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durée : 00:03:05 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Aujourd'hui, Charline nous parle de la fraude fiscale d'un député de la France Insoumise.
La verte Sandrine Rousseau ou encore l'insoumis Jean-Luc Mélenchon demandent aujourd'hui un acte II de la la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes), près de 10 mois après sa création. Aujourd'hui, plusieurs personnalités à gauche fustigent la coalition de gauche et dénoncent la mainmise du leader de la France Insoumise sur la Nupes. En juin 2022, la Nupes remporte 150 sièges de député à l'Assemblée et devient la première force d'opposition à Emmanuel Macron. Mais depuis, elle se montre régulièrement divisée. Par exemple à l'occasion d'une législative partielle début avril en Ariège, ou encore quand la France Insoumise a voté le 11 avril la réintégration du député Adrien Quatennens.Retour sur les 10 premiers mois de la Nupes à l'Assemblée nationale, avec deux journalistes du service politique du Parisien en charge de la gauche, Pierre Maurer et Julien Duffé. Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Emma Jacob et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Identité graphique : Upian - Archives : BFM, France 2, France 3, France Info. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 8 janvier 2023Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. COLÈRES SOCIALES, GILETJAUNISATION, RÉFORMES SANS CONFRONTATION A ce jour, les syndicats font front commun contre les projets de réforme des retraites et le report de l'âge légal de départ. Après la grève cet automne des salariés des raffineries de pétrole, celle des contrôleurs de train au moment des fêtes et, aujourd'hui, celle des médecins libéraux et ses conséquences sur l'engorgement des services d'urgence à l'hôpital, avec le retour annoncé ou fantasmé des Gilets jaunes « partout en France », le climat social, dans un contexte d'inflation et donc de baisse du pouvoir d'achat, est devenu inflammable, d'autant que nombre de services publics sont défaillants, notamment ceux de la santé et des transports. Le maintien d'un bouclier tarifaire sur le gaz et l'électricité permet de contenir les factures d'énergie des ménages. Si l'inflation vient de connaître deux mois consécutifs de baisse en Europe, la hausse des prix des produits alimentaires se poursuit et le chômage pourrait remonter de son faible niveau actuel en raison du ralentissement de la croissance. Un contexte compliqué pour faire accepter une réforme des retraites à laquelle deux tiers des Français se disent opposés.A quelques jours de la présentation de cette réforme mardi prochain, l'exécutif a poursuivi son opération de déminage. La Première ministre a indiqué, le 3 janvier, le retrait de la partie controversée du décret sur l'assurance-chômage qui prévoyait de réduire de 40 % la durée d'indemnisation lorsque le taux de chômage passerait sous la barre de 6 % de la population active. Elisabeth Borne a précisé que 65 ans n'était pas « totem ». et que « d'autres solutions peuvent permettre aussi d'atteindre l'équilibre de notre système de retraites à l'horizon 2030 » . Il pourrait s'agir d'un rehaussement à 64 ans de l'âge du départ, doublé d'une accélération de la réforme Touraine pour arriver à 43 annuités de cotisation. Mais les syndicats, après avoir été reçus cette semaine à Matignon, et une bonne partie de l'opinion publique, restent vivement opposés au projet du gouvernement.Le directeur général Opinion de l'Ifop, Frédéric Dabi a indiqué sur Europe 1 le 2 janvier que seuls 22 % des Français soutiennent un âge de départ légal à la retraite fixé à 65 ans. Le même jour sur France inter, le directeur général délégué d'Ipsos France, Brice Teinturier a constaté que « 36 % des Français disent appartenir à une France en colère et plus de 50 % se disent mécontents ». Rien n'assure toutefois que cette contestation se traduise dans la rue. Et pour cause, « le contexte actuel n'est pas très favorable à des dynamiques collectives », juge le patron d'Ipsos. La FSU « appelle l'ensemble des agent-es concourant au service public d'éducation à une journée d'action le 17 janvier » pour « les salaires et la retraite ». Côté partis politiques, la France Insoumise appelle à une « Marche pour nos retraites » à Paris le 21 janvier prochain.***XI JINPING DANS UNE IMPASSE ?Début 2020, lorsque la pandémie a éclaté, Pékin a inventé la stratégie du confinement, et sa politique “zéro Covid” semble avoir d'abord été un succès sanitaire. Mais près de trois ans plus tard cette politique portée par Xi Jinping a sapé l'économie et coupé le pays d'un monde qui, lui, a continué son chemin. Au lendemain du 20ème congrès du Parti communiste chinois, fin octobre, qui a consacré le pouvoir absolu de Xi Jinping, la Chine a été confrontée à une vague de protestation contre la stratégie zéro Covid, d'une ampleur sans précédent depuis le mouvement de Tiananmen, en 1989. La colère sociale a gagné l'ensemble du pays après l'incendie le 24 novembre à Urumqi, la capitale régionale du Xinjiang, d'un immeuble confiné et cadenassé qui a fait au moins dix morts. Des manifestations violentes contre les confinements sans fin et les tests quotidiens se sont déroulées à l'intérieur des villes dans plus de quinze provinces, dans une centaine d'universités et dans des usines géantes, comme celle de Foxconn, à Zhengzhou. Beaucoup de citoyens ont réclamé ouvertement la démocratie, la fin du système de parti unique et le départ de Xi Jinping.Les confinements à répétition ont miné l'économie chinoise et sapé son attractivité. La désorganisation de la production et l'effondrement de la demande intérieure limiteront la croissance, qui était de 9,5 % par an lors de l'accession au pouvoir de Xi Jinping en 2012, à 2 à 3 % au cours de la décennie 2020, contre 4,5 % en Asie et 7 % en Inde. Le ralentissement de l'activité génère déjà un fort chômage, qui touche notamment 20 % des jeunes, tandis que la population connaît un vieillissement accéléré sans système de retraite ni de santé pour y faire face. La population active pourrait être divisée par deux en un demi-siècle.Sous la pression de la rue et d'une économie en déclin, Pékin a annoncé le 7 décembre une mise à l'écart de facto de la politique zéro Covid. En vingt-quatre heures, la Chine est passée de l'injonction « protéger la vie quoi qu'il en coûte » à « privilégier l'économie à tout prix », et de « l'État prend soin de toi » à « chacun prend soin de soi ». Officiellement, ce n'est pas la politique qui a changé, c'est le virus, martèle la propagande. Jusqu'au 6 décembre, celui-ci était une pneumonie mortelle. Depuis le 7, la Chine l'assimile à une grippe, voire à un simple rhume. Cependant, les hôpitaux et les crématoriums sont débordés et les autorités jugent « impossible » de quantifier l'épidémie.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Politique, en partenariat avec Slate.fr et son fondateur Jean-Marie Colombani, revient sur la Coupe du monde de football et sur la venue d'Emmanuel Macron au Qatar. Autre sujets de l'actualité politique de la semaine: le décalage stratégique du calendrier de la réforme des retraites, et la crise au sein de la France Insoumise. Pour en parler, Marc Perelman reçoit Carole Barjon de l'Obs et Bruno Jeudy, éditorialiste politique.
