French lawyer and politician
POPULARITY
Categories
Dans ce nouveau numéro du magazine IDÉES, Pierre-Édouard Deldique cherche à comprendre la nature du populisme, un des phénomènes de notre temps, avec son invité, le sociologue et historien Marc Lazar, auteur d'un nouvel essai qui s'intitule «Pour l'amour du peuple. Histoire du populisme en France, XIXᵉ-XXIᵉ siècle» (Gallimard), un essai qui retrace un siècle et demi de mouvements qualifiés d'«antisystème» et interroge la pertinence du terme «populisme» dans l'histoire politique française. Dès le début de l'émission, Marc Lazar, qui est aussi un expert reconnu de la vie politique italienne, nous propose une définition du populisme. Moins simple qu'il n'y paraît. L'ouvrage couvre la période qui va du boulangisme sous la IIIè République jusqu'aux mobilisations contemporaines des «Gilets jaunes». Marc Lazar met en parallèle des figures et mouvements très différents : Boulanger, Marine Le Pen, Mélenchon, Bernard Tapie, les maoïstes, etc., autant de personnages, autant de populismes, pourrait-on dire. Fil rouge de ces personnalités politiques ? La référence au peuple comme entité unifiée et la dénonciation des élites, deux traits constitutifs du discours populiste. L'auteur s'interroge : «Cette récurrence pose question» note-t-il. Avec sa clarté et sa précision habituelles, Marc Lazar analyse au micro, et dans son livre, le caractère multiple et controversé du terme «populisme». Ses acteurs poursuivent, en effet, des objectifs politiques souvent contradictoires : certains prônent une démocratie directe, d'autres un autoritarisme charismatique autour du «grand leader». Selon cet expert, les populismes ne sont pas des accidents, mais des forces profondes qui imposent des transformations durables à la vie politique française et européenne. Ils révèlent une crise de la représentation et une défiance croissante envers les institutions. En cela, ils représentent un danger. Clairement, le populisme n'est pas une nouveauté dans la politique française, mais une réponse récurrente aux crises de la démocratie représentative. Comme l'écrit Marc Lazar, le populisme en France constitue : «un phénomène à éclipses et un spectre qui hante la politique». Programmation musicale : Olivier Calmel (compositeur) - Suite Métamorphique - El Camino - Suite Métamorphique - El Diablo.
C dans l'air du 6 décembre 2025 - Lecornu : trois jours pour éviter le crashLa fin du calvaire budgétaire pour le gouvernement ? Les députés ont adopté hier en deuxième lecture la partie consacrée aux recettes du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, par 166 voix pour et 140 voix contre. Ce vote ouvre la voie à une adoption du texte d'ici à la fin de l'année. Si ce premier vote est un soulagement pour le Premier ministre Sébastien Lecornu, il n'est pas synonyme de la fin de l'épreuve. Mardi, l'Assemblée devra en effet se prononcer sur l'ensemble du PLFSS. Et l'issue est tout sauf certaine. L'incertitude est d'autant plus grande qu'Edouard Philippe, leader du groupe Horizons, jusqu'alors allié du gouvernement, n'a pas appelé à voter pour la partie recettes. Le gouvernement est parvenu à enregistrer une première victoire, mais qu'en sera-t-il mardi ?D'autant qu'hier, plusieurs mesures d'économies présentées ont été rejetées, en particulier le doublement des franchises médicales. Si beaucoup de Français sont rassurés, ce sont des économies en moins, ce qui était pourtant l'objectif initial de Sébastien Lecornu. La suspension de la réforme des retraites a également été voté. Une victoire pour le PS, et un compromis très difficile à digérer pour les macronistes, qui en avaient fait un totem.Alors qu'à l'Assemblée les luttes d'influence se poursuivent, dans les enquêtes d'opinion, Jordan Bardella écrase la concurrence. Le président du RN caracole en tête de tous les sondages, ce qui n'est pas sans créer de troubles au sein même de son parti. La situation agace Marine Le Pen. La cheffe de file du mouvement est plongée dans l'incertitude à cause du jugement en appel de sa condamnation pour détournement de fonds publics. Si son inéligibilité était confirmée, la route vers l'élection présidentielle lui serait barrée. En attendant le verdict, Jordan Bardella prend la lumière et le parti commence à se faire à l'idée qu'il sera son représentant dans la course à l'Elysée.Lors d'une séance de dédicace samedi dernier à Moissac, il a été ciblé par un homme qui lui a éclaté un œuf sur la tête. Le président du RN, bien que porté dans les sondages, suscite encore du rejet d'une partie de la population.Loin des tractations politiques, les habitants des territoires ruraux sont plus que jamais confrontés à la désertification médicale. L'accès aux soins est devenu un chemin de croix tant les établissements de santé ont disparu du paysage. Pour préserver une offre de soins, des associations amènent la santé jusqu'au domicile des habitants. Une équipe de C dans l'air s'est rendue à leur rencontre. Les Français, qui n'arrivent plus à se soigner, sont très inquiets pour l'avenir de notre système de santé.Le gouvernement peut-il faire adopter le PLFSS sans passer par le 49.3 ?Jordan Bardella peut-il prendre définitivement le leadership du RN à Marine Le Pen ?Les Français doivent-il s'inquiéter pour leur santé après le vote du PLFSS ?Nos experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- GAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges »- CARL MEEUS - Rédacteur en chef - « Le Figaro Magazine »
Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra sur l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Le 5 décembre 2015, Laurent Gerra imitait Marine Le Pen, François Mitterrand ou encore Nicolas Sarkozy.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans l'émission du 2 décembre, Marc-Antoine Le Bret a imité Marine Le Pen, Nicolas Sarkozy, Laurent Delahousse, Dominique de Villepin, Emmanuel Macron, Læticia Hallyday et Booba ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Yves Camdeborde, cuisinier, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, dans la première heure des Grandes Gueules, les GG sont revenues sur "2027 : Marine Le Pen doit-elle laisser sa place à Bardella ?" et "Un Nutriscore de l'information ?", avant d'échanger leur point de vue dans le "On s'en fout, on s'en fout pas".
Pour débuter l'émission de ce mardi 2 décembre 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Yves Camdeborde, cuisinier, débattent du sujet du jour : "2027 : Marine Le Pen doit-elle laisser sa place à Bardella ?".
