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Un malaise s'installe-t-il entre le président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko ? Lors d'une réunion du Pastef, le Premier ministre Ousmane Sonko a publiquement exprimé son profond désaccord avec le président Bassirou Diomaye Faye. Le Premier ministre a critiqué la tolérance du président Bassirou Diomaye Faye face à certains comportements. Il estime que le pays souffre d'un « problème d'autorité ». Nous attendons vos réactions !
Invité : - Jean-Louis Etienne, médecin-aventurier Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : - Gilles-William Goldnadel, avocat - Raphael Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les 6 et 7 juillet, le sommet des BRICS+ s'est tenu à Rio dans une quasi-indifférence. Marqué par l'absence de plusieurs chefs d'Etat, certains visés par la Cour Pénale Internationale, et des tensions croissantes entre membres, l'événement a surtout illustré les fractures internes du bloc. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion des 160 ans de l'Union internationale des télécommunications, Monika Gehner, cheffe de la communication institutionnelle, revient sur les grandes étapes de cette organisation pionnière et les défis qui l'attendent : inclusion numérique, durabilité, intelligence artificielle.Une conversation enregistrée par Alexandre Carette, d'ONU Info Genève, à la veille du Sommet mondial sur la société de l'information et de « AI for Good », un autre sommet sur l'intelligence artificielle.
Dans cet épisode, Alexandre Mirlesse, diplomate de carrière et spécialiste des grands enjeux internationaux, partage les coulisses du Sommet de Paris sur l'intelligence artificielle. De la méfiance historique des Français à l'IA à la volonté de l'Europe de s'affirmer face aux États-Unis et à la Chine, il décrypte les enjeux géopolitiques, démocratiques et économiques de cette révolution technologique. Il revient sur les défis à relever : former les citoyens, défendre l'intégrité de l'espace public, et mettre l'IA au service de tous, pas seulement d'une élite. Un éclairage passionnant sur les liens entre innovation et souveraineté.Les Carnets de l'IA est un podcast proposé par la Cité de L'IA avec la soutien de la Fondation MMADirection éditoriale : Manuel Davy et Hélène VanwaesProduction exécutive : natif.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A la fin de la République romaine, deux hautes figures s'affrontent au Sénat : le probe Cicéron, et le comploteur Catilina. Jusqu'au iras-tu, Catilina ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:22 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Alors que Rio accueille la réunion annuelle des BRICS, on peut se demander à quoi sert un sommet censé incarner le Sud global, quand ni la Chine ni la Russie ne sont vraiment au rendez-vous. Derrière les discours sur un monde multipolaire, les BRICS peinent encore à parler d'une seule voix. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:06:13 - La Revue de presse internationale - Les représentants des principales économies émergentes, réunis à Rio de Janeiro au Brésil, ont exprimé ensemble leurs "sérieuses préoccupations" face aux droits de douanes américains.
durée : 00:03:22 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Alors que Rio accueille la réunion annuelle des BRICS, on peut se demander à quoi sert un sommet censé incarner le Sud global, quand ni la Chine ni la Russie ne sont vraiment au rendez-vous. Derrière les discours sur un monde multipolaire, les BRICS peinent encore à parler d'une seule voix. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:10:04 - Journal de 9h - Sans Xi Jinping ni Vladimir Poutine, les BRICS, les grands pays émergents, se réunissent à partir d'aujourd'hui à Rio. Tous contestent l'hégémonie occidentale mais les crises diplomatiques créent des tensions.
durée : 00:10:04 - Journal de 9h - Sans Xi Jinping ni Vladimir Poutine, les BRICS, les grands pays émergents, se réunissent à partir d'aujourd'hui à Rio. Tous contestent l'hégémonie occidentale mais les crises diplomatiques créent des tensions.
