a mis le feu au Parti républicain.Des sénateurs républicains, dont Roger Wicker et Mike Rounds, dénoncent un plan de paix qu'ils jugent contraire à la tradition américaine de fermeté face à la Russie et l'accusent de légitimer l'agression de Vladimir Poutine. À la Chambre des représentants, d'autres élus, comme Don Bacon, fustigent un texte perçu comme une capitulation imposée à l'Ukraine et affirment qu'il expose Kiev à de nouvelles menaces. Une fronde qui révèle une fracture idéologique majeure au sein du camp Trump, déjà fragilisé par le dossier Epstein. Des divisions au sein du camp présidentiel sont apparues sur fond de cette affaire, au point que Donald Trump a même publiquement rompu avec l'une des figures du mouvement « Make America Great Again », Marjorie Taylor Greene.Alors, quel est le contenu de l'accord de paix en discussion ? Quelles sont les relations entre Donald Trump et Vladimir Poutine ? Le président américain est-il en train de vivre la première crise politique de son second mandat ? Que sait-on également des liens entre Donald Trump et Jeffrey Epstein ? Qu'est-ce que Jmail, la copie de la boîte mail de Jeffrey Epstein consultable en ligne ?À l'approche de Thanksgiving, si le président américain continue de faire le show, d'insulter ses adversaires politiques et de se moquer de journalistes, il semble aller de contrariété en contrariété, y compris devant les tribunaux. La dernière en date a une connotation toute personnelle : les inculpations de deux de ses adversaires politiques honnis, la procureure de New York, Letitia James, et l'ancien patron du FBI, James Comey, ont été annulées lundi 24 novembre pour vice de procédure. Un revers majeur pour le département de la Justice.Nos experts :- Gallagher FENWICK - Journaliste, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, auteure de Requiem pour le monde libre- Régis GENTE - Journaliste, spécialiste des questions internationales, auteur de Notre homme à Washington- Richard WERLY - Éditorialiste international - Blick.ch, auteur de Cette Amérique qui nous déteste
C dans l'air du 26 novembre 2025 - Russie, affaire Epstein: les liaisons dangereuses de TrumpAprès un week-end de pourparlers à Genève sur le plan de paix de Donald Trump, Ukrainiens et Américains se seraient mis d'accord sur un document remanié. Donald Trump a estimé mardi soir qu'il ne restait que « quelques points de désaccord » à régler pour mettre un terme à la guerre en Ukraine. L'émissaire spécial américain Steve Witkoff doit se rendre en Russie pour discuter directement avec Vladimir Poutine de ce plan, réécrit ce week-end avec les Européens. Le Kremlin a confirmé ce mercredi la rencontre la « semaine prochaine », tout en soulignant qu'il est « encore trop tôt » pour parler d'un accord de paix.Parallèlement, aux États-Unis, le média Bloomberg a révélé cette nuit — retranscription téléphonique à l'appui — que Steve Witkoff avait donné des conseils, en octobre dernier, à un conseiller de Vladimir Poutine sur la meilleure manière de présenter au président américain un plan de règlement du conflit en Ukraine. De quoi relancer outre-Atlantique les débats sur l'origine réelle de ce plan de paix qui, même s'il a été amendé ces derniers jours, a mis le feu au Parti républicain.Des sénateurs républicains, dont Roger Wicker et Mike Rounds, dénoncent un plan de paix qu'ils jugent contraire à la tradition américaine de fermeté face à la Russie et l'accusent de légitimer l'agression de Vladimir Poutine. À la Chambre des représentants, d'autres élus, comme Don Bacon, fustigent un texte perçu comme une capitulation imposée à l'Ukraine et affirment qu'il expose Kiev à de nouvelles menaces. Une fronde qui révèle une fracture idéologique majeure au sein du camp Trump, déjà fragilisé par le dossier Epstein. Des divisions au sein du camp présidentiel sont apparues sur fond de cette affaire, au point que Donald Trump a même publiquement rompu avec l'une des figures du mouvement « Make America Great Again », Marjorie Taylor Greene.Alors, quel est le contenu de l'accord de paix en discussion ? Quelles sont les relations entre Donald Trump et Vladimir Poutine ? Le président américain est-il en train de vivre la première crise politique de son second mandat ? Que sait-on également des liens entre Donald Trump et Jeffrey Epstein ? Qu'est-ce que Jmail, la copie de la boîte mail de Jeffrey Epstein consultable en ligne ?À l'approche de Thanksgiving, si le président américain continue de faire le show, d'insulter ses adversaires politiques et de se moquer de journalistes, il semble aller de contrariété en contrariété, y compris devant les tribunaux. La dernière en date a une connotation toute personnelle : les inculpations de deux de ses adversaires politiques honnis, la procureure de New York, Letitia James, et l'ancien patron du FBI, James Comey, ont été annulées lundi 24 novembre pour vice de procédure. Un revers majeur pour le département de la Justice.Nos experts :- Gallagher FENWICK - Journaliste, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, auteure de Requiem pour le monde libre- Régis GENTE - Journaliste, spécialiste des questions internationales, auteur de Notre homme à Washington- Richard WERLY - Éditorialiste international - Blick.ch, auteur de Cette Amérique qui nous déteste
