POPULARITY
Categories
Le Journal en français facile du lundi 8 septembre 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Bzbi.A
Le deuxième Sommet africain sur le climat s'ouvre lundi 8 septembre à Addis-Abeba, où 45 chefs d'État et 25 000 délégués sont attendus pour cet évènement porté par les Nations Unies, l'Union africaine et l'Éthiopie. Celle-ci vient d'ailleurs de présenter sa candidature pour organiser le COP en 2027. L'un des objectifs du sommet de deux jours est de présenter les solutions concrètes en faveur du climat pour le continent africain, d'unifier aussi la voix des États en vue de la COP qui se tiendra en novembre au Brésil. La sénégalaise Aïssatou Diouf Notre invitée est une militante et une référence en Afrique pour les questions environnementales et responsable des politiques internationales et du plaidoyer au sein de l'ONG ENDA Énergie. Elle répond à Guillaume Thibault. RFI : Aïssatou Diouf, pourquoi ce 2ᵉ sommet africain est capital ? L'enjeu pour le continent, c'est à la fois de prendre le train en marche, mais surtout de parler d'une seule voix ? La Semaine africaine du climat est une plateforme stratégique pour l'Afrique, car elle permet aux pays, à la société civile et même au secteur privé de parler d'une seule voix, de défendre nos priorités face aux négociations mondiales. C'est donc le moment de démontrer que le climat peut être un levier de développement et d'emploi pour le continent. Donc, ce sommet va aligner les efforts des pays africains et surtout catalyser des actions concrètes, notamment sur les enjeux que j'ai cités précédemment. Quel message vous tirez du premier sommet qui s'est tenu il y a deux ans au Kenya, à Nairobi ? Les financements promis lors de ce sommet tardent à arriver et surtout, la mise en œuvre sur le terrain est encore très insuffisante. C'est pourquoi, à mon avis, cette édition doit aller beaucoup plus loin pour que les populations africaines voient réellement les bénéfices et les intérêts de ces sommets. Vous attendez beaucoup des discussions sur les questions de transition énergétique. Pour quelle raison est-ce essentiel ? Vous savez, la transition énergétique est un enjeu vital. Nous avons encore plus de 600 millions de personnes sans accès à l'électricité. Donc le défi, il est double. Premièrement, c'est répondre à cette urgence sociale tout en réduisant notre dépendance aux énergies fossiles. Mais également, on sait tous que l'Afrique doit l'aborder aussi comme une opportunité de développement en misant sur ses immenses ressources en solaire, en éolien, en hydraulique. Rappeler également que cette transition doit être juste. Le mot juste a tout son intérêt. Ça doit guider ce processus, cette transition-là. Donc, elle ne peut pas reposer uniquement sur nos budgets nationaux qui sont déjà très contraints. Donc, cela appelle à une solidarité internationale entre les pays du Nord et les pays du Sud. L'argent reste le nerf de la guerre. Dans un récent rapport, les Nations unies indiquent que 2 000 milliards de dollars ont été investis juste l'année dernière, en 2024, dans les énergies propres, mais que le continent africain n'a quasiment rien touché. Pourquoi l'Afrique reste à la marge. Donc, ce qu'il faut aujourd'hui, c'est à l'échelle internationale, réfléchir sur les mécanismes qui sont adaptés aux réalités du continent, amener aujourd'hui les banques de développement à avoir des mécanismes appropriés pour financer cette transition énergétique, le développement des énergies renouvelables et qu'enfin les pays développés respectent leurs engagements financiers. À lire aussiSommet africain sur le climat: le continent se veut source d'innovation et de solution Est-ce que vous imaginez parfois un système de sanctions pour tous ces pays qui promettent des financements, mais qui au final ne les versent jamais ? Maintenant, on sait comment le système onusien est organisé et structuré. Il est très difficile aujourd'hui de sanctionner ces États-là. Par contre, aujourd'hui, on sait que les citoyens constituent une force incontournable qui demande