durée : 00:38:49 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Sarah Masson, Stéphanie Villeneuve - Un an après les émeutes, Emmanuel Macron convoque "tous les acteurs du territoire" à un "Sommet pour l'avenir de la Nouvelle-Calédonie". Il s'est ouvert le 2 juillet pour une durée indéterminée. Objectif : redéfinir le statut politique et la gouvernance de l'archipel. Un compromis est-il possible ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Isabelle Leblic Anthropologue, directrice de recherche émérite au CNRS; Stéphane Robert Chef du service politique de la rédaction de France Culture; Benjamin Morel Constitutionnaliste français, docteur en sciences politiques et maître de conférences
durée : 02:00:29 - Les Matins d'été - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Isabelle Leblic Anthropologue, directrice de recherche émérite au CNRS; Benjamin Morel Constitutionnaliste français, docteur en sciences politiques et maître de conférences; Stéphane Robert Chef du service politique de la rédaction de France Culture; Mathis d'Aquino Chercheur en science politique; Léonie Pernet Musicienne et chanteuse française
durée : 00:14:25 - Journal de 18h - Le FLNKS n'a pas attendu le début des discussions politiques pour compromettre le sommet organisé par Emmanuel Macron. "Il n'y aura pas de signature, même si on reste une semaine, deux semaines, un mois", avertit l'un de ses dirigeants Mickaël Forrest.
durée : 00:14:25 - Journal de 18h - Le FLNKS n'a pas attendu le début des discussions politiques pour compromettre le sommet organisé par Emmanuel Macron. "Il n'y aura pas de signature, même si on reste une semaine, deux semaines, un mois", avertit l'un de ses dirigeants Mickaël Forrest.
« Il faut mobiliser 4 000 milliards de dollars par an pour le développement des pays du Sud », a déclaré, lundi 30 juin, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, à l'ouverture de la Conférence de Séville, aux côtés du Français Emmanuel Macron, du Sénégalais Bassirou Diomaye Faye et de cinquante autres chefs d'État. Mais à quoi sert cette Conférence de l'ONU sur le financement du développement au moment où le monde est en crise ? L'économiste italien Mario Pezzini a été le directeur du Centre de développement de l'OCDE. Il est aujourd'hui conseiller spécial à l'Unesco. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Cette conférence sur le développement s'est ouverte lundi 30 juin à Séville, en l'absence des Américains, qui avaient déjà dit il y a quinze jours qu'ils ne viendraient pas. Est-ce que ce n'est pas mauvais signe ? Mario Pezzini : Oui, c'est un problème sérieux parce que la coopération multilatérale, à travers ce signe, on le voit très clairement, est mise à rude épreuve. Un autre signe, si vous voulez, c'est aussi la réduction progressive des financements au développement. On est tous au courant du fait que les États-Unis ont décidé donc de réduire à zéro l'instrument principal de la coopération qu'on appelait USAID. Mais ce ne sont pas les seuls, les États-Unis ne sont pas le seul pays. Le Royaume-Uni réduit de moitié sa contribution, au point que la ministre du Développement a démissionné. Et aussi plusieurs pays européens ont fait le même. Entre autres, la France aussi a réduit. À mon avis, le problème n'est pas que le financement, c'est aussi : qu'est-ce qu'il faut faire avec ? Quelles capacités on doit mettre en place pour y arriver ? Pour la FEPS, la Fondation pour les études progressistes en Europe, vous proposez justement à l'Union européenne une nouvelle stratégie à l'égard des pays du Sud. Vous écrivez notamment : « l'incitation aux investissements privés en Afrique, c'est bien, mais cela ne suffit pas ». Mais oui, vous savez, dans ce monde, on voit apparaître une voix des pays du Sud qui appelle à une réforme de la gouvernance mondiale et à une coopération qui soit plus alignée avec les priorités des pays du Sud, pays d'Afrique, d'Asie ou d'Amérique. Ces pays demandent un financement équitable, mais ils demandent aussi une voix, une voix autour de la table où on décide et on discute de « l'ordre mondial », comme on aime dire. Alors, à ce propos, l'Europe, que doit-elle faire ? Moi, je suis persuadé qu'il faut redéfinir son rôle parce que le monde, vous l'avez dit, est plus fragmenté, parce que l'Europe doit avoir des partenaires dans son action. Et donc là-dessus, nous, on propose, j'ai écrit l'article avec Stefano Manservisi qui a été le directeur de la coopération à l'Union européenne à deux reprises… Donc, nous, on propose une nouvelle alliance avec les pays du Sud. Il s'agit pour l'Europe d'avoir des interlocuteurs, compte tenu de la fracture atlantique, compte tenu des difficultés avec la Russie et la Chine. Donc l'interlocuteur naturel pour l'Europe, ce sont les pays du Sud. Regardez la Commission européenne, elle s'est déplacée entièrement pour la première fois dans son histoire et c'était en Inde. Voilà, c'est dans cette direction qu'il faut aller. Mais alors l'Europe, qu'est-ce qu'elle peut faire ? L'Europe, ça fait un certain temps qu'elle a changé son approche et a pensé qu'il fallait renforcer ses interventions avec des ressources privées. Mais pour le faire, il faut donner des garanties aux capitaux privés afin que les résistances à investir soient réduites. Donc, il faut le faire en créant une gouvernance partagée avec les pays du Sud. Il faut qu'il y ait une plateforme derrière ce type d'intervention, dans laquelle, autour de la table, il y a le Nord, l'Europe, et il y a le Sud, ensemble. Avec un ordre du jour commun et une sorte de copropriété ? Oui, vous savez, l'aide aujourd'hui est discutée, dans ses règles et dans son architecture, dans des comités dans lesquels il n'y a aucun pays du Sud. Donc c'est évident que le Sud veut y être aussi. Les pays du Sud ont déjà obtenu le fait d'être un membre permanent du G20. Donc, il faut aller davantage dans cette direction. « L'un des freins aux investissements privés en Afrique », écrivez-vous, « c'est l'évaluation du risque par des entrepreneurs qui sont souvent frileux ». Qu'est-ce que vous proposez pour rassurer ces opérateurs économiques ? Aujourd'hui, les investissements privés s'orientent sur la base des agences de notation et de la notation que ces agences donnent aux pays en développement. Or, ces notations sont construites sur la base de critères qui ne sont pas transparents, qui la plupart des fois sont subjectifs et qui tendent à pénaliser les pays du Sud. Je vous donne un seul exemple : quand on était au milieu de la crise du Covid-19, les pays qui souffraient le plus, qui étaient le plus atteints, étaient les pays du Nord. N'empêche que les agences de notation ont pénalisé dans ce moment-là les pays du Sud, bien plus que les pays du Nord. Il y a toujours une sorte de pénalisation, et ça, il faut le revoir. Alors la vraie question est comment est-ce qu'on va le faire ? L'Union africaine, différents acteurs africains, proposent de créer des agences africaines de notation. D'accord. C'est une hypothèse. Il faut aussi faire en sorte que les investisseurs regardent les notations de ces agences-là et pas celles des quatre agences privées, Fitch et compagnie, qu'on regarde toujours.
