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Ce 20 septembre, Laurent Gerra a imité Brigitte Macron, Marine Le Pen, Jean-Marie Bigard, Vladimir Poutine, Patrick Bruel, Francis Cabrel, Vincent Delerm, Michel Sardou, Laurent Ruquier, et Patrick Sébastien. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes préférées.
durée : 00:36:07 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner - Ce matin, mercredi 20 septembre 2023, nous revenons sur l'arrivée de milliers de migrants sur l'île de Lampedusa en seulement quelques jours. Alors que Marine Le Pen évoque une "submersion migratoire", cette nouvelle crise n'est-elle finalement pas celle de la politique migratoire européenne ? - invités : Delphine Diaz Maîtresse de conférences en histoire contemporaine à l'Université de Reims; Vincent Cochetel Directeur Europe du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés; Camille Schmoll Géographe, enseignante à l'Université de Paris et membre du laboratoire Géographie-cités et IC Migrations
C dans l'air du 19 septembre - Lampedusa : et maintenant la France sous pression Près de 11 000 hommes, femmes et enfants en provenance d'Afrique du Nord ont débarqué la semaine dernière sur la petite île italienne de Lampedusa au milieu de la mer Méditerranée, soit plus que l'ensemble de la population locale. Complètement dépassées, les autorités de l'île ont décrété l'état d'urgence locale mercredi dernier avant de constater depuis vendredi une baisse du nombre d'arrivées. Mais cet afflux soudain met les pouvoirs locaux ainsi que les ONG en grande difficulté. La présidente du Conseil des ministres italiens, la leader d'extrême droite Giorgia Meloni qui promettait un blocus maritime se retrouve démunie et la crise prend une dimension européenne. Face à la situation, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen s'est rendue sur place avec Giorgia Meloni dimanche pour appeler à la solidarité européenne et à l'accueil d'une partie des migrants. L'Allemagne qui dans un premier temps avait déclaré fermer ses portes a finalement décidé de continuer à accueillir les migrants et les réfugiés arrivant en Italie. La France, en revanche, a dit vouloir aider l'Italie sans accueillir personne. C'est la ligne qu'a défendu hier le ministre de l'Intérieur lors de sa rencontre avec son homologue à Rome. La France veut bien prêter main-forte à l'Italie pour lui permettre de tenir sa frontière maritime mais pas question de laisser les arrivants gagner l'Hexagone. Ils seront systématiquement remis aux autorités italiennes le temps d'examiner leur situation. Et pour faire face à un éventuel afflux, la préfecture des Alpes-Maritimes prévoit d'augmenter temporairement les capacités du local de police pour les étrangers en situation irrégulière interpellés, mais "dément catégoriquement tout projet de création d'un camp de migrants à Menton" alors que depuis plusieurs jours, droite et extrême droite multiplient les déclarations. En première ligne sur le sujet, le Rassemblement national et Marine Le Pen, "candidate naturelle" de son camp pour 2027, elle l'a dit hier soir au journal de 20 heures de TF1 avant de réclamer "un moratoire total sur l'immigration" et surtout pas de solidarité européenne. "La solution, c'est de monter un mur juridique, pas physique", a estimé la présidente du groupe RN à l'Assemblée, inscrivant clairement la crise migratoire actuelle à l'agenda de la campagne pour les Européennes. C'est précisément ce qu'avait fait déjà la semaine dernière le président du RN, Jordan Bardella, tête de liste pour le scrutin européen de juin 2024. Mais également Marion Maréchal, tête de liste du parti d'Eric Zemmour Reconquête aux Européennes, soutien de la formation post-fasciste Fratelli d'Italia dont est issue Giorgia Meloni, qui s'est rendue dès jeudi dernier sur l'île. De son côté, la Macronie raille les critiques émises par le RN et Reconquête !. "Sur l'immigration comme sur le reste, l'extrême droite est une supercherie. Vos amis Meloni et Salvini sont débordés à Lampedusa, incapables de gérer quoi que ce soit", a réagi sur X (ex-Twitter) Charles Sitzenstuhl, député Renaissance du Bas-Rhin. "Lampedusa n'est que le reflet de ce qui se passe quand l'extrême droite arrive au pouvoir. C'est ça la vérité. Pensée à tous ces migrants qui ont fui la misère parfois au péril de leur vie. La réponse à cela est européenne tant sur le régalien que sur l'humanisme dont nous devons tous faire preuve", a renchéri sa collègue des Yvelines, Nadia Hai. Interrogé sur ce dossier en marge de son déplacement à Semur-en-Auxois (Côte-d'Or), Emmanuel Macron a défendu un "devoir de solidarité européenne" avec l'Italie. Pour autant, le chef de l'État a estimé que la situation démontre l'inefficacité des solutions proposées par l'extrême droite : "les approches strictement nationalistes ont leurs limites". Une façon de critiquer à la fois les positons de Giorgia Meloni, comme celles du RN, de LR et de Reconquête ! dans l'hexagone. Quelle est la situation à Lampedusa ? Pourquoi cet afflux de migrants, partis essentiellement dans des embarcations depuis les côtes tunisiennes ? Quel est le plan d'urgence européen pour aider l'Italie ? Cet été, l'Union européenne a signé un partenariat qui visait à soutenir financièrement la Tunisie en échange d'une meilleure régulation des flux migratoires. Alors que se passe-t-il en Tunisie ? Enfin quelle est la politique menée en Italie par Giorgia Meloni sur les questions d'immigration et de famille ? LES EXPERTS : - JEAN-DOMINIQUE GIULIANI - président de la Fondation Robert Schuman - RACHEL BINHAS - journaliste au service société de Marianne , spécialiste des questions d'immigration - CARL MEEUS - rédacteur en chef du Figaro Magazine - BRICE TEINTURIER - directeur général délégué de l'institut de sondages Ipsos et enseignant à Sciences Po. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 18 septembre - Inflation : Borne dégaine la vente à perte Alors que l'inflation continue d'impacter lourdement le budget des ménages et que les prix des carburants sont repartis à la hausse ces dernières semaines, le gouvernement cherche la parade. Après le plafonnement des prix de l'essence et le prix coûtant à la pompe, l'exécutif a décidé de sortir la carte de la vente à perte des carburants. Si le projet de loi examiné en octobre à l'Assemblée nationale est adopté, la mesure entrera en vigueur début décembre pour six mois a affirmé ce lundi le ministre de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire sur France 2, deux jours après l'annonce de la Première ministre. Mais que signifie vendre à perte ? Les effets d'une telle mesure auront-ils réellement un impact sur le prix des carburants ? La revente à perte est interdite en France depuis 1963 pour protéger les professionnels les plus fragiles de toute menace de "dumping. Si cette autorisation est votée par les parlementaires, les distributeurs pourront vendre leur carburant à un prix inférieur à celui auquel ils l'ont acheté. Mais le feront-ils ? Et est-ce réalisable ? Le gouvernement prédit une baisse de 47 centimes par litre. Mais c'est peu probable répondent les spécialistes qui estiment qu'une telle réduction coûterait trop aux enseignes. En revanche, des remises de quelques centimes seraient, d'après eux, possibles pour accroître la concurrence entre les distributeurs. Mardi ces derniers ont rendez-vous à Bercy pour évoquer les détails de son application. Autre mesure annoncée par l'exécutif : l'interdiction à partir du 1er novembre de la "shrinkflation", ce procédé qui consiste pour les industriels à réduire la quantité vendue dans un emballage sans pour autant réduire le prix, voire en l'augmentant. Enfin plus exactement "dès novembre, tous les produits concernés par des changements de quantité devront le signaler sur les étiquettes pour ne plus tromper le consommateur", a expliqué samedi Élisabeth Borne. Cette décision fait suite à de nombreuses plaintes de consommateurs, de vives critiques de la part des distributeurs et une inquiétude croissante concernant le pouvoir d'achat des ménages, en baisse constante. Depuis quelques jours, les enseignes Carrefour et Intermarché se charge d'ailleurs déjà d'indiquer par des affichettes que certaines marques ont pratiqué la shrinkflation. Résultat : sur 20.000 références chez Carrefour, la semaine dernière, 26 produits concernés par la shrinkflation ont été recencés. Soit 0,1% de l'offre. Pas de quoi faire baisser massivement les prix, en somme. Or la question des prix et du pouvoir d'achat est bien en cette rentrée la priorité des Français, obligés de revoir leurs budgets et de se serrer la ceinture. Selon une étude de l'Insee, la classe moyenne subit de plein fouet la hausse des prix. Notamment les salariés qui touchent moins de 2.000 euros, et qui sont désormais étranglés par les dépenses contraintes et l'inflation qui continue de grimper. "Un sentiment de déclassement se crée. La baisse de la consommation de 11 % depuis la fin 2021 est un retournement inédit depuis l'après-guerre. Nous sommes à un tournant", a indiqué au Parisien Mathieu Plane, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). 34 % des Français assurent que "leurs revenus leur permettent juste de boucler leur budget", selon une étude Ipsos pour le Secours populaire. Par ailleurs, les Français qui basculent dans la pauvreté et ont recours à l'aide des associations sont de plus en plus nombreux. Une situation qui pèse sur la popularité d'Emmanuel Macron et d'Élisabeth Borne, selon les dernières enquêtes. Les cadres de la Nupes, comme Jean-Luc Mélenchon, n'en tirent pas profit. Marine Le Pen et le RN, en revanche, progressent et visent désormais particulièrement les classes moyennes, clés de la conquête du pouvoir. LES EXPERTS : - EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - OLIVIER DAUVERS - Journaliste, spécialiste de la grande distribution - NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra - SOPHIE FAY - Journaliste - Le Monde, spécialiste des questions de transports
durée : 00:03:58 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - A Lampedusa, le gouvernement nationaliste italien appelle l'Europe à la rescousse. Il a changé de discours. Marine Le Pen peut-elle l'ignorer ?