durée : 02:29:54 - Le 7/9.30 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Stephanie BOUTONNAT - Dmitri Mouratov, prix Nobel de la Paix 2021, est l'invité du 7h50. Manuel Bompard, coordinateur de la France Insoumise et député LFI des Bouches du Rhône est l'invité du 8h20. Laurent Fabius, président du Conseil constitutionnel, auteur de "Tableaux pluriels " est l'invité du 9h10.
durée : 00:02:40 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Manuel Bompard prend la tête de la France Insoumise. Il n'a pas été élu par les adhérents, il a été directement désigné…
Ce lundi 12 décembre, Laure Closier et Christophe Jakubyszyn ont reçu Paloma Castro Martinez, présidente de Ryse, Bénédicte Epinay, déléguée générale du Comité Colbert, Sophie Boissard, directrice générale du groupe Korian, Éric Coquerel, député de la France Insoumise de Seine-Saint-Denis et Président de la commission des Finances à l'Assemblée Nationale, Laurent Neumann, éditorialiste BFMTV, Emmanuel Lechypre, éditorialiste BFM Business, et Wilfrid Galand, directeur stratégiste chez Montpensier Finance, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:02:40 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Manuel Bompard prend la tête de la France Insoumise. Il n'a pas été élu par les adhérents, il a été directement désigné…
"Maintenant, vous savez", c'est le podcast quotidien de Bababam, qui donne les clés essentielles pour savoir vraiment ce qui se cache derrière les mots, sigles, concepts qui font notre actualité. Cette semaine, retour sur les 10 mots qui ont marqué l'année. De l'affaire des "Uber Files" au phénomène de la shrinkflation, en passant par l'expression "Sixième République", (re)découvrez ces mots qui résument à eux seuls toute notre année 2022. Lors de la campagne pour l'élection présidentielle 2022, l'idée d'une Sixième République a une nouvelle fois pris place dans le débat. Elle a notamment été défendue par Jean-Luc Mélenchon, le candidat de la France Insoumise, qui la brandit comme un des points essentiels de son programme, depuis sa première candidature, en 2012. Mais déjà c'est quoi la Cinquième République ? Depuis quand évoque-t-on cette possibilité de Sixième République ? Quelles seraient ses caractéristiques ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Pauline Weiss. A écouter aussi : Comment l'association Act Up a-t-elle changé le regard sur le SIDA ? Qu'est-ce que la phobie sociale ? Francophonie : pourquoi est-il important de parler français dans le monde ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le débat devait enflammer l'Assemblée Nationale, mais ses opposants l'ont empêché. Alors que l'abolition de la corrida était à l'ordre du jour, son rapporteur a renoncé devant une armada d'amendements. Jeudi 24 novembre, tandis que la France Insoumise profitait de sa niche parlementaire pour proposer des lois au vote, Aymeric Caron a porté celle visant à abolir la corrida sur tout le territoire français, en vain. Aymeric Caron n'a pas pu porter le coup final à la corrida. Le député du groupe de la France Insoumise – Nupes, a retiré sa proposition de loi visant à abolir cette pratique sur tout le territoire français, en plein débat parlementaire. Résigné devant l'impossibilité de voter dans le temps imparti de la niche parlementaire, l'ancien journaliste s'est retrouvé bloqué par plus de 800 amendements, dont 377 du Rassemblement National, qui ont porté l'estocade au projet d'Aymeric Caron d'abolir définitivement la corrida. L'élu parisien dénonce « une obstruction parlementaire » et parle même de « séparatisme » en désignant les partisans de la tauromachie. En introduction du débat législatif, l'ancien journaliste a dénoncé un loisir qui vise « à torturer et tuer pour le plaisir ». Le député espérait profiter de la niche parlementaire de son groupe, qui avait jusqu'à minuit pour soumettre au vote des propositions de lois. Il doit attendre l'année prochaine pour espérer reproposer sa loi dans le cadre des niches parlementaires. Faute d'avoir pu embrocher la corrida, cette proposition de loi aura eu le mérite d'instaurer publiquement le débat et d'en faire un sujet politique. ▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:04:48 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - Faut-il inscrire l'avortement dans la Constitution ? Se dirige-t-on vers l'interdiction de la corrida ? Ces propositions, examinées aujourd'hui dans le cadre de la niche parlementaire de la France Insoumise à l'Assemblée nationale, ont peu de chances de prospérer même si elles sont votées.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 18 novembre 2022.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef du quotidien La Croix.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.8 MILLIARDS, EST-CE TENABLE ?Selon l'estimation officielle des Nations unies, le cap des 8 milliards d'habitants a été franchi ce 15 novembre 2022, et devrait atteindre 10 milliards d'ici 2080. Le premier seuil est « un important jalon du développement humain » et un rappel de « notre responsabilité partagée de prendre soin de notre planète », a souligné le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, au moment même où se déroule la COP27 en Égypte. En à peine plus de 200 ans, la population mondiale a été multipliée par huit. 60% de la population mondiale vit dans des pays où le taux de fécondité est inférieur au seuil de remplacement de 2,1 enfants par femme. Les 2 milliards de Terriens supplémentaires attendus d'ici à la fin du siècle naîtront principalement en Asie, dans une bande entre Kazakhstan et Pakistan, mais surtout en Afrique, dont la population devrait tripler. D'ici à 2050, huit pays seulement concentreront la moitié de la croissance démographique : la RDC, l'Égypte, l'Éthiopie, l'Inde, le Nigeria, le Pakistan, les Philippines et la Tanzanie. Autant de zones particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique.Les ONG Global Footprint Network et WWF soulignent qu' aujourd'hui, nous consommons plus de ressources biologiques (forêts, poissons, terres...) que ce que la terre peut régénérer chaque année et cette surconsommation, notamment d'énergies fossiles, entraîne toujours plus d'émissions de CO2. Elles considèrent qu' il faudrait 1,75 Terre pour subvenir aux besoins de la population de façon durable. Si tout le monde vivait comme un habitant de l'Inde, l'humanité n'aurait besoin que de 0,8 planète chaque année, contre plus de 5 planètes pour un habitant des Etats-Unis, selon les deux ONG. Côté climat, le dernier rapport des experts climat de l'ONU (Giec) notait que si la croissance de la population est bien un des moteurs majeurs de la hausse des émissions de gaz à effet de serre, elle l'est toutefois moins que la croissance économique. En matière d'atteinte à l'environnement, le nombre importe considérablement moins que le mode de vie. Un Américain émet en moyenne 17 tonnes de CO2 par an, un Indien 1,76 et un Éthiopien 0,19... Selon l'économiste Alban Thomas, la planète dispose d'assez de ressources pour nourrir 10 milliards d'êtres humains, mais cela nécessiterait de profonds changements dans nos modes de production et nos régimes alimentaires.L'humanité va vieillir. Depuis 2018, les plus de 65 ans sont plus nombreux que les enfants de moins de 5 ans et en 2050, leur proportion aura doublé, ils pèseront 16 % de la population mondiale.