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Débatteurs du soir :-Antonin André, chef du service politique du JDD-Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDDHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du vendredi 19 décembre 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CHb2.A
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Voilà 100 jours que Sidi Ould Tah a pris la tête de la Banque africaine de développement (BAD). Et, le banquier mauritanien affiche déjà une action positive pour ses trois premiers mois : la levée mardi 16 décembre de 11 milliards de dollars pour le Fonds africain de développement. Une hausse de 23 % par rapport à la précédente session des donateurs. Et, ce, malgré la baisse drastique des enveloppes d'aide au développement cette année. Le président de la BAD explique ses ambitions pour l'Afrique dans un environnement financier en recomposition. Il répond à Sidy Yansané RFI : M. le président Sidi Ould Tah, vous êtes à Londres pour la réunion des donateurs du Fonds africain de développement, le FAD, qui est, pour le dire simplement, une cagnotte réservée au financement de projets dans les pays africains les plus pauvres. Et cette semaine, le FAD a recueilli 11 milliards de dollars. Un montant que vous qualifiez d'historique. Sidi Ould Tah : Absolument ! Nous sommes pour l'élan de solidarité historique que nous venons de connaître, qui devrait nous permettre, au cours des trois prochaines années, de mieux répondre aux attentes des populations africaines, en particulier les 37 pays les plus fragiles et les moins dotés de l'Afrique. Du coup, cette année, qui sont les principaux contributeurs ? Malgré le contexte international que nous connaissons tous et qui se caractérise par des pressions fiscales importantes et aussi des pressions sur les ressources, les partenaires du FAD et les pays africains ont décidé ensemble d'augmenter leur enveloppe dans cette 17ᵉ reconstitution du Fonds. C'est un message très fort de solidarité avec l'Afrique et pour l'Afrique. Et aussi un message très fort des Africains pour la prise en charge de leur propre développement. Justement, vous vous félicitez de l'engagement de l'Afrique dans son propre fonds. 23 pays du continent qui ont contribué à près de 183 millions de dollars. Une véritable transformation, vous dites. Mais finalement, 183 millions sur un total de 11 milliards, cette transformation que vous vantez est-elle bien réelle ? Ce qu'il faut regarder au-delà des chiffres, c'est le geste lui-même. Je crois que c'est la dynamique qui commence et ça montre quand même un engagement très fort de la part des pays africains. Si on rapporte ce montant au PIB des pays africains contributeurs, on se rend compte quand même que l'effort est considérable. Mais ce qu'il faut aussi regarder, c'est la volonté commune des deux parties d'aller au-delà de l'aide publique au développement pour aller vers l'investissement, vers le partenariat économique, tout en prenant compte de l'intérêt de nos pays donateurs. Parlons de ces partenaires. Avant de prendre les rênes de la BAD, vous teniez pendant dix ans ceux de la BADEA, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique, notamment financée par les pays du Golfe que vous connaissez bien. C'est cette « nouvelle génération de collaborateurs à grande échelle », comme vous le dites, que vous comptez développer ? Il ne s'agit pas d'individualiser des partenaires contre d'autres. Ce qu'il faut voir, c'est l'ensemble des partenaires de l'Afrique. Le continent a toujours reçu un appui constant de la part de ses partenaires historiques, et cet appui continue et se renforce. L'arrivée d'autres partenaires ne fait que renforcer ce partenariat, et ne diminue en rien le partenariat existant. Nous avons consacrée tout une journée au secteur privé avec un certain nombre d'acteurs financiers. Nous sommes à Londres qui est une place financière internationale. Dans ce cadre, le FAD pourrait jouer un rôle important dans l'atténuation du risque perçu dès qu'il s'agit du continent africain, de quoi rassurer les investisseurs et permettre le développement des projets transformateurs dans les différents pays africains. Revenons sur la Banque arabe pour le développement économique en Afrique, qui s'engage à donner jusqu'à 800 millions de dollars pour le développement en Afrique. Engagement similaire de l'OPEP à hauteur de 2 milliards de dollars. Ce sont les sommes annoncées par la BAD que vous présidez. N'y a-t-il pas là une alternative aux contributeurs habituels ? Vous savez, les besoins de l'Afrique sont immenses. Annuellement, on estime ces besoins de financement et de développement à 400 milliards de dollars. Donc, toutes les contributions sont les bienvenues. Toutes les participations sont nécessaires, que ce soit à travers la mobilisation du secteur privé, qui doit aussi jouer un rôle important dans la mise en œuvre des projets d'infrastructures, la transformation des matières premières, le secteur de l'énergie, des transports, les