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Le lundi 18 juin 1984, à Denver, l'atmosphère est lourde. Au volant de sa Coccinelle noire, Alan Berg rentre d'un diner avec son ex-femme. À peine a-t-il le temps de se garer devant sa résidence de la banlieue de Congress Park, que douze coups retentissent dans la rue silencieuse. Qui a pris pour cible cet animateur radio populaire mais sulfureux, que l'on pleure à la synagogue Temple Emanuel ? Aucun doute, ce provocateur, orateur de talent, s'était fait bon nombre d'ennemis… au point que l'un d'eux vient de le condamner au silence éternel.À l'époque, The Order est tenu d'une main de fer par Robert Jay Mathews. Charismatique, obsédé, il rêve d'une insurrection armée. Ses discours galvanisent ses hommes, qu'il entraîne dans des camps forestiers. Il leur répète qu'ils doivent agir comme une armée clandestine, prêts à mourir pour leur idéologie.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
Plus d'une cinquantaine de chefs d'États et de gouvernements se réunissent à partir de ce jeudi 6 novembre 2025 à Bélem, en Amazonie brésilienne, pour un sommet spécial en préambule à la COP30. La Conférence des Nations unies sur le climat s'ouvrira ensuite officiellement le 10 novembre. Au cœur de la forêt, la mégapole de Bélem était en travaux jusqu'au dernier moment pour accueillir l'événement, au détriment parfois de ses populations les plus vulnérables. Au point que des habitants se battent contre un «racisme environnemental». À Bélem, la favela «Vila da Barca» s'apprête à recevoir une station de traitement des eaux usées du quartier voisin huppé de la «Doca». «Pourquoi pas ailleurs ? Ici on n'a pas d'eau, pas de système d'assainissement… de quelle COP on parle ?», s'indigne Socorro Contente, 62 ans. Elle a fondé l'association des habitants de la Vila da Barca, dans les années 1980. Dans cette favela de 5 000 habitants, dont une partie des logements sont encore des maisons en bois sur pilotis, les égouts sont à ciel ouvert. Sur les pontons qui mènent aux maisons, des déchets flottent dans l'eau. «Il y a beaucoup de maladies ici, la dengue principalement. Regardez-moi cette eau sale et stagnante. Tout ça attire les moustiques, les maladies, les rats… Nous n'avons pas de système d'assainissement, et personne ne s'occupe de nous, les habitants des maisons sur pilotis.» Alors quand les riverains ont appris que des travaux à hauteur de 50 millions d'euros profiteraient de leur territoire sans rien apporter, ils se sont mobilisés. Notre correspondante Sarah Cozzolino est allée à leur rencontre. Haïti paye «le bilan le plus lourd» après le passage de Melissa L'ouragan a fait 43 morts en Haïti et 13 disparus, selon un nouveau bilan, explique Frantz Duval dans notre rendez-vous hebdomadaire avec le rédacteur en chef du Nouvelliste. Un bilan plus important que dans les autres pays des Caraïbes, alors même que l'œil de l'ouragan n'a pas traversé le pays. «On a raté la prévention et on est en train de rater l'évaluation des dégâts», regrette Frantz Duval. La violence des gangs est toujours aussi prégnante dans le pays, et touche aussi les zones agricoles, rappelle-t-il par ailleurs. Dans un article de son édition du jour, Le Nouvelliste décrit ainsi comment à L'Estère, dans l'Artibonite, «les bandits procèdent à une destruction méthodique des infrastructures agricoles et des récoltes des agriculteurs.» Enfin, le plus ancien quotidien d'Haïti alerte sur «les lenteurs administratives» qui «paralysent un investissement portuaire de 60 millions de dollars». Malgré cet investissement, «Atlantic Global Logistics (AGL), partenaire du géant maritime Mediterranean Shipping Company (MSC), attend l'autorisation de l'État haïtien pour démarrer pleinement ses opérations de réception de conteneurs», explique le journal. Depuis cinq ans, les infrastructures sont prêtes mais les douaniers manquent à l'appel et «le ministère ne répond pas aux courriers» de l'entreprise, rapporte Le Nouvelliste. À Cuba, la disgrâce d'un ancien ministre de l'Économie Le nom et le visage de l'ex-ministre de l'Économie Alejandro Gil (2018-2024) s'affiche à la Une des sites de nombreux médias cubains, à l'exception de la presse officielle. Il a été mis en examen avec d'autres personnes dont les noms n'ont pas été révélés pour l'instant. Leur sont reprochés une dizaine de délits : blanchiment, malversations, mais aussi espionnage, écrit Cibercuba sur son site. Alejandro Gil avait été arrêté l'an dernier (2024), mais on ne savait pas précisément de quoi il était accusé. Après plus d'un an et demi de silence, le Parquet a choisi le «jour des sorcières» pour en faire part, ironise Cubanet. Car le communiqué est daté du 31 octobre, le jour d'Halloween. L'accusation d'espionnage, est «extraordinairement grave» dans le pays, souligne le média en ligne, car elle peut aboutir à une condamnation à mort. De plus, elle est très inhabituelle pour un ancien haut dirigeant du régime, même tombé en disgrâce. Ce mercredi, le site indépendant 14ymedio assurait que le Parquet aurait demandé 30 ans de prison contre l'ancien ministre. La fille d'Alejandro Gil appelle à un procès public, «retransmis à la télévision», ouvert à la presse. Elle assure que son père ne reconnaitra aucun des faits qui lui sont reprochés.
