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Aujourd'hui, c'est au tour de Marine Le Pen, présidente du groupe Rassemblement National à l'Assemblée nationale, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Aujourd'hui, dans la dernière heure des Grandes Gueules - Émission exceptionnelle en direct de l'Assemblée, Marine Le Pen, présidente du groupe Rassemblement National à l'Assemblée nationale, face aux GG. Avec : Bruno Poncet, cheminot, Zohra Bitan, fonctionnaire, et Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo.
Was früher als No-Go galt, ist heute für viele junge Menschen in Frankreich eine politische Heimat: der Rassemblement National. Die Nachfolgepartei des rechtsradikalen Front National hat sich unter Marine Le Pen strategisch neu aufgestellt. Clara Hellner, Julia Borutta, Katja Bigalke www.deutschlandfunkkultur.de, Weltzeit
Un point complet sur l'actualité à 7h.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La France et les Français un an jour pour jour après le choc de la dissolution… Avec le recul nécessaire, quel bilan tirer de ce choix d'Emmanuel MACRON ? Pire erreur de la 5ème République qui a plongé le pays dans la léthargie et l'immobilisme ou décision qui a malgré tout permis une clarification nécessaire ? Quelles conséquences sur le rapport des Français à la politique ? On en débat ce lundi 9 juin avec nos invités : ▶︎ Jean GARRIGUES Historien, président de la Commission internationale d'Histoire des assemblées, co-auteur du documentaire « Dissolution, histoire d'un séisme politique » (2024)▶︎ Anne-Charlène BEZZINA Constitutionnaliste, maîtresse de conférence à l'université de Rouen, membre associé de l'Institut des sciences juridique et philosophique de la Sorbonne, co-autrice de « Vème République Anatomie d'un régime en crise(s) » avec Thomas Snégaroff aux éditions Les Arènes (07.05.25)▶︎ Jérôme SAINTE MARIE Politologue, formateur des cadres du Rassemblement National, président de l'institut Pollingvox▶︎ Richard RAMOS Député Les Démocrates du Loiret, secrétaire général adjoint du Modem▶︎ Pauline DE SAINT REMY Journaliste, cheffe du service politique de Politico, directrice de « La Surprise du chef : de la dissolution aux élections, 28 jours qui ont stupéfié la France » aux éditions Denoël (09.10.24)▶︎ Sylvain BOURMEAU Journaliste, professeur associé à Paris I, directeur du journal AOC, producteur de l'émission « La Suite dans les idées » sur France Culture
À la une de la presse, ce mardi 10 juin, l'échec, en Italie, d'un référendum proposant de faciliter les naturalisations et d'abroger des mesures de libéralisation du marché du travail, faute de participation. Un rassemblement, en France, autour du RN, de l'extrême-droite européenne. Un meeting europhobe financé par l'UE. La guerre des tondeuses à gazon et une bataille rangée entre otaries.
En France, l'Assemblée nationale a adopté ce jeudi (5 juin 2025) une résolution, appelant à étudier le processus de réparation de la double dette imposée à Haïti, il y a 200 ans. Ce texte n'est pas contraignant, les élus ont surtout exprimé le vœu d'une reconnaissance par la France des conséquences de cette double dette sur le développement de son ancienne colonie. Au moment où Haïti traverse une crise sécuritaire et humanitaire dévastatrice. Le 1er janvier 1804, suite à leur victoire militaire contre les colons français, les Haïtiens proclament leur indépendance. 21 ans plus tard, un émissaire du roi Charles X accompagné d'une flottille militaire arrive à Port-au-Prince. Le message est clair : si elles veulent éviter la guerre, les autorités haïtiennes doivent dédommager les anciens propriétaires de terres et d'esclaves. Dans l'impossibilité de payer la somme seul, le gouvernement haïtien finit par s'endetter à des taux élevés auprès de banques françaises. C'est ce que les historiens appellent la « double dette ». Selon une enquête du New York Times, les paiements à la France ont coûté à Haïti entre 20 et 108 milliards d'euros. Ils ont également été le début de la main mise financières française puis américaine sur Haïti.Le président français Emmanuel Macron a appelé le 17 avril 2025 à mener un travail historique sur cette question. Jeudi (5 juin 2025), l'Assemblée nationale a donc voté une résolution invitant le gouvernement français à « à étudier un processus de restitution de la double dette ».Durant les débats à l'Assemblée nationale, des élus de tout bord ont souligné la violence de cette double dette. « C'est l'un des paradoxes les plus douloureux de l'histoire a défendu Pierre Henriet député Horizon. Celui d'un peuple d'esclaves affranchis qui a dû payer une indemnité exorbitante à ses anciens maîtres pour être reconnu comme nation souveraine. »Une dette qu'Haïti n'a fini de rembourser qu'en 1952. Pour Gabrielle Cathala de la France Insoumise, la France est donc clairement responsable de la situation économique actuelle du pays. « Sans la double dette, les économistes ont calculé qu'Haïti aurait le même PIB que sa voisine la République dominicaine. Cela signifie que la France coloniale a contribué à diviser par six le PIB d'Haïti. Seule voix discordante, celle du Rassemblement National qui votera contre cette résolution. Emeric Salmon est l'un de ses élus prévient « des risques de précédents dangereux. D'autres Nations pourraient exiger des réparations pour des faits historiques similaires, menaçant l'équilibre diplomatique et économique mondial ».Ce texte, largement adopté, invite le gouvernement à prendre en considération les demandes de remboursements haïtiennes. La majorité des députés ont malgré tout écarté l'idée d'un chèque en blanc. Ils plaident davantage pour un accompagnement des institutions du pays.Le silence des autorités haïtiennesCe vote a conclu une journée riche en rebondissements jeudi en Haïti. Une journée qui met en exergue l'absence de gestion interne du pays soulève le Nouvelliste dans son éditorial alors que «les États-Unis, la République dominicaine et la France gèrent le cas Haïti à leur façon».Il y a d'abord eu «l'énorme coup de massue américain» avec l'annonce du Travel ban. Des «mesures migratoires restrictives» imposées notamment à Haïti. Aucune autorité américaine ne s'est prononcée sur les détails pratiques induits par la décision du président Donald Trump regrette l'éditorialiste.Puis vers midi, émerge une lettre signée du président dominicain et de tous ses prédécesseurs, « un soutien sans équivoque pour que la Mission Multinationale d'Appui à la Sécurité devienne une vraie mission des Nations unies », comme l'a proposé le secrétaire général de l'ONU, il y a quelque mois. Le rédacteur en chef du Nouvelliste note une fois de plus le silence des autorités haïtiennes alors que cela serait dans l'intérêt de leur pays.En fin de journée, les Haïtiens ont appris le vote de l'Assemblée nationale française sur la dette haïtienne.Une fois de plus, une décision de l'extérieur qui met en évidence l'absence des autorités haïtiennes, souligne Franz Duval. La réflexion a été officiellement lancée, il y a un mois et demi, après la prise de parole du président français demandant un travail en collaboration entre les deux pays, depuis les Haïtiens attendent une position précise de leur gouvernement sur la question et la nomination formelle des membres devant faire partie de la commission binationale qui doit se pencher sur la double dette.«Alors que nos chefs sont perdus dans la gestion de leur privilège, la France, la République dominicaine et les États-Unis ont une politique envers Haïti et prennent des décisions», conclue le Nouvelliste.Ayibopost enquête sur les pratiques d'extorsion des cartes d'identitéLe journaliste Junior Legrand du média haïtien Ayibopost revient pour RFI sur son enquête consacrée à des pratiques d'extorsion sur des cartes d'identité. Elles sont gratuites en principe, mais bien souvent les citoyens doivent payer des frais aux agents pouvant s'élever à plusieurs milliers de gourdes. Face à cette escroquerie, certains Haïtiens n'ont pas de carte d'identité. Une situation qui impacte l'accès à l'emploi notamment, mais qui peut également être dangereuse. L'insécurité et la violence poussent de nombreux habitants à fuir, des déplacements d'autant plus risqués sans pièce d'identité. Le show du divorce Trump-Musk Sans grande surprise aux États-Unis, la presse concentre ses Unes sur la fin de la romance entre Donald Trump et Elon Musk. Le président des États-Unis a menacé de rompre les contrats publics conclus avec les entreprises de l'homme le plus riche du monde. Donald Trump assure notamment qu'Elon Musk est devenu fou à cause d'une décision défavorable aux véhicules électriques :« Je suis très déçu car Elon connaissait les rouages de ce projet de loi mieux que la quasi-totalité des personnes assises ici. Mieux que vous tous. Il savait tout à ce sujet. Elle ne lui posait aucun problème. Tout à coup, il a eu un problème et il ne l'a développé que lorsqu'il a découvert que nous allions devoir réduire le mandat des véhicules électriques, parce que cela représente des milliards et des milliards de dollars. je suis très déçu par Elon. Je l'ai beaucoup aidé. »Tout est fait pour nourrir le spectacle, note le New York Times qui parle d'un renversement de situation à couper le souffle. Le Washington Post soulève qu'après avoir utilisé son réseau social X pour développer la popularité de Donald Trump, Elon Musk l'utilise maintenant pour le détruire. Les outils sont les mêmes : remarques désobligeantes, allégations explosives et moqueuses exposées à ses 220 millions d'abonnés. Cette fois, la cible est Trump lui-même et non pas ses détracteurs. De son côté, Politico annonce les signes d'une trêve. Un appel serait prévu aujourd'hui entre le patron de Tesla et le président américain. Il a depuis été reporté. Au Panama, une mouche pour le recyclage des déchets organiquesNotre correspondant au Panama, Grégoire Pourtier, nous présente ce vendredi les recherches d'une équipe de scientifiques qui prône l'utilisation de la Mouche Soldat Noire pour recycler les déchets organiques. Comme beaucoup d'autres, le petit pays d'Amérique centrale est confronté depuis des années à un problème structurel pour la gestion de ses déchets. Ils s'accumulent notamment dans une immense décharge en bordure de la capitale, provoquant l'an passé des incendies gigantesques et très toxiques. Grégoire Pourtier s'est rendu dans le laboratoire du Smithsonian, à Panama City.Chaque jour, Braulio Bonilla y reçoit plusieurs kilos de déchets organiques provenant d'un marché, d'un restaurant. En quelques jours de travail, grâce à la Mouche Soldat Noire, il va les faire disparaître.