Si vous aviez investi 1000 € dans des actions Nvidia en 2004, aujourd'hui vous seriez millionnaire.Mais si vous aviez investi vos 1000 € en 2021, et revendu en 2022.Vous auriez perdu plus de 500 euros.Bienvenue dans mon top 7 des actions qui ont eu d'excellentes performances en 2025.Attention !Mon top n'est pas une recommandation d'achat.De plus…Je n'ai pas choisi les meilleures performances de l'année au sens strict, mais plutôt 7 actions qui vont vous apprendre quelque chose.***
Les journaux reviennent sur le rôle central que Marco Rubio, le secrétaire d'État américain, joue dans les négociations autour d'un possible accord de paix entre l'Ukraine et la Russie. Le New York Times note que la présentation du plan, vendredi 21 novembre, a été plus que maladroite, certains parlant même de « chaos ». Marco Rubio a d'abord minimisé le texte en le décrivant comme « une liste d'idées », alors que Donald Trump et son vice-président JD Vance l'approuvaient pleinement. Les contradictions se sont poursuivies : dimanche 23 novembre, Trump attaquait Kiev sur les réseaux sociaux pendant que Marco Rubio, lui, tentait de sauver le projet à Genève. Pour le New York Times, il a réussi au moins une chose : reprendre la main sur un plan dont l'issue reste très incertaine. La presse insiste aussi sur cette cacophonie, conséquence de la stratégie de Donald Trump qui contourne de plus en plus la diplomatie traditionnelle. Selon Politico, la coordination a été abandonnée au profit de négociateurs officieux — JD Vance et son allié Dan Driscoll notamment — avant que Rubio ne reprenne le dossier à Genève. Politico souligne toutefois une inconnue : le rôle que pourraient jouer dans ces discussions des figures proches de Trump comme Steve Witkoff ou Jared Kushner, décrits comme « assez indépendants ». En Europe, on doute d'ailleurs que toute l'équipe soit réellement alignée derrière Marco Rubio. Marco Rubio est également en première ligne sur un autre front : le bras de fer entre Washington et Caracas. Artisan de la ligne dure contre le Venezuela, il soutient une stratégie américaine qui pourrait, selon certains observateurs, aller jusqu'à des opérations ciblées au sol. Mais là encore, Donald Trump souffle le chaud et le froid : lundi 24 novembre, son administration a classé le nébuleux « cartel de los soles » comme organisation terroriste, avant que le site Axios ne révèle que le président serait prêt à discuter directement avec Nicolás Maduro. À écouter aussi :Venezuela : «le Cartel de los Soles n'existe pas» À Porto Rico, le renforcement de la présence militaire américaine réveille de très douloureux souvenirs El País rappelle que la petite île de Vieques a été un immense champ de tirs de la Navy pendant plus d'un demi-siècle, avec expulsions massives des habitants, bombardements et exposition à des substances toxiques dont les habitants subissent encore les conséquences. Vingt ans après le départ de l'armée, la réouverture de la base de Roosevelt Roads et la possibilité d'un retour d'exercices à Vieques provoquent une vive inquiétude, alors que le nettoyage des munitions non explosées est loin d'être terminé et que les taux de cancers restent alarmants. Élus et citoyens tirent la sonnette d'alarme face à cette remilitarisation liée aux tensions avec le Venezuela. Une migrante haïtienne hospitalisée en République dominicaine meurt après son expulsion C'est à la Une d'Alterpresse, dont nous évoquons les gros titres avec son directeur Gotson Pierre. La Plateforme genre du Nord-Est (PGNE) dénonce la mort de Jésula Florvil, une migrante haïtienne de 31 ans, illégalement déportée de République dominicaine alors qu'elle était hospitalisée et sous oxygène, un mois et demi après son accouchement. Arrachée à ses soins, remise aux autorités migratoires et transférée en Haïti dans un état de grande faiblesse, elle est décédée le 21 novembre 2025. Pour la PGNE, cette tragédie illustre les pratiques inhumaines, cruelles et dégradantes subies par les femmes haïtiennes – y compris enceintes, en travail ou en post-partum – lors de leur arrestation, détention et déportation. À lire aussiLa République dominicaine durcit encore le ton face à l'immigration illégale en provenance d'Haïti Violences faites contre les femmes : la situation en Haïti En cette journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, nous nous penchons sur le cas haïtien. Nous en parlons avec l'ancienne ministre de la condition féminine, Ginette Chérubin. Journal de la 1ère En Guadeloupe, les financements du syndicat mixte de gestion de l'eau et de l'assainissement sont dans le collimateur de la Chambre régionale des comptes.