Le lundi 18 juin 1984, à Denver, l'atmosphère est lourde. Au volant de sa Coccinelle noire, Alan Berg rentre d'un diner avec son ex-femme. À peine a-t-il le temps de se garer devant sa résidence de la banlieue de Congress Park, que douze coups retentissent dans la rue silencieuse. Qui a pris pour cible cet animateur radio populaire mais sulfureux, que l'on pleure à la synagogue Temple Emanuel ? Aucun doute, ce provocateur, orateur de talent, s'était fait bon nombre d'ennemis… au point que l'un d'eux vient de le condamner au silence éternel.À Denver, son nom devient synonyme de controverse. Alan Berg est provocateur, brutal dans ses échanges, mais il incarne une liberté de ton que peu osent s'autoriser. Ce mélange de fragilité intime et d'agressivité publique fait de lui un personnage unique : marqué dans sa chair par la maladie, mais porté à l'antenne par une rage de vivre qui électrise.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
Le lundi 18 juin 1984, à Denver, l'atmosphère est lourde. Au volant de sa Coccinelle noire, Alan Berg rentre d'un diner avec son ex-femme. À peine a-t-il le temps de se garer devant sa résidence de la banlieue de Congress Park, que douze coups retentissent dans la rue silencieuse. Qui a pris pour cible cet animateur radio populaire mais sulfureux, que l'on pleure à la synagogue Temple Emanuel ? Aucun doute, ce provocateur, orateur de talent, s'était fait bon nombre d'ennemis… au point que l'un d'eux vient de le condamner au silence éternel.Il est 21 h 39 quand les secours constatent la mort, alertés par des voisins terrifiés. Alan Berg n'avait aucune chance : les balles ont traversé ses poumons, brisé ses mâchoires, pulvérisé une partie de son visage. L'exécution a été pensée pour être fulgurante, irréversible. La scène est d'une violence inouïe, mais aussi d'une précision glaciale. Pas de cri, pas de sommation. Une embuscade pure et simple, devant sa propre maison. En quelques secondes, Denver vient de basculer dans l'horreur.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
Le 5 juin 2013, à l'occasion d'une vente privée de vêtements dans le centre de Paris, des militants antifascistes ont déclenché une rixe avec un groupe de skinheads d'extrême droite, entraînant le décès du militant « antifa » Clément Méric. Sa mort a soulevé une vague d'indignation et a posé la question de l'interdiction des groupes ultranationalistes.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
« Mort aux arabes ». Il y a quelques semaines, à Marseille, ces mots ont été tagués sur la porte du bureau d'Audrey Garino, une adjointe au maire. Dans un contexte électoral tendu autour des questions d'identité, un collectif d'une vingtaine d'associations s'est monté dans la ville. Stop Stigmatisation dénonce dans un manifeste « un climat nauséabond » et la libération d'une parole raciste dans une ville connue pour être multiculturelle. À Marseille, entre 50 000 et 100 000 personnes sont issues de la diaspora comorienne, environ 300 000 de la diaspora algérienne. Par le biais d'une pétition, le collectif Stop Stigmatisation exige la fin de la banalisation du racisme. Mais, surtout, des améliorations pour les générations à venir. Reportage de notre correspondante à Marseille Zoé Cottin. À lire aussiFrance: des dizaines de milliers de personnes dans la rue contre le racisme
Waardeer je onze video's? Steun dan Café Weltschmerz, het podium voor het vrije woord: https://www.cafeweltschmerz.nl/doneren/Racisme en discriminatie zijn positieve voorwaarden om als volk herkenbaar te blijven, zodat je op vakantie in Italië echte Italianen ontmoet en in Friesland echte Friezen vindt, in plaats van een mix van niks. Diversiteit van culturen en volken behoudt je door onderscheid te maken- te discrimineren- en dat hoort een individueel grondrecht te zijn.Boek van de week, een goede zaak besmeurd met foute intenties: Ir W.F. Van Heemskerk Düker, SJ Van der Molen (1943) Friesland Friezenland, Uitgeverij Hamer (NSB)Hoofdstuk 3 van Liever dood dan Slaaf (De Strijd om het Bestaan)https://www.lieverdooddanslaaf.com---Deze video is geproduceerd door Café Weltschmerz. Café Weltschmerz gelooft in de kracht van het gesprek en zendt interviews uit over actuele maatschappelijke thema's. Wij bieden een hoogwaardig alternatief voor de mainstream media. Café Weltschmerz is onafhankelijk en niet verbonden aan politieke, religieuze of commerciële partijen.Wil je meer video's bekijken en op de hoogte blijven via onze nieuwsbrief? Ga dan naar: https://www.cafeweltschmerz.nl/videos/Wil je op de hoogte worden gebracht van onze nieuwe video's? Klik dan op deze link: https://bit.ly/3XweTO0
Der er drama i Dragør Søbad. Det er en historie i Politiken. Det drejer sig om, at søbadet er blevet til et fristed for kvinder med tørklæder, fordi de kan bade i kvindeafdelingen uden mænd. Det er så blevet et problem for de i artiklen omtalte 'gråhårede kvinder', der går der - fordi kvinderne med tørklæder i følge de andre kvinder ikke overholder reglerne og larmer. Derfor er en masse af kvinderne begyndt at ringe til hinanden for at høre, »om det ser sort ud i dag«, så man kan vælge at blive hjemme den dag. Alt den her ballade har fået kommunen til at foreslå, at der kommer en stigning på 300 procent på billetprisen - fra 30 kroner til 100 kroner som voksen. Og at man skal bo i Dragør for at købe sæsonkort. Men det fik Lisbeth Dam Larsen, byrådsmedlem i Dragør Kommune for Moderaterne til at bruge sin vetoret. Det resulterede stedet i, at kvindeafdelingen nu bliver lukket som følge af balladen. Det kalder Lisbeth Dam Larsen for "skjult racisme". Gæst: Lisbeth Dam Larsen, byrådsmedlem i Dragør Kommune for Moderaterne Værter: Mathias Wissing og Peter MarstalSee omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:03:27 - Le Regard culturel - par : Zoé Sfez - Primé au festival de Sundance 2025, le documentaire de Geeta Gandbhir raconte, à partir d'une affaire de voisinage qui a mal tourné, les failles qui divisent l'Amérique des banlieues. Et réussit au passage à déjouer les écueils du genre hyper codifié du "true crime".
De afgelopen weken stonden in het teken van demonstraties tegen het asielbeleid. Tijdens die protesten waren asielzoekers, migranten en Nederlanders van kleur doelwit. 'Buiten met de buitenlanders' werd er geroepen, 'iedereen van kleur' zou het land moeten verlaten. Mensen met een migratieachtergrond waarschuwden elkaar: ga niet de stad in. NRC sprak met drie mensen die voelen: dit gaat over mij. Drie mensen, heel verschillend. Maar allemaal vragen ze zich af: is Nederland mijn land nog wel?Gasten: Jaswina Elahi, Mirhan Sakruca & Sara KoilamPresentatie: Bram EndedijkRedactie: Iddo Havinga & Bas BlokkerMontage: Gal Tsadok-HaiEindredactie: Nina van HattumCoördinatie: Belle BraakhekkeProductie: Rhea StroinkHeb je vragen, suggesties of ideeën over onze journalistiek? Mail dan naar onze redactie via podcast@nrc.nl.Zie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:03:27 - Le Regard culturel - par : Zoé Sfez - Primé au festival de Sundance 2025, le documentaire de Geeta Gandbhir raconte, à partir d'une affaire de voisinage qui a mal tourné, les failles qui divisent l'Amérique des banlieues. Et réussit au passage à déjouer les écueils du genre hyper codifié du "true crime".
Met vandaag: Zorg over de zorg in verkiezingstijd | Hoe bestrijd je racisme op en rond het voetbalveld? | Afzwakking dreigt voor Europees klimaatdoel Hoekstra | De kracht van sociale media op jonge, zwevende kiezers | Expositie over de betekenis van identiteit in oorlogstijd | Presentatie: Chris Kijne
✨ Bienvenue dans ce nouvel épisode de Toutes Puissantes !Aujourd'hui, j'ai la joie de recevoir Sarah Ourahmoune, conférencière, entrepreneure et surtout l'une des plus grandes figures de la boxe française. Son palmarès est impressionnant : 10 fois championne de France, 3 fois championne d'Europe, championne du monde, et vice-championne olympique à Rio. Après plus de 20 ans sur le ring, Sarah a poursuivi son engagement en devenant vice-présidente du Comité Olympique, porte-parole des JO 2024, administratrice, et aujourd'hui, fondatrice de salles de boxe et de programmes d'accompagnement pour les jeunes et les femmes.Mais aujourd'hui, Sarah ne vient pas seulement parler de sport ou de victoires. Elle vient témoigner d'un combat plus intime : celui contre le racisme et le sexisme, vécus de plein fouet lors de son engagement à la présidence de la Fédération française de boxe.❓ Comment continuer à se battre quand les attaques ne visent plus vos compétences mais votre identité ?❓ Comment décider quand il faut monter sur le ring… et quand, au contraire, il faut savoir poser les gants ?❓ Et surtout, comment transformer une blessure en leçon de stratégie, de résilience et de leadership ?Sarah nous partage ce moment charnière de sa vie : les insultes, les trahisons, mais aussi la force de dire stop pour mieux choisir ses combats. Son témoignage résonne bien au-delà du sport : il éclaire ce que vivent aussi de nombreuses femmes dirigeantes dans l'entreprise ou dans la sphère publique.Un épisode puissant, qui rappelle que renoncer n'est pas céder : c'est parfois la condition pour préserver son énergie, sa dignité et sa vision à long terme.
