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Jordan Bardella, président du Rassemblement national, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la question du racisme anti-musulman après le meurtre dans une mosquée du Gard, du député Jérôme Guedj qui a été expulsé d'une manifestation LFI aux cris de PS sioniste, de la compatibilité de l'Islam avec la République, du vaste coup de filet dans l'affaire des attaques de prisons, de la perspective des prisons de haute sécurité pour lutter contre le narcotrafic et de sa candidature en 2027 en cas d'empêchement de Marine Le Pen. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que le meurtrier de la mosquée de La Grand-Combe s'est rendu à la police italienne, la gauche s'en prend violemment au ministre de l'IntérieurMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que les écologistes tiennent congrès ce week-end et que les socialistes entrent dans la dernière ligne droite avant la désignation de leur Premier secrétaire, la gauche s'interroge sur la suite et en particulier sur la stratégie à mettre en place en vue de la présidentielle. Faut-il un seul candidat commun, et si oui comment le désigner, avec quelle plateforme programmatique ? L'ancienne candidate commune à la primature du NFP, Lucie Castets, a pris la plume cette semaine pour appeler ses interlocuteurs des partis à se ressaisir du dossier. « La responsabilité est immense » en ces temps de « fascisation rampante », écrit Lucie Castets dans une tribune publiée par le journal Libération. Et elle assume de les prendre ses responsabilités dans ce qu'elle appelle « un droit de suite », après avoir été sollicitée à la surprise générale l'été dernier pour représenter le NFP à Matignon.Depuis l'échec de cette initiative, Lucie Castets échange régulièrement avec les dirigeants de la gauche et des écologistes mais aussi avec des acteurs de la société civile, des syndicats et des chercheurs. Et elle arrive ainsi avec un mode d'emploi de l'union : tout d'abord l'établissement d'un socle programmatique, élaboré au-delà des frontières des seuls partis, et une candidature commune pour 2027.Celle-ci pourrait être décidée à l'issue d'une primaire, d'un conclave inter partis ou d'une convention citoyenne ou un mélange de tout ça. Et Lucie Castets propose un premier rendez-vous le 2 juillet prochain pour lancer la dynamique et constituer une équipe, « plutôt que de chercher le candidat providentiel ».LFI opposée à une primaire« Il fallait tenir compte des échéances des uns et des autres », explique Lucie Castets : les écologistes sont en congrès ce week-end et pour les socialistes ce sera les 14 et 15 juin. « Mais il faut aussi écouter les électeurs de gauche », insiste-t-elle, ayant constaté une forte demande d'union lors de ses divers déplacements. Le problème c'est que la candidature commune, si elle est officiellement souhaitée par tous les partis de l'ex NFP, y aboutir via une primaire par exemple en horripile certains. La présidente du groupe Insoumis à l'Assemblée Mathilde Panot a ainsi fait part de son opposition jeudi, estimant que « l'union se fait dans l'action » et pas par des tractations politiciennes.À écouter aussiPolitique : l'avenir de la gauche s'écrit-il sans LFI ?Une longue route en perspectiveL'appel a quand même reçu un accueil favorable chez les écologistes, et les socialistes, divisés sur à peu près tout, sont en revanche d'accord sur la nécessité d'une candidature commune, mais sans les Insoumis. La proposition Castets pourrait ainsi jeter les bases d'un travail collectif en vue de 2027. Le patron du PS Olivier Faure plaidait d'ailleurs dès 2022 pour l'établissement d'une plateforme commune, préalable à la désignation d'un ou une candidate à la présidentielle. Comme l'avoue Lucie Castets : « la route est longue et le chemin pentu », tout en gardant l'espoir de rallier tout ce beau monde à sa cause. À lire aussiPrésidentielle 2027: le long et difficile chemin de la candidature unique à gauche
durée : 00:25:38 - 8h30 franceinfo - Manon Aubry, eurodéputée et présidente du groupe "La Gauche" au Parlement européen était l'invitée du "8h30 franceinfo" jeudi 24 avril. Elle répondait aux questions de Benjamin Fontaine et Bérengère Bonte.