Les Carmes Haut Brion, BordeauxBordeaux souffre, c'est indéniable. Dans les mois qui viennent, vous pourrez écouter les témoignages de plusieurs vignerons et vigneronnes que j'ai rencontrés en ce printemps 2025 et qui vivent des situations diverses. En parallèle de la découverte de leurs domaines respectifs, je les ai questionnés sur les déterminants de la crise actuelle pour essayer de comprendre ce qui se passe dans le bordelais. Dans cette période compliquée, j'ai tenais à rencontrer un domaine qui tire très bien son épingle du jeu, les Carmes Haut-Brion. Et si leur situation est si enviable, c'est pour de bonnes raisons. Il y a une vision, une ambition et la chance d'avoir les moyens de les concrétiser. Pour rentrer dans le détail, Florian et moi avons rencontré Guillaume Pouthier, directeur général du domaine depuis 2012, et Thibaut Richard, directeur commercial depuis 2024. Un tandem qui ne laisse rien au hasard.Réalisation : Romain BeckerEnregistrement : Romain Becker, Florian NunezPost-production : Emmanuel NappeyMusique originale : Emmanuel DoréGraphismes : Léna MaziluOn se retrouve très vite pour de nouvelles aventures viticoles. D'ici-là éclatez-vous et buvez bon !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Limiter le réchauffement climatique à + 1,5 °C est désormais impossible. Pour ne pas dépasser les 2 °C et espérer tenir le second objectif de l'accord de Paris, il faut agir vite. Or, depuis début 2025, la transition climatique et les questions environnementales se trouvent piétinées dans le chaos géopolitique créé par l'administration Trump.En France, plusieurs camps politiques – du parti présidentiel Renaissance jusqu'à l'extrême droite – s'en prennent aux normes environnementales en vigueur : suppression des zones à faibles émissions (ZFE), loi Duplomb sur l'agriculture, volonté de plusieurs figures du parti Les Républicains (LR) et du Rassemblement national (RN) de supprimer l'Agence de la transition écologique (Ademe), entre autres. Ces initiatives s'inscrivent dans un contexte global de recul de l'action climatique et écologique, qui s'est accéléré avec la réélection de Donald Trump aux Etats-Unis, mais qui avait commencé dès l'irruption de la guerre en Ukraine, en février 2022.Comment mesurer ce ralentissement de la lutte climatique ? Quelles en sont les causes ? Et quel avenir ce renoncement dessine-t-il ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Mathieu Goar, journaliste au service Planète du Monde, répond à ces questions.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia, réalisé par Quentin Tenaud. Présentation et rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : extrait du discours d'investiture de Donald Trump, le 20 janvier 2025, extrait du discours de politique générale de François Bayrou à l'Assemblée nationale, le 14 janvier 2025, extrait du discours d'Emmanuel Macron à l'ouverture du Sommet des océans, le 9 juin 2025.Cet épisode a été publié le 2 juillet 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Quels sont les secrets d'un développement économique réussi, surtout lorsque l'on part de très loin ? Nous étudions le cas du Bénin, pays d'Afrique de l'Ouest à la recherche d'une croissance partagée via une politique d'industrialisation, de grands travaux, d'autonomisation et de diversification. Beaucoup de paramètres entrent en compte : coopération régionale, sécurité intérieure, démographie, main-d'œuvre étrangère, coût de la vie, financements extérieurs et poids de la dette.
Quels sont les secrets d'un développement économique réussi, surtout lorsque l'on part de très loin ? Nous étudions le cas du Bénin, pays d'Afrique de l'Ouest à la recherche d'une croissance partagée via une politique d'industrialisation, de grands travaux, d'autonomisation et de diversification. Beaucoup de paramètres entrent en compte : coopération régionale, sécurité intérieure, démographie, main-d'œuvre étrangère, coût de la vie, financements extérieurs et poids de la dette.
Donald Trump a dominé l'actualité de la semaine, de la guerre éclair avec l'Iran au sommet de l'Otan. Dans un contexte géopolitique de plus en plus instable, la France et l'Europe semblent cantonnées au rôle de spectateur. A l'Assemblée nationale, l'opposition a vertement critiqué l'exécutif. Le groupe LFI lui reproche d'être "le laquais de Netanyahu et de Trump", tandis que le RN dénonce "l'absence de la voix de la France" sur la scène internationale.
Ce jeudi 26 juin, la victoire de Donald Trump au Sommet de l'OTAN, quand 32 pays membres de l'Alliance atlantique se sont engagés à consacrer au moins 5% de leurs PIB à la défense et la sécurité, a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce jeudi 26 juin, la victoire de Donald Trump au Sommet de l'OTAN, quand 32 pays membres de l'Alliance atlantique se sont engagés à consacrer au moins 5% de leurs PIB à la défense et la sécurité, a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le Sommet de l'OTAN va décider d'augmenter les dépenses de défense comme l'exige Donald Trump, mais la guerre à la porte de l'alliance, en Ukraine, n'est pas au centre de la rencontre pour ne pas froisser le président américain. L'Europe paye sa faiblesse structurelle.
durée : 02:40:02 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:23:44 - Otan : Trump salue un sommet "fantastique"
durée : 00:50:37 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce mercredi 25 juin autour de Paul Barcelonne et de Jean-Rémi Baudot.
durée : 00:20:03 - Journal de 18h - Le président américaine Donald Trump est reparti enchanté de la Haye, après un sommet de l'OTAN qui a répondu à toutes ses attentes.