Alors qu'un deuxième indigène est mort mercredi (15 octobre 2025) après avoir été blessé par balles lors d'une manifestation, la situation s'est paradoxalement calmée dans la province d'Imbabura, épicentre de la grève depuis 24 jours. Un accord a été trouvé entre le gouvernement et des responsables indigènes, sans que la base ne soit forcément d'accord. Chronique d'une fin de grève avec notre correspondant Éric Samson. L'accord prévoit la libération de 43 manifestants, le retrait de l'armée des territoires indigènes et l'ouverture d'une table de travail pour examiner la hausse du prix du diesel, principale cause du conflit. Si le ministre de l'Intérieur John Reimberg a salué un «retour à la normalité», les divisions demeurent : plusieurs militants accusent leurs dirigeants de trahison et refusent de reconnaître l'accord. À Quito, des manifestations sporadiques ont encore eu lieu. Le calme retrouvé dans le Nord contraste avec la violence persistante dans le Sud, où une voiture piégée a explosé à Guayaquil et deux ponts ont été détruits dans des attentats attribués par le président Daniel Noboa aux mafias liées à l'exploitation minière illégale. La société équatorienne reste fracturée, et le racisme envers les populations indigènes s'est renforcé, selon un politologue interrogé sur place. L'Uruguay légalise l'euthanasie, une première en Amérique latine Le Parlement uruguayen a adopté à une large majorité une loi historique légalisant l'euthanasie, une première dans la région. Le pays rejoint la Colombie et l'Équateur, où le suicide assisté est déjà dépénalisé par décision de justice, mais devient le premier à le permettre par voie législative. Le quotidien El País précise que la procédure sera réservée aux majeurs mentalement aptes, atteints d'une maladie incurable ou provoquant des souffrances insupportables, sur avis concordant de deux médecins. Si plus de 60% des Uruguayens soutiennent la loi, l'Église catholique y reste farouchement opposée, prônant le développement des soins palliatifs. États-Unis : la future réforme de l'accueil des réfugiés jugée discriminatoire Selon le New York Times, l'administration Trump prépare une refonte radicale du système d'accueil des réfugiés, donnant la priorité à des candidats «blancs, anglophones et culturellement compatibles» avec les États-Unis. Les documents internes consultés par le quotidien évoquent une préférence pour des Européens conservateurs ou des Afrikaners d'Afrique du Sud, au nom d'une prétendue persécution. Cette orientation, fondée sur une vision identitaire, repose sur l'idée que «l'augmentation de la diversité» aurait affaibli la cohésion sociale américaine. Brésil : le crime organisé gagne du terrain Les milices et factions criminelles contrôlent désormais des quartiers où vivent près de 19% des Brésiliens, soit environ 28 millions de personnes, selon une étude du Forum brésilien de la sécurité publique reprise par la Folha de São Paulo. Le phénomène touche toutes les classes sociales, mais se concentre dans les grandes villes et le Nord-Est. Les personnes noires sont plus exposées que les personnes blanches, souligne le journal. Cette emprise croissante s'accompagne de la multiplication de cimetières clandestins et de zones de consommation de drogue. Pour Renato Sérgio de Lima, président du Forum, il devient urgent de mieux coordonner les politiques de sécurité à l'échelle nationale. Haïti : MSF annonce la fermeture du centre d'urgence à Turgeau Selon Le Nouvelliste, la fermeture annoncée du centre d'urgences de Médecins Sans Frontières (MSF) à Turgeau, prévue pour le 1er novembre 2025, en raison de l'insécurité grandissante, continue de susciter l'inquiétude. Nous en parlons avec Frantz Duval, rédacteur en chef du journal haïtien. Les conseillers présidentiels Fritz Alphonse Jean et Frinel Joseph ont rencontré une délégation de MSF pour évoquer les solutions possibles. L'organisation humanitaire est considérée comme un pilier de la réponse médicale à Port-au-Prince. Elle envisage des missions d'évaluation afin de «planifier une reprise des activités dans une zone aussi proche que possible du centre-ville», souligne la Présidence. Avec Frantz Duval, nous abordons aussi l'hommage rendu par Le Nouvelliste, à Robert «Bobby» Denis, figure qualifiée de «monument du son» en Haïti. Ingénieur de renom, formé à Radio Haïti avant de fonder le studio Audiotek, il a marqué plusieurs générations d'artistes par sa maîtrise du son et son exigence technique, explique Frantz Duval. Journal de la 1re Le ramassage de déchets en Martinique.
Le racisme existe malheureusement depuis la nuit des temps. Cette idéologie estime que les humains sont divisés en plusieurs "races" avec un patrimoine génétique différent, qui déterminerait l'intelligence, la morale et les aptitudes. Principalement véhiculé par des chercheurs et littéraires du 18ᵉ siècle, le racisme perdure dans notre société et pire, il évolue. Aujourd'hui, le racisme culturel consiste à valoriser certaines cultures au profit des autres. Au fond, le résultat est le même : une hiérarchisation des groupes humains et un refus de la mixité. Mais c'est quoi le racisme culturel ? Mais si on ne parle plus de « races supérieures », comment le racisme se transforme-t-il ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Fanny Sauveplane. À écouter ensuite : A quoi ressemble le racisme en France ? Qu'est-ce que le racisme environnemental ? Qu'est-ce que SOS Racisme ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Sa sentence est réduite de moitié parce qu’il a «probablement» vécu du racisme. Un violeur reconnaît avoir mis sa belle-fille de 15 ans enceinte. Attaqué par un Rottweiler en tentant de protéger sa fille. Faits divers avec Maxime Deland, journaliste à l’agence QMI. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Deux élèves de seconde d'un lycée agricole de Sainte-Gemme-la-Plaine, en Vendée, ont subi les pressions d'un groupe de terminales pendant des semaines, qui ont abouti à des violences physiques, filmées. Quatre jeunes sont convoqués en conseil de discipline, y compris les victimes des provocations racistes. Leurs familles ont déposé plainte. Un article de Marie Turcan publié dimanche 12 octobre et lu par Jérémy Zylberberg. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sharia-manifestet (islam og racisme - #25) begynder med Profetens afskedsprædiken ved Arafa-bjerget lidt udenfor Mekka kort før hans død - for mere end 1400 år siden. Profetens ord til den nye muslimske menighed er en verdenshistorisk begivenhed, et helt nyt paradigme for menneskeheden, folkeslagene og eftertiden: alle forestillinger om etnisk og racemæssig overlegenhed afvises entydigt - islam er uforeneligt med racisme, ingen folkeslag, hudfarve eller menneskeracer er de andre overlegne. Koranens og islams vision for menneskeheden og folkeslagene er revolutionerende: Allah har skabt forskelle i sprog, kultur, etnicitet, hudfarve, normer og religion for at vi skal lære af hinanden og kende hinanden - i gensidig respekt og anerkendelse.Samtidig er europæisk idehistorie - fra oplysningstid, koloniperioden og op til den moderne periode - mere end 1000 år senere - stadig gennemsyret af ideer om race-hierarkier, den hvide races overlegenhed og guds-udvalgte folkeslag. Disse kulturelle koder bruges flittigt til retfærdiggørelse af undertrykkelse af andre folkeslag, slaveri, holocaust, race-renheds-politik, dominans - endda ofte på bibelsk grundlag. Racismens kultur- og idehistorie præger stadig vestlige politikeres promovering af anti-muslimsk had, og er ligeledes kernen i zionismens tankegods og folkemorderiske praksis: ét folk - blod og etnicitet - er udvalgt af Gud over alle andre på jorden, og har derfor har særlige rettigheder til at dræbe og fordrive andre fra deres jord og land. Vi kaster lys over Banu Israels udvalgthed, som den forekommer i koranen, og jødernes særlige relation til Palæstina. Ligeledes taler vi om Palæstina og Jerusalem, som helligt land for muslimer: Profetens himmelrejse og de muslimske profeters fællesskab har sin rod i Palæstina. Isam B læser op af afsnittets novelle om anti-jødisk hate crime: Jødiske Rebekkas to sønner bliver overfaldet af skolekammerater med muslimsk baggrund. Kritik af og modstand mod Israel må aldrig forveksles med jødehad, og muslimer må ikke vige og tie i kritikken af folkemordet. Samtidig er det vigtigt, at beskytte og slå ring om vores jødiske medborgere og aldrig forfalde til vold Som muslimer skal vi altid tale uretfærdigheden og racismen i mod. Det kræver klarsyn og styrke og mod. Også, og måske især, når det gælder opgøret med racisme og diskrimination i muslimske rækker, som desværre er udbredt - ikke mindst når det gælder ægteskab, hvor unge muslimer holdes fast af forældre i frastødende og racistiske opfattelser af klan, nationalitet og etnicitet.