Après les derniers drames de Lampedusa et la forte pression migratoire, l'Allemagne a décidé de ne plus accepter de migrants venus d'Italie jusqu'à nouvel ordre. En France, un dernier sondage donne (toujours) Marine Le Pen en tête au premier tour pour 2027.
Marine Le Pen est-elle aux portes du pouvoir en France ? Alors que le parti fait sa rentrée ce week-end à Beaucaire, dans le Gard, Grand reportage vous invite à une immersion dans la machine du Rassemblement national, au service de Marine Le Pen. Trois fois, elle s'est présentée à la présidentielle. Deux fois, elle est arrivée au second tour, en 2017 et 2022. Alors, l'élection de 2027, dans quatre ans, sera-t-elle la bonne ? C'est tout un parti, des dizaines d'élus, des milliers de militants qui sont tournés vers ce seul et unique objectif. « Le Rassemblement national, en ordre de marche vers 2027 », un Grand Reportage de Pierrick Bonno.
Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra sur l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Le 14 septembre 2013, Laurent Gerra imitait notamment François Hollande, Marine Le Pen, Jean-Marie Le Pen, Valéry Giscard d'Estaing, et Dominique Strauss-Kahn.
Pour sa deuxième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
"Plusieurs débats au coeur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : La rentrée politique de Marine Le Pen La manque des prof dans la moitié des écoles La réduction de la taille de burger par McDo
durée : 00:04:12 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Avec Marion Marechal en tête de liste, l'ancien chroniqueur espère toujours unir les droites. Mais à neuf mois des élections européennes, il joue d'abord la survie de son parti... loin derrière Marine Le Pen.
C dans l'air du 7 septembre - Bardella s'installe, Marion Maréchal revient LES EXPERTS : - JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - LOUIS HAUSALTER - Journaliste politique - Marianne - ALIX BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France Télévisions - BERNARD SANANÈS - Politologue – Président de l'Institut de sondage Elabe La bataille des européennes est lancée. Jordan Bardella conduira la liste du Rassemblement national et Marion Maréchal celle de Reconquête lors des élections de juin 2024. La petite fille de Jean-Marie Le Pen a confirmé hier soir sur TF1 son "retour politique", elle qui a été députée FN entre 2012 et 2017 avant de se mettre en retrait puis de rejoindre le mouvement d'Éric Zemmour lors de la dernière présidentielle. Marion Maréchal a précisé que ce retour ne laissait en rien présager de ses ambitions pour la prochaine présidentielle : "Je souhaite qu'Éric Zemmour soit le candidat en 2027, c'est le candidat naturel". Un peu plus tôt ce dernier avait expliqué dans les colonnes du Figaro avoir "décidé de confier à Marion Maréchal la mission de conduire la liste de Reconquête pour les élections européennes. Je souhaite qu'elle soit accompagnée par toute la jeune génération, venue de tous les partis de droite, qui m'a rallié pendant la présidentielle et qu'ils fassent le plus haut score possible", a-t-il dit. "Je n'ai pas vocation à être candidat à toutes les élections", avait précisé celui qui a réuni 7,07 % à la présidentielle de 2022. Le dauphin de Marine Le Pen face à sa nièce, c'est donc le nouveau duel annoncé à l'extrême droite lors de ces prochaines échéances électorales dont ils souhaitent faire de véritables "midterms" du second quinquennat d'Emmanuel Macron et un tremplin pour la prochaine présidentielle. "Les élections européennes, c'est, en fait, l'unique occasion pour les Français de sanctionner le gouvernement et de préparer l'après-Emmanuel Macron", a déclaré ces derniers jours le président du RN dans le Figaro. Porté par des sondages qui montrent les uns après les autres que l'image de Marine Le Pen s'améliore dans l'opinion publique et que son parti gagne en crédibilité, Jordan Bardella entend tendre la main aux électeurs des Républicains (LR) et à ceux d'Éric Zemmour. Avec un argument de poids : selon une enquête Ifop pour le JDD, la liste RN qu'il mènera arrive largement en tête des intentions de vote avec 25 % des suffrages, soit un score supérieur de 2 points à celui de 2019 (23,3 %). Au sein des classes populaires, le RN frôle les 40 % et atteint presque les 50 % d'intentions de vote chez les ouvriers. De son côté, Marion Maréchal s'est vu confier une mission de taille tant ce scrutin est important pour le parti d'Éric Zemmour qui n'a aucun député au Parlement. Car l'obtention de députés européens lui est essentielle pour continuer d'exister. Reconquête est actuellement crédité d'environ 7 % d'intentions de vote dans le sondage Ifop pour Le JDD. A neuf mois des élections européennes, le RN et Reconquête se mettent en ordre de marche, bien décidés à passer à l'offensive alors que Renaissance et LR n'ont pas encore tranché la question de la tête de liste, et que la gauche est plus divisée que jamais. Mardi soir, les socialistes ont acté leur autonomie, et les Insoumis ont nommé Manon Aubry pour coordonner une liste unique de la gauche aux européennes. Mais la tâche s'annonce complexe et le dernier sondage de l'institut Viavoice pour Libération ne devrait pas faciliter la tâche. D'après cette enquête, réalisée fin août, le RN est jugé moins "radical", moins "violent", et surtout moins "dangereux" que La France Insoumise… De quoi relancer le débat ouvert par Jean-François Ruffin lors des Amfis des Insoumis à Valence cet été. Le député de la Somme y avait défendu l'idée que LFI devait cesser d'incarner une forme de radicalité afin de rassurer les électeurs. Une position qu'il martèle depuis des mois lors de ces nombreux déplacements sur le terrain et qui est éloignée de la ligne officielle. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Débat enflammé autour de l'abaya, rentrée de Gérald Darmanin, ambitions de Marine Le Pen pour 2027... : vice-président de l'Assemblée nationale et vice-président de son parti, le Rassemblement National, Sébastien Chenu répond aux questions de Julien Sellier. Ecoutez L'invité de RTL Soir du 28 août 2023 avec Marion Calais et Julien Sellier.
Retrouvez les meilleurs moments de l'Œil de Philippe Caverivière, consacrés ce matin au Rassemblement National face à Marion Maréchal et Marine Le Pen. Ecoutez L'été de Philippe Caverivière du 24 août 2023 avec Philippe Caverivière.
REDIFF - Amie d'enfance de Marine Le Pen, Marie d'Herbais a longtemps animé le blog de Jean-Marie Le Pen, en compagnie de l'ancien patron du Front National. En voici un extrait, lors d'un retour de vacances... Anecdotes de vacances, retour au travail... Cet été, retrouvez du lundi au vendredi une archive estivale de Laurent Gerra.
Jakie zmiany społeczno-polityczne zachodzą w Europie? Czy Europa zaczyna skręcać w prawo? Partie radykalne będą się ucentrawiać? Kto głosuje na Marine Le Pen? Czy Parlament Europejski będzie wyglądać inaczej? Na te pytania odpowiada Kacper Kita, Nowy Ład. (2:14) Czy Europa skręca w prawo? (6:40) Partie radykalne będą się ucentrawiać? (17:02) Francja i Marine Le Pen (29:06) Hiszpania i Vox (33:16) Wybory do PE - jak daleko mogą zajść przesunięcia? (40:23) Czy kolejne państwa będą wychodzić z UE? Wspieraj Układ Otwarty: https://patronite.pl/igorjanke Subskrybuj newsletter pisany Igora Janke: https://igorjanke.pl/newsletter/ Układ Otwarty nagrywamy w https://bliskostudio.pl Mecenasi programu: Novoferm: https://www.novoferm.pl/ XTB https://link-pso.xtb.com/pso/3aLF E2V https://e2v.pl/ Devtalents https://devtalents.com Ongeo https://ongeo.pl
Yasser Louati, political analyst and Head of the Committee for Justice and Liberties, highlights the brutal practices of the French police, as well as the proximity of the police unions to Marine Le Pen's right-wing ideology. He discusses how French secularism, or laïcité, has been instrumentalized against racialized groups and minorities. Furthermore, he argues that France is at a crossroads; as seen in the anti-pension reform protests, different groups from the fringes of French society are uniting to protest the neoliberal state, as well as its policies which sustain religious and racial discrimination and the increased alienation of the poorer classes. Will French society keep fighting for justice and rise up against the regime, as it has done in various movements in the past?