Chaque matin, à 8h50, l'imitateur rejoindra Apolline de Malherbe. Au programme : un débrief impertinent et sur-mesure de l'actualité politique, juste après le face-à-face avec l'invité du jour. À l'approche des municipales et de la présidentielle et dans un contexte politique en pleine effervescence, Nicolas Canteloup apportera sa voix unique, son regard affûté, et surtout une dose d'humour bien placée pour réveiller les auditeurs.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Dans l'émission du 2 décembre, Marc-Antoine Le Bret a imité Marine Le Pen, Nicolas Sarkozy, Laurent Delahousse, Dominique de Villepin, Emmanuel Macron, Læticia Hallyday et Booba ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Dans l'émission du 2 décembre, Marc-Antoine Le Bret a imité Marine Le Pen, Nicolas Sarkozy, Laurent Delahousse, Dominique de Villepin, Emmanuel Macron, Læticia Hallyday et Booba ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin, à 8h50, l'imitateur rejoindra Apolline de Malherbe. Au programme : un débrief impertinent et sur-mesure de l'actualité politique, juste après le face-à-face avec l'invité du jour. À l'approche des municipales et de la présidentielle et dans un contexte politique en pleine effervescence, Nicolas Canteloup apportera sa voix unique, son regard affûté, et surtout une dose d'humour bien placée pour réveiller les auditeurs.
Après tous les commentaires, la mise en avant des sondages sur les sommets de Jordan Bardella, Ruth Elkrief pense que Marine Le Pen tente de redresser le tir. Selon Ruth, c'est ce qu'on pourrait comprendre des images de la tournée qu'elle a entreprise depuis quelques jours pour lancer les municipales au nom de son parti. On assiste à un duel de titans. On pensait que Google serait dépassé, démonétisé par les jeunes, OpenAI, NVIDIA… Mais donné pour mort, il repart à l'assaut et, selon François Lenglet, il devrait surpasser ses rivaux. Le cours de l'action de Google a pris 86 % depuis le mois de juin 2025. Le 28 novembre, la ville de Bruxelles a inauguré une nouvelle crèche de Noël intitulée “Les étoffes de la Nativité”. Cela donne l'impression à Abnousse Shalmani qu'il s'agit d'un défilé de mode. Les personnages sont représentés par des mannequins qui n'ont pas de visage. Elle dit qu'il faut sauver Noël en Belgique. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
As Paris wrestles with political deadlock, questions are mounting over France's ability to project strength abroad. RFI spoke to author and political strategist Gerald Olivier about the ongoing political crisis in France and its repercussions abroad. France is once again mired in political turmoil after the National Assembly last week overwhelmingly rejected the revenue side of the 2026 budget. Prime Minister Sébastien Lecornu is trying a new method: rather than attempting to push a full budget through a fractured parliament, he aims to break spending into "absolute priorities" – security, energy, agriculture and state reform – and put each item to MPs separately. The move is intended to avoid another budget showdown, after two years of governmental instability that have steadily chipped away at President Emmanuel Macron's authority. Critics, however, argue that the plan is merely a repackaged version of political improvisation – a delay tactic that risks further weakening France's credibility at home and on the world stage. Jean-François Husson, the Senate's general rapporteur for the budget, delivered one of the sharpest criticisms of Lecornu's move, describing it as a chaotic and ill-timed intervention. "If you want to give the French a dizzying ride, you could hardly do it better than this," he remarked, arguing that the government's approach was generating more confusion than clarity. For author and political strategist Gerald Olivier, there is a deeper problem. "France is sick, and France has been sick for a while," he says. "We're basically looking at a country with no government, no parliamentary majority and a total impossibility for any prime minister to put forward a credible programme." French lawmakers roundly reject income part of budget bill, send it to Senate France technically needs to pass its budget by 31 December, but Olivier is quick to point out that this deadline has been missed before. "Last year, the budget wasn't passed until February," he notes. If the same thing happens this time, the government can fall back on a temporary financial law that keeps spending aligned with the previous year's budget for up to 70 days. A more drastic option – to rule by decree – exists as a constitutional backstop. "This crisis exists because there is no majority in parliament," Olivier says. "And it's also because no party has had the courage to face the kind of medicine that France needs. That's the larger issue." International credibility As a major European power, France's domestic politics do not stay domestic for long. International investors and European Union partners are watching closely, especially after recent warnings from credit-rating agencies about France's deficit trajectory. According to Olivier, the damage is already evident. "France is already in a recession, and there are investments simply passing the country by," he argues. "No one knows what its tax status will be in the coming years." That uncertainty could have a ripple effect across the continent. France, he warns, risks becoming "economically weak and therefore politically weak within Europe", potentially deepening divisions between EU member states. France's economy minister warns latest credit downgrade a 'wake-up call' "The one reassuring piece of news is that France is not the only one in this situation. Germany is in dire shape, Italy is shaky, Sweden is having problems. It seems today that everyone in Europe is the sick man of Europe," he added. Periods of political instability often attract external opportunists – whether governments, speculators or hostile influence campaigns. But Olivier remains cautious when asked whether foreign actors are already exploiting France's woes. "I don't necessarily see it," he says, "but if you want to consider fictional scenarios, you could find many." France's EU membership, he argues, offers a buffer. "Having the EU behind you is reassuring. The idea of ‘Frexit' would be disastrous. The euro provides protection." Still, the consequences of weakened governance can extend beyond the economy. A fragile budget could force France to scale back overseas military deployments – a shift that could alter power dynamics in parts of Africa and the Middle East. "This kind of instability is not healthy for anyone," Olivier says. A president without momentum Macron's political capital has been in decline since the 2022 legislative elections, when he lost his absolute majority. The surprise dissolution of the Assembly after the 2024 European elections only worsened matters, splitting the parliament into three mutually hostile blocs. "It's done tremendous damage to Macron," Olivier says. "He was re-elected in 2022 because people didn't want Marine Le Pen. He didn't have the support he had in 2017, and disappointment set in." He argues that Macron himself triggered the crisis. "He dissolved the Assembly for no reason. The European elections had no influence on French politics, but he reacted as if they did – and he made things worse." Could the president break the deadlock? In theory, yes. "Macron could solve it instantly by resigning," Olivier notes. "That would trigger a new presidential election, followed by fresh parliamentary elections. That's how institutions are supposed to function." But he sees no sign that Macron intends to take that step. For now, he predicts "another 18 months of instability" with the possibility of yet another government reshuffle. "We've had four governments in 12 months. We could have a fifth one next year. There is no telling." France's Le Pen asks Bardella to prepare for 2027 presidential bid Eyes on 2027 With Macron unable to stand again, attention is already turning to the 2027 presidential race. The National Rally – headed by Marine Le Pen and her rising protégé Jordan Bardella – enters the campaign in a strong position. Republican Bruno Retailleau could emerge from the right, France Unbowed's Jean-Luc Mélenchon or Socialist Olivier Faure from the left. Names from the centre such as MEP Raphaël Glucksmann and the former prime minister from Macron's Renaissance party, Manuel Valls, have been floated too. Olivier's concern is not who the candidates are but how honest they will be about the situation. "No one is willing to say the country needs to make sacrifices," he warns. "France is in debt up to 115 percent of GDP. Public spending is too high. But nobody wants to tell voters that the social state cannot remain as generous as it is." He singles out one controversial, far-right figure: "The only person honest about the economic reality is Éric Zemmour – and there is zero chance he will be the next president."