Ce lundi 24 novembre, Patrick Brandmaier, directeur général de la Chambre franco-allemande de Commerce et de l'Industrie, était l'invité dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Il parle du rapprochement du couple franco-allemand, notamment sur les questions de compétitivité. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
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Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les conséquences de l'affaire Epstein sur Donald Trump, la politique migratoire britannique et les tensions sino-japonaises. Guerre en Ukraine : les Rafale français entrent en jeu Lors de sa visite à Paris, Volodymyr Zelensky a signé avec Emmanuel Macron une déclaration d'intention «historique» : l'Ukraine pourrait acquérir jusqu'à 100 Rafale ainsi que des systèmes de défense aérienne. En quoi la livraison de ces avions de chasse serait stratégique pour l'Ukraine ? Avec Franck Alexandre, journaliste spécialiste des questions de défense et de sécurité à RFI. États-Unis : Donald Trump gêné par l'affaire Epstein Les élus américains ont approuvé la publication de documents sensibles liés à l'affaire Epstein, quelques heures seulement après un revirement de Donald Trump qui refusait jusque-là ce vote à la Chambre des représentants. Comment expliquer la volte-face du président américain ? Avec Pierre Gervais, professeur de Civilisation américaine à l'Université Sorbonne Nouvelle. Auteur du livre « Histoire des États-Unis de 1860 à nos jours » (éditions Hachette Education). Royaume-Uni : pourquoi Londres durcit sa politique migratoire ? Le gouvernement travailliste britannique a dévoilé un vaste plan anti-immigration qui réduit significativement la protection accordée aux réfugiés. En quoi consistent ces nouvelles mesures ? Pourquoi la question migratoire suscite-t-elle un tel débat au sein de la société anglaise ? Avec Leslie Carretero, journaliste à Infomigrants. Japon/Chine : faut-il craindre une escalade ? En affirmant que Tokyo n'exclurait pas une intervention militaire à Taiwan en cas d'attaque de l'île, la Première ministre japonaise, Sanae Takaichi, a déclenché la colère de Pékin. Quel est l'intérêt du Japon à défendre Taïwan ? Jusqu'où peuvent aller les tensions entre les deux pays ? Avec Stéphane Corcuff, maître de conférences à Science Po Lyon.
C'est une bête noire pour le président américain. Après avoir joué le jeu des complotistes, Donald Trump se retrouve maintenant plombé par l'affaire des dossiers Epstein. Après plusieurs jours d'opposition forcenée, le président américain a finalement dû se résoudre à soutenir le vote à la Chambre des représentants sur la publication du dossier du défunt pédocriminel mondain. Dans quelle mesure le résultat du vote pourrait mettre Donald Trump dans la tourmente ? Pour le comprendre, Libération a invité Julien Gester, ancien correspondant à New York et spécialiste des Etats-Unis. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous !1️⃣ Présentation de l'invité :On parle souvent du numérique comme d'un progrès.Mais dans les faits, il soulève de vraies questions : où s'arrête l'innovation, et où commence la protection de l'humain ?Dans l'hôtellerie-restauration, les données clients sont partout : CRM, e-mailing, Wi-Fi, domotique, caméras, objets connectés…Mon invité du jour s'interroge depuis des années sur cette frontière entre technologie et humanité.Matthieu Bourgeois est avocat et expert français du droit du numérique.Ensemble, nous allons parler de confiance, de souveraineté et de sobriété numérique dans les CHR.Découvrez pourquoi prendre soin de vos données numériques, c'est comme prendre soin de votre client en face-à-face, en assurant la discrétion et la transparence.Comprenez les vrais risques juridiques (le RGPD prévoit jusqu'à 20 millions d'euros ou 4 % du CA) et les risques d'image, illustrés par des cas comme la fuite de données chez Marriott.Identifiez comment éviter l'« ébriété numérique » qui menace la bonne santé de votre organisation par le stress et la dépendance.Apprenez à ne pas devenir le vassal de vos fournisseurs de services en externalisant trop vos données et vos processus.Anticipez les développements futurs, notamment l'explosion de la biométrie et de l'IA, et comment choisir une technologie qui s'efface derrière la noble relation humaine.Matthieu nous invite à avoir une réflexion critique pour ne pas tomber dans l'indifférence numérique et à exercer notre droit au choix dans le numérique. Notre conversation permet d'obtenir les clés pour construire un numérique responsable et souverain pour votre établissement !2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : HotelPartnerHotelPartner Revenue ManagementPrendre un rendez-vous avec MarjolaineDites que vous venez d'Hospitality Insiders et Marjolaine se déplace gratuitement dans votre établissement pour effectuer un diagnostic !