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Ce vendredi 13 juin s'ouvrent les premières épreuves du baccalauréat 2025 ! Anxiété, sueurs, pression... Même si le baccalauréat évoque aujourd'hui différents ressentis, le mot d'origine désignait pourtant tout autre chose ! Cette saison dans "RTL Matin", Florian Gazan répond aux questions pas si bêtes qui nous passent par la tête. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vendredi 13 juin, la trêve commerciale prolongée entre la Chine et les États-Unis a été abordée par Hervé Goulletquer, conseiller économique senior chez Accuracy, Ana Boata, directrice de la recherche macroéconomique d'Allianz Trade, Christian Bito, professeur de finance à l'ESSEC Business School, et Frédéric Rozier, gérant chez Mirabaud France, reçus par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Et cette semaine, notre mot est : Langue.
durée : 00:58:59 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Adoptée en première lecture à l'Assemblée le 21 février 2025, la “taxe Zucman” entend instaurer un impôt minimum de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 M€. Débattue au Sénat le 11 juin, elle vise à corriger la régressivité fiscale et pourrait générer jusqu'à 20 milliards d'euros. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Gabriel Zucman Économiste français
Attention aux termes que l'on peut employer lorsqu'on parle d'un chef de l'État. Il faut éviter l'injure qui tombe souvent sous le coup de la loi. C'est le cas au Sénégal. Et ce matin, le vocable qui est à la Une de la presse dakaroise, c'est « gougnafier »… « Gougnafier, le mot de trop », s'exclame Walf Quotidien en première page. L'ex-chef de cabinet du président Macky Sall, Moustapha Diakhaté, a été placé en garde à vue hier après-midi et poursuivi pour offense au chef de l'État. Tout est parti d'une photo, où l'on voit les trois plus hauts personnages de l'État, à savoir le président Bassirou Diomaye Faye, le Premier ministre Ousmane Sonko et le président de l'Assemblée nationale Malik N'Diaye, marchant côte à côte, au Centre international de conférences Abdou Diouf à Dakar. Moustapha Diakhaté a critiqué publiquement cette photo, en affirmant que le président de la République ne devait pas marcher au même niveau que le Premier ministre et le président de l'Assemblée nationale. D'après son avocat, cité par Walf Quotidien, « c'est une violation du protocole de la République. Car ce protocole voudrait que le président soit devant, suivi du président de l'Assemblée nationale, lui-même suivi du Premier ministre. » Ce qui explique pourquoi l'opposant a qualifié les trois hommes de « gougnafiers », dans le sens d'« ignorants » du protocole. Et « d'après lui, pointe le journal, le mot gougnafier n'est pas offensant. » Glissement de sens… Seulement voilà, si l'on consulte un dictionnaire, gougnafier veut dire rustre, goujat, ou encore bon à rien… Résultat, pointe Walf : « À moins que l'Autorité judiciaire ne mette de l'eau dans son vin, l'ancien président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar fonce droit vers la prison. Auditionné hier par les enquêteurs de la Division des investigations criminelles, Moustapha Diakhaté a été placé en garde à vue en attente de son face-à-face avec le maître des poursuites. Il est poursuivi pour offense au chef de l'État et à des personnes ayant les prérogatives du chef de l'État. » Il encourt, précise encore le journal, « une peine de 3 mois à 1 an et de 20 000 à 100 000 francs d'amende. » Prisonnier politique ? Alors l'opposition a aussitôt réagi… Dans les colonnes du quotidien 24 Heures, Thierno Alassane Sall du parti La République des valeurs, s'insurge : « L'insécurité est la hantise des populations, les braquages se multiplient, mais le pouvoir s'illustre dans la traque de celles et ceux qui ne pensent pas comme lui. (…) Avec le Pastef (le parti présidentiel), qui avait promis de supprimer le délit d'offense au chef de l'État, on n'en est pas à un reniement près. (…) Moustapha Diakhaté rejoint le lot des prisonniers politiques. » « Libérez Moustapha Diakhaté, lance pour sa partThierno Bocoum, président de Agir-Les leaders, et cessez de vous ridiculiser. Vous êtes censés diriger un pays, pas fuir la critique. (…) Dans une République digne de ce nom, rien ne justifie qu'un citoyen soit convoqué pour avoir exprimé des opinions, même dures, dès lors qu'elles n'incitent ni à la haine ni à la violence. » Malaise démocratique ? Alioune Tine, fondateur de l'ONG