durée : 00:02:57 - Le brief politique - Le président du parti fait la course en tête, à un an et demi de la prochaine élection présidentielle. Mais la patronne des députés RN martèle qu'elle n'a renoncé à rien pour l'instant. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le Rassemblement national, toujours en tête des sondages pour les prochaines élections, traverse une période d'incertitudes autour de sa candidature à la présidentielle de 2027. Condamnée à cinq ans d'inéligibilité en mars 2024, Marine Le Pen voit planer le doute sur sa capacité à se présenter. De plus en plus d'indices laissent penser que Jordan Bardella est en train de se mettre en ordre de marche pour prendre le relais. Le signe le plus marquant ? Une série de sondages récents, très favorables au RN dans son ensemble, mais particulièrement flatteurs pour le président du parti. Le trentenaire arriverait en tête du premier tour, quel que soit son adversaire, et remporterait même le second tour dans la plupart des cas si l'élection avait lieu demain. Bien sûr, à deux ans de l'échéance, ces chiffres sont à prendre avec précaution. Ce qui frappe davantage, c'est que désormais dans les instituts de sondage, seul Jordan Bardella est testé comme candidat RN. Marine Le Pen, elle, a quasiment disparu des hypothèses. La principale intéressée a d'ailleurs esquissé ces dernières semaines un calendrier de retrait. Interrogée sur une radio nationale, la cheffe de file des députés RN a déclaré que si sa condamnation était confirmée en appel – décision attendue à l'été 2026 – elle passerait immédiatement le flambeau sans attendre un éventuel pourvoi en cassation qui, même s'il aboutissait avant 2027, interviendrait trop tard pour mener une campagne sereine. Jordan Bardella en campagne... pour son livre Pendant ce temps, Jordan Bardella sillonne la France pour promouvoir son deuxième livre, Ce que veulent les Français (plus de 40 000 exemplaires vendus). L'ouvrage ressemble à s'y méprendre à un programme présidentiel. Il parle beaucoup à la première personne, développe une vision et ne cite Marine Le Pen qu'une seule fois – un hommage court mais chaleureux à son « mentor ». À chaque dédicace, la foule est au rendez-vous : files d'attente interminables, selfies à la chaîne… et même un enfarinage, un rite de passage presque obligé pour tout prétendant sérieux à l'Élysée. À lire aussiFrance: Marine Le Pen a «demandé» à Jordan Bardella «de se préparer» pour la prochaine présidentielle Ne pas enterrer Marine Le Pen Au sein du parti, pourtant, personne n'ose encore briser publiquement le tabou. « La période qui nous sépare de l'été prochain ne pose aucun problème », assure un proche de Marine Le Pen, qui continue d'afficher son « grand espoir » d'être relaxée en appel. Publiquement, la double finaliste de la présidentielle répète qu'elle n'a « absolument pas renoncé ». Le RN prend d'ailleurs soin, dans ses communications sur les bons sondages, d'afficher côte à côte les photos de Marine Le Pen et de Jordan Bardella. En privé, l'ambiance est différente. Plusieurs cadres et interlocuteurs récents décrivent une forme de résignation chez la présidente d'honneur du parti. « On a parfois l'impression qu'elle fait un peu semblant d'être suspendue au verdict et d'y croire encore », confie l'un d'eux – tout en reconnaissant que sa combativité reste intacte, notamment lors des débats budgétaires à l'Assemblée nationale. Chez les alliés ciottistes de Reconquête comme au Palais-Bourbon, on est plus direct. On se prépare ouvertement à une campagne Bardella. Les adversaires du RN, eux, ont bien compris la séquence. Ils attaquent déjà durement le jeune président du parti sur son manque d'expérience et mettent en doute sa capacité à tenir une campagne présidentielle de longue haleine. Pour le Rassemblement national, l'exercice consiste donc, pour l'instant, à marcher sur un fil : maintenir l'unité derrière Marine Le Pen tant que l'espoir juridique existe, tout en laissant Jordan Bardella monter doucement en première ligne. Un numéro d'équilibriste qui pourrait durer encore de longs mois.
durée : 00:55:25 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Christophe Barreyre - Aux élections législatives de 1956, le mouvement de Pierre Poujade entre à l'Assemblée nationale et le jeune Jean-Marie Le Pen devient député. Récit de cette première victoire électorale sur fond de renaissance de l'extrême-droite française. - réalisé par : Stéphane COSME Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Une nouvelle fonctionnalité vient semer le trouble sur le réseau X, en promettant de dévoiler la localisation des comptes d'utilisateurs de la plateforme, Elon Musk prétend « réduire l'activité inauthentique » sur X, mais nous verrons avec notre invité, le juriste Valère Ndior, que le manque de fiabilité de la nouvelle fonctionnalité pose problème. Les erreurs de localisation sont nombreuses et instrumentalisées à des fins politiques. Le réseau X, ses algorithmes de recommandation et son chatbot Grok font l'objet d'une accumulation de plaintes en justice. Mais c'est sur la localisation des comptes de ses utilisateurs que le patron de la plateforme, le milliardaire américain Elon Musk a décidé d'agir, estimant qu'il y avait là moyen de restreindre l'activité inauthentique sur le réseau. Non seulement, la modification s'est appliquée du jour au lendemain -le vendredi 21 novembre 2025- sans être préalablement notifiée aux utilisateurs, mais en outre de nombreuses erreurs de localisation ont été constatées et parfois instrumentalisées à des fins politiques. Ces défaillances s'ajoutent à d'autres problèmes majeurs constatés dans les réponses fournies par Grok, l'agent conversationnel intégré à X. Au-delà des biais et inexactitudes de cette Intelligence artificielle, les publications de Grok en viennent à propager des récits négationnistes, des contre-vérités historiques. X, ses algorithmes de recommandation et son robot conversationnel font l'objet d'une accumulation de plaintes en justice. On en parle avec Valère Ndior, professeur de droit public à l'Université de Bretagne occidentale, spécialiste du numérique et des réseaux sociaux, également membre de GEODE, le projet de géopolitique de la data sphère, partenaire des Dessous de l'infox. En illustration de cet entretien, la chronique de Nathan Gallo des Observateurs de France 24 épingle une information mensongère sur le compte d'un journaliste gazaoui: Localisation sur X : Israël accuse à tort un journaliste de Gaza d'être basé en Pologne La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : RDC: cette vidéo de Marine Le Pen critiquant Félix Tshisekedi est un hypertrucage.