***L'AVENIR DE LA NUPESEn six mois d'existence, la Nupes a déjà dû affronter plusieurs crises. Dès la rentrée, la France Insoumise s'est retrouvée dans la tourmente avec la mise en retrait du député Adrien Quatennens, qui avait reconnu des faits de violences conjugales. Les écologistes ont également été secoués par l'affaire Bayou. Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, 64 % des Français estiment que ces incidents ont « décrédibilisé l'ensemble » de cette alliance. Ils sont également une majorité à le penser chez les sympathisants de gauche (52 %). Tandis que des divergences sont apparues sur Taïwan, sur la dénonciation de l'apartheid en Palestine ou encore sur la valeur travail, les partis de la coalition ont dû, dans la foulée, ferrailler ensemble contre le budget imposé par le gouvernement à coups de 49.3. Alors que la première motion de censure a été portée le 24 octobre par toute la Nupes, des désaccords sont apparus sur l'opportunité d'en déposer une à chaque utilisation du 49.3 par Élisabeth Borne. Le 31 octobre, le groupe LFI a voté comme un seul homme en faveur de sa nouvelle motion de censure, mais près de la moitié des députés PS (12 sur 31) a manqué à l'appel. La déperdition a été moindre au sein des communistes, puisque 6 membres sur 22 ont refusé de soutenir la motion Insoumise, comme chez les écologistes (4 sur 23). Chaque fois les voix du Rassemblement national se sont joints à celles de la Nupes.De nouvelles divergences apparaissent aujourd'hui au sein de l'alliance au sujet de la sécurité. Alors que le projet de loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur est examiné depuis le 14 novembre à l'Assemblée nationale, la Nupes tente d'harmoniser sa stratégie malgré des positions discordantes de ses différentes composantes sur la sécurité. Le gouvernement propose d'investir 15 milliards d'euros d'ici 2027 pour recruter notamment 8.500 policiers et gendarmes sur cinq ans et pour la transformation numérique du ministère. Si les socialistes ne se prononcent pas contre ce texte, en revanche, les insoumis, les communistes et les écologistes le rejettent. Récits pluriels également sur l'immigration. Alors que l'affaire de l'Ocean-Viking, le navire transportant quelques 234 migrants, dont 37 enfants, accueilli le 11 novembre à Toulon, a rouvert le dossier de l'immigration, le gouvernement prépare un nouveau projet de loi sur le sujet. Différentes sensibilités émergent de nouveau au sein de la Nupes. Le PS ne voit pas d'un mauvais œil la mise en place d'un titre de séjour pour les métiers en tension tandis que Jean-Luc Mélenchon continue de surfer sur une ligne de crête, entre discours humanitaire et reconnaissance des frontières et que l'hypothèse d'un titre de séjour hérisse le secrétaire national du Parti communiste Fabien Roussel.Dans les mois à venir, plusieurs échéances internes attendent les différentes composantes de la Nupes. À partir du 10 décembre, les écologistes seront en congrès. Le même jour, la France Insoumise tiendra son assemblée représentative. Les socialistes suivront en janvier, alors que la ligne tenue par Olivier Faure est contestée par un certain nombre d'entre eux. Le Parti communiste fermera le ban avec son congrès en avril.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Ce mercredi 2 novembre, Laure Closier et Christophe Jakubyszyn ont reçu Sheryline Thavisouk, cofondatrice et directrice générale de Le Papondu, Ségolène Mouterde, cofondatrice de Teamstarter, Nicolas Vignolles, délégué du SELL et organisateur de la Paris Games Week, José-Luis Llacuna, PDG de Duralex, Éric Coquerel, député de la France Insoumise de Seine-Saint-Denis et président de la comission des Finances à l'Assemblée Nationale, Carole Juge-Llewellyn, présidente et fondatrice de Joone, Raphaël Bloch, co-fondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, et Thibault Lanxade, PDG du groupe Luminess, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
INFLATION, SÉCURITÉ : LES MAIRES EN 1re LIGNE – 18/10/22 DAVID LISNARD Maire LR de Cannes Président de l'Association des maires de France David Lisnard, maire de Cannes et président de l'AMF, vient d'entamer un tour de France qui s'apparente à une prise de température. Chaque semaine, il se rendra dans deux départements français et rencontrera tous les maires. L'objectif de ces visites est de répertorier les problèmes encourus par les départements, mais aussi et surtout de parler du problème des finances locales ainsi que la crise de la sobriété énergétique qui se répercute inévitablement sur tous les ménages français. Pour David Lisnard, interrogé par Nice Matin le 13 octobre, “La seule solution pérenne, c'est de rendre des marges de manœuvre aux communes” (...) “Les maires sont excédés par le décalage constant entre les discours et les actes. Nos administrations ont été dévitalisées” Dans le même temps, les contestations sociales se multiplient. Le bras de fer entre la TotalEnergies et la CGT se poursuit. Alors qu'un accord a été trouvé par la direction du groupe pétrolier avec la CFE-CGC et la CFDT, la CGT, en désaccord, a appelé à une journée de mobilisation interprofessionnelle ce mardi 18 octobre. Près de 200 rassemblements sont prévus aujourd'hui dans toute la France pour défendre le droit de grève, bafoué selon les syndicats par les réquisitions de personnels dans les raffineries et obtenir des hausses de salaires dans de nombreux secteurs. Le gouvernement craint donc que cette journée soit le point de départ d'une contestation plus importante encore, avec en toile de fond le souvenir des Gilets jaunes. Pour Gabriel Attal, le ministre des Comptes publics, les syndicats et partis d'opposition cherchent avant tout à bloquer le pays. "Il y a une politisation et un souhait d'instrumentalisation de la part de formations politiques qui, elles, souhaiteraient que le pays soit bloqué. Il y a une 'CGTisation' du débat politique avec des formations politiques, notamment la France Insoumise, qui voudraient que le pays soit bloqué", a insisté le ministre dans le Grand Rendez-vous codiffusé sur Europe 1 dimanche. David Lisnard reviendra avec Caroline Roux sur le tour du France qu'il a entamé et sur le climat social du moment.