Afrikajom Center, réclame aussi la libération immédiate de Moustapha Diakhaté. Ses propos sont rapportés notamment par le site d'information Seneweb : « À force de convoquer des opposants politiques, des activistes ou des journalistes à la division des investigations criminelles ou à la Cybercriminalité pour poser ce genre de question, on finira par créer un vrai malaise démocratique. (…) Ça ne nous change guère du passé. (…) La prison finira par fabriquer des héros politiques, poursuit Alioune Tine. Le passage obligé pour gagner plus de valeur, de considération et de reconnaissance sociale. La fonction d'un opposant est précisément de critiquer, de déprécier ceux qui gouvernent avec le lexique qui lui convient. » Jusqu'où peut aller la critique politique dans un État de droit ? Enfin, La Nouvelle Tribune à Cotonou élargit le problème : « L'affaire relance un débat ancien, mais toujours sensible : jusqu'où peut aller la critique politique dans un État de droit ? À l'heure où les réseaux sociaux amplifient les voix discordantes et où les figures publiques expriment leurs opinions en dehors des canaux classiques, les institutions sont confrontées à un dilemme. Faut-il laisser libre cours à toutes les opinions, au risque de fragiliser la stabilité ? Ou faut-il poser des balises, au risque de restreindre la liberté d'expression ? La convocation de Diakhaté intervient dans un moment où plusieurs voix critiques, issues du monde politique ou de la société civile, dénoncent un climat d'intimidation croissante. (…) Cette situation illustre un paysage démocratique où la parole publique devient un champ de bataille, et où les institutions judiciaires sont perçues, à tort ou à raison, comme des instruments politiques. »
Attention aux termes que l'on peut employer lorsqu'on parle d'un chef de l'État. Il faut éviter l'injure qui tombe souvent sous le coup de la loi. C'est le cas au Sénégal. Et ce matin, le vocable qui est à la Une de la presse dakaroise, c'est « gougnafier »… « Gougnafier, le mot de trop », s'exclame Walf Quotidien en première page. L'ex-chef de cabinet du président Macky Sall, Moustapha Diakhaté, a été placé en garde à vue hier après-midi et poursuivi pour offense au chef de l'État. Tout est parti d'une photo, où l'on voit les trois plus hauts personnages de l'État, à savoir le président Bassirou Diomaye Faye, le Premier ministre Ousmane Sonko et le président de l'Assemblée nationale Malik N'Diaye, marchant côte à côte, au Centre international de conférences Abdou Diouf à Dakar. Moustapha Diakhaté a critiqué publiquement cette photo, en affirmant que le président de la République ne devait pas marcher au même niveau que le Premier ministre et le président de l'Assemblée nationale. D'après son avocat, cité par Walf Quotidien, « c'est une violation du protocole de la République. Car ce protocole voudrait que le président soit devant, suivi du président de l'Assemblée nationale, lui-même suivi du Premier ministre. » Ce qui explique pourquoi l'opposant a qualifié les trois hommes de « gougnafiers », dans le sens d'« ignorants » du protocole. Et « d'après lui, pointe le journal, le mot gougnafier n'est pas offensant. » Glissement de sens… Seulement voilà, si l'on consulte un dictionnaire, gougnafier veut dire rustre, goujat, ou encore bon à rien… Résultat, pointe Walf : « À moins que l'Autorité judiciaire ne mette de l'eau dans son vin, l'ancien président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar fonce droit vers la prison. Auditionné hier par les enquêteurs de la Division des investigations criminelles, Moustapha Diakhaté a été placé en garde à vue en attente de son face-à-face avec le maître des poursuites. Il est poursuivi pour offense au chef de l'État et à des personnes ayant les prérogatives du chef de l'État. » Il encourt, précise encore le journal, « une peine de 3 mois à 1 an et de 20 000 à 100 000 francs d'amende. » Prisonnier politique ? Alors l'opposition a aussitôt réagi… Dans les colonnes du quotidien 24 Heures, Thierno Alassane Sall du parti La République des valeurs, s'insurge : « L'insécurité est la hantise des populations, les braquages se multiplient, mais le pouvoir s'illustre dans la traque de celles et ceux qui ne pensent pas comme lui. (…) Avec le Pastef (le parti présidentiel), qui avait promis de supprimer le délit d'offense au chef de l'État, on n'en est pas à un reniement près. (…) Moustapha Diakhaté rejoint le lot des prisonniers politiques. » « Libérez Moustapha Diakhaté, lance pour sa