On le pensait tranquille et coordonné : il reste pourtant assez tabou en interne. Et ce n'est pas le sondage sorti la semaine dernière plaçant Bardella en tête des voix qui va apaiser cela.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En République démocratique du Congo, une vidéo mensongère de Marine Le Pen sème le doute sur les réseaux sociaux. Certains affirment, à tort, qu'elle montrerait la présidente du Rassemblement National critiquer Félix Tshisekedi. Vérification faite, il s'agit là d'une nouvelle infox destinée à dénigrer le président congolais. C'est un de nos auditeurs qui a lancé l'alerte. À en croire cette vidéo, Marine Le Pen aurait récemment pris la parole à propos de la situation politique en République démocratique du Congo. Les images montrent la présidente du Rassemblement National lors d'un discours à l'Assemblée nationale, en France. On pense alors, à tort, l'entendre critiquer le président congolais. Cet extrait, vu plusieurs millions de fois, circule sur TikTok, Facebook, X, YouTube et WhatsApp. Un hypertrucage ultra-réaliste En réalité, Marine Le Pen n'a jamais tenu ces propos. Cette vidéo est un deepfake, un hypertrucage sonore généré par intelligence artificielle. Ce type d'outil permet de faire dire n'importe quoi à n'importe qui en seulement quelques clics. Si l'on regarde bien la vidéo, on remarque que le mouvement de ses lèvres ne colle pas avec l'audio. L'auteur s'est donc contenté de manipuler le son, mais pas l'image. Grâce à une recherche par image inversée, nous avons retrouvé l'origine précise de ces images. Elles sont tirées du discours tenu par Marine Le Pen à l'Assemblée nationale, le 16 octobre 2025. Son parti venait de déposer une motion de censure infructueuse contre le gouvernement de Sébastien Lecornu. Sans surprise, durant les quatorze minutes de prise de parole, la cheffe de file du Rassemblement National n'y évoque à aucun moment la RDC ou son président Félix Tshisekedi. Un mode opératoire à la mode Ce n'est pas la première fois qu'un deepfake d'une personnalité politique française circule en RDC. Au début du mois, nous avions déjà épinglé un hypertrucage d'Éric Zemmour. Cette fois, on pensait voir le président du parti Reconquête critiquer Félix Tshisekedi lors d'une interview sur la chaîne de télévision française LCI. Mais là encore, c'est une infox, Éric Zemmour n'a jamais tenu une telle déclaration. Les images proviennent d'une émission spéciale diffusée sur LCI le 29 octobre dernier, à propos du vote du budget 2026 en France. Durant les trente-cinq minutes d'interview, Éric Zemmour ne parle à aucun moment de Félix Tshisekedi. D'après nos recherches, ces deux infox ont été diffusées par un influenceur congolais, fervent opposant à Félix Tshisekedi. La plupart de ses vidéos sont des deepfake destinés à critiquer le président congolais. Son compte TikTok cumule actuellement plus de 33 millions de j'aime.
Une nouvelle fonctionnalité vient semer le trouble sur le réseau X, en promettant de dévoiler la localisation des comptes d'utilisateurs de la plateforme, Elon Musk prétend « réduire l'activité inauthentique » sur X, mais nous verrons avec notre invité, le juriste Valère Ndior, que le manque de fiabilité de la nouvelle fonctionnalité pose problème. Les erreurs de localisation sont nombreuses et instrumentalisées à des fins politiques. Le réseau X, ses algorithmes de recommandation et son chatbot Grok font l'objet d'une accumulation de plaintes en justice. Mais c'est sur la localisation des comptes de ses utilisateurs que le patron de la plateforme, le milliardaire américain Elon Musk a décidé d'agir, estimant qu'il y avait là moyen de restreindre l'activité inauthentique sur le réseau. Non seulement, la modification s'est appliquée du jour au lendemain -le vendredi 21 novembre 2025- sans être préalablement notifiée aux utilisateurs, mais en outre de nombreuses erreurs de localisation ont été constatées et parfois instrumentalisées à des fins politiques. Ces défaillances s'ajoutent à d'autres problèmes majeurs constatés dans les réponses fournies par Grok, l'agent conversationnel intégré à X. Au-delà des biais et inexactitudes de cette Intelligence artificielle, les publications de Grok en viennent à propager des récits négationnistes, des contre-vérités historiques. X, ses algorithmes de recommandation et son robot conversationnel font l'objet d'une accumulation de plaintes en justice. On en parle avec Valère Ndior, professeur de droit public à l'Université de Bretagne occidentale, spécialiste du numérique et des réseaux sociaux, également membre de GEODE, le projet de géopolitique de la data sphère, partenaire des Dessous de l'infox. En illustration de cet entretien, la chronique de Nathan Gallo des Observateurs de France 24 épingle une information mensongère sur le compte d'un journaliste gazaoui: Localisation sur X : Israël accuse à tort un journaliste de Gaza d'être basé en Pologne La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : RDC: cette vidéo de Marine Le Pen critiquant Félix Tshisekedi est un hypertrucage.
Dans l'émission du 27 novembre, Marc-Antoine Le Bret a imité Nicolas Sarkozy, Jean-Marc, Michel Cymes, Marine Le Pen et François Lenglet. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans l'émission du 27 novembre, Marc-Antoine Le Bret a imité Nicolas Sarkozy, Jean-Marc, Michel Cymes, Marine Le Pen et François Lenglet. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans l'émission du 27 novembre, Marc-Antoine Le Bret a imité Nicolas Sarkozy, Jean-Marc, Michel Cymes, Marine Le Pen et François Lenglet. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 27 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les jours, retrouvez le meilleur des archives de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que Marine Le Pen pourrait bien laisser sa place à Jordan Bardella pour 2027 si sa peine d'inéligibilité n'est pas relevée, l'ancien chef du parti à la flamme a d'autres ambitions pour sa fille... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 17 novembre, Laurent Gerra a notamment imité Michel Sardou, Jean-Marie Le Pen et Alain Souchon. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christian Wernicke, unser Mann “im Westen”, verabschiedet sich von der SZ - und zieht ein persönliches Resümee.