Discrimination à l'embauche ou au logement, contrôle d'identité dans la rue, faible représentation dans les médias ou en politique... les personnes blanches rencontrent rarement ce genre de difficultés. Né dans les années 80, aux États-Unis le concept de «privilège blanc» a ressurgi dans le débat public après le meurtre de George Floyd, tué en 2020 par des policiers blancs de Minneapolis lors d'une interpellation. Une mort brutale qui avait déclenché le mouvement Black lives matter et une onde de choc mondiale. 5 ans après, la prise de conscience semble avoir été de courte durée alors que des groupes suprémacistes blancs se multiplient en particulier aux États-Unis depuis l'élection de Donald Trump. On parle de «domination blanche» ou encore de «privilège blanc» pour désigner le statut préférentiel et les avantages dont bénéficient les personnes blanches par le seul fait d'être blanches. Si l'expression fait polémique, elle permet néanmoins d'interroger le racisme dans sa forme la plus insidieuse, les petites phrases, les situations du quotidien qui sont tout sauf anodines pour les personnes racisées. Dans ce contexte de crispation identitaire exacerbée, comment s'émanciper pour les personnes racisées ? Avec : • Amandine Gay, réalisatrice, autrice et activiste. Autrice de Vivre, libre - Exister au cœur de la suprématie blanche (La découverte, 2025). Réalisatrice de la série documentaire Ballroom, danser pour exister (2025) disponible sur le site France.tv Un entretien avec Edward Maille, correspondant à RFI à Atlanta aux États-Unis. Cette ville de plus de 500 000 habitants est surnommée la «Mecque noire», en raison de son importante population noire. Alors quel est l'héritage dans cette ville du mouvement Black Lives Matter ? Et est-ce qu'une ville avec une aussi importante population noire permet d'échapper au privilège blanc ? Edward Maille nous en dit plus. En fin d'émission, un reportage de Tom Malki au cœur des salons de coiffure de Château Rouge, un quartier du 18ème arrondissement de Paris. Depuis presque un an, un arrêté de la préfecture de police Paris contraint certains commerces à fermer leurs portes à 20h. C'est le cas des salons de coiffures afros du quartier de Château Rouge, dans le nord de la capitale. Les coiffeurs dénoncent une décision qui menace, selon eux, leur chiffre d'affaires. Face à eux, des riverains qui se plaignent des nuisances sonores et rejettent la faute sur les commerces africains et caribéens. Un reportage de Tom Malki. Programmation musicale : ► Alright – Kendrick Lamar ► Ungewezaje - Dogo Paten
Discrimination à l'embauche ou au logement, contrôle d'identité dans la rue, faible représentation dans les médias ou en politique... les personnes blanches rencontrent rarement ce genre de difficultés. Né dans les années 80, aux États-Unis le concept de «privilège blanc» a ressurgi dans le débat public après le meurtre de George Floyd, tué en 2020 par des policiers blancs de Minneapolis lors d'une interpellation. Une mort brutale qui avait déclenché le mouvement Black lives matter et une onde de choc mondiale. 5 ans après, la prise de conscience semble avoir été de courte durée alors que des groupes suprémacistes blancs se multiplient en particulier aux États-Unis depuis l'élection de Donald Trump. On parle de «domination blanche» ou encore de «privilège blanc» pour désigner le statut préférentiel et les avantages dont bénéficient les personnes blanches par le seul fait d'être blanches. Si l'expression fait polémique, elle permet néanmoins d'interroger le racisme dans sa forme la plus insidieuse, les petites phrases, les situations du quotidien qui sont tout sauf anodines pour les personnes racisées. Dans ce contexte de crispation identitaire exacerbée, comment s'émanciper pour les personnes racisées ? Avec : • Amandine Gay, réalisatrice, autrice et activiste. Autrice de Vivre, libre - Exister au cœur de la suprématie blanche (La découverte, 2025). Réalisatrice de la série documentaire Ballroom, danser pour exister (2025) disponible sur le site France.tv Un entretien avec Edward Maille, correspondant à RFI à Atlanta aux États-Unis. Cette ville de plus de 500 000 habitants est surnommée la «Mecque noire», en raison de son importante population noire. Alors quel est l'héritage dans cette ville du mouvement Black Lives Matter ? Et est-ce qu'une ville avec une aussi importante population noire permet d'échapper au privilège blanc ? Edward Maille nous en dit plus. En fin d'émission, un reportage de Tom Malki au cœur des salons de coiffure de Château Rouge, un quartier du 18ème arrondissement de Paris. Depuis presque un an, un arrêté de la préfecture de police Paris contraint certains commerces à fermer leurs portes à 20h. C'est le cas des salons de coiffures afros du quartier de Château Rouge, dans le nord de la capitale. Les coiffeurs dénoncent une décision qui menace, selon eux, leur chiffre d'affaires. Face à eux, des riverains qui se plaignent des nuisances sonores et rejettent la faute sur les commerces africains et caribéens. Un reportage de Tom Malki. Programmation musicale : ► Alright – Kendrick Lamar ► Ungewezaje - Dogo Paten
La petite ville de Spremberg, dans la région du Brandebourg, dans l'est de l'Allemagne, fait face à des actes néo-nazis répétés depuis des mois. Croix gammées dessinées sur le mobilier urbain, jeunes qui font le salut nazi... Face à cela, la maire a tiré la sonnette d'alarme dès cet été et appelé ses concitoyens à réagir. Mais cet appel à l'aide crée la polémique.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Entre Franjo, victime de racisme, et Pierre qui est totalement à droite (pour de vrai), on est sur un cocktail déjanté.Note et commente le podcast voyons.
La petite ville de Spremberg, dans la région du Brandebourg, dans l'est de l'Allemagne, fait face à des actes néo-nazis répétés depuis des mois. Croix gammées dessinées sur le mobilier urbain, jeunes qui font le salut nazi... Face à cela, la maire a tiré la sonnette d'alarme dès cet été et appelé ses concitoyens à réagir. Mais cet appel à l'aide crée la polémique.