Où l'on parle de Jean-Luc Mélenchon, mais aussi de basket.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : ArcelorMittal, la gauche veut nationaliser... pour ou contre ? Bétharram, Bayrou réagit au témoignage choc de sa fille
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Eugénie Bastié revient sur les événements tragiques du 17 avril 1975, lorsque les Khmers rouges ont pris le contrôle de Phnom Penh, la capitale du Cambodge. Elle analyse comment l'intelligentsia de gauche française a célébré cette prise de pouvoir, sans se rendre compte des horreurs qui allaient suivre sous le régime communiste des Khmers rouges. Eugénie Bastié souligne la capacité des intellectuels à s'aveugler au nom des causes révolutionnaires, refusant de reconnaître les bains de sang produits par leurs idéaux. Elle montre également que cette leçon n'a pas suffi, puisque la révolution iranienne de 1979 a suscité à nouveau l'enthousiasme de ces mêmes intellectuels.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Derrière le site encyclopédique se cache une communauté de wikipédien qui se battent d'arracher pied pour imposer une véracité des faits parfois contestable. Des querelles éditoriales sur des forums sont censées être réglé démocratiquement. Le journaliste Victor Lefebvre nous plonge dans les coulisses de la célèbre plateforme.
Encore un revirement pour Donald Trump qui joue avec l'économie mondiale.Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !▶ Soutenez Le Média :
Qui sera là en 2027 ? Avec la récente condamnation de Marine Le Pen, la question du leadership se pose à nouveau, car les cartes pourraient être rebattues. Un sondage publié ce jour teste le potentiel électoral de 60 personnalités, c'est-à-dire leur capacité à recueillir des suffrages sur leur nom. Le journal est parti de l'idée que, comme Zelensky ou Javier Milei venus de la société civile, un outsider pourrait émerger en France. La gauche, elle, est absente du haut du classement, souligne Ruth Elkrief. Katy Perry, l'une des plus grandes pop stars mondiales, a pris l'air. Peu relayée en France, l'information a fait sensation aux États-Unis : la chanteuse a effectué un bref vol spatial à bord d'une fusée de Jeff Bezos. Le vol a franchi la ligne de Kármán, frontière symbolique de l'espace. Pour Pascal Perri, il s'agit surtout d'un duel économique entre milliardaires, Jeff Bezos (Blue Origin) et Elon Musk (SpaceX), bien loin des enjeux scientifiques. Mario Vargas Llosa, géant de la littérature sud-américaine, est mort ce lundi 14 avril à 89 ans. Prix Nobel 2010 pour sa cartographie du pouvoir, il est entré à l'Académie française en 2023, sans jamais écrire en français. Abnousse Shalmani rappelle l'universalité de son œuvre, sans frontières ni limites. Elle appelle à le lire ou le relire : « C'est une imagination débridée, trempée dans le sang des peuples. » Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce nouveau numéro de “Au cœur de l'actu”, nous avons choisi de faire un focus sur un média, si on peut le qualifier ainsi, devenu le porte-voix de l'extrême-droite identitaire, raciste et xénophobe.▶ Soutenez Le Média :
Bienvenue dans cette partie de Risk grandeur nature, où chacun a une mission bien précise à remplir, et où toutes les stratégies sont bonnes pour l'emporter. A gauche comme à droite, on se prépare déjà pour les élections municipales qui auront lieu dans un an. Et s'il y a bien un endroit qui attise toutes les convoitises, c'est Paris. Anne Hidalgo ne se représentera pas alors tous veulent tenter leur chance. D'autant que dans la capitale, enjeux locaux et nationaux se rencontrent. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, Studiocanal, France 5, Warner Bros France, Europe 1, 20 Minutes Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Manon Aubry, présidente du groupe de la gauche au Parlement européen, est l'invitée de Mardi politique. Manon Aubry est interviewée par :- Frédéric Rivière (RFI)- Roselyne Febvre (France 24)Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol Diffusions : - 21h10-21h30 sur RFI et France 24.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:26 - Journal de 9h - Mobilisation de soutien à Marine le Pen, contre-manifestation d'une partie la gauche et meeting de Renaissance. C'est un dimanche politique qui s'annonce. - réalisation : La Rédaction de France Culture, Brice Garcia