Quatre mois après les élections législatives et l'accord avec la France Insoumise, les Socialistes se retrouvent mardi 4 octobre à l'occasion du Conseil national du parti.
durée : 00:04:42 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - A l'Assemblée nationale, le débat sur l'Ukraine a été plus apaisé que prévu. Attaqués par la majorité sur leur position vis-à-vis de la Russie, Le Rassemblement national et la France Insoumise sont restés en retrait.
"Toujours debout", c'est votre émission quotidienne de débats et de combats. Et le combat du jour c'est celui qui a été mené par les personnels du secteur de la santé. Lits, services et hôpitaux fermés, personnels exténués… ça suffit, agissons, réagissons ! C'était le mot d'ordre de l'appel à mobilisations pour le secteur de la santé ce jeudi 22 septembre notamment lancé par l'Union Syndicale Assistance Publique-CGT dans un communiqué. Après un été particulièrement rude et dramatique, l'AP-HP s'enfonce dans les abimes a déclaré l'organisation syndicale. Pour faire face aux fermetures d'urgences qui se sont multipliées ces derniers temps, les organisations syndicales et paramédicales, Amuf (association des médecins urgentistes), notamment l'association des médecins urgentistes CGT, CFE-CGT, ainsi que le collectif inter-urgences ont appelé les soignants à sortir dans la rue. Christophe Prudhomme est l'invité de ce #4ème épisode de Toujours Debout. Habitué au plateau du Média, il est médecin-Samu dans le 93, et conseiller régional #PouvoirVivre, affilié à la France Insoumise. Il revient justement de la manifestation, où il était avec ses collègues, pour dénoncer le démantèlement de l'hôpital public. Entre autres, 5 500 lits d'hospitalisation ont été fermés malgré la pandémie. « Foutons le bordel pour mettre Macron en difficulté et pour pouvoir changer les choses », c'est Christophe Prudhomme sur le plateau du Média, dans notre émission quotidienne Toujours Debout. ▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:04:11 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Le Groupe de la France Insoumise à l'Assemblée nationale refuse de participer à la concertation sur les retraites, face à la hausse du prix de l'énergie Bruno Le Maire accuse les fournisseurs de ne pas jouer le jeu et les convoque à Bercy, et la mort de l'historien Paul Veyne, c'est l'actu du jour !
durée : 00:04:11 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Le Groupe de la France Insoumise à l'Assemblée nationale refuse de participer à la concertation sur les retraites, face à la hausse du prix de l'énergie Bruno Le Maire accuse les fournisseurs de ne pas jouer le jeu et les convoque à Bercy, et la mort de l'historien Paul Veyne, c'est l'actu du jour !
durée : 00:04:11 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Le Groupe de la France Insoumise à l'Assemblée nationale refuse de participer à la concertation sur les retraites, face à la hausse du prix de l'énergie Bruno Le Maire accuse les fournisseurs de ne pas jouer le jeu et les convoque à Bercy, et la mort de l'historien Paul Veyne, c'est l'actu du jour !
durée : 00:42:52 - Sens politique - par : Arnaud Bousquet - Ses premiers contacts avec la politique et le féminisme, Clémentine Autain les a eus dès sa pus tendre enfance. Aujourd'hui députée La France Insoumise de Seine-Saint-Denis, elle continue son combat contre les violences faites aux femmes et les personnes les plus pauvres. - invités : Clémentine Autain députée France Insoumise de Seine-Saint-Denis, co-directrice de « Regards ».
Avec Anthony Lebbos et Perrine Vasque, le récit des tensions et des fissures au sein de la France Insoumise après l'affaire Quatennens et les mots de son mentor Jean-Luc Mélenchon qui a salué son "courage" et sa "dignité".
L'affaire Quatennens à la France insoumise et l'affaire Bayou chez les Verts continuent de faire des vagues. Comment expliquer que les partis politiques gèrent aussi mal ces affaires d'agressions sexuelles ou de violences faites aux femmes ? C'est vrai que l'on est toujours surpris face à l'incapacité des partis politiques à répondre aux comportements déplacés ou violents de leurs propres membres. Rien n'y fait, que ce soit la droite ou la gauche, qu'ils soient engagés dans ces causes, ou pas. Les partis ont l'air à côté de la plaque ou tétanisé dès qu'ils sont mis à l'amende. Il fallait voir la conférence de presse de la France Insoumise à l'Assemblée. La gêne était spectaculaire. Entre ceux qui avaient des têtes d'enterrements et ceux qui regardaient ailleurs, personne n'a été capable d'assumer les faits.
On commence avec l'affaire Adrien Quatennens qui embarrasse au sein de la France Insoumise notamment après les réactions de soutien de Jean-Luc Mélenchon envers celui qui était désigné comme son dauphin...
Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce mercredi, il s'intéresse aux réactions des Insoumis suite au retrait d'Adrien Quatennens qui a avoué avoir giflé sa femme.
Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce mercredi, il s'intéresse aux réactions des Insoumis suite au retrait d'Adrien Quatennens qui a avoué avoir giflé sa femme.
1- ”Le grandi crisi, come la guerra in Ucraina, minacciano il futuro dell'umanità". Aprendo la 77esima Assemblea Generale dell'Onu, Antonio Guterres lancia un drammatico appello alla comunità internazionale. Intanto dopo la Crimea Putin vuole annettere il Donbass. Ma la controffensiva di Kiev potrebbe fare saltare di nuovo i piani del Cremlino. Convocati per il 23 settembre i referendum nelle autoproclamate repubbliche di Lugansk e Donestk. 2-Violenza di genere. La sinistra francese è nei guai. Tra amarezza e rivolta, numerosi collettivi femministi chiedono le dimissioni dell'astro nascente della “ France Insoumise” 4-Stati Uniti, verso il Midterm. Donald Trump non è più una risorsa per i repubblicani. Il punto di esteri 5-Diritti umani. Amnesty chiede alle Nazioni Unite un'inchiesta indipendente sui crimini del regime cinese nello Xinjiang. “ Chiediamo agli Stati membri di assumere iniziative concrete affinché i responsabili vengano chiamate a risponderne" 6- Spagna. La foto della discordia. Al funerale della regina Elisabetta, l'incontro tra il Re Felipe sesto e il padre Juan Carlos rilancia la polemica tra i fautori del rinnovamento della monarchia e gli ultraconservatori.