ports, les aéroports, les chemins de fer, mais aussi dans le domaine digital. En novembre, vous étiez présent au G20 organisé en Afrique du Sud et boycottée par Washington. Comment comptez-vous composer avec la nouvelle politique américaine des deals pour paraphraser le président Donald Trump, notamment sur les matières premières ? Les Etats-Unis ont toujours soutenu la BAD et continuent à la soutenir. Et nous travaillons en étroite collaboration avec nos actionnaires dans l'intérêt du continent africain. Le rôle de la Banque est un rôle de financement du développement et de mobilisation des ressources pour le continent africain, et nous continuerons à le faire, y compris avec le secteur privé américain comme la DFC, comme US Bank. C'est les projets qui vont contribuer à l'amélioration du bien-être des populations africaines. À lire aussiBanque africaine de développement: le nouveau président invite à «changer de paradigme» face aux défis du continent
Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités débattent de la guerre en Ukraine.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tipeee : https://fr.tipeee.com/tatami-connexion/Import Fight : https://import-fight.com/?srsltid=AfmBOorPLaRoGMlD5TMi_ToZnEBnkq6Mr3p_RFLl7lU5Idm0R0ySUfQdCode : TATAMI10Bienvenu sur le format actualité MMA et JJB du podcast TATAMI Connexion : Restons Connecté !Chaque semaine nous allons parler des sujets qui anime nos sports et qui attise toutes les conversation !Cette semaine programme chargé avec :- Retour sur les français du weekend - Doumbé critique les combattants français à l'UFC- Gaethje vs Pimblett pour la ceinture vacante- Jones vs Pereira ne sera pas à la White House - Aspinall défie Ngannou en boxe- JDM vs Morales ?- Conor savait pour sa fracture avant Poirier 3Bonne écoute !!
durée : 00:02:53 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - Face à la montée en puissance des navigateurs boostés à l'IA, l'historique Firefox promet de s'y mettre aussi, par la voix de son nouveau patron. Mais cette petite révolution ne plait pas à sa base (désormais réduite mais solide) d'utilisateurs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invité :-Loïc Scalabrino, secrétaire général adjoint des Jeunes Agriculteurs et agriculteur dans le Doubs Débatteurs du soir :-Georges Fenech, ancien magistrat-Vincent Roy, journaliste et essayisteHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Débatteurs du soir :-Georges Fenech, ancien magistrat-Vincent Roy, journaliste et essayisteHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin sur Chérie FM, 5 infos improbables du Réveil Chérie à retenir en 30 secondes !
À l'occasion de sa dernière revue de presse avant le congé des fêtes, vendredi, Paul Arcand commente la démission du ministre de la Santé et ténor de la CAQ, Christian Dubé. Dans une lettre publiée sur les réseaux sociaux, il a dit ne plus être la bonne personne pour cette fonction. Il siégera désormais comme indépendant. Autres sujets abordés La guerre des tarifs: pas demain la veille que les négociations vont reprendre avec les États-Unis; La SQ veut coincer ceux qui suivent de trop près sur les autoroutes, les colleux; L’affaire Epstein: encore des photos et des documents. *La revue de presse de Paul Arcand sera de retour le 5 janvier 2026. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:01:58 - L'info d'ici, ici Périgord Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:53 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - Face à la montée en puissance des navigateurs boostés à l'IA, l'historique Firefox promet de s'y mettre aussi, par la voix de son nouveau patron. Mais cette petite révolution ne plait pas à sa base (désormais réduite mais solide) d'utilisateurs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:53 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - Face à la montée en puissance des navigateurs boostés à l'IA, l'historique Firefox promet de s'y mettre aussi, par la voix de son nouveau patron. Mais cette petite révolution ne plait pas à sa base (désormais réduite mais solide) d'utilisateurs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Il dit que la guerre entre la Russie et l'Europe a déjà commencé. Il souhaite envoyer un missile nucléaire sur Berlin. Intellectuel russe, proche des sphères du pouvoir, Sergueï Karaganov multiplie les déclarations chocs à l'égard du Vieux Continent, et semble davantage prêcher pour une Troisième Guerre mondiale que pour une paix en Ukraine. Avec quel poids au sein du Kremlin ? « Notre véritable adversaire est bien l'Europe. » « Cette guerre ne prendra fin qu'avec une défaite morale et politique de l'Europe. » L'Europe, « redevenue l'expression la plus absolue du Mal qui ronge l'humanité. » Tels sont les mots crus que Sergueï Karaganov a lâchés au début de ce mois de décembre 2025 sur la première chaîne de télévision russe, et que la revue Le Grand Continent a traduits en français. Une intervention évidemment destinée aux Européens, qui, selon lui, n'ont plus assez peur de la