durée : 00:10:26 - Journal de 9h - Mobilisation de soutien à Marine le Pen, contre-manifestation d'une partie la gauche et meeting de Renaissance. C'est un dimanche politique qui s'annonce. - réalisation : La Rédaction de France Culture, Brice Garcia
Dans cet épisode, Eugénie Bastier analyse la polémique autour de la manifestation organisée dimanche par le Rassemblement National à Paris. Alors que certains y voient un risque de sédition, elle rappelle que la gauche n'a pas le monopole de la rue et que toute remise en cause d'une décision du système judiciaire ou médiatique ne doit pas être automatiquement assimilée à une tentative de coup d'État. Elle invite à une réflexion nuancée sur le droit à manifester pacifiquement, quel que soit le bord politique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 01 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 01 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 01 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Bruno Poncet et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Regardez BFM Story Week-end tous les week-ends sur BFMTV.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Europe 1 reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Europe 1 reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vendredi, samedi et dimanche dans Europe 1 Soir Week-end, Pascale de La Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique. Aujourd'hui, Juliette Méadel, ministre déléguée chargée de la ville, pour évoquer notamment LFI qui accuse Bruno Retailleau et Gérald Darmanin de pratiquer un "racisme d'état".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent des personnalités et politiques pouvant accéder à l'Élysée lors des présidentielles 2027.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vendredi, samedi et dimanche dans Europe 1 Soir Week-end, Pascale de La Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique. Aujourd'hui, Laurent Jacobelli, député de Moselle et porte-parole du Rassemblement national, sur la retraite.
Alors que LFI prône "le désarmement" des belligérants pour rétablir la paix, François Bayrou et Sébastien Lecornu tentent de sensibiliser l'ensemble des parlementaires sur la défense nationale. Manon Aubry, députée européenne LFI et présidente du groupe La Gauche au parlement européen, est l'invitée de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 14 mars 2025.
Alors que LFI prône "le désarmement" des belligérants pour rétablir la paix, François Bayrou et Sébastien Lecornu tentent de sensibiliser l'ensemble des parlementaires sur la défense nationale. Manon Aubry, députée européenne LFI et présidente du groupe La Gauche au parlement européen, est l'invitée de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 14 mars 2025.
durée : 00:52:00 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Droite gauche, un vieux clivage indépassable. - réalisation : Alexandra Malka - invités : Laetitia Strauch-Bonart Journaliste, essayiste ; Julia Cagé Économiste, spécialiste de l'économie des médias
Vincent Trémolet de Villers analyse les propos controversés de la députée européenne Rima Hassan, qui a défendu l'action du Hamas, un groupe considéré comme terroriste. Il décrypte la rhétorique de Mme Hassan, qu'il qualifie de mélange entre la pensée décoloniale et les réflexes du politiquement correct, le tout sur fond d'une profonde inculture. L'invité souligne que cette nouvelle forme d'antisémitisme s'habille en antifascisme, et que de nombreux responsables politiques de gauche restent silencieux face à ces dérives.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Agnès Verdier-Molinié analyse la proposition de loi visant à instaurer un impôt plancher de 2% sur le patrimoine des ultra-riches. Elle souligne les risques d'une telle mesure, qui pourrait peser lourdement sur les entreprises et pousser les contribuables à quitter la France. Agnès Verdier-Molinié revient également sur le projet du gouvernement de rétablir une forme d'impôt sur la fortune, une décision qui semble aller à l'encontre des tendances observées dans d'autres pays européens. Une discussion éclairante sur les enjeux fiscaux et leurs impacts potentiels sur l'économie française.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Tous les soirs à 20h30, Pierre de Vilno reçoit un invité qui fait l'actualité politique. Ce soir, il reçoit le président LR de la délégation française au Parlement européen et vice-président du Parti populaire européen, François-Xavier Bellamy pour réagir sur le vif échange entre Nelly Garnier et Anne Hidalgo au sujet de la mort d'Elias.