Il est l'un des espoirs de la France Insoumise, certains le voyaient même succéder à Jean-Luc Mélenchon. Mais pour le député Adrien Quatennens, l'avenir semble s'être assombri ces derniers jours. En instance de divorce, il est visé par une main courante déposée par son épouse au commissariat de Lille, officiellement après une dispute qualifiée de "dure" par son avocate. Suffisant pour embarrasser le parti.
En pleine ébullition, la France Insoumise est agitée par des débats sur son organisation interne. Certains membres du parti de Jean-Luc Mélenchon réclament plus de transparence... Le leader est sur RTL pour s'expliquer !
durée : 00:14:54 - Journal de 18h - Fin de l'Université d'été de la France Insoumise ce dimanche. Jean-Luc Mélenchon un tenu un discours pour la clôturer.
durée : 00:14:54 - Journal de 18h - Fin de l'Université d'été de la France Insoumise ce dimanche. Jean-Luc Mélenchon un tenu un discours pour la clôturer.
MÉLENCHON LANCE "LA BATAILLE GÉNÉRALE" – 27/08/22 LES INVITÉ.ES : - BRUNO JEUDY - Journaliste et essayiste - CORINNE LHAÏK - Journaliste - « L'Opinion » - ALIX BOUILHAGUET - Editorialiste politique - « France info » - FRÉDÉRIC DABI - Directeur général adjoint de l'IFOP "En retrait mais pas en retraite". Après deux mois d'absence, Jean-Luc Mélenchon n'a pas abandonné le combat politique la conflictualité. Dans la Drôme, à l'occasion des "amphis d'été" de la France Insoumise, il a promis pour la rentrée politique "la bataille générale" face au gouvernement, qu'il continue de prendre pour cible. Il a même estimé qu'un "compte à rebours de la dissolution" de l'Assemblée était enclenché. Il revendique pour son mouvement le statut de première force d'opposition du pays. L'exécutif semble sur ce point lui donner quitus. Trois membres du gouvernement se sont en effet rendus à l'université d'été des insoumis. Clément Beaune, Olivia Grégoire et Marlène Schiappa se sont prêtés au jeu des débats avec des députés de la principale formation de la NUPES. Les partis de l'union de gauche n'ont pas fait d'université commune, choisissant de garder chacun leur propre réunion. Car chez EELV, le PS et le PCF, l'heure est à se prémunir des risques d'hégémonie de LFI. Les trois partis se sont montrés sceptiques sur la perspective voulue par les Insoumis de s'allier aux européennes de 2024, notant des divergences sur l'Europe. Au sein de la majorité, il est déjà temps de préparer la succession d'Emmanuel Macron. Le chef de l'Etat ne pourra en effet pas être à nouveau candidat en 2027, en vertu de la constitution. L'heure est à la construction de l'unité. Dans cette optique, à l'heure où les principales formations politiques entament leurs traditionnelles universités d'été pour galvaniser les troupes, la majorité présidentielle organise de son côté un événement sobrement appelé « séminaire des cadres ». La République en marche doit fusionner mi-septembre avec Territoire de progrès et Agir, sous le nom de Renaissance. Leurs cadres se réunissent ce samedi à Metz, en Moselle, pour s'entendre sur les valeurs communes. Mais LREM et ces partis satellites de la majorité ont encore du chemin à parcourir pour structurer cette proposition politique. On est loin de l'esprit de la première heure du mouvement En Marche, qui a porté Emmanuel Macron en 2016 et 2017. Loin des débats nationaux, les élus locaux sont, comme les ménages, confrontés à l'inflation. Dans les petites communes, les maires essaient de s'en sortir. La chasse au gaspillage devient une priorité pour économiser l'argent public et tenter de maintenir la qualité de vie des administrés. Certaines promesses de campagne, devenues trop coûteuses, ne peuvent donc pas être mises en œuvre pour le moment. Comme l'embauche de policiers municipaux supplémentaires. La France Insoumise souhaite-t-elle avaler la NUPES pour devenir le véritable leader de cette formation ? La majorité présidentielle va-t-elle réussir à préparer la succession d'Emmanuel Macron ? Comment les maires font-ils face à l'inflation ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
MACRON : RENTRÉE EN TERRAIN MINÉ – 22/08/22 Invités ROLAND CAYROL Politologue - Directeur du Centre d'études et d'analyse (CETAN) BRUNO JEUDY Éditorialiste politique NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales C'est une polémique dont le gouvernement se serait bien passé en cette rentrée. La diffusion vendredi dernier de vidéos montrant des détenus de la prison de Fresnes, dans le Val-de-Marne, se livrant à une course de karting dans la cour du centre pénitentiaire fin juillet, a indigné la droite et l'extrême-droite. Alors que la polémique enfle, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a ordonné samedi une enquête pour tenter de faire la lumière sur les faits. Ce sont notamment les autorisations octroyées par sa propre administration pour l'organisation de cet événement qui posent question. Dans le même temps, le gouvernement essaie d'occuper le terrain. Le ministre de l'Intérieur et des Outre-mer, Gérald Darmanin, est arrivé hier à Mayotte pour un déplacement de trois jours. Il y poursuit son offensive sur l'immigration et a déjà annoncé son intention de réformer le droit du sol dans ce département de l'océan Indien. Le président de la République est, lui, sorti de ses vacances le 17 août à Bormes-les-Mimosas, dans le Var, lors d'une allocution au ton pessimiste. Il a évoqué les prochains mois et préparé les Français à des temps difficiles. « Je pense à notre peuple, auquel il faudra de la force d'âme pour regarder en face le temps qui vient (...) et, unis, accepter de payer le prix de notre liberté et de nos valeurs », a-t-il notamment déclaré. S'il a bien sûr été question de la guerre en Ukraine, Emmanuel Macron a également évoqué les crises liées au dérèglement climatique. Car cet été 2022 s'est avéré particulièrement difficile, marqué par les conséquences en cascade des changements du climat. Et à l'heure où les Français sont appelés à faire des efforts pour plus de sobriété énergétique, le faramineux bilan carbone lié au train de vie des ultra-riches ne passe plus. De nombreuses dénonciations de gaspillage énergétique lors des déplacements de milliardaires en yachts ou en jets privés, se sont succédées tout l'été. Le ministre délégué aux transports Clément Beaune y a vu « le symbole d'un effort à deux vitesses ». Samedi, dans les colonnes du Parisien, il s'est ainsi dit favorable à une « régulation » des vols en jets privés. Le ministre envisagerait des incitations, voire une taxation. Le secrétaire général d'Europe Ecologie-Les Verts, Julien Bayou, s'est « réjoui » sur Franceinfo que le sujet émerge dans le débat politique mais a appelé à des mesures beaucoup plus fermes. « Un jet pollue dix fois plus qu'un avion. Il est donc temps de les bannir, parce qu'ils nous empoisonnent littéralement », a-t-il dénoncé, fustigeant des « déplacements caprices ». Partenaires des écologistes et des socialistes au sein de la NUPES, les membres de la France Insoumise n'ont, eux, pas pris de vacances. Les militants et députés ont sillonné la France avec la caravane LFI. À Toulouse, où une équipe de C dans l'air les a rencontrés, ils continuent de battre la campagne pour faire connaitre leurs idées et leur programme. Objectif : mobiliser les citoyens autour des problématiques de la rentée. Comment le gouvernement va-t-il sortir de ce faux-pas à la prison de Fresnes ? Les vols en jets privés seront-ils interdits ? La mobilisation militante des Insoumis pendant l'été va-t-elle porter ses fruits en cette rentrée ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:24:59 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Adrien Quatennens, député de la 1ère circonscription du Nord et coordinateur de la France Insoumise, est l'invité de Jérôme Cadet dans le Grand Entretien de 8h20.