«Je vais d'abord broyer les déchets, explique-t-il. Nous remplissons ensuite des sacs zip-lock avec toute cette matière organique qui va nous servir à nourrir les larves.” La tâche n'est pas des plus agréable, mais le processus permet de donner de la valeur à ces détritus organiques.« Au Panama, la question des ordures est très mal perçue, constate le scientifique. Alors avec ce projet, nous essayons de sensibiliser un peu les gens : leur montrer qu'on peut valoriser ses déchets d'une manière utile et écologique, et que ce n'est pas simplement de la poubelle. Si nous arrivons à faire comprendre ce concept, un grand progrès pourrait être accompli, que ce soit en ville ou à la campagne, ici au Panama.»Les déchets broyés vont désormais nourrir des larves de mouches. Dans une petite pièce du laboratoire, sont entreposées de nombreuses boîtes, chacune est datée. « Dans chaque caisse, nous mettons 3 kilos de matière organique, 3 grammes d'œufs de la mouche, explique le scientifique Gilberto Bolaños. En 18 jours, nous obtenons plus de deux kilos et demi de larves. Une partie de cette production servira de nourriture pour les animaux — poules, canards, cochons, crevettes, poissons tilapias — et une autre sera envoyée pour des accouplements dans nos Love cage, les cages de l'amour, pour qu'elles accomplissent leur cycle de reproduction. »Cercle vertueux, le cycle de traitement des déchets organiques peut ainsi se perpétuer lui aussi. Les entomologistes Yves Basset et Greg Lamarre, associés à l'Institut Smithsonian au Panama, espèrent le voir se déployer sur des exploitations agricoles ou des petites communes. Les tentatives de production industrielles n'ayant pas encore réussi à s'imposer sur un marché de plus grande échelle.
Der Franzose Fabrice Leggeri war von 2015 bis 2022 Direktor der EU-Grenzschutzagentur Frontex. Aktuell sitzt er für den "Rassemblement National" von Marine Le Pen im Europaparlament. Im AUF1-Gespräch erklärt er exklusiv, welche Lehren er aus seiner Zeit bei Frontex zieht und was man tun müsste, um die Massenmigration tatsächlich zu stoppen.
Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chez Les Républicains, un frisson de plaisir accompagne le résultat de l'élection partielle en Saône-et-Loire. Le candidat de la droite proche de Xavier Bertrand a remporté l'élection avec 58,6 % des voix face à 41,4 % pour le candidat du Rassemblement National. C'est la troisième victoire partielle pour LR depuis février, un frémissement qui, selon Ruth Elkrief, peut être intéressant. Elle souligne cependant qu'en face du RN, la non-mobilisation de ses électeurs reste un facteur clé à prendre en compte. Les chiffres d'Eurostat, rapportés par François Lenglet, révèlent une évolution notable : le PIB par tête italien a rattrapé celui de la France, alors qu'il était inférieur de 10 % il y a cinq ans. Concernant l'Allemagne, l'écart se réduit également, passant de 24 % à 14 % de retard. Cette mesure, fondée sur la parité de pouvoir d'achat, intègre revenus et prix des biens et services, offrant une image précise du niveau de vie. Jafar Panahi, palme d'or à Cannes, a été accueilli en héros à Téhéran par une poignée de courageux. Sa longue lutte contre la répression iranienne, les interdictions et les emprisonnements témoigne d'un courage hors norme. Selon Abnousse Shalmani, présenter clandestinement un film interdit à Cannes et remporter la récompense suprême est un acte de bravoure exceptionnelle face à une monarchie répressive. Ce combat pour la liberté résonne aussi en Iran avec la récente grève des camionneurs, un autre signe de défiance et de résistance sociale contre le pouvoir en place. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs L'élection de Bruno Retailleau à la tête du parti Les Républicains a réveillé tous les partisans d'une grande alliance de la droite à l'extrême droite pour prendre le pouvoir. Une hypothèse qui se heurte au refus du Rassemblement national et aux querelles de partis. Un article de Youmni Kezzouf publié dimanche 25 mai 2025, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
“Europe, jeunesse, révolution” C'est le slogan du GUD, -Le Groupe Union Défense - qui est scandé dans les rues de Paris le 9 mai 2024. Des hommes en noir, gantés, cagoulés arborrent des drapeaux avec des croix celtiques et des sonnenrad ou “soleil noir”, des symboles utilisés par les néo-nazis. En tout, ils étaient 550 à participer à défiler dans le 6e arrondissement de Paris. Ce collectif, c'est le C9M ou le Comité du 9 mai, et chaque année ils défilent à cette date. Quelle est la symbolique de cette date ? Qui a fondé cette alliance néofasciste ? Qui sont les groupes qui composent le Comité du 9 mai ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Pourquoi le Rassemblement National est-il régulièrement accusé d'antisémitisme ? Quels sont les signaux pour reconnaître le fascisme ? Qu'est-ce que la manosphère, ces communautés en ligne dangereuses ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Gaëtan Dussossé, député du Rassemblement National des Vosges partage son point de vue tranchant sur la visite controversée du président syrien Ahmed Al-Charaa à l'Élysée. Il n'hésite pas à qualifier cette rencontre de "véritable honte" et à remettre en question la décision du président Macron d'accueillir ce dirigeant "plus que controversé". Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:40 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Pour des raisons personnelles, j'avais besoin de pédaler et je suis parti sur les routes de France — ou plutôt d'Île-de-France — m'arrêtant dans une petite ville de la périphérie parisienne, municipalité de droite. C'est là que j'ai rencontré un nouveau camarade : Gilbert. - réalisation : Félicie Faugère
Dans cette édition :Le stand du Parti socialiste saccagé et le député Jérôme Guedj agressé verbalement et physiquement lors des manifestations du 1er mai à Paris, attribués aux Black Blocs, à l'Ultra et à l'extrême gauche antisémite.Le Rassemblement national a choisi Narbonne pour célébrer le 1er mai, avec un meeting en duo entre Marine Le Pen et Jordan Bardella, qui évoquent la bataille judiciaire et les élections à venir.L'archevêque de Marseille, Jean-Marc Aveline, fait figure de favori pour succéder au pape François, bien qu'il ne parle pas italien, un handicap au Vatican.La France reste l'un des pays les plus imposés au monde, avec une part importante des charges, impôts et cotisations sociales dans le coût du travail.Le beau temps du 1er mai a attiré de nombreux Parisiens dans les parcs et jardins, pour des activités sportives, ludiques ou simplement pour profiter des terrasses.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des bousculades et des injures ont visé des élus socialistes lors de la manifestation parisienne du 1er mai, avec des militants s'en prenant notamment au député PS Jérôme Guedj.Le Rassemblement National a tenu un meeting à Narbonne avec Marine Le Pen et Jordan Bardella, attirant plus de 8000 personnes dans un contexte de notabilisation du parti.Une nouvelle agression antisémite a eu lieu près d'Alès dans le Gard, avec un homme de 70 ans violemment pris à partie.Le ministre des Affaires étrangères français Jean-Noël Barraud tient Vladimir Poutine pour responsable de l'absence d'accord de paix en Ukraine, appelant à de nouvelles sanctions contre la Russie.Malgré un accord entre Washington et Kiev sur l'exploitation des ressources minières ukrainiennes, les bénéfices pour l'Ukraine restent limités selon les experts.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le député du Rassemblement National Laurent Jacobelli se livre à une charge virulente contre la gauche radicale. Invité au lendemain du grand meeting du RN à Narbonne, il revient sur les discours incendiaires de Marine Le Pen et Jordan Bardella, qui affirment que le "système" cherche à "confisquer la démocratie" pour empêcher le RN d'accéder au pouvoir.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des bousculades et des injures ont visé des élus socialistes lors de la manifestation parisienne du 1er mai, avec des militants s'en prenant notamment au député PS Jérôme Guedj.Le Rassemblement National a tenu un meeting à Narbonne avec Marine Le Pen et Jordan Bardella, attirant plus de 8000 personnes dans un contexte de notabilisation du parti.Une nouvelle agression antisémite a eu lieu près d'Alès dans le Gard, avec un homme de 70 ans violemment pris à partie.Le ministre des Affaires étrangères français Jean-Noël Barraud tient Vladimir Poutine pour responsable de l'absence d'accord de paix en Ukraine, appelant à de nouvelles sanctions contre la Russie.Malgré un accord entre Washington et Kiev sur l'exploitation des ressources minières ukrainiennes, les bénéfices pour l'Ukraine restent limités selon les experts.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le stand du Parti socialiste saccagé et le député Jérôme Guedj agressé verbalement et physiquement lors des manifestations du 1er mai à Paris, attribués aux Black Blocs, à l'Ultra et à l'extrême gauche antisémite.Le Rassemblement national a choisi Narbonne pour célébrer le 1er mai, avec un meeting en duo entre Marine Le Pen et Jordan Bardella, qui évoquent la bataille judiciaire et les élections à venir.L'archevêque de Marseille, Jean-Marc Aveline, fait figure de favori pour succéder au pape François, bien qu'il ne parle pas italien, un handicap au Vatican.La France reste l'un des pays les plus imposés au monde, avec une part importante des charges, impôts et cotisations sociales dans le coût du travail.Le beau temps du 1er mai a attiré de nombreux Parisiens dans les parcs et jardins, pour des activités sportives, ludiques ou simplement pour profiter des terrasses.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un mois après sa condamnation à une peine d'inéligibilité, Marine Le Pen, accompagnée de Jordan Bardella, s'est rendue à Narbonne réaffirmer ses ambitions présidentielles devant les militants du Rassemblement National. A Paris, Jean-Luc Mélenchon s'est adressé aux militants de La France Insoumise, tandis que les dirigeants de la gauche, Olivier Faure, Marine Tondelier et François Ruffin, avaient choisi Dunkerque pour une Fête du Travail aux côtés des ouvriers de l'usine ArcelorMittal.