de la redevabilité à leurs Etats. Je pense qu'on peut s'appuyer sur ces citoyens là pour demander aux Etats de rendre compte, mais surtout aux Etats, de respecter leurs engagements. Est-ce qu'aujourd'hui, on pourrait imaginer ou c'est une utopie ? Les Etats Unis d'Afrique du climat ? Pourquoi est-ce que les Etats ont tant de difficultés à s'accorder, à avoir un vrai impact sur des discussions ou sur des négociations, notamment lors des COP ? Je pense qu'on va tendre vers cela. On n'a pas le choix. Si aujourd'hui l'Afrique veut impacter au niveau des discussions à l'échelle internationale, on doit parler d'une seule et même voix. On doit avoir des positions coordonnées portées par nos leaders politiques. Pourquoi est-il difficile d'avoir ce travail de coordination ? On n'a pas tous le même niveau de développement. Ce sont des aspects également géopolitiques où chaque Etat essaie de se positionner. Un pays, par exemple, qui découvre le pétrole et le gaz, va vouloir forcément l'exploiter, alors que les impacts du réchauffement climatique sont là. Il faudrait qu'à l'échelle de l'Union africaine, que nous arrivions à avoir des politiques au niveau continental très coordonnées, qui puissent impacter durablement nos communautés, mais également qu'au niveau international, dans les débats et dans les discussions, que nous puissions peser. Est-ce que la COP 30 qui va se tenir au mois de novembre au Brésil, Je pense qu'il y a beaucoup de pays africains qui sont sortis très déçus de la COP de l'année dernière à Bakou. Cette COP qui se tient en terre brésilienne, plus précisément en terre amazonienne, c'est une symbolique fort pour les pays en développement, notamment la question des forêts, la question de la taxe carbone et j'espère que les conclusions qui seront issues de la Semaine africaine du climat vont être portées par nos décideurs politiques pour pouvoir impacter les conclusions de la COP de Belem. À lire aussi Aïssatou Diouf, militante tout terrain de la cause climatique
durée : 01:59:44 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Au programme des Matins du samedi : une mesure historique, l'Etat français vient d'être condamné par la cour d'appel administrative de Paris pour préjudice écologique ; La "coalition des volontaires" est-elle un espoir pour l'Ukraine ? ; Alexandra Saemmer enquête sur ses origines Sudètes. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Dorian Guinard maître de conférence en droit public à Sciences Po Grenoble, porte-parole de l'association "Biodiversité sous nos pieds"; David Cadier Chercheur « Sécurité Européenne » à l'IRSEM et enseignant au collège d'Europe et à Sciences po Paris.; Tetyana Ogarkova Journaliste et politiste, responsable du département international à l'Ukraine Crisis Media Center; Alexandra Saemmer Professeure des Universités en sciences de l'information et de la communication à Paris 8
durée : 01:59:44 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Au programme des Matins du samedi : une mesure historique, l'Etat français vient d'être condamné par la cour d'appel administrative de Paris pour préjudice écologique ; La "coalition des volontaires" est-elle un espoir pour l'Ukraine ? ; Alexandra Saemmer enquête sur ses origines Sudètes. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Dorian Guinard maître de conférence en droit public à Sciences Po Grenoble, porte-parole de l'association "Biodiversité sous nos pieds"; David Cadier Chercheur « Sécurité Européenne » à l'IRSEM et enseignant au collège d'Europe et à Sciences po Paris.; Tetyana Ogarkova Journaliste et politiste, responsable du département international à l'Ukraine Crisis Media Center; Alexandra Saemmer Professeure des Universités en sciences de l'information et de la communication à Paris 8
Au sortir d'une saison compliquée, ponctuée par une 7ème place et privés de barrages, les Rochelais sont en reconquête cette année. Leur recrutement 5 étoiles illustré par Le Garrec et Niniashvili peut-il leur permettre de retrouver déjà les sommets ? Extrait de l'émission du 4 septembre 2025.