partThierno Bocoum, président de Agir-Les leaders, et cessez de vous ridiculiser. Vous êtes censés diriger un pays, pas fuir la critique. (…) Dans une République digne de ce nom, rien ne justifie qu'un citoyen soit convoqué pour avoir exprimé des opinions, même dures, dès lors qu'elles n'incitent ni à la haine ni à la violence. » Malaise démocratique ? Alioune Tine, fondateur de l'ONG Afrikajom Center, réclame aussi la libération immédiate de Moustapha Diakhaté. Ses propos sont rapportés notamment par le site d'information Seneweb : « À force de convoquer des opposants politiques, des activistes ou des journalistes à la division des investigations criminelles ou à la Cybercriminalité pour poser ce genre de question, on finira par créer un vrai malaise démocratique. (…) Ça ne nous change guère du passé. (…) La prison finira par fabriquer des héros politiques, poursuit Alioune Tine. Le passage obligé pour gagner plus de valeur, de considération et de reconnaissance sociale. La fonction d'un opposant est précisément de critiquer, de déprécier ceux qui gouvernent avec le lexique qui lui convient. » Jusqu'où peut aller la critique politique dans un État de droit ? Enfin, La Nouvelle Tribune à Cotonou élargit le problème : « L'affaire relance un débat ancien, mais toujours sensible : jusqu'où peut aller la critique politique dans un État de droit ? À l'heure où les réseaux sociaux amplifient les voix discordantes et où les figures publiques expriment leurs opinions en dehors des canaux classiques, les institutions sont confrontées à un dilemme. Faut-il laisser libre cours à toutes les opinions, au risque de fragiliser la stabilité ? Ou faut-il poser des balises, au risque de restreindre la liberté d'expression ? La convocation de Diakhaté intervient dans un moment où plusieurs voix critiques, issues du monde politique ou de la société civile, dénoncent un climat d'intimidation croissante. (…) Cette situation illustre un paysage démocratique où la parole publique devient un champ de bataille, et où les institutions judiciaires sont perçues, à tort ou à raison, comme des instruments politiques. »
Tous les matins, 8h50 sur Chérie FM, Alex et Tiffany l'équipe du Réveil Chérie vont chacun vous donner une info ! Une seule est vraie ! L'autre est complètement fausse !" A vous de trouver qui dit vrai !
Ce lundi 9 juin 2025 débute à Nice la conférence de l'ONU sur l'océan, un rendez-vous capital pour la préservation de nos étendues d'eau. Florian Gazan en profite pour rappeler l'origine du mot "océan". Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le mois de juin aura tardé à avoir son épisode du podcast, à cause de la pire configuration possible : commencer le mois un dimanche, et donc avoir le premier samedi du mois seulement le 7 !
Vendredi 6 juin, les un an après la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron, ont été abordés par Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste de BDO France et Professeur d'économie à la Sorbonne, Louis de Fels, directeur de la gestion collective chez Gay-Lussac Gestion, Pascale Seivy, directrice commerciale Banque Privée France du Groupe Lombard Odier, et Denis Ferrand, directeur général de Rexecod, reçu par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Et cette semaine, notre mot est : Vert
Et cette semaine, notre mot est : Froid.
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Vendredi 23 mai, la dette américaine a été abordé par Christopher Dembik, conseiller en stratégie d'investissement chez Pictet Asset Management, Sébastien Lalevée, directeur général de Financière Arbevel, Emmanuel Lechypre, éditorialiste BFM Business, et Léa Dunand-Chatellet, gérante et directrice de l'investissement responsable chez DNCA Finance, reçu par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez-la en podcast.
durée : 00:59:07 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Entre 1850 et 1914, le monde s'ouvre aux échanges comme jamais auparavant, porté par le libéralisme anglais. Mais cette première mondialisation, dont l'acmé est le Traité de Cobden-Chevalier en 1860 entre la France et l'Angleterre, est en réalité inégale et encadrée par des États puissants. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Léo Charles Maître de conférences en sciences économiques à l'Université de Rennes 2 ; David Todd Professeur d'histoire à Sciences Po Paris et chercheur associé au Centre for History and Economics à l'université de Cambridge
Et cette semaine, le mot est : Enquête.