Percival Everett, né en 1956 en Géorgie aux États-Unis, est l'auteur d'une vingtaine de romans dont «Effacement» (2001), qui explore les stéréotypes raciaux dans le monde littéraire, et adapté au cinéma sous le titre «American Fiction» en 2023. Ont suivi «Blessés», «Montée aux enfers» et «Châtiment» dans la veine du polar. Son nouveau roman «James», couronné par le National Book Award et le prix Pulitzer de la fiction en 2025 revisite le classique «Les Aventures de Huckleberry Finn» du point de vue de Jim, l'esclave en fuite. Traduit de l'anglais (États-Unis) par Anne-Laure Tissut « Ces gamins blancs, Huck et Tom, m'observaient. Ils imaginaient toujours des jeux dans lesquels j'étais soit le méchant soit une proie, mais à coup sûr leur jouet. [...] On gagne toujours à donner aux Blancs ce qu'ils veulent. » Qui est James ? Le jeune esclave illettré qui a fui la plantation ? Ou cet homme cultivé et plein d'humour qui se joue des Blancs ? Percival Everett transforme le personnage de Jim créé par Mark Twain, dans son roman Huckleberry Finn, en un héros inoubliable. James prétend souvent ne rien savoir, ne rien comprendre ; en réalité, il maîtrise la langue et la pensée comme personne. Ce grand roman d'aventures, porté par les flots tourmentés du Mississippi, pose un regard incisif entièrement neuf sur la question du racisme. Mais James est surtout l'histoire déchirante d'un homme qui tente de choisir son destin. (Présentation des éditions de l'Olivier)
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le fonds intitulé The hidden years of music, soit « les années cachées de la musique », est l'une des plus grosses collections d'enregistrements et de documents du pays qui relatent la vie musicale sous l'apartheid, en particulier dans les années 1970-1980. Tout cela a été rassemblé, à l'époque, par un passionné. De notre correspondante à Stellenbosch, Cet enregistrement de Johnny Clegg et Sipho Mchunu à leurs débuts fait partie des pépites dont le fonds des hidden years of music regorge. La conservatrice, Lizabé Lambrechts, a travaillé plusieurs années sur cette collection pour la réorganiser et en superviser la numérisation : « Il y a plus de 7 000 enregistrements sur vinyles, environ 30 000 photos, et quelque chose comme 7 à 8 tonnes de documents. Donc ce sont vraiment d'énormes archives. » Ce trésor musical est désormais conservé à l'université de Stellenbosch, mais aussi en ligne, et on le doit à un homme : David Marks, compositeur, chanteur, ingénieur du son et producteur, qui a enregistré des heures et des heures de concerts. David Marks au festival de Woodstock de 1969 « David a travaillé au festival américain de Woodstock de 1969. Il y a rencontré Bill Hanley, qui lui a donné une partie du matériel de sonorisation pour le ramener en Afrique du Sud. Cela a permis à David d'organiser de grands concerts en plein air. Et il a enregistré tous ces événements, pris des photos, gardé les posters, et c'est comme ça que ces archives sont nées. Laissez-moi vous jouer un petit extrait… David a commencé à organiser ces concerts « Tribal Blues » à partir de 1971, et c'était parmi les seuls, en Afrique du Sud, à être interraciaux, en plein pendant l'apartheid. Donc c'étaient vraiment des moments magiques, imaginez comment cela devait être incroyable. » Lizabé Lambrechts conserve avec elle une petite partie de ces archives, pour achever son travail. Certains éléments ne sont pas toujours en bon état, car David Marks les a gardés dans son garage, sur la côte Est très humide. « Laissez-moi voir si je peux ouvrir ça ... Vous pouvez sentir cette légère odeur ? C'est une bobine du festival de musique pop de Monterey que David projetait lors de cafés-clubs qu'il organisait à Johannesburg et à Durban. Il voulait partager des films et de la musique pour que les gens connaissent ce qui se fait dans le monde. » De la contre-culture musicale face à l'apartheid Pour les chercheurs universitaires comme Ashrudeen Waggie, qui travaille sur les concerts organisés en Afrique du Sud pendant la période de boycott culturel, ce sont des documents rares : « C'est une très bonne source pour moi. Je pense que cela permet de mettre en avant une partie de l'histoire qui est restée cachée sous l'apartheid, donc c'est important. » Cette collection permet donc de redécouvrir la contre-culture musicale qui s'est construite face à l'apartheid et un pan de la résistance culturelle de l'époque. À lire aussi«Soweto Blues» de Miriam Makeba: une voix contre l'apartheid
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.
Un épisode de rentrée efficace, couvrant toutes les bases chères à nos auditeurs adorés, des soupeurs zoophiles aux trahisons politiques en passant par la triche au pierre-feuille-ciseaux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire de l'assassinat de la députée britannique Jo Cox. Une politicienne du parti travailliste, de centre gauche, fervente opposante au Brexit. Elle est assassinée à 41 ans par un militant d'extrême droite, quelques mois avant le référendum qui scella la sortie du Royaume-Uni de l'UE. C'est ce qu'on appelle un féminicide politique. Mais quelle différence entre un féminicide, un assassinat politique et un féminicide politique ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Racisme in El Salvador richting de spelers van Suriname. En niet door twee of tien man, maar een heel stadion vol. In de AD Voetbalpodcast bespreken Etienne Verhoeff en Sjoerd Mossou het. Maar ook de kansen van Suriname, Curaçao en Kaapverdië op deelname aan het WK 2026. FC Twente hoopt ondertussen John van den Brom vast te leggen voor de rest van dit seizoen. Zijn oude club Vitesse maakt zich op voor de terugkeer in de Keuken Kampioen Divisie. En hoe laat je een speler met een aflopend contract toch bijtekenen? Beluister de hele AD Voetbalpodcast nu via AD.nl, de AD App of jouw favoriete podcastplatform.Support the show: https://krant.nl/See omnystudio.com/listener for privacy information.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.Dans son quartier de Fieldhead, à Birstall, Thomas Mair est très apprécié pour ses services rendus aux plus vulnérables. Une réputation à des années lumières du crime qu'il a commis.Depuis plusieurs années, il travaille comme jardinier bénévole pour des personnes âgées, notamment pour un voisin handicapé à qui il vient en aide plusieurs après-midis par semaine. Il entretient gratuitement les pelouses, taille les haies, répare des clôtures. Il le dit lui-même, le jardinage, c'est toute sa vie. Ses voisins le décrivent comme poli, réservé. On lui reconnaît parfois une certaine excentricité, mais il ne s'est jamais montré menaçant envers qui que ce soit.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.En juin 2016, Helen Joanne Cox dite Jo, est députée travailliste depuis un peu plus d'un an, élue dans la circonscription de Batley and Spen, dans le West Yorkshire, sa région natale. Elle a 41 ans et un parcours impressionnant. Née au sein d'une famille modeste, elle se hisse jusqu'aux bancs de la prestigieuse Université de Cambridge et raconte ses difficultés à s'intégrer auprès de camarades issus de classes sociales supérieures. Pas à pas, elle solidifie son engagement politique, jusqu'à son arrivée à la Chambre des Communes en 2015. Très vite, son quotidien vogue au rythme des débats sur le Brexit.