durée : 00:37:38 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le 10 novembre 2025, le Conseil d'Etat a confirmé la démission d'office, arrêtée par le préfet du Pas-de-Calais, du poste de conseillère départementale que contestait Marine Le Pen, après sa condamnation à une peine d'inéligibilité en mars 2025 dans l'affaire des assistants parlementaire du FN. - invités : Baptiste Roger-Lacan Historien; Elyamine Settoul Sociologue, maitre de conférences au Conservatoire national des arts et métiers
Elle espère être la candidate du RN à la présidentielle de 2027. Aujourd'hui cheffe des députés RN à l'Assemblée, que veut Marine Le Pen, alors que la suspension de la réforme des retraites arrive ce mercredi dans l'hémicycle ? Elle est l'invitée de RTL Matin. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 12 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
There was a time when women like Jacinda Ardern in New Zealand and Angela Merkel in Germany seemed to rewrite the rules of leadership. They led with calm, empathy and reason.But the picture has changed. Across countries, a new generation of women leaders is rising. There's Giorgia Meloni in Italy, Marine Le Pen in France, Alice Weidel in Germany and now Sanae Takaichi in Japan. They're shattering glass ceilings while standing on nationalist, conservative platforms.So what does this really mean for women? Is their rise a step forward or just another version of the old power? Guest: Suhasini Haider, National Editor, The HinduHost: Anupama Chandrasekaran Edited and produced by Sharmada Venkatasubramanian Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le 7 novembre, l'Assemblée nationale a voté l'instauration d'une taxe sur les boissons énergisantes alcoolisées, un texte inséré dans le cadre du projet de budget de la sécurité sociale. L'objectif : contrer l'essor de produits hybrides mêlant alcool fort, stimulants et sucres aromatisés, jugés particulièrement préoccupants pour les jeunes.Les députés ont adopté un amendement qui étend le champ d'une taxe déjà envisageable pour les « premix » — ces mélanges alcoolisés sucrés — au cas où ces boissons contiennent également des substances actives à effet stimulant, telles que la caféine, la taurine ou la guaranine. Un décret viendra fixer précisément la liste de ces ingrédients, afin de suivre l'évolution rapide des formules commerciales et éviter que les fabricants ne contournent la taxe.Pour l'un des rapporteurs du budget, la mesure lutte contre « un vrai fléau pour la jeunesse », selon ses propres mots. L'amendement a été porté par le président de la commission des Affaires sociales et recueilli grâce aux voix des députés de gauche, des Modem, des indépendants proches de l'aile Liot, ainsi que d'une large part de la majorité (Renaissance et Horizons). En revanche, les groupes des Républicains, du Rassemblement national et ses alliés ont exprimé leur refus. Marine Le Pen l'a qualifié de « moralement condamnable » : pour elle, soit ces boissons sont nocives et il faut les interdire, soit elles ne le sont pas et il n'y a aucune raison de les taxer.De son côté, la ministre de la Santé a observé la mesure avec prudence : bien qu'elle reconnaisse que ces produits visent en priorité les jeunes, elle a rappelé que l'alcool est déjà interdit aux moins de 18 ans et souligné que « la fiscalité comportementale ne fait pas une politique de prévention ». Selon elle, taxer ces boissons n'est pas à proprement parler une mesure de prévention mais un outil fiscal — dont l'efficacité sur la consommation reste incertaine, certaines taxes rapportant bien mais ne réduisant pas nécessairement l'usage.En résumé : le gouvernement et le Parlement adoptent un nouveau levier fiscal pour ce segment particulier de boissons — mélange alcool + stimulant + sucre — afin de prévenir un usage jugé dangereux chez les jeunes. Mais la tension reste vivace entre l'approche punitive/fiscale et l'approche éducative/contrôle. L'amendement met en place un cadre adaptable — via décret — pour suivre l'innovation des produits, tandis qu'une partie de l'opposition questionne la logique même de « taxer plutôt qu'interdire ». Le débat illustre à nouveau la difficulté à équilibrer « ramener de l'argent » et « protéger la santé publique ». Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Patrick Sébastien, chanteur, imitateur et animateur à la personnalité singulière, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les jours, retrouvez le meilleur des archives de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Chine s'inquiète : les berceaux se vident, les cheveux grisonnent Poutine, le maître du ciel et de la peur Le triomphe de Marine Le Pen à l'Assemblée nationale Paris 2026 : le parti d'Emmanuel Macron choisit Pierre-Yves Bournazel pour les municipales La Fondation Cartier, nouveau joyau du Palais Royal
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. M.Le Pen interpelle le premier ministre Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 3 novembre, Laurent Gerra a notamment imité François Lenglet, Patrick Sébastien et François Hollande... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur une opération anti-drogue meurtrière au Brésil, une résolution du RN votée pour la première fois et les essais nucléaires américains. Tanzanie : comment le pays a basculé dans le chaos ? Selon le principal parti d'opposition Chadema, au moins 800 personnes ont été tuées lors des violences qui ont suivi l'élection présidentielle de mercredi dernier (29 octobre 2025). Pourquoi ce scrutin est-il autant contesté ? Comment les autorités justifient-elles une telle répression ? Avec Elodie Goulesque, correspondante de RFI à Dar es Salam. Brésil : l'opération policière la plus meurtrière de l'histoire du pays Au moins 121 personnes ont été tuées lors d'une vaste opération anti-drogue menée par plus de 2 500 policiers dans deux favelas de Rio de Janeiro. Comment expliquer ce bilan humain si élevé ? Pourquoi le gouverneur de l'État de Rio a-t-il ordonné une telle opération ? Avec Elcio Ramalho, chef du service en langue brésilienne de RFI. France : les députés votent une résolution de l'extrême-droite Pour la première fois, l'Assemblée nationale a adopté un texte porté par le Rassemblement national. Cette résolution dénonçant l'accord franco-algérien de 1968 est passée à une voix près (185 pour, 184 contre). Pourquoi la droite traditionnelle s'est-elle rangée du côté de l'extrême-droite sur ce texte ? Avec Raphaël Delvolvé, journaliste au service politique de RFI. États-Unis : comment comprendre la reprise des essais nucléaires ? Donald Trump a créé la surprise en annonçant avoir ordonné la relance immédiate des tests d'armes nucléaires, pourtant suspendus depuis plus de trente ans. Cette décision est-elle le signe d'une reprise de la course nucléaire ou une réponse provocatrice aux derniers essais nucléaires de la Russie ? Avec Emmanuelle Galichet, enseignante-chercheuse en sciences et technologies nucléaires au Cnam.