Le procureur de la République d'Évry a évoqué les déclarations du jeune suspect interrogé. Placé en garde à vue pendant 48 heures après son interpellation, il a nié durant les premières 24 heures avoir rencontré ou tué Louise, 11 ans. Mais les analyses ADN ont révélé une correspondance entre son ADN et celui retrouvé sur les mains de la fillette. Lors de la prolongation de sa garde à vue, il a fini par avouer le meurtre, rapporte Raphaël Maillochon. Bruno Retailleau, le phénomène politique de l'hiver, se lance dans la course à la présidence des Républicains. D'après Arlette Chabot, il incarne le mythe de l'homme fort : il n'a peur de rien, il domine les sondages et il est le ministre préféré des Français. Aujourd'hui, il est perçu comme un responsable politique qui se concentre uniquement sur les problèmes essentiels du pays. Mais le plus grand risque pour lui reste la réaction de l'opinion publique. La Commission des finances a adopté le principe de la “taxe Zucman”, une proposition portée par les écologistes. Cette mesure vise à instaurer un taux plancher de 2 % sur les plus hauts patrimoines. Pascal Perri affirme qu'il s'agit d'un impôt destiné à contrer l'optimisation fiscale en neutralisant ses effets. Les écologistes estiment que cette taxe pourrait rapporter entre 15 et 25 milliards d'euros. Au Royaume-Uni, Keir Starmer et son gouvernement prennent une mesure radicale contre l'immigration. Désormais, les immigrés arrivés illégalement sur le sol britannique ne pourront plus obtenir la naturalisation. Selon Abnousse Shalmani, la question migratoire est l'une des causes principales de la montée des mouvements nationaux-populistes en Europe. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
"Limité à 80" Pascal Atenza revisite l'actualité en 80 secondes ! Découvrez la chronique d'aujourd'hui !
durée : 02:08:03 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Les enjeux internationaux - Plainte de la Chine : à quoi sert l'Organisation Mondiale du Commerce ? La question du jour - Gel du Pass Culture : quels seront les effets pour les établissements scolaires ? L'invité des matins - De la France aux Etats-Unis : la gauche en marge. - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:38:29 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Olivier Faure refuse de voter la censure et se rapproche du gouvernement. La gauche est désormais divisée en deux blocs majoritaires, assiste-t-on à un retour du débat entre réformistes et radicaux ? Aux États-Unis, le parti Démocrate est aussi à la peine pour se constituer en force d'opposition. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Jean-Numa Ducange Historien, professeur à l'Université de Rouen Normandie, spécialiste de l'histoire des gauches, des mouvements ouvriers et socialistes européens; Ludivine Gilli Docteure en histoire, spécialiste des États-Unis
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'alliance dissoute entre le PS et LFI après le rejet de la motion de censure contre le gouvernement de François Bayrou.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'alliance dissoute entre le PS et LFI après le rejet de la motion de censure contre le gouvernement de François Bayrou.
Pour débuter l'émission de ce mardi 4 février 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Etienne Liebig, éducateur, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent du sujet du jour : Budget, la gauche fracturée.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la défaite de Louis Boyard lors des municipales anticipées de Villeneuve Saint-Georges.