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après avoir accueilli le sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) en présence des dirigeants d'une vingtaine de pays eurasiatiques, le président chinois Xi Jinping a assisté mercredi 3 septembre à un défilé militaire géant à Pékin pour célébrer la victoire de son pays contre le Japon à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Avec ses homologues russe Vladimir Poutine et nord-coréen Kim Jong-un à ses côtés, celui-ci s'est livré à une véritable démonstration de force. Pour décrypter le message qu'il a voulu adresser au monde, le sinologue Claude Meyer, ancien conseiller à l'Ifri et professeur à l'École des affaires internationales de Science Po (PSIA) répond aux questions de RFI.
durée : 00:03:10 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En marge du Sommet de l'organisation de coopération de Shanghai (SCO), les dirigeants russe, indien et chinois se sont affichés tout sourire, en pensant à l'« absent » : Donald Trump. La bataille de l'ordre mondial du 21e siècle en une photo. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:10 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En marge du Sommet de l'organisation de coopération de Shanghai (SCO), les dirigeants russe, indien et chinois se sont affichés tout sourire, en pensant à l'« absent » : Donald Trump. La bataille de l'ordre mondial du XXI° siècle en une photo. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Trois chefs d'état de trois puissances nucléaires. Le chinois à la tête d'un régime totalitaire, le russe qui a envahi son voisin ukrainien, et l'indien, nationaliste de plus en plus illibéral. Représentants plus du tiers de la population mondiale, rejoints aujourd'hui par le dictateur nord-coréen sans compter le représentant du régime des Mollah, le président iranien. Tous réunis sur une photo de famille qui interroge. Sommet en Chine donc, avion d'Ursula Von der Leyen victime d'un brouillage GPS, rumeurs sur l'état de santé de Donald Trump… On reçoit Bruno Tertrais, directeur adjoint de la Fondation pour la Recherche Stratégique (FRS) et conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne.Tous les soirs du lundi au vendredi à partir de 18h57 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Nous vous proposons une série baptisée "Dans la tête de...", afin de tenter de comprendre la politique des dirigeants de la planète. On commence avec l'homme fort de Chine, Xi Jinping, actuellement en pleine séquence diplomatico-militaro-politique. Dimanche et lundi, le Sommet de Tianjin a réuni une vingtaine de dirigeants. Ce mardi, a eu lieu une rencontre avec Vladimir Poutine, et mercredi, le grand défilé militaire doit se tenir pour marquer les 80 ans de la fin de Seconde Guerre mondiale. Xi Jinping est un président que l'on connaît peu, alors qu'il est au pouvoir depuis douze ans. C'est aussi un homme qui veut être celui qui dit non : non à Donald Trump et non à l'ordre mondial, tel que le pensent les pays occidentaux.
Le sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai s'est ouvert ce dimanche à Tianjin, la quatrième ville la plus peuplée de Chine. Un forum conçu pour développer la coopération entre Etats eurasiatiques : la Russie, l'Inde, la Turquie ou encore la Corée du Nord, l'Iran, le Pakistan et l'Indonésie sont invités par le président chinois Xi Jinping. Mercredi, une parade militaire commémorant les 80 ans de la capitulation du Japon et de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Asie aura lieu à Pékin. Etant donné le contexte géopolitique actuel qui inclut le conflit commercial porté par Trump et ses droits de douane contre la Chine et l'Inde, les tensions sur le nucléaire iranien et bien évidemment la guerre en Ukraine, ce sommet a une résonance particulière : celle de l'affirmation symbolique d'un autre ordre mondial.Véronique Kiesel est journaliste au pôle international et spécialiste de la Chine. Elle revient avec nous sur les enjeux politiques, économiques et diplomatiques qui entourent ce sommet. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Nos invités du mardi 2 septembre 2025 : Vote de confiance: Roland Cayrol, politologue, auteur de "Alerte mondiale : démocratie en danger ! Une perspective géopolitique" disponible chez les éditions de L'Aube. Sommet en Chine: Bruno Tertrais, directeur adjoint de la Fondation pour la Recherche Stratégique (FRS) et conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne.Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, la story de Louis Amar et le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 18h55 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Kevin, Maxence et Geoffrey reviennent sur cette premiere semaine de matchs deja pleine de surprise
Sur fonds de conflits inextricables qui les opposent à la sphère des nations démocratiques, les pays de l'Organisation de Coopération de Shangaï, l'OCS, bâtissent peu à peu leur cohésion politique, ils solidifient un récit alternatif à celui de l'Occident et de ses valeurs libérales et ils contribuent à structurer le concept de « majorité mondiale », tout cela emmené par les deux puissances militaires agressives que sont la Russie et la Chine. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 1er septembre, le rapprochement entre l'Inde et la Chine, en marge du sommet de Tianjin autour de Xi Jinping, a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Le président chinois Xi Jinping a ouvert le sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai, en présence du président russe, Vladimir Poutine, mais aussi d'une vingtaine de chefs d'État.