In de FC Afkicken Daily van maandag 8 september bespreken Lars van Velsum, Mart ten Have en Stan Wagtman het laatste voetbalnieuws! Met vandaag onder meer Oranje dat de grootste moeite had met Litouwen, all-time topscorer Memphis Depay, FC Twente dat bot vangt bij Mark van Bommel en de Ajax dat een bod van Beşiktaş op Mika Godts heeft afgeslagen!(00:00) - Intro(02:31) - Terugblik Litouwen - Nederland(12:38) - Memphis All-time topscoorder Oranje(18:54) - Debuut Sem Steijn(20:07) - Landen die al gekwalificeerd zijn voor het WK(21:25) - Coach van het Jaar(23:55) - Van Bommel zegt nee tegen FC Twente(29:11) - Turkse clubs nog actief op de transfermarkt(36:41) - Spanje(37:10) - Racisme bij Cambuur - Willem IIMeespelen met Coach van het Jaar?https://www.coachvanhetjaar.nl/subleagues/33921/FC_AFKICKENZie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Phillip B. Williams est un poète américain. Né à Chicago en 1986, il est l'auteur des recueils de poésie Bruised Gospels et Burn, Thief in the Interior (qui a remporté le Kate Tufts Discovery Award et un Lambda Literary Award) et Mutiny. Chez nous, son premier roman, vient d'être traduit en français. Traduit de l'anglais (États-Unis) par Charles Recoursé. « Ours est un village de Louisiane, aux États-Unis, fondé dans les années 1830 par Sainte, une mystérieuse sorcière noire. Après avoir pris d'assaut des plantations et en avoir libéré les esclaves, elle les rassemble dans ce lieu que ses sortilèges protègent de toute intrusion et qui sera pour eux un havre de paix. Mais au fil du temps, de nouveaux arrivants parviennent à s'introduire dans Ours. Et certains habitants se demandent si la sécurité de leur communauté ne cache pas une autre forme d'asservissement. Saga qui se déroule sur quatre décennies, Chez nous est aussi une exploration du pouvoir, des limites de l'amour, et une réflexion sur la liberté, servies par une écriture poétique et ensorcelante. » (Présentation des éditions Robert Laffont) ► Illustration musicale : « Deathless » de Ibeyi et Kamasi Washington
« Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. ». Considéré comme un texte fondateur de la déontologie médicale, le serment d'Hippocrate repose sur le concept d'égalité des patients. Or, dans les faits, on peut observer des différences de prise en charge. Par exemple, en France, on observe que les soignants ne proposent pas systématiquement des préparations à l'accouchement ou encore à l'allaitement aux patientes d'ascendance afro-caribéennes. Pourquoi est-ce important de former les soignants à lutter contre les discriminations et prendre conscience de leurs propres préjugés en santé ? Est-ce que ces préjugés sont plus visibles dans certaines spécialités ? Pr Elie Azria, Chef de Service de la Maternité Notre Dame de Bon Secours du Groupe Hospitalier Paris Saint-Joseph, chercheur au sein de l'équipe INSERM OPPaLE. Professeur à l'université Paris-Cité. (Rediffusion) Retrouvez l'émission dans son intégralité iciLutte contre les préjugés raciaux en médecine
Violences devant un hôtel de migrants, un ministre britannique qui parle « d'invasion », des slogans haineux dans la rue... Il y a quelques jours encore, à Epping, près de Londres, des manifestants d'extrême droite affrontaient la police devant un centre hébergeant des demandeurs d'asile. Scène quasi inimaginable il y a 10 ans en Grande-Bretagne. Le pays de la devise « Keep Calm and Carry On » semblerait avoir perdu son flegme légendaire dès qu'il est question d'immigration. Depuis le Brexit en 2016, le débat s'est enflammé. Des figures comme Nigel Farage alimentent l'idée d'une invasion migratoire. Le gouvernement lui-même, qu'il soit conservateur hier ou travailliste aujourd'hui, durcit les lois pour tenter de « reprendre le contrôle » des frontières, au point de flirter avec les limites du droit international. Résultat : les traversées clandestines de la Manche continuent et la tension monte entre communautés. Alors, que se passe-t-il vraiment au Royaume-Uni ? Quelle part revient aux réseaux sociaux dans ce climat ? Comment l'histoire du Brexit a-t-elle radicalisé le discours public ? Et surtout, comment la société britannique réagit-elle : assiste-t-on à une libération de la parole raciste ? Ou bien le pays reste-t-il majoritairement attaché à sa tradition multiculturelle ? Avec nos invités : Aurélien Antoine, professeur à l'Université Jean-Monnet de Saint-Étienne, directeur de l'Observatoire du Brexit Amélie Cracco, docteure en droit, autrice de la thèse « Les conséquences du Brexit sur la liberté de circulation des personnes »
Mario Balotelli, autrefois considéré comme le diamant brut du football italien, a vu sa carrière prometteuse entravée par le racisme incessant qui a marqué sa vie. Dès son enfance, il a été victime de discriminations et de traitements injustes en raison de ses origines, et cette hostilité s'est poursuivie tout au long de sa carrière professionnelle. En Italie, son pays d'adoption, il a été constamment ciblé par des insultes racistes et des comportements haineux, à la fois sur et en dehors des terrains de football. De ses débuts à l'Inter Milan à son passage à l'AC Milan, en passant par ses expériences à Manchester City et Liverpool, Balotelli a été confronté à ce fléau partout où il est allé.