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - Définition du bon usage de la donnée00:06:00 - Parcours de Matthieu Bourgeois00:12:00 - Les contraintes de conformité : mentions légales et transparence00:17:00 - L'évaluation des risques et la durée de conservation des données00:24:00 - Les concepts stratégiques : souveraineté et sobriété numérique00:34:00 - L'avenir de la technologie (IA et biométrie)00:43:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:35:30 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Ce mardi, la Chambre américaine des représentants et le Sénat ont voté en faveur de la publication de l'affaire Epstein. Lâché jusqu'à dans son camp, Donald Trump a dû faire volte-face et a déclaré soutenir cette proposition de loi. Elle doit être envoyée à la Maison Blanche pour promulgation Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:35:30 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Ce mardi, la Chambre américaine des représentants et le Sénat ont voté en faveur de la publication de l'affaire Epstein. Lâché jusqu'à dans son camp, Donald Trump a dû faire volte-face et a déclaré soutenir cette proposition de loi. Elle doit être envoyée à la Maison Blanche pour promulgation Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pas de pétrole.Pas d'accès à la mer.Pourtant, 1 suisse sur 7 est millionnaire.Comment la Suisse a-t-elle fait de ses pires défauts ses meilleurs atouts ?***
C dans l'air du 18 novembre 2025 - Affaire Epstein : le scandale qui rattrape Donald TrumpUn revirement spectaculaire. Après plusieurs mois d'un combat acharné contre la divulgation du dossier lié au pédocriminel Jeffrey Epstein, décédé en prison en 2019, le président américain a fait volte-face dimanche. Il a exhorté ses pairs républicains du Congrès à voter en faveur de la publication des documents judiciaires liés à l'enquête.La raison de ce virage à 180 degrés ? Les courriels de l'homme d'affaires déchu rendus publics la semaine dernière par des élus démocrates à la Chambre des représentants. Ces derniers suggérant des liens étroits entre Donald Trump et Jeffrey Epstein. Donald Trump "savait à propos des filles" agressées sexuellement et a "passé plusieurs heures" avec l'une d'elles, affirment des mails signés par Jeffrey Epstein.Le scandale Epstein a semé la division dans son camp. Une figure emblématique de son mouvement MAGA (Make America Great Again), Marjorie Taylor Greene, avait reproché au président de manquer de transparence dans ce scandale politico-judiciaire.Donald Trump a contre-attaqué en réclamant une enquête fédérale sur la relation entre Jeffrey Epstein et certaines personnalité démocrates. Parmi les 20.000 documents rendus publics, plusieurs personnalités sont mentionnées, dont le prince Andrew, déchu de ses titres royaux en octobre dernier. Un certain nombre de mails accablants impliquerait le frère du roi Charles III dans cette affaire retentissante. Empêtré dans cette affaire Epstein, Donald Trump doit faire face au mécontentement de ses citoyens, alors que l'inflation s'accélère dans le pays (à +3% en septembre contre +2,3% en avril, selon l'indice CPI). Sous pression, le président américain a annulé des droits de douane qu'il avait lui-même imposés sur certains produits du quotidien. Son propre camp le poussait à réagir après un cinglant revers aux derniers scrutins locaux et à un an des élections de mi-mandat. Nous sommes allés à la rencontre de ses électeurs déçus de sa politique, en Floride.Nos experts : - Laurence HAïM - Journaliste spécialiste des États-Unis- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France- Virginie VILAR - Grand Reporter pour Complément d'Enquête sur France Télévision- Anthony BELLANGER - Éditorialiste à France Info TV, spécialiste des questions internationales
Le premier budget du premier ministre Mark Carney a obtenu les appuis nécessaires à la Chambre des communes pour passer le test du vote de confiance, ce qui a permis d'éviter la chute du gouvernement libéral minoritaire et le déclenchement de nouvelles élections fédérales cet hiver.