L'émission 28 minutes du 01/09/2025 Sommet OCS en Chine : vers un nouvel ordre mondial anti-occidental ?Du 31 août au 1er septembre, Xi Jinping réunit une vingtaine de pays, dont les principales puissances asiatiques, ainsi que Vladimir Poutine, à Tianjin pour le sommet annuel de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS). "Le rôle de la Chine dans la défense du multilatéralisme est fondamental", a assuré Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations Unies, en marge du sommet. L'épisode des droits de douanes aura terni les relations américaines avec nombre de pays, qui cherchent depuis des partenaires stables. C'est par exemple le cas du Premier ministre indien, Narendra Modi, qui, courroucé par l'imposition de 50 % de droits de douanes sur les produits indiens par les États-Unis, a traversé l'Himalaya pour retrouver son voisin chinois. Une première depuis 7 ans pour les deux puissances rivales qui étaient en froid depuis des affrontements entre leurs soldats dans une région himalayenne en 2020. "Le dragon et l'éléphant doivent mener ensemble un pas de deux", a déclaré Xi Jinping, qui semble vouloir faire de la Chine un nouveau pôle de stabilité, en se positionnant comme leader du multilatéralisme. Assiste-t-on à l'aube d'un nouvel ordre mondial ?On en débat avec Anne-Cécile Robert, directrice adjointe au Monde diplomatique, Sylvie Bermann, ambassadeur de France en Russie (2017-2019) et en Chine (2011-2014) et Jean-François Colosimo, essayiste et éditeur.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 1er septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Le sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai s'est ouvert ce dimanche à Tianjin, la quatrième ville la plus peuplée de Chine. Un forum conçu pour développer la coopération entre Etats eurasiatiques : la Russie, l'Inde, la Turquie ou encore la Corée du Nord, l'Iran, le Pakistan et l'Indonésie sont invités par le président chinois Xi Jinping. Mercredi, une parade militaire commémorant les 80 ans de la capitulation du Japon et de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Asie aura lieu à Pékin. Etant donné le contexte géopolitique actuel qui inclut le conflit commercial porté par Trump et ses droits de douane contre la Chine et l'Inde, les tensions sur le nucléaire iranien et la guerre en Ukraine, ce sommet a une résonance particulière : celle de l'affirmation symbolique d'un autre ordre mondial.Véronique Kiesel est journaliste au pôle international et spécialiste de la Chine. Elle revient avec nous sur les enjeux politiques, économiques et diplomatiques qui entourent ce sommet.
Christophe Giltay revient sur tout ce qui fait l'actu. Le plus célèbre chroniqueur de bel RTL partage son avis et son humeur à l'heure du petit déjeuner ! Un édito sans concession avec la plume et le ton unique de Christophe Giltay.
Comment le Sud global essaye de s'organiser face à la politique de imprévisible et instable de Donald Trump ? La question est sur la table du Sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) qui se tient actuellement à Tianjin près de Pékin en Chine. Pour en parler, Alexandre Kateb, économiste, fondateur de Multipolarity.AI et auteur de « Les nouvelles puissances mondiales. Pourquoi les BRICS changent le monde », publié aux éditions Ellipses est l'invité de la mi-journée de RFI. À lire aussiSommet de l'OCS à Tianjin: la Chine en championne d'un multilatéralisme «non occidental»
À quelques jours du mythique UTMB de Chamonix, on reçoit Théo Détienne, l'astre montant du trail français. Avec énergie, humilité et humour, il nous partage sa vision de la course, sa préparation pour son premier 100 miles, ses inspirations, mais aussi les coulisses de son quotidien d'athlète.Un échange sincère entre ambition, dépassement de soi et anecdotes savoureusesChapitres : 00:00 Impatience avant l'UTMB Chamonix05:21 "Surmonter les Hauts et Bas"06:34 Surmonter les Moments Difficiles12:31 "Pompes et Clin d'Œil au Sommet"16:18 Projets Off et Dépassement Personnel20:11 Transition vers une carrière sportive21:23 "Entraînement Progressif : Clé du Succès"24:55 "Être Acteur de l'Évolution Sportive"29:43 "Plan Nutrition: Liquide et Gels"33:04 Course en Étapes Techniques36:59 "Découverte et Humilité au 100 Miles"40:17 Course et Performances des AthlètesBonne écoute
Ce lundi 25 août, les enjeux du sommet entre les États-Unis et la Corée du Sud ainsi que la modernisation de l'alliance entre les deux pays ont été abordés par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:14:55 - Journal de 8 h - Donald Trump va "commencer les préparatifs" d'une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, qui rejetait jusqu'ici une telle réunion, au terme d'une "très bonne" entrevue avec le président ukrainien et plusieurs dirigeants européens.