C dans l'air du 15 juillet : Marine Le Pen : sa nouvelle stratégie LES EXPERTS : - Yves THRÉARD - Editorialiste, directeur adjoint de la rédaction du Figaro - Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction de Libération - Ivanne TRIPPENBACH - Journaliste au Monde en charge de l'exécutif - Driss AIT YOUSSEF - Docteur en droit public, spécialiste des questions de sécurité globale
C dans l'air du 15 juillet : Marine Le Pen : sa nouvelle stratégie PRÉSENTATION: Maya Lauqué LES EXPERTS : - Yves THRÉARD - Editorialiste, directeur adjoint de la rédaction du Figaro - Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction de Libération - Ivanne TRIPPENBACH - Journaliste au Monde en charge de l'exécutif - Driss AIT YOUSSEF - Docteur en droit public, spécialiste des questions de sécurité globale Deux semaines après les émeutes, et alors même que le calme semble revenu au lendemain de festivités du 14-Juillet sans reprise des violences, que va faire l'exécutif ? Si le président de la République a choisi de ne pas se livrer à la traditionnelle interview télévisée devant les Français lors des cérémonies de la Fête nationale, il va parler dans "les prochains jours" a indiqué l'Elysée. Il s'y était engagé le 17 avril dernier en lançant sa séquence des "cent jours d'apaisement" après la conflictuelle réforme des retraites. À l'époque, le chef de l'État avait assuré qu'il reviendrait devant les Français autour du 14 Juillet pour un "premier bilan" des chantiers lancés alors. Le premier sur le travail, pour renouer le dialogue avec les organisations syndicales et lancer des discussions sur les salaires, notamment. Après des mois de bras de fer à cause des retraites, les syndicats ont rencontré la semaine dernière Élisabeth Borne pour aborder ces sujets. Le deuxième chantier portait sur la justice et l'ordre républicain avec l'engagement de renforcer le contrôle de l'immigration illégale et des "annonces fortes" contre la délinquance. Dernier chantier, enfin, celui de l'éducation et de la santé avec la promesse de "désengorger" tous les services d'urgence d'ici à fin 2024. Sur le plan politique, Emmanuel Macron avait également demandé à sa Première ministre de continuer à travailler pour élargir la majorité. Sur tous ces dossiers, Emmanuel Macron est attendu, mais pas seulement. Silencieux depuis les émeutes, il n'a toujours pas donné sa lecture des événements, préférant prendre le temps de consulter et de comprendre avant de parler. Le sujet du remaniement gouvernemental est lui aussi toujours dans l'air avec le sort d'Élisabeth Borne en suspens. Va-t-elle rester ou quitter Matignon ? Et qui pour la remplacer ? Cela fait maintenant plusieurs semaines que les ministres sont dans le flou alors que les rumeurs circulent à toute vitesse et que la Première ministre entend bien occuper le terrain. Elisabeth Borne a ainsi accordé au Parisien une longue interview, publiée le 8 juillet, dans laquelle elle évoque pêle-mêle son bilan, les "100 jours", la transition écologique, mais aussi le remaniement. "J'ai une feuille de route, je délivre et je m'y tiens", y assure la cheffe du gouvernement, ajoutant : "Je ne commente pas les rumeurs". Devant les parlementaires de la majorité réunis à Matignon récemment, elle s'est également félicitée que la "dynamique" de son gouvernement soit "pleinement lancée." Du côté du Rassemblement national, si Marine Le Pen s'est faite plutôt discrète pendant les événements, laissant le patron du parti martelait des formules chocs sur les plateaux télé, elle a fait cette semaine son retour sur le terrain. Mercredi, la présidente des députés RN s'est rendue à Beauvais. Evitant le quartier qui a souffert des nuits de violences car "impossible à sécuriser", la cheffe de file du parti d'extrême droite s'est rendue dans le centre-ville tranquille pour parler d'économie avec des commerçants tandis que Jordan Bardella continue d'occuper le terrain médiatique. Formulant cette semaine son opposition à toute nouvelle dépense publique en faveur des banlieues pour résorber les inégalités, le patron du RN estime que "la jeunesse de la banlieue a été privilégiée par rapport à celle de la ruralité". Une stratégie de la France des champs contre celle des banlieues sur laquelle le Rassemblement national mise pour marquer des points dans l'opinion à la faveur des émeutes. Pendant ce temps dans les quartiers touchés par les violences, habitants et municipalités cherchent à parer au plus pressé. Dans les communes où les centres sociaux ont brulé, il faut trouver des solutions alternatives pour venir en aide aux parents qui travaillent et n'ont plus de lieu d'accueil pour leurs enfants en ce début de vacances scolaires. Se pose aussi la question du transport pour les propriétaires des 5000 véhicules incendiés pendant ces émeutes. Nombre d'associations ont également perdu gros. Certaines ONG ont lancé des cagnottes pour financer les réparations. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
REDIFF - L'été 2012, Marine Le Pen avait besoin de souffler après les présidentielles et les législatives. Mais Jean-Marie Le Pen ne s'est pas apitoyé pour ses 2 ans de campagne alors que lui est resté 58 ans en campagne ! Anecdotes de vacances, retour au travail... Cet été, retrouvez du lundi au vendredi une archive estivale de Laurent Gerra.
C dans l'air du 13 juillet - 14 Juillet : la crainte de l'étincelle... LES EXPERTS : - Christophe BARBIER - Editorialiste politique - Louis HAUSALTER - Journaliste politique – Marianne - Alix Bouilhaguet - Editorialiste politique - France Télévisions - Jérôme FOURQUET - Directeur du pôle "opinion et stratégies d'entreprise" - Ifop C'est un 14-Juillet sous haute surveillance qui se prépare un peu partout en France. 130 000 policiers, gendarmes et sapeurs-pompiers seront mobilisés ce soir et demain afin d'empêcher de nouvelles violences après celles qui ont suivi la mort de Nahel, tué par un policier à Nanterre. Des émeutes ont en effet éclaté dans plusieurs villes entre le 27 juin et le 3 juillet dernier. Au cours de cette période, 3 486 personnes ont été interpellées, 12 202 véhicules incendiés, 1 105 bâtiments brûlés ou dégradés et 209 locaux de la police nationale, de la gendarmerie ou des polices municipales attaquées selon les chiffres communiqués par le ministère de l'Intérieur. Pour éviter une résurgence des violences, un "dispositif exceptionnel" de 45 000 policiers et gendarmes sera déployé chaque soir, a annoncé le ministre de l'Intérieur. Pour la première fois un 14-Juillet, les forces spéciales du Raid, du GIGN et de la BRI, ainsi que des hélicoptères et des véhicules blindés de la gendarmerie seront engagés dans les communes les plus sensibles, a ajouté Gérald Darmanin. Quelque 40 000 pompiers seront également sur le pont chaque nuit pour intervenir sur les feux de poubelles et autres incendies. Depuis Vilnius, en Lituanie, Emmanuel Macron a promis d'agir "avec la plus grande détermination" en cas d'incidents. Malgré le calme revenu dans les quartiers, l'exécutif sait que la situation reste fragile et le contexte éruptif. Difficile dans ce contexte de se plier à la traditionnelle interview du 14-Juillet. Imaginez le chef de l'Etat appeler à la concorde et à l'unité de la nation, quand dans les rues les poubelles et les voitures brûlent… Et puis une prise de parole pour dire quoi ? Emmanuel Macron avait affirmé, lors d'un déplacement à Pau le 6 juillet dernier, que la première réponse aux violences urbaines était "l'ordre, le calme et la concorde", avant de "travailler sur les causes profondes". Considérant que "la nature de ces violences urbaines est très différente de ce que (la France a) connu jusqu'à présent", le chef de l'Etat a estimé hier depuis Vilnius qu'il ne s'agit pas "d'une affaire de sous-investissement dans la politique de la ville" ni d'"un manque de forces de sécurité ou de magistrats" car "10 000 postes" ont été créés. "Les choses sont plus compliquées que les réflexes pavloviens ne voudraient le dire donc ça suppose de l'humilité et de la détermination" a souligné le chef de l'Etat qui selon l'Elysée devrait néanmoins s'exprimer "dans les prochains jours". Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran avait déjà expliqué que le président "aurait l'occasion de revenir" sur le bilan des 100 jours d'apaisement dans les conditions qu'il "souhaite". D'ici là, le président de la République accueille ce jeudi le Premier ministre indien Narendra Modi, invité d'honneur des célébrations du 14-Juillet. Une visite de deux jours qui soulève autant de questions stratégiques que de critiques liées aux valeurs démocratiques. Dérouler le tapis rouge à l'extrême droite indienne le 14-Juillet est une faute majeure, estiment ainsi des personnalités politiques de gauche. Alors qu'à droite, les déclarations de Bruno Retailleau continuent de faire des remous. Invité le 5 juillet dernier sur Franceinfo, le chef des sénateurs LR avait déclaré qu'il y avait un lien entre émeutes et immigration. "Certes, ce sont des Français mais ce sont des Français par leur identité et malheureusement pour la deuxième, la troisième génération, il y a comme une sorte de régression vers les origines ethniques" avait-il souligné. Des propos qui ont indigné la gauche et des élus Renaissance, mais aussi une partie de son camp. Le député LR, Alexandre Vincendet, s'est ému : "Quand on ramène les gens à leur couleur de peau, cela porte un nom." "Le goût du politiquement incorrect, l'apparente intellectualisation des maux de la société ne peuvent pas justifier de dévoyer nos valeurs fondamentales", a affirmé de son côté le député LR du Lot Aurélien Pradié. Avant de conclure : "Ni Charles Pasqua, ni Philippe Séguin n'auraient toléré de tels propos. Ils auraient été fermes sur le rétablissement des valeurs et de l'ordre républicains, mais jamais ils n'auraient basculé dans un réveil de guerre des races. N'ajoutons pas à l'effondrement de la gauche celui de la droite gaulliste." Récemment, le parti LR a choisi de redoubler de fermeté, quitte à ce que le RN l'accuse de "copier-coller" son programme et que dans ses rangs certains s'élèvent contre cette stratégie qui voudrait doubler le RN sur sa droite, en occupant l'espace que la "normalisation" de Marine Le Pen laisserait vacant au risque, selon eux, de s'éloigner des valeurs républicaines. Parallèlement, la montée en puissance dans les médias de Vincent Bolloré, qui dément tout projet "politique" faisant le lit de l'extrême droite, suscite interrogations, critiques mais aussi embarras dans la classe politique jusqu'au sommet de l'Etat. La rédaction du JDD qui fait grève depuis plusieurs semaines contre la nomination à sa tête de Geoffroy Lejeune, journaliste marqué à l'extrême droite, a appelé samedi dernier Emmanuel Macron à se "saisir au plus vite" des questions d'indépendance de la presse, dans une lettre publiée par Ouest-France. En pointant à cette occasion "la discrétion" de l'exécutif qui "semble ainsi avaliser ce nouveau coup porté à l'indépendance des médias". La ministre de la Culture Rima Abdul Malak a engagé avec les parlementaires "une réflexion" pour faire évoluer la loi Bloche de 2016 qui vise à renforcer l'indépendance des médias a depuis rappelé Olivier Véran. Mais le porte-parole du gouvernement a admis qu'à ce stade, la seule question qui se pose est de savoir si M. Bolloré prend "acte de la volonté ou non des salariés" du JDD. De son côté le ministre de l'Éducation nationale Pap Ndiaye a lui clairement affiché dimanche dernier son soutien à la "mobilisation des personnels du JDD" en s'en prenant à Vincent Bolloré, un "personnage manifestement très proche de l'extrême droite la plus radicale" et à sa chaîne CNews, devenue "clairement d'extrême droite", tout comme la radio Europe 1. Des propos qui ont suscité la polémique jusque dans les rangs macronistes. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Sébastien Chenu, Vice-président de l'Assemblée Nationale, député RN du Nord, évoque le retour sur le terrain de Marine Le Pen à Beauvais et des solutions qu'elle souhaite apporter aux problèmes des Français.
Chaque matin de l'été, à 8h15, Alexandre Le Mer en juillet et Lionel Gougelot en août reçoivent une personnalité au centre de l'actualité. Ce jeudi, Sébastien Chenu, Vice-président de l'Assemblée Nationale et député RN du Nord, revient sur le bilan des 100 jours fixé par le Président, par son silence annoncé lors du 14 juillet et du retour sur le terrain de Marine Le Pen.
Retrouvez les meilleurs moments de L'Œil de Philippe Caverière, consacrés ce matin au Rassemblement National, face à Marine Le Pen, Sébastien Chenu et Jordan Bardella.
Retrouvez les meilleurs moments de L'Œil de Philippe Caverière, consacrés ce matin au Rassemblement National, face à Marine Le Pen, Sébastien Chenu et Jordan Bardella. Ecoutez L'été de Philippe Caverivière du 10 juillet 2023 avec Philippe Caverivière.
Learn more about what's happening in France and what Marine Le Pen is calling for French people to do to restore order in their nation. Highlights: ● “For 30 years, we've been warning you that what you were doing to France was going to backfire big time! And in the midst of all of this carnage and social upheaval, all this burning and looting that's engulfed our nation in these race riots, on behalf of everyone here, I ask you: what the hell have you done to our nation? What have you done to France? You've ignored all of our warnings, and you've ignored all of the warning signs that civil war was coming upon us." ● "And now you've got these BLM-like riots engulfing the country in response to the police shooting of a 17-year old Muslim who tried to run away from the police; apparently something he had done a number of times before. And this is precisely what Le Pen and many others have been warning France's globalist elite about for years!" ● “So what you just heard from Marine Le Pen is a resounding echo of precisely these sentiments! It's time for Macron to either act or to go!” Timestamps: [00:49] The Sound of Freedom movie on fire at the box office and being endorsed by Trump and Elon Musk [03:16] What have you done to France? [05:08] Marine Le Pen has been warning globalist elites about the heinous murderous terrorist acts that have been carried out in France [06:44] Open letter addressed to Macron Resources: ● Learn how to protect your life savings from inflation and an irresponsible government, with Gold and Silver. Go to http://www.turleytalkslikesgold.com/ ● Want free inside stock tips straight from the SEC? Click here to get started now: https://event.webinarjam.com/register ● Give your skin a healing feeling. Soothing benefits of pure Bentonite Clay. Made the Amish Way on a farm in South Dakota. Use Promo Code: TURLEY for an exclusive discount. Olde Country Soap. Experience the Tradition. Go to https://www.oldecountrysoap.com/ ● The Courageous Patriot Community is inviting YOU! Join the movement now and build the parallel economy at https://join.turleytalks.com/insiders-club-evergreen/?utm_medium=podcast Thank you for taking the time to listen to this episode. If you enjoyed this episode, please subscribe and/or leave a review. Sick and tired of Big Tech, censorship, and endless propaganda? Join my Insiders Club with a FREE TRIAL today at: https://insidersclub.turleytalks.com Make sure to FOLLOW me on Twitter: https://twitter.com/DrTurleyTalks BOLDLY stand up for TRUTH in Turley Merch! Browse our new designs right now at: https://store.turleytalks.com/ Do you want to be a part of the podcast and be our sponsor? Click here to partner with us and defy liberal culture! If you would like to get lots of articles on conservative trends make sure to sign-up for the 'New Conservative Age Rising' Email Alerts.
Dans ce bulletin d'information qui fait partie de la programmation d'été du Média, Théophile Kouamouo revient sur la cagnotte créée par Jean Messiha, activiste d'extrême droite proche de Marine Le Pen puis d'Eric Zemmour, dans le but de soutenir la famille de Florian Menesplier, le policier par qui la tragédie Nahel est arrivée. “Circulez y a rien à voir” : c'est en gros le message des responsables de Gofundme. Et ils sont confortés par le silence complice du gouvernement. Et les propos choquants d'Eric Ciotti, le président des Républicains, le parti de ce qui est censé être la droite “traditionnelle”, “modérée”. Dans ce module d'info nous revenons également sur la version des faits de l'IGPN, qui a déjà commencé à communiquer sur la vidéo amateur où l'on voit le crime policier qui a coûté la vie à Nahel. Une version qui s'oppose à celle des amis du jeune infortuné. L'actualité autour de la tragédie Nahel, ce sont aussi les révoltes qui se poursuivent avec les dégâts matériels qu'elles peuvent causer mais aussi leur lot d'interpellations. Environ 78 à 1h30 dans la nuit de dimanche à lundi. Un rythme plus faible que la nuit précédente durant laquelle 719 personnes avaient été interpellées. Interpellations mais également comparutions immédiates. Des comparutions immédiates qui suscitent déjà de nombreuses critiques, comme durant la révolte des Gilets jaunes. A l'international, la presse du monde entier a toujours les yeux rivés sur la situation. En gros, c'est majoritairement sous l'angle de la dénonciation du racisme et des problématiques liées à l'immigration que plusieurs médias internationaux ont commenté la situation sociale de la France. ▶ Soutenez Le Média :
In een speciale aflevering van de podcast Het Land van Wierd Duk spreekt verslaggever Wierd Duk met voormalig Frankrijk-correspondent Kleis Jager over de rellen naar aanleiding van de dood van een 17-jarige jongen door politiekogels. Wat ging aan de ongeregeldheden vooraf? Waarom zijn de rellen zo hevig en wijdverspreid? Welke rol spelen cultuur en religie? Wat is het verschil met Nederland? En: spelen de rellen Marine Le Pen in de kaart?See omnystudio.com/listener for privacy information.