Découvrez ma formation aux fondamentaux de l'accueil, un parcours d'excellence, accessible à toutes & tous !1️⃣ Présentation de l'invité : Après avoir exploré différents services au sein des hôtels, Sébastien Romiszvili s'est orienté vers les projets de rénovation et d'ouverture d'hôtels prestigieux. Il est spécialisé dans la gestion du mobilier et des accessoires, les FF&E (Furniture, Fixtures & Equipment) et les O&SE (Operating Supplies and Equipment). Il met sa capacité à gérer des projets complexes et à travailler avec des artisans locaux au sein du groupe familial Maisons Pariente. Convaincu de l'urgence écologique, Sébastien intègre désormais la RSE dans toutes ses actions. Il met en place des initiatives concrètes pour réduire l'empreinte écologique des établissements où il travaille, tout en sensibilisant les équipes et les clients à ces enjeux. Son objectif serait justement de rendre la RSE, obsolète, car indissociable de la qualité de service dans l'hôtellerie de luxe. 2️⃣ Notes et références : Vatel Le Chabichou Groupe Oetker Collection Arthur Auboeuf - Team For The Planet Cool Roof Agence Dynamo Martin Brudnizki Agence RDAI Maison Taillardat Manufacture Henryot & Cie Café Joyeux Groupe Hoxton Les jeans 1083 Épisode 30 avec Marine Pescot de Racing For The Oceans Le livre L'événement d'Annie Ernaux 3️⃣ Pour contacter l'invité : Linkedin Site web de Maisons Pariente 4️⃣ Le partenaire de l'épisode : Influence Society Influence Society Prendre un rendez-vous avec le fondateur Sébastien Felix En venant de la part d'Hospitality Insiders, vous bénéficiez de 45 minutes en tête-à-tête avec Sébastien Felix pour repenser votre stratégie digitale et parler d'Intelligence Artificielle. Chapitrage : 00:00:00 - Introduction 00:02:15 - Sébastien Romiszvili 00:05:28 - Maisons Pariente 00:10:04 - Travailler de nuit 00:15:23 - Transition de carrière 00:20:00 - FF&E et OS&E 00:25:10 - Intégration de la RSE 00:35:20 - La RSE et l'excellence du service 00:50:55 - Team for the Planet 00:55:45 - Questions signatures Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre chambre, c'est un peu comme « notre maison rien qu'à nous » dans la maison qu'on partage avec notre famille… Et plus on grandit, plus on y passe du temps ! Alors c'est normal d'avoir besoin d'un espace où on se sent bien et qui colle avec notre univers, nos goûts, nos passions. Dans cet épisode, tu vas découvrir plein d'astuces pour aménager la chambre de tes rêves sans te ruiner grâce à Juju et ses BFF qui se sont transformées en reines de la déco !CréditsDirection éditoriale : Aurélya Guerrero. Scénario : Sarah Barthère. Réalisation : Qude. Avec les voix de Candice Sansano, Augustine Pouplin et Alexia Neveu. Création visuelle : Emma Tissier. Responsable marketing : Jean-Luc Monchy. Un podcast de Milan presse 2025. Droits réservés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la dernière ligne droite au Chili avant le premier tour de l'élection présidentielle, dimanche prochain. La campagne est très polarisée : d'un côté, la candidate de gauche Yanette Hara, et de l'autre, l'extrême droite. Des camps que tout oppose, nous raconte notre correspondante Naïla Derroisné. Ce dimanche, 16 novembre 2025, plus de 15 millions de Chiliens seront appelés aux urnes pour choisir entre les 8 candidats présidentiels qui se présentent. Jeannette Jara, la candidate communiste du bloc de la gauche est, pour le moment, la favorite. Mais selon les sondages, elle ne remporterait pas assez de voix pour gagner dès le premier tour. Face à elle, trois candidats de la droite et de l'ultra-droite, dont José Antonio Kast, fondateur du parti Républicain bien positionné lui aussi, pour passer au second tour. Ces derniers mois, la campagne a fortement été marquée par les questions de sécurité, de narcotrafic et de délinquance. Tous les candidats en ont fait leur priorité car ce sont les principales préoccupations des Chiliens, nous précise notre correspondante Naïla Derroisné dans un reportage à Santiago. L'affaire Epstein secoue les républicains et une partie du camp MAGA En voulant étouffer la controverse autour des «Epstein files», les républicains ont finalement ravivé l'affaire, estime le New York Times. Face aux démocrates qui tentaient d'imposer un vote pour publier les documents, les dirigeants du Parti républicain ont lancé en septembre une manœuvre destinée à éviter une mise en difficulté politique : confier à la commission de contrôle de la Chambre, déjà dirigée