C dans l'air l'invitée du 30 octobre 2025 avec Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'Institut Montaigne et essayiste.Selon le baromètre publié par le Figaro Magazine aujourd'hui, la cote de confiance d'Emmanuel Macron a chuté à 11 %, atteignant son plus bas niveau depuis le début du quinquennat. En un mois, le président perd 5 points, notamment chez les seniors et les retraités. Un président qui chute en popularité, dans une France qui doute. Selon l'enquête "Fractures françaises 2025" (Ipsos BVA), les Français sont en proie à un pessimisme record, et à la défiance politique. Pouvoir d'achat, déclassement social, déclin national : le diagnostic dressé par Ipsos pour la Fondation Jean-Jaurès, Le Monde, le Cevipof et l'Institut Montaigne est sans appel. 36 % des Français citent le pouvoir d'achat comme leur principale préoccupation, loin devant la délinquance, l'immigration ou l'environnement.Cette inquiétude nourrit un sentiment plus large de déclin. Neuf Français sur dix considèrent que le pays est en déclin, dont un tiers juge cette évolution irréversible. Jamais, depuis le lancement de l'enquête en 2014, le pessimisme n'avait atteint un tel niveau. La défiance politique est à l'unisson. Plus de huit Français sur dix estiment que les responsables politiques agissent pour leurs intérêts personnels. Et àpeine 20 % font confiance aux députés ou à l'Assemblée nationale.Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'Institut Montaigne et essayiste, est notre invitée. Elle analysera les résultats de l'enquête "Fractures françaises 2025", dont les résultats montrent également que 47 % des Français estiment que le Rassemblement national de Marine Le Pen est désormais « capable de gouverner le pays ».
SHOW 10-22-25 CBS EYE ON THE WORLD WITH JOHN BATCHELOR HK 1925 THE SHOW BEGINS IN THE DOUBTS ABOUT XI. FIRST HOUR 9-915 Colonel McCausland Discusses Postponed Budapest Summit, Gaza Ceasefire Instability, and Pentagon Information Control Jeff McCausland with John Batchelor Colonel McCausland explained the Budapest summit postponement, noting Putin demands Ukrainian surrender before a ceasefire. He considered Tomahawks an escalation of firepower, but not a game-changer, with delivery now on hold. McCausland described the Gaza ceasefire as precarious, lacking discussion or plan for Hamas disarmament, which he views as the necessary "red line" for stability. He criticized the Pentagon's new policy blocking journalists from soliciting unauthorized information as an attempt by Secretary Hegseth to control information flow and increase opacity. 915-930 Colonel McCausland Discusses Postponed Budapest Summit, Gaza Ceasefire Instability, and Pentagon Information Control Jeff McCausland with John Batchelor Colonel McCausland explained the Budapest summit postponement, noting Putin demands Ukrainian surrender before a ceasefire. He considered Tomahawks an escalation of firepower, but not a game-changer, with delivery now on hold. McCausland described the Gaza ceasefire as precarious, lacking discussion or plan for Hamas disarmament, which he views as the necessary "red line" for stability. He criticized the Pentagon's new policy blocking journalists from soliciting unauthorized information as an attempt by Secretary Hegseth to control information flow and increase opacity. 930-945 Steve Yates Discusses Australia-US Alliance Strength and Political Turmoil Affecting APEC Summit Steve Yates with John Batchelor Steve Yates confirmed the Trump-Albanese meeting was a net positive, accelerating AUKUS and securing a rare earth deal that addresses supply access. He noted the political turmoil in Beijing, highlighted by uncertainty over Xi Jinping's APEC attendance. This instability is abnormal and reinforces China's unstable political foundation. Yates suggested this instability should push allies to rely more on the first island chain as a reliable balance. 945-1000 Rick Fisher Reports on China's Reusable Rocket Deluge and US Moon Race Political Pressures Rick Fisher with John Batchelor Rick Fisher reported that China has 27 reusable space launch vehicle projects underway, predicting a "deluge" of cheap space services to compete with SpaceX. He noted that President Trump is alarmed that China may win the second race to the moon. Trump pressured NASA Administrator Duffy to open the Human Landing System competition to Blue Origin, signaling that politics and winning the race are paramount, regardless of competitor viability. China's first reusable booster test could occur before year-end. SECOND HOUR 10-1015 Colonel Newsham Discusses Promising US-Australia Rare Earth Deal and Canberra's Dual Strategy Toward China Grant Newsham with John Batchelor Colonel Grant Newsham discussed the promising US-Australia rare earth deal, noting Australia has vast mining capabilities to provide an alternative to China's dominance. China's threat to use export controls might spur free nations to develop alternative supply chains. Newsham noted Canberra is playing a "neat trick," maintaining a firm defense alliance with the US (AUKUS) while maintaining profitable economic ties with Beijing, reflecting an underlying "softness" toward China. 1015-1030 Colonel Newsham Discusses Promising US-Australia Rare Earth Deal and Canberra's Dual Strategy Toward China Grant Newsham with John Batchelor Colonel Grant Newsham discussed the promising US-Australia rare earth deal, noting Australia has vast mining capabilities to provide an alternative to China's dominance. China's threat to use export controls might spur free nations to develop alternative supply chains. Newsham noted Canberra is playing a "neat trick," maintaining a firm defense alliance with the US (AUKUS) while maintaining profitable economic ties with Beijing, reflecting an underlying "softness" toward China. 1030-1045 China's Property Crisis, Deflation, and Structural Obstacles to Consumption Anne Stevenson-Yang with John Batchelor Anne Stevenson-Yang discussed how the persistent property crater has severely dragged down fixed asset investment. Beijing aims to boost the economy via consumption, but the Chinese system is structurally built to communicate only with producers, not average consumers. Furthermore, the deflationary environment encourages people to delay purchases, waiting for lower prices. She views the Five-Year Plans mainly as an "amazing relic" used internally to motivate the sprawling government bureaucracies. 