durée : 00:14:55 - Journal de 8 h - Donald Trump va "commencer les préparatifs" d'une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, qui rejetait jusqu'ici une telle réunion, au terme d'une "très bonne" entrevue avec le président ukrainien et plusieurs dirigeants européens.
Ce mardi 19 août, la rencontre de ce lundi soir, à Washington, entre les dirigeants européens, Volodymyr Zelensky et Donald Trump à la Maison Blanche, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Sandra Gandoin, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:25:15 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Helene Fily - Après la réunion sur l'Ukraine à Washington, Grand entretien ce mardi avec Claude Blanchemaison, ancien ambassadeur de France à Moscou, Élie Tenenbaum, directeur du Centre des études de sécurité de l'IFRI et Sylvie Kauffmann, éditorialiste au "Monde", spécialiste des questions internationales. - invités : Claude BLANCHEMAISON, Elie Tenenbaum, Sylvie Kauffmann - Claude Blanchemaison : Ancien diplomate, Élie Tenenbaum : Directeur du Centre des Études de Sécurité de l'IFRI, Sylvie Kauffmann : éditorialiste au journal « le monde », spécialiste notamment des questions internationales. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:55 - Journal de 8 h - Donald Trump va "commencer les préparatifs" d'une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, qui rejetait jusqu'ici une telle réunion, au terme d'une "très bonne" entrevue avec le président ukrainien et plusieurs dirigeants européens.
durée : 00:25:15 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Helene Fily - Après la réunion sur l'Ukraine à Washington, Grand entretien ce mardi avec Claude Blanchemaison, ancien ambassadeur de France à Moscou, Élie Tenenbaum, directeur du Centre des études de sécurité de l'IFRI et Sylvie Kauffmann, éditorialiste au "Monde", spécialiste des questions internationales. - invités : Claude BLANCHEMAISON, Elie Tenenbaum, Sylvie Kauffmann - Claude Blanchemaison : Ancien diplomate, Élie Tenenbaum : Directeur du Centre des Études de Sécurité de l'IFRI, Sylvie Kauffmann : éditorialiste au journal « le monde », spécialiste notamment des questions internationales. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invités : Gérard Vespierre, analyste en géopolitique et fondateur du média le "monde décrypté.com" Nicolas Conquer, porte-parole du Parti Républicain en France Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sujeten haut: Neien Nationaltrainer, Uebst- a Geméis-Recolte, Bedruch iwwer Whatsapp, Wat bleift nom Sommet zu Washington? a Weltdag vun humanitärer Hëllef.
Regard et analyse des conséquences du sommet en Alaska. Invités : Marie Mendras, professeure à Sciences Po, membre de la revue Esprit, auteure de La guerre permanente. L'ultime stratégie du Kremlin (éd Calmann-Lévy 2024) Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors et professeure émérite au Cnam, auteure de Choisir l'avenir. 10 réponses sur le monde qui vient, (CNRS éditions) Cyrille Bret, expert à l'Institut Montaigne À lire aussiPas de cessez-le-feu ni d'accord en Alaska, Poutine est-il le grand gagnant du sommet?