par les conservateurs, la poursuite d'une enquête sur le dossier Epstein. L'objectif, poursuit le journal, était de montrer un effort de transparence tout en protégeant Donald Trump. Mais cette stratégie s'est retournée contre eux. Coincés entre les appels croissants à la transparence et leur volonté de protéger Trump, les républicains peinent désormais à reprendre le contrôle du dossier. Mais ce n'est pas le seul dossier qui pose un problème à Donald Trump Oui, selon le Washington Post, le président américain fait face à une fronde inhabituelle au sein de sa base MAGA, après avoir affirmé que les États-Unis manquaient de travailleurs «talentueux» et avaient besoin de faire venir davantage d'étrangers qualifiés. Une déclaration qui a été jugée contraire à la devise «l'Amérique d'abord». Ces tensions révèlent les limites de l'autorité de Trump sur son propre mouvement, même si tous s'accordent à dire que la base ne se détournera pas durablement de lui. Les critiques, de plus en plus ouvertes, montrent un populisme désormais autonome, parfois prêt à «guider» Trump plutôt qu'à le suivre. En tout cas, d'après le Washington Post, plusieurs stratèges républicains s'inquiètent que l'enthousiasme pro-Trump s'érode à l'approche des élections de mi-mandat de 2026. Des footballeurs en grève Des footballeurs colombiens se sont couchés sur la pelouse pour protester contre leurs conditions de travail. D'après le journal La Nacion, les joueurs demandent un accord visant notamment à augmenter le pourcentage qui leur revient lors des transferts, à améliorer la couverture santé et à leur accorder une part des revenus liés aux droits de diffusion télévisuelle. Le malaise touche le football colombien depuis un certain moment. Il y a quelques jours, un club a menacé de faire grève pour demander le paiement d'un mois de salaire qui leur est dû. Selon le site Infobae, la saison 2025 du football colombien se termine dans un contexte de graves difficultés financières pour de nombreux clubs. En Colombie, le Bullerengue est devenu patrimoine immatériel de la nation Ce genre musical et cette danse traditionnelle de la côte caribéenne de Colombie sont nés au cœur des communautés afro-colombiennes à l'époque de l'esclavage. Ils constituaient un outil de résistance contre les colons, un art pour exprimer la liberté et l'identité de ces peuples. Avec une nouvelle loi, le gouvernement vient de franchir un pas historique pour la préservation de la culture afro-colombienne. Notre correspondante à Medellín, Najet Benraba, nous en dit plus, après avoir assisté à plusieurs concerts de Bullerengue. Journal de la 1re Le Conseil départemental de la Guadeloupe veut en faire avec le conflit qui est en cours au centre hospitalier universitaire.
Vous faites quoi ce vendredi 7 novembre à 12h30 ? Moi, j'invite Julie Bonnot, Meilleur Ouvrier de France Gouvernante, pour un webinaire exceptionnel !Si vous êtes directeur d'établissement, de l'hébergement ou que vous vous intéressez aux étages, inscrivez-vous gratuitement !1️⃣ Présentation de l'épisode :Annoncer une mauvaise nouvelle n'est jamais un moment facile.Et pourtant, c'est une réalité que tous les managers connaissent un jour.Il y a quelques semaines, un manager m'a raconté une situation désagréable où il était gêné d'annoncer une mauvaise nouvelle à son collaborateur.Il ne savait pas par où commencer...C'est pour cette raison que j'ai voulu consacrer cet épisode à ce sujet.Car annoncer une nouvelle difficile, ce n'est pas seulement une compétence de communication.C'est un acte de management, un moment où votre posture, vos mots et votre attitude peuvent transformer une épreuve en preuve de leadership.Dans cet épisode, je vais vous partager 7 étapes simples et concrètes pour annoncer une nouvelle difficile sans briser la relation.Vous êtes manager ou souhaitez le devenir ? Cet épisode va vous donner de bons outils !2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : HotelPartnerHotelPartner Revenue ManagementPrendre un rendez-vous avec MarjolaineDites que vous venez d'Hospitality Insiders et Marjolaine se déplace gratuitement dans votre établissement pour effectuer un diagnostic !