Spéciale Kate Bush avec le journaliste français Frédéric Delâge, qui publie "Kate Bush : Le temps du rêve" (Le Mot et le Reste). En 1978, à l'âge de dix-neuf ans, Kate Bush sort Wuthering Heights, son premier 45-tours, qui détonne en pleine déferlante punk et fait d'elle la première femme autrice- compositrice-interprète à atteindre le sommet des charts au Royaume-Uni. Au fil de ses disques, de ses vidéos et de ses rares concerts, elle a cultivé un sens de l'audace et de l'autonomie, transgressant les codes de la pop, imposant son univers hors des modes et sans compromis. Musicienne, productrice, danseuse et auteure-interprète, elle reste par ses performances vocales et son style unique, une référence transcendant les générations. En 2014, trente-cinq ans après son unique tournée, son retour sur scène est un triomphe. En 2022, l'utilisation dans la série « Stranger Things » de « Running Up That Hill », chanson sortie trente-sept ans plus tôt, permet à Kate Bush de conquérir un nouveau public et de renouer avec les sommets des charts internationaux. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vendredi 16 mai, la trêve commerciale entre les États-Unis et la Chine, a été abordée par Valentine Ainouz, responsable de la stratégie taux chez Amundi Institute, Louis de Montalembert, gérant chez Sunny AM, Jean-Marc Daniel, éditorialiste BFM Business, et François Chaulet, fondateur et président de Montségur Finance, reçu par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Et cette semaine, le mot est : Chef.
Si ce terme suscite la controverse depuis plusieurs années, cela est dû au fait qu'il est polysémique. Son sens varient selon les contextes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:59:07 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Pourquoi associe-t-on culture et industrie ? Comment faire rimer économie et production artistique, marquée par le symbolique et la singularité ? À l'heure du numérique, comment rémunérer les créateurs et préserver la diversité des œuvres à l'ère de l'automatisation ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Thomas Paris; Joëlle Farchy Professeure à Paris 1, chercheure au Centre d'Economie de la Sorbonne et directrice de l'école des médias et du numérique de la Sorbonne
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:02:30 - Le mot Lann en langue bretonne
Vendredi 9 mai, la situation économique et politique en Allemagne a été abordée par Wilfrid Galand, directeur général adjoint de Montpensier Arbevel, Christopher Dembik, conseiller en stratégie d'investissement chez Pictet AM, Stéphanie Maugey, gérante de portefeuilles Financières d'Uzès, et Pierre Schang, responsable des pôles France et Environnement chez La Financière de l'Echiquier, reçu par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Et cette semaine, le mot est : Dette.
durée : 00:02:33 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Après l'assassinat d'un fidèle dans une mosquée dans le Gard, Guillaume Erner revient sur le débat qui porte sur le terme "islamophobie". - réalisation : Félicie Faugère
Et cette semaine, le mot est : Jeune.
L'origine du mot "pape" est bien curieuse. Première surprise, alors qu'on aurait pu penser que ce mot-là, comme tant d'autres en français, et même encore plus que les autres, viendrait du latin, eh bien il vient du grec, pappas. Certes, il est arrivé en français par le latin...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
[REDIFF] Tu veux que je te raconte l'histoire de la star qui signe le mot d'absence? Ok mais par contre moi, je ne raconte mes histoires qu'aux enfants qui se lavent les dents. Donc attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et tu frottes, jusqu'à ce que l'histoire soit terminée!
Vendredi 25 avril, la situation actuelle sur les droits de douane de Donald Trump a été abordé par Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste chez BDO France et professeur d'économie à la Sorbonne, Eric Lewin, président d'El Finance, Virginie Robert, présidente et directrice de la gestion de Constance Associés, et Emmanuel Lechypre, éditorialiste BFM Business, reçus par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Dans cette entrevue, Jean-François Poulin explore avec son invité Éric Letarte la difficulté persistante à faire accepter le mot « design » dans certains milieux, notamment publics et corporatifs. Le design, souvent réduit à une notion esthétique, reste tabou ou mal compris, en particulier lorsqu'il est question de design organisationnel ou de transformation.
Et cette semaine, le mot est : Terre
durée : 00:59:18 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - La dégringolade boursière qui a suivi l'annonce des droits de douane de Donald Trump a donné des sueurs froides aux retraités américains, dont une bonne partie de la retraite est placée sur les marchés financiers par des fonds de pension. La "capitalisation" fait peur, mais de quoi parle-t-on ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Anne Lavigne professeure de sciences économiques à l'Université d'Orléans et membre du conseil d'administration du RAFP (régime de Retraite Additionnelle de la Fonction Publique); Najat El Mekkaoui Economiste, enseignante-chercheure à l'Université Paris Dauphine, experte de politiques sociales et de protection sociale, de gestion des risques et des transitions démographiques
Dans son entrevue avec Éric Letarte, Jean-François Poulin évoque que le mot « design » reste mal compris et parfois mal vu, notamment en contexte institutionnel ou gouvernemental. À ce sujet, son invité a piloté une transformation en profondeur de Startup Montréal vers Québec Tech, en appliquant une approche de design de transformation — sans toujours nommer le mot.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et cette semaine, notre mot est : Lapin.
durée : 00:59:27 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Désignant aujourd'hui un prêt à intérêt abusif, la notion d'usure intègre au Moyen Âge une dimension religieuse, politique et sociale, qui structure encore notre manière de considérer les acteurs informels de l'économie. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Valentina Toneatto Maîtresse de conférences en histoire du Moyen-Âge à l'université Lyon 2; Clément Lenoble Chargé de recherche au CNRS, historien du Moyen-Âge
durée : 00:02:29 - Le mot MAT en breton
Et cette semaine, notre mot est : Heure.