Nouvel épisode de la série les grands boycotts de l'Histoire, où quand des mouvements sociaux et politiques utilisent l'arme économique pour lutter contre l'oppression. De l'Irlande à Israël en passant par l'Inde, du lait en poudre au pétrole et aux bus de Montgomery, le boycott transforme le consommateur en citoyen, un mouvement d'expression et de colère qui continue de faire peur même aux plus puissants. Pour ce quatrième épisode, retour sur le boycott anti-apartheid en Afrique du Sud. En 1994, l'ANC remporte les premières élections démocratiques multiraciales. Nelson Mandela devient le premier président noir du pays. « C'est l'un des moments les plus importants de la vie de notre pays, lance-t-il lors de son discours de victoire. Je me tiens ici devant vous, empli d'une profonde fierté et d'une grande joie : fierté envers les gens ordinaires et humbles de ce pays. Vous avez fait preuve d'une détermination calme et patiente pour reconquérir ce pays qui est le vôtre. Et joie de pouvoir proclamer haut et fort : enfin libres ! » Nelson Mandela salue ainsi des décennies de lutte du peuple sud-africain contre l'apartheid. Une lutte qui a aussi reçu un soutien international de plus en plus important au fil du temps. 1959, la campagne anti-apartheid est lancée à Londres Dès 1959, des exilés sud-africains, soutenus par des syndicats britanniques, des étudiants ou encore des mouvements féministes répondent à l'idée lancée par Albert Luthuli (alors président de l'ANC et futur prix Nobel de la paix) et appellent depuis Londres au boycott des produits d'Afrique du Sud, pour protester contre la ségrégation raciale. Lors d'un discours à l'Université de Stanford, aux États-Unis, des années plus tard, le futur archevêque du Cap, Desmond Tutu (également récompensé du prix Nobel de la paix, en 1984), en résumera la logique. « Pour l'amour de Dieu, ceux qui investissent en Afrique du Sud doivent savoir qu'ils soutiennent et renforcent l'un des systèmes les plus brutaux qu'ait jamais connu le monde. » L'homme d'Église tourne aussi en dérision des arguments avancés par certains dirigeants des pays qui rechignent encore à imposer des sanctions économiques contre Pretoria : « Ils disent "oh, vous savez, les noirs seront les premiers à en souffrir, ils seront les plus durement touchés" », avant de conclure d'une moue entendue, sous les éclats de rire du public, conquis par l'orateur. 1976, le choc de la répression contre les manifestants de Soweto Le boycott anti-apartheid a pris de l'ampleur après la répression de la révolte de Soweto. Le 16 juin 1976, des milliers d'écoliers descendaient dans les rues du township de la banlieue de Johannesburg pour protester contre l'obligation d'apprendre l'afrikaans, sur le point de devenir la langue d'enseignement dans toutes les écoles noires. Une langue perçue comme celle de l'oppresseur. Ce soulèvement, réprimé dans le sang, a été un tournant décisif dans la lutte contre l'apartheid. Et participera aussi à amplifier le boycott anti-apartheid à l'international. À lire aussiAfrique du Sud : 16 juin 1976, la révolte de Soweto Années 1980, le boycott prend de l'ampleur à l'international Dans les années 1980, des dockers australiens et états-uniens refusent de décharger des marchandises venues d'Afrique du Sud. En France, on boycotte les oranges de la marque Outspan, accusée de profiter de l'exploitation des noirs. Plusieurs multinationales finissent par se retirer du pays, comme la banque britannique Barclays, en 1986, et avant elle Kodak, Coca-Cola, IBM ou encore General Motors. À l'intérieur du pays aussi, le boycott est particulièrement suivi. En 1988 et 1989, les Sud-africains noirs cessent par exemple d'acheter dans les magasins de Boksburg, près de Johannesburg, pour protester contre la politique ségrégationniste de la municipalité. Les boutiques sont désertées. L'équipe municipale finit par perdre sa majorité. Le boycott national et international du régime de l'apartheid pèse de plus en plus sur l'économie, et finit par accélérer sa chute. La dernière loi ségrégationniste est abolie en 1991. Nelson Mandela devient président trois ans plus tard. À lire aussiAfrique du Sud : 30 ans plus tard, que deviennent les enfants de la liberté ?
Dans un nouvel épisode de notre série sur les boycotts ayant changé l'histoire, retour sur un évènement qui a marqué la lutte pour les droits civiques aux États-Unis : en 1955, à Montgomery dans l'Alabama, la jeune activiste noire Rosa Parks refuse de céder sa place à un homme blanc lors d'un trajet en bus. C'est le début d'un large mouvement anti-ségrégation et d'une longue campagne de boycott des bus. Une mobilisation de masse, courageuse, qui restera gravée dans l'histoire et qui va permettre à une autre figure d'émerger : un certain pasteur nommé Martin Luther King.
Le racisme a augmenté au sein des communautés en Australie depuis le les attentats du 7 octobre au Moyen-Orient. Selon le responsable de la discrimination raciale dans le pays, il existe des solutions pour lutter contre ce problème. Ce dernier presse le gouvernement d'agir et de mettre sur pied un plan contre toute forme de racisme.
« Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions ». Considéré comme un texte fondateur de la déontologie médicale, le serment d'Hippocrate repose sur le concept d'égalité des patients. Or, dans les faits, on peut observer des différences de prise en charge. (Rediffusion) Par exemple, en France, on observe que les soignants ne proposent pas systématiquement des préparations à l'accouchement ou encore à l'allaitement aux patientes d'ascendance afro-caribéenne. En cause, certaines représentations que les soignants peuvent se faire de ces patientes : des femmes « qui savent faire », pour qui la maternité serait « naturelle ». Comment former les soignants pour qu'ils dépassent leurs préjugés dans la pratique de leur métier ? Comment ces préjugés peuvent-ils entrainer une perte de chance pour les patients ? Priscille Sauvegrain, sage-femme et docteure en Sociologie. Directrice du Département universitaire de maïeutique de la Faculté de santé de Sorbonne Université. Co-directrice de l'axe Health de l'Institut Convergences Migrations Racky Ka-Sy, psychologue et docteure en Psychologie sociale. Enseignante à la Faculté de médecine de Sorbonne Université à Paris où elle dispense le cours « soins différenciés, discriminations et racisme en santé » Pr Elie Azria, chef de service de la Maternité Notre Dame de Bon Secours du Groupe Hospitalier Paris Saint-Joseph, chercheur au sein de l'équipe INSERM OPPaLE. Professeur à l'Université Paris-Cité. Un reportage de Raphaëlle Constant. Programmation musicale : ► Jenny Paria – Assez ► Infinity Song – Hater's Anthem.
« Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions ». Considéré comme un texte fondateur de la déontologie médicale, le serment d'Hippocrate repose sur le concept d'égalité des patients. Or, dans les faits, on peut observer des différences de prise en charge. (Rediffusion) Par exemple, en France, on observe que les soignants ne proposent pas systématiquement des préparations à l'accouchement ou encore à l'allaitement aux patientes d'ascendance afro-caribéenne. En cause, certaines représentations que les soignants peuvent se faire de ces patientes : des femmes « qui savent faire », pour qui la maternité serait « naturelle ». Comment former les soignants pour qu'ils dépassent leurs préjugés dans la pratique de leur métier ? Comment ces préjugés peuvent-ils entrainer une perte de chance pour les patients ? Priscille Sauvegrain, sage-femme et docteure en Sociologie. Directrice du Département universitaire de maïeutique de la Faculté de santé de Sorbonne Université. Co-directrice de l'axe Health de l'Institut Convergences Migrations Racky Ka-Sy, psychologue et docteure en Psychologie sociale. Enseignante à la Faculté de médecine de Sorbonne Université à Paris où elle dispense le cours « soins différenciés, discriminations et racisme en santé » Pr Elie Azria, chef de service de la Maternité Notre Dame de Bon Secours du Groupe Hospitalier Paris Saint-Joseph, chercheur au sein de l'équipe INSERM OPPaLE. Professeur à l'Université Paris-Cité. Un reportage de Raphaëlle Constant. Programmation musicale : ► Jenny Paria – Assez ► Infinity Song – Hater's Anthem.