Il y a 80 ans, des femmes ont pu voter pour la première fois en France. Le droit de vote autorisé pour les femmes, c'est évidemment une réforme fondamentale dans notre société. À l'époque, on estime que la vaste majorité des couples ont voté pour le même parti. Il existe une homogénéité du vote au sein des structures familiales, très liée à la classe sociale. Est-ce toujours le cas 80 ans plus tard ? Pour quel parti votent les électrices françaises ? Choisissent-elles de s'abstenir ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad, Nonna Mayer et Noémie Piolat chercheuse et doctorante au centre d'études européennes et de politique comparée de SciencesPo CNRS. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ça bouge au Rassemblement National puisque Marine Le Pen semblait ouvrir la porte à l'idée qu'elle ne pourrait pas forcément être candidate à la présidentielle de 2027. Jordan Bardella, lui, s'est avancé, mais rien n'est simple. Ruth Elkrief estime que c'est un ballet auquel on a commencé à assister et qui, à son avis, va durer. "Il s'agit d'une pièce en quatre actes", évoque-t-elle. La France commence à s'interroger sur l'usage et la dépendance aux écrans. Pour Pascal Perri, il ne s'agit pas seulement d'une question de santé publique puisque le temps d'écran vaut aussi de l'or. Les économistes, eux, parlent de l'économie de l'attention qui vise à l'arrêter et à la fixer sur une chose. "Capter l'attention du public représente une valeur", explique-t-il. Pascal Perri trouve également alarmant l'évolution du temps d'écran quotidien par catégories d'âges. Il a peur qu'on soit en train de fabriquer aujourd'hui des générations des gens qui seront décérébrés. La prochaine guerre aura-t-elle lieu en Asie ? C'est la question que tout le monde se pose depuis l'attentat meurtrier du 21 avril au Cachemire indien, revendiqué par un groupe pakistanais. L'Inde et le Pakistan, deux puissances nucléaires, sont à nouveau au bord de la guerre. Les forces armées des deux pays se sont déjà livré trois guerres depuis 1947 pour avoir la main et le contrôle de ce territoire de Cachemire. Et la tension atteint aujourd'hui un niveau jamais vu. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a 80 ans, des femmes ont pu voter pour la première fois en France. Le droit de vote autorisé pour les femmes, c'est évidemment une réforme fondamentale dans notre société. À l'époque, on estime que la vaste majorité des couples ont voté pour le même parti. Il existe une homogénéité du vote au sein des structures familiales, très liée à la classe sociale. Est-ce toujours le cas 80 ans plus tard ? Pour quel parti votent les électrices françaises ? Choisissent-elles de s'abstenir ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad, Nonna Mayer et Noémie Piolat chercheuse et doctorante au centre d'études européennes et de politique comparée de SciencesPo CNRS. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a 80 ans, des femmes ont pu voter pour la première fois en France. Le droit de vote autorisé pour les femmes, c'est évidemment une réforme fondamentale dans notre société. À l'époque, on estime que la vaste majorité des couples ont voté pour le même parti. Il existe une homogénéité du vote au sein des structures familiales, très liée à la classe sociale. Est-ce toujours le cas 80 ans plus tard ? Pour quel parti votent les électrices françaises ? Choisissent-elles de s'abstenir ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad, Nonna Mayer et Noémie Piolat chercheuse et doctorante au centre d'études européennes et de politique comparée de SciencesPo CNRS. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a 80 ans, des femmes ont pu voter pour la première fois en France. Le droit de vote autorisé pour les femmes, c'est évidemment une réforme fondamentale dans notre société. À l'époque, on estime que la vaste majorité des couples ont voté pour le même parti. Il existe une homogénéité du vote au sein des structures familiales, très liée à la classe sociale. Est-ce toujours le cas 80 ans plus tard ? Pour quel parti votent les électrices françaises ? Choisissent-elles de s'abstenir ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad, Nonna Mayer et Noémie Piolat chercheuse et doctorante au centre d'études européennes et de politique comparée de SciencesPo CNRS. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On the charges against France's Marine Le Pen. [For the full episode, subscribe at patreon.com/bungacast] Alex and George discuss some main stories from the past month. After the death of Pope Francis, what's behind left-wing sympathy for the late Pope – and more widespread appreciation for Catholicism? Why do we want a progressive Pope, and would a reactionary one be better for us? Why is the US deporting people to Nayib Bukele's Salvadorian prisons, and what makes this so dystopian? Then Alex calls up Jacobin's Europe editor David Broder to understand the charges against Marine Le Pen. Is Marine Le Pen a victim of lawfare, or has she been hoist by her own petard? What are the consequences for the Rassemblement National, and for French politics? What has the European radical right's response been to Trump II so far? And we respond to your questions and comments from the past month on: Holding politicians to account on free speech Listening to poetry Redistribution as the obvious solution to the crisis Clientelism and hyperpolitics
Dans cette édition :Le gouvernement annonce des mesures plus restrictives pour lutter contre l'afflux massif de colis en provenance de plateformes chinoises, comme le renforcement des contrôles douaniers et la mise en place d'une nouvelle redevance pour responsabiliser ces plateformes.Le ministre de la Justice Gérald Darmanin propose le retour des frais d'incarcération, une mesure qui risque de se heurter à des obstacles comme l'insolvabilité de certains détenus ou le refus des familles d'être sollicitées.Jordan Bardella, président du Rassemblement National, se prépare sérieusement à une éventuelle candidature à la présidentielle de 2027 en cas de condamnation de Marine Le Pen à une peine d'inéligibilité.Emmanuel Macron affirme avoir convaincu Donald Trump d'adopter une attitude plus ferme face à Vladimir Poutine et espère que les Européens pourront s'asseoir à la table des négociations de paix.Le Paris Saint-Germain affronte Arsenal en demi-finale aller de la Ligue des champions, une affiche de gala qui s'annonce équilibrée malgré la qualité offensive du PSG.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Jordan Bardella, président du Rassemblement National, se dit prêt à se présenter à l'élection présidentielle de 2027 si Marine Le Pen est empêchée de se présenter.Les médecins manifestent dans plusieurs villes de France contre la loi visant à lutter contre les déserts médicaux, estimant qu'elle ne résoudra pas le problème.Donald Trump célèbre les 100 premiers jours de son second mandat à la Maison Blanche, marqués par une activité législative intense et des décisions économiques controversées.Le Paris Saint-Germain affronte Arsenal en demi-finale aller de la Ligue des Champions, dans un match crucial pour les Parisiens.La météo annonce une journée chaude et ensoleillée sur la majeure partie du territoire, avec quelques averses orageuses localisées.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vincent Trémolet de Villers analyse la réaction de la gauche radicale suite au meurtre d'un jeune musulman dans une mosquée du Gard. Il dénonce l'empressement de Jean-Luc Mélenchon et de La France Insoumise à utiliser ce drame à des fins politiques, en accusant la droite et le Rassemblement National de développer un discours islamophobe. Le journaliste souligne le manque de cohérence de cette position, comparée à la réaction de Mélenchon après l'attentat de Nice en 2020. Il met également en lumière les dérives de certains manifestants lors de la manifestation organisée à Paris. Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Attaque au couteau dans un lycée à Nantes : 1 mort et 3 blessés. Début de l'enquête, profil psychologique de l'assaillant, préventions au lycée. Ecoutez L'invité de RTL avec Olivier Boy du 25 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Attaque au couteau dans un lycée à Nantes : 1 mort et 3 blessés. Début de l'enquête, profil psychologique de l'assaillant, préventions au lycée. Ecoutez L'invité de RTL avec Olivier Boy du 25 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