Dans ce 91e épisode du podcast My French Journey, Julie vous propose un voyage passionnant à travers 10 expressions idiomatiques françaises incontournables utilisant le mot "tête" !
C'était une information RTL du 7 avril 2025, une attaque terroriste kamikaze qu'envisageaient de mener 3 jeunes Nordistes a été déjouée par la police. « Kamikaze », un mot japonais désormais synonyme d'attaque-suicide, mais qui a une origine très étonnante. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on s'attaque à un casse-tête bien connu des apprenants : faut-il prononcer le S final du mot "plus" ?Parfois on l'entend, parfois non... Mais alors, comment savoir ?Je vous explique tout de manière simple, avec des exemples concrets, pour que vous compreniez quand on prononce le S et quand on ne le prononce pas.Un petit mot, mais beaucoup de pièges !Ne laissez plus cette confusion vous freiner dans votre progression en français !Bonne écoute,Virginie d'ehoui!------------------------------------------------------------------------------Les 40 erreurs à NE PLUS faire, c'est gratuit et c'est ici.Vous voulez enfin passer à la vitesse supérieure ? Prenez des cours avec moi, c'est ici.
Vendredi 4 avril, les objectifs de Donald Trump avec la mise en place des droits de douane ont été abordé par Mary-Sol Michel, directrice de la Gestion sous Mandat chez Swiss Life Banque Privée, Jean-François Robin, responsable mondial de la recherche de Natixis CIB, Sébastien Lalevée, directeur général de Montpensier Arbevel, et Christopher Dembik, conseiller en stratégie d'investissement chez Pictet AM, reçus par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Et cette semaine, notre mot est : Coupable.
Tous les matins, à 6H10 et 8H40, c'est les Sondages du matin.
durée : 00:59:05 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - L'Etat-Providence américain, né en 1932 avec le New Deal de Franklin D. Roosevelt, s'est laborieusement construit au cours du XXème siècle dans un pays où règne en maître la liberté d'initiative. Alors que le taux de pauvreté tend à s'accroître, Donald Trump va-t-il achever son démantèlement ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Tamara Boussac Historienne, maîtresse de conférence en études nord-américaine à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Laurent Roesch Maître de conférences en histoire contemporaine des Etats-Unis à l'Université d'Avignon
Entrevue avec Alexandra Houle, présidente du Réseau féministe Québécois.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Vendredi 21 mars, le réarmement de l'Europe et la croissance européenne ont été abordé par Alain Pitous, senior Advisor ESG, Denis Ferrand, directeur général de Rexecode, Virginie Robert, présidente de Constance Associés, et Benaouda Abdeddaïm, éditorialiste BFM Business, reçus par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:59:26 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Depuis les années 1970, l'héritage fait son retour dans la constitution du patrimoine privé des français, atteignant des niveaux comparables à ceux du XIXème siècle. Comment le retour aux penseurs de ce "siècle de l'héritage" peut-il nous aider à repenser la transmission du patrimoine aujourd'hui ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Mélanie Plouviez Maîtresse de conférences en philosophie à l'université Côte d'Azur, en charge du pilotage du projet de recherche « Philosophie de l'héritage » financé par l'Agence Nationale de Recherche
durée : 00:59:24 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - En 2024, le e-commerce français atteint un chiffre d'affaires record de 175,3 milliards d'euros, en hausse de 9,6% par rapport à l'année précédente. Alors que l'Europe envisage de taxer davantage les petits colis, comment les géants du secteur optimisent-ils toujours plus leurs chaînes logistiques ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Laetitia Dablanc Urbaniste et économiste urbaine, directrice de recherches et titulaire de la chaire Logistic City à l'Université Gustave Eiffel, chercheuse au laboratoire Ville-Mobilité-Transport; Nathalie Fabbe-Costes Professeure en sciences de gestion à Aix-Marseille Université, chercheuse au CERGAM