Marine Le Pen attracting critical mass of support in France
N°304 / 2 juillet 2023. Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.fr Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 30 juin 2023. Avec cette semaine : Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors. Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova. LA RUSSIE APRÈS LA MARCHE DE WAGNER La prise de la grande base arrière russe de l'opération militaire en Ukraine, à Rostov-sur-le-Don, par les 5.000 mercenaires du groupe paramilitaire privé Wagner d'Evgueni Prigojine, a été réalisée sans le moindre coup de feu. Le lancement d'un raid armé vers Moscou ne s'est arrêté qu'à 200 kilomètres de la capitale et n'a été entravé par aucune force militaire substantielle. Juste avant de se lancer dans sa marche forcée Prigojine a brisé le tabou du mensonge, révélant que les généraux russes (et donc Poutine) avaient menti sur la guerre, sur les pertes humaines, les territoires reconquis par les Ukrainiens et même sur les buts de guerre, qu'il a déclarés « infondés ». Construisant son empire médiatique et industriel à visage couvert, niant le moindre lien avec la milice Wagner spécialisée dans la guerre hybride, déployée là où la Russie défend ses intérêts sans vouloir apparaître - Ukraine, Syrie, Libye, République centrafricaine, Mali - Progojine n'a reconnu en être le créateur qu'en septembre 2022. Après l'avoir utilisé, puis l'avoir laissé recruter des prisonniers de droit commun ayant commis des crimes de sang, sans la moindre base légale, l'armée russe a interdit ces pratiques pour les reprendre à son compte. Une compétition avec Wagner s'est ensuite engagée, alors même que les deux forces faisaient face à la contre-offensive ukrainienne. Tandis que Prigojine insultait le commandement militaire russe pour son incompétence et appelait à sa démission, ses troupes ont été privées de vivres et de munitions. L'armée russe a demandé à intégrer la milice. L'incursion des groupes armés en provenance d'Ukraine dans la région de Belgorod, l'attaque de drones à Moscou puis l'avancée de Wagner vers la capitale ont posé la question de la capacité de l'Etat russe à défendre son territoire. Cependant, l'élite politique a fait corps : toute la journée du samedi, députés, gouverneurs ou élus locaux ont diffusé des messages de soutien au président. Lundi, sans le nommer, Vladimir Poutine a qualifié Evgueni Prigojine de « traître » − une désignation qui vaut en théorie condamnation à mort. Au lieu de cela, dans la soirée le chef du Kremlin a offert à Prigojine des garanties de sécurité. Il a réaffirmé que ces combattants - ayant joué un rôle essentiel dans la guerre en Ukraine - ne feraient l'objet d'aucune poursuite. Ils pourront, au choix, signer un contrat avec le ministère de la Défense pour intégrer l'armée régulière russe, rentrer chez eux, ou rejoindre la Biélorussie, où doit s'exiler Prigojine. Lundi, l'homme d'affaires a réaffirmé que le but de sa « marche » n'était pas « la prise du pouvoir », mais seulement « d'empêcher le démantèlement » de Wagner. Certes, il « regrette » la mort de militaires russes. Mais M. Prigojine continue de se présenter en chef du groupe et assure qu'Alexandre Loukachenko, le président de la Biélorussie, lui aurait proposé une solution permettant « la poursuite du travail dans un cadre légal ». Lundi, le ministre des affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a assuré que la société allait « poursuivre » son travail en Afrique et ailleurs. *** MAYOTTE A Mayotte, 101e département français, marqué par de récurrents épisodes de violences et de tensions sociales, l'opération Wuambushu ("reprise en main") a été lancée le 24 avril. Il s'agit selon le ministre de l'Intérieur et des outre-mer de lutter contre la délinquance et l'insécurité, en détruisant certains bidonvilles et en expulsant des étrangers en situation irrégulière, principalement des Comoriens. Les autorités ont l'intention d'expulser entre 10.000 et 20.000 sans-papiers : Mayotte compte 310.000 habitants, dont on estime que la moitié sont étrangers. L'opération s'est rapidement heurtée à deux obstacles majeurs : le refus des Comores voisines d'accueillir leurs ressortissants expulsés, et les multiples recours judiciaires déposés par des familles de clandestins. Dès le deuxième jour, l'opération était suspendue par le tribunal judiciairequi considérait la démolition des bidonvilles « illégale », avant que le tribunal administratif de Mayotte ne tranche finalement en faveur de l'État. Plus de 400 policiers et gendarmes supplémentaires sont sur l'île, portant à 1.800 les effectifs des forces de l'ordre présents sur place. Malgré la multiplication des « plans » pour Mayotte, les services publics dans l'île sont en déshérence : pas assez d'écoles pour scolariser tous les enfants (6.000 à 7.000 enfants sont déscolarisés) ; peu d'accès à la santé, et un manque flagrant de personnels soignants ; l'accès à l'eau potable est une problématique majeure marquée par des coupures d'eau quatre fois par semaine. La situation de mal-logement est massive : 57 % des ménages vivent en surpeuplement, 40 % des logements sont en tôle, 30 % des logements ne sont pas raccordés à l'eau, 10 % n'ont pas l'électricité. « Musulmane à 95 % », Mayotte a voté à 59,10 % pour Marine Le Pen au second tour de la présidentielle de 2022. Les 24 et 25 juin, deux mois après le début de l'opération, le ministre de l'intérieur a effectué un déplacement pour défendre un premier bilan de l'opération soutenue localement, mais dénoncée par plusieurs associations, dont la Cimade et Médecins du monde, comme « tout sécuritaire ». Gérald Darmanin a précisé que l'intervention sera rallongée de « plus d'un mois » puis qu'un « deuxième type d'opération » débuterait en septembre, ciblant, par des procédures judiciaires, l'agriculture et la pêche illégales, ainsi que les marchands de sommeil. Il a affirmé qu'en deux mois, « les violences contre les personnes ont été réduites de 22 % » et les cambriolages, vols et atteintes aux biens, « de 28 % », revendiquant aussi avoir « divisé par trois le flux entrant de clandestins ». Le dernier objectif de « Wuambushu », la lutte contre la criminalité, pose des problèmes de surpopulation carcérale : dans l'unique prison de l'île le taux d'occupation est passé à 230 %. La construction d'une nouvelle prison et d'un nouveau centre de rétention est envisagée, mais aucun terrain n'a encore été identifié pour les bâtir. Le ministre a promis de « revenir en septembre prochain ». Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Francia atraviesa en estos momentos una grave crisis de orden público. Desde hace cinco días proliferan los disturbios por todo el país, disturbios que han devenido muy violentos y que han puesto a Emmanuel Macron contra las cuerdas. El Gobierno ha sacado a la calle a casi 50.000 agentes de policía para tratar de sofocar las protestas que empezaron la semana pasada tras la muerte a manos de la policía de un joven en la localidad parisina de Nanterre. El joven se saltó un control policial y la policía disparó. Poco después se convocó una manifestación de repulsa y la indignación se apoderó de los barrios periféricos de la capital. A los dos días las calles de las principales ciudades francesas ardían como teas. Hasta la fecha se han efectuado más de 2.000 detenciones, hay unos 300 agentes de policía heridos, 3.000 vehículos incendiados y aproximadamente mil edificios que han sufrido daños de distinta consideración. Junto esto se han registrado saqueos en todo tipo de establecimientos comerciales, en algunas ciudades se han decretado toques de queda y se ha interrumpido el transporte público ya que los vándalos la han tomado también con los autobuses y los tranvías. A Macron este estallido de rabia le ha pillado bajo de forma. Hace sólo tres meses hubo de enfrentar una movilización masiva a causa de la reforma de las pensiones que elevaba la edad de jubilación de los 62 a los 64 años. En aquel momento también hubo mucha violencia en la calle, pero no se llegó a los niveles que se están viendo ahora. El Gobierno se encuentra emparedado entre un bloque de extrema izquierda y otro de derecha nacionalista. Los primeros aseguran que la causa de estos disturbios está en la pobreza en la que viven los habitantes de los banlieu, barrios periféricos de las ciudades poblados por inmigrantes de bajos ingresos. No es casual que el líder de la coalición izquierdista Francia Insumisa, Jean-Luc Mélenchon, tardase tanto en condenar la violencia callejera, no lo hizo hasta que la calle estaba totalmente fuera de control. Los segundos, liderados por Marine Le Pen de la Agrupación Nacional, aseguran que el problema es la inmigración y la laxitud de las leyes. Por el momento, y a diferencia de lo que sucedió en 2005 cuando Jacques Chirac se encontró con un problema parecido a este en las banlieu, Macron no ha declarado el estado de emergencia. Ha tenido, eso sí, que suspender un viaje oficial a Alemania que tenía programado. Es la segunda vez en apenas tres meses que sucede algo así. A finales de marzo Carlos III de Inglaterra tuvo que cancelar su visita a Francia a causa de las manifestaciones contra la reforma de las pensiones. Esta vez el problema es aún mayor porque no hay un reclamo político detrás de quienes están sembrando el pánico en las calles. No hay un líder, ni un programa, ni nadie con quien negociar. Esto complica las cosas y obliga al Gobierno a buscar una solución policial, algo que muchos franceses apoyan porque la violencia se ha descontrolado por completo. Para tratar este tema que tanta polémica está generando (pero no sólo Francia, en España Vox lo lee en clave nacional), nos acompaña Alberto Garín, que, si bien no es medio francés, se acerca mucho a eso. Alberto conoce bien aquel país, domina su idioma, aprecia su cultura y llegó incluso a residir hace unos años en una banlieu de París. Una persona con una opinión muy autorizada que nos ayudará a separar el grano de la paja y a entender las causas de este arrebato de cólera que ha incendiado Francia y se ha metido de lleno en la campaña electoral en España. · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #francia #disturbios Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