It's official. The American Dream is dead. And it's been resurrected in Europe where, according to the FT columnist Simon Kuper, disillusioned Americans should relocate. Compared with the United States, Kuper argues, Europe offers the three key metrics of a 21st century good life: “four years more longevity, higher self-reported happiness and less than half the carbon emissions per person”. So where exactly to move? The Paris based Kuper believes that his city is the most beautiful in Europe. He's also partial to Madrid, which offers Europe's sunniest lifestyle. And even London, in spite of all its post Brexit gloom, Kuper promises, offers American exiles the promise of a better life than the miserable existence which they now have to eek out in the United States. Five Takeaways* Quality of Life.:Kuper believes European quality of life surpasses America's for the average person, with Europeans living longer, having better physical health, and experiencing less extreme political polarization.* Democratic Europe vs Aristocratic America: While the wealthy can achieve greater fortunes in America, Kuper argues that Europeans in the "bottom 99%" live longer and healthier lives than their American counterparts.* Guns, Anxiety and the Threat of Violence: Political polarization in America creates more anxiety than in Europe, partly because Americans might be armed and because religion makes people hold their views more fervently.* MAGA Madness: Kuper sees Trump as more extreme than European right-wing leaders like Italy's Meloni, who governs as "relatively pro-European" and "pro-Ukrainian."* It's not just a Trump thing. Kuper believes America's declining international credibility will persist even after Trump leaves office, as Europeans will fear another "America First" president could follow any moderate administration.Full TranscriptAndrew Keen: Hello everybody. It's Monday, April the 21st, 2025. This conversation actually might go out tomorrow on the 22nd. Nonetheless, the headlines of the Financial Times, the world's most global economic newspaper, are miserable from an American point of view. US stocks and the dollar are sinking again as Donald Trump renews his attack on the Fed chair Jay Powell. Meanwhile Trump is also attacking the universities and many other bastions of civilization at least according to the FT's political columnist Gideon Rachman. For another FT journalist, my guest today Simon Kuper has been on the show many times before. All this bad news about America suggests that for Americans it's time to move to Europe. Simon is joining us from Paris, which Paris is that in Europe Simon?Simon Kuper: I was walking around today and thinking it has probably never in its history looked as good as it does now. It really is a fabulous city, especially when the sun shines.Andrew Keen: Nice of them where I am in San Francisco.Simon Kuper: I always used to like San Francisco, but I knew it before every house costs $15 million.Andrew Keen: Well, I'm not sure that's entirely true, but maybe there's some truth. Paris isn't exactly cheap either, is it? Certainly where you live.Simon Kuper: Cheaper than San Francisco, so I did for this article that you mentioned, I did some research on house prices and certainly central Paris is one of the most expensive areas in the European Union, but still considerably cheaper than cities like New York and San Francisco. A friend of mine who lives here told me that if she moved to New York, she would move from central Paris to for the same price living in some very, very distant suburb of New York City.Andrew Keen: Your column this week, Americans, it's time to move to Europe. You obviously wrote with a degree of relish. Is this Europe's revenge on America that it's now time to reverse the brain drain from Europe to America? Now it's from America to Europe.Simon Kuper: I mean, I don't see it as revenge. I'm a generally pro-American person by inclination and I even married an American and have children who are American as well as being French and British. So when I went to the US as firstly as a child, age 10, 11, I was in sixth grade in California. I thought it was the most advanced, wonderful place in the world and the sunshine and there was nowhere nice than California. And then I went as a student in my early 20s. And again, I thought this was the early 90s. This is the country of the future. It's so much more advanced than Europe. And they have this new kind of wise technocratic government that is going to make things even better. And it was the beginning of a big American boom of the 90s when I think American quality of life reached its peak, that life expectancy was reached, that was then declined a long time after the late 90s. So my impressions in the past were always extremely good, but no longer. The last 20 years visiting the US I've never really felt this is a society where ordinary people can have as good a life as in Europe.Andrew Keen: When you say ordinary people, I mean, you're not an ordinary person. And I'm guessing most of the people you and your wife certainly isn't ordinary. She's a well known writer. In fact, she's written on France and the United States and parenthood, very well known, you are well known. What do you mean by ordinary people?Simon Kuper: Yeah, I mean, it's not entirely about me. Amazingly, I am not so egomaniac as to draw conclusions on some matters just looking at my own situation. What I wrote about the US is that if you're in the 1% in the US and you are pursuing great wealth in finance or tech and you have a genuine shot at it, you will achieve wealth that you can't really achieve in Europe. You know, the top end of the US is much higher than in Europe. Still not necessarily true that your life will be better. So even rich Americans live shorter than rich Europeans. But OK, so the 1% America really offers greater expansion opportunities than Europe does. Anywhere below that, the Europeans in the bottom 99%, let's say, they live longer than their American equivalents. They are less fat, their bodies function better because they walk more, because they're not being bombarded by processed food in the same way. Although we have political polarization here, it's not as extreme as in the US. Where I quote a European friend of mine who lives in the American South. He says he sometimes doesn't go out of his house for days at a time because he says meeting Trump supporters makes him quite anxious.Andrew Keen: Where does he live? I saw that paragraph in the piece, you said he doesn't, and I'm quoting him, a European friend of mine who lives in the American South sometimes doesn't leave his house for days on end so as to avoid running into Trump supporters. Where does he live?Simon Kuper: He lives, let me say he lives in Georgia, he lives in the state of Georgia.Andrew Keen: Well, is that Atlanta? I mean, Atlanta is a large town, lots of anti-Trump sentiment there. Whereabouts in Georgia?Simon Kuper: He doesn't live in Atlanta, but I also don't want to specify exactly where he lives because he's entitled.Andrew Keen: In case you get started, but in all seriousness, Simon, isn't this a bit exaggerated? I mean, I'm sure there are some of your friends in Paris don't go outside the fancy center because they might run into fans of Marine Le Pen. What's the difference?Simon Kuper: I think that polarization creates more anxiety in the US and is more strongly felt for a couple of reasons. One is that because people might be armed in America, that gives an edge to any kind of disagreement that isn't here in Europe. And secondly, because religion is more of a factor in American life, people hold their views more strongly, more fervently, then. So I think there's a seriousness and edge to the American polarization that isn't quite the same as here. And the third reason I think polarization is worse is movement is more extreme even than European far-right movements. So my colleague John Byrne Murdoch at the Financial Times has mapped this, that Republican views from issues from climate to the role of the state are really off the charts. There's no European party coeval to them. So for example, the far-right party in France, the Rassemblement National, doesn't deny climate change in the way that Trump does.Andrew Keen: So, how does that contextualize Le Pen or Maloney or even the Hungarian neo-authoritarians for whom a lot of Trump supporters went to Budapest to learn what he did in order to implement Trump 2.0?Simon Kuper: Yeah, I think Orban, in terms of his creating an authoritarian society where the universities have been reined in, where the courts have been rained in, in that sense is a model for Trump. His friendliness with Putin is more of a model for Trump. Meloni and Le Pen, although I do not support them in any way, are not quite there. And so Meloni in Italy is in a coalition and is governing as somebody relatively pro-European. She's pro-Ukrainian, she's pro-NATO. So although, you know, she and Trump seem to have a good relationship, she is nowhere near as extreme as Trump. And you don't see anyone in Europe who's proposing these kinds of tariffs that Trump has. So I think that the, I would call it the craziness or the extremism of MAGA, doesn't really have comparisons. I mean, Orban, because he leads a small country, he has to be a bit more savvy and aware of what, for example, Brussels will wear. So he pushes Brussels, but he also needs money from Brussels. So, he reigns himself in, whereas with Trump, it's hard to see much restraint operating.Andrew Keen: I wonder if you're leading American liberals on a little bit, Simon. You suggested it's time to come to Europe, but Americans in particular aren't welcome, so to speak, with open arms, certainly from where you're talking from in Paris. And I know a lot of Americans who have come to Europe, London, Paris, elsewhere, and really struggled to make friends. Would, for Americans who are seriously thinking of leaving Trump's America, what kind of welcome are they gonna get in Europe?Simon Kuper: I mean, it's true that I haven't seen anti-Americanism as strong as this in my, probably in my lifetime. It might have been like this during the Vietnam War, but I was a child, I don't remember. So there is enormous antipathy to, let's say, to Trumpism. So two, I had two visiting Irish people, I had lunch with them on Friday, who both work in the US, and they said, somebody shouted at them on the street, Americans go home. Which I'd never heard, honestly, in Paris. And they shouted back, we're not American, which is a defense that doesn't work if you are American. So that is not nice. But my sense of Americans who live here is that the presumption of French people is always that if you're an American who lives here, you're not a Trumpist. Just like 20 years ago, if you are an American lives here you're not a supporter of George W. Bush. So there is a great amount of awareness that there are Americans and Americans that actually the most critical response I heard to my article was from Europeans. So I got a lot of Americans saying, yeah, yeah. I agree. I want to