A 10h, ce jeud o 30 janvier 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Étienne Liebig, éducateur, et Camille Fournil, infirmière libérale, débattent de : "Menace de censure : la gauche hypocrite ?"
durée : 00:55:20 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce mardi autour d'Aurélie Herbemont et Jean-Rémi Baudot.
durée : 00:20:01 - Journal de 12h30 - Que faut-il entendre par "sentiment de submersion" ? Les mots hier soir du Premier ministre François Bayrou s'agissant d'immigration ont vite fait de susciter la polémique. - invités : Jean-Michel Tobelem Professeur associé à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, directeur d'Option Culture (organisme d'études et de conseil)
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 janvier 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Michel Eltchaninoff, rédacteur en chef du mensuel Philosophie Magazine.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LA GAUCHE DÉCOMPOSÉE ? Les relations se sont tendues entre le Parti socialiste et La France insoumise, après le choix des députés socialistes de ne pas voter le 16 janvier la motion de censure défendue par le reste du Nouveau Front populaire. Selon le PS, les « concessions »programmatiques obtenues durant leurs longues tractations avec le Premier ministre justifiaient de ne pas le sanctionner immédiatement. Les socialistes ont notamment obtenu que les déremboursements prévus sur les médicaments et les consultations soient remis en question et que des crédits supplémentaires soient accordés aux hôpitaux, sans oublier le maintien de tous les postes dans l'Éducation nationale et le renforcement des dispositifs de justice fiscale, notamment pour les plus hauts patrimoines.L'initiative du PS, qui se définit toujours comme un « parti d'opposition », ouvre cependant une brèche à gauche et acte la confrontation avec Jean-Luc Mélenchon. Deux gauches coexistent, comme cela a toujours été. Elles sont de nouveau entrées en compétition. Tenant de la gauche réformiste, François Hollande observe que « les socialistes constituent désormais le pôle central au sein de l'Assemblée nationale puisque rien ne peut se faire sans eux ni contre eux. Ils ont la clef jusqu'en 2027 ». Il a enfoncé le clou en estimant qu'en 2027, il faudrait « deux offres à gauche », l'une réformiste et l'autre radicale. De quoi remettre de facto en cause la stratégie du premier secrétaire du parti, Olivier Faure, qui espère construire avec ses homologues écologistes et communistes une candidature unique alternative à celle de Jean-Luc Mélenchon. Ce dernier a hurlé à la « trahison », mais s'est toutefois gardé de sceller la rupture définitive avec le PS qui, pour lui, n'est « plus un partenaire », mais un « allié de circonstance ». Rêvant de renverser de nouveau le gouvernement et de provoquer une présidentielle anticipée, l'ancien sénateur a plus que jamais besoin des voix de son ancien parti pour voter la censure, lors du vote sur le budget, le 3 février].Dimanche dernier, le second tour de l'élection législative partielle de la première circonscription de l'Isère a été une véritable déroute de LFI et, partant, du NFP. La candidate d'Ensemble, a remporté largement la circonscription détenue par LFI. L'ampleur de cette défaite fait de cette élection partielle un événement de portée nationale au moment où le NFP se décompose au niveau national.QUELLE PAIX POUR L'UKRAINE ? Avec le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, les Européens craignent un désengagement des États-Unis dans le conflit en Ukraine, voire des pressions de Washington pour un accord au détriment de Kyiv. Le président américain qui se vantait d'obtenir la fin de la guerre en vingt-quatre heures, parle désormais de cent jours, sans jamais détailler son plan. Les contours d'un accord restent difficiles à imaginer. Le président ukrainien a récemment fait une ouverture en affirmant qu'il était prêt à renoncer à utiliser la force pour récupérer les territoires occupés par la Russie depuis 2014 (20 % de l'Ukraine) ; il a même envisagé un abandon de souveraineté temporaire sur la Crimée et une partie du Donbass, contrôlés par Moscou, en attendant une solution diplomatique. Cependant, Volodymyr Zelensky insiste pour que l'Ukraine soit invitée à adhérer à l'OTAN. De son côté, Vladimir Poutine s'est dit prêt à discuter d'un accord de cessez-le-feu avec Trump, mais exclut toute concession territoriale majeure et insiste pour que Kyiv abandonne ses ambitions de rejoindre l'OTAN.L'année 2024 aura été difficile pour Kyiv : l'armée russe a avancé en Ukraine de près de 4.000 km2 en 2024 face à des Ukrainiens en difficulté, soit sept fois plus qu'en 2023, et l'année à venir s'annonce incertaine notamment du fait d'interrogations sur la pérennité du soutien américain. En mai 2022, 10% des Ukrainiens se déclaraient prêts à céder des territoires pour parvenir à la paix lors que 82 % y étaient opposés. En décembre 2024, l'écart se resserre : 38 % des Ukrainiens se disent désormais disposés aux concessions territoriales, quand 51 % y restent opposés.