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - Planifier le rendez-vous pour décharger son esprit00:03:00 - Noter les points principaux à évoquer00:04:00 - Répéter la conversation à voix haute00:06:00 - Créer le bon cadre00:08:00 - Annoncer les faits avec empathie00:09:00 - Accueillir la réaction de l'autre00:11:00 - Accompagner la suite et construire l'après00:13:00 - ConclusionSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aux États-Unis, le mot shutdown désigne littéralement « la fermeture » du gouvernement fédéral. Mais derrière ce terme se cache un mécanisme bien particulier du système politique américain, lié à la manière dont le pays vote et dépense son budget.Chaque année, le Congrès américain – composé de la Chambre des représentants et du Sénat – doit adopter les lois de finances qui fixent les dépenses de l'État fédéral : salaires des fonctionnaires, fonctionnement des agences, programmes sociaux, armée, justice, etc. Si, pour une raison politique, le budget n'est pas voté à temps, alors les administrations concernées ne peuvent plus être financées. Résultat : elles ferment temporairement. C'est ce qu'on appelle le shutdown.Concrètement, lorsque le Congrès échoue à adopter un nouveau budget avant la date limite, une partie du gouvernement cesse de fonctionner. Les services jugés « non essentiels » ferment : les musées, les parcs nationaux, les bureaux administratifs, certaines recherches scientifiques. Des centaines de milliers de fonctionnaires sont placés en congé forcé, sans salaire. Les autres – policiers, militaires, contrôleurs aériens, hôpitaux publics – continuent de travailler, mais sans être payés immédiatement.Un shutdown ne concerne pas tout l'État américain, mais uniquement les activités dépendant du budget fédéral. Les services locaux (écoles, pompiers, police municipale) continuent, car ils relèvent des États ou des villes. En revanche, plus le shutdown dure, plus ses conséquences économiques s'accumulent : retards de paiement, chute de confiance, baisse de la consommation, blocage administratif pour des millions de citoyens.Pourquoi cela arrive-t-il ? Parce que, contrairement à d'autres pays, les États-Unis reposent sur un équilibre strict entre le pouvoir exécutif (le président) et le pouvoir législatif (le Congrès). Quand les deux ne s'entendent pas – par exemple, si la Maison Blanche et la Chambre des représentants appartiennent à des partis opposés – le budget peut devenir un instrument de pression politique. C'est souvent le cas : un camp bloque le financement pour obtenir des concessions sur un autre sujet, comme l'immigration, la dette ou les dépenses militaires.Depuis les années 1980, les États-Unis ont connu une vingtaine de shutdowns. Certains ont duré quelques heures, d'autres plusieurs semaines, comme celui de 2018-2019, resté le plus long de l'histoire avec 35 jours d'arrêt partiel du gouvernement.En résumé, le shutdown est une arme politique autant qu'une crise budgétaire : c'est la conséquence directe d'un désaccord entre les pouvoirs américains, qui paralyse temporairement l'administration et rappelle la fragilité du compromis au cœur du système fédéral américain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Sénat a adopté, dans la nuit du 11 au 12 novembre 2025, le texte qui lève la paralysie budgétaire en vigueur depuis plus de 40 jours. Il doit être adopté à présent par la Chambre des représentants à partir du 13 novembre avant d'être signé par Donald Trump. Écoutez RTL autour du monde du 11 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous faites quoi ce vendredi 7 novembre à 12h30 ? Moi, j'invite Julie Bonnot, Meilleur Ouvrier de France Gouvernante, pour un webinaire exceptionnel !Si vous êtes directeur d'établissement, de l'hébergement ou que vous vous intéressez aux étages, inscrivez-vous gratuitement !Aujourd'hui, nous allons parler d'un sujet qui est de plus en plus d'actualité, la génération Z ! Qui est cette génération Z, vous demandez-vous peut-être ? Il s'agit de la population née entre 1997 et 2012. Et devinez quoi ? Cette génération représentera 30 % de la force active en 2030. C'est énorme, n'est-ce pas ? Mais voilà le problème. La génération Z est très différente des précédentes. Elle est difficile à cerner et à manager avec les méthodes traditionnelles. En effet, cette génération est très mobile et peut refuser un haut salaire si elle ne retrouve ni les valeurs ni le confort auxquels elle aspire. Elle utilise aussi massivement les réseaux sociaux dans sa recherche d'emploi - 79 % des candidats de moins de 35 ans le font. Alors, quelle est la solution ? Il faut apprendre, comprendre, et innover. Pour illustrer, prenons l'exemple de deux entreprises. D'abord, Kimpton St Honoré, qui a innové en proposant un CV d'entreprise. Puis, Les