Russie. Pour cet intellectuel russe, « une façon de remettre les pendules à l'heure ce serait de se livrer à un tir d'arme nucléaire », relate Igor Delanoë, directeur adjoint de l'Observatoire franco-russe. « Ce serait un tir de démonstration. Le but ne serait pas de raser Kiev ou Varsovie. Mais sa grande théorie, c'est qu'il faudrait réinstiller la peur. » Premier holà du Kremlin, qui nuance de fait l'influence de Karaganov : « C'est dans cette séquence-là qu'il a été manifestement recadré par la diplomatie russe. Elle lui a demandé de lever le pied sur ces éléments de langage », ajoute le chercheur à l'Iris. Toujours est-il que cette escalade verbale coïncide avec l'escalade de ce qu'on appelle la guerre hybride. En cette fin d'année, la Russie est accusée d'incursions de drones, d'avions de chasse et même de sabotages à la bombe. Le tout dans le territoire de l'Union européenne. La frange radicale d'une galaxie de commentateurs mainstream Sergueï Karaganov a une voix qui porte, mais dont il faut nuancer la portée. Le politologue n'est ni porte-parole du Kremlin, ni conseiller officiel. Il s'inscrit dans une nébuleuse de commentateurs, journalistes, intellectuels et autres propagandistes. Parmi eux, beaucoup se réclament proches de Vladimir Poutine. La prudence reste donc de mise. « C'est très difficile de savoir qui a véritablement l'oreille de Vladimir Poutine », explique Cyrille Bret, chercheur associé à l'Institut Jacques Delors sur les enjeux relatifs à la Russie. « Ça participe d'ailleurs à la puissance du président russe : il ne laisse pas son entourage cartographié. » Une chose est sûre : Sergueï Karaganov fait partie de l'élite russe. Il est reconnu pour son expertise sur la politique internationale. Aujourd'hui président d'honneur du bureau du Conseil pour la politique extérieure et de défense, il a une longue carrière de chercheur et de conseiller depuis les années 1980. En fait, il est l'un des intellectuels qui ont le mieux réussi la transition entre l'ère soviétique et celle de la Fédération de Russie. Mais son discours radical n'en reste pas moins mainstream à Moscou. S'il a voix au chapitre, c'est parce qu'il sert le régime, comme l'indique Cyrille Bret : « La première vocation d'une voix telle que celle de Karaganov ou de [Alexandre] Douguine, ou d'autres théoriciens, c'est d'abord de faire entendre la voix de la Russie. La Russie considère qu'elle a été réduite au silence. Et c'est pour cette raison que des déclarations fracassantes servent l'intérêt national russe tel que Karaganov l'interprète : faire entendre la vision proprement russe, non occidentale, des relations internationales et des rapports entre la Russie et l'étranger. » De la doctrine Karaganov à l'eurasianisme 2022 a été une rupture pour Karaganov. Après l'invasion russe de l'Ukraine, il se détourne complètement de l'Occident, qu'il considère minoritaire. L'heure est à « une majorité globale » dirigée par la Russie. Son mépris pour l'Europe s'accentue tellement qu'il prône une stratégie sino-russe. Au point de devenir un chantre de l'eurasianisme. « Il appelle même à déplacer la capitale du pays pour matérialiser ce tournant ! », note Igor Delanoë. « Il veut bâtir une nouvelle capitale en Sibérie, de l'autre côté de l'Oural, qui permettrait d'ancrer dans la géographie ce tournant avec une capitale orientale au sens géographique du terme. » S'il veut laisser tomber l'Europe, c'est parce que, selon lui, le libéralisme a fait son temps. Les démocraties ne sont bonnes qu'à s'écrouler. L'Occident s'enfonce dans la décadence par la surconsommation, la mondialisation et le transhumanisme. Lui, décrit la Russie comme un empire asiatique. Finalement, le seul intérêt que Sergueï Karaganov continue de voir en Europe, c'est son vœu historique de récupérer les anciennes parties de l'Union soviétique. Il a même donné son nom à ce courant : la doctrine Karaganov. Elle postule que la Russie doit défendre les droits des ethnies russes dans les pays voisins. Un discours que partage Vladimir Poutine. À lire aussiGuerre en Ukraine: Vladimir Poutine assure que «la balle est dans le camp» de ses adversaires
durée : 00:03:09 - On veut de l'oseille ! Plein d'oseille ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Alors que plusieurs milliers d'agriculteurs manifestent à Bruxelles contre l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Mercosur, le traité est à l'ordre du jour du Conseil européen ce jeudi et demain. Très critiqué sur le plan agricole, il est pourtant défendu avec insistance par la Commission européenne. Pour quelles raisons Bruxelles tient-elle tant à le signer ? La détermination de la Commission européenne à faire aboutir l'accord UE-Mercosur s'inscrit d'abord dans une lecture globale des rapports de force économiques actuels. Pour Bruxelles, ce traité est conçu pour générer plusieurs milliards d'euros de bénéfices chaque année. L'exécutif européen avance le chiffre de 4 milliards d'euros d'économies annuelles pour les exportateurs européens, grâce à la réduction