durée : 02:59:54 - Le 6/9 - Ysaora Thibus, championne du monde de fleuret, et Adrien Quatennens, député du Nord et coordinateur de la France Insoumise, sont les invités de Jérôme Cadet dans la matinale du mardi 26 juillet.
durée : 01:59:59 - Le 7/9 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - L'actrice Judith Chemla qui accuse son ancien compagnon de violences conjugales, et Manuel Bompard, député LFI des Bouches-du-Rhône, sont les invités du 7/9 de France Inter. - invités : Judith Chemla, Manuel Bompard - Judith Chemla : Actrice, Manuel Bompard : Directeur des campagnes de la France Insoumise
REMANIEMENT : LE BRAS DE FER COMMENCE… - 04/07/22 Invités CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » NATHALIE MAURET Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Deux semaines après la claque reçue par la majorité présidentielle aux législatives, Emmanuel Macron et Élisabeth Borne ont dévoilé la nouvelle composition du gouvernement. Ce remaniement a été dévoilé ce lundi en fin de matinée dans un communiqué. A par les trois ministres remerciées car battues aux législatives - Brigitte Bourguignon (Santé), Amélie de Montchalin (Transition écologique), et Justine Bénin (Mer) - et Yaël Braun-Pivet (Outre-mer) partie pour la présidence de l'Assemblée nationale, seul l'ex-LR Damien Abad, visé par une enquête pour «tentative de viol», a été exfiltré. Les poids lourds du gouvernement ont été reconduits, comme Bruno Le Maire à l'Economie, Éric Dupont-Moretti à la Justice ou encore Gérald Darmanin à l'Intérieur. Certains restent mais changent de portefeuille. Olivier Véran quitte ainsi le ministère des relations avec le Parlement pour devenir porte-parole de l'exécutif. Il remplace Olivia Grégoire, qui est nommée ministre déléguée chargée de l'artisanat, du commerce, du tourisme et des PME. Franck Riester, jusqu'alors ministre délégué au commerce extérieur et à l'attractivité, devient, lui, ministre délégué chargé des relations avec le Parlement. Parmi les entrants, on retient notamment que François Braun, président de l'association Samu-Urgences de France, devient ministre de la Santé et Jean-Christophe Combe, jusqu'alors directeur de la Croix-Rouge, est quant à lui nommé au ministère des Solidarités. Dans l'opposition les critiques n'ont pas tardé à fuser. Marine Le Pen a estimé, sur Twitter, que le nouveau gouvernement ne traduisait aucune inflexion au plus haut niveau de l'Etat, malgré les élections législatives. « Le président de la République ignore ainsi une nouvelle fois le verdict des urnes et la volonté des Français d'une autre politique », écrit-elle. La cheffe de file des députés La France insoumise Mathilde Panot, juge elle que « la Macronie rabougrie se replie sur elle-même », signe d'un « pouvoir en voie de décomposition. » Le camp présidentiel est « en galère de recrutement », moque-t-elle, en soulignant notamment le retour de Marlène Schiappa. Boris Vallaud, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, a réagi sur Franceinfo en qualifiant le gouvernement de : « carré de macrono-macronistes ». Sitôt nommé, le gouvernement n'aura pas le temps de chômer. Alors que l'inflation continue de miner le portefeuille et le moral des Français, l'exécutif planche sur un projet de loi pour rendre du pouvoir d'achat aux ménages. Selon Yaël Braun Pivet, présidente de l'Assemblée, le texte devrait être présenté avant la fin du mois de juillet. Il y a urgence. L'inflation a en effet pris 5,8 % sur un an en juin. Un chèque alimentaire est évoqué, à destination des Français les plus en difficultés. Pour voter ce projet de loi, la majorité présidentielle devra composer avec les oppositions. La Nupes, l'alliance de gauche, devrait notamment proposer un contre-projet reprenant plusieurs propositions du programme présidentiel de Jean Luc Mélenchon, souligne le Parisien. À droite, LR et le RN devraient proposer des amendements avec des propositions chères à leur parti. Un premier texte de loi qui devrait donner le ton des cinq prochaines années. A l'avenir il semble en tout cas de plus en plus clair que la classe politique ne pourra plus ignorer le mouvement Me too. Face aux indignations devant l‘ampleur des violences sexistes et sexuelles dans la société, l'impunité recule. Devenu gênant, presque encombrant pour un chef d'Etat se revendiquant défenseur de la cause féminine, Damien Abad a ainsi quitté le gouvernement. Un mois et demi à peine après sa nomination, le transfuge des Républicains abandonne ses fonctions à contrecœur. Il fait les frais des accusations de viol, tentatives de viols et agressions sexuelles qui se sont multipliées à son encontre. Cette semaine la vague Me too a aussi touché la France Insoumise. Éric Coquerel, député tout juste élu à la tête de la commission des Finances de l'assemblée, a été accusé par Sophie Tissier, une ancienne militante du Parti de gauche, d'avoir eu avec elle «la main baladeuse » toute une soirée, malgré ses récriminations. Elle aurait également reçu « plusieurs SMS pour qu'on rentre ensemble ». Elle a jugé sur BFM TV que « c'était traumatisant » et a déposé plainte. Ce nouveau gouvernement tient-il compte des résultats des élections législatives ? Emmanuel Macron a-t-il vraiment du mal à "recruter" des ministres ? Qu'attendre du projet de loi sur le pouvoir d'achat ? Me too marque-t-il la fin de l'impunité des politiques face aux violences sexistes et sexuelles ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Un nouvel entretien passionnant! Georges Kuzmanovic est l'invité de Livre Noir. Le Président de République souveraine n'a pas réussi à se présenter à l'élection présidentielle. En 2018, l'ancien porte-parole de Jean-Luc Mélenchon quittait la France Insoumise, regrettant son flou sur l'Union européenne et sa stratégie wokiste. Spécialiste de géopolitique, celui-ci analyse aussi très finement les conséquences dramatiques de la guerre en Ukraine. Soutenez-nous !