Maisons Pariente qui ont créé un comité RSE, basé sur le volontariat. En conclusion, comprendre et intégrer la génération Z est un défi, mais aussi une opportunité. C'est le début d'un chemin passionnant. Alors, restons ouverts, curieux et prêts à apprendre. Ressources citées : L'article de Forbes Mon post Linkedin Chapitrage 00:00:00 Introduction 00:01:12 Identification de la génération Z 00:04:03 Défis pour les employeurs et les managers 00:07:22 Solutions et adaptation nécessaire des entreprises 00:12:07 Nécessité d'une communication forte et d'un lien social 00:18:00 Nouvelles approches et changements de paradigme en recrutement Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 7 novembre 2025 - Budget : pas de cadeaux à Noël…Aura-t-on un budget pour les fêtes de Noël ? À un mois et demi de la fin des débats sur le budget, le gouvernement s'échine à chercher des pistes pour réduire le déficit de la sécurité sociale (23 milliards d'euros). Dernière proposition polémique : diviser par deux l'enveloppe globale allouée à la prime de fin d'année pour les allocataires du Revenu de solidarité active (RSA). Pour faire simple, les 1,2 millions de bénéficiaires du RSA sans enfants ne la toucheraient plus. La mesure est loin d'être adoptée, mais le gouvernement cherche à tout prix à tailler dans les dépenses depuis l'annonce de la suspension de la réforme des retraites. Mercredi, les députés ont cette fois adopté la hausse de la Contribution sociale généralisée (CSG) de 9,2 à 10,6 %. Malgré l'échec de la taxe Zucman, rejetée par l'Assemblée, la gauche continue à négocier avec la majorité.Ancien héraut des socialistes, candidat malheureux à l'élection présidentielle de 2017, Benoît Hamon commente depuis quelques mois la crise politique qui frappe la France. PDG de l'association Singa et président de la Chambre d'économie sociale et solidaire, il dénonce les coupes budgétaires pour les associations. Selon une étude menée en septembre par le mouvement associatif, 40 % des associations ont déclaré réduire leur masse salariale, et 9 % procéder à des licenciements ou à un plan de sauvegarde. "Très concrètement, on fait une économie sur le retour à l'emploi et la possibilité de travailler de dizaines de milliers de personnes déjà vulnérables", s'indigne Benoît Hamon. L'ancien socialiste dénonce également la "faute morale" consistant à s'attaquer au budget des classes populaires (via le RSA par exemple), plutôt qu'à taxer davantage les plus riches : "C'est révoltant en termes sociaux, mais c'est révoltant aussi sur le plan moral."Si les débats s'annoncent toujours houleux à l'Assemblée nationale, une bonne nouvelle est arrivée fin octobre dans les bureaux de Bercy. La croissance française atteint 0,5 % au troisième trimestre, en hausse par rapport aux deux trimestres précédents. Le ministre de l'économie Roland Lescure s'est félicité d'une "performance remarquable" : "Malgré les soubresauts politiques et les incertitudes internationales, nos entreprises investissent, exportent et font progresser le pays." Certaines ont même décidé de renationaliser leur production, à l'image de la manufacture horlogère Yema, 15 millions d'euros de chiffre d'affaires et 50 salariés, dont une trentaine en Suisse. Depuis l'annonce des droits de douane américains de 39% sur les exportations Suisse, l'entreprise a décidé de se concentrer sur le made in France. Une équipe de C dans l'air est allée à la rencontre de son patron.Qui pourrait être touché par les nouvelles taxes votées sur l'épargne salariale des Français ? Comment expliquer le mal-être du secteur associatif en France ? Et comment expliquer le regain de croissance de l'économie française ?LES EXPERTS :- Bruno Jeudy - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Nathalie Mauret - Journaliste politique - Groupe EBRA- Benjamin Morel - Constitutionnaliste, professeur de droit public à l'Université Paris-Panthéon-Assas- Christine Kerdellant - Journaliste économique et essayiste
durée : 00:10:42 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Après 1918 s'ouvre une période de grands changements, notamment pour les femmes. Entre 1915 et 1923, quatorze pays leur accordent des droits politiques. Pour les Françaises aussi, l'heure du droit de vote semble venu. Le 8 mai 1919 s'ouvrent à la Chambre des députés les débats sur le vote féminin. - invités : Anne-Sarah Bouglé-Moalic - Anne-Sarah Bouglé-Moalic : Historienne - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.