C dans l'air du 1er juillet : Pillages, violences... Macron à l'épreuve Présentation: Maya Lauqué LES EXPERTS : - Driss AIT YOUSSEF - Docteur en droit public - Spécialiste des questions de sécurité - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » - Aurelie HERBEMONT - Journaliste au service politique “RTL” - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique - Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » Trois jours après la mort du jeune Nahel, tué par un policier lors d'un contrôle routier, des violences urbaines et émeutes ont encore éclaté dans de nombreuses villes de France hier soir. 2650 incendies sur la voie publique ont été dénombrés et 234 bâtiments dégradés... Les pillages et les destructions se sont poursuivies. C'était notamment le cas à Marseille et à Lyon, alors que la situation s'est un peu calmée en Île-de-France. Pour tenter d'enrayer le cycle des violences, les autorités avaient encore renforcé leurs moyens hier. Dans l'ensemble, la nuit a semblé plus calme que la veille. C'était notamment le cas en Île-de-France où, mises à part quelques tensions aux alentours de minuit à Nanterre et une intervention de la Brav-M dans le secteur des Halles à Paris, le climat ne s'est pas envenimé. Gérald Darmanin, en déplacement dans la nuit à Mantes-la-Jolie pour remercier les forces de l'ordre, a annoncé que les violences ont été d'une "intensité bien moindre". Le ministre de l'Intérieur a annoncé la mobilisation "exceptionnelle" de 45000 policiers et gendarmes pour éviter une quatrième nuit consécutive d'émeutes. À ces effectifs se s'ajoutent le déploiement de blindés de la gendarmerie et la poursuite du recours à des unités d'élite comme le GIGN pour faire baisser les tensions de la nuit précédente. Signe de la tension actuelle, le président de la République Emmanuel Macron a annulé une visite d'Etat en Allemagne pour rester dans le pays avec le gouvernement. Après les émeutes de ces dernières nuits, deux syndicats policiers, Alliance et Unsa-Police, majoritaires dans la police nationale, se sont insurgés dans un communiqué contre des "hordes sauvages". Ce tract incendiaire est révélateur de l'exaspération des troupes. Le vocabulaire guerrier employé a provoqué colère et indignation. Il n'a pas manqué de faire réagir les autres branches du syndicat Unsa, qui s'en sont désolidarisées. Frédéric Marchand, secrétaire général de l'Unsa-Éducation, a condamné des mots "inquiétants et insupportables". Les mots choisis par Alliance et Unsa-Police ressemblent en effet à une menace à peine voilée au gouvernement. La classe politique de gauche s'est elle aussi indignée. Jean-Luc Mélenchon, notamment, a affirmé que "les 'syndicats' qui appellent à la guerre civile doivent apprendre à se taire". Jean-Luc Mélenchon n'est pas le seul personnage public à avoir réagi à la mort de Nahel, et aux événements qui s'en sont suivis. De gauche à droite de l'échiquier politique, les commentaires sont nombreux depuis quatre jours. La droite d'Eric Ciotti et l'extrême droite de Marine Le Pen rivalisent sur la volonté du retour à l'ordre. La cheffe du Rassemblement National, tout comme Eric Zemmour, voit dans ces émeutes une justification de sa volonté de tarir drastiquement l'immigration en France. La gauche marche de son côté sur une ligne de crête. Si tous les partis de la Nupes étaient présents à Nanterre pour la marche blanche en soutien à la famille de Nahel, ils ont du mal à parler d'une seule voie. La France insoumise met en avant la nécessité de justice quand le communiste Fabien Roussel appelle, lui, à la fin des violences. A l'étranger, les émeutes qui secouent la France sont suivies de prêt. En Europe et au-delà, le traitement de ces événements par la presse varie selon que ces pays mettent l'accent sur les questions sécuritaires, culturelles, migratoires ou encore raciales. En Russie, on s'amuse des images d'Emmanuel Macron présent a un concert mercredi soir, pendant que de nombreuses villes brûlaient. Aux Etats-Unis et en Allemagne, on est marqué par le niveau de racisme de la police française. Les médias britanniques s'inquiètent de leur côté de l'organisation des Jeux Olympiques, qui doivent se tenir dans un an à Paris. Que s'est-il passé la nuit dernière ? Quelle est la réaction de la classe politique à ces émeutes ? Comment la presse étrangère parle-t-elle de ces événements ?
France is burning and the Macron government is on the brink; riots have engulfed the capital city in what's turning out to be France's own version of George Floyd! We're going to see the latest on the violent outburst that have engulfed Paris, how the nationalist right leader Marine Le Pen is surging towards a landslide victory! Highlights: ● “The Macron government is trying to get a grip on the riots, Macron held an emergency meeting with ministers, calling the police shooting in his words quote ‘inexplicable' and ‘inexcusable' and vowed swift justice in response!” ● “The notion of victimology and the importance of emancipating populations from past injustices, is precisely the ideology that JUSTIFIES globalism; globalism is supposed to be the answer, the solution that liberates populations from unjust social structures!” ● “Unfortunately, Macron is finding out the hard way that contradictions always in the end blow up!” Timestamps: [02:18] Nahel's shooting incident [06:18] Macron government blamed cultural Marxism [08:26] Macron is finding it out the hard way Resources: ● Abandon your woke provider TODAY and join Patriot Mobile! Get FREE ACTIVATION with Code: TurleyTalks HERE: https://www.patriotmobile.com/turleytalks/ ● The Courageous Patriot Community is inviting YOU! Join the movement now and build the parallel economy at https://join.turleytalks.com/insiders-club-evergreen/?utm_medium=podcast ● Reclaim control over your health TODAY with PhD Weight Loss! Call the team who helped Dr. Steve right now at 864 644 1900 ● Want free inside stock tips straight from the SEC? Join Ross and Dr. Steve at their upcoming Free Training (Thursday, June 29th at 3PM EST) here: https://turleytalksinsidertrading.com/registration/?tambid=18762 ● Learn how to protect your life savings from inflation and an irresponsible government, with Gold and Silver. Go to http://www.turleytalkslikesgold.com/ Thank you for taking the time to listen to this episode. If you enjoyed this episode, please subscribe and/or leave a review. Sick and tired of Big Tech, censorship, and endless propaganda? Join my Insiders Club with a FREE TRIAL today at: https://insidersclub.turleytalks.com Make sure to FOLLOW me on Twitter: https://twitter.com/DrTurleyTalks BOLDLY stand up for TRUTH in Turley Merch! Browse our new designs right now at: https://store.turleytalks.com/ Do you want to be a part of the podcast and be our sponsor? Click here to partner with us and defy liberal culture! If you would like to get lots of articles on conservative trends make sure to sign-up for the 'New Conservative Age Rising' Email Alerts.
Sie heißen Trump, Putin oder Xi Jinping, und sie prägen das politische Geschehen der Gegenwart: Starke Männer. Diesen Figuren disruptiver Politik widmet sich das aktuelle Heft des „Mittelweg 36“. Mitherausgeber Ulrich Bröckling und Jens Bisky sprechen über die Inszenierungen und den Erfolg der Strongmen, über Gemeinsamkeiten wie Unterschiede zwischen ihnen. Sie fragen nach vernünftigen Reaktionen auf personalisierte Politik – und ob Marine Le Pen in diese Reihe gehört.Ulrich Bröckling ist Professor für Kultursoziologie an der Albert-Ludwigs-Universität Freiburg im Breisgau. 2020 veröffentlicht er „Postheroische Helden. Ein Zeitbild.“Ulrich Bröckling / Dorna Safaian / Nicola Spakowski (Hg.): Starke Männer. Figuren disruptiver Politik. Mittelweg 36, 32. Jahrgang, Heft 3-4, Juni 2023. Bestellbar via: https://www.hamburger-edition.de/zeitschrift-mittelweg-36/alle-zeitschriften-archiv/artikel-detail/d/2949/Starke_M%C3%A4nner_%E2%80%93_Figuren_disruptiver_Politik/.Kontakt: podcast@his-online.de Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Chaque jour, les invités des GG se divisent en deux équipes pour débattre sur un sujet d'actualité en présentant leur plaidoyer. Avec : Stéphane Manigold, restaurateur. Joëlle Dago-Serry, coach de vie. Et Kevin Bossuet, professeur d'histoire-géographie. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
— Gaeten Dugas and Pratik Chougule debate their side bet on whether Trump will show up to the first Republican debate in August — Abhi and Pratik discuss whether PredictIt will offer new markets and how to trade on this question on Insight Prediction — Atlantic Sentinel editor Nick Ottens explains how countries can leave the European Union and why the odds of Italy and Poland exiting are very low
durée : 00:03:33 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - La cheffe du gouvernement italien était en visite à Paris. Dans son pays, elle conforte son emprise sur la droite. Un modèle pour le RN ?