Ce mercredi 25 juin, la participation de Donald Trump au sommet de l'OTAN, où il est au centre de l'attention, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le Sommet de l'OTAN va décider d'augmenter les dépenses de défense comme l'exige Donald Trump, mais la guerre à la porte de l'alliance, en Ukraine, n'est pas au centre de la rencontre pour ne pas froisser le président américain. L'Europe paye sa faiblesse structurelle.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités dont le député ensemble pour la république de l'Oise, Eric Woerth, ils débattent des propos du Président Français, Emmanuel Macron durant le sommet de l'OTAN aux Pays-Bas, mais aussi de la censure qui plane au-dessus du Premier ministre, François Bayrou.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:10 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Depuis hier se tient à La Haye le sommet de l'OTAN. Donald Trump y était particulièrement attendu, sur fond de doutes croissants quant à la volonté des États-Unis d'honorer leurs engagements en matière de défense collective... - réalisation : Félicie Faugère - invités : Muriel Domenach ancienne ambassadrice de la France à l'OTAN
durée : 00:20:03 - Journal de 18h - Le président américaine Donald Trump est reparti enchanté de la Haye, après un sommet de l'OTAN qui a répondu à toutes ses attentes.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités dont le député ensemble pour la république de l'Oise, Eric Woerth, ils débattent des propos du Président Français, Emmanuel Macron durant le sommet de l'OTAN aux Pays-Bas, mais aussi de la censure qui plane au-dessus du Premier ministre, François Bayrou.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:36:53 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Les 32 pays membres de l'organisation se réunissent ce mardi et mercredi à La Haye, aux Pays-Bas. Face à la menasse russe et au risque de désengagement de Donald Trump en Europe, les Alliés doivent s'accorder sur une hausse inédite de leurs dépenses militaires. - réalisé par : Thomas Lenglain Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:30 - L'invité d'un jour dans le monde - Alors que les 32 pays membre de l'Alliance atlantique se réunissent ce mardi et mercredi à La Haye, aux Pays-Bas, Camille Grand, ancien secrétaire général adjoint de l'organisation, était l'invité de France Inter ce mardi. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:36:53 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Les 32 pays membres de l'organisation se réunissent ce mardi et mercredi à La Haye, aux Pays-Bas. Face à la menasse russe et au risque de désengagement de Donald Trump en Europe, les Alliés doivent s'accorder sur une hausse inédite de leurs dépenses militaires. - réalisé par : Thomas Lenglain
Un édito aiguisé d'Arthur Chevallier, chaque matin à 7h10. Un parti-pris assumé sur une question d'actualité. D'accord ou pas, vous ne resterez pas indifférent. La chronique qui permet de réfléchir et aide à forger son opinion chaque matin du lundi au vendredi sur RMC et RMC Story.