UNE FRANCE INGOUVERNABLE ? – 20/06/22 Invités CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » NEÏLA LATROUS Journaliste politique - « France Info » PASCAL PERRINEAU Politologue - Professeur des universités à Sciences Po Auteur de « Le populisme » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos C'est un séisme politique. Près de deux mois après avoir été réélu à la présidence de la République face à Marine Le Pen, Emmanuel Macron n'obtient pas la majorité absolue à l'issue des élections législatives de ce dimanche marquées par une forte abstention (53,7%). La coalition présidentielle compte désormais seulement 245 députés, loin des 289 élus nécessaires pour obtenir une majorité absolue, et très loin du score d'il y a cinq ans. En 2017, les marcheurs étaient plus de 350 dans l'hémicycle. Le chef de l'Etat perd également de nombreux lieutenants comme les ministres Amélie de Montchalin et Brigitte Bourguignon, le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand et le président du groupe LREM Christophe Castaner. Elue de justesse dans le Calvados, avec 2202 voix d'avance sur le candidat de la Nupes, la Première ministre Elisabeth Borne va devoir faire un remaniement gouvernemental et a appelé hier soir à construire une « majorité d'action ». Une main tendue aux élus Les Républicains et leurs alliés qui avec 74 sièges pourront faire et défaire les majorités au Parlement. Alors que vont-ils faire ? Le président des LR Christian Jacob, a assuré hier soir que son parti resterait « dans l'opposition » après ce second tour des élections législatives. Mais un peu plus tôt dans la soirée, le maire LR de Meaux, Jean-François Copé, avait dit souhaiter sceller un « pacte de gouvernement » avec Emmanuel Macron. La question devrait donc animer les rangs de la droite ces prochaines semaines. Autre élément inédit : la percée historique du Rassemblement national. Dimanche le parti d'extrême droite a réussi à confirmer son implantation, en particulier dans le Sud-Est et le Nord, et fait une entrée en force au Palais Bourbon. Jamais dans son histoire le parti de Marine Le Pen n'avait obtenu autant de députés : ils seront 89. « C'est une victoire pour le Rassemblement national. Nous entrons à l'Assemblée avec un très puissant groupe de députés. Nous sommes le premier parti d'opposition devant la France Insoumise » s'est félicitée la leader du RN. De son côté, le leader de la FI Jean-Luc Mélenchon s'est aussi réjoui des résultats de dimanche. « La déroute du parti présidentielle est totale. Nous avons réussi l'objectif politique nous nous étions donnés : faire tomber celui qui avec autant d'arrogance avait tordu le bras de tout le pays pour être élu sans que l'on ne sache pour quoi faire » a lancé le chef de file de la Nupes. Première force d'opposition, la coalition de gauche fait entrer 131 députés dans l'hémicycle. Une progression pour la gauche par rapport à 2017, avec l'arrivée de nombreux nouveaux visages. Mais quelle opposition veulent-ils mettre en place ? A quoi ressemblera le nouveau gouvernement ? Quels sont les nouveaux visages à entrer au Palais Bourbon ? Comment l'Assemblée nationale va-t-elle voter des lois ? Quelles alliances ? Avec qui ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:01:59 - Le vrai du faux - par : Antoine KREMPF - Alors qu'on assistera à une soixantaine de duels entre la Nupes et le Rassemblement national au second tour des législatives, la France Insoumise accuse le camp présidentiel de ne pas être "clair" sur les consignes de vote pour faire barrage à l'extrême-droite.
durée : 00:20:18 - Journal de 18h - A l'abstention historique, s'ajoute la dynamique NUPES, avec 4 candidats de la France Insoumise déjà élus. Et en cas de majorité relative, Emmanuel Macron se retrouverait dépendant de la droite pour faire voter ses réformes.
Jean-Luc Mélenchon était une nouvelle fois sur RTL ce matin. Cette fois-ci, et avant même les élections législatives, le leader de la France Insoumise anticipe : il annonce d'ores et déjà la composition de son gouvernement...
Un accord historique. Le mercredi 4 mai, le Parti socialiste parvient à s'entendre avec la France Insoumise pour rallier la Nouvelle union populaire écologique et sociale, en vue des élections législatives des 12 et 19 juin.Avec cette union, le PS espère obtenir une trentaine de sièges à l'Assemblée nationale. Mais en échange, il doit se ranger derrière le programme décidé par le mouvement de Jean-Luc Mélenchon. Une stratégie aussitôt dénoncée par plusieurs ténors socialistes.Depuis la débâcle du PS à la présidentielle de 2017, le parti se divise entre ceux prônant l'union avec les autres partis de gauche et les tenants des «deux gauches irréconciliables», selon l'ancien Premier ministre Manuel Valls. Pour le Premier secrétaire du parti, Olivier Faure, il en va de la survie du PS de se rapprocher d'une gauche plus radicale.Code source revient sur ces semaines de divisions, avec Jannick Alimi et Julien Duffé, journalistes au service politique du Parisien. Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Marion Bothorel et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : AFP, BFMTV, France Inter, France Info. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans un mois, les Français vont élire leurs députés. La gauche, réunie derrière la même banderole, celle de la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale, espère l'emporter. C'est la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon, fort de ses près de 22% à l'élection présidentielle, qui mène maintenant la danse à gauche. Que dit cette union de l'état de la gauche en France ? La gauche a-t-elle une chance de reprendre le pouvoir ? Rémi Lefebvre, professeur de Science Politique à l'IEP de Lille, répond aux questions de Sur le fil. Il est l'auteur de "Faut-il désesperer de la gauche ?" (Editions Textuel) Interview : Antoine Boyer. Sur le fil est le podcast quotidien de l'AFP. Envoyez-nous vos histoires et vos commentaires : podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous 5 étoiles sur votre plateforme de podcast préférée pour mieux promouvoir notre programme !