des droits de douane. Concrètement, l'accord vise à supprimer environ 90 % des droits de douane entre l'Union européenne et les pays du Mercosur. Une mesure qui permettrait à la production européenne de mieux s'exporter et de gagner en compétitivité sur ces marchés. Bruxelles y voit également une diversification stratégique de ses partenaires commerciaux, dans un contexte mondial de plus en plus tendu. Le Mercosur représente en effet un marché de 270 millions de consommateurs, pour un PIB cumulé d'environ 2 700 milliards d'euros. Sur le papier, il s'agit donc d'un marché à fort potentiel pour les entreprises européennes. Une asymétrie assumée, mais encadrée Sur le papier seulement, car l'accord est souvent résumé par une formule devenue célèbre : « Des voitures européennes contre des vaches sud-américaines ». Une image qui illustre l'asymétrie du traité, entre exportations industrielles européennes et importations agricoles sud-américaines. La Commission européenne assume pleinement cette asymétrie. Selon elle, les gains industriels et macroéconomiques pour l'Europe excéderaient largement les pertes sectorielles agricoles, d'autant plus que ces dernières seraient limitées par des quotas, des périodes de transition et des mécanismes de sauvegarde prévus dans le texte. Pour Bruxelles, l'accord ne constitue donc pas une ouverture brutale et incontrôlée des marchés, mais un compromis encadré, pensé pour préserver les secteurs les plus sensibles tout en favorisant la compétitivité globale de l'économie européenne. À lire aussiAccord UE-Mercosur: le ton se durcit entre Paris et Bruxelles, la France demande un report du vote Un enjeu géopolitique et stratégique majeur Au-delà de l'aspect commercial, la Commission européenne insiste surtout sur la dimension géopolitique de l'accord. L'Union cherche à réduire ses dépendances stratégiques, notamment vis-à-vis de la Chine. Les pays du Mercosur disposent de ressources naturelles et minières essentielles à la transition énergétique et numérique, ce qui renforce leur intérêt stratégique pour l'Europe. Le traité est aussi présenté comme une réponse au retour du protectionnisme sur la scène internationale. En scellant une alliance commerciale avec plusieurs États sud-américains, l'Union européenne espère compenser d'éventuelles pertes d'accès aux marchés américain et chinois. Refuser l'accord, selon la Commission, reviendrait à fragiliser volontairement la position de l'Europe dans la mondialisation. Bruxelles s'appuie enfin sur le bilan des accords déjà conclus. L'Union européenne a signé 44 accords de libre-échange avec près de 80 pays, faisant de cette politique un levier central de son influence. En 2024, le commerce entre l'UE et ses partenaires liés par des accords atteignait 2 300 milliards d'euros, pour un excédent commercial global de près de 270 milliards d'euros. Contrairement aux idées reçues, même les secteurs sensibles en ont bénéficié: à l'échelle européenne, l'agroalimentaire dégage aujourd'hui un excédent d'environ 40 milliards d'euros, en hausse continue depuis dix ans. Cette lecture macroéconomique dresse donc un bilan globalement positif. Mais la Commission reconnaît aussi que, en analysant pays par pays et secteur par secteur, la réalité est plus contrastée : ce qui bénéficie à certains peut pénaliser d'autres. Finalement, l'accord UE-Mercosur pose une question plus large que le seul commerce. Quelle place l'Europe veut-elle occuper dans le monde, et quelle vision porte-t-elle pour l'avenir de sa construction politique et économique ? À lire aussiL'Europe toujours aussi divisée face à l'accord commercial avec le Mercosur
durée : 00:03:10 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne - Le projet d'exploitation d'une mine de lithium à Echassières, dans l'Allier, ne doit voir le jour que d'ici 2030. Mais la rectrice de l'académie de Clermont-Ferrand, en visite mercredi 17 décembre sur le site, veut adapter les formations industrielles de l'académie aux besoins du site. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSMEMES TIKTOK : BFM Tech&Co, Franceinfo, WiredMARIAH CAREY : Le HuffPost, Le Journal de QuébecEUROVISION : Ouest-France, Le MondeFIANSO : France TV Slash, GénérationsLOUP - INTERMARCHÉ : Libération, BFM TVWHIPLASH : Views, Sortir à ParisÉcriture : Enzo BruillotIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Marschall Truchot, du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Cap sur la Guinée équatoriale, petite nation par la taille mais grande par son imprévisibilité. Surnommé le Nzalang Nacional, la Foudre nationale s'est forgé une réputation d'outsider redoutable, capable de renverser les hiérarchies à chaque apparition. Demi-finaliste surprise en 2015, et quart de finaliste en 2012 et 2021, le Nzalang arrive au Maroc après une préparation agitée, marquée par des tensions institutionnelles. Dans un groupe E très dense avec l'Algérie, le Burkina Faso et le Soudan, la Guinée équatoriale comptera sur l'expérience et la rédemption d'Emilio Nsue, meilleur buteur de la dernière CAN, de retour après une suspension qui a marqué toute une carrière. Après la tempête, la foudre pourrait encore gronder.Réalisé par Baptiste Denis. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:02:59 - Debout la Terre - par : Camille Crosnier - Inauguré en 1910, cet établissement emploie des centaines de scientifiques dont les recherches sont précieuses pour la sécurité alimentaire. L'administration Trump souhaite faire des économies. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes. Elise Goldfarb, entrepreneuse et influenceuse. Et Baptiste des Monstiers, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Et voici qu'en matière d'IA, les rôles s'inversent.C'est l'intelligence artificielle qui désormais vous pose les questions. Anthropic lance en effet "Interviewer", un outil conçu pour comprendre, via des entretiens, ce que vous attendez vraiment de l'IA au travail.Un chatbot capable de mener des entretiens qualitatifsTout d'abord, le concept. Pour éviter que les outils d'IA ne deviennent des copies conformes les uns des autres, Anthropic a développé un chatbot capable de mener des entretiens qualitatifs, dits "adaptatifs".Contrairement à un sondage classique, cet outil mène une véritable conversation de 10 à 15 minutes en temps réel.Il pose des questions, rebondit sur vos réponses et vérifie même s'il a bien compris vos objectifs. Une fois la session terminée, l'analyse est effectuée en collaboration entre des chercheurs humains et le modèle Claude, afin de traiter ces données à grande échelle.Creuser des sujets spécifiquesEnsuite, parlons de l'expérience utilisateur et de la méthode. Le processus se déroule en trois étapes.D'abord la planification du cadre de recherche, puis l'interview elle-même et enfin l'analyse.Et pour mieux vous en parler, j'ai essayé le processus proposé par Anthropic. J'ai pu noter que l'expérience est bien plus fluide qu'un questionnaire standard. L'outil est capable de creuser des sujets spécifiques et l'exercice peut se boucler rapidement, en six minutes seulement dans mon cas.Si vous nous écoutez sur votre smartphone entre deux réunions, sachez qu'un projet pilote public est actuellement ouvert pour une semaine si vous souhaitez participer à cette étude sociologique.Enfin, les premiers résultats.90 % des sondés estiment que l'IA leur fait gagner du tempsAvant ce lancement public, Anthropic a testé l'outil sur 1250 professionnels et les chiffres sont éclairants. Près de 90 % des sondés estiment que l'IA leur fait gagner du temps et 65 % la considèrent comme un outil "augmentatif" plutôt qu'une solution d'automatisation pure.Toutefois, l'inquiétude persiste. 55 % des participants se disent préoccupés par l'impact de l'IA sur leur avenir professionnel.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mardi 16 décembre, Éric Haddad, président exécutif de Numspot, s'est penché sur la stratégie de NumSpot pour dynamiser son Cloud, dans l'émission Tech&Co Business présentée par Frédéric Simottel. Tech&Co Business est à voir ou écouter le mardi sur BFM Business.
durée : 00:03:13 - Le monde à l'endroit - Y aura-t-il un traité avec le Mercosur au pied du sapin ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les Canadiens de Montréal semblent être de retour sur la bonne voie depuis l'arrivée de Jacob Fowler, mais qu'en est-il de la situation avec Samuel Montembeault? Antoine Roussel estime que le Tricolore est en mode objectif pour les séries. Toujours concernant Montembeault, Simon-Olivier Lorange se demande comment un gardien qui a disputé 60 matchs la saison dernière a pu perdre ses repères à ce point. Et on discute du calendrier trop chargé de la LNH. Ce sont quelques-uns des sujets de ce nouvel objectif de Sortie de zone avec l'animateur Jérémie Rainville et Antoine Roussel du 98.5, ainsi que Simon-Olivier Lorange et Alexandre Pratt, de La Presse. Le sommaire Bloc 1 00:50 - Est-ce que la stratégie «Fowler» a eu son effet permanent sur Jakub Dobes? Et si Samuel Montembeault ne suit pas… Quelle sera la suite dans son cas? 18:30 - Trois points sur une possibilité de quatre ce week-end. Mission accomplie malgré l’avance perdue de 3-0 face aux Rangers? 24:20 - Texier, Veleno, Anderson, Evans, Gallagher… Enfin du soutien! Bloc 2 31:50 - Malgré le roman savon des Canadiens (blessures, gardiens, maturité), le Tricolore a une fiche de 17-11-4 (38 points). Une surprise pour vous? Bloc 3 49:00 - Le défenseur Quinn Hughes avec le Wild. Une bonne combinaison? 56:00 - La bourse de la LNH (vendez/achetez)Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Avec : Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Pierre Rondeau, économiste. Et Benjamin Amar, prof d'histoire-géo. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Pardon ? Tammy Verge veut un trip à trois pour Noël ? La réponse dans le balad'ho ho ho ! Vous aurez la réponse dans cet épisode ! On plonge dans l'univers hivernal de Tammy Verge. On survole ses films préférés, ses traditions & tout ce qui fait son bonheur durant les fêtes!