C dans l'air l'invité du 21 juin 2025 avec Emmanuel Duteil, directeur de la rédaction « L'Usine Nouvelle ».Alors que le Salon du Bourget 2025, grand raout international consacré à l'aéronautique et à l'espace, s'apprête à fermer ses portes demain, il dressera un état des lieux de l'industrie française dans ces domaines. Fort de plus de 250 commandes, Airbus peut être satisfait de son bilan de la semaine. Il illustre l'excellence française et participe à placer le secteur aérospatial comme étant de loin le premier excédent commercial de la France.Ce secteur ne rayonne pas qu'à l'international, il attire également les jeunes ingénieurs français puisque les entreprises qu'ils convoitent ne sont autres que Thales, Airbus, Safran ou encore Dassault Aviation. Une aubaine à l'heure où l'aéronautique recrute, avec 25 000 postes à pourvoir cette année. La cadence est intense face au défi du réarmement. Les dépenses militaires mondiales se sont élevées à hauteur de 2343 milliards d'euros en 2024, en augmentation de 9,4% par rapport à 2023. La France se démarque comme étant le deuxième exportateur d'armes au monde (9,6%), loin derrière les Etats-Unis mais devant la Russie. Une place qu'elle doit notamment à son modèle phare : le Rafale, entièrement fabriqué en France.Emmanuel Duteil est directeur de la rédaction « L'Usine Nouvelle ». Il analysera l'excellence de l'industrie aéronautique française à la veille de la fermeture du Salon du Bourget 2025.Ce mois-ci le Une du magazine est consacrée au Salon du Bourget : « Les nouveaux conquérants du ciel »
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le départ prématuré de Donald Trump du Sommet du G7 a mis en évidence son mépris pour ce type de rencontres, mais il a eu aussi le mérite de pointer du doigt le fait que cette institution est devenue une coquille vide, incarnant un monde devenu obsolète. Mais par quoi la remplacer ?
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le départ prématuré de Donald Trump du Sommet du G7 a mis en évidence son mépris pour ce type de rencontres, mais il a eu aussi le mérite de pointer du doigt le fait que cette institution est devenue une coquille vide, incarnant un monde devenu obsolète. Mais par quoi la remplacer ?
durée : 00:14:37 - Journal de 7 h - Fuir, pour éviter les frappes israéliennes, c'est désormais le quotidien des iraniens. La situation préoccupe grandement Washington, Donald Trump a quitté précipitamment le sommet du G7.
durée : 01:28:14 - En pistes ! du mardi 17 juin 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Deux musiciennes au service du répertoire français : le timbre chaud de Magdalena Kozena et le piano délicat de Mitsuko Uchida célèbrent Debussy et Messiaen. On découvrira aussi une intégrale des symphonies du compositeur suédois Wilhelm Peterson-Berger sous la direction de Michail Jurowski... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:28:14 - En pistes ! du mardi 17 juin 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Deux musiciennes au service du répertoire français : le timbre chaud de Magdalena Kozena et le piano délicat de Mitsuko Uchida célèbrent Debussy et Messiaen. On découvrira aussi une intégrale des symphonies du compositeur suédois Wilhelm Peterson-Berger sous la direction de Michail Jurowski... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:07:42 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Dans les dix dernières minutes de l'émission, la une des médias avec Claire Nouvian pour la troisième journée du sommet de l'ONU sur les océans ainsi que vos messages laissés sur le répondeur de l'émission. - réalisé par : Jérôme BOULET
durée : 00:38:22 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - La conférence de Nice s'ouvre dans un contexte critique. Les océans sont soumis à des pressions sans précédent : réchauffement, acidification, surexploitation des ressources. La responsabilité incombe aux États, mais les réponses restent fragmentées. Quel est l'état réel des mers aujourd'hui ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Niki Aloupi Professeur de droit international public à Panthéon-Assas, membre de la commission juridique et technique de l'AIFM; Christophe Prazuck Directeur de l'Institut de l'Océan
durée : 00:15:37 - Journal de 8 h - 95 pays ont appelé, mardi lors du sommet de Nice sur l'océan, à l'adoption d'un traité "ambitieux" qui restreigne la production de plastique, à l'approche de nouvelles négociations prévues en août.
Une délégation mauricienne, conduite par le Premier ministre Navin Ramgoolam, s'est rendue à Nice pour le sommet des Nations unies sur les océans. Port-Louis y défendra l'intérêt stratégique de l'immense zone maritime qui entoure l'île. Entre le rétrécissement des plages et le blanchissement massif des coraux, les défis sont urgents. À Maurice, les actions se multiplient pour restaurer le lagon et repenser l'avenir maritime du pays. Reportage d'Abdoollah Earally.
durée : 00:15:36 - Journal de 8 h - La conférence des Nations unies sur l'océan commence ce lundi à Nice. Entre le changement climatique et la surpêche, il y a urgence. Reportage dans cette édition au Sénégal où les habitants se retrouvent privés de poisson.