Jérôme Sainte-Marie, est un politologue et sondeur reconnu. Pour Livre Noir, il nous livre ses analyses chiffrées sur l'état de l'opinion, les forces et faiblesses de Marine Le Pen, Eric Zemmour, LR et Macron. Et l'opposition entre bloc populaire et bloc élitaire, en répondant aux critiques sur cette théorie. Soutenez-nous !
durée : 00:02:17 - Le vrai du faux - Effectivement la part de l'industrie de le PIB français est relativement faible. Mais le constat n'est pas récent.
C'est une nouveauté que vous proposent cette saison Laurent Gerra et toute son équipe ! Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra à l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Dans cette chronique Laurent Gerra imitait notamment Dominique Strauss Kahn, Marine Le Pen ou encore Bertrand Delanoë.
Erstmals in der Geschichte des Landes hat die Bundesregierung eine Nationale Sicherheitsstrategie vorgelegt. Das 40-seitige Papier versucht, alle inneren und äußeren Bedrohungen für die Sicherheit Deutschlands auf einmal zu berücksichtigen. Dazu gehören nicht nur militärische Bedrohungen, sondern auch Cyberattacken, Angriffe auf kritische Infrastrukturen und der Klimawandel. Welche Aspekte der Strategie stechen besonders hervor? Und: Warum gab es sie nicht früher? Jörg Lau, außenpolitischer Koordinator der ZEIT, weiß die Antwort. Nicht nur in Deutschland erfreut sich mit der AfD eine rechte Partei wachsender Beliebtheit; sie liegt in aktuellen Umfragen bei 18 Prozent. Auch in Frankreich zieht die Rassemblement National von Marine Le Pen eine immer größere Wählerschaft an und könnte nächstes Jahr die Europawahl für sich entscheiden. Über die gesellschaftlichen Gründe für den Aufstieg der beiden Parteien sowie inhaltliche Gemeinsamkeiten spricht Roland Jodin im Podcast mit Frankreich-Korrespondentin Annika Joeres. Und sonst so? Immer hellere Nächte bedrohen Glühwürmchen-Populationen weltweit. (https://www.spiegel.de/wissenschaft/lichtverschmutzung-bedroht-gluehwuermchen-erschwerte-partnersuche-a-a8627775-97be-4cdc-b957-60d2b665a87f) Moderation und Produktion: Roland Jodin (https://www.zeit.de/autoren/J/Roland_Jodin/index) Redaktion: Jannis Carmesin (https://www.zeit.de/autoren/C/Jannis_Carmesin) Mitarbeit: Clara Löffler (https://www.zeit.de/autoren/L/Clara_Loeffler/index) und Christina Felschen (https://www.zeit.de/autoren/F/Christina_Felschen/index) Fragen, Kritik, Anregungen? Sie erreichen uns unter wasjetzt@zeit.de. Ein vierwöchiges Gratisprobeabo für die ZEIT oder ZEIT ONLINE erhalten Sie hier: (https://abo.zeit.de/wasjetzt) Weitere Links zur Folge: Ampel-Koalition: Bundesregierung beschließt Nationale Sicherheitsstrategie (https://www.zeit.de/politik/deutschland/2023-06/bundesregierung-beschliesst-nationale-sicherheitsstrategie)
Ce lundi 12 juin, Laurent Gerra a notamment imité Marine Le Pen, Philippe de Villiers ou encore Philippe Bouvard.
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
EPISODE 217: COUNTDOWN WITH KEITH OLBERMANN A-Block (1:43) SPECIAL COMMENT: As reports swirl, we seem to be on the verge of SOMETHING from Special Counsel Jack Smith and the Grand Jury. It is reportedly to reconvene this week after a month off. And DOJ is reportedly set to meet with Trump's lawyers. And now a new question: would DOJ make at least a token plea deal offer to him? A LOT going on. (7:29) SPECIAL COMMENT: Having learned nothing from anything, Just to convince the RNC to give the network a Republican Presidential Primary debate, CNN is reportedly ready to partner with a far right website - and even have one of its propagandists co-moderate the debate WITH a CNN star ON CNN. And NBC is also prostituting itself to get a shot at a Republican debate, sending Lester Holt to try to talk them into it. And we continue to have fallout from Tim Alberta's profile of CNN CEO Chris Licht in The Atlantic. Actually, it's less fallout and more an autopsy because Licht would have fared better if he'd gone into the Atlantic OCEAN. There is soooo much to discuss, but not too many possibilities as to what might happen next. As Burt Lancaster says to Tony Curtis in "Sweet Smell of Success": "You're dead, son. Get yourself buried." B-Block (35:50) POSTSCRIPTS TO THE NEWS: "When I took over ‘Meet The Press',” said Chuck Todd on Meet The Press as he announced his own firing FROM Meet The Press, “it was a Sunday show that had a lot of people questioning whether it still could have a place in the modern media space. Well, I think we've answered THAT question and then some.” He's self-aware to the last. And Lauren Boebert caught in a huge lie: she didn't fail to vote on the Debt Ceiling in protest; she just didn't make it in time - and it's on tape. IN SPORTS: the ultimate fan protest in a replica uniform and the Mets with a novel Hall of Fame induction (46:10) WORSTS: Marine LePen DOESN'T prove her French party wasn't associated with the Russians, Elon Musk's lawyers make a court filing that essentially disproves "The Twitter Files;" And a "comedian" goes on NewsMax and makes what she thinks is a joke but is actually a 150-year old racist trope about fried chicken. C-Block (50:40) EVERY DOG HAS ITS DAY: Lola in Miami (51:40) THINGS I PROMISED NOT TO TELL: The day my ability to tolerate Chuck Todd for one more moment snapped like a dry twig during a drought and I could no longer bear to even be in the...same fantasy football league as him.See omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 01:59:12 - Les Matins - par : Guillaume Erner - Les liaisons dangereuses entre le Rassemblement national et la Russie sont au cœur d'un récent rapport de l'Assemblée nationale. En cause : des financements douteux et un tropisme non dissimulé pour la Russie au sein du parti de Marine Le Pen. Le RN est-il vraiment le cheval de Troie de Poutine ? - invités : Isabelle Lasserre Correspondante diplomatique du Figaro, rédactrice en chef adjointe au service étranger du Figaro; Frédéric Encel Docteur HDR en géopolitique, professeur à l'ESG Management School et maître de conférences à Sciences-Po Paris
LES EXPERTS : - Guillaume DARET - Grand reporter au service politique – France Télévisions - Marie MOLEY - Journaliste au service politique – RTL - Christelle CRAPLET - Directrice du département opinion de BVA - Martial FOUCAULT - Politologue, Directeur du CEVIPOF, auteur de L'Etat et le dialogue social Le Rassemblement national "héritier de Pétain" ? Lors du Conseil des ministres, mardi 30 mai, le chef de l'Etat a condamné, sans la nommer, la déclaration de sa Première ministre sur le parti de Marine Le Pen, critiquant "des mots des années 1990 qui ne fonctionnent plus" selon des propos rapportés par le Parisien. Dimanche, lors d'une interview sur Radio J, Elisabeth Borne avait estimé que le Rassemblement national n'a pas changé et est toujours un "héritier de Pétain". "Je n'ai jamais entendu Marine Le Pen dénoncer ce qu'ont pu être les positions historiques de son parti et je pense qu'un changement de nom ne change pas les idées, les racines", avait déclaré la cheffe du gouvernement. Marine Le Pen s'était indignée des propos "infâmes et indignes" de la cheffe du gouvernement. Visiblement pas convaincu par sa Première ministre, Emmanuel Macron aurait longuement insisté hier, d'après le Parisien, sur l'idée de répliquer au Rassemblement national par "le concret", "le réel" et non pas avec "des arguments moraux. On n'arrivera pas à faire croire à des millions de Français qui ont voté pour elle que ce sont des fascistes", aurait-il déclaré. Depuis Emmanuel Macron a affirmé qu'Élisabeth Borne avait toute sa "confiance" et Matignon a tenté de déminer l'épisode. L'entourage de la Première ministre assure que Elisabeth Borne est revenue "très zen" de son déjeuner hebdomadaire avec le Président. Mais dans la classe politique, les propos du chef de l'Etat n'ont pas manqué de faire réagir. "Comment le président de la République ose-t-il recadrer Elisabeth Borne, fille de rescapé des camps, parce qu'elle a rappelé la filiation idéologique de l'extrême droite ? S'il y a "décivilisation", c'est celle du Président", s'est indigné le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, sur Twitter. L'insoumis Alexis Corbière a lui aussi tenu à s'exprimer sur Twitter : "C'est pourtant factuel, le FN fut fondé en 1972 