Travailler avec les animaux sauvages : rêve d'enfant ou réalité brutale ? Rencontre avec Jennifer, de vétérinaire au Zimbabwe à Guide d'expédition sur un bateau de croisière de lux en Arctique.Dans cet épisode, Jennifer partage son incroyable parcours d'expatriée et de vétérinaire engagée. De son adolescence marquée par un choc culturel en Arizona à son travail au Zimbabwe en Afrique pour la préservation des espèces, elle nous raconte ses désillusions, ses passions, et ses choix de vie atypiques. Racisme, identité, désert, faune sauvage, missions humanitaires, vie sur un bateau de croisière… Une conversation sincère et inspirante sur l'exploration du monde, de soi et du vivant. Un témoignage rare pour celles et ceux qui rêvent d'ailleurs, d'animaux sauvages et d'engagement sur le terrain.#afrique #guide #naturaliste #veterinaire
Samah Karaki est neuroscientifique et autrice du livre L'empathie est politique. Je pense que Vlan! a été le 1er podcast a lui donner le micro il y a 2 ans et demi et depuis par sa pertinence et son travail, nous la voyons partout sur tous les médias!J'adore Samah, pour ne rien cacher nous sommes devenus amis et dans cet épisode, elle nous invite à déconstruire notre vision de l'empathie, souvent perçue comme un trait universel et positif.Pourtant, nous n'éprouvons pas tous la même empathie pour tout le monde, et ce biais est largement influencé par notre culture, les médias et les dynamiques de pouvoir.J'ai questionné Samah sur la nature biologique et sociale de l'empathie, sur la manière dont certains groupes sont déshumanisés dans nos imaginaires collectifs, mais aussi sur le rôle crucial des récits médiatiques. Comment se forge notre perception de l'« autre » ? Pourquoi avons-nous plus de compassion pour certains et moins pour d'autres ? Quel impact cela a-t-il sur nos sociétés et nos décisions politiques ?Au fil de cette conversation passionnante, nous avons aussi parlé du biais de confirmation, du rôle des réseaux sociaux dans la polarisation des opinions et de la manière dont l'individualisme moderne façonne notre rapport à l'altérité.Un épisode puissant qui pousse à la réflexion et à l'introspection.Les questions que l'on traite : Qu'est-ce que l'empathie et comment la définir ?Pourquoi l'empathie est-elle essentielle à notre évolution ?Quelles espèces animales possèdent également une forme d'empathie ?Qu'est-ce que la contagion émotionnelle et comment fonctionne-t-elle ?L'empathie est-elle une capacité innée ou acquise ?Comment les médias influencent-ils notre perception de certaines populations ?Pourquoi avons-nous plus d'empathie pour certaines personnes que pour d'autres ?Peut-on apprendre à être plus empathique ou à contrôler notre empathie ?En quoi les récits historiques et politiques modèlent-ils notre empathie collective ?Comment éviter de tomber dans le piège du biais de confirmation ?Timelaps :00:00 – Introduction et présentation de l'épisode01:18 – Définition de l'empathie : un phénomène biologique et social02:36 – L'évolution de l'empathie chez l'homme et les animaux04:51 – La contagion émotionnelle : pourquoi imitons-nous les émotions des autres ?08:09 – Pourquoi n'avons-nous pas tous le même niveau d'empathie ?12:11 – L'exemple des nazis et la déshumanisation des groupes17:39 – L'influence des médias sur notre perception des autres25:33 – L'essentialisation des minorités dans les productions culturelles35:25 – Pourquoi avons-nous plus d'empathie pour les victimes que nous voyons ?53:19 – Le rôle des journalistes dans la construction de notre empathie58:27 – Comment éviter les biais de confirmation ?01:00:32 – Trauma et empathie : quel impact ?01:02:54 – L'instrumentalisation de l'empathie à des fins politiques01:08:00 – Conclusion et réflexions finales Suggestion d'autres épisodes à écouter : #206 Comment développer l'esprit critique chez les enfants? Avec Samah Karaki (https://audmns.com/dFSogCP) Vlan #108 Pourquoi la culpabilisation écologique ne fonctionne pas? avec Albert Moukheiber (https://audmns.com/KOfUemJ) #326 Le vrai du faux sur le cerveau avec Albert Moukheiber (partie 1) (https://audmns.com/BlnwPcX)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion du centenaire de sa naissance, "C'est en France" revient sur le parcours hors du commun de Frantz Fanon : engagé volontaire à 18 ans pour combattre les nazis, écrivain engagé contre le racisme et le colonialisme, psychiatre visionnaire et militant pour l'indépendance de l'Algérie.
Au Japon, les élections sénatoriales prévues dimanche 20 juillet s'annoncent périlleuses pour la coalition au pouvoir, les sondages prédisant une forte progression des petits partis ultra-conservateurs, nationalistes et populistes. Tout au long de la campagne, ces formations ont pris les étrangers pour cible, ont tenu des propos xénophobes et ont diffusé sur les réseaux sociaux des contre-vérités concernant les immigrés. De notre correspondant à Tokyo, L'archipel ne compte que 3% d'immigrés, soit moins de 4 millions de personnes, pour 120 millions de Japonais. Pourtant, ils sont devenus les boucs émissaires de la campagne électorale. Dans les meetings, on les a accusés de tous les maux et, en boucle, en réclamant la préférence nationale : « Les Japonais étant des êtres supérieurs, ils n'ont plus à passer au second plan par rapport aux étrangers », « Les Japonais d'abord ! Il faut d'urgence mettre fin à ce traitement préférentiel dont les immigrés ont toujours bénéficié », ou encore « Regardez ce qui se passe en Europe. Ce continent est complètement à la dérive en raison d'une immigration incontrôlée ». Des propos sévères, mais « ce n'est pas faire preuve de xénophobie ou de populisme que d'exiger que les immigrés respectent nos règles et que nous, les Japonais, bénéficiions d'une discrimination positive par rapport à eux. Cela paraît la moindre des choses », a-t-on pu entendre notamment lors de ces événements politiques au Japon. Face à cette vague populiste, les électeurs japonais sont partagés. « On ne se sent plus chez nous avec autant d'étrangers. Et beaucoup se comportent mal, en plus. C'est vraiment la double peine », estime une jeune femme. « Enfin des politiciens qui disent la vérité et sortent du politiquement correct, de ce prêchi-prêcha assommant sur ''le vivre ensemble" », abonde une autre, croisée dans les rues de Tokyo. « À mon sens, un pays se grandit en acceptant la diversité qui figure en son sein et en veillant à la coexistence harmonieuse au-delà des différences culturelles », estime à l'inverse un électeur. « Les partis traditionnels ayant tellement déçu, menti et magouillé, les gens optent pour une alternative et se tournent vers des formations populistes. Une telle dérive, c'était couru d'avance », regrette celui-ci. Beaucoup d'immigrés ont mal vécu cette campagne qui, de bout en bout, a stigmatisé les étrangers. « Tous les jours, on me fait comprendre que ma place n'est pas ici, mais dans mon pays. C'est dur, se désole Aung, qui est née en Birmanie. Mais je m'accroche, je serre les dents. Au boulot, je veille à être une employée modèle pour que mon titre de séjour soit renouvelé chaque année, et donc que je puisse continuer à aider mes parents, qui sont toujours en Birmanie. Car mon soutien financier leur est vital. » Contrairement à ce qui a été dit et répété dans les meetings, le Japon n'est pas « submergé par une vague de sans-papiers » : on en dénombre un quart de moins qu'il y a 20 ans. Un étranger sur trois ne vit pas « au crochet de l'assistance publique » : on ne compte que 3% d'immigrés parmi les bénéficiaires d'une allocation de subsistance. S'agissant des incivilités et des infractions commises par les étrangers, on en déplore un peu plus qu'avant. Mais, selon les experts, c'est mathématique, automatique, dû à l'envolée du nombre d'immigrés ces dernières années. Pour autant, le gouvernement a promis un tour de vis répressif envers les résidents étrangers qui n'auraient pas un comportement irréprochable. Et, à en croire un récent sondage, près de 80% des Japonais s'en félicitent. À lire aussiAu Japon, les populistes ciblent les immigrés à l'approche des élections
De VVD won jarenlang verkiezingen met het imago van daadkracht, maar de werkelijke strategie was vaak: niets doen. Problemen niet oplossen om ze politiek te kunnen blijven uitspelen. In deze aflevering gaat Or Goldenberg in gesprek met journalist Kim van Keken over politieke framing, verkiezingsretoriek en de langetermijngevolgen van ‘niets doen' als beleid.Lees ook het artikel Toppers in wegwimpelen in De Groene Amsterdammer.Productie: Or GoldenbergSee omnystudio.com/listener for privacy information.