get out of here. I heard quite a lot of Europeans say, for God's sake, don't encourage them all to come here because they'll drive up prices and so on, which you can already see elements of, and particularly in Barcelona or in Venice, basically almost nobody lives in Venice except which Americans now, but in Barcelona where.Andrew Keen: Only rich Americans in Venice, no other rich people.Simon Kuper: It has a particular appeal to no Russians. No, no one from the gulf. There must be some there must be something. They're not many Venetians.Andrew Keen: What about the historical context, Simon? In all seriousness, you know, Americans have, of course, fled the United States in the past. One thinks of James Baldwin fleeing the Jim Crow South. Could the Americans now who were leaving the universities, Tim Schneider, for example, has already fled to Canada, as Jason Stanley has as well, another scholar of fascism. Is there stuff that American intellectuals, liberals, academics can bring to Europe that you guys currently don't have? Or are intellectuals coming to Europe from the US? Is it really like shipping coal, so to speak, to Newcastle?Simon Kuper: We need them desperately. I mean, as you know, since 1933, there has been a brain drain of the best European intellectuals in enormous numbers to the United States. So in 1933, the best university system in the world was Germany. If you measure by number of Nobel prizes, one that's demolished in a month, a lot of those people end up years later, especially in the US. And so you get the new school in New York is a center. And people like Adorno end up, I think, in Los Angeles, which must be very confusing. And American universities, you get the American combination. The USP, what's it called, the unique selling point, is you have size, you have wealth, you have freedom of inquiry, which China doesn't have, and you have immigration. So you bring in the best brains. And so Europe lost its intellectuals. You have very wealthy universities, partly because of the role of donors in America. So, you know, if you're a professor at Stanford or Columbia, I think the average salary is somewhere over $300,000 for professors at the top universities. In Europe, there's nothing like that. Those people would at least have to halve their salary. And so, yeah, for Europeans, this is a unique opportunity to get some of the world's leading brains back. At cut price because they would have to take a big salary cut, but many of them are desperate to do it. I mean, if your lab has been defunded by the government, or if the government doesn't believe in your research into climate or vaccines, or just if you're in the humanities and the government is very hostile to it, or, if you write on the history of race. And that is illegal now in some southern states where I think teaching they call it structural racism or there's this American phrase about racism that is now banned in some states that the government won't fund it, then you think, well, I'll take that pay cost and go back to Europe. Because I'm talking going back, I think the first people to take the offer are going to be the many, many top Europeans who work at American universities.Andrew Keen: You mentioned at the end of Europe essay, the end of the American dream. You're quoting Trump, of course, ironically. But the essay is also about the end of the America dream, perhaps the rebirth or initial birth of the European dream. To what extent is the American dream, in your view, and you touched on this earlier, Simon, dependent on the great minds of Europe coming to America, particularly during and after the, as a response to the rise of Nazism, Hannah Arendt, for example, even people like Aldous Huxley, who came to Hollywood in the 1930s. Do you think that the American dream itself is in part dependent on European intellectuals like Arendt and Huxley, even Ayn Rand, who not necessarily the most popular figure on the left, but certainly very influential in her ideas about capitalism and freedom, who came of course from Russia.Simon Kuper: I mean, I think the average American wouldn't care if Ayn Rand or Hannah Arendt had gone to Australia instead. That's not their dream. I think their American dream has always been about the idea of social mobility and building a wealthy life for yourself and your family from nothing. Now almost all studies of social ability say that it's now very low in the US. It's lower than in most of Europe. Especially Northern Europe and Scandinavia have great social mobility. So if you're born in the lower, say, 10% or 20% in Denmark, you have a much better chance of rising to the top of society than if you were born at the bottom 10%, 20% in the US. So America is not very good for social mobility anymore. I think that the brains that helped the American economy most were people working in different forms of tech research. And especially for the federal government. So the biggest funder of science in the last 80 years or so, I mean, the Manhattan Project and on has been the US federal government, biggest in the world. And the thing is you can't eat atom bombs, but what they also produce is research that becomes hugely transformative in civilian life and in civilian industries. So GPS or famously the internet come out of research that's done within the federal government with a kind of vague defense angle. And so I think those are the brains that have made America richer. And then of course, the number of immigrants who found companies, and you see this in tech, is much higher than the number percentage of native born Americans who do. And a famous example of that is Elon Musk.Andrew Keen: Yeah, and you were on the show just before Christmas in response to your piece about Musk, Thiel and the shadow of apartheid in South Africa. So I'm guessing you don't want the Musks and Thiels. They won't be welcome in Europe, will they?Simon Kuper: I don't think they want to go. I mean, if you want to create a tech company, you want very deep capital markets. You want venture capital firms that are happy to bet a few billion on you. And a very good place to do that, the best place in the world by far, is Silicon Valley. And so a French friend of mine said he was at a reception in San Francisco, surrounded by many, many top French engineers who all work for Silicon Valley firms, and he thought, what would it take them to come back? He didn't have an answer. Now the answer might be, maybe, well, Donald Trump could persuade them to leave. But they want to keep issuing visas for those kinds of people. I mean, the thing is that what we're seeing with Chinese AI breakthroughs in what was called DeepSeek. Also in overtaking Tesla on electric cars suggests that maybe, you know, the cutting edge of innovation is moving from Silicon Valley after nearly 100 years to China. This is not my field of expertise at all. But you know the French economist Thomas Filippon has written about how the American economy has become quite undynamic because it's been taken over by monopolies. So you can't start another Google, you can start another Amazon. And you can't build a rival to Facebook because these companies control of the market and as Facebook did with WhatsApp or Instagram, they'll just buy you up. And so you get quite a much more static tech scene than 30 years ago when really, you know, inventions, great inventions are being made in Silicon Valley all the time. Now you get a few big companies that are the same for a very long period.Andrew Keen: Well, of course, you also have OpenAI, which is a startup, but that's another conversation.Simon Kuper: Yeah, the arguments in AI is that maybe China can do it better.Andrew Keen: Can be. I don't know. Well, it has, so to speak, Simon, the light bulb gone off in Europe on all this on all these issues. Mario Draghi month or two ago came out. Was it a white paper or report suggesting that Europe needed to get its innovation act together that there wasn't enough investment or capital? Are senior people within the EU like Draghi waking up to the reality of this historical opportunity to seize back economic power, not just cultural and political.Simon Kuper: I mean, Draghi doesn't have a post anymore, as far as I'm aware. I mean of course he was the brilliant governor of the European Central Bank. But that report did have a big impact, didn't it? It had a big impact. I think a lot of people thought, yeah, this is all true. We should spend enormous fortunes and borrow enormous fortunes to create a massive tech scene and build our own defense industries and so on. But they're not going to do it. It's the kind of report that you write when you don't have a position of power and you say, this is what we should do. And the people in positions of power say, oh, but it's really complicated to do it. So they don't do it, so no, they're very, there's not really, we've been massively overtaken and left behind on tech by the US and China. And there doesn't seem to be any impetus, serious impetus to build anything on that scale to invest that kind of money government led or private sector led in European tech scene. So yeah, if you're in tech. Maybe you should be going to Shanghai, but you probably should not be going to Europe. So, and this is a problem because China and the US make our future and we use their cloud servers. You know, we could build a search engine, but we can't liberate ourselves from the cloud service. Defense is a different matter where, you know, Draghi said we should become independent. And because Trump is now European governments believe Trump is hostile to us on defense, hostile to Ukraine and more broadly to Europe, there I think will be a very quick move to build a much bigger European defense sector so we don't have to buy for