1045-1100 General Zhang Youxia Allegedly Leads PLA Purges Amid Internal CCP Power Struggle General Blaine Holt with John Batchelor General Blaine Holt reported that the purge of nine flag officers was allegedly executed by General Zhang Youxia, not Xi Jinping. Zhang, a top general, began the purges out of fear of becoming a target himself, indicating an internal "civil war" within the CCP factions opposing Xi. Zhang has secured elite military units loyal to him and the People's Liberation Army (PLA), rather than solely the Party, stabilizing the military amidst the turmoil. Zhang's life is at risk if Xi prevails.THIRD HOUR 1100-1115 Peter Berkowitz Analyzes Precarious Gaza Ceasefire and Deep Internal Political Tensions in Israel Peter Berkowitz with John Batchelor Peter Berkowitz stated the Gaza ceasefire is precarious and phase one is incomplete until all deceased hostages' remains are returned, aligning with Israeli public and governmental sentiment. Hamas may be stalling negotiations to rearm. Berkowitz noted sharp internal tensions in Israel, driven by opposition to Netanyahu, resentment over judicial reform, and economic exhaustion from military service. He finds it unlikely that the peace plan, which requires Hamas disarmament, will be fully realized. 1115-1130 Peter Berkowitz Analyzes Precarious Gaza Ceasefire and Deep Internal Political Tensions in Israel Peter Berkowitz with John Batchelor Peter Berkowitz stated the Gaza ceasefire is precarious and phase one is incomplete until all deceased hostages' remains are returned, aligning with Israeli public and governmental sentiment. Hamas may be stalling negotiations to rearm. Berkowitz noted sharp internal tensions in Israel, driven by opposition to Netanyahu, resentment over judicial reform, and economic exhaustion from military service. He finds it unlikely that the peace plan, which requires Hamas disarmament, will be fully realized. 1130-1145 GOP Voters Found More Moderate on Fiscal Issues and Driven by Cultural Anti-Progressivism, According to New Analysis Ryan Streeter with John Batchelor Ryan Streeter discussed findings showing Republican voters are more moderate than portrayed, especially on entitlement cuts. They prioritize a healthy economy and law and order. Isolationism is not prominent, though they oppose excessive foreign spending. MAGA Republicanism is defined primarily by cultural issues, like anti-progressivism and concern over immigration, often outweighing economic policies like tariffs. Streeter concludes that rank and file voters are not as radical as national politics suggest. 1145-1200 GOP Voters Found More Moderate on Fiscal Issues and Driven by Cultural Anti-Progressivism, According to New Analysis Ryan Streeter with John Batchelor Ryan Streeter discussed findings showing Republican voters are more moderate than portrayed, especially on entitlement cuts. They prioritize a healthy economy and law and order. Isolationism is not prominent, though they oppose excessive foreign spending. MAGA Republicanism is defined primarily by cultural issues, like anti-progressivism and concern over immigration, often outweighing economic policies like tariffs. Streeter concludes that rank and file voters are not as radical as national politics suggest. FOURTH HOUR 12-1215 Simon Constable Reports on Rising Commodity Prices Driven by Data Center Demand and European Political Turmoil Simon Constable with John Batchelor Simon Constable reported significant commodity price increases (copper up 14%, gold up 48%), driven by demand for data centers and AI. He criticized European reluctance to build needed data centers, stressing their necessity for the digital future. Constable noted President Macron fears Marine Le Pen's National Rally due to growing support stemming from concerns over unfettered immigration. He also criticized the UK Labour party's plan to tax professionals like dentists and doctors, predicting they will leave the country. 1215-1230 Simon Constable Reports on Rising Commodity Prices Driven by Data Center Demand and European Political Turmoil Simon Constable with John Batchelor Simon Constable reported significant commodity price increases (copper up 14%, gold up 48%), driven by demand for data centers and AI. He criticized European reluctance to build needed data centers, stressing their necessity for the digital future. Constable noted President Macron fears Marine Le Pen's National Rally due to growing support stemming from concerns over unfettered immigration. He also criticized the UK Labour party's plan to tax professionals like dentists and doctors, predicting they will leave the country. 1230-1245 Bob Zimmerman Criticizes NASA's Artemis Lunar Program as a "Management Disaster" Focused on Beating China Bob Zimmerman with John Batchelor Bob Zimmerman criticized NASA interim administrator Sean Duffy for focusing on SpaceX being "behind schedule," distracting from NASA's own delay of the Artemis mission to 2028 at the earliest. He called the Artemis plan an "unwieldy management disaster" designed haphazardly to give the SLS rocket a mission. The political push to beat China by 2028 creates a dangerous "one-time stunt." Zimmerman argues the private sector (SpaceX) is the real future of US space endeavors. 1245-100 AM Bob Zimmerman Criticizes NASA's Artemis Lunar Program as a "Management Disaster" Focused on Beating China Bob Zimmerman with John Batchelor Bob Zimmerman criticized NASA interim administrator Sean Duffy for focusing on SpaceX being "behind schedule," distracting from NASA's own delay of the Artemis mission to 2028 at the earliest. He called the Artemis plan an "unwieldy management disaster" designed haphazardly to give the SLS rocket a mission. The political push to beat China by 2028 creates a dangerous "one-time stunt." Zimmerman argues the private sector (SpaceX) is the real future of US space endeavors.
Simon Constable Reports on Rising Commodity Prices Driven by Data Center Demand and European Political Turmoil Simon Constable with John Batchelor Simon Constable reported significant commodity price increases (copper up 14%, gold up 48%), driven by demand for data centers and AI. He criticized European reluctance to build needed data centers, stressing their necessity for the digital future. Constable noted President Macron fears Marine Le Pen's National Rally due to growing support stemming from concerns over unfettered immigration. He also criticized the UK Labour party's plan to tax professionals like dentists and doctors, predicting they will leave the country.
Simon Constable Reports on Rising Commodity Prices Driven by Data Center Demand and European Political Turmoil Simon Constable with John Batchelor Simon Constable reported significant commodity price increases (copper up 14%, gold up 48%), driven by demand for data centers and AI. He criticized European reluctance to build needed data centers, stressing their necessity for the digital future. Constable noted President Macron fears Marine Le Pen's National Rally due to growing support stemming from concerns over unfettered immigration. He also criticized the UK Labour party's plan to tax professionals like dentists and doctors, predicting they will leave the country.