Marine Le Pen peut-elle gagner ? LES INVITÉ.ES : - Christophe BARBIER - Directeur de la rédaction - « Franc-Tireur » - Soaziq QUEMENER - Rédactrice en chef du service politique - « Marianne « - Caroline VIGOUREUX – Journaliste politique – « l'Opinion » - Frédéric DABI - Directeur général Opinion de l'Institut de sondages IFOP, auteur de « La fracture » C'est la grande accélération. À une semaine du second tour, Emmanuel Macron et Marine Le Pen continuent de s'affronter à distance sur le terrain, auprès des Français. Le président sortant est en meeting cet après-midi à Marseille, son objectif y est de convaincre les électeurs de Jean-Luc Mélenchon, notamment les jeunes, de voter pour lui le 24 avril. Dans cette ville, le leader de la France Insoumise est arrivé en tête au premier tour avec 31% des voix. De son côté, Marine Le Pen est en Eure-et-Loir aujourd'hui. Pour elle aussi, le report des voix des sympathisants de l'Union populaire sera une des clés de son résultat du second tour. Mais dans cet entre-deux-tours, le front républicain semble se remettre en place pour lui faire barrage. Les tribunes appelant à voter Emmanuel Macron se multiplient, celles de sportifs ou d'artistes par exemple. Et puis, c'est surtout son image qui se rediabolise ces jours-ci. Eric Zemmour n'est plus là et le candidat de Reconquête !, au ton plus radical, lui servait de parapluie ces derniers mois. Pendant ce temps-là, à Châteaudun, ville de 13.000 habitants en Eure-et Loir, les résultats des scrutins présidentiels sont à l'image des résultats nationaux depuis des années et ce, à quelques dixièmes de pourcentages près. On y vote comme les Français en somme et certains regardent cette commune comme on consulte un prophète. Dimanche dernier encore, les chiffres étaient similaires à ceux de l'Hexagone. Mais qu'en sera-t-il pour le second tour ? Enfin, du côté des électeurs d'Eric Zemmour, le temps est là aussi au choix d'un bulletin pour le second tour. Si l'ancien polémiste a clairement appelé à voter Rassemblement National, certains jeunes hésitent encore. C'est surtout l'avenir de leur parti et de leur candidat qui est en question après la lourde déception de dimanche dernier. Seuls 7% des électeurs ont finalement voté pour celui qui avait bousculé le début de la campagne présidentielle. Alors, ce week-end d'entre-deux-tour sera-t-il décisif pour l'issue du scrutin ? Marine Le Pen a t-elle des chances de l'emporter ? Emmanuel Macron peut-il convaincre les électeurs de gauche ? Quel avenir pour les militants de Reconquête ! et d'Eric Zemmour ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
MACRON/LE PEN : COUP POUR COUP – 12/04/22 Invités BRUNO JEUDY Rédacteur en chef du service politique - « Paris Match » RAPHAËLLE BACQUÉ Grand reporter - « Le Monde » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de « La France sous nos yeux » A peine qualifiés pour le second tour de l'élection présidentielle qui aura lieu le 24 avril prochain, Emmanuel Macron et Marine Le Pen sont repartis sur le terrain pour tenter de convaincre abstentionnistes et indécis. Car pour le second tour, les jeux ne sont pas faits. Emmanuel Macron le sait. Et le président sortant, accusé d'avoir enjambé - voire bâclé - la campagne du premier tour, multiplie depuis lundi les déplacements et bains de foule pour « parler à tous les Français ». Il s'est rendu lundi à Denain (Nord), Carvin et Lens (Pas-de-Calais), des terres où la candidate d'extrême droite est arrivée en tête et qui sont très loin de lui être acquises. «Les extrêmes, y compris le Front national, se nourrissent de la fatalité», a lancé Emmanuel Macron devant les caméras. Mardi, Emmanuel Macron fait cap dans le Grand Est, dans deux villes qui ont placé Jean-Luc Mélenchon dimanche en tête avec environ 35 % des suffrages, après s'être dit la veille prêt à « bouger » sur la réforme des retraites et à « ouvrir la porte » à un report de l'âge de départ à 64 ans, plutôt qu'à 65 ans, « s'il y a trop de tensions » et que « cela peut bâtir un consensus ». Le président-candidat était à Mulhouse aujourd'hui et tiendra ce soir sa première réunion publique de l'entre-deux-tours à Strasbourg. Un choix stratégique puisque le candidat tient à rappeler l'importance et son attachement à l'Europe dans son programme tout en se différenciant sur ce point aussi de celui de Marine Le Pen. L'occasion aussi pour lui d'appeler localement au vote en sa faveur et de s'adresser aux électeurs du candidat de l'Union populaire. La gauche et les classes populaires dans le viseur, c'est bien la stratégie d'Emmanuel Macron pour rassembler dans cet entre-deux-tours. En face Marine Le Pen a le même objectif. Pour cela, elle veut montrer sa proximité avec les Français et avec leurs préoccupations quotidiennes à commencer par le pouvoir d'achat. L'ancienne présidente du RN effectuait lundi un déplacement dans l'Yonne, chez un agriculteur céréalier. L'occasion de parler notamment de l'inflation et de ses conséquences sur les agriculteurs. Mardi, lors d'une conférence de presse, Marine Le Pen a mis en avant des points communs avec le candidat de la France Insoumise sur le volet des institutions. Elle aussi veut instaurer un RIC, référendum d'initiative citoyenne, et elle est aussi favorable à la proportionnelle pour les élections législatives. Mais pour la candidate d'extrême droite qui veut modifier la Constitution « pour y intégrer des dispositions portant sur le statut des étrangers et la nationalité et pour faire prévaloir le droit national sur le droit international », selon son programme, le but c'était surtout de tenter de rassurer et de battre en brèche le procès en autoritarisme. Troisième homme du scrutin, Jean-Luc Mélenchon n'est pas arrivé loin derrière Marine Le Pen dimanche. Et la déception est grande pour son camp. Il y avait les militants de la France Insoumise mais aussi des électeurs de gauche tentant un vote utile pour éviter un duel Macron Le Pen. Que vont-ils faire au deuxième tour ? Jean-Luc Mélenchon les a appelés à ne pas voter pour Marine Le Pen, et son rôle pourrait être décisif dans ce duel politique de l'entre-deux-tours qui confirme les fractures d'un pays divisé sur son avenir. Institutions, Europe… Les projets des deux finalistes de l'élection présidentielle divergent sur bien des points. Avec le duel Macron-Le Pen, deux France se font-elles face ? En cas de victoire, Marine Le Pen a affirmé qu'elle ne veut pas d'Éric Zemmour dans son gouvernement. Avec qui gouvernerait-elle ? Enfin que va-t-il se passer pour les partis à moins de 5 % (LR, PS, EELV…) ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:05:03 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé interroger des soutiens et des députés de la France Insoumise.
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durée : 00:05:22 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé interroger des militants EELV, PS et France Insoumise pour anticiper la future presque quasi victoire de la gauche.
durée : 00:05:22 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé interroger des militants EELV, PS et France Insoumise pour anticiper la future presque quasi victoire de la gauche.