par des pétainistes", a rappelé le député de la Seine-Saint-Denis. "Partez Élisabeth Borne. Restez dans l'Histoire comme celle qui a refusé de voir un président aussi cynique qu'inculte normaliser l'extrême-droite'", a pour sa part conseillé Aurélien Taché, député écologiste, à la patronne de Matignon. A droite, si le président de la Région Hauts-de-France, Xavier Bertrand assure qu'il faut privilégier les actions politiques concrètes pour convaincre les électeurs du RN, il estime également qu'oublier l'histoire du parti à la flamme contribue à le banaliser. " À l'origine, c'est un parti xénophobe, raciste et antisémite", a-t-il souligné, ajoutant que le RN s'était "aperçu" au fil du temps qu'afficher de telles positions "n'était pas très vendeur". Ainsi, pour Xavier Bertrand, le RN a dû "élargir son audience" en lissant son image, ses membres devenant des "professionnels du marketing qui se déguisent en parti de gouvernement". Côté RN, on s'enthousiasme de cette apparente discorde au sommet de l'Etat. "Une mauvaise élève qui se prend un blâme par le proviseur avant le conseil de discipline et l'exclusion définitive. Tic tac tic tac", s'amuse le député RN Thomas Ménagé tandis qu'à l'Assemblée, les députés de la majorité sont embarrassés à l'idée de départager les deux têtes de l'exécutif. Une gêne révélatrice de la difficulté stratégique du camp d'Emmanuel Macron face au parti d'extrême droite, au plus haut dans les sondages après l'épisode de la réforme des retraites, et qui cherche la parade. Après avoir passé "beaucoup de temps à taper sur la Nupes", selon le député Sylvain Maillard, les macronistes veulent aller chercher les députés du RN "cachés dans le terrier". C'est la mission de la "task force" lancée par le groupe Renaissance au Parlement. Parallèlement, la présidente de l'Assemblée nationale a inauguré au début du mois en Bretagne une série de rencontres citoyennes sur la réforme des institutions que le président de la République veut présenter dans les prochains mois. Mais d'ici là, Emmanuel Macron a choisi de mettre l'immigration à l'ordre du jour de la rentrée et laissé entendre que l'aide médicale d'Etat pourrait être réajustée. Au sein du gouvernement, Gérald Darmanin (Intérieur), soucieux de parvenir à un accord sur ce texte avec les LR, est pour revoir ses modalités. Gabriel Attal (Comptes publics) et François Braun (Santé) y sont défavorables, rappelant que l'AME représente aujourd'hui "0,5 %, même un peu moins, de l'ensemble du budget de la Sécurité sociale", et que "en plus de conserver les valeurs humanistes de la France", "pour des enjeux de sécurité sanitaire pour les Français, il faut garder un système qui soigne ces personnes présentes sur notre sol". Alors pourquoi Emmanuel Macron a-t-il recadré Elisabeth Borne après ses propos sur le RN ? Quelle est la stratégie de l'exécutif face à l'extrême droite ? Et comment fonctionne l'AME ? Qui est concerné par cette dernière ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Florida governor Ron DeSantis launches his presidential bid, we examine the state of Hungarian democracy and French far-right politician Marine Le Pen is hauled over the coals at a hearing investigating Russian influence in the National Rally party. Plus: the latest transport news with Monocle's Gabriel Leigh. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Ce mardi 23 mai, Laurent Gerra a notamment imité Marine Le Pen, Guillaume Durand et Enrico Macias.
Trotz abgegebener Stimmen steht noch nicht fest, ob Erdoğan oder Kılıçdaroğlu der neue türkische Präsident wird. Türkei-Korrespondentin Marion Sendker erklärt bei "Was Jetzt?", warum sich gestern widersprüchliche Meldungen und konkurrierende Zahlen häuften. Marine Le Pen ist laut Umfragen deutlich beliebter als Präsident Emmanuel Macron. Gleichzeitig steigt die Zahl der rechtsextremen Gewalttaten in Frankreich. Annika Joeres, Frankreich-Korrespondentin für ZEIT ONLINE, erklärt, wie Le Pens Beliebtheit und Rechtsextremismus zusammenhängen könnten. Und sonst so? ARD-Moderator Andreas Neumann beweist in der ARD-Sendung zur Bremer Bürgerschaftswahl Schlagfertigkeit. Moderation und Produktion: Roland Jodin Mitarbeit: Mathias Peer und Laurena Erdmann Fragen, Kritik, Anregungen? Sie erreichen uns unter wasjetzt@zeit.de. Weitere Links zur Folge: - Wahlen in der Türkei: Was Kemal Kılıçdaroğlu als Präsident anders machen will (https://www.zeit.de/politik/ausland/2023-04/tuerkei-wahlen-kandidaten-recep-tayyip-erdogan-haeufigste-fragen-faq) - Türkei: Parlaments- und Präsidentenwahlen (https://www.zeit.de/thema/tuerkei) - Selenskyj-Besuch: Demos zum Karlspreis: Für die Ukraine – und für Russland (https://www.zeit.de/news/2023-05/14/demos-zum-karlspreis-fuer-die-ukraine-und-fuer-russland) - Wahlsieg von Emmanuel Macron: Gerade noch mal so (https://www.zeit.de/politik/ausland/2022-04/frankreich-emmanuel-macron-praesident-wahlsieg) - Frankreich: Gesetz zur Erhöhung des Rentenalters in Kraft gesetzt (https://www.zeit.de/politik/ausland/2023-04/frankreich-rentenreform-amtsblatt-verfassungsrat-emmanuel-macron)
In last November's midterm elections, voters placed the Republican Party in charge of the House of Representatives. In 2024, it's very possible that Republicans will take over the Senate as well and voters will elect Donald Trump — or someone like him — as president. But the United States isn't alone in this regard. Over the course of 2022, Italy elected a far-right prime minister from a party with Fascist roots; a party founded by neo-Nazis and skinheads won the second-highest number of seats in Sweden's Parliament; Viktor Orban's Fidesz party in Hungary won its fourth consecutive election by a landslide; Marine Le Pen won 41 percent of the vote in the final round of France's presidential elections; and Jair Bolsonaro came dangerously close to winning re-election in Brazil.Why are these populist uprisings happening simultaneously, in countries with such diverse cultures, economies and political systems?Pippa Norris is a political scientist at Harvard's Kennedy School of Government, where she has taught for three decades. In that time, she's written dozens of books on topics ranging from comparative political institutions to right-wing parties and the decline of religion. And in 2019 she and Ronald Inglehart published “Cultural Backlash: Trump, Brexit and Authoritarian Populism,” which gives the best explanation of the far right's rise that I've read.In this conversation, taped in November 2022, we discuss what Norris calls the “silent revolution in cultural values” that has occurred across advanced democracies in recent decades, why the best predictor of support for populist parties is the generation people were born into, why the “transgressive aesthetic” of leaders like Donald Trump and Jair Bolsonaro is so central to their appeal, how demographic and cultural “tipping points” have produced conservative backlashes across the globe, the difference between “demand-side” and “supply-side” theories of populist uprising, the role that economic anxiety and insecurity play in fueling right-wing backlashes, why delivering economic benefits might not be enough for mainstream leaders to stave off populist challenges and more.Mentioned:Sacred and Secular by Pippa Norris and Ronald Inglehart“Exploring drivers of vote choice and policy positions among the American electorate”Book Recommendations:Popular Dictatorships by Aleksandar MatovskiSpin Dictators by Sergei Guriev and Daniel TreismanThe Origins of Totalitarianism by Hannah ArendtThoughts? Email us at ezrakleinshow@nytimes.com. (And if you're reaching out to recommend a guest, please write “Guest Suggestion" in the subject line.)You can find transcripts (posted midday) and more episodes of “The Ezra Klein Show” at nytimes.com/ezra-klein-podcast, and you can find Ezra on Twitter @ezraklein. Book recommendations from all our guests are listed at https://www.nytimes.com/article/ezra-klein-show-book-recs.This episode of “The Ezra Klein Show” is produced by Emefa Agawu, Annie Galvin, Jeff Geld and Roge Karma. Fact-checking by Michelle Harris, Mary Marge Locker and Kate Sinclair. Original music by Isaac Jones. Mixing by Jeff Geld. Audience strategy by Shannon Busta. Special thanks to Kristin Lin and Kristina Samulewski.