À Varsovie mi-décembre, Emmanuel Macron et le premier polonais, Donald Tusk, ont évoqué la possibilité du déploiement d'un contingent militaire européen en Ukraine, le long de la ligne de front qui s'étend sur quelque 1.000 km. Cette hypothèse pourrait impliquer les armées de pays membres de l'OTAN, ou encore détenteurs de l'arme nucléaire, comme la France et le Royaume-Uni. Intervenant mardi au Forum économique mondial, le président ukrainien a affirmé qu'il faudrait une force de maintien de la paix européenne d'« au moins 200.000 hommes ». Mercredi, Donald Trump a sommé Moscou de trouver un accord pour clore la guerre en Ukraine, faute de quoi il lui imposerait de nouvelles sanctions. En saluant la volonté de Kyiv de chercher un compromis et en évoquant les « gros ennuis » notamment économiques de Poutine, le président américain semble mettre légèrement plus la pression sur le Kremlin, sans évoquer toutefois pour autant la possibilité d'armer l'Ukraine.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
L'alliance de gauche à l'Assemblée nationale française est au bord de l'implosion. Ce mercredi (22 janvier 2025), La France insoumise écrit dans un communiqué : « Si des députés socialistes devaient refuser à nouveau de censurer le gouvernement de François Bayrou », lors de l'examen du projet de budget, « ils rompraient définitivement avec le Nouveau Front populaire ». Le PS s'était illustré la semaine dernière en ne votant pas en faveur de la chute du gouvernement. Lestée par de multiples polémiques, La France insoumise est-elle devenue un boulet pour la gauche ? S'en émanciper peut-il permettre de créer une social-démocratie crédible en vue de l'élection présidentielle de 2027 ?
De passage dans la matinale de Dimitri Pavlenko pour annoncer le programme de son émission, Pascal Praud revient sur les fausses informations relayées par la gauche concernant le geste d'Elon Musk à la tribune ainsi que le réseau social X.
L'actualité qui a retenu l'attention de La Loupe cette semaine, c'est la déclaration de politique générale de François Bayrou. Et alors qu'on pensait que ce discours du nouveau Premier ministre serait décisif pour le gouvernement, c'est en fait à gauche qu'il a eu le plus de conséquences. Les explications d'Olivier Pérou, grand reporter au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Ecriture et présentation : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotCrédits : LCI, LCP, TMC, France InfoMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La nomination surprise, le 23 décembre, de Manuel Valls comme ministre des Outre-mer au gouvernement Bayrou a provoqué une cascade de critiques, tant son impopularité est grande. Le lendemain, un auditeur de France Inter l'a même insulté en direct, en le qualifiant d' « étron ». Ancien membre du Parti socialiste, maire d'Evry (2001-2012), Premier ministre du gouvernement Hollande (2014-2016), Manuel Valls avait fini par soutenir Emmanuel Macron en 2017 après sa défaite aux primaires du PS, ce qui lui avait valu d'être considéré comme un « traître » à la gauche. Puis il avait pris ses distances avec le chef de l'Etat, après avoir vivement critiqué la politique d'Emmanuel Macron notamment sur la Nouvelle-Calédonie dans un entretien au Parisien en novembre 2024. Dans cette période politique troublée, il prend finalement les rênes du ministère des Outre-mer. Marcelo Wesfreid, chef-adjoint au service politique du Parisien, retrace dans cet épisode de Code Source le parcours politique riche en rebondissements du ministre d'Etat de 62 ans, nommé à Matignon il y a plus de dix ans. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Pénélope Gualchierotti, et Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : INA, BFMTV, France Inter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.