example American planes which they where they can switch off the operating systems if they feel like it.Andrew Keen: You live in Paris. You work for the FT, or one of the papers you work for is the FT a British paper. Where does Britain stand here? So many influential Brits, of course, went to America, particularly in the 20th century. Everyone from Alfred Hitchcock to Christopher Hitchens, all adding enormous value like Arendt and Ayn Rand. Is Britain, when you talk of Europe, are you still in the back of your mind thinking of Britain, or is it? An island somehow floating or stuck between America, the end of the American dream and the beginning of the European dream. In a way, are you suggesting that Brits should come to Europe as well?Simon Kuper: I think Britain is floating quite rapidly towards Europe because in a world where you have three military superpowers that are quite predatory and are not interested in alliances, the US, China and Russia, the smaller countries, and Britain is a smaller country and has realized since Brexit that it is a small country, the small countries just need to ally. And, you know, are you going to trust an alliance with Trump? A man who is not interested in the fates of other countries and breaks his word, or would you rather have an alliance with the Europeans who share far more of your values? And I think the Labor government in the UK has quietly decided that, I know that it has decided that on economic issues, it's always going to prioritize aligning with Europe, for example, aligning food standards with Europe so that we can sell my food. They can sell us our food without any checks because we've accepted all their standards, not with the US. So in any choice between, you know, now there's talk of a potential US-UK trade deal, do we align our standards with the US. Or Europe? It's always going to be Europe first. And on defense, you have two European defense powers that are these middle powers, France and the UK. Without the UK, there isn't really a European defense alliance. And that is what is gonna be needed now because there's a big NATO summit in June, where I think it's going to become patently obvious to everyone, the US isn't really a member of NATO anymore. And so then you're gonna move towards a post US NATO. And if the UK is not in it, well, it looks very, very weak indeed. And if UK is alone, that's quite a scary position to be in in this world. So yeah, I see a UK that is not gonna rejoin the European Union anytime soon. But is more and more going to ally itself, is already aligning itself with Europe.Andrew Keen: As the worm turned, I mean, Trump has been in power 100 days, supposedly is limited to the next four years, although he's talking about running for a third term. Can America reverse itself in your view?Simon Kuper: I think it will be very hard whatever Trump does for other countries to trust him again. And I also think that after Trump goes, which as you say may not be in 2028, but after he goes and if you get say a Biden or Obama style president who flies to Europe and says it's all over, we're friends again. Now the Europeans are going to think. But you know, it's very, very likely that in four years time, you will be replaced by another America first of some kind. So we cannot build a long term alliance with the US. So for example, we cannot do long term deals to buy Americans weapons systems, because maybe there's a president that we like, but they'll be succeeded by a president who terrifies us quite likely. So, there is now, it seems to me, instability built in for the very long term into... America has a potential ally. It's you just can't rely on this anymore. Even should Trump go.Andrew Keen: You talk about Europe as one place, which, of course, geographically it is, but lots of observers have noted the existence, it goes without saying, of many Europe's, particularly the difference between Eastern and Western Europe.Simon Kuper: I've looked at that myself, yes.Andrew Keen: And you've probably written essays on this as well. Eastern Europe is Poland, perhaps, Czech Republic, even Hungary in an odd way. They're much more like the United States, much more interested perhaps in economic wealth than in the other metrics that you write about in your essay. Is there more than one Europe, Simon? And for Americans who are thinking of coming to Europe, should it be? Warsaw, Prague, Paris, Madrid.Simon Kuper: These are all great cities, so it depends what you like. I mean, I don't know if they're more individualistic societies. I would doubt that. All European countries, I think, could be described as social democracies. So there is a welfare state that provides people with health and education in a way that you don't quite have in the United States. And then the opposite, the taxes are higher. The opportunities to get extremely wealthy are lower here. I think the big difference is that there is a part of Europe for whom Russia is an existential threat. And that's especially Poland, the Baltics, Romania. And there's a part of Europe, France, Britain, Spain, for whom Russia is really quite a long way away. So they're not that bothered about it. They're not interested in spending a lot on defense or sending troops potentially to die there because they see Russia as not their problem. I would see that as a big divide. In terms of wealth, I mean, it's equalizing. So the average Pole outside London is now, I think, as well off or better than the average Britain. So the average Pole is now as well as the average person outside London. London, of course, is still.Andrew Keen: This is the Poles in the UK or the Poles.Simon Kuper: The Poles in Poland. So the Poles who came to the UK 20 years ago did so because the UK was then much richer. That's now gone. And so a lot of Poles and even Romanians are returning because economic opportunities in Poland, especially, are just as good as in the West. So there has been a little bit of a growing together of the two halves of the continent. Where would you live? I mean, my personal experience, having spent a year in Madrid, it's the nicest city in the world. Right, it's good. Yeah, nice cities to live in, I like living in big cities, so of big cities it's the best. Spanish quality of life. If you earn more than the average Spaniard, I think the average income, including everyone wage earners, pensioners, students, is only about $20,000. So Spaniards have a problem with not having enough income. So if you're over about $20000, and in Madrid probably quite a bit more than that, then it's a wonderful life. And I think, and Spaniards live about five years longer than Americans now. They live to about age 84. It's a lovely climate, lovely people. So that would be my personal top recommendation. But if you like a great city, Paris is the greatest city in the European Union. London's a great, you know, it's kind of bustling. These are the two bustling world cities of Europe, London and Paris. I think if you can earn an American salary, maybe through working remotely and live in the Mediterranean somewhere, you have the best deal in the world because Mediterranean prices are low, Mediterranean culture, life is unbeatable. So that would be my general recommendation.Andrew Keen: Finally, Simon, being very generous with your time, I'm sure you'd much rather be outside in Paris in what you call the greatest city in the EU. You talk in the piece about three metrics that show that it's time to move to Europe, housing, education, sorry, longevity, happiness and the environment. Are there any metrics at all now to stay in the United States?Simon Kuper: I mean, if you look at people's incomes in the US they're considerably higher, of course, your purchasing power for a lot of things is less. So I think the big purchasing power advantage Americans have until the tariffs was consumer goods. So if you want to buy a great television set, it's better to do that out of an American income than out of a Spanish income, but if you want the purchasing power to send your kids to university, to get healthcare. Than to be guaranteed a decent pension, then Europe is a better place. So even though you're earning more money in the US, you can't buy a lot of stuff. If you wanna go to a nice restaurant and have a good meal, the value for money will be better in Europe. So I suppose if you wanna be extremely wealthy and you have a good shot at that because a lot people overestimate their chance of great wealth. Then America is a better bet than Europe. Beyond that, I find it hard to right now adduce reasons. I mean, it's odd because like the Brexiteers in the UK, Trump is attacking some of the things that really did make America great, such as this trading system that you can get very, very cheap goods in the United States, but also the great universities. So. I would have been much more positive about the idea of America a year ago, but even then I would've said the average person lives better over here.Andrew Keen: Well, there you have it. Simon Cooper says to Americans, it's time to move to Europe. The American dream has ended, perhaps the beginning of the European dream. Very provocative. Simon, we'll get you back on the show. Your column is always a central reading in the Financial Times. Thanks so much and enjoy Paris.Simon Kuper: Thank you, Andrew. Enjoy San Francisco. This is a public episode. If you'd like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit keenon.substack.com/subscribe
durée : 00:05:19 - Le Billet politique - par : Astrid de Villaines - Le parti n'emploie plus le mot "race", mais ne renie rien des fondamentaux du père fondateur, Jean-Marie Le Pen. Que change la condamnation de Marine Le Pen en première instance à cette stratégie mise sur pied dans les années 2010 ?