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Charles Consigny, avocat, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Que devient le droit à l'éducation quand 272 millions d'enfants quittent l'école trop tôt ? Quand 240 millions d'élèves voient leur apprentissage interrompu par des catastrophes climatiques ? Quand l'intelligence artificielle transforme le travail plus vite que les systèmes éducatifs ne s'adaptent ?À l'occasion du 65ᵉ anniversaire de la Convention contre la discrimination dans l'éducation, l'UNESCO publie un nouveau rapport qui appelle à repenser le cadre juridique du droit à l'éducation.« Il ne s'agit pas uniquement d'accéder, mais aussi de réussir et d'apprendre », explique Borhene Chakroun, directeur de la division de l'apprentissage tout au long de la vie à l'UNESCO, dans un entretien accordé à ONU Info.Comment mieux protéger les plus vulnérables ? Comment préparer enseignants et sociétés à des crises plus fréquentes ? Comment garantir une IA réellement responsable et centrée sur l'humain ? Et surtout, que risque-t-on si rien ne change ? Autant de questions pour s'assurer que l'éducation reste un droit — et un levier d'avenir.(Interview : Borhene Chakroun, directeur de la division de l'apprentissage tout au long de la vie à l'UNESCO; propos recueillis par Cristins Silveiro)
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Aymeric Caron veut la semaine de travail à 15 heures Laisser tourner son moteur à l'arrêt, 135 euros d'amende ! Retirer du liquide chez votre commerçant, bientôt possible ?
Le Président américian a proposé de donner 1 000 dollars à chaque enfant né aux États-Unis dans le cadre d'un programme appelé “Trump Accounts”. L'idée est simple : chaque nouveau-né recevrait un capital initial que le gouvernement placerait ensuite sur un compte d'investissement, géré jusqu'à sa majorité. Ce dispositif s'appliquerait aux enfants nés pendant son mandat, et il s'agit d'une mesure pensée pour offrir un “coup de départ” financier aux jeunes générations.Concrètement, le compte créé à la naissance serait investi en Bourse, principalement via des fonds indiciels. Les parents ou tuteurs pourraient eux-mêmes ajouter jusqu'à 5 000 dollars par an sur ce même compte. L'argent accumulé deviendrait accessible à partir des 18 ans de l'enfant et pourrait servir à financer des études, un logement ou même la création d'une entreprise. L'objectif affiché est de rendre l'investissement financier accessible à tous, y compris aux familles modestes, et de favoriser la constitution d'un patrimoine sur le long terme.Derrière cette mesure se trouvent plusieurs motivations économiques. D'abord, encourager l'épargne et l'investissement dès la naissance : en donnant aux enfants un capital qui peut fructifier pendant 18 ans, Trump espère stimuler une dynamique d'accumulation de richesse à long terme. Ensuite, cette politique vise à renforcer la participation des ménages américains aux marchés financiers, en les familiarisant tôt avec l'épargne boursière. De plus, dans un contexte de baisse des naissances aux États-Unis, un bonus versé à la naissance peut être interprété comme une mesure destinée à soutenir les familles et, indirectement, à encourager la natalité.Il existe aussi une dimension politique : offrir 1 000 dollars par enfant crée un geste visible et immédiatement compréhensible, susceptible de plaire à de nombreux électeurs, en particulier les jeunes parents. Cela permet au gouvernement de montrer qu'il “investit dans l'avenir” tout en affirmant un discours pro-famille.Mais cette mesure suscite déjà des critiques. Beaucoup d'économistes estiment qu'un montant de 1 000 dollars, même placé longtemps, ne suffira pas à réduire les inégalités. Les familles aisées, capables de verser régulièrement de l'argent sur ces comptes, en profiteront beaucoup plus que les ménages pauvres, qui ne pourront pas alimenter ce capital. Cela pourrait donc, paradoxalement, accentuer les écarts de richesse plutôt que les réduire. Enfin, le dispositif ne répond pas aux besoins immédiats des familles les plus fragiles, comme la santé, le logement ou les services de garde.En résumé, l'idée de Trump repose sur un capital de départ universel pour les enfants américains, pensé comme un investissement à long terme. Mais ses effets concrets dépendront fortement de la capacité des familles à compléter ce capital initial. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Malgré les désastres écologiques qui s'accumulent, nous assistons au démantèlement des politiques environnementales comme un greenbackclash planétaire. Pourquoi et comment y faire face ? C'est un véritable paradoxe. À l'heure où les pollutions, les inondations, les sécheresses et les ouragans hors-norme impactent de plus en plus l'humanité, la protection de l'environnement devient un sujet clivant. Punition, problème de riches, frein à la croissance et au progrès… L'écologie est accusée de tous les maux dans des discours médiatiques, politiques et sur les réseaux sociaux. Pourtant de nombreux sondages montrent que l'ensemble des citoyens sont attachés à cette thématique. Alors d'où vient ce backlash, ce retour en arrière qui se répand à l'échelle mondiale ? Comment s'exprime-t-il et est-ce possible de le contrer ? Avec le militant écologiste Cyril Dion pour la ressortie en salle 10 ans après du film Demain et l'ouvrage La lutte enchantée. Comment garder espoir (et lutter !) dans un monde qui bascule (Actes Sud/ Radio France) Et Laure Teulières (maîtresse de conférences en Histoire contemporaine) et Jean-Michel Hupé (chercheur en écologie politique CNRS) pour leur ouvrage Green Backlash, qui veut la peau de l'écologie ? paru au Seuil. Musiques diffusées dans l'émission Bana - Armando Florian Pellissier Quintet - Où c'est ? Qui sait ?
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Près d'un an après le cyclone Chido, qui a dévasté Mayotte le 14 décembre 2024, l'île française veut relancer les échanges avec les pays africains riverains de l'océan Indien. En particulier avec le Kenya qui fut d'un grand secours au lendemain de la catastrophe. Il s'agit d'élargir les débouchés des entreprises de part et d'autre, mais aussi d'améliorer le pouvoir d'achat des Mahorais. Après le passage du cyclone Chido, le Kenya fut l'un des premiers fournisseurs de denrées et de matériaux à Mayotte. Nairobi n'est qu'à deux heures et demie d'avion du territoire français ; le port kényan de Mombassa, à trois jours de bateau du port mahorais de Longoni. Accélérer les liaisons aériennes et maritimes avec le Kenya Et le Kenya veut renforcer ces liens avec Mayotte. « Kenya Airways relie déjà Nairobi à Mayotte tous les deux jours, un vol de passagers, souligne le secrétaire d'État kényan aux Affaires étrangères, Abraham Korir Sing'Oei. Notre intention est d'étendre cette liaison aérienne au fret. Nous aménageons aussi certaines de nos lignes maritimes entre Mombasa et Longoni, à Mayotte, pour accélérer le transport de marchandises, surtout de produits frais, vers ce marché. » Importer des produits moins chers Établir des ponts, daraja en swahili, la langue régionale commune, c'est le but des conventions du même nom que Mayotte a signées avec plusieurs pays africains voisins avant la catastrophe. L'enjeu est encore plus important depuis : faire baisser le coût des approvisionnements (1 milliard d'euros par an), dont plus de la moitié sont toujours expédiés par la métropole, à 8 000 km de là, est urgent. « Ce sont des produits des denrées alimentaires qui viennent de la Métropole, de très loin, rappelle la vice-présidente du conseil départemental de Mayotte, Zamimou Ahamadi, alors qu'on a juste l'Afrique qui est à côté ! Il y a le Kenya, il y a le Mozambique - parce qu'on a déjà une convention avec le Mozambique, Madagascar, les Comores, et on tend à l'étendre à d'autres pays pour pouvoir lutter contre la problématique de la vie chère aujourd'hui à Mayotte. » Pont entre l'Afrique et l'Europe pour le secteur de la tech Les entrepreneurs de Mayotte voient aussi des opportunités dans leur environnement régional, en particulier dans le secteur de la tech. C'est le cas du PDG d'ITH Datacenter, une infrastructure qui a survécu au cyclone. « Quand on a conçu notre projet, on l'a conçu aussi pour s'intégrer dans notre environnement régional, souligne Feyçoil Mouhoussoune. Le niveau de service avait vocation à pouvoir desservir des besoins régionaux. J'étais au Kenya l'année dernière. J'ai rencontré plusieurs opérateurs de data centers. On a une petite valeur ajoutée qui est qu'on est soumis à une réglementation européenne, et dans notre secteur, c'est plutôt un atout. » La suspension du partenariat de l'Union européenne avec le Kenya par la Cour de justice de l'Afrique de l'Est, pourrait cependant ralentir les projets respectifs des entreprises de Mayotte et du Kenya.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Ce mercredi 10 décembre, Benjamin Gallezot, délegué interministériel aux approvisionnements en métaux et minéraux stratégiques, était l'invité d'Annalisa Cappellini, dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Ils ont abordé le plan de l'Union européenne "RESourceEU" qui vise à limiter sa dépendance aux terres rares chinoises. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