durée : 00:14:50 - Journal de 12h30 - Comment peser sur les négociations de paix en Ukraine ? Plusieurs dirigeants européens se rendront à Washington lundi aux côtés de Volodymyr Zelensky pour sa réunion avec Donald Trump. - réalisation : Brice Garcia
Le Journal en français facile du vendredi 15 août 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BvWb.A
durée : 00:15:06 - Journal de 8 h - Une mer sans plastique, ça n'est pas pour tout de suite. Les 185 pays réunis à Genève ont échoué à trouver un consensus pour lutter contre la pollution plastique. Les pétro-États ont "caviardé" les négociations, dénoncent les ONG de défense de l'environnement.
durée : 00:15:10 - Journal de 18h - Donald Trump et Vladimir Poutine se retrouvent en Alaska pour parler de l'avenir de l'Ukraine. Des discussions pour aboutir à un éventuel cessez-le-feu, auxquelles le président ukrainien et les représentants européens n'ont pas été conviés.
durée : 00:15:06 - Journal de 8 h - Une mer sans plastique, ça n'est pas pour tout de suite. Les 185 pays réunis à Genève ont échoué à trouver un consensus pour lutter contre la pollution plastique. Les pétro-États ont "caviardé" les négociations, dénoncent les ONG de défense de l'environnement.
durée : 00:03:00 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Au-delà des espoirs ou des inquiétudes que le sommet Trump - Poutine en Alaska suscite, Guillaume Auda nous dit ce matin que le choix de ce lieu-là, d'un point de vue historique et géographique, n'a rien d'anodin ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invités : -Martin Garagnon, porte-parole Ensemble pour la République -Arno Klarsfeld, avocat -Harold Hyman, journaliste international CNEWS -Alexandre Orlov, ancien ambassadeur de Russie en France Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:10 - Journal de 18h - Donald Trump et Vladimir Poutine se retrouvent en Alaska pour parler de l'avenir de l'Ukraine. Des discussions pour aboutir à un éventuel cessez-le-feu, auxquelles le président ukrainien et les représentants européens n'ont pas été conviés.
durée : 00:15:06 - Journal de 8 h - Une mer sans plastique, ça n'est pas pour tout de suite. Les 185 pays réunis à Genève ont échoué à trouver un consensus pour lutter contre la pollution plastique. Les pétro-États ont "caviardé" les négociations, dénoncent les ONG de défense de l'environnement.
durée : 00:15:20 - Journal de 8 h - Les discussions de paix qui doivent avoir lieu en Alaska, sans la participation de Kiev, pourraient être suivies d'une réunion en présence du président ukrainien.
durée : 00:15:20 - Journal de 8 h - Les discussions de paix qui doivent avoir lieu en Alaska, sans la participation de Kiev, pourraient être suivies d'une réunion en présence du président ukrainien.
durée : 00:15:20 - Journal de 8 h - Les discussions de paix qui doivent avoir lieu en Alaska, sans la participation de Kiev, pourraient être suivies d'une réunion en présence du président ukrainien.
durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - Qu'attendent les Ukrainiens de ce sommet Trump-Poutine ? Et que peuvent les Européens, qui ne sont pas conviés à cette rencontre ?
Les syndicats font campagne pour une semaine de travail de quatre jours quelques jours avant un sommet économique clé d'une durée de trois jours en présence du Trésorier Jim Chalmers.
durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - Qu'attendent les Ukrainiens de ce sommet Trump-Poutine ? Et que peuvent les Européens, qui ne sont pas conviés à cette rencontre ?