En France comme dans beaucoup de pays d'Europe, on assiste à une montée de l'extrême droite en politique. Comment et pourquoi Marine Le Pen et son parti, le Rassemblement National, occupent-ils une place de plus en plus grande dans l'espace politique français ? Interactive Transcript and Vocab Helper Get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes! FREE trial at: easyfrench.fm/membership Show Notes Hugo Décrypte (https://www.youtube.com/@hugodecrypteactus) Transcript Disclaimer Hélène: [0:02] Nous n'étions pas dans les mêmes conditions que d'habitude pour l'enregistrement de cet épisode, alors veuillez nous excuser pour la qualité audio un peu inférieure à celle des autres épisodes. Intro Judith: [0:39] Bonjour Hélène. Hélène: [0:40] Salut Judith, salut les amis. Judith: [0:43] Comment ça va ? Hélène: [0:44] Ça va bien et toi ? Judith: [0:46] Écoute, ça va. Aujourd'hui, j'ai eu envie de parler avec toi d'un sujet d'actualité. Si vous suivez l'actualité en France, vous avez dû entendre parler de la condamnation de Marine Le Pen, qui est la cheffe du parti d'extrême droite en France. Elle a été condamnée pour détournement de fonds publics et une des conséquences de cette condamnation, c'est qu'elle ne pourra pas être candidate aux élections présidentielles de 2027. Hélène: [1:16] Oui, donc c'est un événement majeur en France qui a fait vraiment la une de tous les médias récemment. Et donc, pour préciser, nous enregistrons cet épisode le 9 avril 2025. Judith: [1:27] Donc, avant la sortie de cet épisode, il se sera potentiellement passé plein de choses. Mais on verra bien. On y va ? Hélène: [1:35] Allez ! Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du futur électoral du Rassemblement National à l'horizon 2027.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marine Le Pen a été condamnée à 5 ans d'inéligibilité à exécution immédiate le 31 mars 2025. Le président du Rassemblement national est jugé coupable d'avoir détourné plus de 4 millions d'euros d'argent public. En plus de cette sanction qui l'empêche de se présenter à la présidentielle de 2027, elle écope aussi de 4 ans de prison ! Si Marine Le Pen semble trouver cette peine injuste, elle n'est pas singulière. Aujourd'hui dans maintenant vous savez, on vous parle des ces élus condamnés à des peines d'inéligibilité. Pourquoi Jean-Marie Le Pen a-t-il été condamné à de l'inéligibilité ? Qu'est-ce que l'affaire François Fillon ? Et l'affaire Jérôme Cahuzac ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Qu'est-ce qu'un “Dog Whistle” en politique ? Comment sont réalisés les sondages en politique ? Pourquoi le Rassemblement National est-il régulièrement accusé d'antisémitisme ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Al meerdere keren aangekondigd, en nu werkelijkheid: Trumps handelsoorlog is definitief begonnen, en de Amerikaanse president lijkt vastbesloten die vol te houden. Groene-medewerker Diederik Baazil belicht vanuit Tokio de reactie van Aziatische landen en vraagt zich af of het einde van Amerika's dominante positie in zicht is.In Historische Woorden klinkt een verontwaardigde Marine Le Pen, die na een gerechtelijke uitspraak haar partij Rassemblement National niet langer mag aanvoeren bij de Franse verkiezingen.En in Servië zijn al geruime tijd protesten gaande tegen het bewind van president Vučić. Verslaggever Ingrid Gercama reisde meerdere keren naar Servië en legt uit waarom deze demonstraties in zekere zin apolitiek zijn.Productie: Gizelle Mijnlieff.Zie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Domenica 6 aprile Parigi si è divisa in due. Da un lato i manifestanti a sostegno di Marine Le Pen, leader del Rassemblement National, giudicata colpevole di appropriazione indebita di fondi pubblici; dall’altro la coalizione di sinistra in protesta contro Le Pen e il suo partito. Ce ne parla da Parigi Danilo Ceccarelli, collaboratore di Radio24.Anche negli Stati Uniti i manifestanti scendono in piazza in tutti i 50 stati, aderendo al movimento 'Hands Off!' ('Giù le mani'). La protesta ha coinvolto gruppi eterogenei: dalle persone con disabilità agli attivisti per il clima, passando per i movimenti LGBT+, le organizzazioni a difesa dei diritti dei migranti, i sindacati e gli attivisti pro-democrazia, preoccupati per il crescente logoramento del sistema politico statunitense. Ce ne parla da New York Marco Valsania, corrispondente de Il Sole 24Ore.Dopo l’incontro a Budapest con il primo ministro ungherese Viktor Orbán, il premier israeliano Benjamin Netanyahu è volato a Washington per discutere dei dazi, di Gaza e dell'Iran. Nel frattempo, proseguono gli attacchi sulla Striscia di Gaza. Ne parliamo con Alessia Melcangi, docente di Storia e istituzioni dell’Africa all’Università La Sapienza di Roma.
La candidature de Marine Le Pen à la présidentielle en 2027 compromise après sa condamnation à une peine d'inéligibilité avec exécution provisoire. En Australie, on vote dans un mois. Aucun des deux grands partis ne semble pouvoir s'offrir une majorité au Parlement, donnant de fait plus de pouvoir à une troisième voie, celles de Indépendants (Teals).
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur le milliardaire nigérian Aliko Dangote et le riz indien de retour sur le marché africain. France : quel avenir pour le RN après la condamnation de Marine Le Pen ? Condamnée à quatre ans de prison ferme dont deux ferme et à cinq ans d'inéligibilité avec effet immédiat, la cheffe de file du Rassemblement National a annoncé faire appel de son jugement. L'appel étant suspensif, pourra-t-elle se présenter à la présidentielle 2027 ? Si l'inéligibilité de Marine Le Pen est confirmée, le président du parti, Jordan Bardella, sera-t-il forcément le candidat du RN dans deux ans ?Avec Raphaël Delvolvé, journaliste au service politique de RFI. Nigeria : Dangote menace de couper son approvisionnement en kérosène C'est un bras de fer qui oppose l'homme le plus riche d'Afrique à la compagnie pétrolière nationale de son pays. Le Nigérian Aliko Dangote accuse la NNPC de lui bloquer l'accès de son kérosène au marché local. Il a donc décidé d'exporter sa production vers les États-Unis. Comment expliquer ce conflit ? Quelles conséquences cette décision a-t-elle sur le marché national ?Avec Liza Fabbian, journaliste au service Afrique de RFI. Afrique de l'Ouest : le riz indien va-t-il de nouveau inonder le marché ? Après avoir autorisé la reprise de ses exportations de riz, l'Inde entend reprendre sa place de numéro un en Afrique. Quel sera l'impact de la levée des restrictions sur le marché du riz ouest-africain ? À quand l'autosuffisance en riz pour les pays de la sous-région ? Avec Patricio Mendez del Villar, économiste, chercheur au Cirad, spécialiste des marchés internationaux du riz (éditeur de la note de conjoncture Osiriz). Et en fin d'émission, la chronique Un œil sur les réseaux de Jessica Taieb. Au programme, une nouvelle version de ChatGPT qui créé des images inspirées du studio Ghibli.
Ein Pariser Gericht hat Marine Le Pen für fünf Jahre von Wahlen ausgeschlossen. Die Rechtspopulistin will nun ein rasches Berufungsverfahren. Kann sie so ihre politische Karriere retten? Anfang der Woche, nach ihrer Verurteilung wegen Veruntreuung von EU-Geldern, schien die Lage für Marine Le Pen noch aussichtslos. Ein Pariser Gericht hatte entschieden, dass Le Pen, Frontfrau des rechten »Rassemblement National«, von der Wahl 2027 ausgeschlossen werden sollte. Und da die Gerichte in Frankreich langsam arbeiten, schien ein frühes Berufungsverfahren ausgeschlossen. Doch nun könnte es doch schneller gehen. Der amtierende Justizminister, Éric Dupond-Moretti, der der Macron-Regierung angehört, sagte, er fände es gut, wenn Marine Le Pen die Möglichkeit bekäme, noch vor der Präsidentschaftswahl das Berufungsverfahren zu durchlaufen. In der aktuellen Folge von »Acht Milliarden« spricht Moderator Juan Moreno mit Britta Sandberg, Korrespondentin des SPIEGEL in Paris, über ein Urteil, das wie eine Bombe einschlug. »Le Pen ist politisch sicher nicht am Ende, aber Fakt ist auch, dass sich die Justiz fast zehn Jahre Zeit gelassen hat für dieses Urteil und es sehr gut vorbereitet hat. Selbst wenn sie jetzt durch diesen Berufungsprozess in die Lage versetzt werden sollte, 2027 zu kandidieren – wollen die Franzosen dann eine Präsidentin, die eigentlich zwei Jahre lang eine elektronische Fußfessel tragen müsste, nur von 9 Uhr bis 16 Uhr auf der Straße sein könnte und sich nicht aus Paris wegbewegen darf, weil sie Meldeauflagen hat?«, fragt Sandberg.+++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie mit SPIEGEL+. Entdecken Sie die digitale Welt des SPIEGEL, unter spiegel.de/abonnieren finden Sie das passende Angebot. Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
La condamnation de Marine Le Pen à cinq ans d'inéligibilité avec exécution provisoire a cloué l'ancienne présidente du Rassemblement national. Beaucoup dans la classe politique ont avoué leur trouble, à l'instar de François Bayrou qui a maintenu sa critique sur la sentence immédiate d'inéligibilité. Excepté le Parti socialiste, les politiques sont gênés aux entournures. François Bayrou a estimé qu'il fallait ouvrir "une réflexion" sur le sujet.
durée : 00:54:41 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce jeudi autour d'Agathe Lambret et Victor Matet.
Mentre alcuni leader sovranisti europei si schierano al fianco di Marine Le Pen, la presidente del Rassemblement National tuona contro i giudici in conferenza stampa. Ne parliamo con Michele Marchi, professore di Storia contemporanea all’Università di Bologna. Dopo il rientro del Vicepresidente JD Vance dalla Groenlandia, domani sarà la premier danese Mette Frederiksen a visitare l’isola di ghiaccio. Ne parliamo con Dwyane Ryan Menezes, fondatore e direttore del Polar Research and Policy Initiative (PRPI), Anderson Osthagen, professore di Relazioni internazionali all’High North Center e Senior Researcher al Fridtjof Nansen Institute, Andreas Raspotnik, Direttore dell’High North center, centro studi sull’Artico dell’Università di Bodø, ed Emilio Cozzi, giornalista ed autore di “Geopolitica dello spazio” (il Saggiatore).