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80 milliards de dollars pour un rachat et sans intelligence artificielle cette fois ! C'est en tout cas la volonté de la part de Netflix de racheter Warner Bros. Et puis on a un premier lauréat comme première grande plateforme à être sanctionnée par l'Union européenne dans le cadre du Digital Services Act (DSA) : c’est X pour 140 millions de dollars au sujet de plusieurs manquements jugés graves. Nouveau : offrez un abonnement Patreon pour Noël : techcafe.fr/cadeau Patreon YouTube Discord Interactions auditeurs Gloups, je suis un poisson avec Thiasma. Le répondeur et Chat control. Mika Excelle ? Une vidéo spécial dédicace pour Steven40k. L'explorateur de xZ0Uka. Warned Bros Microsoft 365 augmente encore ses prix, c'est pas fini… AWS re:Invent pas la roue. Arvind et Dario sont dans un bateau. OpenAI en code rouge, surtout côté compta. Meta devient de plus en plus méta. Confundo ! Netflix rachète Harry. Et Joël aussi… Les jeux vidéo sont concernés. Apollo en PLS : Artemis va-t-elle se faire griller ? Plainte contre X : Elon sanglot des violons de l'automne… Le Père Noël n’aime pas que vous offriez des abonnements Patreon ! (vidéo) French Touch Tesla en balade à Paname. Le vent se (re)lève : nouveaux Mistral et Ministral. La baleine revient, où se planque-t-on ? Le Gradium qui tombe à pic et la fête de l'UMA. Jeux vidéo Le housing arrive sur Wow, moi je veux aller chez les pandas. Frame : I wanna live forever, I'm gonna learn how to fly. Que dort Médine : EA beaucoup plus Saoudien que prévu. Participants Une émission préparée par Guillaume Poggiaspalla Présenté par Guillaume Vendé
À Las Vegas, Carl-Edwin Michel observe comment AWS renforce son rôle dans l'industrie du jeu vidéo. Avec l'outil Four Games et des infrastructures pensées pour les studios, de Fortnite à Roblox, AWS veut simplifier la production, l'hébergement et la montée en charge des jeux en ligne. L'entreprise met aussi l'accent sur l'IA, autant pour le développement que pour l'exploitation, une approche qui pourrait transformer les pipelines de création sans éliminer les emplois. Pour les studios indépendants, la promesse est forte : des coûts réduits, des outils plus accessibles et la possibilité de lancer des jeux ambitieux sans attendre des années. Une tendance qui, selon Carl-Edwin, profitera directement aux joueurs.
Lundi 8 décembre, François Sorel a reçu Enguerand Renault, directeur de la rédaction Satellifacts, Salime Nassur, fondateur de Maars, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur la contre attaque de Paramount sur la fusion de Netflix et Warner Bros, et l'appel d'Elon Musk sur l'abolition de l'Union Européenne après l'amende contre X, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
" Dieu ne veut pas qu'un seul de ces petits soit perdu "Méditation de l'évangile (Mt 18, 12-14) par le Frère Pierre JanuardChant final : "Je suis doux et humble de coeur" par l'ensemble vocal "Cinq Mars"Retrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:25 - Le Grand reportage de France Inter - Après "La Panthère des neiges", le photographe animalier Vincent Munier nous invite dans les forêts des Vosges, avec "Le chant des forêts", en salle le 17 décembre. Nous l'avons suivi lors d'une avant-première, près de chez lui. - invités : Vincent MUNIER - Vincent Munier : Photographe naturaliste, auteur de livres de photos d'animaux sauvages Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'enseigne japonaise Muji souhaite se développer en Europe, et en priorité à Paris et à Londres. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités reviennent sur l'histoire et sur la stratégie de cette marque sans logo mais pas sans ambition.« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en décembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Yann Rousseau (correspondant des « Echos » au Japon) et Nathalie Villard (journaliste aux « Echos Week End). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Clara Grouzis. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Jordana Bermudez/Bloomberg. Sons : Extrait « L'attaque des Titans », BFM Business, TikTok, MUJI.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 04 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'ancien maire de Levallois craint que ce jeu qui encourage la fouille et les recherches ne mette en péril ses affaires... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.