Macron's Political Crisis and the Rise of the National Rally Joseph Sternberg, Wall Street Journal, with John Batchelor Sternberg explains that President Macron's political turmoil stems from his determination to avoid new elections, fearing defeat by Marine Le Pen's National Rally. Macron's reform agenda failed because he was perceived as an urban elite disconnected from voters and lacked a cohesive free-market vision. Sternberg also addresses Prince Andrew, noting his lack of accountability regarding his friendship with Jeffrey Epstein makes him a permanent liability for the monarchy. 1871 PARIS SIEGE
SHOW 10-21-25 CBS EYE ON THE WORLD WITH JOHN BATCHELOR 1885 NYSE THE SHOW BEGINS IN THE DOUBTS ABOUT THE MARKET ON A BULL RUN... FIRST HOUR 9-915 Private Equity Tapped to Fund US Military Infrastructure Revamp Elizabeth Peek, Fox News and The Hill, with John Batchelor Peek discusses the US Army's initiative to attract $150 billion from private equity giants for infrastructure upgrades, including data centers, leveraging private capital for necessary long-term investments. She notes the US economy shows accelerating growth, defying recession predictions, fueled by strategic investments in technology and domestic manufacturing. Peek also critiques the "No Kings" protest as a politically weak movement lacking a concrete agenda beyond expressing frustration with Trump. 915-930 Private Equity Tapped to Fund US Military Infrastructure Revamp Elizabeth Peek, Fox News and The Hill, with John Batchelor Peek discusses the US Army's initiative to attract $150 billion from private equity giants for infrastructure upgrades, including data centers, leveraging private capital for necessary long-term investments. She notes the US economy shows accelerating growth, defying recession predictions, fueled by strategic investments in technology and domestic manufacturing. Peek also critiques the "No Kings" protest as a politically weak movement lacking a concrete agenda beyond expressing frustration with Trump. 930-945 Gaza Ceasefire and Regional Instability in the Middle East Jonathan Schanzer, Foundation for Defense of Democracies, with John Batchelor Schanzer analyzes the Gaza ceasefire, noting Hamas is deliberately slow-rolling the return of bodies to maintain leverage. New regional tensions are rising, including reports of Egypt moving aggressive offensive weapons into the Sinai and Turkey calling for a pan-Islamic offensive against Israel. Schanzer notes that internal power struggles between tribes and a weakening Hamas could lead to political fragmentation in Gaza. 945-1000 Gaza Ceasefire and Regional Instability in the Middle East Jonathan Schanzer, Foundation for Defense of Democracies, with John Batchelor Schanzer analyzes the Gaza ceasefire, noting Hamas is deliberately slow-rolling the return of bodies to maintain leverage. New regional tensions are rising, including reports of Egypt moving aggressive offensive weapons into the Sinai and Turkey calling for a pan-Islamic offensive against Israel. Schanzer notes that internal power struggles between tribes and a weakening Hamas could lead to political fragmentation in Gaza. SECOND HOUR 10-1015 Macron's Political Crisis and the Rise of the National Rally Joseph Sternberg, Wall Street Journal, with John Batchelor Sternberg explains that President Macron's political turmoil stems from his determination to avoid new elections, fearing defeat by Marine Le Pen's National Rally. Macron's reform agenda failed because he was perceived as an urban elite disconnected from voters and lacked a cohesive free-market vision. Sternberg also addresses Prince Andrew, noting his lack of accountability regarding his friendship with Jeffrey Epstein makes him a permanent liability for the monarchy. 1015-1030 Macron's Political Crisis and the Rise of the National Rally Joseph Sternberg, Wall Street Journal, with John Batchelor Sternberg explains that President Macron's political turmoil stems from his determination to avoid new elections, fearing defeat by Marine Le Pen's National Rally. Macron's reform agenda failed because he was perceived as an urban elite disconnected from voters and lacked a cohesive free-market vision. Sternberg also addresses Prince Andrew, noting his lack of accountability regarding his friendship with Jeffrey Epstein makes him a permanent liability for the monarchy. 1030-1045 The Financial Flow: China's Role in Fentanyl Money Laundering Josh Birenbaum, Foundation for Defense of Democracies, with John Batchelor Birenbaum discusses China's deep involvement in the fentanyl crisis, supplying precursor chemicals and dominating money laundering for Mexican cartels. Chinese money laundering gangs convert cartel dollars into RMB via a triangle system, catering to Chinese nationals who need US dollars outside of China's capital controls. Birenbaum suggests tracking dollars moving within the US and requiring proof of source of wealth for large purchases to disrupt this finance loop. 1045-1100 Geopolitics and Power Shifts: Rare Earths, AUKUS, and CCP Purges Gregory Copley with John Batchelor Copley discusses Australian PM Albanese's US visit, which secured a rare earths agreement leveraging Australia's vast reserves and advanced mining technology. This deal disrupts China's historic control over critical minerals leverage. Copley also analyzes the political purging of general officers during the CCP's Fourth Plenum. This suggests a major power shift, potentially leading to the removal of Xi Jinping, as the military appears to be controlling the party. THIRD HOUR 1100-1115 Geopolitics and Power Shifts: Rare Earths, AUKUS, and CCP Purges Gregory Copley with John Batchelor Copley discusses Australian PM Albanese's US visit, which secured a rare earths agreement leveraging Australia's vast reserves and advanced mining technology. This deal disrupts China's historic control over critical minerals leverage. Copley also analyzes the political purging of general officers during the CCP's Fourth Plenum. This suggests a major power shift, potentially leading to the removal of Xi Jinping, as the military appears to be controlling the party. 1115-1130 Geopolitics and Power Shifts: Rare Earths, AUKUS, and CCP Purges Gregory Copley with John Batchelor Copley discusses Australian PM Albanese's US visit, which secured a rare earths agreement leveraging Australia's vast reserves and advanced mining technology. This deal disrupts China's historic control over critical minerals leverage. Copley also analyzes the political purging of general officers during the CCP's Fourth Plenum. This suggests a major power shift, potentially leading to the removal of Xi Jinping, as the military appears to be controlling the party. 1130-1145 Geopolitics and Power Shifts: Rare Earths, AUKUS, and CCP Purges Gregory Copley with John Batchelor Copley discusses Australian PM Albanese's US visit, which secured a rare earths agreement leveraging Australia's vast reserves and advanced mining technology. This deal disrupts China's historic control over critical minerals leverage. Copley also analyzes the political purging of general officers during the CCP's Fourth Plenum. This suggests a major power shift, potentially leading to the removal of Xi Jinping, as the military appears to be controlling the party. 1145-1200 Geopolitics and Power Shifts: Rare Earths, AUKUS, and CCP Purges Gregory Copley with John Batchelor Copley discusses Australian PM Albanese's US visit, which secured a rare earths agreement leveraging Australia's vast reserves and advanced mining technology. This deal disrupts China's historic control over critical minerals leverage. Copley also analyzes the political purging of general officers during the CCP's Fourth Plenum. This suggests a major power shift, potentially leading to the removal of Xi Jinping, as the military appears to be controlling the party. FOURTH HOUR 12-1215 1215-1230 1230-1245 Germany's Merz Under Pressure Amid Economic and Political Crises Judy Dempsey, Carnegie Endowment for International Peace, with John Batchelor Dempsey reports German Chancellor candidate Merz is under severe pressure due to a stagnant economy heavily reliant on China and the rise of the far-right AfD. Merz is challenged by internal coalition disagreements, particularly with the SPD over welfare reform. Europe's overall support for Ukraine remains largely rhetorical; arguments over sanctions and frozen Russian assets delay crucial material support needed by Zelensky. 1245-100 AM Germany's Merz Under Pressure Amid Economic and Political Crises Judy Dempsey, Carnegie Endowment for International Peace, with John Batchelor Dempsey reports German Chancellor candidate Merz is under severe pressure due to a stagnant economy heavily reliant on China and the rise of the far-right AfD. Merz is challenged by internal coalition disagreements, particularly with the SPD over welfare reform. Europe's overall support for Ukraine remains largely rhetorical; arguments over sanctions and frozen Russian assets delay crucial material support needed by Zelensky.
Macron's Political Crisis and the Rise of the National Rally Joseph Sternberg, Wall Street Journal, with John Batchelor Sternberg explains that President Macron's political turmoil stems from his determination to avoid new elections, fearing defeat by Marine Le Pen's National Rally. Macron's reform agenda failed because he was perceived as an urban elite disconnected from voters and lacked a cohesive free-market vision. Sternberg also addresses Prince Andrew, noting his lack of accountability regarding his friendship with Jeffrey Epstein makes him a permanent liability for the monarchy.