La leader del partito di estrema destra Rassemblement National, Marine Le Pen, è stata condannata per appropriazione indebita di fondi pubblici del Parlamento europeo. Una condanna che potrebbe impedirle di candidarsi alle elezioni presidenziali del 2027. Intanto con il vicedirettore di Milano Finanza Fabrizio Massaro capiamo meglio cosa vuol dire l'acquisto di Tim da parte di Poste Italiane, mentre il governo ha deciso di usare per i rimpatri i centri costruiti l'anno scorso in Albania. ... Qui il link per iscriversi al canale Whatsapp di Notizie a colazione: https://whatsapp.com/channel/0029Va7X7C4DjiOmdBGtOL3z Per iscriverti al canale Telegram: https://t.me/notizieacolazione ... Qui gli altri podcast di Class Editori: https://milanofinanza.it/podcast Musica https://www.bensound.com Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Vier Jahre Haft und eine hohe Geldstrafe verhängt das Gericht in Paris gegen die Ikone des Rassemblement National. Viel folgenreicher: Sie darf bei der nächsten Präsidentschaftswahl nicht antreten. Außerdem: In Myanmar trifft ein Erdbeben ein vom Bürgerkrieg ausgezehrtes Land. Jasper Barenberg
Terremoto giudiziario in Francia: la leader del Rassemblement National, Marine Le Pen, colpevole di appropriazione indebita di fondi pubblici. Ce ne parla da Parigi Veronica Gennari, giornalista freelance. Le minacce del presidente Trump al capo del Cremlino e all'Ayatollah Ali Khamenei e la nuova sfida nell'Artico. Ne parliamo con Mario Del Pero, docente di Storia internazionale a Sciences Po, e con Marzio Mian, giornalista e autore di “Guerra bianca: sul fronte artico del conflitto mondiale” (Neri Pozza).
Salomé Saqué, journaliste engagée et autrice du livre Résister, revient sur le succès de son ouvrage et nous alerte sur les dangers de la montée de l'extrême droite en France et à l'international.C'est la 2eme fois que Salomé vient sur ce podcast (lien plus bas) et notre conversation est très à la cool car nous nous connaissons bien et je pense que ca rend la conversation d'autant plus agréable mais vous me direz :)Son objectif n'était pas seulement d'informer à travers son petit ouvrage, mais de donner des outils à chacun pour éveiller les consciences et amorcer des conversations essentielles.Mais cette réussite n'efface pas son inquiétude. Car si elle documente l'extrême droite depuis des années, elle observe une accélération préoccupante de ses stratégies et de son implantation politique. Pourquoi cette montée en puissance ? Elle nous explique que l'extrême droite ne répond pas aux problèmes qu'elle instrumentalise, mais sait parfaitement exploiter la colère sociale et les inégalités grandissantes. Ce sont ces injustices économiques et sociales, bien réelles, qui nourrissent un vote de rejet et de désespoir.Nous avons analysé ensemble les dynamiques internationales, notamment la montée du parti d'extrême droite allemand AFD, qui a doublé son nombre de voix en quatre ans. Salomé insiste sur un fait alarmant : les partis traditionnels de droite adoptent de plus en plus les idées et le langage de l'extrême droite, brisant ainsi le « cordon sanitaire » qui les séparait autrefois. Une stratégie qui, selon elle, ne fait que légitimer et renforcer ces idéologies.Nous avons également évoqué la stratégie de dédiabolisation du Rassemblement National, qui oscille entre une façade rassurante et des liens toujours plus explicites avec les figures du trumpisme et de l'extrême droite mondiale. Marine Le Pen et Jordan Bardella tentent d'apparaître comme fréquentables, tout en tissant des alliances avec des figures comme Elon Musk ou Steve Bannon. Mais jusqu'où peuvent-ils aller sans se dévoiler totalement ?Salomé me partage aussi sa vision des risques réels d'un basculement autoritaire. Contrairement à l'idée d'un coup d'État brutal, elle explique que les régimes autoritaires s'installent progressivement, par des lois liberticides qui paraissent anodines, des changements subtils dans les institutions, et une normalisation des discours extrémistes. Elle cite une étude qui montre qu'il suffirait de 18 mois pour détruire l'État de droit en France, de façon parfaitement légale. Une réflexion glaçante qui nous amène à nous interroger sur la résilience de nos démocraties.Une autre question fondamentale traverse notre échange : sommes-nous encore en démocratie ? Beaucoup, notamment à gauche, estiment que les nombreuses restrictions sur les libertés publiques, la répression des manifestations et la concentration des pouvoirs sous la présidence Macron montrent déjà une dérive autoritaire. Salomé nuance : oui, la démocratie française est affaiblie, mais nous n'avons pas encore basculé. Et c'est précisément maintenant qu'il faut réagir, avant qu'il ne soit trop tard. Elle insiste sur le fait que l'histoire montre que les populations qui basculent dans des régimes autoritaires ne l'ont souvent pas vu venir.Nous avons également abordé le parallèle entre notre époque et la dystopie de La Servante Écarlate. Dans la série, le basculement vers un régime oppressif ne se fait pas en un jour. Il est progressif, insidieux, et s'installe alors que les citoyens sont trop sidérés ou désabusés pour réagir. Un parallèle troublant avec ce que nous observons aujourd'hui : l'abondance d'informations, la multiplication des crises et des scandales rendent difficile la prise de recul et la mobilisation.Face à cela, comment résister sans sombrer dans le désespoir ? Salomé reconnaît que l'ampleur du combat peut paraître écrasante. Elle-même lutte parfois contre le sentiment d'impuissance. Mais elle rappelle une citation essentielle de Jean-Paul Sartre : « La résistance est un refus de céder au désespoir. »Et c'est là que la joie entre en jeu. Contre toute attente, c'est sur ce thème que nous terminons notre conversation. Pour Salomé, l'un des enjeux majeurs de la résistance est de préserver la joie, non pas comme un luxe, mais comme une nécessité pour tenir dans la durée. Rester ensemble, créer du lien, se nourrir d'art, de culture, d'engagement collectif… c'est cela qui nous rendra forts face à la montée des périls.Un épisode riche, puissant et essentiel pour comprendre les enjeux politiques d'aujourd'hui et se préparer aux défis de demain.5 Citations Marquantes :« Résister, c'est un refus de céder au désespoir. »« On ne lutte pas contre l'extrême droite en reprenant ses idées. Ça ne marche nulle part. »« Ce qui me remplit de joie, c'est de voir que l'information circule, qu'elle ne reste pas entre journalistes. »« Il faut comprendre que l'extrême droite ne répond absolument pas aux problèmes sociaux qu'elle instrumentalise. »« On ne bascule pas du jour au lendemain dans un régime autoritaire, c'est insidieux. »10 Questions que l'on se pose :Comment vis-tu le succès de ton livre et son impact sur les lecteurs ?Qu'est-ce qui t'inquiète le plus dans la montée des extrêmes droites en Europe ?Penses-tu que l'algorithme des réseaux sociaux favorise leur ascension ?En quoi le cas de l'Allemagne est-il révélateur des dynamiques actuelles ?Comment expliques-tu la stratégie de dédiabolisation du Rassemblement National ?L'extrême droite est-elle vraiment une réponse aux problèmes socio-économiques ?Quels sont les risques concrets d'un pouvoir autoritaire en France ?Sommes-nous toujours en démocratie aujourd'hui ?Comment lutter contre la montée du nihilisme et la lassitude face aux informations anxiogènes ?Quelle place donnes-tu à la joie et au collectif dans la résistance ?Timelaps :00:00:00 – Introduction et accueil de Salomé Saqué00:00:34 – Le succès du livre : au-delà des ventes, l'impact sociétal00:02:05 – Pourquoi il faut encore plus documenter et agir collectivement00:03:41 – La montée de l'AFD en Allemagne : quelles dynamiques ?00:05:33 – La stratégie de dédiabolisation du Rassemblement National00:10:48 – Le vote d'extrême droite : colère sociale ou adhésion idéologique ?00:17:06 – Pourquoi il ne faut pas banaliser la menace autoritaire00:26:32 – La démocratie est-elle en danger ? Décryptage des signaux d'alerte00:31:49 – Ce qui se joue aux États-Unis et pourquoi cela nous concerne00:41:03 – La servante écarlate : une fiction trop proche de la réalité ?00:44:53 – Comment résister sans sombrer dans le désespoir Suggestion d'autres épisodes à écouter : #255 La réalité de la jeunesse aujourd'hui avec Salomé Saqué (https://audmns.com/HUAXmJY) #305 Faut-il être extrême pour se faire entendre ? Avec Vincent Edin (https://audmns.com/kYHqCah) #289 L'extrême droite est-elle inévitable en 2027 avec Jerome Fourquet (https://audmns.com/HRiLHBN)