durée : 00:03:13 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Vendredi prochain, tous les yeux de la planète seront tournés vers l'Alaska où Donald Trump reçoit Vladimir Poutine. Retour triomphal du président russe sur la scène diplomatique pour un sommet aux petits oignons. Kiev et ses alliés européens sont très inquiets et ils ont des raisons de l'être ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 11 août 2025 - Sommet sur l'Ukraine : et si Trump réussissait ?Emission présentée par Salhia BrakhliaLES EXPERTS :- Bruno TERTRAIS - Directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique - Conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne- James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Marie JÉGO - Journaliste spécialiste de la Russie – « Le Monde » - Ancienne correspondante à Moscou- Oksana MELNYCHUK - Politologue ukrainienne - Présidente de Unis pour l'Ukraine
C dans l'air du 11 août 2025 - Sommet sur l'Ukraine : et si Trump réussissait ?Emission présentée par Salhia BrakhliaUne rencontre pour sceller l'issue de la guerre en Ukraine ? Trois ans et demi après le début de l'invasion russe, le président américain Donald Trump a annoncé, sur son réseau Truth Social, qu'il allait rencontrer en personne son homologue russe Vladimir Poutine, ce vendredi, en Alaska. Ce sommet fait grincer les dents des Ukrainiens car, pour l'heure, Volodymyr Zelensky n'a pas été convié aux discussions. D'autant que les déclarations de l'hôte de la Maison blanche sur de possibles "échanges de territoires" n'ont pas rassuré. Des déclarations qui laissent entrevoir que Donald Trump serait tenté de vouloir régler la guerre en Ukraine "comme un conflit entre magnats de l'immobilier", selon les mots du journal allemand Der Spiegel. Moscou convoite et revendique en effet la souveraineté sur la totalité de plusieurs oblasts, dont certains ne sont aujourd'hui qu'en partie sous le contrôle de ses armées, en échange de la paix. Selon le Wall Street Journal, les régions de Donetsk et de Lougansk, en plus de la Crimée, sont concernées.Inquiétudes chez les Ukrainiens donc, mais aussi chez les Européens. De nombreux dirigeants se sont appelés tout le week-end, souhaitant organiser une contre-attaque. Ils ont rappelé hier la nécessité de maintenir la pression sur le Kremlin. S'ils ont conservé un ton diplomatique et salué "le travail du président Trump pour arrêter le massacre en Ukraine", les dirigeants français, italien, allemand, polonais, britannique et finlandais, ainsi que la présidente de la Commission européenne se sont dit convaincus dans un communiqué commun que "seule une approche combinant une diplomatie active, un soutien à l'Ukraine et une pression sur la Fédération de Russie" pouvait réussir.Relégués au rang de simples observateurs, c'est sans eux qu'une nouvelle page de l'histoire va donc peut-être s'écrire vendredi entre deux présidents qui ne se sont pas rencontrés depuis 2019.Très loin de ces négociations, la guerre continue de faire rage sur le sol ukrainien. Une équipe de C dans l'air s'est rendue autour d'un point de stabilisation, situé très proche de la ligne de front. Les sodats blessés y sont évacués pour être ensuite répartis dans les centres de soins. Ils peuvent s'y reposer avant de repartir sur le front. Sur place, les combattants épuisés après trois années de guerre confient rester déterminés à ne rien lâcher. Ils continueront de se battre, car il est pour eux absolument hors de quetions de renoncer à des parties de territoire. Il leur est impossible d'envisager une telle issue pour leur pays.Mais auront-ils le choix s'ils se revrouvent abandonnés par Donald Trump au terme de ces néociations ? Ce dernier se rêve en effet en faiseur de paix. L'obtention du prix de Nobel de la Paix semble même devenue pour lui une véritable obsession. Elle est née d'une rancœur et d'une jalousie tenace vis-à-vis de Barack Obama, que Donald Trump jalouse et déteste. L'ancien président américain avait obtenu ce prix en 2009, neuf mois à peine après son arrivée à la Maison-Blanche. Trump n'a jamais digéré cette distinction. Il a récemment déclaré qu'il aurait déjà dû l'avoir quatre ou cinq fois. Il n'a pas ménagé sa peine en ce sens.N'est-ce pas à son initiative qu'après des années de conflit territorial, l'Azerbaizjan et l'Arménie, se sont engagées vendredi dernier à instaurer une paix permanente ? Mais pour l'heure, en dépit de ses efforts et de ses espoirs, ses écheccs restent patents. Le conflit en Ukraine, qu'il avait promis de régler en 24 heures ne semble pas sur le point de cesser et la bande de Gaza est toujours soumise à la très brutale invasion israélienne.LES EXPERTS :- Bruno TERTRAIS - Directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique - Conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne- James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Marie JÉGO - Journaliste spécialiste de la Russie – « Le Monde » - Ancienne correspondante à Moscou- Oksana MELNYCHUK - Politologue ukrainienne - Présidente de Unis pour l'Ukraine